Apple Remote Desktop Guide de l’administrateur Version 3
Apple Remote Desktop
Guide de
l’administrateur
Version 3
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Apple_Guide_de_l_utilisateur_d_Utilitaire_RAID
Apple_Time_Capsule_Early2009_Setup_F
Apple_iphone_4s_finger_tips_guide_rs
Apple_iphone_upute_za_uporabu
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Apple_iPod_touch_User_Guide
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apple_iphone_gebruikershandleiding
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Apple_TV_2nd_gen_Setup_Guide_h
Apple_ipod_touch_manual_del_usuario
Apple_iphone_4s_finger_tips_guide_tu
Apple_macbook_pro_retina_qs_th
Apple-Manuel_de_l'utilisateur_de_Final_Cut_Server
Apple-iMac_G5_de_lutilisateur
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Apple Remote Desktop
Guide de
l’administrateur
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F019-0629/28-02-06 3
1 Table des matières
Préface 9 À propos de ce livre
10 Utilisation de ce guide
10 Aide Remote Desktop
10 Notations conventionnelles
11 Où trouver des informations supplémentaires à propos d’Apple Remote Desktop
Chapitre 1 13 Utilisation d’Apple Remote Desktop
13 Administration d’ordinateurs
15 Déploiement du logiciel
19 Inventaire
22 Gestion interne
23 Prise en charge d’utilisateurs
24 Prestation d’un service d’assistance
26 Communication avec les élèves
27 Obtention d’informations supplémentaires
Chapitre 2 29 Découverte de Remote Desktop
29 Guide de l’interface humaine de Remote Desktop
30 Fenêtre principale de Remote Desktop
32 Zones de dialogue des tâches
33 Fenêtre de contrôle et d’observation
34 Fenêtre Observer sur plusieurs clients
35 Rapport Fenêtre
36 Modification Présentation des rapports
37 Configuration de Remote Desktop
37 Personnalisation de la barre d’outils Remote Desktop
37 Définition des préférences de l’application d’administration Remote Desktop
39 Interface Astuces et raccourcis
Chapitre 3 40 Installation d’Apple Remote Desktop
40 Configuration système requise pour Apple Remote Desktop
41 Configuration réseau requise
41 Installation du logiciel d’administration Remote Desktop
42 Première configuration d’un ordinateur client Apple Remote Desktop4 Table des matières
42 Mise à niveau du logiciel d’administration Remote Desktop
43 Mise à niveau du logiciel client
43 Méthode 1 : Installation de la mise à niveau à distance
44 Méthode 2 : Installation manuelle
45 Mise à niveau des clients Apple Remote Desktop avec SSH
46 Création d’un programme d’installation client personnalisé
48 Remarques pour les clients gérés
48 Suppression ou désactivation d’Apple Remote Desktop
48 Désinstallation du logiciel d’administration
49 Désactivation du logiciel client
50 Désinstallation du logiciel client à partir des ordinateurs clients
Chapitre 4 51 Organisation des ordinateurs clients en listes d’ordinateurs
51 Recherche et ajout de clients aux listes d’ordinateurs Apple Remote Desktop
52 Recherche de clients sur le réseau local
53 Recherche de clients dans la portée du réseau
53 Recherche de clients par adresse réseau
54 Recherche de clients par importation de fichiers
55 Création d’un nouveau scanneur
55 Création et gestion des listes
55 À propos des listes d’ordinateurs Apple Remote Desktop
56 Création d’une liste d’ordinateurs Apple Remote Desktop
56 Suppression de listes Apple Remote Desktop
56 Création d’une liste intelligente d’ordinateurs
57 Modification d’une liste intelligente d’ordinateurs
58 Création d’une liste d’ordinateurs à partir de listes existantes
58 Importation et exportation de listes d’ordinateurs
59 Transfert de listes d’ordinateurs à partir d’Apple Remote Desktop 3 vers un nouvel
ordinateur administrateur
59 Transfert de listes d’ordinateurs à partir d’Apple Remote Desktop 2 vers un nouvel
ordinateur administrateur Apple Remote Desktop 3
60 Transfert d’anciennes listes d’ordinateurs 1.2 vers un nouvel
ordinateur administrateur
Chapitre 5 62 Comprendre et contrôler les autorisations d’accès
62 Accès administrateur à Apple Remote Desktop
64 Configuration des privilèges et autorisations d’accès administrateur Apple Remote
Desktop à l’aide de comptes locaux
65 Accès administrateur à Apple Remote Desktop avec Services de répertoire
65 Création de groupes d’accès administrateur
68 Activation de l’autorisation de groupe des Services de répertoire
68 Accès de l’invité à Apple Remote Desktop
69 Accès non-administrateur à Apple Remote DesktopTable des matières 5
70 Réseau virtuel Calcul d’accès
71 Accès SSH par ligne de commande
72 Gestion des réglages et privilèges d’administration client
72 Obtention d’un rapport sur les réglages d’administration
72 Modification des autorisations administrateur du client
Chapitre 6 75 Configuration du réseau et gestion de la sécurité
75 Configuration du réseau
76 Utilisation d’Apple Remote Desktop avec des ordinateurs sur un réseau sans fil AirPort
77 Optimisation des performances
78 Gestion de la sécurité
79 Authentification et cryptage du transport de données Remote Desktop
79 Cryptage des données réseau Observer et Contrôler
80 Cryptage des données réseau au cours des tâches Copier des éléments et Installer
des paquets
Chapitre 7 81 Communication avec les utilisateurs
82 Contrôle
82 Contrôle des clients Apple Remote Desktop
83 Options de la fenêtre de contrôle
84 Basculer la fenêtre de contrôle entre le mode plein écran et l’adaptation à la fenêtre
84 Basculement entre les modes Contrôler et Observer
84 Partage du contrôle avec un utilisateur
85 Masquer l’écran d’un utilisateur pendant le contrôle
85 Capture de la fenêtre de contrôle dans un fichier
85 Basculement de la session de contrôle entre les modes plein écran et dans une
fenêtre
86 Partage de presse-papiers pour copier et coller
86 Contrôle de serveurs VNC
87 Configuration d’un serveur VNC non–Mac OS X
88 Options de contrôle VNC
89 Configuration d’un client Apple Remote Desktop pour le contrôle par un Visualiseur
VNC
90 Observation
91 Modification des réglages d’observation pendant l’observation
92 Modification des titres d’écran pendant l’observation
92 Affichage de l’image de compte d’un utilisateur pendant l’observation
93 Affichage de l’état du système d’un ordinateur pendant l’observation
94 Raccourcis de la fenêtre d’observation de plusieurs écrans
94 Observation d’un seul ordinateur
95 Observation de plusieurs ordinateurs
95 Observation d’un ordinateur dans Dashboard
96 Envoi de messages6 Table des matières
96 Envoi de messages à sens unique
97 Discussion interactive
97 Visualisation des requêtes d’attention
97 Partage d’écrans
97 Partage d’un écran avec des ordinateurs clients
98 Contrôle de tâches de partage d’écran
98 Interaction avec l’administrateur Apple Remote Desktop
98 Envoi d’une requête d’attention à l’administrateur
99 Annulation d’une requête d’attention
99 Modification de l’icône du client en cours d’observation
Chapitre 8 100 Administration des ordinateurs clients
100 Suivi de la progression et de l’historique des tâches
101 Activation d’un script de notification de tâche
102 Détermination de l’état des tâches actives
102 Utilisation de l’affichage du retour des tâches
103 Arrêt d’une tâche en cours d’exécution
103 Obtention de l’historique des tâches terminées
103 Enregistrement d’une tâche pour une utilisation ultérieure
104 Création et utilisation de modèles de tâches
105 Modification d’une tâche enregistrée
105 Installation de logiciels avec Apple Remote Desktop
106 Installation par paquet et métapaquet
107 Installation de logiciels sur des ordinateurs déconnectés
108 Installation à l’aide de la commande Copier les éléments
109 Utilisation de programmes d’installation provenant d’autres sociétés
109 Mise à niveau de logiciels
111 Copie de fichiers
112 Options de copie
113 Copie de l’administrateur vers les clients
114 Copie par glisser-déposer
115 Restauration d’éléments à partir d’une copie de référence
116 Création de rapports
117 Collecte de données de rapport
118 Utilisation d’un serveur de tâches pour la collecte des données de rapports
119 Recommandations sur la base de données des rapports et utilisation de la bande
passante
120 Vérification des informations d’utilisation des clients
122 Recherche de fichiers, de dossiers et d’applications
124 Comparaison de logiciels
126 Vérification du matériel
131 Test de la réactivité du réseau
132 Exportation des informations de rapportTable des matières 7
133 Utilisation de fenêtres de rapport pour manipuler les ordinateurs
134 Entretien des systèmes
134 Suppression d’éléments
135 Vidage de la Corbeille
135 Configuration du disque de démarrage
136 Modification du nom des ordinateurs
136 Synchronisation de l’heure des ordinateurs
137 Configuration du volume audio de l’ordinateur
138 Réparation des autorisations de fichiers
139 Ajout d’éléments au Dock
139 Modification des préférences d’économie d’énergie
140 Modification des préférences de partage pour la connexion à distance
141 Configuration des préférences d’imprimante
142 Gestion des ordinateurs
142 Ouverture de fichiers et de dossiers
143 Ouverture d’applications
144 Quitter des applications sans déconnecter l’utilisateur
144 Suspension de l’activité d’un ordinateur
145 Réactivation d’un ordinateur
145 Verrouillage de l’écran d’un ordinateur
146 Affichage d’une image personnalisée sur un écran verrouillé
146 Déverrouillage de l’écran d’un ordinateur
147 Désactivation de l’écran d’un ordinateur
147 Connexion d’un utilisateur dans la fenêtre de connexion
148 Déconnexion de l’utilisateur actuel
148 Redémarrage d’un ordinateur
149 Mise hors tension d’un ordinateur
150 Commandes shell UNIX
150 Modèles Envoyer la commande UNIX
152 Exécution d’une commande UNIX individuelle
152 Exécution de scripts via Envoyer la commande UNIX
154 Outils de ligne de commande intégrés
159 Automatisation des fonctions
160 Configuration de la stratégie de création de rapports de données du client
161 Création d’une stratégie de rapport de données de modèle
162 Désignation du serveur de tâches et définition de l’emplacement de collecte des
données de rapport
163 Tâches programmées
165 Utilisation d’AppleScript avec Remote Desktop
168 Utilisation d’Automator avec Remote Desktop8 Table des matières
Annexe A 169 Référence des icônes et des ports
169 Icônes d’état des clients
169 Icônes d’état Apple Remote Desktop
170 Liste des icônes de menu
170 Icônes d’état des tâches
171 Icônes d’état du système (données élémentaires)
171 Icônes d’état du système (données plus détaillées)
172 Références des ports TCP et UDP
Annexe B 173 Référence des définitions des champs de rapport
173 Rapport sur la vue d’ensemble du système
176 Rapport de stockage
177 Rapport sur les périphériques USB
177 Rapport sur les périphériques FireWire
177 Rapport sur la mémoire
178 Rapport sur les cartes PCI
178 Rapport sur les interfaces de réseau
180 Rapport du test de réseau
181 Rapport sur les réglages d’administration
182 Rapport d’utilisation des applications
182 Rapport d’historique utilisateur
Annexe C 183 Suite AppleScript Remote Desktop
183 Classes et commandes de l’application Remote Desktop
Annexe D 189 Schéma modèle PostgreSQL
Index 191 9
Préface
À propos de ce livre
Qu’est-ce qu’Apple Remote Desktop ?
Apple Remote Desktop est un logiciel puissant, simple à utiliser et basé sur des normes
standard ouvertes, destiné à la gestion d’ordinateurs Macintosh en réseau. Il permet
aux professionnels des technologies de l’information, de contrôler et de configurer des
systèmes, d’installer des logiciels, de fournir une aide en ligne en direct aux utilisateurs
finals et de produire des rapports détaillés sur les logiciels et les matériels pour tout un
réseau Macintosh, le tout à distance.
Vous pouvez utiliser Apple Remote Desktop pour :
 Gérer des ordinateurs clients et entretenir, mettre à niveau et distribuer leurs logiciels.
 Rassembler plus de 200 attributs d’informations système pour tout Mac de votre réseau.
 Stocker les résultats dans une base de données SQL et visualiser les informations via
l’un des nombreux rapports matériels ou logiciels proposés.
 Contrôler et gérer simultanément plusieurs systèmes informatiques, facilitant ainsi
l’arrêt, le redémarrage et l’envoi de commandes UNIX.
 Fournir aux utilisateurs de l’aide et une assistance à distance lorsqu’ils en ont besoin.
 Communiquer avec les utilisateurs en leur envoyant des messages de texte, en
observant et en contrôlant leur écran et en partageant ces derniers avec d’autres
utilisateurs clients.
Vous pouvez utiliser Apple Remote Desktop pour gérer vos systèmes clients. Les administrateurs informatiques utilisent Remote Desktop pour la formation et en entreprise
afin de simplifier la gestion des ressources informatiques de leurs organisations. Pour
les administrateurs système, Apple Remote Desktop peut être utilisé pour administrer
un grand nombre de serveurs, tels qu’une unité de partage Clavier-Vidéo-Souris (KVM,
Keyboard-Video-Mouse). Dans les environnements d’administration informatique, il
constitue la solution idéale pour la gestion de systèmes distants, la diminution des
coûts administratifs et l’accroissement de la productivité.
Apple Remote Desktop peut également être utilisé par les formateurs pour faciliter
l’enseignement dans les ateliers informatiques ou les sessions de formation individuelles.
Utilisé dans une classe, Apple Remote Desktop enrichit l’expérience d’apprentissage et
permet aux professeurs de surveiller et de contrôler les ordinateurs de leurs élèves.10 PréfaceÀ propos de ce livre
Utilisation de ce guide
Le Guide de l’administrateur d’Apple Remote Desktop contient des chapitres pour vous
aider à utiliser Remote Desktop. Il contient des présentations et des explications sur
les fonctionnalités et commandes d’Apple Remote Desktop. Il explique également
comment installer et configurer Apple Remote Desktop sur les clients, comment administrer les ordinateurs clients et comment utiliser Remote Desktop pour communiquer
avec les utilisateurs des ordinateurs.
Ce guide se trouve sur le disque d’installation d’Apple Remote Desktop et sur le site
Web de support d’Apple Remote Desktop, sous forme de fichier PDF avec signets et
permettant les recherches. Vous pouvez utiliser l’application Aperçu d’Apple ou Adobe
(Acrobat) Reader pour naviguer dans le contenu de ce guide ainsi que pour rechercher
des termes spécifiques, des fonctionnalités ou des tâches.
Aide Remote Desktop
L’Aide Remote Desktop est disponible via Visualisation Aide. Pour ouvrir l’Aide Remote
Desktop, choisissez Aide > Aide Remote Desktop. Les fichiers d’aide contiennent les
mêmes informations que ce guide et s’avèrent utiles lorsque vous essayez d’accomplir
une tâche, si vous n’avez pas accès à ce guide.
En outre, l’Aide Remote Desktop contient de nouvelles informations, des corrections
et des informations de dernière minute sur Apple Remote Desktop. Les informations
les plus récentes sont disponibles dans l’Aide de Remote Desktop avant leur mise à
disposition sur le Web via un fichier PDF mis à jour.
Notations conventionnelles
Ce guide et lAaide de Remote Desktop contiennent des procédures pas à pas afin de
vous aider à utiliser efficacement les commandes de Remote Desktop. Dans de nombreuses tâches présentées dans ce manuel et dans l’Aide de Remote Desktop, vous devez
choisir des commandes de menu semblables à :
Choisissez Modifier > Supprimer.
Le premier terme après Choisissez est le nom d’un menu dans la barre des menus
Remote Desktop. Le ou les termes suivants sont les éléments que vous choisissez
dans ce menu.Préface À propos de ce livre 11
Conventions de commandes de Terminal
Les commandes ou paramètres de commande que vous saisissez, ainsi que le texte qui
apparaît normalement dans une fenêtre de Terminal sont affichés dans cette police.
Par exemple :
Vous pouvez utiliser la commande doit à cette fin.
Lorsqu’une commande apparaît seule sur une ligne, comme lorsque vous la saisissez
dans une fenêtre de Terminal, elle suit un signe «$» qui représente une invite de commande shell. Par exemple :
$ doit
Pour effectuer cette commande, saisissez «doit» sans le signe dollar à l’invite de la
commande, dans une fenêtre de Terminal, puis appuyez sur la touche retour.
Où trouver des informations supplémentaires à propos
d’Apple Remote Desktop
Pour plus d’informations sur Apple Remote Desktop, consultez les ressources suivantes.
Vous trouverez davantage d’informations dans le fichier Ouvrez-moi d’Apple Remote
Desktop et sur le site Web d’Apple Remote Desktop :
www.apple.com/fr/remotedesktop
Vous trouverez la version la plus récente du Guide de l’administrateur d’Apple Remote
Desktop aux adresses suivantes :
 Page de documentation d’Apple Server Division
www.apple.com/fr/server/documentation
 Section Remote Desktop d’Apple.com
www.apple.com/fr/remotedesktop
Notation Signification
police à espacement
constant
Une commande ou un texte de Terminal
$ Une invite de commande shell
[texte_entre_crochets] Un paramètre optionnel
(un|autre) Paramètres alternatifs (saisissez l’un ou l’autre)
souligné Un paramètre que vous devez remplacer par une valeur
[...] Un paramètre qui peut être répété
Une valeur affichée qui dépend de votre configuration ou de vos
réglages12 PréfaceÀ propos de ce livre
 Menu Aide de l’application Remote Desktop
Le site Web d’assistance Apple Remote Desktop Support fournit une base de données
d’articles techniques sur les produits, leur utilisation et leur mise en place.
www.apple.com/fr/support/remotedesktop
Pour donner votre avis sur le logiciel Apple Remote Desktop, utilisez la page prévue
à cet effet :
www.apple.com/fr/feedback/remotedesktop.html
Pour savoir comment figurer dans la liste d’envoi Apple Remote Desktop Mailing,
rendez-vous sur :
lists.apple.com/mailman/listinfo/remote-desktop/
Pour partager des informations et en obtenir au travers de discussions en ligne,
consultez le forum de discussion relatif à Apple Remote Desktop :
discussions.info.apple.com/appleremotedesktop/
Pour en savoir plus sur PostgreSQL, consultez :
www.postgresql.org
Pour plus d’informations sur l’utilisation des produits Apple pour les professionnels
de l’informatique, visitez le site :
apple.com/itpro1
13
1 Utilisation d’Apple Remote Desktop
Apple Remote Desktop vous aide a maintenir à jour et en
service les ordinateurs Macintosh et leurs logiciels. Il vous
permet également de dialoguer directement avec les utilisateurs Macintosh pour les guider ou leur fournir une assistance
de dépannage.
Ce chapitre présente les principaux aspects de l’administration d’Apple Remote Desktop,
les possibilités de dialogue avec les utilisateurs et vous indique où trouver des informations détaillées concernant celles-ci.
Administration d’ordinateurs
Apple Remote Desktop vous permet d’effectuer à distance une multitude de tâches
d’administration sur le matériel et les logiciels clients, à partir d’un ordinateur administrateur (l’ordinateur sur lequel le logiciel d’administration est installé) :
 Maintenez à jour les logiciels des utilisateurs en utilisant Apple Remote Desktop
pour déployer les logiciels et les fichiers associés sur les ordinateurs clients.
 Créez des rapports dressant l’inventaire des caractéristiques du matériel et des
logiciels d’ordinateurs clients.
 Utilisez les fonctionnalités d’administration à distance d’Apple Remote Desktop
pour effectuer les tâches d’administration pour les ordinateurs clients.14 Chapitre 1Utilisation d’Apple Remote Desktop
Vous pouvez administrer les ordinateurs clients de manière individuelle, mais la plupart
des fonctionnalités d’Apple Remote Desktop peuvent être utilisées pour gérer plusieurs
ordinateurs simultanément. Par exemple, vous pouvez installer ou mettre à jour les mêmes
applications sur tous les ordinateurs d’un département en particulier. Vous pouvez également partager votre écran pour faire la démonstration d’une tâche à un groupe d’utilisateurs, comme des étudiants dans une salle de classe.
Pour gérer plusieurs ordinateurs avec une action unique, définissez des listes d’ordinateurs
Apple Remote Desktop. Une liste d’ordinateurs représente un groupe d’ordinateurs que
vous souhaitez administrer simultanément. Les listes d’ordinateurs vous permettent de
regrouper et d’organiser les ordinateurs en vue de leur administration. Il est facile de créer
des listes d’ordinateurs ; il vous suffit d’analyser le réseau ou d’importer les identités des
ordinateurs à partir de fichiers.
Un ordinateur peut appartenir à plus d’une liste à la fois ; ceci vous procure une grande
flexibilité pour la gestion de multiples ordinateurs. Un ordinateur peut être classé selon
son type (ordinateur portable, de bureau), son emplacement (bâtiment 3, 4e étage), son
usage (marketing, ingénierie, informatique) et ainsi de suite.
Une fois les listes d’ordinateurs créées, vous pouvez mener la plupart des tâches
d’administration décrites ci-dessous pour des groupes d’ordinateurs clients.
Département de marketing Département d’ingénierieChapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 15
Déploiement du logiciel
Apple Remote Desktop vous permet de distribuer des logiciels et les fichiers associés
vers des ordinateurs clients à partir de votre ordinateur administrateur Apple Remote
Desktop ou à partir d’un ordinateur qui exécute Mac OS X Server.
Distribution de packages d’installation
Vous pouvez distribuer et installer automatiquement les paquets aux formats .pkg et
.mpkg. Apple Remote Desktop vous permet d’installer le logiciel et les mises à jour de
logiciels sur un ou plusieurs ordinateurs clients sans dialoguer avec ou interrompre les
utilisateurs, même si aucun utilisateur n’est connecté. Après l’installation, Apple Remote
Desktop supprime les fichiers d’installation. Si les ordinateurs doivent être redémarrés,
ce qui est nécessaire après une mise à jour du système d’exploitation, vous pouvez les
redémarrer par l’intermédiaire d’Apple Remote Desktop.
Nœud de cluster Xserve Département de marketing Département d’ingénierie
Déploiement
de fichiers de
configuration
Déploiement
de dossiers
d’applications
autonomes
Déploiement de
paquets d’installation
(.pkg ou .mpkg)
Images
d’installation
en réseau
Images
NetBoot
Déploiement de
scripts shell UNIX
Configuration de
la partition de
démarrage
Ordinateur
administrateur
Mac OS X Server16 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop
Par exemple, vous pouvez utiliser la Mise à jour de logiciels d’Apple pour télécharger une
mise à jour d’iCal ou d’un système d’exploitation sur un ordinateur test. Si la mise à jour
fonctionne comme prévu et ne rapporte aucun problème d’incompatibilité, copiez le
paquet d’installation sur l’ordinateur administrateur pour le distribuer aux ordinateurs
nécessitant une mise à niveau. Notez que cette méthode préserve la bande passante
Internet car il n’est nécessaire de télécharger qu’une seule copie du paquet.
Vous pouvez également utiliser Apple Remote Desktop pour déployer de nouvelles
versions de logiciels informatiques sur des ordinateurs Xserve dans un noeud de cluster.
Vous pouvez utiliser l’outil PackageMaker (inclus sur le CD d’installation d’Apple Remote
Desktop et avec les outils de développement d’Apple) afin de créer vos propres paquets
d’installation, par exemple lorsque vous souhaitez :
 distribuer des ressources pour des projets scolaires ou des modèles et des formulaires
commerciaux ;
 automatiser l’installation de plusieurs paquets d’installation ;
 déployer des applications personnalisées.
Avant d’effectuer des installations à distance, vous pouvez envoyer un message de texte
Apple Remote Desktop pour prévenir les utilisateurs, en leur indiquant éventuellement
que vous allez utiliser Apple Remote Desktop pour verrouiller leurs écrans à un moment
précis avant de commencer l’installation.
Utilisation d’images d’installation en réseau
Vous pouvez également distribuer et installer des logiciels, y compris le système
d’exploitation Mac OS X, à l’aide d’images d’Installation en réseau.
Sous Mac OS X Server, utilisez l’Utilitaire d’images de réseau pour créer une image
d’Installation en réseau. Vous pouvez créer cette image en clonant un système déjà
installé ou configuré ou en utilisant un disque d’installation ou une image téléchargée
via la Mise à jour de logiciels d’Apple. Si vous optez pour l’installation automatique,
vous n’aurez pas à dialoguer avec chaque ordinateur individuellement. Sur l’ordinateur
administrateur d’Apple Remote Desktop, configurez le disque de démarrage des systè-
mes clients distants pour indiquer l’image d’installation en réseau, puis redémarrez les
clients à distance pour commencer l’installation.
Avant de lancer des installations nécessitant le redémarrage postérieur des ordinateurs,
envoyez un message de texte Apple Remote Desktop aux utilisateurs clients pour les avertir qu’une installation est en attente. Par exemple, dites aux utilisateurs que leurs ordinateurs seront déconnectés à 17 h afin d’installer une mise à jour du système d’exploitation.Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 17
Utilisation d’images NetBoot
Les images NetBoot constituent un autre type d’images système que vous pouvez créer
avec Mac OS X Server. Comme une image d’installation en réseau, un ordinateur client
utilise des images NetBoot pour démarrer. Contrairement à une image d’installation
en réseau, le logiciel de démarrage n’est pas installé sur le système client. Il se trouve
sur un serveur distant. Il est conseillé d’utiliser une image NetBoot sur laquelle est installé et configuré Apple Remote Desktop. Sinon, l’administration de l’ordinateur avec
Apple Remote Desktop après le démarrage à partir de NetBoot est impossible.
Les ordinateurs clients qui démarrent à partir d’une image NetBoot obtiennent des
environnements système intacts à chaque démarrage. Pour cette raison, l’utilisation
d’images NetBoot est utile lorsqu’un ordinateur spécifique est partagé par plusieurs utilisateurs qui requièrent des environnements de travail différents ou intacts, ou lorsque
vous souhaitez entreprendre une nouvelle expérience ou utiliser un environnement
informatique différent dans un noeud de cluster.
Vous pouvez utiliser Apple Remote Desktop pour configurer les disques de démarrage des
systèmes clients afin qu’ils pointent vers l’image NetBoot, puis redémarrer les systèmes
à distance avec Apple Remote Desktop. Les utilisateurs peuvent aussi choisir une image
NetBoot pour le démarrage via la sous-fenêtre Démarrage des Préférences Système.
Reconfigurez tous les ordinateurs d’un laboratoire ou d’un cluster en quelques clics,
sans avoir à redémarrer chaque ordinateur manuellement et les configurer un par un.
Distribution de fichiers de préférence
Les ordinateurs gérés nécessitent souvent un jeu standard de préférences pour chaque
exemplaire d’une application. Utilisez Apple Remote Desktop pour distribuer des fichiers
de préférences lorsque vous devez remplacer ou mettre à jour les préférences d’une
application. Par exemple, vous pouvez copier un fichier de préférences normalisé vers
le dossier Bibliothèque/Préférences de l’utilisateur actuellement connecté.18 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop
Utilisation de scripts shell UNIX
Apple Remote Desktop vous permet de distribuer et d’exécuter des scripts shell UNIX
sur les ordinateurs clients.
Par exemple, un script peut monter un volume de serveur AFP, à partir duquel il télécharge
une image disque sur les ordinateurs clients. Le script peut également télécharger un
paquet d’installation, puis exécuter une installation au moyen d’une ligne de commande.
Sur un Xserve se trouvant sur un noeud de cluster, vous pouvez aussi exécuter un script
permettant de monter un disque RAID pour Xserve conçu pour un débit élevé, et qui
télécharge ensuite de grands groupes de données à traiter.
Apple Remote Desktop permet également de distribuer des fichiers AppleScript qui
automatisent les flux de travaux PDF ou des instructions de tâches pour des clusters
informatiques.
Distribution d’applications autonomes
Vous pouvez distribuer et installer des applications autonomes (par simple glisser-déposer)
en les copiant sur un ou plusieurs ordinateurs clients. Utilisez cette méthode, par exemple,
pour distribuer les mises à jour de l’application Safari.
Vérification d’installations
Pour vérifier si une installation s’est achevée correctement, utilisez les capacités de
contrôle à distance d’Apple Remote Desktop.
Vous pouvez ainsi démarrer une application à distance, ou rechercher des fichiers
spécifiques. Consultez le rapport de Recherche de fichier pour vous assurer que tous
les fichiers d’une application ont été installés correctement.Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 19
Inventaire
Apple Remote Desktop vous donne la possibilité de capturer des données relatives aux
attributs des ordinateurs clients, puis de produire des rapports basés sur ces données.
Indiquez la fréquence avec laquelle vous souhaitez capturer des données, les données
que vous désirez capturer et les ordinateurs dont vous voulez établir le profil. Le logiciel vous permet de collecter des données juste avant de produire un rapport si vous
avez besoin d’informations récemment actualisées. Vous pouvez par ailleurs programmer des collectes de données par Apple Remote Desktop à des intervalles réguliers et
leur stockage dans leur base de données SQL (Structured Query Language) intégrée
pour une utilisation ponctuelle.
Vous pouvez également spécifier où vous souhaitez stocker la base de données, autrement dit, sur l’ordinateur administrateur local ou sur un serveur sur lequel le logiciel
d’administration Apple Remote Desktop est installé et toujours en service, afin que
les données soient capturées en continu.
Nœud de cluster Xserve Département de marketing Département d’ingénierie
Ordinateur
administrateur
Mac OS X Server
Base de
données
ARD SQL
Base de
données
ARD SQL
Outils SQL20 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop
Avec les données collectées, Apple Remote Desktop génère des rapports en fonction
de vos spécifications.
Rapport de Recherche de fichier
Le rapport de Recherche de fichier vous permet de rechercher des fichiers ou dossiers particuliers dans les systèmes clients et de procéder au diagnostic des applications installées.
Ce rapport peut vous aider à déterminer combien de copies d’une application spécifique
sont actuellement utilisées afin de ne pas contrevenir aux contrats de licence.
Recherche de fichiers Spotlight
Utilisez le rapport de recherche Spotlight afin de rechercher des fichiers et dossiers spécifiques sur les systèmes clients Tiger. Les informations du rapport sont mises à jour à
mesure que les fichiers correspondant à votre recherche changent sur les systèmes clients.
Rapport de versions de logiciels
Le Rapport de versions de logiciels vous permet de vous assurer que tous les utilisateurs
possèdent les dernières versions des applications adaptées à leurs systèmes.
Rapport des différences logicielles
Le Rapport des différences logicielles vous permet de détecter les versions des applications qui ne sont pas à jour, non standard ou qui ne sont pas acceptables pour une raison quelconque. Ce rapport vous permet également de détecter si un utilisateur a installé
une application qui ne devrait pas être installée.
Rapport sur la vue d’ensemble du système
Le rapport sur la vue d’ensemble du système met en évidence un large éventail de
caractéristiques des ordinateurs clients. Il permet d’examiner les informations à propos
de la configuration AirPort d’un client, les caractéristiques de l’ordinateur et de l’écran,
les périphériques, les réglages de réseau, les préférences système, les listes d’imprimantes ainsi que les attributs principaux des logiciels.
Ce rapport peut être utilisé à de nombreuses fins, comme l’identification de problèmes,
la vérification des configurations système avant l’installation de nouveaux logiciels,
ou la détermination du nombre de périphériques spécifiques (tel que les scanneurs)
se trouvant dans un laboratoire précis.Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 21
Rapports sur le matériel
Plusieurs rapports fournissent des détails concernant la matériel utilisé par les ordinateurs
clients, comme les périphériques de stockage, les périphériques FireWire, les périphériques
USB, les interfaces réseau, la mémoire et les cartes PCI.
Utilisez ces rapports pour déterminer par exemple quels ordinateurs ont besoin
de mémoire supplémentaire, quel ordinateur possède le processeur le plus rapide
et combien d’espace libre il reste sur un disque en particulier.
Rapport sur les réglages d’administration
Le Rapport sur les réglages d’administration vous permet de déterminer quelles autorisations administrateur Apple Remote Desktop sont activées ou désactivées dans la
sous-fenêtre Partage des Préférences Système sur les ordinateurs clients individuels.
Rapport d’historique utilisateur
Utilisez le rapport Historique d’utilisateur pour savoir qui s’est connecté à un client,
comment il s’est connecté et combien de temps.
Rapport d’utilisation des applications
Utilisez le rapport Utilisation des applications afin de déterminer quelles applications
se sont exécutées sur vos ordinateurs clients et qui a exécuté ces applications.
Rapport du test de réseau
Un rapport du test de réseau vous permet de mesurer et déterminer les problèmes de
communication entre l’ordinateur administrateur et les ordinateurs clients. Le rapport
Interfaces réseau peut également vous aider à résoudre les problèmes matériels du réseau.
Ce rapport vous permet d’identifier les motifs des problèmes de communication du
réseau qui pourraient affecter Apple Remote Desktop. Par exemple, si vous ne parvenez
pas à copier des éléments des ordinateurs clients à partir de l’ordinateur administrateur,
cela peut être dû à une mauvaise connexion avec les ordinateurs. Ces informations peuvent vous permettre d’identifier le câble ou le concentrateur problématique.
Production de vos propres rapports
Étant donné que la base de données Apple Remote Desktop est au format standard SQL,
vous pouvez aussi utiliser vos scripts SQL favoris pour interroger, classer et analyser les
données collectées. De plus, vous pouvez exporter les données de la base de données
vers un fichier afin d’importer celui-ci pour le visualiser dans un autre programme, tel
qu’un tableur.22 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop
Gestion interne
Apple Remote Desktop offre plusieurs moyens de contrôler à distance les ordinateurs
clients pour les activités d’administration, via une ou plusieurs fenêtres Apple Remote
Desktop.
Gestion de l’état d’alimentation
Utilisez Apple Remote Desktop pour contrôler l’état d’alimentation des ordinateurs clients.
Ainsi, il est probable qu’il faille éteindre tous les ordinateurs lors de l’entretien du générateur électrique ou pendant la fermeture durant les vacances. Vous pouvez envoyer un
message de texte Apple Remote Desktop aux utilisateurs pour leur rappeler d’éteindre leur
ordinateur à un moment bien précis. Tout ordinateur encore allumé lorsque vous devez
commencer l’entretien peut être détecté et éteint à distance via Apple Remote Desktop.
Nœud de cluster Xserve Département de marketing Département d’ingénierie
Ordinateur
administrateur
Exécution de scripts
shell UNIX
Redémarrage/
mise hors tension/
suspension d’activité
Contrôle de l’écran
à distance
Vidage de
la Corbeille
Configuration
de la partition
de démarrage
Envoi d’un message
de notification
Mac OS X Server
Images
NetBoot Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 23
Verrouillage des écrans d’ordinateur
Vous pouvez verrouiller les écrans des ordinateurs pour des durées déterminées lorsque
vous ne voulez pas que les ordinateurs soient utilisés. Cela peut être nécessaire dans le
cas où vous souhaitez effectuer l’entretien du réseau et que vous voulez vous assurer
que les ordinateurs n’utiliseront pas le réseau durant plusieurs heures.
Vous pouvez afficher des images personnalisées ou des messages de texte sur les écrans
d’ordinateurs verrouillés afin d’informer les utilisateurs lorsque les ordinateurs sont de
nouveau disponibles.
Récupération d’espace disque
Videz régulièrement la Corbeille des ordinateurs clients pour conserver de l’espace disque.
Automatisation de l’entretien périodique
Les scripts shell AppleScript et UNIX permettent d’automatiser l’entretien périodique,
comme la vérification des autorisations ou la suppression de fichiers d’historique.
Contrôle d’écrans
Utilisez le contrôle d’écran à distance d’Apple Remote Desktop pour réaliser des
opérations sur le bureau d’ordinateurs Xserve, ou utiliser des applications graphiques.
Apple Remote Desktop se substitue aux commandes de clavier, vidéo et souris pour
accéder aux ordinateurs Xserve sans moniteur.
Vous pouvez également contrôler à distance l’ordinateur d’un utilisateur afin de déterminer les raisons des mauvaises performances ou d’autres problèmes.
Changement de disques de démarrage
Changez le disque de démarrage d’un ordinateur client afin d’effectuer des diagnostics
ou des dépannages.
Ainsi, démarrez un ordinateur avec une image NetBoot basée sur un serveur et configurée pour le dépannage. Une fois cette opération terminée, réinitialisez le disque de
démarrage sur le volume de démarrage d’origine.
Gestion d’ordinateurs partagés
Sur les ordinateurs partagés par plusieurs utilisateurs, recherchez les fichiers devant être
supprimés, fermez des applications, déconnectez des utilisateurs ou effectuez d’autres
opérations nécessaires à la préparation des ordinateurs pour les utilisateurs suivants.
Prise en charge d’utilisateurs
Apple Remote Desktop vous permet d’interagir avec les utilisateurs à partir de votre
ordinateur administrateur de différentes façons :
 Assistance :venez en aide aux utilisateurs qui en ont besoin en utilisant Apple Remote
Desktop pour recevoir leurs demandes et pour effectuer des diagnostics et dépannages
à distance.24 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop
 Dialogue :établissez un dialogue interactif avec les élèves d’une école ou d’un environnement de formation en entreprise afin de procéder à des tâches allant du contrôle ou
de l’observation des écrans des élèves jusqu’au partage de votre écran avec tous vos
élèves pour effectuer une démonstration.
Prestation d’un service d’assistance
Lorsqu’un utilisateur se trouve en difficulté, Apple Remote Desktop vous propose plusieurs façons de dialoguer avec l’utilisateur et son ordinateur afin de diagnostiquer et
résoudre son problème.
Demande d’aide
Un utilisateur peut vous avertir discrètement d’un problème en vous envoyant
une demande d’assistance via un message de texte Apple Remote Desktop.
Les utilisateurs effectuent leurs demandes en utilisant les commandes du menu qui
apparaît lorsqu’ils cliquent sur l’icône Apple Remote Desktop de la barre des menus.
Une notification sur l’ordinateur administrateur vous alerte lorsqu’un tel message est
reçu, et vous pouvez obtenir des informations supplémentaires et résoudre le problème
de plusieurs manières différentes.
Département de marketing Département d’ingénierie
Copie
d’éléments
Ordinateur
administrateur
Contrôle, observation et
partage d’écrans
Participation à
des discussionsChapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 25
Conversation avec l’utilisateur
Menez des communications texte Apple Remote Desktop bidirectionnelles avec
l’utilisateur afin d’obtenir davantage d’informations.
Surveillance d’écran
Apple Remote Desktop vous permet d’observer l’écran de l’utilisateur si vous avez besoin
de plus de détails pour comprendre le problème.
Contrôle d’écran
Apple Remote Desktop vous permet de contrôler l’écran de l’utilisateur afin de diagnostiquer le problème de l’utilisateur et de le résoudre. Vous bénéficiez d’un contrôle illimité ;
un utilisateur peut aussi vous octroyer un accès invité temporaire afin de contrôler son
ordinateur lors du dépannage seulement.
Il existe deux niveaux de contrôle. Vous pouvez contrôler totalement l’ordinateur de
l’utilisateur, ou bien partager le contrôle du clavier et de la souris avec l’utilisateur.
Partage d’écran
Si le problème est dû à une manipulation erronée de l’utilisateur, partagez votre écran
avec l’utilisateur afin de lui montrer comment effectuer correctement la manipulation.
Utilisation de rapports
Les rapports sur le matériel et les logiciels sont des outils de diagnostic permettant de
déterminer si la configuration de l’ordinateur client fait partie du problème. Par exemple, si un utilisateur ne parvient pas à enregistrer son travail, le rapport sur le stockage
peut vous aider à savoir s’il s’agit d’une question d’espace disque.
Déploiement de nouveaux logiciels ou fichiers
Si les logiciels ou les réglages de configuration font partie du problème, utilisez Apple
Remote Desktop pour copier les nouveaux fichiers de configuration, installer des paquets
ou copier d’autres éléments sur des ordinateurs clients.26 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop
Communication avec les élèves
Apple Remote Desktop permet aux professeurs d’enseigner de manière plus efficace
car ils peuvent ainsi communiquer individuellement ou en groupe avec les ordinateurs
des élèves.
Utilisation des messages de texte
Envoyez des messages texte Apple Remote Desktop afin de communiquer avec les
élèves. Par exemple, prévenez-les qu’une activité de classe va bientôt commencer,
ou qu’il leur reste dix minutes pour terminer l’examen.
Surveillances des ordinateurs des élèves
Vous pouvez visualiser les écrans des élèves sur votre ordinateur afin de surveiller leurs
activités ou d’évaluer leurs capacités à effectuer une tâche spécifique. ARD vous offre
aussi la possibilité de surveiller les applications en cours sur les ordinateurs de tous les
élèves.
Partage d’écrans
Affichez votre écran ou l’écran d’un élève sur les ordinateurs des autres élèves pour
leur formation et pour réaliser des démonstrations
Salle de classe
Ordinateur
administrateur
Observation et
partage d’un ou de
plusieurs écrans
Service
d’assistance
individuelle
Diffusion de
messages de texte
Verrouillage
d’écrans
Distribution
de documents
électroniques
Ouverture
d’applications
ou de fichiers
Contrôle
de l’écran
Fermeture des
sessions des
étudiantsChapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 27
Contrôle d’écrans
Montrez aux élèves comment effectuer certaines tâches en contrôlant leur écran
à partir de votre ordinateur, en ouvrant des applications et en utilisant des fichiers
de manière appropriée.
Verrouillage d’écrans
Verrouillez les écrans des étudiants pour les empêcher d’utiliser leur ordinateur lorsque
vous souhaitez qu’ils se concentrent sur d’autres activités.
Suspension de l’utilisation des ordinateurs
Fermez la session des élèves ou éteignez leurs ordinateurs à distance à la fin du cours
ou de la journée.
Distribution et collecte de fichiers
Distribuez des documents électroniques, pour ne pas interrompre la classe ou lorsqu’ils
sont nécessaires pour l’activité suivante, et collectez les fichiers de devoirs.
Automatisation de l’accès aux sites Web
Ouvrez une page Web sur tous les ordinateurs des élèves. Faites glisser une URL de
Safari sur votre bureau, puis copiez-la sur les ordinateurs des étudiants et ouvrez-la
dans Safari. Vous pouvez également copier des fichiers et les ouvrir dans l’application
appropriée sur les ordinateurs des étudiants.
Apport d’une assistance individuelle
Aidez un élève lorsqu’il en a besoin, en communiquant via vos deux ordinateurs
de manière personnelle et discrète.
Obtention d’informations supplémentaires
Vous trouverez des informations détaillées pour effectuer les tâches mises en surbrillance
dans ce chapitre, et d’autres encore, tout au long de ce manuel.
Pour en savoir plus à propos de Consultez les informations
concernant
À partir de la...
Interface Remote Desktop Fonctions des fenêtres et icônes page 29
Listes d’ordinateurs Création de listes d’ordinateurs page 51
Administration Apple Remote
Desktop
Autorisations administrateur
Ordinateurs administrateur
page 62
Contrôle d’écrans Contrôle page 82
Observation d’écrans Observation page 90
Déploiement de logiciels Installation de logiciels
Mise à jour de logiciels
page 105
Distribution de fichiers Copie de fichiers page 11128 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop
Pour obtenir des informations supplémentaires, vous pouvez consulter plusieurs sites
Web d’Apple :
 Pour plus d’informations sur NetBoot et l’installation réseau, téléchargez le guide
d’administration des images système à l’adresse suivante :
www.apple.com/fr/server/documentation
 Vous trouverez la documentation de PackageMaker sur le site Developer Connection
d’Apple :
http://developer.apple.com/documentation/DeveloperTools/Conceptual/
SoftwareDistribution/index.html?
Inventaire Options de collecte de données
Vérification de logiciels
Vérification de matériel
Capacité de réaction du réseau
Personnalisation de rapports
Export de données de rapport
page 116
Rapports d’utilisation des clients Comptabilisation des
connexions utilisateur
Utilisation des applications
page 120
Tâches de gestion interne Suppression d’éléments
Vider la corbeille
Configuration de volumes
de démarrage
Renommer des ordinateurs
Suspension d’activité
et réactivation
Verrouillage d’écrans
Fermeture de sessions
d’utilisateurs
Redémarrage et extinction
page 134
Tâches d’automatisation Configuration de collecte
de données
Programmation de tâches
Utilisation de scripts shell UNIX
page 159
Pour en savoir plus à propos de Consultez les informations
concernant
À partir de la...2
29
2 Découverte de Remote Desktop
Remote Desktop est l’application d’administration d’Apple
Remote Desktop. Son interface intuitive est puissante,
mais simple à utiliser. L’interface de Remote Desktop est
personnalisable, ce qui vous permet d’obtenir rapidement
les informations souhaitées, comme vous le souhaitez.
Ce chapitre contient des captures d’écran et de courtes descriptions de l’interface
de Remote Desktop, ainsi que des instructions détaillées pour la personnalisation
de l’aspect et des préférences de l’application. Il vous permettra d’en savoir plus sur
les opérations suivantes :
 “Guide de l’interface humaine de Remote Desktop” à la page 29.
 “Configuration de Remote Desktop” à la page 37.
 “Interface Astuces et raccourcis” à la page 39.
Guide de l’interface humaine de Remote Desktop
Les sections suivantes contiennent des informations de base sur l’interface humaine
de Remote Desktop, l’application d’administration d’Apple Remote Desktop.
 “Fenêtre principale de Remote Desktop” à la page 30.
 “Zones de dialogue des tâches” à la page 32.
 “Fenêtre de contrôle et d’observation” à la page 33.
 “Fenêtre Observer sur plusieurs clients” à la page 34.
 “Rapport Fenêtre” à la page 35.
 “Modification Présentation des rapports” à la page 36.30 Chapitre 2 Découverte de Remote Desktop
Fenêtre principale de Remote Desktop
La fenêtre principale de Remote Desktop comporte une barre d’outils personnalisable,
des groupes de listes, tâches et scanneurs à gauche, ainsi que la zone principale de la
fenêtre à droite. “Liste des icônes de menu” à la page 170 contient les icônes du menu
de liste de la fenêtre principale.
A Liste Tous les ordinateurs : la liste Tous les ordinateurs est la liste de tous les ordinateurs clients
que vous prévoyez d’administrer. Elle inclut tous les clients sur lesquels vous vous êtes authentifié ou prévoyez de le faire. Les ordinateurs ne doivent pas nécessairement se trouver dans la liste
Tous les ordinateurs pour que vous puissiez les contrôler ou les administrer. Si vous possédez
une licence pour 10 clients, la liste Tous les ordinateurs ne peut contenir que 10 ordinateurs.
B Listes des ordinateurs Apple Remote Desktop :liste d’ordinateurs que vous créez pour regrouper les ordinateurs de façon pratique. Toute liste est un sous-ensemble des ordinateurs clients
de la liste Tous les ordinateurs. Si vous ajoutez un ordinateur directement à une liste d’ordinateurs, il est également ajouté automatiquement à la liste Tous les ordinateurs.
C Listes d’ordinateurs intelligentes : une liste d’ordinateurs intelligente est une liste d’ordinateurs
qui constitue un sous-ensemble des ordinateurs clients de la liste Tous les ordinateurs, satisfaisant
à des critères prédéfinis. Les listes d’ordinateurs intelligentes sont mises à jour automatiquement
en fonction de vos critères par rapport au contenu de la liste Tous les ordinateurs.
D Dossiers de groupe : les groupes sont des outils qui vous permettent d’organiser l’ensemble
de vos listes, tâches et scanneurs. Les groupes sont semblables à des dossiers et peuvent être
réduits afin de masquer leur contenu.
A
B
C
D
E
F
G
I
H
K L
JChapitre 2 Découverte de Remote Desktop 31
E Tâches enregistrées : les tâches enregistrées sont répertoriées dans la partie gauche de la
fenêtre principale. Elles présentent l’icône du type de tâche et un nom pouvant être modifié
par l’utilisateur.
F Scanneur : les scanneurs permettent de trouver les clients à ajouter à la liste Tous les
ordinateurs. Vous pouvez créer de nouveaux scanneurs et les personnaliser selon vos
besoins ; reportez-vous à la section “Création d’un nouveau scanneur” à la page 55.
G Liste de serveur des tâches : cette liste répertorie les tâches déléguées au serveur de tâches,
plutôt que celles exécutées directement à partir de l’application. Lorsque tous les ordinateurs
cible sont en ligne et ont participé à la tâche, cette dernière est indiquée comme terminée.
H Liste des tâches actives : cette liste répertorie toutes les tâches en cours d’exécution ou planifiées et non terminées.
I Liste d’historique des tâches : la liste d’historique des tâches répertorie les tâches exécutées les
plus récemment, telles que définies dans les préférences Remote Desktop. Vous pouvez étudier
chaque tâche en double-cliquant dessus. Une fois une tâche terminée (avec succès ou non), elle
est déplacée vers la liste Historique des tâches.
J Icône d’état des tâches : ces icônes représentent l’état actuel d’une tâche. Voir “Icônes d’état
des tâches” à la page 170.
K Icône d’état du client : icône qui représente l’état actuel d’un ordinateur client.
Voir “Icônes d’état des clients” à la page 169.
L Barre d’outils personnalisable : la barre d’outils peut être entièrement personnalisée
avec les icônes des fonctionnalités les plus utilisées d’Apple Remote Desktop.32 Chapitre 2 Découverte de Remote Desktop
Zones de dialogue des tâches
Lorsque vous cliquez sur une tâche, une zone de dialogue s’ouvre pour vous permettre
de définir des paramètres ou de confirmer la tâche.
A En-tête de type de tâche : cette zone d’en-tête affiche le type de tâche représenté.
B Nom de la tâche enregistrée : lorsque vous enregistrez une tâche, vous la nommez pour votre
propre utilisation.
C Zone de configuration des tâches : cette zone est différente pour chaque tâche. Elle vous
permet de définir les paramètres d’exploitation pour la tâche à exécuter.
D Ordinateurs qui participent : cette zone affiche les ordinateurs qui seront affectés par la tâche.
Vous pouvez ajouter ou supprimer des ordinateurs dans cette zone sans modifier l’appartenance
aux listes d’ordinateurs.
E Bouton de programmation de la tâche :cliquez sur ce bouton pour fixer une heure d’exécution
et de répétition de la tâche. Pour plus d’informations, consultez la section “Tâches programmées”
à la page 163.
F Bouton d’enregistrement de la tâche : lorsque vous cliquez sur ce bouton dans une zone de dialogue de tâche, vous pouvez nommer et enregistrer la tâche telle qu’elle est configurée. Les tâches
enregistrées apparaissent dans la partie gauche de la fenêtre principale de Remote Desktop.
G Modèles de tâches : cette commande vous permet d’enregistrer les réglages actuels de configuration des tâches ou d’appliquer à la tâche actuelle les réglages précédemment enregistrés. Ces
modèles sont stockés tâche par tâche. Par exemple, la fenêtre de modèle “Envoyer la commande
UNIX” comporte une liste importante de modèles intégrés, contrairement aux autres tâches.
A B G
C
D
E
FChapitre 2 Découverte de Remote Desktop 33
Fenêtre de contrôle et d’observation
Cette fenêtre est la même pour le contrôle et l’observation d’un même client. La seule
différence réside dans l’état du bouton Observer ou Contrôler. Lorsqu’il est sélectionné,
vous pouvez contrôler le client distant.
A Bouton Observer ou contrôler : lorsque ce bouton est sélectionné, vous pouvez contrôler
le client distant.
B Commande de partage de souris : lorsque ce bouton est sélectionné, vous pouvez partager
la souris avec l’utilisateur.
C Adapter l’écran à la fenêtre : lorsque ce bouton est sélectionné, le client distant est dimensionné
à la taille de la fenêtre Contrôle.
D Verrouiller l’écran de l’ordinateur pour le contrôle : lorsque ce bouton est sélectionné, l’écran
du client distant affiche un verrou et vous pouvez voir normalement le bureau du client.
E Capturer l’écran dans un fichier : lorsque vous cliquez sur ce bouton, l’écran du client distant
est enregistré dans un fichier local avec la qualité d’image sélectionnée.
F Mettre en mode plein écran : lorsque ce bouton est sélectionné, votre écran n’affiche pas
le bureau de votre ordinateur, mais uniquement celui de l’ordinateur distant, à la résolution
maximale possible.
G Récupérer le presse-papiers du client : lorsque vous cliquez sur ce bouton, le contenu du
presse-papiers du client distant est transféré vers le presse-papiers local.
A B C D E F G H
J
I34 Chapitre 2 Découverte de Remote Desktop
Fenêtre Observer sur plusieurs clients
Lorsque vous observez de nombreux clients simultanément, ils apparaissent tous dans
la même fenêtre. Si vous avez plus d’ordinateurs que la fenêtre ne peut en recevoir,
ils sont répartis sur plusieurs pages.
H Envoyer le presse-papiers au client : lorsque vous cliquez sur ce bouton, le presse-papiers
du client distant reçoit le contenu du presse-papiers local.
I Qualité de l’image : règle le nombre de couleurs de l’écran (du noir et blanc aux millions de
couleurs).
J Bureau de l’ordinateur contrôlé : redimensionnez cette fenêtre à partir du coin inférieur droit.
A Délai de page : règle le nombre de secondes écoulées avant de passer automatiquement
à la page d’écrans suivante.
B Ordinateurs par page : règle le nombre d’écrans clients visibles par page.
C Qualité de l’image : règle le nombre de couleurs de l’écran (du noir et blanc aux millions de
couleurs).
D Afficher les informations sur l’ordinateur : affiche la zone d’informations sur l’ordinateur,
qui contient les titres de bureau, les images de compte et les icônes d’état.
E Sélecteur de titre d’ordinateur : modifie les titres affichés sous les écrans des clients
(vous pouvez choisir le nom d’ordinateur, l’adresse IP ou le nom d’hôte).
F Image de compte : affiche l’icône d’ouverture de session de l’utilisateur actuellement connecté.
H A B C I
G
E
I
D
FChapitre 2 Découverte de Remote Desktop 35
Rapport Fenêtre
Les rapports servent de raccourcis utiles pour la copie de fichiers et l’organisation
des listes d’ordinateurs.
G État de l’ordinateur : affiche les données élémentaires concernant l’état de l’ordinateur sous
chaque écran de client.
H Parcourir les pages : avance manuellement jusqu’à la page d’écrans suivante.
I Options de présentation : affiche les commandes des options d’affichage.
J Ordinateurs observés : contient les bureaux redimensionnés des ordinateurs clients observés.
A Catégorie de rapport : la plupart des rapports présentent des sous-catégories afin de vous
aider à trouver les informations souhaitées. Dans la fenêtre des rapports, vous basculez entre
les sous-catégories à l’aide de ces onglets.
B Enregistrer rapport dans le fichier : enregistre le rapport dans un fichier texte brut.
C B A
C B D F E36 Chapitre 2 Découverte de Remote Desktop
Modification Présentation des rapports
Vous pouvez personnaliser les présentations de rapport en fonction de vos besoins
spécifiques. Les rapports incluent par défaut une colonne pour chaque type d’information que vous avez sélectionné avant d’exécuter le rapport, dans l’ordre défini dans
la zone de dialogue du rapport. Les colonnes des rapports sont triées initialement en
fonction du nom d’ordinateur.
Vous pouvez redimensionner ou réarranger les colonnes d’un rapport ou bien trier
les rangées par colonne.
Le rapport de recherche de fichiers vous permet en outre de choisir les informations
affichées relatives aux éléments trouvés. Le rapport indique par défaut le nom, le type,
le chemin d’accès parent, la taille réelle et la date de modification des éléments.
Pour modifier les informations à afficher :
1 Dans la fenêtre du rapport de recherche de fichiers, sélectionnez ou désélectionnez
chaque colonne du rapport en fonction de vos besoins.
C Imprimer : formate et imprime la fenêtre de rapport.
D Ouvrir la sélection : ouvre l’élément sélectionné dans le rapport. L’élément s’ouvre sur
l’ordinateur client.
E Supprimer la sélection : supprime de l’ordinateur distant l’élément sélectionné dans le rapport.
F Copier sur cet ordinateur : copie les éléments sélectionnés vers l’ordinateur de l’administrateur.
Colonne de rapport Si cochée, affiche
Nom Le nom de l’élément
Chemin d’accès parent Le chemin d’accès au dossier contenant les éléments
Chemin d’accès complet Le chemin complet d’accès au fichier
Extension L’extension de fichier indiquant le type de fichier (.app, .zip, .jpg)
Date de modification La date et l’heure à laquelle le fichier a été modifié et enregistré pour la dernière fois
Date de création La date et l’heure de création du fichier
Taille réelle Taille réelle des fichiers, en kilo-octets ou en mégaoctets
Taille sur le disque Quantité d’espace disque occupé par le fichier, exprimée
en kilo-octets
Type Fichier, dossier ou application
Invisible Une coche indiquant si l’élément est visible dans le Finder
Numéro de version Dans le cas d’une application, le numéro de version signalé
Description de la version Dans le cas d’une application, le numéro de version signalé
Possesseur Nom abrégé du possesseur de l’élément
Groupe Nom du groupe de l’élémentChapitre 2 Découverte de Remote Desktop 37
2 Après avoir effectué vos sélections, cliquez comme d’habitude sur Produire un rapport.
Une fois la fenêtre du rapport affichée, vous pouvez réarranger les colonnes ou trier
le rapport en fonction d’une autre colonne.
Configuration de Remote Desktop
Vous pouvez configurer l’application d’administration Remote Desktop en fonction de
vos besoins. Remote Desktop comporte une interface à la fois souple et fonctionnelle.
Personnalisation de la barre d’outils Remote Desktop
L’application Remote Desktop comporte une barre d’outils totalement personnalisable
permettant de réaliser rapidement des tâches. Pour effectuer une tâche, il suffit de cliquer sur l’icône correspondante dans la barre d’outils. Pour afficher ou masquer la barre
d’outils, cliquez sur le bouton de la barre dans l’angle supérieur droit de la fenêtre de
l’application. Vous pouvez ajouter, supprimer ou réorganiser les icônes de tâches dans
la barre d’outils, en fonction de vos besoins.
Pour personnaliser la barre d’outils de l’application :
1 Choisissez Fenêtre > Personnaliser la barre d’outils.
2 Glissez les éléments préférés de la barre d’outils ou l’ensemble par défaut vers la barre
d’outils. Pour supprimer un élément, faites-le glisser hors de la barre d’outils. Pour réorganiser des éléments, glissez-les à la position souhaitée.
3 Choisissez si les éléments doivent s’afficher sous forme de texte, d’icônes ou les deux.
Sélectionnez Utiliser petites icônes pour réduire la taille des éléments dans la barre
d’outils.
Définition des préférences de l’application d’administration
Remote Desktop
Dans les préférences de Remote Desktop , vous pouvez sélectionner des options qui
affectent la façon dont l’application d’administration interagit avec les ordinateurs clients.
Pour ouvrir la fenêtre Préférences :
 Choisissez Remote Desktop > Préférences.
Autorisations Les autorisations UNIX de l’élément (par exemple, -rw-r--r--)
Verrouillé Une coche indiquant s’il s’agit d’un élément verrouillé
Colonne de rapport Si cochée, affiche38 Chapitre 2 Découverte de Remote Desktop
Dans la sous-fenêtre Général, vous pouvez définir :
 l’action qui se produit en double-cliquant sur un ordinateur client (Lire les informations,
Contrôler, Observer, Discuter) ;
 si le temps d’inactivité du client doit s’afficher ;
 les avertissements devant s’afficher lorsque vous quittez l’application ;
 un nouveau numéro de série ;
 un nouveau mot de passe pour l’application Remote Desktop.
Dans la sous-fenêtre Contrôler/Observer, vous pouvez définir :
 si un écran distant s’affiche dans une fenêtre ou en plein écran ;
 si le contrôle de la souris et du clavier est partagé avec l’ordinateur client lorsque
celui-ci est contrôlé ;
 si un écran distant est affiché à sa taille réelle dans une fenêtre ou s’il est réduit pour
s’adapter à celle-ci.
Dans la sous-fenêtre Serveur de tâches, vous pouvez définir :
 si Remote Desktop utilise un autre ordinateur en tant que serveur de tâches,
ou si cette copie de Remote Desktop est utilisée comme serveur de tâches ;
 si d’autres administrateurs Apple Remote Desktop peuvent accéder à votre serveur
de tâches local ;
 si les clients collectent des données de suivi des utilisateurs et des applications ;
 un modèle enregistré pour la planification des stratégies de création de rapports client.
Dans la sous-fenêtre Étiquettes, vous pouvez définir :
 les couleurs et le texte des étiquettes pour les ordinateurs.
Dans la sous-fenêtre Tâches, vous pouvez définir :
 s’il faut afficher automatiquement la tâche active ;
 si un script de notification doit être exécuté à la fin d’une tâche ;
 limites du contenu de la liste d’historique des tâches et durée avant suppression.
Dans la sous-fenêtre Sécurité, vous pouvez définir :
 si les messages d’utilisateurs clients doivent être acceptés ;
 s’il faut autoriser le contrôle de l’ordinateur lorsque Remote Desktop est actif ;
 la préférence de cryptage par défaut pour les sessions de contrôle et d’observation ;
 la préférence de cryptage par défaut pour les tâches de copie d’éléments
et d’installation de paquets ;
 les fonctions Remote Desktop disponibles pour les utilisateurs non administrateurs.
Voir “Accès non-administrateur à Apple Remote Desktop” à la page 69.Chapitre 2 Découverte de Remote Desktop 39
Interface Astuces et raccourcis
L’interface Remote Desktop offre un certain nombre de fonctions qui la rendent particulièrement souple et puissante. Voici quelques raccourcis intégrés vers des fonctions
qui facilitent l’utilisation de Remote Desktop.
Les ordinateurs peuvent être sélectionnés à partir de n’importe quelle fenêtre
N’importe quel ordinateur de n’importe quelle fenêtre (fenêtres de rapport, fenêtres
de tâche, listes d’ordinateurs, fenêtres d’observation) peut être la cible d’une tâche.
Par exemple, si vous observez 10 écrans d’ordinateur et que vous devez envoyer un
message à l’un d’entre eux, sélectionnez l’écran par un simple clic, puis choisissez
Interagir > Envoi d’un message de texte. De la même façon, si vous recevez un rapport
logiciel sur 50 ordinateurs et que vous remarquez que sur l’un des ordinateurs il manque
un logiciel essentiel, vous pouvez envoyer ce logiciel à l’ordinateur sélectionné dans la
fenêtre de rapport.
Le fait de considérer toutes les fenêtres comme des listes potentielles de sélection d’ordinateurs pour les tâches peut vous permettre de gagner beaucoup de temps dans le basculement entre la fenêtre Remote Desktop et les autres fenêtres pendant votre travail.
Le glisser-déposer fonctionne dans les zones de dialogue de configuration
Les zones de dialogue de configuration acceptent les éléments glissés. Les listes d’ordinateurs des zones de dialogue acceptent les ordinateurs glissés. La zone de dialogue
Copier des éléments accepte les fichiers glissés pour la copie, ce qui vous évite d’avoir
à parcourir le système de fichiers. Gagnez du temps en faisant glisser les éléments disponibles vers les zones de dialogue plutôt que de les rechercher.
Création de listes à partir de rapports ou d’autres listes
Vous pouvez être amené à créer une liste basée sur le résultat d’un rapport, sans toutefois savoir quels ordinateurs devront être inclus. Après avoir obtenu un rapport et l’avoir
trié selon la colonne souhaitée, vous pouvez sélectionner les ordinateurs et créer une
nouvelle liste à partir de la sélection. Si vous double-cliquez sur l’icône de liste, vous
ouvrez une autre fenêtre contenant les ordinateurs de la liste. Cela s’avère utile pour
comparer les listes ou pour utiliser la nouvelle fenêtre comme source à partir de laquelle
faire glisser des ordinateurs vers d’autres listes.
Les tâches enregistrées et les modèles de tâches vous permettent de gagner du temps
Vous pouvez passer beaucoup de temps à créer une recherche précise pour trouver ce
dont vous avez besoin. Il convient de ne pas avoir à recréer cette recherche chaque fois
que vous en avez besoin. Enregistrez vos tâches et dupliquez-les. Avec quelques modifications, vous pouvez créer plusieurs tâches similaires pour des utilisations spécifiques.
Vous pouvez également utiliser des modèles de tâches afin d’enregistrer les réglages
d’une zone de dialogue à l’autre, en appliquant les mêmes réglages à plusieurs tâches.3
40
3 Installation d’Apple
Remote Desktop
Pour utiliser Apple Remote Desktop, commencez par installer
le logiciel d’administration sur l’ordinateur administrateur,
puis installez et activez le logiciel client sur les ordinateurs
à gérer. Vous aurez besoin du CD d’installation, du numéro
de série, ainsi que des instructions de bienvenue imprimées
ou des présentes instructions.
Ce chapitre décrit comment installer Apple Remote Desktop pour l’administration
système et l’interaction utilisateur, avec des instructions de configuration complètes.
Il vous permettra d’en savoir plus sur les opérations suivantes :
 “Configuration système requise pour Apple Remote Desktop” à la page 40.
 “Installation du logiciel d’administration Remote Desktop” à la page 41.
 “Première configuration d’un ordinateur client Apple Remote Desktop” à la page 42.
 “Mise à niveau du logiciel d’administration Remote Desktop” à la page 42.
 “Mise à niveau du logiciel client” à la page 43.
 “Création d’un programme d’installation client personnalisé” à la page 46.
 “Remarques pour les clients gérés” à la page 48.
 “Suppression ou désactivation d’Apple Remote Desktop” à la page 48.
Configuration système requise pour Apple Remote Desktop
Ordinateurs clients et administrateurs :
 Mac OS X ou Mac OS X Server version 10.3.9 ou ultérieure (Mac OS X version 10.4
ou ultérieure est requise pour certaines fonctionnalités).
 Disque dur au format Mac OS étendu (HFS+).
 Pour observer et contrôler d’autres plates-formes : un système exécutant un logiciel
serveur compatible VNC.
NetBoot et installation réseau (facultatif)
 Mac OS X Server version 10.3 ou 10.4 avec les services NetBoot et installation réseau
activés.Chapitre 3 Installation d’Apple Remote Desktop 41
Configuration réseau requise
 Ethernet (conseillé), AirPort, FireWire ou autre connexion réseau.
Pour plus d’informations, consultez la section “Configuration du réseau” à la page 75.
Installation du logiciel d’administration Remote Desktop
Pour installer Apple Remote Desktop sur des ordinateurs administrateurs, vous devez
installer le logiciel sur l’ordinateur devant servir à administrer les ordinateurs distants.
Ensuite, ouvrez l’assistant d’installation de l’application et ajoutez l’ordinateur à la liste.
Pour installer Apple Remote Desktop sur un ordinateur administrateur :
1 Insérez le CD d’installation d’Apple Remote Desktop.
2 Double-cliquez sur le paquet d’installation de Remote Desktop et suivez les instructions
à l’écran.
L’application Remote Desktop est installée dans le dossier Applications.
3 Lancez Remote Desktop (depuis le dossier Applications).
L’Assistant réglages Remote Desktop s’ouvre.
4 Entrez le numéro de série.
Ce numéro se trouve dans le document de Bienvenue d’Apple Remote Desktop fourni
avec le logiciel.
Vous pouvez également saisir un nom et une organisation pour l’inscription.
5 Cliquez sur Continuer.
6 Entrez un mot de passe Remote Desktop et confirmez-le.
Le mot de passe de l’application Remote Desktop est utilisé pour crypter les noms
et mots de passe des ordinateurs clients pour Apple Remote Desktop. Par commodité,
vous pouvez stocker ce mot de passe dans votre trousseau ou bien faire en sorte qu’il
soit demandé à chaque ouverture de Remote Desktop.
7 Si vous possédez une autre copie avec licence limitée d’Apple Remote Desktop jouant
le rôle de serveur de tâches (ordinateur dédié qui exécute Remote Desktop pour la collecte des données de rapport et les tâches d’installation déléguées), tapez l’adresse du
serveur et cliquez sur Continuer.
8 Définissez la portée et l’heure par défaut de la collecte des données pour les nouveaux
ordinateurs administrés.
Ces réglages seront stockés comme programme de téléchargement par défaut applicable aux ordinateurs lorsque vous les ajoutez pour l’administration. Pour plus d’informations, consultez la section “Configuration de la stratégie de création de rapports de
données du client” à la page 160.
9 Cliquez sur Terminé.
La fenêtre principale de l’application s’ouvre.42 Chapitre 3 Installation d’Apple Remote Desktop
10 Configurez certains ordinateurs clients pour l’administration, trouvez-les dans un scanneur, puis ajoutez-les à une liste d’ordinateurs. Voir :
 “Première configuration d’un ordinateur client Apple Remote Desktop” à la page 42.
 “Recherche et ajout de clients aux listes d’ordinateurs Apple Remote Desktop” à la
page 51.
Première configuration d’un ordinateur client Apple
Remote Desktop
La section suivante contient des informations sur la configuration d’Apple Remote
Desktop 3 sur des ordinateurs clients. Dans la mesure où Apple Remote Desktop 1.2
était inclus avec les ordinateurs Mac OS X 10.3 et où Apple Remote Desktop v2.2 était
installé avec les ordinateurs Mac OS X 10.4, toutes les installations de clients Apple
Remote Desktop 3 sont des mises à niveau, même si vous configurez les clients pour
la première fois.
Pour plus d’informations, consultez la section “Mise à niveau du logiciel client” à la page 43.
Si le logiciel client Apple Remote Desktop a été retiré de l’ordinateur, vous pouvez installer une nouvelle copie du logiciel client le plus récent en installant manuellement
Apple Remote Desktop.
Pour plus d’informations, consultez la section “Méthode 2 : Installation manuelle” à la
page 44.
Si vous configurez Mac OS X Server pour la première fois avec l’Assistant d’installation
du serveur, vous pouvez activer Apple Remote Desktop comme l’un des services initiaux.
Cela vous permet d’administrer un serveur immédiatement après l’installation du logiciel
en fournissant à Remote Desktop le nom d’utilisateur et le mot de passe de l’administrateur système par défaut.
Mise à niveau du logiciel d’administration Remote Desktop
La mise à niveau de Remote Desktop revient à faire l’installation pour la première fois.
La seule différence réside dans le fait que le bouton final de l’installeur indique “Mettre
à niveau” et non “Installer”. L’installeur met à niveau les logiciels existants à la version la
plus récente, importe les listes précédemment créées et redémarre les processus sousjacents une fois l’opération terminée.
Pour des instructions détaillées, consultez la section “Installation du logiciel d’administration Remote Desktop” à la page 41.Chapitre 3 Installation d’Apple Remote Desktop 43
Si vous procédez à la mise à niveau à partir de la version 1.2 et que vous modifiez les
ordinateurs administrateur, vous devez transférer vos listes d’ordinateurs existantes. Voir
“Transfert d’anciennes listes d’ordinateurs 1.2 vers un nouvel ordinateur administrateur”
à la page 60. Prenez soin de transférer vos listes d’Apple Remote Desktop 1.2 vers le nouvel ordinateur avant la mise à niveau vers Apple Remote Desktop 3. Si vous procédez à
la mise à niveau de la version 1.2 vers la version 3 sur le même ordinateur administrateur,
la migration des listes est effectuée automatiquement.
Mise à niveau du logiciel client
Cette section contient des informations sur l’installation d’Apple Remote Desktop 3 sur
des ordinateurs clients. Dans la mesure où le logiciel client Apple Remote Desktop était
installé automatiquement sur les clients qui exécutent Mac OS X 10.3 et 10.4, toutes les
installations Apple Remote Desktop 3 sont des installations de mise à niveau, même si
vous configurez les clients pour la première fois.
Vous ne pouvez mettre à niveau les ordinateurs Apple Remote Desktop 1.x et 2.x que
s’ils satisfont à la configuration minimale requise pour le système (voir “Configuration
système requise pour Apple Remote Desktop” à la page 40). Notez qu’il n’est pas possible de revenir à une version antérieure, et que si vous mettez à niveau les ordinateurs
clients vers la version 3, vous ne pourrez plus les administrer avec des versions anté-
rieures de Remote Desktop.
Il existe deux méthodes pour mettre à niveau le logiciel de l’ordinateur client.
Méthode 1 : Installation de la mise à niveau à distance
Cette méthode fonctionne le mieux avec les clients existants, déjà configurés avec une
version antérieure d’Apple Remote Desktop. Si elle est utilisée avec des clients administrés existants, utilisez Remote Desktop afin d’identifier les clients qui exécutent une version antérieure. Vous pouvez ensuite procéder à leur mise à niveau vers la version la plus
récente. Le principal avantage de cette méthode de mise à niveau est la simplicité de
l’installation et la préservation des éventuels réglages clients précédents.
Cette méthode fonctionne uniquement pour les clients Apple Remote Desktop 1.2
et versions ultérieures. Les versions antérieures, telles que Apple Remote Desktop 1.0,
doivent être mises à niveau vers la version 1.2 avec Mise à jour logicielle Mac OS X, ou
être mises à jour manuellement. Pour plus d’informations, consultez la section
“Méthode 2 : Installation manuelle” à la page 44.
Pour mettre à niveau les logiciels clients existants à distance via Apple
Remote Desktop :
1 Activez la version existante d’Apple Remote Desktop sur les ordinateurs clients.
2 Configurez les clients pour l’administration.44 Chapitre 3 Installation d’Apple Remote Desktop
Voir “Configuration des privilèges et autorisations d’accès administrateur Apple Remote
Desktop à l’aide de comptes locaux” à la page 64.
3 Si les ordinateurs clients ne figurent pas dans une liste d’ordinateurs Remote Desktop
existante, recherchez-les à l’aide d’un scanneur Apple Remote Desktop.
Pour plus d’informations, consultez la section “Recherche et ajout de clients aux listes
d’ordinateurs Apple Remote Desktop” à la page 51.
4 Sélectionnez les ordinateurs clients à mettre à niveau.
5 Choisissez Gestion > Mettre à niveau le logiciel client.
6 Cliquez sur Mettre à niveau.
Méthode 2 : Installation manuelle
Cette méthode fonctionne le mieux si vous n’avez jamais activé Apple Remote Desktop
sur vos clients et que vous possédez une infrastructure de distribution logicielle existante.
Cette méthode est en outre la plus puissante et la plus souple en termes de configuration.
Par ailleurs, si vous ne souhaitez pas qu’Apple Remote Desktop mette à niveau vos clients
avec la fonction Mettre à niveau le logiciel client, vous pouvez effectuer une mise à niveau
manuelle.
L’installeur personnalisé n’installe pas uniquement les logiciels requis, mais il prépare
et configure également l’ordinateur client pour l’administration, et peut être configuré
pour ajouter ou modifier des noms d’utilisateur et des mots de passe pour l’authentification Apple Remote Desktop.
Pour mettre à niveau manuellement le logiciel client :
1 Utilisez Remote Desktop pour créer un paquet d’installation du logiciel client.
Pour des instructions détaillées, consultez la section “Création d’un programme d’installation client personnalisé” à la page 46.
2 Copiez et installez le paquet sur les ordinateurs clients. Pour installer le paquet, vous
avez besoin du nom et du mot de passe d’un utilisateur possédant des autorisations
administrateur sur l’ordinateur.
Pour ce faire, vous pouvez procéder de plusieurs façons. Par exemple, vous pouvez :
 Distribuez le paquet à l’aide de supports amovibles, tels qu’un CD.
 Copiez le programme d’installation sur les clients via le réseau, à l’aide du partage
de fichier.
 Copier le programme d’installation sur les clients à l’aide d’outils de ligne de commande
comme scp (si ssh est activé), puis utiliser l’outil de ligne de commande “installer”
d’Apple pour installer le paquet à distance. La procédure est décrite en détail dans
la section “Mise à niveau des clients Apple Remote Desktop avec SSH” à la page 45.Chapitre 3 Installation d’Apple Remote Desktop 45
 Ajoutez le paquet d’installation personnalisé à une image d’installation réseau, avec
l’Utilitaire d’image système pour inclure automatiquement le logiciel et vos réglages
personnalisés lorsque les clients installent le système d’exploitation avec les fonctionnalités NetBoot et Installation réseau de Mac OS X Server 10.4.
Mise à niveau des clients Apple Remote Desktop avec SSH
Il se peut que vous ne puissiez ou ne souhaitiez pas utiliser Remote Desktop pour mettre
à niveau des clients existants vers Apple Remote Desktop 3. Si SSH (appelé Connexion à
distance dans les Préférences Système) est activé sur les clients et que ces derniers sont
disponibles sur le réseau, vous pouvez mettre à niveau les ordinateurs clients.
Il vous faut tout de même recourir au logiciel Remote Desktop pour créer un paquet
d’installation personnalisé. Vous avez également besoin du nom et du mot de passe
d’un utilisateur possédant des autorisations administrateur sur l’ordinateur client.
Pour mettre à niveau un logiciel client existant via SSH :
1 Créez le paquet d’installation client personnalisé.
Pour des instructions détaillées, consultez la section “Création d’un programme d’installation client personnalisé” à la page 46.
2 Ouvrez l’application Terminal (située dans /Applications/Utilitaires/).
3 Copiez le paquet d’installation sur l’ordinateur client en saisissant :
$ scp -r @:
Pour obtenir d’autres options, consultez la page man (ou page du manuel) scp.
4 Connectez-vous à l’ordinateur client en saisissant :
$ ssh @
Pour obtenir d’autres options, consultez la page man ssh.
5 Sur l’ordinateur client, installez le paquet en saisissant :
$ sudo installer -pkg -target /
Pour obtenir d’autres options, consultez la page man installer.
Avertissement :les paquets d’installation personnalisés créant des noms d’utilisateur
contiennent des données sensibles de mots de passe. Prenez soin de stocker ces
paquets d’installation personnalisés dans un endroit sûr.46 Chapitre 3 Installation d’Apple Remote Desktop
Création d’un programme d’installation client personnalisé
Pour installer le logiciel client Apple Remote Desktop sur plusieurs ordinateurs, servez-vous
de l’application d’administration, Remote Desktop, pour créer un programme d’installation client personnalisé. Le programme d’installation client personnalisé installe le logiciel
système Apple Remote Desktop, mais il peut également créer des noms d’utilisateur et
des mots de passe sur l’ordinateur client avec les autorisations Apple Remote Desktop déjà
affectées. Vous utiliserez un assistant pour créer un paquet d’installation client personnalisé. Toutes les valeurs définies dans ce programme d’installation s’appliqueront à tous
les ordinateurs recevant l’installation.
Lors de la création d’un programme d’installation personnalisé, vous pourrez créer de
nouveaux noms d’utilisateur et mots de passe administrateur Apple Remote Desktop,
ainsi que définir automatiquement les autorisations d’accès et préférences Apple
Remote Desktop.
Pour créer le programme d’installation client :
1 Ouvrez Remote Desktop.
2 Choisissez Fichier > Créer un programme d’installation client.
L’Assistant réglages du programme d’installation personnalisé s’ouvre.
3 Optez pour la création d’un programme d’installation personnalisé et cliquez
sur Continuer.
Si vous n’optez pas pour la création d’un programme d’installation personnalisé, vous
pouvez générer un programme d’installation de base ne définissant aucune préférence
sur l’ordinateur client.
4 Cliquez sur Continuer pour poursuivre la création d’un programme d’installation
personnalisé.
5 Choisissez si le partage Remote Desktop doit avoir lieu au démarrage du système.
Cela change le réglage de la sous-fenêtre Partage des Préférences Système.
6 Choisissez si l’icône Apple Remote Desktop doit être affichée ou non dans la barre
des menus.
7 Cliquez sur Continuer.
8 Choisissez si vous devez créer ou non un nouvel utilisateur pour la connexion
à Apple Remote Desktop. Cliquez sur Continuer.
Avertissement :les paquets d’installation personnalisés créant des noms d’utilisateur
contiennent des données sensibles de mots de passe. Prenez soin de stocker et de
transmettre ces paquets d’installation personnalisés de manière sûre.Chapitre 3 Installation d’Apple Remote Desktop 47
Un nouveau compte d’utilisateur peut être créé afin d’accorder des autorisations administrateur Apple Remote Desktop. La création d’un nouveau compte d’utilisateur n’entraîne
pas le remplacement de ceux existants ni la modification de leurs mots de passe.
Si vous décidez de ne pas créer de nouveau compte d’utilisateur, passez directement
à l’étape 10 après avoir cliqué sur Continuer.
9 Ajoutez un utilisateur en cliquant sur Ajouter et en saisissant les informations adéquates.
Cliquez sur OK après l’ajout de chaque utilisateur, puis sur Continuer lorsque vous êtes
prêt à poursuivre.
10 Déterminez si vous souhaitez affecter des autorisations d’accès administrateur
Apple Remote Desktop aux groupes Services d’annuaire.
Si vous choisissez de faire cela, sélectionnez “Activer l’administration basée sur le répertoire”.
Consultez “Accès administrateur à Apple Remote Desktop avec Services de répertoire” à
la page 65 pour plus d’informations sur l’utilisation de cette méthode afin d’accorder
l’accès administrateur à Apple Remote Desktop.
11 Déterminez si vous souhaitez affecter des autorisations d’accès administrateur Apple
Remote Desktop à des utilisateurs spécifiques. Cliquez sur Continuer.
Si vous décidez de ne pas attribuer d’autorisations d’accès administrateur, passez
à l’étape 14.
12 Cliquez sur Ajouter afin de désigner un utilisateur qui recevra des autorisations d’accès
Apple Remote Desktop.
13 Entrez son nom abrégé et définissez les autorisations comme désiré.
Pour plus d’informations, consultez la section “Accès administrateur à Apple Remote
Desktop” à la page 62.
Cliquez sur OK après l’ajout de chaque utilisateur, puis sur Continuer lorsque vous êtes
prêt à poursuivre.
14 Choisissez si vous voulez autoriser un contrôle temporaire d’invités en demandant des
autorisations sur les ordinateurs clients.
Pour plus d’informations, consultez la section “Remarques pour les clients gérés” à la
page 48.
15 Choisissez si vous voulez autoriser des visualiseurs VNC non Apple à contrôler
les ordinateurs clients et cliquez sur Continuer.
Pour plus d’informations, consultez la section “Réseau virtuel Calcul d’accès” à la page 70.
16 Si vous le souhaitez, vous pouvez renseigner un ou tous les champs Données système.
Ces informations apparaissent dans les rapports Vue d’ensemble du système d’Apple
Remote Desktop. Vous pouvez par exemple taper un numéro d’enregistrement pour
l’ordinateur, un numéro de série ou un nom et un numéro de téléphone d’utilisateur.
17 Cliquez sur Continuer.48 Chapitre 3 Installation d’Apple Remote Desktop
18 Sélectionnez un emplacement pour le programme d’installation.
19 Cliquez sur Continuer pour créer le programme d’installation.
Un métapaquet d’installation (fichier .mpkg) est créé à l’emplacement désigné.
20 Cliquez sur Terminé.
Remarques pour les clients gérés
Si vous envisagez de limiter les applications pouvant s’exécuter sur un client géré, vous
devez vérifier que tous les processus Apple Remote Desktop sont autorisés. Un client géré
est un ordinateur client dont l’environnement est administré par le Gestionnaire de groupe
de travail de Mac OS X Server. Les options qui suivent doivent être activées dans les
réglages des applications clients et groupes du Gestionnaire de groupe de travail :
 “Autoriser les applications approuvées à lancer les non-approuvées”.
 “Permettre aux outils Unix de s’exécuter”.
Suppression ou désactivation d’Apple Remote Desktop
Les composants clients d’Apple Remote Desktop sont livrés avec Mac OS X et Mac OS X
Server. Vous pouvez choisir de supprimer ou de désactiver des parties du logiciel en
fonction de vos besoins particuliers. La section suivante décrit comment désinstaller
ou désactiver les composants Apple Remote Desktop essentiels.
Désinstallation du logiciel d’administration
Pour une suppression complète du logiciel d’administration, vous devez supprimer
l’application, la liste cryptée de noms d’utilisateurs et de mots de passe, ainsi que
la base de données d’informations clients.
Pour supprimer le logiciel d’administration :
1 Glissez l’application Remote Desktop vers la Corbeille.
2 Videz ensuite la Corbeille.
3 Dans l’application Terminal, supprimez la base de données Apple Remote Desktop dans
/var/db/RemoteManagement/ à l’aide de la commande suivante :
$ sudo rm -rf /var/db/RemoteManagement
4 Supprimez les fichiers de préférences Remote Desktop avec les commandes suivantes
dans l’application Terminal.
$ sudo rm /Library/Preferences/com.apple.RemoteDesktop.plist
$ sudo rm /Library/Preferences/com.apple.RemoteManagement.plist
$ rm ~/Library/Preferences/com.apple.RemoteDesktop.plistChapitre 3 Installation d’Apple Remote Desktop 49
5 Supprimez la documentation Remote Desktop avec les commandes suivantes dans
l’application Terminal.
sudo rm -r /Library/Documentation/Applications/RemoteDesktop
6 Dans l’application Terminal, supprimez les fichiers de support Apple Remote Desktop
de /Bibliothèque/Application Support/ à l’aide des commandes suivantes :
$ rm -rf ~/Library/Application\ Support/Remote\ Desktop/
$ sudo rm -rf /Library/Application\ Support/Apple\ Remote\ Desktop/
7 Dans l’application Terminal, supprimez les reçus d’installation Apple Remote Desktop
de /Bibliothèque/Receipts/ à l’aide des commandes suivantes :
$ rm -r /Library/Receipts/RemoteDesktopAdmin*
$ rm -r /Library/Receipts/RemoteDesktopRMDB*
8 Dans l’application Terminal, supprimez le widget de Dashboard Apple Remote Desktop
(après avoir fermé toutes les occurrences du widget) à l’aide de la commande suivante :
$ sudo rm -r /Library/Widgets/Remote\ Desktop/
Désactivation du logiciel client
Vous pouvez désactiver temporairement Apple Remote Desktop sur un client sans pour
autant supprimer le logiciel.
Pour désactiver le logiciel client sur un ordinateur client :
1 Sur l’ordinateur client, ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Partage.
Tapez si nécessaire les nom et mot de passe d’un utilisateur doté d’autorisations
administrateur sur cet ordinateur.
2 Désélectionnez Apple Remote Desktop dans la sous-fenêtre Partage.
3 Quittez les Préférences Système.
Apple Remote Desktop est désormais désactivé et le logiciel sous-jacent est désactivé.
Vous pouvez également désactiver uniquement les autorisations administrateur
en procédant de la façon suivante :
a Cliquez sur Autorisations d’accès.
b Décochez la case de chaque compte d’utilisateur activé pour l’administration
Apple Remote Desktop.
c Cliquez sur OK.
d Quittez les Préférences Système.
Avertissement :dans la mesure où Apple Remote Desktop fait partie de l’installation
par défaut de Mac OS X 10.3 et 10.4, ne supprimez pas les composants clients Apple
Remote Desktop.50 Chapitre 3 Installation d’Apple Remote Desktop
Désinstallation du logiciel client à partir des ordinateurs clients
Pour supprimer le logiciel client Apple Remote Desktop des clients Mac OS X ,
vous devez supprimer plusieurs composants logiciels de chaque système client.
Pour désinstaller le logiciel client :
1 Ouvrez Terminal (dans /Applications/Utilitaires).
2 Supprimez les éléments clients de /Système/Bibliothèque/ via les commandes suivantes
dans l’application Terminal :
$ sudo rm -rf /System/Library/CoreServices/Menu\ Extras/RemoteDesktop.menu
$ sudo rm -rf /System/Library/CoreServices/RemoteManagement/
$ sudo rm -rf /System/Library/PreferencePanes/ARDPref.prefPane
$ sudo rm -rf /System/Library/StartupItems/RemoteDesktopAgent/
3 Supprimez les préférences clients dans /Bibliothèque/Preferences/ via la commande
suivante dans l’application Terminal :
$ sudo rm /Library/Preferences/com.apple.ARDAgent.plist
$ sudo rm /Library/Preferences/com.apple.RemoteManagement.plist
4 Supprimez les reçus d’installation clients dans /Bibliothèque/Receipts/ via la commande
suivante dans l’application Terminal :
$ sudo rm -r /Library/Receipts/RemoteDesktopClient*
$ sudo rm -rf /var/db/RemoteManagement/
Avertissement :il est déconseillé de désinstaller le logiciel client. La désactivation du
logiciel client est suffisante pour arrêter l’activité système d’Apple Remote Desktop.
Consultez la section “Désactivation du logiciel client” à la page 49 pour obtenir des
instructions.4
51
4 Organisation des ordinateurs
clients en listes d’ordinateurs
Apple Remote Desktop utilise des listes d’ordinateurs clients
afin d’organiser de manière logique les ordinateurs clients
que vous contrôlez. La connexion aux ordinateurs clients
du réseau et leur ajout à votre site sont nécessaires pour
leur administration.
Ce chapitre décrit la recherche de clients et leur organisation en listes pour l’administration Apple Remote Desktop et l’interaction utilisateur. Il vous permettra d’en savoir
plus sur les opérations suivantes :
 “Recherche et ajout de clients aux listes d’ordinateurs Apple Remote Desktop” à la
page 51.
 “Création et gestion des listes” à la page 55.
 “Importation et exportation de listes d’ordinateurs” à la page 58.
Recherche et ajout de clients aux listes d’ordinateurs
Apple Remote Desktop
Avant de pouvoir examiner, contrôler ou maintenir un client quelconque, vous devez
l’ajouter à une liste d’ordinateurs Apple Remote Desktop. Pour rechercher les ordinateurs qui ne se trouvent pas sur le sous-réseau local, les routeurs et les coupe-feu de
votre réseau local doivent être correctement configurés pour transmettre des commandes “ping” et des paquets TCP et UDP sur les ports 3283 et 5900.52 Chapitre 4 Organisation des ordinateurs clients en listes d’ordinateurs
Remote Desktop offre quatre méthodes différentes pour la recherche de clients : recherche
sur les réseaux locaux, recherche dans une plage d’adresses IP, utilisation d’une adresse IP
ou d’un nom de domaine spécifique et importation d’une liste d’adresses IP. Une fois que
vous avez découvert un client potentiel, les informations par défaut suivantes apparaissent :
Si vous souhaitez modifier la liste d’affichage par défaut du scanneur, vous pouvez
sélectionner Édition > Options de présentation et choisir l’une des autres options
disponibles (notamment les champs Infos ordinateur, ID Ethernet, Étiquette, etc.).
Pour ajouter un ordinateur à une liste d’ordinateurs, vous devez d’abord vous authentifier auprès de l’ordinateur. Les ordinateurs authentifiés se trouvent dans la liste Tous les
ordinateurs de la fenêtre Remote Desktop. Vous pouvez ajouter un ordinateur à la liste
Tous les ordinateurs sans authentification, mais vous ne pourrez pas administrer le client
tant que vous n’aurez pas présenté un nom d’utilisateur et un mot de passe valides.
Recherche de clients sur le réseau local
Lorsque vous sélectionnez un analyseur de réseau local, Remote Desktop envoie une
diffusion de sous-réseau aux ordinateurs des mêmes sous-réseaux que l’ordinateur
administrateur. Tous les clients possibles des sous-réseaux locaux apparaissent dans
une liste à droite de la fenêtre Remote Desktop.
Pour rechercher des clients sur le réseau local :
1 Sélectionnez un scanneur à gauche de la fenêtre Remote Desktop.
2 Sélectionnez Réseau local.
Tous les clients qui répondent sont répertoriés dans la fenêtre Remote Desktop.
3 Sélectionnez les ordinateurs souhaités.
4 Faites glisser les ordinateurs sélectionnés vers la liste Tous les ordinateurs.
5 Authentifiez-vous en indiquant un nom d’utilisateur et un mot de passe pour
un administrateur Apple Remote Desktop.
L’ordinateur se trouve à présent dans votre liste Tous les ordinateurs.
Colonne de recherche Description
(aucun) Affiche une petite icône indiquant si l’ordinateur se trouve déjà dans
la liste principale.
(aucun) Affiche une petite icône indiquant le type d’accès dont le client est capable.
Voir “Icônes d’état des clients” à la page 169.
Nom Nom donné à l’ordinateur dans la sous-fenêtre Partage des
Préférences Système.
Adresse IP L’adresse IP de l’ordinateur, le cas échéant.
Nom DNS Le nom DNS de l’ordinateur (trouvé par recherche inversée) le cas échéant.
Version ARD Version du logiciel client Apple Remote Desktop .
Interface réseau Interface via laquelle le client a répondu.Chapitre 4 Organisation des ordinateurs clients en listes d’ordinateurs 53
Recherche de clients dans la portée du réseau
Pour rechercher des ordinateurs dans la portée du réseau, vous devez fournir une
adresse IP de début et une adresse IP de fin et Apple Remote Desktop envoie une
requête à chaque adresse IP de cette plage pour savoir si l’ordinateur est un ordinateur
client. Cette méthode est particulièrement adaptée à la recherche de clients qui se
trouvent en dehors du sous-réseau local mais sur le réseau local.
Vous pouvez également utiliser un fichier texte contenant des plages d’adresses IP
(au format “192.168.0.1-192.168.3.20”), et utiliser l’import de ficher texte pour rechercher
les clients. Voir “Recherche de clients par importation de fichiers” à la page 54.
Pour rechercher dans une plage d’adresses réseau :
1 Sélectionnez un scanneur à gauche de la fenêtre Remote Desktop.
2 Sélectionnez Portée du réseau.
3 Saisissez les adresses IP de début et de fin.
4 Cliquez sur le bouton Actualiser.
Tous les clients qui répondent sont répertoriés dans la fenêtre Remote Desktop.
5 Sélectionnez les ordinateurs souhaités.
6 Faites glisser les ordinateurs sélectionnés vers la liste Tous les ordinateurs.
7 Authentifiez-vous en indiquant un nom d’utilisateur et un mot de passe pour
un administrateur Apple Remote Desktop.
L’ordinateur se trouve à présent dans votre liste Tous les ordinateurs.
Recherche de clients par adresse réseau
Si vous connaissez l’adresse IP exacte ou le nom de domaine entièrement qualifié d’un
ordinateur, vous pouvez utiliser cette adresse IP ou ce nom de domaine pour ajouter
l’ordinateur à votre liste Tous les ordinateurs.
Pour ajouter immédiatement une adresse spécifique à la liste Tous les ordinateurs :
1 Choisissez Fichier > Ajouter par adresse.
2 Entrez l’adresse IP ou le nom de domaine entièrement qualifié.
3 Saisissez vos nom d’utilisateur et mot de passe.
4 Choisissez si vous souhaitez vérifier le nom et le mot de passe avant l’ajout à la liste
Tous les ordinateurs.
5 Cliquez sur Ajouter.
Vous pouvez également utiliser le scanneur pour essayer une adresse ou un
nom de domaine et vérifier la disponibilité avant de tenter de l’ajouter à la liste
Tous les ordinateurs.54 Chapitre 4 Organisation des ordinateurs clients en listes d’ordinateurs
Pour rechercher une adresse spécifique :
1 Sélectionnez un scanneur à gauche de la fenêtre Remote Desktop.
2 Sélectionnez Adresse réseau.
3 Saisissez l’adresse IP ou le nom de domaine complet dans le champ Adresse.
4 Cliquez sur le bouton Actualiser.
Si le client répond avec succès, il est répertorié dans la fenêtre Remote Desktop.
5 Sélectionnez les ordinateurs souhaités.
6 Faites glisser les ordinateurs sélectionnés vers la liste Tous les ordinateurs.
7 Authentifiez-vous en indiquant un nom d’utilisateur et un mot de passe pour
un administrateur Apple Remote Desktop.
L’ordinateur se trouve à présent dans votre liste Tous les ordinateurs.
Recherche de clients par importation de fichiers
Vous pouvez importer une liste d’ordinateurs dans Apple Remote Desktop en important
un fichier contenant une liste des adresses IP des ordinateurs. La liste peut être présentée
dans n’importe quel format de fichier (texte, feuille de calcul, traitement de texte) et doit
contenir des adresses IP ou des noms de domaines complets (tels que foo.exemple.com).
L’importation de fichiers vous permet également d’ajouter des plages d’adresses IP
en spécifiant la plage au format suivant : xxx.xxx.xxx.xxx-yyy.yyy.yyy.yyy. Par exemple,
un fichier texte avec la ligne “192.168.0.2-192.168.2.200” ajoute toutes les adresses IP
de cette plage d’adresses.
Pour importer une liste d’ordinateurs à partir d’un fichier :
1 Sélectionnez un scanneur à gauche de la fenêtre Remote Desktop.
2 Sélectionnez Importation de fichier.
3 Accédez au fichier en cliquant sur le bouton Ouvrir fichier ou glissez un fichier
dans la fenêtre.
Une solution alternative consiste à saisir le chemin d’accès au fichier dans le champ Fichier.
Tous les clients qui répondent sont répertoriés dans la fenêtre Remote Desktop.
4 Sélectionnez les ordinateurs souhaités.
5 Faites glisser les ordinateurs sélectionnés vers la liste Tous les ordinateurs.
6 Authentifiez-vous en indiquant un nom d’utilisateur et un mot de passe pour
un administrateur Apple Remote Desktop.
L’ordinateur se trouve à présent dans votre liste Tous les ordinateurs.Chapitre 4 Organisation des ordinateurs clients en listes d’ordinateurs 55
Création d’un nouveau scanneur
Vous pouvez utiliser plusieurs scanneurs afin de rechercher des plages d’adresses spécifiques ou d’effectuer d’autres types de recherches. Vous pouvez créer et enregistrer votre
propre scanneur de façon à pouvoir effectuer rapidement la recherche, à tout moment.
Vous pouvez renommer les scanneurs afin de pouvoir les identifier plus facilement.
Pour créer une liste de recherche personnalisée :
1 Choisissez Fichier > Nouveau scanneur.
2 Renommez le scanneur que vous venez de créer.
3 Sélectionnez l’icône du scanneur.
4 Choisissez un type de recherche dans le menu local situé à droite.
5 Personnalisez la recherche en saisissant les paramètres spécifiques de recherche
(tels qu’une plage d’adresses IP ou un emplacement de fichier).
Les sections suivantes vous permettront d’apprendre comment personnaliser
la recherche :
 “Recherche de clients sur le réseau local” à la page 52.
 “Recherche de clients dans la portée du réseau” à la page 53.
 “Recherche de clients par adresse réseau” à la page 53.
 “Recherche de clients par importation de fichiers” à la page 54.
6 Cliquez sur le bouton Actualiser.
Tous les clients qui répondent sont répertoriés dans la fenêtre Remote Desktop.
Sélectionnez votre icône de scanneur et cliquez sur le bouton Actualiser chaque fois
que vous souhaitez effectuer la recherche.
Création et gestion des listes
Les listes vous permettent d’organiser et d’effectuer des tâches de gestion sur les ordinateurs clients. Vous pouvez créer des groupes de listes et réorganiser les listes en les faisant glisser vers le haut et vers le bas, à gauche de la fenêtre principale. Apple Remote
Desktop comporte différents types de listes. La section suivante décrit les types de listes
et explique comment créer des listes et les utiliser pour la gestion des clients.
À propos des listes d’ordinateurs Apple Remote Desktop
Apple Remote Desktop affiche les ordinateurs sous forme de listes dans la section principale de la fenêtre Remote Desktop. La liste d’ordinateurs par défaut est appelée la liste
Tous les ordinateurs. Il s’agit d’une liste complète de tous les clients possibles que vous
avez localisés et auprès desquels vous vous êtes authentifié. Vous pouvez créer d’autres
listes afin de regrouper les ordinateurs de votre réseau comme bon vous semble.56 Chapitre 4 Organisation des ordinateurs clients en listes d’ordinateurs
Les listes d’ordinateurs disposent des capacités suivantes :
 Vous pouvez créer autant de listes que vous le souhaitez.
 La liste Tous les ordinateurs peut contenir autant d’ordinateurs que le permet votre
licence.
 Les ordinateurs peuvent figurer dans plusieurs listes.
 Il est possible de créer des listes en fonction de tous les critères de regroupement
imaginables : géographie, fonctions, configuration matérielle et même couleur.
 Cliquez sur le nom d’une liste et maintenez la souris sur le nom de la liste, de façon
à pouvoir modifier le nom de la liste.
 Si vous double-cliquez sur l’icône de liste, vous ouvrez une autre fenêtre contenant
les ordinateurs de la liste.
Création d’une liste d’ordinateurs Apple Remote Desktop
Vous pouvez créer des listes ciblées plus spécifiques d’ordinateurs à partir de votre liste
Tous les ordinateurs. La méthode de création de listes la plus simple consiste à utiliser
les ordinateurs qui se trouvent déjà dans la liste Tous les ordinateurs. Vous pouvez également créer des listes vides auxquelles vous ajouterez des ordinateurs ultérieurement.
Pour créer une liste d’ordinateurs Apple Remote Desktop :
1 Sélectionnez l’icône de la liste Tous les ordinateurs dans la fenêtre principale
de Remote Desktop.
2 Sélectionnez les ordinateurs que vous souhaitez ajouter à la nouvelle liste.
3 Choisissez Fichier > Nouvelle liste à partir de la sélection.
4 Donnez un nom à la liste d’ordinateurs.
Vous pouvez également choisir Fichier > Nouvelle liste afin de créer une liste vierge
et y faire glisser les ordinateurs à partir de la liste Tous les ordinateurs, ou à partir des
résultats de la recherche du scanneur.
Suppression de listes Apple Remote Desktop
Vous pouvez supprimer les listes d’ordinateurs Apple Remote Desktop et les listes de
scanneurs que vous avez créées. Vous ne pouvez pas supprimer la liste Tous les ordinateurs, la liste Serveur de tâches ou la liste Historique des tâches.
Pour supprimer une liste :
m Sélectionnez la liste et appuyez sur la touche de suppression.
Création d’une liste intelligente d’ordinateurs
Vous pouvez créer une liste d’ordinateurs alimentée automatiquement en fonction de
critères personnalisés. Une fois que vous avez créé une liste intelligente, tout ordinateur
ajouté à la liste Tous les ordinateurs (ou à une autre liste spécifiée) satisfaisant aux critè-
res est automatiquement ajouté à la liste intelligente.Chapitre 4 Organisation des ordinateurs clients en listes d’ordinateurs 57
Vous pouvez mettre en correspondance tout ou partie des critères suivants :
 Nom
 Adresse IP
 Nom DNS
 Étiquette
 Version Apple Remote Desktop
 Volume de démarrage
 Mémoire installée
 Informations CPU
 Modèle d’ordinateur
 Version Mac OS
 L’ordinateur est dans la liste
Pour utiliser une liste intelligente alimentée à partir de n’importe quelle liste à l’exception de la liste Tous les ordinateurs, vous devez ajouter le critère “L’ordinateur est dans
la liste” et spécifier la liste source.
Pour créer une liste d’ordinateurs intelligente :
1 Choisissez Fichier > Nouvelle liste intelligente.
2 Donnez un nom à la liste d’ordinateurs intelligente.
3 Choisissez les critères “quelconque” ou “tous”.
4 Sélectionnez l’attribut en fonction duquel effectuer la sélection, en utilisant les fenêtres
et le champ de saisie du texte.
5 Ajoutez tous les autres critères avec le bouton Ajouter (+).
6 Cliquez sur OK.
La nouvelle liste intelligente apparaît dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
Modification d’une liste intelligente d’ordinateurs
Vous pouvez modifier les listes intelligentes que vous avez créées. La fenêtre de modification est la même que celle utilisée pour créer la liste intelligente. Les options disponibles
sont les mêmes que celles répertoriées dans la section “Création d’une liste intelligente
d’ordinateurs” à la page 56.
Pour modifier une liste d’ordinateurs intelligente :
1 Sélectionnez la liste intelligente dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Choisissez Fichier > Modifier liste intelligente.
3 Modifiez la liste intelligente d’ordinateurs en fonction de vos besoins.58 Chapitre 4 Organisation des ordinateurs clients en listes d’ordinateurs
Création d’une liste d’ordinateurs à partir de listes existantes
Vous pouvez créer une liste qui associe les résultats de plusieurs listes et listes intelligentes. Vous pouvez créer des listes agrégées en utilisant l’option “L’ordinateur est dans la liste”.
La liste créée comporte les ordinateurs des listes source, mais n’indique pas de quelle liste
source ils proviennent.
Pour créer une liste de listes d’ordinateurs :
1 Créez les listes qui serviront de sources à la liste intelligente.
Pour plus d’informations, consultez la section “Création d’une liste intelligente d’ordinateurs” à la page 56 ou “Création d’une liste d’ordinateurs Apple Remote Desktop” à la
page 56.
2 Créez la liste intelligente qui utilisera les ordinateurs des listes créées précédemment.
Pour plus d’informations, consultez la section “Création d’une liste intelligente d’ordinateurs” à la page 56.
3 Dans la zone de dialogue de création de liste intelligente, choisissez la correspondance
avec toutes les conditions indiquées.
4 Pour la première condition, sélectionnez “L’ordinateur est dans la liste”.
5 Choisissez une liste source dans le menu local.
6 Ajoutez une autre condition en cliquant sur le bouton Ajouter (+).
7 Répétez les étapes 4 à 6, en ajoutant des listes d’ordinateurs pour toutes les listes source.
8 Ajoutez d’autres conditions et critères en fonction des besoins.
9 Créez la liste intelligente finale en cliquant sur OK.
La nouvelle liste intelligente apparaît dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
Importation et exportation de listes d’ordinateurs
Lors de la configuration d’Apple Remote Desktop 3, vous n’utilisez pas nécessairement
le même ordinateur que celui utilisé pour la version antérieure d’Apple Remote Desktop.
Plutôt que de créer de nouvelles listes d’ordinateurs clients, vous pouvez transférer les
listes existantes entre ordinateurs, avec les avantages et limites liés au transfert. Les sections suivantes vous aideront à importer ou exporter vos listes d’ordinateurs.
 “Transfert de listes d’ordinateurs à partir d’Apple Remote Desktop 3 vers un nouvel
ordinateur administrateur” à la page 59.
 “Transfert de listes d’ordinateurs à partir d’Apple Remote Desktop 2 vers un nouvel
ordinateur administrateur Apple Remote Desktop 3” à la page 59.
 “Transfert d’anciennes listes d’ordinateurs 1.2 vers un nouvel
ordinateur administrateur” à la page 60.Chapitre 4 Organisation des ordinateurs clients en listes d’ordinateurs 59
Transfert de listes d’ordinateurs à partir d’Apple Remote Desktop 3
vers un nouvel ordinateur administrateur
Vous pouvez déplacer vos listes d’ordinateurs existantes vers le nouvel ordinateur
administrateur en exécutant Apple Remote Desktop 3. Les listes transférées de cette
façon conservent leurs ordinateurs clients ainsi que le nom original de la liste. Vous
pouvez utiliser ces instructions uniquement pour déplacer des listes d’ordinateurs entre
des ordinateurs administrateur qui exécutent Apple Remote Desktop 3. Lorsque vous
importez ou exportez une liste d’ordinateurs, le nom d’utilisateur et le mot de passe
utilisés pour l’authentification Apple Remote Desktop ne sont pas exportés. Une fois
que vous avez importé la liste d’ordinateurs, vous devez quand même vous authentifier auprès des ordinateurs.
Pour transférer les listes d’ordinateurs :
1 Dans la fenêtre principale de Remote Desktop, sélectionnez la liste que vous souhaitez
déplacer.
2 Choisissez Fichier > Exporter la liste.
3 Sélectionnez un nom et un emplacement pour le fichier de la liste exportée.
Le nom de fichier par défaut est le nom de la liste. Le changement du nom du fichier
ne change en revanche pas le nom de la liste.
4 Cliquez sur Enregistrer.
Un fichier .plist est créé dans l’emplacement souhaité.
Le fichier .plist au format XML est un fichier texte brut pouvant être inspecté avec
l’Éditeur de liste de propriétés Apple ou avec un éditeur de texte.
5 Copiez le fichier exporté vers l’ordinateur administrateur souhaité.
6 Sur le nouvel ordinateur administrateur, lancez Remote Desktop.
7 Choisissez Fichier > Importer la liste.
8 Sélectionnez la liste exportée, puis cliquez sur Ouvrir.
La liste apparaît à présent dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
Transfert de listes d’ordinateurs à partir d’Apple Remote Desktop 2
vers un nouvel ordinateur administrateur Apple Remote Desktop 3
Si vous installez Apple Remote Desktop 3 sur un ordinateur différent de l’ordinateur
administrateur version 2.x, vous pouvez déplacer vos listes d’ordinateurs existantes vers
le nouvel ordinateur administrateur qui exécute Apple Remote Desktop 3. Lorsque vous
importez ou exportez une liste d’ordinateurs, le nom d’utilisateur et le mot de passe
utilisés pour l’authentification Apple Remote Desktop ne sont pas exportés. Une fois
que vous avez importé la liste d’ordinateurs, vous devez quand même vous authentifier auprès des ordinateurs.60 Chapitre 4 Organisation des ordinateurs clients en listes d’ordinateurs
Pour transférer les listes d’ordinateurs :
1 Dans la fenêtre principale de Remote Desktop, sélectionnez la liste que vous souhaitez
déplacer.
2 Assurez-vous que Remote Desktop répertorie le nom et l’adresse IP de l’ordinateur.
3 Choisissez Fichier > Exporter la fenêtre.
4 Sélectionnez un nom et un emplacement pour le fichier de la liste exportée,
puis cliquez sur Enregistrer.
Le nom de fichier par défaut est le titre de la fenêtre.
5 Copiez le fichier exporté vers l’ordinateur administrateur souhaité.
6 Sur le nouvel ordinateur administrateur, lancez Remote Desktop.
7 Avec le scanneur, ajoutez les clients via Importation de fichier.
Pour des instructions détaillées, consultez la section “Recherche de clients par importation de fichiers” à la page 54.
La liste apparaît à présent dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
8 Sélectionnez les ordinateurs dans la liste.
9 Choisissez Fichier > Nouvelle liste à partir de la sélection.
La nouvelle liste apparaît dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
Transfert d’anciennes listes d’ordinateurs 1.2 vers un nouvel
ordinateur administrateur
Si vous installez Apple Remote Desktop 3 sur un ordinateur autre qu’un ordinateur
administrateur plus ancien avec Apple Remote Desktop 1.2, vous devez déplacer les
listes d’ordinateurs existantes vers le nouvel ordinateur administrateur avant d’installer
la version 3.
Ces instructions s’appliquent uniquement dans le cas d’un transfert de listes d’ordinateurs
administrateurs Apple Remote Desktop 1.2 vers un nouvel ordinateur.
Dans ces instructions, l’ordinateur possédant les listes d’origine est appelé “ordinateur
source”. L’ordinateur sur lequel sera installé Apple Remote Desktop 3 est l’ordinateur cible.Chapitre 4 Organisation des ordinateurs clients en listes d’ordinateurs 61
Pour transférer les listes d’ordinateurs :
1 Sur l’ordinateur source, ouvrez l’utilitaire Trousseau d’accès (dans /Applications/Utilitaires).
2 Choisissez Fichier > Nouveau trousseau.
3 Attribuez un nom au nouveau trousseau et cliquez sur Créer.
4 Entrez ensuite un mot de passe pour ce trousseau.
Il s’agit d’un mot de passe temporaire qui servira à obtenir des informations contenues
dans le trousseau. N’utilisez pas votre mot de passe de connexion ni tout autre mot de
passe important.
5 Si besoin est, cliquez sur Afficher les trousseaux pour afficher le trousseau administrateur.
6 Sélectionnez le trousseau principal de l’ordinateur source.
Si le trousseau est verrouillé, déverrouillez-le et authentifiez-vous.
7 Sélectionnez uniquement les entrées Apple Remote Desktop du trousseau.
8 Faites glisser les entrées Apple Remote Desktop vers le nouveau trousseau créé.
9 Pour chacune d’elles, entrez le mot de passe du trousseau de l’ordinateur source.
10 Quittez l’utilitaire Trousseau d’accès sur l’ordinateur source.
11 Copiez le trousseau créé de l’ordinateur source (~/Bibliothèque/Keychains/) au même emplacement sur l’ordinateur cible.
Cette opération de copie peut s’effectuer en réseau ou à l’aide d’une unité amovible
de stockage.
12 Sur l’ordinateur cible, ouvrez l’utilitaire Trousseau d’accès dans le Finder.
13 Choisissez Fichier > Ajouter un trousseau.
14 Sélectionnez le trousseau copié de l’ordinateur source et cliquez sur Ouvrir.
15 Si besoin est, cliquez sur Afficher les trousseaux pour afficher les trousseaux.
16 Déverrouillez le trousseau importé à l’aide du mot de passe qui lui est attribué.
17 Sélectionnez les entrées Apple Remote Desktop.
18 Faites glisser les entrées Apple Remote Desktop vers le trousseau principal
sur l’ordinateur cible.
Pour chacune d’elles, entrez le mot de passe temporaire du trousseau.
19 Quittez l’utilitaire Trousseau d’accès sur l’ordinateur source.
À l’ouverture d’Apple Remote Desktop sur le nouvel ordinateur, les listes d’ordinateurs
provenant de l’autre ordinateur sont disponibles.5
62
5 Comprendre et contrôler
les autorisations d’accès
Il existe plusieurs moyens d’accéder aux clients Apple Remote
Desktop et de s’authentifier auprès d’eux. Certains dépendent
de réglages Apple Remote Desktop, d’autres de réglages du
client ou d’outils d’administration tiers.
Ce chapitre explique les différents types d’accès, leur configuration et leur utilisation.
Il vous permettra d’en savoir plus sur les opérations suivantes :
 “Accès administrateur à Apple Remote Desktop” à la page 62.
 “Accès administrateur à Apple Remote Desktop avec Services de répertoire” à la page 65.
 “Accès de l’invité à Apple Remote Desktop” à la page 68.
 “Accès non-administrateur à Apple Remote Desktop” à la page 69.
 “Réseau virtuel Calcul d’accès” à la page 70.
 “Accès SSH par ligne de commande” à la page 71.
 “Gestion des réglages et privilèges d’administration client” à la page 72.
Accès administrateur à Apple Remote Desktop
Les autorisations d’accès permettent à un administrateur Apple Remote Desktop
d’ajouter des ordinateurs à une liste, puis d’interagir avec eux. Si aucune autorisation
d’accès n’est attribuée à un ordinateur client, ce dernier ne pourra être utilisé avec
Apple Remote Desktop. Les autorisations d’accès sont définies dans la section Apple
Remote Desktop de la sous-fenêtre Partage, dans les Préférences Système des ordinateurs clients.
Les autorisations d’accès attribuées à un ordinateur client dépendent de son utilisation.
 Si l’ordinateur est utilisé dans un lieu public, tel qu’un laboratoire d’informatique,
il est recommandé d’attribuer aux administrateurs un accès illimité.
 L’attribution d’autorisations illimitées aux administrateurs est en revanche déconseillée
si l’ordinateur est destiné à n’être utilisé que par une seule personne. De la même façon,
un utilisateur administrant son ordinateur peut être chargé de créer des mots de passe
et de définir des autorisations d’accès pour ce poste.Chapitre 5 Comprendre et contrôler les autorisations d’accès 63
Le tableau suivant répertorie les réglages Apple Remote Desktop de la sous-fenêtre
Préférences Partage et les fonctions Remote Desktop auxquelles ils correspondent.
Par exemple, si vous souhaitez qu’un certain administrateur renomme des partages
de fichiers, vous devrez accorder à cet utilisateur cette autorisation en cochant la case
“Modifier les réglages” dans les réglages Apple Remote Desktop de la sous-fenêtre
Préférences Partage sur l’ordinateur client.
Sélectionner Pour autoriser les administrateurs à
Sélectionner une quelconque autorisation. (Si vous ne cochez
que cette case, l’administrateur pourra voir l’ordinateur client dans
la fenêtre d’état et l’inclure dans les rapports du test de réseau.)
Créer des rapports Créer des rapports matériels et logiciels en utilisant le menu
Rapport, et utiliser “Définir la méthode de conception de rapport”
et Recherche Spotlight.
Ouvrir et fermer des applications Utiliser les commandes suivantes du menu Gestion : Ouvrir
l’application, Ouvrir les éléments, “Envoyer la commande UNIX”
et Déconnecter l’utilisateur actuel.
Modifier les réglages Utiliser les commandes suivantes du menu Gestion : Renommer
l’ordinateur, “Envoyer la commande UNIX” et “Configurer le disque
de démarrage”.
Effacer/remplacer des éléments Utiliser les commandes suivantes du menu Gestion : Copier des
éléments, Installer des paquets, “Envoyer la commande UNIX”
et Vider la corbeille. Supprimer aussi les éléments des fenêtres
de rapports.
L’utilisation de la fonction “Mettre à niveau le logiciel client” est
soumise à l’activation de cet élément.
Envoyer des messages textuels Utiliser les commandes suivantes du menu Communication :
Envoyer le message et Discuter.
Redémarrer et éteindre Utiliser les commandes suivantes du menu Gestion : Mettre en veille,
Réactiver, Redémarrer, “Envoyer la commande UNIX” et Arrêter.
L’utilisation de la fonction “Mettre à niveau le logiciel client” est
soumise à l’activation de cet élément.
Copier des éléments Utiliser les commandes suivantes des menus Gestion et Serveur :
Copier des éléments, “Envoyer la commande UNIX” et Installer des
paquets.
L’utilisation des fonctions “Mettre à niveau le logiciel client”
et “Modifier les réglages client” est soumise à l’activation de
cet élément.
Contrôler Utiliser les commandes suivantes du menu Communication :
Contrôler, Partager l’écran, Verrouiller et déverrouiller l’écran.
L’utilisation des fonctions “Mettre à niveau le logiciel client”
et “Modifier les réglages client” est soumise à l’activation de
cet élément.64 Chapitre 5 Comprendre et contrôler les autorisations d’accès
Configuration des privilèges et autorisations d’accès administrateur
Apple Remote Desktop à l’aide de comptes locaux
Pour préparer un client pour l’administration, activez la version existante d’Apple Remote
Desktop sur l’ordinateur client et configurez les autorisations d’accès administrateur Apple
Remote Desktop en utilisant la sous-fenêtre Partage des Préférences Système. Définissez
séparément les autorisations d’accès de chacun des comptes d’utilisateur de l’ordinateur.
Les étapes décrites ci-après permettent de définir des autorisations d’accès sur chaque
ordinateur client.
Remarque :vous pouvez ignorer cette étape si vous créez un programme d’installation
personnalisé activant automatiquement les réglages souhaités sur le client.
Pour effectuer des changements sur un ordinateur client, vous devez disposer du
nom et du mot de passe d’un utilisateur possédant des autorisations administrateur
sur l’ordinateur.
Pour définir des autorisations administrateur sur un ordinateur :
1 Sur l’ordinateur client, ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Partage.
Si la sous-fenêtre des préférences est verrouillée, cliquez sur le verrou, puis entrez le nom
d’utilisateur et le mot de passe d’un utilisateur ayant des autorisations administrateur sur
cet ordinateur.
2 Sélectionnez Apple Remote Desktop dans la sous-fenêtre Partage.
3 Cliquez sur Autorisations d’accès.
4 Sélectionnez chaque compte d’utilisateur à activer pour l’authentification
d’administration Apple Remote Desktop.
5 Sélectionnez un utilisateur répertorié dont vous souhaitez définir les autorisations d’accès,
puis effectuez vos modifications. Celles-ci seront immédiatement prises en compte.
Conseil : maintenez enfoncée la touche Option tout en cochant la case afin de
sélectionner automatiquement toutes les cases suivantes.
Pour plus d’informations, consultez la section “Accès administrateur à Apple Remote
Desktop” à la page 62.
6 Répétez l’opération pour définir les autorisations d’accès d’autres utilisateurs.
7 Vous pouvez renseigner un ou tous les champs Informations sur l’ordinateur.
Ces informations apparaissent dans les rapports Vue d’ensemble du système Apple
Remote Desktop et éventuellement dans les vues des listes d’ordinateurs. Vous pouvez
par exemple taper un numéro d’enregistrement pour l’ordinateur, un numéro de série
ou un nom et un numéro de téléphone d’utilisateur.
8 Cliquez sur OK.
9 Pour activer le client Apple Remote Desktop, prenez soin de cocher la case Apple
Remote Desktop, ou sélectionnez Apple Remote Desktop et cliquez sur Démarrer.Chapitre 5 Comprendre et contrôler les autorisations d’accès 65
Accès administrateur à Apple Remote Desktop avec Services
de répertoire
Vous pouvez également accorder l’accès administrateur à Apple Remote Desktop sans
activer aucun utilisateur local, en activant l’autorisation basée sur les groupes si les
ordinateurs clients sont liés à un service de répertoires. Lorsque vous utilisez des groupes spécialement nommés depuis le domaine principal des Services de répertoire, il
est inutile d’ajouter des utilisateurs et des mots de passe aux ordinateurs clients pour
l’accès et les privilèges Apple Remote Desktop.
Lorsque l’autorisation des Services de répertoire est activée sur un client, le nom d’utilisateur et le mot de passe fournis au moment de vous authentifier sont vérifiés dans le
répertoire. Si le nom appartient à l’un des groupes d’accès Apple Remote Desktop, vous
obtenez les autorisations d’accès attribuées à ce groupe.
Création de groupes d’accès administrateur
Pour utiliser l’autorisation des services de répertoires pour déterminer les autorisations
d’accès, vous devez créer des groupes et leur affecter des privilèges. Il existe deux façons
de faire cela :
Méthode 1
Vous pouvez créer des groupes et leur affecter des privilèges via l’attribut mcx_setting
dans l’un quelconque des enregistrements suivants : n’importe quel enregistrement
d’ordinateur, n’importe quel enregistrement de liste d’ordinateurs ou l’enregistrement
d’ordinateur invité.
Pour créer un groupe d’accès administrateur :
1 Créez les groupes comme d’habitude.
Si vous utilisez Mac OS X Server, utilisez le Gestionnaire de groupe de travail pour
les créer.
2 Une fois que vous avez créé les groupes, modifiez l’enregistrement de l’ordinateur à
administrer, son enregistrement de liste d’ordinateurs ou l’enregistrement d’ordinateur
invité.66 Chapitre 5 Comprendre et contrôler les autorisations d’accès
3 Utilisez un éditeur de texte ou l’outil Apple Developer nommé Éditeur de liste de propriétés afin de créer le fichier XML d’attribut mcx_setting. Le fichier XML contient des
désignations de clé de privilège administrateur (ard_admin, ard_reports, etc.), ainsi que
les groupes qui doivent posséder ces privilèges. Aux clés de privilège suivantes correspondent les privilèges de gestion Remote Desktop indiqués :
Dans le fichier XML, vous nommez une clé de privilège avec le nom du ou des groupes
qui doivent posséder le privilège.
Utilisez l’exemple de fichier XML ci-dessous afin de créer votre fichier XML de gestion/
désignation de clé.
4 Lorsque vous avez créé l’extrait XML, insérez l’extrait complet dans un enregistrement
d’ordinateur ou dans un enregistrement de liste d’ordinateurs.
Si vous utilisez le Gestionnaire de groupe de travail, activez la préférence Onglet et
Inspecteur “Afficher tous les enregistrements” et utilisez l’inspecteur pour copier l’extrait
entier du code XML avec la valeur correspondant au nom de l’attribut “MCXSettings”.
Privilège de gestion ard_admin ard_reports ard_manage ard_interact
Créer des rapports X X X
Ouvrir et fermer des applications X X
Modifier les réglages X X
Copier des éléments X X
Effacer/remplacer des éléments X X
Envoyer les messages X X X
Redémarrer et éteindre X X
Contrôler X X
Observer X X
Signaler quand vous êtes
observé
X XChapitre 5 Comprendre et contrôler les autorisations d’accès 67
Pour en savoir plus sur l’utilisation du Gestionnaire de groupe de travail et d’Open
Directory, consultez leurs documentations respectives à l’adresse suivante :
www.apple.com/fr/server/documentation
Voici l’exemple de format XML que vous devez utiliser pour affecter des privilèges de
gestion via des clés MCX. Il affecte les privilèges “ard_interact” ci-dessus aux groupes
nommés “some_group” et “staff”. Il affecte également les privilèges “ard_manage” au
groupe nommé “staff”, les privilèges “ard_admin” au groupe “my_admin_group” et ne
conserve aucun groupe avec le privilège “ard_reports”. Voici le fichier XML :
mcx_application_data
com.apple.remotedesktop
Forced
mcx_preference_settings
ard_interact
some_group
staff
ard_manage
staff
ard_admin
my_admin_group
ard_reports
Cet exemple d’attribut définit quatre privilèges, bien qu’aucun ne soit obligatoire.68 Chapitre 5 Comprendre et contrôler les autorisations d’accès
Méthode 2
Vous pouvez créer des groupes avec des noms spéciaux correspondant aux clés de privilège ci-dessus : ard_admin, ard_reports, ard_manage et ard_interact. Les privilèges
correspondants sont automatiquement affectés à ces groupes nommés spécialement.
Si vous avez déjà créé ces groupes pour une utilisation avec Apple Remote Desktop 2,
ils continuent de fonctionner comme prévu avec Apple Remote Desktop 3.
Activation de l’autorisation de groupe des Services de répertoire
Afin d’activer une autorisation basée sur les groupes pour l’accès Apple Remote Desktop,
créez les groupes appropriés dans le domaine principal des Services de répertoire.
Pour ce faire, vous devez être l’administrateur des Services de répertoire et avoir accès
au serveur des utilisateurs et des groupes de votre organisation.
Pour activer l’autorisation Apple Remote Desktop par groupe :
1 Utilisez l’une des méthodes de la section “Création de groupes d’accès administrateur”
pour créer des groupes avec des autorisations d’accès Apple Remote Desktop.
2 Ajoutez des utilisateurs aux groupes.
3 Assurez-vous que les ordinateurs clients à administrer sont liés à votre système de
répertoires.
4 Configurez les clients afin d’utiliser l’autorisation de répertoire en utilisant la fonctionnalité “Modifier les réglages clients” ou créez un programme d’installation personnalisé.
5 Choisissez d’activer l’administration basée sur les répertoires sur les clients en utilisant
Format de répertoire dans /Applications/Utilitaires/.
Accès de l’invité à Apple Remote Desktop
Vous pouvez configurer un client Apple Remote Desktop afin d’accorder un accès temporaire unique à un administrateur Apple Remote Desktop qui ne possède pas de nom
d’utilisateur ou de mot de passe pour l’ordinateur client. Chaque fois que l’administrateur Apple Remote Desktop souhaite contrôler l’ordinateur client, il doit demander
l’autorisation à l’utilisateur du client distant.
Avertissement :l’octroi de l’accès pour le contrôle d’un écran est la fonction la plus
puissante d’Apple Remote Desktop. Elle équivaut à un accès illimité.Chapitre 5 Comprendre et contrôler les autorisations d’accès 69
Pour autoriser un accès invité :
1 Sur l’ordinateur client, ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Partage.
Si vous y êtes invité, tapez les nom et mot de passe d’un utilisateur doté d’autorisations
administrateur sur cet ordinateur.
2 Sélectionnez Apple Remote Desktop dans la sous-fenêtre Partage.
3 Cliquez sur Autorisations d’accès.
4 Sélectionnez l’option “Les invités peuvent demander l’autorisation de contrôler l’écran”.
5 Cliquez sur OK.
Accès non-administrateur à Apple Remote Desktop
Remote Desktop peut fonctionner en mode utilisateur. Le mode utilisateur est activé
lorsqu’un utilisateur non administrateur ouvre Remote Desktop afin d’administrer des
ordinateurs clients Apple Remote Desktop. L’administrateur de l’ordinateur sur lequel
est installé Remote Desktop peut choisir les fonctions et tâches disponibles pour les
utilisateurs non administrateurs.
Limitation des fonctions dans l’application d’administration
Le mode utilisateur permet ainsi de déléguer des tâches administratives ou bien de limiter les utilisateurs aux fonctions de Remote Desktop qu’ils emploient vraiment. Par
exemple, vous n’autoriserez pas des utilisateurs à copier ou à supprimer des fichiers mais
les laisserez observer des écrans clients et envoyer des messages aux utilisateurs clients.
Vous pouvez autoriser des utilisateurs non administrateurs à :
 observer, contrôler et partager des écrans ;
 verrouiller et déverrouiller des écrans ;
 envoyer des messages et discuter ;
 suspendre l’activité et réactiver des ordinateurs clients ;
 déconnecter des utilisateurs ;
 redémarrer et arrêter des ordinateurs ;
 ouvrir ou quitter des fichiers et applications ;
 renommer des ordinateurs ;
 produire des rapports et rechercher des logiciels ;
 copier des éléments, en supprimer et vider la Corbeille ;
 créer des programmes d’installation client personnalisés pour Apple Remote Desktop ;
 mettre à niveau des clients et modifier les réglages clients ;
 installer des paquets ;
 régler le volume de démarrage des ordinateurs clients ;
 définir la méthode de conception de rapports des clients ;
 lancer des commandes UNIX.70 Chapitre 5 Comprendre et contrôler les autorisations d’accès
Chacune de ces fonctionnalités peut être activée ou désactivée indépendamment
des autres, ou vous pouvez activer toutes les fonctionnalités de Remote Desktop pour
les utilisateurs non administrateurs.
Pour activer le mode utilisateur :
1 Assurez-vous d’être connecté en tant qu’utilisateur administrateur.
2 Ouvrez Remote Desktop.
3 Choisissez Remote Desktop > Préférences.
4 Cliquez sur le bouton Sécurité.
5 Activez ou désactivez les fonctions comme souhaité.
6 Fermez la fenêtre Préférences.
Réseau virtuel Calcul d’accès
Vous pouvez utiliser Apple Remote Desktop pour accéder à un serveur VNC (Virtual
Network Computing) et ainsi afficher et interagir avec l’écran du serveur. L’accès VNC
est fonction du logiciel serveur VNC. Pour accéder à un serveur VNC, il vous faut uniquement connaître son adresse IP ou le nom de domaine qualifié complet et le mot
de passe indiqués dans le logiciel serveur VNC.
Ce mot de passe ne doit pas forcément correspondre à un autre mot de passe
du système : il dépend de la configuration VNC.
L’accès VNC est semblable à la commande Contrôle d’Apple Remote Desktop. Il vous
permet d’utiliser le clavier et la souris pour contrôler un serveur VNC sur un réseau.
Il n’offre pas d’autorisations administrateur Apple Remote Desktop autres que celles
appartenant à l’utilisateur connecté.
Des visualiseurs VNC non Apple peuvent contrôler des clients Apple Remote Desktop
si ces derniers le permettent. L’autorisation d’un visualiseur VNC non Apple à accéder
à un client Apple Remote Desktop est moins sûre que d’utiliser Apple Remote Desktop
pour contrôler le client. Le protocole VNC implémenté dans les visualiseurs VNC tiers
peut ne pas crypter la saisie envoyée sur le réseau, ce qui peut permettre d’intercepter
des informations sensibles.
Avertissement :l’octroi de l’accès VNC pour le contrôle d’un écran est la fonction
la plus puissante d’Apple Remote Desktop. Elle équivaut à un accès illimité.Chapitre 5 Comprendre et contrôler les autorisations d’accès 71
Pour autoriser un accès VNC :
1 Sur l’ordinateur client, ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Partage.
Si vous y êtes invité, tapez les nom et mot de passe d’un utilisateur doté d’autorisations
administrateur sur cet ordinateur.
2 Sélectionnez Apple Remote Desktop dans la sous-fenêtre Partage.
3 Cliquez sur Autorisations d’accès.
4 Sélectionnez “Les utilisateurs VNC peuvent contrôler l’écran avec ce mot de passe”.
5 Entrez un mot de passe VNC.
Accès SSH par ligne de commande
L’accès SSH par ligne de commande n’est pas accordé ou géré via Remote Desktop.
Ce type d’accès est géré dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système (appelée “Connexion à distance”) et est distincte des types d’accès Apple Remote Desktop.
Lorsque vous vous connectez à distance à un client avec ssh, vous possédez les autorisations utilisateur attribuées au nom et au mot de passe. Celles-ci incluent éventuellement des autorisations administrateur.
Vous pouvez utiliser SSH pour accéder à un client employant un compte utilisateur créé
pour Apple Remote Desktop. Vous êtes toutefois limité aux tâches autorisées pour cet
utilisateur lors de la création du compte. A l’inverse, seuls les utilisateurs spécifiés dans
les autorisations d’accès Apple Remote Desktop peuvent accéder à un ordinateur via
Apple Remote Desktop. Les privilèges Apple Remote Desktop sont totalement distincts
des privilèges UNIX de l’administrateur de l’ordinateur local.
Avertissement :n’employez pas le même mot de passe que le mot de passe
de connexion Apple Remote Desktop ou d’un utilisateur local.72 Chapitre 5 Comprendre et contrôler les autorisations d’accès
Gestion des réglages et privilèges d’administration client
Des vérifications régulières des réglages d’administration peuvent contribuer à gérer
un environnement d’administration Remote Desktop sûr. Avec les diverses options
d’administration fournies par les autorisations administrateur Apple Remote Desktop,
vous pouvez créer des connexions spécialisées pour certaines tâches, ce qui permet de
limiter les opérations pouvant être effectuées par certains sous-administrateurs. La section qui suit fournit des instructions détaillées pour vérifier les réglages des privilèges
administrateur des ordinateurs client, ainsi que pour modifier ces réglages.
Obtention d’un rapport sur les réglages d’administration
Vous pouvez demander aux clients Apple Remote Desktop actifs un rapport sur
les commandes qu’ils acceptent à partir de votre authentification administrateur.
Le rapport est une liste des types d’accès administrateur Apple Remote Desktop avec
pour chacun une indication d’activation ou de désactivation indiquant si ce type d’accès
est disponible ou non.
Pour obtenir un rapport sur les réglages d’administration :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Réglages d’administration.
4 Cliquez sur Rapport.
Modification des autorisations administrateur du client
Une fois les ordinateurs clients prêts à être administrés, vous pouvez modifier les autorisations d’accès administrateur pour plusieurs ordinateurs à la fois à l’aide de la commande
Modifier les réglages client. Si vous utilisez les Services de répertoire pour attribuer des
autorisations administrateur, il est inutile de modifier les réglages sur les clients.
Pour effectuer des changements sur un client, vous devez disposer du nom et du mot
de passe d’un utilisateur possédant des autorisations administrateur sur l’ordinateur.
Par ailleurs, vous devez déjà posséder l’autorisation de contrôle.
Remarque :il est inutile d’effectuer une sélection dans chaque page de l’assistant.
Vous pouvez cliquer sur Continuer pour passer à l’ensemble suivant de réglages.Chapitre 5 Comprendre et contrôler les autorisations d’accès 73
Pour modifier des autorisations administrateur sur chaque ordinateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Modifier les réglages client.
L’assistant du client apparaît. Cliquez sur Continuer.
4 Choisissez si le partage Remote Desktop doit avoir lieu au démarrage du système.
Cela change le réglage de la sous-fenêtre Partage des Préférences Système.
5 Choisissez si l’icône Apple Remote Desktop doit être affichée ou non dans la barre
des menus.
6 Cliquez sur Continuer.
7 Choisissez si vous devez créer ou non un nouvel utilisateur pour la connexion
à Apple Remote Desktop. Cliquez sur Continuer.
De nouveaux utilisateurs peuvent être utilisés pour accorder des autorisations administrateur Apple Remote Desktop. La création d’un nouvel utilisateur n’entraîne pas le
remplacement de ceux existants ni la modification de leurs mots de passe.
Si vous décidez de ne pas créer de nouvel utilisateur, passez directement à l’étape 9
après avoir cliqué sur Continuer.
8 Ajoutez un utilisateur en cliquant sur Ajouter et en saisissant les informations adéquates.
Cliquez sur OK après l’ajout de chaque utilisateur, puis sur Continuer lorsque vous êtes
prêt à poursuivre.
9 Déterminez si vous souhaitez affecter des autorisations d’accès administrateur Apple
Remote Desktop aux groupes Services d’annuaire.
Si vous choisissez de faire cela, sélectionnez “Activer l’administration basée sur
le répertoire”.
Consultez “Accès administrateur à Apple Remote Desktop avec Services de répertoire”
à la page 65 pour plus d’informations sur l’utilisation de cette méthode afin d’accorder
l’accès administrateur à Apple Remote Desktop.74 Chapitre 5 Comprendre et contrôler les autorisations d’accès
10 Déterminez si vous souhaitez affecter des autorisations d’accès administrateur Apple
Remote Desktop à des utilisateurs spécifiques. Cliquez sur Continuer.
Si vous décidez de ne pas attribuer d’autorisations d’accès administrateur, passez
à l’étape 13.
11 Cliquez sur Ajouter afin de désigner un utilisateur afin qu’il reçoive des privilèges
d’accès Apple Remote Desktop.
12 Saisissez son nom abrégé et attribuez les autorisations comme désiré.
Pour plus d’informations, consultez la section “Accès administrateur à Apple Remote
Desktop” à la page 62.
Cliquez sur OK après l’ajout de chaque utilisateur, puis sur Continuer lorsque vous êtes
prêt à poursuivre.
13 Choisissez si vous voulez autoriser un contrôle temporaire d’invités en demandant
des autorisations sur les ordinateurs clients.
14 Choisissez si vous voulez autoriser des visualiseurs VNC non Apple à contrôler les
ordinateurs clients et cliquez sur Continuer.
Pour plus d’informations, consultez la section “Réseau virtuel Calcul d’accès” à la page 70.
15 Si vous le souhaitez, vous pouvez renseigner un ou tous les champs Données système.
Ces informations apparaissent dans les rapports Vue d’ensemble du système d’Apple
Remote Desktop. Vous pouvez par exemple taper un numéro d’enregistrement pour
l’ordinateur, un numéro de série ou un nom et un numéro de téléphone d’utilisateur.
16 Cliquez sur Continuer pour réviser les réglages des clients.
17 Choisissez s’il faut exécuter la modification à l’aide de l’application ou d’un serveur
de tâches dédié.
18 Cliquez sur Modifier pour modifier les réglages des clients.
L’assistant de configuration du client contacte tous les ordinateurs sélectionnés
et modifie leurs réglages d’administration.6
75
6 Configuration du réseau
et gestion de la sécurité
Ce chapitre décrit les principaux aspects de la configuration
de votre réseau pour une utilisation avec l’administration système Apple Remote Desktop, ainsi que des conseils pour la
mise en place de votre réseau. En outre, il propose des informations sur les fonctionnalités de sécurité d’Apple Remote
Desktop, ainsi que des instructions détaillées pour les activer.
Il vous permettra d’en savoir plus sur les opérations suivantes :
 “Configuration du réseau” à la page 75.
 “Utilisation d’Apple Remote Desktop avec des ordinateurs sur un réseau sans fil
AirPort” à la page 76.
 “Optimisation des performances” à la page 77.
 “Gestion de la sécurité” à la page 78.
Configuration du réseau
Votre configuration réseau détermine les performances et la simplicité d’utilisation
d’Apple Remote Desktop. Les réseaux AirPort et AirPort Extreme sont plus lents que la
quasi totalité des réseaux Ethernet. Par conséquent, les opérations de copie de fichiers,
de contrôle de clients et de conception de rapports demandent plus de temps via des
connexions AirPort et AirPort Extreme. Les routeurs et les coupe-feu réseau affectent
également le trafic réseau, ce qui peut entraîner des conséquences quant à la fiabilité
et l’efficacité d’Apple Remote Desktop. Voici quelques consignes à retenir pour la configuration d’Apple Remote Desktop sur votre réseau :
 Plus il y a de clients AirPort connectés à une borne d’accès, plus la bande passante
est réduite pour chacun d’eux. Les bornes d’accès AirPort ne sont pas considérées
comme des “réseaux commutés”.
 L’exploration des noms d’hôtes locaux (utilisant la technologie Bonjour d’Apple, de la
forme suivante : nom.local) ne s’étend pas au-delà du sous-réseau local. Contrairement
aux noms de domaines, les noms d’hôtes locaux ne sont pas résolus via les routeurs.76 Chapitre 6 Configuration du réseau et gestion de la sécurité
 Les réseaux munis de commutateurs présentent moins de collisions et d’erreurs
de paquets que ceux à concentrateurs. Ils assurent donc un gain de fiabilité et de
rapidité. Préférez des commutateurs à des concentrateurs.
 Organisez les ordinateurs que vous administrez avec Apple Remote Desktop en petits
groupes et fermez l’application d’administration de Remote Desktop lorsqu’elle n’est
pas utilisée. Vous réduirez ainsi le nombre de requêtes d’état, et donc le trafic réseau.
 Si un client utilise un type de réseau lent, envisagez son exécution dans une liste
distincte des clients plus rapides. Un seul client lent peut ralentir toutes les opérations réseau.
 Si le trafic réseau traverse des coupe-feu, assurez-vous que la valeur du réglage MTU
(Maximum Transmission Unit) est élevée (1200 ou plus). Un réglage MTU trop bas peut
donner des écrans noirs lors du partage ou de l’envoi d’écrans.
 Si vous travaillez sur un réseau WAN (Wide-Area Network) ou MAN (Metropolitan Area
Network), vérifiez que le bit de défragmentation est désactivé sur votre routeur pour
éviter le regroupement de paquets. Les écrans pourraient apparaître noirs lors de leur
partage ou de leur envoi.
 Les réseaux NAT (Network Address Translation), tels que ceux employant la fonction
Partage Internet de Mac OS X, peuvent causer des problèmes de configuration et
d’accès.
Pour utiliser Remote Desktop depuis avant un routeur NAT et accéder à des ordinateurs
de l’autre côté de ce routeur, vous devez régler le réacheminement TCP et UDP des ports
3283 et 5900 vers l’ordinateur administrateur. De la même façon, pour accéder à un
ordinateur client unique derrière un routeur NAT, ce dernier doit être configuré pour
le réacheminement TCP et UDP des ports 3283 et 5900 vers cet ordinateur.
Utilisation d’Apple Remote Desktop avec des ordinateurs
sur un réseau sans fil AirPort
L’utilisation d’Apple Remote Desktop pour observer ou contrôler des ordinateurs clients
connectés via la technologie sans fil AirPort peut parfois freiner les performances ou provoquer des erreurs de communication apparaissant dans la fenêtre d’état de l’ordinateur.
Pour un fonctionnement optimal d’Apple Remote Desktop avec les ordinateurs
d’un réseau sans fil AirPort :
 Assurez-vous que toutes les stations de base AirPort et tous les ordinateurs clients
Apple Remote Desktop utilisent les versions les plus récentes des logiciels Apple
Remote Desktop, AirPort et Mac OS X.
 Limitez le nombre de clients se connectant à une borne d’accès AirPort. Les clients
AirPort sur une borne d’accès reçoivent tous les paquets de communication réseau
envoyés à n’importe quel client. Bien que les clients ignorent les paquets qui ne leur
sont pas destinés, les ressources de leur processeur sont sollicitées le temps d’identifier et de rejeter les paquets.Chapitre 6 Configuration du réseau et gestion de la sécurité 77
 Dimensionnez la fenêtre Contrôler et Observer. Apple Remote Desktop permet le
dimensionnement côté serveur, qui autorise moins de trafic sur le réseau lorsque
vous réduisez la fenêtre.
 Essayez de ne pas utiliser de tâches qui entraînent un trafic multidiffusion, telles que
le partage d’écran et la copie de fichiers. La copie de fichiers tente d’engager une série
de copies individuelles s’il y a un nombre significatif d’erreurs réseau multidiffusion.
 Les réseaux sans fil ne sont pas adaptés au trafic multidiffusion. La fonctionnalité
multiobservation d’Apple Remote Desktop est différente, car elle n’utilise pas le
trafic multidiffusion.
 Préférez l’affichage en noir et blanc à l’affichage en couleur pour les écrans partagés.
 Réglez votre borne d’accès AirPort sur une densité de borne Élevée et le taux de multidiffusion sur 11 Mbps à l’aide de l’Utilitaire Admin AirPort. L’utilisation de ces réglages
limitant la portée du réseau de chaque borne d’accès AirPort, les ordinateurs clients
doivent être placés à moins de 50 mètres d’une borne.
Optimisation des performances
Pour des performances optimales lorsque vous utilisez les commandes Partage d’écran,
Observer et Contrôler :
 Utilisez le réseau le plus rapide possible. Cela consiste à favoriser Ethernet par
rapport à AirPort, 1000Base-T par rapport à 100Base-T, et 100Base-T par rapport
à 10Base-T.
 Si vous utilisez AirPort, définissez une vitesse de multidiffusion supérieure.
 Dans la mesure du possible, ne mélangez pas les vitesses réseau.
 Limitez l’utilisation d’animations sur les ordinateurs distants. Il est par exemple
possible de simplifier les réglages de préférences du Dock en désactivant l’animation, l’agrandissement, le masquage et l’affichage automatiques.
 Affichez l’écran du client dans une fenêtre plus petite lorsque vous employez l’option
Adapter à la fenêtre.
 Affichez l’écran du client avec moins de couleurs.
 Utilisez une couleur unie pour le bureau de l’écran que vous partagez.
 Ne partagez d’écrans que sur des réseaux locaux. Les modifications d’écran seront
plus lentes si vous partagez un écran avec un ordinateur relié à un autre routeur.
 Définissez la qualité d’image la plus faible acceptable pour les fonctionnalités
Contrôler et Observer.78 Chapitre 6 Configuration du réseau et gestion de la sécurité
Gestion de la sécurité
Remote Desktop peut s’avérer un outil puissant pour enseigner, faire la démonstration
et exécuter des tâches de maintenance. Pour un aspect pratique, le nom et le mot de
passe administrateur servant à accéder à Remote Desktop peuvent être stockés dans
un trousseau ou être sollicités à chaque ouverture de l’application. Toutefois, le nom et
le mot de passe administrateur de chaque ordinateur client sont stockés dans les préfé-
rences de l’administrateur et cryptés.
Sécurité de l’application d’administration
 Servez-vous du mode utilisateur pour limiter les actions des utilisateurs non administrateurs dans Remote Desktop.
Voir “Accès non-administrateur à Apple Remote Desktop” à la page 69.
 Si vous laissez le mot de passe Remote Desktop dans votre trousseau, pensez à
verrouiller ce dernier lorsque vous n’êtes pas devant votre ordinateur administrateur.
 Pensez à limiter le nombre de comptes utilisateur afin d’éviter l’utilisation de
Remote Desktop.
Dans un client géré pour l’environnement Mac OS X (MCX) ou via la sous-fenêtre
Comptes des Préférences Système, vous pouvez vérifier que seuls les utilisateurs
autorisés utilisent Remote Desktop.
 Vérifiez si l’ordinateur administrateur est actuellement observé ou contrôlé avant
de lancer Remote Desktop (et arrêtez-le si c’est le cas).
Remote Desktop empêche les utilisateurs de contrôler un client à l’aide d’une copie
de Remote Desktop en cours d’exécution au moment de la connexion, mais ne
déconnecte pas de l’ordinateur administrateur au moment de son lancement les sessions d’observation ou de contrôle existantes. Bien que cette fonction soit utile pour
interagir avec un réseau local distant situé derrière une passerelle NAT, elle peut être
exploitée pour obtenir secrètement des informations sur l’administrateur, l’ordinateur de l’administrateur et ses ordinateurs clients associés.
Sécurité des autorisations utilisateur
 Pour désactiver ou limiter l’accès d’un administrateur à un client Apple Remote Desktop,
ouvrez les Préférences Système sur l’ordinateur client et modifiez les réglages de la sousfenêtre Remote Desktop, dans la sous-fenêtre Partage. Les changements s’appliquent au
terme de la session Apple Remote Desktop en cours avec l’ordinateur client.
 Rappelez-vous que Apple Remote Desktop continue de travailler sur les ordinateurs
clients tant que la session reste ouverte, même si le mot de passe utilisé pour l’administration de l’ordinateur est changé.
 N’utilisez pas un nom d’utilisateur pour le nom et le mot de passe d’accès à Apple
Remote Desktop. Créez des comptes “factices” pour l’accès à Apple Remote Desktop
et limitez leurs privilèges d’accès à l’interface utilisateur et de connexion à distance.Chapitre 6 Configuration du réseau et gestion de la sécurité 79
Sécurité d’accès par mot de passe
 Ne communiquez le mot de passe Remote Desktop à personne.
 Ne communiquez en aucun cas vos nom et mot de passe administrateur.
 Choisissez des mots de passe sûrs en termes cryptographiques (pas de mots figurant
dans le dictionnaire, minimum de huit caractères ou plus, incluant des lettres, des
chiffres et des signes de ponctuation, sans construction répétitive).
 Testez régulièrement vos fichiers de mot de passe contre les attaques de type
dictionnaire, afin de détecter les mots de passe faibles.
 Quittez l’application Remote Desktop dès que vous avez terminé de l’utiliser. Si vous
n’avez pas stocké le mot de passe Remote Desktop dans votre trousseau, l’application
vous demandera d’entrer le nom et le mot de passe administrateur à la prochaine
ouverture.
Sécurité d’accès physique
 Si vous avez stocké le mot de passe Remote Desktop dans votre trousseau, assurez-vous
que celui-ci est protégé et que l’application est fermée lorsque vous n’êtes pas devant
la fenêtre Remote Desktop.
 Pour laisser l’application Remote Desktop ouverte et vous absenter, utilisez un économiseur d’écran protégé par mot de passe et déterminez un coin actif pour pouvoir l’activer immédiatement.
Authentification et cryptage du transport de données
Remote Desktop
L’authentification auprès de clients Apple Remote Desktop suit une méthode s’appuyant
sur le protocole d’accord Diffie-Hellman qui crée une clé 128 bit partagée. Cette clé partagée sert à crypter le nom et le mot de passe à l’aide du standard AES (Advanced Encryption Standard). Le protocole d’accord Diffie-Hellman employé dans Remote Desktop 3 est
très similaire à celui utilisé pour le partage de fichiers personnels, les deux recourant à un
schéma 512 bits pour calculer la clé partagée.
Avec Remote Desktop 3, la frappe des touches et les événements de la souris sont cryptés
pendant le contrôle d’ordinateurs clients Mac OS X. En outre, toutes les tâches à l’exception des données d’écran Contrôler et Observer, ainsi que les fichiers copiés via Copier des
éléments et Installer des paquets, sont cryptés pour leur transfert, bien que vous puissiez
choisir de les crypter également en changeant les préférences de l’application). Ces informations sont cryptées à l’aide du standard AES (Advanced Encryption Standard), avec une
clé 128 bits partagée générée lors de l’authentification.
Cryptage des données réseau Observer et Contrôler
Bien que Remote Desktop envoie les informations d’authentification, les saisies au clavier
et les commandes de gestion en mode crypté par défaut, vous pouvez renforcer encore
la sécurité. Vous pouvez choisir de crypter tout le trafic Observer et Contrôler, ce qui
implique un certain coût en termes de performances.80 Chapitre 6 Configuration du réseau et gestion de la sécurité
Le cryptage est effectué à l’aide d’un tunnel SSH entre les ordinateurs qui participent.
Pour utiliser le cryptage pour les tâches Observer et Contrôler, SSH doit être activé sur
les ordinateurs cibles (“Connexion à distance” dans la sous-fenêtre Préférences Partage
de l’ordinateur). En outre, les coupe-feu entre les ordinateurs participant doivent être
configurés pour transmettre le trafic sur le port TCP 22 (port SSH).
Si vous essayez de contrôler un serveur VNC qui n’est pas Remote Desktop, il ne prendra
pas en charge la fonction de cryptage de frappe de Remote Desktop. Si vous essayez de
contrôler ce serveur VNC, un avertissement vous sera présenté pour signaler que les
frappes au clavier ne sont pas cryptées et vous devrez confirmer le message avant de
contrôler le serveur VNC. Si vous choisissez de crypter l’ensemble des données réseau,
vous ne pourrez pas contrôler le serveur VNC car Remote Desktop ne peut pas ouvrir
le tunnel SSH nécessaire pour le serveur VNC.
Pour activer le cryptage de transport Observer et Contrôler :
1 Choisissez Remote Desktop > Préférences.
2 Cliquez sur le bouton Sécurité.
3 Dans la section “Contrôle des ordinateurs”, sélectionnez “Crypter toutes les données réseau”.
Cryptage des données réseau au cours des tâches Copier des éléments
et Installer des paquets
Remote Desktop peut envoyer les fichiers pour les tâches Copier des éléments et Installer des paquets via le transport crypté. Cette option n’est pas activée par défaut et vous
devez soit l’activer explicitement pour chaque tâche de copie, soit via un réglage global dans les préférences de Remote Desktop. Même les fichiers des paquets d’installation peuvent être interceptés s’ils ne sont pas cryptés.
Pour crypter les tâches individuelles de copie de fichiers et d’installation de paquets :
m Dans la fenêtre de configuration de la tâche Copier des éléments ou Installer des paquets,
sélectionnez “Crypter les données réseau”.
Pour définir une préférence de cryptage par défaut pour les copies de fichiers :
1 Dans la fenêtre Préférences de Remote Desktop, sélectionnez la sous-fenêtre Sécurité.
2 Cochez la case “Crypter les transferts lors de la copie d’éléments” ou “Crypter les transferts
lors de l’installation de paquets”, en fonction de vos besoins.
Une autre solution consiste à crypter l’archive avant de la copier. L’archive cryptée peut
être interceptée, mais son contenu ne peut pas être lu.7
81
7 Communication avec
les utilisateurs
Apple Remote Desktop est un outil puissant pour
communiquer avec les ordinateurs sur un réseau.
Vous pouvez contrôler ou observer les écrans à
distance, envoyer des textes de message aux
utilisateurs distants ou partager votre écran avec
les autres.
Ce chapitre décrit les fonctions de communication utilisateur de Remote Desktop et
fournit des instructions complètes pour leur utilisation. Il vous permettra d’en savoir
plus sur les opérations suivantes :
 “Contrôle” à la page 82.
 “Observation” à la page 90.
 “Envoi de messages” à la page 96.
 “Partage d’écrans” à la page 97.
 “Interaction avec l’administrateur Apple Remote Desktop” à la page 98.82 Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs
Contrôle
Apple Remote Desktop vous permet de contrôler des ordinateurs distants comme si vous
vous trouviez face à eux. Vous pouvez contrôler la souris et le clavier d’un seul ordinateur
à la fois. Apple Remote Desktop peut contrôler deux types d’ordinateurs distants : les
clients Apple Remote Desktop et les serveurs Virtual Network Computing (VNC).
Contrôle des clients Apple Remote Desktop
Les ordinateurs clients Apple Remote Desktop peuvent être contrôlés par n’importe
quel ordinateur administrateur sur lequel l’autorisation Contrôle est activée. Consultez
la section “Accès administrateur à Apple Remote Desktop” à la page 62 pour plus
d’informations sur les autorisations Apple Remote Desktop.
Lorsque vous contrôlez un ordinateur client Apple Remote Desktop, certains raccourcis
clavier ne peuvent pas être envoyés à l’ordinateur distant, mais affectent l’ordinateur
administrateur. Il s’agit des raccourcis :
 Changer d’application active (Commande + Tab et Commande + Maj + Tab).
 Afficher ou masquer le Dock (Commande + Option + D).
 Déconnecter l’utilisateur (Commande + Maj + Q).
 Effectuer une capture d’écran (Commande + Maj + 4).
 Forcer l’arrêt (Commande + Option + Échap).Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs 83
Sachez également que les touches spéciales, comprenant notamment les touches de
volume, de luminosité d’écran et d’éjection de disque, n’affectent pas l’ordinateur client.
Ces instructions supposent qu’Apple Remote Desktop est installé et correctement
configuré sur l’ordinateur observé (voir “Première configuration d’un ordinateur client
Apple Remote Desktop” à la page 42) et que ce dernier a été ajouté à une liste d’ordinateurs Apple Remote Desktop (voir “Recherche et ajout de clients aux listes d’ordinateurs Apple Remote Desktop” à la page 51).
Pour contrôler un client Apple Remote Desktop :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ordinateur dans la liste.
3 Choisissez Communication > Contrôler.
4 Pour personnaliser la fenêtre et la session de contrôle, consultez la section
“Options de la fenêtre de contrôle” à la page 83.
5 Utilisez votre souris et votre clavier pour effectuer des actions sur l’ordinateur contrôlé.
Si vos préférences Remote Desktop sont réglées pour partager le contrôle du clavier
et de la souris, le clavier et la souris de l’ordinateur distant seront actifs et affecteront
l’ordinateur de la même manière que le clavier et la souris de l’ordinateur administrateur.
Si vos préférences ne sont pas réglées pour partager le contrôle, le clavier et la souris
de l’ordinateur ne fonctionneront pas tant que l’ordinateur administrateur disposera
du contrôle.
Options de la fenêtre de contrôle
Lors du contrôle d’un client, la barre de titre de la fenêtre de contrôle contient plusieurs
boutons que vous pouvez utiliser pour personnaliser le contrôle à distance. Il y a des
boutons qui basculent la session de contrôle entre deux états, et des boutons d’action
qui effectuent une tâche spécifique. Outre les boutons, il y a un curseur pour la qualité
d’image.
Les boutons à bascule sont les suivants :
 Mode Contrôler ou mode Observer
 Partager le contrôle de la souris avec l’utilisateur
 Adapter l’écran à la fenêtre
 Verrouiller l’écran de l’ordinateur pendant le contrôle
 Mettre en mode plein écran
Les boutons d’action sont les suivants :
 Capturer l’écran dans un fichier
 Obtenir le contenu du presse-papiers distant
 Envoyer le contenu du presse-papiers local vers le presse-papiers distant84 Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs
Basculer la fenêtre de contrôle entre le mode plein écran
et l’adaptation à la fenêtre
Lorsque vous contrôlez un client, vous pouvez afficher sa fenêtre en taille réelle ou la
réduire pour qu’elle s’adapte à la fenêtre de contrôle. L’affichage de la fenêtre du client
en mode plein écran montre l’écran du client à sa résolution réelle. Si l’écran de l’ordinateur contrôlé est plus grand que votre fenêtre de contrôle, l’écran affiche des barres
de défilement au bord de la fenêtre.
Pour basculer entre le mode plein écran et l’adaptation à la fenêtre :
1 Contrôlez un ordinateur client.
2 Cliquez sur le bouton Adapter l’écran à la fenêtre dans la barre d’outils de la fenêtre
de contrôle.
Basculement entre les modes Contrôler et Observer
Chaque session de contrôle peut être basculée vers une session d’observation d’un
client unique, dans laquelle l’ordinateur contrôlé ne reçoit plus la saisie à la souris et
au clavier de l’ordinateur administrateur. Cela vous permet de transférer facilement
le contrôle à un utilisateur du clavier de l’ordinateur client, ou de placer l’écran en
observation sans affecter de manière accidentelle l’ordinateur client.
Consultez la section “Observation d’un seul ordinateur” à la page 94 pour plus d’informations sur le mode d’observation Apple Remote Desktop.
Pour basculer entre les modes Contrôler et Observer :
1 Contrôlez un ordinateur client.
2 Cliquez sur le bouton Contrôler/Observer dans la barre d’outils de la fenêtre de contrôle.
Partage du contrôle avec un utilisateur
Vous pouvez soit prendre le contrôle total de la souris et du clavier, soit partager le
contrôle avec un utilisateur client Apple Remote Desktop. Cela vous permet d’avoir
davantage de contrôle sur l’interaction avec les clients, ainsi que d’empêcher les éventuelles interférences côté client.
Ce bouton n’a aucun effet pour le contrôle de serveurs VNC. Pour plus d’informations,
consultez la section “Contrôle de serveurs VNC” à la page 86.
Pour basculer entre les modes de contrôle complet et de partage de souris :
1 Contrôlez un ordinateur client.
2 Cliquez sur le bouton “Partager le contrôle de la souris et du clavier” dans la barre
d’outils de la fenêtre de contrôle.Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs 85
Masquer l’écran d’un utilisateur pendant le contrôle
Vous pouvez être amené à contrôler un ordinateur client devant lequel se trouve un
utilisateur, mais vous ne souhaitez pas que l’utilisateur voie ce que vous faites. Dans
ce cas, vous pouvez désactiver l’écran des ordinateurs clients tout en préservant votre
propre affichage de l’ordinateur client. Ce mode de contrôle spécial est appelé “mode
rideau”. Vous pouvez changer ce qu’il y a “derrière le rideau” et l’afficher lorsque le mode
de contrôle standard est rétabli.
Pour basculer entre les modes de contrôle standard et rideau :
1 Contrôlez un ordinateur client.
2 Cliquez sur le bouton “Verrouiller l’écran de l’ordinateur pendant le contrôle”, dans la
barre d’outils de la fenêtre de contrôle.
Capture de la fenêtre de contrôle dans un fichier
Vous pouvez faire une capture de l’écran distant et l’enregistrer dans un fichier. Le fichier
est enregistré dans l’ordinateur de l’administrateur et présente la même résolution et la
même profondeur de couleur que l’écran contrôlé dans la fenêtre.
Pour capturer l’écran d’un client contrôlé :
1 Contrôlez un ordinateur client.
2 Cliquez sur le bouton “Capturer l’écran dans un fichier” dans la barre d’outils de
la fenêtre de contrôle.
3 Nommez le nouveau fichier.
4 Cliquez sur Enregistrer.
Basculement de la session de contrôle entre les modes plein écran
et dans une fenêtre
Vous pouvez contrôler un ordinateur soit dans une fenêtre, soit en utilisant la totalité
de l’écran de l’ordinateur administrateur. Le bouton “Mettre en mode plein écran” bascule entre ces deux modes.
En mode plein écran, l’écran de l’ordinateur client est dimensionné afin de remplir totalement l’écran de l’ordinateur administrateur. Outre l’écran du client, un certain nombre
de commandes Apple Remote Desktop restent visible sur l’écran du client.
En mode dans une fenêtre, vous pouvez basculer entre le mode d’adaptation de l’écran
du client à la fenêtre et son affichage en taille réelle, avec possibilité de voir la totalité
de l’écran du client. Pour plus d’informations, consultez la section “Basculer la fenêtre
de contrôle entre le mode plein écran et l’adaptation à la fenêtre” à la page 84.
Pour basculer entre le mode plein écran et le mode dans une fenêtre :
1 Contrôlez un ordinateur client.
2 Cliquez sur le bouton “Mettre en mode plein écran” dans la barre d’outils de la fenêtre
de contrôle.86 Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs
Partage de presse-papiers pour copier et coller
Vous pouvez transférer des données entre les presse-papiers de l’ordinateur administrateur et de l’ordinateur client. Par exemple, vous pouvez copier du texte à partir d’un
fichier sur l’ordinateur administrateur et le coller dans un document ouvrir sur l’ordinateur client. De la même façon, vous pouvez copier un lien du navigateur Web de l’ordinateur client et le coller dans le navigateur Web de l’ordinateur administrateur.
Les raccourcis clavier des commandes Copier, Couper et Coller sont toujours transmis
à l’ordinateur client.
Pour partager le contenu du presse-papiers avec le client :
1 Contrôlez un ordinateur client.
2 Cliquez sur le bouton “Obtenir le contenu du presse-papiers distant” dans la barre d’outils
de la fenêtre de contrôle afin de récupérer le contenu du presse-papiers du client.
3 Cliquez sur le bouton “Envoyer le contenu du presse-papiers vers le presse-papiers
distant” dans la barre d’outils de la fenêtre de contrôle afin d’envoyer le contenu
vers le presse-papiers du client.
Contrôle de serveurs VNC
VNC (Virtual Network Computing) est un logiciel de contrôle à distance. Il permet à
l’utilisateur d’un ordinateur de voir (via un “visualiseur”) le bureau d’un autre ordinateur connecté via le réseau et d’en contrôler le clavier et la souris (à l’aide d’un “serveur” VNC). Tout au long de ces instructions, les ordinateurs équipés du logiciel VNC
seront appelés “clients VNC”.
Des serveurs et des visualiseurs VNC sont disponibles pour toute une gamme de platesformes informatiques. Remote Desktop est un visualiseur VNC et peut dès lors prendre le
contrôle de n’importe quel ordinateur du réseau (qu’il s’agisse d’un ordinateur Mac OS X,
Linux ou Windows) soit :
 En exécutant le logiciel serveur VNC.
 Dans une liste d’ordinateurs Apple Remote Desktop.
Si vous essayez de contrôler un serveur VNC qui n’est pas Remote Desktop, il ne prendra
pas en charge la fonction de cryptage de frappe de Remote Desktop. Si vous essayez de
contrôler ce serveur VNC, un avertissement vous sera présenté pour signaler que les frappes au clavier ne sont pas cryptées et vous devrez confirmer le message avant de contrôler
le serveur VNC. Si vous choisissez de crypter l’ensemble des données réseau, vous ne
pourrez pas contrôler le serveur VNC car Remote Desktop ne peut pas ouvrir le tunnel SSH
nécessaire pour le serveur VNC. Pour plus d’informations, consultez la section “Cryptage
des données réseau Observer et Contrôler” à la page 79.Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs 87
Ces instructions reposent sur l’hypothèse selon laquelle l’ordinateur observé a été ajouté
à une liste d’ordinateurs Apple Remote Desktop (voir “Recherche et ajout de clients aux
listes d’ordinateurs Apple Remote Desktop” à la page 51). Lors de l’ajout d’un serveur VNC
à une liste d’ordinateurs Apple Remote Desktop, vous devez uniquement fournir le mot
de passe VNC, sans nom d’utilisateur.
Pour contrôler un ordinateur client VNC :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ordinateur dans la liste.
3 Choisissez Communication > Contrôler.
Si l’écran de l’ordinateur contrôlé est plus grand que votre fenêtre de contrôle, l’écran
défilera à mesure que le pointeur se rapproche des bords de la fenêtre.
4 Pour personnaliser la fenêtre et la session de contrôle, consultez la section
“Options de la fenêtre de contrôle” à la page 83.
5 Utilisez votre souris et votre clavier pour effectuer des actions sur l’ordinateur contrôlé.
Quelles que soient vos préférences Apple Remote Desktop, les serveurs VNC contrôlés
partagent le contrôle du clavier et de la souris. Le clavier et la souris de l’ordinateur distant sont actifs et affectent l’ordinateur de la même manière que le clavier et la souris
de l’ordinateur administrateur.
Configuration d’un serveur VNC non–Mac OS X
Cette section décrit la procédure élémentaire pour configurer un client autre que
Mac OS X afin qu’il soit observé à l’aide de Remote Desktop. Cette section ne fournit
pas d’instructions détaillées, car la procédure dépend du système d’exploitation du
client, du logiciel VNC et du coupe-feu.
La procédure de base est la suivante :
1 Installez le logiciel serveur VNC sur l’ordinateur client (par exemple un PC
ou un ordinateur Linux).
2 Affectez un mot de passe VNC sur l’ordinateur client.
3 Assurez-vous que le port VNC (TCP 5900) est ouvert sur le coupe-feu du client.
4 Assurez-vous que “Crypter toutes les données réseau” n’est pas sélectionné dans
la section Sécurité des préférences de Remote Desktop.
5 Ajoutez l’ordinateur à la liste Tous les ordinateurs de Remote Desktop avec l’adresse IP
du client.
6 Indiquez le mot de passe VNC de l’ordinateur client dans la zone d’authentification
Remote Desktop.88 Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs
Un serveur VNC n’a pas de nom d’utilisateur, mais seulement un mot de passe.
Options de contrôle VNC
Une fois que vous avez ajouté un serveur VNC à une liste d’ordinateurs (ou lorsque
vous l’ajoutez pour la première fois), vous pouvez configurer un port personnalisé
pour la communication VNC et désigner un affichage à contrôler.
Pour configurer un port personnalisé sur un membre d’une liste d’ordinateurs existante :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ordinateur Serveur VNC dans la fenêtre de Remote Desktop.
3 Choisissez Fichier > Lire les informations.
4 Cliquez sur Modifier dans la fenêtre Infos.
5 À la fin de l’adresse IP ou du nom de domaine entièrement qualifié, ajoutez un signe
deux-points suivi du port désiré.
Par exemple, si vous souhaitez vous connecter à un serveur VNC (serveurvnc.exemple.com)
qui écoute sur le port TCP 15900, tapez :
serveurvnc.exemple.com:15900
6 Cliquez sur Terminé.
Pour définir un port VNC personnalisé lors de l’ajout d’un ordinateur par adresse :
1 Choisissez Fichier > Ajouter par adresse.
2 Entrez l’adresse IP ou le nom de domaine entièrement qualifié.
3 À la fin de l’adresse IP ou du nom de domaine entièrement qualifié, ajoutez un signe
deux-points suivi du port désiré.
Par exemple, si vous souhaitez vous connecter à un serveur VNC (serveurvnc.exemple.com)
qui écoute sur le port TCP 15900, tapez :
serveurvnc.exemple.com:15900
4 Saisissez vos nom d’utilisateur et mot de passe.
5 Cliquez sur Ajouter.
Contrôle Apple Remote Desktop et la combinaison Contrôle + Option + Suppr du PC
Si vous utilisez Remote Desktop pour administrer un PC qui exécute VNC, vous vous
demanderez peut-être comment envoyer la commande “Contrôle + Option + Suppr”
d’un Mac vers le PC. Bien que les affectations de touches ne soient pas les mêmes sur
les Mac et les PC, vous pouvez utiliser une combinaison alternative pour envoyer la
commande.
 Pour les claviers taille normale (postes de travail), utilisez Contrôle + Option + Suppr
 Pour les claviers abrégés (ordinateurs portables), utilisez Fonction + Contrôle +
Option + Commande + SupprChapitre 7 Communication avec les utilisateurs 89
Pour désigner un affichage à contrôler :
1 Ajoutez un numéro de port personnalisé, comme décrit ci-dessus.
2 Utilisez le numéro d’affichage du dernier numéro de la désignation de port personnalisé (les désignations affichées commencent à 0 pour l’affichage principal par défaut).
Par exemple, si vous souhaitez contrôler l’affichage par défaut sur un serveur VNC
(serveurvnc.exemple.com) qui écoute sur le port TCP 5900, tapez :
serveurvnc.exemple.com:5900
Si vous souhaitez contrôler le deuxième affichage, tapez :
serveurvnc.exemple.com:5901
Si vous souhaitez contrôler le troisième affichage, tapez :
serveurvnc.exemple.com:5902
Configuration d’un client Apple Remote Desktop pour le contrôle
par un Visualiseur VNC
Lorsqu’il est configuré pour cela, un client Apple Remote Desktop peut être contrôlé
avec un visualiseur VNC non–Apple.
L’autorisation d’un visualiseur VNC non Apple à accéder à un client Apple Remote
Desktop est moins sûre que d’utiliser Remote Desktop pour contrôler le client.
Les logiciels VNC non-Apple sont réglés pour que le mot de passe soit stocké sous
une forme et dans un emplacement non sécurisés.
Pour configurer un client afin qu’il accepte les connexions VNC :
1 Ouvrez les Préférences Système sur l’ordinateur client.
2 Cliquez sur Partage, sélectionnez Apple Remote Desktop, puis cliquez sur Autorisations
d’accès.
3 Sélectionnez “Les utilisateurs VNC peuvent contrôler l’écran avec ce mot de passe”.
4 Entrez un mot de passe VNC.
5 Cliquez sur OK.
Avertissement :n’employez pas le même mot de passe qu’un utilisateur ou
un administrateur Apple Remote Desktop. Ce mot de passe n’est peut-être pas sûr.90 Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs
Observation
Il se peut que vous souhaitiez simplement observer l’écran d’un ordinateur plutôt que
de le contrôler. L’observation d’un ordinateur distant est similaire au contrôle, sauf que
les mouvements de votre souris et les entrées de clavier ne sont pas envoyées à l’ordinateur distant. Les ordinateurs clients Apple Remote Desktop peuvent être observés
par n’importe quel ordinateur administrateur sur lequel l’autorisation Observer est définie. Consultez la section “Accès administrateur à Apple Remote Desktop” à la page 62
pour plus d’informations sur les autorisations Apple Remote Desktop.
Remote Desktop vous permet d’observer plusieurs clients sur le même écran, en passant
en revue la liste des ordinateurs observés. Cela vous permet de surveiller plusieurs écrans
sans devoir sélectionner individuellement chacun d’entre eux.
Gestion de nombreux écrans de client
Lorsque vous observez un seul client, vous pouvez afficher sa fenêtre en taille réelle ou
la réduire pour qu’elle s’adapte à la fenêtre d’observation. Pour basculer entre la taille
normale et la taille adaptée à la fenêtre, cliquez sur le bouton “Adapter à la fenêtre”,
comme vous le feriez dans une fenêtre de contrôle.
Si vous observez un nombre de clients plus important que le nombre prévu pour un
affichage sur un seul écran, il est possible de faire défiler plusieurs pages en cliquant
sur les boutons Précédent ou Suivant.Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs 91
Parcourir les pages : utilisez ces boutons pour passer manuellement à la page d’écrans
précédente ou suivante.
Affichage d’informations supplémentaires sur les clients observés
Il existe sous chacun des bureaux observés une zone d’informations relatives à l’ordinateur. Cette zone est automatiquement désactivée lorsque l’administrateur observe un
nombre d’ordinateurs supérieur au nombre affichable de manière correcte dans la zone
d’informations (seuil d’environ 220 pixels en largeur). Cela peut arriver si :
 la sélection initiale d’ordinateurs est trop importante pour la taille de la fenêtre ;
 la fenêtre d’observation est redimensionnée, ce qui a pour effet de faire passer
la taille des informations en dessous du seuil ;
 le réglage relatif au nombre d’ordinateurs observés est modifié.
La zone des informations d’ordinateur est réactivée lorsque les tailles sont ramenées
à une valeur supérieure au seuil de la taille d’image.
Modification des réglages d’observation pendant l’observation
Vous pouvez, alors que vous êtes en train d’observer plusieurs ordinateurs, modifier
les réglages d’observation d’Apple Remote Desktop à l’aide des commandes situées
en haut de la fenêtre d’observation.
Ces réglages seront visibles après avoir cliqué sur Options de présentation dans
la barre d’outils.
Pour modifier vos réglages d’observation :
 Délai de page : réglez le nombre de secondes écoulées avant de passer automatiquement à la page d’écrans suivante.
 Ordinateurs par page : réglez le nombre d’écrans clients visibles par page.
 Qualité de l’image : réglez le nombre de couleurs de l’écran (du noir et blanc
aux millions de couleurs).92 Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs
 Titre : modifiez les titres des écrans affichés dans la zone des informations d’ordinateur.
 Image de compte : ajoutez l’image de compte de l’utilisateur actuellement connecté
sous chaque bureau observé.
Pour plus d’informations, consultez la section “Affichage de l’image de compte d’un
utilisateur pendant l’observation” à la page 92.
 État de l’ordinateur : ajoutez une icône de vue d’ensemble de l’état sous le bureau
observé.
Pour plus d’informations, consultez la section “Affichage de l’état du système d’un
ordinateur pendant l’observation” à la page 93.
Modification des titres d’écran pendant l’observation
Pendant que vous observez plusieurs ordinateurs, vous pouvez modifier le titre qui
se trouve sous les bureaux affichés dans la fenêtre d’observation.
Le titre principal peut être constitué des éléments suivants :
 Nom (nom de partage de l’ordinateur)
 Adresse IP
 Nom d’hôte
Pour modifier vos titres de fenêtre d’observation :
1 Cliquez sur Options de présentation dans la barre d’outils de la fenêtre d’observation.
2 Sélectionnez “Afficher les informations sur l’ordinateur”.
3 Dans le menu local Titre, sélectionnez le titre souhaité.
4 Cliquez sur Terminé.
Affichage de l’image de compte d’un utilisateur pendant l’observation
Remote Desktop peut afficher l’image de compte de l’utilisateur et un état créé par
l’utilisateur sous le bureau observé.
L’image de compte de l’utilisateur correspond à son icône de connexion au système ;
il peut donc s’agir d’une photo prise à l’aide d’une caméra iSight ou d’une image personnalisée sélectionnée via la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système.
Pour afficher l’image de compte d’un utilisateur :
1 Cliquez sur Options de présentation dans la barre d’outils de la fenêtre d’observation.
2 Sélectionnez “Afficher les informations sur l’ordinateur”.
3 Sélectionnez Image de compte.
4 Cliquez sur Terminé.Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs 93
Affichage de l’état du système d’un ordinateur pendant l’observation
Remote Desktop peut afficher certaines informations concernant l’état du système sous le
bureau observé. Ces informations donnent un aperçu des statistiques de service suivantes :
 Utilisation du processeur
 Utilisation du disque
 Mémoire libre
Les statistiques du système comprennent deux niveaux d’approfondissement dans
les détails. Le premier niveau consiste en une icône unique (rouge, jaune ou verte).
Pour afficher le second niveau, vous devez placer le pointeur sur l’icône d’état de premier niveau. L’icône se transforme en “i” et vous pouvez cliquer sur le “i” pour obtenir
des informations supplémentaires. Le fait de cliquer sur l’icône permet d’afficher des
icônes d’état relatives à chaque service :
Icône Signification
ou
Une ou plusieurs statistiques de service sont rouges. Ceci est prioritaire par rapport à n’importe quel indicateur jaune ou vert.
ou
Une ou plusieurs statistiques de service sont jaunes. Ceci est prioritaire par rapport à n’importe quel indicateur vert.
Le service fonctionne en respectant les paramètres établis.
Aucune information sur le service n’est disponible.
Service Icône État
Utilisation du processeur Utilisation de 60 % ou moins
Utilisation entre 60 % et 85 %
Utilisation de 85 % ou plus
Aucune information sur l’état n’est disponible
Utilisation du disque Utilisation de 90 % ou moins
Utilisation entre 90 % et 95 %
Utilisation de 95 % ou plus94 Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs
Pour afficher l’état du système dans la fenêtre d’observation :
1 Cliquez sur Options de présentation dans la barre d’outils de la fenêtre d’observation.
2 Sélectionnez “Afficher les informations sur l’ordinateur”.
3 Sélectionnez “État de l’ordinateur”.
4 Cliquez sur Terminé.
Raccourcis de la fenêtre d’observation de plusieurs écrans
Vous pouvez accéder à plusieurs commandes Apple Remote Desktop en utilisant les icô-
nes de la fenêtre Observer. Vous pouvez personnaliser la fenêtre Observer avec les commandes les plus utiles pour vous. Par exemple, vous pouvez avoir besoin d’accéder à la
commande Copier des éléments, à la commande Discuter et à la commande Verrouiller
l’écran, en utilisant les boutons de la barre d’outils de la fenêtre Observer. Vous pouvez
effectuer des tâches Remote Desktop sur n’importe quel ordinateur en sélectionnant son
écran et en choisissant une tâche dans les menus Remote Desktop ou la barre d’outils de
la fenêtre Observer.
Quelles que soient les personnalisations de votre barre d’outils, vous pouvez avancer
manuellement dans les pages, changer le titre des écrans observés, changer le nombre
d’écrans client par page, changer le nombre de secondes avant le changement de page,
ou encore changer le nombre de couleurs des écrans observés.
Observation d’un seul ordinateur
Lorsque vous observez un seul ordinateur, l’écran observé est affiché dans une fenêtre
de votre ordinateur administrateur. Si un économiseur d’écran est en cours d’exécution
pendant que vous observez l’écran, il demeure activé. La fenêtre d’observation contient
un bouton de partage du contrôle de la souris qui permet de passer au contrôle de l’écran.
Aucune information sur l’état n’est disponible
Mémoire libre Utilisation de moins de 80 %
Utilisation entre 80 % et 95 %
Utilisation de plus de 95 %
Aucune information sur l’état n’est disponible
Service Icône ÉtatChapitre 7 Communication avec les utilisateurs 95
Pour observer un seul ordinateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ordinateur dans la fenêtre Remote Desktop.
3 Choisissez Communication > Observer.
Si l’écran de l’ordinateur observé est plus grand que la fenêtre d’observation, l’écran
défilera à mesure que le pointeur se rapproche des bords de la fenêtre.
4 Pour personnaliser la fenêtre et la session d’observation d’un client unique, consultez
la section “Options de la fenêtre de contrôle” à la page 83. Les options de la fenêtre
d’observation sont les mêmes que celles de la fenêtre de contrôle.
Observation de plusieurs ordinateurs
Lorsque vous observez plusieurs ordinateurs clients, chaque écran client est réduit afin
que plusieurs ordinateurs puissent être affichés en même temps. Vous pouvez définir
le nombre d’écrans clients à afficher simultanément. Pour plus d’informations, consultez
la section “Définition des préférences de l’application d’administration Remote Desktop”
à la page 37.
Si un économiseur d’écran est en cours d’exécution sur un client lorsque vous
commencez l’observation, l’économiseur d’écran reste actif.
Les écrans défilent dans la liste des ordinateurs sélectionnés, quelques-uns à la fois,
avec changement toutes les 30 secondes, selon le réglage de vitesse sélectionné.
Pour observer plusieurs ordinateurs :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Communication > Observer.
Les écrans des ordinateurs distants sont affichés dans une fenêtre.
Observation d’un ordinateur dans Dashboard
Si vous utilisez Mac OS X version 10.4 ou ultérieure, vous pouvez utiliser Dashboard
pour observer un ordinateur client unique. L’ordinateur doit se trouver dans votre
liste Tous les ordinateurs et être authentifié avec l’autorisation d’observer. Apple
Remote Desktop ne doit pas nécessairement être lancé.
Pour observer avec Dashboard :
1 Ajoutez l’ordinateur à votre liste Tous les ordinateurs.
Pour plus d’informations, consultez la section “Recherche et ajout de clients aux listes
d’ordinateurs Apple Remote Desktop” à la page 51.
2 Activez Dashboard et cliquez sur son icône pour l’exécuter.
3 Cliquez sur le bouton “Infos”.96 Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs
4 Saisissez un nom d’hôte ou une adresse IP, un nom d’utilisateur et un mot de passe,
ou bien sélectionnez simplement l’ordinateur que vous voulez observer (s’il se trouve
dans la liste).
5 Cliquez sur Terminé.
Envoi de messages
Apple Remote Desktop vous permet de communiquer avec les utilisateurs des ordinateurs
clients Apple Remote Desktop via des messages texte. Vous pouvez utiliser des messages
de texte pour donner des instructions aux utilisateurs ou leur envoyer des annonces, collaborer à distance avec eux ou les aider à régler les problèmes qu’ils rencontrent. Il existe
deux types de messages de texte : les messages à sens unique et les messages interactifs.
Les messages de texte et les messages interactifs sont uniquement disponibles pour les
ordinateurs clients Apple Remote Desktop ; ils ne sont pas disponibles pour les ordinateurs
clients VNC.
Envoi de messages à sens unique
Vous pouvez utiliser les messages à sens unique pour faire des annonces ou envoyer
des informations aux utilisateurs d’ordinateurs clients. Les annonces apparaissent devant
les fenêtres des applications ouvertes et peuvent être éliminées par l’utilisateur.
Pour envoyer un message à sens unique :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ordinateur dans la liste.
3 Choisissez Communication > Envoyer le message.
4 Tapez votre message.
5 Cliquez sur Envoyer.
Le texte du message s’affiche sur les écrans de tous les ordinateurs sélectionnés.Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs 97
Discussion interactive
Vous pouvez démarrer une discussion interactive avec l’utilisateur d’un ordinateur client
Apple Remote Desktop. Cela vous permet d’obtenir une réponse immédiate des utilisateurs et, ainsi, de collaborer avec eux ou de rechercher des solutions aux problèmes qu’ils
rencontrent.
Pour engager une discussion interactive :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Communication > Discuter.
4 Tapez votre message, une ligne à la fois.
Le message apparaît en temps réel sur l’écran de l’utilisateur pendant que vous tapez.
5 Appuyez sur la touche Retour afin de compléter et d’envoyer chaque ligne.
Visualisation des requêtes d’attention
Une fois qu’un utilisateur client a envoyé une requête d’attention, l’administrateur
Apple Remote Desktop peut lire le texte de la requête.
Pour visualiser les requêtes d’attention :
1 Choisissez Fenêtre > Messages des utilisateurs.
2 Sélectionnez le message que vous souhaitez afficher.
3 Cliquez sur Afficher afin de voir le message de la requête.
Partage d’écrans
Apple Remote Desktop vous permet d’afficher votre écran (ou l’écran d’un ordinateur
client figurant sur votre liste) à un ou tous les ordinateurs clients Apple Remote Desktop
figurant sur la même liste d’ordinateurs. Vous pouvez par exemple afficher une présentation à toute une classe d’ordinateurs à partir d’un seul ordinateur.
Partage d’un écran avec des ordinateurs clients
Vous pouvez partager l’écran d’un ordinateur client, ou celui de l’administrateur, avec
un nombre quelconque de clients. L’écran client affiche le contenu de l’écran partagé
mais ne peut en aucun cas le contrôler.
Pour partager l’écran d’un ordinateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
Ces ordinateurs incluent les ordinateurs cible et l’ordinateur source.
3 Choisissez Communication > Partage d’écran.
4 Sélectionnez l’écran à partager.98 Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs
Si vous souhaitez partager l’écran de l’administrateur Apple Remote Desktop,
sélectionnez Partager votre écran.
Pour partager l’écran d’un autre client, sélectionnez “Partager un écran différent”,
puis faites glisser un ordinateur depuis une liste d’ordinateurs Apple Remote Desktop
jusque dans la zone de dialogue.
5 Cliquez sur Partage d’écran.
L’ordinateur sélectionné affiche l’écran de l’ordinateur partagé.
Si la résolution d’écran de l’ordinateur cible est inférieure à celle de l’ordinateur partagé,
seule la partie supérieure gauche de l’écran partagé (jusqu’à la résolution d’écran la plus
basse) sera visible sur l’écran cible.
Contrôle de tâches de partage d’écran
Vous pouvez effectuer le suivi des tâches de partage d’écran que vous avez démarrées.
Vous pouvez obtenir des informations sur toutes les tâches de partage d’écran actuellement en cours et vous pouvez trier les tâches par heure de début, écran source ou ordinateurs cibles.
Pour afficher les tâches de partage d’écran actuellement actives :
m Choisissez Fenêtre > Tâches de partage d’écran actives.
Interaction avec l’administrateur Apple Remote Desktop
Les utilisateurs des ordinateurs clients Apple Remote Desktop peuvent entrer en contact
avec un administrateur Remote Desktop. Les clients peuvent demander l’attention de
l’administrateur ou annuler cette demande d’attention.
Les utilisateurs d’ordinateurs clients Apple Remote Desktop peuvent également définir
une icône d’identification destinée à être vue par l’administrateur Remote Desktop.
Ce dernier peut choisir d’afficher ou non cette icône.
Envoi d’une requête d’attention à l’administrateur
Il peut arrive que les utilisateurs des ordinateurs clients Apple Remote Desktop aient
besoin de l’attention de l’administrateur Apple Remote Desktop. Si un administrateur
Apple Remote Desktop est actuellement en train de surveiller l’ordinateur client, l’utilisateur client peut lui envoyer une requête d’attention.
Pour envoyer une requête d’attention à l’administrateur :
1 Cliquez sur l’icône d’état Apple Remote Desktop et choisissez “Message pour
l’administrateur”.
La fenêtre de requête d’attention s’ouvre.Chapitre 7 Communication avec les utilisateurs 99
2 Si le réseau comporte plusieurs administrateurs Apple Remote Desktop disponibles,
choisissez un administrateur dans le menu local “Envoyer un message à”.
3 Tapez votre message.
4 Cliquez sur Envoyer.
L’icône de requête d’attention apparaît sur l’écran de l’administrateur.
Annulation d’une requête d’attention
Si un utilisateur n’a plus besoin d’attirer l’attention de l’administrateur Apple Remote
Desktop, il peut annuler sa requête après l’avoir envoyée.
Pour annuler une requête d’attention :
1 Cliquez sur l’icône d’état Apple Remote Desktop et choisissez “Message pour
l’administrateur”.
2 Cliquez sur l’icône d’état Apple Remote Desktop dans la barre de menus et choisissez
Annuler le message.
Modification de l’icône du client en cours d’observation
Par défaut, l’icône que voit l’administrateur Remote Desktop lorsqu’il observe un ordinateur correspond à l’icône d’ouverture de session de l’utilisateur actuellement connecté.
Si vous disposiez d’une caméra iSight activée au moment de la configuration de votre
ordinateur, vous vous êtes peut-être photographié afin de personnaliser votre icône
d’utilisateur.
Vous pouvez modifier cette icône et cette modification sera appliquée à l’écran
d’observation de l’administrateur.
Pour modifier votre icône d’ouverture de session :
1 Préparez l’image que vous voulez utiliser.
Vous pouvez utiliser un fichier d’image ou une photo prise à l’aide d’iSight.
2 Ouvrez les Préférences Système.
L’application Préférences Système s’ouvre.
3 Sélectionnez la sous-fenêtre Comptes.
4 Sélectionnez votre compte, puis cliquez sur le bouton Image.
5 Remplacez votre image de compte actuelle par la nouvelle image.
6 Fermez les Préférences Système.8
100
8 Administration des
ordinateurs clients
Avec Apple Remote Desktop, vous disposez d’un contrôle
administratif puissant. Il vous permet, manuellement ou
automatiquement, d’obtenir des informations sur tous
les ordinateurs, d’installer des logiciels et d’entretenir des
systèmes à partir d’un seul ordinateur administrateur.
Ce chapitre décrit les fonctions de Remote Desktop et fournit des instructions complètes
pour leur utilisation. Il vous permettra d’en savoir plus sur les opérations suivantes :
 “Suivi de la progression et de l’historique des tâches” à la page 100.
 “Installation de logiciels avec Apple Remote Desktop” à la page 105.
 “Mise à niveau de logiciels” à la page 109.
 “Copie de fichiers” à la page 111.
 “Création de rapports” à la page 116.
 “Entretien des systèmes” à la page 134.
 “Gestion des ordinateurs” à la page 142.
 “Commandes shell UNIX” à la page 150.
 “Automatisation des fonctions” à la page 159.
Suivi de la progression et de l’historique des tâches
La zone d’historique des tâches se trouve dans la partie gauche de la fenêtre Remote
Desktop (voir “Fenêtre principale de Remote Desktop” à la page 30) avec les listes
d’ordinateurs et les scanneurs. Chaque fois que vous exécutez une tâche (génération
d’un rapport, copie d’un fichier, redémarrage d’un ordinateur), le nom de la tâche, les
ordinateurs affectés, le résultat des tâches et l’heure d’exécution sont stockés dans la
fenêtre Historique des tâches (accessible via le menu Fenêtre > Historique des tâches).
La liste Historique des tâches, dans la fenêtre principale de Remote Desktop, affiche
le nom de la tâche et le résultat. Vous pouvez réduire la liste Historique des tâches afin
de réduire sa taille.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 101
Vous pouvez sélectionner une tâche dans la liste Historique des tâches afin de voir
certaines informations sur la tâche, et double-cliquer afin de voir une description plus
détaillée de la tâche, ainsi que les ordinateurs impliqués. Les tâches en cours apparaissent dans la liste Tâches actives, où vous pouvez les arrêter et les redémarrer.
Remote Desktop effectue le suivi de trois types de progression des tâches : active, Serveur
de tâches et terminée. Les tâches actives sont celles qui sont en cours de traitement
par les ordinateurs clients, lesquels n’ont pas tous signalé la fin de la tâche à la console
d’administration. Certaines tâches sont si courtes qu’elles n’apparaissent que brièvement
dans la liste des tâches en cours ; d’autres peuvent être plus longues et restent dans la
liste suffisamment longtemps pour que vous puissiez consulter sa progression. La liste
Tâches actives se trouve dans la partie gauche de la fenêtre Remote Desktop et comporte
un triangle d’affichage permettant de développer ou de masquer la liste.
Les tâches Serveur de tâches sont celles qui ont été affectées au serveur de tâches (soit
celui qui s’exécute sur l’ordinateur de l’administrateur, soit un serveur distant) et qui ne
sont pas encore terminées pour tous les participants à la tâche.
Les tâches terminées sont celles qui ont reçu un état de tâche pour tous les ordinateurs
clients qui participent. La description de la tâche et la liste d’ordinateurs passent ensuite
à la liste d’historique des tâches. La liste d’historique des tâches se trouve dans la partie
gauche de la fenêtre Remote Desktop et comporte un triangle d’affichage permettant
de développer ou de masquer la liste.
Outre les fonctionnalités d’état des tâches et de notification de Remote Desktop, vous
pouvez définir un script shell de notification à exécuter lorsqu’une tâche est terminée.
Ce script concerne toutes les tâches, sa complexité dépendant de vos besoins.
Activation d’un script de notification de tâche
Lorsqu’une tâche se termine, Remote Desktop peur exécuter un script que vous créez.
Ce script concerne toutes les tâches terminées et doit être un script shell. Un script de
notification par défaut est fourni, que vous pouvez personnaliser en fonction de vos
besoins. Le script doit être un script shell, mais vous pouvez utiliser plusieurs autres environnements de script tels que des scripts AppleScript avec la commande osascript.
Pour activer un script de notification de tâches :
1 Assurez-vous d’être connecté en tant qu’utilisateur administrateur.
2 Ouvrez Remote Desktop.
3 Choisissez Remote Desktop > Préférences.
4 Cliquez sur le bouton Tâches.
5 Sélectionnez “Activer le script de notification de tâche”.
6 Choisissez l’emplacement du script.102 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Le script de notification par défaut se trouve dans le répertoire
/Bibliothèque/Application Support/Apple/Remote Desktop/Notify.
7 Fermez la fenêtre Préférences.
Détermination de l’état des tâches actives
Lorsque vous obtenez l’état actuel d’une tâche, vous voyez sa progression, les ordinateurs
impliqués, ainsi que leur retour vers l’ordinateur administrateur.
Pour obtenir l’état d’une tâche en cours d’exécution :
1 Sélectionnez la liste Tâches actives.
2 Sélectionnez la tâche souhaitée dans la fenêtre Remote Desktop.
L’état des tâches et les ordinateurs impliqués sont illustrés dans la fenêtre Remote Desktop.
Vous pouvez définir une préférence afin de vous assurer que la fenêtre principale affiche
toujours la tâche en cours d’exécution dans la zone de travail principale. Sinon, la fenêtre
principale continuera d’afficher la dernière liste d’ordinateurs sélectionnée.
Pour afficher automatiquement l’état des tâches dans la fenêtre principale :
1 Assurez-vous d’être connecté en tant qu’utilisateur administrateur.
2 Ouvrez Remote Desktop.
3 Choisissez Remote Desktop > Préférences.
4 Cliquez sur le bouton Tâches.
5 Sélectionnez “Toujours afficher la tâche active”.
6 Fermez la fenêtre Préférences.
Utilisation de l’affichage du retour des tâches
Vous pouvez utiliser l’affichage du retour des tâches pour :
 recommencer une tâche sur les ordinateurs sélectionnés ;
 annuler une tâche en cours.
Les tâches en cours apparaissent dans la liste Tâches actives, où vous pouvez les arrêter
ou les réexécuter.
Pour utiliser la fenêtre des rapports de tâches :
1 Sélectionnez la tâche dans la liste d’historique des tâches ou dans la liste des tâches
actives.
2 Changez la tâche si nécessaire :
a Cliquez sur le bouton de nouvelle tentative afin d’exécuter de nouveau la tâche.
b Cliquez sur le bouton d’arrêt afin d’annuler la tâche active.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 103
Arrêt d’une tâche en cours d’exécution
Si une tâche est en cours et que Remote Desktop attend toujours un retour des ordinateurs clients, vous pouvez arrêter la tâche. Utilisez la liste Tâches actives pour arrêter la
commande en cours.
Pour arrêter une tâche en cours d’exécution :
1 Sélectionnez la liste Tâches actives.
2 Sélectionnez la tâche souhaitée dans la fenêtre Remote Desktop.
L’état des tâches et les ordinateurs impliqués sont illustrés dans la fenêtre Remote Desktop.
3 Cliquez sur le bouton Arrêter dans le coin supérieur droit de la fenêtre principale.
Obtention de l’historique des tâches terminées
Une fois qu’une tâche a reçu un retour de tous les ordinateurs clients impliqués, ou
lorsqu’une expiration de communication a eu lieu, la tâche est déplacée vers la liste
Historique des tâches. La liste Historique des tâches se trouve dans la partie gauche de
la fenêtre Remote Desktop et comporte un triangle d’affichage permettant de développer ou de masquer la liste. Cette liste reste alimentée pendant la durée définie dans les
préférences de Remote Desktop. La liste Historique des tâches peut également être affichée dans une fenêtre distincte avec les tâches triées par date.
Pour obtenir l’état d’une tâche terminée :
1 Ouvrez la liste Historique des tâches à l’aide du triangle d’affichage.
2 Sélectionnez la tâche souhaitée dans la fenêtre Remote Desktop.
L’état final des tâches et les ordinateurs impliqués sont affichés dans la fenêtre
Remote Desktop.
ou
m Sélectionnez Fenêtre > Historique des tâches.
L’état final des tâches et les ordinateurs impliqués sont illustrés dans une fenêtre distincte.
Enregistrement d’une tâche pour une utilisation ultérieure
Vous pouvez enregistrer une tâche en vue d’une réutilisation ultérieure. Si vous êtes
amené à répéter certaines tâches, vous pouvez les enregistrer, ainsi que les informations sur les ordinateurs associés. Les tâches Observer et Contrôler ne peuvent pas
être enregistrées.
Les tâches enregistrées apparaissent dans une liste à gauche de la fenêtre principale
de Remote Desktop.
Pour enregistrer une tâche en vue d’une utilisation ultérieure :
1 Ouvrez la tâche que vous souhaitez enregistrer.
Par exemple, si vous souhaitez enregistrer une tâche Copier des éléments, sélectionnez
Gérer > Copier des éléments.104 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
2 Configurez la tâche en fonction de vos besoins.
3 Avant d’exécuter la tâche, cliquez sur Enregistrer.
4 Nommez la tâche enregistrée.
La tâche apparaît dans une liste à gauche de la fenêtre principale de Remote Desktop.
Création et utilisation de modèles de tâches
Dans la zone de dialogue de configuration de chaque tâche, vous pouvez enregistrer
les réglages de la tâche dans un modèle en vue d’une réutilisation pour les futures
tâches de même type. Par exemple, si vous utilisez régulièrement certaines options
de copie pour une tâche Copier des éléments, vous pouvez enregistrer ces réglages
comme modèle, puis les appliquer à toute nouvelle tâche Copier des éléments. Une
fois qu’un modèle de tâche est enregistré, vous pouvez sélectionner n’importe quel
modèle enregistré à partir du menu local Modèles. La sélection d’un modèle configure
automatiquement la zone de dialogue en fonction du modèle enregistré.
Si vous souhaitez effectuer une tâche similaire à un modèle existant, commencez par
ce modèle via le menu local Modèle, puis personnalisez la zone de dialogue de configuration de tâche après application du modèle. Par exemple, si vous souhaitez toujours utiliser les mêmes options pour la tâche Copier des éléments, mais que le groupe
d’ordinateurs change, créez un modèle de tâche en configurant la zone de dialogue
des options de copie sans sélectionner les ordinateurs cibles, puis en l’enregistrant via
le menu local Modèles. Ensuite, chaque fois que vous créez une nouvelle tâche Copier
des éléments avec les ordinateurs cibles sélectionnés, vous pouvez appliquer les réglages enregistrés en les sélectionnant dans le menu local Modèles et en ajoutant ensuite
vos propres réglages.
Vous pouvez créer autant que modèles que vous le souhaitez, de toutes pièces ou à partir
de modèles existants. Une fois enregistré, un modèle peut devenir le modèle par défaut de
la tâche, toutes les nouvelles occurrences de la tâche s’ouvrant avec les réglages par défaut
du modèle. Vous pouvez également modifier la liste des modèles de la tâche à partir de
la liste Modèle, supprimer un modèle ou en faire le modèle par défaut de la tâche. Il existe
des modèles intégrés existants pour la tâche Envoyer la commande UNIX, lesquels ne peuvent pas être supprimés. Consultez la section “Modèles Envoyer la commande UNIX” à la
page 150 pour plus d’informations.
Remarque :les modèles sont stockés uniquement pour leur propre type de tâche.
Par exemple, les modèles enregistrés de la tâche Copier des éléments ne sont pas
utilisables avec les tâches Renommer un ordinateur, etc.
Pour créer un modèle de tâche :
1 Ouvrez une fenêtre de configuration de tâches.
Vous pouvez utiliser des tâches enregistrées existantes, ou une tâche nouvellement créée.
2 Configurez la tâche en fonction de vos besoins.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 105
3 Cliquez sur le menu local Modèle et sélectionnez “Enregistrer en tant que modèle”.
4 Nommez le modèle, puis cliquez sur OK.
Pour appliquer un modèle de tâche :
1 Ouvrez une fenêtre de configuration de tâches.
Vous pouvez utiliser des tâches enregistrées existantes, ou une tâche nouvellement créée.
2 Cliquez sur le menu local Modèle et sélectionnez le modèle souhaité.
Les réglages du modèle sont appliqués à la zone de dialogue.
3 Si vous le souhaitez, personnalisez la tâche.
Modification d’une tâche enregistrée
Vous pouvez modifier une tâche précédemment enregistrée, changer ce que fait la tâche
ou changer les ordinateurs cibles.
Pour modifier une tâche enregistrée :
1 Double-cliquez sur la tâche enregistrée que vous souhaitez modifier.
De la même façon, vous pouvez appuyer sur Contrôle en cliquant, ou cliquer avec
le bouton droit de la souris et choisir Modifier la tâche dans le menu local.
2 Dans la fenêtre de description de la tâche, modifiez les paramètres.
Vous pouvez modifier les préférences de la tâche et changer la liste des ordinateurs.
Supprimez des ordinateurs en les sélectionnant et en appuyant sur la touche Suppr ;
ajoutez des ordinateurs en les faisant glisser à partir d’une liste vers la tâche.
Une fois une tâche terminée, son nom, son résultat et l’heure de sa dernière exécution
sont stockés. La fenêtre des rapports de tâches fournit une description détaillée de la tâche
et indique si elle a été effectuée avec succès ou non sur chaque ordinateur client impliqué.
Pour afficher la fenêtre des rapports de tâches :
m Sélectionnez la tâche dans la liste Historique des tâches.
Installation de logiciels avec Apple Remote Desktop
Il existe plusieurs méthodes vous permettant d’installer des logiciels avec Apple Remote
Desktop. La section suivante explique comment installer des logiciels à l’aide de paquets
d’installation ou de métapaquets, à l’aide de la commande de copie de Remote Desktop,
à l’aide de programmes d’installation élaborés par d’autres éditeurs de logiciels ou à l’aide
de NetBoot ou d’Installation en réseau.
Avertissement :la distribution de logiciels protégés par droits d’auteur sans disposer
du contrat de licence approprié constitue une infraction à la loi sur les droits d’auteur.106 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Installation par paquet et métapaquet
Vous pouvez installer les nouveaux logiciels automatiquement et sans intervention de l’utilisateur en copiant les paquets d’installation (fichiers .pkg ou .mpkg) sur un ou plusieurs
clients distants. Apple Remote Desktop copie le paquet sur les ordinateurs que vous avez
choisis, exécute le programme d’installation sans qu’aucune fenêtre ne s’affiche et sans
qu’aucune intervention de l’utilisateur ne soit requise, puis efface les fichiers d’installation
une fois le processus terminé.
Vous pouvez choisir de lancer l’installation d’un paquet à partir du serveur de tâches
désigné plutôt qu’à partir d’une tâche Remote Desktop. Cela vous permet d’installer des
paquets sur des ordinateurs non connectés au réseau (avec l’état “Déconnecté”) lorsque
vous exécutez la tâche. Le serveur de tâches surveille le réseau afin de détecter la prochaine reconnexion du client déconnecté. Le serveur de tâches effectue alors l’installation. Pour plus d’informations sur la désignation d’un serveur de tâches, consultez les
sections “Utilisation d’un serveur de tâches pour la collecte des données de rapports” à
la page 118 et “Désignation du serveur de tâches et définition de l’emplacement
de collecte des données de rapport” à la page 162. Pour des instructions détaillées
sur l’installation via le serveur de tâches, consultez la section “Installation de logiciels sur
des ordinateurs déconnectés” à la page 107.
Vous pouvez installer successivement plusieurs paquets. Lorsque vous exécutez l’installation de plusieurs paquets, Remote Desktop copie tous les paquets sélectionnés et les
installe. Il détecte également si un redémarrage est nécessaire et vous donne un indice
visuel. Vous pouvez ordonner à la tâche de redémarrer les ordinateurs après l’exécution,
ou redémarrer les ordinateurs manuellement par la suite.
Il est impossible d’interrompre l’installation d’un paquet. Toute installation lancée est
poursuivie jusqu’à son terme (tant qu’aucune erreur ne survient sur le client). Vous
pouvez cependant cliquer sur le bouton Arrêter afin d’interrompre la copie des paquets
restants et donc l’installation.
L’administrateur peut également utiliser l’application PackageMaker (disponible sur
le CD Apple Remote Desktop ou avec les outils Apple Developer Tools) afin de créer
un métapaquet contenant plusieurs programmes d’installation à exécuter en séquence.
Outre la création de métapaquets, vous pouvez également utiliser PackageMaker pour
créer des paquets destinés à installer des logiciels personnalisés développés par votre
organisation. Vous trouverez davantage d’informations sur la création et l’utilisation de
paquets et de métapaquets sur le site Web Apple Developer Connection :
developer.apple.com
Pour copier et installer des logiciels à l’aide d’un fichier .pkg :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 107
3 Choisissez Gestion > Installer les paquets.
4 Sélectionnez un fichier .pkg ou .mpkg à installer.
Vous pouvez également faire glisser un paquet d’installation dans la fenêtre de la liste
des paquets.
5 Indiquez si vous souhaitez redémarrer les ordinateurs cibles après l’installation.
6 Sélectionnez l’option permettant d’exécuter la tâche à partir de “Cette application”.
Cette option est préférable lors de l’installation sur des ordinateurs actuellement connectés.
Pour installer le logiciel à l’aide d’un serveur de tâches, consultez la section “Installation
de logiciels sur des ordinateurs déconnectés” à la page 107.
7 Sélectionnez les autres paramètres d’installation souhaités.
Pour plus d’informations sur les options disponibles, consultez la section “Options de
copie” à la page 112.
Remarque :les ordinateurs clients ne sont pas redémarrés automatiquement après
une installation si vous ne sélectionnez pas cette commande explicitement.
8 Cliquez sur Installer.
Au cours de l’installation, une barre de progression apparaît dans l’en-tête de la tâche
dans la fenêtre principale. Aucune barre de progression ne s’affiche sur l’ordinateur
client. Le paquet copié est effacé de l’ordinateur client si une erreur survient pendant
l’installation. Une installation ratée risque toutefois de laisser certains fichiers créés par
le programme d’installation.
Installation de logiciels sur des ordinateurs déconnectés
Apple Remote Desktop vous permet d’installer des logiciels sur un ordinateur qui n’est
pas connecté actuellement au réseau (état “Déconnecté”). L’installation a lieu lorsque
l’ordinateur en question est de nouveau connecté. L’installation proprement dite est
gérée par un serveur de tâches désigné. Le serveur de tâches continue de surveiller le
réseau afin de détecter la prochaine reconnexion du client déconnecté. Pour des informations plus détaillées sur la configuration et l’utilisation d’un serveur de tâches, consultez la section “Désignation du serveur de tâches et définition de l’emplacement
de collecte des données de rapport” à la page 162.
Pour installer des logiciels sur des clients déconnectés :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
Tout ou partie d’entre eux peuvent être déconnecté.
3 Choisissez Gestion > Installer les paquets.
4 Sélectionnez un fichier .pkg ou .mpkg à installer.
Vous pouvez également faire glisser un paquet d’installation vers la liste Paquets.108 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
5 Indiquez si la tâche doit être exécutée à partir du serveur de tâches désigné dans les
préférences de Remote Desktop.
Pour configurer ou modifier le serveur de tâches, consultez les sections “Utilisation d’un
serveur de tâches pour la collecte des données de rapports” à la page 118 et “Désignation du serveur de tâches et définition de l’emplacement de collecte des données de
rapport” à la page 162.
6 Sélectionnez les autres paramètres d’installation souhaités.
Pour plus d’informations sur les options disponibles, consultez les sections “Installation
par paquet et métapaquet” à la page 106 et “Options de copie” à la page 112.
7 Cliquez sur Installer.
Installation à l’aide de la commande Copier les éléments
Il est possible d’installer de nombreuses applications en copiant simplement l’application ou son dossier sur l’ordinateur client. Consultez la documentation incluse avec
l’application pour vérifier s’il suffit de la copier sur le disque dur pour l’installer.
Pour installer des logiciels en les copiant :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Copier les éléments.
4 Ajoutez des logiciels à la liste des éléments à copier.
Pour plus d’informations, consultez la section “Copie de fichiers” à la page 111.
Répétez cette étape jusqu’à ce que tous les logiciels à copier aient été ajoutés à la liste.
5 Sélectionnez une destination.
Plusieurs destinations prédéfinies, dont le dossier Applications, sont disponibles dans
le menu local “Placer les éléments dans”. Si la destination voulue ne figure pas dans le
menu, vous pouvez spécifier un chemin d’accès complet.
6 Sélectionnez les options de copie.
Pour plus d’informations sur les options disponibles, consultez la section “Options de
copie” à la page 112.
7 Cliquez sur Copier.
Le logiciel est copié dans l’emplacement indiqué. En cas d’échec de la copie, un message
d’erreur apparaît dans la fenêtre des rapports de tâches.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 109
Utilisation de programmes d’installation provenant d’autres sociétés
La commande Installer les paquets ne fonctionne qu’avec les programmes d’installation
qui utilisent les formats de fichier .pkg ou .mpkg, et certaines applications ne peuvent
être installées en les copiant simplement sur le disque dur. Pour installer des logiciels qui
requièrent des programmes d’installation utilisant d’autres formats de fichier, vous devez
combiner plusieurs tâches.
Pour installer des logiciels à l’aide de programmes d’installation de tierce partie :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Copier les éléments.
4 Ajoutez le programme d’installation du logiciel à la liste Éléments à copier.
Pour plus d’informations, consultez la section “Copie de fichiers” à la page 111.
5 Sélectionnez une destination pour la copie.
6 Sélectionnez Après avoir copié Ouvrir les éléments.
7 Cliquez sur Copier.
Le logiciel est copié dans l’emplacement indiqué. En cas d’échec de la copie, un message
d’erreur apparaît dans la fenêtre des rapports de tâches.
8 Sélectionnez un ordinateur ayant reçu la copie du programme d’installation.
9 Choisissez Communication > Contrôler.
10 Contrôlez l’écran de l’ordinateur sélectionné et terminez le processus d’installation
de manière interactive.
Mise à niveau de logiciels
La mise à niveau de logiciels est similaire à l’installation de logiciels. La méthode de mise
à niveau dépend toutefois de la méthode d’installation initiale. En règle générale, les mises
à niveau ne peuvent être effectuées tant que les applications des utilisateurs sont ouvertes. Assurez-vous que les logiciels à mettre à niveau ne sont pas en cours d’utilisation.
Avertissement :la distribution de logiciels protégés par droits d’auteur sans disposer
du contrat de licence approprié constitue une infraction à la loi sur les droits d’auteur.110 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
La mise à niveau consiste en trois tâches principales :
 déterminer si un élément nécessite une mise à jour ;
 supprimer l’ancienne version ;
 installer la nouvelle version.
Pour mettre des logiciels à niveau sur les ordinateurs clients :
1 Exécutez un rapport de versions de logiciels pour déterminer la version de logiciel
utilisée par les ordinateurs clients.
Consultez la section “Production d’un rapport de versions de logiciels” à la page 124
pour apprendre comment exécuter le rapport.
2 Supprimez l’ancienne version du logiciel.
Si le logiciel a été initialement installé à l’aide d’un paquet ou d’un métapaquet,
il devrait être supprimé automatiquement lorsque vous installez la nouvelle version.
Si le logiciel a été initialement installé à l’aide de la commande Copier les éléments,
vous pouvez supprimer l’ancienne version ou simplement la remplacer par la nouvelle
lorsque vous installez cette dernière.
Si le logiciel a été initialement installé à l’aide de l’application d’installation d’une autre
compagnie, il faudra peut-être utiliser un programme de désinstallation avant d’installer
la nouvelle version. Consultez le manuel du logiciel pour obtenir des instructions sur la
suppression du logiciel. Si une application de désinstallation est nécessaire, vous pouvez
la copier sur chacun des ordinateurs clients et l’exécuter à distance.
3 Utilisez la méthode d’installation appropriée pour installer la nouvelle version du logiciel. Pour plus d’informations, voir :
 “Installation par paquet et métapaquet” à la page 106.
 “Installation à l’aide de la commande Copier les éléments” à la page 108.
 “Utilisation de programmes d’installation provenant d’autres sociétés” à la page 109.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 111
Copie de fichiers
Apple Remote Desktop simplifie la mise à jour d’éléments (autres que le logiciel système) sur un ou plusieurs ordinateurs clients.
La copie de fichiers est plus rapide si le nombre de fichiers à copier est réduit. Ainsi,
la copie de 10 fichiers de 10 Ko prendra plus de temps que la copie d’un seul fichier de
100 Ko. Pour accélérer la copie, essayez de copier un fichier d’archive unique (fichier .zip
ou .sit) sur les ordinateurs distants. Rappelez-vous que les applications Mac OS X sont
constituées de nombreux petits fichiers. Bien que l’application à copier se présente sous
la forme d’un fichier unique dans le Finder, elle peut contenir des centaines, voire des
milliers de petits fichiers.
Si un ordinateur client se trouve en mode de suspension d’activité alors que vous essayez
de copier des éléments, Remote Desktop tente de réactiver le client. S’il n’y parvient pas
et que la copie s’avère impossible, utilisez Remote Desktop pour réactiver l’ordinateur
cible, puis essayez à nouveau d’effectuer la copie.
Si vous choisissez de copier simultanément sur de nombreux ordinateurs clients,
Remote Desktop utilise des multidiffusions réseau pour envoyer les fichiers. S’il y a
un nombre significatif d’erreurs réseau multidiffusion, Remote Desktop tente une
copie individuelle sur chaque ordinateur client.112 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Options de copie
Chaque fois que vous copiez un élément vers un ordinateur distant, vous pouvez personnaliser l’opération afin de permettre le contrôle fin de l’emplacement et du proprié-
taire du fichier copié, de la bande passante réseau utilisée et de ce qu’il convient de
faire en cas d’échec ou de fichiers dupliqués.
Emplacement de destination des copies
Plusieurs destinations prédéfinies, dont le dossier Applications, sont disponibles dans
le menu local “Placer les éléments dans”. Si la destination voulue ne figure pas dans le
menu, vous pouvez spécifier un chemin d’accès complet.
Propriétaire et groupe du fichier copié
Par défaut, les fichiers copiés héritent du propriétaire et du groupe du dossier de destination. Pour plus de flexibilité, vous disposez de plusieurs options pour gérer l’appartenance des fichiers. Vous pouvez :
 conserver le propriétaire actuel ;
 définir le propriétaire comme étant l’utilisateur actuel de la console ;
 spécifier l’utilisateur et le groupe.
Cryptage
Vous pouvez crypter le flux de transport de copie afin de protéger les données envoyées
via le réseau. En sélectionnant l’option “Crypter les données réseau”, vous réduisez les
performances au profit de la sécurité. Cette option est également disponible dans la
zone de dialogue Installer des paquets.
Gestion des erreurs de copie
Par défaut, si un ordinateur ne parvient pas à obtenir le fichier copié, l’opération de copie
se poursuit pour tous les ordinateurs qui participent. Il peut cependant arriver que vous
souhaitiez qu’une opération de copie s’arrête si l’une des copies échoue. Vous pouvez choisir d’annuler toute l’opération de copie si un ordinateur participant signale une défaillance.
Cette option est également disponible dans la zone de dialogue Installer des paquets.
Limitation de la bande passante réseau
Les copies de fichiers sont effectuées à la vitesse maximale autorisée pour le réseau.
Cela permet à Apple Remote Desktop d’utiliser toutes les ressources à sa disposition
pour terminer rapidement et efficacement la copie. En fonction des autres opérations
sur le réseau, vous pouvez limiter explicitement la vitesse de transfert sur le réseau.
Vous pouvez ainsi définir une vitesse maximale approximative pour les copies de
fichiers, en kilo-octets par secondes. Cette option est également disponible dans la
zone de dialogue Installer des paquets.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 113
Autres options quand l’élément existe déjà
Si un élément portant le même nom que l’élément sélectionné existe déjà dans
l’emplacement de destination, vous disposez de plusieurs options pour gérer
le conflit de nom. Vous pouvez :
 remplacer l’élément existant ;
 remplacer l’élément existant s’il est plus ancien ;
 renommer l’élément existant ;
 renommer l’élément copié ;
 toujours demander laquelle des options ci-dessus vous souhaitez utiliser.
Action post-copie
Vous pouvez choisir d’ouvrir un élément copié immédiatement après sa copie. Si vous
sélectionnez cette option, le fichier s’ouvre par l’application parente qui l’a créé.
Copie de l’administrateur vers les clients
Apple Remote Desktop vous permet de copier simultanément des éléments vers
n’importe quel nombre d’ordinateurs clients.
Pour copier des éléments vers des clients :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop
(ou n’importe quelle fenêtre).
3 Choisissez Gestion > Copier les éléments.
4 Ajoutez des logiciels à la liste des éléments à copier.
Cliquez sur le bouton Ajouter pour explorer les disques durs locaux afin de trouver
les éléments à copier, ou faites glisser les fichiers et les dossiers vers la liste.
Pour supprimer un élément de la liste, sélectionnez-le, puis cliquez sur Supprimer.
Répétez cette étape jusqu’à ce que tous les logiciels à copier aient été ajoutés à la liste.
5 Sélectionnez les options de copie.
Pour plus d’informations sur les options disponibles, consultez la section
“Options de copie” à la page 112.
6 Pour programmer cet événement afin qu’il se produise à un autre moment
ou qu’il soit répété, cliquez sur le bouton Horaire.
Consultez la section “Tâches programmées” à la page 163 pour obtenir plus
d’informations sur la programmation d’événements.
7 Cliquez sur Copier.
Le logiciel est copié dans l’emplacement indiqué. En cas d’échec de la copie,
un message d’erreur apparaît dans la fenêtre des rapports de tâches.114 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Copie par glisser-déposer
Apple Remote Desktop vous permet de copier des éléments en les faisant glisser entre
les fenêtres du Finder de votre ordinateur administrateur, la fenêtre Remote Desktop et
les fenêtres de contrôle. Vous pouvez, par exemple, faire glisser un élément depuis une
fenêtre du Finder vers un ordinateur sélectionné dans la fenêtre Remote Desktop.
Cette fonction vous permet de rassembler les fichiers nécessaires depuis des ordinateurs
distants ou de distribuer des fichiers parmi des ordinateurs distants.
Copie du Finder vers un client
Vous pouvez copier des fichiers, des applications ou des dossiers à partir des fenêtres
Finder de l’administrateur vers les ordinateurs distants. Vous pouvez également faire
glisser des éléments directement vers une fenêtre de contrôle.
Pour copier des éléments à partir du Finder vers un client :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs ou sélectionnez la fenêtre Contrôle souhaitée.
3 Accédez au Finder.
4 Repérez l’élément à copier dans le Finder.
5 Faites glisser l’élément que vous souhaitez copier à partir du Finder vers les clients
sélectionnés dans la fenêtre Remote Desktop ou la fenêtre de contrôle.
La copie vers une fenêtre de contrôle place le fichier là où vous le déposez.
6 Sélectionnez les options de copie.
Pour plus d’informations sur les options disponibles pour les tâches de copie, consultez
la section “Options de copie” à la page 112.
7 Cliquez sur Copier.
Copie d’un client vers le Finder
Apple Remote Desktop vous permet de copier des fichiers, des applications ou des dossiers d’un ordinateur distant vers l’ordinateur de l’administrateur. Le processus nécessite
que vous trouviez le fichier à copier, en utilisant un rapport ou en le localisant dans une
fenêtre de contrôle.
Remarque :les éléments copiés conservent leurs propriétaires et autorisations d’origine.
Pour copier des éléments d’un client vers l’ordinateur de l’administrateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez un rapport de recherche de fichier afin de trouver l’élément.
Pour plus d’informations, consultez la section “Recherche de fichiers, de dossiers et
d’applications” à la page 122.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 115
4 Sélectionnez l’élément à copier dans la fenêtre de rapport.
5 Faites glisser l’élément à copier de la fenêtre de rapport vers le Finder de l’administrateur, ou cliquez sur le bouton Copier vers cet ordinateur dans la barre des menus de
la fenêtre de rapport.
Vous pouvez également faire glisser les éléments d’une fenêtre de contrôle vers le bureau
de l’ordinateur administrateur.
Restauration d’éléments à partir d’une copie de référence
Vos ordinateurs clients peuvent restaurer des logiciels non système à partir d’une copie
de référence. Cette fonction s’avère utile si vous voulez vous assurer que chaque ordinateur client dispose des mêmes logiciels. Il est possible d’automatiser le processus de
restauration de logiciels à l’aide des instructions présentées dans la section “Automatisation des fonctions” à la page 159.
Il est recommandé de créer d’abord une image disque contenant les applications et les
éléments Mac OS X à copier. Vous pouvez également copier des fichiers de n’importe quel
disque local, tel qu’un disque dur, un CD, une partition de disque ou tout autre disque.
La commande Copier les éléments ne copie pas les logiciels système cachés (invisibles
dans le Finder). Elle peut copier le dossier Applications, le dossier Bibliothèque et le
dossier Utilisateurs, ainsi que tout dossier situé à la racine du disque dur et créé par
l’utilisateur administrateur de l’ordinateur.
Important :vous ne pouvez pas utiliser la fonction Copier les éléments pour copier
le logiciel système Mac OS X sur des ordinateurs clients.
Pour restaurer des fichiers à l’aide de la commande Copier les éléments :
1 Créez une copie de référence du volume contenant les fichiers à restaurer.
Vous pouvez utiliser n’importe quel volume, que ce soit un disque dur de réserve,
un CD ou un fichier d’image disque monté (.dmg).
2 Montez le volume de la copie de référence sur l’ordinateur administrateur.
Les volumes des copies de référence doivent être des volumes locaux et ne peuvent
pas être montés via un réseau.
3 Ouvrez Remote Desktop.
4 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre de Remote Desktop.
5 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
6 Choisissez Gestion > Copier les éléments.
7 Ajoutez le volume de la copie de référence à la liste des éléments à copier.
8 Sélectionnez les options de copie.116 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Pour plus d’informations sur les options disponibles pour les tâches de copie, consultez
la section “Options de copie” à la page 112.
9 Pour programmer cet événement afin qu’il se produise à un autre moment ou qu’il soit
répété, cliquez sur le bouton Horaire.
Consultez la section “Tâches programmées” à la page 163 pour obtenir plus d’informations sur la programmation d’événements.
10 Cliquez sur Copier.
Création de rapports
Apple Remote Desktop vous permet d’interroger les ordinateurs clients afin d’obtenir
de nombreux types d’informations allant des logiciels installés à la vitesse et à la fiabilité du réseau. La création de rapports vous fournit de précieuses informations sur les
ordinateurs clients. Les rapports sont également utiles lorsque vous copiez des fichiers
et que vous organisez des listes d’ordinateurs.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 117
Collecte de données de rapport
Apple Remote Desktop utilise trois stratégies lors de la recherche d’informations
de rapport : nouvelles données, données mises en cache et données Spotlight.
Dans le cadre d’une recherche de nouvelles données, l’application Remote Desktop
interroge directement un client et attend que ce dernier réponde en lui envoyant les
informations requises. Une recherche de nouvelles données permet d’obtenir les informations les plus récentes, mais requiert plus de temps car l’ordinateur client doit collecter toutes les données avant de les envoyer, via le réseau, à l’ordinateur administrateur.
Les nouveaux rapports sont également générés par les clients dont la stratégie de création de rapports consiste à n’envoyer des données qu’en réponse à une demande de
rapport. Voir “Configuration de la stratégie de création de rapports de données du client”
à la page 160.
La source d’informations suivante est une recherche de données en cache. Dans le cadre
d’une recherche de données en cache, l’application interroge la base de données interne
d’Apple Remote Desktop contenant les informations système (telles que les informations
concernant le matériel et les réglages système), les informations sur les fichiers (comprenant notamment les applications installées et leur version ainsi que les noms des
logiciels) ou les deux. Vous déterminez la fréquence de collecte des données et le type
de données stockées. Voir “Configuration de la stratégie de création de rapports de
données du client” à la page 160.
La base de données est une base de données PostgreSQL située dans /var/db/
RemoteManagement/RMDB/ et accessible à l’aide d’autres outils, en plus de
Remote Desktop. Pour en savoir plus sur le schéma de base de données,
consultez la section “Schéma modèle PostgreSQL” à la page 189.
Le dernier type de recherche de nouvelles données est la recherche Spotlight. Il ne s’agit
pas d’un rapport statique sur les données enregistrées dans une base, mais d’une recherche interactive sur les ordinateurs clients. Une recherche Spotlight ne peut être effectuée
que sur les ordinateurs clients qui exécutent Mac OS X 10.4 ou une version ultérieure.
Spotlight recherche un index complet et constamment mis à jour qui voit toutes les
métadonnées dans les fichiers, c’est-à-dire le “quoi, quand et qui” de chaque information
enregistrée sur votre Mac, notamment le type de contenu, l’auteur, l’historique des modifications, le format, la taille et nombre d’autres détails. Les recherches Spotlight sont
dynamiques, ce qui signifie que la fenêtre répercute les modifications des fichiers trouvés, même après l’exécution de la commande.118 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Utilisation d’un serveur de tâches pour la collecte des données
de rapports
Vous pouvez utiliser un ordinateur autre que l’ordinateur administrateur afin de collecter
les données des rapports, si vous disposez d’une autre licence de gestion illimitée pour
Apple Remote Desktop. Avec un serveur toujours en fonctionnement qui présente l’avantage d’une disponibilité permanente, vous pouvez dédier les ressources du serveur à
la collecte des données de rapport. Un tel serveur est appelé serveur de tâches. Pour
utiliser un serveur de tâches, vous avez besoin des éléments suivants :
 un ordinateur qui s’exécute lorsque les clients sont configurés pour télécharger
les données de rapport ;
 une licence illimitée pour le serveur Remote Desktop ;
 une licence illimitée distincte pour l’ordinateur administrateur.
Pour configurer un serveur de tâches, vous devez :
1 Installer Remote Desktop sur le serveur.
Voir “Installation du logiciel d’administration Remote Desktop” à la page 41.
2 Configurer le serveur comme serveur de tâches.
Pour cela, définissez les réglages du serveur dans les préférences Remote Desktop.
Consultez la section “Désignation du serveur de tâches et définition de l’emplacement
de collecte des données de rapport” à la page 162.
3 Installez Remote Desktop sur l’ordinateur administrateur.
Voir “Installation du logiciel d’administration Remote Desktop” à la page 41.
4 Configurez Remote Desktop sur l’ordinateur administrateur afin d’utiliser le serveur
de tâches comme source pour les données de rapport.
Pour cela, définissez les réglages du serveur dans les préférences Remote Desktop.
Voir “Désignation du serveur de tâches et définition de l’emplacement de collecte des
données de rapport” à la page 162.
5 Configurez la stratégie de création de rapports afin d’indiquer aux clients d’envoyer
les informations de rapport au serveur de tâches.
Pour cela, utilisez la fenêtre Lire les informations de n’importe quel client ou les propres
préférences Apple Remote Desktop du client.
Consultez les sections “Configuration de la stratégie de création de rapports de données
du client” à la page 160 et “Création d’une stratégie de rapport de données de modèle”
à la page 161.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 119
Recommandations sur la base de données des rapports et utilisation
de la bande passante
Vous pouvez utiliser une seule base de données de collecte de données Apple Remote
Desktop pour un nombre quelconque de clients. En revanche, évitez que tous les clients
ne téléchargent simultanément les informations des rapports. A mesure que le nombre
de clients augmente, l’utilisation du réseau par les clients qui téléchargent les données
des rapports peut présenter des pics sur une courte période, surchargeant ainsi le tampon
réseau du serveur de tâches. Dans ce cas, vous risquez de vous soumettre vous-même
à une attaque de refus de service. L’augmentation du nombre d’ordinateurs Serveur de
tâches permet de répartir la charge réseau et informatique sur plusieurs ordinateurs afin
d’optimiser les performances et l’utilisation raisonnée du réseau. Cependant, étant donné
qu’il n’existe aucun moyen d’agréger les données des rapports sur plusieurs collecteurs
et de les afficher sur un même ordinateur administrateur, vous avez besoin de plusieurs
administrateurs pour équilibrer la charge réseau de cette façon.
Si vous utilisez une base de données unique pour un grand nombre de clients, il est
recommandé d’étaler la génération des caches de rapport dans le temps. Par exemple,
si vous exécutez normalement un rapport chaque semaine, configurez 1/7ème de vos
clients afin de recréer les caches un jour de la semaine, et ainsi de suite pour les jours
suivants. En outre, ils doivent également étaler la recréation du cache sur la journée.
Il est recommandé de conserver dans une liste donnée le nombre minimum d’ordinateurs nécessaires pour vos besoins. Lorsqu’une liste est sélectionnée, les clients de la
liste envoient les mises à jour de l’état au minimum toutes les 20 secondes. Si vous avez
un grand nombre de clients dans une liste (par exemple 1000), cela donne environ 50
mises à jour par seconde.
La création de davantage de listes n’entraîne pas de surcharge pour Remote Desktop et
peut vous permettre d’administrer rapidement et facilement les clients souhaités, avec
une attente minimale. En fonction de votre réseau et de la taille des listes, vous pouvez
remarquer que les listes plus petites entraînent une administration plus productive et
plus fiable.120 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Quelle bande passante le rapport par défaut de vue d’ensemble du système
utilise-t-il sur un réseau local ?
Le cache moyen des rapports de vue d’ensemble du système est d’environ 20 ko. Pendant
la création de rapports, l’administrateur et les clients tentent toujours d’utiliser toute la
bande passante disponible (la plupart des applications client/serveur basées sur IP fonctionnent de cette façon). Par conséquent, sur un réseau 10 Mbits/s, la collecte des données
de rapport d’un client peut utiliser 100 % de la bande passante pendant 0,016 secondes. Si
l’on se base sur une liste de 1000 ordinateurs, qui tentent tous de créer leurs rapports
en même temps, il en résulte une utilisation de 100 % de la bande passante pendant
16 secondes. Bien entendu, les réseaux plus rapides offrent de meilleures performances
et les réseaux avec une partie lente (par exemple une ligne DSL ou modem) offrent de
moins bonnes performances.
Taille des rapports système
Les données du système de fichiers téléchargées vers la base de données de rapport
(libellée “Données de recherche de fichiers” dans la feuille Planification de la sous-fenê-
tre des préférences du serveur de tâches) représentent une quantité significative de
données. Pour un client disposant de 10 Go de fichiers sur le disque dur, les données
de rapport téléchargées peuvent aisément atteindre une taille de 5 Mo. Avec des centaines ou des milliers de clients, cette quantité peut augmenter rapidement et entraî-
ner une surcharge des ressources réseau. En outre, en choisissant de télécharger les
données de compte de l’utilisateur et les données d’utilisation des applications, vous
augmentez encore davantage la taille des données téléchargées pour n’importe quel
client. Dans la mesure où vous ne souhaitez pas nécessairement stocker toutes les
informations possibles sur un ordinateur client donné, vous pouvez personnaliser
en fonction de vos besoins les types de données collectés.
Vérification des informations d’utilisation des clients
Avec Apple Remote Desktop, vous pouvez obtenir des informations détaillées sur
qui a utilisé les ordinateurs clients, et comment. Deux rapports vous aident à vérifier
les informations concernant la manière dont les clients sont utilisés :
 le rapport d’historique utilisateur ;
 le rapport d’utilisation des applications.
Génération d’un rapport d’historique utilisateur
Le rapport Historique utilisateur est utilisé pour déterminer qui s’est connecté à un
ordinateur, à quel moment ont eu lieu les connexions et les déconnexions, ainsi que le
mode d’accès à l’ordinateur. Le client stocke 30 jours de données accumulées, de sorte
que la période demandée ne peut pas être supérieure aux 30 derniers jours. Le rapport
illustre les informations suivantes :
 nom de l’ordinateur ;
 nom abrégé de l’utilisateur ;
 type d’accès (fenêtre de connexion, tty, SSH) ;Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 121
 heure de connexion ;
 heure de déconnexion ;
 hôte de connexion à distance (hôte d’origine de la session de connexion : hôte local,
ou un ordinateur distant).
Remarque :plusieurs utilisateurs connectés via la fonctionnalité de changement rapide
d’utilisateur peut entraîner des rapports confus ou conflictuels. Lorsqu’un deuxième ou
un troisième utilisateur se connecte à un ordinateur, il n’est pas possible de savoir lequel
est l’utilisateur actif. La durée de la session peut ne pas refléter l’utilisation réelle et les
heures de connexion et de déconnexion se chevauchent.
Les informations des rapports Historique utilisateur sont collectées par défaut si vous
installez Remote Desktop pour la première fois. Si vous avez procédé à la mise à niveau
d’une version ancienne de Remote Desktop, vous devez activer explicitement sa collecte
dans la stratégie de création de rapports des clients. Consultez la section “Configuration
de la stratégie de création de rapports de données du client” à la page 160 pour obtenir
des instructions.
Pour produire un rapport d’historique utilisateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Historique utilisateur.
4 Sélectionnez la période pour la collecte des informations d’historique utilisateur.
5 Cliquez sur Produire un rapport.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.
Génération d’un rapport d’utilisation des applications
Le rapport Utilisation des applications détaille les applications qui se sont exécutées sur
un client donné, leur heure de lancement et de fin, ainsi que l’utilisateur qui les a lancées. Le client stocke 30 jours de données accumulées, de sorte que la période demandée ne peut pas être supérieure aux 30 derniers jours. Les champs suivants sont inclus
par défaut dans le rapport :
 nom de l’ordinateur ;
 nom de l’application ;
 date de lancement ;
 temps d’exécution total ;
 temps en tant qu’application principale ;
 nom d’utilisateur du propriétaire du processus ;
 état actuel de l’application.122 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Les informations des rapports Utilisation des applications sont collectées par défaut
si vous installez Remote Desktop pour la première fois. Si vous avez procédé à la mise
à niveau d’une version ancienne de Remote Desktop, vous devez activer explicitement
sa collecte dans la stratégie de création de rapports des clients. Consultez la section
“Configuration de la stratégie de création de rapports de données du client” à la page 160
pour obtenir des instructions.
Pour générer un rapport Utilisation des applications :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Utilisation des applications.
4 Sélectionnez la période de collecte des informations d’utilisation des applications.
5 Cliquez sur Produire un rapport.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.
Recherche de fichiers, de dossiers et d’applications
Apple Remote Desktop vous permet de rechercher des fichiers, dossiers ou applications spécifiques dans les disques durs des ordinateurs clients. Il permet également de
comparer les résultats de ces recherches avec les éléments qui se trouvent sur l’ordinateur administrateur. Ces recherches peuvent comparer les versions de logiciel, les polices, les applications ou les paquets installés.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 123
Utilisation de Spotlight pour rechercher des éléments
Vous pouvez utiliser Spotlight pour rechercher des éléments sur les ordinateurs clients.
Une recherche Spotlight ne peut être effectuée que sur les ordinateurs clients qui exé-
cutent Mac OS X 10.4 ou une version ultérieure. Les recherches Spotlight sont dynamiques, ce qui signifie que la fenêtre répercute les modifications des fichiers trouvés, même
après l’exécution de la commande. Les recherches Spotlight ne peuvent pas être utilisées
pour les ordinateurs clients déconnectés.
La fenêtre Recherche Spotlight est semblable à la fenêtre Recherche Spotlight locale
d’un ordinateur Mac OS X 10.4. Elle prend en charge nombre des mêmes fonctionnalités et requêtes que Spotlight sur un ordinateur local. Pour plus d’informations sur l’exé-
cution d’une recherche Spotlight, consultez l’aide de Spotlight.
Pour rechercher des éléments logiciels avec Spotlight :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Communication > Recherche Spotlight.
4 Choisissez les paramètres de recherche voulus, puis saisissez l’expression à rechercher.
Les résultats s’affichent immédiatement dans la fenêtre.
Les résultats de la recherche sont affichés dans la sous-fenêtre située en bas de la fenêtre.
Remarque :l’emplacement de recherche Spotlight “Départ” représente le dossier
Départ de l’utilisateur actuellement connecté.
Production d’un rapport de recherche de fichiers
Le rapport Recherche de fichiers vous permet de rechercher jusqu’à 32 000 éléments sur
des ordinateurs sélectionnés. Ces éléments peuvent consister en fichiers, dossiers ou
applications, mais ils sont limités aux éléments accessibles (ou visibles) dans le Finder.
Les paramètres de recherche incluent :
 nom ;
 chemin d’accès parent ;
 chemin d’accès complet ;
 l’extension ;
 date de création ;
 date de modification ;
 taille sur le disque ;
 type ;
 numéro de version ;
 description de la version ;124 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
 possesseur ;
 groupe ;
 état du verrouillage.
Les paramètres de recherche utilisés par Apple Remote Desktop diffèrent légèrement
de ceux utilisés par la commande Rechercher du Finder. Par exemple, Apple Remote
Desktop ne recherche pas par visibilité ou par étiquette. L’affichage du rapport peut
également être personnalisé. Pour plus d’informations, consultez la section “Modification Présentation des rapports” à la page 36.
Pour rechercher des éléments logiciels :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Recherche de fichier.
4 Choisissez les paramètres de recherche voulus dans le menu local, puis saisissez
l’expression à rechercher.
5 Si vous souhaitez personnaliser la présentation du rapport, faites-le maintenant.
Pour plus d’informations sur la présentation des rapports, consultez la section
“Modification Présentation des rapports” à la page 36”.
6 Pour effectuer une recherche basée sur de nouvelles données, sélectionnez “Reconstruire
les données pour le rapport” ; pour une recherche basée uniquement sur les données
enregistrées, désélectionnez “Reconstruire les données pour le rapport”.
7 Cliquez sur Rechercher.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.
Comparaison de logiciels
Apple Remote Desktop offre plusieurs rapports spécialisés destinés à comparer les logiciels installés sur les ordinateurs clients avec ceux qui se trouvent sur l’ordinateur administrateur. Ces rapports ne peuvent pas être exécutés pour comparer deux ordinateurs
clients. L’un des ordinateurs de la comparaison doit être l’ordinateur administrateur.
Production d’un rapport de versions de logiciels
Le rapport de versions de logiciels compare les versions des applications installées sur
les ordinateurs clients avec les versions des applications installées sur l’ordinateur administrateur. Vous pouvez sélectionner jusqu’à 10 applications afin de les comparer. Les
outils de ligne de commande et les applications Java (.jar) ne signalent pas leur version.
Pour produire un rapport de versions de logiciels :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Versions des logiciels.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 125
4 Sélectionnez dans la liste des applications les logiciels que vous souhaitez comparer.
Vous pouvez sélectionner jusqu’à 10 applications.
Si l’application souhaitée ne figure pas dans la liste, cliquez sur le bouton Ajouter (+)
pour rechercher l’application.
5 Pour rechercher à partir des nouvelles données, cochez la case “Reconstruire les données
pour le rapport”.
6 Cliquez sur Produire un rapport.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.
Production d’un rapport des différences logicielles
Le rapport des différences logicielles compare les applications, les polices et les paquets
installés les ordinateurs clients sélectionnés avec ceux qui se trouvent sur l’ordinateur
administrateur. Le rapport produit répertorie les éléments comparés, leur version, leur
emplacement et indique s’ils ont été trouvés sur les ordinateurs clients sélectionnés.
Le rapport des différences logicielles peut comparer toutes les applications exécutables
Mac OS X et Classic. Les applications Java (.jar) et les utilitaires de ligne de commande
ne figurent pas dans le rapport. Le rapport peut comparer toutes les polices des répertoires /Système/Bibliothèque/Fonts et /Bibliothèque/Fonts, ainsi que le répertoire des
polices de tout utilisateur dont la session est ouverte. La comparaison des paquets installés permet d’obtenir la liste de toutes les réceptions de paquets figurant dans le
répertoire /Bibliothèque/Receipts.
Vous pouvez utiliser ce rapport pour savoir si vos clients disposent de toutes les applications ou polices nécessaires. La comparaison des différences de paquets installés peut
vous aider à résoudre les conflits logiciels et à maintenir vos clients à jour.
Pour produire un rapport des différences logicielles :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Différences logicielles.126 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
4 Sélectionnez le type de logiciels à comparer.
Sélectionner Applications permet de comparer toutes les applications exécutables.
Vous pouvez limiter la recherche des applications effectuée par Remote Desktop sur
l’ordinateur administrateur à un dossier en particulier.
Sélectionner Polices permet de comparer toutes les polices situées dans les répertoires
/Bibliothèque/Font, /Système/Bibliothèque/Font et les répertoires de polices d’utilisateur.
Sélectionner Paquets installés permet de comparer toutes les réceptions de paquets
figurant dans le répertoire /Bibliothèque/Receipts.
5 Pour rechercher à partir des nouvelles données, cochez la case “Reconstruire les données
pour le rapport”.
6 Cliquez sur Produire un rapport.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.
Vérification du matériel
Vous pouvez obtenir un rapport sur le matériel de n’importe quel ordinateur client.
Différents types de rapports permettent d’accéder aux informations matérielles. Bien
qu’il soit possible de trouver des informations matérielles de base dans le rapport sur
la vue d’ensemble du système, il existe plusieurs rapports matériels plus ciblés qui
fournissent des informations plus détaillées.
Pour générer un rapport élémentaire de vue d’ensemble du système :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Vue d’ensemble du système.
4 Sélectionnez ou désélectionnez les éléments matériels souhaités.
5 Pour rechercher à partir des nouvelles données, cochez la case “Reconstruire les données
pour le rapport”.
6 Cliquez sur Rapport.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.
Obtention des numéros de série
Bien qu’il n’existe pas de rapport de numéro de série spécifique pour Apple Remote
Desktop, le numéro de série d’un client se trouve dans la section Ordinateur du rapport Vue d’ensemble du système. Outre l’utilisation d’Apple Remote Desktop pour
extraire le numéro de série d’un ordinateur, vous pouvez utiliser l’outil de ligne de commande systemprofiler avec la fonctionnalité Envoyer la commande UNIX d’Apple
Remote Desktop.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 127
Pour produire un rapport de numéro de série :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Vue d’ensemble du système.
4 Sélectionnez Numéro de série dans la section Ordinateur.
5 Sélectionnez ou désélectionnez les autres éléments souhaités.
6 Pour rechercher à partir des nouvelles données, cochez la case “Reconstruire les données
pour le rapport”.
7 Cliquez sur Rapport.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.
Obtention des informations sur le stockage
Le rapport de stockage collecte des informations sur les disques durs internes de l’ordinateur client. Il peut obtenir des informations sur le matériel lui-même, sur les volumes
présents sur le disque, sur le système de fichiers, ainsi que des informations de journalisation relatives au disque.
Pour obtenir une liste complète des options du rapport de stockage, consultez la section
“Référence des définitions des champs de rapport” à la page 173.
La section de stockage du rapport sur la vue d’ensemble du système permet également
d’obtenir des informations générales sur les volumes et la taille du disque dur.
Pour produire un rapport de stockage :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Stockage.
4 Sélectionnez les informations de disque dur souhaitées.
5 Pour rechercher à partir des nouvelles données, cochez la case “Reconstruire les données
pour le rapport”.
6 Cliquez sur Rapport.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.128 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Obtention d’informations sur les périphériques FireWire
Le rapport sur les périphériques FireWire présente des informations relatives aux
périphériques FireWire connectés à l’ordinateur client. Les informations collectées
sur un périphérique sont les suivantes :
 fabricant ;
 modèle ;
 la vitesse du périphérique ;
 version du logiciel ;
 révision du programme interne.
Pour en savoir plus sur les options du rapport sur les périphériques FireWire, consultez
la section “Référence des définitions des champs de rapport” à la page 173.
Le nombre de périphériques FireWire connectés est également indiqué dans la section
Périphériques du rapport sur la vue d’ensemble du système.
Pour produire un rapport sur les périphériques FireWire :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Périphériques FireWire.
4 Sélectionnez les informations FireWire souhaitées.
5 Pour rechercher à partir des nouvelles données, cochez la case “Reconstruire les données
pour le rapport”.
6 Cliquez sur Rapport.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.
Obtention d’informations sur les périphériques USB
Le rapport Périphériques USB contient des informations sur les périphériques USB
(scanneurs, claviers, souris, etc.) connectés à l’ordinateur client. Les informations collectées sur un périphérique sont les suivantes :
 le nom et l’identité (ID) du produit ;
 le nom et l’identité (ID) du fournisseur ;
 la vitesse du périphérique ;
 l’alimentation du bus (ampères).
Pour en savoir plus sur les options du rapport sur les périphériques USB, consultez
la section “Référence des définitions des champs de rapport” à la page 173.
Des informations générales sur les périphériques USB connectés sont également disponibles dans la section Périphériques du rapport sur la vue d’ensemble du système.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 129
Pour produire un rapport sur les périphériques USB :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Périphériques USB.
4 Sélectionnez les informations de périphérique USB souhaitées.
5 Pour rechercher à partir des nouvelles données, cochez la case “Reconstruire les données
pour le rapport”.
6 Cliquez sur Rapport.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.
Obtention d’informations sur les interfaces de réseau
Le rapport sur les interfaces de réseau permet d’obtenir des informations concernant
l’ensemble des interfaces de réseau, y compris les interfaces inactives. Il collecte également des statistiques détaillées sur le réseau, la sortie et Ethernet à partir des ordinateurs clients.
Le rapport sur les interfaces de réseau peut être utilisé pour rechercher des erreurs
sur le réseau ou détecter le matériel réseau défaillant, résoudre les problèmes de
performances réseau et examiner les réglages réseau sur les ordinateurs clients.
Toutes les statistiques détaillées sont actualisées au redémarrage du client et les informations relatives aux adresses sont susceptibles de changer si votre client obtient son
adresse réseau via DHCP.
Pour obtenir une liste complète des options du rapport sur les interfaces de réseau,
consultez la section “Référence des définitions des champs de rapport” à la page 173.
Des informations de base concernant les réglages de réseau sont également disponibles dans la section Réseau et AirPort du rapport sur la vue d’ensemble du système.
Pour produire un rapport sur les interfaces de réseau :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Interfaces de réseau.
4 Sélectionnez les informations d’interface souhaitées.
5 Pour rechercher à partir des nouvelles données, cochez la case “Reconstruire les données
pour le rapport”.
6 Cliquez sur Produire un rapport.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.130 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Obtention d’informations sur la mémoire
Le rapport sur la mémoire fournit des informations spécifiques relatives à la mémoire installée dans un ordinateur client. Outre la quantité de mémoire installée sur chaque client,
il présente également des informations sur chaque module de mémoire, notamment :
 identificateur de logement ;
 la taille, le type et la vitesse.
Les rapports sur la mémoire peuvent être utilisés pour gérer les ressources informatiques,
résoudre les problèmes matériels ou décider quels sont les ordinateurs clients capables
de gérer des applications ou des tâches exigeantes en mémoire.
Pour en savoir plus sur les options du rapport sur la mémoire, consultez la section
“Référence des définitions des champs de rapport” à la page 173.
Des informations de base sur la mémoire du système sont également disponibles
dans la section Ordinateur du rapport sur la vue d’ensemble du système.
Pour produire un rapport sur la mémoire :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Mémoire.
4 Sélectionnez les informations de module souhaitées.
5 Pour rechercher à partir des nouvelles données, cochez la case “Reconstruire les données
pour le rapport”.
6 Cliquez sur Rapport.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.
Obtention d’informations sur les cartes PCI
Le rapport sur les cartes PCI présente des informations relatives aux cartes PCI installées
sur les ordinateurs clients. Il fournit des informations sur chaque carte PCI, notamment :
 le nom du logement ;
 le nom de la carte, le type, la mémoire et la version ;
 les ID du fournisseur et du périphérique ;
 la version (révision) de la ROM.
Pour plus d’informations sur les options du rapport sur les cartes PCI, consultez la section
“Référence des définitions des champs de rapport” à la page 173.
Des informations de base sur les cartes PCI des clients sont également disponibles dans
la section Ordinateur du rapport de vue d’ensemble du système.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 131
Pour produire un rapport sur les cartes PCI :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Cartes PCI.
4 Sélectionnez les informations de carte PCI souhaitées.
5 Pour rechercher à partir des nouvelles données, cochez la case “Reconstruire les données
pour le rapport”.
6 Cliquez sur Rapport.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.
Test de la réactivité du réseau
Apple Remote Desktop peut tester la réactivité du réseau entre votre ordinateur administrateur et les ordinateurs clients. Il envoie des paquets réseau aux clients et indique
le temps nécessaire pour recevoir la confirmation provenant des clients.
Vous pouvez choisir le nombre de paquets réseau à envoyer, la fréquence des envois et
la durée pendant laquelle l’ordinateur administrateur attend une réponse avant de considérer qu’un paquet est perdu.
Pour produire un rapport du test de réseau :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Test de réseau.
4 Sélectionnez les options souhaitées.
Choisissez le nombre de paquets envoyés dans le menu local Paquets (Total des paquets
à envoyer).
Choisissez la fréquence d’envoi des paquets dans le menu local Intervalle
(Intervalles entre les paquets).
Choisissez le délai d’attente avant de considérer qu’un paquet est perdu dans le menu
local Temporisation (Temporisation du paquet).
5 Cliquez sur Rapport.
La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.
Évaluation du rapport du test de réseau
Le rapport du test de réseau permet de déterminer si les échecs relatifs aux tâches
d’Apple Remote Desktop sont dus à des problèmes d’encombrement du réseau ou
à d’autres facteurs. Vous pouvez, par exemple, découvrir qu’une tâche Copier les élé-
ments a échoué sur un sous-réseau particulier en raison d’un encombrement du
réseau sur ce sous-réseau.132 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Voici quelques suggestions qui vous permettront d’évaluer les performances de votre
réseau à partir de ce rapport :
 Le nombre de routeurs entre votre ordinateur et un autre ordinateur peut affecter le
délai nécessaire pour renvoyer les paquets. Lorsque vous évaluez les délais d’un ordinateur, il est nécessaire de les comparer aux délais d’un ordinateur qui se trouve dans
la même zone du réseau ou qui possède le même nombre de routeurs intermédiaires.
 Si le délai maximum nécessaire pour qu’un paquet soit renvoyé par un ordinateur est
sensiblement supérieur aux délais des autres ordinateurs situés dans la même zone
du réseau, il existe probablement un problème sur l’ordinateur concerné.
 Si un ordinateur particulier présente un très grand nombre de paquets perdus,
il se peut qu’un problème affecte la connexion au réseau de cet ordinateur.
 Si plusieurs ordinateurs de la même zone du réseau présentent de nombreuses
pertes de paquets, il peut s’agir d’un problème de connexion au réseau ou d’un
problème dû à un routeur ou un pont.
Exportation des informations de rapport
Vous pouvez exporter les rapports sous la forme de fichiers délimités par des virgules
ou des tabulations. Toutes les colonnes d’informations figurant dans la fenêtre du rapport seront incluses et les rangées du rapport seront exportées selon l’ordre de tri en
vigueur au moment de l’exportation.
Les rapports exportés peuvent être soit utilisés dans des bases de données, des feuilles
de calcul ou des applications de traitement de texte afin de procéder à des analyses
supplémentaires, soit envoyés à d’autres administrateurs. Vous pouvez même utiliser
certains rapports comme fichiers d’entrée pour les scanneurs de réseau destinés à
Remote Desktop.
Vous pouvez également accéder directement à la base de données SQL du rapport avec
vos propres outils ou applications de requête SQL. Avec des requêtes de base de données
SQL standard, vous pouvez obtenir tout ou partie des informations de la base de données
de rapports, pour une utilisation avec d’autres applications ou bases de données.
Pour exporter un rapport :
1 Produisez un rapport quelconque, puis placez la fenêtre du rapport au premier plan.
2 Si vous le souhaitez, triez les rangées du rapport en sélectionnant une nouvelle
colonne comme critère de tri.
3 Si vous ne souhaitez pas exporter l’intégralité du rapport, sélectionnez les rangées
à exporter.
4 Choisissez Fichier > Exporter la fenêtre.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 133
5 Nommez le fichier et choisissez un emplacement pour l’enregistrer.
6 Sélectionnez un type d’encodage de texte.
 Occidental (Mac OS Roman) :il s’agit de l’option la mieux adaptée si les informations
du rapport utilisent l’alphabet romain et que le document exporté est destiné à être
ouvert par une application ou sous un système d’exploitation qui ne gère pas le format de texte Unicode (par exemple certaines versions de Mac OS 9).
 Unicode (UTF-8) :cette option s’avère idéale si le fichier exporté est destiné à être
ouvert sous Mac OS X et ne contient aucun caractère de langue asiatique telle que
le chinois ou le japonais.
 Unicode (UTF-16) :cette option convient aux rapports qui contiennent des caractères
de langue asiatique.
7 Sélectionnez un séparateur de champs.
 Onglet :insère un caractère d’onglet entre les valeurs des différentes colonnes.
 Virgule :insère une virgule entre les valeurs des différentes colonnes.
8 Si vous n’avez sélectionné que certaines rangées du rapport et que vous ne souhaitez
exporter que les rangées sélectionnées, choisissez Exporter seulement les éléments
sélectionnés.
9 Cliquez sur Enregistrer.
Utilisation de fenêtres de rapport pour manipuler les ordinateurs
Vous pouvez utiliser un rapport que vous avez créé pour sélectionner des ordinateurs
afin d’effectuer les tâches suivantes :
 Créer de nouvelles listes d’ordinateurs.
Sélectionnez des ordinateurs dans la fenêtre de rapport et sélectionnez Fichier >
Nouvelle liste à partir de la sélection.
 Produire d’autres rapports.
Sélectionnez un nombre quelconque de rangées dans une fenêtre de rapport, puis
choisissez un autre rapport dans le menu Rapport. Le nouveau rapport sera produit
à partir des ordinateurs des rangées sélectionnées.
 Lancer n’importe quelle tâche de gestion.
Sélectionnez n’importe quelle rangée dans une fenêtre de rapport, puis choisissez
une tâche de gestion dans le menu Gestion. Cela revient à sélectionner l’ordinateur
dans une liste d’ordinateurs Apple Remote Desktop.
 Communiquer avec les utilisateurs.
Sélectionnez n’importe quelle rangée dans une fenêtre de rapport, puis choisissez
une tâche dans le menu Communication. Cela revient à sélectionner l’ordinateur
dans une liste d’ordinateurs Apple Remote Desktop.
 Supprimez un fichier d’un ordinateur.134 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Sélectionnez un fichier dans n’importe quelle fenêtre de rapport de fichier
ou de logiciel, et cliquez sur le bouton Supprimer.
 Copiez un élément vers votre ordinateur.
Sélectionnez un élément dans n’importe quelle fenêtre de rapport logiciel et cliquez
sur Copier vers cet ordinateur.
Entretien des systèmes
Apple Remote Desktop offre des outils simples et puissants pour gérer les ordinateurs
clients, y compris des tâches telles que la suppression de fichiers, le vidage de la Corbeille
et la définition d’options de démarrage de l’ordinateur.
Suppression d’éléments
Tout fichier que vous supprimez sur un ordinateur client est placé dans la corbeille
du client.
Pour supprimer un élément sur un client :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Rapport > Recherche de fichier.
4 Recherchez, à l’aide du rapport de recherche de fichiers, les logiciels que vous
souhaitez supprimer.
Pour plus d’informations, consultez la section “Recherche de fichiers, de dossiers et
d’applications” à la page 122.
5 Sélectionnez le ou les éléments à supprimer dans la fenêtre du rapport de recherche
de fichiers.
6 Cliquez sur Supprimer la sélection dans la fenêtre du rapport.
7 Cliquez sur Supprimer.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 135
Vidage de la Corbeille
Apple Remote Desktop vous permet de vider la corbeille des clients afin de libérer de
l’espace disque. Pour connaître la quantité d’espace disque disponible sur un ordinateur, créez un rapport sur la vue d’ensemble du système ou un rapport de stockage
à l’aide du menu Rapport.
Dans le cadre de l’entretien de routine des ordinateurs clients, vous pouvez libérer de
l’espace disque en vidant la corbeille. Le vidage de la corbeille supprime définitivement
les éléments précédemment supprimés sur le client. Le rapport sur la vue d’ensemble
du système vous permet de connaître la quantité d’espace disque récupérable en vidant
la corbeille.
Pour vider la corbeille :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Vider la Corbeille.
4 Cliquez sur Vider.
Configuration du disque de démarrage
Apple Remote Desktop peut configurer le disque de démarrage sur n’importe quel
ordinateur client. Vous pouvez choisir entre un volume situé sur un disque dur local
et tout volume NetBoot disponible.
Un système d’exploitation valide doit être installé sur le disque de démarrage. Pour
configurer le disque de démarrage sur un disque dur local pour plusieurs ordinateurs
à la fois, il faut que le nom du volume local soit identique pour tous les ordinateurs.
Vous pouvez également choisir un volume NetBoot fourni par Mac OS X Server comme
disque de démarrage. Cela vous permet de démarrer un certain nombre de clients à
partir d’un serveur NetBoot.
Pour configurer le disque de démarrage :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Configurer le disque de démarrage.
La liste affichée contient le disque dur local du client, un élément de serveur NetBoot
personnalisé et une liste de tous les serveurs NetBoot et Installation en réseau disponibles sur le sous-réseau local.
4 Choisissez le disque dur local du client ou un volume de serveur NetBoot.
5 Pour choisir un volume de disque dur local particulier, sélectionnez Disque dur, cliquez
sur Modifier, puis saisissez le nom du volume souhaité.136 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
6 Si vous voulez choisir un volume de serveur NetBoot personnalisé, tapez l’adresse IP
ou le nom de domaine complet du serveur, puis le nom du volume NetBoot.
7 Si vous le souhaitez, sélectionnez Redémarrer une fois terminé.
Si vous sélectionnez Redémarrer une fois terminé, l’ordinateur client redémarre une fois
son volume de démarrage défini. Pour utiliser cette option, vous devez disposer d’autorisation de redémarrage.
8 Cliquez sur Configurer.
Modification du nom des ordinateurs
Apple Remote Desktop peut définir le nom utilisé par un ordinateur client pour le partage
de fichiers. Vous pouvez renommer plusieurs ordinateurs à l’aide du même nom suivi d’un
chiffre (par exemple : Ordinateur1, Ordinateur2, etc.). Cette façon de procéder est utile
pour différencier les ordinateurs clients après une installation spéciale du système.
Remarque :la fonction Renommer l’ordinateur ne modifie pas le nom d’hôte local
ou le nom DNS des ordinateurs clients.
Pour renommer un ordinateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Renommer les ordinateurs.
4 Tapez le nouveau nom d’ordinateur.
5 Si vous le souhaitez, sélectionnez Ajouter un numéro unique à chaque ordinateur.
Cette option permet d’ajouter un numéro unique à la fin du nom de l’ordinateur. Si
vous renommez trois ordinateurs en leur attribuant par exemple le nom “Ordinateur”,
ils porteront les noms “Ordinateur1,” “Ordinateur2” et “Ordinateur3.”
6 Cliquez sur Renommer.
Synchronisation de l’heure des ordinateurs
La maintenance d’horloges synchronisées sur les clients est essentielle pour la fiabilité
de la gestion. Les horloges synchronisées permettent des vérifications plus précises et
vous permettent de corréler avec précision des événements entre des clients du réseau.
En outre, de nombreux services Internet utilisent des heures d’horloge synchronisées
avec un serveur NTP (Network Time Protocol). Tout événement planifié tire parti des
horloges clients synchronisées.
Tous les clients Mac OS X peuvent être configurés pour synchroniser automatiquement
leurs horloges avec un serveur NTP. Mac OS X Server peut également être configuré pour
jouer le rôle de serveur NTP. Pour préserver la synchronisation entre les clients, vous devez
choisir un serveur NTP unique pour la synchronisation. Apple propose un serveur NTP sur
le site time.apple.com.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 137
La configuration de l’heure de l’ordinateur nécessite l’utilisation de la fonction Envoyer
la commande UNIX d’Apple Remote Desktop et de son outil de ligne de commande
intégré, à savoir systemsetup. Voir “Outils de ligne de commande intégrés” à la page 154
pour plus d’informations sur l’outil.
Pour synchroniser les horloges des ordinateurs clients :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX.
4 Utilisez les modèles fournis pour “Envoyer la commande UNIX” afin de configurer le serveur horloge (voir “Modèles Envoyer la commande UNIX” à la page 150 pour plus
d’informations).
a Sélectionnez Configuration système > Horloge réseau dans le menu local Modèle.
b Cliquez sur Envoyer.
c Sélectionnez Configuration système > “Serveur horloge de réseau” dans le menu
local Modèle.
Sur le site time.apple.com, remplacez le serveur horloge par celui souhaité, si nécessaire.
5 Vous pouvez également saisir manuellement la commande UNIX.
a Tapez ou collez la commande UNIX suivante :
systemsetup -setusingnetworktime on -setnetworktimeserver
b Configurez les autorisations utilisateur pour que cette commande soit envoyée
en tant qu’utilisateur “root”.
6 Cliquez sur Envoyer.
Configuration du volume audio de l’ordinateur
Vous pouvez normaliser ou configurer le volume de sortie de vos ordinateurs. Vous pouvez utiliser cette fonction pour désactiver le son de plusieurs ordinateurs ou activer le
son sur un ordinateur distant unique. Vous pouvez également configurer le volume des
alertes séparément du volume de sortie et du volume d’entrée. Vous pouvez en outre
désactiver le son en sortie. Lorsque le son est désactivé, l’ordinateur mémorise le niveau
antérieur du volume et le rétablit lorsque le son est réactivé.
Pour régler le volume sonore de l’ordinateur, il faut utiliser la fonction “Envoyer la commande UNIX” d’Apple Remote Desktop, AppleScript et l’outil de ligne de commande
osascript. Pour plus d’informations, consultez la section “Commandes shell UNIX” à la
page 150. Consultez le dictionnaire StandardAdditions d’AppleScript pour plus d’informations sur l’utilisation de cet outil.138 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Pour régler le volume audio d’un ordinateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX.
4 Utilisez les modèles fournis pour “Envoyer la commande UNIX” afin de configurer
le volume de l’ordinateur (voir “Modèles Envoyer la commande UNIX” à la page 150
pour plus d’informations).
a Sélectionnez Divers > Volume activé dans le menu local Modèle.
b Définissez le niveau de volume souhaité dans la zone de dialogue “Envoyer la
tâche UNIX”.
5 Vous pouvez également saisir manuellement la commande UNIX.
a Tapez ou collez la commande UNIX suivante :
osascript -e ’set volume output volume un_nombre_entre_0_et_100’
b Ou bien, pour les clients Mac OS X 10.3, tapez ou collez la commande suivante :
osascript -e ’set volume un nombre entre_0 et 7’
6 Cliquez sur Envoyer.
Réparation des autorisations de fichiers
Il peut arriver que les autorisations de fichier d’un client soient corrompues ou modifiées par rapport à leurs valeurs normales. Dans ce cas, il peut s’avérer nécessaire de
réparer manuellement les autorisations sur le client. La réparation des autorisations
permet de rétablir les réglages par défaut des fichiers du système et des bibliothèques.
La réparation des autorisations de fichiers nécessite l’utilisation de la fonction “Envoyer
la commande UNIX” d’Apple Remote Desktop et de l’outil de ligne de commande
diskutil. Pour plus d’informations, consultez la section “Commandes shell UNIX” à la
page 150. Pour obtenir des informations sur l’utilisation de cet outil, référez-vous à la
page man de diskutil.
Pour réparer les autorisations de fichier d’un ordinateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX.
4 Tapez ou collez la commande UNIX suivante :
diskutil repairPermissions /
5 Configurez les autorisations utilisateur pour que cette commande soit envoyée en tant
qu’utilisateur “root”.
6 Cliquez sur Envoyer.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 139
Ajout d’éléments au Dock
Si vous installez le logiciel sur les ordinateurs clients par glisser-déposer, le fichier,
le dossier ou l’application n’est pas ajouté immédiatement au Dock de l’utilisateur.
Les instructions fournies ici sont une solution pour les clients qui ne font pas partie
d’un environnement client géré.
Remarque :il est recommandé d’effectuer la gestion du Dock dans un environnement
de gestion de groupe de travail Mac OS X Server. Si vous utilisez Mac OS X Server pour
gérer les réglages et préférences des clients, les réglages de gestion du Gestionnaire de
groupe de travail constituent l’emplacement approprié pour changer le Dock.
Pour ajouter une application ou tout autre élément au Dock :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX.
4 Tapez ou collez la commande UNIX suivante (remplacez /chemin_vers_application par
le chemin d’accès à l’application souhaitée et veillez à inclure l’extension de fichier
“.app”) :
defaults write com.apple.dock persistent-apps -array-add ’tiledatafile-data
_CFURLString/chemin_vers_application
_CFURLStringType0
’; killall -HUP Dock
Utilisez “persistent-others” au lieu de “persistent-apps” si l’élément n’est pas une application.
5 Configurez les autorisations pour l’utilisateur actuellement connecté.
6 Cliquez sur Envoyer.
Modification des préférences d’économie d’énergie
Vous pouvez consulter et modifier les réglages de la sous-fenêtre Économiseur d’énergie
des Préférences Système. Vous pouvez changer l’heure de mise en veille de l’ordinateur,
ainsi que les autres options d’économie d’énergie. Vous pouvez configurer tous les clients
pour qu’ils utilisent la même heure de mise en veille, et même activer la préférence leur
permettant de répondre à la commande Réactiver d’Apple Remote Desktop (“Activer
pour l’accès administrateur au réseau Ethernet”).
La modification des préférences d’économie d’énergie nécessite l’utilisation de la fonction
Envoyer la commande UNIX d’Apple Remote Desktop et de son outil de ligne de commande intégré, à savoir systemsetup. Consultez la section “Outils de ligne de commande
intégrés” à la page 154 pour des informations plus détaillées sur l’outil systemsetup.
Pour changer les préférences d’économie d’énergie :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.140 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
3 Choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX.
4 Utilisez les modèles “Envoyer la commande UNIX” afin de définir les préférences
d’économie d’énergie.
a Sélectionnez l’un des éléments d’Économiseur d’énergie suivants dans le groupe
Configuration du système :
 Redémarrer après un blocage.
 Redémarrage après une coupure de courant.
 Horaire de suspension de l’activité du système.
 Horaire de suspension de l’affichage.
 Réactiver lors d’un accès au réseau.
 Réactiver en cas d’activité du modem.
b Remplacez les valeurs du modèle par les valeurs souhaitées, puis cliquez sur Envoyer.
5 Vous pouvez également saisir manuellement la commande UNIX.
a Tapez ou collez la commande UNIX suivante :
systemsetup -setsleep minutes nombre_de_minutes_pour_suspension -setwakeonmodem (on | off) -setwakeonnetworkaccess (on | off) -setrestartpowerfailure (on | off) -setrestartfreeze (on | off)
b Configurez les autorisations de cette commande sur root.
6 Cliquez sur Envoyer.
Modification des préférences de partage pour la connexion à distance
La sous-fenêtre Préférences Partage de Mac OS X vous permet d’activer ou de désactiver
l’accès à cet ordinateur par connexion SSH. Vous pouvez utiliser Remote Desktop pour
activer ou désactiver la préférence d’un ordinateur distant.
La configuration de la préférence de partage de connexion à distance nécessite l’utilisation de l’outil de ligne de commande intégré d’Apple Remote Desktop, systemsetup.
Voir “Outils de ligne de commande intégrés” à la page 154 pour plus d’informations sur
l’outil.
Pour changer les préférences de partage de connexion à distance :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX.
4 Utilisez les modèles fournis pour “Envoyer la commande UNIX” afin de configurer le
réglage de connexion à distance (SSH) ; voir “Modèles Envoyer la commande UNIX” à
la page 150 pour plus d’informations.
a Sélectionnez Configuration système > Connexion à distance (SSH) dans le menu
local Modèle.
b Activez ou désactivez la connexion.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 141
5 Vous pouvez également saisir manuellement la commande UNIX.
a Tapez ou collez la commande UNIX suivante :
systemsetup -setremotelogin (on | off)
b Configurez les autorisations de cette commande sur root.
6 Cliquez sur Envoyer.
Configuration des préférences d’imprimante
Vous pouvez configurer l’imprimante par défaut de vos ordinateurs clients de sorte
qu’ils présentent tous la même imprimante par défaut et configurée. Il existe plusieurs
moyens de configurer les préférences d’imprimante d’un ordinateur client. Si vous avez
un ordinateur dont la configuration de l’imprimante est correcte, vous pouvez utiliser
Remote Desktop pour copier les fichiers de configuration nécessaires vers les ordinateurs clients. Si vous n’avez pas d’ordinateur configuré, vous pouvez utiliser les outils
de ligne de commande de Mac OS X pour définir les préférences d’imprimante.
La configuration des préférences d’imprimante via Remote Desktop implique l’utilisation de la tâche Copier des éléments. Pour plus d’informations, consultez la section
“Copie de l’administrateur vers les clients” à la page 113.
Pour configurer les préférences d’imprimante via Copier des éléments :
1 Configurez les préférences d’imprimante d’un ordinateur client via l’utilitaire de
configuration d’imprimante.
2 Utilisez la tâche Copier des éléments pour copier le fichier et le dossier suivants vers
tous les ordinateurs cibles :
/private/etc/cups/printers.conf
/private/etc/cups/ppd/
Dans la mesure où ces fichiers sont masqués dans le Finder, vous devrez utiliser Terminal
ou la commande “Aller au dossier” du Finder pour les ajouter à la liste “Éléments à copier”.
3 Choisissez un “Même emplacement relatif” que la destination de la copie.
4 Choisissez de remplacer les éléments existants.
5 Cliquez sur Copier.
6 Redémarrez le processus d’impression des ordinateurs clients en redémarrant les clients.
Si vous maîtrisez l’utilisation de la ligne de commande, vous pouvez utiliser la fonction
“Envoyer la commande UNIX” de Remote Desktop pour configurer simultanément
les préférences de tous les ordinateurs clients.
Pour configurer les préférences d’imprimante via “Envoyer la commande UNIX”, il faut
utiliser l’outil de ligne de commande intégré lpadmin. Pour en savoir plus, référez-vous
à la page man de lpadmin.142 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Pour configurer les préférences d’imprimante via Envoyer la commande UNIX :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX.
4 Tapez ou collez la commande UNIX suivante :
lpadmin -p nom_imprimante -E -v lpd://adresse_imprimante_et_file_attente -m
fichier_ppd_modèle_imprimante -L “description_emplacement_imprimante”
5 Réglez les autorisations d’utilisateur de cette commande sur “root”.
6 Cliquez sur Envoyer.
Gestion des ordinateurs
Apple Remote Desktop vous permet de contrôler simultanément plusieurs ordinateurs
clients, en exécutant les commandes du menu Apple de Mac OS X (Déconnecter, Suspendre, Redémarrer, etc.), ainsi que d’autres commandes.
Ouverture de fichiers et de dossiers
Apple Remote Desktop peut ouvrir des éléments existants (fichiers, dossiers et applications) sur des ordinateurs clients. L’élément à ouvrir sur les ordinateurs clients doit se
trouver également sur l’ordinateur administrateur et doit posséder les mêmes nom,
type, taille, autorisations et date de création que l’élément qui se trouve sur l’ordinateur administrateur.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 143
La commande Ouvrir les éléments ouvre les fichiers soit à l’aide de l’application utilisée
pour les créer, si cette application est présente sur l’ordinateur client, soit à l’aide de
l’application désignée pour ouvrir les fichiers portant l’extension du fichier concerné.
Les dossiers s’ouvrent dans le Finder. Les applications sont ouvertes ou amenées au
premier plan si elles étaient déjà ouvertes.
Pour ouvrir un élément :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Ouvrir les éléments.
4 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) et recherchez l’élément sur l’ordinateur administrateur.
Vous pouvez également faire glisser l’élément depuis le Finder de l’ordinateur administrateur jusque dans la zone de dialogue Ouverture d’élément.
5 Cliquez sur Ouvrir une fois que l’élément a été sélectionné.
La zone de dialogue Ouverture d’élément affiche l’icône et le nom de l’élément à ouvrir.
6 Cliquez sur Ouvrir.
Ouverture d’applications
Apple Remote Desktop peut ouvrir des applications sur des ordinateurs clients. L’application à ouvrir sur les ordinateurs clients doit également être présente sur l’ordinateur
administrateur. Si l’application est déjà ouverte, la commande Ouvrir l’application l’amène
au premier plan. Cette commande permet d’ouvrir des applications Mac OS X et Classic.
L’application qui se trouve sur l’ordinateur administrateur doit posséder les mêmes
nom, type et autorisations que l’application à ouvrir sur les ordinateurs clients.
Pour ouvrir une application :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Ouverture d’application.
La zone de dialogue Ouverture d’application répertorie les applications installées dans le
dossier Applications au niveau supérieur du disque dur de l’ordinateur de l’administrateur.
4 Sélectionnez l’application ou cliquez sur le bouton Ajouter (+) et recherchez l’application
souhaitée sur l’ordinateur administrateur.
Vous pouvez également faire glisser l’élément depuis le Finder de l’ordinateur administrateur jusque dans la zone de dialogue Ouverture d’application.
La zone de dialogue Ouverture d’application affiche l’icône et le nom de l’application
à ouvrir.
5 Cliquez sur Ouvrir.144 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Quitter des applications sans déconnecter l’utilisateur
Apple Remote Desktop peut quitter des applications en cours d’exécution sur des ordinateurs clients. Cette commande permet de quitter des applications Mac OS X et Classic.
L’utilisateur doit pouvoir utiliser Envoyer la commande UNIX sur l’ordinateur client.
Vous trouverez davantage d’informations sur la commande killall en consultant la
page man correspondante.
Remarque :les modifications non enregistrées dans les documents du client sont perdues.
Pour quitter une application :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX.
4 Utilisez les modèles fournis pour “Envoyer la commande UNIX” afin de quitter une
application (voir “Modèles Envoyer la commande UNIX” à la page 150 pour plus d’informations).
a Sélectionnez Divers > Quitter l’application dans le menu local Modèle.
b Indiquez le nom d’application souhaité.
5 Vous pouvez également saisir manuellement la commande UNIX.
a Tapez ou collez la commande UNIX suivante :
killall “nom_application”
b Configurez les autorisations utilisateur pour que cette commande soit envoyée
en tant qu’utilisateur “root”.
6 Cliquez sur Envoyer.
Suspension de l’activité d’un ordinateur
Apple Remote Desktop peut suspendre l’activité des ordinateurs clients. Cette fonction
produit les mêmes résultats que la commande Suspendre l’activité sur le client : l’écran
s’éteint, le disque dur s’arrête de tourner et le processeur de l’ordinateur ainsi que son
interface réseau passent en mode de faible consommation d’énergie.
Remarque :bien que vous puissiez suspendre l’activité d’ordinateurs qui ne se trouvent pas sur votre sous-réseau, et via AirPort, vous ne pourrez pas les réactiver avec
Remote Desktop.
Pour suspendre l’activité d’un ordinateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Suspendre l’activité.
4 Cliquez sur Suspendre l’activité.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 145
Réactivation d’un ordinateur
Apple Remote Desktop peut réactiver des ordinateurs mis en veille ou suspendus via
Remote Desktop. Pour réactiver un ordinateur via Remote Desktop, il faut que le maté-
riel réseau de l’ordinateur gère la réactivation via l’envoi de paquets réseau (wakeonlan)
et que l’option “Réactiver pour permettre l’accès à l’administrateur du réseau Ethernet”
soit activée dans les Options de réactivation des préférences Économiseur d’énergie de
l’ordinateur.
Il est impossible de réactiver les ordinateurs connectés au réseau via AirPort ou ceux
qui ne se trouvent pas sur votre sous-réseau local. Apple Remote Desktop utilise un
paquet “wakeonlan” pour réactiver les ordinateurs clients suspendus. Le paquet peut
uniquement être distribué via une adresse de diffusion locale, de sorte qu’il fonctionne
uniquement sur un réseau local. En outre, le matériel réseau doit toujours être alimenté
pour recevoir le paquet et agir sur ce paquet. AirPort et les autres interfaces réseau sans
fil sont totalement hors tension lorsqu’elles sont suspendues et ne peuvent donc pas
recevoir de paquet wakeonlan.
Si vous devez réactiver des ordinateurs sur un autre sous-réseau, vous pouvez utiliser
un ordinateur de ce sous-réseau comme une sorte de sentinelle. Il n’est jamais suspendu
et exécute une autre copie avec licence de Remote Desktop, et il peut être contrôlé par
votre copie locale de Remote Desktop. De cette façon, vous pouvez contrôler l’ordinateur
“sentinelle” et lui demander de réactiver les ordinateurs clients sur son sous-réseau local.
Pour réactiver un ordinateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez dans la liste un ou plusieurs ordinateurs qui affichent l’état “Suspendu”
ou déconnecté.
3 Choisissez Gestion > Réactiver.
4 Cliquez sur Réactiver.
Verrouillage de l’écran d’un ordinateur
Apple Remote Desktop peut verrouiller l’écran d’un ordinateur. Lorsque vous verrouillez
l’écran d’un ordinateur, personne ne peut visualiser le bureau ni se servir de la souris
et du clavier de cet ordinateur. Par défaut, Apple Remote Desktop affiche un cadenas
sur les écrans verrouillés, mais vous pouvez afficher une image personnalisée. Pour plus
d’informations, consultez la section “Affichage d’une image personnalisée sur un écran
verrouillé” à la page 146.
Vous pouvez continuer à travailler avec des ordinateurs via Remote Desktop après avoir
verrouillé leur écran.146 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Pour verrouiller l’écran d’un ordinateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Communication > Verrouiller l’écran.
4 Tapez un message à afficher sur l’écran verrouillé si vous le souhaitez.
5 Cliquez sur Verrouiller l’écran.
L’écran du client devient noir, à l’exception du nom de l’administrateur, de l’image
par défaut et d’un éventuel message de texte.
Affichage d’une image personnalisée sur un écran verrouillé
Vous pouvez afficher une image de votre choix sur l’écran du client verrouillé par Apple
Remote Desktop. Assurez-vous que les images que vous créez seront adaptées à l’écran
de l’ordinateur client. Si vos clients ont des écrans d’une résolution de 800 x 600 par
exemple, une image de 1024 x 768 sera réduite pour s’adapter à l’écran.
Pour créer une image d’écran verrouillé :
1 Créez une image à l’aide d’une application graphique telle qu’AppleWorks.
2 Enregistrez l’image sous le format PICT, TIFF, GIF, JPEG ou tout autre format d’image
statique compatible avec QuickTime.
Il est impossible d’utiliser des films compatibles avec QuickTime ou des objets
QuickTime VR.
3 Nommez votre image “Image d’écran verrouillé”.
4 Copiez le fichier “Image d’écran verrouillé” dans /Bibliothèque/Preferences/ sur
l’ordinateur client.
Déverrouillage de l’écran d’un ordinateur
Vous devez utiliser Apple Remote Desktop pour déverrouiller l’écran d’un ordinateur
verrouillé par Remote Desktop. Le déverrouillage d’un écran d’ordinateur permet de
restaurer le bureau et d’utiliser la souris et le clavier sur cet ordinateur.
Pour déverrouiller l’écran d’un ordinateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez dans la liste un ou plusieurs ordinateurs qui affichent l’état “Écran verrouillé”.
3 Choisissez Communication > Déverrouiller l’écran.
4 Cliquez sur Déverrouiller l’écran.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 147
Désactivation de l’écran d’un ordinateur
Vous pouvez être amené à contrôler un ordinateur client devant lequel se trouve un
utilisateur, mais vous ne souhaitez pas que l’utilisateur voie ce que vous faites. Dans ce
cas, vous pouvez désactiver l’écran des ordinateurs clients tout en préservant votre propre affichage de l’ordinateur client. Ce mode de contrôle spécial est appelé “mode rideau”.
Vous pouvez changer ce qu’il y a “derrière le rideau” et l’afficher lorsque le mode de contrôle standard est rétabli.
Cette fonction n’est possible que pour les clients Mac OS X 10.4.
Pour désactiver l’écran d’un ordinateur pendant que vous travaillez :
1 Contrôlez un ordinateur client.
Pour des informations plus détaillées, consultez la section “Contrôle des clients Apple
Remote Desktop” à la page 82 ou “Contrôle de serveurs VNC” à la page 86.
2 Cliquez sur le bouton Verrouiller l’écran de l’ordinateur pendant le contrôle, dans la barre
d’outils de la fenêtre de contrôle.
Si vous ne travaillez pas actuellement dans une fenêtre de contrôle et que vous avez
ajouté à votre barre d’outils le bouton “Contrôler l’ordinateur en mode Rideau”, cliquez
sur cette icône. Vous pouvez également sélectionner Communication > Rideau.
Connexion d’un utilisateur dans la fenêtre de connexion
Apple Remote Desktop peut connecter n’importe quel utilisateur sur un ordinateur
client en utilisant des événements système AppleScript et la fonctionnalité Envoyer la
commande UNIX. Ces puissantes fonctionnalités vous permettent de connecter simultanément un nombre quelconque d’ordinateurs clients avec le même nom d’utilisateur
à partir de la fenêtre de connexion.
Ce script n’est utilisable sur les ordinateurs que sur l’écran d’ouverture de session.
Pour connecter un utilisateur :
Cette méthode utilise la commande osascript. Pour obtenir des informations
détaillées sur osascript, consultez la page man osascript.
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX.148 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
4 Tapez le script AppleScript suivant dans la fenêtre de commande UNIX, en ajoutant
le nom d’utilisateur et le mot de passe :
osascript <"
keystroke tab
delay 0.5
keystroke ""
delay 0.5
keystroke return
end tell
EndOfMyScript
5 Choisissez l’utilisateur “root” pour exécuter cette commande.
6 Cliquez sur Envoyer.
L’ordinateur client exécute le script.
Déconnexion de l’utilisateur actuel
Apple Remote Desktop peut déconnecter l’utilisateur actuel sur un ordinateur client.
Les sessions des autres utilisateurs, en plus de l’utilisateur actif actuel, qui ont ouvert
une session via la fonction de Permutation rapide d’utilisateur ne sont pas fermées par
cette commande. L’utilisation de cette commande renvoie l’ordinateur client à la fenê-
tre d’ouverture de session.
Le travail non enregistré interrompt le processus de déconnexion.
Pour fermer la session d’un utilisateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Fermer la session de l’utilisateur actuel.
4 Cliquez sur Fermer la session.
Redémarrage d’un ordinateur
Apple Remote Desktop peut redémarrer un ordinateur client. Cette fonction produit
le même résultat que la commande Redémarrer du menu Apple de l’ordinateur client.
Elle s’avère particulièrement utile si elle est utilisée conjointement avec la commande
Installer les paquets. La fonction Installer les paquets ne permet pas de redémarrer
l’ordinateur, même si cela est requis par le paquet installé. Vous pouvez redémarrer
l’ordinateur via Remote Desktop après l’installation d’un paquet.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 149
Pour redémarrer un ordinateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Redémarrer.
4 Sélectionnez le type de redémarrage.
Vous pouvez soit permettre aux utilisateurs d’enregistrer leurs fichiers ou d’annuler
le redémarrage, soit imposer un redémarrage immédiat, ce qui provoquera la perte
de toute modification non enregistrée dans les fichiers ouverts.
5 Cliquez sur Redémarrer.
Mise hors tension d’un ordinateur
Apple Remote Desktop peut arrêter un ordinateur client. Cette fonction produit
le même résultat que la commande Éteindre du menu Apple de l’ordinateur client.
Remarque :si vous arrêtez un client Apple Remote Desktop, vous ne pouvez pas
le démarrer avec Remote Desktop.
Cette commande s’avère particulièrement utile si elle est utilisée avec les préférences
Économiseur d’énergie. Vous pouvez configurer vos ordinateurs clients afin qu’ils
démarrent tous les matins à une heure désignée et utiliser Remote Desktop pour les
éteindre le soir. Il s’allumeront à nouveau le lendemain matin, prêts à être administrés.
Pour éteindre un ordinateur :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Éteindre.
4 Sélectionnez le type de mise hors tension.
Vous pouvez soit permettre aux utilisateurs d’enregistrer leurs fichiers ou d’annuler la
mise hors tension, soit imposer une mise hors tension immédiate, ce qui provoquera
la perte de toute modification non enregistrée dans les fichiers ouverts.
5 Cliquez sur Éteindre.150 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Commandes shell UNIX
Outre ses propres tâches, Apple Remote Desktop offre un moyen d’exécuter aisément
des commandes UNIX sur des ordinateurs distants. Pour envoyer des commandes UNIX
aux ordinateurs clients, il faut que le sous-système BSD soit installé sur ces derniers. Les
commandes UNIX sont des commandes de shell, ce qui signifie que vous pouvez écrire
un script avec des instructions conditionnelles, des boucles et d’autres fonctions du shell,
et pas seulement envoyer une commande unique.
Modèles Envoyer la commande UNIX
Remote Desktop comporte quelques modèles de commande de shell UNIX pouvant être
utilisés avec Envoyer la commande UNIX. Dans la zone de dialogue de configuration de la
tâche Envoyer la commande UNIX, vous pouvez sélectionner n’importe quelle commande du menu local Modèles. La sélection d’un modèle colle un script générique dans
le champ de la commande UNIX. Tout ce que vous avez à faire est de personnaliser le script
en fonction de votre situation. Par exemple, si vous souhaitez configurer une adresse IP
manuelle pour un ordinateur client, sélectionnez le modèle Adresse IP manuelle dans le
menu local Modèle > Configuration réseau, remplacez le paramètre fictif de la commande
UNIX par l’adresse IP réelle, puis envoyez la commande.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 151
Vous pouvez créer autant que modèles que vous le souhaitez, de toutes pièces ou à
partir de modèles existants. Une fois enregistré, un modèle peut devenir le modèle par
défaut de la tâche, toutes les nouvelles occurrences de la tâche s’ouvrant avec les réglages par défaut du modèle.
Pour plus d’informations sur les modèles de tâches, consultez “Création et utilisation de
modèles de tâches” à la page 104.
Les modèles intégrés “Envoyer la commande UNIX” sont les suivants :
Sous-menu Modèle Nom du modèle
Configuration réseau  Répertorier tous les services
 Adresse IP manuelle
 DHCP
 BOOTP
 Manuel avec routeur DHCP
 Serveurs DNS
 Domaines de recherche
 Proxy Web
Configuration du système  Autoriser bouton alimentation pour suspension
 Nom Bonjour
 Date actuelle
 Heure actuelle
 Fuseau horaire
 Horloge réseau
 Serveur horloge de réseau
 Événements Apple distants
 Connexion à distance (SSH)
 Redémarrer après un blocage
 Redémarrage après une coupure de courant
 Horaire de suspension de l’activité du système
 Horaire de suspension de l’affichage
 Heure de suspension du disque dur
 Délai après une coupure de courant
 Réactiver en cas d’activité du modem
 Réactiver lors d’un accès au réseau
Divers  Connecter l’utilisateur
 Quitter l’application
 Volume désactivé
 Volume activé
 Répertorier les mises à jour logicielles requises
 Installer les mises à jour logicielles requises
 Réparer les autorisations de disque
 Temps d’activité de l’ordinateur
 Espace d’échange libre
 Principaux utilisateurs152 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Exécution d’une commande UNIX individuelle
La fenêtre de commande UNIX vous permet d’envoyer des commandes individuelles
aux ordinateurs clients sélectionnés. La commande est exécutée avec le shell bash.
Pour exécuter une commande UNIX individuelle :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX.
4 Tapez la commande ou collez-la.
Si votre commande est un script comprenant plusieurs lignes, tapez chaque commande
dans sa propre ligne. Pour diviser une commande constituée d’une seule ligne, afin d’en
améliorer la lisibilité, utilisez une barre oblique inverse (\) pour commencer une nouvelle
ligne.
5 Configurez les autorisations utilisées pour exécuter la commande.
Vous pouvez choisir l’utilisateur actuellement connecté ou choisir le nom d’un autre
utilisateur sur les ordinateurs clients.
6 Cliquez sur Envoyer.
Exécution de scripts via Envoyer la commande UNIX
Il existe deux types de scripts exécutables via la ligne de commande. Le premier type,
le plus répandu avec les lignes de commande, est le script shell. Un script shell est un
fichier contenant des commandes UNIX exécutées en séquence. Les scripts shell peuvent intégrer des procédures de programmation normales telles que les boucles, les
conditions et les variables. Ces scripts consistent en fichiers texte à fins de lignes UNIX.
Ils sont interprétés par le shell bash.
Le deuxième type de script que vous pouvez exécuter, et le plus répandu dans l’environnement Mac OS X, est un script AppleScript. Les scripts AppleScript sont des fichiers
contenant des commandes proches de l’anglais utilisant le langage de programmation
AppleScript, qui sont créés à l’aide de l’application Éditeur de scripts.
L’exécution d’une commande UNIX en tant qu’utilisateur actuel échoue si l’ordinateur
cible se trouve dans la fenêtre de connexion, car il n’y a pas d’utilisateur actuel à ce stade.
Vous pouvez utiliser l’utilisateur root pour les tâches en entrant root dans le champ utilisateur spécifié de la zone de dialogue des tâches. Le compte root ne doit pas nécessairement être activé sur l’ordinateur client pour spécifier l’utilisateur root. Vous ne devez
jamais utiliser sudo ou su pour effectuer des tâches en tant qu’utilisateur root. Ces commandes sont interactives et attendent une entrée et une réponse de votre script. Exé-
cutez votre script en tant que root ou n’importe quel autre utilisateur.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 153
Exécution de scripts shell avec Remote Desktop
Les scripts shell peuvent être copiés puis exécutés. Si un script présente un certain
niveau de complexité ou ne peut être exprimé en une seule ligne, utilisez la fonction
Copier les éléments pour copier le fichier de script sur les ordinateurs clients, puis exé-
cutez-le via Envoyer la commande UNIX. Pour envoyer une commande constituée
d’une seule ligne, il suffit d’utiliser l’option Envoyer la commande UNIX.
Pour copier puis exécuter un script :
1 Préparez votre script et enregistrez-le.
Assurez-vous que votre script est enregistré en texte brut avec des sauts de ligne UNIX.
2 Ouvrez Remote Desktop.
3 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre de Remote Desktop.
4 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
5 Utilisez la commande Copier les éléments pour copier votre script sur les ordinateurs clients.
Pour plus d’informations, consultez les sections “Copie de l’administrateur vers les
clients” à la page 113 et “Options de copie” à la page 112.
6 Après avoir copié le script, choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX.
7 Exécutez le script en tapant :
sh chemin du script
8 Cliquez sur Envoyer.
Exécution de scripts AppleScript avec Remote Desktop
Les scripts AppleScript peuvent être exécutés sur les ordinateurs clients de deux façons.
Ils peuvent être enregistrés et exécutés comme application ou envoyés en une seule
fois via la ligne de commande.
Pour en savoir plus sur AppleScript, consultez l’Aide AppleScript dans Visualisation Aide
ou rendez-vous sur à l’adresse www.apple.com/fr/applescript.
Pour envoyer et exécuter un script AppleScript :
1 Enregistrez le script comme une application.
2 Ouvrez Remote Desktop.
3 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre de Remote Desktop.
4 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
5 Utilisez la commande Copier les éléments avec l’option Ouvrir les éléments, sélectionnée
dans la zone de dialogue Copier les éléments.
Pour plus d’informations, consultez la section “Options de copie” à la page 112.154 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Pour exécuter un script AppleScript à l’aide de l’option“Envoyer la commande UNIX”:
Cette méthode utilise la commande osascript. Consultez la page man osascript
pour plus d’informations.
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX.
4 Tapez le script ou collez-le dans la fenêtre de commande UNIX, de la manière suivante :
osascript -e ’première ligne du script’ -e ’ligne suivante du script’ [ -e
... ]
Vous pouvez également utiliser une redirection UNIX “lire l’entrée standard”,
qui ressemble à ceci :
osascript < doit être un multiple
de 30 secondes. Exemple :
systemsetup -setWaitForStartupAfterPowerFailure 30
-setwakeonmodem ( on | off ) Utilisez cette commande pour spécifier si le serveur
est réactivé ou non lorsqu’une activité du modem
est détectée. Exemple :
systemsetup -setwakeonmodem on
-setwakeonnetworkaccess ( on | off ) Utilisez cette commande pour spécifier si le serveur est réactivé lorsqu’un paquet d’administration réseau lui est envoyé. Exemple :
systemsetup -setwakeonnetworkaccess on
Indicateur DescriptionChapitre 8 Administration des ordinateurs clients 159
Si vous exécutez l’utilitaire kickstart via la fonction “Envoyer la commande UNIX”
d’Apple Remote Desktop, il n’est pas nécessaire de saisir le chemin d’accès complet,
il suffit d’utiliser le nom kickstart et de choisir l’utilisateur root pour exécuter la commande.
Vous pouvez utiliser la commande sudo avec un compte administrateur afin d’employer
l’utilitaire kickstart, ou vous pouvez employer l’utilisateur root via “Envoyer la commande UNIX”. Toutes les commandes présentées dans cette section doivent être saisies
sur une seule ligne de texte. Le texte peut passer à la ligne lorsque vous tapez, mais
prenez soin de ne pas saisir de caractères de retour chariot.
Voici quelques exemples d’actions possibles avec kickstart :
 Activer le partage Remote Desktop, activer les autorisations d’accès pour tous
les utilisateurs et redémarrer l’agent Apple Remote Desktop Agent :
$ sudo /System/Library/CoreServices/RemoteManagement/ARDAgent.app/Contents/Resources/kickstart -activate -configure -access -on -restart -
agent -privs -all
 Activer le partage Remote Desktop, activer les autorisations d’accès pour les utilisateurs “admin”, accorder des privilèges complets pour les utilisateurs “admin” et redé-
marrer l’agent Apple Remote Desktop et l’élément Menu :
$ sudo /System/Library/CoreServices/RemoteManagement/ARDAgent.app/Contents/Resources/kickstart -activate -configure -access -on -users admin
-privs
-all -restart -agent -menu
 Activer le partage Remote Desktop et désactiver les autorisations d’accès pour tous
les utilisateurs :
$ sudo /System/Library/CoreServices/RemoteManagement/ARDAgent.app/Contents/Resources/kickstart -activate -configure -access -off
 Arrêter le processus de l’agent Apple Remote Desktop :
$ sudo /System/Library/CoreServices/RemoteManagement/ARDAgent.app/Contents/Resources/kickstart -agent -stop
 Désactiver l’accès Remote Desktop pour un ordinateur :
$ sudo /System/Library/CoreServices/RemoteManagement/ARDAgent.app/Contents/Resources/kickstart -deactivate -configure -access -off
Automatisation des fonctions
Vous pouvez automatiser n’importe quelle commande ou fonction dans Remote Desktop.
De plus, Remote Desktop prend en charge l’écriture de scripts (UNIX ou AppleScript)
afin d’automatiser la gestion des clients.160 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Configuration de la stratégie de création de rapports de données
du client
Pour accélérer la procédure de rapport et permettre la création de rapports à partir de
clients déconnectés, Apple Remote Desktop utilise des informations enregistrées sur les
fichiers et systèmes des clients. Vous pouvez automatiser la collecte de ces informations
en définissant une méthode de conception de rapport. Cet horaire détermine la fré-
quence à laquelle un client met à jour ses informations sur le système et les fichiers
destinées aux rapports.
Chaque client se connecte, en fonction de l’horaire de collecte que vous avez défini,
à une base de données de rapports centralisée et transfère les informations que vous
avez désignées. Il existe un équilibre à respecter concernant la fréquence de ces mises
à jour. Si vous réglez vos clients afin qu’ils mettent leurs informations à jour de manière
trop fréquente, vous risquez de contribuer à l’encombrement du trafic réseau et de
ralentir les performances des clients pendant les mises à jour. Si vous choisissez une fré-
quence de mise à jour insuffisante, les données des rapports que vous recevrez seront
peut-être périmées. Prenez soin de trouver un équilibre entre vos besoins en rapport et
les besoins de performances du réseau et des clients.
La méthode de collecte inclut quatre types d’informations : données système, données
de fichier, données de compte de l’utilisateur et données d’utilisation des applications.
Les données système comprennent toutes les informations que l’on peut trouver dans
les rapports suivants :
 Vue d’ensemble du système.
 Stockage.
 Périphériques USB.
 Périphériques FireWire.
 Mémoire.
 Cartes PCI.
 Interfaces de réseau.
Les données des fichiers comprennent toutes les informations que l’on peut trouver
dans les rapports suivants :
 Recherche de fichiers.
 Version du logiciel.
 Différences logicielles.
Les données de compte de l’utilisateur comprennent toutes les informations que
l’on peut trouver dans les rapports suivants :
 Historique utilisateur.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 161
Les données d’utilisation des applications comprennent toutes les informations que
l’on peut trouver dans les rapports suivants :
 Utilisation des applications.
Pour définir la méthode de conception de rapport d’un client :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez Fichier > Lire les informations.
4 Si vous avez sélectionné un seul ordinateur, sélectionnez l’onglet Réglages de données,
puis cliquez sur le bouton Modifier.
Si vous avez sélectionné plusieurs ordinateurs, cet onglet est déjà sélectionné.
5 Sélectionnez “Télécharger selon un prog”.
Pour désactiver la collecte automatique des données d’un client, désélectionnez
“Télécharger selon un prog”.
6 Si vous avez déjà créé un planning par défaut, vous pouvez l’utiliser en cliquant sur
“Utiliser prog. par défaut” afin de remplir automatiquement les informations appropriées, puis cliquez sur Terminé.
Sinon, choisissez le ou les jours de collecte de données.
Pour plus d’informations sur la définition d’un planning par défaut, consultez la section
“Création d’une stratégie de rapport de données de modèle” à la page 161.
7 Définissez l’heure à laquelle aura lieu la collecte.
8 Choisissez les types de données à télécharger : données système, données de recherche
de fichier, données du compte de l’utilisateur, données d’utilisation des applications ou
toute combinaison de ces types de données.
9 Pour télécharger les données d’utilisation des applications et les données du compte
de l’utilisateur, vous devez spécifier la collecte de ces données.
Choisissez Collecter les données d’utilisation des applications afin d’indiquer à un ordinateur client d’enregistrer les informations du rapport Utilisation des applications.
Choisissez “Données de compte de l’utilisateur” afin d’indiquer à un ordinateur client
d’enregistrer les informations du rapport Historique utilisateur.
10 Cliquez sur Appliquer.
Création d’une stratégie de rapport de données de modèle
Pour accélérer la configuration des clients pour la création de rapports, vous pouvez définir une heure et une fréquence par défaut pour la collecte des données de rapport. Ce
modèle doit être appliqué à n’importe quel ordinateur ou groupe d’ordinateurs amené
à l’utiliser. Ensuite, le réglage peut être personnalisé par ordinateur ou par groupe.162 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Pour définir le modèle de stratégie de création de rapports par défaut :
1 Choisissez Remote Desktop > Préférences.
2 Sélectionnez Serveur de tâches.
3 Déterminez les types de données supplémentaires qui seront collectés par les clients :
données d’utilisation des applications, données de compte de l’utilisateur ou les deux.
4 Cochez la case “Programmer le téléchargement des données du rapport sur le serveur
de tâches”.
5 Cliquez sur Changer le planning.
6 Choisissez le ou les jours de collecte de données.
7 Définissez l’heure à laquelle doit avoir lieu la collecte.
8 Choisissez les types de données à télécharger : “Données système”, “Données de recherche de fichier”, “Données du compte de l’utilisateur”, “Données d’utilisation des applications” ou toute combinaison de ces types de données.
9 Cliquez sur OK.
Désignation du serveur de tâches et définition de l’emplacement
de collecte des données de rapport
Pour accélérer la création de rapports, Apple Remote Desktop utilise une base de données d’informations sur les systèmes et les fichiers des clients. Vous pouvez automatiser la collecte de ces données pour les rapports et déterminer l’emplacement de la base
de données. Cette dernière est stockée par défaut sur l’ordinateur de l’administrateur.
Les instructions suivantes vous permettront de changer l’emplacement de collecte des
données.
Déterminez d’abord l’emplacement des données : sur l’ordinateur de l’administrateur
ou sur un ordinateur distant (appelé serveur de tâches). Un serveur de tâches doit être
un ordinateur administrateur Apple Remote Desktop avec licence client illimitée et les
ports TCP et UDP 3283 doivent être ouverts pour tous les ordinateurs clients inclus dans
le rapport (et le port TCP 5900 doit être ouvert si vous souhaitez contrôler les clients). Si
vous choisissez d’utiliser la base de données d’un autre ordinateur administrateur Apple
Remote Desktop, vous devez la configurer pour permettre l’accès aux données par les
autres administrateurs Apple Remote Desktop. Le serveur de tâches par défaut est l’ordinateur sur lequel vous avez installé Remote Desktop.
Voir aussi “Utilisation d’un serveur de tâches pour la collecte des données de rapports”
à la page 118.
Avertissement :si vous changez l’emplacement de la base de données des rapports
sélectionné lors de la configuration initiale, vous devrez réinitialiser les méthodes de
collecte pour les ordinateurs clients. La base de données ne sera pas déplacée, mais
elle sera régénérée lors du prochain intervalle de collecte.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 163
Si vous choisissez de stocker les données localement et que vous disposez d’une
licence client illimitée, vous pouvez autoriser d’autres administrateurs Apple Remote
Desktop disposant de licences illimitées à accéder à la base de données de votre ordinateur en sélectionnant l’option “Autoriser les connexions à distance sur ce serveur”.
Pour définir l’emplacement du serveur de tâches :
1 Ouvrez Remote Desktop.
2 Choisissez Remote Desktop > Préférences.
3 Cliquez sur Serveur de tâches.
4 Pour utiliser la base de données sur cet ordinateur administrateur, sélectionnez
“Utiliser le serveur de tâches sur cet ordinateur”.
5 Si vous utilisez votre ordinateur administrateur Remote Desktop en tant que serveur
de tâches sur l’ordinateur administrateur local, cliquez sur “Autoriser les connexions à
distance sur ce serveur”.
6 Si vous souhaitez utiliser une base de données sur un autre ordinateur administrateur,
sélectionnez “Utiliser le serveur de tâches distant”.
Ensuite, entrez l’adresse IP ou le nom de domaine entièrement qualifié de l’autre
ordinateur administrateur Apple Remote Desktop, puis cliquez sur Sélectionner.
7 Fermez la fenêtre afin d’enregistrer les modifications.
Tâches programmées
Vous pouvez utiliser Apple Remote Desktop pour automatiser et planifier quasiment
n’importe quelle tâche. Vous pouvez, par exemple, vous assurer qu’une application particulière ou un jeu de polices spécifique sont toujours disponibles sur un ordinateur client
en configurant Remote Desktop afin qu’il copie toutes les nuits les applications et les
polices sur le client.
Lorsque vous programmez une tâche automatisée, les informations relatives à la tâche
programmée sont enregistrées sur l’ordinateur administrateur. À l’heure fixée, le logiciel
client installé sur cet ordinateur active et lance la tâche. Remote Desktop doit être ouvert
pour pouvoir exécuter une tâche programmée.
Réglage de tâches programmées
Toute tâche dont la fenêtre de configuration comporte le bouton Programmer une
tâche peut être programmée. Les tâches programmées apparaissent à gauche dans
la fenêtre principale de Remote Desktop.164 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Pour programmer une tâche :
1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs dans la fenêtre principale de Remote Desktop.
2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la liste d’ordinateurs sélectionnée.
3 Choisissez la tâche à programmer dans la barre des menus.
4 Configurez la tâche.
5 Avant d’exécuter la tâche, cliquez sur le bouton Horaire.
Les informations de planification sont affichées.
6 Choisissez quand et à quelle fréquence vous souhaitez que la tâche s’exécute.
7 Pour répéter la tâche, cliquez sur Répéter, puis définissez la fréquence de répétition.
8 Cliquez sur OK.
9 Enregistrez la tâche et choisissez si la tâche apparaîtra dans la fenêtre Remote Desktop.
Modification des tâches programmées
Une fois qu’une tâche a été enregistrée, vous pouvez la modifier et toutes les exécutions
futures de cette tâche refléteront vos modifications. Vous pouvez changer les ordinateurs
qui seront affectés par la tâche ou modifier n’importe quel autre paramètre de la tâche.
Pour modifier une tâche programmée :
1 Double-cliquez sur une tâche programmée dans la fenêtre Remote Desktop.
2 Modifiez la tâche si nécessaire.
3 Cliquez sur le bouton de programmation de tâche.
4 Modifiez le planning de la tâche si nécessaire.
5 Cliquez sur OK.
6 Cliquez sur Enregistrer.
Suppression des tâches programmées
Les tâches qui ne sont plus nécessaires peuvent être supprimées. Si vous souhaitez
conserver une tâche mais empêcher sa répétition, vous devez modifier la tâche programmée plutôt que de la supprimer. Pour plus d’informations, consultez la section
“Modification des tâches programmées”.
Pour supprimer une tâche programmée :
1 Sélectionnez la tâche enregistrée dans la fenêtre Remote Desktop.
2 Appuyez sur la touche de suppression.
3 Cliquez sur Supprimer.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 165
Utilisation d’AppleScript avec Remote Desktop
AppleScript est un langage de script puissant et polyvalent intégré à Mac OS X. Vous pouvez utiliser AppleScript pour créer des raccourcis, automatiser des tâches répétitives et
même créer des applications personnalisées qui vous permettront de gagner beaucoup
de temps. AppleScript est un langage basé sur l’anglais, que vous pouvez utiliser pour
écrire des scripts contenant des commandes. Les scripts peuvent prendre des décisions
basées sur l’interaction utilisateur, ou en analysant les données, les documents et les situations. Remote Desktop peut faire l’objet de scripts, tout comme nombre d’autres applications Mac OS X, et il peut être contrôlé par l’intermédiaire de commandes AppleScript.
AppleScript est un langage complet avec des instructions conditionnelles, des opérations
de comparaison et arithmétiques, ainsi que la possibilité de stocker des variables.
Cette documentation n’apprend pas la syntaxe du langage AppleScript, ni les méthodes
de programmation. Pour plus d’informations sur la programmation avec AppleScript,
consultez l’aide en ligne d’AppleScript.
Cette section décrit brièvement AppleScript et l’utilisation du dictionnaire AppleScript
de Remote Desktop, et fournit un exemple de script.
Les bases du langage AppleScript pour Remote Desktop
Les scripts AppleScript sont constitués de commandes envoyées aux objets. Les objets
peuvent être de différents types : applications, scripts, fenêtres, réglages ou Finder. Ces
objets peuvent recevoir un ensemble spécifique de commandes et répondre avec les
actions souhaitées. Pour l’essentiel, un script indique à une application (Remote Desktop
dans le cas présent) d’effectuer une certaine tâche ou d’extraire des informations. Vous
pouvez conférer au script des fonctionnalités de décision en utilisant des instructions
conditionnelles ; vous pouvez également lui conférer une mémoire en définissant des
variables.
Toutes les fonctions fondamentales de Remote Desktop peuvent faire l’objet de scripts.
Les tâches que vous effectuez en tant qu’administrateur en pointant et en cliquant
peuvent toutes être accomplies via l’exécution d’un script AppleScript. Par exemple,
vous pouvez :
 obtenir des informations sur un ordinateur ou le renommer ;
 ajouter des ordinateurs à une liste ;
 copier ou installer des éléments ;
 exécuter une tâche de création de rapport.166 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Utilisation du dictionnaire AppleScript de Remote Desktop
Chaque application pouvant faire l’objet d’un script contient un dictionnaire AppleScript,
qui comprend la liste des objets et messages que l’application peut comprendre. Par
exemple, dans le dictionnaire de Remote Desktop, il existe un objet nommé “liste
d’ordinateurs” contenant l’entrée suivante :
Une “liste d’ordinateurs” est un objet contenant d’autres objets (des ordinateurs dans
le cas présent) et qui présente des propriétés telles que son ID et son nom. Lorsqu’il est
interrogé, cet objet peut renvoyer les valeurs des propriétés (au format Unicode comme
indiqué), mais vous ne pouvez pas modifier “id” à partir du script (r/o indique lecture
seule). Cet objet peut faire l’objet d’actions via les “verbes” ou messages d’un script.
Le dictionnaire contient également les “verbes”, ou messages. Ces verbes sont des commandes qui agissent sur les objets du dictionnaire. Par exemple, dans le dictionnaire de
Remote Desktop, il existe un verbe nommé “add”, dont voici l’entrée :
Cette entrée indique sur quoi le verbe peut agir, et comment. Elle indique que Remote
Desktop peut ajouter un ordinateur spécifié à une liste d’ordinateurs. Les objets “ordinateur” et “liste d’ordinateurs” peuvent faire l’objet d’actions via “add”.
Pour accéder au dictionnaire complet d’AppleScript pour Remote Desktop :
1 Lancez l’éditeur de script dans le dossier /Applications/AppleScript.
2 Sélectionnez Fichier > Ouvrir le dictionnaire.
3 Choisissez Remote Desktop.
4 Cliquez sur Ouvrir.
Le dictionnaire AppleScript pour Remote Desktop est également disponible dans
l’annexe C, “Suite AppleScript Remote Desktop”.
computer list n [inh. item] : liste avec les ordinateurs.
ÉLÉMENTS
contains computers; contained by application.
PROPRIÉTÉS
id (Unicode text, r/o) : identificateur unique (UUID) de la liste d’ordinateurs.
name (Unicode text) : nom de la liste d’ordinateurs.
add v : ajouter un ordinateur à une tâche.
add computer : l’ordinateur.
to computer list : liste d’ordinateurs (ou tâche) à laquelle ajouter l’ordinateur.Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients 167
Exemple de script AppleScript
Ce script AppleScript peut être utilisé pour effectuer un nettoyage rapide d’un groupe
d’ordinateurs. Il commence par verrouiller l’écran des ordinateurs afin d’éviter toute
interférence. Ensuite, il supprime tous les éléments qui restent sur les bureaux actuellement actifs des ordinateurs clients. Enfin, il termine en vidant la corbeille des clients et
en déverrouillant les écrans.
Ce script est fourni à titre d’information uniquement et aucune garantie n’est fournie
quant à l’adaptation de ce script à votre environnement informatique. En outre, cet
exemple de script supprime les éléments sur les ordinateurs cible. Utilisez ce script
sous votre responsabilité.
-- début de contrôle de la copie locale de Remote Desktop
tell application "Remote Desktop"
-- détermination de la liste concernée, nommée “Classroom” dans le cas
présent
set these_computers to computer list “Classroom”
-- détermination du texte à afficher sur l’écran verrouillé
set screen_message to "Please wait" as Unicode text
-- créer un script UNIX qui exécute un script AppleScript sur les ordinateurs distants
set the UNIX_script to "osascript -e ’tell application \"Finder\" to
delete every item of the desktop whose class is not disk’"
-- définition des paramètres de tâche de verrouillage
set lock_task to make new lock screen task with properties {name:”Lock
Classroom”, message:screen_message}
-- exécution de la tâche
execute lock_task on these_computers
-- définition des paramètres du script UNIX
set clean_task to make new send unix command task with properties
{name:”Clean Desktop”, showing output:false, script:UNIX_script}
-- exécution de la tâche
execute clean_task on these_computers
-- vidage de la corbeille
execute (make new empty trash task) on these_computers
-- déverrouillage de l’écran
execute (make new unlock screen task) on these_computers
end tell168 Chapitre 8 Administration des ordinateurs clients
Utilisation d’Automator avec Remote Desktop
Grâce aux flux de travaux Automator, effectuez rapidement, efficacement et sans effort
toutes vos tâches manuelles répétitives et fastidieuses. Il est simple de créer des flux de
travaux personnalisés en faisant simplement glisser les éléments, en pointant et en cliquant. Vous pouvez facilement automatiser des tâches Remote Desktop telles que Verrouiller l’écran ou Installer des paquets, puis répéter ces tâches à l’infini. Les blocs sont
des actions d’application simples et faciles à comprendre, ce qui signifie que vous n’avez
pas besoin d’écrire de code. Chaque action comporte l’ensemble des options et réglages
disponibles pour vous.
Voici un exemple de script AppleScript, effectué avec Automator :
Avec les actions Automator, vous pouvez même créer vos propres interfaces vers les
fonctions Apple Remote Desktop sans avoir à donner aux utilisateurs l’accès à Remote
Desktop. Supposons par exemple que vous souhaitiez fournir à tous les enseignants
un outil permettant de verrouiller et de déverrouiller les écrans de la classe. Vous devez
configurer Remote Desktop et configurer des listes d’ordinateurs, mais plutôt que de
donner à tous les enseignants l’accès à Remote Desktop, vous pouvez créer un module
ou une application Automator. Ce module leur permet de sélectionner uniquement les
ordinateurs de leur classe ; le module fait le reste du travail à leur place.
Vous pouvez créer un flux de travaux Automator, une application, un module Finder ou
une alarme iCal semblable au script AppleScript mentionné ci-dessus. En regroupant
les actions Remote Desktop dans Automator, vous faites le même travail qu’un script
AppleScript, mais sans avoir à écrire de code. 169
A Annexe
A Référence des icônes et des ports
Les tableaux suivants illustrent quelques-unes des icônes
de la fenêtre principale de Remote Desktop. Le dernier
tableau indique les numéros de ports utilisés par Apple
Remote Desktop.
Icônes d’état des clients
Les icônes suivantes apparaissent à côté des noms d’ordinateur dans la liste des résultats
d’une recherche de scanneur. Les icônes illustrent l’état de chaque ordinateur de la liste.
Icônes d’état Apple Remote Desktop
L’icône d’état Apple Remote Desktop apparaît dans la barre des menus de chaque
client Apple Remote Desktop. Selon l’état de l’ordinateur client, l’icône d’état possède
différents états.
Icône Signification
Accessible à Apple Remote Desktop
Client Apple Remote Desktop déconnecté
Réponse au ping sur l’adresse IP, mais pas de réponse du client
Apple Remote Desktop
Icône Signification
Inactif
Apple Remote Desktop est installé, mais ne s’exécute pas actuellement sur l’ordinateur client.170 Annexe A Référence des icônes et des ports
Liste des icônes de menu
Les icônes suivantes sont utilisées dans la liste Apple Remote Desktop de la fenêtre
principale de Remote Desktop.
Icônes d’état des tâches
Les icônes suivantes sont utilisées dans les listes de tâches de la fenêtre principale
de Remote Desktop.
Prêt
Apple Remote Desktop est installé et s’exécute sur le client.
Administré
Apple Remote Desktop est installé et en cours d’exécution sur
l’ordinateur client, l’administrateur procède actuellement à une
observation ou un contrôle, et le client est configuré pour indiquer
quand il est observé.
Icône Signification
Icône Signification
Liste principale
Liste Apple Remote Desktop
Liste intelligente
Scanneur
Liste des tâches actives
Liste de l’historique des tâches
File d’attente du serveur de tâches
Icône Signification
Exécution
Terminé avec succès
Quitté avec erreur
IncompletAnnexe A Référence des icônes et des ports 171
Icônes d’état du système (données élémentaires)
Les icônes suivantes sont affichées comme indicateurs d’état initial de haut niveau pour
les ordinateurs clients observés.
Icônes d’état du système (données plus détaillées)
Les icônes suivantes sont affichées après une inspection supplémentaire des indicateurs
d’état des ordinateurs clients observés.
En file d’attente
Planifié
Icône Signification
Icône Signification
ou
Une ou plusieurs statistiques de service sont rouges. Ceci est prioritaire par rapport à n’importe quel indicateur jaune ou vert.
ou
Une ou plusieurs statistiques de service sont jaunes. Ceci est prioritaire par rapport à n’importe quel indicateur vert.
Le service fonctionne en respectant les paramètres établis.
Aucune information sur le service n’est disponible.
Service Icône État
Utilisation du processeur Utilisation de 60 % ou moins
Utilisation entre 60 % et 85 %
Utilisation de 85 % ou plus
Aucune information sur l’état n’est disponible
Utilisation du disque Utilisation de 90 % ou moins
Utilisation entre 90 % et 95 %
Utilisation de 95 % ou plus172 Annexe A Référence des icônes et des ports
Références des ports TCP et UDP
Apple Remote Desktop utilise les ports TCP et UDP suivants pour les fonctions indiquées.
Aucune information sur l’état n’est disponible
Mémoire libre Utilisation de moins de 80 %
Utilisation entre 80 % et 95 %
Utilisation de plus de 95 %
Aucune information sur l’état n’est disponible
Service Icône État
Port Protocole Fonction
5900 TCP Surveiller et contrôler
5900 UDP Envoyer écran, partager écran
3283 TCP Rapport
3283 UDP Tout le reste
22 TCP Transfert de fichiers cryptés,
surveillance et contrôle (via
tunnel SSH) 173
B Annexe
B Référence des définitions
des champs de rapport
Les sections suivantes décrivent les champs disponibles dans
certains rapports Apple Remote Desktop. Pour en savoir plus
sur la production de rapports, consultez “Création de rapports”
à la page 116.
Les rapports de recherche de fichiers (Recherche de fichier, Versions des logiciels
et Différences logicielles) ne sont pas inclus, car leurs champs correspondent à ceux
déjà trouvés dans le Finder.
Rapport sur la vue d’ensemble du système
Catégorie de liste Nom de champ Remarques ou exemples
AirPort AirPort activé Oui/Non
Version du programme interne
d’AirPort
Numéro de version
Adresse matérielle AirPort 00:30:65:01:79:EC
Paramètres de lieu AirPort
Type d’AirPort
AirPort installé Oui/Non
Canal de réseau AirPort Numéro de canal 1-11
Nom du réseau AirPort Nom de réseau
AppleTalk AppleTalk activé Oui/Non
Réseau AppleTalk
Noeud AppleTalk
Zone AppleTalk
Ordinateur Processeurs activés Nombre de processeurs
Mémoire utilisateur disponible Mémoire en Ko
ROM de démarrage Numéro de version ROM
Vitesse Bus En MHz174 Annexe B Référence des définitions des champs de rapport
Taille du bus de données
Vitesse du processeur En MHz
Numéro de série
Velocity Engine Oui/Non
Taille de cache niveau 2 En ko
Taille de cache niveau 3 En ko
Modèle d’ordinateur
Mémoire En ko
Logements RAM vides
Logements PCI utilisés
Nombre de processeurs
Type de processeur Valeur interne
Numéro de commande
Taille VM
Nombre total de logements
RAM
Périphériques Nombre de périphériques ATA
Nombre de périphériques
FireWire
Clavier connecté
Souris connectée
Type de lecteur optique
Nombre de périphériques SCSI
Nombre de périphériques USB
Affichage Profondeur 2ème écran En bits
Type 2ème écran
Résolution 2ème écran Pixels horizontal et vertical
Profondeur d’écran En bits
Type d’écran
Résolution d’écran Pixels horizontal et vertical
Modem Pays du modem
Pilote de modem
Version du programme interne
du modem
Modem installé Oui/Non
Interface du modem
Modèle du modem
Catégorie de liste Nom de champ Remarques ou exemplesAnnexe B Référence des définitions des champs de rapport 175
Réseau Première adresse Ethernet Adresse MAC en0
Amorçage réseau Oui/Non
Adresse IP principale
Collisions du réseau principal
Indicateurs du réseau principal
Adresse matérielle du réseau
principal
Erreurs d’entrée du réseau
principal
Paquets d’entrée du réseau
principal
Erreurs de sortie du réseau
principal
Paquets de sortie du réseau
principal
Réseau principal
Préférences Suspension de l’activité de
l’écran
Oui/Non
Suspension de l’activité du
disque dur
Oui/Non
Suspension de l’activité de
l’ordinateur
Oui/Non
Réactiver pour permettre l’accès
Ethernet
Oui/Non
Impression Nom imprimante
Partage d’imprimante Oui/Non
Type imprimante
Version imprimante
Remote Desktop Informations sur l’ordinateur
Nº 1
Informations sur l’ordinateur
Nº 2
Informations sur l’ordinateur
Nº 3
Informations sur l’ordinateur
Nº 4
Partage Nom de l’ordinateur Nom de partage de fichiers,
“ordinateur de Bob”
Accès FTP Oui/Non
AppleEvents distants Oui/Non
Catégorie de liste Nom de champ Remarques ou exemples176 Annexe B Référence des définitions des champs de rapport
Rapport de stockage
Ouverture de session à distance Oui/Non
Nom de l’hôte UNIX foo.example.com
Partage Web Oui/Non
Partage Windows Oui/Non
Logiciel Version Kernel
Version du système Mac OS X 10.4.2 (8C46)
Stockage Espace disponible En Ko, Mo ou Go
Espace disque total En Ko, Mo ou Go
Taille Corbeille En Ko, Mo ou Go
Catégorie de liste Nom de champ Remarques ou exemples
Catégorie de liste Nom de champ Remarques ou exemples
Options matérielles Fabricant du lecteur
Modèle du lecteur
Révision du lecteur
Protocole du lecteur
Amovible Oui/Non
Numéro de série
Numéro de l’unité logique
Démontable
Options du volume Date de création Format GMT UNIX
Nom du disque Macintosh HD
Nombre de fichiers
Nombre de dossiers
Espace disque total
Espace disque disponible En Ko, Mo ou Go
Disque de démarrage
Point de montage UNIX /dev/disk0s10
Options du système de fichiers Format du disque HFS, HFS+, UFS
Possesseur
Groupe Oui/Non
Modes d’autorisation
Autorisations Oui/Non
Accès en écriture
Date de modification Format GMT UNIXAnnexe B Référence des définitions des champs de rapport 177
Rapport sur les périphériques USB
Rapport sur les périphériques FireWire
Rapport sur la mémoire
Respecte la casse Oui/Non
Conserve la casse Oui/Non
Options de sauvegarde Possibilité de journalisation Oui/Non
Journalisé Oui/Non
Date de dernière sauvegarde Format GMT UNIX
Date de dernière vérification Format GMT UNIX
Catégorie de liste Nom de champ Remarques ou exemples
Nom de champ Remarques ou exemples
Nom du produit
ID du produit
ID du fournisseur
Nom du fournisseur
Vitesse du périphérique 1,5 Mb, 12 Mb
Alimentation du bus En mA
Date de collecte
Nom de champ Remarques ou exemples
Vitesse du périphérique 200, 400, 800 Mbits par seconde
Version du logiciel
Fabricant
Modèle
Révision du programme interne
Date de collecte
Nom de champ Remarques ou exemples
Identificateur de logement DIMM0/J21
Taille En Mo
Vitesse PC133-222 (Mac OS X 10.3 uniquement)
Type SDRAM
Date de collecte178 Annexe B Référence des définitions des champs de rapport
Rapport sur les cartes PCI
Rapport sur les interfaces de réseau
Nom de champ Remarques ou exemples
Nom de la carte
Nom du logement Slot4
Type de carte Affichage
ID du fournisseur
ID du périphérique
Révision ROM Écrans uniquement
Révision de la carte
Mémoire de la carte Écrans uniquement
Date de collecte
Catégorie de liste Nom de champ Remarques ou exemples
Vue d’ensemble du réseau Nom Nom de l’emplacement
Actif Oui/Non
Principal Oui/Non
Configuré avec Ethernet
Adresse matérielle 00:30:65:01:79:EC
Nom de l’interface en0
Indicateurs
Interface active Domaine example.com
Adresse du routeur
Adresse IP
Adresse de diffusion
Serveur DNS
Masque de sous-réseau
Adresses IP
Adresses de diffusion
Serveurs DNS
Masques de sous-réseau
Statistiques de réseau Collisions du réseau
Erreurs d’entrée du réseau
Paquets d’entrée du réseau
Erreurs de sortie du réseau
Paquets de sortie du réseau Annexe B Référence des définitions des champs de rapport 179
Statistiques de sortie Capacité de la file de sortie
Taille de la file de sortie
Taille maximale de la file de sortie
Nombre de chutes de la file
de sortie
Nombre de sorties de la file
de sortie
Nombre de tentatives de la file
de sortie
Nombre de calages de la file
de sortie
Statistiques Ethernet Erreurs d’alignement Ethernet
Erreurs de zone de séquence de
contrôle de trame Ethernet
Erreurs de zone de séquence de
contrôle de trame
Trames Ethernet à collision
unique
Trames Ethernet à collisions
multiples
Erreurs du test SQE Ethernet erreurs du test “signaux”
Transmissions différées Ethernet
Collisions Ethernet en retard
Collisions Ethernet excessives
Erreurs Ethernet MACTransmit
internes
Détection d’erreurs de la
porteuse Ethernet
Trames Ethernet trop longues
Erreurs de réception de l’adresse
Mac interne
Chipset Ethernet
Trames Ethernet perdues
Surcharge du récepteur Ethernet
Délais Watchdog du récepteur
Ethernet
Trames du récepteur Ethernet
trop courtes
Erreurs de collision
du récepteur Ethernet
Erreurs PHY du récepteur
Ethernet
Catégorie de liste Nom de champ Remarques ou exemples180 Annexe B Référence des définitions des champs de rapport
Rapport du test de réseau
Délais du récepteur Ethernet
Interruptions du récepteur
Ethernet
Réinitialisations du récepteur
Ethernet
Erreurs de ressources du récepteur Ethernet
Insuffisance des transmissions
Ethernet
Événements de jabotage
du transmetteur Ethernet
Erreurs PHY du transmetteur
Ethernet
Erreurs physiques
Délais du transmetteur Ethernet
Interruptions du transmetteur
Ethernet
Réinitialisations du transmetteur Ethernet
Erreurs de ressources du transmetteur Ethernet
Fréquences de collisions Ethernet
Catégorie de liste Nom de champ Remarques ou exemples
Nom de champ Remarques ou exemples
Ordinateur Nom de partage d’ordinateur
Min. Temps Temps de réponse ping le plus court
Max. Temps Temps de réponse ping le plus long
Moy. Temps Temps de réponse ping moyen
Paquets perdus Nombre de pings sans réponse
Nombre total de paquets Nombre de pings envoyésAnnexe B Référence des définitions des champs de rapport 181
Rapport sur les réglages d’administration
Catégorie de liste Nom de champ Remarques ou exemples
Ordinateur Nom de partage d’ordinateur
autorisations Créer des rapports Actif ou inactif
Envoyer les messages Actif ou inactif
Ouvrir et quitter Actif ou inactif
Redémarrer et arrêter Actif ou inactif
Modifier les réglages Actif ou inactif
Copier des éléments Actif ou inactif
Supprimer des éléments Actif ou inactif
Contrôler Actif ou inactif
Observer Actif ou inactif
Signaler observation Actif ou inactif
Réglages de données Collecte des données d’utilisation des applications
Actif ou inactif
Collecte des données de compte
de l’utilisateur
Actif ou inactif
Télécharger planning Heure et jours de téléchargement des informations
Télécharger les données
système
Actif ou inactif
Télécharger les données
des fichiers
Actif ou inactif
Télécharger les données d’utilisation des applications
Actif ou inactif
Télécharger les données
de compte de l’utilisateur
Actif ou inactif
Général Version Version et numéro de build
d’Apple Remote Desktop
Dernier contact Date relative182 Annexe B Référence des définitions des champs de rapport
Rapport d’utilisation des applications
Rapport d’historique utilisateur
Nom de champ Remarques ou exemples
Nom de l’ordinateur Nom de l’ordinateur de partage de fichiers
Nom Nom de l’application
Date de lancement Date et heure locales au format 24 heures
Temps d’exécution total Durée d’exécution de l’application
Principale Durée pendant laquelle l’application était l’application principale
Nom d’utilisateur Nom d’utilisateur court du propriétaire du processus de l’application
État Ce que l’application fait en ce moment (en cours d’exécution,
terminé, etc.)
Nom de champ Remarques ou exemples
Nom de l’ordinateur Nom de l’ordinateur de partage de fichiers
Nom d’utilisateur
Type de connexion Console, tty, ssh
Heure de connexion Date et heure locales au format 24 heures
Heure de déconnexion Date et heure locales au format 24 heures
Hôte de connexion distante Hôte d’origine vers session de connexion, hôte local ou tout autre
ordinateur distant 183
C Annexe
C Suite AppleScript
Remote Desktop
Cette annexe illustre le contenu du dictionnaire AppleScript
de Remote Desktop.
Cette annexe ne remplace pas la vue du dictionnaire AppleScript dans l’Éditeur de
scripts. Elle sert de référence rapide afin de vous permettre de trouver les commandes
AppleScript via une recherche dans le fichier PDF. Le dictionnaire proprement dit comporte les informations les plus récentes sur les objets et événements pouvant faire
l’objet de scripts dans Remote Desktop, et son utilisation est plus simple.
Classes et commandes de l’application Remote Desktop
add v :ajouter un ordinateur à une tâche.
add computer : l’ordinateur.
to computer list : liste d’ordinateurs (ou tâche) à laquelle ajouter l’ordinateur.
control v :démarrer une session de contrôle avec l’ordinateur.
control computer : l’ordinateur à contrôler.
execute v :exécute une tâche.
execute task : tâche à exécuter.
[on computer list] : liste d’ordinateurs (ou ordinateur) sur lequel exécuter la tâche.
observe v :démarrer une session d’observation.
observe item : ordinateur, liste ou liste d’ordinateurs à observer.
release v :libérer les ordinateurs d’une session de contrôle ou d’observation.
release item : ordinateur, liste ou liste d’ordinateurs à libérer.
remove v :supprimer un ordinateur d’une tâche.
remove computer : ordinateur à supprimer.
from computer list : liste d’ordinateurs (ou tâche) de laquelle supprimer l’ordinateur.
stop v :arrête une tâche de partage écran en cours d’exécution.
stop task : tâche à arrêter.184 Annexe C Suite AppleScript Remote Desktop
application n [inh. application; voir aussi Suite standard] :objet de script de niveau
supérieur de Remote Desktop.
ÉLÉMENTS
contient ordinateurs, listes d’ordinateurs, tâches de copie d’éléments, tâches de copie,
documents, tâches de vidage de corbeille, tâches d’installation de package, tâches de
verrouillage écran, tâches de déconnexion, tâches d’ouverture d’application, tâches
d’ouverture d’élément, tâches renommer ordinateur, tâches de redémarrage, tâches
d’envoi de message, tâches d’envoi de commande UNIX, tâches de définition de disque de démarrage local, tâches de définition de disque de démarrage réseau, tâches
de partage d’écran, tâches d’arrêt, tâches de veille, tâches de déverrouillage écran,
tâches de mise à niveau client, tâches de réveil, fenêtres.
PROPRIÉTÉS
selection (item, r/o) : sélection en cours.
computer n [inh. item] :ordinateur physique.
ÉLÉMENTS
contenu par application, listes d’ordinateurs.
PROPRIÉTÉS
boot volume (Unicode text, r/o) : volume d’amorçage de l’ordinateur.
CPU (Unicode text, r/o) : type de processeur de l’ordinateur.
current application (Unicode text, r/o) : application principale actuelle de l’ordinateur.
current user (Unicode text, r/o) : utilisateur actuellement connecté sur l’ordinateur.
DNS name (Unicode text, r/o) : nom DNS de l’ordinateur.
id (Unicode text, r/o) : identificateur unique (UUID) de l’ordinateur.
Internet address (Unicode text, r/o) : adresse interne de l’ordinateur.
last activity (date, r/o) : moment de l’activité la plus récente sur l’ordinateur.
last contacted (date, r/o) : dernier contact avec l’ordinateur.
machine model (Unicode text, r/o) : modèle de l’ordinateur.
name (Unicode text, r/o) : nom de l’ordinateur.
physical memory (Unicode text, r/o) : mémoire physique installée dans l’ordinateur.
primary Ethernet address (Unicode text, r/o)adresse Ethernet principale de l’ordinateur.
remote desktop version (Unicode text, r/o) : version du client Remote Desktop en
cours d’exécution sur l’ordinateur.
status message (Unicode text, r/o) : état actuel de l’ordinateur.
system version (Unicode text, r/o) : version de Mac OS en cours d’exécution sur l’ordinateur.
computer list n [inh. item] :liste avec les ordinateurs.
ÉLÉMENTS
contient les ordinateurs ; contenu par application.
PROPRIÉTÉS
id (Unicode text, r/o) : identificateur unique (UUID) de la liste d’ordinateurs.
name (Unicode text) : nom de la liste d’ordinateurs.Annexe C Suite AppleScript Remote Desktop 185
copy items task n [inh.task > item] :copie des éléments vers les ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
bandwidth limit (integer) : limite d’utilisation réseau en kilo-octets par seconde
(0 = illimité).
conflict resolution (ask what to do/rename the existing item/rename the item being
copied/replace/replace if older) : indique la procédure à suivre si le ou les éléments
existent déjà dans cet emplacement.
copy items (list) : liste des fichiers et/ou dossiers à copier.
destination group (Unicode text) : si un propriétaire spécifique est désigné, nom de
groupe valide sur l’ordinateur de destination.
destination owner (Unicode text) : si un propriétaire spécifique est désigné, nom d’utilisateur valide sur l’ordinateur de destination.
destination path (alias) : si l’emplacement est un dossier spécifique, chemin entièrement détaillé vers le dossier de destination.
encrypting (boolean) : indique si les éléments doivent être cryptés pendant la copie
location (applications folder/current users desktop folder/current users home directory/
same relative location/specific folder/system folder/system fonts folder/system preferences folder/top folder of the boot disk) : emplacement cible pour la copie.
ownership (current console user/current owner/destination folder owner/specific
owner) : spécifie le nouveau propriétaire des éléments copiés.
should open (boolean) : indique si les éléments doivent être ouverts après leur copie.
stopping on error (boolean) : indique si la copie doit prendre fin si une erreur se produit
pendant la copie.
copy to me task n [inh.task > item] :copier les éléments des ordinateurs cible vers
l’ordinateur de l’administrateur.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
bandwidth limit (integer) : limite d’utilisation réseau en kilo-octets par seconde
(0 = illimité).
conflict resolution (ask what to do/rename the existing item/rename the item being
copied/replace/replace if older) : indique la procédure à suivre si le ou les éléments
existent déjà dans cet emplacement.
copy items (list) : liste des fichiers et/ou dossiers à copier.
destination path (alias) : si l’emplacement est un dossier spécifique, chemin entièrement détaillé vers le dossier de destination.
encrypting (boolean) : indique si les éléments doivent être cryptés pendant la copie
location (applications folder/current users desktop folder/current users home directory/
same relative location/specific folder/system folder/system fonts folder/system preferences folder/top folder of the boot disk) : emplacement cible pour la copie.186 Annexe C Suite AppleScript Remote Desktop
empty trash task n [inh.task > item] :vider la corbeille sur les ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
install package task n [inh.task > item] :installer des packages sur les ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
after installing (attempt restart/do nothing/force immediate restart) : indique quoi faire
après l’installation des packages.
bandwidth limit (integer) : limite d’utilisation réseau en kilo-octets par seconde
(0 = illimité).
delegating to task server (boolean) : indique si cette tâche doit être déléguée au serveur de tâches.
encrypting (boolean) : indique si les packages doivent être cryptés pendant la copie
packages (list) : liste des packages à installer.
stopping on error (boolean) : indique si la copie doit prendre fin si une erreur se produit pendant la copie.
lock screen task n [inh.task > item] :verrouiller les écrans des ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
message (Unicode text) : message à afficher sur les écrans.
logout task n [inh.task > item] :déconnecter l’utilisateur actuel sur les ordinateurs
cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
open application task n [inh.task > item] :lancer une application sur les ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
application (alias) : chemin de l’application à ouvrir.
open item task n [inh.task > item] :ouvrir des fichiers sur les ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
files (list) : liste des fichiers à ouvrir.
rename computer task n [inh.task > item] :changer le nom des ordinateurs cible.
ÉLÉMENTSAnnexe C Suite AppleScript Remote Desktop 187
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
naming uniquely (boolean) : indique si chaque ordinateur doit présenter un nom
numériquement unique.
target name (Unicode text) : nouveau nom de l’ordinateur.
restart task n [inh.task > item] :redémarrer les ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
user can save changes or cancel (boolean) : indique si l’utilisateur est autorisé à enregistrer les modifications ou à annuler le redémarrage.
send message task n [inh.task > item] :envoyer un message texte aux ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
message (Unicode text) : message à afficher sur les écrans.
send unix command task n [inh.task > item] :envoyer une commande ou un script
UNIX aux ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
script (Unicode text) : chaîne de commande à exécuter.
showing output (boolean) : indique si la sortie complète de la commande doit être
affichée dans une fenêtre
user (Unicode text) : utilisateur sous lequel la commande doit être exécutée.
set local startup disk task n [inh.task > item] :définir le volume de démarrage sur
les ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
boot volume (Unicode text) : volume spécifique de l’unité pour l’amorçage (facultatif).
restarting (boolean) : indique si l’ordinateur doit être redémarré après la définition du
volume de démarrage
set network startup disk task n [inh.task > item] :définir le volume de démarrage
sur les ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
from server (Unicode text) : adresse Internet du serveur à partir duquel amorcer
l’ordinateur.188 Annexe C Suite AppleScript Remote Desktop
mount volume (Unicode text) : nom du volume à monter sur le serveur.
restarting (boolean) : indique si l’ordinateur doit être redémarré après la définition du
volume de démarrage.
share screen task n [inh. task > item] :partager l’écran d’un ordinateur avec
les ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
source computer (computer) : ordinateur (autre que celui de l’administrateur) dont
l’écran doit être partagé.
shutdown task n [inh.task > item] :arrêter les ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
user can save changes or cancel (boolean) : indique si l’utilisateur est autorisé à enregistrer les modifications ou à annuler l’arrêt.
sleep task n [inh.task > item] :mettre les ordinateurs cible en veille.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
task n [inh. item] :tâche. Cette classe abstraite représente les tâches pouvant être
exécutées par Remote Desktop. Il existe des sous-classes pour chaque type de tâche
spécifique.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
PROPRIÉTÉS
computer list (computer list) : liste d’ordinateurs associée à la tâche.
id (Unicode text, r/o) : identificateur unique (UUID) de l’ordinateur.
name (Unicode text) : nom de l’ordinateur.
recurrence (Unicode text, r/o) : chaîne qui définit la récurrence de la tâche, si elle est définie.
starting at (date) : si la tâche est planifiée, date et heure de la première exécution.
unlock screen task n [inh.task > item] :libérer les écrans des ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
upgrade client task n [inh.task > item] :mettre à niveau le client Remote Desktop
sur les ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application.
wake up task n [inh.task > item] :réveiller les ordinateurs cible.
ÉLÉMENTS
contenu par application. 189
D Annexe
D Schéma modèle PostgreSQL
Ce chapitre contient des commandes SQL permettant d’aider
les programmeurs SQL à obtenir le schéma de base de données utilisé dans la base de données de rapports d’Apple
Remote Desktop. Vous pouvez utiliser ces connaissances du
schéma afin de créer vos propres applications qui accèdent
aux informations des rapports Apple Remote Desktop.
Modèle de liste du schéma de la base de données principale
Commande :
/System/Library/CoreServices/RemoteManagement/rmdb.bundle/bin/psql -U ard -
c "\\d propertynamemap" ard
Sortie :
Table "public.propertynamemap"
Column | Type | Modifiers
---------------+------------------------+-----------
objectname | character varying(128) | not null
propertyname | character varying(128) | not null
propertymapid | integer |
Modèle de liste du tableau d’informations système.
Commande :
/System/Library/CoreServices/RemoteManagement/rmdb.bundle/bin/psql -U ard
-c "\\d systeminformation" ard
Sortie :
Table "public.systeminformation"
Column | Type | Modifiers
--------------+--------------------------+-----------
computerid | character(17) | not null
objectname | character varying(128) | not null
propertyname | character varying(128) | not null
itemseq | integer |
value | character varying(512) |
lastupdated | timestamp with time zone | 190 Annexe D Schéma modèle PostgreSQL
Modèle de liste de noms de propriété
Commande :
/System/Library/CoreServices/RemoteManagement/rmdb.bundle/bin/psql -U ard
-c "select * from propertynamemap" ard
Sortie :
objectname | propertyname | propertymapid
-----------------------+------------------------------+---------------
Mac_SystemInfoElement | WirelessCardIsActive | 0
Mac_SystemInfoElement | WirelessCardFirmwareVersion | 1
Mac_SystemInfoElement | WirelessCardHardwareAddress | 2
Mac_SystemInfoElement | WirelessCardLocale | 3
Mac_SystemInfoElement | WirelessCardType | 4
Mac_SystemInfoElement | WirelessCardInstalled | 5
Mac_SystemInfoElement | WirelessChannelNumber | 6
Mac_SystemInfoElement | WirelessNetworkAvailable | 7
Mac_SystemInfoElement | WirelessIsComputerToComputer | 8
......
Modèle de liste de tableau d’un ordinateur
Commande :
/System/Library/CoreServices/RemoteManagement/rmdb.bundle/bin/psql -U ard
-c "select * from systeminformation" ard
Sortie :
computerid | objectname | propertyname | itemseq |
value | lastupdated
-------------------+----------------------+-----------------+---------+----
-----------------+------------------------
00:03:93:af:15:cc | Mac_HardDriveElement | CreationDate | 0 |
2005-02-25T03:30:07Z| 2005-02-26 22:21:38-08
00:03:93:af:15:cc | Mac_HardDriveElement | FileSystemType | 0 |
18475 | 2005-02-26 22:21:38-08
00:03:93:af:15:cc | Mac_HardDriveElement | FreeSpace | 0 |
4101610 | 2005-02-26 22:21:38-08
00:03:93:af:15:cc | Mac_HardDriveElement | GroupName | 0 |
admin | 2005-02-26 22:21:38-08 191
Index
Index
A
accès
basé sur les groupes 65
modification des privilèges 72
via compte local 64
accès invité 68
accès temporaire 68
activation de SSH sur les clients 140
affichage scanneur 51
ajout d’éléments au Dock 139
analyse
importation de fichiers 54
plage IP 53, 54
réseau local 52
annonce administrateur 96
annonce de texte 96
annulation d’une tâche 103
astuces
utilisation de fenêtres de rapport 133
utilisation de la fenêtre Observer 94
attribut mcx_setting 65, 67
autorisation basée sur les groupes 68
autorisations d’accès 62
C
collecte de données par
serveur de tâches 118
collecteur de données désigné 118
configuration d’un serveur de tâches 162
configuration de l’imprimante 141
configuration des paramètres par défaut du
cryptage 79
configuration du disque d’amorçage 135
configuration système requise 40
connexion d’utilisateurs distants 147
console de partage d’écran 98
contrôle d’un client 82
copie d’éléments
autorisations UNIX 112
cryptage des données 112
vue d’ensemble 111
copie de fichier élémentaire 113
copier et ouvrir 113
copie vers des emplacements relatifs 112
création d’un installeur personnalisé 44, 46
création de scripts AppleScript Remote
Desktop 165–167
cryptage
configuration des paramètres par défaut 79
description du schéma 79
utilisation unique 80
D
déconnexion d’utilisateurs 148
démarrer le serveur VNC 71
déplacement de listes d’ordinateurs 59–60
désactiver le son de l’ordinateur 137
description de l’accès SSH 71
désinstallation de Remote Desktop 48
désinstallation du logiciel client 49, 50
E
effacement sécurisé de l’écran. Voir mode réseau.
enregistrement de rapports 132
enregistrement des préférences de stratégie de
rapport 161
enregistrement des réglages 103
enregistrement de tâches 103, 104
envoi d’écran 97
envoi de fichiers vers la corbeille 134, 135
envoi de scripts via une commande UNIX 152–154
état des tâches 102
exceptions des raccourcis clavier 82
F
fenêtre
observer plusieurs clients 34
fenêtre, raccourcis 39
fenêtre d’observation 33, 34
fenêtre de contrôle 33
boutons 83–86
fenêtre de rapport 35
fenêtre principale 30
fonctions Tiger uniquement
recherche Spotlight 123192 Index
G
gestion des ressources matérielles 126
gestionnaire de groupes de travail 48, 139
glisser-déposer
copies 114
H
historique des tâches 100
I
icône du menu Apple Remote Desktop 98, 99
installation, Remote Desktop 41
installation de logiciels 105
installation de paquet 106
installation en réseau 135
installation hors connexion 107
installation par
glisser-déposer 108
interface humaine
astuces et raccourcis 39
icônes 30
personnalisation 37
interface utilisateur. Voir interface humaine.
L
lancement d’applications distantes 143
limitation des autorisations d’accès 69
limitation des fonctions pour les administrateurs 69
liste d’ordinateurs
création 56
intelligente 56
suppression 56
listes d’ordinateurs 51
description 55
M
maintenance des disques durs 138
maintenance du système de fichiers 138
méthodes recommandées
création de rapports 119–120
réseaux 75
sécurité 78
méthodes recommandées pour la création de
rapports 119–120
méthodes recommandées pour les réseaux 75
mise à jour des logiciels 124
mise à niveau
logiciel client 43
Remote Desktop 42
mise en miroir d’un dossier 115
mise en miroir de fichiers 115
mode Assistance. Voir partage du contrôle
mode d’affichage plein écran 85
mode démonstration 97
modèle de stratégie de rapport 161
modèles de tâches
enregistrement 104
mode rideau 85, 147
mode utilisateur 69
multiobservation 90, 95
N
NetBoot 135
nettoyage de disques durs 135
noms d’ordinateurs uniques 136
noms de partage des ordinateurs 136
normalisation des préférences 141
numéro de série 41
numéro de série processeur, accès 126
O
observation Dashboard 95
Observer 95
Open Directory 65
optimisation des performances réseau 77
options d’installation de paquets 112
options de copie d’éléments 112
outil Éditeur de liste de propriétés 65
outil kickstart 154, 158
outil networksetup 154
outil systemsetup 139, 140, 154, 156
P
paquet d’installation du
serveur de tâches 107
paquet de réactivation réseau 145
partage d’écrans 97
partage de presse-papiers 86
partage du contrôle 84
personnalisation de rapports 36
plannings de tâches 163
préférence Partage 62
préférences 37
préférences de contrôle/observation 37
préférences générales 37
programmes d’installation tiers 109
progression des tâches 100, 102
Q
quitter des applications 144
R
rapport
autorisations d’accès 72
d’historique utilisateur 120
différences logicielles 125
recherche de fichiers 123
utilisation des applications 121
versions de logiciels 109, 124
vue d’ensemble du système 126Index 193
réactivation de clients 145
recherche de l’espace disque libre 127
recherche de métadonnées 123
recherche Spotlight 123
récupération d’espace disque 134
redémarrage d’ordinateurs clients 148
réglage de la fonction wake-on-LAN 139
réglage des préférences d’économie d’énergie 139
réglages clients gérés 48
réglages d’observation 91, 92
réglages de coupe-feu 51
remplacement d’éléments copiés 113
renommer
éléments copiés 113
plusieurs ordinateurs 136
réparation des autorisations UNIX 138
requêtes utilisateur, affichage 97
réseaux avec AirPort 76
résultats des tâches 103
réutilisation de tâches 103, 104
S
scanneurs 51
script Automator avec Remote Desktop 168
script de notification 101
sécurité
méthodes recommandées 78
préférences 37
serveur de tâches
configuration 162
préférences 37
serveur NTP (Network Time Protocol) 136
services de répertoires 65
sources de données de rapport 117
stratégie de téléchargement de données client 160
suivi. Voir suivi des ressources.
suivi des adresses Ethernet 129
suivi des ressources
cartes PCI 130
gestion 125
logiciels 124
matériel 126
mémoire 130
modifications logicielles 125
périphériques FireWire 128
périphériques USB 128
suppression de fichiers 134, 135
suppression de Remote Desktop 48
suppression du logiciel client 49, 50
suspension de l’activité de clients 144
T
test des performances réseau 131–132
touches du clavier Apple 83
U
utilisation d’un serveur horloge 136
V
vérification des interfaces de réseau 129
VNC 70
Client Mac OS X en tant que serveur VNC 89
configuration de base non-Mac OS X 87
connexion au serveur 86
Contrôle + Option+ Suppr 88
désignation d’un affichage personnalisé 89
personnalisation des ports 88
volume audio de l’ordinateur 137
X
XML 67
AppleCare
Protection Plan
Getting Started Guide
for iPhoneContents
5 English
29 Français
47 Deutsch
65 Italiano
83 EspañolEnglish 5
AppleCare Protection Plan for iPhone
Fact Sheet
Peace of mind from Apple
Every iPhone comes with one year of repair coverage and 90 days of technical support.The AppleCare
Protection Plan for iPhone extends your coverage to two years from the date of your iPhone purchase.
1
Whether you use iPhone with a Mac or PC, just one phone call can help resolve most issues.
Coverage information
This comprehensive plan is available for all iPhone models within their one-year limited warranty.
If you sell the covered iPhone before the AppleCare Protection Plan for iPhone expires, you may
transfer the plan to the new owner.
2
For each iPhone you want to cover, you must purchase a separate
AppleCare Protection Plan for iPhone.
Keep your Proof of Coverage document, the original iPhone sales receipt, and the AppleCare Protection
Plan for iPhone receipt. Apple may require proof of purchase if any questions arise about the eligibility
of your iPhone for the AppleCare Protection Plan.
Technical support options
If you experience difficulties with your iPhone, try the troubleshooting steps on the iPhone Support
website at www.apple.com/uk/support/iphone. If you are not able to resolve the issue, AppleCare
representatives can help troubleshoot your iPhone and its connection with iTunes. Apple technical
support contact information and hours of operation are listed in the Quick Reference Guide. Under
the AppleCare Protection Plan for iPhone, Apple offers the same complete service for both Mac and
Windows users.6 English
Hardware service
This plan extends repair and replacement service from the Apple one-year warranty to two years
from your iPhone purchase date. This plan also extends service coverage to the iPhone battery when
its capacity to hold an electrical charge has depleted fifty percent (50%) or more from its original
specification.
Either the carry-in or direct mail-in service option may apply when you obtain service. Refer to the
Quick Reference Guide for additional details about obtaining service. The replacement equipment that
Apple provides as part of the repair or replacement service may be new, used, or refurbished.
1. This plan extends your service coverage to two years from the date of your iPhone purchase. The plan must be purchased
while your iPhone is still under its original one-year warranty. Service coverage may be subject to certain restrictions. AppleCare
Protection Plan benefits are in addition to any legal rights provided by consumer protection laws in your jurisdiction.
2. See the enclosed AppleCare Protection Plan Terms and Conditions for complete details.English 7
Try these simple steps before contacting Apple for help.
If you experience problems with your iPhone, try the troubleshooting steps on the iPhone Support
website at www.apple.com/uk/support/iphone. As a precaution, back up all content before you
troubleshoot your iPhone.
Verify that you have the latest iTunes.
You can download the latest iTunes at www.apple.com/uk/itunes/download.
Visit the iPhone Support website.
The iPhone Support website has links to service option availability, iPhone tutorial, discussions,
and other resources to answer various “How-to” questions, which are available 24 hours a day at
www.apple.com/uk/support/iphone.
Contact Apple for more assistance.
If the steps in this guide do not resolve your issue, contact Apple. An Apple representative will ask
you for your AppleCare Protection Plan for iPhone agreement number or your iPhone serial number,
which is located on the back of your iPhone.
In the UK: In Ireland:
(44) 0870 876 0753 (353) 1850 946 191
Monday – Friday Monday – Friday
8:00 am – 7:45 pm 8:00 am – 7:45 pm
Saturday Saturday
10:00 am – 5:45 pm* 10:00 am – 5:45 pm*
* Telephone numbers and hours of operation may vary and are subject to change. You can find the most up-to-date local
and international contact information at www.apple.com/contact/phone_contacts.html.
Quick Reference Guide
AppleCare Protection Plan for iPhone9
AppleCare Protection Plan for iPhone
Terms and Conditions
Your AppleCare Protection Plan for iPhone (herein referred to as the “Plan”) is governed by these
Terms and Conditions and constitutes your service contract with Apple Sales International (“Apple”).
Subject to these Terms and Conditions, your Plan (i) covers defects for the Apple-branded iPhone
product listed in your Plan’s Certificate or Proof of Coverage document (“Plan Confirmation”), an
Apple-branded iPhone Bluetooth headset if owned by you and used with the covered iPhone and the
hardware accessories that are contained in the covered iPhone’s original packaging (collectively the
“Covered Equipment”) and (ii) provides you with access to telephone support and web-based support
resources for the Covered Equipment. To obtain the Plan Confirmation you must register your Plan’s
unique agreement or registration number (“Plan Agreement Number”) as described in the instructions
included in the Plan’s packaging. Customers choosing the Auto-Registration option, where available,
will automatically receive their Plan Confirmation. The duration of the Plan (“Coverage Period”) is for
the period ending on the date specified in your Plan Confirmation. The price of the Plan is listed on
the Plan’s original sales receipt. Apple may restrict service provided under this Plan to the Covered
Equipment’s original country of purchase.
1. Repair Coverage
a. Scope of Coverage. Your coverage for defects begins on the date your Covered Equipment’s
Apple hardware warranty expires and terminates at the end of the Coverage Period (“Repair
Coverage Period”). Apple will, at its option, repair or replace the affected Covered Equipment,
if (i) during the Repair Coverage Period there is a defect in the Covered Equipment’s materials
or workmanship or, (ii) during the Coverage Period, the capacity of the covered iPhone
battery to hold an electrical charge has depleted fifty (50%) percent or more from its original
specification, (after being fully charged and the covered iPhone playing audio or video with
all settings reset). Apple will provide both parts and labor, but may require you to replace
certain readily installable parts yourself, as described below. Apple may provide replacement 10
product or parts that are manufactured from parts that are new or equivalent to new in both
performance and reliability. The replacement product or parts will be functionally equivalent
to the replaced products or parts and will assume the remaining coverage under the Plan.
The products or parts that are replaced become Apple’s property. Apple strongly advises you
to record as a back up, data and software residing or recorded in the Covered Equipment,
before making the Covered Equipment available for service.
b. Limitations. The Plan does not cover:
(i) Installation, removal or disposal of the Covered Equipment, or installation, removal,
repair, or maintenance of non-Covered Equipment (including accessories, attachments,
or other devices) or network or cellular service external to the Covered Equipment;
(ii) Damage to the Covered Equipment caused by accident, abuse, neglect, misuse
(including faulty installation, repair or maintenance by anyone other than Apple or
an Apple authorized wireless service provider), unauthorized modification, extreme
environment (including extreme temperature or humidity), extreme physical or electrical
stress or interference, fluctuation or surges of electrical power, lightning, static electricity,
fire, acts of God or other external causes;
(iii) Covered Equipment with a serial number that has been altered, defaced or removed;
(iv) Problems caused by a device that is not the Covered Equipment, including equipment
that is not Apple-branded, whether or not purchased at the same time as the Covered
Equipment;
(v) Service necessary to comply with the regulations of any government body or agency
arising after the date of this Plan;
(vi) Problems caused by the function of a network or cellular service or viruses or other
software problems introduced into the Covered Equipment;
(vii) Covered Equipment that has been lost or stolen. This Plan only covers Covered
Equipment that is returned to Apple in its entirety;
(viii) Cosmetic damage to the Covered Equipment including but not limited to scratches,
dents and broken plastic on ports;
(ix) Preventative maintenance on the Covered Equipment; 11
(x) The provision of replacement equipment during the period when the Covered
Equipment is being serviced;
(xi) Damage to, or loss of any software or data residing or recorded in the Covered
Equipment. THE CONTENTS OF YOUR iPHONE WILL BE DELETED AND THE STORAGE
MEDIA REFORMATTED IN THE COURSE OF SERVICE. Your iPhone or a replacement iPhone
will be returned to you as your iPhone was configured when originally purchased,
subject to applicable updates. Apple may install system software (“iPhone OS”) updates
as part of your service that will prevent the iPhone from reverting to an earlier version of
the iPhone OS. Third party applications installed on the iPhone may not be compatible
or work with the iPhone as a result of the iPhone OS update. You will be responsible for
reinstalling all other software programs, data and passwords. Recovery and reinstallation
of software programs and user data are not covered under this Plan;
(xii) Defects caused by normal wear and tear or otherwise due to normal aging of the
Covered Equipment;
(xiii) Any support relating to software, data or media installed on the Covered Equipment; or
(xiv) Except as specifically provided herein, any other damages that do not arise from defects in
materials and workmanship or ordinary and customary usage of the Covered Equipment.
c. Service Options. Apple may provide service through one or more of the following options:
(i) Carry-in service. Return the Covered Equipment requiring service to an Apple-owned
retail store location or the Apple authorized wireless service provider offering carry-in
service. Service will be performed at the location, or the store may send the Covered
Equipment to an Apple repair service location to be repaired. Once you are notified that
service is complete, you will promptly retrieve the product.
(ii) Direct mail-in service. If Apple determines that your Covered Equipment is eligible
for mail-in service, Apple will send you prepaid way bills (and if you no longer have
the original packaging, Apple may send you packaging material) and you will ship
the Covered Equipment to Apple’s repair service location in accordance with its
instructions. Once service is complete, the Apple repair service location will return the
Covered Equipment to you. Apple will pay for shipping to and from your location if all
instructions are followed.12
(iii) Do-It-Yourself Parts service is available for many Covered Equipment parts or accessories,
allowing you to service your own product. If Do-It-Yourself Parts service is available in
the circumstances, the following process will apply.
(A) Do-It-Yourself Parts service where Apple requires return of the replaced part.
Apple may require a credit card authorization as security for the retail price of
the replacement part and applicable shipping costs. If you are unable to provide
credit card authorization, Do-It-Yourself Parts service may not be available to you
and Apple will offer alternative arrangements for service. Apple will ship you a
replacement part with installation instructions and any requirements for the return
of the replaced part. If you follow the instructions, Apple will cancel the credit card
authorization, so you will not be charged for the part and shipping to and from
your location. If you fail to return the replaced part as instructed, Apple will charge
the credit card for the authorized amount.
(B) Do-It-Yourself Parts service where Apple does not require return of the replaced part.
Apple will ship you free of charge a replacement part accompanied by instructions
on installation and any requirements for the disposal of the replaced part.
(C) Apple is not responsible for any labor costs you incur relating to Do-It-Yourself
Parts service. Should you require further assistance, contact Apple at the telephone
number listed below.
Apple reserves the right to change the method by which Apple may provide repair or replacement
service to you, and your Covered Equipment’s eligibility to receive a particular method of service.
Service options, parts availability and response times may vary.
d. Obtaining Repair or Replacement Service. To obtain service under this Plan, access the Apple
website for your country or call the telephone number, both listed below. Telephone numbers may
vary according to your location. When accessing the website, follow the instructions for requesting
repair service provided by Apple. If calling, an Apple technical support representative will answer,
request your Plan Agreement Number, advise you and determine what service is necessary for the
Covered Equipment. All service is subject to Apple’s prior approval. Location of service may vary
due to your location. Keep your Plan Confirmation document and the original sales receipt for
your Covered Equipment and your Plan. Proof of purchase may be required if there is any question
as to your product’s eligibility for Plan coverage.13
2. Technical Support
a. Telephone and Web Support. Your eligibility for technical support begins on the date your
Covered Equipment’s complimentary technical support expires or the date your Coverage
Period begins, whichever is later, and terminates at the end of the Coverage Period (“Technical
Coverage Period”). During the Technical Coverage Period Apple will provide you with access
to telephone technical support and web-based technical support resources. Technical support
may include assistance with installation, launch, configuration, troubleshooting, and recovery
(except for data recovery), including storing, retrieving, and managing files; interpreting system
error messages; and determining when hardware repairs are required. Apple will provide
technical support for the Covered Equipment, iPhone OS, software applications that are preinstalled with the Covered Equipment (“iPhone Software”) and connectivity issues between the
Covered Equipment and a supported computer, meaning a computer that meets the Covered
Equipment’s connectivity specifications and runs an operating system that is supported by the
Covered Equipment. Apple will provide support for the then-current version of the iPhone OS
and iPhone Software, and the prior Major Release, but reserves the right to change the support
it provides on any previous versions at any time. For purposes of this section, “Major Release”
means a significant version of software that is commercially released by Apple in a release
number format such as “1.0” or “2.0” and which is not in beta or pre-release form.
b. Limitations. The Plan does not cover:
(i) Issues that could be resolved by upgrading software to the then current version;
(ii) Your use of or modification to the Covered Equipment, the iPhone OS or iPhone
Software in a manner for which the Covered Equipment or software is not intended to
be used or modified;
(iii) Third-party products or their effects on or interactions with the Covered Equipment, the
iPhone OS or iPhone Software;
(iv) Your use of a computer or operating system that is unrelated to iPhone Software or
connectivity issues with the Covered Equipment;
(v) Apple software other than the iPhone OS or iPhone Software, as covered under the Plan;
(vi) iPhone OS software or any Apple-branded software designated as “beta”, “prerelease,” or
“preview” or similarly labeled software; and14
(vii) Damage to, or loss of any software or data residing or recorded in the Covered
Equipment.
c. Obtaining Technical Support. You may obtain technical support by calling the telephone
number listed below. The Apple technical support representative will provide you technical
support. Apple’s hours of service are described below. Apple reserves the right to change its
hours of technical service and telephone numbers at any time. Web-based support resources
are offered to you at the Apple website list below.
3. Your Responsibilities
To receive service under the Plan, you agree to comply with the following:
a. Provide your Plan Agreement Number and serial number of the Covered Equipment;
b. Provide information about the symptoms and causes of the problems with the Covered
Equipment; and
c. Follow instructions Apple gives you, including but not limited to refraining from sending
Apple products and accessories that are not subject to repair or replacement service and
packing the Covered Equipment in accordance with shipping instructions; and
d. Update software to currently published releases prior to seeking service.
4. Limitation of Liability
FOR CONSUMERS IN JURISDICTIONS WHO HAVE THE BENEFIT OF CONSUMER PROTECTION LAWS
OR REGULATIONS, THE BENEFITS CONFERRED BY THIS PLAN ARE IN ADDITION TO ALL RIGHTS AND
REMEDIES PROVIDED UNDER SUCH LAWS AND REGULATIONS. NOTHING IN THIS PLAN SHALL
PREJUDICE CONSUMER RIGHTS GRANTED BY THE APPLICABLE MANDATORY LAWS, INCLUDING
CONSUMER RIGHT TO SEEK FOR DAMAGES IN THE EVENT OF TOTAL OR PARTIAL NON-PERFORMANCE
OR INADEQUATE PERFORMANCE BY APPLE OF ANY OF ITS CONTRACTUAL OBLIGATIONS.
TO THE MAXIMUM EXTENT PERMITTED BY APPLICABLE LAW, APPLE AND ITS EMPLOYEES AND
AGENTS WILL UNDER NO CIRCUMSTANCES BE LIABLE TO YOU OR ANY SUBSEQUENT OWNER
FOR ANY INDIRECT OR CONSEQUENTIAL DAMAGES, INCLUDING BUT NOT LIMITED TO COSTS OF
RECOVERING, REPROGRAMMING, OR REPRODUCING ANY PROGRAM OR DATA OR THE FAILURE
TO MAINTAIN THE CONFIDENTIALITY OF DATA, ANY LOSS OF BUSINESS, PROFITS, REVENUE OR
ANTICIPATED SAVINGS, RESULTING FROM APPLE’S OBLIGATIONS UNDER THIS PLAN. TO THE 15
MAXIMUM EXTENT PERMITTED BY APPLICABLE LAW, THE LIMIT OF APPLE AND ITS EMPLOYEES
AND AGENT’S LIABILITY TO YOU AND ANY SUBSEQUENT OWNER ARISING UNDER THE PLAN SHALL
NOT EXCEED THE ORIGINAL PRICE PAID FOR THE PLAN. APPLE SPECIFICALLY DOES NOT WARRANT
THAT IT WILL BE ABLE TO (i) REPAIR OR REPLACE COVERED EQUIPMENT WITHOUT RISK TO OR LOSS
OF PROGRAMS OR DATA, AND (ii) MAINTAIN THE CONFIDENTIALITY OF DATA. NOTHING IN THIS
AGREEMENT SHALL EXCLUDE OR LIMIT APPLE’S LIABILITY FOR (I) DEATH OR PERSONAL INJURY
CAUSED BY ITS NEGLIGENCE, OR (II) FRAUD.
TO THE EXTENT THAT LIABILITY UNDER SUCH LAWS AND REGULATIONS MAY BE LIMITED, APPLE’S
LIABILITY IS LIMITED, AT ITS SOLE OPTION, TO REPLACE OR REPAIR OF THE COVERED EQUIPMENT
OR SUPPLY OF THE SERVICE.
5. Cancellation
You may cancel this Plan at any time for any reason. If you decide to cancel either call Apple at
the telephone number below, or send or fax written notice with your Plan Agreement Number to
Apple Customer Support, Hollyhill Industrial Estate, Hollyhill, Cork, Republic of Ireland (fax number:
+353-(0)21-428-3917). A copy of the Plan’s original proof of purchase must accompany your notice.
Unless local law provides otherwise, if you cancel within thirty (30) days of your Plan’s purchase, or
receipt of these Terms and Conditions, whichever occurs later, you will receive a full refund less the
value of any service provided under the Plan. If you cancel more than thirty (30) days after your
receipt of this Plan, you will receive a pro rata refund of the original purchase price, based on the
percentage of unexpired Coverage Period, less (a) any cancellation fee listed in section 8 or ten
percent (10%) of the pro-rata amount, whichever is less, and (b) the value of any service provided
to you under the Plan. Unless applicable local law provides otherwise, Apple may cancel this Plan
if service parts for the Covered Equipment become unavailable, upon thirty (30) days’ prior written
notice. If Apple cancels this Plan, you will receive a pro-rata refund for the Plan’s unexpired term.
6. Transfer of Plan
You may transfer this Plan to a new owner of the Covered Equipment by sending or faxing
notice of transfer to Apple Customer Support, Hollyhill Industrial Estate, Hollyhill, Cork, Republic
of Ireland, fax number: +353-(0)21-428-3917. You must provide the Plan Agreement Number, the
serial numbers of the Covered Equipment being transferred, proof of purchase of the Plan, and the
name, address, telephone number and email address of the new owner.16
7. General Terms
a. Apple may subcontract or assign performance of its obligations to third parties but shall not
be relieved of its obligations to you in doing so.
b. Apple is not responsible for any failures or delays in performing under the Plan that are due
to events outside Apple’s reasonable control.
c. You are not required to perform preventative maintenance on the Covered Equipment to
receive service under the Plan.
d. This Plan is offered and valid only in Austria, France (excluding Corsica, overseas departments
and territories), Germany, Ireland, Italy, Spain (including Balearic Islands but excluding Canary
Islands, Ceuta, Melilla), Switzerland and the United Kingdom. This Plan is not offered to
persons who have not reached the age of majority. This Plan is not available where prohibited
by law.
e. In carrying out its obligations Apple may, at its discretion and solely for the purposes of
monitoring the quality of Apple’s response, record part or all of the calls between you and Apple.
f. You agree that any information or data disclosed to Apple under this Plan is not confidential
or proprietary to you. Furthermore, you agree that Apple may collect and process data on
your behalf when it provides service. This may include transferring your data to affiliated
companies or service providers in accordance with the Apple Customer Privacy Policy
available at the webpage listed below.
g. Apple has security measures, which should protect your data against unauthorized access
or disclosure as well as unlawful destruction. You will be responsible for the instructions
you give to Apple regarding the processing of data, and Apple will seek to comply with
those instructions as reasonably necessary for the performance of the service and support
obligations under the Plan. If you do not agree with the above or if you have questions
regarding how your data may be impacted by being processed in this way, contact Apple at
the telephone numbers provided.
h. Apple will protect your information in accordance with Apple Customer Privacy Policy. If you
wish to have access to the information that Apple holds concerning you or if you want to make
changes, access www.apple.com/contact/myinfo to update your personal contact preferences
or you may contact Apple’s European data controller at privacyeurope@apple.com.17
i. The Terms and Conditions of this Plan prevail over any conflicting, additional, or other
terms of any purchase order or other document, and constitute your and Apple’s entire
understanding with respect to the Plan.
j. Your rights under the Plan are in addition to any warranty rights you may be entitled to. You
must purchase and register the Plan while your Apple-branded iPhone is within Apple’s One
Year Limited warranty. Apple is not obligated to renew this Plan. If Apple does offer a renewal,
it will determine the price and terms.
k. There is no informal dispute settlement process available under this Plan.
l. The financial obligations of this Plan are backed by Apple Sales International, Hollyhill
Industrial Estate, Hollyhill, Cork, Republic of Ireland. Should Apple Sales International fail to
meet those obligations, Apple Operations Europe, HollyHill Industrial Estate, Hollyhill, Cork,
Ireland would assume such obligations.
m. The laws of the country where entitlement to this Plan was purchased and activated shall
be the relevant law of this Plan. This choice of law does not include the conflicts of laws
provisions thereof nor the UN Sales Convention.
n. In the event any section or portion of a section of these Terms and Conditions are deemed
invalid, void or unenforceable, that section or portion of a section shall be stricken from the
Terms and Conditions, and the remaining Terms shall continue in full force and effect.
8. Country Variations
The following country variations will control if inconsistent with any other provisions of this Plan:
AUSTRIA
SECTION 4 - SECTION 4 IS REPLACED BY THE FOLLOWING:
AN OBLIGATION FOR DAMAGES OF APPLE AS WELL AS OF ANY OF ITS EMPLOYEES OR AGENTS ON
THE BASIS OF A CONTRACT OR ON ANY OTHER BASIS WHATSOEVER ONLY EXISTS TO THE EXTEND
THAT SUCH DAMAGE HAS BEEN CAUSED DUE TO NEGLIGENCE OR WILFULL INTENT. APPLE WILL
UNDER NO CIRCUMSTANCES BE LIABLE FOR ANY LOSS OF PROFIT, LOSS OF EXPECTED BUT NOT
REALISED OPPORTUNITIES, INDIRECT DAMAGES OR CONSEQUENTIAL DAMAGES, DAMAGES TO
DATA OR DAMAGES ARISING FROM THIRD PARTIES’ CLAIMS.18
SECTION 5 - IF YOU CANCEL MORE THAN 30 DAYS AFTER YOUR RECEIPT OF THIS PLAN, YOU WILL
RECEIVE A PRO-RATA REFUND OF THE PLAN’S ORIGINAL PURCHASE PRICE, LESS A CANCELLATION
FEE OF €25.00 OR 10 PER CENT OF THE PRO-RATA AMOUNT, WHICHEVER IS LESS.
FRANCE
SECTION 4 - SECTION 4 IS REPLACED BY THE FOLLOWING:
4.1- IF YOU ARE A CONSUMER, NOTHING IN THE PROGRAM SHALL LIMIT OR EXCLUDE OUR
LIABILITY FOR BREACH OF ANY TERM IMPLIED BY MANDATORY STATUTE.
4.2 - IF YOU ARE NOT A CONSUMER:
- THESE TERMS AND CONDITIONS SET OUT THE FULL EXTENT OF OUR OBLIGATIONS AND
LIABILITIES IN RESPECT OF THE PROGRAM;
- THERE ARE NO WARRANTIES, CONDITIONS OR OTHER TERMS THAT ARE BINDING ON US
EXCEPT AS EXPRESSLY STATED IN THESE TERMS AND CONDITIONS; AND
- ANY OTHER WARRANTY AND/OR OBLIGATION CONCERNING THE PROGRAM WHICH WE
MIGHT BORN PURSUANT TO LAW (INCLUDING ANY IMPLIED TERM AS TO CARE AND SKILL)
IS HEREBY EXPRESSLY EXCLUDED. IN PARTICULAR, APPLE WILL NOT BE RESPONSIBLE FOR
ENSURING THAT THE PROGRAM IS SUITABLE FOR YOUR PURPOSES.
4.3 - NOTHING IN THESE TERMS AND CONDITIONS SHALL LIMIT OR EXCLUDE OUR LIABILITY
FOR DEATH OR PERSONAL INJURY CAUSED BY OUR NEGLIGENCE OR FOR FRAUD.
4.4 - SUBJECT TO CLAUSE 4.3, WE WILL NOT BE LIABLE UNDER THESE TERMS AND CONDITIONS
FOR ANY LOSS OF INCOME, LOSS OF PROFITS, LOSS OF OPPORTUNITIES, LOSS OF DATA OR
FOR ANY OTHER INDIRECT LOSS.
4.5- SUBJECT TO CLAUSE 4.3, OUR MAXIMUM AGGREGATE LIABILITY UNDER THESE
TERMS AND CONDITIONS, WHETHER IN CONTRACT, TORT OR OTHERWISE, SHALL IN NO
CIRCUMSTANCES EXCEED THE AMOUNT YOU PAID IN RESPECT OF THE PROGRAM.
SECTION 5 - IF YOU CANCEL MORE THAN 30 DAYS AFTER YOUR RECEIPT OF THIS PLAN, YOU WILL
RECEIVE A PRO-RATA REFUND OF THE PLAN’S ORIGINAL PURCHASE PRICE, LESS A CANCELLATION
FEE OF €25.00 OR 10 PER CENT OF THE PRO-RATA AMOUNT, WHICHEVER IS LESS.
IF YOU ARE A CONSUMER, PLEASE NOTE THAT YOUR RIGHT TO REPENT ACCORDING TO ARTICLE
L.121-20 OF THE CONSUMER CODE IS TAKEN INTO ACCOUNT IN SECTION 5 (CANCELLATION). 19
SECTION 7 - THE FOLLOWING IS ADDED TO SECTION 7.
DURATION OF THIS PLAN IS INDICATED IN THE PLAN CONFIRMATION.
APART FROM THIS PLAN, AND IF APPLICABLE, APPLE WILL PROVIDE A GUARANTEE FOR THE
DEFECTS OF CONFORMITY (ARTICLE L.211-15 OF THE CONSUMER CODE) AND FOR THE HIDDEN
DEFECTS UNDER THE CONDITIONS STATED IN ARTICLE 1641 TO 1649 OF THE CIVIL CODE.
IN ACCORDANCE WITH ARTICLE L.211-15 OF THE CONSUMER CODE, THE FOLLOWING ARTICLES
APPLY TO CONSUMERS AND ARE HERE BELOW REPRODUCED WHOLLY:
ARTICLE L.211-4 OF THE CONSUMER CODE: “THE SELLER MUST DELIVER A GOOD WHICH
CONFORMS TO THE CONTRACT AND WILL BE LIABLE FOR DEFECTS OF CONFORMITY EXISTING
AT THE TIME OF DELIVERY. THE SELLER WILL ALSO BE LIABLE FOR DEFECTS OF CONFORMITY
RESULTING FROM THE PACKING, INSTRUCTIONS FOR ASSEMBLY OR INSTALLATION WHEN SELLER
WAS IN CHARGE OF INSTALLATION PURSUANT TO THE CONTRACT OR WHEN CARRIED OUT UNDER
THE SELLER’S RESPONSIBILITY”.
ARTICLE L.211-5 OF THE CONSUMER CODE: “SO TO BE IN CONFORMITY WITH THE CONTRACT, THE
GOOD MUST:
1° FIT FOR PURPOSES FOR WHICH IT IS USUALLY USED AND, IF APPLICABLE:
CORRESPOND TO THE DESCRIPTION GIVEN BY THE SELLER AND HAVE THE QUALITIES
PRESENTED TO THE BUYER IN A SAMPLE OR SPECIMEN;
HAVE THE QUALITIES WHICH CAN BE LEGITIMATELY EXPECTED BY A BUYER ON THE BASIS
OF THE PUBLIC DECLARATIONS MADE BY THE SELLER, THE MANUFACTURER OR ITS AGENT,
INCLUDING IN AN ADVERTISEMENT OR LABELING; OR
2° HAVE THE QUALITIES DEFINED BY COMMON AGREEMENT OF THE PARTIES OR FIT ANY
SPECIFIC USE LOOKED FOR BY THE BUYER, BROUGHT TO THE SELLER’S KNOWLEDGE AND
ACCEPTED BY THE SELLER.”
ARTICLE L.211-12 OF THE CONSUMER CODE: ”LEGAL ACTION BASED ON DEFECT OF CONFORMITY
LAPSES AT THE END OF THE TWO YEAR PERIOD FOLLOWING DELIVERY OF THE GOOD.”
ARTICLE 1641 OF THE CIVIL CODE: “SELLER IS LIABLE FOR THE HIDDEN DEFECTS THAT RENDER THE
GOOD UNFIT FOR THE USE IT IS MEANT TO BE, OR THAT DECREASE THIS USE IN SUCH AN EXTENT
THAT THE BUYER WOULD NOT HAVE ACQUIRED THE GOOD, OR WOULD HAVE OFFER A LOWER 20
PRICE, IF THESE DEFECTS WOULD HAVE BEEN KNOWN TO HIM.”
ARTICLE 1648 PAR. 1 OF THE CIVIL CODE: “LEGAL ACTION BASED ON REDHIBITORY DEFECTS MUST
BE INTRODUCED BY THE BUYER WITHIN A PERIOD OF TWO YEARS FOLLOWING THE DISCOVERY OF
THE DEFECT.”
GERMANY
SECTION 4 - SECTION 4 IS REPLACED BY THE FOLLOWING:
THE BENEFITS CONFERRED BY THE PLAN ARE IN ADDITION TO ANY STATUTORY RIGHTS OR CLAIMS
IN THE EVENT OF DEFECTS IN WORKMANSHIP OR TITLE OF THE COVERED EQUIPMENT AND DO
NOT RESTRICT SUCH RIGHTS. YOUR RIGHTS IN THE EVENT OF ANY DEFECTS IN WORKMANSHIP OR
TITLE OF DELIVERABLES UNDER THE PLAN ARE GOVERNED BY STATUTORY LAW AND LIMITED AS
FOLLOWS: IF YOU ARE A “CONSUMER” (I.E. A CUSTOMER PURCHASING THE PLAN FOR A PURPOSE
OUTSIDE THE SCOPE OF ITS TRADE, BUSINESS OR INDEPENDENT PROFESSION), YOUR STATUTORY
REMEDIES FOR DEFECTS LAPSE AFTER TWO YEARS, FOR ALL CUSTOMERS WHO ARE NOT
CONSUMERS, THE LIMITATION PERIOD SHALL BE ONE YEAR.
ANY LIABILITY IN DAMAGES BASED ON ANY LEGAL THEORY SHALL BE SUBJECT TO THE
FOLLOWING LIMITATION:
APPLE SHALL BE LIABLE IN DAMAGES, WHETHER BASED ON CONTRACT OR ANY OTHER LEGAL
THEORY, ONLY TO THE EXTENT THAT THE DAMAGE WAS CAUSED BY GROSS NEGLIGENCE OR
WILLFUL MISCONDUCT IMPUTABLE TO APPLE. THE LIMITATION OF LIABILITY UNDER THIS SEC. 4
SHALL ALSO APPLY TO THE LIABILITY OF APPLE’S EMPLOYEES AND AGENTS MANDATORY LIABILITY
UNDER THE PRODUCT LIABILITY ACT, IN THE EVENT OF DEATH OF A NATURAL PERSON OR
PERSONAL INJURY TO THE LATTER, OR OF A SLIGHTLY NEGLIGENT VIOLATION OF A FUNDAMENTAL
DUTY UNDER THE PLAN, SHALL REMAIN UNAFFECTED. ANY LIABILITY FOR VIOLATION OF A
FUNDAMENTAL DUTY UNDER THE PLAN WHICH IS NOT BASED ON GROSS NEGLIGENCE, WILLFUL
MISCONDUCT OR ON THE DEATH OF A NATURAL PERSON OR PERSONAL INJURY TO THE LATTER,
SHALL BE LIMITED TO SUCH DAMAGE AS COULD HAVE REASONABLY BEEN FORESEEN. THE
FOREGOING SHALL NOT AFFECT ANY SHIFT IN A BURDEN OF PROOF TO YOUR DISADVANTAGE.
SECTION 5 - IF YOU CANCEL MORE THAN 30 DAYS AFTER YOUR RECEIPT OF THIS PLAN, YOU WILL
RECEIVE A PRO-RATA REFUND OF THE PLAN’S ORIGINAL PURCHASE PRICE, LESS A CANCELLATION
FEE OF €25.00 OR 10 PER CENT OF THE PRO-RATA AMOUNT, WHICHEVER IS LESS. 21
SECTION 7.E TO 7.G - SECTION 7.E TO 7.G SHALL NOT APPLY TO ANY PERSONAL DATA COLLECTED
OR PROCESSED BY APPLE THROUGH AN ESTABLISHMENT OF APPLE IN GERMANY. WHERE LEGALLY
REQUIRED, APPLE WILL SEPARATELY ASK YOU FOR YOUR CONSENT WITH REGARD TO SUCH DATA.
IRELAND
SECTION 4 - SECTION 4 IS REPLACED BY THE FOLLOWING:
4.1- IF YOU ARE A CONSUMER, NOTHING IN THESE TERMS AND CONDITIONS SHALL LIMIT OR
EXCLUDE OUR LIABILITY FOR BREACH OF ANY TERM IMPLIED BY STATUTE.
4.2 - IF YOU ARE NOT A CONSUMER:
- THESE TERMS AND CONDITIONS SET OUT THE FULL EXTENT OF OUR OBLIGATIONS AND
LIABILITIES IN RESPECT OF THE PROGRAM;
- THERE ARE NO WARRANTIES, CONDITIONS OR OTHER TERMS THAT ARE BINDING ON US
EXCEPT AS EXPRESSLY STATED IN THESE TERMS AND CONDITIONS; AND
- ANY WARRANTY, CONDITIONS OR OTHER TERM CONCERNING THE PROGRAM WHICH MIGHT
OTHERWISE BE IMPLIED INTO OR INCORPORATED IN THESE TERMS AND CONDITIONS BY
STATUTE, COMMON LAW OR OTHERWISE (INCLUDING WITHOUT LIMITATION ANY IMPLIED
TERM AS TO QUALITY, FITNESS FOR PURPOSE, REASONABLE CARE AND SKILL) IS HEREBY
EXPRESSLY EXCLUDED. IN PARTICULAR, APPLE WILL NOT BE RESPONSIBLE FOR ENSURING
THAT THE PROGRAM IS SUITABLE FOR YOUR PURPOSES.
4.3 - NOTHING IN THESE TERMS AND CONDITIONS SHALL LIMIT OR EXCLUDE OUR LIABILITY
FOR DEATH OR PERSONAL INJURY CAUSED BY OUR NEGLIGENCE OR FOR FRAUD.
4.4 - SUBJECT TO CLAUSE 4.3, WE WILL NOT BE LIABLE UNDER THESE TERMS AND CONDITIONS
FOR ANY LOSS OF INCOME, LOSS OF PROFITS, LOSS OF CONTRACTS, LOSS OF DATA OR FOR
ANY OTHER INDIRECT OR CONSEQUENTIAL LOSS OR DAMAGE OF ANY KIND HOWSOEVER
ARISING AND WHETHER CAUSED BY TORT (INCLUDING NEGLIGENCE), BREACH OF CONTRACT
OR OTHERWISE.
4.5- SUBJECT TO CLAUSE 4.3, OUR MAXIMUM AGGREGATE LIABILITY UNDER THESE TERMS
AND CONDITIONS, WHETHER IN CONTRACT, TORT (INCLUDING NEGLIGENCE) OR OTHERWISE,
SHALL IN NO CIRCUMSTANCES EXCEED THE AMOUNT PAYABLE BY YOU TO US IN RESPECT OF
THE PROGRAM.22
SECTION 5 - IF YOU CANCEL MORE THAN 30 DAYS AFTER YOUR RECEIPT OF THIS PLAN, YOU
WILL RECEIVE A PRO-RATA REFUND OF THE PLAN’S ORIGINAL PURCHASE PRICE, LESS A
CANCELLATION FEE OF €25.00 OR 10 PER CENT OF THE PRO-RATA AMOUNT, WHICHEVER IS LESS.
ITALY
SECTION 4 -
A. IF YOU ARE A CONSUMER, NOTHING IN THESE TERMS AND CONDITIONS SHALL LIMIT OR
EXCLUDE APPLE’S LIABILITY IN CASE OF VIOLATION OF THE LEGISLATION APPLICABLE TO THE
PLAN.
B. IF YOU ARE NOT A CONSUMER:
(I) THESE TERMS AND CONDITIONS SET OUT THE FULL EXTENT OF OUR OBLIGATIONS
AND LIABILITIES IN RESPECT OF THE SERVICES UNDER THIS PLAN;
(II) THERE ARE NO WARRANTIES, CONDITIONS OR OTHER TERMS THAT ARE BINDING ON
APPLE EXCEPT AS EXPRESSLY STATED IN THE PLAN;
(III) ANY WARRANTY, CONDITION OR OTHER TERM CONCERNING THE PRODUCTS OR
SERVICES WHICH MIGHT OTHERWISE BE IMPLIED INTO OR INCORPORATED IN THE
PLAN BY STATUTE, COMMON LAW, LAWS APPLICABLE IN THE COUNTRY WHERE YOU
PURCHASED THE PLAN OR OTHERWISE (INCLUDING WITHOUT LIMITATION ANY IMPLIED
TERM AS TO QUALITY, FITNESS FOR PURPOSE, REASONABLE CARE AND SKILL) IS HEREBY
EXPRESSLY EXCLUDED TO THE MAXIMUM EXTENT PERMITTED BY LAW. IN PARTICULAR,
WE WILL NOT BE RESPONSIBLE FOR ENSURING THAT THE PLAN IS SUITABLE FOR YOUR
PURPOSES.
C. NOTHING IN THE PLAN SHALL LIMIT OR EXCLUDE APPLE’S LIABILITY (I) FOR DEATH OR
PERSONAL INJURY CAUSED BY OUR NEGLIGENCE OR (II) FOR FRAUD OR (III) ANY BREACH OF
THE OBLIGATIONS IMPLIED BY APPLICABLE COMPULSORY NATIONAL LAWS AS TO TITLE OR
(IV) ANY LIABILITY WHICH CANNOT BE EXCLUDED BY LAW.
D. SUBJECT TO CLAUSE 4.C IN THIS SECTION, APPLE WILL NOT BE LIABLE UNDER THE PLAN FOR
ANY LOSS OF INCOME, LOSS OF PROFITS, LOSS OF CONTRACTS, LOSS OF DATA OR FOR ANY
INDIRECT OR CONSEQUENTIAL LOSS OR DAMAGE OF ANY KIND HOWSOEVER ARISING AND
WHETHER CAUSED BY TORT (INCLUDING NEGLIGENCE), BREACH OF CONTRACT OR OTHERWISE.English 23
E. SUBJECT TO CLAUSE 4.C IN THIS SECTION, APPLE’S MAXIMUM AGGREGATE LIABILITY UNDER
THE PLAN WHETHER IN CONTRACT, TORT (INCLUDING NEGLIGENCE) OR OTHERWISE SHALL IN NO
CIRCUMSTANCES EXCEED THE AMOUNT PAYABLE BY YOU TO APPLE IN RESPECT OF THE PLAN.
SECTION 5 - IF YOU CANCEL MORE THAN 30 DAYS AFTER YOUR RECEIPT OF THIS PLAN, YOU WILL
RECEIVE A PRO-RATA REFUND OF THE PLAN’S ORIGINAL PURCHASE PRICE, LESS A CANCELLATION
FEE OF €25.00 OR 10 PER CENT OF THE PRO-RATA AMOUNT, WHICHEVER IS LESS.
IF YOU ARE A CONSUMER, IN THE EVENT APPLE CANCELS THIS PLAN, YOU WILL RECEIVE FROM
APPLE A CANCELLATION FEE EQUAL TO DOUBLE THE CANCELLATION FEE THAT YOU WOULD HAVE
PAID IF YOU HAD CANCELLED THE PLAN AT THE TIME APPLE CANCELS.
IF YOU ARE A CONSUMER AND YOU HAVE ENTERED THIS PLAN THROUGH THE APPLE STORE
WEB SITE OR THROUGH THE PHONE, YOU MAY CANCEL THIS PLAN WITHIN FOURTEEN DAYS
FOLLOWING YOUR PURCHASE OF THE PLAN. YOU WILL RECEIVE FULL REFUND. ARTICLES 50 - 61 OF
THE ITALIAN LEGISLATIVE DECREE NO. 206 OF 6 SEPTEMBER 2005 (CONSUMER PROTECTION CODE)
WILL APPLY TO THIS PLAN IF (I) THIS PLAN IS ENTERED THROUGH THE APPLE STORE WEB SITE, OR
(II) THIS PLAN IS EXECUTED AS A “DISTANCE CONTRACT”.
SECTION 7 - WITHOUT PREJUDICE TO ANY OTHER APPLICABLE LEGISLATION, ARTICLES 1519-BIS
- 1519-NONIES OF THE ITALIAN CIVIL CODE APPLY TO THIS PLAN, WHICH CANNOT OVERRIDE THE
RIGHTS AND REMEDIES CONFERRED ON CUSTOMERS BY THE ARTICLES MENTIONED ABOVE.
SPAIN
SECTION 4 -
4.1- IF YOU ARE A CONSUMER, NOTHING IN THESE TERMS AND CONDITIONS SHALL LIMIT OR
EXCLUDE OUR LIABILITY FOR BREACH OF ANY TERM IMPLIED BY STATUTE.
4.2 - IF YOU ARE NOT A CONSUMER:
- THESE TERMS AND CONDITIONS SET OUT THE FULL EXTENT OF OUR OBLIGATIONS AND
LIABILITIES IN RESPECT OF THE PROGRAM;
- THERE ARE NO WARRANTIES, CONDITIONS OR OTHER TERMS THAT ARE BINDING ON US
EXCEPT AS EXPRESSLY STATED IN THESE TERMS AND CONDITIONS; AND
- ANY WARRANTY, CONDITION OR OTHER TERM CONCERNING THE PROGRAM WHICH MIGHT
OTHERWISE BE IMPLIED INTO OR INCORPORATED IN THESE TERMS AND CONDITIONS 24 English
BY STATUTE OR REGULATION, CUSTOMARY LAW OR OTHERWISE (INCLUDING WITHOUT
LIMITATION ANY IMPLIED TERM AS TO QUALITY, FITNESS FOR PURPOSE, REASONABLE CARE
AND SKILL) IS HEREBY EXPRESSLY
EXCLUDED. IN PARTICULAR, APPLE WILL NOT BE RESPONSIBLE FOR ENSURING THAT THE
PROGRAM IS SUITABLE FOR YOUR PURPOSES.
4.3 - NOTHING IN THESE TERMS AND CONDITIONS SHALL LIMIT OR EXCLUDE OUR LIABILITY
FOR DEATH OR PERSONAL INJURY CAUSED BY OUR NEGLIGENCE OR FOR FRAUD.
4.4 - SUBJECT TO CLAUSE 4.3, AND TO THE MAXIMUM EXTEND PERMITTED BY APPLICABLE
LAW, WE WILL NOT BE LIABLE UNDER THESE PLAN FOR ANY LOSS OF INCOME, LOSS OF
PROFITS, LOSS OF CONTRACTS, LOSS OF DATA OR FOR ANY INDIRECT OR CONSEQUENTIAL
LOSS OR DAMAGE OF ANY KIND HOWSOEVER ARISING AND WHETHER CAUSED BY TORT,
BREACH OF CONTRACT OR OTHERWISE.
4.5- SUBJECT TO CLAUSE 4.3, AND TO THE MAXIMUM EXTEND PERMITTED BY APPLICABLE
LAW, OUR MAXIMUM AGGREGATE LIABILITY UNDER THE CONTRACT WHETHER IN CONTRACT,
TORT OR OTHERWISE SHALL IN NO CIRCUMSTANCES EXCEED THE AMOUNT PAYABLE BY YOU
TO US IN RESPECT OF THE PROGRAM.
SECTION 5 - IF YOU ARE A CONSUMER AND YOU HAVE ENTERED THIS PLAN THROUGH THE APPLE
STORE WEB SITE OR THROUGH THE TELEPHONE, YOU MAY CANCEL THIS PLAN WITHIN FOURTEEN
DAYS FOLLOWING YOUR PURCHASE OF THE PLAN. YOU WILL RECEIVE FULL REFUND.
IF YOU CANCEL MORE THAN 30 DAYS AFTER YOUR RECEIPT OF THIS PLAN, YOU WILL RECEIVE A
PRO-RATA REFUND OF THE PLAN’S ORIGINAL PURCHASE PRICE, LESS A CANCELLATION FEE OF
€25.00 OR 10 PER CENT OF THE PRO-RATA AMOUNT, WHICHEVER IS LESS.
SWITZERLAND
SECTION 4 - SECTION 4 IS REPLACED BY THE FOLLOWING:
4.1 - IF YOU ARE A CONSUMER, NOTHING IN THE PROGRAM SHALL LIMIT OR EXCLUDE OUR
LIABILITY FOR BREACH OF ANY TERM IMPLIED BY MANDATORY STATUTORY LAW.
4.2 - IF YOU ARE NOT A CONSUMER:
- THESE TERMS AND CONDITIONS SET OUT THE FULL EXTENT OF OUR OBLIGATIONS IN
RESPECT OF THE PROGRAM;English 25
- ANY OBLIGATIONS AND WARRANTIES CONCERNING THE PROGRAM THAT MAY BE BINDING
ON US BY STATUTE (INCLUDING ANY IMPLIED WARRANTY CONCERNING CARE AND SKILL)
ARE HEREBY EXPRESSLY EXCLUDED. IN PARTICULAR, APPLE WILL NOT BE RESPONSIBLE FOR
ENSURING THAT THE PROGRAM IS SUITABLE FOR YOUR PURPOSES.
4.3 - NOTHING IN THESE TERMS AND CONDITIONS SHALL LIMIT OR EXCLUDE OUR LIABILITY
FOR DEATH OR PERSONAL INJURY CAUSED BY NEGLIGENCE OR FOR FRAUD.
4.4 - TO THE MAXIMUM EXTEND PERMITTED BY APPLICABLE LAW, WE WILL NOT BE LIABLE
UNDER THESE TERMS AND CONDITIONS FOR ANY LOSS OF INCOME, LOSS OF PROFITS, LOSS
OF OPPORTUNITIES OR LOSS OF DATA.
4.5 - SUBJECT TO CLAUSE 4.3, OUR MAXIMUM AGGREGATE LIABILITY UNDER THESE
TERMS AND CONDITIONS WHETHER IN CONTRACT, TORT OR OTHERWISE SHALL IN NO
CIRCUMSTANCES EXCEED THE AMOUNT YOU PAID IN RESPECT OF THE PROGRAM.
SECTION 5 -
5.1 - THE FOLLOWING PROVISIONS ARE ADDED TO SECTION 5: IF YOU ARE A CONSUMER AND
YOU HAVE ENTERED THIS PLAN THROUGH THE APPLE STORE WEB SITE OR THROUGH THE
PHONE, YOU MAY CANCEL THIS PLAN WITHIN FOURTEEN DAYS FOLLOWING YOUR PURCHASE
OF THE PLAN. YOU WILL RECEIVE FULL REFUND. HOWEVER, IF YOU HAVE STARTED TO USE THE
PROGRAM, YOU WILL RECEIVE A FULL REFUND LESS THE VALUE OF ANY SERVICE PROVIDED
UNDER THE PLAN.
5.2 - IF YOU CANCEL MORE THAN 30 DAYS AFTER YOUR RECEIPT OF THIS PLAN, YOU WILL RECEIVE
A PRO-RATA REFUND OF THE PLAN’S ORIGINAL PURCHASE PRICE, LESS A CANCELLATION FEE OF
SFR39.00 OR 10 PER CENT OF THE PRO-RATA AMOUNT, WHICHEVER IS LESS.
UNITED KINGDOM
SECTION 4 - SECTION 4 IS REPLACED BY THE FOLLOWING PROVISIONS:
4.1- THESE TERMS AND CONDITIONS SET OUT THE FULL EXTENT OF OUR OBLIGATIONS AND
LIABILITIES IN RESPECT OF THE PROGRAM.
4.2- THERE ARE NO WARRANTIES, CONDITIONS OR OTHER TERMS THAT ARE BINDING ON US
EXCEPT AS EXPRESSLY STATED IN THESE TERMS AND CONDITIONS.
4.3 - ANY WARRANTY, CONDITIONS OR OTHER TERM CONCERNING THE PROGRAM WHICH 26 English
MIGHT OTHERWISE BE IMPLIED INTO OR INCORPORATED IN THESE TERMS AND CONDITIONS
BY STATUTE, COMMON LAW, LAWS APPLICABLE IN THE COUNTRY WHERE YOU PURCHASED
THE PROGRAM OR OTHERWISE (INCLUDING WITHOUT LIMITATION ANY IMPLIED TERM AS
TO QUALITY, FITNESS FOR PURPOSE, REASONABLE CARE AND SKILL) IS HEREBY EXPRESSLY
EXCLUDED TO THE MAXIMUM EXTENT PERMITTED BY LAW. IN PARTICULAR, WE WILL NOT BE
RESPONSIBLE FOR ENSURING THAT THE PROGRAM IS SUITABLE FOR YOUR PURPOSE.
4.4 - NOTHING IN THESE TERMS AND CONDITIONS SHALL LIMIT OR EXCLUDE OUR LIABILITY
(I) FOR DEATH OR PERSONAL INJURY CAUSED BY OUR NEGLIGENCE OR (II) FOR FRAUD OR (III)
ANY BREACH OF THE OBLIGATIONS IMPLIED BY APPLICABLE COMPULSORY NATIONAL LAWS
AS TO TITLE OR (IV) ANY LIABILITY WHICH CANNOT BE EXCLUDED BY LAW.
4.5 - SUBJECT TO CLAUSE 4.4, WE WILL NOT BE LIABLE UNDER THESE TERMS AND CONDITIONS
FOR ANY LOSS OF INCOME, LOSS OF PROFITS, LOSS OF CONTRACTS, LOSS OF DATA OR FOR
ANY INDIRECT OR CONSEQUENTIAL LOSS OR DAMAGE OF ANY KIND HOWSOEVER ARISING
AND WHETHER CAUSED BY TORT (INCLUDING NEGLIGENCE), BREACH OF CONTRACT OR
OTHERWISE.
4.6 - SUBJECT TO CLAUSE 4.4, OUR MAXIMUM AGGREGATE LIABILITY UNDER THESE TERMS
AND CONDITIONS, WHETHER IN CONTRACT, TORT (INCLUDING NEGLIGENCE) OR OTHERWISE,
SHALL IN NO CIRCUMSTANCES EXCEED THE AMOUNT PAYABLE BY YOU TO US IN RESPECT OF
THE PROGRAM.
4.7 – THIS DOES NOT AFFECT YOUR STATUTORY RIGHTS AS A CONSUMER, NOR YOUR RIGHT
TO CANCEL THE PROGRAM AS PER SECTION 5.
SECTION 5 - YOU HAVE THE RIGHT TO CANCEL THIS PLAN WITHIN FORTY-FIVE (45) DAYS
OF PURCHASE AND RECEIVE A FULL REFUND UNLESS YOU HAVE RECEIVED SUPPORT OR
SERVICES UNDER THE PLAN. AFTER THE 45-DAY CANCELLATION PERIOD, YOU MAY CANCEL
THE PLAN AT ANY TIME WITHIN THE PLAN’S TERM AND OBTAIN A PRO RATA REFUND OF THE
PLAN’S ORIGINAL PURCHASE PRICE, BASED ON THE REMAINING PERIOD OF FULL UNEXPIRED
MONTHS OF COVER PROVIDED BY THE PLAN. IF YOU HAVE RECEIVED SERVICE AND SUPPORT,
THE PLAN WILL CONTINUE IN ACCORDANCE WITH THESE TERMS AND CONDITIONS.English 27
Phone Numbers
In the UK: In Ireland:
(44) 0870 876 0753 (353) 1850 946 191
Monday – Friday Monday – Friday
8:00 am – 7:45 pm 8:00 am – 7:45 pm
Saturday Saturday
10:00 am – 5:45 pm* 10:00 am – 5:45 pm*
* Telephone numbers and hours of operation may vary and are subject to change. You can find the most up-to-date local
and www.apple.com/support/contact/phone_contacts.html. Toll-free numbers are not available in all countries. Local and
national telephone rates may apply.
A list of authorized wireless service providers is available online at:
http://images.apple.com/legal/warranty/docs/iPhoneAuthorizedDistributors.pdf
APPLE SALES INTERNATIONAL, HOLLYHILL INDUSTRIAL ESTATE, HOLLYHILL, CORK, REPUBLIC OF IRELAND
WWW.APPLE.COM
EMEA APP iPhone Z v1Français 29
AppleCare Protection Plan pour iPhone
Fiche d’informations
Tranquillité d’esprit avec Apple
Chaque iPhone bénéficie d’une garantie d’un an sur les réparations et d’une assistance technique de
90 jours. Le programme AppleCare Protection Plan pour iPhone prolonge la durée de votre couverture
à deux ans à compter de la date d’achat de votre iPhone
1
. Que vous utilisiez iPhone avec un Mac ou un
PC, un coup de fil peut suffire pour résoudre vos problèmes.
Informations concernant la garantie
Ce programme complet est disponible pour tous les modèles iPhone couverts par la garantie limitée
d’un an. Si vous vendez l’iPhone couvert avant expiration du contrat AppleCare Protection Plan pour
iPhone, vous pouvez transférer le programme au nouveau propriétaire
2
. Pour chaque iPhone que vous
souhaitez couvrir, vous devez acheter un contrat AppleCare Protection Plan pour iPhone séparé.
Veillez à conserver le document faisant office de preuve de garantie, c’est-à-dire la facture originale de
l’iPhone ou de l’AppleCare Protection Plan pour iPhone. Une preuve d’achat peut vous être demandée
par Apple en cas de doute concernant le droit de votre iPhone à être couvert par le programme
AppleCare Protection Plan.
Options d’assistance technique
Si des problèmes se présentent lors de l’utilisation de votre iPhone, suivez les instructions de dépannage
présentes sur le site web d’assistance iPhone à l’adresse www.apple.com/fr/support/iphone. Si vous ne
parvenez pas à résoudre le problème, le personnel AppleCare peut vous aider à dépanner votre iPhone et
à résoudre des problèmes de connexion avec iTunes. Vous trouverez la liste des informations de contact et
des horaires du service d’assistance technique d’Apple dans le Guide de référence rapide. Sous la garantie
du programme AppleCare Protection Plan pour iPhone, Apple fournit le même service d’assistance
complet aux utilisateurs Mac et aux utilisateurs Windows.30 Français
Service de réparation du matériel
Ce programme étend le service de réparations et de remplacement de la garantie Apple d’un an à deux
ans à compter de la date d’achat de votre iPhone. Il prolonge également la couverture de service sur la
batterie iPhone lorsque sa capacité à retenir une charge électrique est réduite de cinquante pour cent
(50%) ou plus par rapport à sa capacité d’origine.
Les options de service après-vente en magasin ou d’enlèvement à domicile par transporteur peuvent
s’appliquer. Reportez-vous au Guide de référence rapide pour des détails supplémentaires sur l’obtention
du service. L’équipement de remplacement fourni par Apple dans le cadre du service de réparation ou
de remplacement peut être neuf, d’occasion ou reconditionné.
1. Ce programme étend votre couverture de service à deux ans à compter de la date d’achat de votre iPhone. Le contrat du
programme doit être acheté lorsque votre iPhone est encore sous sa garantie d’origine d’un an. La couverture du service peut
être soumise à certaines conditions. Les avantages du programme AppleCare Protection Plan s’ajoutent à ceux de tous les droits
légaux garantis par les lois de protection du consommateur dans votre juridiction.
2. Pour de plus amples informations, consultez les Conditions Générales du programme AppleCare Protection Plan, ci-jointes.Français 31
Essayez les opérations suivantes, faciles à réaliser, avant d’appeler Apple pour obtenir de l’aide
Si vous avez des problèmes avec votre iPhone, essayez les procédures de dépannage disponibles sur le
site web d’assistance iPhone à l’adresse www.apple.com/fr/support/iphone. Par mesure de précaution,
il est recommandé de sauvegarder le contenu de votre iPhone avant d’appliquer ces procédures.
Vérifiez que vous disposez de la dernière version d’iTunes disponible
Vous pouvez télécharger la dernière version d’iTunes à l’adresse www.apple.com/fr/itunes/download.
Consultez le site web d’assistance iPhone
Le site web d’assistance iPhone présente des liens pour vérifier la disponibilité d’une option de service,
des didacticiels relatifs à l’iPhone, des forums de discussions et d’autres ressources pour répondre à
diverses questions d’utilisation et de dépannage. Ces ressources sont disponibles 24 heures sur 24 à
l’adresse www.apple.com/fr/support/iphone.
Contacts d’assistance Apple
Si ces procédures ne permettent pas de résoudre le problème, veuillez contacter Apple pour obtenir une
assistance. Lorsque vous appelez Apple, il vous est demandé d’indiquer votre numéro de contrat AppleCare
Protection Plan pour iPhone ou le numéro de série de votre iPhone, situé au dos de votre iPhone.
En France
(33) 0805 540 003
Du lundi au vendredi
De 8H00 à 19H45. Le samedi de 10H00 à 17H45
*
* Les numéros de téléphone et les heures d’ouverture au public peuvent varier et sont susceptibles d’être modifiés. Vous trouverez
la toute dernière liste des contacts nationaux et internationaux à l’adresse www.apple.com/contact/phone_contacts.html.
Guide de référence rapide
AppleCare Protection Plan pour iPhoneFrançais 33
AppleCare Protection Plan pour iPhone
Conditions Générales
Votre programme AppleCare Protection Plan pour iPhone (ci-après désigné le « Programme ») est régi
par les présentes conditions générales (« Conditions Générales ») et constitue un contrat de prestation
de services conclu avec la société Apple Sales International (« Apple »). Sous réserve des présentes
Conditions Générales, votre Programme (i) couvre les défauts du produit de marque iPhone indiqué
dans votre certification d’adhésion au Programme ou figurant sur la preuve de garantie (« Confirmation
d’Adhésion ») les écouteurs de la marque iPhone Bluetooth si vous les possédez et utilisez avec l’iPhone
couvert par la garantie, et les accessoires matériels informatiques livrés d’origine (collectivement ci-après
les « Produits Couverts» ou le « Produit Couvert ») et (ii) vous permet d’avoir accès à une assistance
téléphonique ainsi qu’à une assistance Internet pour le Produit Couvert. Pour obtenir votre Confirmation
d’Adhésion, vous devez communiquer le numéro de contrat ou numéro d’inscription unique (« Numéro
de Contrat AppleCare ») figurant sur l’emballage contenant la documentation relative au Programme.
Les clients qui choisissent l’option d’inscription automatique, dans le cas où elle est disponible, reçoivent
automatiquement la Confirmation d’Adhésion. La période de couverture du Programme (« Période de
Couverture ») est spécifiée dans votre Confirmation d’Adhésion. Le prix du Programme est indiqué sur le
ticket de caisse original. Apple peut limiter le service fourni par ce Programme au pays d’origine ou l’achat
des Produits Couverts a eu lieu.
1. Couverture de la réparation
a. Champ de la couverture. La garantie relative aux défauts prend effet à la date d’expiration
de la garantie d’origine consentie par Apple au titre du Produit Couvert et expire à la fin
de la Période de Couverture (« Période de Couverture de Réparation »). Apple, à son choix,
réparera ou remplacera les Produits Couverts affectés, si (i) pendant la Période de Couverture,
il apparaît un vice de fabrication ou de matière des Produits Couverts, ou, (ii) pendant la
Période de Couverture, la capacité de la batterie iPhone couverte à contenir une charge
électrique diminue de cinquante pourcent (50%) ou plus par rapport à ses spécifications 34 Français
d’origine (après avoir été entièrement rechargée et l’iPhone couvert fonctionnant en
mode audio ou vidéo avec tous les réglages réinitialisés). Apple fournit les pièces et la
main d’œuvre, mais peut vous demander de remplacer vous-même certaines pièces faciles
à installer, comme indiqué ci-dessous. Apple peut utiliser des produits ou des pièces de
rechange neufs ou des pièces dont les performances et la fiabilité équivalent à celles d’une
pièce neuve. Le produit ou les pièces de rechange seront équivalents, d’un point de vue
fonctionnel, au produit ou pièces remplacés et bénéficient de la couverture restante au
titre du Programme. Toute pièce de rechange ou tout produit remplacé devient la propriété
d’Apple. Apple vous recommande fortement d’effectuer, avant de rendre les Produits
Couverts disponibles pour toute prestation de service, une copie de sauvegarde des données
et logiciels contenus ou enregistrés dans les Produits Couverts.
b. Limites. Le Programme ne couvre pas :
(i) L’installation, le déplacement ou l’enlèvement du Produit Couvert ; l’installation,
l’enlèvement, la réparation ou l’entretien d’un Produit non couvert (y compris les
accessoires, périphériques ou autres matériels) ; le service de réseau ou cellulaire non
inhérentes au Produit Couvert ;
(ii) Les dommages causés au Produit Couvert par un accident, un abus, une négligence,
une utilisation incorrecte (notamment une installation, une réparation ou un entretien
inapproprié effectué par un tiers autre qu’Apple ou d’un fournisseur de services sans
fil autorisé), des modifications non autorisées, une utilisation dans un environnement
inadapté (notamment une température ou une humidité inadéquate), des contraintes
ou des interférences physiques ou électriques inappropriées, des défaillances ou
variations de l’alimentation électrique, la foudre, l’électricité statique, un incendie, un
cas de force majeure, ou toute autre cause étrangère au Produit Couvert ;
(iii) Un Produit Couvert dont le numéro de série a été modifié, altéré ou supprimé ;
(iv) Les problèmes dus à un appareil autre que le Produit Couvert, notamment les produits
d’une autre marque qu’Apple, qu’ils aient été acquis ou non en même temps que le
Produit Couvert ;Français 35
(v) L’intervention nécessaire pour assurer la conformité avec la réglementation d’une entité
ou de tout organisme gouvernemental adoptée postérieurement à la date d’entrée en
vigueur du présent Programme ;
(vi) Les problèmes causés par le fonctionnement du service de réseau ou de cellulaire ou par
des virus ou par d’autres problèmes de logiciels introduits dans les Produits Couverts ;
(vii) Un Produit Couvert perdu ou volé. Le Programme ne couvre que les Produits Couverts
retournés à Apple dans leur intégralité ;
(viii) Les défauts esthétiques affectant le Produit Couvert, tels que notamment les rayures,
les éraflures ou un défaut affectant les plastiques de protection des ports de connexion ;
(ix) La maintenance préventive des Produits Couverts ;
(x) La mise à disposition de produits de remplacement pour la durée pendant laquelle
le Produit Couvert est en maintenance ;
(xi) Les dommages aux ou les pertes de logiciels ou de données installés ou stockés sur le
Produit Couvert. LE CONTENU DE VOTRE iPHONE SERA PERDU ET VOTRE SUPPORT DE
MÉMOIRE REFORMATÉ LORS DE LA MISE EN ŒUVRE DU SERVICE. Votre iPhone ou un
iPhone de remplacement vous sera retourné avec la même configuration que lorsque
vous avez acheté votre produit, sous réserve des nouvelles versions applicables. Il est
possible qu’Apple, dans le cadre du service, installe des mises à jour du logiciel de système
(« iPhone OS ») qui empêcheront l’iPhone de revenir à une précédente version d’iPhone
OS. Il est possible que les applications tierces installées sur l’iPhone ne soit pas compatibles
ou ne fonctionnent pas avec l’iPhone conséquemment à la mise à jour d’iPhone OS. Il
vous reviendra d’installer de nouveau tous programmes, données et mots de passe. La
récupération et la réinstallation des logiciels et des données de l’utilisateur ne sont pas
couvertes par le présent Programme ;
(xii) Les défauts causés par une usure normale ou dus au vieillissement normal du Produits
Couverts ; ou
(xiii) Sous réserve de ce qui est spécifié ci-dessus, tout autre dommage qui ne résulte pas de
défaut du matériel ou de fabrication ou d’un usage ordinaire et coutumier des Produits
Couverts.36 Français
c. Options. Apple pourra vous fournir un service de maintenance à travers une ou plusieurs des
options suivantes :
(i) Un service après-vente en magasin. Vous devez rapporter ou retourner votre Produit Couvert
à un Apple Retail Store ou auprès d’un fournisseur de services sans fil autorisé offrant des
prestations de service après-vente. Soit les services seront assurés sur place, soit le magasin
Apple pourra envoyer le Produit Couvert à un centre de réparation Apple pour être réparé.
Vous récupérerez promptement le Produit Couvert dès réception d’une notification vous
indiquant que le service a été réalisé.
(ii) Un service de réparation à distance, par expédition du matériel. Si Apple considère que
votre produit peut bénéficier du service à distance, vous recevrez des lettres de voiture
(et/ou le colis d’origine si vous ne le possédez plus) pour lesquels les frais d’expédition
auront été préalablement acquittés par Apple et vous pourrez expédier le Produit
Couvert au centre de réparation d’Apple comme indiqué dans les instructions. Une fois
la réparation effectuée, le centre de réparation vous renverra le Produit Couvert. Apple
prend en charge les frais de transport du Produit Couvert depuis et à destination de
votre domicile si vous suivez correctement toutes les instructions.
(iii) Un service de réparation par pièces à installer soi-même est disponible pour de
nombreuses pièces de Produits Couverts ou des accessoires, vous permettant ainsi de
dépanner vous-même votre produit. Si ce service est disponible, celui-ci s’effectuera de
la manière suivante :
(A) Service de réparation par pièces à installer soi-même si Apple exige la restitution
de la pièce remplacée. Apple peut demander, à titre de sécurité, une autorisation
sur votre carte de crédit pour le prix de détail de la pièce de rechange et les frais
d’expédition applicables. Si vous ne pouvez pas fournir d’autorisation sur votre
carte de crédit, vous pourriez ne pas bénéficier du service de réparation par pièces
en libre-service et Apple vous proposerait le cas échéant d’autres formules de
réparation. Apple vous enverra alors une pièce de rechange accompagnée des
instructions d’installation et de toutes les consignes concernant le retour de la
pièce remplacée. Si vous suivez toutes les instructions, Apple annulera l’autorisation
sur votre carte de crédit, de sorte que vous ne devrez pas payer la pièce et pour
l’expédition depuis et jusqu’à votre domicile. Si vous ne renvoyez pas la pièce Français 37
remplacée, comme indiqué dans les instructions, Apple facturera la pièce de
rechange.
(B) Service de réparation par pièces à installer soi-même si Apple n’exige pas la
restitution de la pièce remplacée. Apple vous enverra gratuitement une pièce de
rechange, accompagnée des instructions d’installation et de toutes les consignes
concernant le retrait de la pièce défectueuse.
(C) Apple n’est pas responsable du coût de main d’œuvre découlant du service de
réparation par pièces en libre-service. Si vous souhaitez recevoir une assistance
supplémentaire, contactez Apple au numéro que vous trouverez dans le Guide de
Référence Rapide AppleCare (Guide). Le Guide est fourni avec la documentation
du Programme.
Apple se réserve le droit de modifier à tout moment les modalités de mise en œuvre des
services de réparation ou de remplacement qui vous sont offerts, ainsi que les conditions
d’application d’un service particulier à votre Produit Couvert. Les options de services, la
disponibilité des pièces et les temps de réponse peuvent varier d’un pays à un autre.
d. Obtention d’un service de réparation ou de remplacement. Pour obtenir un service de réparation
ou de remplacement dans le cadre du Programme, connectez-vous au site Internet d’Apple
(www.apple.com/fr/support) ou composez le numéro indiqué dans le Guide. Les numéros de
téléphone peuvent varier en fonction de votre lieu de résidence. Si vous contactez nos services
par le biais du site Internet, nous vous remercions de bien vouloir suivre les indications qui
vous seront fournies en ligne. Si vous nous contactez par téléphone, vous serez mis en contact
avec un technicien chargé de l’assistance auquel vous devrez communiquer votre Numéro de
Contrat AppleCare. Notre technicien déterminera si votre produit nécessite une intervention.
Toute intervention requiert l’approbation préalable d’Apple. Le lieu de l’intervention peut
varier en fonction de votre lieu de résidence. Conservez l’ensemble des documents relatifs à
votre Confirmation d’Adhésion, ainsi que l’original de la facture d’achat du Produit Couvert et
de votre adhésion au Programme. Une preuve d’achat peut vous être demandée en cas de
doute concernant l’éligibilité de votre produit au titre du Programme.38 Français
2. Assistance technique
a. Assistance téléphonique et Internet. Votre éligibilité à l’assistance technique prend effet à la
date d’expiration de l’assistance technique gratuite de votre Produit(s) Couvert(s), ou à la
date du début de la Période de Couverture, (la plus éloignée de ces dates prévalant) et expire
à la fin de la Période de Couverture (« Période de Couverture de l’Assistance »). Pendant la
Période de Couverture de l’Assistance, Apple vous fournira accès à une assistance technique
par téléphone et par Internet. L’assistance technique couvre l’installation, l’initialisation,
la configuration, l’identification de la panne, et la remise en marche (à l’exception de
la récupération des données), y compris le stockage, la récupération et la gestion des
dossiers, l’analyse des messages d’erreur et détermine quand une réparation du matériel
est nécessaire. Apple fournira une assistance technique pour le Produit Couvert, iPhone OS,
les logiciels d’application qui sont préinstallés avec le Produit Couvert et les problèmes de
connectivité entre le Produit Couvert et un ordinateur adapté, c’est-à-dire un ordinateur
adapté à la connectivité spécifique du Produit Couvert et qui dispose d’un système
d’exploitation compatible avec le Produit Couvert. Apple fournira une assistance pour la
version en vigueur d’iPhone OS et du logiciel iPhone, et la précédente Mise-à-Jour Majeure,
mais se réserve le droit de modifier à tout moment l’assistance qu’il fournit sur n’importe
quelle précédente version. Dans le cadre de cet article, une « Mise-à-Jour Majeure » désigne
une version du logiciel publiée par Apple comprenant un numéro de format tel que « 1.0 » ou
« 2.0 » et qui n’est pas une version beta ou pré-commerciale.
b. Limitations. Le présent Programme ne couvre pas :
(i) Les problèmes qui peuvent être résolus en mettant les logiciels à jour de la version en
vigueur ;
(ii) L’usage ou la modification du Produit Couvert, d’iPhone OS ou du Logiciel iPhone nonconforme à la façon dont le Produit Couvert ou le logiciel a été conçu pour être utilisé
ou modifié ;
(iii) Les produits non-Apple, ou leurs effets sur, ou leurs interactions avec le Produit Couvert,
l’iPhone OS ou le Logiciel iPhone ;
(iv) L’utilisation d’un ordinateur ou d’un système d’exploitation qui n’est pas adapté au
Logiciel iPhone ou à la connectivité du Produit Couvert ;Français 39
(v) Les logiciels d’Apple autres que l’iPhone OS ou le Logiciel iPhone tels que couverts par
ce présent Programme ;
(vi) Le logiciel iPhone OS ou tout autre logiciel Apple labellisé « beta », « pré-commercial »,
ou « preview » ou tout logiciel labellisé d’une manière similaire ; et
(vii) L’endommagement ou la perte de tout logiciel ou donnée présente ou enregistrée dans
le Produit Couvert.
c. Obtention de l’Assistance Technique. Une assistance technique vous sera fournie au numéro de
téléphone inscrit ci-dessous. Vous serez mis en relation avec un technicien Apple chargé de
l’assistance. Les horaires du service d’assistance d’Apple sont indiqués ci-dessous. Apple se
réserve le droit de modifier à tout moment les horaires et numéros de téléphone du service
d’assistance. Une assistance technique est également disponible sur le site Internet Apple à
l’adresse indiquée ci-dessous.
3. Vos obligations
Afin de bénéficier des services fournis dans le cadre du Programme, vous devez respecter les
obligations suivantes :
a. Fournir votre Numéro de Contrat AppleCare et le numéro de série du Produit Couvert ;
b. Répondre aux questions de notre technicien relatives aux symptômes et problèmes affectant
le Produit Couvert, et ;
c. Suivre les instructions communiquées par Apple, notamment en vous abstenant de nous renvoyer
les produits et accessoires ne bénéficiant pas d’un service de remplacement ou de réparation et
en respectant nos instructions relatives à l’emballage et à l’expédition du Produit Couvert ; et
d. Mettre les logiciels à jour des dernières versions éditées avant de faire appel au service
d’assistance.
4. Limitation de responsabilité
POUR LES CONSOMMATEURS BENEFICIANT DE LA REGLEMENTATION OU DES LOIS SUR LA
PROTECTION DES CONSOMMATEURS, LES AVANTAGES CONFERES PAR LE PROGRAMME S’AJOUTENT
A TOUS LES DROITS ET VOIES DE DROIT PREVUS PAR CETTE REGLEMENTATION OU CES LOIS SUR LA
PROTECTION DES CONSOMMATEURS. RIEN DANS LE PROGRAMME NE SAURAIT PORTER ATTEINTE
AUX DROITS DES CONSOMMATEURS CONFERES PAR LES LOIS EN VIGUEUR, NOTAMMENT LE DROIT 40 Français
DES CONSOMMATEURS A RECLAMER DES DOMMAGES ET INTERETS EN CAS DE NON-EXECUTION
TOTALE OU PARTIELLE OU D’EXECUTION INADEQUATE PAR APPLE D’UNE QUELCONQUE DE SES
OBLIGATIONS CONTRACTUELLES.
DANS LA LIMITE DE CE QUI EST PERMIS PAR LA LOI APPLICABLE, APPLE, SES EMPLOYÉS ET
SOUS-TRAITANTS NE SAURAIENT EN AUCUN CAS ÊTRE TENUS RESPONSABLES A VOTRE ÉGARD
OU A L’ÉGARD D’UN QUELCONQUE SOUS-ACQUÉREUR DES DOMMAGES INDIRECTS LIES A
L’EXÉCUTION DU PROGRAMME, NOTAMMENT, MAIS SANS LIMITATION, LES COUTS AFFERENTS A
LA RECUPERATION, A LA REPROGRAMMATION OU A LA REPRODUCTION DE TOUT LOGICIEL OU DE
TOUTE DONNEE, L’INCAPACITE A PRESERVER LA CONFIDENTIALITE DES DONNEES, TOUTE PERTE
D’OPPORTUNITE COMMERCIALE, DE CHIFFRE D’AFFAIRES, DE PROFIT, OU D’ECONOMIE ESCOMPTEE.
DANS TOUTE LA MESURE PERMISE PAR LA LOI APPLICABLE, LA RESPONSABILITE D’APPLE, DE SES
EMPLOYES OU DE SES SOUS-TRAITANTS EN RAISON DE LA MISE EN ŒUVRE DU PROGRAMME NE
SAURAIT EXCEDER LE PRIX QUE VOUS AVEZ ACQUITTE POUR BENEFICIER DU PROGRAMME. EN
PARTICULIER, APPLE NE GARANTIT PAS QU’IL SERA POSSIBLE (I) DE REPARER OU REMPLACER LE
PRODUIT COUVERT SANS RISQUER LA PERTE OU L’ENDOMMAGEMENT DES LOGICIELS OU DES
DONNEES CONTENUS DANS LE PRODUIT COUVERT OU (II) DE PRESERVER LA CONFIDENTIALITE DES
DONNEES. RIEN DANS CET ACCORD NE SAURAIT EXCLURE OU LIMITER LA RESPONSABILITE D’APPLE
EN CAS DE (I) NEGLIGENCE PROVOCANT LA MORT OU LA BLESSURE DE PERSONNES OU (II) FRAUDE.
DANS LA MESURE OU IL EST PERMIS QUE LA RESPONSABILITE SOIT LIMITEE EN VERTU DE
CETTE REGLEMENTATION OU DE CES LOIS SUR LA PROTECTION DES CONSOMMATEURS, LA
RESPONSABILITE D’APPLE EST LIMITEE, A SON ENTIERE DISCRETION, AU REMPLACEMENT OU A LA
REPARATION DU PRODUIT COUVERT OU A LA FOURNITURE DES SERVICES.
5. Résiliation
Vous pouvez résilier le Programme à tout moment et pour tout motif. Si vous décidez de résilier le
Programme, contactez-nous par téléphone au numéro indiqué dans le Guideou faites-nous part
de votre décision par écrit en adressant un courrier ou un fax mentionnant impérativement votre
Numéro de Contrat AppleCare à notre Service Assistance Consommateur à l’adresse suivante :
Hollyhill Industrial Estate, Hollyhill, Cork, République d’Irlande (ou au numéro de fax suivant :
+353-(0)21-428-3917). Vous devez joindre à votre courrier une copie de votre preuve d’achat du
Programme. Sous réserve d’éventuelles dispositions contraires du droit applicable, si vous résiliez
le Programme dans les trente (30) jours de la date d’achat du Programme ou de la réception des Français 41
présentes Conditions Générales, la plus tardive de ces deux dates prévalant, vous obtiendrez le
remboursement de la totalité de la somme acquittée en contrepartie du bénéfice du Programme,
sous déduction des sommes correspondant aux services éventuellement fournis dans le cadre
du Programme avant la date de résiliation. Si vous résiliez le Programme après l’expiration du
délai de trente (30) jours mentionné ci-dessus, vous obtiendrez un remboursement partiel égal à
la somme acquittée en contrepartie du bénéfice du Programme (réduite au prorata de la durée
du Programme déjà écoulée au jour de la résiliation), sous déduction (a) tout frais de résiliation
visé à l’article 8 ci-après ou d’une somme égale à dix (10) % de la somme proratisée servant de
base au remboursement (la moins élevée de ces deux sommes prévalant), et (b) des sommes
correspondant aux services éventuellement fournis dans le cadre du Programme jusqu’à la date
de la résiliation. Sous réserve d’éventuelles dispositions contraires du droit applicable, Apple se
réserve le droit de résilier le Programme moyennant le respect d’un préavis de trente (30) jours
dans le cas où des pièces de rechange nécessaires à la fourniture des services fournis dans le
cadre du Programme deviendraient indisponibles. En cas de résiliation du Programme à l’initiative
d’Apple, vous serez remboursé au prorata de la durée du Programme restant à courir.
6. Transfert de droits
Vous pouvez céder les droits dont vous bénéficiez au titre du Programme à la personne à
laquelle vous vendez le Produit Couvert. Vous devez notifier le transfert des droits à notre Service
Assistance Consommateur par courrier ou fax à l’adresse suivante : Hollyhill Industrial Estate,
Hollyhill, Cork, République d’Irlande, ou au numéro de fax suivant : +353-(0)21-428-3917. A cette fin,
vous devez nous communiquer le Numéro de Contrat AppleCare du contrat transféré, le numéro
de série du Produit Couvert cédé, votre preuve d’achat du Programme, le nom, l’adresse, les
coordonnées téléphoniques et l’adresse de courrier électronique du nouveau propriétaire.
7. Stipulations générales
a. Apple se réserve le droit de sous-traiter ou de confier l’exécution de ses obligations à des
tiers sans que cela puisse la décharger de ses obligations à votre égard.
b. Apple ne saurait être tenue responsable d’un défaut ou retard d’exécution de l’une
quelconque de ses obligations au titre du Programme résultant d’un événement présentant
à son égard les caractéristiques de force majeure.42 Français
c. Vous n’êtes pas tenu de procéder à une maintenance préventive des Produits Couverts afin
de bénéficier du Programme.
d. Le présent Programme est offert et valide seulement en Autriche, France (à l’exclusion de
la Corse, des départements et territoires d’outre-mer), Allemagne, Irlande, Italie, Espagne
(y compris les Iles Baléares, mais à l’exclusion des Iles Canaries, Ceuta, Melilla), Suisse et
Royaume-Uni. Le présent Programme n’est pas proposé aux mineurs. Il n’est pas disponible
dans les pays où la loi l’interdit.
e. Dans le cadre de l’exécution de ses obligations, Apple se réserve le droit, à son entière
discrétion et dans le seul but de contrôler la qualité de son service, d’enregistrer tout ou
partie des communications téléphoniques entre vous et Apple.
f. Vous acceptez que toute information ou donnée divulguée à Apple dans le cadre du présent
Programme n’est ni confidentielle, ni votre propriété. De plus, vous acceptez le fait qu’Apple
puisse collecter et traiter des données en votre nom lorsque Apple fournit ses services. Dans ce
cadre, Apple pourra être amenée à transférer des données vous concernant à des sociétés qui
lui sont affiliées ou à des prestataires de services concernant conformément à la politique de
protection des données mise en œuvre par Apple, consultable sur notre site Internet à l’adresse
suivante : http://www.apple.com/fr/legal/privacy.
g. Apple dispose de mesures de sécurité pour protéger vos données contre des accès ou
divulgations non autorisés de même que contre des destructions illégales. Vous êtes
responsable des instructions que vous donnez à Apple concernant le traitement des données,
et Apple cherchera à se conformer à ces instructions raisonnablement nécessaires à la
réalisation du service et aux obligations de support dans le cadre du présent Programme.
Si vous n’acceptez pas ce qui est mentionné ci-dessus, ou si vous avez des questions sur les
conséquences de ce traitement sur vos données, veuillez contacter Apple aux numéros de
téléphone fournis.
h. Apple protégera vos informations personnelles conformément à la Politique de
Confidentialité d’Apple. Si vous souhaitez accéder aux données personnelles vous
concernant détenues par Apple ou les modifier, vous pouvez les mettre à jour à l’adresse
suivante : www.apple.com/contact/myinfo ou contacter la personne chargée du contrôle
des données personnelles pour l’Europe chez Apple, par e-mail, à l’adresse suivante :
privacyeurope@apple.com Français 43
i. Les Conditions Générales du présent Programme prévalent sur toutes stipulations contraires,
supplémentaires ou autres contenues dans des bons de commande ou autres documents.
Ces Conditions Générales constituent l’intégralité de l’accord entre vous et Apple en ce qui
concerne le Programme.
j. Vos droits dans le cadre du présent Programme s’ajoutent aux garanties auxquelles vous
pouvez avoir droit. Vous devez acquérir et souscrire au Programme tant que iPhone de
la marque Apple est couvert par la Garantie Limitée d’un an. Apple n’est pas tenue de
renouveler le présent Programme. Si Apple décide de renouveler le Programme, elle en
déterminera le prix et les conditions.
k. Aucune procédure de règlement amiable des différends n’est prévue dans le cadre du
Programme.
l. Les obligations financières du présent Programme incombent à la société Apple Sales
International, Hollyhill Industrial Estate, Hollyhill, Cork, République d’Irlande. Si Apple Sales
International ne s’acquitte pas de ses obligations, Apple Operations Europe, HollyHill
Industrial Estate, Cork, République d’Irlande, assumera lesdites obligations.
m. Le Programme est régi par les lois du pays où le Programme a été acquis et où vous vous êtes
enregistré pour en bénéficier. Ce choix de juridiction n’inclut ni les dispositions relatives aux
conflits de loi ni la Convention des Nations Unies sur les contrats de vente internationale de
marchandises.
8. Stipulations spécifiques à certains pays
Les stipulations ci-après s’appliquent pour chacun des pays concernés :
FRANCE
ARTICLE 4 - LES DISPOSITIONS DE L’ARTICLE 4 SONT REMPLACÉES PAR LES DISPOSITIONS
SUIVANTES :
4.1- SI VOUS ÊTES UN CONSOMMATEUR, RIEN DANS LE PROGRAMME NE SAURAIT LIMITER
OU EXCLURE NOTRE RESPONSABILITÉ POUR UN MANQUEMENT À L’UNE QUELCONQUE DES
OBLIGATIONS À NOTRE CHARGE EN VERTU D’UNE DISPOSITION LÉGALE D’ORDRE PUBLIC. 44 Français
4.2 SI VOUS N’ÊTES PAS UN CONSOMMATEUR
- LES PRÉSENTES CONDITIONS GÉNÉRALES DÉCRIVENT L’ENSEMBLE DE NOS OBLIGATIONS
CONCERNANT LE PROGRAMME ;
- LES SEULES OBLIGATIONS ET GARANTIES QUI NOUS INCOMBENT SONT CELLES
EXPRESSÉMENT ÉNONCÉES DANS LES PRÉSENTES CONDITIONS GÉNÉRALES, À L’EXCLUSION
DE TOUTES AUTRES GARANTIES ET/OU OBLIGATIONS ; ET
- TOUTE AUTRE GARANTIE ET/OU OBLIGATION CONCERNANT LE PROGRAMME QUI POURRAIT
ÊTRE À NOTRE CHARGE EN VERTU D’UNE DISPOSITION LÉGALE (CECI INCLUANT TOUTE
GARANTIE IMPLICITE CONCERNANT LE SOIN ET LES COMPÉTENCES À METTRE EN ŒUVRE) EST
PAR LA PRÉSENTE EXPRESSÉMENT EXCLUE. EN PARTICULIER, APPLE N’A PAS L’OBLIGATION DE
S’ASSURER QUE LE PROGRAMME CORRESPOND À VOS BESOINS.
4.3 - RIEN DANS LES PRÉSENTES CONDITIONS GÉNÉRALES NE PEUT LIMITER OU EXCLURE
NOTRE RESPONSABILITÉ EN CAS DE DÉCÈS OU DE DOMMAGES CORPORELS CAUSÉS PAR
NÉGLIGENCE OU FAUTE INTENTIONNELLE.
4.4 - SOUS RÉSERVE DES DISPOSITIONS DE L’ARTICLE 4.3, NOTRE RESPONSABILITÉ NE POURRA
ÊTRE ENGAGÉE EN VERTU DES PRÉSENTES CONDITIONS GÉNÉRALES POUR TOUTE PERTE DE
REVENUS, PERTE DE PROFITS, PERTE D’OPPORTUNITÉS, PERTE DE DONNÉES AINSI QUE POUR
TOUT AUTRE DOMMAGE INDIRECT.
4.5- SOUS RÉSERVE DES DISPOSITIONS DE L’ARTICLE 4.3, NOTRE RESPONSABILITÉ TOTALE
EST PLAFONNÉE, QUEL QUE SOIT SON FONDEMENT, AU PRIX QUE VOUS AVEZ PAYÉ POUR LE
PROGRAMME.
ARTICLE 5 - Si vous résiliez le Programme plus de trente (30) jours après avoir reçu les présentes
Conditions Générales, vous obtiendrez un remboursement partiel du prix payé en contrepartie
du Programme réduit au prorata de la durée du Programme déjà écoulé, sous déduction de
frais de résiliation d’un montant de 25 euros, ou 10% de la somme proratisée servant de base au
remboursement (la moins élevée de ces deux sommes prévalant).
Si vous êtes un consommateur, veuillez noter que les conditions d’annulation du Programme
stipulées à l’Article 5 tiennent compte de votre droit de rétractation prévu à l’article L.121-20 du
Code de la consommation.Français 45
SUISSE
ARTICLE 4 – LES DISPOSITIONS DE L’ARTICLE 4 SONT REMPLACÉES PAR LES DISPOSITIONS
SUIVANTES :
4.1 - SI VOUS ÊTES UN CONSOMMATEUR, RIEN DANS LE PROGRAMME NE SAURAIT LIMITER
OU EXCLURE NOTRE RESPONSABILITÉ POUR UN MANQUEMENT À L’UNE QUELCONQUE DES
OBLIGATIONS À NOTRE CHARGE EN VERTU D’UNE DISPOSITION LÉGALE D’ORDRE PUBLIC.
4.2 - SI VOUS N’ÊTES PAS UN CONSOMMATEUR :
- LES PRÉSENTES CONDITIONS GÉNÉRALES DÉCRIVENT L’ENSEMBLE DE NOS OBLIGATIONS
CONCERNANT LE PROGRAMME ;
- TOUTES OBLIGATIONS ET GARANTIES CONCERNANT LE PROGRAMME QUI POURRAIENT ÊTRE
A NOTRE CHARGE EN VERTU D’UNE DISPOSITION LÉGALE (CECI INCLUANT TOUTE GARANTIE
IMPLICITE CONCERNANT LE SOIN ET LES COMPÉTENCES A METTRE EN ŒUVRE) SONT PAR
LA PRÉSENTE EXPRESSÉMENT EXCLUES. EN PARTICULIER, APPLE N’A PAS L’OBLIGATION DE
S’ASSURER QUE LE PROGRAMME CORRESPOND A VOS BESOINS.
4.3 - RIEN DANS LES PRÉSENTES CONDITIONS GÉNÉRALES NE PEUT LIMITER OU EXCLURE
NOTRE RESPONSABILITÉ EN CAS DE DÉCÈS OU DE DOMMAGES CORPORELS CAUSÉS PAR
NÉGLIGENCE OU FAUTE INTENTIONNELLE.
4.4 – DANS LA LIMITE DE CE QUI EST PERMIS PAR LA LOI APPLICABLE, NOTRE RESPONSABILITÉ
NE POURRA PAS ÊTRE ENGAGÉE EN VERTU DES PRÉSENTES CONDITIONS GÉNÉRALES POUR
TOUTE PERTE DE REVENUS, PERTE DE PROFITS, PERTE D’OPPORTUNITÉS OU PERTE DE
DONNÉES.
4.5 - SOUS RÉSERVE DES DISPOSITIONS DE L’ARTICLE 4.3, NOTRE RESPONSABILITÉ TOTALE
EST PLAFONNÉE, QUEL QUE SOIT SON FONDEMENT, AU PRIX QUE VOUS AVEZ PAYÉ POUR LE
PROGRAMME.
ARTICLE 5
5.1 – LES DISPOSITIONS SUIVANTES COMPLETENT L’ARTICLE 5 : SI VOUS ÊTES UN
CONSOMMATEUR ET QUE VOUS AVEZ SOUSCRIT A CE PROGRAMME PAR LE SITE INTERNET
APPLE STORE OU PAR TÉLÉPHONE, VOUS POUVEZ RÉSILIER CE PROGRAMME PENDANT
QUATORZE JOURS SUIVANT L’ACHAT DE CE PROGRAMME. VOUS SEREZ ENTIÈREMENT
REMBOURSÉS. CEPENDANT, SI VOUS AVEZ DEJA UTILISÉ CE PROGRAMME, VOUS SEREZ 46 Français
ENTIÈREMENT REMBOURSÉS MOINS LA VALEUR DE TOUT SERVICE FOURNI EN VERTU DE CE
PROGRAMME.
5.2 - SI VOUS RESILIEZ LE PROGRAMME PLUS DE 30 JOURS APRES AVOIR REÇU LES PRESENTES
CONDITIONS GENERALES, VOUS OBTIENDREZ UN REMBOURSEMENT PARTIEL DU PRIX PAYE EN
CONTREPARTIE DU PROGRAMME REDUIT AU PRORATA DE LA DUREE DU PROGRAMME DEJA
ECOULE, SOUS DEDUCTION DE FRAIS DE RESILIATION D’UN MONTANT DE 39.00 CHF, OU 10%
DE LA SOMME PRORATISEE SERVANT DE BASE AU REMBOURSEMENT (LA MOINS ELEVÉE DE
CES DEUX SOMMES PREVALANT).
Numéros de téléphone
En France : En Suisse :
(33) 0 805 540 003 (41) 0848 000 132
De 8H00 à 19H45 (lundi-vendredi) De 8H00 à 19H45 (lundi-vendredi)
De 10H00 à 17H45 (samedi)* De 10H00 à 17H45 (samedi)*
* Les numéros de téléphone et les heures d’ouverture du service peuvent varier et sont sujets à modification. Vous pouvez
trouver les informations de contact locales et internationales les plus récentes à l’adresse suivantes :
www.apple.com/support/contact/phone_contacts.html. Les numéros de téléphone gratuits ne sont pas disponibles dans
tous les pays Numéro français est non surtaxé. Des frais peuvent s’appliquer pour les appels téléphoniques locaux.
Une liste des fournisseurs de services sans fil autorisés est disponible en ligne sur :
http://images.apple.com/legal/warranty/docs/iPhoneAuthorizedDistributors.pdf
APPLE SALES INTERNATIONAL, HOLLYHILL INDUSTRIAL ESTATE, HOLLYHILL, CORK, REPUBLIC OF IRELAND
WWW.APPLE.COM
EMEA APP iPhone FR v1Deutsch 47
AppleCare Protection Plan für iPhone
Produktinfo
Umfassende Service- und Supportleistungen von Apple
Für jedes iPhone gilt eine einjährige Herstellergarantie und der technische Support kann ab Kaufdatum
90 Tage lang in Anspruch genommen werden. Der AppleCare Protection Plan für iPhone erweitert
Ihren Anspruch auf Reparaturen auf zwei Jahre ab Kaufdatum Ihres iPhone.
1
Egal, ob Sie das iPhone mit
einem Mac oder PC verwenden, mit nur einem Anruf können die meisten Probleme gelöst werden.
Deckungsumfang
Dieser umfassende Plan kann vor Ablauf der einjährigen Herstellergarantie für alle iPhone-Modelle
erworben werden. Wenn Sie das registrierte iPhone vor Ablauf des AppleCare Protection Plans für
iPhone verkaufen, können Sie den Plan an den neuen Eigentümer weitergeben.
2
Sie müssen für jedes
iPhone einen eigenen AppleCare Protection Plan für iPhone erwerben.
Bitte bewahren Sie das Bestätigungsdokument, die Originalkaufbelege Ihres iPhone und den Kaufbeleg
für den AppleCare Protection Plan für iPhone sorgfältig auf. Möglicherweise fordert Sie Apple auf,
die Kaufbelege vorzulegen, um nachzuweisen, dass der Support für Ihr iPhone durch den AppleCare
Protection Plan abgedeckt ist.
Technische Support-Optionen
Sollten Sie Schwierigkeiten mit Ihrem iPhone haben, versuchen Sie das Problem anhand
der Tipps zur Fehlerbeseitigung auf der folgenden iPhone-Support-Website zu beheben:
www.apple.com/de/support/iphone. Lässt sich das Problem nicht von Ihnen selbst lösen, können
die Mitarbeiter des AppleCare Support Ihnen bei Fragen zu Ihrem iPhone und zur Anbindung an
iTunes weiterhelfen. Kontaktinformationen für den technischen Support von Apple und dessen
übliche Geschäftszeiten finden Sie in der Kurzübersicht. Apple bietet Mac- und Windows-Benutzern
im Rahmen des AppleCare Protection Plans für iPhone denselben umfassenden Service & Support.48 Deutsch
Hardware-Reparaturen
Dieser Plan verlängert Ihren Anspruch auf Reparatur und Ersatz über die einjährige Herstellergarantie
von Apple hinaus auf zwei Jahre ab Kaufdatum des iPhone. Durch diesen Plan verlängert sich auch die
Garantie für die iPhone-Batterie, wenn deren Ladekapazität um fünfzig Prozent (50 %) oder mehr von
dem angegebenen Originalwert abweicht.
Bei Inanspruchnahme von Serviceleistungen stehen Ihnen zwei Optionen zur Verfügung: der
Bringdienst (Carry-In) oder das Einsenden an den Reparaturservice. Weitere Informationen zu
Serviceleistungen finden Sie in der Kurzübersicht. Bei den von Apple im Rahmen von Reparaturen
oder Austauschleistungen verwendeten Ersatzteilen kann es sich um neue, gebrauchte oder
generalüberholte Teile handeln.
1. Dieser Plan erweitert die Serviceleistungen auf zwei Jahre ab Kaufdatum Ihres iPhone. Der Plan muss vor Ablauf der einjährigen
Herstellergarantie Ihres iPhone erworben werden. Die Serviceleistungen können Einschränkungen unterliegen. Die Leistungen
des AppleCare Protection Plans gehen über die gesetzlich vorgeschriebenen Bestimmungen zum Verbraucherschutz hinaus.
2. Ausführliche Informationen hierzu finden Sie in den AppleCare Protection Plan Garantiebedingungen.Deutsch 49
Führen Sie vor einem Anruf bei Apple zunächst die folgenden einfachen Schritte aus:
Sollten Sie Probleme mit Ihrem iPhone haben, beachten Sie zuerst die Tipps zur Fehlerbeseitigung auf
der iPhone-Support-Website: www.apple.com/de/support/iphone. Als Vorsichtsmaßnahme empfiehlt
es sich, die Daten auf Ihrem iPhone zu sichern, bevor Sie die beschriebenen Schritte ausführen.
Stellen Sie sicher, dass die neuste iTunes-Software installiert ist.
Sie können die neuste iTunes-Version von dieser Website laden: www.apple.com/de/itunes/download.
Besuchen Sie die iPhone-Support-Website.
Auf der iPhone-Support-Website befinden sich Links zu den verfügbaren Serviceoptionen, zur iPhoneEinführung, zu Diskussionsforen und zu anderen Ressourcen, die bei der Beantwortung verschiedener
Fragen hilfreich sind. Diese Ressourcen stehen 24 Stunden pro Tag unter der folgenden Adresse zur
Verfügung: www.apple.com/de/support/iphone.
Wenden Sie sich an Apple, wenn Sie weitere Unterstützung benötigen.
Kann das Problem mit diesen Schritten nicht behoben werden, rufen Sie Apple an, um weitere Unterstützung zu erhalten. Ein Apple-Mitarbeiter wird Sie nach der Vertragsnummer Ihres AppleCare
Protection Plans oder der Seriennummer Ihres iPhone fragen. Sie finden die Seriennummer auf der
Rückseite des iPhone.
In Deutschland In Österreich In der Schweiz
(49) 01805 009 433 (43) 0810 300 427 (41) 0848 000 132
Montag bis Freitag Montag bis Freitag Montag bis Freitag
8:00 bis 19:45 Uhr 8:00 bis 19:45 Uhr 8:00 bis 19:45 Uhr
Samstag Samstag Samstag
10:00 bis 17:45 Uhr* 10:00 bis 17:45 Uhr* 10:00 bis 17:45 Uhr*
* Telefonnummern und Geschäftszeiten können variieren und jederzeit geändert werden. Aktuelle Informationen hierzu
finden Sie unter der folgenden Adresse: www.apple.com/contact/phone_contacts.html.
Kurzübersicht
AppleCare Protection Plan für iPhoneDeutsch 51
AppleCare Protection Plan für iPhone
Garantiebedingungen
Ihr AppleCare Protection Plan für iPhone (im Folgenden der „Plan“) unterliegt diesen Garantiebedingungen
und stellt Ihren Servicevertrag mit Apple Sales International, Hollyhill Industial Estate, Hollyhill, Cork,
Irland („Apple“) dar. Nach Maßgabe dieser Garantiebedingungen gewährt Ihnen der Plan (i) Deckung
für Fehler des mit der Apple-Marke versehenen iPhones, das in dem Zertifikat oder Deckungsnachweis
ihres Plans („Bestätigungsdokument“) aufgeführt ist, sowie für ein mit der Apple-Marke versehenes
Bluetooth Headset, soweit sie dieses besitzen und mit dem vorgenannten iPhone nutzen, und für die in
der Originalverpackung des iPhones enthaltenen Zubehörteile (zusammen „Erfasste Produkte“) sowie (ii)
die Inanspruchnahme des telefonischen Supports und der Internet-basierten Support-Ressourcen für
die Erfassten Produkte. Um das Bestätigungsdokument zu erhalten, müssen sie sich gemäß der in der
Plandokumentation enthaltenen Anleitung registrieren. Zum Zwecke der Registrierung ist die in oder auf
der Packung des Plans enthaltene eindeutige Vertrags- oder Registriernummer („Vertragsnummer des
Plans“) anzugeben. Kunden, die sich, sofern verfügbar, für die Option der automatischen Registrierung
entscheiden, erhalten automatisch ein Bestätigungsdokument. Die Laufzeit des Plans („Deckungszeitraum“)
endet mit dem im Bestätigungsdokument angegebenen Zeitpunkt. Der Preis des Plans ergibt sich aus dem
ursprünglichen Kaufbeleg. Apple ist berechtigt, die Leistungen aus diesem Plan auf das Ursprungsland zu
beschränken, in dem die Erfassten Produkte erworben wurden.
1. Deckung für Reparaturen
a. Deckungsumfang: Die Deckung für Produktfehler beginnt mit dem Tag, an welchem die
Apple Hardware-Gewährleistung für das Erfasste Produkt ausläuft und endet mit dem
Ende des Deckungszeitraums („Deckungszeitraum für Reparaturen“). Apple wird die
betroffenen Erfassten Produkte nach eigenem Ermessen reparieren oder austauschen,
wenn (i) während des Deckungszeitraums Material- und Herstellungsfehlern auftreten oder
(ii) während des Deckungszeitraums die Ladeleistung der Batterie des vom Plan erfassten
iPhones nur noch 50 % oder weniger der ursprünglichen Leistung beträgt (nachdem 52 Deutsch
die Batterie vollständig aufgeladen wurde und mit dem erfassten iPhone Audio- und
Videodateien bei zurückgesetzten Einstellungen abgespielt wurden). Apple übernimmt
sowohl Material- als auch Lohnkosten, aber behält sich vor, Sie aufzufordern, einzelne
sofort installierbare Teile nach Maßgabe der nachfolgenden Bestimmungen selbst zu
installieren. Apple behält sich vor, für Ersatzlieferungen oder Ersatzteile entweder neue
Teile zu verwenden oder Teile, die hinsichtlich ihrer Leistung und Zuverlässigkeit neuen
Teilen gleichwertig sind. Solche Ersatzteile sind den ausgetauschten Teilen funktional
wenigstens gleichwertig und unterliegen für den verbleibenden Deckungszeitraum dem
Plan. Die ausgetauschten Produkte oder Teile werden Eigentum von Apple. Apple empfiehlt
Ihnen dringend, Sicherungskopien sämtlicher Daten und Programme, die in den Erfassten
Produkten gespeichert sind, zu erstellen, bevor die Erfassten Produkte zur Durchführung von
Serviceleistungen übergeben werden.
b. Beschränkungen: Der Plan gewährt keine Deckung für:
(i) Installation, Entfernung oder Entsorgung des Erfassten Produktes bzw. Installation,
Entfernung, Reparatur oder Wartung von Produkten, die nicht Erfasste Produkte sind
(einschließlich Zubehör, Zusatzkomponenten oder anderer Geräte) oder externe
Netzwerk- oder Mobilfunkdienste;
(ii) Schäden an den Erfassten Produkten, die durch Unfall, Missbrauch, Vernachlässigung,
unsachgemäßen Gebrauch (einschließlich fehlerhafter Installation, Reparatur-
oder Wartungsarbeiten, die nicht von Apple oder einem von Apple autorisierten
Wireless Partner durchgeführt wurden), nicht autorisierte Änderung, extreme
Umgebungsbedingungen (einschließlich extremer Temperaturen und extremer
Feuchtigkeit), extreme physische oder elektrische Belastungen, Interferenzen,
Schwankungen oder Spannungsspitzen der Stromversorgung, Blitzschlag, Statische
Elektrizität, Brand, Höhere Gewalt oder andere äußere Einflüsse verursacht worden;
(iii) Erfasste Produkte, bei denen die Seriennummer geändert, unkenntlich gemacht oder
entfernt wurde;
(iv) Probleme, die durch Komponenten verursacht werden, die nicht Bestandteil des
Erfassten Produktes sind, einschließlich von Produkten, die nicht von Apple stammen,
wobei unerheblich ist, ob diese zusammen mit den Erfassten Produkt erworben wurden
oder nicht;Deutsch 53
(v) Serviceleistungen, die zur Berücksichtigung von gesetzlichen Anforderungen
erforderlich sind, die erst nach dem Beginn der Laufzeit des Plans in Kraft getreten sind;
(vi) Probleme, die durch die Inanspruchnahme von Netzwerk- oder Mobilfunkanbietern
entstehen bzw. durch Viren oder andere Softwareprogramme auf das Erfasste Produkt
gelangen ;
(vii) Erfasste Produkte, die verloren gegangen sind oder gestohlen wurden; Deckung gemäß
Plan besteht ausschließlich für solche Erfassten Produkte, die vollständig an Apple
zurückgegeben werden;
(viii) Rein kosmetische Mängel an den Erfassten Produkten (insbesondere, aber nicht
ausschließlich, Kratzer, Beulen, abgebrochene Plastikteile an Ports;
(ix) Vorbeugende Wartungen der Erfassten Produkte;
(x) Austauschgeräte für den Zeitraum, in dem das Erfasste Produkt gewartet wird;
(xi) Beschädigung oder Verlust von Daten oder Software, die auf dem Erfassten
Produkt gespeichert waren. DER INHALT IHRES iPHONES WIRD GELÖSCHT UND DIE
SPEICHERMEDIEN WERDEN IM RAHMEN DER SERVICELEISTUNG NEU FORMATIERT.
Sie erhalten Ihr iPhone oder ein Ersatz-iPhone in der jeweiligen konfigurierten Form
zurück, in der Sie es ursprünglich erworben haben, vorbehaltlich etwaiger Updates.
Apple kann im Rahmen der Serviceleistung Updates des Betriebssystems („iPhone OS”)
installieren, die einen Rückgriff des iPhone auf frühere Version der iPhone OS verhindern.
Es ist möglich, dass auf dem iPhone installierte Anwendungen von Drittanbietern
infolge des iPhone OS Updates nicht mehr mit dem iPhone kompatibel sind oder
nicht mehr damit funktionieren. Sie müssen sämtliche fremden Softwareprogramme,
Daten und Passwörter neu installieren. Die Wiederherstellung und Neuinstallation von
Softwareprogrammen und Benutzerdaten ist nicht in diesem Plan enthalten.
(xii) Fehler, die auf gewöhnlichen Gebrauch oder gewöhnliche Abnutzung oder die übliche
Alterung des Produktes zurückzuführen sind.
(xiii) Jedwede anderen Schäden, die nicht durch Material– oder Herstellungsfehler oder bei
üblicher und gewöhnlicher Nutzung des Erfassten Produkts entstehen, soweit dieser
Plan keine besondere Ausnahme zulässt.54 Deutsch
c. Bereitstellung der Serviceleistungen: Apple erbringt die Serviceleistungen in einer der
nachfolgend beschriebenen Weisen:
(i) Ein „Carry-In” Service, „Bringdienst“. Sie bringen das Erfasste Produkt zu einer Appleeigenen Verkaufsstelle oder Filiale eines von Apple autorisierten Wireless Partner, die den
„Carry-In” Service anbietet. Serviceleistungen werden dann entweder vor Ort erbracht
oder das Erfasste Produkt wird an einen Apple-Servicecenter eingeschickt. Es obliegt
ihnen, das Produkt nach der Benachrichtigung, dass die Serviceleistungen fertig gestellt
sind, unverzüglich wieder abzuholen.
(ii) Direktes Einsenden an das Apple-Servicecenter. Wenn Apple feststellt, dass ihr Produkt für
die Einsendung qualifiziert ist, wird Apple Ihnen einen bezahlten Frachtbrief zusenden
und – falls Sie nicht mehr im Besitz der Originalverpackung sind – gegebenenfalls auch
Verpackungsmaterial. Es obliegt Ihnen, das Erfasste Produkt an das Apple-Servicecenter
gemäß dessen Vorgaben zu übersenden. Nach Abschluss der Serviceleistungen wird das
Servicecenter das Erfasste Produkt an Sie zurücksenden. Die Kosten des Versands von
und an Ihre Adresse übernimmt Apple, soweit Sie sich an alle Anweisungen halten.
(iii) Für viele Erfasste Produkte und Zubehörteile ist ein Do-It-Yourself-Ersatzteilservice
verfügbar, so dass Sie die Reparatur Ihres Produktes selbst durchführen können. Für den
Fall, dass Do-It-Yourself-Ersatzteilservice verfügbar ist, gilt folgendes:
(A) Do-It-Yourself-Ersatzteilservice mit Rücklieferung des zu ersetzenden Bauteils: Bei
dieser Variante kann Apple als Sicherheit für den Einzelhandelspreis des Ersatzteils
und die anfallenden Versandkosten eine Kreditkartenautorisierung verlangen.
Falls Sie nicht in der Lage sind, eine Kreditkartenautorisierung zu erteilen, ist der
Do-It-Yourself-Ersatzteilservice für Sie gegebenenfalls nicht verfügbar. Apple wird
Ihnen in diesem Fall alternative Servicebedingungen anbieten. Bei Verfügbarkeit
des Do-It-Yourself-Ersatzteilservices wird Apple Ihnen das Ersatzteil zusammen mit
einer Installationsanweisung und gegebenenfalls Informationen zur Rückgabe der
ersetzten Komponente schicken. Wenn Sie den Anweisungen Folge leisten, wird
Apple die Kreditkartenautorisierung aufheben, so dass Ihnen die Kosten für das
Ersatzteil und den Versand von und an Ihre Adresse nicht berechnet werden. Falls
Sie die ersetzte Komponente nicht gemäß den Anweisungen zurückschicken, wird
Apple Ihre Kreditkarte mit dem autorisierten Betrag belasten. Deutsch 55
(B) Do-It-Yourself-Ersatzteilservice ohne Rücklieferung des ersetzten Bauteils:
Apple übersendet Ihnen gebührenfrei ein Ersatzteil zusammen mit
Installationsanweisungen und gegebenenfalls Informationen zur Entsorgung des
ersetzten Bauteils.
(C) Aufwand, wie interne Lohnkosten, die Ihnen im Zusammenhang mit den Do-ItYourself-Ersatzteilservice entstehen, werden von Apple nicht erstattet. Falls Sie weitere
Unterstützung benötigen, rufen Sie die unten angegebene Telefonnummer an.
Apple behält sich das Recht vor, jederzeit die Art und Weise der Bereitstellung des Reparatur-
oder Austauschservices sowie die Verfügbarkeit bestimmter Serviceoptionen für bestimmte
Erfasste Produkte und die Kriterien für die Bereitstellung bestimmter Optionen zu ändern.
Die Serviceoptionen, die Verfügbarkeit von Bauteilen und die Reaktionszeiten können
unterschiedlich ausfallen.
d. Inanspruchnahme von Reparaturleistungen im Rahmen des Plans: Wenn Sie Leistungen nach
diesem Plan in Anspruch nehmen wollen, dann begeben Sie sich auf die unten angegebene
Internetseite von Apple für Ihr jeweiliges Land oder rufen Sie die unten angegebene
Telefonnummer an. Die zu benutzenden Telefonnummern variieren in Abhängigkeit von
Ihrem Standort. Wenn Sie die Webseiten nutzen, dann folgen Sie den von Apple erteilten
Instruktionen. Falls Sie die Telefonnummer wählen, werden Sie mit einem Mitarbeiter
des technischen Supportteams verbunden. Dieser wird sich nach Ihrer Vertragsnummer
des Plans erkundigen, Sie beraten und entscheiden, ob und welche Serviceleistungen
für Ihr Erfasstes Produkt erforderlich sind. Serviceleistungen können immer nur gemäß
vorheriger Abstimmung mit Apple in Anspruch genommen werden. Die Örtlichkeit, an der
Serviceleistungen angeboten werden, variiert gemäß Ihrem Standort. Bewahren Sie das
Bestätigungsdokument und die Original-Kaufbelege für Ihr Erfasstes Produkt und Ihren Plan
auf. Apple kann jederzeit die Vorlage der Kaufbelege verlangen, um Ihre Berechtigung zur
Inanspruchnahme von Serviceleistungen gemäß Plan zu prüfen.
2. Technischer Support
a. Telefonischer und Internet-basierter Support. Sie haben ab dem Datum, an dem Ihr Anspruch
auf kostenlosen technischen Support für Ihre Erfassten Produkte endet oder an dem Ihr
Deckungszeitraum beginnt, je nachdem, welches Datum früher eintritt, Anspruch auf 56 Deutsch
technischen Support; dieser endet mit Ablauf des Deckungszeitraums („Deckungszeitraum
für Technischen Support”). Während des Deckungszeitraums für Technischen Support
gewährt Ihnen Apple Zugang zu den telefonischen und Internet-basierten Ressourcen
für technischen Support. Der technische Support umfasst Unterstützung bei der
Installation, Inbetriebnahme, Konfiguration, Fehlerbehebung und Wiederherstellung (außer
Datenwiederherstellung), einschließlich Speichern, Abrufen und Verwaltung von Dateien;
Erläuterung von Systemfehlermeldungen; und Feststellung, ob Reparaturen der Hardware
erforderlich sind. Apple gewährt technischen Support für die Erfassten Produkte, iPhone
OS, auf den Erfassten Produkten vorinstallierte Softwareanwendungen („iPhone Software”)
sowie Verbindungsprobleme zwischen den Erfassten Produkten und einem unterstützten
Computer, d. h. ein Computer, der die Verbindungsanforderungen der Erfassten Produkte
erfüllt und über ein Betriebssystem verfügt, das von den Erfassten Produkten unterstützt
wird. Apple erbringt Supportleistungen für die jeweils aktuelle Version der iPhone OS und der
iPhone Software sowie den vorherigen Major Release, behält sich jedoch das Recht vor, die
für etwaige frühere Versionen erbrachten Supportleistungen jederzeit zu ändern. Im Sinne
dieses Abschnitts bedeutet „Major Release” eine wichtige Version einer Software, die von
Apple mit einer Veröffentlichungsnummer wie z. B. „1.0” oder „2.0” veröffentlicht wurde und
nicht in Beta-Form oder als Vorveröffentlichung vorliegt.
b. Beschränkungen. Der Plan gewährt keine Deckung für:
(i) Probleme, die durch eine Aktualisierung der Software auf die aktuelle Version gelöst
werden können;
(ii) Nutzung oder Änderungen Ihrerseits in Bezug auf die Erfassten Produkte, das iPhone OS
oder die iPhone Software in einer Weise, in der die Erfassten Produkte oder die Software
nicht verwendet bzw. geändert werden dürfen;
(iii) Produkte von Drittanbietern oder deren Auswirkungen auf die Erfassten Produkte, das
iPhone OS oder die iPhone Software oder deren gegenseitige Beeinflussung;
(iv) Ihre Nutzung von Computern oder Betriebssystemen, die nicht von der iPhone Software
unterstützt werden oder Verbindungsprobleme mit den Erfassten Produkten;
(v) Andere Apple-Software als die iPhone OS oder die iPhone Software gemäß dem Plan;
(vi) iPhone OS Software oder andere Software der Marke Apple mit der Bezeichnung „Beta-”, Deutsch 57
„Vorveröffentlichungs-” oder „Probe”-Software oder einer ähnlichen Bezeichnung; sowie
(vii) Beschädigung oder Verlust von Software oder Daten, die auf den Erfassten Produkten
gespeichert oder aufgezeichnet sind.
c. Inanspruchnahme des technischen Supports: Wenn Sie den technischen Support in Anspruch
nehmen möchten, rufen Sie bitte die unten angegebene Telefonnummer an. Ein Mitarbeiter des
technischen Supportteams von Apple wird Ihnen weiterhelfen. Die Dienstzeiten von Apple sind
unten aufgeführt. Apple behält sich das Recht vor, die Dienstzeiten für den technischen Service
sowie die Telefonnummern jederzeit zu ändern. Die Internet-basierten Supportressourcen finden
Sie in der Liste der Internetseiten von Apple.
3. Ihre Obliegenheiten
Als Voraussetzung für die Inanspruchnahme von Serviceleistungen nach dem Plan, obliegt es Ihnen:
a. Ihre Vertragsnummer des Plans und die Seriennummer des Erfassten Produktes anzugeben;
b. Fragen in Bezug auf Symptome und Ursachen der Probleme des Erfassten Produktes zu
beantworten; und
c. Die Instruktionen zu befolgen, die Apple Ihnen erteilt und insbesondere keine Produkte
einzusenden, für die nach Auskunft von Apple keine Ersatz- oder Reparaturleistungen zu
erbringen sind, und den Anweisungen in Bezug auf Verpackung und Versand der an Apple zu
sendenden Erfassten Produkte Folge zu leisten.
d. Software zu aktualisieren, so dass sie der jeweils aktuell veröffentlichten Version entspricht,
bevor Sie Serviceleistungen in Anspruch nehmen.
4. Haftung
FÜR VERBRAUCHER, DIE DEM SCHUTZ DER RECHTSVORSCHRIFTEN ZUM VERBRAUCHERSCHUTZ
IN DEM LAND, IN DEM DER PLAN ERWORBEN WURDE, UNTERLIEGEN, GELTEN DIE VORTEILE, DIE
IHNEN AUS DIESEM PLAN ENTSTEHEN, ZUSÄTZLICH ZU ALLEN RECHTEN, DIE SICH AUS SOLCHEN
RECHTSVORSCHRIFTEN ZUM VERBRAUCHERSCHUTZ ERGEBEN. KEINE BESTIMMUNG DIESES PLANES
SOLL SOLCHE ZWINGENDEN RECHTE DER VERBRAUCHER NACH SOLCHEN RECHTSVORSCHRIFTEN
BESCHRÄNKEN ODER AUSSCHLIESSEN, EINSCHLIESSLICH DES RECHTS, BEI VERTRAGSVERLETZUNGEN
SCHADENERSATZ ZU VERLANGEN.58 Deutsch
SOWEIT NACH DEM ANWENDBAREN RECHT ZULÄSSIG, ÜBERNEHMEN APPLE, UND DIE
ANGESTELLTEN UND ERFÜLLUNGSGEHILFEN VON APPLE IHNEN ODER IHREM RECHTSNACHFOLGER
GEGENÜBER KEINERLEI HAFTUNG FÜR INDIREKTE SCHÄDEN ODER FOLGESCHÄDEN,
INSBESONDERE, NICHT AUSSCHLIEßLICH, NICHT FÜR ETWAIGE KOSTEN DER WIEDERGEWINNUNG,
NEUPROGRAMMIERUNG ODER REPRODUKTION VON PROGRAMMEN ODER DATEN ODER FOLGEN
DER VERLETZUNG DER VERTRAULICHKEIT VON DATEN, GESCHÄFTSVERLUSTE JEGLICHER ART,
ENTGANGENEN GEWINN, UMSATZ ODER EINSPARUNGEN, DIE INFOLGE DER VERLETZUNG
VON VERPFLICHTUNGEN VON APPLE GEMÄß DIESEM PLAN AUFTRETEN. SOWEIT NACH DEM
ANWENDBAREN RECHT ZULÄSSIG, IST DIE HAFTUNG VON APPLE UND DEN ANGESTELLTEN UND
ERFÜLLUNGSGEHILFEN VON APPLE GEGENÜBER IHNEN UND IHREN RECHTSNACHFOLGERN AUF
DIE HÖHE DESJENIGEN BETRAGES BESCHRÄNKT, DEN SIE URSPRÜNGLICH FÜR DEN ERWERB
DES PLANS BEZAHLT HABEN. INSBESONDERE ÜBERNIMMT APPLE KEINE GEWÄHR FÜR DEN
FALL, DASS APPLE NICHT IN DER LAGE IST (i) DAS ERFASSTE PRODUKT OHNE RISIKO FÜR ODER
VERLUST VON PROGRAMMEN ODER DATEN ZU REPARIEREN ODER AUSZUTAUSCHEN ODER (ii)
DIE VERTRAULICHKEIT DER DATEN ZU WAHREN. VON SÄMTLICHEN BESTIMMUNGEN DIESER
VEREINBARUNG UNBERÜHRT BLEIBT DIE HAFTUNG VON APPLE FÜR (I) DURCH FAHRLÄSSIGKEIT
VON APPLE VERURSACHTE TODESFÄLLE ODER KÖRPERVERLETZUNGEN ODER (II) BETRUG.
SOWEIT DIE HAFTUNG IM RAHMEN DER VORGENANNTEN RECHTSVORSCHRIFTEN ZUM
VERBRAUCHERSCHUTZ BESCHRÄNKT ODER AUSGESCHLOSSEN WERDEN KANN, IST DIE HAFTUNG
SEITENS APPLE BESCHRÄNKT AUF DEN AUSTAUSCH ODER DIE REPARATUR DES PRODUKTES NACH
WAHL VON APPLE ODER DIE BEREITSTELLUNG DER VEREINBARTEN SERVICELEISTUNGEN.
5. Kündigung
Sie haben das Recht, diesen Plan jederzeit ordentlich zu kündigen. Rufen Sie Apple zu diesem
Zweck unter der unten angegebenen Telefonnummer an oder senden Sie ihre schriftliche
Kündigung an den Apple Customer Support, Hollyhill Industial Estate, Hollyhill, Cork, Irland (Fax
Nummer: 0035-21/428 3917). Sie müssen Ihrer Kündigung eine Kopie des Beleges über den
Erwerb des Plans beifügen. Soweit das lokal anwendbare Recht nicht zwingende abweichende
Vorschriften enthält, gilt folgendes: Wenn Sie den Plan innerhalb von 30 Tagen nach Erwerb
des Plans oder Erhalt dieser Bedingungen, je nachdem, was später eintritt, kündigen, wird
Ihnen der für den Erwerb des Plans gezahlte Betrag zurückerstattet, abzüglich des Wertes von
Leistungen, die gemäß diesem Plan bereits erbracht wurden. Wenn Sie diesen Plan nach Ablauf Deutsch 59
der vorgenannten Frist kündigen, wird Ihnen der für den Erwerb des Plans bezahlte Betrag
anteilig rückerstattet, abzüglich (a) jedwede gemäß Abschnitt 8 festgelegten Kündigungsgebühr,
höchstens aber 10 % des anteilig zurückzuerstattenden Betrages und (b) des Wertes von
Leistungen, die gemäß dem Plan bereits erbracht wurden. Soweit nicht zwingende Vorschriften
des lokal anwendbaren Rechts etwas anderes vorsehen, ist Apple berechtigt, diesen Plan mit einer
Kündigungsfrist von 30 Tagen zu kündigen, falls Ersatzteile für das Erfasste Produkt nicht verfügbar
sind. Im Falle einer Kündigung des Plans seitens Apple erhalten Sie eine anteilige Rückerstattung
für die nicht verstrichene Laufzeit des Plans.
6. Übertragung des Plans
Sie sind berechtigt, Ihr Recht aus diesem Plan an den neuen Eigentümer des Erfassten Produkts
zu übertragen, indem Sie per Post oder Fax eine Mitteilung über die Übertragung an den
Kundendienst von Apple senden: Apple Customer Support Hollyhill Industrial Estate, Hollyhill,
Cork, Irland; Fax-Nummer: 00353 – 21 / 428 3917. Sie müssen die Vertragsnummer des Plans, die
Seriennummer des Erfassten Produktes, sowie Name, Adresse, Telefonnummer und Emailadresse
des neuen Eigentümers angeben und einen Beleg über den Erwerb des Plans beifügen.
7. Sonstige Bestimmungen
a. Apple ist berechtigt, Unterauftragnehmer mit den im Rahmen dieses Plans zu erbringenden
Dienstleistungen zu beauftragen oder Verpflichtungen zu delegieren, Apple wird hierdurch
jedoch nicht von seinen Verpflichtungen Ihnen gegenüber befreit.
b. Apple ist für etwaige Verzögerungen oder Terminüberschreitungen bei den Serviceleistungen
nach dem Plan nicht verantwortlich, soweit Apple die dafür ursächlichen Umstände nicht in
zumutbarer Weise beeinflussen konnte.
c. Sie sind nicht verpflichtet, vorbeugende Erhaltungsmaßnahmen zu ergreifen, um in den
Genuss der unter diesem Plan zu erbringenden Leistungen zu kommen.
d. Dieser Plan wird nur in Österreich, Frankreich (mit Ausnahme von Korsika, Überseegebieten),
Deutschland, Irland, Italien, Spanien (einschließlich der Balearen, jedoch mit Ausnahme der
Kanarischen Inseln, Ceuta, Melilla), der Schweiz und im Vereinigten Königreich angeboten
und hat nur dort Gültigkeit. Der Plan wird nur gegenüber Volljährigen angeboten. Der Plan
ist nicht erhältlich, wo ein entsprechendes Angebot gesetzlich verboten ist. 60 Deutsch
e. Apple behält sich ausdrücklich zum Zwecke der Qualitätssicherung das Recht vor, nach
eigenem Ermessen Telefonate zwischen Ihnen und Apple vollständig oder teilweise
aufzuzeichnen.
f. Sie Stimmen zu, dass sämtliche Informationen und Daten, die Sie Apple im Rahmen
dieser Vereinbarung übermitteln weder vertraulich noch geschützt sind. Dies umfasst
gegebenenfalls auch die Weiterleitung Ihrer Daten an mit Apple verbundene Unternehmen
oder Dienstleister unter Einhaltung der Kunden-Datenschutzrichtlinie von Apple, die Sie auf
der unten angegebenen Internetseite einsehen können.
g. Apple hat Schutzmaßnahmen ergriffe, die Ihre Daten sowohl gegen unerlaubte Verwendung
oder Offenlegung als auch gegen rechtswidrige Zerstörung schützen sollte. Sie sind dafür
verantwortlich, dass Sie Apple ordnungsgemäße Anweisungen zur Verarbeitung Ihrer Daten
geben. Apple strebt die Einhaltung dieser Anweisungen an, soweit dies für die Durchführung
der Serviceleistung und der Supportverpflichtungen vernünftigerweise geboten ist. Wenn
Sie mit dieser Vorgehensweise nicht einverstanden sind oder wenn Sie weitere Fragen zum
Einfluss der beschriebenen Verwertung auf Ihre Daten haben, wenden Sie sich bitte unter der
unten angegebenen Telefonnummer an Apple.
h. Apple wird Ihre Angaben in Übereinstimmung mit der Apple Kunden-Schutzrichtlinie sichern.
Wenn Sie wissen möchten, welche Daten Apple von Ihnen gespeichert hat oder wenn Sie
Änderungen daran vornehmen wollen, greifen Sie bitte auf die http://www.apple.com/
contact/myinfo zu. Dort können Sie Ihre persönlichen Kontaktpräferenzen aktualisieren.
Sie können auch dem Europäischen Datenschutzverantwortlichen von Apple unter
privacyeurope@apple.com ein Email senden.
i. Die Bestimmungen dieses Plans haben Vorrang vor etwaigen dazu in Widerspruch stehenden
oder ergänzend abweichenden Bestimmungen in Bestellungen oder anderen Dokumenten
und stellen das gesamte, ausschließliche zwischen Ihnen und Apple vereinbarte Vertragswerk
in Bezug auf den Plan da.
j. Die sich aus diesem Plan ergebenden Rechte treten neben die Ihnen zustehenden
Gewährleistungsrechte. Sie sind verpflichtet, diesen Plan innerhalb der für Ihr mit der AppleMarke versehenes iPhones bestehenden einjährigen beschränkten Garantie zu erwerben und
zu registrieren. Apple ist nicht verpflichtet, diesen Plan zu erneuern oder zu verlängern. Für den
Fall, dass Apple eine Erneuerung anbietet, bestimmt Apple den Preis und die Bedingungen.Deutsch 61
k. Ein Verfahren zur außergerichtlichen Streitbeilegung ist bei diesem Plan nicht vorgesehen.
l. Vertragspartner und somit Schuldner der aus diesem Plan resultierenden Verpflichten ist
Apple Sales International, Hollyhill Industrial Estate, Hollyhill, Cork, Irland. Sollte Apple Sales
International Verpflichtungen nach diesem Plan nicht erfüllen, werden diese von Apple
Operations Europe, Hollyhill Industrial Estate, Hollyhill, Cork Irland, übernommen.
m. Dieser Plan unterliegt den Gesetzen desjenigen Landes, in dem die Planansprüche erworben
und aktiviert wurden. Die Rechtswahl beinhaltet nicht die Bestimmungen des internationalen
Privatrechts oder die UN-Kaufrechtskonventionen.
n. Sollte ein Abschnitt oder ein Teil eines Abschnittes dieser Bedingungen unwirksam
oder undurchsetzbar sein, bleiben die übrigen Bestimmungen hiervon unberührt und
vollumfänglich wirksam.
8. Länderspezifische Regelungen
Die nachfolgenden länderspezifischen Bestimmungen für das Land, in dem die Planansprüche
erworben und aktiviert wurden, gehen etwa abweichenden Bestimmungen in den anderen
Abschnitten dieses Planes vor:
ÖSTERREICH
ABSCHNITT 4 – DIE BESTIMMUNGEN IN ABSCHNITT 4 WERDEN DURCH FOLGENDE
BESTIMMUNGEN ERSETZT:
EINE HAFTUNG VON APPLE SOWIE ANGESTELLTEN ODER ERFÜLLUNGSGEHILFEN VON APPLE FÜR
SCHÄDEN, GLEICH OB AUS VERTRAG ODER SONSTIGEN GRÜNDEN, BESTEHT NUR INSOWEIT, ALS
DASS DER ENTSPRECHENDE SCHADEN VORSÄTZLICH ODER GROB FAHRLÄSSIG VERURSACHT
WURDE. UNTER KEINEN UMSTÄNDEN HAFTET APPLE FÜR ENTGANGENEN GEWINN, VERLUSTE VON
ERWARTETEN ABER NICHT REALISIERTEN GESCHÄFTSGELEGENHEITEN, MITTELBARE SCHÄDEN,
FOLGESCHÄDEN, SCHÄDEN AN DATEN SOWIE FÜR SCHÄDEN INFOLGE VON INANSPRUCHNAHME
DURCH DRITTE.
ABSCHNITT 5 – SOLLTEN SIE DEN PLAN SPÄTER ALS 30 TAGE NACH ERHALT DES PLANS KÜNDIGEN,
ERHALTEN SIE EINE ANTEILIGE RÜCKERSTATTUNG DES URSPRÜNGLICHEN KAUFPREISES DES PLANS
ABZÜGLICH EINER KÜNDIGUNGSGEBÜHR VON 25 EURO, HÖCHSTENS ABER 10 % DES ANTEILIGEN
ZURÜCKZUERSTATTENDEN BETRAGES.62 Deutsch
DEUTSCHLAND
ABSCHNITT 4 – DIE BESTIMMUNGEN IN ABSCHNITT 4 WERDEN DURCH FOLGENDE
BESTIMMUNGEN ERSETZT:
DIE IM RAHMEN DES PLANS GEWÄHRTEN VORTEILE GELTEN ZUSÄTZLICH ZU DEN GESETZLICHEN
RECHTEN UND ANSPRÜCHEN IM FALLE VON SACH- ODER RECHTSMÄNGELN IN BEZUG AUF DIE
ERFASSTEN PRODUKTE UND SCHRÄNKEN DIESE NICHT EIN. IHRE RECHTE IM FALLE VON SACH-
ODER RECHTSMÄNGELN IN BEZUG AUF IM RAHMEN DES PLANS ZU ERBRINGENDE LEISTUNGEN
UNTERLIEGEN DEN GESETZLICHEN BESTIMMUNGEN UND SIND WIE FOLGT BESCHRÄNKT: WENN
SIE „VERBRAUCHER” SIND (D. H: EIN KUNDE, DER DEN PLAN FÜR ZWECKE AUßERHALB SEINES
GEWERBES, GESCHÄFTS ODER SEINER SELBSTSTÄNDIGEN BERUFLICHEN TÄTIGKEIT ERWIRBT)
GILT EINE VERJÄHRUNGSFRIST FÜR MÄNGELANSPRÜCHE VON ZWEI JAHREN; FÜR ALLE ANDEREN
KUNDEN, DIE NICHT VERBRAUCHER SIND, GILT EINE VERJÄHRUNGSFRIST VON EINEM JAHR:
FÜR SCHADENSERSATZANSPRÜCHE, GLEICH AUS WELCHEM RECHTSGRUND, GILT FOLGENDE
HAFTUNGSBESCHRÄNKUNG:
EINE VERTRAGLICHE ODER AUßERVERTRAGLICHE SCHADENSERSATZPFLICHT SEITENS APPLE
GLEICH AUS WELCHEM RECHTSGRUND, BESTEHT NUR, SOFERN DER SCHADEN AUF GROBE
FAHRLÄSSIGKEIT ODER VORSATZ ZURÜCKZUFÜHREN IST, DIE VON APPLE ZU VERTRETEN IST.
DIE HAFTUNGSBESCHRÄNKUNG NACH DIESEM ABSCHNITT 4 GILT ENTSPRECHEND FÜR DIE
ANGESTELLTEN UND ERFÜLLUNGSGEHILFEN VON APPLE. EINE EVENTUELLE ZWINGENDE
HAFTUNG Z. B. NACH DEM PRODUKTHAFTUNGSGESETZ, WEGEN DER VERLETZUNG DES LEBENS,
DES KÖRPERS ODER DER GESUNDHEIT ODER WEGEN DER ZUMINDEST LEICHT FAHRLÄSSIGEN
VERLETZUNG EINER WESENTLICHEN VERTRAGSPFLICHT BLEIBT UNBERÜHRT. DER SCHADENERSATZ
FÜR DIE VERLETZUNG WESENTLICHER VERTRAGSPFLICHTEN IST JEDOCH AUF DEN
VERTRAGSTYPISCHEN, VORHERSEHBAREN SCHADEN BEGRENZT, SOWEIT NICHT VORSATZ ODER
GROBE FAHRLÄSSIGKEIT VORLIEGT ODER WEGEN DER VERLETZUNG DES LEBENS, DES KÖRPERS
ODER DER GESUNDHEIT GEHAFTET WIRD. EINE ÄNDERUNG DER BEWEISLAST ZU IHREM NACHTEIL
IST MIT DEN VORSTEHENDEN REGELUNGEN NICHT VERBUNDEN.
ABSCHNITT 5 - SOWEIT SIE SPÄTER ALS 30 TAGE NACH ERHALT DES PLANS KÜNDIGEN, ERHALTEN
SIE EINE ANTEILIGE RÜCKERSTATTUNG DES URSPRÜNGLICHEN KAUFPREISES DES PLANS
ABZÜGLICH EINER KÜNDIGUNGSGEBÜHR VON 25 EURO, HÖCHSTENS ABER 10 % DES ANTEILIGEN
ZURÜCKZUERSTATTENDEN BETRAGES. Deutsch 63
ABSCHNITTE 7.E BIS 7.G - ABSCHNITTE 7.E BIS 7.G GELTEN NICHT FÜR PERSONENBEZOGENEN
DATEN, DIE DURCH EINE NIEDERLASSUNG VON APPLE IN DEUTSCHLAND ERHOBEN WORDEN.
FÜR SOLCHE DATEN WIRD APPLE, SOWEIT RECHTLICH ERFORDERLICH, EINE GESONDERTE
EINWILLIGUNG EINHOLEN.
SCHWEIZ
ABSCHNITT 4 – DIE BESTIMMUNGEN IN ABSCHNITT 4 WERDEN DURCH FOLGENDE
BESTIMMUNGEN ERSETZT:
4.1 – SOFERN SIE EIN ENDVERBRAUCHER SIND, WIRD UNSERE GESETZLICHE HAFTUNG IHNEN
GEGENÜBER FÜR VERTRAGSVERLETZUNGEN IN KEINER WEISE DURCH DAS PROGRAMM
BESCHRÄNKT ODER AUSGESCHLOSSEN.
4.2 – SOFERN SIE KEIN ENDVERBRAUCHER SIND GILT FOLGENDES:
- DIESE ALLGEMEINEN GESCHÄFTSBEDINGUNGEN REGELN ABSCHLIESSEND UNSERE IHNEN
GEGENÜBER BESTEHENDEN PFLICHTEN IM ZUSAMMENHANG MIT DEM PROGRAMM.
- SÄMTLICHE GESETZLICHE VERPFLICHTUNGEN UND GARANTIEN DIE UNS IHNEN GEGENÜBER
OBLIEGEN (EINSCHLIESSLICH STILLSCHWEIGNED ÜBERNOMMENER GARANTIEN FÜR
FACHKENNTNIS UND SORGFALT) WERDEN HIERMIT AUSDRÜCKLICH AUSGESCHLOSSEN.
INSBESONDERE TRIFFT APPLE KEINE VERANTWORTUNG DAFÜR, DASS DAS PROGRAMM IHREN
ERFORDERNISSEN ENTSPRICHT.
4.3 - UNSERE HAFTUNG IHNEN GEGENÜBER FÜR DURCH FAHRLÄSSIGKEIT ODER ARGLISTIGE
TÄUSCHUNG VERURSACHTE VERLETZUNG DES LEBENS, DES KÖRPERS ODER DER GESUNDHEIT
WIRD IN KEINER WEISE DURCH DAS PROGRAMM BESCHRÄNKT ODER AUSGESCHLOSSEN.
4.4 - SOWEIT GESETZLICH ZULÄSSIG WIRD UNSERE HAFTUNG FÜR ENTGANGENES
EINKOMMEN, ENTGANGENEN GEWINN, ENTGANGENE GESCHÄFTSGELEGENHEITEN ODER
VERLUST VON DATEN HIERMIT AUSGESCHLOSSEN.
4.5 – VORBEHALTLICH DER REGELUNG NACH ZIFFER 4.3 IST UNSERE HAFTUNG, GLEICH OB
VERTRAGLICH, DELIKTISCH ODER AUS SONSTIGEM RECHTSGRUND, INSGESAMT BESCHRÄNKT
AUF DEN BETRAG, DEN SIE IM ZUSAMMENHANG MIT DEM PROGRAMM BEZAHLT HABEN.64 Deutsch
ABSCHNITT 5 –
5.1 – ABSCHNITT 5 WIRD DURCH DIE FOLGENDEN REGELUNGEN ERGÄNZT:
WENN SIE EIN ENDVERBRAUCHER SIND UND DIESEN PLAN AUF DER APPLE STORE WEBSITE
ODER TELEFONISCH ABGESCHLOSSEN HABEN, KÖNNEN SIE DIESEN PLAN INNERHALB EINER
FRIST VON 14 TAGEN NACH KAUF KÜNDIGEN. IHNEN WIRD VOLLE KOSTENERSTATTUNG
GEWÄHRT. SOLLTEN SIE BEREITS MIT DER NUTZUNG DES PROGRAMMS BEGONNEN HABEN,
WIRD IHNEN VOLLE KOSTENERSTATTUNG, ABZÜGLICH DER KOSTEN FÜR ETWA IN ANSPRUCH
GENOMMENER LEISTUNGEN GEWÄHRT.
5.2 – SOLLTEN SIE DEN PLAN SPÄTER ALS 30 TAGE NACH ERHALT DES PLANS KÜNDIGEN,
ERHALTEN SIE EINE ANTEILIGE RÜCKERSTATTUNG DES URSPRÜNGLICHEN KAUFPREISES DES
PLANS ABZÜGLICH EINER KÜNDIGUNGSGEBÜHR VON 39 SFR, HÖCHSTENS ABER 10 % DES
ANTEILIGEN ZURÜCKZUERSTATTENDEN BETRAGES.
Telefonnummer
In Deutschland In Österreich In der Schweiz
(49) 01805 009 433 (43) 0810 300 427 (41) 0848 000 132
Montag bis Freitag Montag bis Freitag Montag bis Freitag
8:00 bis 19:45 Uhr 8:00 bis 19:45 Uhr 8:00 bis 19:45 Uhr
Samstag Samstag Samstag
10:00 bis 17:45 Uhr* 10:00 bis 17:45 Uhr* 10:00 bis 17:45 Uhr*
* Die angegebene Telefonnummer und die Geschäftszeiten sind freibleibend. Aktualisierte nationale und international
Kontaktinformationen finden Sie unter www.apple.com/support/contact/phone_contacts.html. Gebührenfreie Nummern
werden nicht in allen Ländern angeboten. **€ 0,14 pro Minute aus dem deutschen Festnetz.
Eine Liste der von Apple autorisierten Wireless Partner finden Sie online unter:
http://images.apple.com/legal/warranty/docs/iPhoneAuthorizedDistributors.pdf
APPLE SALES INTERNATIONAL, HOLLYHILL INDUSTRIAL ESTATE, HOLLYHILL, CORK, REPUBLIC OF IRELAND
WWW.APPLE.COM
EMEA APP iPhone D v1.0Italiano 65
AppleCare Protection Plan per iPhone
Scheda prodotto
La tranquillità che ti dà solo Apple
iPhone è venduto con un anno di copertura per riparazioni e 90 giorni di assistenza tecnica. Il
programma AppleCare Protection Plan per iPhone amplia la tua copertura di due anni dalla data
di acquisto di iPhone
1
. Sia che usi iPhone con un Mac che con un PC, con una semplice chiamata
telefonica potrai risolvere la maggior parte dei problemi.
Informazioni sulla copertura
Questo programma globale è disponibile per tutti i modelli di iPhone la cui garanzia limitata di un
anno è ancora in vigore. Se vendi iPhone prima che AppleCare Protection Plan per tale iPhone sia
scaduto, puoi trasferire il programma di copertura assicurativa al nuovo proprietario
2
. Per ogni iPhone
da assicurare, devi acquistare un programma AppleCare Protection Plan separato.
Conserva il documento che testimonia la copertura, la ricevuta di acquisto originale di iPhone e
quella del programma AppleCare Protection Plan per iPhone. Qualora sorgessero dubbi relativamente
all’idoneità di iPhone per il programma AppleCare Protection Plan per iPhone, Apple potrebbe
richiederti la ricevuta di acquisto.
Opzioni relative all’assistenza tecnica
In caso di difficoltà con iPhone, consulta la sezione dedicata alla risoluzione dei problemi tecnici sul sito
web di supporto per iPhone su www.apple.com/it/support/iphone. Se non dovessi riuscire a risolvere
il problema, dei rappresentanti di AppleCare possono aiutarti a risolvere eventuali problemi tecnici di
iPhone e il suo funzionamento con iTunes. Nella Guida Rapida sono elencate le informazioni di contatto
del servizio di assistenza tecnica di Apple e le ore in cui il tale servizio è operativo. Con la copertura
del programma AppleCare Protection Plan per iPhone, Apple offre lo stesso servizio completo sia agli
utenti Mac che Windows.66 Italiano
Servizio hardware
Questo programma amplia il servizio di riparazione e sostituzione, compreso nella garanzia di un anno
di Apple, a due anni dalla data di acquisto di iPhone. Questo programma amplia inoltre il servizio di
copertura per la batteria di iPhone ai casi in cui la sua capacità di conservazione della carica elettrica
diminuisce del cinquanta percento (50%) o più rispetto alle specifiche originali.
Quando ottieni il servizio, sono applicabili entrambe le opzioni: il servizio carry-in o per corriere
espresso. Per ulteriori dettagli su come ottenere il servizio, consulta la Guida Rapida. Il dispositivo fornito
da Apple come parte della riparazione o in sostituzione di quello per cui si richiede assistenza può
essere nuovo, usato o ricondizionato.
1. Questo programma amplia la tua copertura di due anni dalla data di acquisto di iPhone. Il programma deve essere acquistato
mentre la garanzia originale di un anno di iPhone è ancora valida. Il servizio di copertura potrebbe essere soggetto ad alcune
restrizioni. I vantaggi di AppleCare Protection Plan si aggiungono a qualunque diritto legale fornito dalle leggi di tutela del
consumatore vigenti nella tua giurisdizione.
2. Per informazioni complete, consulta il documento allegato contenente i termini e le condizioni del servizio AppleCare Protection Plan.Italiano 67
Prima di contattare il supporto tecnico di Apple, prova a eseguire queste semplici procedure
In caso di problemi con iPhone, consulta la sezione dedicata alla risoluzione dei problemi tecnici sul
sito web di supporto per iPhone su www.apple.com/it/support/iphone. Per precauzione, è bene fare
una copia di backup dei dati prima di iniziare.
Assicurati di avere l’ultima versione di iTunes
Puoi scaricarla da www.apple.com/it/itunes/download.
Visita il sito web di supporto per iPhone
Il sito web di supporto per iPhone contiene link alle opzioni di servizio disponibili, al tutorial di iPhone,
ai forum e ad altre risorse con risposte alle domande sui vari modi di procedere, disponibili 24 ore su 24
all’indirizzo www.apple.com/it/support/iphone.
Contatta Apple per ulteriore assistenza
Se dopo avere provato a eseguire le procedure descritte in questa guida il problema dovesse persistere,
contatta Apple. Un rappresentante di Apple ti chiederà il numero di contratto AppleCare Protection
Plan o il numero di serie di iPhone, che si trova sul retro del dispositivo.
In Italia In Svizzera
(39) 199 120 800 (41) 0848 000 132
Lunedì-venerdì Lunedì-venerdì
8:00-19:45* 8:00-19:45*
10.00-17.45 (sabato)*
* I numeri di telefono e gli orari del servizio potrebbero variare e sono soggetti a modifiche. Puoi trovare le informazioni di
contatto locali e internazionali più aggiornate su www.apple.com/contact/phone_contacts.html.
Guida rapida
AppleCare Protection Plan per iPhoneItaliano 69
AppleCare Protection Plan per iPhone
Condizioni Generali
Il Piano di Garanzia AppleCare iPhone (di seguito definito il “Piano”) è disciplinato dalle presenti
Condizioni Generali e costituisce il contratto di servizio tra il cliente e Apple Sales International
(“Apple”). Nel rispetto delle presenti Condizioni Generali, il Piano (i) garantisce dai difetti i prodotti
iPhone di marca Apple elencati nel Documento di Certificazione o Prova di Garanzia del Piano
(“Conferma del Piano”), un set di cuffie iPhone Bluetooth di marca Apple, se posseduto dal cliente e
utilizzato con il prodotto iPhone garantito e gli accessori hardware contenuti nella confezione originale
dei prodotti iPhone garantiti (collettivamente definiti “Apparecchiatura Garantita”) e (ii) fornisce
l’accesso ai servizi di supporto telefonico e online con riferimento all’Apparecchiatura Garantita. Al
fine di ottenere la Conferma del Piano, è necessario registrare il numero di contratto del Piano o il
relativo numero di registrazione (“Numero di Contratto del Piano”), come da istruzioni riportate sulla
confezione del Piano. I clienti che scelgono l’opzione dell’autoregistrazione, ove disponibile, riceveranno
automaticamente la Conferma del Piano. La durata del Piano (“Periodo di Garanzia”) corrisponde al
periodo che termina alla data specificata nella Conferma del Piano. Il prezzo del Piano è indicato sulla
ricevuta di vendita originale del Piano. Apple si riserva la facoltà di limitare l’assistenza prevista dal
Piano al Paese in cui l’acquisto dell’Apparecchiatura Garantita è stato effettuato.
1. Garanzia di riparazione
a. Ambito della Garanzia. La garanzia per i difetti decorre dalla data di scadenza della garanzia
hardware Apple per l’Apparecchiatura Garantita e termina alla fine del Periodo di Garanzia
(“Periodo di Garanzia per Riparazione”). Apple, a sua discrezione, riparerà o sostituirà
l’Apparecchiatura Garantita in questione se (i) durante il Periodo di Garanzia per Riparazione,
sia riscontrato un difetto dei materiali o nella fabbricazione dell’Apparecchiatura Garantita o,
(ii) durante il Periodo di Garanzia, la capacità della batteria dell’iPhone garantito di trattenere
una carica elettrica sia diminuita del cinquanta (50%) per cento o più rispetto alle specifiche
originarie (dopo essere stata completamente caricata e con l’iPhone in riproduzione 70 Italiano
audio o video con le impostazioni resettate). Apple fornirà sia le parti di ricambio che la
mano d’opera, ma avrà la facoltà di richiedere al cliente di procedere personalmente alla
sostituzione di determinate parti facilmente installabili, come descritto di seguito. Apple potrà
fornire prodotti o parti di ricambio derivanti da parti nuove o equivalenti per prestazioni
e affidabilità. Il prodotto o le parti di ricambio saranno equivalenti da un punto di vista
funzionale ai prodotti o alle parti sostituiti e saranno coperti dalla rimanente garanzia in
conformità a quanto previsto dal Piano. I prodotti o le parti sostituiti diventano di proprietà
di Apple. Apple raccomanda vivamente di effettuare copia di back-up dei dati o del software
installato o registrato nell’Apparecchiatura Garantita, prima di consegnare l’Apparecchiatura
Garantita affinché sia riparata.
b. Limitazioni. Esulano dall’oggetto della garanzia prevista dal Piano:
(i) L’installazione, la rimozione o l’eliminazione dell’Apparecchiatura Garantita;
l’installazione, la rimozione, la manutenzione o la riparazione di apparecchiatura diversa
dall’Apparecchiatura Garantita (inclusi accessori, apparati o altri dispositivi); nonché il
servizio di rete o cellulare esterno all’Apparecchiatura Garantita;
(ii) Gli eventuali danni subiti dall’Apparecchiatura Garantita a causa di incidenti, uso
improprio, negligenza, cattivo utilizzo (ivi inclusa l’installazione, la riparazione o la
manutenzione effettuata da soggetti diversi da Apple o Apple Authorized Wireless
Service Provider), modifiche non autorizzate, condizioni ambientali estreme (ivi incluse
temperatura e umidità estreme), inconsueta sollecitazione o interferenza fisica o
elettrica, cali o sbalzi di corrente elettrica, fulmini, elettricità statica, incendi, cause di
forza maggiore ovvero altre cause esterne;
(iii) L’Apparecchiatura Garantita contraddistinta da un numero di serie modificato, cancellato
o rimosso;
(iv) Problemi causati da un dispositivo non compreso nell’ambito dell’Apparecchiatura
Garantita, incluse apparecchiature non contraddistinte dal marchio Apple,
indipendentemente dal fatto che siano state acquistate o meno unitamente
all’Apparecchiatura Garantita;
(v) L’intervento necessario per ottemperare alle disposizioni di un ente od organismo
governativo emanate successivamente alla data del presente Piano;Italiano 71
(vi) I problemi derivanti dal funzionamento del servizio di rete o cellulare o da virus o da altri
problemi relativi al software che interessano l’Apparecchiatura Garantita;
(vii) L’eventuale perdita o furto dell’Apparecchiatura Garantita. Il presente Piano garantisce
esclusivamente l’Apparecchiatura Garantita che viene restituita ad Apple nella sua
integrità;
(viii) I danni di tipo “estetico” ivi inclusi, a titolo meramente esemplificativo e non esaustivo,
graffi, ammaccature, rottura degli elementi in plastica delle porte;
(ix) La manutenzione preventiva dell’Apparecchiatura Garantita;
(x) La messa a disposizione di apparecchi sostitutivi durante il periodo in cui
l’Apparecchiatura Garantita é in fase di riparazione;
(xi) I danni o le perdite di software o dati salvati o registrati nell’Apparecchiatura Garantita.
IL CONTENUTO DELL’IPHONE DEL CLIENTE SARÁ CANCELLATO E IL SUPPORTO
RIFORMATTATO DURANTE IL SERVIZIO. L’iPhone del cliente o un iPhone sostitutivo sarà
restituito al cliente nella configurazione in cui è stato acquistato il prodotto originale,
fermi restando i possibili aggiornamenti. Apple potrà installare aggiornamenti del
software di sistema (“SO dell’iPhone”) come parte del servizio al fine di evitare che
l’iPhone torni ad una precedente versione dell’SO dell’iPhone. Applicazioni terze
istallate sull’iPhone potrebbero non essere compatibili o non funzionare con l’iPhone
in conseguenza dell’aggiornamento dell’SO dell’iPhone. Il cliente è responsabile per la
re-istallazione di tutti gli altri programmi software, dei dati e delle password. Il recupero
e la re-istallazione dei programmi software e dei dati dell’utente non sono coperti dal
presente Piano.
(xii) I difetti riconducibili alla ordinaria usura del prodotto o altrimenti dovuti al normale
invecchiamento dello stesso; o
(xiii) Ad eccezione di quanto qui stabilito, qualsiasi altro danno che non sia causato da difetti dei
materiali e di fabbricazione, o dall’uso normale e consueto dell’Apparecchiatura Garantita.
c. Opzioni relative all’Assistenza. Apple potrà fornire il servizio di assistenza attraverso una o più
delle seguenti opzioni:
(i) Il servizio di assistenza “carry-in”. Il cliente porterà l’Apparecchiatura Garantita presso un
Apple Retail Store o presso un Apple Authorized Wireless Service Provider (“AAWSP”) che 72 Italiano
fornisce il servizio di assistenza “carry-in”. Il servizio di assistenza sarà prestato presso tale
sede; alternativamente, il punto vendita potrà inviare l’Apparecchiatura Garantita presso
un centro assistenza Apple affinché provveda alla riparazione. Una volta ricevuta la
comunicazione relativa al completamento del servizio di assistenza, il cliente s’impegna
a ritirare tempestivamente il prodotto.
(ii) Il servizio di assistenza via posta. Una volta accertata la possibilità di utilizzare il servizio
di assistenza via posta per l’Apparecchiatura Garantita, Apple provvederà ad inviare
al cliente documenti prepagati per l’invio (e nel caso in cui il cliente non abbia
conservato l’imballaggio originale, Apple potrà inviare anche il materiale necessario
per l’imballaggio) e il cliente provvederà a spedire l’Apparecchiatura Garantita presso il
centro di assistenza Apple, conformemente alle istruzioni ricevute. Una volta completata
la riparazione, il servizio di assistenza Apple restituirà l’Apparecchiatura Garantita al
cliente. Apple si farà carico delle spese di spedizione da e verso la sede del cliente a
condizione che tutte le istruzioni siano eseguite.
(iii) Il servizio per il ricambio di parti “fai-da-te” è disponibile per molte parti
dell’Apparecchiatura Garantita o per i suoi accessori. Tale servizio consente al cliente di
procedere personalmente alla riparazione del prodotto. Nel caso in cui il servizio per il
ricambio di parti “fai-da-te” risulti disponibile, si applica la procedura descritta di seguito.
(A) Servizio per il ricambio di parti “fai-da-te” in caso di richiesta di restituzione della parte
sostituita da parte di Apple. A garanzia del pagamento del prezzo relativo alle parti di
ricambio e alle spese di spedizione, Apple può richiedere al cliente un’autorizzazione
per l’addebito del prezzo su carta di credito. Nel caso in cui il cliente non possa fornire
detta autorizzazione, il servizio per il ricambio di parti “fai-da-te” potrebbe non essere
disponibile; in tal caso, Apple offrirà al cliente un servizio di assistenza alternativo.
Apple provvederà a spedire al cliente la parte di ricambio, allegando le istruzioni
per l’installazione e altre indicazioni relative alla restituzione della parte sostituita.
Se il cliente si atterrà alle istruzioni ricevute, Apple annullerà l’autorizzazione relativa
all’addebito su carta di credito, pertanto il prezzo relativo alla parte di ricambio,
nonché alle spese di spedizione al e dal domicilio del cliente, non sarà addebitato
al cliente. Qualora la parte sostituita non venga restituita come da istruzioni, Apple
addebiterà sulla carta di credito del cliente l’importo autorizzato.Italiano 73
(B) Servizio per il ricambio di parti “fai-da-te” senza richiesta di restituzione della parte
sostituita da parte di Apple. Apple spedirà gratuitamente al cliente la parte da
sostituire, allegando le istruzioni per l’installazione ed eventuali altre indicazioni
relative alla dismissione della parte sostituita.
(C) Apple non si fa carico di alcuna spesa relativa alla manodopera sostenuta dal
cliente in relazione al servizio per il ricambio di parti “fai-da-te”. Nel caso in cui il
cliente dovesse necessitare di ulteriore assistenza, potrà contattare Apple al numero
telefonico indicato di seguito.
Apple si riserva il diritto di modificare in qualsiasi momento le modalità di fornitura del
servizio di riparazione o sostituzione, nonché i requisiti affinché l’Apparecchiatura Garantita
possa usufruire di una particolare modalità di assistenza. Le opzioni relative al servizio di
assistenza, la disponibilità delle parti di ricambio ed i tempi di risposta potranno essere
soggetti a variazioni.
d. Come ottenere il servizio di assistenza o sostituzione. Per usufruire del servizio di assistenza
previsto dal presente Piano, è sufficiente accedere al sito Web di Apple relativo al Paese del
cliente o chiamare il numero telefonico, entrambi indicati di seguito. I numeri di telefono
possono variare in base alla sede del cliente. In caso di accesso al sito Web, occorrerà seguire
le istruzioni relative alla richiesta del servizio di riparazione fornito da Apple. In caso di
assistenza telefonica, risponderà un operatore dell’assistenza tecnica Apple, il quale richiederà
il Numero di Contratto del Piano e consiglierà il servizio di assistenza più idoneo in relazione
l’Apparecchiatura Garantita. Il servizio di assistenza è sempre soggetto alla previa approvazione
da parte di Apple. La sede del servizio di assistenza potrà variare in base alla sede del cliente. Il
cliente è tenuto a conservare il documento di Conferma del Piano e la ricevuta originale relativa
all’Apparecchiatura Garantita e al Piano. La prova d’acquisto potrebbe essere necessaria per
valutare l’idoneità del prodotto alla copertura prevista dal Piano.
2. Supporto tecnico
a. Supporto telefonico e online. Il cliente ha diritto ad usufruire del supporto tecnico a partire
dalla data di scadenza del supporto tecnico complementare dell’Apparecchiatura Garantita
o dalla data di inizio del Periodo di Garanzia, a seconda di quale condizione si verifichi per
ultima, e fino alla fine del Periodo di Garanzia (“Periodo di Garanzia Tecnica”). Durante il 74 Italiano
Periodo di Garanzia Tecnica, Apple fornirà al cliente accesso ai servizi di supporto tecnico
sia telefonico che online. Il Supporto tecnico può includere l’assistenza in riferimento
all’istallazione, avvio, configurazione, analisi per la risoluzione dei problemi, ripristino
(ad eccezione del ripristino dei dati), inclusi l’archiviazione, recupero e gestione dei file;
interpretazione dei messaggi di errore di sistema; e valutazione della necessità di riparazioni
dell’hardware. Apple fornirà supporto tecnico in relazione all’Apparecchiatura Garantita,
all’SO dell’iPhone, alle applicazioni del software che sono pre-installate nell’Apparecchiatura
Garantita e ai problemi di connettività fra l’Apparecchiatura Garantita e il computer
supportato, intendendosi un computer che soddisfa le specifiche di connettività
dell’Apparecchiatura Garantita e che utilizza un sistema operativo che è supportato
dall’Apparecchiatura Garantita. Apple fornirà il supporto per la versione corrente dell’SO
dell’iPhone e del software iPhone, e del precedente Major Release, ma si riserva il diritto di
modificare, in qualunque momento, il supporto fornito con riferimento a qualunque versione
precedente. Ai sensi della presente sezione, per “Major Release” si intende una versione
principale del software che è messa in commercio da Apple con un numero di distribuzione
con formato pari a “1.0” o “2.0” e che non sia in forma beta o pre-release.
b. Limitazioni. Il Piano non copre:
(i) I problemi che possono essere risolti attraverso l’aggiornamento del software alla
versione corrente;
(ii) L’utilizzo o la modifica, da parte del cliente, dell’Apparecchiatura Garantita, dell’SO
dell’iPhone e del software dell’iPhone in un modo non conforme alla modalità in cui è
previsto che l’Apparecchiatura Garantita e il software possano essere usati o modificati;
(iii) I prodotti di terzi, i loro effetti su o la loro interazione con l’Apparecchiatura Garantita,
l’SO dell’iPhone e il software dell’iPhone;
(iv) L’uso, da parte del cliente, di un computer o di un sistema operativo che non ha relazione
con il software iPhone o problemi di connettività con l’Apparecchiatura Garantita;
(v) Il software Apple diverso dall’SO dell’iPhone o del software iPhone, come identificato
dal Piano;
(vi) Il SO dell’iPhone o ogni altro software avente marchio Apple definito come “beta”, “prerelease” o “preview” o software qualificato in modo similare;Italiano 75
(vii) Il danno a o la perdita di qualunque software o dei dati inseriti o registrati
nell’Apparecchiatura Garantita.
c. Modalità di fruizione del supporto tecnico. Il cliente può usufruire del supporto tecnico
chiamando il numero telefonico indicato di seguito. L’operatore per il supporto tecnico di
Apple fornirà al cliente il supporto tecnico. L’orario di operatività del servizio è elencato di
seguito. Apple si riserva il diritto di modificare l’orario di operatività del servizio di supporto
tecnico e i numeri telefonici in qualunque momento. I servizi di supporto on-line sono offerti
al cliente al sito internet di Apple indicato di seguito.
3. Obblighi del cliente
Per usufruire dei servizi previsti dal Piano, il cliente si impegna ad ottemperare ai seguenti impegni:
a. Fornire il proprio Numero di Contratto del Piano e il numero di serie dell’Apparecchiatura
Garantita;
b. Fornire informazioni riguardo ai sintomi e le cause dei problemi relativi all’Apparecchiatura
Garantita; e
c. Seguire le istruzioni fornite da Apple, ivi incluse, a titolo meramente esemplificativo e non
esaustivo, evitare di inviare ad Apple prodotti e accessori che non rientrano nel servizio di
riparazione o sostituzione e imballare l’Apparecchiatura Garantita in conformità alle istruzioni
di spedizione; e
d. Aggiornare il software con la versione più aggiornata prima di richiedere il servizio.
4. Limitazioni di responsabilità
PER I CONSUMATORI CHE, NEL PAESE IN CUI HANNO EFFETTUATO L’ACQUISTO, BENEFICIANO
DELL’APPLICAZIONE DI LEGGI E NORME PER LA TUTELA DEL CONSUMATORE, LE GARANZIE
PREVISTE DAL PRESENTE PIANO SONO DA CONSIDERARSI AGGIUNTIVE RISPETTO A TUTTI I DIRITTI
E I RIMEDI PREVISTI DA DETTE LEGGI E NORME. NULLA DI QUANTO PREVISTO DAL PRESENTE
PIANO PREGIUDICHERÁ I DIRITTI DEI CONSUMATORI PREVISTI DALLE LEGGI APPLICABILI, IVI
INCLUSO IL DIRITTO DEL CONSUMATORE DI CHIEDERE IL RISARCIMENTO DEI DANNI IN CASO
DI INADEMPIMENTO PARZIALE O TOTALE OVVERO IN CASO DI INESATTO ADEMPIMENTO DELLE
OBBLIGAZIONI CONTRATTUALI DA PARTE DI APPLE. 76 Italiano
ENTRO IL LIMITE MASSIMO CONSENTITO DALLA LEGGE APPLICABILE, APPLE E I SUOI DIPENDENTI
E RAPPRESENTANTI NON SARANNO IN ALCUNA CIRCOSTANZA RITENUTI RESPONSABILI NEI
CONFRONTI DEI CLIENTI O DEI SUCCESSIVI PROPRIETARI PER TUTTI GLI EVENTUALI DANNI
INDIRETTI O CONSEQUENZIALI, IVI INCLUSI, A TITOLO ESEMPLIFICATIVO E NON ESAUSTIVO, I COSTI
DI RIPRISTINO, RIPROGRAMMAZIONE O RIPRODUZIONE DI QUALSIASI PROGRAMMA O DATO, O
LA MANCATA RISERVATEZZA DI DATI, LA PERDITA COMMERCIALE, IL MANCATO GUADAGNO, IL
MANCATO RICAVO O RISPARMIO PRESUNTO, CHE SIANO RICONDUCIBILI AGLI OBBLIGHI DI APPLE
PREVISTI DAL PRESENTE PIANO. NEI LIMITI IN CUI CIÓ SIA CONSENTITO DALLA LEGGE APPLICABILE,
IL LIMITE DELLA RESPONSABILITÁ DI APPLE E DI SUOI DIPENDENTI E RAPPRESENTANTI NEI
CONFRONTI DEI CLIENTI E DEI SUCCESSIVI PROPRIETARI DERIVANTE DAL PRESENTE PIANO NON
ECCEDERÁ IL PREZZO ORIGINARIAMENTE PAGATO PER L’ACQUISTO DEL PIANO. IN PARTICOLARE,
APPLE NON GARANTISCE CHE SARÁ IN GRADO DI (i) RIPARARE O SOSTITUIRE L’APPARECCHIATURA
GARANTITA SENZA RISCHI CONNESSI ALLA PERDITA DI PROGRAMMI O DATI E DI (ii) MANTENERE
LA RISERVATEZZA DEI DATI. NULLA DI QUANTO PREVISTO DAL PRESENTE CONTRATTO ESCLUDE O
LIMITA LA RESPONSABILITÁ DI APPLE IN CASO DI (I) MORTE O LESIONI PERSONALI CAUSATE DA
PROPRIA NEGLIGENZA O (II) DOLO.
NEI LIMITI DI QUANTO CONSENTITO DALLE SUDDETTE NORME E LEGGI, LA RESPONSABILITÁ
DI APPLE È LIMITATA, A SUA COMPLETA DISCREZIONE, ALLA SOSTITUZIONE O RIPARAZIONE
DELL’APPARECCHIATURA GARANTITA OVVERO ALLA FORNITURA DEL SERVIZIO DI ASSISTENZA.
5. Recesso
É possibile recedere in qualsiasi momento dal presente Piano, per qualsivoglia ragione. Nel caso
in cui il cliente decida di recedere dal Piano può contattare Apple al numero di telefono indicato
di seguito, ovvero spedire una comunicazione scritta recante il Numero di Contratto del Piano al
seguente indirizzo: Apple Customer Support, Hollyhill Industrial Estate, Hollyhill, Cork, Repubblica
d’Irlanda, ovvero inviare tale comunicazione via fax (numero di fax: +353-(0)21-428-3917). A tale
comunicazione deve essere allegata una copia della prova di acquisto originale del Piano. Salvo
quanto diversamente previsto dalle leggi locali, in caso di recesso esercitato entro trenta (30)
giorni dall’acquisto del Piano, ovvero, se successiva, dalla ricezione delle presenti Condizioni
Generali, il cliente riceverà un rimborso totale del prezzo pagato, dedotto il valore dell’assistenza
eventualmente fornita ai sensi del Piano. In caso di recesso esercitato oltre trenta (30) giorni
dalla ricezione del presente Piano, il cliente riceverà un rimborso proporzionale al prezzo di Italiano 77
acquisto originario, calcolato in base della percentuale del Periodo di Garanzia non maturato,
dedotti (a) la penale per il recesso di cui alla sezione 8 ovvero, se inferire, il dieci per cento (10%)
dell’importo pro rata, nonché (b) il valore dell’eventuale assistenza fornita in base al Piano. Salvo
quanto diversamente previsto dalle leggi locali applicabili, nel caso in cui le parti di ricambio
dell’Apparecchiatura Garantita non siano più disponibili, Apple potrà recedere dal presente Piano
inviando un preavviso scritto di trenta (30) giorni. Qualora Apple receda dal presente Piano, il
cliente riceverà un rimborso proporzionale al periodo di durata del Piano non ancora trascorso.
6. Cessione del Piano
È possibile cedere il presente Piano ad un terzo acquirente dell’Apparecchiatura Garantita inviando
via posta o via fax una comunicazione relativa alla cessione del Piano al seguente indirizzo: Apple
Customer Support, Hollyhill Industrial Estate, Hollyhill, Cork, Repubblica d’Irlanda, numero di fax:
+353-(0)21-428-3917. In caso di cessione del Piano, è necessario fornire i seguenti dati: il Numero
di Contratto del Piano, i numeri di serie dell’Apparecchiatura Garantita oggetto della cessione,
la prova d’acquisto del Piano, il nome, l’indirizzo, il numero di telefono e l’indirizzo di posta
elettronica del nuovo proprietario.
7. Disposizioni generali
a. Apple può subappaltare o cedere l’esecuzione dei propri obblighi a terzi. Apple non sarà
tuttavia sollevata dai propri obblighi nei confronti del cliente.
b. Apple non è responsabile di eventuali inadempimenti o ritardi nell’esecuzione dei propri
obblighi derivanti dal presente Piano causati da eventi al di fuori del suo ragionevole
controllo.
c. Al fine di ricevere l’assistenza ai sensi del Piano, non è necessaria l’esecuzione di manutenzione
preventiva sull’Apparecchiatura Garantita.
d. Il presente Piano è offerto e valido solo in Austria, Francia (esclusa Corsica e i dipartimenti e
territori d’oltremare), Germania, Irlanda, Italia, Spagna (incluse le Isole Baleari ma escluse le Isole
Canarie, Ceuta e Melilla), Svizzera e Regno Unito. Il presente Piano non è offerto a soggetti non
ancora maggiorenni. Il presente Piano non è disponibile laddove proibito dalla legge.78 Italiano
e. Nell’adempimento dei propri obblighi, Apple potrà, a propria discrezione ed esclusivamente
allo scopo di verificare la qualità delle risposte fornite, registrare parzialmente o interamente
le conversazioni tra Apple ed il cliente.
f. Il cliente concorda che le informazioni o i dati forniti ad Apple in base al Piano non sono
confidenziali o di proprietà esclusiva del cliente. Inoltre, il cliente concorda che Apple possa
raccogliere e trattare dati per conto del cliente stesso durante il processo di fornitura del
servizio. Ciò potrebbe comportare la necessità di trasferire i dati del cliente a società collegate
ovvero a fornitori del servizio di assistenza in conformità alla policy in materia di privacy di
Apple consultabile sul sito web indicato di seguito.
g. Apple ha messo a punto misure di sicurezza atte a proteggere i dati dei clienti contro l’accesso
non autorizzato o alla divulgazione o alla distruzione illegale dei dati stessi. Il cliente sarà
responsabile per le istruzioni impartite ad Apple sul trattamento dei dati, ed Apple cercherà di
conformarsi a tali istruzioni nella misura necessaria secondo ragionevolezza al fine di fornire
il servizio e l’assistenza di cui al Piano. Qualora il cliente non dovesse concordare con quanto
suesposto o se avesse domande riguardanti l’impatto che potrebbe derivare ai propri dati dal
trattamento degli stessi, é invitato a contattare Apple agli appositi numeri telefonici.
h. Apple proteggerà le informazioni del cliente in conformità alla propria policy in materia
di privacy del cliente (Apple Customer Privacy Policy). Il cliente, per accedere alle proprie
informazioni di cui Apple risulta in possesso o per apportarvi delle modifiche, deve consultare
il sito web URL www.apple.com/contact/myinfo, ovvero contattare il controller dei dati
personali europeo di Apple all’indirizzo e-mail privacyeurope@apple.com.
i. Le Condizioni Generali di cui al presente Piano sono destinate a prevalere su ogni condizione
discordante, aggiuntiva ovvero qualunque altra condizione eventualmente prevista da ordini
di acquisto o da qualsiasi altro documento, e costituiscono l’intero accordo tra Apple e il
cliente in relazione al Piano.
j. I diritti che il cliente detiene relativamente al Piano si aggiungono a qualsiasi diritto di
garanzia al quale il cliente possa aver diritto. Il cliente deve acquistare e registrare il Piano
durante l’anno in cui l’iPhone Apple é coperto dalla garanzia annuale limitata Apple. Apple
non è obbligata a rinnovare il presente Piano. Nel caso in cui Apple dovesse proporre di
rinnovare il Piano, ne determinerà il prezzo e le condizioni. Italiano 79
k. Il presente Piano non prevede un procedimento di composizione amichevole delle
controversie.
l. Gli obblighi finanziari del presente Piano sono sostenuti da Apple Sales International, Hollyhill
Industrial Estate, Hollyhill, Cork, Repubblica d’Irlanda. Nel caso in cui Apple Sales International
non adempia a tali obblighi, questi ultimi saranno assunti da Apple Operations Europe,
Hollyhill Industrial Estate, Hollyhill, Cork, Irlanda.
m. Il presente Piano sarà disciplinato dalle leggi vigenti nel Paese in cui il Piano è stato
acquistato ed attivato. Tale scelta in materia di legislazione applicabile non include le norme
in materia di conflitti tra leggi né la Convenzione delle Nazioni Unite sui contratti di vendita
internazionale di merci.
n. Nel caso in cui una sezione o parte di una sezione delle presenti Condizioni Generali sia ritenuta
non valida, nulla o inapplicabile, detta sezione o parte di sezione sarà eliminata dalle Condizioni
Generali e le restanti Condizioni Generali continueranno ad essere valide ed efficaci.
8. Variazioni in base al Paese di Acquisto
Le seguenti variazioni in base al Paese di acquisto prevarranno nel caso in cui si discostino da altre
disposizioni del presente Piano:
ITALIA
SEZIONE 4 -
A. QUALORA IL CLIENTE SIA UN CONSUMATORE, LE PREVISIONI DEL PRESENTE PIANO NON
POTRANNO LIMITARE O ESCLUDERE LA RESPONSABILITÀ DI APPLE IN CASO DI VIOLAZIONI
DELLE NORME DI LEGGE APPLICABILI IN RELAZIONE AL PIANO.
B. SE IL CLIENTE NON È UN CONSUMATORE:
(I) LE CONDIZIONI ED I TERMINI QUI RIPORTATI RAPPRESENTANO NELLA LORO INTEREZZA
GLI OBBLIGHI E LE RESPONSABILITÀ DI APPLE IN RELAZIONE ALLA PRESTAZIONI
PREVISTE DAL PRESENTE PIANO;
(II) APPLE NON SARÀ TENUTA AD ALTRE GARANZIE, CONDIZIONI O TERMINI DIVERSI DA
QUELLI ESPRESSAMENTE STABILITI NEL PRESENTE PIANO;
(III) EVENTUALI GARANZIE, CONDIZIONI O ALTRI TERMINI RIGUARDANTI I PRODOTTI O
I SERVIZI CHE POTREBBERO ESSERE CONNESSI AL PIANO O INSERITI NELLO STESSO 80 Italiano
PER LEGGE, PRASSI O LEGGI APPLICABILI NEL PAESE DI ACQUISTO O ALTRIMENTI
(INCLUSA, SENZA LIMITAZIONI, OGNI CONDIZIONE IMPLICITA IN ORDINE ALLA QUALITÀ,
ALL’IDONEITÀ ALLO SCOPO, ALLA RAGIONEVOLE DILIGENZA E PERIZIA) SONO
QUI ESPRESSAMENTE ESCLUSI NEL LIMITE MASSIMO PERMESSO DALLA LEGGE. IN
PARTICOLARE, APPLE NON SARÀ TENUTA AD ASSICURARSI CHE IL PIANO SIA IDONEO
AGLI SCOPI DEL CLIENTE.
C. LE PRESENTI PREVISIONI CONTRATTUALI NON POTRANNO IN ALCUN CASO ESCLUDERE
O LIMITARE LA RESPONSABILITÀ DI APPLE IN CASO DI (I) MORTE O LESIONI PERSONALI
RICONDUCIBILI A NEGLIGENZA DI APPLE O (II) DOLO O (III) QUALUNQUE VIOLAZIONE
DELLE OBBLIGAZIONI PREVISTE DALLA LEGGE NAZIONALE APPLICABILE IN RIFERIMENTO AL
TITOLO DI PROPRIETÁ O (IV) QUALUNQUE RESPONSABILITÁ LA CUI ESCLUSIONE NON SIA
CONSENTITA DALLA LEGGE.
D. FERMO RESTANDO QUANTO PREVISTO DAL PARAGRAFO 4.C DELLA PRESENTE SEZIONE, IN
RELAZIONE A QUESTO PIANO, APPLE NON SARÀ RESPONSABILE IN IPOTESI DI PERDITE DI
RICAVI, DI UTILI, DI CONTRATTI, DI DATI O PER OGNI ALTRO DANNO, O PERDITA, DIRETTO O
CONSEQUENZIALE DI QUALSIASI NATURA, DERIVANTE DA O COMUNQUE CAUSATO DA FATTI
ILLECITI (ANCHE A TITOLO DI COLPA), INADEMPIMENTI CONTRATTUALI O AD ALTRO TITOLO.
E. FERMO RESTANDO QUANTO PREVISTO DAL PARAGRAFO 4.C DELLA PRESENTE SEZIONE,
IL LIMITE MASSIMO DI RESPONSABILITÀ CONTRATTUALE, PER FATTO ILLECITO (ANCHE A
TITOLO DI COLPA) O AD ALTRO TITOLO, NON POTRÀ IN ALCUN CASO SUPERARE L’IMPORTO
CORRISPOSTO DAL CLIENTE AD APPLE IN RELAZIONE AL PRESENTE PIANO.
SEZIONE 5 – IN CASO DI RECESSO ESERCITATO OLTRE TRENTA (30) GIORNI DAL RICEVIMENTO
DEL PRESENTE PIANO, IL CLIENTE RICEVERÁ UN RIMBORSO PRO-RATA DEL PREZZO DI ACQUISTO
ORIGINARIO DEL PIANO, DEDOTTA LA PENALE PER IL RECESSO PARI A 25 EURO, OVVERO, SE
INFERIORE, PARI AL DIECI PER CENTO (10%) DELL’IMPORTO PRO RATA IN CASO DI RECESSO DA
PARTE DI APPLE, IL CLIENTE, QUALORA SIA UN CONSUMATORE, RICEVERÁ DA APPLE UNA PENALE
PER IL RECESSO PARI AL DOPPIO DELLA PENALE PER IL RECESSO CHE IL CLIENTE AVREBBE DOVUTO
PAGARE NEL CASO IN CUI AVESSE DECISO DI RECEDERE DAL PIANO AL MOMENTO IN CUI SI È
VERIFICATO IL RECESSO DI APPLE.
QUALORA IL PRESENTE PIANO SIA STATO ACQUISTATO DA UN CONSUMATORE MEDIANTE IL SITO
WEB DI APPLE STORE OVVERO TELEFONICAMENTE, IL CONSUMATORE HA IL DIRITTO DI RECEDERE Italiano 81
ENTRO QUATTORDICI (14) GIORNI DALL’ACQUISTO DEL PIANO. IL CLIENTE RICEVERÀ UN RIMBORSO
PIENO. GLI ARTICOLI 50 – 61 DEL DECRETO LEGISLATIVO N. 206 DEL 6 SETTEMBRE 2005 (CODICE
DEL CONSUMO) SI APPLICHERANNO AL PRESENTE PIANO NEL CASO IN CUI (I) IL PRESENTE PIANO
SIA ACQUISTATO MEDIANTE IL SITO WEB APPLE STORE, OVVERO (II) IL PRESENTE PIANO SIA
PERFEZIONATO COME UN “CONTRATTO A DISTANZA”.
SVIZZERA
SEZIONE 4 – LA SEZIONE 4 È SOSTITUITA DALLE PREVISIONI SEGUENTI:
4.1 – QUALORA IL CLIENTE SIA UN CONSUMATORE, LE PREVISIONI DEL PRESENTE PIANO NON
POTRANNO LIMITARE O ESCLUDERE LA RESPONSABILITÀ DI APPLE IN CASO DI VIOLAZIONE
DELLE CONDIZIONI STABILITE DALLA LEGGE APPLICABILE.
4.2 – SE IL CLIENTE NON È UN CONSUMATORE:
- LE CONDIZIONI E I TERMINI QUI RIPORTATI RAPPRESENTANO NELLA LORO INTEREZZA GLI
OBBLIGHI DI APPLE IN RELAZIONE AL PRESENTE PIANO;
- EVENTUALI OBBLIGHI E GARANZIE IN RELAZIONE AL PRESENTE PIANO CHE POTREBBERO
VINCOLARE APPLE SULLA BASE DELLA LEGGE APPLICABILE (IVI INCLUSE LE GARANZIE
CONCERNENTI DILIGENZA E PERIZIA) SONO, CON IL PRESENTE, ESPRESSAMENTE ESCLUSE. IN
PARTICOLARE, APPLE NON SARÀ TENUTA AD ASSICURARSI CHE IL PIANO SIA IDONEO AGLI
SCOPI DEL CLIENTE.
4.3 - LE PREVISIONI DEL PRESENTE PIANO NON POTRANNO LIMITARE O ESCLUDERE
LA RESPONSABILITÀ DI APPLE IN CASO DI MORTE O LESIONI PERSONALI CAUSATE DA
NEGLIGENZA O DOLO.
4.4 – NEL LIMITE MASSIMO PERMESSO DALLA LEGGE APPLICABILE, APPLE NON SARÀ
RESPONSABILE, IN RELAZIONE ALLE PRESENTI CONDIZIONI, IN IPOTESI DI PERDITE DI RICAVI,
DI UTILI, DI OPPORTUNITÀ O DI DATI.
4.5 – FERMO RESTANDO QUANTO PREVISTO DAL PARAGRAFO 4.3,IN RELAZIONE ALLE
PRESENTI CONDIZIONI, IL LIMITE MASSIMO DI RESPONSABILITÀ CONTRATTUALE, PER
FATTO ILLECITO O AD ALTRO TITOLO, NON POTRÀ IN ALCUN CASO SUPERARE L’IMPORTO
CORRISPOSTO DAL CLIENTE AD APPLE IN RELAZIONE AL PRESENTE PIANO.82 Italiano
SEZIONE 5 -
5.1 - LE SEGUENTI PREVISIONI SONO AGGIUNTE ALLA SEZIONE 5: QUALORA IL CLIENTE SIA UN
CONSUMATORE E ABBIA ACQUISTATO IL PRESENTE PIANO MEDIANTE IL SITO WEB DI APPLE
STORE OVVERO TELEFONICAMENTE, IL CONSUMATORE HA IL DIRITTO DI RECEDERE ENTRO
QUATTORDICI (14) GIORNI DALL’ACQUISTO DEL PIANO. IL CLIENTE RICEVERÀ UN RIMBORSO
PIENO. IN OGNI CASO, SE IL CLIENTE HA GIA USUFRUITO DEL PIANO, IL CLIENTE RICEVERÀ
UN RIMBORSO PIENO DEDOTTO IL VALORE DI OGNI SERVIZIO FORNITO IN RELAZIONE AL
PRESENTE PIANO.
5.2 – IN CASO DI RECESSO ESERCITATO OLTRE TRENTA (30) GIORNI DAL RICEVIMENTO DEL
PRESENTE PIANO, IL CLIENTE RICEVERÀ UN RIMBORSO PRO-RATA DEL PREZZO DI ACQUISTO
ORIGINARIO DEL PIANO, DEDOTTA LA PENALE PER IL RECESSO PARI A SFR 39.00 OVVERO, SE
INFERIORE, PARI AL DIECI PER CENTO (10%)DELL’IMPORTO PRO-RATA.
Telefoni di contatto
In Italia In Svizzera
(39) 199 120 800 (41) 0848 000 132
Lunedì-venerdì Lunedì-venerdì
8:00-19:45* 8:00-19:45*
10.00-17.45 (sabato)*
* I numeri di telefono e gli orari di operatività potrebbero variare e sono soggetti a modifiche. Il cliente può trovare le più
aggiornate informazioni per contatti locali e internazionali al sito www.apple.com/support/contact/phone_contacts.html .
Non in tutti i paesi sono disponibili numeri gratuiti. Tariffe locali o nazionali potrebbero essere applicabili.
APPLE SALES INTERNATIONAL, HOLLYHILL INDUSTRIAL ESTATE, HOLLYHILL, CORK, REPUBLIC OF IRELAND
WWW.APPLE.COM
EMEA APP iPhone IT v1Español 83
AppleCare Protection Plan para iPhone
Hoja informativa
La tranquilidad de la mano de Apple
Todos los iPhone ofrecen un año de cobertura de reparación y 90 días de asistencia técnica gratuita.
El AppleCare Protection Plan para el iPhone amplía esta cobertura a dos años a partir de la fecha de
compra del iPhone
1
. Tanto si usa el iPhone con un Mac como con un PC, podrá resolver prácticamente
todos sus problemas con tan solo una llamada de teléfono.
Información acerca de la cobertura
Este plan integral está disponible para todos los modelos de iPhone cuya garantía limitada de un año
aún permanezca en vigor. En caso de que decida vender el iPhone durante el periodo de vigencia
del AppleCare Protection Plan para el iPhone, podrá transferir el plan al nuevo propietario
2
. Para cada
iPhone que desee cubrir, es necesario adquirir un AppleCare Protection Plan para el iPhone distinto.
Conserve el documento de confirmación de la cobertura del plan y la factura de compra original del
iPhone, junto con el comprobante del AppleCare Protection Plan para el iPhone, ya que Apple podría
necesitarlos para determinar la inclusión de su iPhone en la cobertura del plan.
Opciones de asistencia técnica
Si experimenta algún problema con el iPhone, siga los consejos que figuran en el sitio web de soporte
del iPhone: www.apple.com/es/support/iphone. Si no es capaz de resolverlo, el personal técnico de
Apple le ayudará a solucionar los problemas relacionados con su iPhone y con su conexión a iTunes. En
la Guía de referencia también encontrará la información de contacto del servicio de soporte técnico de
Apple y el horario de atención al usuario. Con el AppleCare Protection Plan para el iPhone, Apple ofrece
el mismo servicio de cobertura tanto a los usuarios de Mac como a los usuarios de Windows.84 Español
Servicio para el hardware
Este plan amplía el servicio de reparación y sustitución de la garantía de un año de Apple a dos años
a partir de la fecha de compra del iPhone. Asimismo, extiende la cobertura a la batería del iPhone en
caso de que su capacidad de carga se reduzca en un cincuenta por ciento (50%) o menos con respecto
a su capacidad original.
La prestación del servicio puede efectuarse en un establecimiento autorizado o bien por
correspondencia directa. Consulte la Guía de referencia para obtener más detalles acerca de cómo
obtener el servicio. Como parte del servicio de reparación o sustitución proporcionado, Apple puede
suministrar componentes nuevos, usados o restaurados.
1. Este plan amplía la cobertura de reparación a dos años a partir de la fecha de compra del iPhone. Debe adquirirse antes de que
termine el período de garantía original del iPhone (un año). La cobertura de reparación puede estar sujeta a ciertas restricciones.
Las ventajas del AppleCare Protection Plan se sumarán a todos los derechos legales conferidos por las leyes de protección al
consumidor vigentes en su jurisdicción.
2. Si desea obtener más detalles, consulte el documento Condiciones del AppleCare Protection Plan adjunto.Español 85
Antes de ponerse en contacto con Apple para solicitar ayuda, realice estas sencillas operaciones
Si experimenta algún problema con el iPhone, siga los consejos que figuran en el sitio web de soporte
del iPhone: www.apple.com/es/support/iphone. Como medida de precaución, antes de comenzar es
recomendable efectuar una copia de seguridad de todos sus datos contenidos en el iPhone.
Compruebe que dispone de la última versión de iTunes
Puede descargar la versión más reciente de iTunes en www.apple.com/es/itunes/download.
Visite el sitio web de soporte del iPhone
En el sitio web de soporte del iPhone, www.apple.com/es/support/iphone, tiene a su disposición
una serie de enlaces que le permitirán acceder las 24 horas del día a todas las opciones de servicio
disponibles, a las lecciones de iniciación del iPhone, a los foros de debate y a otros recursos de ayuda
acerca del funcionamiento y la solución de problemas.
Póngase en contacto con Apple para obtener más asistencia
Si mediante las instrucciones de esta guía no ha podido resolver el problema, póngase en contacto con
Apple. El representante de Apple que le atienda le solicitará el número de contrato de su AppleCare
Protection Plan para el iPhone y el número de serie de su iPhone, que está grabado en la parte
posterior de la carcasa.
En España
(34) 902 151 992
De 0900 - 19h45 (de lunes a viernes)*
* Números de teléfono y horarios de servicio sujetos a posibles modificaciones. Puede consultar la información de contacto
local e internacional más actualizada en la dirección: www.apple.com/contact/phone_contacts.html.
Guía de referencia
AppleCare Protection Plan para iPhoneEspañol 87
AppleCare Protection Plan para iPhone
Condiciones del Plan
Su Plan de Protección AppleCare para iPhone (en adelante el “Plan”) se rige por los presentes Términos
y Condiciones y constituye su contrato de mantenimiento con Apple Sales International (en adelante,
“Apple”). Conforme a estos Términos y Condiciones, su plan (i) cubre los defectos del producto de marca
Apple, iPhone, mencionado en su Certificado o Comprobante de Cobertura del Plan (la “Confirmación
del Plan”), un auricular iPhone Bluetooth de marca Apple, si es de su propiedad y es utilizado con el
iPhone cubierto y los accesorios de hardware incluidos en el empaquetado original del iPhone (referidos
de forma conjunta como el “Equipo Cubierto”) y (ii) le proporciona acceso a soporte telefónico y on line
basado en recursos web para el Equipo Cubierto. Para obtener la Confirmación del Plan deberá registrar
el número identificativo del contrato o registro (el “Número de Contrato del Plan”) conforme a lo expuesto
en las instrucciones incluidas en el empaquetado del Plan. Los clientes que opten por la alternativa del
auto-registro, cuando esta opción esté disponible, recibirán automáticamente su Confirmación del Plan.
La duración del Plan (el “Período de Cobertura”) será la correspondiente al período que finaliza en la fecha
señalada en su Confirmación del Plan. El precio del Plan figura en su recibo de venta original. Apple puede
restringir los servicios prestados en virtud del Plan al País de Compra original del Equipo Cubierto.
1. Cobertura de Reparaciones.
a. Ámbito de cobertura. Su cobertura por defectos comienza en la fecha de expiración de
la garantía del hardware Apple de su Equipo Cubierto y termina al final del Período de
Cobertura (el “Período de Cobertura de Reparación”). Apple, a su elección, reparará o
sustituirá el Equipo Cubierto afectado, si (i) dentro del Periodo de Cobertura de Reparación
existe un defecto de materiales o mano de obra del Equipo Cubierto o si (ii), durante el
Periodo de Cobertura, la capacidad para mantener la carga eléctrica de la batería iPhone
cubierta, se hubiera reducido en un cincuenta por ciento (50%) ó más respecto a sus
especificaciones originales (tras haber sido debidamente cargada y los parámetros de audio
y vídeo del iPhone cubierto restablecidos). Apple proporcionará las piezas y la mano de obra, 88 Español
pero podrá pedirle que Ud mismo sustituya ciertas piezas de fácil instalación, tal y como se
detalla a continuación. Apple podrá proporcionar productos o piezas de nueva fabricación
o partes que se fabrican a partir de piezas que son nuevas o equivalentes a nuevas tanto en
rendimiento como en fiabilidad. El producto o las piezas de repuesto serán funcionalmente
equivalentes a los sustituidos y tendrán la cobertura restante conforme al Plan. Los productos
y piezas sustituidos pasarán a ser propiedad de Apple. Apple le recomienda expresamente
que haga una copia de seguridad de los datos y el software instalados o grabados en el
Equipo Cubierto antes de entregarlo para su reparación o sustitución.
b. Limitaciones. El Plan no cubre:
(i) la instalación, retirada y eliminación del Equipo Cubierto ni la instalación, retirada, reparación
y mantenimiento de equipos no cubiertos (incluidos los accesorios, complementos y otros
dispositivos) ni servicios celulares o de red externos al Equipo Cubierto;
(ii) los daños en el Equipo Cubierto causados por accidente, uso indebido, negligencia, uso
incorrecto (incluida la instalación, reparación o mantenimiento defectuosos por parte
de cualquier persona distinta de Apple o un Proveedores de Servicio Autorizados para
Dispositivos Inalámbricos Apple), modificación no autorizada, inadecuación del entorno
(incluidas la temperatura y la humedad extremas), interferencias y tensiones eléctricas o
físicas anómalas, fluctuaciones y subidas de la tensión eléctrica, relámpagos, electricidad
estática, incendio, causas de fuerza mayor u otras causas externas;
(iii) los Equipos Cubiertos cuyo número de serie hubiera sido alterado, modificado,
desfigurado o eliminado;
(iv) los problemas causados por dispositivos que no formen parte del Equipo Cubierto,
incluido el equipo que no sea de marca Apple, aunque se hubiera adquirido junto con el
Equipo Cubierto;
(v) los servicios necesarios para ajustarse a las normativas de cualquier ente u organismo
administrativo, posteriores a la fecha de contratación de este Plan;
(vi) los problemas causados por el funcionamiento del servicio de red o celular o por virus, o
cualquier otro tipo de problemas de software introducidos en el Equipo Cubierto;
(vii) la pérdida o robo del Equipo Cubierto; este Plan solamente cubre el Equipo Cubierto
devuelto a Apple en su integridad;Español 89
(viii) los daños superficiales en el Equipo Cubierto, incluidas, entre otras, las raspaduras,
abolladuras y plásticos rotos en puertos;
(ix) el mantenimiento preventivo del Equipo Cubierto;
(x) la entrega de un equipo sustitutivo durante la reparación o sustitución del Equipo
Cubierto;
(xi) los daños o la pérdida del software y/o los datos instalados o grabados en el
Equipo Cubierto. EL CONTENIDO DE SU iPHONE SERÁ ELIMINADO Y LOS MEDIOS DE
ALMACENAJE REFORMATEADOS EN EL CURSO DEL SERVICIO. Su iPhone o un iPhone
de sustitución le serán devueltos con la misma configuración que tenia el iPhone
cuando fue adquirido, sujeto a las actualizaciones aplicables. Apple puede instalar
actualizaciones del software de sistema (“ iPhone OS “) como parte de su servicio
que impedirán que el iPhone vuelva a una versión anterior del iPhone OS. Puede
que las aplicaciones de terceros instaladas en el iPhone no sean compatibles o no
funcionen con el iPhone como consecuencia de la actualización del iPhone OS. Usted
será responsable de instalar de nuevo todos los otros programas de software, datos y
contraseñas. La recuperación y la nueva instalación de programas de software y datos
de usuario no están cubiertas bajo este Plan;
(xii) defectos debidos al desgaste o envejecimiento natural del Equipo Cubierto;
(xiii) salvo cuando esté específicamente previsto en el Plan, cualquier otro daño que no sea
resultado de defectos de materiales o mano de obra o del uso normal y habitual del
Equipo Cubierto.
c. Opciones de servicio. Apple podrá prestar el servicio a través de una o más de las siguientes
alternativas:
(i) El servicio de reparación en un establecimiento autorizado. Para ello, deberá llevar el
Equipo Cubierto que precise de mantenimiento a una Apple Retail Store o Proveedores
de Servicio Autorizados para Dispositivos Inalámbricos Apple que ofrezca este servicio.
La tienda podrá realizar la reparación en su local o enviar el Equipo Cubierto para
su reparación a un centro de reparación de Apple. Una vez le haya sido notificada la
conclusión de la reparación, Usted deberá recoger el producto inmediatamente.90 Español
(ii) El servicio de reparación por correo directo. Si Apple considera que su Equipo Cubierto
reúne los requisitos para el servicio de reparación por correo, Apple le remitirá el
albarán de transporte prepagado(y, si no dispone Usted del embalaje original, Apple
puede remitirle también material de embalaje) y Usted deberá seguir sus instrucciones
para enviar el Equipo Cubierto al centro de reparación de Apple correspondiente. Una
vez finalizadas las tareas de reparación pertinentes, se le enviará de vuelta el Equipo
Cubierto. Si sigue todas nuestras instrucciones, Apple satisfará los gastos de transporte
hasta y desde el lugar donde Usted se encuentre.
(iii) El servicio de envío de piezas de recambio para su sustitución a cargo del usuario está
disponible para gran parte de las piezas y accesorios del Equipo Cubierto. Mediante este
servicio, será Usted mismo el encargado de reparar su propio producto. Si dicho servicio
estuviera disponible, se aplicará, en su caso, el siguiente procedimiento:
(A) Servicio de envío de piezas de recambio para su sustitución a cargo del usuario
en el que deba devolverse la pieza sustituida a Apple. Apple puede requerir una
autorización de cargo en su tarjeta de crédito como fianza por el precio de venta
de la pieza de recambio y los gastos de transporte pertinentes. Si Usted no pudiera
proporcionar una autorización de tarjeta de crédito, es posible que no pueda
beneficiarse del servicio de envío de piezas de recambio para su sustitución a cargo
del usuario y Apple le ofrecería métodos alternativos para prestarle el servicio.
Apple le enviará una pieza de recambio acompañada de las instrucciones para
su instalación y los requisitos necesarios para la devolución de la pieza sustituida.
Si Usted sigue las instrucciones, Apple cancelará la autorización de la tarjeta de
crédito, de manera que no se le cobrará la pieza ni los gastos de transporte desde
y hasta el lugar de destino. Si, en cambio, no siguiera todas las instrucciones
facilitadas para la devolución de la pieza sustituida, Apple cargará en su tarjeta de
crédito el importe autorizado.
(B) Servicio de envío de piezas de recambio para su sustitución a cargo del usuario
en el que no se requiere la devolución de la pieza sustituida. Apple le remitirá
gratuitamente una pieza de recambio acompañada de las instrucciones para su
instalación y cualquier otro requisito necesario para desechar la pieza sustituida.Español 91
(C) Apple no se hace responsable de ningún coste de mano de obra en que Ud.
pueda incurrir en relación con el servicio de envío de piezas de recambio para su
sustitución a cargo del usuario. Si desea recibir asistencia adicional, póngase en
contacto con Apple a través del número de teléfono que aparece a continuación.
Apple se reserva el derecho a modificar en cualquier momento el método de prestación
del servicio de reparación o sustitución y los requisitos necesarios para recibir cada tipo
de servicio. Las opciones de servicio, la disponibilidad de piezas y los plazos de respuesta
pueden variar.
d. Obtención del servicio de reparación o sustitución. Para obtener el servicio de reparación o
sustitución contemplado en el Plan, acceda al sitio web de Apple para su País (o llame al número
de teléfono referenciados mas abajo. Los números de teléfono pueden variar dependiendo del
lugar en que Ud. se halle. Si accede a través del sitio web, siga las instrucciones facilitadas por
Apple. Si llama por teléfono, le atenderá un representante del servicio técnico de Apple, quien
le solicitará su Número de Contrato del Plan, y le informará y decidirá qué servicios precisa su
Equipo Cubierto. Todos los servicios están sujetos a la previa aprobación de Apple. El lugar de
realización del servicio puede variar dependiendo del lugar en que Ud. se halle. Conserve el
documento de Confirmación del Plan y el recibo original de compra de su Equipo Cubierto y su
Plan de Protección. Puede ser necesaria la acreditación de la compra si se plantea alguna duda
sobre la inclusión de su producto en la cobertura del Plan.
2. Soporte Técnico.
a. Soporte telefónico y On Line. Su derecho para solicitar y hacer uso del soporte técnico
comienza en la fecha en la que expira el soporte técnico gratuito de su Equipo Cubierto o
en la fecha en el que el Periodo de Cobertura empieza, si éste es posterior, y termina al final
del periodo de cobertura técnica (“Periodo de Cobertura Técnica”). Durante el Periodo de
Cobertura Técnica Apple le proporcionará acceso a soporte técnico telefónico y soporte
técnico on line. El Soporte Técnico podrá incluir asistencia en la instalación, lanzamiento,
configuración, solución de problemas y recuperación (excepto recuperación de datos),
incluyendo almacenamiento, recuperación, y gestión de archivos, sistema de interpretación
de mensajes de error, y determinar cuándo se requieren reparaciones de hardware. Apple
proporcionará soporte técnico para el Equipo Cubierto, iPhone OS, aplicaciones de software
preinstaladas con el Equipo Cubierto (“iPhone Software”) y problemas de conectividad 92 Español
entre el Equipo Cubierto y el Ordenador de apoyo, es decir, un Equipo que cumple las
especificaciones de conectividad del Equipo Cubierto y ejecuta un sistema operativo
soportado por el Equipo Cubierto. Apple proporcionará soporte para la versión actual del
iPhone OS y el iPhone Software y la Versión Principal previa pero se reserva el derecho a
modificar, en cualquier momento, el soporte prestado a todas las versiones anteriores a la
actual. A los efectos de este apartado se entenderá por “Versión Principal” una importante y/o
significativa versión de software que es lanzada comercialmente por Apple con un formato
numérico de tipo 1.0 ó 2.0. y que no se encuentre en un formato Beta o de pre-lanzamiento.
b. Limitaciones. El Plan no cubre:
(i) Cuestiones que podrían resolverse actualizando el software a la versión actual.
(ii) El uso o modificación del Equipo Cubierto, el iPhone OS o Software iPhone de una
manera para la que el Equipo Cubierto o Software no está destinado a ser utilizado
o modificado.
(iii) Productos de terceros o sus efectos sobre el Equipo Cubierto o las interacciones con
el Equipo Cubierto, el iPhone OS o software iPhone.
(iv) El uso de un ordenador o sistema operativo que no este relacionado con el iPhone
Software o problemas de conectividad con el Equipo Cubierto.
(v) Otros Software de Apple que no sean el iPhone OS o iPhone Software, tal como se
definen en el Plan.
(vi) iPhone OS software o cualquier software marca Apple designado como “beta”, “preLanzado” o “preestrenado” o etiquetado de manera similar.
(vii) Daños o pérdida de cualquier software o información almacenada o grabada en el
Equipo Cubierto.
c. Obtención de Soporte Técnico. Usted podrá acceder al Soporte Técnico llamando al número
de teléfono que aparece a continuación. El representante de soporte técnico de Apple le
proporcionará apoyo técnico. Las Horas de servicio de Apple se describen a continuación.
Apple se reserva el derecho a cambiar sus horas de servicio técnico y los números de teléfono
en cualquier momento. Los recursos de Soporte Técnico On line (basados en Web) se ofrecen
en el sitio web de Apple señalado en la lista señalada a continuación. Español 93
3. Obligaciones asumidas por Usted
Para recibir los servicios previstos en el Plan, Usted se compromete a realizar lo siguiente:
a. Facilitar su Número de Contrato del Plan y número de serie del Equipo Cubierto;
b. Proporcionar información sobre los síntomas y causas de los problemas del Equipo Cubierto;
c. Seguir las instrucciones que Apple le facilite, incluidas, entre otras, abstenerse de remitir a
Apple los productos y accesorios que no sean objeto del servicio de reparación o sustitución
y embalar el Equipo Cubierto con arreglo a las instrucciones de envío y,
d. Actualizar el software a la versión actual lanzada publicada antes de solicitar el servicio.
4. Limitación de Responsabilidad
PARA LOS CONSUMIDORES SITUADOS EN PAÍSES EN LOS QUE LES SEAN DE APLICACIÓN NORMAS
LEGALES Y REGLAMENTARIAS DE PROTECCIÓN DEL CONSUMIDOR, LAS VENTAJAS CONFERIDAS
POR ESTE PLAN TENDRÁN CARÁCTER ADICIONAL A TODOS LOS DERECHOS Y LAS MEDIDAS DE
PROTECCIÓN LEGAL DERIVADOS DE DICHAS NORMAS. NADA DE LO ESTIPULADO EN ESTE PLAN
PERJUDICARÁ LOS DERECHOS RECONOCIDOS AL CONSUMIDOR EN LAS LEYES IMPERATIVAS
APLICABLES, INCLUIDO EL DE LA INDEMNIZACIÓN DE LOS DAÑOS Y PERJUICIOS EN CASO DE
INCUMPLIMIENTO TOTAL O PARCIAL O CUMPLIMIENTO INADECUADO DE CUALQUIERA DE LAS
OBLIGACIONES DE APPLE.
EN LA MEDIDA PERMITIDA POR LA LEY APLICABLE, APPLE Y SUS EMPLEADOS Y AGENTES NO
SERÁN EN NINGÚN CASO RESPONSABLES FRENTE A USTED O CUALQUIER PROPIETARIO POSTERIOR
POR LOS DAÑOS INDIRECTOS O EMERGENTES, INCLUIDOS, A TÍTULO MERAMENTE ENUNCIATIVO
Y NO LIMITATIVO, LOS COSTES DE LA RECUPERACIÓN, REPROGRAMACIÓN Y REPRODUCCIÓN
DE CUALESQUIERA PROGRAMAS O DATOS O EL INCUMPLIMIENTO DE LA OBLIGACIÓN DE
MANTENER LA CONFIDENCIALIDAD DE LOS DATOS Y DE LA PÉRDIDA DE NEGOCIO, BENEFICIOS,
INGRESOS O AHORROS ESPERADOS, RESULTANTES DE LAS OBLIGACIONES DE APPLE DERIVADAS
DEL PLAN. CON EL MÁXIMO ALCANCE PERMITIDO POR LA LEY APLICABLE, EL LÍMITE DE LA
RESPONSABILIDAD DE APPLE Y SUS EMPLEADOS Y AGENTES FRENTE A USTED Y CUALQUIER
PROPIETARIO POSTERIOR EN VIRTUD DEL PLAN NO EXCEDERÁ DEL PRECIO INICIAL SATISFECHO
POR EL MISMO. EN PARTICULAR, APPLE NO GARANTIZA QUE PUEDA (i) REPARAR O SUSTITUIR EL
EQUIPO CUBIERTO SIN RIESGO PARA LOS PROGRAMAS Y DATOS O PÉRDIDA DE LOS MISMOS NI (ii)
MANTENER LA CONFIDENCIALIDAD DE LOS DATOS. NADA DE LO ESTIPULADO DE ESTE CONTRATO 94 Español
EXCLUIRÁ NI LIMITARÁ LA RESPONSABILIDAD DE APPLE EN CASO DE (I) FALLECIMIENTO O
LESIONES PERSONALES OCASIONADAS POR SU NEGLIGENCIA Y (II) FRAUDE.
EN LA MEDIDA EN QUE ESTA RESPONSABILIDAD PUEDA LIMITARSE CON ARREGLO AL DERECHO
APLICABLE, LA RESPONSABILIDAD DE APPLE SE LIMITARÁ, A SU EXCLUSIVA DISCRECIÓN, A LA
SUSTITUCIÓN O REPARACIÓN DEL EQUIPO CUBIERTO O A LA PRESTACIÓN DEL SERVICIO.
5. Cancelación
Puede cancelar el presente Plan en cualquier momento y por cualquier motivo. Si decide hacerlo,
llame al número de teléfono que figura abajo o envíe o remita por fax una notificación por escrito
indicando su Número de Contrato del Plan al Servicio de Atención al Cliente de Apple, Hollyhill
Industrial Estate, Hollyhill, Cork, República de Irlanda (número de fax: +353-(0)21-428-3917). Deberá
adjuntar a su notificación una copia del documento original acreditativo de la compra del Plan.
A menos que la legislación local disponga otra cosa, si efectúa la cancelación en un plazo de
treinta (30) días desde la fecha de compra de su Plan o la de recepción de estas Condiciones,
si fuera posterior, recibirá el reembolso íntegro menos el valor de cualquiera de los servicios
prestados en virtud del Plan. Si efectúa la cancelación transcurridos más de treinta (30) días desde
la recepción del Plan, recibirá un reembolso proporcional del precio inicial de compra del Plan
correspondiente a la parte del Período de Cobertura que no hubiera expirado aún, menos: (a)
cualquier comisión de cancelación aplicable fijada en la cláusula 8 o un diez por ciento (10%) del
importe proporcional, si fuera menor, y (b) el valor de los servicios prestados en virtud al Plan. A
menos que la legislación local disponga otra cosa, Apple podrá cancelar el presente Plan si no
hubiera piezas de recambio disponibles para el Equipo Cubierto, con un preaviso escrito de treinta
(30) días. Si Apple cancelara el Plan, Usted percibirá un reembolso proporcional al período del Plan
que no hubiera expirado aún.
6. Transmisión del Plan
Usted podrá transmitir este Plan a un nuevo propietario del Equipo Cubierto enviando por correo
ordinario o fax, un aviso de transmisión al Servicio de Atención al Cliente de Apple, Hollyhill
Industrial Estate, Hollyhill, Cork, República de Irlanda (número de fax: +353-(0)21-428-3917. Deberá
facilitar su Número de Contrato del Plan, los números de serie del Equipo Cubierto objeto de
transmisión, la acreditación de la compra del Plan y el nombre, domicilio, número de teléfono y
dirección de correo electrónico del nuevo propietario.Español 95
7. Condiciones generales
a. Apple podrá subcontratar o ceder a terceros la ejecución de sus obligaciones, pero no por
ello quedará exenta de las mismas frente a Ud.
b. Apple no será responsable de incumplimiento o retraso alguno en el cumplimiento del Plan
por acontecimientos que razonablemente estén fuera de su control.
c. Usted no estará obligado a llevar a cabo un mantenimiento preventivo del Equipo Cubierto
para recibir los servicios del Plan.
d. Este Plan se ofrece y es válido únicamente en Austria, Francia (excluida Córcega y sus
territorios y departamentos en el exterior), Alemania, Irlanda, Italia, España(incluidas Islas
Baleares pero excluidas Islas Canarias, Ceuta y Melilla)Suiza y Reino Unido. Este plan no se
ofrece a personas menores de edad. El Plan no está disponible tampoco en los lugares en
que esté prohibido por la ley.
e. En el cumplimiento de sus obligaciones, Apple podrá, a su discreción y exclusivamente
para supervisar la calidad de su servicio, grabar la totalidad o parte de las conversaciones
telefónicas mantenidas con Ud.
f. Usted acepta que cualquier información o datos revelados a Apple conforme a este Plan
no son confidenciales y no son de su propiedad. Además, usted acepta que Apple recopile
y procese datos en su nombre cuando presta los servicios de reparación y sustitución. Ello
puede incluir la necesidad de transmitir sus datos a compañías asociadas o suministradores
de servicios de mantenimiento con arreglo a la Política de Privacidad del Cliente de Apple,
disponible en la página web señalada a continuación.
g. Apple tiene unas medidas de seguridad, que deberían proteger sus datos contra el acceso
no autorizado, revelación, o destrucción ilegal. Ud. será responsable de las instrucciones que
dé a Apple con respecto al procesamiento de sus datos, y Apple se esforzará en cumplir
estas instrucciones en la forma que racionalmente sea necesaria para la realización de las
obligaciones de asistencia, reparación y sustitución conforme a este Plan. Si no está de
acuerdo con lo anterior o si tiene alguna pregunta en relación a como sus datos pueden
verse afectados al verse procesados de esta forma, contacte a Apple utilizando lo números
de teléfono que se le han dado.96 Español
h. Apple protegerá su información conforme a la Política de Privacidad del Cliente de
Apple. Si desea acceder a la información que Apple dispone sobre Ud., o si desea realizar
modificaciones,acceda a la URL www.apple.com/contact/myinfo para actualizar sus
preferencias de contacto personales o póngase en contacto con el controlador de datos
europeo de Apple en privacyeurope@apple.com.
i. En caso de conflicto, las Condiciones del presente Plan prevalecerán sobre cualesquiera otras
contrarias o adicionales u otras condiciones que puedan figurar en los pedidos de compra u
otros documentos y representan el acuerdo íntegro entre Usted y Apple con respecto al Plan.
j. Los derechos a Ud. conferidos según el Plan tendrán carácter adicional a cualquier derecho
de garantía al que Ud. pueda tener derecho. Ud. ha de comprar y registrar el Plan mientras
su iPhone marca Apple se encuentre en el periodo de Un Año de Garantía Limitada de
Apple. Apple no está obligada a renovar este Plan. Apple, en el caso de que sí le ofrezca una
renovación, determinará el precio y las condiciones.
k. No existe un procedimiento informal de resolución de conflictos en el ámbito del Plan.
l. Las obligaciones económicas del Plan están respaldadas por Apple Sales International,
Hollyhill Industrial Estate, Hollyhill, Cork, República de Irlanda. Si Apple Sales International
no las cumpliera, Apple Operations Europe, HollyHill Industrial Estate, Hollyhill, Cork, Irlanda,
asumirá dichas obligaciones.
m. Este Plan se regirá por las leyes del país en el cual se hubiera adquirido y hubiera surgido el
derecho al mismo. Esta elección de ley aplicable no incluye sus disposiciones sobre conflicto
de leyes ni la Convención de las Naciones Unidas sobre Compraventa de Bienes.
n. Si algún apartado o parte de un apartado de estas Condiciones fuera considerado nulo o
ineficaz, dicho apartado o parte del mismo se suprimirá de ellas y los restantes conservarán
su plena vigencia y eficacia.Español 97
8. Variaciones por países
En caso de contradicción con otras estipulaciones del Plan, prevalecerán las siguientes variaciones
por países:
ESPAÑA
APARTADO 4:
4.1- SI ES UD. UN CONSUMIDOR, NADA DE LO QUE FIGURA EN EL PLAN LIMITARÁ O EXCLUIRÁ
NUESTRA RESPONSABILIDAD POR INFRACCIÓN DE CUALQUIER NORMA IMPERATIVA.
4.2 - SI UD. NO ES UN CONSUMIDOR, ENTONCES:
- ESTOS TÉRMINOS Y CONDICIONES DETALLAN NUESTRAS OBLIGACIONES Y
RESPONSABILIDADES EN TODA SU EXTENSIÓN CON RESPECTO AL PLAN;
- NO EXISTEN OTRAS GARANTÍAS, CONDICIONES U OTROS TÉRMINOS VINCULANTES PARA
APPLE SALVO LOS EXPRESAMENTE MANIFESTADOS EN EL PLAN; Y
- QUEDAN EXPRESAMENTE EXCLUIDOS DEL PRESENTE CUALESQUIERA GARANTÍA,
CONDICIONES U OTROS TÉRMINOS RELATIVOS AL PLAN QUE PUDIERAN DE OTRO
MODO VINCULARSE O INCORPORARSE EL PLAN POR DERECHO DISPOSITIVO, DERECHO
CONSUETUDINARIO, O DE CUALQUIER OTRA FORMA (INCLUYENDO, SIN LIMITARSE A ELLO,
CUALESQUIERA TÉRMINOS IMPLÍCITOS DE CALIDAD O IDONEIDAD PARA UN FIN DETERMINADO,
CUIDADO Y PERICIA RAZONABLES). EN ESPECIAL, APPLE NO SERA RESPONSABLE DE
GARANTIZAR QUE EL PLAN SEA ADECUADO A LOS FINES DESEADOS POR UD.
4.3 - NADA DE LO QUE FIGURA EN EL PLAN LIMITARÁ O EXCLUIRÁ NUESTRA RESPONSABILIDAD
POR MUERTE O LESIONES PERSONALES CAUSADOS POR NUESTRA CULPA O NEGLIGENCIA.
4.4 - CON SUJECIÓN A LA CLÁUSULA 4.3 ANTERIOR, Y CON EL ALCANCE MÁXIMO PERMITIDO
POR LA NORMATIVA SOBRE RESPONSABILIDAD CIVIL, NO SEREMOS RESPONSABLES, DE
ACUERDO CON EL PLAN, POR PÉRDIDA DE INGRESOS O BENEFICIOS, PÉRDIDA DE NEGOCIO,
PÉRDIDA DE DATOS NI POR CUALQUIER PÉRDIDA INDIRECTA NI POR DAÑOS DE CUALQUIER
CLASE, SEA CUAL FUERE LA FORMA EN QUE SE PRODUZCAN Y TANTO SI SON CAUSADOS POR
RESPONSABILIDAD EXTRACONTRACTUAL, INCUMPLIMIENTO CONTRACTUAL O DE CUALQUIER
OTRO TIPO.98 Español
4.5 - CON SUJECIÓN A LA CLÁUSULA 4.3, Y CON EL ALCANCE MÁXIMO PERMITIDO POR LA
NORMATIVA SOBRE RESPONSABILIDAD CIVIL, NUESTRA RESPONSABILIDAD MÁXIMA TOTAL,
SEGÚN EL PLAN, YA SEA POR RESPONSABILIDAD CONTRACTUAL, EXTRACONTRACTUAL U
OTRAS, NO EXCEDERÁ EN NINGÚN CASO DEL IMPORTE QUE UD. NOS HAYA PAGADO EN
RELACIÓN AL PLAN.
Apartado 5 - Si Ud. es un consumidor y ha suscrito el presente Plan a través de la página web de
Apple Store o por teléfono, Ud. podrá cancelar el presente Plan en el plazo de catorce días desde
la suscripción del mismo. En tal caso, Ud. recibirá el importe íntegro de la cantidad abonada.
Si realiza la cancelación transcurridos más de 30 días desde la recepción del Plan, recibirá un
reembolso proporcional del precio de compra inicial del Plan, menos una comisión de cancelación
de 25,00€ o el 10 por ciento del importe proporcional, si fuera menor.
Números de teléfono
En España:
(34) 902 151 992
De 0900 - 19h45 (de lunes a viernes)*
* Los números de teléfono y el horario de operación pueden variar y están sujetos a cambio. Puede encontrar los datos de
contacto locales e internacionales más actuales en www.apple.com/support/contact/phone_contacts.html. Los números
de teléfono gratuito no están disponibles en todos los países. Podrían aplicarse tarifas telefónicas locales y nacionales.
Hay una relación de Proveedores de Servicio Autorizados para Dispositivos Inalámbricos Apple
disponible on-line en: http://images.apple.com/legal/warranty/docs/iPhoneAuthorizedDistributors.pdf
APPLE SALES INTERNATIONAL, HOLLYHILL INDUSTRIAL ESTATE, HOLLYHILL, CORK, REPUBLIC OF IRELAND
WWW.APPLE.COM
EMEA APP iPhone ES v1 www.apple.com
© 2008 Apple Inc. All rights reserved. Apple, the Apple logo, AirPort, AirPort Express, AirPort Extreme, iPod, Mac, MacBook, Mac OS, Macintosh,
and SuperDrive are trademarks of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. Time Capsule is a trademark of Apple Inc. AppleCare is a
service mark of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. Other product and company names mentioned herein may be trademarks
of their respective companies.
2E034-4871-B
Printed in XXXX
.......
d’un bouton d’alignement
de la barre de format.104 Chapitre 2 Premiers contacts avec Numbers
Impression et exportation de votre feuille de calcul
Vous pouvez imprimer une feuille ou exporter une feuille de calcul dans un format
permettant de l’ouvrir dans une autre application.
Il existe plusieurs manières de partager votre feuille de calcul :
m Pour imprimer une feuille, sélectionnez-la dans la sous-fenêtre Feuilles et choisissez
Fichier > Imprimer la feuille.
m Pour exporter votre feuille de calcul, choisissez Fichier > Exporter et choisissez
un format :
 PDF : vous pouvez afficher ou imprimer les fichiers PDF dans Aperçu, Safari
et Adobe Reader.
 Excel : vous pouvez ouvrir et modifier les fichiers Excel dans Microsoft Excel
sur un ordinateur sous Mac OS X ou Windows.
 CSV : format de fichier (CSV pour Comma Separated Values ou Valeurs séparées
par des virgules) que de nombreux tableurs peuvent ouvrir.
m Vous pouvez associer une feuille de calcul à une entrée de blog iWeb (iLife ’08 ou
ultérieur requis). Sélectionnez Transférer vers iWeb > PDF ou Transférer vers iWeb >
Document Numbers. Lorsqu’iWeb s’ouvre, sélectionnez le blog (ou le podcast) auquel
vous souhaitez associer votre feuille de calcul. Chapitre 2 Premiers contacts avec Numbers 105
Continuez à explorer
Voici quelques suggestions à suivre si vous souhaitez continuer à vous exercer tout seul
dans Numbers :
 Ouvrez différents modèles et examinez comment ils organisent et présentent
les données.
 Étudiez différentes formules prédéfinies et exercez-vous à créer vos propres formules.
 Créez des graphiques affichant des données de plusieurs tableaux.
 Ajoutez à un tableau des données du Carnet d’adresses.
 Concevez vos propres modèles et tableaux prédéfinis.3
107
3 Premiers contacts avec Keynote
Ce chapitre vous guide étape par étape à travers le processus
de création d’un diaporama simple.
Ce que vous apprendrez
Ce guide d’initiation vous montre comment :
 créer un nouveau diaporama et choisir un thème ;
 changer le thème d’une diapositive ou d’un diaporama ;
 ajouter, supprimer, ignorer et réorganiser les diapositives ;
 ajouter du texte, des graphismes et du son, dont une narration enregistrée ;
 ajouter des transitions (des effets spéciaux entre les diapositives) ;
 animer vos diapositives à l’aide de compositions d’objets ;
 tester et présenter votre diaporama.108 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
Étape 1 : Créer un nouveau document et choisir un thème
Chaque diaporama est son propre document Keynote.
Pour créer un nouveau diaporama :
1 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Si Keynote est ouvert, choisissez Fichier > Nouveau.
 Si Keynote n’est pas ouvert, ouvrez-le (en cliquant sur son icône dans le Dock ou en
double-cliquant sur son icône dans le dossier iWork ’08 du dossier Applications).
2 Dans le Sélecteur de thème, double-cliquez sur un thème pour le sélectionner.
Ce guide d’initiation utilise le thème En-têtes, mais vous pouvez utiliser n’importe quel
autre thème.
Vous pouvez changer le thème d’une diapositive à tout moment.
Double-cliquez sur un
thème pour le sélectionner.
Le thème choisi présente une bordure jaune.Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote 109
Pour changer le thème d’une diapositive :
1 Dans le classeur de diapositives (sur le côté gauche de la fenêtre Keynote), sélectionnez
la diapositive.
2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Thèmes et choisissez un thème différent.
∏ Astuce : vous pouvez configurer Keynote afin d’utiliser toujours le même thème lors
de la création d’un nouveau document. Choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur
Général, sélectionnez « Utiliser le thème » puis choisissez un thème.
Enregistrement, arrêt et reprise
N’oubliez pas d’enregistrer souvent votre travail en choisissant Fichier > Enregistrer.
Vous pouvez quitter ce guide d’initiation (ou quitter Keynote) à tout moment
et y revenir plus tard. Pour quitter Keynote, sélectionnez Keynote > Quitter Keynote.
Pour ouvrir de nouveau votre diaporama, double-cliquez dessus dans le Finder
ou faites glisser l’icône correspondante sur celle de Keynote située dans le Dock.
Pour modifier le thème d’une diapositive, sélectionnez la
diapositive concernée dans le classeur de diapositives …
… puis cliquez sur le bouton Thèmes
et choisissez un thème.110 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
Votre diaporama contient à présent une diapositive. Double-cliquez sur le texte
et tapez le vôtre.
Le champ Notes :
ajoutez des notes à propos
de chaque diapositive.
Double-cliquez sur le
texte et tapez le vôtre.
Le classeur de diapositives :
affichez les vignettes de toutes vos
diapositives et naviguez aisément
parmi elles.
Le canevas de diapositives :
créez chaque diapositive ici en tapant
du texte et en y ajoutant des graphismes
et d’autres données.
Modifiez la taille des diapositives dans le classeur
de diapositives.Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote 111
Le classeur de diapositives
Dans le classeur de diapositives, vous pouvez :
 voir les vignettes de toutes vos diapositives ;
 aller sur une diapositive spécifique en cliquant dessus ;
 réorganiser les diapositives en les faisant glisser ;
 organiser les diapositives en groupes en les mettant en retrait.
Le classeur de diapositives possède deux modes d’affichage :
 Le mode Navigateur est surtout utile pour les diaporamas comportant des graphismes.
 Le mode Plan est plus adapté aux diaporamas contenant une majorité de texte.
Dans ce mode, vous pouvez lire et modifier le texte des vignettes.
Pour passer d’un mode d’affichage à l’autre :
m Cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et choisissez une option.
Pour masquer le classeur de diapositives :
m Choisissez Afficher > Diapositive.
Si votre diaporama contient de nombreuses diapositives, vous pouvez afficher plus
de vignettes à la fois en utilisant la présentation Table lumineuse.
Pour afficher la présentation Table lumineuse :
m Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Table lumineuse.
Pour en savoir plus, consultez l’Aide Keynote ou le Guide de l’utilisateur de Keynote.112 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
Le champ Notes
Vous pouvez afficher une zone de texte où vous pouvez rédiger des notes sur ce
que vous souhaitez dire à propos de chaque diapositive. Si vous lisez votre diaporama
sur un ordinateur et que les spectateurs le regardent sur un autre écran, vous pouvez
afficher ces notes au cours de votre présentation sans que votre public ne les voie.
Pour afficher le champ des notes :
m Cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et choisissez « Afficher les notes
de l’intervenant ».
Pour savoir comment imprimer vos notes ou les visualiser au cours d’une présentation,
consultez l’Aide Keynote ou le Guide de l’utilisateur de Keynote.
Étape 2 : Créer des diapositives
A présent, ajoutez des diapositives supplémentaires.
Voici plusieurs façons d’ajouter une diapositive :
 Cliquez sur Nouvelle dans la barre d’outils.
 Sélectionnez une diapositive dans le classeur de diapositives et appuyez sur Retour.
 Choisissez Diapositive > Nouvelle diapositive.
Lorsque vous créez un nouveau document, la première diapositive utilise automatiquement le modèle de diapositive Titre et sous-titre. La diapositive suivante (la première
diapositive ajoutée) utilise automatiquement le modèle Titre & puces. Par la suite,
lorsque vous créerez une nouvelle diapositive, elle utilisera le modèle de la diapositive
sélectionnée.Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote 113
Pour supprimer une diapositive :
m Sélectionnez la diapositive dans le classeur de diapositives et appuyez sur la
touche Suppr.
À propos des modèles de diapositive
Chaque thème de Keynote comprend une famille de modèles de diapositive, chacun
d’entre eux étant associé à une présentation particulière. Certains modèles de diapositive ne contiennent, par exemple, que du texte, tandis que d’autres présentent des
paramètres fictifs pour les photos et d’autres données.
Vous pouvez modifier le modèle de diapositive utilisé à tout moment. Par exemple,
vous pouvez souhaiter transformer l’orientation horizontale d’une photo volumineuse
en orientation verticale. Pour appliquer un nouveau modèle à une diapositive,
sélectionnez la diapositive, cliquez sur Modèles dans la barre d’outils et choisissez
un nouveau modèle de diapositive.
Vous pouvez aussi modifier un modèle de diapositive. Dans ce cas, toutes les diapositives reposant sur ce modèle sont également modifiées. Par exemple, vous pouvez
ajouter un logo à un modèle de diapositive pour qu’il apparaisse automatiquement
sur toutes les diapositives (existantes ou nouvelles) utilisant ce modèle.
Pour en savoir plus sur le changement de modèle d’une diapositive et la modification
de modèles de diapositive, consultez l’Aide Keynote ou le Guide de l’utilisateur de Keynote.114 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
Ajout et mise en forme de texte
Chaque diapositive comprend différents types de texte (titre, sous-titre, puces) en
fonction de son modèle. Choisissez un modèle de diapositive doté de la combinaison
de texte et d’autres éléments qui correspond le mieux au contenu de la diapositive.
La majorité du corps du texte comporte des puces. Pour en savoir plus sur la création
de texte sans puces, consultez la rubrique « Ajout de texte sans puces » dans l’Aide
Keynote ou dans le Guide de l’utilisateur de Keynote.
Voici différentes façons de travailler avec du texte à puces :
 Pour ajouter une nouvelle ligne de texte à puces, appuyez sur Retour.
 Pour mettre en retrait une ligne à puces, appuyez sur la touche de tabulation.
 Pour lui appliquer un retrait supplémentaire, appuyez sur les touches Maj + Tab.
 Pour ajouter une nouvelle ligne de texte sans puce (pour créer un sous-paragraphe
sous une puce, par exemple), appuyez sur Option + Retour.
Vous pouvez modifier les propriétés du texte (comme la police, la taille, la couleur et
l’espacement) à tout moment, à l’aide du panneau Police ou de l’Inspecteur du texte.
Pour en savoir plus sur ces outils, reportez-vous aux rubriques « Le panneau Police »
à la page 20 et « La fenêtre Inspecteur » à la page 17.
Ajout de graphismes et d’autres données
Vous pouvez ajouter de nombreux types de données à votre présentation, notamment
des photos, des séquences, des fichiers audio, des graphismes créés dans d‘autres
applications, des tableaux et des graphiques créés dans Keynote ou l’une des autres
applications de la suite iWork ’08.Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote 115
De nombreux modèles de diapositive contiennent des paramètres fictifs de photos.
Bien qu’il soit possible d’ajouter des photos à n’importe quel endroit d’une diapositive,
le fait de déposer une photo sur l’un de ces paramètres fictifs permet d’ajuster automatiquement sa position et sa taille. Vous pouvez également utiliser les paramètres fictifs
pour d’autres types de données, dont les films ou les fichiers audio.
Voici différentes façons d’ajouter un fichier multimédia à une diapositive :
m Faites glisser le fichier depuis le navigateur de média ou le Finder vers un paramètre
fictif multimédia ou un endroit quelconque sur la diapositive.
m Choisissez Insérer > Choisir et sélectionner le fichier.
Ajout de son
Vous pouvez ajouter un fichier audio (fichier de musique ou liste de lecture depuis
votre bibliothèque iTunes, ou tout autre fichier audio) à un document Keynote.
Vous pouvez ajouter du son comme suit :
 Comme bande-son pour tout le diaporama : la musique démarre en même temps
que le diaporama.
 Sur une seule diapositive : le son se lance dès que la diapositive apparaît et cesse
dès que le diaporama passe à la diapositive suivante.
 Comme narration enregistrée : vous pouvez vous enregistrer en train de commenter
chaque diapositive.
Pour ajouter une bande-son à tout un diaporama :
1 S’il n’est pas encore ouvert, ouvrez l’Inspecteur des documents (cliquez sur Inspecteur
dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des documents).116 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
2 Cliquez sur Audio.
3 Faites glisser un fichier audio du navigateur de média ou du Finder vers le cadre
Bande-son de l’Inspecteur des documents.
4 Pour lire le fichier audio tout au long de votre présentation, choisissez Lecture
en boucle dans le menu local de l’Inspecteur des documents.
La musique démarre en même temps que le diaporama.
Pour ajouter du son à une diapositive particulière :
m Faites glisser un fichier depuis le navigateur de média ou le Finder vers le canevas
de la diapositive ou un paramètre fictif de média.
Le bouton Inspecteur des documents
Faites glisser un fichier vers le
cadre Bande son pour le lire
tout au long du diaporama.
Pour répéter le fichier audio,
choisissez Lecture en boucle.Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote 117
∏ Astuce : le contrôle du démarrage et de l’arrêt de la musique est plus précis à l’aide
d’une composition d’objet. Pour en savoir plus, consultez l’Aide Keynote ou le Guide
de l’utilisateur de Keynote.
Ajout d’une narration
Vous pouvez vous enregistrer en train de commenter chaque diapositive. Lorsque vous
passez à la diapositive suivante en cliquant sur la souris ou en appuyant sur une touche,
le minutage est également enregistré.
Remarque : les mouvements du pointeur ne sont pas enregistrés, mais les clics
de souris (si vous cliquez sur un lien ou sur une séquence, par exemple) le sont.
À propos de l’ajout de fichiers audio et de séquence
Lorsque vous ajoutez un fichier multimédia, tel qu’un fichier audio ou une séquence,
à un diaporama, ce fichier est enregistré comme une partie intégrante du document.
Cette fonction permet de garantir une lecture adéquate de tous les éléments du
diaporama en cas de transfert vers un autre ordinateur.
Pour conserver une taille de fichier plus petite, vous pouvez enregistrer votre diaporama
sans copier les fichiers multimédia dans le document. Tant que vous lisez le diaporama
sur l’ordinateur utilisé pour sa création (ou que vous transférez les fichiers multimédia
séparément), le diaporama sera lu correctement.
Pour savoir comment enregistrer des documents avec ou sans fichiers multimédia,
consultez « Enregistrement d’un document » dans l’Aide Keynote ou dans le
Guide de l’utilisateur de Keynote.118 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
Pour enregistrer un diaporama :
1 Si vous utilisez un microphone externe au lieu du microphone intégré à l’ordinateur,
branchez le microphone puis utilisez le volet Son des Préférences Système pour configurer les paramètres d’entrée.
2 Sélectionnez la diapositive à partir de laquelle vous souhaitez commencer l’enregistrement.
Vous n’êtes pas obligé de sélectionner la première diapositive, mais un diaporama
enregistré est lu uniquement à partir de la première diapositive enregistrée. Si vous
sélectionnez une diapositive ignorée, l’enregistrement commencera au niveau de la
précédente diapositive non ignorée.
3 Dans l’Inspecteur des documents, cliquez sur le bouton Audio puis sur Enregistrer
(ou choisissez Fichier > Enregistrer le diaporama).
4 Au fur et à mesure de la lecture de la présentation, parlez dans le micro pour enregistrer
votre narration.
Un témoin lumineux rouge dans l’angle supérieur gauche de l’écran indique que
l’enregistrement est en cours.
5 Pour passer à la diapositive suivante, cliquez sur le bouton de la souris ou appuyez
sur la touche Flèche droite.Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote 119
Le tableau suivant répertorie d’autres raccourcis clavier qui vous permettent
de contrôler la présentation pendant l’enregistrement.
Pour lire un diaporama enregistré :
 Pour écouter la narration, cliquez sur le bouton Exécuter dans la sous-fenêtre Audio
de l’Inspecteur des documents. Utilisez le curseur du volume pour régler le volume.
 Pour lire une présentation enregistrée, cliquez sur Exécuter dans la barre d’outils
ou choisissez Afficher > Lire le diaporama enregistré.
Si vous enregistrez un diaporama et que vous modifiez ensuite des diapositives,
l’enregistrement peut être en décalage par rapport aux diapositives. Vous pouvez
enregistrer à nouveau tout ou partie d’un diaporama enregistré.
Appuyez sur Pour
W (écran blanc), F (figer),
ou B (écran noir)
Interrompre temporairement l’enregistrementAppuyez sur
une touche pour reprendre l’enregistrement du diaporama.
Témoin rouge d’enregistrement Interrompre temporairement l’enregistrement
Échap Arrêter la lecture et sauvegarder l’enregistrement.120 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
Étape 3 : Organiser vos diapositives
Comme le décrit la rubrique « Le classeur de diapositives » à la page 111, vous pouvez
facilement modifier l’ordre des diapositives en les faisant glisser dans le classeur de
diapositives. Il existe d’autres façons d’organiser vos diapositives afin de simplifier
le travail de votre diaporama.
Vous pouvez organiser les diapositives en groupes en les mettant en retrait dans
le classeur de diapositives.
Pour mettre en retrait les diapositives :
m Sélectionnez la ou les diapositives que vous souhaitez mettre en retrait et appuyez
sur la touche de tabulation.
∏ Astuce : sélectionnez plusieurs diapositives en cliquant dessus tout en maintenant
la touche Maj enfoncée (pour une plage de diapositives contigües) ou tout en
maintenant la touche Commande enfoncée (pour des diapositives non contigües).
Vous pouvez créer plusieurs niveaux de mise en retrait en appuyant à nouveau sur
la touche de tabulation. Vous ne pouvez décaler une diapositive que d’un seul niveau
par rapport à la diapositive précédente (la diapositive « parent »).Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote 121
Pour déplacer les diapositives à un niveau supérieur :
m Sélectionnez la ou les diapositives et appuyez sur les touches Maj + Tab.
Pour afficher ou masquer un groupe de diapositives :
m Cliquez sur le triangle d’affichage à gauche de la première diapositive du groupe.
Important : si un groupe de diapositives est masqué (réduit), la suppression de la
première diapositive supprime tout le groupe.
Pour déplacer un groupe de diapositives :
m Faites glisser la première diapositive du groupe.
Mettez les diapositives en retrait
afin de les regrouper.
Ce groupe de diapositives
est masqué (réduit).
Faites glisser les diapositives
dans le classeur de diapositives
afin d’en modifier l’ordre.
Cette ligne indique la présence
d’une diapositive ignorée.122 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
Au cours de la lecture d’un diaporama, les groupes masqués (réduits) de diapositives
apparaissent dans la présentation. Si vous souhaitez masquer des diapositives au cours
d’un diaporama, il suffit de les cocher afin qu’elles soient ignorées.
Pour ignorer une diapositive au cours de la lecture :
m Sélectionnez la diapositive, puis choisissez Diapositive > Ignorer la diapositive.
Pour afficher une diapositive ignorée :
m Sélectionnez la diapositive (une ligne dans le classeur de diapositives) et choisissez
Diapositive > Ne pas ignorer la diapositive.
Étape 4 : Améliorer un diaporama à l’aide d’une animation
Keynote simplifie l’ajout d’effets spéciaux à votre présentation.
Ajout de transitions entre les diapositives
Keynote vous offre un panel d’effets spéciaux pour passer d’une diapositive à l’autre.
Pour ajouter une transition à une diapositive :
1 Si l’Inspecteur des diapositives n’est pas encore ouvert, ouvrez-le (en cliquant sur
Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des diapositives).Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote 123
2 Si la sélection n’est pas encore faite, cliquez sur Transition.
3 Choisissez une option dans le menu local Effet.
4 Choisissez une option dans le menu local Direction (tous les effets de transitions
ne proposent pas cette option).
5 Pour modifier la durée de la transition, saisissez une valeur dans le champ Durée
ou cliquez sur les flèches.
Le bouton Inspecteur des diapositives
Cliquez ici pour prévisualiser
la transition.
Utilisez ces contrôles pour
personnaliser l’effet de la
transition.
Choisissez un effet de transition.124 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
6 Choisissez une option dans le menu local Commencer la transition :
 Au clic de souris démarre la transition lorsque vous cliquez pour passer à la
diapositive suivante.
 Automatiquement démarre la transition après la durée spécifiée dans le champ Délai.
Déplacement des objets
Utilisez les compositions d’objet pour faire apparaître les éléments des diapositives
l’un après l’autre (ou en groupes), dans l’ordre souhaité. Par exemple, vous pouvez
faire apparaître le texte à puces sur la diapositive ligne par ligne ou vous concentrer
sur certaines parties d’un graphique en les déplaçant une par une sur la diapositive.
Vous pouvez également utiliser des compositions d’objet pour enlever certains élé-
ments d’une diapositive ou les déplacer d’un endroit à l’autre sur une diapositive.
Il existe différents types de composition d’objet :
 Les effets Compo. entrante font entrer des éléments dans une diapositive.
 Les effets Compo. sortante font sortir des éléments hors d’une diapositive.
 Les compositions d’action animent des éléments d’une diapositive.
 Les compositions intelligentes sont des compositions d’action prédéfinies pour animer
des images sur une diapositive.
Vous pouvez créer plusieurs compositions sur une même diapositive et appliquer
plusieurs compositions d’action au même objet.Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote 125
Faire entrer ou sortir des objets d’une diapositive
Pour animer un objet au cours de son entrée ou de sa sortie d’une diapositive :
1 Si l’Inspecteur des compositions n’est pas ouvert, ouvrez-le.
2 Pour animer l’entrée d’un objet sur la diapositive, cliquez sur Compo. entrante.
Pour animer la sortie d’un objet de la diapositive, cliquez sur Compo. sortante.
Cliquez ici pour prévisualiser
la composition.
Le bouton Inspecteur des compositions
Ouvrez le tiroir Ordre de composition
pour réordonner les compositions.
Animez un objet sur une diapositive
(Action), ou lors de son entrée ou de sa
sortie de la diapositive (Compo. entrante/
Compo. sortante).
Définissez le type d’animation et les
autres options de la composition.126 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
3 Sélectionnez un objet sur une diapositive et choisissez une option dans le menu
local Effet.
4 Choisissez une option dans le menu local Direction (tous les effets ne proposent
pas cette option).
5 Pour modifier la durée de la composition, saisissez une valeur dans le champ Durée
(ou cliquez sur les flèches).
Après avoir choisi un effet pour chaque élément à animer, vous pouvez aisément
modifier l’ordre de la composition. Vous pouvez également choisir de démarrer chaque
composition automatiquement (après le temps indiqué) ou par un clic de souris.Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote 127
Voici plusieurs façons de modifier l’ordre des compositions d’objets :
m Dans l’Inspecteur des compositions, choisissez une option du menu local Ordre.
m Sélectionnez « Définir des minutages séparés pour les éléments », cliquez sur Plus
d’options, puis faites glisser les éléments dans le volet Ordre de composition.
Faites glisser les éléments pour
modifier l’ordre des compositions.
Choisissez le mode de démarrage
de la composition sélectionnée.
Spécifiez la durée d’attente entre la fin
de la composition précédente et le
démarrage de la nouvelle composition.128 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
Déplacement d’objets sur une diapositive
En plus de faire entrer ou sortir des objets sur une diapositive, vous pouvez déplacer
des objets d’une endroit à l’autre (le long d’un chemin personnalisé) à l’aide de
compositions d’action.
Ajoutez un autre axe au
mouvement de l’objet.
Convertissez le chemin droit en
chemin courbé ou inversement.
Sélectionnez un chemin sur
le canevas et cliquez ici pour
prévisualiser l’action.
Accélérez, réduisez ou maintenez
la vitesse de l’objet.
Choisissez Déplacer.Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote 129
Pour déplacer un objet à l’intérieur d’une diapositive :
1 Sélectionnez un objet sur une diapositive.
2 Dans l’Inspecteur des compositions, cliquez sur Action puis choisissez Déplacer dans
le menu local Effet.
Une ligne rouge connectée à une version « fantôme » (transparente) de l’objet apparaît,
montrant sa destination.
3 Pour modifier le mouvement, sélectionnez l’axe souhaité et effectuez l’une
des opérations suivantes :
 Pour modifier la direction de l’objet ou la distance qu’il parcourt, faites glisser
l’objet fantôme.
 Pour transformer un axe en courbe, cliquez sur le bouton Chemin courbe dans
l’Inspecteur des compositions.
L’objet commence à
se déplacer à partir
d’ici.
Faites glisser un objet fantôme
pour déterminer quand l’objet
cesse de se déplacer.
Vous pouvez même
déplacer l’objet
hors de la diapositive.130 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
 Pour reformer un chemin courbe, faites glisser l’un de ses nœuds ou fantômes.
 Pour ajouter un nœud (point) à un chemin, maintenez la touche Option enfoncée
lorsque vous cliquez sur le chemin.
 Pour contrôler la vitesse et la nature du mouvement de l’objet, utilisez le menu local
Accélération dans l’Inspecteur des compositions.
4 Pour ajouter un autre chemin à l’objet, cliquez sur le bouton Ajouter un chemin
à côté du dernier objet fantôme ou sur le bouton Ajouter une action dans l’Inspecteur
des compositions.
Pour afficher tous les chemins d’animation d’un objet :
Cliquez sur le bouton rouge Afficher le chemin à côté de l’objet.
Vous pouvez également utiliser les compositions d’action afin de faire pivoter,
disparaître, agrandir ou rétrécir les objets sur une diapositive.
Pour ajouter un autre chemin
à l’objet, cliquez sur le bouton
Ajouter un chemin (à côté du
dernier objet fantôme).
Le bouton Afficher le cheminChapitre 3 Premiers contacts avec Keynote 131
Pour fondre, agrandir ou rétrécir un objet :
1 Sélectionnez un objet sur une diapositive.
2 Dans la sous-fenêtre Action de l’Inspecteur des compositions, choisissez Opacité,
Faire pivoter ou Échelle dans le menu local Effet.
3 Utilisez les contrôles pour préciser l’apparence de l’objet à la fin de la transformation.
Animation d’images à l’aide de compositions intelligentes
Keynote fournit des compositions d’action prédéfinies que vous pouvez utiliser pour
animer un ensemble de vos photos et autres images.
Pour configurer une composition intelligente :
1 Cliquez sur Compositions intelligentes dans la barre d’outils et choisissez une option.
2 Faites glisser des photos depuis la sous-fenêtre Photos du navigateur de média vers
les rectangles de la fenêtre photo de la Composition intelligente.
3 Modifiez la composition à l’aide des contrôles de la fenêtre photo des Compositions
intelligentes et de la sous-fenêtre Action de l’Inspecteur des compositions :
Pour en savoir plus, consultez l’Aide Keynote ou le Guide de l’utilisateur de Keynote.
Faites glisser les images pour
les réordonner.
Faites glisser des images ici.
Sélectionnez toutes les images pour
les afficher de la même taille.132 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
Étape 5 : Tester et partager votre diaporama
Lors de la création de votre diaporama, vous souhaiterez certainement visualiser
son apparence au cours de la présentation.
Pour lire votre diaporama sur votre ordinateur :
1 Dans le classeur de diapositives, sélectionnez la diapositive avec laquelle vous
souhaitez commencer.
2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Exécuter.
3 Pour passer à la diapositive suivante (ou à la composition d’objet suivante),
cliquez sur le bouton de la souris.
4 Pour arrêter le diaporama, appuyez sur Q ou sur Échap.
Au cours de votre présentation, si votre public dépasse les quelques personnes, vous
souhaiterez peut-être utiliser un second ordinateur ou écran. Si vous disposez de plusieurs écrans (celui de votre ordinateur et un grand écran de projection, par exemple),
vous pouvez regarder la présentation (avec vos notes et toute autre information de
l’intervenant) sur votre ordinateur, tandis que votre public ne voit que la présentation
sur l’autre écran.
Pour en savoir plus sur les modes de partage de votre diaporama, consultez le Guide de
l’utilisateur de Keynote ou l’Aide.
Test de votre présentation
Keynote propose un mode d’affichage test afin que vous puissiez visualiser les informations de l’intervenant sans avoir à utiliser un second écran.
Pour tester votre diaporama :
m Choisissez Présentation > Tester le diaporama.Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote 133
Pour parcourir les notes de l’intervenant en avant ou en arrière, appuyez sur la touche U
ou sur la touche D. Pour quitter l’affichage test, appuyez sur Échap.
Pour personnaliser l’affichage de l’intervenant :
1 Choisissez Keynote > Préférences puis cliquez sur « Affichage de l’intervenant ».
2 Sélectionnez les éléments que vous souhaitez voir apparaître dans l’affichage de
l’intervenant.
3 Pour réorganiser ces éléments, cliquez sur « Modifier la disposition des informations
de l’intervenant ».
Personnalisation d’une présentation pour le public
Selon la façon dont il sera visionné, vous pouvez configurer la lecture de votre
diaporama de différentes façons :
 Normal : avance quand l’intervenant clique sur la souris ou utilise le clavier. À moins
que vous ne choisissez une autre option, votre diaporama fonctionnera de la sort.
 Liens uniquement : avance lorsque l’intervenant ou le spectateur clique sur un lien
hypertexte.
 Enregistré : si vous avez enregistré votre diaporama, cette option est automatiquement sélectionnée. Votre diaporama défile comme un film en fonction du minutage
que vous avez enregistré.
 Lecture automatique : avance automatiquement comme un film. Aucune interaction
de l’utilisateur n’est possible. Ce genre de présentation est utile dans le cas d’un kiosque.
Pour en savoir plus sur la création de diaporamas, consultez l’Aide Keynote ou le
Guide de l’utilisateur de Keynote.134 Chapitre 3 Premiers contacts avec Keynote
Continuez à explorer
Félicitations ! Vous avez terminé le guide d’initiation de Keynote. Maintenant que
vous vous êtes familiarisé avec les outils et les fonctionnalités de Keynote, vous pouvez
continuer à explorer par vous-même.
Voici d’autres modes de création de diaporama que vous souhaiterez peut-être explorer :
 Ajouter des séquences.
 Personnaliser des photos (consultez « masquage (rognage) des images » à la page 53).
 Ajouter un instantané d’une page web (appelé Affichage web) dont la mise à
jour est automatique.
 Ajouter des tableaux et des graphiques.
 Exporter votre diaporama dans un autre format (comme une séquence QuickTime
pouvant être visionnée sur votre iPod) ou l’envoyer vers une application iLife comme
iWeb ou GarageBand.
 Concevoir vos propres thèmes et modèles de diapositive.
Des instructions sur toutes ces tâches sont disponibles dans l’Aide Keynote et dans
le Guide de l’utilisateur de Keynote.135
Index
Index
A
aide
à l’écran 15
bulles d’aide 15
guide de l’utilisateur 15
sites web 15
vidéos de
démonstration 14
visite guidée 14
Alpha instantané, outil 56
B
barre d’outils 16
barre de format 16, 28, 97
barre de formule 66, 87
bulles d’aide 15
C
canevas 110
caractères de mise en forme
invisibles 27
catégories de modèles 25
cellules de tableau
mise en forme 82
mise en forme de
bordures 83
mise en forme des
nombres 77
modification de la couleur
d’arrière-plan 82
redimensionner 80
tri des valeurs 79
classeur de diapositives 110,
111
compositions d’objet
composition
intelligente 131
création 124
déplacement d’objets sur
une diapositive 128
modification de l’ordre 127
compositions d’objets
affichage des chemins
d’actions 130
contrôles de cellule 67, 80
couleur
appliquer à du texte ou des
objets 21
enregistrer en vue d’une
utilisation ultérieure 21
modification de la
transparence 21
D
diaporamas
ajout d’une bande son 115
ajout d’une narration
enregistrée 115
choix d’un thème 108
contrôle de la taille des
fichiers 117
enregistrement d’une
narration 117
personnalisation de
l’affichage de
l’intervenant 133
test 132
diapositives
affichage ou masquage d’un
groupe 121
ajout 112
ajout de son à une
diapositive
particulière 116136 Index
déplacement d’un groupe
de 121
ignorer au cours de la
lecture 122
organisation 120
suppression 113
transitions particulières
entre 122
vignettes 110
dictionnaire 45
document
création 108
création d’un nouveau 25
enregistrement 25, 26
exportation 46
partage 46
documents de mise en page
ajout de pages et de
texte 48
réorganisation du
contenu 48
E
éditeur de formules 87
enregistrement 26, 59, 109
entrée de blog iWeb
exportation vers 104
F
fenêtre Couleurs 21
fenêtre Inspecteur 17
feuille de calcul
création de 60
importation depuis
Excel 61
feuilles
ajout d’en-têtes et de pieds
de page 103
ajout de numéros de
page 103
ajustement en vue de
l’impression ou du
partage 102
déplacement de tableaux et
de graphiques entre 69
utilisation 68
fichiers multimédia
ajout 37
figures
ajout 42, 100
indicateur de découpage
(trop de texte à
ajuster) 43
masquage (rognage) d’une
image à l’aide de 55
fonctions 85
formats d’exportation 46, 104
formules 85
formules rapides 86
G
graphiques
affichage de données de
tableau sous forme
de 93
ajout et mise en forme 94
application de textures 99
modification du type 97
types 94
guide de l’utilisateur 15
I
images
ajout 37, 115
masquage (rognage) 53
suppression d’un arrièreplan non désiré 56
importation de feuilles de
calcul 61
impression 47
Inspecteur des cellules 78
Inspecteur des
compositions 125
Inspecteur des
diapositives 122, 123
Inspecteur des documents 116
Inspecteur du texte 29, 114
inspecteurs
ouverture de plusieurs à la
fois 17
sous-fenêtres 17
L
listesIndex 137
création 34
génération automatique 35
mise en forme 36
modification du texte ou de
l’image utilisé pour les
puces 36
M
masquage (rognage) des
images 53
modèles 24
modèles de diapositive 113
modèles de mise en page 24
modèles de traitement de
texte 24
Mode Navigateur 111
Mode Plan 111
mots mal orthographiés 43, 44
N
narration 117
navigateur de fonctions 89
navigateur de média 18, 37
Notes, champ 110, 112
notes de l’intervenant 112
O
objets
ajout de mouvement 124
composition
intelligente 124
déplacement sur ou en
dehors d’une
diapositive 124
incorporés et flottants 38
objets flottants 38
onglets de référence 65
outils de recherche 45
P
panneau Police 20
paramètres fictifs de média 37
paramètres fictifs de
photos 115
polices
ajout de nouvelles
collections 20
changement de la
couleur 28
changement de la taille et
d’autres attributs 28
faire glisser dans les
favoris 20
présentations
lecture de
l’enregistrement 119
personnalisation en
fonction du public 133
raccourcis clavier 119
R
raccourcis clavier 22
recherche sur Internet 45
rognage (masquage) des
images 53
S
Sélecteur de modèles 25
sélecteur de modèles 60
son
ajout 115
sous-fenêtre Feuilles 68
style de liste 31
Styles, tiroir 31, 32
styles de texte
application 33
caractère 31
paragraphe 31
styles de textes
liste 31
T
tableaux
affichage de données de
tableau sous forme de
graphique 67
ajout 67
ajout et suppression de
colonnes et de rangs 74
mise en forme 73
navigation 74, 76
rangs d’en-tête et de pied
de page 70
sélection 64
sélection d’une cellule 64138 Index
texte
ajustement autour des
objets 40
application de styles 30
texte de paramètre fictif 26
texte à puces 114
texte de paramètre fictif 26
thèmes
changement 109
choix 108
sélection d’un thème pour
tous les nouveaux
documents 109
thésaurus 45
transitions 122
V
vérification 44
vérification grammaticale 44
vérification orthographique
désactivation
automatique 43
lors de la frappe 43
Z
zones de texte
ajout 49, 100
liaison 51
suppression de la
connexion 51
Keynote ’08
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F019-1276 06/2008 3
1 Table des matières
Préface 12 Bienvenue dans le Guide de l’utilisateur de Keynote
Chapitre 1 14 Outils et techniques Keynote
14 À propos des thèmes et des modèles de diapositive
16 La fenêtre de Keynote
18 Zoom avant ou arrière
18 Changement de mode d’affichage
18 Mode Navigateur
19 Mode Structure
21 Mode table lumineuse
21 Passage direct à une diapositive donnée
22 La barre d’outils
23 La barre de format
24 La fenêtre Inspecteur
24 Le Navigateur de média
25 La fenêtre Couleurs
25 Le panneau Police
25 La fenêtre Avertissements
26 Raccourcis clavier et menus locaux
Chapitre 2 27 Utilisation d’un document Keynote
27 Création ou ouverture de diaporamas
27 Création d’un document Keynote
28 Importation d’un diaporama
28 Ouverture d’un document Keynote existant
29 Enregistrement de documents
29 Enregistrement d’un document
30 Annulation de modifications
30 Enregistrement d’une copie d’un document
31 Enregistrement automatique d’une version de sauvegarde d’un document
31 Enregistrement d’un document en tant que thème
31 Enregistrement des termes de recherche d’un document
32 Fermeture d’un document sans quitter Keynote4 Table des matières
32 Ajout, suppression et organisation des diapositives
32 Ajout de diapositives
33 Réorganisation des diapositives
33 Regroupement des diapositives
34 Suppression de diapositives
34 Ignorer des diapositives
35 Ajout de numéros de diapositives
35 Utilisation de commentaires
36 Copie ou déplacement d’éléments entre diapositives
37 Modification du thème, du modèle ou de la disposition d’une diapositive
37 Changement de thème
38 Utilisation de plusieurs thèmes
38 Application d’un nouveau modèle à une diapositive
38 Changement de la disposition d’une diapositive
40 Modification identique sur plusieurs diapositives
Chapitre 3 41 Utilisation de texte
41 Ajout de texte
42 Sélection de texte
43 Supprimer, copier et coller du texte
44 Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte
44 Utilisation du menu Format pour mettre en forme le texte
44 Application de l’attribut Gras ou Italique au texte à l’aide des menus
44 Encadrement de texte à l’aide des menus
44 Soulignement du texte à l’aide des menus
45 Modification de la taille du texte à l’aide des menus
45 Mise en indice ou en exposant du texte à l’aide des menus
45 Modification de la casse d’un texte à l’aide des menus
46 Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte
47 Astuces pour l’organisation des polices
47 Changement de polices à l’aide du panneau Police
48 Modification du soulignement à l’aide du panneau Police
48 Ajout d’un attribut barré au texte à l’aide du panneau Police
49 Modification de la couleur du texte à l’aide du panneau Police
49 Modification de la couleur d’arrière-plan d’un paragraphe à l’aide du panneau
Police
49 Création d’ombres sur le texte à l’aide du panneau Police
50 Pour modifier la police utilisée dans le mode plan
50 Ajout d’accents et de caractères spéciaux
50 Ajout d’accents
51 Affichage des dispositions de clavier dans d’autres langues
51 Saisie des caractères spéciaux et des symboles
52 Utilisation de guillemets courbesTable des matières 5
53 Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées
53 Réglage du lissage des polices
54 Définition de l’alignement, de l’espacement et de la couleur du texte
54 Utilisation de l’Inspecteur du texte pour régler l’alignement, l’espacement et la
couleur
55 Alignement horizontal du texte
55 Alignement vertical du texte
56 Réglage de l’espace entre les lignes du texte
57 Réglage de l’espacement avant et après un paragraphe
57 Réglage de l’espace entre les caractères
57 Modification de la couleur du texte à l’aide de l’Inspecteur du texte
58 Définition de taquets de tabulation afin d’aligner le texte
59 Définition d’un nouveau taquet de tabulation
59 Modification d’un taquet de tabulation
60 Suppression d’un taquet de tabulation
60 Création de retraits
60 Définition de retraits pour les paragraphes
61 Modification de la marge intérieure du texte dans des objets
61 Définition de retraits pour les listes
61 Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures)
61 Génération automatique de listes
62 Utilisation des listes à puces
63 Utilisation des listes numérotées
64 Utilisation de listes ordonnées (Structures)
65 Utilisation de zones de texte et de figures pour faire ressortir le texte
65 Ajout de zones de texte libre
66 Présentation du texte en colonnes
67 Ajout de texte dans une forme
67 Mise en forme d’une zone de texte ou d’une figure
68 Utilisation de liens hypertextes
68 Lien vers une page Web
69 Lien vers un message électronique préadressé
70 Création d’un lien vers une diapositive
70 Création d’un lien vers un fichier Keynote
71 Utilisation d’un lien hypertexte pour arrêter un diaporama
71 Soulignement des liens hypertexte
71 Remplacement automatique de texte
72 Insertion d’un espace insécable
72 Vérification de l’orthographe
72 Recherche des mots mal orthographiés
73 Utilisation des suggestions de correction orthographique
74 Recherche et remplacement de texte6 Table des matières
Chapitre 4 75 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
75 Sélection d’objets
76 Copie et duplication d’objets
76 Suppression d’objets
76 Déplacement d’objets
77 Déplacement d’objets vers l’avant ou vers l’arrière (disposition
en couches)
78 Alignement d’objets
78 Alignement d’objets sur une diapositive les uns par rapport aux autres
78 Espacement uniforme des objets sur la diapositive
79 Utilisation des guides d’alignement
79 Création de guides d’alignement
79 Utilisation d’un quadrillage principal
80 Définition de la position précise des objets
81 Modification des objets
81 Redimensionnement des objets
81 Retournement et rotation d’objets
82 Modification du style des bordures
83 Cadrage d’objets
84 Ajout d’ombres
85 Ajout d’un reflet
85 Ajustement de l’opacité
86 Regroupement et verrouillage d’objets
86 Regroupement et dissociation d’objets
87 Verrouillage et déverrouillage des objets
87 Remplissage d’objets
87 Remplissage d’un objet avec de la couleur
88 Utilisation de la fenêtre Couleurs
89 Remplissage d’objet avec une image
91 Utilisation des figures
91 Ajout d’une figure prédessinée
92 Ajout d’une figure personnalisée
93 Figures modifiables
93 Manipulation des points d’une figure
94 Modification du tracé d’une courbe
94 Modification du tracé d’un segment droit
95 Conversion de points d’angle en points de courbe et vice-versa
95 Modification de figures prédessinées spécifiques
95 Modification d’un rectangle aux coins arrondis
96 Modification de flèches simples et doubles
96 Modification d’une étoile
97 Modification d’un polygone
97 Utilisation des paramètres fictifs multimédiasTable des matières 7
98 Utilisation des images
98 Importation d’une image
99 Masquage (rognage) d’images
99 Rognage d’une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire)
100 Masque d’image avec une figure
101 Suppression du masque d’une image
101 Suppression de l’arrière-plan ou des éléments superflus d’une image
102 Modification de la luminosité, du contraste et des autres réglages d’une image
104 Utilisation du son et de séquences
105 Ajout de son à une diapositive
105 Ajout d’une bande sonore à un diaporama
106 Ajout d’une séquence
106 Réglage des options de lecture des fichiers multimédias
107 Ajout de narration
108 Nouvel enregistrement d’un diaporama enregistré
109 Lecture d’un diaporama enregistré
109 Suppression d’un enregistrement
110 Ajout d’affichages Web
111 Conversion d’un objet en lien hypertexte
Chapitre 5 112 Ajout de mouvements dans les diaporamas
112 Ajout de transitions entre les diapositives
113 Animation de diapositives avec des compositions d’objet
114 Utilisation d’effets de composition pour faire apparaître et disparaître des éléments
dans des diapositives
116 Animation d’objets sur des diapositives (compositions d’action)
118 Effets de fondu, de rotation, d’agrandissement et de rétrécissement
119 Animation d’image à l’aide de compositions intelligentes
121 Réorganisation de compositions d’objet
121 Activation des compositions d’objet
122 Création de compositions qui s’entrelacent dans les parties d’un objet
123 Animation de types spécifiques d’objets
123 Création de compositions de texte
124 Création de compositions de tableau
124 Création de compositions de graphique
125 Création de compositions de séquence
125 Suppression de compositions d’objet
Chapitre 6 126 Utilisation de tableaux
126 À propos des tableaux
127 Utilisation de tableaux
127 Ajout d’un tableau
128 Utilisation des outils de tableau8 Table des matières
130 Redimensionnement d’un tableau
130 Déplacement de tableaux
131 Copie de tableaux entre des applications iWork
131 Sélection de tableaux et de leurs composants
131 Sélection d’un tableau
132 Sélection d’une cellule unique d’un tableau
132 Sélection d’un groupe de cellules de tableau
132 Sélection d’un rang ou d’une colonne
133 Sélection des bordures des cellules d’un tableau
134 Utilisation du contenu des cellules d’un tableau
134 Ajout et modification de valeurs de cellule
135 Utilisation de texte dans les cellules
135 Utilisation de nombres dans les cellules
136 Utilisation de dates dans les cellules
136 Affichage d’un contenu trop long pour la cellule
137 Mise en forme des valeurs de cellule
138 Utilisation du format numérique
139 Utilisation du format monétaire
139 Utilisation du format Pourcentage
140 Utilisation du format Date et heure
140 Utilisation du format Fraction
140 Utilisation du format Scientifique
141 Utilisation du format Texte
141 Contrôle des valeurs de cellule
142 Ajout d’images et de couleurs aux cellules
143 Remplissage automatique des cellules d’un tableau
143 Utilisation des rangs et des colonnes
143 Ajout de rangs
144 Ajout de colonnes
144 Suppression de rangs et de colonnes de tableaux
145 Utilisation d’un rang ou d’une colonne d’en-tête de tableau
145 Utilisation d’un rang de pied de page
145 Redimensionnement de rangs et de colonnes de tableaux
146 Alternance de couleurs des rangs
146 Utilisation des cellules d’un tableau
146 Fusion des cellules d’un tableau
147 Division des cellules d’un tableau
148 Mise en forme bords d’une cellule
148 Copie et déplacement de cellules
149 Tri des cellules d’un tableau
Chapitre 7 150 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux
150 Utilisation des formulesTable des matières 9
151 Ajout d’une formule rapide
152 Calcul élémentaire avec des valeurs d’une même colonne
152 Calcul élémentaire avec des valeurs d’un même rang
153 Suppression d’une formule
153 Utilisation de l’Éditeur de formules
154 Ajout d’une nouvelle formule à l’aide de l’Éditeur de formules
154 Modification d’une formule à l’aide de l’Éditeur de formules
155 Utilisation des références de cellules
155 Ajout de références de cellules à une formule
156 Copie ou déplacement des formules contenant des références de cellules
157 Application d’une formule aux cellules d’une colonne ou d’un rang en une seule fois
157 Gestion des erreurs et des avertissements
158 Utilisation des opérateurs
158 Calcul d’opérations arithmétiques
159 Explication des opérateurs arithmétiques
160 Explication des opérateurs de comparaison
160 Utilisation des fonctions
Chapitre 8 162 Utilisation des graphiques
162 À propos des graphiques
165 Ajout d’un graphique
165 Sélection d’un type de graphique
165 Choix d’un type de graphique initial
166 Changement du type de graphique
167 Modification de données dans un graphique
168 Copie de données dans l’Éditeur de graphiques
168 Utilisation de rangs et de colonnes dans l’Éditeur de graphiques
169 Mise en forme des attributs généraux d’un graphique
169 Utilisation d’une légende
170 Utilisation d’un titre de graphique
170 Redimensionnement d’un graphique
170 Rotation de graphiques
171 Ajout d’étiquettes et de marques d’axe
172 Affichage des axes et des bordures
172 Utilisation de titres d’axes
172 Affichage des étiquettes de point de données
173 Mise en forme de l’axe des valeurs
174 Mise en place d’étiquettes, de quadrillage et de marques de graduation
175 Mise en forme des éléments d’une série de données
176 Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes
176 Ajout de texte descriptif à un graphique
177 Mise en forme de types de graphiques spécifiques
177 Graphiques sectoriels10 Table des matières
177 Sélection de portions individuelles dans un graphique sectoriel
177 Affichage des noms de séries dans un graphique sectoriel
178 Éloignement de portions individuelles du graphique
178 Ajout d’ombres aux graphiques sectoriels et aux portions
179 Réglage de l’opacité des graphiques sectoriels
179 Rotation de graphiques sectoriels 2D
179 Graphiques à barres et à colonnes
179 Réglage de l’espacement des graphiques à barres et à colonnes
180 Ajout d’ombres aux graphiques à barres et à colonnes
180 Réglage de l’opacité des graphiques à barres et à colonnes
181 Graphiques à couches et linéaires
182 Graphiques en nuage de points
183 Graphiques 3D
Chapitre 9 184 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
184 Personnaliser une présentation pour un public
185 Création de présentations à liens uniquement
185 Création de présentations à lecture automatique
187 Réglage des options de lecture
187 Test et visualisation de présentations
187 Ajout des notes de l’intervenant
188 Test de votre présentation
188 Affichage d’une présentation sur l’écran de votre ordinateur
189 Affichage d’une présentation sur un écran externe ou un projecteur
190 Conseils d’utilisation d’un écran externe
191 Affichage de la même présentation sur deux écrans
192 Personnalisation de l’écran de l’intervenant
193 Réglage de la fréquence de rafraîchissement de l’écran
193 Réglage de la taille de la diapositive
194 Configuration de la mémoire vive vidéo (VRAM)
195 Commande des présentations
195 Commande d’une présentation à l’aide du clavier
195 Mettre en pause une présentation et la reprendre
196 Arrêt d’une présentation
196 Naviguer vers la diapositive ou la composition suivante ou précédente
196 Atteindre une diapositive précise
197 Affichage du pointeur au cours d’une présentation
198 Utilisation d’autres applications au cours d’une présentation
198 Lecture de séquences et de son
199 Impression de vos diapositives
200 Exportation d’un diaporama vers d’autres formats
201 Partage d’une présentation entre plates-formes
201 Création d’un film QuickTimeTable des matières 11
203 Création d’un diaporama PowerPoint
203 Création d’un fichier PDF
204 Exporter des diapositives sous forme de fichiers image
205 Création d’un document Flash
205 Création d’un document HTML
206 Envoi d’une présentation aux applications iLife
206 Création d’un projet iDVD
207 Création d’un album iPhoto
207 Exportation vers iWeb
208 Exporter vers iTunes et iPod
209 Exportationvers GarageBand
210 Enregistrement d’une présentation dans le format iWork ’05 ou iWork ’06
Chapitre 10 211 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
211 Conception de modèles de diapositive et de thèmes
212 Utilisation des outils de modèle de diapositive
213 Aperçu des modèles de diapositive
214 Sélection des modèles de diapositive à personnaliser
214 Dupliquer un modèle de diapositive
214 Importation de diapositive ou de modèle de diapositive
215 Création d’un modèle de diapositive à partir de zéro
215 Personnalisation de dispositions de modèles de diapositive
215 Définition des paramètres fictifs d’un texte
216 Définition des paramètres fictifs d’un support
216 Définition des paramètres fictifs d’un objet
216 Création d’éléments d’arrière-plan sur des modèles de diapositive
217 Ajout de guides d’alignement à des modèles de diapositive
218 Définition des attributs par défaut des textes et des objets
218 Définition des attributs par défaut des zones de texte et des figures
219 Définition des attributs par défaut des images importées
219 Définition des attributs par défaut des tableaux
220 Définition d’attributs par défaut pour les graphiques
221 Définition des transitions par défaut
222 Création de versions sur les modèles de diapositive
222 Création de thèmes personnalisés
222 Enregistrement de thèmes personnalisés
223 Création d’un thème à partir de zéro
224 Retour aux attributs de thème originaux
Index 225Préface
12
Bienvenue dans le Guide de
l’utilisateur de Keynote
Ce document PDF en couleur fournit des instructions
complètes relatives à l’utilisation de Keynote.
Avant de l’utiliser, il peut s’avérer utile de consulter le guide d’initiation de Keynote
dans Premiers contacts avec iWork ‘08. Il s’agit d’une méthode d’apprentissage rapide
qui vous permettra d’utiliser Keynote de manière autonome. Ce manuel fournit également des ressources supplémentaires pour se familiariser avec Keynote, notamment
une visite guidée de ses fonctionnalités et des vidéos pratiques.
Si vous avez besoin d’instructions détaillées pour vous aider à effectuer certaines tâches
particulières, vous les trouverez dans ce guide de l’utilisateur. La plupart des tâches décrites dans ce guide figurent également dans l’aide en ligne.Préface Bienvenue dans le Guide de l’utilisateur de Keynote 13
Le tableau ci-dessous vous indique où trouver les informations à l’intérieur de ce guide.
L’Aide Keynote permet de trouver les informations requises en naviguant ou en effectuant
une recherche.
Pour obtenir des informations
sur Reportez-vous au
L’utilisation des outils et des
fenêtres de Keynote pour créer et
mettre en forme des documents
chapitre 1, « Outils et techniques Keynote » à la page 14
La création et l’enregistrement
de documents, ainsi que la gestion de dispositives
chapitre 2, « Utilisation d’un document Keynote » à la page 27
La mise en forme du texte dans
un document Keynote
chapitre 3, « Utilisation de texte » à la page 41
L’utilisation de graphismes, figures, sons et autres éléments en
vue d’améliorer un document
chapitre 4, « Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et
d’autres objets » à la page 75
L’ajout de transitions, d’effets
spéciaux et d’animations sur
les diapositives
chapitre 5, « Ajout de mouvements dans les diaporamas » à la
page 112
La création, l’organisation et
la mise en forme des tableaux
et de leurs valeurs
chapitre 6, « Utilisation de tableaux » à la page 126
L’utilisation de formules et de
fonctions pour les calculs dans
des tableaux
chapitre 7, « Utilisation de formules et de fonctions dans des
tableaux » à la page 150
La création de graphiques pour
afficher des données numériques de manière graphique
chapitre 8, « Utilisation des graphiques » à la page 162
Le partage de vos documents
Keynote avec d’autres utilisateurs
chapitre 9, « Affichage, impression et exportation de votre
diaporama » à la page 184
La création d’un thème ou d’un
modèle à partir du disque
chapitre 10, « Conception de thèmes et modèles de diapositive
personnalisés » à la page 2111
14
1 Outils et techniques Keynote
Ce chapitre présente les fenêtres et les outils que vous
utilisez pour créer des diaporamas avec Keynote.
Chaque diaporama créé constitue un document Keynote distinct. Si vous y ajoutez des
séquences, du son ou autres données multimédias, vous pouvez les enregistrer dans le
document pour permettre de passer facilement la présentation d’un ordinateur à l’autre.
À propos des thèmes et des modèles de diapositive
Lorsque vous ouvrez Keynote pour la première fois (en cliquant sur son icône dans le Dock
ou en double-cliquant sur son icône dans le Finder), le sélecteur de thèmes affiche les thè-
mes intégrés qui sont à votre disposition. Chapitre 1 Outils et techniques Keynote 15
Chaque thème de Keynote recouvre une famille de modèles de diapositives possédant
des éléments graphiques et de mise en page coordonnés. Les modèles de diapositive
comportent des réglages prédéfinis (tels que dispositions, polices, textures, propriétés
graphiques, couleurs d’arrière-plan, etc).
Lorsque vous désirez créer une diapositive avec des éléments particuliers —par exemple
un titre, un bloc de texte, une liste à puces ou un graphique—vous sélectionnez le modèle
de diapositive qui ressemble le plus à ce dont vous avez besoin. Les modèles de diapositive contiennent ce qu’on appelle des paramètres fictifs, que vous remplacez par vos propres contenus.
 Les paramètres fictifs de texte (« Double-cliquez pour modifier ») montrent à quoi ressemblera votre texte. Double-cliquez sur l’un d’eux et saisissez votre propre texte.
Pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique « Ajout de texte » à la page 41.
 Les paramètres fictifs multimédias peuvent contenir des images, des fichier audio et
des séquences vidéo. Faites glisser votre propre image ou votre propre séquence vers
le paramètre fictif voulu. Même si vous pouvez faire glisser des fichiers multimédias
n’importe où sur une diapositive (et pas uniquement vers un paramètre fictif), si vous
utilisez des paramètres fictifs multimédias l’image (ou la séquence) est automatiquement dimensionnée et mise en place. Pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des paramètres fictifs multimédias » à la page 97.
Vous pouvez également ajouter vos propres éléments, par exemple des tableaux et d’autres
objets, à une diapositive quelconque.
Texte de paramètre fictif
Paramètres fictifs
multimédias pour les
images, séquences
ou autres fichiers
multimédias16 Chapitre 1 Outils et techniques Keynote
La plupart des thèmes utilisent les modèles de diapositive suivants.
La fenêtre de Keynote
La fenêtre de votre document Keynote dispose de fonctionnalités qui vous permettent
de créer et d’organiser votre diaporama. Vous pouvez afficher ou masquer chacun de
ces éléments :
 Une barre d’outils en haut de la fenêtre vous permet d’accéder rapidement aux outils
dont vous avez besoin pour créer vos diapositives. Reportez-vous à la rubrique « La
barre d’outils » à la page 22 pour en savoir plus.
 Le navigateur de diapositives (sur la gauche de la fenêtre) donne un aperçu visuel de votre
diaporama. Vous pouvez afficher les diapositives de votre présentation sous forme
de vignettes ou uniquement le plan de la présentation. Reportez-vous à la rubrique
« Changement de mode d’affichage » à la page 18 pour obtenir plus d’informations.
Modèle de diapositive Utilisation recommandée
Titre et sous-titre Page de titre ou titres de sections dans votre présentation
Titre et puces Contenu
Titre et puces : 2 colonnes Contenu devant apparaître côte à côte sur 2 colonnes
Puces Pages de contenu général requérant du texte à puces. La diapositive est entièrement recouverte par une zone de texte
En blanc Dispositions contenant des graphismes
Titre : en haut ou au centre Page de titre ou titres de sections dans votre présentation
Photo : horizontale Photo horizontale avec le titre en dessous
Photo : verticale Photo verticale avec le titre et le sous-titre à gauche
Titre, puces et photo Page de titre ou titre de section incluant du texte et une photo
Titre et puces (gauche ou droite) Diapositives de contenu sur lesquelles vous pouvez placer un texte
comportant des puces sur la droite ou sur la gauche et un graphique
de l’autre côté de la diapositiveChapitre 1 Outils et techniques Keynote 17
 Vous pouvez rédiger des notes sur chaque diapositive dans le champ Notes de l’intervenant. Vous pourrez consulter ces commentaires en cours de présentation (personne
d’autre ne les verra). Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Ajout des
notes de l’intervenant » à la page 187.
Voici différentes manières d’afficher ou de masquer ces éléments :
m Pour afficher ou masquer la barre d’outils, choisissez Présentation > Afficher la barre
d’outils ou Présentation > Masquer la barre d’outils.
m Pour afficher le Navigateur de diapositives, choisissez Présentation > Navigateur
ou Présentation > Structure. Pour le masquer, choisissez Présentation > Diapositive.
m Pour afficher ou masquer les notes de l’intervenant, choisissez Présentation > Afficher
les notes de l’intervenant ou Présentation > Masquer les notes de l’intervenant.
Le canevas : Créez chaque diapositive
en tapant du texte et en ajoutant des
objets et des fichiers multimédia.
Le champ des notes de l’intervenant : Ajoutez des
notes pour des diapositives données. Vous pourrez
consulter ces commentaires au cours de votre pré-
sentation ; vous seul pourrez les voir.
Le Navigateur de
diapositives : Permet
d’obtenir un aperçu
visuel de la présentation
de diapositives. Vous
pouvez afficher les diapositives de votre présentation sous forme de
vignettes ou uniquement
le plan de la présentation.
La barre d’outils : Personnalisez-la de façon à
inclure les outils que vous
utilisez le plus souvent.
Changez la taille des
vignettes de diapositive.18 Chapitre 1 Outils et techniques Keynote
Zoom avant ou arrière
Vous pouvez agrandir (zoom avant) ou réduire (zoom arrière) l’affichage du canevas.
Voici différentes manières d’effectuer un zoom avant ou arrière :
m Choisissez Présentation > Zoom > niveau de zoom.
m Choisissez un niveau d’agrandissement dans le menu local Zoom en bas à gauche
du canevas de diapositive.
Changement de mode d’affichage
Keynote propose différentes manières d’afficher, de gérer et d’organiser les diapositives
dans un document Keynote : le mode navigateur, le mode plan (ou structure) et le mode
table lumineuse. Vous avez également la possibilité d’afficher uniquement le canevas.
Pour passer d’un mode d’affichage à l’autre :
m Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et sélectionnez une option (ou choisissez
Présentation > Navigateur, Structure, Table lumineuse ou Diapositive).
Mode Navigateur
Le mode Navigateur affiche des vignettes pour chaque diapositive et s’avère utile pour
les diaporamas contenant un grand nombre de graphismes, tableaux et autres objets.
Cet affichage donne un bon aperçu visuel de vos diapositives mais ne vous permet pas
nécessairement de lire tout le texte contenu dans les vignettes.
Vous pouvez réorganiser et ordonner vos diapositives à l’aide du navigateur de diapositives.
Faites glisser cette poignée vers le bas pour
afficher les modèles
de diapositive.
Pour ignorer une diapositive au cours de la pré-
sentation, choisissez
Diapositive > Ignorer
la diapositive.
Cliquez sur le triangle
d’affichage pour afficher
ou masquer des groupes
de diapositives en retrait.
Visualisez en un seul
coup d’œil les graphismes de chacune de vos
diapositives.
Organisez vos diapositives
en groupes en les mettant en retrait. Pour mettre en retrait une
diapositive, faites-la glisser ou sélectionnez-la et
appuyez sur la touche Tab.
La diapositive sélectionnée ici est celle sur
laquelle vous travaillez actuellement.
Affichez des vignettes de
différentes tailles.Chapitre 1 Outils et techniques Keynote 19
Voici différentes manières d’utiliser le mode Navigateur :
m Pour afficher le mode navigateur, cliquez sur Présentation dans la barre d’outils
et choisissez Navigateur, ou choisissez Présentation > Navigateur.
m Pour réorganiser ou mettre en retrait des diapositives, faites-les glisser.
m Pour afficher ou masquer des groupes de diapositives (diapositives en retrait et leurs
« parents » correspondants), cliquez sur les triangles d’affichage.
m Pour agrandir ou réduire la taille des vignettes, cliquez sur le bouton situé dans le coin
inférieur gauche et choisissez une taille.
m Pour dupliquer une ou plusieurs diapositives adjacentes, sélectionnez-les et choisissez
Édition > Dupliquer. Les diapositives dupliquées sont insérées à la suite des diapositives
sélectionnées.
m Pour copier et coller une ou plusieurs diapositives adjacentes, sélectionnez-les, choisissez Édition > Copier, sélectionnez la diapo à la suite de laquelle vous désirez coller les
diapositives copiées et choisissez Édition > Coller.
m Pour afficher des modèles de diapositive (pratiques si vous créez vos propres modèles
ou thèmes), faites glisser la poignée en haut à droite du Navigateur de diapositives, ou
cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Afficher les modèles de diapositive. Reportez-vous à la rubrique « Conception de modèles de diapositive et de
thèmes » à la page 211 pour en savoir plus.
Mode Structure
Ce type d’affichage s’avère particulièrement utile pour visualiser la logique des présentations contenant beaucoup de texte. Il affiche le texte des titres et des puces de chaque diapositive de votre diaporama. Tous les titres et toutes les puces apparaissent lisiblement dans
le Navigateur de diapositives. 20 Chapitre 1 Outils et techniques Keynote
Le mode plan est une solution simple pour ordonner et réorganiser les puces dans une
présentation. Vous pouvez ajouter des puces à un texte directement dans le Navigateur
de diapositives. Vous pouvez également faire glisser des puces d’une diapositive à l’autre
ou les faire glisser vers un niveau supérieur ou inférieur dans une même diapositive.
Voici différentes manières d’utiliser le mode plan :
m Pour afficher le mode plan, cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez
Structure (ou choisissez Présentation > Structure).
m Pour changer la police utilisée en mode plan, choisissez Keynote > Préférences, cliquez
sur Général, puis sélectionnez une police et une taille dans les menus locaux Police du
mode plan.
m Pour imprimer l’affichage en mode plan, choisissez Fichier > Imprimer. Dans la zone
de dialogue Imprimer, choisissez Keynote dans le menu local Copies et pages, puis
sélectionnez Structure.
Faites glisser les puces
vers la gauche ou vers la
droite pour les placer à
un niveau de retrait infé-
rieur ou supérieur. Vous
pouvez même faire glisser des puces d’une diapositive à l’autre.
En mode plan, le texte
apparaît sous forme de
titres et de puces. Vous
pouvez ajouter ou modifier du texte directement
en mode plan.
Double-cliquez sur
l’icône d’une diapositive
pour masquer son texte
à puces dans le Navigateur de diapositives.Chapitre 1 Outils et techniques Keynote 21
Mode table lumineuse
Si votre diaporama contient plusieurs diapositives et que vous voulez afficher plus de
vignettes en même temps, utilisez le mode table lumineuse. Vous pouvez facilement
réorganiser des diapositives en les faisant glisser, comme si elles étaient étalées sur la
table lumineuse d’un photographe.
Voici différentes manières d’utiliser le mode table lumineuse :
m Pour afficher le mode table lumineuse, cliquez sur Présentation dans la barre d’outils
et choisissez Table lumineuse, ou choisissez Présentation > Table lumineuse.
m Pour agrandir ou réduire la taille des vignettes, cliquez sur le bouton situé en bas
à gauche de la fenêtre et choisissez une taille.
m Pour modifier une diapositive ou revenir au mode précédent (navigateur ou structure),
double-cliquez sur une diapositive.
En mode table lumineuse, vous pouvez ajouter, supprimer, dupliquer, ignorer et réorganiser des diapositives exactement de la même manière qu’en mode navigateur et structure.
Passage direct à une diapositive donnée
Pendant que vous travaillez sur votre document, vous pouvez passer directement
à une diapositive quelconque.
Voici différentes manières de passer à une diapositive donnée :
m En mode Navigateur ou Structure, cliquez sur une vignette dans le Navigateur de diapositives pour passer directement à la diapositive correspondante.
m Choisissez Diapositive > Aller à et sélectionnez une des options (Diapo suivante, Diapo
précédente, Première diapo ou Dernière diapo).22 Chapitre 1 Outils et techniques Keynote
La barre d’outils
La barre d’outils Keynote permet d’accéder en un simple clic à nombre des fonctionnalités
que vous utiliserez lorsque vous travaillerez dans Keynote. Vous pouvez ajouter, supprimer
et réorganiser les boutons de la barre d’outils pour les adapter à votre mode de travail.
Le jeu par défaut de boutons de barre d’outils est illustré ci-dessous.
Pour personnaliser la barre d’outils :
1 Choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils, ou bien cliquez sur la barre d’outil
en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez Personnaliser la barre d’outils.
2 Apportez les modifications souhaitées à la barre d’outils.
Pour ajouter un élément à la barre d’outils, faites glisser l’icône correspondante vers
celle-ci (en haut).
Pour supprimer un élément de la barre d’outils, faites-le glisser en dehors de celle-ci.
Pour restaurer le jeu de boutons par défaut de la barre d’outils, faites glisser celui-ci
vers la barre d’outils.
Pour agrandir les icônes de la barre d’outils, désélectionnez Utiliser la petite taille.
Pour afficher uniquement les icônes ou le texte, choisissez l’option correspondante dans
le menu local Présentation.
Pour réorganiser les éléments de la barre d’outils, faites-les glisser.
3 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur Fin.
Voici quelques raccourcis qui vous permettent de personnaliser la barre d’outils sans
passer par Présentation > Personnaliser la barre d’outils :
 Pour supprimer un élément, appuyez sur la touche Commande tout en le faisant
glisser hors de la barre d’outils, ou bien cliquez dessus tout en maintenant la touche
Contrôle enfoncée et choisissez ensuite Supprimer.
 Pour déplacer un élément, appuyez sur la touche Commande tout en faisant glisser
celui-ci.
Rogner ou supprimer les parties qui ne
vous intéressent pas
sur une photo.
Ajouter une zone de texte libre,
une figure, un tableau, un graphique ou un commentaire.
Lire un
diaporama.
Ajouter des
diapositives.
Choisir un nouveau
mode, thème ou modèle
de diapositive.
Animer des
collections
d’images.
Transformer un groupe
d’objets en un seul objet
(ou un objet en ses
composants) ; disposer
des objets en couches.
Ouvrir la
fenêtre d’outil.Chapitre 1 Outils et techniques Keynote 23
Pour savoir à quoi sert un bouton de la barre d'outils, placez le pointeur sur celui-ci afin
d'afficher sa description.
La barre de format
Utilisez la barre de format pour modifier rapidement l’apparence du texte,
des tableaux, des graphiques et d’autres éléments de votre diaporama.
Pour afficher et masquer la barre de format :
m Sélectionnez Présentation > « Afficher la barre de format » ou Afficher > « Masquer
la barre de format ».
Les commandes de contrôle de la barre de format dépend de l’objet sélectionné. Pour
savoir à quoi sert le contrôle de barre de format, placez le pointeur sur celui-ci afin
d'afficher sa description.
Voici l’aspect de la barre de format lorsque du texte ou des objets graphiques sont
sélectionnés.
Voici l’aspect de la barre de format lorsqu’un tableau est sélectionné.
Aligner le texte sélectionné.
Modifiez la police,
son style, sa taille et
sa couleur.
Choisissez l’interligne
et le nombre de
colonnes.
Ajoutez un fond de
couleur aux zones de
texte et aux formes.
Réglez l’opacité et
les ombres des
zones de texte.
Choisissez la mise en
forme des zones de
texte et des bordures
Choisissez la mise
en forme du texte
des cellules de
tableau.
Triez le texte
des cellules
de tableau.
Définissez le nombre de
rangs et de colonnes.
Gérez les
en-têtes et les
bas-de-page.
Choisissez la
mise en forme
des bordures
de cellule.
Ajoutez une couleur
de fond à une
cellule.24 Chapitre 1 Outils et techniques Keynote
La fenêtre Inspecteur
La plupart des éléments de votre diaporama peuvent être mis en forme à l’aide des inspecteurs de Keynote. Chaque inspecteur concerne un aspect différent de la mise en forme.
L’inspecteur des documents, par exemple, contient des réglages destinés à l’ensemble
du diaporama.
L’ouverture de plusieurs fenêtres d’inspecteur dans votre document peut vous faciliter
le travail. Par exemple, si vous ouvrez en même temps l’Inspecteur des graphismes et
l’Inspecteur du texte, vous aurez accès à toutes les options de mise en forme de texte
et d’image.
Voici différentes façons d’ouvrir une fenêtre Inspecteur :
m Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur.
m Pour ouvrir plusieurs fenêtres d’inspecteur, appuyez sur la touche Option tout en cliquant
sur le bouton d’un des Inspecteurs ou bien sélectionnez Présentation > Nouvel inspecteur.
Une fois la fenêtre Inspecteur ouverte, cliquez sur l’un des boutons en haut de la fenêtre
pour afficher un autre inspecteur. Par exemple, si vous cliquez sur le deuxième bouton
à partir de la gauche, l’Inspecteur des diapositives s’affiche.
Placez votre pointeur sur les boutons et sur les autres contrôles de l’Inspecteur afin
d’afficher une description de leur fonction.
Le Navigateur de média
Le Navigateur de média permet d’accéder à tous les fichiers multimédias de votre photothèque iPhoto, de votre bibliothèque iTunes, de votre bibliothèque Aperture et de votre
dossier Séquences. Vous pouvez faire glisser un élément du Navigateur de média sur une
diapositive ou dans le cadre d’images d’un inspecteur.
Cliquez sur l’un de ces
boutons pour afficher
un autre inspecteur.Chapitre 1 Outils et techniques Keynote 25
Pour ouvrir le navigateur de média :
m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, ou sélectionnez Présentation > Afficher
le Navigateur de média.
La fenêtre Couleurs
La fenêtre Couleurs de Mac OS X permet de choisir la couleur du texte, des objets
et des lignes.
Pour ouvrir la fenêtre Couleurs :
m Dans la barre d’outils, cliquez sur Couleurs.
Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la fenêtre
Couleurs » à la page 88.
Le panneau Police
Vous pouvez modifier le style, la taille et d’autres options relatives aux polices à l’aide
du panneau Police de Mac OS X, accessible depuis n’importe quelle application.
Pour ouvrir le panneau Police :
m Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
Pour en savoir plus sur l’utilisation du panneau Police et sur la modification de l’aspect
du texte, reportez-vous à la rubrique « Utilisation du panneau Police pour mettre en
forme le texte » à la page 46.
La fenêtre Avertissements
Lorsque vous importez un document dans Keynote, ou lorsque vous exportez un document Keynote vers un autre format, il est possible que certains éléments ne soient pas
transférés de la même manière. La fenêtre Avertissements répertorie tous les problè-
mes rencontrés. Il se peut que vous receviez des avertissements dans d’autres situations,
par exemple, lorsque vous enregistrez un document dans une version antérieure de
l’application.
Si des problèmes surviennent, un message s’affichera et vous permettra de passer en
revue les avertissements. Si vous choisissez de ne pas passer en revue ces avertissements,
vous avez la possibilité de consulter la fenêtre Avertissements à tout moment en sélectionnant Présentation > Afficher les avertissements du document.
Si un avertissement concernant une police manquante apparaît à l’écran, vous pouvez
sélectionner le message et cliquer sur Remplacer la police pour en choisir une autre.
Vous pouvez copier les messages d’avertissement et les coller dans un document pour
référence ultérieure ; ils peuvent s’avérer utiles pour diagnostiquer des problèmes.26 Chapitre 1 Outils et techniques Keynote
Raccourcis clavier et menus locaux
Vous pouvez utiliser le clavier pour exécuter nombre des commandes et tâches des
menus de Keynote. Pour afficher la liste complète des raccourcis clavier, ouvrez Keynote
et sélectionnez Aide > Raccourcis clavier.
Bon nombre d’objets disposent également de menus locaux avec des commandes que
vous pouvez utiliser sur l’objet. Les menus locaux sont particulièrement utiles pour travailler sur les tableaux et les graphiques.
Pour ouvrir un menu local :
m Appuyez sur la touche Contrôle en cliquant sur un objet.2
27
2 Utilisation d’un document Keynote
Ce chapitre explique le mode de création, d’ouverture,
d’importation et d’enregistrement de documents Keynote.
Il décrit également la méthode d’ajout et d’organisation
de canevas et la méthode de modification du thème, de
la disposition et du modèle de diapositive.
Avant de commencer à travailler dans Keynote, vous pouvez si vous le désirez parcourir le guide d’initiation dans le manuel Premiers contacts avec iWork ’08. Cela vous aidera
à vous familiariser rapidement avec Keynote.
Création ou ouverture de diaporamas
Chaque diaporama que vous créez est un document Keynote distinct. Vous pouvez
créer un diaporama en effectuant l’une des opérations suivantes :
 Créez un nouveau document Keynote
 Importez un document créé sous PowerPoint ou AppleWorks
 Ouvrez un document Keynote existant
Création d’un document Keynote
Pour créer un document Keynote :
1 Si Keynote n’est pas ouvert, ouvrez-le en cliquant sur son icône dans le Dock ou en
double-cliquant sur son icône dans le Finder.
Si Keynote est déjà ouvert, choisissez Fichier > Nouveau.
2 Dans le Sélectionneur de thèmes, sélectionnez un thème, puis cliquez sur Choisir.
Vous pouvez changer le thème du diaporama à tout moment (reportez-vous à la rubrique « Modification du thème, du modèle ou de la disposition d’une diapositive » à la
page 37 et utiliser plusieurs thèmes dans un document (reportez-vous à la rubrique
« Utilisation de plusieurs thèmes » à la page 38).28 Chapitre 2 Utilisation d’un document Keynote
Dans le Sélecteur de thèmes, vous pouvez également choisir la taille des diapositives
(reportez-vous à la rubrique « Réglage de la taille de la diapositive » à la page 193).
∏ Astuce : vous pouvez configurer Keynote pour qu’il utilise le même thème lorsque vous
créez un nouveau document. Choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Général, sélectionnez « Utiliser le thème », puis choisissez un thème. Pour en changer, cliquez sur Choisir.
Importation d’un diaporama
Si vous disposez d’une présentation de diapositives créée avec Microsoft PowerPoint
ou AppleWorks, vous pouvez l’importer dansKeynote et continuer à y travailler.
Voici plusieurs manières d’importer un document PowerPoint ou AppleWorks :
m Dans Keynote, choisissez Fichier > Ouvrir. Dans la zone de dialogue Ouvrir, trouvez
le document que vous souhaitez importer, puis cliquez sur Ouvrir.
m Dans le Finder, faites glisser l’icône du document PowerPoint ou AppleWorks sur celle
de l’icône de l’application Keynote.
Ouverture d’un document Keynote existant
Il existe plusieurs manières d’ouvrir un document créé à l’aide de Keynote.
Voici différentes manières d’ouvrir un document Keynote :
m Pour ouvrir un document lorsque vous travaillez dans Keynote, choisissez Fichier > Ouvrir,
sélectionnez-le, puis cliquez sur Ouvrir.
m Pour ouvrir un document sur lequel vous avez travaillé récemment, choisissez Fichier >
Ouvrir document récent et sélectionnez le document dans le sous-menu.
m Pour ouvrir un document Keynote à partir du Finder, double-cliquez sur l’icône du document ou faites-la glisser vers l’icône de l’application Keynote.
Vous pouvez ouvrir un document Keynote créé à l’aide d’une version plus ancienne de
Keynote (à partir d’iWork ’05 ou d’iWork ’06). Pour continuer à utiliser le document avec
iWork ’05 ou iWork ’06, enregistrez-le au même format. Reportez-vous à la rubrique
« Enregistrement d’une présentation dans le format iWork ’05 ou iWork ’06 » à la page 210.
Si un message vous indique qu’il manque une police ou un fichier, vous pouvez néanmoins
utiliser le document. Keynote remplace les polices manquantes par d’autres. Pour utiliser les
polices manquantes, quittez Keynote et ajoutez les polices à votre dossier Polices (pour
en savoir plus, consultez l’Aide Mac). Pour faire apparaître les fichiers de séquence ou de
son manquants, ajoutez-les au document. Chapitre 2 Utilisation d’un document Keynote 29
Enregistrement de documents
Les données d’images et de graphiques sont enregistrées dans un document Keynote,
elles s’affichent donc correctement lorsque le document est ouvert sur un autre ordinateur. Les polices ne sont cependant pas incluses dans le document. Si vous transférez un
document Keynote vers un autre ordinateur, assurez-vous donc que les polices utilisées
dans le document ont été installées dans le dossier Polices de l’ordinateur de destination.
Par défaut, les fichiers audio et de séquence sont enregistrés avec les documents Keynote,
mais ce réglage est modifiable. Si vous n’enregistrez pas les fichiers de données dans le
document, vous devez les transférer séparément pour afficher le document sur un autre
ordinateur.
Enregistrement d’un document
Il est judicieux d’enregistrer régulièrement le document pendant votre travail. Après
l’avoir enregistré une première fois, vous pouvez appuyer sur les touches Commande + S
pour le réenregistrer à l’aide des même réglages.
Pour enregistrer un document pour la première fois :
1 Choisissez Fichier > Enregistrer, ou appuyez sur Commande + S.
2 Dans le champ Enregistrer sous, saisissez le nom du document.
3 Si l’emplacement souhaité n’est pas visible dans le menu local Où, cliquez sur le triangle
d’affichage à droite du champ Enregistrer sous.
4 Choisissez l’emplacement où enregistrer le document.
5 Si vous ne voulez pas que le document soit ouvert avec Keynote dans iWork ’05 ou
iWork ’06, sélectionnez « Enregistrer une copie sous » et choisissez iWork ’05 ou iWork ’06.
(Si cette option n’est pas visible, cliquez sur le triangle d’affichage à droite du champ
Enregistrer sous.)
6 Si vous ou une autre personne doit ouvrir le document sur un autre ordinateur, cliquez
sur Options avancées et configurez les options afin de déterminer les éléments copiés
dans votre document.
Copier l’audio et la vidéo dans le document : si vous cochez cette case, les fichiers audio
et vidéo sont enregistrés avec le document, pour permettre la lecture des fichiers en
cas d’ouverture du document sur un autre ordinateur. Vous pouvez désactiver cette case
afin de réduire la taille du fichier, mais dans ce cas les fichiers multimédias ne fonctionneront pas sur un autre ordinateur à moins que vous ne les transfériez également.
Copier les images du thème dans le document : si vous ne sélectionnez pas cette option
et si vous ouvrez le document sur un ordinateur ne disposant pas du même thème (par
exemple, si vous avez créé votre propre thème), il est possible que l’aspect du document
soit différent.30 Chapitre 2 Utilisation d’un document Keynote
7 Cliquez sur Enregistrer.
Si vous avez créé le document avec une version plus ancienne de Keynote, le programme
vous demande si vous souhaitez enregistrer le document au même format.
En général, vous pouvez enregistrer les documents Keynote uniquement sur les ordinateurs et les serveurs qui utilisent Mac OS X. Keynote n’est pas compatible avec les ordinateurs Mac OS 9 et les serveurs Windows exécutant des services pour Macintosh. Pour
ouvrir un document Keynote sur un ordinateur Windows, essayez d’utiliser un logiciel
serveur AFP disponible pour Windows.
Si vous envisagez de partager le document avec d’autres personnes dont l’ordinateur
n’est pas équipé de Keynote, vous pouvez l’exporter afin de l’utiliser dans une autre application. Pour en savoir plus sur l’exportation d’un document à d’autres formats de fichier
(comprenant QuickTime, PowerPoint, PDF et Flash), consultez la rubrique « Partage d’une
présentation entre plates-formes » à la page 201.
Annulation de modifications
Si vous ne désirez pas enregistrer les modifications que vous avez effectuées dans le document depuis son ouverture ou depuis le dernier enregistrement, vous pouvez les annuler.
Voici différentes manières d’annuler des modifications :
m Pour annuler la toute dernière modification, choisissez Édition > Annuler.
m Pour annuler plusieurs modifications, choisissez plusieurs fois de suite Édition > Annuler.
Vous pouvez annuler toutes les modifications effectuées depuis l’ouverture du document
ou revenir à la dernière version enregistrée.
m Pour annuler une ou plusieurs opérations Édition > Annuler, choisissez une ou plusieurs
fois de suite Édition > Rétablir.
m Pour annuler toutes les modifications effectuées depuis le dernier enregistrement
de votre document, choisissez Fichier > « Revenir à la version enregistrée » et cliquez
ensuite sur Revenir.
Enregistrement d’une copie d’un document
Si vous souhaitez réaliser une copie de votre document (pour créer une copie de sauvegarde ou plusieurs versions, par exemple) vous pouvez enregistrer celui-ci sous un autre
nom ou à un emplacement différent. (Vous pouvez également enregistrer automatiquement une version de sauvegarde, tel qu’il est décrit dans la rubrique « Enregistrement
automatique d’une version de sauvegarde d’un document ».)
Pour enregistrer une copie d’un document :
m Choisissez Fichier > Enregistrer sous, puis indiquez un nom et un emplacement.
Le document portant le nouveau nom reste ouvert. Pour travailler avec la version pré-
cédente, choisissez Fichier > « Ouvrir document récent » et choisissez la version précé-
dente dans le sous-menu.Chapitre 2 Utilisation d’un document Keynote 31
Enregistrement automatique d’une version de sauvegarde
d’un document
À chaque fois que vous enregistrez un document, vous pouvez conserver une copie
sans les modifications que vous y avez effectuées depuis le dernier enregistrement.
De cette façon, si vous changez d’avis quant aux modifications effectuées, vous pouvez
revenir à la version de sauvegarde du document.
Voici différentes manières de créer et d’utiliser une version de sauvegarde :
m Pour qu’une version de sauvegarde d’un document soit enregistrée automatiquement,
choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Général, puis sélectionnez « Créer une
copie de sauvegarde de la version antérieure ».
Lors du prochain enregistrement de votre document, une version de sauvegarde sera
créée au même emplacement, avec la mention « copie de sauvegarde de » devant le nom
du fichier. Une seule version (la dernière version enregistrée) est sauvegardée. À chaque
fois que vous enregistrez le document, l’ancien fichier de sauvegarde est remplacé par
le nouveau.
m Pour revenir à la dernière version enregistrée après avoir effectué des modifications sans
les enregistrer, choisissez Fichier > Revenir à la version enregistrée. Les modifications du
document ouvert sont annulées.
Enregistrement d’un document en tant que thème
Vous pouvez modifier un thème puis l’enregistrer afin qu’il apparaisse dans le Sélecteur
de thèmes et que vous puissiez le réutiliser.
Pour enregistrer un document en tant que thème :
m Choisissez Fichier > Enregistrer le thème.
Pour plus de détails, consultez la rubrique « Conception de modèles de diapositive et
de thèmes » à la page 211.
Enregistrement des termes de recherche d’un document
Vous pouvez stocker diverses informations, telles que le nom de l’auteur, les mots-clés et
les commentaires, dans les documents Keynote. Sur les ordinateurs équipés de Mac OS X,
vous pouvez utiliser Spotlight pour localiser les documents contenant ces informations.
Pour stocker des informations relatives à un document :
1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des documents.
2 Cliquez sur Spotlight.
3 Saisissez les informations dans les champs.
Pour rechercher des présentations contenant ces informations mémorisées, cliquez sur
l’icône Spotlight dans le coin supérieur droit de l’écran, puis tapez le terme que vous
recherchez.32 Chapitre 2 Utilisation d’un document Keynote
Fermeture d’un document sans quitter Keynote
Lorsque vous avez fini de travailler sur un document, vous pouvez le fermer sans sortir
de Keynote.
Voici différentes manières de fermer des documents tout en maintenant l’application
ouverte :
m Pour fermer le document actif, choisissez Fichier > Fermer ou cliquez sur le bouton
de fermeture dans l’angle supérieur gauche de la fenêtre du document.
m Pour fermer tous les documents Keynote ouverts, appuyez sur la touche Option et choisissez Fichier > Tout fermer ou cliquez sur le bouton de fermeture du document actif.
Si vous avez effectué des modifications depuis le dernier enregistrement de votre
document, Keynote vous invite à les enregistrer.
Ajout, suppression et organisation des diapositives
Chaque nouvelle diapositive que vous créez utilise l’un des modèles de diapositive de
Keynote. Chaque modèle de diapositive comporte certains éléments, notamment un titre,
du texte à puces et des paramètres fictifs multimédias (contenant des photos). Lorsque
vous créez un nouveau document Keynote, la première diapositive utilise automatiquement le modèle de diapositive Titre & sous-titre.
Vous pouvez modifier le modèle de diapositive à tout moment (consultez la rubrique
« Application d’un nouveau modèle à une diapositive » à la page 38).
Une fois que vous avez créé une nouvelle diapositive, vous pouvez la personnaliser en lui
ajoutant du texte, des images, des formes, des tableaux, des graphiques et bien plus encore.
Ajout de diapositives
Il existe plusieurs manières d’ajouter une diapositive :
m Sélectionnez une diapositive dans le Navigateur de diapositives, puis appuyez sur Retour.
m Sélectionnez une diapositive, puis cliquez sur le bouton Nouvelle (+) dans la barre d’outils.
m Sélectionnez une diapositive, puis choisissez Diapositive > Nouvelle diapositive.
m Appuyez sur la touche Option puis faites glisser une diapositive jusqu’à ce qu’un triangle
bleu apparaisse. Cette action duplique la diapositive ainsi glissée.
m Sélectionnez une diapositive et choisissez Édition > Dupliquer.
Avec ces méthodes, la nouvelle diapositive est ajoutée à la suite de celle sélectionnée
dans le Navigateur de diapositives. Pour ajouter une diapositive à un autre endroit de
votre diaporama, utilisez les commandes Copier et Coller, ou faites-glisser la nouvelle
diapositive à l’endroit de votre choix.Chapitre 2 Utilisation d’un document Keynote 33
En mode navigateur ou table lumineuse, vous pouvez également créer une nouvelle
diapositive en faisant glisser des fichiers de séquence, de son ou d’image du Navigateur
de média vers l’emplacement désiré dans le Navigateur de diapositives. (Pour ouvrir le
Navigateur de média, cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils.)
Lorsque vous ajoutez une nouvelle diapositive, elle utilise le modèle de celle sélectionnée dans le navigateur de diapositives. (Pour les nouveaux documents Keynote, la première diapositive utilise le modèle Titre & sous-titre, et la deuxième diapositive utilise
Titre et puces.) Vous pouvez changer le modèle d’une diapositive à tout moment en
cliquant sur Modèles dans la barre d’outils et en choisissant un nouveau modèle.
Réorganisation des diapositives
Les modes Navigateur, Structure et Table lumineuse facilitent la réorganisation
des diapositives.
Pour réorganiser les diapositives :
1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Navigateur, Structure
ou Table lumineuse.
2 Sélectionnez une ou plusieurs diapositives et faites-les glisser vers un nouvel emplacement.
Regroupement des diapositives
En mode Navigateur, vous pouvez créer des groupes de diapositives en les mettant
en retrait autant de fois que nécessaire. Les diapositives mises en retrait (subordonnées)
sont appelées « enfants ». La mise en retrait des diapositives n’affecte pas la lecture
du diaporama.
Pour afficher le mode Navigateur, cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Navigateur.
Voici différentes manières de travailler avec des groupes de diapositives en mode
Navigateur :
m Pour mettre des diapositives en retrait, sélectionnez-les puis appuyez sur la touche Tab
ou faites glisser les diapositives vers la droite.
Vous pouvez créer plusieurs niveaux de mise en retrait en appuyant à nouveau sur la touche Tab ou en faisant glisser les diapositives un peu plus loin vers la droite. Cependant,
vous ne pouvez décaler une diapositive que d’un seul niveau par rapport à la diapositive
du dessus.
m Pour supprimer une mise en retrait, faites glisser les diapositives vers la gauche ou appuyez
sur les touches Maj + Tab.
m Pour afficher ou réduire (masquer) un groupe de diapositives, cliquez sur le triangle
d’affichage à gauche de la première diapositive au dessus du groupe.34 Chapitre 2 Utilisation d’un document Keynote
Si un groupe de diapositives est réduit afin d’afficher uniquement la diapositive de niveau
supérieur en mode Navigateur, la suppression de cette diapositive entraîne également
celle de toutes ses diapositives enfant. Si le groupe n’est pas réduit, la suppression de la
diapositive supérieure fait remonter tous ses enfants d’un niveau.
m Pour déplacer un groupe de diapositives, sélectionnez la première du groupe (en mode
Navigateur) et faites glisser celui-ci vers un nouvel emplacement dans le Navigateur de
diapositives.
Suppression de diapositives
Vous pouvez supprimer une seule diapositive ou un groupe de diapositives.
Il existe plusieurs manières de supprimer des diapositives :
m Pour supprimer une diapositive, sélectionnez-la dans le Navigateur de diapositives et
appuyez sur la touche Supprimer. Vous pouvez appuyer sur la touche Maj en cliquant
afin de sélectionner plusieurs diapositives pour les supprimer.
Si vous supprimez la première diapositive d’un groupe alors que ses diapositives enfants
sont visibles dans le Navigateur de diapositives, celles-ci remontent d’un niveau dans la
structure.
m Pour supprimer une diapositive et tous ses enfants, masquez ces derniers (cliquez sur
la flèche à gauche du haut de la diapositive) et appuyez sur la touche Supprimer.
Si vous effacez involontairement des diapositives, vous pouvez les récupérer immédiatement en choisissant Édition > Annuler Supprimer.
Ignorer des diapositives
Vous pouvez ignorer une diapositive de votre diaporama sans la supprimer du document.
Pour ignorer des diapositives :
m Sélectionnez la ou les diapositive(s) dans le Navigateur de diapositives ou le mode table
lumineuse, puis choisissez Diapositive > Ignorer la diapositive.
m Cliquez sur la diapositive tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez
Ignorer la diapositive.
Pour qu’une diapositive ignorée soit visible dans un diaporama, sélectionnez-la et choisissez Diapositive > Ne pas ignorer la diapositive (ou cliquez dessus en appuyant sur la
touche Contrôle et choisissez Ne pas ignorer la dispositive).Chapitre 2 Utilisation d’un document Keynote 35
Ajout de numéros de diapositives
Vous pouvez ajouter individuellement des numéros (similaires aux numéros de page) à des
diapositives. Vous pouvez également activer la numérotation d’un modèle de diapositive
afin que chaque nouvelle diapositive créée à partir du modèle soit associée automatiquement à un numéro de diapositive croissant.
Il existe différentes manières d’ajouter des numéros de diapositive :
m Sélectionnez une diapositive dans le Navigateur de diapositives, ouvrez l’Inspecteur des
diapositives, cliquez sur Apparence, puis sélectionnez Numéro de diapositive. Le numéro
affecté indique l’emplacement de la diapositive dans le classeur (les diapositives ignorées
ne sont pas numérotées).
m Pour ajouter des numéros de diapositive à un modèle de diapositive, cliquez sur
Présentation dans la barre d’outils et choisissez Afficher les modèles de diapositive.
Dans le Navigateur de modèles de diapositive, sélectionnez le modèle que vous souhaitez modifier. Ouvrez l’Inspecteur des diapositives, cliquez sur Apparence et sélectionnez Numéro de diapositive.
Vous pouvez faire glisser le numéro à n’importe quel endroit de la diapositive, et utiliser
le panneau Police pour mettre en forme le numéro.
Utilisation de commentaires
Pendant que vous travaillez sur votre diaporama, vous pouvez ajouter des commentaires sur les diapositives. Par exemple, vous pouvez utiliser les commentaires pour vous
rappeler des modifications que vous souhaitez apporter à la diapositive. (Les commentaires sont différents des notes de l’intervenant ; consultez la rubrique « Ajout des notes
de l’intervenant » à la page 187.)
Vous pouvez déplacer les commentaires n’importe où sur le canevas. Si vous disposez
de votre propre moniteur lorsque vous effectuez une présentation, vous pouvez afficher vos commentaires sans que l’assistance ne les voie.
Les commentaires sont toujours placés au dessus du canevas, ils peuvent donc masquer certaines zones de votre diapositive. Faites glisser simplement les commentaires
en dehors de la diapositive, masquez-les ou redimensionnez-les.
Ajout de commentaires
aux diapositives. Vous
pouvez facilement
afficher et masquer des
commentaires.36 Chapitre 2 Utilisation d’un document Keynote
Il existe différentes manières de travailler avec les commentaires :
m Pour ajouter un commentaire, cliquez sur Commentaire dans la barre d’outils ou choisissez
Insertion > Commentaire. Tapez une note, une idée, ou un rappel, puis faites glisser le commentaire à l’endroit souhaité sur le canevas.
m Pour masquer ou afficher des commentaires, cliquez sur Présentation dans la barre
d’outils, puis choisissez Masquer les commentaires ou Afficher les commentaires.
m Pour redimensionner un commentaire, faites glisser le coin inférieur droit.
m Pour supprimer un commentaire, cliquez sur l’icône x dans l’angle supérieur droit.
m Pour mettre en forme un commentaire, suivez les instructions des rubriques « Mise en
forme de la taille et de l’apparence du texte » à la page 44 et « Remplissage d’un objet
avec de la couleur » à la page 87.
m Pour imprimer avec les commentaires affichés, assurez-vous qu’ils sont bien visibles
sur le canevas avant de lancer l’impression.
Copie ou déplacement d’éléments entre diapositives
Vous pouvez déplacer du texte ou un objet d’une diapositive vers une autre diapositive.
Il existe différentes manières de copier ou déplacer du texte et des objets :
m Pour copier (ou couper) et coller du texte ou un objet, sélectionnez le texte ou l’objet
et choisissez Édition > Copier ou Édition > Couper. Cliquez à l’endroit où vous souhaitez
coller du texte ou un objet et choisissez Édition > Coller.
Cette méthode conserve la mise en forme du texte. Pour que le texte copié adopte la mise
en forme du texte qui l’entoure, choisissez Édition > Coller le style et l’appliquer.
m Pour supprimer du texte ou un objet, sélectionnez le texte ou l’objet et choisissez
Édition > Supprimer ou appuyez sur la touche Suppr.
Si vous supprimez un élément par accident, choisissez Édition > Annuler pour le restaurer.
m Pour copier une image entre deux documents Keynote, sélectionnez l’image et faites
glisser son icône depuis le champ Informations du fichier de l’Inspecteur des mesures
vers une diapositive dans l’autre fichier Keynote.
Lorsque vous utilisez la commande Copier ou Couper, le texte ou l’objet sélectionné est
placé dans une zone d’attente nommée Presse-papiers, dans laquelle il reste jusqu’à ce
que vous sélectionniez à nouveau la commande Copier ou Couper (ou que vous éteigniez votre ordinateur). Le Presse-papiers ne conserve qu’une seule opération de copie
ou de coupe à la fois.Chapitre 2 Utilisation d’un document Keynote 37
Modification du thème, du modèle ou de la disposition
d’une diapositive
Vous pouvez modifier le thème, le modèle ou la disposition d’une diapositive à tout
moment.
 Thème : choisissez un autre thème lorsque vous désirez changer l’aspect global d’une
diapositive - par exemple, la couleur d’arrière-plan, les polices et le « ton » (professionnel ou amical).
 Modèle : modifiez le modèle d’une diapositive lorsque vous désirez utiliser une autre
disposition prédéfinie. Par exemple, vous pouvez changer le modèle d’une diapositive pour orienter une grande photo dans le sens vertical plutôt qu’horizontal.
 Disposition : modifiez la disposition d’une diapositive lorsque vous désirez ajouter,
supprimer ou modifier des éléments de dispositive tels que zones de texte et paramètres fictifs d’objet.
Changement de thème
Vous pouvez changer le thème d’une diapositive à tout moment en la sélectionnant et en
choisissant un autre thème à l’aide du bouton Thème dans la barre d’outils. Pour conserver
les modifications de mise en forme que vous avez déjà effectuées, ou pour changer le
thème global d’un diaporama, respectez les étapes suivantes.
Pour changer le thème d’une diapositive ou d’un diaporama :
1 Dans le Navigateur de diapositives, sélectionnez la ou les diapositive(s) dont vous souhaitez
modifier le thème. (Si vous souhaitez changer toutes les diapositives, ignorez cette étape.)
2 Cliquez sur Thèmes dans la barre d’outils, puis choisissez Sélecteur de thèmes.
3 Sélectionnez un nouveau thème.
4 Si vous avez effectué des modifications de mise en forme que vous ne souhaitez pas
conserver dans le nouveau thème, (par exemple si vous avez mis le corps de texte en
marron mais que vous souhaitez que le texte utilise la couleur du nouveau thème),
désélectionnez « Appliquer les modif. aux thèmes par défaut ».
5 Choisissez Toutes les diapos ou Diapos sélectionnées dans le menu local Appliquer sur.
Vous pouvez utiliser plusieurs thèmes dans un même diaporama en appliquant
un nouveau thème à certaines diapositives uniquement.
6 Cliquez sur Choisir pour appliquer le nouveau thème.
Pour restaurer les paramètres par défaut d’un thème, sélectionnez la diapositive et choisissez Format > Revenir au format du modèle pour la diapo.38 Chapitre 2 Utilisation d’un document Keynote
Utilisation de plusieurs thèmes
Vous pouvez utiliser plusieurs thèmes dans un diaporama afin de diviser visuellement
les diapositives en différents groupes.
Pour utiliser différents thèmes pour différentes diapositives dans votre diaporama :
1 Dans le Navigateur de diapositives, sélectionnez les diapositives pour lesquelles vous
souhaitez un thème différent. (Cliquez en appuyant sur la touche Maj ou Commande
pour sélectionner plusieurs diapositives.)
2 Cliquez sur Thèmes dans la barre d’outils, puis choisissez un nouveau thème.
Vous pouvez également cliquer sur Thèmes dans la barre d’outils, choisissez Sélecteur
de thèmes, puis choisissez Diapos sélectionnées dans le menu local Appliquer sur.
Application d’un nouveau modèle à une diapositive
Vous pouvez modifier le modèle d’une diapositive à tout moment. Par exemple, vous
pouvez souhaiter transformer le modèle Photo de l’orientation horizontale à l’orientation verticale.
Pour choisir rapidement un autre modèle, sélectionnez la diapositive dont vous souhaitez
changer le modèle, cliquez sur Modèles dans la barre d’outils, puis choisissez-en un autre.
Vous pouvez également utiliser l’Inspecteur des diapositives pour changer le modèle
d’une diapositive.
Pour modifier un modèle de diapositive à l’aide de l’Inspecteur des diapositives :
1 Sélectionnez le modèle de diapositive à modifier.
2 Choisissez Présentation > Afficher l’Inspecteur et cliquez sur Inspecteur des diapositives.
3 Cliquez sur Apparence.
4 Pour appliquer un modèle de diapositive différent, cliquez sur le triangle en regard
de la vignette de la diapositive et choisissez un modèle dans la liste déroulante.
Changement de la disposition d’une diapositive
Vous pouvez facilement ajouter des éléments préformatés (zone de titre, zone de corps
de texte, paramètre fictif d’objet ou numéro de diapositive) individuellement à des diapositives.
Pour modifier la disposition d’une diapositive :
1 Sélectionnez le modèle de diapositive à modifier.
2 Choisissez Présentation > Afficher l’Inspecteur et cliquez sur Inspecteur des diapositives.Chapitre 2 Utilisation d’un document Keynote 39
3 Cliquez sur Apparence.
4 Pour ajouter une zone de titre ou d’autres éléments à la diapositive, utilisez les cases
à cocher situées sous la vignette du modèle de diapositive.
5 Pour appliquer une image d’arrière-plan, choisissez un type d’arrière-plan dans le menu
local Arrière-plan.
Remplissage couleur : transforme l’arrière-plan en une couleur unique et unie. Cliquez
sur le cadre de couleur et choisissez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
Remplissage dégradé : applique un dégradé de couleur au fond. Cliquez sur chaque cadre
de couleur et choisissez des couleurs dans la fenêtre Couleurs.
Remplissage image : utilise votre propre image comme fond. Cliquez sur Choisir et sélectionnez une image.
Remplissage image teintée : utilise votre propre image avec une teinte de couleur semiopaque par-dessus. Cliquez sur Choisir et sélectionnez une image.
Si vous choisissez l’option Remplissage image ou Remplissage image teintée, choisissez
une option de mise à l’échelle dans le menu local. Reportez-vous à la rubrique
« Remplissage d’objet avec une image » à la page 89 pour obtenir plus d’informations.
Vous pouvez également modifier le modèle de diapositive d’une diapositive, ou même
en créer un nouveau. Reportez-vous à la rubrique « Conception de modèles de diapositive et de thèmes » à la page 211 pour obtenir plus d’informations.
Choisissez une couleur ou une image
d’arrière-plan.
Choisissez un modèle
de diapositive.
Faites glisser une image à cet
endroit depuis le Navigateur
de média ou le Finder.40 Chapitre 2 Utilisation d’un document Keynote
Modification identique sur plusieurs diapositives
Vous pouvez effectuer rapidement les mêmes modifications (par exemple, redimensionner
le texte, repositionner un graphique ou utiliser une autre couleur d’arrière-plan) sur
plusieurs diapositives en modifiant le modèle sur lequel elles reposent.
Pour effectuer des modifications identiques sur plusieurs diapositives :
1 Sélectionnez la diapositive que vous désirez modifier.
2 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils et choisissez Afficher les modèles de diapositive.
3 Dans le Navigateur de diapositives, cliquez sur le modèle utilisé pour la diapositive
sélectionnée (ce modèle porte une coche en regard).
4 Effectuez vos modifications sur le modèle de diapositive.
Les modifications que vous apportez au modèle de diapositive s’appliquent à toutes
les diapositives basées sur celui-ci.3
41
3 Utilisation de texte
Ce chapitre explique comment ajouter et modifier l’apparence
d’un texte, y compris de listes.
Dans Keynote, vous pouvez placer un texte dans des zones de texte, des cellules
de tableaux et des formes.
Ajout de texte
Les modèles de diapositives comprennent des paramètres fictifs de texte (texte fictif
que vous remplacez par le votre) pour les titres de diapositive et le corps de texte.
La police du texte de titre est plus grosse que celle du corps de texte. La plupart des
corps de texte comprennent des puces (précédées d’un « point » ou autre motif), mais
vous pouvez les supprimer à l’aide de la sous-fenêtre Puces de l’Inspecteur du texte.
Voici différentes manières d’insérer du texte dans une diapositive :
m Pour ajouter un titre, double-cliquez sur un paramètre fictif de titre sur le canevas et tapez
votre texte.
m Pour ajouter un corps de texte, double-cliquez sur un paramètre fictif correspondant sur
le canevas et commencez à saisir votre texte.
m Pour vous déplacer sur la ligne suivante, appuyez sur Retour.
m Pour placer une ligne en retrait, appuyez sur la touche de tabulation. Pour décaler une ligne
en retrait, appuyez sur les touches Maj + Tab. 42 Chapitre 3 Utilisation de texte
m Pour appliquer un retrait supplémentaire, appuyez sur les touches Maj + Tab.
Si la diapositive sur laquelle vous travaillez ne contient ni titre ni corps de texte, vous
pouvez soit choisir un autre modèle, soit sélectionner Titre ou Corps dans la sous-fenê-
tre Apparence de l’Inspecteur des diapositives.
Vous pouvez également insérer une zone de texte libre sur le canevas. Le texte des zones
de texte libre n’apparaît pas en mode plan.
Sélection de texte
Avant de mettre en forme ou d’effectuer toute autre opération sur du texte, vous devez
sélectionner le texte que vous souhaitez utiliser.
Il est possible de sélectionner du texte de différentes manières :
m Pour sélectionner un ou plusieurs caractères, cliquez devant le premier caractère,
et faites glisser le curseur sur les caractères que vous souhaitez sélectionner.
m Pour sélectionner un mot, double-cliquez dessus.
m Pour sélectionner un paragraphe, cliquez trois fois dessus.
m Pour sélectionner tout le texte d’un document, choisissez Édition > Tout sélectionner.
Double-cliquez sur une zone de titre
et tapez un titre. La police et la taille
du texte sont prédéfinis pour vous.
Double-cliquez sur une zone de
corps de texte et tapez votre texte.
La police, la taille du texte et d’autres
attributs sont déjà définis.Chapitre 3 Utilisation de texte 43
m Pour sélectionner des blocs de texte, cliquez au début du bloc de texte, puis cliquez
à la fin d’un autre bloc de texte, tout en maintenant la touche Maj enfoncée.
m Pour effectuer une sélection depuis le point d’insertion jusqu’au début du paragraphe,
appuyez sur la touche Flèche vers le haut tout en maintenant les touches Maj et Option
enfoncées.
m Pour effectuer une sélection depuis le point d’insertion jusqu’à la fin du paragraphe,
appuyez sur la touche Flèche vers le bas tout en maintenant les touches Maj et Option
enfoncées.
m Pour étendre la sélection d’un caractère à la fois, appuyez sur la touche Flèche gauche
ou Flèche droite tout en maintenant la touche Maj enfoncée.
m Pour étendre la sélection d’une ligne à la fois, appuyez sur la touche Flèche vers le haut
ou Flèche vers le bas tout en maintenant la touche Maj enfoncée.
m Pour sélectionner plusieurs mots ou blocs de texte qui ne sont pas adjacents, sélectionnez la première portion de texte souhaitée, puis sélectionnez d’autres portions de texte
tout en maintenant la touche Commande enfoncée.
Supprimer, copier et coller du texte
Le menu Édition contient des commandes qui vous aident à effectuer des opérations
d’édition de texte.
Voici différentes manières de modifier du texte :
m Pour copier (ou couper) et coller du texte, sélectionnez le texte et choisissez Édition >
Copier ou Édition > Couper. Cliquez à l’endroit où vous souhaitez coller le texte.
Pour que le texte copié conserve la mise en forme du style, choisissez Édition > Coller.
Cliquez sur Édition > Coller le style et l’appliquer afin de modifier la mise en forme
du texte collé afin qu’elle corresponde à la mise en forme du texte situé autour.
m Pour supprimer du texte, sélectionnez le texte et choisissez Édition > Supprimer
ou appuyez sur la touche Suppr.
Si vous supprimez du texte par accident, choisissez Édition > Annuler pour le restaurer.
Lorsque vous utilisez la commande Copier ou Couper, le texte sélectionné est placé dans
une zone d’attente nommée Presse-papiers, dans laquelle il reste jusqu’à ce que vous sélectionniez à nouveau la commande Copier ou Couper ou que vous éteigniez votre ordinateur. Le Presse-papiers ne conserve qu’une seule opération de copie ou de coupe à la fois.44 Chapitre 3 Utilisation de texte
Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte
Vous pouvez effectuer toutes les opérations de mise en forme du texte à l’aide des menus
de Keynote, de l’Inspecteur du texte, ou du panneau Police.
Vous pouvez effectuer les opérations élémentaires de mise en forme à l’aide des commandes des menus de . Si vous souhaitez passer à une autre police, ou si vous modifiez
fréquemment la mise en forme du texte, il peut être plus simple d’utiliser le panneau
Police et l’Inspecteur du texte afin de mettre en forme le texte.
Utilisation du menu Format pour mettre en forme le texte
Les options du sous-menu Police du menu Format vous offrent un contrôle de base
de la taille et de l’apparence du texte.
Application de l’attribut Gras ou Italique au texte à l’aide des menus
Vous pouvez mettre les caractères en gras ou en italique.
Pour mettre un texte en gras ou en italique :
1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez mettre en gras ou en italique, ou cliquez
à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte.
2 Choisissez Format > Police > Gras. Ou choisissez Format > Police > Italique.
Certaines polices comportent plusieurs styles gras et italique. Pour choisir parmi plusieurs
styles gras et italique, utilisez le panneau Police. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation
du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 46.
Encadrement de texte à l’aide des menus
Vous pouvez modifier le texte afin qu’il apparaisse avec un contour bien défini.
Pour créer du texte encadré :
1 Sélectionnez le texte auquel vous souhaitez appliquer un contour, ou cliquez à l’endroit
où vous souhaitez saisir un nouveau texte.
2 Choisissez Format > Police > Contour.
Soulignement du texte à l’aide des menus
Vous pouvez souligner du texte, puis mettre en forme le soulignement afin d’en modifier
le style ou la couleur.
Pour souligner du texte :
1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez souligner, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez
saisir un nouveau texte.
2 Choisissez Format > Police > Souligner.
Pour modifier le style ou la couleur du soulignement, cliquez sur Polices dans la barre
d’outils et utilisez le bouton Texte souligné dans le panneau Police. Reportez-vous à la
rubrique « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 46.Chapitre 3 Utilisation de texte 45
Modification de la taille du texte à l’aide des menus
Vous pouvez changer la taille du texte (en points) pour le rendre plus grand ou plus petit.
Pour changer la taille du texte sélectionné :
1 Sélectionnez le texte à redimensionner.
2 Pour changer la taille du texte par incréments de 1 point, choisissez Format > Police >
Plus grand. Ou choisissez Format > Police > Plus petit.
Vous pouvez également ajouter les icônes Plus grand et Plus petit à la barre d’outils.
Pour ce faire, choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils et faites glisser
les icônes sur la barre d’outils, puis cliquez sur Fin.
Pour spécifier une taille précise pour le texte sélectionné, cliquez sur Polices dans la barre
d’outils et utilisez les contrôles Taille du panneau Police. Reportez-vous à la rubrique
« Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 46.
Mise en indice ou en exposant du texte à l’aide des menus
Vous pouvez lever ou abaisser le texte par rapport à sa ligne de base.
Pour mettre le texte en indice ou en exposant :
1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez lever ou abaisser, ou cliquez à l’endroit où vous
souhaitez saisir un nouveau texte.
2 Pour créer un indice ou un exposant dont la taille de police est inférieure à celle du texte
qu’il accompagne, choisissez Format > Police > Ligne de base > Indice. Ou choisissez
Format > Police > Ligne de base > Exposant.
3 Pour élever ou abaisser le texte sans réduire la taille de la police, choisissez Élever
ou Abaisser dans le sous-menu Ligne de base.
4 Pour restaurer le texte à la même ligne de base que celle du corps de texte, choisissez
Valeur par défaut dans le sous-menu Ligne de base.
Vous pouvez également ajouter les icônes Indice et Exposant à la barre d’outils. Pour
ce faire, choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils, faites glisser les icônes
vers la barre d’outils, puis cliquez sur Fin.
Modification de la casse d’un texte à l’aide des menus
Vous pouvez rapidement faire passer des blocs de texte en majuscules ou en minuscules,
ou transformer un texte en titre.
Pour changer la casse d’un texte :
1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez modifier, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez
saisir un nouveau texte.
2 Choisissez Format > Police > Majuscules puis sélectionnez une option dans le sous-menu.
Choisissez Tout en majuscule pour que le texte passe en majuscules.46 Chapitre 3 Utilisation de texte
Choisissez Petites majuscules pour que le texte passe en petites majuscules avec des lettres
plus grandes pour les capitales.
Choisissez Titre pour transformer un texte en titre, ce qui met la première lettre de chaque
mot en majuscule.
Choisissez Aucun pour revenir à la capitalisation d’origine. Les caractères en majuscules
comme le premier mot de chaque phrase restent en majuscules mais toutes les autres
lettres passent en minuscules.
Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte
Le panneau Police de Mac OS X vous permet d’accéder à toutes les polices installées sur
votre ordinateur. Il offre un aperçu des caractéristiques disponibles (telles que gras et italique) ainsi que de la taille de chaque police. Les boutons du panneau Police permettent
de souligner ou de barrer le texte, d’ajouter de la couleur et des ombres au texte. Vous
pouvez même modifier la couleur de la diapositive d’arrière-plan dans le panneau Police.
Pour en savoir plus sur l’installation des polices, la création et la gestion de collections
de polices, ou la résolution de problèmes liés aux polices, consultez l’Aide Mac.
Pour ouvrir le panneau Police :
m Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
Prévisualiser le type de caractère
sélectionné (pour cela, il peut être
nécessaire de cliquer sur Afficher un
aperçu dans le menu Action).
Sélectionner un type de caractère à appliquer au texte sélectionné dans votre document.
Sélectionner une taille
de police à appliquer
au texte sélectionné
dans votre document.
Menu Action
Créez des effets
intéressants à l’aide
de ces boutons.
Appliquer une ombre au
texte sélectionné. Modifier l’ombre à l’aide des
contrôles Opacité, Flou,
Décalage et Angle.
Recherchez des polices en
tapant un nom de police
dans le champ de recherche.Chapitre 3 Utilisation de texte 47
Vous pouvez modifier l’apparence de n’importe quel texte d’un document en le sélectionnant, puis en sélectionnant des options dans le panneau Police. Lorsque vous appliquez des changements de mise en forme dans le panneau Police, le texte sélectionné
change immédiatement, ce qui vous permet de tester différentes options de mise en
forme et de voir rapidement celui qui convient le mieux.
Voici un récapitulatif des actions que réalisent les boutons d’effets sur le texte, de gauche
à droite :
 Le menu local Texte souligné vous permet de choisir un style de soulignement (trait
simple ou double, par exemple).
 Le menu local Texte barré vous permet de sélectionner un style de barrage du texte
(trait simple ou double, par exemple).
 Le menu local Couleur du texte permet d’appliquer une couleur au texte.
 Le menu local Couleur du document permet d’appliquer une couleur au fond d’un
paragraphe.
 Le bouton Ombre du texte applique une ombre au texte sélectionné.
 Les commandes « Opacité de l’ombre », « Flou de l’ombre », « Décalage de l’ombre »
et « Angle de l’ombre » contrôlent l’apparence de l’ombre.
Si les boutons d’effets de texte n’apparaissent pas, choisissez Afficher les effets dans
le menu local Action situé dans l’angle inférieur gauche du panneau Police.
Astuces pour l’organisation des polices
Si vous utilisez fréquemment le panneau Police, différentes techniques vous permettent
de gagner du temps.
Voici quelques conseils d’utilisation du panneau Police :
m Pour localiser rapidement les polices que vous utilisez le plus souvent, placez-les dans
des collections de polices. Cliquez sur le bouton Ajout (+) pour créer une collection de
polices, puis faites glisser un type de caractère vers la nouvelle collection.
m Pour faciliter le changement fréquent de police, il suffit de laisser le panneau Police
ouvert. S’il occupe trop d’espace à l’écran, vous pouvez le réduire en faisant glisser le
contrôle de redimensionnement (dans l’angle inférieur droit du panneau), de sorte que
seuls les familles et styles de police de la collection sélectionnée soient visibles. Pour le
refermer, cliquez de nouveau sur le bouton Polices ou sur le bouton de fermeture situé
dans le coin supérieur gauche.
Changement de polices à l’aide du panneau Police
Le panneau Police vous permet de contrôler complètement les polices. Utilisez les contrô-
les de taille et les réglages typographiques pour personnaliser l’apparence de votre texte. 48 Chapitre 3 Utilisation de texte
Pour modifier la police du texte sélectionné :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Dans le panneau Police, sélectionnez un style de police dans la colonne Famille, puis
sélectionnez le style dans la colonne Style.
Si vous ne voyez pas toutes les familles de police installées sur l’ordinateur, sélectionnez
Toutes les polices dans la colonne Collections ou tapez le nom de la police recherchée
dans le champ de recherche en bas du panneau Police.
Un aperçu de la police sélectionnée apparaît dans la sous-fenêtre d’aperçu en haut du
panneau Police. Si la sous-fenêtre d’aperçu ne s’affiche pas, choisissez Afficher l’aperçu
dans le menu local Action dans le coin inférieur gauche du panneau Police.
3 Réglez la taille de la police à l’aide du curseur ou d’autres commandes contrôlant la taille.
4 Ajustez les réglages de typographie de la police sélectionnée en choisissant Typographie
dans le menu local Action. Dans la fenêtre Typographie, cliquez sur les triangles d’affichage
afin de visualiser et de sélectionner les différents effets typographiques disponibles pour
la police sélectionnée. Les effets typographiques disponibles dépendent de la police.
Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées »
à la page 53 pour obtenir plus d’informations.
Modification du soulignement à l’aide du panneau Police
Vous pouvez utiliser le panneau Police pour changer l’apparence des soulignements.
Pour modifier le soulignement du texte sélectionné :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Cliquez sur le bouton Soulignement de texte dans le panneau Police (premier bouton
à gauche) et choisissez Simple ou Double dans le menu local.
3 Pour changer la couleur de soulignement, choisissez Couleur dans le menu local Soulignement de texte, puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
Ajout d’un attribut barré au texte à l’aide du panneau Police
Vous pouvez ajouter l’attribut barré au texte et utiliser une couleur de ligne différente
de celle du texte.
Pour ajouter un attribut barré au texte sélectionné :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Cliquez sur le bouton Texte barré dans le panneau Police (deuxième bouton à partir de
la gauche), puis choisissez Aucun, Simple ou Double dans le menu local. Une ligne simple ou double barre le texte sélectionné de la même couleur que celui-ci.
3 Pour changer la couleur des lignes barrées, choisissez Couleur dans le menu local Texte
barré, puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. La ligne barrée prend la
couleur sélectionnée dans la fenêtre Couleurs, mais le texte conserve sa couleur d’origine.Chapitre 3 Utilisation de texte 49
Modification de la couleur du texte à l’aide du panneau Police
Les modifications apportées à la couleur du texte dans le panneau Police remplacent celles apportées dans l’Inspecteur du texte, et inversement. (Pour en savoir plus sur la modification de la couleur du texte à l’aide de l’Inspecteur du texte, reportez-vous à la rubrique
« Modification de la couleur du texte à l’aide de l’Inspecteur du texte » à la page 57.)
Pour modifier la couleur du texte sélectionné :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Cliquez sur le bouton Couleur du texte dans le panneau Police (troisième bouton à partir de
la gauche), puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 88 pour en connaître les instructions.
Modification de la couleur d’arrière-plan d’un paragraphe à l’aide du panneau Police
Le panneau Police vous permet d’ajouter une couleur derrière un paragraphe.
Pour modifier la couleur d’arrière-plan d’un paragraphe sélectionné :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Cliquez sur le bouton Couleur du document dans le panneau Police (quatrième bouton
à partir de la gauche), puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Reportezvous à la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 88 pour en connaître
les instructions.
Création d’ombres sur le texte à l’aide du panneau Police
Le panneau Police vous permet de créer et de mettre en forme des ombres sur le texte.
Pour ajouter des ombres au texte sélectionné :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Cliquez sur le bouton Ombre du texte dans le panneau Police (cinquième bouton
à partir de la gauche).
3 Faites glisser le curseur Opacité de l’ombre (premier curseur à gauche) vers la droite
afin de rendre l’ombre plus foncée.
4 Faites glisser le curseur Flou de l’ombre (curseur du milieu) vers la droite afin de rendre
l’ombre plus floue.
5 Faites glisser le curseur Décalage de l’ombre (troisième curseur) vers la droite afin
de séparer l’ombre du texte.
6 Faites tourner la molette Angle de l’ombre afin de définir la direction de l’ombre.
Vous pouvez également définir les ombres du texte dans l’Inspecteur des graphismes,
comme décrit dans la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 84. 50 Chapitre 3 Utilisation de texte
Pour modifier la police utilisée dans le mode plan
Vous pouvez modifier la police utilisée lorsque vous affichez votre diaporama dans
le mode plan.
Pour modifier la police du mode plan :
1 Choisissez Keynote > Préférences.
2 Si la sous-fenêtre Général n’est pas affichée, cliquez sur Général.
3 Choisissez une police et une taille de police dans les menus locaux Police du mode plan.
Ajout d’accents et de caractères spéciaux
Si vous devez taper des caractères avec des accents, des symboles mathématiques, des
flèches ou d’autres caractères spéciaux, vous pouvez utiliser la sous-fenêtre des préférences internationales ou la palette de caractères. Vous pouvez également voir où se trouvent
les caractères sur les claviers utilisés dans d’autres langues en utilisant le Visualiseur de
clavier (vous pouvez par exemple voir la disposition des touches d’un clavier italien). Tous
ces outils sont intégrés à Mac OS X.
Ajout d’accents
Vous pouvez utiliser le Visualiseur de clavier des Préférences Système pour ajouter
des accents aux caractères.
Pour ajouter des accents :
1 Choisissez Pomme > Préférences Système et cliquez sur International.
2 Cliquez sur Menu Saisie, puis sélectionnez la case en regard de Visualiseur de clavier.
3 Choisissez Afficher le Visualiseur de clavier dans le menu Saisie à droite de la barre
de menus (celle qui ressemble à un drapeau ou à un symbole alphabétique).
Le Visualiseur de clavier affiche les caractères du clavier. Si vous avez sélectionné une disposition du clavier différente ou une méthode d’entrée différente pour le clavier dans le menu
Saisie, les caractères de la disposition du clavier sélectionnée s’affichent. Par exemple, si
vous choisissez Américain dans le menu Saisie, vous voyez dans le Visualiseur de clavier les
caractères qui s’affichent sur un clavier américain.
4 Pour mettre en surbrillance dans le Visualiseur de clavier les différents accents que vous
pouvez taper, appuyez sur Option, ou sur les touches Option + Maj.
Les touches accentuées sont entourées en blanc. En fonction du clavier, vous pouvez ne
pas avoir à appuyer sur les touches de modification pour afficher les caractères accentués.
5 Placez le point d’insertion dans le document à l’endroit où vous souhaitez taper.
6 Appuyez sur la touche de modification sur laquelle vous avez appuyé à l’étape 4 (Maj,
Option, Option + Maj ou aucune) et appuyez sur la touche qui se trouve à la même position que l’accent affiché dans le Visualiseur de clavier. Relâchez ensuite la touche de modification et appuyez sur la touche correspondant au caractère que vous souhaitez accentuer.
La touche accentuée modifie la touche que vous tapez ensuite. Par exemple, sur un clavier
américain, pour afficher le caractère é, appuyez sur Option et sur E (la touche accentuée),
puis appuyez sur E (la touche sur laquelle vous souhaitez que l’accent apparaisse).Chapitre 3 Utilisation de texte 51
Affichage des dispositions de clavier dans d’autres langues
Vous pouvez utiliser le Visualiseur de clavier des Préférences Système pour afficher
l’emplacement des caractères sur des claviers utilisés pour d’autres langues.
Des polices doivent être installées pour la langue que vous souhaitez voir dans
le Visualiseur de clavier.
Pour afficher les dispositions de clavier pour différentes langues :
1 Choisissez Pomme > Préférences Système et cliquez sur International.
2 Cliquez sur Menu Saisie, puis sélectionnez la case en regard de Visualiseur de clavier.
3 Pour afficher la disposition des caractères sur les claviers utilisés dans différents pays,
sélectionnez la case Sur en regard de la disposition du clavier du pays ou de la méthode
de saisie
4 Choisissez Afficher le Visualiseur de clavier dans le menu Saisie à droite de la barre
de menus (celle qui ressemble à un drapeau ou à un caractère alphabétique).
Le Visualiseur de clavier affiche les caractères de la disposition du clavier ou de la méthode
de saisie sélectionnée dans le menu Saisie. Par exemple, si vous choisissez Américain dans
le menu Saisie, vous voyez dans le Visualiseur de clavier les caractères qui s’affichent sur
un clavier américain.
5 Pour afficher la disposition du clavier d’un autre pays, choisissez-la dans le menu Saisie.
Saisie des caractères spéciaux et des symboles
À l’aide de la palette de caractères Mac OS X, vous pouvez insérer des caractères spéciaux,
comme des symboles mathématiques, des lettres accentuées, des flèches et autres
« dingbats », et bien plus encore. Cette palette vous permet également de saisir des
caractères japonais, de chinois traditionnel, de chinois simplifié, de coréen ainsi que
d’autres langues.
Pour insérer des caractères spéciaux ou des symboles :
1 Placez le point d’insertion à l’endroit où le caractère ou symbole spécial doit apparaître.
2 Choisissez Édition > Caractères spéciaux afin d’ouvrir la palette de caractères (ou choisissez Caractères dans le menu local Action dans le coin inférieur gauche du panneau Police).
3 Choisissez le type de caractère que vous souhaitez afficher dans le menu local Afficher,
en haut de la palette de caractères. Si le menu local ne s’affiche pas, cliquez sur le bouton
dans le coin supérieur droit de la fenêtre afin d’afficher la partie supérieure de la fenêtre.
Cliquez de nouveau sur ce bouton afin de masquer la partie supérieure de la fenêtre.52 Chapitre 3 Utilisation de texte
Sous Mac OS X 10.4, la Palette de caractères ressemble à ceci :
4 Cliquez sur un élément de la liste de gauche afin de voir les caractères disponibles dans
chaque catégorie.
5 Double-cliquez sur le caractère ou le symbole de droite que vous souhaitez insérer dans
votre document, ou sélectionnez le caractère et cliquez sur Insérer.
Si le caractère ou le symbole présente des variantes, celles-ci s’affichent en bas de la fenê-
tre lorsque vous cliquez sur le triangle Infos du caractère ou le triangle Variante de police
en bas de la palette. Double-cliquez dessus afin de l’insérer dans votre document.
Utilisation de guillemets courbes
Les guillemets courbes sont des guillemets ouvrant et fermant qui sont incurvés ;
le guillemet ouvrant est donc différent du guillemet fermant. Lorsque vous n’utilisez
pas de guillemets courbes, les guillemets sont droits et identiques.
Pour utiliser des guillemets courbes :
m Choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis sélectionnez
« Utiliser les guillemets courbes ».
Guillemets droits
Guillemets courbesChapitre 3 Utilisation de texte 53
Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées
Certaines polices, telles que Zapfino et Hœfler, présentent des fonctions typographiques
avancées, qui vous permettent de créer différents effets. Si vous utilisez une telle police,
vous pouvez modifier nombre de ces effets via le sous-menu Police du menu Format.
Par exemple, vous pouvez ajuster les éléments suivants :
 Crénage : ajuste l’espacement entre les caractères.
 Ligature : utilise ou évite les styles élaborés entre les lettres, au début ou à la fin des
lignes combinant plusieurs caractères en un seul symbole graphique
Dans le sous-menu Ligature, choisissez Valeur par défaut pour utiliser les réglages de
ligature spécifiés dans la fenêtre Typographie pour la police que vous utilisez, choisissez
Aucune pour désactiver les ligatures pour le texte sélectionné, ou choisissez Toutes pour
activer des ligatures supplémentaires pour le texte sélectionné.
 Ligne de base : relève ou abaisse le texte par rapport au texte qui l’entoure.
 Majuscules : convertit tous les caractères en majuscules, en petites majuscules
ou en lettres capitales initiales (style de titre).
Des fonctions typographiques avancées sont disponibles dans la fenêtre Typographie.
Pour ouvrir la fenêtre Typographie :
1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils.
2 Dans le panneau Police, choisissez Typographie dans le menu local Action (dans le coin
inférieur gauche).
Réglage du lissage des polices
Si les polices apparaissent floues ou irrégulières à l’écran, vous pouvez modifier le style
de lissage des polices ou changer la taille du texte à partir de laquelle Mac OS X commence
à lisser les polices.
Pour lisser les polices à l’écran :
1 Ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Apparence.
2 Choisissez un style de lissage de police dans le menu local en bas de la fenêtre. En fonction du type de votre écran, les différences entre les styles de lissage peuvent vous paraître
très légères.
3 Si vous envisagez d’utiliser des polices de petite taille dans votre document, choisissez
une taille de point dans le menu local « Désactiver le lissage du texte pour les polices de
taille ». Lorsque le lissage de texte (ou « anticrénelage ») est activé, les polices les plus
petites deviennent difficilement lisibles.
Avec ligature
Sans ligature54 Chapitre 3 Utilisation de texte
Définition de l’alignement, de l’espacement et de la couleur
du texte
L’outil principal pour régler les attributs propres au texte est l’Inspecteur du texte. Vous
pouvez aligner horizontalement le texte (le centrer ou l’aligner à gauche, par exemple)
grâce au menu Format.
Utilisation de l’Inspecteur du texte pour régler l’alignement, l’espacement et la couleur
Dans la sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur du texte, vous pouvez changer la couleur
et l’alignement du texte. Vous pouvez également ajuster l’espacement entre les caractères de texte et lignes individuelles.
Pour ouvrir la sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur du texte :
m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Texte.
Boutons d’alignement
vertical : cliquer dessus afin
d’aligner le texte en haut, au
centre ou en bas d’une zone
de texte, d’une figure ou
d’une cellule de tableau.
Faites glisser afin d’ajuster la quantité d’espace entre le texte et les bordures intérieures des zones de texte,
Espacement de
caractères et de lignes :
régler l’espacement de
caractère, de ligne et de
paragraphe pour le texte
sélectionné.
Cliquer ici afin de modifier la couleur du texte
sélectionné.
Le bouton Inspecteur du texte
Boutons d’alignement horizontal : cliquer
pour aligner le texte sélectionné à gauche, à
droite, réparti à gauche et à droite ou placé
au centre, ou bien pour utiliser un alignement
de cellule spécial.Chapitre 3 Utilisation de texte 55
Alignement horizontal du texte
Vous pouvez modifier l’alignement des paragraphes dans une colonne, une cellule de
tableau, une zone de texte ou une figure afin d’aligner le texte du côté gauche ou droit,
de le centrer ou de l’aligner à gauche et à droite (justifié).
Pour aligner le texte à gauche, au centre, à droite ou pour le justifier :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte
et enfin sur Texte.
3 Cliquez sur l’un des cinq boutons d’alignement horizontal situés à droite du cadre
de couleurs. De gauche à droite, ces boutons entraînent les effets suivants.
Le bouton Aligner à gauche place chaque ligne du texte le long de la marge gauche
de l’objet.
Le bouton Au centre fait coïncider le centre de chaque ligne du texte sur le centre
de l’objet.
Le bouton Aligner à droite place chaque ligne du texte le long de la marge droite
de l’objet.
Le bouton Justifier espace les caractères de chaque ligne afin que le texte se répartisse
entre les marges gauche et droite de l’objet.
Le bouton « Aligner automatiquement la cellule du tableau » place le texte à gauche
et les nombres à droite dans une cellule.
Si vous souhaitez appliquer un retrait à la première ligne de texte d’un paragraphe, ou
pour savoir comment annuler un retrait, reportez-vous à la rubrique « Création de retraits »
à la page 60.
Vous pouvez également aligner le texte horizontalement en choisissant Format >
Texte > Aligner à gauche, Centrer, Aligner à droite, ou Justifier
Alignement vertical du texte
Vous pouvez modifier l’alignement du texte dans une cellule de tableau, une zone de texte
(sauf pour les zone de texte libre) ou une figure afin que le texte soit aligné le long de la
bordure du haut ou du bas, ou encore centré entre les deux.
Pour aligner du texte en haut, au centre ou en bas d’une zone de texte, d’une cellule
de tableau ou d’une figure :
1 Sélectionnez la zone de texte, la cellule de tableau ou la figure dont vous souhaitez
modifier l’alignement.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Texte.
3 Cliquez sur l’un des trois boutons d’alignement vertical situés en dessous de Couleur
et Alignement.56 Chapitre 3 Utilisation de texte
Réglage de l’espace entre les lignes du texte
Vous pouvez augmenter ou diminuer la distance entre les lignes du texte.
Pour régler l’espacement :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Texte.
3 Déplacez le curseur Ligne vers la gauche pour diminuer l’interligne et vers la droite pour
l’augmenter.
Pour spécifier une valeur d’interligne précise, saisissez une valeur de point dans le champ
Ligne ou cliquez sur la Flèche vers le haut ou vers le bas en regard du champ.
4 Choisissez une option d’interligne dans le menu local Espacement lignes qui apparaît
lorsque vous cliquez sur le texte situé en dessous du champ Ligne.
Espacement de ligne standard (Simple, Double, Multiple) : l’espacement entre les lignes
est proportionnel à la taille de la police. Utilisez cette option lorsque la distance relative
entre les hampes montantes (parties des lettres situées au-dessus du haut de la ligne)
et les hampes descendantes (parties situées sous le bas de la ligne) doivent rester fixe.
L’espacement simple définit un interligne simple et l’espacement double définit un interligne double. L’option Multiple vous permet de définir des valeurs d’interligne entre simple et double, ou supérieures à double.
Au moins : la distance d’une ligne à la suivante ne sera jamais inférieure à la valeur définie,
mais elle peut être supérieure pour les polices plus grandes, afin d’empêcher les lignes qui
se chevauchent. Utilisez cette option lorsque la distance entre les lignes doit rester fixe,
mais le chevauchement n’est pas souhaitable si le texte s’agrandit.
Exactement : la distance entre les lignes de base.
Entre : la valeur définie accroît l’espace entre les lignes, et non leur hauteur. À l’inverse,
l’interligne double augmente donc la hauteur de chaque ligne de deux fois.
Menu local Espacement de
lignes : cliquez sur le texte en
dessous du champ Ligne et
choisissez une option d’espacement entre les lignes.
Champ Ligne : pour spécifier
l’interligne du texte d’un paragraphe, saisissez une valeur
(ou cliquez sur les flèches).Chapitre 3 Utilisation de texte 57
Réglage de l’espacement avant et après un paragraphe
Vous pouvez augmenter ou diminuer l’espacement avant et après les paragraphes.
Pour ajuster la quantité d’espace avant ou après un paragraphe :
1 Sélectionnez les paragraphes à modifier.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Texte.
3 Faites glisser le curseur Avant le paragraphe ou Après le paragraphe. Vous pouvez également saisir une valeur spécifique (par exemple, 5 pt) dans les zones de texte.
Si les valeurs des curseurs Avant le paragraphe et Après le paragraphe sont différentes pour
des paragraphes adjacents, la valeur d’espacement la plus élevée est utilisée. Par exemple,
si la valeur du curseur Avant le paragraphe du paragraphe actuel est de 12 points et
que la valeur Après le paragraphe du paragraphe précédent est de 14 points, l’espace
entre ces deux paragraphes sera de 14 points.
L’espace avant un paragraphe n’apparaît pas s’il s’agit du premier paragraphe d’une
zone de texte, d’une figure ou d’une cellule de tableau.
Pour définir l’espacement autour du texte dans des zones, des figures et des cellules de
tableau, utilisez la commande Marge intérieure, décrite dans la rubrique « Modification
de la marge intérieure du texte dans des objets » à la page 61.
Réglage de l’espace entre les caractères
Vous pouvez augmenter ou diminuer l’espace entre les caractères.
Pour ajuster l’écart entre des caractères :
1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez modifier, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez
saisir un nouveau texte.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du
texte et enfin sur Texte.
3 Faites glisser le curseur Caractère ou spécifiez un nouveau pourcentage dans le champ
Caractère.
Vous pouvez également régler l’espace entre des caractères sélectionnés en choisissant
Format > Police > Crénage et en sélectionnant une option dans le sous-menu.
Modification de la couleur du texte à l’aide de l’Inspecteur du texte
Les modifications apportées à la couleur du texte dans l’Inspecteur du texte remplacent
les modifications de la couleur du texte apportées dans le panneau Police, et inversement.
(Pour en savoir plus sur la modification de la couleur du texte à l’aide du panneau Police,
reportez-vous à la rubrique « Modification de la couleur du texte à l’aide du panneau
Police » à la page 49.) 58 Chapitre 3 Utilisation de texte
Pour changer la couleur du texte :
1 Sélectionnez le texte dont vous souhaitez modifier la couleur ou cliquez dans le texte
pour placer le point d’insertion.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte
et enfin sur Texte.
3 Cliquez sur le cadre de couleurs.
4 Dans la fenêtre Couleurs, sélectionnez une couleur. Reportez-vous à la rubrique
« Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 88 pour obtenir plus d’informations.
Définition de taquets de tabulation afin d’aligner le texte
Vous pouvez aligner le texte à des points spécifiques en définissant des taquets de tabulation dans une zone de texte, une cellule de tableau ou une figure. Pour déplacer le point
d’insertion à un taquet de tabulation, appuyez sur Option + Tab.
Vous pouvez définir rapidement des taquets de tabulation à l’aide des symboles de tabulation de la règle horizontale. Vous pouvez voir les symboles des taquets de tabulation existants sur la règle horizontale en cliquant sur Affichage dans la barre d’outils, en choisissant
Afficher les règles, puis en sélectionnant du texte sur une diapositive.
Pour définir des taquets de tabulation sur des listes, reportez-vous à la rubrique
« Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) » à la page 61.
Voici différentes façons d’utiliser les règles :
m Pour afficher ou masquer les règles, cliquez sur Présentation dans la barre d’outils,
et choisissez Afficher les règles ou Masquer les règles.
m Pour changer les unités de mesure des règles, choisissez Keynote > Préférences, cliquez
sur Règles et choisissez un élément dans le menu local « Unités de la règle ».
m Pour afficher les mesures sous forme de pourcentage de la distance parcourue, choisissez
Keynote > Préférences, cliquez sur Règles et sélectionnez « Afficher en pourcentage les
unités de la règle ».
m Pour placer le point d’origine horizontal de la règle au milieu de la diapositive, choisissez
Keynote > Préférences, cliquez sur Règles et sélectionnez « Placer l’origine au centre
de la règle ».
Tabulation
décimale
Tabulation à droite
Tabulation
centrale
Des symboles de Tabulation à gauche
tabulations bleus
apparaissent sur la
règle horizontale lorsque vous sélectionnez du texte avec desChapitre 3 Utilisation de texte 59
m Pour réutiliser les paramètres de règle à un autre endroit de votre document, sélectionnez
Format > Texte > Copier la règle et Format > Texte > Coller la règle.
Lorsque vous modifiez les paramètres de la règle dans les Préférences de Keynote, les
nouveaux réglages s’appliquent à toutes les diapositives affichées dans Keynote jusqu’à
ce que vous les changiez de nouveau.
Définition d’un nouveau taquet de tabulation
Vous pouvez utiliser la règle horizontale pour ajouter un taquet de tabulation.
Pour créer un nouveau taquet :
1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles.
2 Cliquez sur la règle horizontale pour placer le symbole de tabulation à l’endroit où vous
souhaitez insérer un taquet de tabulation.
Si rien ne se produit, cliquez sur le texte pour définir le point d’insertion.
3 Cliquez sur le symbole de tabulation en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez une option dans le menu local.
Tabulation de gauche : aligne le bord gauche du texte avec le taquet.
Tabulation centrale : place le centre du texte sur le taquet.
Tabulation de droite : aligne le bord droit du texte avec le taquet.
Tabulation décimale : dans le cas des nombres, aligne le séparateur décimal (comme
la virgule ou le point) avec le taquet de tabulation.
Vous pouvez également double-cliquer de manière répétée sur le symbole de tabulation
jusqu’à ce que le type de tabulation souhaité apparaisse.
Modification d’un taquet de tabulation
Vous pouvez modifier l’emplacement et le type de taquet de tabulation à l’aide de la règle
horizontale.
Pour modifier les taquets de tabulation :
1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles.
2 Pour déplacer un taquet de tabulation, faites glisser son symbole de tabulation bleu
le long de la règle horizontale.
3 Pour changer le type de tabulation, cliquez tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée sur le symbole de tabulation et choisissez une option dans le menu local. Vous pouvez également double-cliquer de manière répétée sur le symbole de tabulation dans la
règle jusqu’à ce que le type de tabulation souhaité apparaisse.
Choisissez parmi ces
types de tabulation.60 Chapitre 3 Utilisation de texte
Suppression d’un taquet de tabulation
Vous pouvez supprimer rapidement un taquet de tabulation à l’aide de la règle horizontale.
Pour supprimer un taquet de tabulation :
1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles.
2 Faites glisser le symbole de tabulation en dehors de la règle horizontale.
Création de retraits
Vous pouvez modifier la quantité d’espace entre le texte et la bordure intérieure d’une
zone de texte, d’une figure ou d’une cellule de tableau.
Définition de retraits pour les paragraphes
Vous pouvez modifier le retrait d’un paragraphe en faisant glisser les contrôles de retrait
sur la règle du texte.
Pour définir des retraits à l’aide des règles :
1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et sélectionnez Afficher les règles.
2 Pour changer le retrait de droite, faites glisser l’icône de retrait de droite (triangle bleu
pointant vers le bas du côté droit de la règle horizontale) jusqu’à la position où vous
souhaitez que le bord droit du paragraphe se termine.
3 Pour changer le retrait de gauche, faites glisser son icône (triangle bleu pointant vers
le bas du côté gauche de la règle) vers l’emplacement où le bord gauche du paragraphe doit commencer.
Pour changer la marge gauche indépendamment du retrait gauche, maintenez enfoncée la touche Option lorsque vous faites glisser la souris.
4 Pour changer le retrait de la première ligne, faites glisser le retrait de première ligne
(rectangle bleu) jusqu’à l’emplacement où la première ligne doit commencer.
Si vous souhaitez que la première ligne reste alignée sur la marge de gauche, assurezvous que le rectangle est aligné avec l’icône de retrait de gauche.
Si vous souhaitez créer un retrait suspendu, faites glisser le rectangle vers la gauche
de l’icône de retrait à gauche.
Pour utiliser les paramètres de règle à un autre endroit de votre document, sélectionnez
Format > Texte > Copier la règle et Format > Texte > Coller la règle.
Retrait de première ligne Retrait de droite
Retrait de gaucheChapitre 3 Utilisation de texte 61
Modification de la marge intérieure du texte dans des objets
Vous pouvez modifier l’espace entre le texte et la bordure intérieure d’une zone de texte,
d’une figure ou d’une cellule de tableau. Cette mesure est appelée la marge intérieure. La
quantité d’espace que vous indiquez est appliquée de manière uniforme autour du texte
de chaque côté.
Pour définir l’espacement entre le texte et l’intérieur d’une zone de texte,
d’une figure ou d’une cellule de tableau :
1 Sélectionnez la zone de texte, la figure ou la cellule de tableau. (Si le point d’insertion se
trouve à l’intérieur de l’objet, appuyez sur Commande + Retour afin de quitter le mode
d’édition et sélectionnez l’objet.)
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Texte.
3 Faites glisser le curseur Marge intérieure vers la droite afin d’augmenter l’espace entre
le texte et la bordure intérieure de l’objet, ou tapez un nombre dans la zone Marge
intérieure et appuyez sur Retour. Vous pouvez aussi cliquer sur les flèches pour augmenter ou réduire l’espace.
Définition de retraits pour les listes
Pour mettre en retrait des listes de puces, des listes numérotées et des listes ordonnées,
utilisez l’inspecteur de Texte. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des listes à puces,
numérotées et ordonnées (Structures) » pour en savoir plus.
Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées
(Structures)
Keynote fournit des styles de puces et de numérotation prédéfinis permettant de créer
des listes simples ou ordonnées). Les listes à puces et les listes numérotées sont de simples listes sans hiérarchies d’informations imbriquées comme il en existe dans une structure de type plan.
Génération automatique de listes
Lorsque vous utilisez la fonction de génération automatique de liste, Keynote met
automatiquement en forme une liste en fonction de ce que vous tapez. Pour utiliser
cette fonction, choisissez d’abord Keynote > Préférences, cliquez sur Correction automatique, et assurez-vous que l’option « Détection automatique de listes » est activée.
Spécifiez la quantité d’espace souhaitée
autour du texte dans une zone de texte,
une figure ou une cellule de tableau.62 Chapitre 3 Utilisation de texte
Voici différentes façons de générer des listes automatiquement :
m Pour créer une liste à puces, tapez une puce (•), un espace, du texte, puis appuyez
sur Retour. Pour taper une puce, appuyez sur Option + 8.
m Pour créer des listes dont les symboles sont des astérisques (*) ou des tirets (-), tapez
une astérisque ou un tiret, un espace, du texte, puis appuyez sur Retour.
m Pour créer une liste dont les symboles sont des numéros ou des lettres, tapez le numéro
ou la lettre, un point, un espace, du texte, puis appuyez sur Retour.
m Pour revenir à un texte normal à la fin de votre liste, appuyez deux fois sur Retour.
Vous pouvez utiliser n’importe quel format de caractère du menu local Style de numérotation de l’Inspecteur du texte. Pour accéder à ce menu, cliquez sur Puces dans l’inspecteur
du texte et sur Numéros dans le menu local Puces et numérotation.
Utilisation des listes à puces
Même si vous pouvez utiliser la génération automatique de liste pour créer une liste à
puces simple, l’Inspecteur du texte vous offre de nombreuses options de mise en forme
des listes à puces.
Pour insérer et mettre en forme une liste à puces :
1 Placez le point d’insertion où vous souhaitez que la liste commence.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Puces.
3 Choisissez un style de puces dans le menu local Puces et numérotation.
Pour utiliser un caractère tapé comme puce, choisissez Puces de texte, puis sélectionnez
le caractère dans la liste ou tapez un nouveau caractère dans le champ.
Pour utiliser une des puces d’image intégrées à Keynote, choisissez Puces d’image puis
choisissez une image dans la liste déroulante.
Pour utiliser votre propre image comme puce, choisissez Image personnalisée dans la zone
de dialogue Ouvrir qui s’affiche.
4 Pour modifier la taille d’une puce d’image, spécifiez un pourcentage de la taille de l’image
d’origine dans le champ Taille. Ou, cochez la case « Adapter au texte » et spécifiez le pourcentage de la taille du texte ; cette option permet de conserver les proportions image-texte
des puces même si vous modifiez la police du texte par la suite.
5 Pour régler l’espace entre les puces et la marge gauche, utilisez le champ Retrait des
puces. Pour régler l’espace entre les puces et le texte, utilisez le champ Retrait du texte.
6 Pour placer les puces plus haut ou plus bas par rapport au texte, utilisez le champ Aligner.Chapitre 3 Utilisation de texte 63
Vous pouvez utiliser ces techniques pour ajouter et mettre en retrait les éléments à puces
de votre liste :
 Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait actuel, appuyez sur Retour.
 Pour créer un paragraphe dissocié de la liste dans une rubrique, appuyez sur Retour
tout en maintenant la touche Maj enfoncée.
 Pour saisir une nouvelle rubrique au niveau de retrait suivant (inférieur ou supérieur),
appuyez sur la touche Retour et cliquez sur une des flèches adjacentes au champ
Niveau de retrait. Vous pouvez également cliquer sur une puce et maintenir le bouton
de la souris enfoncé, puis la faire glisser à droite, à gauche, en bas à droite ou encore
en bas à gauche.
 Pour retrouver le texte normal à la fin de votre liste, appuyez deux fois sur Retour, ou
appuyez sur Retour puis choisissez Pas de puces dans le menu local Puces et numé-
rotation. Vous pouvez également régler le niveau de retrait.
Utilisation des listes numérotées
Même si vous pouvez utiliser la génération automatique de liste pour créer une liste numé-
rotée simple, l’Inspecteur du texte vous offre de nombreuses options de mise en forme des
listes numérotées. Pour en savoir plus sur la génération automatique de liste, reportez-vous
à la rubrique « Génération automatique de listes » à la page 61.
Pour ajouter et mettre en forme une liste numérotée :
1 Placez le point d’insertion où vous souhaitez que la liste commence.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte
et enfin sur Puces.
3 Choisissez Numéros dans le menu local Puces et numérotation, puis choisissez le style
de numérotation souhaité dans le menu local juste en dessous.
4 Pour régler l’espace entre les numéros et la marge gauche, utilisez le champ Retrait des
numéros. Pour régler l’espace entre les numéros et le texte, utilisez le champ Retrait du
texte.
Vous pouvez utiliser ces techniques pour ajouter et mettre en retrait les éléments de
votre liste :
 Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait actuel, appuyez sur Retour.
 Pour créer un paragraphe non numéroté dans une rubrique, appuyez sur Retour tout
en maintenant la touche Maj enfoncée.
 Pour saisir une nouvelle rubrique au niveau de retrait suivant (inférieur ou supérieur),
appuyez sur la touche Retour et cliquez sur une des flèches adjacentes au champ
Niveau de retrait. Vous pouvez également cliquer et maintenir enfoncé un nombre,
puis le faire glisser à droite, à gauche, en bas à droite ou encore en bas à gauche.64 Chapitre 3 Utilisation de texte
 Pour retrouver le texte normal à la fin de votre liste, appuyez deux fois sur Retour,
ou appuyez sur Retour puis choisissez Pas de puces dans le menu local Puces et
numérotation. Vous pouvez également régler le niveau de retrait.
 Pour ajouter un paragraphe existant à une liste numérotée, cliquez sur le paragraphe,
choisissez un style de numérotation, puis cliquez sur « Continuer à partir de la
précédente ».
 Pour démarrer une nouvelle séquence numérotée dans une liste, cliquez sur
« Commencer à » puis spécifiez le numéro à partir duquel vous souhaitez que
la séquence commence.
Si vous souhaitez que les éléments de votre liste comportent des sous-rubriques avec
des titres (comme dans une description), utilisez une liste ordonnée plutôt qu’une liste
numérotée.
Utilisation de listes ordonnées (Structures)
Les listes ordonnées (ou structures) offrent des styles de numérotation différents pour
chaque niveau de retrait de la liste, ce qui vous permet de hiérarchiser vos informations.
Par exemple :
 Vous pouvez créer une structure à l’aide d’une séquence numérotée comparable à celle
qui suit en partant du niveau le plus élevé vers les niveaux inférieurs : I, A, 1, a), (1), (a), i),
(1) et (a).
 Vous pouvez créer une structure de style plus administratif et formel, qui ajoute un
numéro ou une lettre supplémentaire à chaque niveau inférieur : 1, 1.1, 1.1.1 et ainsi
de suite.
Vous pouvez ajouter et mettre en forme des listes ordonnées à l’aide de l’Inspecteur
du texte.
Pour ajouter et mettre en forme une liste ordonnée :
1 Placez le point d’insertion où vous souhaitez que la liste commence.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte
et enfin sur Liste.
3 Pour créer une liste de style légal, choisissez Numérotation progressive dans le menu
local Puces et numérotation. Sinon, choisissez Numéros à la place.
4 Choisissez un style de numérotation dans le menu local qui se situe juste en dessous.
5 Pour régler l’espace entre les numéros et la marge gauche, utilisez le champ Retrait
des numéros. Pour régler l’espace entre les numéros et le texte, utilisez le champ
Retrait du texte.Chapitre 3 Utilisation de texte 65
Vous pouvez utiliser ces techniques pour ajouter et mettre en retrait les éléments
de votre liste :
 Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait actuel, appuyez sur Retour.
 Pour créer un paragraphe non numéroté dans une rubrique, appuyez sur Retour tout
en maintenant la touche Maj enfoncée.
 Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait inférieur suivant, appuyez sur la
touche de tabulation. Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait supérieur
suivant, appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation. Pour
naviguer parmi les niveaux, vous pouvez également cliquer et maintenir enfoncé un
numéro, puis le faire glisser à droite, à gauche, en bas à droite ou encore en bas à gauche.
 Pour retrouver le texte normal à la fin de votre liste, appuyez deux fois sur Retour, ou
appuyez sur Retour puis choisissez Pas de puces dans le menu local Puces et numé-
rotation. Vous pouvez également régler le niveau de retrait.
 Pour ajouter un paragraphe existant à une liste numérotée, cliquez sur le paragraphe,
choisissez un style de numérotation, puis cliquez sur « Continuer à partir de la
précédente ».
 Pour démarrer une nouvelle séquence numérotée dans une liste, cliquez sur
« Commencer à » puis spécifiez le numéro à partir duquel vous souhaitez que
la séquence commence.
Utilisation de zones de texte et de figures pour faire ressortir
le texte
Vous pouvez utiliser des zones de texte et des figures pour faire ressortir le corps
du texte principal sur une diapositive.
Ajout de zones de texte libre
Plusieurs modèles de diapositive comportent des zones de texte, mais vous pouvez ajouter
une ou plusieurs « zone(s) de texte libre » à une diapositive. Les zones de texte libres sont
similaires aux zones de texte fournies dans différents modèles de diapositive. La principale
différence est que, dans les zones de texte libre, le texte n’apparaît pas en mode plan.
Vous pouvez faire glisser des zones de texte libre n’importe où dans une diapositive.66 Chapitre 3 Utilisation de texte
Pour créer une zone de texte libre :
1 Cliquez sur Zone de texte dans la barre d’outils (ou choisissez Insérer > Zone de texte).
2 Dans la zone qui s’affiche, double-cliquez sur le texte et saisissez votre texte.
Les zones de texte libres s’allongent horizontalement, en fonction de la largeur de la
diapositive, pour s’adapter à votre texte. Pour utiliser la largeur totale de la diapositive
pour le texte, ignorez l’étape suivante.
3 Pour définir une largeur fixe pour la zone de texte, faites glisser ses poignées.
Après avoir défini une largeur (ou si la zone est aussi large que la diapositive), la zone
de texte s’étend verticalement pour s’adapter à votre texte. Si vous supprimez du texte,
la zone rétrécit automatiquement.
4 Après avoir saisi votre texte, cliquez en dehors de la zone de texte. Vous pouvez également
appuyer simultanément sur les touches Commande et Retour pour arrêter les modifications et sélectionner la zone de texte.
5 Faites glisser la zone de texte pour la positionner sur la diapositive.
Vous pouvez également tracer une zone de texte libre. Cliquez sur zone de Texte dans la
barre d’outils tout en maintenant la touche Option enfoncée, puis faites glisser le pointeur
à travers la fenêtre du document pour créer une zone de texte de la taille souhaitée.
Pour plus d’informations sur la modification des zones de texte, consultez la rubrique
« Mise en forme d’une zone de texte ou d’une figure » à la page 67.
Présentation du texte en colonnes
Vous pouvez également créer des colonnes dans une zone de texte ou dans une forme
rectangulaire. Lorsque le texte a rempli une colonne, il s’étend dans la colonne suivante.
Pour créer des colonnes et les mettre en forme :
1 Sélectionnez la zone de texte que vous souhaitez répartir en colonnes.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
du texte et enfin sur Colonnes.
3 Pour indiquer le nombre de colonnes souhaité, utilisez le champ Colonnes.
4 Pour utiliser des colonnes de même largeur, sélectionnez « Largeur de colonne identique ».
Pour configurer des colonnes de largeur différente, désactivez la case « Largeur de colonne
identique », double-cliquez sur une valeur de colonne et saisissez une nouvelle largeur.
5 Pour modifier l’espace entre colonnes, double-cliquez sur une valeur de petit fond
et modifiez-la.Chapitre 3 Utilisation de texte 67
Ajout de texte dans une forme
Toutes les figures, à l’exception des lignes, peuvent contenir du texte.
Pour ajouter du texte à une figure :
1 Placez une figure à l’emplacement souhaité sur la diapositive. Pour en savoir plus sur l’ajout
de figures, reportez-vous aux rubriques « Ajout d’une figure prédessinée » à la page 91
et « Ajout d’une figure personnalisée » à la page 92.
2 Double-cliquez sur la figure et tapez le texte souhaité. Si le texte s’étend au-delà de
la bordure de la figure, un indicateur de découpage apparaît.
3 Pour redimensionner la figure, sélectionnez-la et faites glisser les poignées de sélection.
Si le point d’insertion se trouve à l’intérieur de la figure, appuyez sur Commande + Retour
afin de quitter le mode édition de texte et sélectionnez la figure.
Vous pouvez mettre en forme du texte dans une figure. Vous avez également la possibilité
de faire pivoter une figure tout en conservant le texte dans sa position horizontale. Après
avoir fait pivoter la figure, sélectionnez Format > Figure > « Réinitialiser les poignées de
l’objet et du texte ».
4 Pour ajouter du texte à une figure faisant partie d’un groupe , double-cliquez dans la
zone de texte de n’importe quelle figure du groupe. Si vous redimensionnez le groupe,
tout ce qui le compose est également redimensionné, à l’exception du texte. Vous pouvez toujours éditer et mettre en forme du texte.
Reportez-vous à la rubrique « Regroupement et verrouillage d’objets » à la page 86
pour obtenir des détails sur le regroupement d’objets.
Mise en forme d’une zone de texte ou d’une figure
Vous pouvez modifier l’espace entre le texte et la bordure intérieure d’une zone de texte,
d’une figure ou d’une cellule de tableau. Reportez-vous à la rubrique « Modification de la
marge intérieure du texte dans des objets » à la page 61 pour obtenir des instructions.
Utilisez l’Inspecteur des graphismes pour mettre en forme, entre autres, les bordures,
les ombres, l’opacité et le remplissage couleur des zones de texte ou des figures. Pour
en savoir plus sur la définition des propriétés des objets, reportez-vous à la rubrique
« Modification des objets » à la page 81
L’indicateur de découpage indique que
le texte s’étend au-delà des bordures
d’une forme.68 Chapitre 3 Utilisation de texte
Utilisation de liens hypertextes
Vous pouvez transformer du texte, des images et des figures en liens hypertexte permettant d’ouvrir une autre diapositive, un document Keynote, une page Web ou un
message électronique ou encore d’arrêter un diaporama.
Lien vers une page Web
Vous pouvez ajouter un lien hypertexte qui ouvre une page web dans votre navigateur
web par défaut.
Pour ajouter un lien hypertexte qui ouvre une page web :
1 Sélectionnez le texte ou l’objet que vous souhaitez convertir en lien.
Si vous saisissez un texte commençant par « www » ou « http » (ou si vous le copiez à
partir d’un autre document), le texte se transforme automatiquement en lien hypertexte.
Pour désactiver cette fonction, choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Correction
automatique, puis désactivez la case « Détecter automatiquement les adresses électroniques et de page Web ». Ce réglage est propre à chaque ordinateur ; par conséquent
si le document est ouvert sur un ordinateur dont la configuration est différente, c’est ce
réglage qui sera utilisé.
Utilisez ce type de lien Pour exécuter cette action Remarques
Page Web Ouvrez une page dans un navigateur web
Keynote ouvre votre navigateur
par défaut.
Message électronique Ouvrez un nouveau courrier
électronique et saisissez l’objet
et l’adresse
Keynote ouvre votre application
de messagerie électronique par
défaut.
Diapositive Passez à une autre diapositive
de la présentation
Choisissez la diapositive suivante
ou précédente, la première ou la
dernière diapositive ; la dernière
diapositive affichée ; ou encore
une diapositive donnée.
Fichier Keynote Ouvrir un nouveau document
Keynote
Si vous transférez la présentation vers un autre ordinateur,
vous devez également transfé-
rer l’autre document.
Fermeture du diaporama Arrêtez le diaporama Keynote s’ouvre en mode de
modification sur la dernière diapositive affichée.
Ce texte surligné est un
lien hypertexte.
La flèche bleue indique
que cette zone de texte est
un lien hypertexte.Chapitre 3 Utilisation de texte 69
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur de lien
hypertexte, puis sélectionnez Activer comme lien.
3 Choisissez Page Web dans le menu local Relier à.
4 Tapez l’adresse de la page web dans le champ URL.
5 Si vous désirez modifier le texte qui apparaît comme lien hypertexte sur le document,
saisissez-en un nouveau dans le champ Afficher.
Lien vers un message électronique préadressé
Vous pouvez ajouter un lien hypertexte sur lequel vous pouvez cliquer pour ouvrir
un message électronique préadressé dans votre application de messagerie par défaut.
Pour ajouter un lien hypertexte vers un message électronique :
1 Sélectionnez le texte ou l’objet que vous souhaitez convertir en lien.
Si vous saisissez une adresse électronique (ou si vous la copiez à partir d’un autre document), le texte se transforme automatiquement en lien hypertexte. Pour désactiver cette
fonction, sélectionnez Keynote > Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis
décochez la case « Détecter automatiquement les adresses électroniques et de page web ».
Ce réglage est propre à chaque ordinateur ; par conséquent si le document est ouvert sur
un ordinateur dont la configuration est différente, c’est ce réglage qui sera utilisé.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur de lien
hypertexte, puis sélectionnez Activer comme lien.
3 Choisissez Message électronique dans le menu local Relier à.
4 Tapez l’adresse électronique du destinataire dans le champ À.
5 Vous pouvez également spécifier l’objet du message dans le champ Objet.
Le bouton Inspecteur
de lien hypertexte
Tapez l’URL vers laquelle
le lien doit renvoyer.
Tapez le texte du lien
que vous souhaitez afficher sur la diapositive.70 Chapitre 3 Utilisation de texte
6 Pour afficher le texte personnalisé pour le lien hypertexte, tapez le nouveau texte dans
le champ Afficher. (Cette option est estompée si vous avez choisi un objet au lieu d’un
texte pour lien hypertexte.)
Création d’un lien vers une diapositive
Ajouter un lien hypertexte permettant d’afficher une diapositive donnée.
Pour ajouter un lien hypertexte relié à une diapositive :
1 Sélectionnez le texte ou l’objet que vous souhaitez convertir en lien.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur de lien
hypertexte, puis sélectionnez Activer comme lien.
3 Choisissez Diapositive dans le menu local Relier à.
4 Sélectionnez l’option décrivant la diapositive à afficher (suivante, précédente, première,
dernière, dernière affichée, ou bien un numéro de diapositive).
Vous pouvez utiliser des liens hypertexte pour opérer la navigation lors d’un diaporama.
Reportez-vous à la rubrique « Création de présentations à liens uniquement » à la page 185.
Création d’un lien vers un fichier Keynote
Ajouter un lien hypertexte permettant d’ouvrir un autre fichier Keynote.
Pour ajouter un lien hypertexte qui ouvre un autre document Keynote :
1 Sélectionnez le texte ou l’objet que vous souhaitez convertir en lien.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur de lien
hypertexte, puis sélectionnez « Activer comme lien ».
3 Choisissez Fichier Keynote dans le menu local Relier à.
4 Localisez le fichier et cliquez sur Ouvrir.
5 Si vous désirez modifier le texte qui apparaît comme lien hypertexte sur le document,
saisissez-en un nouveau dans le champ Afficher.
Lorsque vous cliquez sur un lien vers un autre document Keynote, le nouveau diaporama
commence à partir de la première diapositive.
Tapez l’objet du message.
Tapez l’adresse électronique
du destinataire.
Tapez le texte du lien à
afficher sur la diapositive.Chapitre 3 Utilisation de texte 71
Utilisation d’un lien hypertexte pour arrêter un diaporama
Ajouter un lien hypertexte permettant d’arrêter un diaporama.
Pour ajouter un lien hypertexte permettant d’arrêter un diaporama :
1 Sélectionnez le texte ou l’objet que vous souhaitez convertir en lien.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur de lien
hypertexte, puis sélectionnez Activer comme lien.
3 Choisissez Quitter le diaporama dans le menu local Relier à.
Soulignement des liens hypertexte
Par défaut, les liens hypertexte sont soulignés, vous pouvez toutefois supprimer le soulignement si vous le souhaitez.
Voici différentes manières d’activer et de désactiver le soulignement :
m Pour empêcher que les nouveaux liens hypertexte ne soient automatiquement soulignés,
choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Général et désactivez la case « Souligner les
liens à la création ».
m Pour supprimer le soulignement d’un lien hypertexte, sélectionnez celui-ci, cliquer sur
Polices dans la barre d’outils, et dans le panneau Police choisissez Aucun dans le menu
local Souligner.
m Pour souligner un lien hypertexte, cliquez sur Polices dans la barre d’outils, et dans
le panneau Police choisissez Simple dans le menu local Souligner.
Remplacement automatique de texte
Keynote peut être configuré de manière à reconnaître et remplacer certains éléments de
texte par d’autres. Par exemple, si vous tapez l’article mal orthographié « dse », Keynote
peut le remplacer automatiquement par « des ».
Pour configurer la fonction de substitution automatique de texte :
1 Choisissez Keynote > Préférences.
2 Cliquez sur Auto-correction et sélectionnez une option.
Pour convertir automatiquement les guillemets droits simples ou doubles en guillemets
courbes afin que les guillemets ouvrants et fermants soient différents, sélectionnez
Utiliser les guillemets courbes.
Pour être sûr que le premier mot d’une phrase commence bien par une majuscule,
cochez Corriger les majuscules.
Pour convertir automatiquement les lettres dans 1er, 2ème, 3ème, etc.en exposant,
cochez la case « Suffices numérqiues en exposants ».72 Chapitre 3 Utilisation de texte
Pour faire en sorte que Keynote détecte automatiquement les adresses électroniques
ou URL que vous saisissez, cochez Détecter automatiquement les adresses électroniques et de page Web. Les URL et les adresses électroniques saisies se changent alors
automatiquement en liens pour Mail ou Safari.
Pour remplacer un ou plusieurs caractères par d’autres, cochez Substitution de texte et de
symboleUtilisez ensuite les rangs du tableau pour définir et activer les substitutions comme
vous le souhaitez. Par exemple, si vous tapez le symbole du copyright sous la forme (c), vous
pouvez ordonner à Keynote de le convertir automatiquement en © en plaçant une marque
dans la colonne Activé. Pour définir votre propre substitution, cliquez sur le bouton Ajouter (+).Pour supprimer un élément sélectionné, cliquez sur le bouton de suppression (-).
Après avoir indiqué les réglages de substitution, ces derniers s’appliqueront à tout texte
que vous modifiez ou ajoutez dans un document Keynote.
Insertion d’un espace insécable
Vous pouvez insérer un espace insécable entre des mots pour vous assurer qu’ils apparaîtront toujours sur la même ligne de texte.
Pour insérer un espace insécable :
m Appuyez sur la barre d’espace tout en maintenant la touche Option enfoncée.
Vérification de l’orthographe
Keynote peut détecter les fautes d’orthographe dans votre document et vous aider
à trouver l’orthographe exacte de certains mots.
Recherche des mots mal orthographiés
Vous pouvez configurer le correcteur orthographique afin qu’il indique les erreurs lors
de la saisie, ou vous pouvez à tout moment vérifier l’ensemble du document ou du texte
sélectionné.
Les mots mal orthographiés sont soulignés d’un trait rouge.
Voici différentes manières de trouver les mots mal orthographiés :
m Pour vérifier l’orthographe en cours de saisie, choisissez Édition > Orthographe >
Vérifier l’orthographe lors de la frappe.
Pour désactiver la vérification orthographique en cours de saisie, cliquez sur Édition>
Orthographe > « Vérifier l’orthographe lors de la frappe », puis désactivez cette option
(assurez-vous que la coche n’apparaît plus en regard de la commande du menu).
m Pour vérifier l’orthographe depuis le point d’insertion jusqu’à la fin du document, cliquez
pour placer le point d’insertion, puis choisissez Édition > Orthographe > Vérifier l’orthographe. Pour limiter la vérification orthographique à une portion particulière du document, sélectionnez le texte que vous souhaitez vérifier avant de choisir la commande.Chapitre 3 Utilisation de texte 73
Le premier mot mal orthographié est mis en surbrillance. Vous pouvez le corriger ou choisir
de nouveau la même commande de menu afin de continuer à vérifier le document.
Pour parcourir le texte plus rapidement, appuyez sur Commande + point-virgule (;)
afin de poursuivre la vérification du document.
m Pour vérifier l’orthographe et obtenir des suggestions de correction, choisissez Édition >
Orthographe > Orthographe.
La fenêtre Orthographe s’ouvre, et vous pouvez l’utiliser comme indiqué dans la rubrique
« Utilisation des suggestions de correction orthographique, » ci-après.
Utilisation des suggestions de correction orthographique
Utilisez la fenêtre Orthographe pour trouver des suggestions d’orthographe.
Pour utiliser les suggestions de correction orthographique :
1 Choisissez Édition > Orthographe > Orthographe.
La fenêtre Orthographe s’ouvre et le premier mot mal orthographié est mis en surbrillance :
2 Veillez à sélectionner la langue qui convient dans le menu local Dictionnaire. À chaque
langue correspond un dictionnaire différent.
3 Pour remplacer le mot mal orthographié dans le texte, double-cliquez sur le mot ou
l’orthographe correct dans la liste des propositions.
4 Si le mot correct ne figure pas dans la liste Propositions mais que vous en connaissez
l’orthographe, sélectionnez le mot mal orthographié dans la fenêtre Orthographe, tapez
le mot correct, puis cliquez sur Corriger.
5 Si le mot est bien orthographié et que vous souhaitez le laisser tel quel, cliquez sur
Ignorer ou sur Mémoriser l’orthographe. Cliquez sur Mémoriser l’orthographe si vous
utilisez souvent le terme et que vous souhaitez l’ajouter au dictionnaire.
Si vous avez utilisé Mémoriser l’orthographe et que vous souhaitez ne pas laisser le mot
dans le dictionnaire, tapez le mot dans la zone de texte en dessous de la liste Proposition,
puis cliquez sur Effacer.
6 Si aucune autre suggestion n’apparaît dans la liste Propositions, sélectionnez le mot
mal orthographié dans la fenêtre Orthographe, puis essayez une autre orthographe.
Cliquez sur Propositions pour que de nouvelles suggestions apparaissent dans la liste
Propositions.
7 Cliquez sur Rechercher le suivant et répétez les étapes 3 à 6 jusqu’à ce que vous ne trouviez
plus aucune faute.
Vous pouvez également maintenir la touche Contrôle enfoncée et cliquer sur un mot mal
orthographié. Dans le menu local, vous pouvez choisir une autre orthographe, cliquer sur
Mémoriser l’orthographe ou sur Ignorer.74 Chapitre 3 Utilisation de texte
Recherche et remplacement de texte
Vous pouvez rechercher toutes les instances d’un mot ou d’une expression dans votre
document et les remplacer éventuellement par un autre mot ou une autre expression.
Voici différentes manières de rechercher et de remplacer du texte :
m Choisissez Édition > Rechercher > Rechercher, cliquez sur Simple ou sur Avancé pour
configurer les critères de recherche/remplacement, puis cliquez sur un bouton pour
lancer les opérations de recherche/remplacement.
Simple : dans le champ Rechercher, tapez le texte que vous souhaitez rechercher, puis
tapez le texte par lequel vous souhaitez le remplacer dans le champ Remplacer.
Avancé : en plus de saisir le texte dans les champs Rechercher et Remplacer, vous pouvez
définir d’autres critères de recherche ou de remplacement.
Tout remplacer : effectue automatiquement les opérations de recherche/remplacement
sans votre intervention.
Remplacer : remplace la sélection actuelle par le texte de remplacement.
Remplacer et rechercher : remplace la sélection actuelle par le texte de remplacement
et recherche immédiatement l’occurrence suivante.
Suivant ou Précédent : recherche l’occurrence suivante ou précédente du texte Rechercher.
m Utilisez les autres commandes dans Édition > Rechercher.
Rechercher le suivant ou Rechercher le précédent : recherche l’occurrence suivante ou précé-
dente du texte Rechercher actuel.
Rechercher la sélection : recherche l’occurrence suivante du texte sélectionné.
Aller à la sélection : affiche le texte sélectionné lorsqu’il n’apparaît pas à l’écran.4
75
4 Utilisation de sons, de séquences,
de graphiques et d’autres objets
Ce chapitre décrit les techniques permettant d’ajouter et
de modifier des images, des figures, du son et autres objets.
Un objet est un élément que vous pouvez ajouter à un document, puis transformer.
Les images, figures, séquences, fichiers audio, affichages web, tableaux, graphiques
et zones de texte sont tous des objets.
Les images comprennent les photographies ou les fichiers PDF. Les séquences et les fichiers
son peuvent être utilisés sur l’ensemble d’un diaporama ou sur des diapositives particuliè-
res. Les figures comprennent les figures simples prédessinées (telles que les triangles et les
flèches) et les figures personnalisées que vous dessinez vous-même. Les affichages Web
sont des instantanés de pages web que vous pouvez afficher sur une diapositive.
Sélection d’objets
Avant de pouvoir déplacer, modifier ou effectuer d’autres opérations sur des objets, vous
devez les sélectionner. Un objet sélectionné est muni de poignées qui vous permettent
de le déplacer ou de le manipuler.
Voici plusieurs façons de sélectionner et désélectionner des objets :
m Pour sélectionner un seul objet, cliquez sur celui-ci à un endroit quelconque (si l’objet
n’a pas de remplissage, cliquez sur le bord).
m Pour sélectionner plusieurs objets sur une diapositive, maintenez la touche Maj enfoncée
lorsque vous cliquez sur les objets.
m Pour sélectionner tous les objets sur une diapositive, cliquez sur celle-ci et appuyez sur
les touches Commande + A.
m Pour sélectionner un objet faisant partie d’un groupe, vous devez tout d’abord dissocier
les objets. Sélectionnez le groupe, puis choisissez Disposition > Dissocier.
m Pour désélectionner les objets d’un groupe d’objets sélectionnés, maintenez la touche
Commande enfoncée, puis cliquez sur les objets que vous souhaitez désélectionner.76 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
Copie et duplication d’objets
La technique à utiliser pour copier un objet dépend de l’endroit où vous souhaitez placer
la copie. Lorsque la copie est destinée à un emplacement éloigné de l’original ou à un
autre document, la méthode la plus facile consiste généralement à copier et à coller. Lorsque vous travaillez avec un objet qui est proche de l’original, il est généralement plus facile
de le dupliquer.
Voici plusieurs façons de copier des objets :
m Pour copier et coller un objet, sélectionnez-le, puis choisissez Édition > Copier. Cliquez
à l’endroit où vous souhaitez voir apparaître la copie. Cliquez sur Édition > Coller.
m Pour dupliquer un objet sur une diapositive, maintenez la touche Option enfoncée tout
en faisant glisser l’objet.
Vous pouvez également dupliquer l’objet. Sélectionnez l’objet et cliquez sur Édition >
Dupliquer. La copie apparaît au-dessus de l’original et légèrement décalée par rapport
à celui-ci. Faites glisser la copie jusqu’à l’emplacement souhaité.
m Pour copier une image entre deux documents Keynote, sélectionnez l’image et faites
glisser son icône depuis le champ Informations du fichier de l’Inspecteur des mesures
vers une diapositive dans l’autre fichier Keynote.
Suppression d’objets
La suppression d’objets est rapide et facile.
Pour supprimer des objets :
m Sélectionnez le ou les objets et appuyez sur la touche Suppr.
Si vous supprimez un objet sans le vouloir, choisissez Édition > Annuler Supprimer.
Déplacement d’objets
Pour déplacer des objets, vous pouvez les faire glisser ou les copier/coller.
Voici plusieurs façons de déplacer des objets :
m Cliquez sur l’objet pour le sélectionner (les poignées de sélection apparaissent) puis
faites-le glisser vers le nouvel emplacement.
m Pour contraindre l’objet à se déplacer horizontalement, verticalement ou selon un angle
de 45 degrés, appuyez sur la touche Maj et maintenez-la enfoncée avant de commencer
à le faire glisser.
m Pour déplacer l’objet par petits incréments, appuyez sur l’une des touches fléchées pour
faire progresser l’objet d’un seul point à la fois. Pour déplacer l’objet par incréments de
dix points, maintenez la touche Maj enfoncée tout en appuyant sur une touche fléchée.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 77
m Pour afficher la position de l’objet lorsque vous le déplacez, choisissez Keynote > Préférences, puis sélectionnez « Afficher la taille et la position des objets lors de leur déplacement »
dans la sous-fenêtre Général.
m Pour aligner précisément des objets par rapport à leurs bords ou à leur centre, vous pouvez utiliser les guides d’alignement. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des guides
d’alignement » à la page 79 pour en savoir plus.
m Sélectionnez l’objet et cliquez sur Édition > Couper. Placez le point d’insertion à l’endroit
où vous souhaitez que l’objet apparaisse, puis cliquez sur Édition > Coller.
Évitez de faire glisser un objet en le tenant par ses poignées de sélection, car vous risqueriez de le redimensionner sans le vouloir.
Déplacement d’objets vers l’avant ou vers l’arrière (disposition
en couches)
Lorsque des objets se chevauchent ou lorsque du texte ou des objets se chevauchent,
vous pouvez modifier l’ordre des objets dans la pile.
Pour déplacer un objet de sorte qu’il se trouve devant ou derrière du texte
ou un autre objet :
1 Sélectionnez l’objet à déplacer.
2 Pour déplacer un objet d’un seul plan à la fois, choisissez Disposition > « Avancer d’un
plan » ou « Reculer d’un plan «.
3 Pour ramener l’objet en bas ou en haut de la pile, choisissez Disposition > « Mettre à
l’arrière-plan » ou « Mettre au premier plan ».
Si vous superposez fréquemment des objets, vous pouvez ajouter les boutons Devant,
Derrière, Plan sup. et Plan inf. à la barre d’outils afin de travailler plus efficacement. Pour
en savoir plus sur la personnalisation de la barre d’outils, reportez-vous à la rubrique
« La barre d’outils » à la page 22.78 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
Alignement d’objets
Il existe plusieurs manières d’aligner des objets sur des diapositives.
Alignement d’objets sur une diapositive les uns par rapport aux autres
Vous pouvez rapidement aligner des objets les uns par rapport aux autres s’ils se trouvent
sur la même diapositive.
Pour aligner des objets :
1 Appuyez sur la touche Maj tout en cliquant sur les objets à aligner afin de les sélectionner.
2 Choisissez Disposition > Aligner les objets, puis, dans le sous-menu, choisissez l’une
des options d’alignement.
À gauche : cette option positionne les objets de sorte que leur bord gauche soit aligné
verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez.
Centrer : cette option positionne les objets de sorte que leur centre soit aligné verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez.
À droite : cette option positionne les objets de sorte que leur bord droit soit aligné verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez.
Supérieur : cette option positionne les objets de sorte que leur bord supérieur soit aligné
horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez.
Milieu : cette option déplace les objets verticalement de sorte que leur centre soit aligné
horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez.
Inférieur : cette option positionne les objets de sorte que leur bord inférieur soit aligné
horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez.
Vous pouvez aussi aligner des objets les uns par rapport aux autres en les faisant glisser et
en vous servant des guides d’alignement qui vous permettent de déterminer s’ils sont correctement positionnés. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des guides d’alignement »
pour obtenir plus d’informations.
Espacement uniforme des objets sur la diapositive
Vous pouvez rapidement faire en sorte que l’espace entre les objets soit partout le même,
quelle que soit leur taille.
Pour espacer les objets de façon uniforme :
1 Sélectionnez les objets.
2 Choisissez Disposition > Répartir les objets, puis choisissez une option dans le sous-menu.
Horizontalement : règle l’espacement horizontal entre les objets.
Verticalement : règle l’espacement vertical entre les objets.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 79
Utilisation des guides d’alignement
Vous pouvez activer des guides d’alignement pour vous aider à aligner des objets sur
une diapositive. Les réglages des guides d’alignement s’appliquent à tous les documents
Keynote.
Pour activer des guides d’alignement :
1 Choisissez Keynote > Préférences, puis cliquez sur Règles.
2 Pour afficher des guides lorsque le centre d’un objet est aligné avec un autre objet ou
avec le centre de la diapositive, sélectionnez « Afficher les guides au centre de l’objet ».
3 Pour afficher les guides lorsque les bords d’un objet sont alignés avec un autre objet,
sélectionnez « Afficher les guides sur les bords de l’objet ».
4 Pour changer la couleur des guides d’alignement, cliquez sur le cadre de couleurs, puis
sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
Les guides d’alignement n’apparaissent pas sur les diapositives imprimées.
Pour afficher ou masquer les guides, choisissez Présentation > Afficher les guides ou
Présentation > Masquer les guides. Pour masquer provisoirement les guides d’alignement, maintenez la touche Commande enfoncée tout en faisant glisser un objet.
Vous pouvez aussi créer vos propres guides d’alignement pour vous aider à placer
des objets à la même position sur des diapositives différentes.
Création de guides d’alignement
Vous pouvez créer vos propres guides d’alignement pour vous aider à positionner
des objets.
Pour créer un guide d’alignement :
1 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils et sélectionnez Afficher les règles.
2 Placez le pointeur sur une règle et faites-la glisser dans le canevas.
Un guide d’alignement apparaît.
3 Faites-le glisser sur la diapositive jusqu’à l’emplacement souhaité.
Pour supprimer un guide d’alignement que vous avez créé, faites-le glisser à l’extérieur
de la diapositive.
Utilisation d’un quadrillage principal
En plus des guides d’alignement sur une diapositive, vous pouvez activer un quadrillage
vertical et horizontal pour la diviser en sections égales.
Le quadrillage s’affiche sur les modèles de diapositive, et apparaît sur une diapositive
lorsqu’un objet (le centre ou le bord de celui-ci, selon vos préférences d’alignement
d’objet) est aligné avec un quadrillage. Le quadrillage n’apparaît pas sur les diapositives imprimées.80 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
Pour activer le modèle de quadrillage :
1 Choisissez Keynote > Préférences, puis cliquez sur Règles.
2 Cochez une des cases (ou les deux) de Quadrillage principal.
3 Saisissez une valeur en pourcentage dans le champ correspondant pour spécifier
l’espacement souhaité pour le quadrillage.
4 Pour changer la couleur du quadrillage, cliquez sur le cadre de couleurs Quadrillage
principal et sélectionnez-en une dans la fenêtre Couleurs.
Pour masquer provisoirement le quadrillage, maintenez la touche Commande enfoncée
tout en faisant glisser un objet.
Définition de la position précise des objets
Utilisez l’Inspecteur des mesures pour indiquer l’emplacement des objets de façon précise.
Pour définir la position précise d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez positionner.
2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des mesures.
3 Saisissez les valeurs X et Y dans les champs Position.
Les coordonnées spécifiées déterminent la position du coin supérieur gauche du conteneur de l’objet.
 La valeur X se mesure à partir du bord gauche du canevas.
 La valeur Y se mesure à partir du bord droit du canevas.
Si vous faites pivoter un objet, les coordonnées X et Y spécifient le coin supérieur gauche
du conteneur qui a pivoté.
Si vous saisissez les coordonnées X et Y pour les positions des lignes dans l’Inspecteur
des mesures, les coordonnées Début représentent le premier point de fin de ligne que
vous avez créé. Si vous retournez ou faites pivoter la ligne par la suite, les coordonnées
de départ correspondent toujours au même point de terminaison de la ligne.
Positionnez une ligne fixe
sur la diapositive en spécifiant les coordonnées X et Y
de son point d’arrivée.
Positionnez une ligne fixe sur
la diapositive en spécifiant
les coordonnées X et Y de
son point de départ.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 81
Modification des objets
Vous pouvez redimensionner les objets, changer leur orientation, modifier le style
de leur bordure, leur ajouter des ombres et des reflets et ajuster leur opacité.
Redimensionnement des objets
Vous pouvez redimensionner un objet en faisant glisser ses poignées ou en saisissant
ses dimensions exactes.
Voici plusieurs façons de redimensionner des objets :
m Pour redimensionner un objet en le faisant glisser, sélectionnez-le, puis faites glisser
l’une de ses poignées de sélection. Pour redimensionner un objet dans une direction,
faites glisser une poignée latérale et non une poignée d’angle.
Pour redimensionner l’objet à partir du centre, appuyez sur la touche Option tout
en faisant glisser la souris.
Pour conserver les proportions d’un objet, appuyez sur la touche Maj et maintenez-la
enfoncée lorsque vous faites glisser. Vous pouvez aussi cliquer sur Inspecteur dans la
barre d’outils, cliquer sur le bouton Inspecteur des mesures, puis sélectionner « Conserver
les proportions » avant de faire glisser.
Pour afficher la taille d’un objet lorsque vous faites glisser une poignée de sélection,
choisissez Keynote > Préférences, puis sélectionnez « Afficher la taille et la position
des objets lors de leur déplacement » dans la sous-fenêtre Général.
m Pour redimensionner un objet avec des proportions exactes, sélectionnez-le, cliquez sur
Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des mesures et utilisez
ensuite les contrôles Largeur et Hauteur.
m Pour redimensionner plusieurs objets à la fois, sélectionnez-les, cliquez sur Inspecteur
dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des mesures, et saisissez ensuite
les nouvelles valeurs dans les champs Largeur et Hauteur.
m Sélectionnez l’objet, puis cliquez sur Dimensions d’origine dans l’Inspecteur des mesures.
Retournement et rotation d’objets
Vous pouvez retourner ou faire pivoter n’importe quel objet. Par exemple, si vous disposez
d’une image de flèche que vous souhaitez utiliser dans un document, mais de telle sorte
que la flèche soit orientée dans l’autre sens, vous pouvez inverser sa direction verticalement ou horizontalement ou l’orienter en direction de n’importe quel angle.82 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
Voici plusieurs façons de changer l’orientation d’un objet :
m Pour retourner un objet horizontalement ou verticalement, sélectionnez-le, puis choisissez Disposition > Retournement horizontal ou Disposition > Retournement vertical.
Vous pouvez aussi cliquer sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquer sur le bouton
Inspecteur des mesures, puis vous servir des boutons Miroir.
m Pour faire pivoter un objet, sélectionnez-le, appuyez sur la touche Commande et maintenez-la enfoncée, déplacez le pointeur vers une poignée de sélection active jusqu’à ce qu’il
se transforme en flèche courbe à deux têtes, puis faites glisser la poignée de sélection.
Pour faire pivoter un objet par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches Maj
et Commande pendant que vous faites glisser la poignée de sélection.
Vous pouvez aussi cliquer sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquer sur le bouton
Inspecteur des mesures, puis faire glisser la molette de rotation ou utiliser les contrôles
d’angle pour définir l’orientation de l’objet.
m Pour faire pivoter une figure en maintenant son texte en position horizontale, une fois
la rotation de la figure effectuée, choisissez Format > Figure > Réinitialiser les poignées
de l’objet et du texte.
Modification du style des bordures
Pour les figures, les éléments de graphiques, les zones de texte et les cellules de tableau,
vous pouvez soit choisir un style et une couleur de ligne pour la bordure de l’objet, soit
indiquer que vous ne souhaitez aucune bordure. Vous pouvez également placer une bordure autour des images importées. Vous pouvez définir un style et une couleur de ligne
pour la bordure dans l’Inspecteur des graphismes et dans la fenêtre Couleurs.
Pour définir le style et la couleur du trait de la bordure d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez modifier.
2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des graphismes.
3 Choisissez Ligne dans le menu local Trait.
4 Choisissez un style de ligne dans le menu local. Pour les tableaux, seul un trait plein
ou Aucun est disponible.
Choisissez les points de terminaison
de la ligne dans ces menus locaux.
Cliquez sur le cadre de couleurs afin
de choisir une couleur de trait.
Tapez l’épaisseur de la
ligne. (L’abréviation
« px » signifie pixels.)
Choisissez un style
de ligne.
Choisissez Ligne.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 83
5 Pour changer l’épaisseur du trait, saisissez une valeur dans le champ Trait (ou cliquez
sur les flèches).
6 Pour changer la couleur du trait, cliquez sur le cadre de couleur et sélectionnez une
couleur.
7 Pour affecter des points de terminaison à la ligne, notamment une flèche ou un cercle,
choisissez des points de terminaison gauche et droit dans les menus locaux.
Cadrage d’objets
Encadrez vos zones de texte, images, séquences, figures et paramètres fictifs multimé-
dias avec des bordures graphiques, appelées cadres d’image.
Il existe plusieurs manières d’utiliser des cadres d’image :
m Pour ajouter un cadre d’image, sélectionnez le fichier multimédia ou le paramètre fictif multimédia, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des graphismes.
Choisissez Cadre d’image dans le menu local Trait, puis cliquez sur la vignette qui vous
intéresse.
Il est possible d’ajuster certains cadres. Pour ajuster le cadre, utilisez le curseur Échelle
ou saisissez un pourcentage spécifique dans le champ adjacent.
m Pour changer de cadre d’image, sélectionnez une image ou un paramètre fictif multimédia
encadré, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez sur le bouton Inspecteur
des graphismes. Sélectionnez Cadre d’image dans le menu local Trait, cliquez sur la flèche
qui se trouve à côté de la vignette pour choisir un autre cadre d’image.
m Pour supprimer un cadre d’objet d’une image ou d’un paramètre fictif multimédia,
sélectionnez l’image ou le paramètre fictif, puis choisissez un style de ligne (ou Aucun)
dans le menu local Trait.
Cliquez sur cette flèche
ou sur la vignette pour
choisir un style de cadre.84 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
Ajout d’ombres
Les ombres ajoutées aux objets donnent une impression de profondeur. L’ombre d’un
objet apparaît sur n’importe quel objet situé derrière. Vous pouvez créer une multitude
d’effets d’ombre ou supprimer l’ombre d’un objet.
Pour ajouter une ombre à un objet :
1 Sélectionnez l’objet.
2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des graphismes.
3 Sélectionnez Ombre pour ajouter une ombre à l’objet. Désélectionnez Ombre pour
supprimer une ombre existante.
4 Définissez l’orientation de l’ombre à l’aide des contrôles d’angle.
5 Pour définir la distance entre l’ombre et l’objet, utilisez les contrôles de décalage. Une
valeur élevée de décalage de l’ombre fait apparaître l’ombre de l’objet plus longue et
légèrement séparée de l’objet.
6 Pour adoucir le bord de l’ombre ou le rendre plus net, utilisez les contrôles de flou. Une
valeur de flou plus élevée fait apparaître l’ombre de l’objet plus diffuse ; une valeur plus
faible confère à l’ombre des bords mieux définis.
7 Pour modifier la transparence de l’ombre, utilisez les contrôles d’opacité. N’utilisez pas
le curseur d’opacité qui se trouve en bas de l’Inspecteur des graphismes ; il sert à contrôler l’opacité de l’objet même.
8 Pour changer la couleur de l’ombre, cliquez sur le cadre des couleurs de l’ombre, puis
sélectionnez une couleur.
Changez la couleur
de l’ombre dans le
cadre des couleurs.
Sélectionnez la case afin
d’ajouter une ombre à un
objet sélectionné.
Changez l’angle de l’ombre
à l’aide de la molette Angle.
Les valeurs dans Décalage, Flou et
Opacité modifient l’aspect de l’ombre.
Cet objet présente les
propriétés d’ombre par
défaut.
L’ombre de cet objet est
définie avec un angle différent.
L’ombre de cet objet pré-
sente une valeur de
décalage élevée.
L’ombre de cet objet pré-
sente le facteur de flou le
plus faible.
Cet objet présente une
couleur d’ombre différente.
L’ombre de cet objet présente
un facteur de flou élevé.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 85
Vous pouvez aussi utiliser les contrôles d’ombre de l’Inspecteur des graphismes pour
ajouter des ombres à du texte. Sélectionnez le texte auquel vous souhaitez ajouter
des ombres, puis utilisez les contrôles comme indiqué ci-dessus.
Ajout d’un reflet
Vous pouvez ajouter un reflet à un objet qui se réfléchit verticalement vers le bas.
Pour ajouter un reflet à un objet :
1 Sélectionnez l’objet.
2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des graphismes.
3 Sélectionnez Reflet, puis faites glisser le curseur pour augmenter ou réduire l’intensité
du reflet.
Ajustement de l’opacité
Vous pouvez créer des effets intéressants en rendant les objets plus ou moins opaques.
Ainsi, lorsque vous placez un objet de faible opacité sur un autre objet, l’objet situé dessous
transparaît via l’objet situé dessus. En fonction de la valeur définie pour l’opacité, les objets
situés en dessous peuvent être facilement visibles, partiellement obscurcis ou totalement
invisibles (opacité de 100 %). 86 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
Pour changer l’opacité d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet.
2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des graphismes.
3 Faites glisser le curseur d’opacité ou saisissez un pourcentage dans le champ adjacent.
Pour les figures, vous pouvez définir séparément l’opacité des couleurs de remplissage et
de trait et celle de l’objet. Si vous déplacez le curseur Opacité dans la fenêtre Couleurs afin
de modifier la couleur du remplissage ou du trait, cette valeur d’opacité devient l’opacité
maximale de l’objet. Ensuite, lorsque vous modifiez l’opacité de l’objet dans l’Inspecteur
des graphismes, vous la modifiez par rapport à l’opacité définie dans la fenêtre Couleurs.
Si vous modifiez l’opacité d’un objet et ne parvenez pas à restaurer la couleur de remplissage de l’objet à 100 pour cent, c’est peut-être parce que l’opacité a été définie à moins de
100 pour cent dans la fenêtre Couleurs. Pour régler ce problème, sélectionnez l’objet, choisissez Afficher > Afficher les couleurs, puis, dans la fenêtre Couleurs, définissez l’opacité à
100 pour cent.
Regroupement et verrouillage d’objets
Regroupez les objets que vous souhaitez maintenir ensemble et verrouillez ceux que
vous souhaitez éviter de déplacer par mégarde.
Regroupement et dissociation d’objets
Vous pouvez regrouper des objets afin qu’ils puissent être déplacés, copiés, redimensionnés et orientés comme un objet unique. Vous pouvez aussi modifier le texte associé à un
objet de type figure ou texte faisant partie d’un groupe mais il n’est pas possible de modifier d’autres attributs d’objets individuels au sein d’un groupe.
Les objets regroupés sont composés sous forme d’objet unique lors de la composition
d’objets.
L’opacité du cercle est définie à 100 pour cent dans
l’Inspecteur des graphismes. La couleur de remplissage a été définie sur une opacité de 50 % dans la
fenêtre Couleurs. Le contour du cercle a été défini
sur une opacité de 100 % dans la fenêtre Couleurs.
L’opacité du cercle est
définie à 100 pour cent
dans l’Inspecteur des
graphismes.
L’opacité du cercle est définie à 50 pour
cent dans l’Inspecteur des graphismes.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 87
Pour regrouper des objets :
1 Appuyez sur la touche Commande (ou Maj) et maintenez-la enfoncée, puis sélectionnez
les objets que vous souhaitez regrouper.
Si vous n’arrivez pas à sélectionner un objet, il est possible qu’il soit verrouillé.
2 Choisissez Disposition > Grouper, ou cliquez sur Grouper dans la barre d’outils.
Pour dégrouper un ensemble groupé, sélectionnez le groupe, puis choisissez Disposition >
Dégrouper ou cliquez sur Dégrouper dans la barre d’outils. Si le groupe est verrouillé,
déverrouillez-le au préalable.
Si vous groupez un objet comportant un effet de composition, l’effet est supprimé.
Dégrouper un objet groupé auquel un effet de composition a été ajouté entraîne la
suppression de cet effet de composition.
Verrouillage et déverrouillage des objets
Vous pouvez verrouiller des objets afin d’éviter de les déplacer involontairement lorsque
vous travaillez sur le document.
Une fois verrouillés, les objets individuels ou groupés ne peuvent pas être déplacés, ni
supprimés, ni modifiés à moins de les déverrouiller au préalable. Vous pouvez toutefois
sélectionner, copier ou dupliquer un objet verrouillé. Si vous copiez ou dupliquez un
objet verrouillé, le nouvel objet est lui aussi verrouillé.
Pour verrouiller des objets :
1 Maintenez enfoncée la touche Commande (ou Maj) en sélectionnant les objets à verrouiller.
2 Choisissez Disposition > Verrouiller.
Pour déverrouiller un objet, sélectionnez-le, puis choisissez Disposition > Déverrouiller.
Remplissage d’objets
Remplissez un objet avec une couleur unie, un dégradé de couleurs ou une image.
Remplissage d’un objet avec de la couleur
Utilisez l’Inspecteur des graphismes pour remplir un objet avec une couleur unie ou avec
un dégradé de couleurs dans lequel deux couleurs se mélangent progressivement l’une
à l’autre.
Pour changer la couleur de remplissage d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet.
2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des graphismes.88 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
3 Pour appliquer une couleur unie de remplissage, choisissez Remplissage couleur dans
le menu local Remplissage. Cliquez sur le cadre de couleurs qui se trouve au dessous
du menu local Remplissage afin d’ouvrir la fenêtre Couleurs, puis sélectionnez une couleur dans cette fenêtre.
4 Pour remplir un objet avec un dégradé de couleurs, choisissez Remplissage dégradé
dans le menu local Remplissage. Cliquez sur chaque cadre de couleur et choisissez
chaque couleur dans la fenêtre Couleurs.
Pour configurer une direction pour le dégradé, utilisez la molette ou le champ Angle. Pour
le retourner horizontalement ou verticalement, cliquez sur les boutons fléchés Angle.
Pour inverser le dégradé, cliquez sur la double flèche en regard des cadres de couleur.
Vous trouverez ci-après des instructions relatives à l’utilisation de la fenêtre Couleurs.
Utilisation de la fenêtre Couleurs
La fenêtre Couleurs sert à sélectionner la couleur des objets.
Cliquez sur chaque cadre
de couleur afin de sélectionner des couleurs.
Inversez l’orientation du
dégradé ou définissez son sens
à l’aide des boutons fléchés ou
de la molette Angle, ou encore
en tapant une valeur.
Cliquez sur la double flèche
afin d’inverser le dégradé.
La couleur sélectionnée dans la roue des couleurs s’affiche dans cette zone. (Le fait qu’il y
ait deux couleurs dans cette zone indique que
l’opacité est définie à moins de 100 pour cent.)
Utilisez le curseur pour définir des
teintes plus claires ou plus sombres dans la roue des couleurs.
Faites glisser les couleurs à partir de la zone
Couleurs afin de les stocker dans la palette
de couleurs.
Cliquez sur une couleur
pour la sélectionner dans
la roue des couleurs.
Faites glisser le curseur Opacité vers
la gauche afin de rendre la couleur
plus transparente.
Cliquez sur l’icône
Rechercher puis sur un
élément quelconque à
l’écran pour faire correspondre sa couleur.
Cliquez sur un bouton
pour afficher différents
modèles de couleur.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 89
Vous pouvez utiliser la roue des couleurs dans la fenêtre Couleurs afin de sélectionner
des couleurs. La couleur que vous sélectionnez apparaît dans la zone en haut de la fenêtre
Couleurs. Vous pouvez enregistrer cette couleur afin de l’utiliser ultérieurement, en la
plaçant dans la palette de couleurs.
Pour appliquer à un objet de la diapositive les couleurs que vous avez sélectionnées
dans la fenêtre Couleurs, vous devez placez la couleur dans le cadre de couleur approprié d’une sous-fenêtre de l’Inspecteur. Vous pouvez sélectionner un cadre de couleurs
dans l’un des Inspecteurs, puis cliquer sur une couleur de la roue des couleurs. Ou bien,
vous pouvez faire glisser une couleur de la palette ou de la zone des couleurs jusque
dans le cadre de couleurs de l’un des Inspecteurs.
Pour sélectionner une couleur :
1 Ouvrez la fenêtre Couleurs en cliquant sur Couleurs dans la barre d’outils ou sur un cadre
de couleurs dans l’un des Inspecteurs.
2 Cliquez n’importe où dans la roue des couleurs. La couleur sélectionnée s’affiche dans
la zone des couleurs en haut de la fenêtre Couleurs.
3 Pour rendre la couleur plus claire ou plus sombre, faites glisser le curseur du côté droit
de la fenêtre Couleurs.
4 Pour rendre la couleur plus transparente, faites glisser le curseur Opacité vers la gauche
ou tapez un pourcentage dans le champ Opacité.
5 Pour utiliser la palette de couleurs, ouvrez-la en faisant glisser la poignée située en bas
de la fenêtre Couleurs. Enregistrez une couleur dans la palette en la faisant glisser de la
zone de couleur vers la palette. Pour supprimer une couleur de la palette, faites-glisser
un carré blanc dessus.
6 Pour reproduire la couleur d’un élément affiché à l’écran, cliquez sur la loupe à gauche
de la zone des couleurs de la fenêtre Couleurs. Cliquez sur l’élément de l’écran dont vous
souhaitez utiliser la couleur. La couleur apparaît dans la zone des couleurs. Sélectionnez
l’élément auquel vous souhaitez appliquer la couleur dans la fenêtre du document, puis
faites glisser la couleur de la zone des couleurs vers l’élément.
Remplissage d’objet avec une image
Vous pouvez remplir une figure, une zone de texte, un tableau ou une cellule de tableau,
l’arrière-plan d’un graphique ou une série de graphiques avec une image.
Pour remplir un objet avec une image :
1 Sélectionnez l’objet souhaité.
2 Si l’Inspecteur des graphismes n’est pas ouvert, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils
puis sur le bouton Inspecteur des graphismes.
3 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Remplissage image ou Remplissage image
teintée, puis choisissez une image. 90 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
Vous pouvez également faire glisser un fichier d’image du Finder ou du Navigateur de
média vers le cadre d’image dans l’Inspecteur des graphismes. Ou encore faire glisser
une image vers une cellule de tableau ou une série de graphiques.
4 Choisissez une échelle d’image dans le menu local.
Ajuster : redimensionne l’image afin qu’elle s’adapte au mieux aux dimensions de l’objet.
Si la forme de l’objet est différente de celle de l’image d’origine, il se peut que des parties
n’apparaissent pas ; un espace vide peut également apparaître autour de l’image.
Remplir : fait paraître l’image plus grande ou plus petite en la dimensionnant de façon
à ne laisser qu’un espace minimum autour d’elle, même si elle n’a pas la même forme
que l’objet.
Étirer : dimensionne l’image pour qu’elle s’adapte à la taille de l’objet mais la déforme
si ce dernier a une forme différente de l’image d’origine.
Dimensions d’origine : place l’image dans l’objet sans modifier ses dimensions d’origine.
Si l’image est plus grande que l’objet, vous ne voyez qu’une partie de l’image dans l’objet.
Si l’image est plus petite que l’objet, elle est entourée d’espace vide.
Mosaïque : répète l’image à l’intérieur de l’objet si celle-ci est plus petite que l’objet. Si
l’image est plus grande que l’objet, vous ne voyez qu’une partie de l’image dans l’objet.
Définissez la taille de
l’image dans l’objet via
le menu local.
Pour changer l’image, faites glisser une image
vers le cadre d’image.
Remplir
Mosaïque
(grande image)
Dimensions d’origine
Ajuster Étirer
Mosaïque
(petite image)
Mosaïque (grande image)Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 91
5 Si vous avez sélectionné l’option Remplissage image teintée, cliquez sur le cadre de
couleurs (à droite du bouton Choisir) pour choisir une teinte. Faites glisser le curseur
Opacité dans la fenêtre Couleurs afin de rendre la teinte plus foncée ou plus claire. Si
vous faites glisser le curseur Opacité dans l’Inspecteur des graphismes, l’opacité de la
teinte et de l’image change.
Utilisation des figures
Keynote met à votre disposition une variété de figures prédessinées que vous pouvez
ajouter aux diapositives. Vous pouvez également créer vos propres figures personnalisées.
Ajout d’une figure prédessinée
Vous pouvez insérer des figures prédessinées, telles que des triangles, des flèches,
des cercles et des rectangles, à utiliser comme graphismes simples.
Voici plusieurs façons d’ajouter une figure prédessinée :
m Cliquez sur Formes dans la barre d’outils, puis choisissez une forme dans le sous-menu
Figures.
Vous pouvez aussi choisir Insertion > Figure > figure.
m Il est également possible de créer une des figures incluses à partir du centre de la figure.
Dans la barre d’outils, cliquez sur Figures tout en maintenant la touche Option enfoncée,
sélectionnez une figure, puis faites glisser le pointeur réticulaire. Pour imposer la figure
(par exemple, pour que les trois côtés d’un triangle soient égaux entre eux), maintenez
la touche Maj enfoncée pendant que vous faites glisser.
Cliquez pour sélectionner
une couleur de teinte pour
l’image.92 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
Ajout d’une figure personnalisée
Vous pouvez utiliser l’outil de dessin pour créer vos propres figures.
Pour créer une figure personnalisée :
1 Cliquez sur Figures dans la barre d’outils, puis sélectionnez l’outil de dessin (ou choisissez
Insertion > Figure > Dessiner une figure).
Le pointeur, représentant au départ une flèche, se change alors en sorte de pointe
de crayon.
2 Cliquez n’importe où sur le document pour créer le premier point de la figure
personnalisée.
3 Cliquez de nouveau pour créer d’autres points.
Chaque point que vous ajoutez est connecté au précédent. La figure est remplie avec
la couleur par défaut du thème que vous utilisez.
Pour supprimer un segment que vous venez de créer, appuyez simplement sur la touche
Suppr. Vous pouvez appuyez sur cette touche plusieurs fois.
4 Pour mettre fin au dessin et fermer la figure (c’est-à-dire ajouter une ligne pleine entre
le dernier et le premier point), cliquez sur le premier point.
Pour arrêter le traçage mais laisser la figure ouverte (c’est-à-dire qu’aucune ligne n’est
dessinée entre le dernier et le premier point) afin de pouvoir continuer à la manipuler
ultérieurement, appuyez sur la touche Échap ou double-cliquez sur le dernier point créé.
Pour terminer et fermer une figure ouverte, cliquez une fois sur celle-ci pour la sélectionner,
puis cliquez une deuxième fois pour afficher ses points. Double-cliquez sur l’un des points
se trouvant à l’une des extrémités du segment ouvert. Le pointeur prend alors la forme
d’une plume de stylo.
Pour ajouter des points supplémentaires, cliquez à d’autres endroits selon vos besoins.
Lorsque le dessin est terminé, cliquez sur le point à l’extrémité du segment ouvert pour
fermer la figure.
Retrouvez ici le
segment ouvert.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 93
Figures modifiables
Vous pouvez non seulement redimensionner des figures, mais également retravailler
les points d’une figure. Pour pouvoir modifier une figure de cette manière, vous devez
la rendre modifiable.
Voici plusieurs façons de rendre les figures modifiables :
m Pour rendre une figure prédessinée modifiable, sélectionnez-la, puis choisissez Format >
Figure > Rendre modifiable.
Des pointillés en rouges apparaissent sur la figure. Faites-les glisser pour modifier celle-ci.
Par la suite, pour modifier une figure prédessinée rendue modifiable, cliquez doucement
deux fois dessus.
m Pour rendre une figure personnalisée modifiable, cliquez une fois sur celle-ci pour la sélectionner, puis cliquez une deuxième fois pour afficher ses points.
Manipulation des points d’une figure
Vous pouvez modifier le contour d’une figure en ajoutant, en déplaçant ou supprimant
des points. Vous devez tout d’abord rendre la figure modifiable, comme décrit dans la
rubrique « Figures modifiables » à la page 93.
Voici plusieurs façons de manipuler les points d’une figure :
m Pour ajouter un point, rendez la figure modifiable, puis appuyez sur la touche Option et
placez le pointeur sur la bordure de la figure. Le pointeur change et prend la forme d’une
plume de stylo accompagnée d’un signe plus (+). Cliquez sur la bordure à l’endroit où vous
souhaitez ajouter un point, puis déplacez ce dernier si besoin est.
m Pour déplacer un point, rendez la figure modifiable, puis cliquez sur le point en question
et faites-le glisser jusqu’à un nouvel emplacement. Vous pouvez aussi déplacer plusieurs
points en même temps en cliquant sur chacun d’entre eux tout en appuyant sur la touche Maj, puis en les faisant glisser tous à la fois.
m Pour supprimer un point, rendez la figure modifiable, puis cliquez sur le point à éliminer
et appuyez sur la touche Suppr. Vous pouvez aussi supprimer plusieurs points en même
temps en cliquant sur chacun d’entre eux tout en appuyant sur la touche Maj, puis en
appuyant sur la touche Suppr.
Cliquez sur un point et
faites-le glisser pour 94 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
Modification du tracé d’une courbe
Vous pouvez agrandir ou réduire une courbe ou modifier son angle.
Pour redessiner une courbe :
1 Rendez la figure modifiable.
2 Cliquez sur une des commandes circulaires rouges de la courbe que vous voulez redessiner. Une poignée de commande apparaît des deux côtés de la commande circulaire.
3 Pour augmenter ou réduire la courbe, faites glisser la commande circulaire ou l’une
des poignées de commande.
4 Pour modifier l’angle de la courbe, déplacez les poignées de commande dans le sens des
aiguilles d’une montre ou dans le sens contraire. Vous pouvez ainsi produire divers effets
en déplaçant des poignées en même temps ou indépendamment l’une de l’autre. Prenez
le temps de tester les options offertes jusqu’au résultat voulu.
Pour déplacer toutes les poignées de commande à la fois, appuyez sur la touche Option
et faites glisser l’une d’entre elles.
Pour ne déplacer qu’une seule des poignées de commande, appuyez sur la touche
Commande avant de faire glisser la poignée.
Modification du tracé d’un segment droit
Vous pouvez modifier l’angle que forment deux segments ou modifier la longueur
d’un segment.
Pour redessiner un segment droit :
1 Rendez la figure modifiable.
2 Cliquez sur un point d’angle.
3 Pour modifier l’angle formé par deux segments qui se rejoignent, faites glisser le point
dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans l’autre sens.
4 Pour modifier la longueur de l’un des segments, faites glisser le point vers le l’extérieur
ou vers l’intérieur.
Faites glisser ou faites pivoter une
des poignées de commande afin de
modifier la courbe.
Vous pouvez également faire glisser
un point pour modifier la courbe.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 95
Conversion de points d’angle en points de courbe et vice-versa
Vous pouvez transformer un ou plusieurs points en courbes ou courbes en points.
Voici plusieurs façons de convertir des points d’angle en points courbes, et vice-versa:
m Pour convertir un point d’angle en point de courbe, rendez la figure modifiable
et double-cliquez sur le point d’angle.
m Au contraire, pour convertir un point de courbe en point d’angle, rendez la figure
pour modifiable et double-cliquez sur le point de courbe.
m Pour convertir tous les points d’angle d’une ou de plusieurs figures en points de courbe,
rendez les figures modifiables, sélectionnez la ou les figures concernées, puis sélectionnez
Format > Figure > Arrondir le contour.
m Pour convertir tous les points de courbe d’une ou de plusieurs figures en points d’angle,
rendez les figures modifiables, sélectionnez la ou les figures concernées, puis sélectionnez
Format > Figure > Affûter le contour.
Après qu’une figure soit configurée pour être modifiable, vous pouvez utiliser les commandes Arrondir le contour et Affûter le contour sans avoir à la reconfigurer comme étant
modifiable à nouveau.
Modification de figures prédessinées spécifiques
Certaines figures prédessinées disposent de contrôles d’édition intégrés spéciaux.
Modification d’un rectangle aux coins arrondis
Le rectangle aux coins arrondis comprend un contrôle circulaire qui vous permet
de modifier ses angles.
Pour modifier un rectangle aux coins arrondis :
m Sélectionnez la figure, puis faites glisser son contrôle circulaire vers la gauche pour
redresser les coins et vers la droite pour les arrondir.
Faites glisser pour redresser ou arrondir le coin.96 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
Modification de flèches simples et doubles
Les flèches disposent de trois contrôles spéciaux.
Voici plusieurs façons de modifier les flèches simples et doubles après les avoir
sélectionnées :
m Faites glisser le contrôle se trouvant sur la queue ou sur la tête de la flèche pour augmenter
ou réduire la longueur de la queue sans changer la forme de sa tête.
m Faites glisser le contrôle circulaire vers le haut ou vers le bas pour modifier la largeur
de la queue.
m Faites glisser le contrôle circulaire vers la gauche ou vers la droite pour redimensionner
la tête de la flèche.
Modification d’une étoile
La figure en forme d’étoile dispose d’un curseur permettant d’augmenter ou de réduire
le nombre de ses branches et d’un contrôle circulaire permettant de modifier les angles
entre celles-ci.
Voici plusieurs façons de modifier une étoile :
m Lorsque vous sélectionnez une figure en forme d’étoile, le curseur apparaît. Faites glisser le curseur pour augmenter ou réduire le nombre de points constituant l’étoile.
m Faites glisser le contrôle circulaire pour modifier les angles formés par les branches
de l’étoile.
Faites glisser pour changer la longueur de la
queue.
Faites glisser vers le haut ou vers le bas pour modifier la largeur de la queue de la flèche. Faites glisser
vers la gauche ou vers la droite pour redimensionner
la tête de la flèche.
Faites glisser pour changer
les angles entre les points
de l’étoile.
Visualisez le nombre de points
constituant actuellement l’étoile.
Faites glisser pour augmenter ou réduire le nombre de
points constituant l’étoile.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 97
Modification d’un polygone
Le polygone dispose d’un curseur permettant d’augmenter ou de réduire le nombre
de ses côtés.
Pour modifier un polygone :
m Lorsque vous sélectionnez le polygone, le curseur apparaît. Faites glisser le curseur
afin d’augmenter ou de réduire le nombre de côtés constituant le polygone.
Utilisation des paramètres fictifs multimédias
De nombreux modèles de diapositive Keynote contiennent des paramètres fictifs photos.
Ces photos sont en fait des « paramètres fictifs multimédias ». Vous pouvez faire glisser vos
propres images, séquences vidéo et fichiers audio jusque sur ces paramètres fictifs. Votre
fichier multimédia est alors automatiquement redimensionné et correctement positionné.
Vous pouvez aisément remplacer un élément situé sur un paramètre fictif multimédia en
y faisant glisser un nouveau fichier ; il est inutile de supprimer l’ancien fichier au préalable.
Si vous n’êtes pas sûr qu’une photo ou autre multimédia figurant sur une diapositive
est un paramètre fictif, placez le pointeur au dessus quelques instants pour voir si une
balise d’aide apparaît (vous invitant à y faire glisser votre propre fichier multimédia).
Voici plusieurs façons d’utiliser les paramètres fictifs multimédias :
m Faites glisser un fichier du Navigateur de média, du Finder ou d’une autre application
jusque sur le paramètre fictif multimédia.
Pour ouvrir le Navigateur de média, cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils. Cliquez
sur un des boutons situés en haut de la fenêtre pour rechercher des fichiers audio, des
images ou des séquences vidéo.
m Pour modifier le contenu d’un paramètre fictif multimédia, faites glisser un nouveau
fichier multimédia sur le contenu existant.
Faites glisser afin d’augmenter
ou de réduire le nombre de
côtés constituant le polygone.
Visualisez le nombre de côtés constituant actuellement le polygone.98 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
m Pour convertir une image de paramètre fictif en image, sélectionnez-la, choisissez
Format > Avancé > « Définir comme paramètre fictif multimédia » (supprimez la coche).
m Pour supprimer un paramètre fictif multimédia, sélectionnez-le et appuyez sur
la touche Suppr.
m Pour créer un paramètre fictif multimédia, ajouter une photo, une séquence, un fichier
audio à une diapositive. Redimensionnez le fichier et définissez les attributs appropriés
(ajoutez un reflet, un cadre d’image, etc.). Choisissez Format > Avancé > « Définir comme
paramètre fictif multimédia » (vérifiez que le nom de la commande est bien coché).
Utilisation des images
Keynote accepte tous les formats pris en charge par QuickTime, y compris les types
de fichiers suivants :
 TIFF
 GIF
 JPEG
 PDF
 PSD
 EPS
 PICT
Une fois que vous avez importé une image dans un document, vous pouvez la masquer
(rogner) et modifier sa luminosité et ses autres réglages. Vous pouvez placer une image
à l’intérieur d’une figure, d’une zone de texte, d’un élément de graphique ou d’une cellule
de tableau. Keynote vous permet aussi de produire des graphismes avec transparence
(graphismes avec canal alpha).
Importation d’une image
Importez une image directement à partir du Finder ou du Navigateur de média.
Il existe différentes manières d’importer un fichier image :
m Faites glisser un fichier image du Finder jusque sur le document et placez-le à l’endroit
souhaité.
m Faites glisser une image vers le Navigateur de diapositives pour créer une nouvelle
diapositive contenant l’image.
m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, sur Photos dans le Navigateur de média,
sélectionnez l’album dans lequel se trouve la photo, puis faites glisser la vignette à
l’endroit souhaité.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 99
m Choisissez Insertion > Choisir, sélectionnez le fichier image, puis cliquez sur Insérer.
Faites glisser l’image pour la positionner à l’endroit souhaité.
Par défaut, si une image que vous placez sur une diapositive est plus grande que celle-ci,
Keynote réduit l’image afin qu’elle tienne dans la diapositive. (Une image réduite comporte
moins de pixels que l’originale ; certaines données de l’image sont supprimées.) Les images
au format JPEG restent au format JPEG tandis que les autres formats sont convertis en TIFF.
Une fois qu’une image a été mise à l’échelle de la diapositive, vous ne pouvez pas la restaurer à sa taille d’origine en cliquant sur Dimensions d’origine dans l’Inspecteur des
mesures. Pour éviter de réduire des images et les utiliser à leur taille originale, choisissez
Keynote > Préférences, cliquez sur Général, puis désélectionnez « Réduire les images pour
les ajuster aux diapos ».
Masquage (rognage) d’images
Vous pouvez rogner des images sans modifier réellement les fichiers en masquant
des parties d’images.
Rognage d’une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire)
Vous pouvez utiliser un masque rectangulaire pour définir les limites d’une image.
Pour rogner une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire) :
1 Importez l’image que vous souhaitez masquer (pour en savoir plus, consultez la rubrique
« Importation d’une image » à la page 98).
2 Sélectionnez l’image, puis cliquez sur le bouton Masquer dans la barre d’outils.
Un masque apparaît au-dessus de l’image, de même que certaines commandes.
Faites glisser les poignées de sélection
pour redimensionner le masque.
Faites glisser l’image pour
mettre en place la partie
que vous désirez afficher.
Faire glisser le curseur pour
redimensionner l’image.
Cliquer sur ce bouton pour afficher ou
masquer la zone à l’extérieur du masque.100 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
3 Pour redimensionner l’image, faites glisser le curseur au-dessus du bouton Modifier
le masque.
4 Affinez le masque d’une des manières suivantes :
 Pour redimensionner le masque, faites glisser les poignées de sélection. Pour conserver
les proportions du masque, maintenez la touche Maj enfoncée tout en faisant glisser
les poignées.
 Pour faire pivoter le masque, maintenez enfoncée la touche Commande tout en faisant
glisser une poignée de sélection d’angle.
 Faites glisser l’image pour mettre en place la partie que vous désirez afficher. Pour
déplacer le masque, cliquez sur le bord en pointillés du masque et faites-le glisser.
5 Pour ne rendre visible que la partie située sous le masque, double-cliquez sur le masque
ou sur l’image, appuyez sur la touche Retour, cliquez en dehors de l’image ou cliquez sur
Modifier le masque.
6 Pour redimensionner ou faire pivoter l’image masquée, faites glisser (respectivement
en maintenant ou pas la touche Commande enfoncée) les poignées de sélection.
7 Pour désélectionner l’image et masquer les contrôles de masque, cliquez en dehors
de l’image.
Masque d’image avec une figure
Vous pouvez utiliser une figure pour délimiter une image.
Pour masquer une image avec une figure :
1 Exécutez l’une de ces actions :
 Sélectionnez l’image et choisissez Format > Masquer avec une figure > figure.
 Cliquez sur une figure et une image en appuyant sur la touche Maj pour les sélectionner,
et cliquez ensuite sur Masque dans la barre d’outils (ou choisissez Format > Masquer
avec la figure sélectionnée).
2 Faites glisser l’image pour positionner la partie que vous désirez afficher. Pour déplacer
le masque, cliquez sur le bord en pointillés du masque et faites-le glisser.
3 Pour redimensionner l’image, faites glisser le curseur au-dessus du bouton Modifier
le masque.
4 Pour redimensionner le masque, faites glisser les poignées de sélection. Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 101
5 Pour ne rendre visible que la partie située sous le masque, double-cliquez sur le masque
ou sur l’image, appuyez sur la touche Retour, cliquez en dehors de l’image ou cliquez sur
Modifier le masque.
6 Pour redimensionner l’image masquée, cliquez sur Modifier le masque et faites glisser
les poignées de sélection.
7 Pour désélectionner l’image et masquer les contrôles de masque, cliquez en dehors
de l’image.
Pour modifier une image masquée, double-cliquez dessus.
Remarque : si vous utilisez en tant que masque une figure contenant du texte, le texte est
supprimé. Pour restaurer le texte, choisissez Édition > « Annuler Masquer avec une figure ».
Vous pouvez également faire glisser une image pour masquer une figure avec celle-ci.
Suppression du masque d’une image
Vous pouvez supprimer un masque et restaurer l’image originale.
Pour ne plus masquer une image :
m Sélectionnez l’image masquée, puis cliquez sur Ne plus masquer dans la barre d’outils
(ou choisissez Format > Ne plus masquer).
Suppression de l’arrière-plan ou des éléments superflus d’une image
L’outil Alpha instantané vous permet de rendre transparentes certaines couleurs d’une
image. Cette fonctionnalité est utile pour supprimer un arrière-plan ou d’autres couleurs
dont vous ne voulez pas.
Vous obtiendrez des résultats optimaux si vous supprimez des couleurs unies dont les
limites sont bien définies. Pour supprimer des zones moins bien délimitées, sélectionnez
une zone de taille plus réduite et répétez le processus.
Pour supprimer des éléments superflus :
1 Sélectionnez l’image.
2 Cliquez sur Alpha dans la barre d’outils (ou choisissez Format > Alpha instantané).102 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
3 Cliquez sur la couleur que vous voulez afficher en transparence, puis faites glisser
doucement le curseur au-dessus.
À mesure que vous faites glisser le pointeur, la sélection s’agrandit pour englober la
zone contiguë utilisant des couleurs proches. Plus vous faites glisser, plus la taille de
la zone sélectionnée de l’image est importante.
4 Répétez l’étape 3 à volonté.
Vous pouvez à tout moment rétablir les zones d’image supprimées. Pour revenir à
l’image originale, choisissez Format > Supprimer l’Alpha instantané. Pour restaurer
des zones de l’image supprimées à l’aide de l’Alpha instantané, choisissez Édition >
Annuler l’Alpha instantané jusqu’à ce que les zones soient rétablies.
Modification de la luminosité, du contraste et des autres réglages
d’une image
Vous pouvez modifier la luminosité, le contraste et certains autres réglages des images
pour améliorer leur qualité ou créer des effets intéressants. Les ajustements que vous faites ne modifient pas l’image d’origine, mais seulement son apparence dans Keynote.
Pour ajuster une image :
1 Sélectionnez l’image.
En faisant glisser le pointeur, vous sélectionnez la
zone contiguë utilisant
des couleurs semblables
à celle sur laquelle vous
cliquez.
Faire glisser
davantage ici...
...pour sélectionner
une plus grande
partie de l’image.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 103
2 Choisissez Présentation > Afficher Ajuster l’image.
3 Utilisez les contrôles suivants pour réaliser les réglages.
Améliorer : ce bouton ajuste automatiquement l’image.
Luminosité : règle la luminosité de l’image.
Contraste : règle le contraste et les tons clairs et foncés. Ainsi, vous pouvez rendre les ombres
plus sombres, accentuer les bords d’objets ou faire ressortir les couleurs. Si vous augmentez
considérablement le contraste d’une photo, celle-ci ressemblera plus à une illustration.
Saturation : modifie l’intensité des couleurs.
Température : permet de privilégier des tons plus chauds (plus orangés) ou plus froids
(plus bleutés).
Teinte : modifie la quantité de tons rouges ou verts dans l’image.
Netteté : rend la mise au point de l’image plus ou moins précise.
Exposition : permet de privilégier les zones d’ombre ou les zones de lumière.
L’histogramme : vous aide à comprendre la répartition entre zones d’ombre (représentées
à gauche de l’affichage) et zones de lumière (représentées sur la droite) de l’image.
Niveaux : modifie les niveaux des tons clairs et foncés.
Niveaux automatiques : fait en sorte que Keynote améliore les couleurs automatiquement.
4 Pour rétablir les réglages d’origine, cliquez sur Réinitialiser l’image.
Pour enregistrer toutes les modifications qui y sont apportés, enregistrez le document.
Les réglages au moment où vous enregistrez en effet le document sont consultables
à tout moment en ouvrant la fenêtre Ajuster l’image.
Réglez le contraste entre
les tons clairs et foncés.
Modifiez l’intensité de la couleur.
Augmentez la chaleur de
la couleur ou réduisez-la. Modifiez la proportion des
tons rouges et verts.
Rendez la mise au point
plus ou moins nette.
Ajustez l’ombre et la lumière.
Appréciez la relation existant entre
les ombres et l’éclairage.
Modifiez le niveau des tons
foncés et clairs.
Rétablissez les réglages d’origine.
Ajustez la lumière.
Améliorez les couleurs
automatiquement.104 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
Utilisation du son et de séquences
Vous pouvez ajouter de l’audio (un fichier de musique ou une liste de lecture issus de
votre bibliothèque iTunes, ou un autre fichier son quelconque) à un document Keynote.
Vous pouvez ajouter du son de la manière suivante :
 Sur une seule diapositive. Le fichier son est lu lorsque la diapositive apparaît et s’arrête
lorsque le diaporama progresse. Reportez-vous à la rubrique « Ajout de son à une
diapositive » à la page 105.
 Comme bande-son pour un diaporama. La lecture de l’audio commence en même
temps que le diaporama. Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’une bande sonore à
un diaporama » à la page 105.
 Comme narration enregistrée. Vous pouvez vous enregistrer pendant que vous commentez chaque diapositive. Reportez-vous à la rubrique « Ajout de narration » à la
page 107.
Vous pouvez également ajouter des fichiers vidéo ou des séquences Flash à afficher dans
une diapositive. Pour que Flash fonctionne avec QuickTime 7.1.3 et versions ultérieures,
choisissez le menu Pomme > Préférences Système, cliquez sur QuickTime, puis sur Avancé
et enfin sélectionnez Activer Flash.
Keynote accepte tout type de fichier QuickTime ou iTunes, y compris les suivants :
 MOV
 FLASH
 MP3
 MPEG-4
 AIFF
 AAC
Remarque : certains fichiers multimédia sont protégés par des droits d’auteur. Il se peut
aussi que certaines musiques téléchargées ne puissent être lues que sur l’ordinateur ayant
été utilisé pour leur téléchargement. Assurez-vous que vous disposez bien de l’autorisation
nécessaire pour utiliser les fichiers que vous souhaitez inclure.
Important : pour vous assurer que les séquences et autres données multimédias pourront être lues et affichées si votre document est transféré sur un autre ordinateur, vérifiez
que l’option « Copier l’audio et la vidéo dans le document » est sélectionnée ; après avoir
choisi Enregistrer ou Enregistrer sous, cliquez sur le triangle d’affichage à côté du
champ, puis cliquez sur Options avancées.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 105
Ajout de son à une diapositive
Ajoutez une illustration sonore qui se fera entendre lors de l’affichage de la diapositive
et cessera lorsque vous passez à la diapositive suivante.
Il existe différentes manière d’ajouter du son à une diapositive :
m Faites glisser un fichier son du Finder jusque dans votre diapositive.
m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, choisissez iTunes dans le menu local, sélectionnez une liste de lecture, puis faites glisser un fichier vers le canevas de diapositive
ou vers un paramètre fictif multimédia. (Vous pouvez également faire glisser une liste
de lecture.)
Vous pouvez contrôler avec plus de précision le démarrage et la fin de la musique en
utilisant les effets Démarrer l’audio et Arrêter l’audio dans l’Inspecteur des compositions.
Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Animation de diapositives avec
des compositions d’objet » à la page 113.
Ajout d’une bande sonore à un diaporama
Si vous ajoutez une bande sonore, la musique commencera en même temps que le
diaporama. Vous pouvez spécifier si vous souhaitez lire le fichier une ou plusieurs fois,
et vous pouvez également arrêter prématurément la reproduction sonore.
Pour ajouter une bande sonore :
1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des documents.
2 Cliquez sur le bouton Audio.
3 Faites glisser un fichier audio ou une liste de lecture du Navigateur de média dans le
cadre audio de l’Inspecteur des documents. Si vous modifiez une liste de lecture, cette
modification se répercutera sur votre bande-son uniquement lorsque vous ajouterez
de nouveau la liste de lecture.
Vous pouvez également faire glisser un fichier audio du Finder.
4 Pour répéter le fichier audio tout au long de votre présentation, choisissez Lecture
en boucle dans le menu local de l’Inspecteur des documents.
Bouton Inspecteur
des documents
Faites glisser un fichier
audio ici pour le lire tout
au long du diaporama.
Pour répéter le fichier
audio, choisissez Lecture
en boucle.
Réglez le volume de
la bande son.
Bouton Audio
Écoutez votre fichier audio.106 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
Ajout d’une séquence
Vous pouvez ajouter une séquence à une diapositive qui est lue lorsque celle-ci apparaît
ou lorsque le présentateur clique avec la souris.
Voici plusieurs façons d’ajouter une séquence vidéo :
m Faites glisser un fichier de séquence du Finder vers le canevas de diapositive ou vers
un paramètre fictif multimédia.
m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, cliquez sur Séquences, sélectionnez un
fichier, puis faites-le glisser vers le canevas de diapositive ou vers un paramètre fictif
multimédia.
m Choisissez Insertion > Choisir, sélectionnez le fichier de séquence, puis cliquez sur Insérer.
Lorsque vous reproduisez un film pendant une présentation, des commandes de film
apparaissent lorsque vous déplacez le pointeur au dessus de celui-ci, si « Afficher les
commandes de lecture lorsque le pointeur est au-dessus d’une séquence » est sélectionné dans la sous-fenêtre Diaporama des Préférences de Keynote. Les commandes
disponibles dépendent de la taille (dimensions) du film : plus le film est petit, moins
les commandes sont visibles.
Reportez-vous à la rubrique, « Création de compositions de séquence » à la page 125.
Réglage des options de lecture des fichiers multimédias
L’Inspecteur QuickTime vous permet de modifier des réglages, notamment le moment
auquel une séquence démarre et s’arrête, ainsi que le cadre à afficher avant la lecture
de la séquence.
Pour définir les préférences de lecture :
1 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur puis sur le bouton Inspecteur QuickTime.
2 Cliquez sur la séquence ou le son pour le sélectionner.
3 Pour démarrer et arrêter la lecture de la séquence sur des images ou des temps donnés,
faites glisser les curseurs de départ et de fin.
4 Pour spécifier l’image de séquence à afficher en attendant le début de la lecture (appelée « affiche »), faites glisser le curseur Affiche jusqu’à ce que l’image souhaitée apparaisse à l’écran.
5 Pour que la séquence démarre lorsque l’intervenant clique sur la souris (et non lorsque
la diapositive apparaît), sélectionnez « Démarrer la séquence au clic de souris ».Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 107
6 Choisissez une option de répétition dans le menu local Répétition :
Aucune : une seule lecture.
Boucle : lecture en continu.
Lecture en boucle dans les 2 sens : lecture en continu vers l’avant et vers l’arrière.
7 Pour augmenter ou réduire le volume de lecture, faites glisser le curseur de volume
vers la droite ou vers la gauche.
Ajout de narration
Vous pouvez vous enregistrer en commentant chaque diapositive. Lorsque vous passez à la
diapositive ou à la composition suivante, votre synchronisation est également enregistrée.
Pour enregistrer un diaporama :
1 Si vous utilisez un microphone externe au lieu du microphone intégré à l’ordinateur, branchez le microphone puis utilisez la fenêtre Son des Préférences système pour configurer
les paramètres d’entrée.
2 Sélectionnez la diapositive à partir de laquelle vous souhaitez commencer l’enregistrement
Vous n’êtes pas obligé de sélectionner la première diapositive, mais un diaporama enregistré est lu uniquement à partir de la première diapositive enregistrée.
Si vous sélectionnez une diapositive ignorée, l’enregistrement commence par la diapositive précédente la plus proche.
3 Exécutez l’une de ces actions :
 Ouvrez l’Inspecteur des documents, cliquez sur Audio, puis sur Enregistrer.
 Choisissez Fichier > Enregistrer le diaporama.
Définissez le volume
de lecture.
Choisissez de lancer votre
séquence à la suite d’un
clic (plutôt que lorsque la
diapositive apparaît).
Le bouton Inspecteur QuickTime
Sélectionnez les images
de début et de fin de lecture de la séquence.
Sélectionnez l’image à
afficher en attendant le
démarrage de la lecture
de la séquence.
Définissez les options de
répétition de lecture.
Utilisez ces contrôles pour afficher
la séquence ou écouter le fichier son
lorsque vous modifiez le diaporama.108 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
4 Au fur et à mesure de la lecture de la présentation, parlez dans le micro pour enregistrer
votre narration.
Un témoin lumineux rouge intermittent dans l’angle supérieur gauche de l’écran indique
que l’enregistrement est en cours.
5 Pour passer à la diapositive suivante, cliquez sur le bouton de la souris ou appuyez sur
la touche Flèche droite.
Le tableau suivant répertorie d’autres manières de contrôler la présentation au cours
de l’enregistrement.
Remarque : lorsque vous enregistrez un diaporama, l’option Enregistré est automatiquement activée dans le menu local Présentation de l’Inspecteur des documents.
Nouvel enregistrement d’un diaporama enregistré
Si vous enregistrez un diaporama et modifiez ensuite des diapositives, il est possible
que l’enregistrement ne soit pas synchronisé avec celles-ci. Vous pouvez réenregistrer
un diaporama enregistré, totalement ou partiellement.
Pour enregistrer à nouveau tout ou partie d’un diaporama enregistré :
1 Sélectionnez la diapositive à partir de laquelle vous souhaitez commencer le nouvel
enregistrement
2 Ouvrez la fenêtre Inspecteur des documents et cliquez sur Audio.
3 Cliquez sur Enregistrement.
4 Si la diapositive sélectionnée a été enregistrée auparavant, effectuez l’une des opérations
suivantes :
 Pour remplacer l’enregistrement précédent, en commençant par la diapositive sélectionnée, cliquez sur Enregistrer & remplacer. Si l’enregistrement précédent commençait avant
la première diapositive réenregistrée, sa portion initiale reste intacte.
 Pour remplacer intégralement l’enregistrement, cliquez sur Enregistrer du début.
Appuyez ou cliquez sur Pour
W (écran blanc), F (figer) ou B (écran noir) Mettre en pause l’enregistrement. Appuyez sur une
touche quelconque pour reprendre l’enregistrement
du diaporama.
Indicateur1
d’enregistrement (rouge) Mettre en pause l’enregistrement.
Échap Arrêter la lecture et sauvegarder l’enregistrement
1
Pour cliquer sur l’indicateur, l’option « Afficher le pointeur lors du déplacement de la souris » doit être sélectionnée
dans la sous-fenêtre Diaporama des préférences Keynote.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 109
5 Si la diapositive sélectionnée n’a pas été enregistrée auparavant, effectuez l’une des opérations
suivantes :
 Pour ajouter le nouvel enregistrement à la fin de l’enregistrement précédent, cliquez
sur Enregistrer & ajouter.
 Pour remplacer intégralement l’enregistrement, cliquez sur Enregistrer du début.
Lecture d’un diaporama enregistré
Lors de la lecture d’un diaporama enregistré, vous pouvez utiliser tous les raccourcis clavier
de présentation habituels (décrits dans la rubrique « Commande d’une présentation à
l’aide du clavier » à la page 195). Il existe également des options spéciales pour la lecture
des diaporamas enregistrés.
Pour lire un diaporama enregistré :
 Pour écouter la narration, cliquez sur le bouton de lecture dans la sous-fenêtre Audio
de l’Inspecteur des documents. Réglez le volume en faisant glisser le curseur de volume.
 Pour lire une présentation enregistrée, cliquez sur Lecture dans la barre d’outils, choisissez Présentation > Lire le diaporama, ou bien Présentation > Lire le diaporama enregistré. Notez que la lecture d’un diaporama enregistré commence à la première diapositive
enregistrée, qui n’est pas forcément la première diapositive du document.
Si vous cliquez sur Lecture dans la barre d’outils et que la présentation ne démarre
pas comme prévu, vérifiez que l’option Enregistré est sélectionnée dans le menu local
Présentation de l’Inspecteur des documents.
Suppression d’un enregistrement
Pour supprimer un enregistrement :
m Ouvrez l’Inspecteur des documents, cliquez sur Audio, puis sur Effacer.
m Choisissez Fichier > Effacer l’enregistrement.110 Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets
Ajout d’affichages Web
Vous pouvez afficher l’instantané d’une page Web (appelé « affichage Web ») sur une
diapositive. Lorsque le document est ouvert, Keynote peut automatiquement mettre à
jour l’instantané avec la page Web actuelle. (l’ordinateur qui exécute le diaporama doit
être connecté à Internet). Par défaut, l’instantané est un lien sur lequel vous pouvez cliquer pendant la présentation afin d’ouvrir la page Web dans un navigateur ; vous pouvez désactiver ce lien dans l’Inspecteur des liens.
Pour ajouter un affichage Web à une diapositive :
1 Choisissez Insertion > Affichage Web.
2 Dans l’Inspecteur des liens, saisissez l’URL de la page (www.apple.com, par exemple).
Vous pouvez également faire glisser l’icône de l’URL de la barre d’adresse d’un navigateur vers le canevas ; faites glisser l’icône vers le navigateur de diapositives pour ajouter une nouvelle diapositive et créer un affichage Web en une seule étape.
3 Pour mettre à jour automatiquement la page Web de manière périodique, sélectionnez
« Mettre à jour automatiquement ».
Si cette option n’est pas sélectionnée, vous pouvez mettre à jour la page Web à tout
moment en cliquant sur Mettre à jour.
4 Vous pouvez éventuellement redimensionner et repositionner l’affichage Web (l’image
de la page Web est importée à sa taille réelle). L’affichage web conserve la même résolution quand vous le redimensionnez.
La flèche bleue signifie
que vous pouvez cliquer
sur l’affichage Web au
cours d’une présentation
pour ouvrir la page Web
dans un navigateur.
Insérez un instantané de
page web qui se met
automatiquement à jour à
l’ouverture du diaporama.Chapitre 4 Utilisation de sons, de séquences, de graphiques et d’autres objets 111
5 Par défaut, l’affichage web se transforme automatiquement en lien hypertexte, sur
lequel vous pouvez cliquer pendant la présentation pour ouvrir la page Web dans
un navigateur. Pour désactiver cette fonction, désélectionnez l’option « Activer comme
lien » dans l’Inspecteur des liens.
Conversion d’un objet en lien hypertexte
En plus des liens hypertexte de texte, vous pouvez transformer des images et des figures
en liens hypertexte qui déclencheront les opérations suivantes lorsque vous cliquerez
dessus au cours d’une présentation :
 Atteindre une diapositive précise
 Ouvrir une page Web sur Internet
 Ouvrir un nouveau document Keynote
 Ouvrir un message électronique
 Quitter le diaporama
Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de liens hypertextes » à la page 68 pour
en connaître les instructions.
Si cette option est sélectionnée, vous pouvez cliquer sur l’affichage Web
pendant la présentation
afin d’ouvrir la page Web
dans un navigateur.
Transformer des images en liens permettant d’ouvrir
une autre diapositive, un document Keynote, une
page Web ou un courrier électronique. La petite flè-
che bleue (visible uniquement lorsque vous modifiez une diapositive) caractérise un lien hypertexte
sur lequel on peut cliquer.5
112
5 Ajout de mouvements dans
les diaporamas
Ce chapitre décrit les manières d’ajouter un intérêt visuel à
l’aide de transitions de diapositive et de compositions d’objet.
Après avoir créé et organisé vos diapositives, vous pouvez animer le texte et les objets
pour ajouter un intérêt visuel au diaporama.
 Les transitions ménagent des effets visuels lorsque vous passez d’une diapositive
à une autre.
 Les compositions d’objet animent des éléments des diapositives.
Ajout de transitions entre les diapositives
Keynote vous propose toute une variété de styles de transition.
Vous pouvez contrôler la durée d’une transition et spécifier le moment où elle commence (automatiquement ou sur un clic). Les transitions de diapositive se configurent
dans l’Inspecteur des diapositives.
Réglez la durée
de la transition.
Réglez le point de
démarrage des transitions en mode lecture
automatique.
Réglez la direction
de la transition.
Choisissez le mode de
démarrage de la transition.
Choisissez une transition.
Certaines transitions ont des
options supplémentaires.
Cliquez pour obtenir un
aperçu de la transition.
Le bouton Inspecteur des
diapositivesChapitre 5 Ajout de mouvements dans les diaporamas 113
Pour ajouter un effet de transition entre diapositives :
1 Sélectionnez une diapositive.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des diapositives.
3 Cliquez sur Transition.
4 Choisissez une option dans le menu local Effet.
Si la mention « Effets ne pouvant pas être lus sur cet ordinateur » apparaît, cela signifie
que les transitions énumérées ensuite nécessitent une carte graphique haut de gamme
dont vous ne disposez pas sur votre ordinateur.
5 Choisissez une option dans le menu local Direction (non applicable à tous les effets).
6 Pour modifier la durée de la transition, saisissez une valeur dans le champ Durée
(ou cliquez sur les flèches).
7 Choisissez une option dans le menu local Commencer la transition.
Au clic de souris : démarre la transition lorsque vous cliquez pour passer à la diapositive
suivante.
Automatiquement : démarre la transition après la durée spécifiée dans le champ Délai.
8 Si vous avez choisi un effet avec des options supplémentaires (comme Mosaïque,
Échange ou Fondu couleur), sélectionnez vos réglages.
Pour visualiser la transition, cliquez sur l’image dans la sous-fenêtre de transition
de l’Inspecteur des diapositives ou cliquez sur Lire dans la barre d’outils.
Si vous utilisez des transitions Cube ou Retournement : il se peut que ces transitions ne
soient pas complètement visibles si « Agrandir les diapos pour qu’elles occupent tout
l’écran » est sélectionné dans la sous-fenêtre Diaporama des préférences Keynote (sélectionnez Keynote Préférences puis cliquez sur Diaporama). Pour que ces transitions ne soient
pas rognées durant le diaporama, désélectionnez « Agrandir les diapos pour qu’elles occupent tout l’écran » ou choisissez l’une des deux options « Réduire les transitions pour
éviter le découpage » (voire les deux) dans la sous-fenêtre Diaporama.
Animation de diapositives avec des compositions d’objet
Les compositions d’objet permettent d’animer des éléments, individuellement ou
par groupes, dans une diapositive :
 Les effets Compo. entrante font entrer des éléments dans une diapositive.
 Les effets Compo. sortante font sortir des éléments hors d’une diapositive.
 Les compositions d’action animent des éléments d’une diapositive.
 Les compositions intelligentes sont des compositions d’action prédéfinies pour
l’animation d’images.114 Chapitre 5 Ajout de mouvements dans les diaporamas
Vous pouvez créer plusieurs compositions d’objet dans une même diapositive et appliquer
plusieurs compositions au même objet.
Vous pouvez, par exemple, afficher un texte à puces ligne par ligne. Vous pouvez afficher
une à une les différentes parties d’un graphique pour attirer l’attention de l’assistance ou
créer un effet de surprise. Vous pouvez faire apparaître de droite à gauche une image sur
une diapositive, puis la faire disparaître de gauche à droite.
Utilisation d’effets de composition pour faire apparaître et disparaître
des éléments dans des diapositives
Pour faire apparaître ou disparaître des éléments dans une diapositive, ouvrez la diapositive achevée (tous les éléments sont visibles), puis définissez une composition pour
chaque élément à afficher ou à masquer.
Pour déplacer automatiquement un objet dans ou en dehors d’une diapositive :
1 Dans une diapositive, sélectionnez l’objet à faire apparaître ou disparaître.
Cliquez en appuyant sur la touche Maj pour sélectionner plusieurs objets.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez sur le bouton Inspecteur
des compositions.
3 Pour faire entrer l’objet sélectionné dans la diapositive, cliquez sur Compo. entrante.
Pour faire sortir l’objet sélectionné de la diapositive, cliquez sur Compo. sortante.
Configurez la durée de
la composition.
Choisissez les éléments
à inclure.
Ouvrez le tiroir Ordre de
composition pour réordonner les compositions.
Configurez le type d’animation, le sens et l’ordre de la
version de chaque objet.
Construisez des objets
comme un tout ou en partie.
Le bouton Inspecteur
des compositions
Utilisez les animations Version entrante pour faire
entrer les éléments sur une
diapositive, et les animations Version sortante pour
déplacer les éléments horsdiapositive.
Donnez des temps individuels à des éléments ou
entrelacez-les.
Cliquez pour prévisualiser
la composition.Chapitre 5 Ajout de mouvements dans les diaporamas 115
4 Choisissez une option dans le menu local Effet.
Si vous appliquez l’effet à une composition intelligente : certaines compositions intelligentes
utilisent des effets pouvant également être employés pour déplacer les images sur ou en
dehors d’une diapositive. Si vous utilisez l’une de ces compositions intelligentes, vous verrez « Utiliser composition intelligente » dans le menu des effets. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Animation d’image à l’aide de compositions
intelligentes » à la page 119.
5 Pour changer la direction d’entrée ou de sortie de l’objet dans la diapositive, choisissez
une option dans le menu local Direction. (Tous les effets n’offrent pas cette option.)
6 Pour changer la composition de l’objet, soit en un bloc, soit par morceaux, choisissez
une option dans le menu local Apparition.
Les options disponibles dans le menu local Apparition dépendent de l’objet sélectionné.
Par exemple, pour un tableau, les options proposées comprennent la composition par
ligne et la composition par colonne ; les options de texte comprennent la composition
par paragraphe. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Animation de
types spécifiques d’objets » à la page 123.
7 Pour définir la durée d’affichage ou de masquage d’un objet (ou d’un élément d’objet),
saisissez une valeur dans le champ Durée (ou cliquez sur les flèches).
Pour définir différentes durées pour des éléments d’objets individuels, sélectionnez « Définir
des durées séparées pour les éléments ». Dans le tiroir Ordre de composition, sélectionnez
chaque élément, choisissez « Automatiquement » dans le menu local Lancer la composition, et saisissez une valeur dans le champ Retard.
8 Pour éviter la composition de certaines parties d’objets, choisissez des options autres
que Premier et Dernier dans le menu local « Composer à partir de ».
Pour visualiser la composition, cliquez sur l’image dans l’Inspecteur de composition
ou cliquez sur Lire dans la barre d’outils. Vous pouvez également afficher la composition d’un seul élément en cliquant dessus dans le tiroir Ordre de composition.
À propos des objets groupés : si vous groupez ou dissociez des objets pour lesquels
une composition est déjà définie, l’effet de composition est supprimé.
Après avoir défini une composition d’objets, vous pouvez également effectuer les opérations suivantes :
 Modifier l’ordre d’exécution des compositions. Reportez-vous à la rubrique
« Réorganisation de compositions d’objet » à la page 121.
 Indiquer le mode d’exécution de la composition : automatique (après une durée
indiquée) ou par un clic de souris. Reportez-vous à la rubrique « Activation des compositions d’objet » à la page 121.116 Chapitre 5 Ajout de mouvements dans les diaporamas
 Entrelacer les étapes de composition des différents objets. Reportez-vous à la rubrique
« Création de compositions qui s’entrelacent dans les parties d’un objet » à la page 122.
 Appliquer des compositions d’action pour déplacer ou modifier l’objet dans la diapositive. Reportez-vous aux deux prochaines rubriques pour plus d’instructions.
Vous pouvez créer une composition d’objet sur un modèle de diapositive de sorte que
les effets de composition figurent dans chaque diapositive utilisant ce modèle. Reportezvous à la rubrique « Définition des transitions par défaut » à la page 221 pour obtenir des
instructions complémentaires.
Animation d’objets sur des diapositives (compositions d’action)
Les compositions d’action permettent de déplacer des objets dans une diapositive.
Pour déplacer un objet à l’intérieur d’une diapositive :
1 Ouvrez l’Inspecteur des compositions (cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre
d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des compositions).
2 Cliquez sur Action.
3 Dans une diapositive, sélectionnez un objet (image, forme, zone de texte, graphique,
film ou d’autres fichiers de données, ou tableau).
4 Choisissez Déplacement dans le menu local Effet.
La ligne rouge, qui est alors connectée à une version « fantôme » (transparente) de
l’objet, indique la destination de l’objet.
Configurez la durée de la composition.
Cliquez pour prévisualiser la composition.
Utilisez les effets Action pour animer les élé-
ments d’une diapositive. Appliquez les effets
de mouvement, rétrécissement, agrandissement, fondu, rotation, etc. aux éléments.
Cliquez pour réorganiser des étapes
de composition.
Pour déplacer les compositions, convertissez un
chemin droit en chemin courbe ou inversement.
Cliquez pour ajouter un
autre chemin au mouvement de l’objet.
Réglez les effets
d’animation.
Le bouton Inspecteur des
compositionsChapitre 5 Ajout de mouvements dans les diaporamas 117
5 Pour modifier le mouvement, effectuez l’une des opérations suivantes :
Modifiez la direction ou la distance ; en vous aidant de la souris, décrivez la direction
ou la distance voulue pour l’objet en faisant glisser l’objet fantôme.
Modifiez la forme du chemin (de droite à courbe) en cliquant sur le bouton Chemin
approprié dans l’Inspecteur des compositions.
Modifiez la forme du chemin courbe en faisant glisser l’un de ses noeuds ou les poignées de
ses noeuds. Pour davantage de contrôle, cliquez sur un noeud (un point sur un chemin) et
faites glisser la poignée de celui-ci.
Contrôlez la vitesse et la nature du mouvement de l’objet en choisissant une option dans
le menu local Accélération dans l’Inspecteur des compositions.
Pour déplacer un chemin et ses objets de début et de fin, faites glisser le chemin. Vous pouvez
cliquer en appuyant sur la touche Maj pour sélectionner plusieurs chemins.
Ajoutez un noeud (point) à un chemin en maintenant la touche Option enfoncée lorsque
vous cliquez sur le chemin.
6 Pour déplacer l’objet le long d’un nouveau chemin, cliquez sur le bouton Ajouter un chemin en regard du dernier objet fantôme ou cliquez sur le bouton Ajouter une action dans
l’Inspecteur des compositions.
Utilisez ces poignées de
noeud pour redimensionner le chemin.
Pour ajouter un autre chemin pour
l’objet, cliquez sur le bouton Ajouter
un chemin (en regard du dernier
objet fantôme).118 Chapitre 5 Ajout de mouvements dans les diaporamas
7 Pour réorganiser les étapes de la composition d’action, cliquez sur Plus d’options et faites
glisser les compositions dans le tiroir Ordre de composition. (Pour plus d’informations,
reportez-vous à la rubrique « Réorganisation de compositions d’objet » à la page 121.)
Après qu’un objet et que tous ses chemins ont été désélectionnés, vous pouvez tous
les revoir en cliquant sur le bouton rouge Afficher le chemin, en regard de l’objet.
Effets de fondu, de rotation, d’agrandissement et de rétrécissement
Utilisez les compositions d’action pour faire pivoter les objets d’une diapositive
ou modifier leur opacité ou leur taille.
Pour modifier un objet à l’aide d’un effet de composition d’action :
1 Ouvrez l’Inspecteur des compositions (cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre
d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des compositions).
2 Cliquez sur Action.
3 Dans une diapositive, sélectionnez un objet (image, forme, zone de texte, graphique,
film ou autres fichiers de données, ou tableau).
L’objet commence à se
déplacer à partir d’ici.
Faites glisser un objet fantôme vers l’emplacement
où vous souhaitez que
s’arrête son déplacement.
Vous pouvez même déplacer des
objets hors de la diapositive.
Cliquez sur le bouton Afficher le chemin pour visualiser toutes les étapes
d’une composition d’action.Chapitre 5 Ajout de mouvements dans les diaporamas 119
4 Choisissez une option dans le menu local Effet, puis utilisez les commandes pour indiquer
l’apparence souhaitée pour l’objet après la transformation.
Pour appliquer l’effet de fondu à l’objet, choisissez Opacité dans le menu local Effet,
puis utilisez le curseur Opacité afin de définir l’opacité finale de l’objet.
Pour faire pivoter l’objet, choisissez Rotation dans le menu local Effet, puis utilisez les
commandes Direction et Accélération afin de définir la direction et la vitesse de rotation
de l’objet.
Pour rétrécir ou développer l’objet, choisissez Échelle dans le menu local Effet, puis utilisez les commandes Échelle afin de définir la taille finale de l’objet (200 % au maximum).
Animation d’image à l’aide de compositions intelligentes
Keynote propose des compositions prédéfinies que vous pouvez utiliser pour animer
une collection de photos et d’images. Ces animations sont appelées des compositions
intelligentes.
Pour configurer une composition intelligente :
1 Cliquez sur Compositions intelligentes dans la barre d’outils et choisissez une option.
Cliquez pour prévisualiser la composition.
Spécifiez quelles
photos inclure dans
la composition
Affichez des photos dont
certaines sont plus grandes que d’autres.
Réglez les effets
d’animation. Pour spécifier
comment aligner
des images :120 Chapitre 5 Ajout de mouvements dans les diaporamas
2 Faites glisser les images depuis la sous-fenêtre Photos du Navigateur de média (s’il
n’est pas ouvert, cliquez sur Média dans la barre d’outils) dans les rectangles de la
fenêtre photo de la composition intelligente.
Vous pouvez également faire glisser des photos et d’autres fichiers image à partir
du Finder.
3 Utilisez la fenêtre de photo de composition intelligente pour modifier la composition
intelligente de l’une des façons suivantes :
Pour réorganiser les images, faites-les glisser dans la fenêtre de photo Composition
intelligente.
Pour supprimer une photo de la composition, faites-la glisser hors de la fenêtre des photos ou sélectionnez-la et appuyez sur Supprimer.
Pour que toutes les photos aient la même taille, sélectionnez « Dimensionner les images
à la même taille ».
Pour utiliser des tailles relatives de photos, désélectionnez « Dimensionner les images
à la même taille ».
Certaines compositions intelligentes affichent des images dans deux états. Utilisez les
boutons de taille et le curseur Échelle pour spécifier la taille de l’image dans chaque état.
4 Utilisez la sous-fenêtre d’action de l’Inspecteur de composition pour modifier la composition intelligente de l’une des façons suivantes :
Pour modifier des réglages tels que la direction, l’alignement et la perspective, utilisez les
commandes de l’Inspecteur des compositions. (Les réglages disponibles dépendent de
l’effet que vous choisissez.)
Pour modifier la durée de la composition, tapez une valeur dans le champ Durée (ou cliquez sur les flèches).
Pour indiquer si vous souhaitez commencer une étape de composition automatiquement
ou d’un clic de souris , choisissez une option dans le menu local Lancer la composition
dans le tiroir Ordre de composition. (Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Activation des compositions d’objet » à la page 121.)
Certaines compositions
intelligentes affichent des
images dans deux états ;
utilisez ces boutons et le
curseur pour modifier la
taille de l’image dans
chaque état.
Sélectionnez pour que toutes les images présentent la
même taille. Désélectionnez
pour utiliser les tailles relatives aux photos.
Faites glisser les photos ici.Chapitre 5 Ajout de mouvements dans les diaporamas 121
Pour définir individuellement des minutages différents pour chaque photo, sélectionnez
« Définir des minutages séparés pour les éléments », puis dans le tiroir Ordre de composition, sélectionnez chaque photo et modifiez ses réglages.
Certaines compositions intelligentes utilisent des effets pouvant également déplacer
des images sur ou en dehors d’une diapositive. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation
d’effets de composition pour faire apparaître et disparaître des éléments dans des
diapositives » à la page 114.
Vous pouvez créer une composition d’action sur un modèle de diapositive de sorte que
les effets de composition figurent dans chaque diapositive utilisant ce modèle. Reportezvous à la rubrique « Définition des transitions par défaut » à la page 221 pour obtenir des
instructions complémentaires.
Réorganisation de compositions d’objet
Vous pouvez modifier l’ordre des compositions d’une diapositive. Par exemple, vous pouvez choisir de faire pénétrer ou de faire sortir un objet de l’écran avant qu’un autre y
pénètre. Vous pouvez également choisir de composer à des moments différents les diffé-
rentes parties d’un objet (l’une des puces d’une liste à puces, par exemple). (Pour plus
d’informations sur l’utilisation de parties d’objet, reportez-vous à la rubrique « Création de
compositions qui s’entrelacent dans les parties d’un objet » à la page 122.)
Voici les moyens de modifier l’ordre de composition :
m Si le tiroir Ordre de composition n’est pas ouvert, cliquez sur Plus d’options dans l’Inspecteur des compositions. Dans le tiroir Ordre de composition, faites glisser les éléments pour
modifier leur ordre dans la composition.
m Sélectionnez un objet dans le canevas de diapositive et sélectionnez une option dans
le menu local Ordre de l’inspecteur de composition.
Activation des compositions d’objet
Vous pouvez créer différents effets en spécifiant les conditions de lancement d’une
composition.
Pour modifier le moment où une composition est lancée :
1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez sur le bouton Inspecteur
des compositions.
2 Si le tiroir Ordre de composition n’est pas ouvert, cliquez sur Plus d’options dans l’Inspecteur des compositions.
3 Dans le tiroir Ordre de composition, sélectionnez un élément de la liste, puis choisissez
une option dans le menu local Lancer la composition.
L’étiquette rouge indique que la photo fait
partie d’une Composition intelligente.122 Chapitre 5 Ajout de mouvements dans les diaporamas
Au clic de souris : lance la composition lorsque vous cliquez avec la souris.
Auto. après composition [numéro] : lance la composition après la fin de la composition
précédente et à l’issue du délai indiqué dans le champ Délai.
Auto. avec composition [numéro] : lance deux compositions simultanément, à l’issue du
délai indiqué dans le champ Délai. Pour que les deux compositions aient lieu en même
temps, elles doivent se succéder dans la liste Ordre de composition.
Vous pouvez également intégrer plusieurs compositions d’objets dans un même objet
en les regroupant (voir « Regroupement et dissociation d’objets » à la page 86).
4 Si vous choisissez de lancer la composition automatiquement (et non par un clic de
souris), spécifiez la durée d’attente après la fin de la composition précédente en tapant
une valeur dans le champ Délai (ou en cliquant sur les flèches).
La valeur maximum du délai est de 60 secondes.
Création de compositions qui s’entrelacent dans les parties d’un objet
Après avoir défini des compositions dans une diapositive, vous pouvez définir les critères
de lancement de l’animation des effets Composition entrante et Composition sortante.
Vous pouvez par exemple configurer une composition qui place la première puce d’un
texte sur la diapositive, puis la première portion d’un graphique sectoriel, et ensuite la
deuxième puce. Vous pouvez en faire de même pour que les objets se déplacent en quittant la diapositive. Il est également possible d’indiquer un ensemble d’éléments à utiliser
dans une composition, comme uniquement les deuxième et troisième puces du texte.
Choisissez le mode de démarrage de la composition choisie.
Faites glisser les éléments
pour les réordonner.
Spécifiez la durée d’attente entre
la fin de la composition précé-
dente et le démarrage de la composition sélectionnée, pour les
compositions qui démarrent automatiquement.Chapitre 5 Ajout de mouvements dans les diaporamas 123
Pour entrelacer les parties d’un objet dans une composition :
1 Sélectionnez un objet dans le canevas de diapositive.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez sur le bouton Inspecteur
des compositions.
3 Dans la sous-fenêtre Composition entrante ou Composition sortante, choisissez une
option autre que « En une fois » dans le menu local Transmission.
Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Animation de types spécifiques
d’objets » (suivante).
4 Pour spécifier un sous-ensemble de parties à composer et non toutes les parties de
l’objet, utilisez les menus locaux « Composer à partir de » et « Composer jusqu’à ».
5 Sélectionnez l’option « Définir des minutages séparés pour les éléments ».
6 Dans le tiroir Ordre de composition, faites glisser les compositions dans l’ordre désiré.
Pour plus d’informations sur le lancement de compositions individuelles, reportez-vous
à la rubrique « Activation des compositions d’objet » à la page 121.
Animation de types spécifiques d’objets
Le texte, les tableaux, les graphiques et les séquences ont des options de composition
propres à chacun de ces types d’objet.
Création de compositions de texte
Vous pouvez composer du texte ligne par ligne, mot par mot ou caractère par caractère.
Vous pouvez créer des compositions de texte pour un corps de texte à puces ou sans
puces.
Pour configurer une composition de texte :
1 Sélectionnez le texte dans le canevas de diapositive pour lequel vous avez défini une
composition.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez sur le bouton Inspecteur
des compositions.
3 Dans la sous-fenêtre Composition entrante ou Composition sortante, choisissez une option
dans le menu local Transmission.
En une fois : déplace tout le texte de la zone de texte en même temps.
Par puce : déplace le texte puce par puce.
Par groupe de puces : déplace chaque puce et ses puces subordonnées en même temps.
Par puce mise en surbrillance : met en surbrillance chaque puce au fur et à mesure
qu’elle est déplacée, laissant ainsi en surbrillance uniquement la puce la plus récente.
Par paragraphe : pour les textes sans puces.124 Chapitre 5 Ajout de mouvements dans les diaporamas
Création de compositions de tableau
Vous pouvez faire apparaître ou disparaître un tableau de diapositive rang par rang,
colonne par colonne, entre autres.
Pour configurer une composition de tableau :
1 Sélectionnez un tableau dans le canevas de diapositive pour lequel vous avez défini
une composition.
2 Choisissez une option dans le menu local Transmission de la sous-fenêtre Composition
entrante ou Composition sortante dans l’Inspecteur des compositions.
En une fois : permet de déplacer le tableau tout entier comme un objet unique.
Par rang : permet de faire arriver le tableau sur l’écran rang par rang.
Par colonne : permet de faire arriver le tableau sur l’écran colonne par colonne.
Par cellule : permet de faire arriver le tableau sur l’écran cellule par cellule.
Par contenu de rang : permet de faire arriver tout le tableau vide sur l’écran, puis
d’insérer le contenu rang par rang.
Par contenu de colonne : permet de faire arriver tout le tableau vide sur l’écran, puis
d’insérer le contenu colonne par colonne.
Par contenu de cellule : permet de faire arriver tout le tableau vide sur l’écran, puis
d’y ajouter son contenu cellule par cellule.
Tous les éléments d’un tableau utilisent le même style de composition.
Création de compositions de graphique
Faites apparaître ou disparaître les graphiques barre par barre, portion par portion,
entre autres.
Pour configurer une composition de graphique :
1 Sélectionnez un graphique dans le canevas de diapositive pour lequel vous avez défini
une composition.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez sur le bouton Inspecteur
des compositions.
3 Dans la sous-fenêtre Composition entrante ou Composition sortante, choisissez une
option dans le menu local Transmission.
En une fois : permet de déplacer le graphique comme un objet unique.
Arr.-plan d’abord : permet de placer en premier lieu les axes du graphique, puis tous
les éléments de données (barres, lignes ou couches) à la fois.
Par séries : permet de placer les axes du graphique puis les éléments de données,
une série complète après l’autre.
Par groupe : permet de placer les axes du graphique puis les éléments de données,
un groupe complet après l’autre.Chapitre 5 Ajout de mouvements dans les diaporamas 125
Par élém. de séries : permet de placer les axes du graphique puis chaque élément
de données distinct, une série après l’autre.
Par élém. de groupe : permet de placer les axes du graphique puis chaque élément
de données distinct, un groupe après l’autre.
Tous les éléments d’un graphique (à l’exception de la légende) utilisent le même style
de composition.
Il est possible d’attribuer un style et un ordre de composition à une légende de graphique.
Pour que la légende accompagne le graphique, reliez-la au graphique avant de configurer
le style de composition de ce dernier (consultez la rubrique « Regroupement et dissociation d’objets » à la page 86).
Création de compositions de séquence
Vous avez la possibilité de demander le lancement ou l’arrêt d’une séquence quand
une diapositive est affichée.
Pour configurer une composition de séquence :
1 Sélectionnez une séquence dans le canevas de diapositive.
2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez sur le bouton Inspecteur
des compositions.
3 Cliquez sur Composition entrante, puis choisissez Démarrer la séquence dans le menu local.
La lecture du film commence lorsque la composition se produit.
4 Pour arrêter la séquence, choisissez Arrêter la séquence dans le menu local Effet.
La lecture du film s’arrête lorsque la composition se produit.
Suppression de compositions d’objet
Vous pouvez supprimer des compositions d’objet à l’aide de l’Inspecteur des compositions.
Voici comment supprimer une composition d’objet :
m Si le tiroir Ordre de composition n’est pas ouvert, cliquez sur Plus d’options dans l’Inspecteur des compositions. Dans le tiroir Ordre de composition, sélectionnez la composition
à supprimer, puis appuyez sur Supprimer.
m Sélectionnez l’élément dont vous souhaitez supprimer l’effet, puis choisissez Aucun
dans le menu local Effet de l’Inspecteur des compositions.6
126
6 Utilisation de tableaux
Ce chapitre vous explique comment ajouter et mettre
en forme des tableaux et des valeurs de cellule.
Pour plus d’informations sur l’utilisation de formules dans les cellules d’un tableau, consultez le chapitre 7, « Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux, » à la page 150.
À propos des tableaux
Les tableaux vous aident à organiser, analyser et présenter des données.
Keynote offre un large éventail d’options permettant de créer et de mettre en forme
des tableaux et de gérer des valeurs de différents types. Vous pouvez également utiliser des opérations spéciales telles que le tri ou le formatage conditionnel (technique
permettant de contrôler automatiquement les valeurs d’une cellule).
 La rubrique « Utilisation de tableaux » à la page 127 vous apprend à ajouter des
tableaux, à les redimensionner, à les déplacer, à les nommer, etc.
 La rubrique « Sélection de tableaux et de leurs composants » à la page 131 décrit
comment sélectionner des tableaux, des colonnes et d’autres éléments de tableaux
afin de travailler avec.
 La rubrique « Utilisation du contenu des cellules d’un tableau » à la page 134 vous indique comment ajouter du texte, des chiffres, des dates, des images et tout autre contenu
dans les cellules d’un tableau et vous explique comment contrôler automatiquement
les valeurs d’une cellule.
 La rubrique « Utilisation des rangs et des colonnes » à la page 143 traite de l’ajout
de rangs et de colonnes, de leur redimensionnement, etc.
 La rubrique « Utilisation des cellules d’un tableau » à la page 146 contient des instructions relatives à la division, à la fusion, à la copie et au déplacement des cellules et
vous indique comment mettre en forme les bordures des cellules.
 « Tri des cellules d’un tableau » à la page 149 explique comment trier les rangs. Chapitre 6 Utilisation de tableaux 127
Utilisation de tableaux
Vous disposez d’une grande variété de techniques permettant de créer des tableaux
et d’en gérer les caractéristiques, la taille et l’emplacement.
Ajout d’un tableau
Ajoutez un tableau lorsque vous souhaitez organiser vos informations ou comparer des
ensembles de données. Une fois le tableau terminé, vous pouvez créer des animations
de diapositives intéressantes dans lesquelles des éléments du tableau apparaissent cellule par cellule, rang par rang ou colonne par colonne.
Il existe plusieurs manières d’ajouter un tableau :
m Cliquez sur Tableau dans la barre d’outils (ou choisissez Insertion > Tableau).
m Pour dessiner un tableau sur le canevas, maintenez la touche Option enfoncée tout en cliquant sur Tableau dans la barre d’outils. Relâchez la touche Option et déplacez le pointeur
au-dessus du canevas jusqu’à ce qu’il se transforme en viseur. Faites-le glisser à travers le
canevas pour créer un tableau de la taille souhaitée. Lorsque vous faites glisser le pointeur,
le nombre de rangs et de colonnes augmente ou diminue avec la taille du tableau. Pour
redimensionner le tableau à partir du centre, appuyez sur la touche Option tout en faisant
glisser la souris.
m Pour créer un tableau sur la base d’une ou de plusieurs cellules adjacentes d’un tableau
existant, sélectionnez la ou les cellule(s), cliquez sur la sélection et maintenez le bouton
de la souris enfoncé tout en faisant glisser la sélection vers le canevas. Les valeurs des
cellules du tableau original sont conservées.
Consultez la rubrique « Sélection de tableaux et de leurs composants » à la page 131
pour en savoir plus sur les techniques de sélection des cellules.128 Chapitre 6 Utilisation de tableaux
Utilisation des outils de tableau
Vous pouvez mettre en forme un tableau et ses colonnes, rangées, cellules à l’aide de divers
outils Keynote.
Voici plusieurs manières de gérer les caractéristiques d’un tableau :
m Utilisez la sous fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux pour contrôler de manière très
précise la largeur des colonnes et la hauteur des rangs, pour ajouter des en-têtes et des
pieds de page, mettre en forme les bordures, etc. Pour ouvrir l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez ensuite sur le bouton Inspecteur des
tableaux.
m Utilisez la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux pour mettre en forme
les valeurs des cellules. Par exemple, vous pouvez afficher un symbole de devise dans
les cellules contenant des valeurs monétaires.
Sélectionnez puis redimensionnez les rangs
pour afficher le contenu.
Spécifiez le nombre de
rangs et de colonnes
d’un tableau.
Ajoutez ou supprimez des
rangs ou des colonnes, fusionnez des cellules, divisez des
rangs ou des colonnes.
Spécifiez la largeur des
colonnes et la hauteur
des rangs.
Le bouton Inspecteur des tableaux
Ajoutez des rangs et des
colonnes spécialement
formatés.
Donnez une couleur différente
tous les deux rangs.
Ajoutez une couleur ou
une image à une cellule.
Réglez les attributs des étiquettes, des marques de
graduation, etc.Chapitre 6 Utilisation de tableaux 129
La sous-fenêtre Format vous permet également de configurer le formatage conditionnel. Par exemple, une cellule peut prendre la couleur rouge lorsque sa valeur excède
un certain chiffre.
m Utilisez l’Inspecteur des graphismes pour créer des effets visuels spéciaux, comme des
ombres et des reflets. Pour ouvrir l’Inspecteur des graphismes, cliquez sur Inspecteur
dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes.
m Pour accéder au menu local, sélectionnez un tableau ou une ou plusieurs cellule(s) puis
cliquez à nouveau tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée.
Vous pouvez également utiliser les menus locaux Modifier les rangs et les colonnes
de l’Inspecteur des tableaux.
m Utilisez l’Éditeur de formules pour ajouter et modifier des formules. Reportez-vous
à la rubrique « Utilisation de l’Éditeur de formules » à la page 153 pour en savoir plus.
m Utilisez le Navigateur de formules pour ajouter et modifier des fonctions. Reportez-vous
à la rubrique « Utilisation des fonctions » à la page 160 pour en savoir plus.
Définir le format d’affichage de valeurs issues des
cellules sélectionnées.
Utiliser la couleur pour
mettre en surbrillance les
cellules dont les valeurs
obéissent à des règles
que vous spécifiez.
Cocher la case pour
renvoyer le texte à la
ligne dans les cellules
sélectionnées.130 Chapitre 6 Utilisation de tableaux
Redimensionnement d’un tableau
Vous pouvez agrandir ou réduire la taille d’un tableau en faisant glisser l’une de ses
poignées de sélection ou à l’aide de l’Inspecteur des mesures. Vous pouvez également
modifier la taille d’un tableau en redimensionnant ses colonnes et ses rangs.
Avant de redimensionner un tableau, vous devez le sélectionner, comme le décrit la rubrique « Sélection d’un tableau » à la page 131.
Voici plusieurs manières de redimensionner un tableau sélectionné :
m Faites glisser l’une des poignées de sélection carrés qui s’affiche lorsque vous sélectionnez
un tableau.
Pour conserver les proportions du tableau, maintenez la touche Maj enfoncée pendant
que vous redimensionnez le tableau.
Pour redimensionner le tableau à partir de son centre, maintenez la touche Option
enfoncée pendant que vous le faites glisser.
Pour redimensionner un tableau dans une direction, faites-glisser une poignée latérale
au lieu d’une poignée d’angle.
m Pour redimensionner en spécifiant des dimensions exactes, sélectionnez un tableau ou
une cellule de tableau dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures puis sur Mesures. Cette sous-fenêtre vous permet de spécifier de nouvelles valeurs
de largeur et de hauteur, de modifier les distances entre le tableau et les marges et de
contrôler l’angle de rotation.
m Pour redimensionner un tableau en réglant les dimensions des rangs et des colonnes,
reportez-vous à la rubrique « Redimensionnement de rangs et de colonnes de tableaux »
à la page 145.
Déplacement de tableaux
Vous pouvez déplacer un tableau en le faisant glisser, ou vous pouvez le changer d’emplacement à l’aide de l’Inspecteur des mesures.
Voici quelques moyens de déplacer un tableau :
m Sélectionnez le tableau, cliquez avec le bouton de la souris à un endroit quelconque
du tableau et maintenez le bouton enfoncé, puis faites-le glisser.
m Maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous faites glisser le tableau afin
d’imposer un mouvement horizontal, vertical ou à 45 degrés.Chapitre 6 Utilisation de tableaux 131
m Pour déplacer un tableau avec plus de précision, cliquez sur une cellule, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures, puis utilisez
les champs Position pour déplacer le tableau.
m Pour copier un tableau et déplacer la copie, maintenez la touche Option enfoncée,
cliquez et restez au bord d’un tableau non sélectionné puis faites-le glisser.
Copie de tableaux entre des applications iWork
Vous pouvez copier un tableau d’une application iWork à l’autre.
Un tableau créé dans Nombres et placé dans une autre application conservera son
apparence, ses données et d’autres attributs mais certaines fonctions Nombres ne
sont pas prises en charge dans les autres applications.
Pour copier un tableau d’une application iWork à l’autre :
1 Sélectionnez le tableau à copier, comme le décrit la rubrique « Sélection d’un tableau »
à la page 131.
2 Cliquez sur Édition > Copier.
3 Dans l’autre application, créez un point d’insertion pour le tableau copié, puis choisissez
Édition > Coller.
Sélection de tableaux et de leurs composants
Vous devez sélectionner les tableaux, les rangs, les colonnes, les cellules de tableau
et les bordures de cellule de tableau avant de les utiliser.
Sélection d’un tableau
Lorsque vous sélectionnez un tableau, des poignées de sélection apparaissent sur
les bords de celui-ci.
Voici quelques manières de sélectionner un tableau :
m Si aucune cellule n’est sélectionnée, cliquez n’importe où dans le tableau.
m Si une cellule du tableau est sélectionnée, appuyez sur la combinaison de touches
Commande + Retour, ou cliquez en dehors du tableau, puis cliquez à n’importe quel
endroit dans le tableau.132 Chapitre 6 Utilisation de tableaux
Sélection d’une cellule unique d’un tableau
Lorsque vous sélectionnez une cellule, la bordure de cette cellule est mise en surbrillance.
Pour sélectionner une cellule unique d’un tableau :
m Sélectionnez le tableau, puis cliquez sur la cellule.
Lorsque vous sélectionnez une cellule, vous pouvez en sélectionner une autre
de la manière suivante.
Sélection d’un groupe de cellules de tableau
Vous pouvez sélectionner plusieurs cellules, qu’elles soient adjacentes ou non.
Voici différentes manières de sélectionner un groupe de cellules :
m Pour sélectionner des cellules de tableau adjacentes, sélectionnez une cellule unique,
puis maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous sélectionnez les cellules
adjacentes.
Vous pouvez également cliquer sur une cellule, puis faire glisser le curseur sur plusieurs
cellules tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé.
m Pour sélectionner des cellules non adjacentes d’un tableau, maintenez la touche Commande enfoncée pendant que vous sélectionnez les cellules. Utilisez la touche Commande
tout en cliquant sur la cellule d’un groupe pour la désélectionner.
Sélection d’un rang ou d’une colonne
Le moyen le plus rapide de sélectionner tous les rangs et toutes les colonnes d’un
tableau consiste à utiliser l’Inspecteur des tableaux.
Voici différentes manières de sélectionner des rangs et des colonnes :
m Pour sélectionner un rang ou une colonne unique, choisissez Sélectionner le rang ou
Sélectionner la colonne dans le menu local Modifier les rangs et les colonnes de l’Inspecteur des tableaux.
Vous pouvez également utiliser les techniques décrites à la rubrique « Sélection d’un
groupe de cellules de tableau » à la page 132.
Pour sélectionner Appuyez sur
La cellule suivante sur la droite Tab
Si vous appuyez sur la touche de tabulation dans la dernière
colonne, la première cellule du rang suivant est sélectionnée.
Si vous appuyez sur la touche de tabulation dans la dernière
cellule, un nouveau rang est ajouté (sur lequel la première cellule
est sélectionnée).
La cellule suivante sur la gauche Maj + Tab
La cellule suivante du dessous Flèche vers le bas
La cellule suivante au dessus Flèche vers le hautChapitre 6 Utilisation de tableaux 133
m Pour sélectionner plusieurs rangs, sélectionnez deux cellules adjacentes verticalement
ou plus avant de cliquer sur Sélectionner le rang.
m Pour sélectionner plusieurs colonnes, sélectionnez deux cellules adjacentes horizontalement ou plus avant de cliquer sur Sélectionner la colonne.
Sélection des bordures des cellules d’un tableau
Sélectionnez les bordures d’une cellule lorsque vous souhaitez mettre en forme un ou plusieurs segments des bordures.
Voici plusieurs manières de sélectionner les bordures et les segments de bordure:
m Pour sélectionner des bordures spécifiques pour des cellules multiples : sélectionnez le tableau,
le rang, la colonne ou les cellules puis cliquez sur l’un des boutons de Bordures de Cellule
dans l’Inspecteur des tableaux.
m Pour sélectionner une bordure : si le tableau est sélectionné, cliquez sur la bordure.
Si le tableau n’est pas sélectionné, double-cliquez sur la bordure.
m Pour sélectionner le segment d’une bordure : si le tableau n’est pas sélectionné, double-cliquez sur la bordure. Si le tableau n’est pas sélectionné, cliquez trois fois sur le segment.
Pour sélectionner (ou désélectionner) des segments supplémentaires, appuyez sur les
touches Commande ou Maj lorsque vous cliquez.
Lorsqu’une bordure de tableau est sélectionnée, en cliquant sur une autre bordure
vous pourrez sélectionner la bordure. En cliquant sur la même bordure, vous pourrez
sélectionner un segment.
Lorsqu’un segment est sélectionné, en cliquant sur un autre segment vous pourrez
sélectionner le segment. En cliquant sur le même segment, vous pourrez sélectionner
une bordure.
Lorsqu’une cellule, une bordure ou un segment est sélectionné(e), le pointeur semble
être à cheval sur la bordure ou le segment. Vous pouvez faire glisser ces pointeurs pour
déplacer une bordure.
Le pointeur sur un segment ou une bordure
horizontale.
Le pointeur sur un
segment vertical.134 Chapitre 6 Utilisation de tableaux
Utilisation du contenu des cellules d’un tableau
Vous pouvez ajouter du texte, des chiffres et des dates dans les cellules d’un tableau, et
vous pouvez mettre en forme les valeurs de ces cellules. Vous pouvez également ajouter
des images et une couleur d’arrière-plan, ainsi que des cases à cocher, des curseurs et
d’autres contrôles. De plus, la fonction de remplissage automatique vous permet d’utiliser
le contenu d’une cellule pour ajouter automatiquement des valeurs aux cellules adjacentes.
Ajout et modification de valeurs de cellule
Vous pouvez ajouter, modifier et supprimer le contenu des cellules.
Voici différentes façons d’ajouter et de modifier les valeurs :
m Si la cellule est vide, sélectionnez-la puis tapez une valeur. Reportez-vous à la rubrique
« Sélection d’une cellule unique d’un tableau » à la page 132 pour savoir comment
sélectionner les cellules.
m Pour remplacer un contenu spécifique existant dans une cellule, sélectionnez la cellule
et sélectionnez le contenu que vous souhaitez remplacer en double-cliquant dessus
tout en appuyant sur la touche Maj, et sélectionnez plus de contenu si vous souhaitez
en remplacer plus. Tapez du texte pour remplacer le contenu sélectionné.
m Pour tout remplacer dans la cellule, sélectionnez cette dernière et procédez à la saisie.
Vous pouvez également sélectionner la cellule, puis appuyer sur la touche Retour
ou Entrée, qui sélectionne tout le contenu de la cellule, puis procéder à la saisie.
m Pour insérer du contenu dans du contenu existant, sélectionnez la cellule, cliquez pour
définir le point d’insertion et procédez à la saisie.
m Pour supprimer le contenu des cellules, des rangs ou des colonnes d’un tableau, sélectionnez les cellules, les rangs ou les colonnes, puis appuyez sur la touche Suppr ou choisissez
Édition > Supprimer.
Pour supprimer le contenu, le remplissage d’arrière-plan et tous les réglages de style,
choisissez Édition > Tout effacer. Le style par défaut est alors appliqué à la sélection.
m Pour copier, coller et déplacer les valeurs de cellules, suivez les instructions de la rubrique
« Copie et déplacement de cellules » à la page 148
m Pour ajouter des formules et des fonctions aux cellules, consultez les instructions des
rubriques « Utilisation des formules » à la page 150 et « Utilisation des fonctions » à la
page 160.Chapitre 6 Utilisation de tableaux 135
Utilisation de texte dans les cellules
Vous pouvez contrôler la mise en forme et l’alignement du texte dans les cellules d’un
tableau. Vous pouvez également utiliser les fonctions Rechercher/Remplacer et le correcteur orthographique.
Voici quelques techniques pour utiliser du texte dans les cellules d’un tableau :
m Pour insérer un saut de ligne, appuyez sur la touche Retour ou appuyez simultanément
sur les touches Option + Retour.
m Pour insérer une tabulation dans un tableau, appuyez simultanément sur la touche
Option et sur la touche de tabulation.
m Pour contrôler la couleur, l’alignement et l’espacement du texte dans une cellule, utilisez
l’Inspecteur du texte (cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte).
m Pour contrôler les attributs de police, utilisez le panneau Police (cliquez sur Polices
dans la barre d’outils).
m Pour vérifier l’orthographe, suivez les instructions de la rubrique « Vérification de
l’orthographe » à la page 72.
m Pour effectuer une recherche et un remplacement éventuel de texte dans les cellules, suivez les instructions de la rubrique « Recherche et remplacement de texte » à la page 74.
m Pour éviter que Keynote interprète votre saisie comme un nombre, placez une apostrophe
devant la chaîne de texte.
Utilisation de nombres dans les cellules
Certaines opérations du tableau, telles que les formules et les fonctions qui effectuent
des opérations mathématiques, dépendent des cellules qui contiennent des valeurs
numériques.
Voici quelques techniques pour utiliser les nombres dans les cellules d’un tableau :
m Dans une cellule numérique, vous devez utiliser uniquement des chiffres compris entre
0 et 9 ou l’un des caractères suivants : +, –, (, ), /, $, %, un point, E ou e.
m Vous pouvez taper certains caractères (tels que %) dans une cellule, ou utiliser un format de
cellule, tel que décrit à la rubrique « Mise en forme des valeurs de cellule » à la page 137.
m Pour spécifier un nombre négatif, faites-le précéder du signe moins (–).136 Chapitre 6 Utilisation de tableaux
Lorsque vous saisissez dans une cellule de tableau un nombre qui est trop long pour
s’afficher en entier, Keynote le convertit :
 Lorsqu’un nombre décimal ne tient pas dans une cellule, le nombre est arrondi.
Par exemple, 1.77777777777777777777 devient ainsi 1.77777777777778.
 Lorsqu’un nombre entier ne tient pas dans une cellule, celui-ci est affiché en notation scientifique. Par exemple, 77777777777777777777 devient ainsi 7.777778E+19.
La notation scientifique consiste à présenter les nombres sous la forme d’un nombre
décimal affecté d’un facteur multiplicateur qui est une puissance de 10. La valeur de
cette puissance figure à la suite du symbole E.
Si le nombre ainsi converti ne tient toujours pas dans la cellule, il est tronqué. Pour
obtenir des suggestions, consultez la rubrique « Affichage d’un contenu trop long
pour la cellule » à la page 136.
Les instructions d’utilisation des formules et des fonctions dans les cellules d’un tableau
se trouvent dans les rubriques « Utilisation des formules » à la page 150 et « Utilisation
des fonctions » à la page 160.
Utilisation de dates dans les cellules
Sauf si une cellule est déjà au format date et heure, lorsque vous saisissez une valeur
qui peut être interprétée comme une date ou une heure, Keynote la reformate automatiquement.
Par exemple, si vous tapez 1/22/45 ou 1-22-45 dans la cellule d’un tableau avec le format
de cellule automatique, la valeur devient alors Jan 22, 2045 lorsque vous quittez la cellule.
Si vous saisissez la valeur d’une année sur 2 chiffres et que celle-ci est supérieure ou égale
à 50Keynote ajoute le préfixe « 19 » ; sinon, Keynote ajoute le préfixe « 20 ».
De plus, si vous tapez . 12 pm, la valeur devient 12:00 PM .Vous pouvez cependant modifier la valeur en cas de besoin.
Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Utilisation du format Date et heure »
à la page 140.
Affichage d’un contenu trop long pour la cellule
Lorsqu’une cellule est trop petite pour afficher tout son contenu, un indicateur
de découpage (petit signe plus dans le coin inférieur droit de la cellule) apparaît.
Vous pouvez élargir la cellule afin qu’elle puisse afficher plus de données ou vous pouvez
laisser le contenu déborder sur les cellules vides adjacentes.
L’indicateur de découpage apparaît
lorsqu’une cellule d’un tableau contient
plus de texte qu’elle ne peut en afficher.Chapitre 6 Utilisation de tableaux 137
Pour éviter le découpage ou le débordement, vous pouvez configurer un tableau de
manière que ses cellules rétrécissent ou s’agrandissent automatiquement en hauteur en
fonction du contenu, en sélectionnant l’option « Ajuster automatiquement au contenu »
dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
Voici quelques moyens de régler les problèmes liés au contenu trop volumineux
pour tenir dans une cellule :
m Pour laisser le contenu d’une cellule déborder sur les cellules adjacentes, désélectionnez
« Ajuster le texte » dans la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux, et désélectionnez « Ajuster automatiquement au contenu » dans la sous-fenêtre Tableau.
Si les cellules adjacentes sont vides, elles affichent le contenu qui déborde. Par contre,
si elles contiennent des données, le surplus de contenu n’est pas affiché et l’indicateur
de découpage apparaît.
m Pour ajuster le contenu au lieu de le laisser déborder, sélectionnez « Ajuster le texte »
dans l’Inspecteur des cellules.
m Pour redimensionner une colonne afin d’afficher toutes les valeurs d’une cellule particulière, cliquez sur la bordure droite de celle-ci et faites-la glisser vers la droite, ou utilisez les
commandes Largeur de colonne de la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
m Pour redimensionner un rang afin d’afficher toutes les valeurs d’une cellule particulière,
cliquez sur sa bordure du bas et faites-la glisser vers le bas, ou utilisez les contrôles Hauteur
de rang de l’Inspecteur des tableaux.
Mise en forme des valeurs de cellule
Vous pouvez appliquer une mise en forme à une cellule afin que sa valeur s’affiche d’une
manière particulière. Par exemple, vous pouvez mettre en forme les cellules qui contiennent des valeurs monétaires afin qu’un symbole monétaire (tel que $, £ ou ¥) apparaisse
avant les nombres qu’elles contiennent.
Si vous utilisez un format de cellule, vous ne définissez que les caractéristiques d’affichage
d’une valeur. Si la valeur est utilisée dans des formules, c’est la valeur actuelle qui est utilisée et non la valeur formatée. La seule exception est la suivante : s’il y a trop de chiffres
après une virgule, le nombre est arrondi.
Vous pouvez définir des formats de cellule à l’aide du menu local Format de cellule de
la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux. Pour afficher les valeurs de cellules
exactement comme vous les tapez, choisissez Automatique dans le menu local ; sinon,
choisissez l’élément qui applique la mise en forme souhaitée.138 Chapitre 6 Utilisation de tableaux
Voici quelques moyens d’utiliser les formats de cellule :
m Pour ajouter une valeur dans une cellule vide associée à un format, sélectionnez la cellule
et saisissez une valeur. Le format est appliqué lorsque vous quittez la cellule.
m Pour appliquer un format de cellule à une valeur existante, sélectionnez une ou plusieurs
cellules contenant des valeurs. Utilisez la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux
pour définir un format de cellule. Le format que vous définissez est alors appliqué aux
valeurs des cellules sélectionnées.
m Pour supprimer le format d’une cellule, sélectionnez celle-ci, puis choisissez Automatique
dans le menu local Format de la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux. La valeur
reste, mais la mise en forme est supprimée.
m Si vous supprimez une valeur d’une cellule associée à un format, celui-ci n’est pas supprimé. Pour supprimer le format, choisissez Automatique dans le menu local Format
de la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux.
m Une fois le format d’une cellule défini, vous pouvez l’associer à plusieurs cellules grâce
au remplissage automatique. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage automatique
des cellules d’un tableau » à la page 143 pour en connaître les instructions.
Utilisation du format numérique
Utilisez le format numérique pour mettre en forme l’affichage du nombre de chiffres
après la virgule, des séparateurs de milliers et des valeurs négatives.
Pour définir le format des nombres d’une ou de plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des tableaux.
3 Choisissez Nombre dans le menu local Format.
4 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales.
Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est mise
en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la
forme 3.46 et non pas 3.45.
5 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local
adjacent au champ Décimales.
6 Pour spécifier s’il faut utiliser ou non un séparateur des milliers, sélectionnez Séparateur
de milliers.Chapitre 6 Utilisation de tableaux 139
Utilisation du format monétaire
Utilisez le format monétaire pour mettre en forme l’affichage des valeurs monétaires.
Pour définir un format monétaire pour une ou plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des tableaux.
3 Choisissez Monnaie dans le menu local Format.
4 Pour spécifier un symbole monétaire, choisissez une option dans le menu local Symbole.
5 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales.
Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est mise
en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la
forme 3.46 et non pas 3.45.
6 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local
adjacent au champ Décimales.
7 Pour spécifier s’il faut utiliser ou non un séparateur des milliers, sélectionnez Séparateur
de milliers.
8 Pour afficher le symbole d’une monnaie sur le bord d’une cellule, sélectionnez Style
de comptabilité.
Utilisation du format Pourcentage
Utilisez le format Pourcentage pour afficher des valeurs numériques suivies du symbole %.
Si la valeur est utilisée dans une formule, sa version décimale est utilisée. Par exemple,
une valeur affichant 3 % est utilisée comme 0,03 dans une formule.
Si vous tapez 3 % dans une cellule formatée à l’aide du format automatique et que vous
appliquez le format de pourcentage à la cellule, la valeur affichée est 3 %. Cependant, si
vous tapez 3 dans une cellule formatée à l’aide du format automatique et que vous appliquez le format de pourcentage à la cellule, la valeur affichée est 300 %.
Pour définir un format de pourcentage pour une ou plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Format.
3 Choisissez Pourcentage dans le menu local Format.
4 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales.
Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est mise
en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la
forme 3.46 et non pas 3.45.140 Chapitre 6 Utilisation de tableaux
5 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local
adjacent au champ Décimales.
6 Pour spécifier s’il faut utiliser ou non un séparateur des milliers, sélectionnez Séparateur
de milliers.
Si la cellule que vous mettez en forme contient déjà une valeur, la valeur est considérée
comme un nombre décimal et convertie en pourcentage. Par exemple, 3 devient 300%.
Utilisation du format Date et heure
Utilisez le format Date et heure pour afficher des valeurs de date et/ou d’heure.
Pour définir le format de date et d’heure pour une ou plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Format.
3 Choisissez Date et heure dans le menu local Format.
4 Pour spécifier la mise en forme de la date, choisissez un format dans le menu local Date.
5 Pour spécifier la mise en forme de l’heure, choisissez un format dans le menu local Heure.
Utilisation du format Fraction
Utilisez le format de fraction pour contrôler l’affichage des valeurs inférieures à 1. Par exemple, 27.5 s’affiche sous la forme 27 1/2 lorsque le format est en moitié et sous la forme 27 4/8
lorsque le format est en huitième.
Pour définir un format de fraction pour les cellules sélectionnées :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Format.
3 Choisissez Fraction dans le menu local Format de cellule.
4 Choisissez un format d’affichage dans le menu local Précision.
Utilisation du format Scientifique
Le format de notation scientifique permet de présenter les nombres sous la forme d’un
nombre décimal affecté d’un facteur multiplicateur qui est une puissance de 10. La valeur
de cette puissance figure à la suite du symbole E. Par exemple, la valeur 5,00 en format
scientifique est affichée sous la forme 5,00E0. De même, la valeur 12345 s’affiche
comme 1,2345E4.Chapitre 6 Utilisation de tableaux 141
Pour définir un format scientifique pour une ou plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Format.
3 Choisissez Scientifique dans le menu local Format de cellule.
4 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales.
Utilisation du format Texte
Utilisez le format Texte lorsque vous souhaitez que l’intégralité du contenu d’une cellule
soit traitée comme du texte, même s’il s’agit d’un nombre.
Pour définir un format texte pour une ou plusieurs cellules :
1 Sélectionnez la ou les cellules.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des tableaux et enfin sur Format.
3 Choisissez Texte dans le menu local Format de cellule.
Contrôle des valeurs de cellule
Keynote peut modifier la couleur de remplissage ou celle du texte d’une cellule si son
contenu présente des conditions particulières.
Vous pouvez définir des règles simples qui testent la condition, puis modifient la couleur
du remplissage et/ou du texte si la condition est remplie. Par exemple, vous pouvez définir une règle qui applique la couleur bleue à une cellule si celle-ci contient une valeur
spécifique et une autre règle qui applique la couleur verte à la cellule si celle-ci contient
une autre valeur. Vous pouvez également définir une règle qui applique la couleur rouge
à une cellule lorsque celle-ci est un doublon dans un groupe de cellules ou la couleur violette si la valeur dépasse la moyenne des valeurs du groupe de cellules.
Vous pouvez appliquer ce type de règle à une cellule unique ou à une plage de cellules.
Les règles appliquées à plusieurs cellules déclenchent le changement de couleur si au
moins une des cellules remplit la condition de la règle.
Pour définir des règles :
1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des tableaux.
3 Cliquez sur Format.
4 Sélectionnez Format conditionnel, puis cliquez sur Afficher les règles.
5 Sélectionnez « Mettre les cellules en surbrillance en suivant les règles suivantes ».
6 Choisissez une condition dans le menu local « Choisir une règle ». 142 Chapitre 6 Utilisation de tableaux
Les conditions qui figurent dans la section supérieure du menu effectuent les tests sur
des valeurs numériques. Les conditions applicables aux valeurs de texte s’affichent dans
la section au centre de la liste ; les conditions de date se trouvent en bas.
À noter que la condition Entre nécessite la saisie de deux nombres. Cette condition est
remplie si l’un des deux nombres ou n’importe quel nombre se trouvant entre ces deux
nombres apparaît dans la ou les cellule(s).
7 Fournissez les informations supplémentaires nécessaires pour définir une condition
particulière à tester.
8 Sélectionnez Couleur de remplissage et/ou Couleur du texte, puis cliquez sur les cadres
de couleur (consultez la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 88)
pour définir les couleurs de l’arrière-plan et des valeurs à appliquer à la cellule si la
condition est remplie.
9 Pour ajouter une autre règle, cliquez sur + et répétez les étapes 6 à 8.
Si plusieurs règles sont définies pour une cellule et que le contenu de la cellule remplit
les conditions de plusieurs règles, les couleurs associées à la règle la plus haute dans la
liste des règles sont appliquées à la cellule.
Pour cesser d’utiliser une règle, cliquez sur le bouton - pour supprimer la règle ou désé-
lectionnez l’option Couleur de remplissage et Couleur du texte pour désactiver la règle.
Pour ne plus utiliser une liste de règles, décochez « Mettre les cellules en surbrillance en
suivant les règles suivantes ».
Ajout d’images et de couleurs aux cellules
Vous pouvez ajouter des graphismes ou des couleurs à certaines cellules ou à l’ensemble
du tableau.
Pour ajouter une image ou une couleur à une cellule de tableau :
1 Sélectionnez la cellule.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’Inspecteur des tableaux.
3 Pour ajouter une image, choisissez Remplissage image dans le menu local Arrière-plan.
Reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’objet avec une image » à la page 89 pour
en connaître les instructions.
4 Pour ajouter une couleur d’arrière-plan, choisissez Remplissage couleur ou Remplissage
dégradé dans le menu local Arrière-plan. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’un
objet avec de la couleur » à la page 87 pour obtenir plus d’informations.Chapitre 6 Utilisation de tableaux 143
Remplissage automatique des cellules d’un tableau
Le remplissage automatique vous permet d’utiliser le contenu d’une ou de plusieurs
cellules pour ajouter automatiquement des valeurs aux cellules adjacentes.
Voici quelques moyens de remplir automatiquement des cellules :
m Pour coller le contenu et le remplissage d’une cellule dans des cellules adjacentes, sélectionnez la cellule, puis faites glisser la poignée dans l’angle inférieur droit vers les cellules dans
lesquelles vous souhaitez coller le contenu. Vous pouvez la faire glisser vers la droite pour
ajouter des valeurs sur le même rang ou vers le bas pour ajouter des valeurs aux cellules
adjacentes de la même colonne.
Toutes les données, les formats, les formules et les remplissages associés à la cellule
sélectionnée sont copiés.
Si la cellule sélectionnée ne contient aucune donnée, le remplissage automatique
efface toutes les données des cellules cible.
m Vous pouvez également ajouter des valeurs aux cellules en fonction des modèles de
valeurs. Par exemple, si une cellule contient le nom d’un jour de la semaine ou d’un mois,
vous pouvez sélectionner la cellule puis la faire glisser vers la droite ou vers le bas pour
ajouter le jour ou le mois suivant dans la cellule adjacente.
Pour créer de nouvelles valeurs en fonction de caractéristiques numériques, sélectionnez
deux cellules ou plus avant de les faire glisser. Par exemple, si les deux cellules sélectionnées contiennent les valeurs 1 et 2, les valeurs 3 et 4 sont ajoutées lorsque vous faites
glisser le curseur sur les deux cellules adjacentes. De même, si les deux cellules sélectionnées contiennent les valeurs 1 et 4, les valeurs 7 et 10 sont ajoutées lorsque vous faites
glisser le curseur sur les deux cellules adjacentes (les valeurs sont incrémentées de 3).
Le remplissage automatique ne définit aucune relation entre les cellules du groupe.
Une fois le remplissage automatique effectué, vous pouvez modifier les cellules
individuellement.
Utilisation des rangs et des colonnes
Vous pouvez rapidement ajouter et supprimer des rangs et des colonnes, créer un rang
ou une colonne d’en-tête ou rang de pied de page, et bien plus encore.
Ajout de rangs
Vous pouvez ajouter des rangs dans un tableau ou à la fin d’un tableau. Si le tableau contient un rang de pied de page, les rangs ajoutés au bas du tableau sont placés au-dessus
du rang de pied de page.144 Chapitre 6 Utilisation de tableaux
Voici différentes manières d’ajouter des rangs :
m Pour ajouter un seul rang, sélectionnez une cellule, puis choisissez Format > Tableau >
« Insérer un rang au-dessus » ou « Insérer un rang en dessous ». Vous pouvez également
sélectionner ces commandes dans le menu local Modifier les rangs et les colonnes de
l’Inspecteur des tableaux.
m Pour ajouter un rang à la fin du tableau, appuyez sur la touche de tabulation lorsque
la dernière cellule est sélectionnée.
m Pour ajouter un ou plusieurs rangs à la fin d’un tableau, utilisez les commandes Rangs
dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
m Vous pouvez diviser les cellules en deux rangs égaux. La rubrique « Division des cellules
d’un tableau » à la page 147 vous indique la procédure à suivre.
Ajout de colonnes
Vous pouvez ajouter des colonnes à un tableau.
Voici différentes manières d’ajouter des colonnes :
m Pour ajouter une seule colonne, sélectionnez une cellule, puis choisissez Format >
Tableau > « Insérer une colonne avant » ou « Insérer une colonne après ». Vous pouvez
également sélectionner ces commandes dans le menu local Modifier les rangs et les
colonnes de l’Inspecteur des tableaux.
m Pour ajouter une ou plusieurs colonnes sur la droite d’un tableau, utilisez les contrôles
Colonnes de la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
m Vous pouvez diviser les cellules en deux colonnes égales. La rubrique « Division des cellules
d’un tableau » à la page 147 vous indique la procédure à suivre.
Suppression de rangs et de colonnes de tableaux
Il existe plusieurs techniques pour supprimer un ou plusieurs rangs ou colonnes
de tableaux.
Voici différentes manières de supprimer des rangs ou des colonnes :
m Sélectionnez le(s) rang(s) ou la (les) colonne(s) ou l’une de leurs cellules, puis choisissez
Format > Tableau > Supprimer le rang ou Format > Tableau > Supprimer la colonne.
m Pour supprimer un ou plusieurs rangs ou colonnes, sélectionnez-les puis choisissez
Supprimer le rang ou Supprimer la colonne dans le menu local Modifier les rangs et
les colonnes de l’Inspecteur des tableaux. Vous pouvez également accéder à ces commandes en choisissant Format > Tableau > option.Chapitre 6 Utilisation de tableaux 145
Utilisation d’un rang ou d’une colonne d’en-tête de tableau
Utilisez les rangs et les colonnes d’en-tête pour identifier les données des rangs et
des colonnes. Les rangs et les colonnes d’en-tête sont mis en forme de telle sorte qu’ils
se distinguent des autres rangs et colonnes. Un rang d’en-tête correspond à la cellule
supérieure de chaque colonne. Une colonne d’en-tête correspond à la cellule la plus
à gauche de chaque rang.
Vous ne pouvez pas diviser un rang d’en-tête ou de bas de page en plusieurs rangs
ou des colonnes d’en-tête en plusieurs colonnes.
Voici différentes manières d’ajouter ou de supprimer un rang ou une colonne d’en-tête :
m Sélectionnez le tableau, puis sélectionnez ou désactivez Rang d’en-tête ou Colonne
d’en-tête dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
m Sélectionnez le tableau puis choisissez une des options suivantes dans le sous-menu
Format > Tableau : Insérer un rang d’en-tête, Supprimer le rang d’en-tête, Insérer une
colonne d’en-tête ou Supprimer la colonne d’en-tête.
Utilisation d’un rang de pied de page
Utilisez un rang de pied de page pour attirer l’attention sur le dernier rang d’un tableau.
Un rang de pied de page peut contenir les mêmes données que n’importe quel autre
rang, mais sa mise en forme lui confère davantage d’impact visuel.
Voici différentes manières d’ajouter ou de supprimer un rang de pied de page :
m Sélectionnez le tableau, puis sélectionnez ou désélectionnez « Rang de pied de page »
dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
m Sélectionnez le tableau, puis choisissez Insérer un rang de pied de page ou Supprimer
le rang de pied de page dans la sous-fenêtre Format > Tableau.
Redimensionnement de rangs et de colonnes de tableaux
Redimensionnez tous les rangs et colonnes afin qu’ils possèdent la même taille, ou redimensionnez uniquement des rangs et des colonnes spécifiques.
Voici différentes manières de redimensionner des rangs et des colonnes de tableaux :
m Pour que tous les rangs soient de la même taille, sélectionnez le tableau, puis choisissez
Format > Tableau > Répartir les rangs uniformément.
Pour que toutes les colonnes soient de la même taille, choisissez Format > Tableau >
Répartir les colonnes uniformément.
m Pour redimensionner un seul rang, sélectionnez une cellule dans le rang et utilisez le
champ Hauteur de Rang dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
m Pour redimensionner une seule colonne, sélectionnez une cellule dans la colonne
et utilisez le champ Largeur de Colonne dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur
des tableaux.146 Chapitre 6 Utilisation de tableaux
m Pour que plusieurs rangs soient de la même taille, sélectionnez une ou plusieurs cellules
dans les rangs et sélectionnez Tableau > Répartir les rangs uniformément. Les rangs
peuvent ne pas être adjacents. Vous pouvez également utiliser le champ Hauteur de
Rang dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
m Pour que plusieurs colonnes soient de la même taille, sélectionnez une ou plusieurs
cellules dans les colonnes et sélectionnez Tableau > Répartir les colonnes uniformé-
ment. Les colonnes peuvent ne pas être adjacentes. Vous pouvez également utiliser
le champ Largeur de Colonne dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux.
Si le contenu de la cellule est tronqué après l’avoir redimensionnée, reportez-vous
à la rubrique « Affichage d’un contenu trop long pour la cellule » à la page 136.
Alternance de couleurs des rangs
Alternez la couleur d’arrière-plan d’un rang sur deux afin de conférer au tableau un effet
de bandes.
Pour alterner les couleurs des rangs :
1 Sélectionnez le tableau.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des tableaux.
3 Sélectionnez Alternance de la couleur de rang.
4 Cliquez sur le cadre de couleurs adjacent pour ouvrir la fenêtre Couleurs, puis sélectionnez une couleur pour les rangs alternés. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la
fenêtre Couleurs » à la page 88 pour en connaître les instructions.
5 Pour modifier les propriétés de remplissage des autres rangs, utilisez les contrôles Arrièreplan de l’Inspecteur des tableaux. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’un objet
avec de la couleur » à la page 87 pour en connaître les instructions.
Utilisation des cellules d’un tableau
Vous pouvez diviser et fusionner des cellules d’un tableau, les redimensionner, leur
appliquer une mise en forme, les masquer, ajouter des commentaires et plus encore.
Fusion des cellules d’un tableau
La fusion des cellules d’un tableau consiste à combiner des cellules adjacentes en une
seule cellule, éliminant ainsi les bordures afin qu’elles se comportent comme une cellule
unique.Chapitre 6 Utilisation de tableaux 147
Pour fusionner les cellules d’un tableau :
1 Sélectionnez un groupe de deux cellules adjacentes ou plus. Le groupe de cellules que
vous choisissez doit former un rectangle, et elles doivent toutes être des cellules principales ou d’en-tête.
2 Choisissez Format >Tableau > Fusionner les cellules.
Vous pouvez également sélectionner Fusionner les cellules dans le menu local « Modifier
les rangs et les colonnes » de l’Inspecteur des tableaux.
La fusion horizontale de cellules adjacentes ne contenant que du texte ou un mélange de
texte, de nombres, de valeurs mises en forme et de formules, revient à joindre le contenu
de toutes les cellules d’origine en texte séparé par des tabulations. De même, la fusion
verticale de cellules adjacentes ne contenant que du texte ou un mélange de texte, de
nombres, des valeurs mises en forme et de formules, revient à joindre le contenu de toutes
les cellules d’origine en texte séparé par un retour chariot.
Lors de la fusion de cellules de colonne, l’arrière-plan des cellules reprend l’image ou la
couleur de la cellule la plus en haut. Lors de la fusion de cellules de rang, l’arrière-plan
des cellules reprend l’image ou la couleur de la cellule la plus à gauche.
Lorsqu’une cellule contenant du texte, un nombre, une formule ou un format de cellule est
fusionnée avec une cellule vide, la nouvelle cellule conserve le contenu de la cellule
non vide.
Lorsqu’une cellule contenant un format de nombre est fusionnée avec une cellule vide,
la nouvelle cellule conserve également le format de nombre.
Division des cellules d’un tableau
La division de cellules scinde chaque cellule sélectionnée en deux parts égales, horizontalement (rangs) ou verticalement (colonnes). Les deux nouvelles cellules présentent des
couleurs ou images d’arrière-plan identiques. Tout texte présent dans la cellule d’origine
reste dans la cellule la plus en haut ou la plus à gauche.
Pour fusionner des cellules horizontalement ou verticalement :
1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules du tableau. Pour diviser une colonne ou un rang
entier, sélectionnez toutes les cellules de la colonne ou du rang.
2 Pour diviser des cellules en rangs, choisissez Format > Tableau > Diviser en rangs. Pour
diviser des cellules en colonnes, choisissez Tableau > Diviser en colonnes.
Vous pouvez également choisir Diviser les rangs ou Diviser les colonnes dans le menu
local Modifier les rangs et les colonnes de l’Inspecteur des tableaux.
3 Pour créer des unités de plus en plus petites, répétez les étapes 1 et 2 pour diviser
les cellules.
Pour réunir les cellules divisées, fusionnez-les tel que décrit à la rubrique « Fusion des
cellules d’un tableau » à la page 146.148 Chapitre 6 Utilisation de tableaux
Mise en forme bords d’une cellule
Vous pouvez modifier l’épaisseur et la couleur des bordures des cellules d’un tableau.
Vous pouvez également masquer la bordure de n’importe quelle cellule.
Voici différentes manières de mettre en forme les bordures de cellules d’un tableau :
1 Sélectionnez les segments de bordure de cellule à mettre en forme (voir « Sélection des
bordures des cellules d’un tableau » à la page 133).
2 Si l’Inspecteur des tableaux n’est pas ouvert, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils,
puis cliquez sur le bouton Inspecteur des tableaux et sur Tableau.
3 Pour définir l’épaisseur de la ligne et la couleur, utilisez les réglages de Bordures de cellule :
Menu local Trait : permet de choisir un style de trait. Sélectionnez Aucun pour masquer
les bordures.
Champ d’épaisseur de ligne : permet de contrôler l’épaisseur de la ligne.
Cadre de couleurs : Permet de choisir une couleur de trait à l’aide de la fenêtre Couleurs.
Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 88 pour en
connaître les instructions.
Copie et déplacement de cellules
Pour déplacer ou copier des cellules de tableau, vous pouvez utiliser les commandes
ou les faire glisser.
Voici différentes manières de copier et de déplacer des cellules :
m Pour intervertir des valeurs de cellule dans un tableau, sélectionnez une cellule ou plusieurs cellules adjacentes, puis faites glisser la sélection vers les cellules de destination.
Les valeurs de la sélection sont interverties avec celles des cellules de destination.
m Pour copier les cellules dans un tableau ou entre deux tableaux, faites glisser les cellules
sélectionnées tout en maintenant la touche Option enfoncée. Toutes les valeurs des cellules de destination sont remplacées.
Vous pouvez copier des cellules en les sélectionnant puis en choisissant Édition > Copier ;
il suffit alors de sélectionner les cellules de destination et de choisir Édition > Coller.
Reportez-vous à la rubrique « Copie ou déplacement des formules contenant des références de cellules » à la page 156 pour en savoir plus sur les techniques permettant de dupliquer ou de déplacer une cellule contenant une formule.Chapitre 6 Utilisation de tableaux 149
Tri des cellules d’un tableau
Vous avez la possibilité de classer la totalité ou une partie des valeurs d’une colonne
par ordre croissant ou décroissant. Les rangs contenant les cellules choisies pour le classement sont alors réorganisés. Les cellules d’en-tête sont exclues de ce classement.
Voici différentes manières d’opérer un tri :
 Pour trier toutes les cellules d’une colonne, sélectionnez l’une des cellules de la colonne,
ouvrez l’Inspecteur des tableaux, puis choisissez « Trier en ordre croissant » ou « Trier en
ordre décroissant » dans le menu local « Modifier les rangs et les colonnes ».
 Pour trier uniquement certaines cellules d’une colonne, sélectionnez ces cellules avant
de choisir « Trier en ordre croissant » ou « Trier en ordre décroissant ».
Le tableau suivant décrit de quelle manière les différents types de données sont classés,
par ordre croissant ou décroissant.
Type de données Ordre croissant Ordre décroissant
Texte aA–zZ Zz–Aa
Dates Année (la moins récente en premier), puis Mois (Janvier en premier), et enfin jour (1-31)
Année (la plus récente en premier), puis Mois (Décembre en
premier), et enfin jour (31-1)
Nombres –2, –1, 0, 1, etc. 1, 0, –1, –2, etc.
Cellules ne contenant que du
texte, combinées avec d’autres
ne contenant que des nombres
–2, –1, 0, 1, etc., puis aA–zZ Zz–Aa, puis 1, 0, –1, –2, etc.
Cellules contenant un mélange
de texte et de nombres
Valeurs commençant par les nombres en premier (1z, 1Z, a1, A1)
Valeurs commençant par du
texte en premier (A1, a1, 1A, 1z)
Cellules vides En bas de la liste En bas de la liste
Booléen (VRAI/FAUX) En dessous et au dessus d’une
cellule vide
Au-dessus des valeurs texte7
150
7 Utilisation de formules et
de fonctions dans des tableaux
Ce chapitre vous explique comment effectuer des calculs dans
les cellules des tableaux à l’aide de formules et de fonctions.
Pour obtenir des instructions relatives à l’ajout et à la mise en forme des tableaux et
des données qu’ils contiennent, consultez le chapitre 6, « Utilisation de tableaux, » à la
page 126. Pour obtenir des informations complètes sur les différentes fonctions,
consultez l’aide en ligne.
Utilisation des formules
Une formule est une expression mathématique utilisant des opérations pour en dériver une valeur. Vous pouvez ajouter une formule à la cellule d’un tableau pour afficher
une valeur dérivée de celles d’autres cellules.
Par exemple, vous pouvez ajouter une formule à la cellule située au bas d’une colonne
ajoutant les nombres se trouvant dans les autres cellules de la colonne. Si une des valeurs
de la colonne change, le total dans la cellule du bas change alors automatiquement.
Les formules permettent d’obtenir des valeurs grâce à un calcul effectué à l’aide
d’opérateurs et de fonctions.
 Les opérateurs effectuent les opérations arithmétiques de base telles que l’addition (+)
et la multiplication (*)
Voici une formule qui additionne des valeurs : =A2 + 16. A2 est une référence à une cellule ;
elle fait en effet référence à la deuxième cellule de la première colonne. La valeur 16 est
appelée constante, car il s’agit d’une valeur spécifique qui n’utilise aucun opérateur ni
fonction.
La valeur de la cellule A2 est ajoutée à la valeur 16 et la somme apparaît dans la cellule
contenant la formule.
Les formules commencent toujours par le signe égal (=). Pour simplifier, le signal égal
est omis dans les exemples de l’ensemble de la documentation Keynote.Chapitre 7 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 151
 Tandis que les fonctions sont des opérations nommées et prédéfinies, telles que SOMME
et MOYENNE.
Pour utiliser une fonction, vous devez lui attribuer un nom puis indiquer, entre parenthèses à la suite de ce nom, les arguments dont elle a besoin. Les arguments précisent
les données que la fonction doit utiliser lorsqu’elle effectue les opérations qui lui sont
prévues.
Voici une formule qui additionne les valeurs de neuf cellules adjacentes de la première
colonne : SOMME(A2:A10). Dans ce cas, nous rencontrons un seul argument, à savoir
« A2:A10 ». Le symbole deux-points indique que la formule utilise les valeurs des cellules A2 à A10 incluses.
Ajout d’une formule rapide
Il est notamment possible de réaliser un calcul de base à l’aide des valeurs contenues
dans une plage de cellules adjacentes, en ajoutant une formule rapide via le menu local
Formule rapide de la sous-fenêtre Format dans l’Inspecteur des tableaux.
Voici quelques opérations qui peuvent être réalisées à l’aide du menu local
Formule rapide :
m Choisissez une des options suivantes pour effectuer des calculs en utilisant les valeurs
figurant dans les cellules sélectionnées. Les cellules vides et celles contenant des valeurs
qui ne sont pas mentionnées sont ignorées.
Somme : donne le total des valeurs numériques des cellules.
Moyenne : calcule la moyenne arithmétique des valeurs numériques des cellules.
Min : détermine la valeur numérique la plus petite dans les cellules.
Max : détermine la valeur numérique la plus grande dans les cellules.
Compte : détermine le total des nombres ou des valeurs de date ou d’heure dans
les cellules.
Produit : multiplie toutes les valeurs numériques des cellules.
m Sélectionnez Éditeur de formules pour ouvrir l’application correspondante. Reportez-vous
à la rubrique « Utilisation de l’Éditeur de formules » à la page 153 pour en connaître les
instructions.152 Chapitre 7 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux
Calcul élémentaire avec des valeurs d’une même colonne
À l’aide du menu local Formule rapide de l’Inspecteur des tableaux, il est très facile de
réaliser des calculs élémentaires fondés sur des valeurs adjacentes d’une même colonne
et d’en afficher les résultats.
Voici plusieurs façons d’effectuer des calculs élémentaires à partir de valeurs
se trouvant dans une même colonne :
m Pour utiliser les valeurs d’une plage de cellules adjacentes, sélectionnez ces cellules, cliquez
sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des tableaux, puis
cliquez sur Format. Choisissez une formule dans le menu local Formule rapide.
Keynote place la formule et son résultat dans la première cellule vide rencontrée en
dessous de celles sélectionnées. S’il n’existe aucune cellule vide, Keynote créé un rang
de bas de page pour y faire apparaître le résultat.
m Pour utiliser toutes les valeurs d’une colonne, cliquez sur la cellule d’en-tête ou sur l’onglet
de référence de celle colonne. Dans la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux,
choisissez une formule dans le menu local Formule rapide.
Keynote place cette formule et son résultat sur un rang de bas de page. S’il n’existe
aucune rangée de pied de page, Keynote en ajoute une.
Calcul élémentaire avec des valeurs d’un même rang
À l’aide du menu local Formule rapide de l’Inspecteur des tableaux, il est très facile
de réaliser des calculs élémentaires à partir de valeurs adjacentes d’une même colonne
et d’en afficher les résultats.
Voici plusieurs façons d’effectuer des calculs élémentaires à partir de valeurs
se trouvant sur un même rang :
m Pour utiliser les valeurs d’une plage de cellules adjacentes, sélectionnez ces cellules, cliquez
sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des tableaux, puis
cliquez sur Format. Choisissez un calcul dans le menu local Formule rapide.
Keynote place la formule et son résultat dans la première cellule vide rencontrée à droite
de celles sélectionnées. S’il n’existe aucune cellule vide, Keynote ajoute une colonne pour
le résultat.
m Pour utiliser toutes les valeurs d’un rang, cliquez sur la cellule d’en-tête ou sur l’onglet
de référence de ce rang. Dans la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux, choisissez une formule dans le menu local Formule rapide.
Keynote place cette formule et son résultat dans une nouvelle colonne.Chapitre 7 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 153
Suppression d’une formule
Si vous ne voulez plus utiliser une formule associée à une cellule, vous pouvez la supprimer
rapidement.
Pour supprimer une formule d’une cellule :
1 Sélectionnez la cellule.
2 Appuyez ensuite sur la touche Suppr.
Utilisation de l’Éditeur de formules
L’Éditeur de formules vous permet de créer et de modifier des formules.
Vous pouvez ouvrir l’Éditeur de formules de plusieurs façons :
m Sélectionnez une cellule du tableau, puis saisissez le signe égal (=).
m Sélectionnez une cellule du tableau, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez
sur le bouton Inspecteur des tableaux, puis cliquez sur Format. Dans le menu local Formule
rapide, choisissez Éditeur de formules.
m Sélectionnez le tableau, puis double-cliquez sur une cellule du tableau contenant
une formule.
Lorsqu’il s’ouvre, l’Éditeur de formules apparaît au-dessus de la cellule sélectionnée.
Pour le déplacer, placez le curseur sur le côté gauche de l’Éditeur de formules jusqu’à
ce qu’il prenne la forme d’une main, puis cliquez et faites glisser.
Lorsque vous sélectionnez une cellule qui contient une formule, ses arguments sont
mis en surbrillance de couleur.
Pour déplacer l’Éditeur
de formules, cliquez ici et
faites-le glisser.
Champ de texte
Afficher ou modifier une formule.
Bouton Annuler
Annuler les modifications.
Bouton Accepter
Enregistrer les modifications.154 Chapitre 7 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux
Ajout d’une nouvelle formule à l’aide de l’Éditeur de formules
Pour créer une formule, utilisez l’Éditeur de formules.
Pour ajouter une nouvelle formule à l’aide de l’Éditeur de formules :
1 Sélectionnez la cellule dans laquelle vous voulez afficher le résultat de la formule.
2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=).
3 Utilisez le champ de texte pour spécifier la formule en veillant à ce que le signe égal
soit le premier caractère utilisé.
Pour connaître les techniques qui permettent d’inclure des références de cellules dans les
formules, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des références de cellules » à la page 155.
Pour en savoir plus sur l’utilisation des opérateurs dans les formules, reportez-vous
à la rubrique « Utilisation des opérateurs » à la page 158.
Pour savoir comment insérer une fonction dans une formule, reportez-vous à la rubrique
« Utilisation des fonctions » à la page 160.
4 Pour enregistrer les modifications, appuyez sur Retour, appuyez sur Entrée ou cliquez
sur le bouton Accepter de l’Éditeur de formules. Vous pouvez aussi cliquer à l’extérieur
du tableau.
Pour fermer l’Éditeur de formules et annuler les modifications, appuyez sur la touche
Échap ou cliquez sur le bouton Annuler de l’Éditeur de formules.
Modification d’une formule à l’aide de l’Éditeur de formules
Pour modifier une formule, vous pouvez utiliser l’Éditeur de formules.
Pour modifier une formule :
1 Double-cliquez sur une cellule du tableau contenant une formule. L’Éditeur de formules
s’ouvre, la formule apparaît dans le champ de texte et ses arguments sont mis en surbrillance de couleur.
2 Effectuez les modifications nécessaires. Vous pouvez utiliser les touches fléchées pour
déplacer le point d’insertion dans le champ de texte.
3 Pour enregistrer les modifications, appuyez sur Retour, appuyez sur Entrée ou cliquez
sur le bouton Accepter de l’Éditeur de formules. Vous pouvez aussi cliquer à l’extérieur
du tableau.
Pour fermer l’Éditeur de formules et annuler les modifications, appuyez sur la touche
Échap ou cliquez sur le bouton Annuler de l’Éditeur de formules.Chapitre 7 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 155
Utilisation des références de cellules
Vous pouvez utiliser les références de cellules pour identifier des cellules particulières
à l’intérieur des formules. Par exemple, si vous ajoutez une formule permettant de calculer la moyenne des valeurs de deux cellules, vous pouvez identifier ces cellules à l’aide de
références de cellules.
Vous pouvez créer des références de cellules à l’aide des lettres et des numéros qui
figurent sur les onglets de référence ou à l’aide du nom des cellules d’en-tête :
 Si votre tableau comprend à la fois un rang d’en-tête et une colonne d’en-tête, vous
pouvez identifier une cellule à l’aide du nom de la colonne suivi du nom du rang.
Par exemple, si une colonne est intitulée 2006 et un rang a pour en-tête Nombre
d’élèves inscrits, la cellule se trouvant à l’intersection de cette colonne et de ce rang
peut être désignée comme 2006 Nombre d’élèves inscrits.
 Vous pouvez vous servir des lettres et des numéros des onglets de référence pour
identifier une cellule particulière. Il vous suffit de spécifier la lettre de la colonne puis
le numéro du rang.
Par exemple, C55 fait référence au cinquante-cinquième rang de la troisième colonne.
Ajout de références de cellules à une formule
Pour insérer une référence de cellule, vous pouvez cliquer sur une cellule ou sur un
onglet de référence ou encore sélectionner une plage de cellules lorsqu’il y a un point
d’insertion dans le champ de texte de l’Éditeur de formules. Vous pouvez aussi insérer
une référence de cellule en la saisissant à l’aide du clavier.
Voici plusieurs façons d’ajouter une référence de cellule au point d’insertion dans
le champ de texte :
m Pour créer une référence à une cellule particulière à l’aide de la souris, cliquez sur
la cellule en question.
Vous pouvez aussi saisir la référence à cette cellule particulière à l’aide du clavier. Pour
ce faire, tapez la lettre de la colonne suivie du numéro du rang (A4) tels qu’ils apparaissent dans les onglets de référence ou tapez le nom de la colonne suivi du nom du rang
(2006 Nombre d’élèves inscrits).
m Pour ajouter une référence à une liste de cellules précises, cliquez sur chacune d’entre
elles. Si les références sont des arguments dans une fonction, Keynote insère automatiquement une virgule (,) entre celles-ci, que vous pouvez remplacer par un autre caractère le cas échéant. Par exemple, si vous vous trouvez sur un emplacement dans lequel
le séparateur décimal est une virgule, vous pouvez séparer les différentes références de
cellules avec un point-virgule au lieu d’une virgule.156 Chapitre 7 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux
m Pour ajouter une référence à une plage de cellules adjacentes, faites glisser le curseur
sur les cellules que vous souhaitez ajouter.
Vous pouvez également taper ou cliquer sur la première cellule, taper le caractère
deux-points, puis taper ou cliquer sur la dernière cellule. Par exemple, B2:B5 fait réfé-
rence à quatre cellules de la deuxième colonne. B2:C3 fait référence à deux cellules
de la deuxième colonne et à deux cellules de la troisième colonne.
m Pour faire référence à toutes les cellules d’une colonne, cliquez sur l’onglet de référence
de la colonne ou sur sa cellule d’en-tête, le cas échéant.
Vous pouvez saisir la référence en tapant la lettre de la colonne (C ou C:C) ou son nom
si elle comprend une cellule d’en-tête. Par exemple, SOMME(B) ou SOMME (B:B) additionne
toutes les valeurs qui se trouvent dans les cellules de la deuxième colonne.
m Pour faire référence à toutes les cellules d’un rang, cliquez sur l’onglet de référence
du rang en question ou sur sa cellule d’en-tête, le cas échéant.
Vous pouvez saisir la référence en tapant le numéro du rang (1:1) ou son nom si elle comprend une cellule d’en-tête. Par exemple, SOMME(1:1) additionne toutes les valeurs qui se
trouvent dans les cellules du premier rang.
Copie ou déplacement des formules contenant des références de cellules
Vous pouvez copier ou déplacer une formule contenant des références de cellules sans
que ces dernières ne deviennent non valides.
Voici quelques techniques permettant de déplacer des formules :
m Pour placer une formule dans une autre cellule, faites glisser la cellule dans laquelle
elle se trouve jusque sur la cellule de destination souhaitée.
m Pour coller une copie d’une formule dans une autre cellule et utiliser les mêmes références
de cellules dans les deux formules, ajoutez le symbole du dollar ($) devant les identifiants
de colonne et de rang (=$A$1). Cette technique permet de créer ce que l’on appelle une
référence de cellule absolue.
Par exemple, si la formule =A1 apparaît dans la cellule D1 et que vous souhaitez en coller
une copie dans la cellule E1, changez la formule en =$A$1, puis sélectionnez la cellule D1,
copiez cette dernière et collez la copie dans la cellule E1. La formule $A$1 est copiée dans
la cellule E1. Si vous ne modifiez pas la formule avant de la copier de telle sorte qu’elle utilise une référence de cellule absolue, elle apparaîtra dans la cellule E1 sous la forme =B1.Chapitre 7 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 157
Application d’une formule aux cellules d’une colonne ou d’un rang
en une seule fois
Lorsqu’un tableau dispose de cellules d’en-tête, vous pouvez les utiliser pour appliquer
rapidement une formule à toutes les cellules d’un rang ou d’une colonne. Les valeurs des
cellules sont recalculées d’après la formule. Cette formule est appelée formule d’en-tête.
Pour appliquer une formule d’en-tête aux cellules d’une colonne ou d’un rang :
1 Sélectionnez la cellule d’en-tête de la colonne ou du rang.
2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=).
3 Saisissez la formule que vous souhaitez appliquer à chacune des cellules de la colonne
ou du rang.
Par exemple, pour attribuer aux cellules de la colonne C des valeurs cinq fois plus grandes que celles des cellules correspondantes de la colonne B, la formule à utiliser serait
B*5 ou B:B*5.
La formule est dupliquée dans toutes les cellules de la colonne ou du rang. Dans cet
exemple, la cellule C4 contiendrait la valeur calculée à l’aide de la formule B4*5.
4 Cliquez sur le bouton Accepter ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée pour enregistrer
la formule.
Gestion des erreurs et des avertissements
Si une formule figurant dans une cellule de tableau est incomplète, contient des références
de cellules non valides ou est incorrecte, ou bien si une opération d’importation entraîne
une erreur dans une cellule, Keynote affiche une icône dans la cellule concernée. Un carré
bleu dans la partie supérieure gauche d’une cellule indique les avertissements. Un triangle
rouge au milieu d’une cellule indique une erreur provoquée par une formule.
Pour afficher les messages des avertissements et des erreurs :
m Cliquez sur l’icône.
Un message récapitule chaque erreur et chaque avertissement associés à la cellule.158 Chapitre 7 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux
Utilisation des opérateurs
L’utilisation d’opérateurs dans les formules permet d’effectuer des opérations arithmé-
tiques et de comparer des valeurs:
 Les opérateurs arithmétiques effectuent des opérations arithmétiques, telles que l’addition
ou la soustraction, et donnent des résultats numériques.
 Les opérateurs de comparaison comparent deux valeurs et donnent uniquement
la valeur VRAI ou FAUX.
Calcul d’opérations arithmétiques
Pour créer une formule réalisant une opération arithmétique, vous devez utiliser des
opérateurs arithmétiques. Par exemple, pour ajouter trois valeurs d’une colonne, vous
pourriez créer une formule du type suivant : A2 + A3 + A5.
Voici un récapitulatif des opérateurs arithmétiques. Pour obtenir plus d’informations sur
les opérateurs arithmétiques que Keynote prend en charge, reportez-vous à la rubrique
« Explication des opérateurs arithmétiques » à la page 159.
Pour ajouter une formule arithmétique à une cellule :
1 Sélectionnez une cellule vide destinée à afficher les résultats de la formule.
2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=).
3 Saisissez la formule dans le champ de texte après le signe égal.
Par exemple, pour saisir la formule A3 * B5 + B6, dans le champ texte après le signe égal,
vous pouvez cliquer sur la cellule A3 ou taper « A3 », puis taper * (l’opérateur de multiplication), cliquer sur B5 ou taper « B5 », et enfin cliquer sur B6 (si vous ne saisissez pas d’opé-
rateur avant de cliquer, Keynote ajoute automatiquement le signe plus (+) lorsque vous ne
spécifiez aucun argument de fonction).
4 Cliquez sur le bouton Accepter ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée pour enregistrer la formule.
Pour effectuer cette opération
Utilisez cet opérateur
arithmétique Par exemple
Somme de deux valeurs + A2 + B2
Soustraction de deux valeurs – A2 - B2
Multiplication de deux valeurs * A2 * B2
Division d’une valeur par une
autre
/ A2 / B2Chapitre 7 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 159
Explication des opérateurs arithmétiques
Les opérateurs arithmétiques utilisés dans les formules des cellules d’un tableau permettent d’effectuer des opérations arithmétiques et d’obtenir des résultats numériques.
Les opérateurs arithmétiques sont les suivants (les exemples supposent que
la cellule A2 contient la valeur 20 et que la cellule B2 contient la valeur 2) :
m L’opérateur + permet d’additionner deux valeurs.
Par exemple, A2 + B2 donne 22.
m L’opérateur – permet de calculer la différence entre deux valeurs.
Par exemple, A2 – B2 donne 18.
m L’opérateur * permet d’obtenir le produit de deux valeurs.
Par exemple, A2 * B2 donne 40.
m L’opérateur / permet d’obtenir le résultat de la division d’une valeur par une autre.
Par exemple, A2/B2 donne 10.
m L’opérateur ^ permet d’obtenir le résultat de l’élévation d’une valeur à la puissance
d’une autre valeur.
Par exemple, A2 ^ B2 donne 400.
m L’opérateur % permet d’obtenir le résultat de la division d’une valeur par 100.
Par exemple, A2% renvoie 0,2 (mis en forme pour s’afficher sous la forme 20%).
Si la référence à une cellule pointe sur une cellule vide, 0 correspond à la valeur utilisée.
Si la référence à une cellule pointe sur une cellule contenant la valeur FAUX, 0 est là aussi
la valeur utilisée. Si la cellule contient VRAI, 1 est la valeur utilisée dans ce cas. Par exemple,
VRAI + 1 renvoie 2.
L’utilisation d’une chaîne avec un opérateur arithmétique renvoie une erreur. Par exemple,
3 + "bonjour" n’est pas une opération arithmétique correcte.160 Chapitre 7 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux
Explication des opérateurs de comparaison
Les opérateurs de comparaison comparent deux valeurs et donnent la valeur VRAI ou FAUX.
Les opérateurs de comparaison sont les suivants (les exemples supposent que
la cellule A2 contient la valeur 20 et que la cellule B2 contient la valeur 2) :
m L’opérateur = donne VRAI si deux valeurs sont égales.
Par exemple, A2 = B2 donne FAUX.
m L’opérateur <> donne VRAI si deux valeurs ne sont pas égales.
Par exemple, A2<>B2 donne VRAI.
m L’opérateur > donne VRAI si la première valeur est supérieure à la seconde.
Par exemple, A2 > B2 donne VRAI.
m L’opérateur < donne VRAI si la première valeur est inférieure à la seconde.
Par exemple, A2 < B2 donne FAUX.
m L’opérateur >= donne VRAI si la première valeur est supérieure ou égale à la seconde.
Par exemple, A2 >= B2 donne VRAI.
m L’opérateur <= donne VRAI si la première valeur est inférieure ou égale à la seconde.
Par exemple, A2 <= B2 donne FAUX.
Les chaînes sont plus grandes que les nombres. Par exemple, "bonjour" > 5 donne VRAI.
VRAI et FAUX peuvent être comparés mutuellement mais pas avec des nombres
ou des chaînes. VRAI > FAUX, et FAUX < VRAI, parce que VRAI est interprété comme
la valeur 1 et FAUX comme 0. VRAI = 1 renvoie FAUX, et VRAI = "UnTexte" renvoie FAUX.
Utilisation des fonctions
Une fonction est une opération prédéfinie à laquelle on a attribué un nom (par exemple,
SOMME ou MOYENNE) et dont on peut se servir pour effectuer un calcul dans une cellule
de tableau.
Il existe plusieurs familles de fonctions, qui vont des fonctions financières qui permettent
de calculer des taux d’intérêt, des valeurs d’investissement, etc. aux fonctions statistiques
qui permettent de calculer des moyennes, des probabilités, des écarts types, etc. Reportezvous à l’Aide de Keynote pour plus d’informations sur toutes les fonctions, y compris sur
les arguments à spécifier pour indiquer aux fonctions les données à utiliser dans les calculs.
Vous pouvez saisir une fonction dans le champ de texte de l’Éditeur de formules, mais vous
pouvez aussi utiliser le Navigateur de fonctions pour ajouter une fonction à une formule. Chapitre 7 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 161
Pour ajouter une fonction à l’aide du Navigateur de fonctions :
1 Sélectionnez la cellule dans laquelle vous souhaitez ajouter une fonction.
2 Ouvrez l’Éditeur de formules et cliquez dans le champ de texte à l’endroit où vous
souhaitez insérer la fonction.
3 Choisissez Insertion > Fonction. Le Navigateur de fonctions apparaît.
4 Sélectionnez une fonction.
Pour trouver une fonction, faites défiler la liste située sur la droite. Si vous le souhaitez,
vous avez la possibilité de subdiviser cette liste en sélectionnant une catégorie de fonction sur la gauche. Vous pouvez aussi rechercher une fonction particulière dans la catégorie de fonction sélectionnée à l’aide du champ de recherche qui se trouve en haut à droite.
5 Cliquez sur Insérer.
Keynote insère la fonction dans le champ texte, suivie d’un ou de plusieurs paramètres
fictifs d’argument entre parenthèses.
6 À l’aide de l’Éditeur de formules, remplacez chacun des paramètres fictifs par une référence
de cellule ou par une autre valeur ou apportez d’autres modifications à la formule selon vos
besoins. 8
162
8 Utilisation des graphiques
Vous pouvez convertir des données issues de tableaux en
graphiques intéressants. Ce chapitre décrit les notions élémentaires de la création et de la mise en forme de graphiques.
Keynote fournit des outils permettant de créer des graphiques attrayants afin de présenter
des données numériques. Vous pouvez copier et coller les données à partir d’une feuille de
calcul ou les saisir directement dans l’Éditeur de graphiques et créer puis modifier les graphiques directement sur le canevas. Par défaut, l’aspect de vos graphiques correspond le
thème que vous utilisez.
À propos des graphiques
Vous pouvez afficher les données dans un graphique afin de faire apparaître clairement les
tendances ou relations qui ne sont pas aussi évidentes lorsque vous visualisez les données
sous forme de rangs et de colonnes. Vous avez le choix entre de nombreux types de graphiques pour la présentation de vos données, notamment des graphiques sectoriels,
linéaires, à barres, à colonnes, à couches et en nuage de points. Des versions 2D et 3D sont
disponibles pour la plupart des graphiques.
Pour saisir les données qui apparaîtront dans un graphique, utilisez l’Éditeur de graphiques, tel que décrit dans la rubrique « Modification de données dans un graphique » à la
page 167. Si vous modifiez des données dans l’Éditeur de graphiques, le graphique est
mis à jour automatiquement.Chapitre 8 Utilisation des graphiques 163
Vous pouvez, par exemple, créer un graphique pour faire apparaître le nombre d’employés
travaillant dans la Région 1 et dans la Région 2 chaque année. Ce type de tableau comporterait deux rangs (un pour la Région 1 et un autre pour la Région 2) et quatre colonnes
(une pour chaque année de 2007 à 2010).
Il existe plusieurs manières de représenter ces données dans un graphique. Dans un graphique à barres, par exemple :
 Vous pouvez représenter le nombre de salariés de 2007 travaillant dans la Région 1
et dans la Région 2 par des barres côte à côte, suivies de paires de barres représentant
chacune des années 2008, 2009 et 2010. Si un tel graphique existait, il comporterait
deux séries de données et quatre jeux de données.
Les régions 1 et 2 sont appelées séries de données ; chaque région est représentée par
une série de valeurs. La valeur des données (connues sous le nom de points de données)
de chaque région sont représentées par des barres regroupées côte à côte sur le
graphique ; chaque groupe est appelé jeu de données (2007 est un jeu de données,
2008 en est un autre, etc.).
Ces carrés indiquent la
couleur qui représente
chaque série de données.
La légende du graphique
désigne les deux séries de
données.
Les jeux de données contiennent un point de données
(une barre) de chacune des
séries de données.
Ces quatre barres représentent une série de données.164 Chapitre 8 Utilisation des graphiques
 Autre possibilité : vous pouvez modifier l’orientation du graphique de sorte que les points
de données soient regroupés par région plutôt que par année. Dans ce cas, les années
sont des séries de données et les régions des jeux de données. Le graphique à barres contiendrait alors deux groupes de barres, une pour la Région 1 et l’autre pour la Région 2.
Vous pouvez facilement alterner l’usage de colonnes et de rangs en tant que séries
de données à l’aide du bouton Rang / dans l’Éditeur de graphiques.
Les séries de données sont représentées différemment selon le type de graphique :
 Dans les graphiques à colonnes et les graphiques à barres, une série de données est
représentée par une série de barres dotée du même remplissage (couleur ou texture).
 Dans un graphique linéaire (également appelé graphe), une série de données est
représentée par une seule ligne.
 Dans un graphique à couches, une série de données est représentée par une couche.
 Dans un graphique sectoriel, un seul jeu de données (le premier point de données de
chaque série) est représenté sur le graphique (celui qui apparaît en premier sur la liste
dans l’Éditeur de graphiques).
 Dans un graphique en nuage de points, deux colonnes de données sont utilisées pour
placer les points représentant les valeurs d’une seule série de données. Chaque paire
de valeurs détermine ainsi la position de chaque point de données.
Ces deux barres repré-
sentent une série de
données.
Les jeux de données contiennent un
point de données (une barre) de chacune des quatre séries de données.
Ce bouton fait des rangs de
données de l’Éditeur de graphiques la série de données.
Ce bouton fait des colonnes de
données de l’Éditeur de graphiques la série de données.Chapitre 8 Utilisation des graphiques 165
Ajout d’un graphique
Vous pouvez ajouter un graphique en l’insérant sur le canevas ou en le dessinant.
Voici différentes manières d’ajouter un graphique :
m Cliquez sur Graphiques dans la barre d’outils et choisissez un autre type de graphique
dans le menu local.
m Pour tracer un graphique dans le canevas, maintenez la touche Option enfoncée tout en
cliquant sur Graphiques dans la barre d’outils, puis choisissez un graphique. Relâchez la
touche Option et déplacez le pointeur sur le canevas jusqu’à ce qu’il se transforme en
réticule. Faites-le glisser sur le canevas afin de créer un graphique de la taille souhaitée.
Pour conserver les proportions des dimensions d’un graphique, maintenez la touche
Maj enfoncée lors du redimensionnement.
Un graphique contenant des données d’espace réservé apparaît alors sur la diapositive
et l’Inspecteur des graphiques et l’Éditeur de graphiques s’ouvrent. Utilisez l’Inspecteur
des graphiques pour sélectionner le type de graphique initial et pour mettre en forme
votre graphique. Utilisez l’Éditeur de graphiques pour modifier les données du graphique. Pour obtenir plus d’instructions, consultez les rubriques « Choix d’un type de graphique initial » à la page 165, « Mise en forme des attributs généraux d’un graphique » à
la page 169, « Mise en forme de types de graphiques spécifiques » à la page 177 et
« Modification de données dans un graphique » à la page 167.
Sélection d’un type de graphique
Une fois que vous avez ajouté un graphique, vous pouvez en définir le type ou en changer. Vous avez le choix entre de nombreux types de graphiques, notamment à barres,
3D à barres, linéaires, 3D linéaires, etc.
Choix d’un type de graphique initial
La première fois que vous ajoutez un graphique, l’application insère un graphique
par défaut. Vous pouvez le changer à votre guise.166 Chapitre 8 Utilisation des graphiques
Voici différentes manières de spécifier un type de graphique :
m Sélectionnez le graphique, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le
bouton Inspecteur des graphiques, puis choisissez un type de graphique dans le menu
local qui apparaît lorsque vous cliquez sur l’icône du graphique en haut à gauche.
m Choisissez Format > Graphique > Type de graphique > type de graphique.
Changement du type de graphique
Vous pouvez changer de type de graphique à votre guise.
Pour remplacer un graphique par un autre type :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis choisissez un autre type de graphique dans le menu local qui apparaît
lorsque vous cliquez sur l’icône du graphique en haut à gauche.
Si vous passez à un graphique sectoriel, le premier point de données de chaque série est
représenté sous forme de portion. Reportez-vous à la rubrique « Graphiques sectoriels »
à la page 177.
Si vous passez à un graphique en nuage de points, deux valeurs sont nécessaires pour
chaque point. Si le graphique est basé sur un nombre impair de rangs ou de colonnes,
le dernier rang (ou la dernière colonne) n’est pas traité. Reportez-vous à la rubrique
« Graphiques en nuage de points » à la page 182.
Le bouton Inspecteur
des graphiques
Choisissez un type de graphique dans le
menu local. Les graphiques 2D se trouvent
à gauche et leur version 3D à droite.Chapitre 8 Utilisation des graphiques 167
Si vous passez à un graphique à barres, à colonnes, à couches ou linéaire, chaque série du
nouveau graphique correspond à un rang ou à une colonne dans l’Éditeur de graphiques.
Si vous passez à la version 3D d’un graphique, l’Inspecteur des graphiques fournit des commandes permettant de gérer la profondeur de l’objet, le style d’éclairage, etc. Reportez-vous
à la rubrique « Graphiques 3D » à la page 183.
La mise en forme appliquée au graphique que vous modifiez peut ne pas s’appliquer
au nouveau graphique. Par exemple, l’attribut de remplissage couleur des éléments de
point de données (barres, portions, etc.) possède une valeur par défaut différente pour
chaque type de graphique. Si vous avez modifié la couleur de remplissage d’une colonne
puis changé le graphique en graphique à barres, la modification du remplissage n’est alors
pas conservée.
 Selon le type de graphique, les attributs enclins à changer si vous passez d’un type
de graphique à un autre sont les étiquettes de valeurs affichées, la position de ces
étiquettes, le style de texte, le trait, l’ombre et le remplissage des séries, le symbole
des points de données ainsi que le remplissage de ces derniers.
 Les graphiques en barres ou en colonnes simples ou empilées partagent leurs attributs à l’exception de la position des étiquettes de valeur. Les graphiques en barres
ou en colonnes possèdent cependant des remplissages distincts.
 Les ombres des graphiques 3D sont partagées entre les types de graphiques.
Si vous changez le type d’un graphique par un autre partageant certains des attributs,
ces derniers sont alors conservés. Les attributs partagés regroupent les axes, les quadrillages, les marques de graduation, les étiquettes des axes, l’affichage de la valeur minimale,
le format des nombres, les bordures, les rotations d’objets, les ombres ainsi que le style
d’éclairage 3D.
Vous en saurez plus à propos de ces attributs tout au long du reste de ce chapitre.
Modification de données dans un graphique
Pour modifier les données d’un graphique, ouvrez l’Éditeur de graphiques et saisissez
les données en les tapant ou en les copiant et les collant à partir d’Excel, d’AppleWorks
ou d’autres tableurs.
Pour ouvrir l’Éditeur de graphiques :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Modifier les données. 168 Chapitre 8 Utilisation des graphiques
Vous pouvez également choisir Format > Graphique > Afficher l’Éditeur de graphiques.
Copie de données dans l’Éditeur de graphiques
Vous pouvez copier des données à partir d’Excel, d’AppleWorks, ou de toute autre
application de feuille de calcul et les coller dans l’Éditeur de graphiques.
Pour utiliser des données issues d’une autre feuille de calcul :
1 Ouvrez la feuille de calcul et sélectionnez toutes les cellules appropriées.
2 Appuyez simultanément sur les touches Commande et C.
3 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Modifier les données pour ouvrir l’Éditeur de graphiques.
4 Sélectionnez la cellule supérieure dans la première colonne de l’Éditeur de graphiques.
5 Appuyez simultanément sur les touches Commande et V.
Utilisation de rangs et de colonnes dans l’Éditeur de graphiques
Modifiez les noms des rangs et des colonnes puis réorganisez, ajoutez ou supprimer
des rangs et des colonnes.
Voici différentes manières d’utiliser des rangs et des colonnes dans l’Éditeur
de graphiques :
m Pour modifier le nom des rangs et des colonnes ou pour modifier les données d’une
cellule, double-cliquez sur la cellule ou sur l’étiquette d’un rang ou d’une colonne et
saisissez ce que vous désirez.
m Pour réorganiser des rangs ou des colonnes, faites glisser leur étiquette vers un nouvel
emplacement.
Faites glisser les étiquettes
afin de les réorganiser.
Tapez les données graphiques directement
dans les cellules de la
feuille de calcul.
Cliquez sur ces boutons afin
d’ajouter un autre rang ou une
autre colonne de données.Chapitre 8 Utilisation des graphiques 169
m Pour ajouter des rangs ou des colonnes, cliquez sur Insérer un rang ou Insérer une colonne
afin de placer un rang au-dessus du rang sélectionné ou une colonne à gauche de la
colonne sélectionnée. Si aucun rang ni aucune colonne n’est sélectionné, le nouveau rang
ou la nouvelle colonne apparaît en bas ou à droite du tableau (pour visualiser le nouveau
rang ou la nouvelle colonne, vous devez appuyer sur la touche Retour ou Tab, agrandir la
fenêtre de l’Éditeur de graphiques ou encore faire défiler l’affichage).
Sinon, sélectionnez n’importe quelle cellule vide, saisissez vos données et appuyez ensuite
sur la touche Retour. Un nouveau rang ou une nouvelle colonne est automatiquement créé.
m Pour supprimer des rangs ou des colonnes, sélectionnez leur étiquette et appuyez
ensuite sur la touche Retour.
m Pour déterminer si les séries de données du graphique sont représentées en rangs
ou en colonnes dans l’Éditeur de graphiques, cliquez sur un bouton Rang / colonne.
Mise en forme des attributs généraux d’un graphique
Vous pouvez redimensionner et repositionner des graphiques et des légendes. Vous
pouvez ajouter un titre au graphique. Vous pouvez mettre en forme les éléments des
graphiques (polices, textures, couleurs, étiquettes d’axes et de points de données, ainsi
que marques de graduation). Vous pouvez ajuster l’angle et le style d’éclairage des graphiques 3D.
Utilisation d’une légende
La légende du graphique décrit la signification des couleurs utilisées pour traiter
les points de données dans chaque série de données.
Vous pouvez afficher ou masquer la légende d’un graphique et la repositionner.
Voici différentes manières d’utiliser une légende de graphique :
m Pour afficher la légende, sélectionnez le graphique puis sélectionnez Afficher la légende
dans l’Inspecteur des graphiques.
m Pour modifier les étiquettes dans la légende, modifiez les étiquettes de série dans l’Éditeur
de graphiques ou sélectionnez la légende et modifiez le texte directement dedans.
m Pour mettre en forme le texte de la légende, reportez-vous à la rubrique « Mise en
forme des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 176.
m Pour masquer la légende, sélectionnez le graphique puis désélectionnez Afficher
la légende dans l’Inspecteur des graphiques.
Vous pouvez également sélectionner la légende et appuyer sur la touche Suppr.
m Pour déplacer la légende, sélectionnez-la et faites-la glisser.170 Chapitre 8 Utilisation des graphiques
Utilisation d’un titre de graphique
Vous pouvez ajouter un titre au graphique. Celui-ci peut être mis en forme.
Voici différentes manières d’utiliser un titre de graphique :
m Pour ajouter un titre, sélectionnez le graphique puis choisissez Afficher le titre dans
l’Inspecteur des graphiques. Remplacez le texte du paramètre fictif par votre titre.
m Pour mettre en forme le texte d’un titre, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme
des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 176.
m Pour masquer le titre, sélectionnez le graphique puis désactivez l’option Afficher
le titre dans l’Inspecteur des graphiques.
Redimensionnement d’un graphique
Vous pouvez augmenter ou réduire la taille d’un graphique en faisant glisser l’une
de ses poignées de sélection ou en utilisant l’inspecteur des mesures.
Voici différentes manières de redimensionner un graphique :
m Cliquez sur le graphique pour le sélectionner, puis faites glisser une poignée de sélection
active. Ces poignées sont dotées d’un pourtour noir.
m Pour préserver les proportions d’un graphique, maintenez la touche Maj enfoncée
lorsque vous faites glisser le graphique pour le redimensionner.
m Pour redimensionner un graphique dans un sens, faites glisser une poignée latérale
au lieu d’une poignée d’angle.
m Pour redimensionner en spécifiant des dimensions exactes, cliquez sur Inspecteur dans
la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures puis sur Mesures. Cette sousfenêtre vous permet de spécifier une nouvelle largeur, hauteur et un angle de rotation, et
également de modifier la distance entre le graphique et les marges.
Rotation de graphiques
Il existe plusieurs techniques de rotation pour les graphiques 2D. Vous ne pouvez pas
faire pivoter (ou retourner) les graphiques 3D. Si un graphique 3D est regroupé avec
des graphiques 2D, vous pouvez faire pivoter le groupe mais sachez que seuls les graphiques 2D pivoteront.Chapitre 8 Utilisation des graphiques 171
Voici différentes manières de faire pivoter des graphiques 2D :
m Sélectionnez le graphique, maintenez enfoncée la touche Commande et déplacez le
pointeur vers une poignée de sélection active jusqu’à ce qu’elle se transforme en flè-
che double courbe, puis faites glisser une poignée de sélection.
m Pour faire pivoter un graphique par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches
Maj et Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection.
m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures puis faites glisser la molette de rotation ou utilisez les commandes d’angle pour
définir l’angle du graphique.
Les graphiques sectoriels peuvent également être pivotés par le biais de l’Inspecteur des
graphiques (reportez-vous à la « Rotation de graphiques sectoriels 2D » à la page 179).
Ajout d’étiquettes et de marques d’axe
Utilisez la sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des graphiques pour mettre en forme
le quadrillage et l’aspect général des axes du graphique.
La plupart des graphiques possèdent deux axes (X et Y). Selon le type de graphique, les
points de données sont tracés sur l’un des axes et les jeux de données sont regroupés
sur l’autre axe. L’axe des points de données est appelé axe des valeurs et celui des jeux
de données axe des catégories.
Définissez les attributs des étiquettes,
marques de graduation et autres.
Sélectionnez des unités pour
les valeurs du graphique.
Affichez ou masquez les axes et les
bordures des graphiques (pour les graphiques 2D uniquement).
Définissez la plage des valeurs qui
apparaissent sur la grille du graphique.172 Chapitre 8 Utilisation des graphiques
Affichage des axes et des bordures
Vous pouvez afficher tous les éléments suivants d’un graphique : l’axe X, l’axe Y et les bordures du graphique.
Pour afficher les axes et les bordures :
1 Sélectionnez un graphique.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Axes.
3 Choisissez un ou plusieurs éléments dans le menu local Axes et bordures pour
les sélectionner.
Un élément sélectionné comporte en face une coche ; choisissez de nouveau l’élément
afin de le désélectionner.
Utilisation de titres d’axes
Vous pouvez ajouter un titre sur l’axe des X et sur l’axe des Y d’un graphique. Celui-ci
peut être mis en forme.
Voici différentes manières d’utiliser un titre d’axe :
m Pour ajouter le titre d’un axe, sélectionnez le graphique, puis l’option « Afficher les titres
de catégorie » dans le menu local Axe des X ou « Afficher les titres de valeur » dans le
menu local Axe des Y de la sous-fenêtre Axes de l’inspecteur des graphiques. Remplacez
le texte du paramètre fictif par votre titre.
m Pour mettre en forme le texte d’un titre, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme
des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 176.
m Pour masquer le titre d’un axe, sélectionnez le graphique, puis décochez l’option « Afficher
les titres de catégorie » dans le menu local Axe des X ou « Afficher les titres de valeur »
dans le menu local Axe des Y de la sous-fenêtre Axes de l’inspecteur des graphiques.
Affichage des étiquettes de point de données
Vous pouvez afficher les valeurs de point de données sur des colonnes, barres, portions
de graphique sectoriel et autres éléments de graphiques 2D et 3D.
Pour mettre en forme des étiquettes de point de données :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries.
3 Choisissez Afficher la valeur dans le menu local Réglages de point de données.
Pour afficher la valeur en pourcentage ou la valeur logarithmique au lieu d’une valeur
absolue, choisissez Pourcentage ou Logarithmique dans le menu local Axe des X ou
Axe des Y de la sous-fenêtre Axes.Chapitre 8 Utilisation des graphiques 173
Pour les graphiques sectoriels, choisissez « Afficher les valeurs des portions en % » dans
le menu local « Réglages de pt de données » afin d’afficher les valeurs en pourcentages.
Pour afficher le nom des séries de données d’une portion, choisissez « Afficher le nom
des séries » dans le menu local Réglages de pt de données.
4 Sélectionnez un emplacement pour l’étiquette dans le menu local Réglages de pt
de données (par exemple, Au milieu ou En bas à droite).
5 Spécifiez le nombre de décimales à afficher en saisissant un nombre dans le champ
Décimales.
6 Pour mettre en forme les étiquettes de point de données, reportez-vous à la rubrique
« Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 176.
Mise en forme de l’axe des valeurs
Vous pouvez définir les valeurs et unités à afficher le long de l’axe des valeurs, c’est-à-dire
l’axe le long duquel vous lisez les valeurs des points de données. Pour les graphiques à
colonnes (barres verticales), les graphiques à lignes et les graphiques à couches, l’axe
des Y est l’axe des valeurs. Pour les graphiques à barres horizontales, l’axe des X est l’axe
des valeurs. Dans le cas des graphiques en nuage de points, les deux axes constituent
des axes de valeurs. Les graphiques sectoriels ne comportent pas d’axe des valeurs. Pour
en savoir plus sur la mise en forme de graphiques sectoriels, reportez-vous à la rubrique
« Graphiques sectoriels » à la page 177.)
Pour mettre en forme l’axe des valeurs :
1 Sélectionnez un graphique.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Axes.
3 Pour définir la valeur à l’origine du graphique, tapez un nombre dans le champ Minimum
(sous Format de l’axe des valeurs).
La valeur Minimum ne peut pas être supérieure à la valeur minimale de l’ensemble
du jeu de données.
4 Pour définir le nombre le plus élevé qui s’affiche sur l’axe des valeurs, tapez un nombre
dans le champ Maximum.
La valeur Maximum ne peut pas être inférieure à la valeur maximale de l’ensemble
du jeu de données.
5 Pour spécifier le nombre de marques sur l’axe entre les valeurs minimale et maximale,
spécifiez un nombre dans le champ Intervalles.
6 Pour afficher la valeur de donnée minimale sur l’axe des valeurs, sélectionnez « Afficher
les étiquettes de valeur » et « Afficher la valeur minimale » dans le menu local Axes des X,
Axe des Y ou « Étiquettes, graduations, quadrillage » en fonction du graphique.
7 Pour spécifier des unités pour les valeurs de l’axe, saisissez-les sous Format des nombres
dans le champ Préfixe ou Suffixe (ou choisissez un symbole dans les menus locaux).174 Chapitre 8 Utilisation des graphiques
8 Pour afficher des valeurs logarithmiques sur l’axe des valeurs, choisissez Logarithmique
dans le menu local Axe des X ou Axe des Y, en fonction du graphique. Cette option est
disponible uniquement pour les graphiques 2D à barres/colonnes qui ne sont pas empilés et pour les graphiques linéaires. Vous ne pouvez pas tracer de valeurs négatives sur
l’axe logarithmique.
9 Pour afficher des valeurs en pourcentage sur l’axe des valeurs de graphiques empilés, choisissez Pourcentage dans le menu local Axe des X ou Axe des Y de la sous-fenêtre Axes.
Pour les graphiques sectoriels, choisissez « Affi. val. des portions en % » dans le menu
local Réglages de pt de données afin d’afficher les valeurs en pourcentages.
Mise en place d’étiquettes, de quadrillage et de marques de graduation
Les menus locaux Axe des X et Axe des Y (sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des graphiques) fournissent une série d’options permettant de placer des marques de graduation,
des étiquettes et des quadrillages le long de l’axe des valeurs ou de l’axe des catégories.
Les options de ces menus locaux varient selon le type de graphique que vous sélectionnez.
Pour les graphiques à barres verticaux (graphiques à colonnes), les graphiques linéaires
et les graphiques à couches, l’axe des Y correspond à l’axe des valeurs et celui des X à
l’axe des catégories. Pour les graphiques à barres horizontales, l’axe des X est l’axe des
valeurs. Dans le cas des graphiques en nuage de points, les deux axes constituent des
axes de valeurs. En ce qui concerne les graphiques 3D, les axes des X et des Y sont les
mêmes que pour leur version 2D.
Pour mettre en forme les marques d’axe :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Axes.
3 Pour mettre en forme l’axe des X, choisissez une option dans le menu local Axe des X.
Pour un graphique à colonnes, le menu se présente de la manière suivante :
Placez des marques le
long de l’axe des X.
Afficher ou masquer le quadrillage de l’axe des X.
Définissez le sens du texte pour les
étiquettes de l’axe des catégories.
Afficher ou masquer les titres et les
étiquettes de l’axe des catégories.Chapitre 8 Utilisation des graphiques 175
4 Pour mettre en forme l’axe des Y, choisissez une option dans le menu local Axe des Y.
Le menu se présente sous la forme suivante dans le cas d’un graphique à colonnes :
Mise en forme des éléments d’une série de données
Vous pouvez utiliser un ensemble complet d’effets visuels pour enrichir l’aspect des élé-
ments composant les séries de données (par ex. barres, portions et formes de couches).
Pour mettre en forme des éléments de séries de données :
1 Pour mettre en forme toutes les séries de données, sélectionnez le graphique.
Pour mettre en forme les éléments d’une série de données individuelle, sélectionnez
le graphique puis cliquez sur l’un des éléments de la série.
Pour tous les types de graphiques, à l’exception des graphiques sectoriels, sélectionner
un élément d’une série (une barre, par exemple) sélectionne automatiquement la série
entière. Dans les graphiques sectoriels, vous sélectionnez des portions individuelles.
2 Pour remplir les éléments de série de données dans une couleur ou une texture choisie,
cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, sur le bouton Inspecteur des graphiques,
puis sur Couleurs des graphiques.
Choisissez un type de remplissage (par exemple, parmi les texture de remplissage 3D)
dans le premier menu local, puis une collection de remplissage (par exemple, Marbre
ou Bois) dans le second.
Pour remplir les éléments dans toutes les séries de données, cliquez sur Tout appliquer.
Le premier remplissage est appliqué aux éléments de la première série, le deuxième
remplissage à la deuxième série, ainsi de suite.
Pour remplir des éléments dans une seule série de données, faites glisser le remplissage
vers un élément (barre, colonne, etc.) de la série.
Placez des marques le
long de l’axe des Y.
Affichez ou masquez le
quadrillage de l’axe des Y.
Affichez ou masquez les étiquettes de l’axe des valeurs.176 Chapitre 8 Utilisation des graphiques
3 Pour régler l’opacité, le trait, l’ombre et autres attributs graphiques d’éléments de séries,
cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes.
4 Pour régler les couleurs d’éléments de séries, reportez-vous à la rubrique « Remplissage
d’un objet avec de la couleur » à la page 87.
5 Pour remplir des éléments de séries avec l’une de vos images, reportez-vous à la rubrique
« Remplissage d’objet avec une image » à la page 89.
6 Pour mettre en forme les étiquettes de point de données, reportez-vous à la rubrique
« Affichage des étiquettes de point de données » à la page 172.
Vous pourrez trouver des instructions relatives à la mise en forme de graphiques de
types spécifiques dans la rubrique « Mise en forme de types de graphiques spécifiques »
à la page 177.
Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes
Vous pouvez modifier la taille et l’apparence des titres de graphique et d’axe, des étiquettes
d’axe, des étiquettes de point de données et des légendes.
Pour mettre en forme le texte des étiquettes et des légendes :
1 Sélectionnez le texte à mettre en forme.
Pour mettre en forme tous les titres et étiquettes de graphique, cliquez sur celui-ci pour
le sélectionner. Si vous sélectionnez le texte pour une étiquette de point de données
ou d’axe, tout le texte de ce type est également sélectionné. Vous devez modifier la police
des légendes séparément.
2 Utilisez le menu Format ou le panneau Police pour mettre en forme le texte. Pour obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques « Utilisation du menu Format pour mettre en forme le texte » à la page 44 et « Utilisation du panneau Police pour mettre en
forme le texte » à la page 46.
Ajout de texte descriptif à un graphique
Vous pouvez ajouter un texte descriptif à un graphique, comme lorsque vous souhaitez
fournir des informations de référence pour un point de données en particulier.
Pour ajouter du texte :
1 Créez une zone de texte. Reportez-vous à la rubrique « Ajout de zones de texte libre »
à la page 65 pour en connaître les instructions.
2 Faites-la glisser vers l’endroit souhaité sur le graphique.
3 Saisissez votre texte dans la zone correspondante.
Vous pouvez éventuellement regrouper le graphique et la zone de texte de manière à ce
que le texte reste proche du graphique. Cliquez en appuyant sur la touche Maj pour sélectionner à la fois le graphique et la zone de texte, puis choisissez Disposition > Grouper.Chapitre 8 Utilisation des graphiques 177
Mise en forme de types de graphiques spécifiques
Plusieurs styles de graphiques proposent des options uniques pour la mise en forme
de leurs éléments.
Graphiques sectoriels
Pour les graphiques sectoriels, Keynote trace uniquement le premier point de données
pour chaque série de données. Si les séries de données sont organisées en rangs, seule
la première colonne est représentée ; si elles sont organisées en colonnes, seul le premier
rang est représenté.
Par conséquent, un graphique sectoriel représente un seul jeu de données et chaque
portion représente un élément de ce jeu. Vous pouvez représenter n’importe quel jeu
de données en le déplaçant vers le premier rang ou la première colonne.
Vous pouvez mettre en forme un graphique sectoriel complet ou bien des portions
individuelles de celui-ci.
Sélection de portions individuelles dans un graphique sectoriel
Si vous désirez mettre en forme une ou plusieurs portions, vous devez d’abord
les sélectionner.
Voici différentes manières de sélectionner des portions sur un graphique sectoriel
sélectionné :
m Pour sélectionner une seule portion, cliquez dessus.
m Pour sélectionner toutes les portions, sélectionnez-en une et appuyez simultanément
sur les touches Commande et A.
m Pour sélectionner des portions non adjacentes, maintenez enfoncée la touche Commande
tout en sélectionnant chaque portion.
m Pour sélectionner un ensemble de portions adjacentes, sélectionnez la première portion
puis maintenez la touche Maj enfoncée tout en sélectionnant la dernière portion.
Affichage des noms de séries dans un graphique sectoriel
Sur les graphiques sectoriels, vous pouvez afficher le noms des séries.
Pour afficher le nom des séries dans un graphique sectoriel :
1 Sélectionnez le graphique ou les portions individuelles.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries.
3 Choisissez « Afficher le nom des séries » dans le menu local « Étiquette de point de
données ».
4 Choisissez À l’intérieur ou À l’extérieur dans le menu local Étiquette de point-image.178 Chapitre 8 Utilisation des graphiques
Éloignement de portions individuelles du graphique
Pour augmenter l’impact visuel des portions, vous pouvez les séparer du graphique. Vous
pouvez ajouter un nom de série aux portions éloignées pour les faire ressortir davantage, tel
que décrit dans la rubrique « Affichage des étiquettes de point de données » à la page 172.
Voici différentes manières d’éloigner des portions de graphique individuelles :
m Pour éloigner une portion du centre d’un graphique sectoriel 2D ou 3D, sélectionnez-la
et faites-la glisser ou utilisez le réglage Éloigner dans la sous-fenêtre Séries de l’Inspecteur
des graphiques.
m Pour éloigner toutes les portions en partant du centre d’un graphique sectoriel 3D,
sélectionnez le graphique avant d’utiliser le réglage Éloigner.
Ajout d’ombres aux graphiques sectoriels et aux portions
Vous pouvez placer des ombres sur des portions individuelles ou sur le graphique entier.
L’application d’ombres aux portions individuelles donne l’impression que les portions se
trouvent sur différentes couches.
Lorsque vous ajoutez une ombre à la portion d’un graphique, il est judicieux de la séparer
tout d’abord. Reportez-vous à la rubrique « Éloignement de portions individuelles du
graphique » ci-dessus, pour obtenir des instructions.
Pour ajouter des ombres :
1 Sélectionnez le graphique ou les portions individuelles.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries.
3 Pour ajouter des ombres aux portions, choisissez Individuelle dans le menu local Ombre.
Pour ajouter des ombres à l’ensemble du graphique, choisissez Groupée dans le menu
local Ombre.
4 Pour définir des attributs d’ombre, utilisez l’Inspecteur des graphismes. Reportez-vous
à la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 84 pour en connaître les instructions.
Éloignez une portion en
utilisant le curseur Éloigner et en lui attribuant
un nom de série.Chapitre 8 Utilisation des graphiques 179
Réglage de l’opacité des graphiques sectoriels
Vous pouvez modifier l’opacité du graphique et d’éléments de graphique individuels,
comme la légende. Reportez-vous à la rubrique « Ajustement de l’opacité » à la page 85
pour plus d’informations.
Rotation de graphiques sectoriels 2D
Vous pouvez utiliser plusieurs techniques pour faire pivoter un graphique sectoriel 2D.
Voici différentes manières de faire pivoter un graphique sectoriel :
m Sélectionnez le graphique, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries, et enfin utilisez la molette Angle de rotation
ou le champ correspondant.
m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures
puis faites glisser la molette de rotation ou utilisez les commandes d’angle pour définir
l’angle du graphique.
m Sélectionnez le graphique, maintenez enfoncée la touche Commande et déplacez le
pointeur vers une poignée de sélection active jusqu’à ce qu’elle se transforme en flè-
che double courbe, puis faites glisser une poignée de sélection.
m Pour faire pivoter le graphique par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches
Maj et Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection ou une molette
de rotation.
Graphiques à barres et à colonnes
Il est possible d’appliquer des ombres à une série de données spécifique ou à l’ensemble
du graphique. Vous pouvez ajuster l’opacité du graphique dans son ensemble ou pour
des séries individuelles (mais pas des barres individuelles). Vous pouvez également ajuster
l’espacement entre les jeux de données ou entre des barres individuelles.
Réglage de l’espacement des graphiques à barres et à colonnes
Vous pouvez ajuster l’espace entre les différentes barres ou les jeux de données.
Pour régler l’espacement :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries.
Séparez les barres individuelles du graphique.
Séparez les jeux de
données du graphique.
Ajoutez des ombres aux barres
ou aux jeux de données.180 Chapitre 8 Utilisation des graphiques
3 Pour changer l’espacement entre les barres, tapez une valeur (ou cliquez sur les flèches)
dans le champ Espace entre les barres.
Pour changer l’espace entre les jeux de données, spécifiez une valeur dans le champ
« Espace entre les séries ».
La valeur est le pourcentage de l’épaisseur des barres. Le fait de réduire l’espace entre
les barres les rend plus épaisses.
Vous pouvez également déplacer le pointeur près du bord d’une barre jusqu’à ce qu’il
devienne une double flèche, puis faire glisser afin de rendre les barres plus épaisses
ou plus fines.
Ajout d’ombres aux graphiques à barres et à colonnes
Vous pouvez ajouter des ombres à chacune des barres du graphique ou à chaque groupe
de barres.
Si vous souhaitez ajouter des ombres à des barres individuelles, il est judicieux de les séparer auparavant. Reportez-vous à la rubrique « Réglage de l’espacement des graphiques à
barres et à colonnes » à la page 179 pour en connaître les instructions.
Pour ajouter des ombres :
1 Sélectionnez le graphique.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur des graphiques,
puis sur Séries.
3 Pour ajouter des ombres aux barres individuelles, choisissez Individuelle dans le menu
local Ombre.
Pour ajouter des ombres à chaque groupe de barres, choisissez Groupée dans le menu
local Ombre.
4 Pour définir des attributs d’ombre, utilisez l’Inspecteur des graphismes. Reportez-vous
à la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 84 pour en connaître les instructions.
Réglage de l’opacité des graphiques à barres et à colonnes
Vous pouvez modifier l’opacité du graphique et d’éléments de graphique individuels,
comme la légende. Reportez-vous à la rubrique « Ajustement de l’opacité » à la page 85
pour plus d’informations.Chapitre 8 Utilisation des graphiques 181
Graphiques à couches et linéaires
Dans le cas des graphiques à couches et des graphiques linéaires, vous pouvez repré-
senter des points de données par des symboles (cercles, triangles, carrés et losanges).
Voici différentes manières de mettre en forme des graphiques à couches
et des graphiques linéaires :
m Pour mettre en forme des symboles, sélectionnez une série de données (forme ou ligne
de couche), cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur
des graphiques, puis sur Séries. Choisissez un symbole dans le menu local Symbole de
point de données.
Utilisez les options du menu local Remplissage du symbole pour appliquer de la couleur
ou des images aux symboles. Pour obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques
« Remplissage d’objet avec une image » à la page 89 et « Remplissage d’un objet avec de
la couleur » à la page 87.
m Pour définir la couleur de ligne sur les graphiques linéaires, sélectionnez une ligne, cliquez
sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes, puis
utilisez les réglages de trait. Reportez-vous à la rubrique « Modification du style des
bordures » à la page 82 pour obtenir des instructions.
m Pour ajouter des ombres sur des graphiques à couches ou linéaires, sélectionnez une série
de données (forme ou ligne de couche), cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes, puis utilisez les réglages d’ombre. Reportezvous à la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 84 pour obtenir des instructions.
Les points de données de
cette série sont représentés
par des cercles.
Les points de données de
cette série sont représentés par des triangles.
Choisissez un symbole à utiliser
pour les points de données.
Remplissez les symboles des
points de données avec de la
couleur ou des images.182 Chapitre 8 Utilisation des graphiques
Graphiques en nuage de points
Sur les graphiques en nuage de points, les données s’affichent différemment des autres
types de graphiques. Ils nécessitent au moins deux colonnes ou rangs de données pour
tracer les points représentant les valeurs d’une série de données individuelle. Pour pouvoir afficher plusieurs séries de données, vous devez utiliser dans ce cas des paires de
colonnes ou de rangs supplémentaires.
Chaque paire de valeurs détermine ainsi la position de chaque point de données. La première valeur rencontrée dans la paire équivaut à l’axe des X du point. La seconde valeur
rencontrée équivaut à l’axe des Y du point.
L’illustration suivante représente un graphique en nuage de points par défaut :
Le graphique s’appuie sur les données du paramètre fictif dans l’Éditeur de graphiques :
Voici différentes manières d’utiliser un graphique en nuage de points :
m Pour mettre en forme un symbole pour une série de données, reportez-vous à la rubrique
« Mise en forme des éléments d’une série de données » à la page 175.
m Pour préciser les réglages s’appliquant aux axes, utilisez la sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des graphiques. Puisque les deux axes de graphiques en nuage de points possèdent
des valeurs, les réglages de mise en forme des axes de valeurs s’appliquent aussi bien à
l’axe des X qu’à celui des Y. Chaque axe peut néanmoins posséder son propre format de
nombres. Reportez-vous à la rubrique « Mise en forme de l’axe des valeurs » à la page 173
pour obtenir des instructions.Chapitre 8 Utilisation des graphiques 183
Graphiques 3D
Tous les types de graphiques, à l’exception des graphiques en nuage de points, peuvent
être convertis en graphiques 3D.
Voici les versions en 2D et 3D d’un graphique sectoriel.
Et voici les versions en 2D et 3D d’un graphique linéaire.
Pour définir les réglages de la scène 3D :
1 Sélectionnez un graphique 3D.
2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur l’Inspecteur des graphiques,
puis sur Scène 3D.
3 Modifiez l’angle d’affichage du graphique, son style d’éclairage et sa profondeur à votre
guise, à l’aide des commandes de Scène 3D.
Flèches d’angle d’affichage : faites glisser une des flèches pour affiner l’angle. Cliquez sur la
flèche verticale et faites-la glisser vers le haut ou vers le bas pour déplacer le graphique en
conséquence. Cliquez sur la flèche horizontale et faites-la glisser vers la gauche ou vers la
droite pour déplacer le graphique en conséquence. Pour déplacer le graphique dans les
deux sens, cliquez à l’intersection des flèches et faites glisser.
Style d’éclairage : sélectionnez un élément dans ce menu local afin d’ajuster l’effet
d’éclairage.
Profondeur du graphique : faites glisser ce réglage pour augmenter ou réduire la profondeur des éléments 3D.9
184
9 Affichage, impression et
exportation de votre diaporama
Ce chapitre décrit les différentes manières de partager votre
présentation Keynote.
Vous pouvez visionner une présentation Keynote sur l’écran de votre ordinateur ou en la
projetant sur un grand écran. Il est possible de définir la lecture automatique de votre diaporama pour l’utiliser sur une borne. Vous pouvez exporter votre présentation sous forme
de séquence QuickTime, de présentation PowerPoint, de fichier Flash ou de document PDF.
Vous pouvez également l’imprimer directement depuis Keynote et choisir parmi toute une
gamme de dispositions.
Personnaliser une présentation pour un public
Selon la façon dont il sera visionné, vous pouvez configurer votre diaporama de différentes
façons :
 Normal : avance quand le présentateur clique sur la souris ou utilise l’un des raccourcis
clavier de la présentation. Sauf si vous choisissez une autre option, votre diaporama
fonctionnera ainsi.
 Liens uniquement : passe d’une diapositive à une autre uniquement lorsque le présentateur (ou visualiseur) clique sur un lien hypertexte.
 Lecture automatique : avance automatiquement comme un film. Aucune interaction
de l’utilisateur n’est possible. Les présentations à lecture automatique sont utiles, par
exemple, dans une configuration de type borne automatique.
 Enregistré : lit la présentation comme une séquence utilisant votre narration pré-enregistrée et votre minutage. Les spectateurs peuvent suspendre l’exécution de la présentation. Reportez-vous à la rubrique « Ajout de narration » à la page 107.
Pour plus d’informations sur les autres options, telles que la conception d’un diaporama
à lecture automatique, simple ou en boucle, consultez « Réglage des options de lecture »
à la page 187.Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 185
Création de présentations à liens uniquement
Grâce aux liens, vous pouvez créer des commandes permettant de naviguer dans un diaporama. La Visite guidée d’iWork est un exemple de présentation comprenant uniquement
des liens hypertextes. (Pour ouvrir le document, choisissez Aide > Visite guidée d’iWork.)
Pour créer une présentation comprenant uniquement des liens hypertextes :
1 Configurez un diaporama à l’aide de liens hypertextes permettant de naviguer vers
des diapositives déterminées.
Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Création d’un lien vers une
diapositive » à la page 70.
2 Dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur des documents, choisissez « Liens uniquement » dans le menu local Présentation.
Au cours d’une présentation à liens uniquement, le pointeur n’apparaît que sur les diapositives contenant des liens. Pour que le pointeur apparaisse quand la souris se déplace à
l’écran, choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Diaporama, puis choisissez « Afficher
pointeur lorsque la souris se déplace ».
Création de présentations à lecture automatique
Il est possible de définir la lecture automatique de votre présentation, par exemple
si vous souhaitez l’utiliser sur une borne interactive.
Dans une présentation à lecture automatique, les transitions ou les compositions configurées pour démarrer automatiquement démarrent tout comme elles le feraient avec une
présentation classique. Les transitions et les compositions configurées pour démarrer d’un
clic de souris se produisent aussi automatiquement après le délai indiqué dans les champs
Délai de l’Inspecteur des documents. Les valeurs spécifiées dans les champs Délai sont
appliquées à toutes les transitions et compositions configurées pour commencer au clic
de souris.186 Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Bien que les spectateurs ne puissent interagir avec ce type de présentation, ils peuvent
arrêter les présentations à lecture automatique de la même manière que les autres types
de diaporamas (en appuyant sur la touche Échap, par exemple). Pour éviter que les utilisateurs n’arrêtent une présentation à lecture automatique, ne leur fournissez pas de clavier,
ou exigez un mot de passe pour quitter la présentation.
Pour configurer un diaporama en lecture automatique :
1 Si l’Inspecteur du document n’est pas ouvert, cliquez sur le bouton Inspecteur dans
la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur de Document.
2 Cliquez sur Document.
3 Choisissez lecture automatique dans le menu local Présentation.
4 Pour spécifier le délai entre le moment où vous cliquez et celui où les transitions
commencent, tapez une valeur dans le champ Transitions (ou cliquez sur les flèches).
5 Pour spécifier le délai entre le moment où vous cliquez et celui où les compositions
commencent, tapez une valeur dans le champ Compositions (ou cliquez sur les flèches).
6 Pour définir d’autres options, telles qu’un mot de passe, activez les cases à cocher
Réglages du diaporama.
Consultez la prochaine rubrique pour en savoir plus.
Le bouton Inspecteur
des documents
Spécifiez le point de démarrage des
effets démarrant « au clic de la souris ».
Choisissez le type du
diaporama.Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 187
Réglage des options de lecture
Vous pouvez, entre autres options, lancer un diaporama automatiquement lors de son
ouverture ou activer la lecture en boucle d’une présentation.
Pour modifier les options de lecture :
1 Si l’Inspecteur du document n’est pas ouvert, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils,
puis cliquez sur le bouton Inspecteur de Document.
2 Dans l’encadré Réglages du diaporama de la sous-fenêtre Document, sélectionnez
les options appropriées :
Lire automatiquement une fois ouvert : la présentation démarre à l’ouverture du document
Keynote.
Lire le diaporama en boucle : quand elle atteint la dernière diapositive, la présentation
reprend la lecture à partir de la première.
Redémarrer le diaporama si inactif durant : en l’absence d’interaction utilisateur durant
la durée indiquée en minutes, le diaporama recommence.
Demander un mot de passe pour sortir du diaporama : pour pouvoir quitter la présentation,
les spectateurs doivent fournir le nom d’utilisateur et le mot de passe de l’administrateur
actuel de l’ordinateur.
Test et visualisation de présentations
Les présentations plein écran tirent le meilleur parti des graphismes nets et des animations homogènes pouvant être réalisés avec Keynote. Vous pouvez afficher une présentation plein écran sur l’écran de votre ordinateur, sur un second écran ou la projeter sur
grand écran ; vous pouvez diffuser séquences et son au cours de la présentation.
Ajout des notes de l’intervenant
Utilisez le champ des notes de l’intervenant pour saisir ou afficher les notes de chaque
diapositive. Vous pouvez imprimer les notes de l’intervenant ou les afficher sur un autre
écran que vous seul pouvez voir pendant que vous effectuez votre présentation. (Les
notes de l’intervenant sont différentes des commentaires, comme l’illustre la rubrique
« Utilisation de commentaires » à la page 35.)
Le champ des notes est
donc une zone que vous
pouvez utiliser comme
aide-mémoire.188 Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Voici comment gérer les notes de l’intervenant :
m Pour afficher les notes de l’intervenant, cliquez sur Affichage dans la barre d’outils,
puis sélectionnez Afficher les notes de l’intervenant.
m Pour ajouter des notes d’intervenant, saisissez le texte dans la zone sous le canevas
de la diapositive.
m Pour imprimer les notes de l’intervenant, sélectionnez Fichier > Imprimer, sélectionnez
ensuite Keynote dans le menu local Copies et pages, puis sélectionnez Diapos avec notes.
m Pour masquer les notes de l’intervenant, sélectionnez Affichage > Masquer les notes
de l’intervenant.
Test de votre présentation
L’affichage de test permet de visualiser les informations de l’intervenant sans nécessiter
un second écran ; vous pouvez ainsi tester et affiner le minutage de la présentation.
En affichage de test vous pouvez présentez la diapositive en cours, la prochaine diapositive et les éléments sélectionnés dans les préférences de l’Affichage de l’intervenant
(voir « Personnalisation de l’écran de l’intervenant » à la page 192). Les commentaires
sont visibles s’ils étaient masqués lorsque vous avez accédé à l’affichage de test.
Pour tester votre diaporama :
m Choisissez Présentation > Tester le diaporama.
Pour quitter l’affichage de test, appuyez sur Échap. Pour parcourir les notes de l’intervenant en avant ou en arrière, appuyez sur la touche U ou sur la touche D.
Affichage d’une présentation sur l’écran de votre ordinateur
La méthode la plus simple de visionnage d’un diaporama est l’affichage sur l’écran
de votre ordinateur. Ce format est idéal pour un public restreint.
Pour visionner une présentation plein écran sur un écran unique :
1 Ouvrez le document Keynote et sélectionnez la diapositive à afficher en premier.
2 Exécutez l’une de ces actions :
Si la présentation n’a pas été enregistrée, cliquez sur Lire dans la barre d’outils. Pour aller à la
diapositive ou à la composition d’objet suivante,cliquez sur la souris ou appuyez sur la Flè-
che droite ou la barre d’espace. Pour arrêter la présentation, appuyez sur Échap ou sur Q.
Si la présentation a été enregistrée, cliquez sur Lire dans la barre d’outils ou sélectionnez
Affichage > Lecture du diaporama enregistré. Pour mettre en pause l’image et le son,
appuyez sur H. Pour relancer, cliquez sur l’icône de Keynote dans le Dock. Pour arrêter
la lecture, appuyez sur la touche Échap.
Pour connaître les autres options, reportez-vous à la rubrique « Commande d’une pré-
sentation à l’aide du clavier » à la page 195.Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 189
Affichage d’une présentation sur un écran externe ou un projecteur
L’affichage simultané du diaporama et d’informations destinées à l’intervenant (les notes
et une horloge, par exemple) sur un écran, et du diaporama seul sur un écran différent
pour les spectateurs est désigné sous le nom de configuration à double affichage.
Il ne sera pas possible d’utiliser une configuration de double affichage sur certains ordinateurs portables ; vous devez afficher le même diaporama sur les deux écrans (cette technique s’appelle la recopie vidéo). Si votre ordinateur dispose de moins de 32 Mo de VRAM
(mémoire vive vidéo), il se peut que vous deviez utiliser la recopie vidéo pour afficher le
diaporama sur un projecteur externe. Pour plus d’informations, reportez-vous aux rubriques « Configuration de la mémoire vive vidéo (VRAM) » à la page 194 et « Conseils d’utilisation d’un écran externe » à la page 190.
Pour visualiser une présentation en double affichage :
1 Raccordez le second écran ou projecteur selon les instructions de l’appareil et les instructions de votre ordinateur.
Reportez-vous à la rubrique « Conseils d’utilisation d’un écran externe » à la page 190
pour en savoir plus sur les recommandations de réglage.
2 Choisissez Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Moniteurs.
3 Cliquez sur Disposition et suivez les instructions à l’écran.
Si vous ne voyez pas le bouton Disposition, c’est que votre ordinateur ne détecte
qu’un moniteur.
4 Assurez-vous que Affichages miroir n’est pas sélectionné.
5 Choisissez Keynote > Préférences, puis cliquez sur Diaporama.
Choisissez l’écran d’affichage des diapositives
pendant un diaporama à
l’aide de la configuration
double affichage.190 Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
6 Sélectionnez Présenter sur l’écran principal ou Présenter sur l’écran secondaire.
L’écran principal est l’écran dans lequel apparaît la barre des menus. Si vous choisissez « Pré-
senter sur l’écran secondaire », vous pouvez personnaliser l’écran principal du présentateur.
Reportez-vous à la rubrique « Personnalisation de l’écran de l’intervenant » à la page 192.
7 Cliquez sur Lire dans la barre d’outils.
8 Avancez dans la présentation en cliquant sur la souris ou en appuyant sur la barre
d’espace. Voir « Commande d’une présentation à l’aide du clavier » à la page 195
pour d’autres options.
Conseils d’utilisation d’un écran externe
Vous pouvez lire votre diaporama Keynote sur différents types de projecteurs et d’écrans
externes.
Voici les moyens d’obtenir la meilleure qualité vidéo dans votre présentation :
m Si vous avez le choix entre un connecteur DVI et un connecteur VGA pour connecter le
projecteur, choisissez un connecteur DVI. Les connexions DVI fournissent généralement
la meilleure qualité d’image et sont plus faciles à configurer.
m Réglez la résolution écran préférée (taille de l’image affichée) dans la sous-fenêtre
Moniteurs des Préférences Système. Reportez-vous à ces informations dans la documentation de l’écran. Pour la plupart des projecteurs, la résolution écran favorite est
800 x 600 ou 1024 x 768. La plupart des moniteurs LCD (à cristaux liquides) et DLP
(Digital Light Processing) fonctionnent avec plusieurs résolutions mais l’une d’elles
est la résolution la mieux adaptée à l’affichage.
m Dans la sous-fenêtre Moniteurs des Préférences Système, définissez la fréquence de rafraî-
chissement écran (c’est-à-dire le nombre de fois par seconde où les images sont mises à
jour à l’écran). Si vous utilisez un moniteur LCD, un projecteur LCD ou un projecteur DLP,
essayez de faire coïncider la fréquence de rafraîchissement de votre ordinateur ou de
votre carte vidéo avec la fréquence de rafraîchissement optimale du périphérique d’affichage. (Cela ne pose généralement de problème que si vous utilisez une connexion de
type VGA avec un moniteur LCD ou DLP. Les moniteurs à tube cathodique (CRT) ne sont
généralement pas limités à une seule fréquence de rafraîchissement optimale.)
Pour changer la fréquence de rafraîchissement de l’écran de votre moniteur, choisissez
Pomme > Préférences Système, cliquez sur Moniteurs, cliquez sur Affichage, puis testez
différentes options du menu local Taux de rafraîchissement.
m Si les couleurs d’affichage semblent « délavées » lorsque vous connectez un nouveau
projecteur ou si le texte est irrégulier, il peut être nécessaire de calibrer le moniteur.
Ouvrez l’utilitaire ColorSync (dans Applications/Utilitaires) pour étalonner les couleurs.
VGA port DVI portChapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 191
Affichage de la même présentation sur deux écrans
La recopie vidéo permet d’afficher le même diaporama sur deux moniteurs ou projecteurs.
Vous pouvez recourir à la recopie vidéo lorsque vous présentez un diaporama à un public
nombreux.
La recopie vidéo ne vous permet pas de présenter des informations de l’utilisateur sur
un autre écran. Pour ce faire, voir « Affichage d’une présentation sur un écran externe
ou un projecteur » à la page 189.
Sur certains ordinateurs, l’option de recopie vidéo est intégrée. Si ce n’est pas le cas du
vôtre, vous devrez configurer cette option dans la sous-fenêtre Moniteurs des Préférences Système. Certains modèles d’ordinateurs portables ne prennent pas en charge la
recopie vidéo.
Pour visualiser une présentation en utilisant la recopie vidéo :
1 Raccordez le second écran ou projecteur selon les instructions de l’appareil et les instructions de votre ordinateur.
Reportez-vous à la rubrique « Conseils d’utilisation d’un écran externe » à la page 190
pour en savoir plus sur les recommandations de réglage.
2 Choisissez Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Moniteurs.
3 Choisissez une résolution et un nombre de couleurs.
Utilisez les mêmes réglages pour les deux écrans.
4 Cliquez sur Organiser et sélectionnez Moniteurs en miroir.
5 Ouvrez le document Keynote et cliquez sur Lire dans la barre d’outils (ou sélectionnez
Affichage > Lecture du diaporama).
Pour aller à la diapositive ou à la composition d’objet suivante, appuyez sur la barre
d’espace ou cliquez sur la souris.
Keynote offre généralement une lecture sans à-coups des animations. Néanmoins, si
les deux écrans possèdent des fréquences de rafraîchissements différentes, il se peut
que l’image d’un des deux écrans semble « sauter » car Keynote ne peut synchroniser
qu’avec une seule fréquence de rafraîchissement à la fois. Si vous utilisez Keynote sur
un iBook, un PowerBook, un MacBook ou un MacBook Pro doté de Mac OS X version
10.3.9 ou ultérieur, Keynote effectue la synchronisation avec l’écran extérieur. Si vous
utilisez un ordinateur de bureau et deux moniteurs, tentez de déterminer quel moniteur
est synchronisé avec Keynote. Reportez-vous à la rubrique « Réglage de la fréquence de
rafraîchissement de l’écran » à la page 193 pour obtenir plus d’informations.192 Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Personnalisation de l’écran de l’intervenant
Si votre présentation est configurée en mode double affichage (un moniteur destiné à
l’intervenant, un autre destiné au public), ou si vous voulez répéter votre présentation à
l’aide d’un seul moniteur (Voir « Test de votre présentation » à la page 188), vous pouvez
demander l’affichage d’informations destinées à l’intervenant, telles qu’une horloge ou
un chronomètre. Vous pouvez utiliser ces options pour toutes les présentations hormis
pour les présentations à lecture automatique.
Pour personnaliser l’écran de l’intervenant :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Écran de l’intervenant.
2 Sélectionnez « Utiliser un écran alternatif pour présenter les informations de l’intervenant ».
3 Sélectionnez les options que vous souhaitez voir apparaître sur l’écran de l’intervenant.
Quand la case « Indicateur Prêt à avancer » est cochée, la barre des menus s’affiche en
rouge pendant la durée de l’animation de la composition des objets pour vous avertir
de ne pas encore passer à la prochaine diapositive. La barre des menus devient verte
lorsque la composition est terminée.
4 Pour réorganiser les éléments de l’écran de l’intervenant, cliquez sur Modifier la disposition des informations de l’intervenant.
Des commentaires sont visibles sur l’écran intervenant s’ils n’ont pas été masqués (voir
« Utilisation de commentaires » à la page 35).
Sélectionnez les options
qui apparaissent sur
l’écran de l’intervenant.
Cliquez pour réorganiser
les fenêtres de l’écran de
l’intervenant.
Cochez cette case pour
afficher les informations
de l’intervenant sur un
autre écran (pendant un
diaporama, si vous avez
configuré le double affichage ).
Sélectionnez pour que la
barre des menus s’affiche en rouge pendant
qu’une composition est
en cours d’animation et
en vert à la fin de celle-ci.Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 193
Réglage de la fréquence de rafraîchissement de l’écran
Si vous utilisez la recopie vidéo (affichage de la même présentation sur deux écrans) et
remarquez des artefacts (déchirement ou tremblement de l’image) au cours des animations, il peut être judicieux de modifier la fréquence de rafraîchissement de l’affichage
de l’écran externe.
Pour obtenir la meilleure qualité d’animation, utilisez la fréquence de rafraîchissement
naturelle du moniteur externe. Vous trouverez probablement cette information dans la
documentation du moniteur. Si ce n’est pas le cas, testez des fréquences de rafraîchissement différentes pour déterminer laquelle produit la meilleure qualité d’animation.
La plupart des moniteurs LCD possèdent une fréquence de rafraîchissement de 60 Hz.
La plupart des moniteurs CRT ne possèdent pas de fréquence d’actualisation optimale.
Pour changer de fréquence de rafraîchissement écran :
1 Choisissez Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Moniteurs.
2 Choisissez Affichage, puis choisissez une option dans le menu local Taux
de rafraîchissement.
Réglage de la taille de la diapositive
Pour une lecture de qualité optimale, la taille de vos diapositives doit être adaptée à la résolution d’écran du moniteur affichant le diaporama. La plupart des projecteurs fonctionnent
mieux avec des diapositives de 800 x 600. Des projecteurs plus récents peuvent afficher des
diapositives ayant une résolution de 1024 x 768 ou supérieure.
Si votre présentation comprend des séquences, vous avez la possibilité d’utiliser une
résolution supérieure. Dans ce cas, choisissez un thème haute densité (HD) avec une
résolution de 1920 x 1080 (tous les thèmes ne proposent pas de résolution supérieure).
Une résolution supérieure requiert davantage de mémoire et une puissance de traitement plus rapide.
Vous pouvez modifier la taille des diapositives d’un document Keynote dans la sous-fenêtre
Document de l’Inspecteur des documents. Si vous n’êtes pas sûr de la taille ou que vous
ne souhaitez pas modifier les dimensions d’origine des diapositives dans votre document,
Keynote lit les diapositives dans leurs dimensions d’origine ; elles apparaissent au milieu de
l’écran et sont entourées d’un bord noir. Si la taille des diapositives est trop grande pour le
moniteur, Keynote l’adapte automatiquement.
Keynote peut également agrandir les diapositives pour qu’elles occupent tout l’écran
lors de la lecture du diaporama. 194 Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Pour ajuster un diaporama au cours de la lecture :
1 Choisissez Keynote > Préférences.
2 Cliquez sur Diaporama.
3 Sélectionnez la case « Agrandir les diapositives pour qu’elles occupent tout l’écran ».
En fait, cette option ne modifie pas la taille des diapositives de votre document Keynote ;
elle met le document à l’échelle de l’écran. Cette option est susceptible de réduire la qualité vidéo lors de la lecture.
4 Si vous utilisez la transition Cube ou Miroir, n’oubliez pas de sélectionner « Réduire les
transitions Miroir pour éviter le découpage » ou « Réduire les transitions Cube pour éviter le découpage ». Autrement, une partie de la transition risque de ne pas être visible.
Configuration de la mémoire vive vidéo (VRAM)
Assurez-vous que votre ordinateur possède une quantité de VRAM suffisante pour que
les animations de transition et les compositions d’objets complexes s’affichent correctement. La VRAM est une zone de mémoire spéciale de la carte vidéo de l’ordinateur.
Keynote requiert au moins 8 Mo de VRAM pour lire les transitions. Pour les animations
plus complexes, comme certaines compositions d’objets, il est recommandé de disposer de 32 Mo de VRAM au minimum.
Pour connaître la quantité de VRAM de votre ordinateur, consultez les Informations
Système Apple situées dans Applications/Utilitaires. Ouvrez Informations Système Apple,
cliquez sur Cartes PCI/AGP, puis cliquez sur le triangle d’affichage en regard de votre
carte vidéo. Si votre ordinateur est doté de moins de 32 Mo de VRAM et que la lecture
du diaporama est de mauvaise qualité, vous pouvez tenter plusieurs actions.
Voici comment compenser l’insuffisance de VRAM :
m Activez la recopie vidéo (reportez-vous à la rubrique « Conseils d’utilisation d’un écran
externe » à la page 190). Cette configuration utilise moins de VRAM et peut être nécessaire
pour la lecture à des résolutions plus élevées. (Lorsque vous utilisez la recopie vidéo, il se
peut que l’un des deux moniteurs affiche des tremblements ou des déchirements d’image
lors de la lecture vidéo. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Réglage de
la fréquence de rafraîchissement de l’écran » à la page 193.)
m Réglez vos moniteurs sur des résolutions inférieures dans la sous-fenêtre Moniteurs
des Préférences Système. Les résolutions écran inférieures utilisent moins de VRAM.
m Réglez vos moniteurs sur un nombre inférieur de couleurs dans la sous-fenêtre Moniteurs
des Préférences Système. Réduire le nombre de couleurs utilisées de plusieurs millions
à plusieurs dizaines de milliers permet d’utiliser moins de VRAM.
Même avec 32 Mo de VRAM au minimum, il est toujours possible de constater un tremblement d’image à des résolutions d’écran très élevées lors de la composition d’objets
de grande taille en plusieurs parties (par exemple, en cas de composition d’un graphique
plein écran à une résolution de 1280 x 1024).Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 195
Commande des présentations
Si votre présentation n’est pas en lecture automatique, vous pouvez utiliser le clavier
pour mettre en pause et reprendre la lecture des diaporamas ainsi que pour naviguer
entre les diapositives. Vous pouvez également configurer l’écran de l’intervenant de
manière à ce qu’il affiche la prochaine diapositive, le temps écoulé, etc.
Si votre Mac comprend la télécommande Apple Remote, vous avez la possibilité de
l’utiliser pour contrôler une présentation. Pour de plus amples informations, reportezvous à l’Aide Mac ou à la documentation livrée avec votre ordinateur.
Commande d’une présentation à l’aide du clavier
Pour les diaporamas ne disposant pas de lecture automatique, vous pouvez utiliser
le clavier pour mettre en pause, reprendre et arrêter une présentation, atteindre des
diapositives précises, entre autres.
Voici comment afficher les raccourcis clavier :
m Pour afficher les touches permettant de contrôler le diaporama en cours de projection,
appuyez sur la touche Aide, la touche point d’interrogation (?) ou la touche barre oblique (/).
m Pour afficher la liste complète des raccourcis clavier Keynote, choisissez Aide >
Raccourcis clavier.
Mettre en pause une présentation et la reprendre
Vous pouvez mettre en pause une présentation et afficher la diapositive, un écran noir,
par exemple.
Voici comment mettre en pause une présentation et la reprendre :
m Pour mettre en pause une présentation et afficher la diapositive actuelle, appuyez sur F.
Appuyez sur n’importe quelle touche pour reprendre la présentation.
m Pour mettre en pause une présentation et afficher un écran noir, appuyez sur B.
Appuyez sur n’importe quelle touche pour reprendre la présentation.
m Pour mettre en pause la présentation et afficher un écran blanc, appuyez sur W.
Appuyez sur n’importe quelle touche pour reprendre la présentation.
m Pour mettre en pause la présentation et afficher la dernière application utilisée,
appuyez sur H. Pour relancer la présentation, cliquez sur l’icône de Keynote dans
le Dock.
m Cliquez sur un lien hypertexte qui ouvre une page Web, un message e-mail ou un fichier.
Pour relancer la présentation, cliquez sur l’icône de Keynote dans le Dock.196 Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Arrêt d’une présentation
Vous pouvez utiliser plusieurs touches pour arrêter une présentation.
Pour arrêter une présentation :
m Si la présentation n’est pas enregistrée, appuyez sur Échap, Q, Commande+. (point)
ou . (point).
m Si la présentation est enregistrée, appuyez sur Échap.
Naviguer vers la diapositive ou la composition suivante ou précédente
Vous disposez de plusieurs techniques pour naviguer vers les compositions et diapositives précédentes et suivantes au cours d’une présentation non enregistrée.
Voici comment naviguer vers les compositions et les diapositives :
m Pour passer à la composition suivante, cliquez sur le bouton de la souris ou appuyez
sur N, Espace, Retour, Page suiv., Flèche droite, Flèche vers le bas, Maj + Flèche droite,
ou Page suivante.
m Pour revenir à la composition précédente, appuyez sur Maj + Flèche gauche,
Maj+Page préc. ou [ (crochet gauche).
m Pour passer à la diapositive suivante, appuyez sur Maj+Flèche vers le bas, Maj+Page suiv.
ou ] (crochet droit).
m Pour revenir à la diapositive précédente, appuyez sur P, Supprimer, Page préc., Flèche
gauche, Flèche vers le haut ou Maj+Flèche vers le haut.
Atteindre une diapositive précise
Au cours d’une présentation non enregistrée, vous pouvez aisément atteindre une
diapositive précise.
Voici comment atteindre une diapositive précise durant une présentation :
m Si vous connaissez le numéro de la diapositive à atteindre, saisissez-le, puis appuyez
sur Retour ou sur Entrée.
m Pour parcourir les diapositives, utilisez le sélecteur de diapositives. Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 197
Pour ouvrir le sélecteur de diapositives, appuyez sur le signe plus (+), le signe égale (=)
ou le signe moins (-), ou bien saisissez un chiffre.
Pour vous déplacer d’une vignette à l’autre vers l’avant ou vers l’arrière, appuyez sur
les touches Flèche droite ou Flèche gauche, ou cliquez sur les flèches du sélecteur
de diapositives pour sauter trois diapositives.
Pour afficher la vignette de la première diapositive, appuyez sur la touche Flèche vers le
haut ; pour afficher la vignette de la dernière diapositive, appuyez sur la touche Flèche
vers le bas.
Pour afficher une diapositve précise, cliquez sur sa vignette ou saisissez le numéro de
diapositive et appuyez sur Retour.
Pour fermer le sélecteur sans changer la diapositive actuelle, appuyez sur Échap.
Vous pouvez également aller sur une diapositive particulière à l’aide d’un lien hypertexte,
comme décrit à la rubrique « Création d’un lien vers une diapositive » à la page 70.
Vous ne pouvez pas atteindre une diapositive ignorée (Voir « Ignorer des diapositives »
à la page 34).
Affichage du pointeur au cours d’une présentation
Vous pouvez configurer votre diaporama de façon à ce que le pointeur apparaisse uniquement sur les diapositives contenant des liens ou seulement lorsque vous déplacez
la souris.
Pour spécifier des options de pointeur :
1 Choisissez Keynote > Préférences, puis cliquez sur Diaporama.
2 Sélectionnez « N’afficher le pointeur que sur les diapositives dotées de liens ou de
séquences » ou « Afficher le pointeur lors du déplacement de la souris ».
Lors d’un diaporama, vous pouvez afficher ou masquer le pointeur en appuyant sur
la touche C.
Pour ouvrir le sélecteur
de diapositives pendant
une présentation,
appuyez sur le signe plus
+, =, - ou bien saisissez
un chiffre.
Sauter à une diapositive
en saisissant son
numéro et en appuyant
sur Retour.198 Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Utilisation d’autres applications au cours d’une présentation
Pour utiliser Exposé, Dashboard ou d’autres applications (telles que Remote Desktop) pendant la lecture de votre diaporama, il vous faut définir une préférence de Keynote. Choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Diaporama, puis sélectionnez « Permettre l’utilisation
de l’écran à Exposé, Dashboard et autres ». Si vous sélectionnez cette option, il se peut que
votre diaporama soit plus lent et que les animations s’affichent mal.
Les anciennes versions du logiciel Keyspan Remote ne sont pas configurées pour fonctionner avec Keynote, mais vous pouvez configurer Keyspan Remote manuellement.
Pour configurer Keyspan Remote en vue de son fonctionnement avec Keynote :
1 Ouvrez l’application KeySpanDMR (située dans le dossier Applications de votre disque dur).
2 Cliquez sur Configurer dans le bas de la fenêtre.
3 Choisissez KeySpanDMR > Ajouter une application.
4 Recherchez Keynote dans la zone de dialogue Choisir, puis cliquez sur Choisir.
Lecture de séquences et de son
Si votre diaporama comprend des séquences ou du son, vous pouvez enregistrer ces
fichiers multimédias dans le cadre de celui-ci. L’enregistrement de fichiers multimédias
dans un diaporama permet de transférer le diaporama sur un autre ordinateur sans avoir
à transférer les fichiers multimédias séparément.
Pour enregistrer des fichiers multimédias avec un diaporama :
1 Choisissez Fichier > Enregistrer sous.
2 Si Options avancées ne figure pas dans le bas de la zone de dialogue Enregistrer, cliquez
sur le triangle d’affichage à droite du champ Enregistrer sous.
3 Cliquez sur le triangle d’affichage à gauche d’Options avancées.
4 Assurez-vous que « Copier l’audio et la vidéo dans le document » est sélectionné et cliquez
sur Enregistrer.
Lorsque vous reproduisez un film pendant une présentation, des commandes de film
apparaissent lorsque vous déplacez le pointeur au dessus de celui-ci, si « Afficher les
commandes de lecture lorsque le pointeur es au-dessus d’un séquence » est sélectionné dans la sous-fenêtre Diaporama de Préférences Keynote. Les commandes disponibles dépendent de la taille (dimensions) du film :plus le film est petit, plus les
commandes sont visibles.Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 199
Vous pouvez également utiliser le clavier pour contrôler la lecture d’une séquence :
 Appuyez sur K pour mettre en pause ou reprendre la lecture.
 Pour rembobiner lorsque la lecture est en pause, appuyez sur J.
 Pour avancer lorsque la lecture est en pause, appuyez sur L.
 Appuyez sur I pour atteindre le début de la séquence.
 Appuyez sur O pour atteindre la fin de la séquence.
Vous pouvez régler le volume de lecture de l’audio et des séquences et spécifier le type
de lecture de vos fichiers multimédias : une seule fois, en continu ou en boucle dans les
deux sens. Reportez-vous à la rubrique « Réglage des options de lecture » à la page 187
pour en connaître les instructions.
Impression de vos diapositives
Vous pouvez imprimer votre diaporama Keynote de diverses manières en fonction de vos
besoins. Vous pouvez imprimer les diapositives avec ou sans leurs notes ou imprimer uniquement le diaporama au format structure ou au format document.
Pour imprimer des diapositives :
1 Pour imprimer des commentaires, assurez-vous que ceux-ci sont visibles dans le canevas
de la diapositive (cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et choisissez Afficher les commentaires).
2 Choisissez Fichier > Imprimer.
3 Pour imprimer une diapositive ou une plage de diapositives, entrez le ou les numéros
de la diapositive ou de la plage dans les champs de texte De et À.
Les numéros de diapositive s’affichent dans le navigateur de diapositives.
4 Pour indiquer les options d’impression de Keynote, choisissez Keynote dans le menu
local Copies et pages.
Sélectionnez les
options de mise en
forme de l’impression.
Choisissez Keynote
dans ce menu local.
Sélectionnez le modèle
de diapositives et de
documents que vous
désirez imprimer.
Convertissez le groupe
de diapositives en
fichier PDF.200 Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
5 Sélectionnez une option dans la zone de dialogue Imprimer :
Diapositives individuelles : imprime une diapositive par page sans les notes de l’intervenant.
Diapositives avec notes : imprime une diapositive par page avec les notes de l’intervenant.
Structure : imprime uniquement les titres des diapositives et le texte à puces (ce que
vous voyez avec le mode structure du navigateur de diapositives). Le texte figurant
dans les zones de texte libre n’est pas imprimé.
Document : propose des options permettant d’afficher plusieurs diapositives par page.
Pour accélérer la vitesse d’impression des documents, sélectionnez « Imprimer en qualité brouillon ».
6 Sélectionnez les options de mise en forme de l’impression :
Ne pas imprimer les arrière-plans de Diapositive ou les remplissages : la couleur et les objets
d’arrière-plan ne sont pas imprimés ; le texte clair est imprimé en noir. Cette option est
particulièrement utile pour imprimer des diapositives très colorées sur une imprimante
noir et blanc. Sur imprimante noir et blanc, les images en couleur sont imprimées avec
des niveaux de gris. Avec les imprimantes couleur, les fichiers graphiques importés dans
les diapositives sont imprimés en couleur.
Imprimer chaque étape de composition : permet d’imprimer une image de diapositive
pour chaque étape d’une composition d’objet (une diapositive présentant trois étapes
de composition sera imprimée sous forme de trois diapositives).
Inclure les diapositives ignorées : permet d’imprimer toutes les diapositives du navigateur
de diapositives, même si certaines sont signalées comme étant ignorées.
Ajouter des bordures aux diapositives : permet d’imprimer une ligne le long des bords
de chaque diapositive.
Inclure les numéros des diapositives : permet d’imprimer le numéro au bas de chaque
diapositive.
Inclure la date : permet d’imprimer la date sur chaque diapositive.
Imprimer les graphiques 3D haute résolution : améliore la qualité d’impression pour
les graphiques 3D.
7 Cliquez sur Imprimer.
Exportation d’un diaporama vers d’autres formats
Vous pouvez partager votre présentation entre plates-formes en l’exportant dans un autre
format, tel que QuickTime, PowerPoint et PDF. Vous pouvez également envoyer le diaporama directement vers iDVD, iPhoto, iWeb et GarageBand. En outre, vous pouvez convertir
votre diaporama en séquence visible sur iPod.Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 201
Partage d’une présentation entre plates-formes
Exportation de votre présentation dans des formats compatibles sur des plates-formes
différentes.
Création d’un film QuickTime
Vous pouvez convertir votre diaporama en séquence QuickTime contenant toutes
les transitions et compositions d’objet animées.
Vous pouvez créer une séquence interactive que les spectateurs visionnent à leur rythme
ou créer une séquence à lecture automatique dont vous avez minuté les transitions et les
compositions.
Pour créer une séquence QuickTime à partir de votre présentation :
1 Choisissez Fichier > Exporter, puis cliquez sur QuickTime.
2 Choisissez une option dans le menu local Utilisations Lecture.
Avance manuelle : les spectateurs lancent le diaporama en cliquant sur la souris ou sur
Lecture (dans les commandes de QuickTime) ou en appuyant sur la barre d’espace.
Liens uniquement : les spectateurs naviguent dans le diaporama en cliquant sur des liens.
Minutage enregistré : si vous avez enregistré votre diaporama (comme expliqué dans
« Ajout de narration » à la page 107), le film est reproduit avec le minutage enregistré.
Minutage fixe : les spectateurs n’ont aucun contrôle sur la vitesse d’avance car le diaporama est lu selon le minutage que vous définissez à la prochaine étape.
Pour les films à lecture
automatique (minutage
fixe), réglez la durée des
diapositives et des compositions d’objet.
Lisez la séquence une
seule fois, plusieurs fois
de suite (en boucle) ou
en en boucle dans les
deux sens.
Choisissez le type
de film.
Choisissez un format de
compression pour optimiser la taille de votre
séquence et la qualité
de la lecture.
Indiquez si votre diaporama comprend une
transparence que vous
souhaiter conserver.
Sélectionnez pour que le
film soit reproduit en
plein écran.202 Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
3 Si vous choisissez Minutage fixe, tapez les valeurs dans les champs de durée des diapositives et de durée des compositions.
Durée de la diapositive : durée de l’apparition à l’écran de chaque diapositive entièrement
composée après la fin de la dernière composition d’objet.
Durée de la composition : nombre de secondes écoulées entre le début d’une étape de
composition et la suivante dans chaque composition d’objet. Il n’y a pas de décalage
entre le moment où une diapositive apparaît à l’écran et la première étape d’une composition d’objet.
4 Si vous choisissez Minutage fixe, vous pouvez choisir une option dans le menu Répétition :
Aucune : le diaporama est lu en une fois.
Boucle : le diaporama est lu en continu.
Va-et-vient : le diaporama est lu du début à la fin, puis en arrière pour revenir au début,
et ainsi de suite.
5 Pour que le diaporama s’affiche en plein écran plutôt que dans une fenêtre, sélectionnez
« Utiliser le mode plein écran lors de l’ouverture ».
6 Dans le menu local Formats, choisissez une qualité de lecture et une taille de fichier :
Qualité maximale, grand : permet de conserver la meilleure qualité de lecture mais ces
séquences sont volumineuses et donc plus difficiles à transférer par courrier électronique ou sur le Web.
Film CD-ROM, moyen : idéal si vous utilisez un CD pour envoyer le diaporama à un autre
spectateur. Les séquences sont de haute qualité mais la taille des fichiers est un peu plus
petite que celle des séquences de qualité supérieure.
Film Web, petit : ces séquences ont généralement une moins bonne qualité de lecture
mais elles sont suffisamment petites pour que vous puissiez les partager sur le Web
ou par courrier électronique.
Personnalisé : permet de choisir les réglages de la compression vidéo ou audio dans
QuickTime et donc de contrôler le rapport taille-qualité du fichier.
7 Pour inclure la bande originale du diaporama ou l’audio enregistré, sélectionnez la case
à cocher Audio.
8 Si votre diaporama comprend un arrière-plan transparent que vous souhaitez conserver
pour votre séquence QuickTime, sélectionnez Inclure la transparence.
Lorsque cette option est sélectionnée, certaines transitions peuvent ne pas fonctionner
correctement.Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 203
9 Cliquez sur suivant, saisissez le titre de votre séquence, choisissez un emplacement
où l’enregistrer puis cliquez sur Exporter.
Si le diaporama comprend une bande originale, deux fichiers de séquence sont créés. Le
fichier auquel est adjoint la bande originale ne contient que l’audio et peut être ignoré.
Lorsque vous exportez un diaporama à lecture automatique sous forme de séquence
QuickTime, tenez compte des points suivants :
 Si le diaporama comprend une bande originale, la séquence ne se termine qu’à la fin
de l’audio. Si le diaporama est sensiblement plus court que l’audio, il vaut mieux que
vous utilisiez un fichier audio plus court.
 Si le diaporama contient un lien Quitter le diaporama, cliquer sur ce lien a pour effet
de sortir du mode plein écran.
Création d’un diaporama PowerPoint
Vous pouvez convertir des documents Keynote en fichiers PowerPoint qui pourront être
visionnés et modifiés par les utilisateurs de PowerPoint équipés d’ordinateurs Windows
ou Mac OS.
Pour créer un diaporama PowerPoint :
1 Choisissez Fichier > Exporter, puis cliquez sur PowerPoint.
2 Cliquez sur Suivant.
3 Nommez le fichier et choisissez-lui un emplacement, puis cliquez sur Exporter.
PowerPoint ne prend pas en charge certaines fonctions de Keynote :
 Certains éléments de texte à puces risquent d’être perdus. Si vous masquez le texte
à puces dans une diapositive (en désélectionnant Corps dans l’Inspecteur des diapositives), il est supprimé de la structure lors de l’exportation.
 PowerPoint ne prend pas en charge les images à canaux alpha, ce qui signifie que si
vous utilisez une image avec découpe de photo, l’image d’arrière-plan apparaît au
premier plan. Vous pourrez également remarquer de légères variations dans d’autres
graphismes.
Création d’un fichier PDF
Vous pouvez convertir votre diaporama en fichier PDF, qui pourra être visualisé ou imprimé
avec Adobe Acrobat Reader ou tout autre application gérant les PDF.
Si votre diaporama contient des liens, ils sont exportés comme des liens actifs dans
le document PDF.204 Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Voici comment créer un fichier PDF :
m Pour créer un fichier PDF à afficher uniquement (et qui ne doit pas être imprimé), choisissez Fichier > Exporter, puis cliquez sur PDF. Sélectionnez vos options (pour de plus
amples informations, reportez-vous à « Impression de vos diapositives » à la page 199),
cliquez sur Suivant, saisissez un nom et choisissez un emplacement pour le fichier, puis
cliquez sur Exporter.
Vous pouvez imprimer des documents PDF créés avec cette méthode mais vous obtiendrez de meilleurs résultats avec la suivante.
m Pour créer un fichier PDF destiné à être imprimé, choisissez Fichier > Imprimer, choisissez « Enregistrer en tant que PDF » dans le menu local PDF, puis cliquez sur Imprimer.
Dans la zone de dialogue Enregistrer, saisissez un nom, choisissez un emplacement pour
le fichier, puis cliquez sur Enregistrer.
Exporter des diapositives sous forme de fichiers image
Vous pouvez exporter toutes vos diapositives sous forme de fichiers image aux formats
JPEG, PNG ou TIFF.
Pour exporter des diapositives sous forme de fichiers image :
1 Choisissez Fichier > Exporter, puis cliquez sur Images.
2 Indiquez si la création concerne toutes les diapositives ou uniquement une plage
de diapositives.
3 Pour créer une image distincte pour chaque étape de composition, sélectionnez « Générer
des images différentes pour chaque étape de composition ».
4 Choisissez une option dans le menu local Format.
Plus la qualité est bonne, plus le fichier sera grand.
5 Si vous choisissez le format JPEG, utilisez les commandes Qualité pour indiquer un pourcentage entre basse qualité et haute qualité.
6 Cliquez sur Suivant.
7 Nommez le fichier, choisissez un emplacement pour les fichiers, puis cliquez sur Exporter.
Les fichiers sont nommés nomfichier.001, nomfichier.002, et ainsi de suite.
Vous pouvez également envoyer des fichiers d’image à iPhoto, comme décrit à la rubrique
« Création d’un album iPhoto » à la page 207.Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 205
Création d’un document Flash
Vous pouvez convertir votre diaporama en séquence Flash afin de le lire à l’aide
du visualiseur Flash.
Pour convertir votre diaporama en document Flash :
1 Choisissez Fichier > Exporter, puis cliquez sur Flash.
2 Pour inclure la bande originale du diaporama ou l’audio enregistré, sélectionnez
la case à cocher Audio.
3 Cliquez sur Suivant.
4 Tapez un nom de fichier, choisissez un emplacement pour ce fichier, puis cliquez
sur Exporter.
Création d’un document HTML
Vous pouvez transformer votre diaporama en document HTML qui pourra être consulté
avec Safari ou un autre navigateur Web. Dans ce cas, les spectateurs cliqueront sur des
liens pour faire avancer la présentation.
Pour exporter des diapositives vers un document HTML :
1 Choisissez Fichier > Exporter, puis cliquez sur HTML.
2 Indiquez si vous souhaitez exporter toutes les diapositives ou uniquement une étendue
de diapositives.
3 Pour créer une image distincte pour chaque étape de composition, sélectionnez
« Générer des images différentes pour chaque étape de composition ».
4 Pour associer un lien Début, Précédent et Suivant à chaque diapositive (selon le cas),
sélectionnez « Inclure les contrôles de navigation ».
5 Choisissez une option dans le menu local Format afin d’indiquer la qualité d’image voulue.
Plus la qualité est bonne, plus le fichier sera grand.
6 Si vous choisissez le format JPEG, utilisez les commandes Qualité pour augmenter
ou réduire le facteur de compression utilisé pour l’exportation.
7 Cliquez sur Suivant, saisissez un nom de fichier, indiquez un emplacement pour le fichier,
puis cliquez sur Exporter.206 Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Envoi d’une présentation aux applications iLife
Envoi d’une présentation directement à iDVD, iPhoto, iTunes, iWeb et GarageBand.
Création d’un projet iDVD
Vous pouvez créer un projet iDVD ou ajouter votre diaporama en tant que film à un projet
iDVD existant.
Pour créer une séquence iDVD à partir de votre présentation :
1 Choisissez Fichier > Envoyer vers > iDVD.
2 Choisissez une option dans le menu local Taille de la vidéo.
Standard : permet d’exporter les diapositives pour les visionner sur un écran vidéo
standard.
Écran large : permet d’exporter les diapositives pour les visionner sur un écran vidéo large.
3 Choisissez une option dans le menu local Utilisations Lecture.
Avance manuelle : les spectateurs lisent le film en cliquant sur la souris ou sur la flèche
droite, ou en appuyant sur la barre d’espace du clavier.
Minutage enregistré : Si vous avez enregistré votre diaporama (comme expliqué dans
« Ajout de narration » à la page 107), le film est reproduit avec le minutage enregistré.
Minutage fixe : les spectateurs n’ont aucun contrôle sur la vitesse d’avance car le diaporama est lu selon le minutage que vous définissez à la prochaine étape.
4 Si vous choisissez Minutage fixe, tapez les valeurs dans les champs de durée des diapositives et de durée des compositions.
Durée de la diapositive : durée de l’apparition à l’écran de chaque diapositive entièrement
composée après la fin de la dernière composition d’objet.
Durée de la composition : nombre de secondes écoulées entre le début d’une étape de
composition et la suivante dans chaque composition d’objet. Il n’y a pas de décalage
entre le moment où une diapositive apparaît à l’écran et la première étape d’une composition d’objet.
5 Pour inclure la bande originale du diaporama ou l’audio enregistré, sélectionnez les
cases à cocher Audio.
6 Cliquez sur Suivant, tapez un nom de fichier, spécifiez un emplacement (si vous ne souhaitez pas stocker la séquence dans le dossier Séquences, puis cliquez sur Exporter.Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 207
Création d’un album iPhoto
Vous pouvez convertir votre diaporama en album iPhoto, chaque diapositive devenant
un fichier image.
Pour créer un album iPhoto à partir d’un diaporama :
1 Choisissez Fichier > Envoyer vers > iPhoto.
2 Indiquez si la création concerne toutes les diapositives ou uniquement une plage
de diapositives.
3 Pour créer une image distincte pour chaque étape de composition, sélectionnez « Générer
des images différentes pour chaque étape de composition ».
4 Choisissez une option dans le menu local Format.
Plus la qualité est bonne, plus le fichier sera grand.
5 Si vous choisissez le format JPEG, utilisez les commandes Qualité pour indiquer un pourcentage entre basse qualité et haute qualité.
6 Cliquez sur Suivant, tapez le nom de votre album, puis cliquez sur Envoyer.
Si iPhoto n’est pas encore ouvert, il démarre ; votre nouvel album apparaît en bas de la liste.
Exportation vers iWeb
Si vous utilisez (ou si vous prévoyez d’utiliser) iWeb pour créer un site web, vous pouvez
envoyer votre diaporama vers iWeb de sorte que les visiteurs de votre site puissent le
télécharger et l’afficher en tant que fichier PDF, document Keynote ou podcast vidéo.
Votre diaporama est ajouté en tant qu’entrée de blog ou entrée de podcast.
Pour envoyer votre diaporama à iWeb :
1 Assurez-vous de disposer d'iWeb ‘08 ou ultérieur.
2 Dans Keynote, choisissez Fichier > Envoyer vers > iWeb.
3 Choisissez une option dans le menu local Type de fichier.
PDF : vous pouvez choisir la plupart des options décrites à la rubrique « Impression de vos
diapositives » à la page 199.
Keynote document : les visiteurs du site doivent utiliser Keynote pour afficher votre
diaporama.
Podcast vidéo : crée une séquence à lecture automatique.
4 Si vous optez pour Podcast vidéo, choisissez une option dans le menu local Utilisations
lecture :
Minutage enregistré : si vous avez enregistré votre diaporama (comme expliqué dans
« Ajout de narration » à la page 107), le film est reproduit avec le minutage enregistré.
Minutage fixe : les spectateurs n’ont aucun contrôle sur la vitesse d’avance car le film
est lu selon le minutage que vous définissez à la prochaine étape.208 Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
5 Si vous choisissez Minutage fixe, saisissez des valeurs dans les champs de durée :
Durée de la diapositive : durée de l’apparition à l’écran de chaque diapositive entièrement
composée après la fin de la dernière composition d’objet.
Durée de la composition : nombre de secondes écoulées entre le début d’une étape de
composition et la suivante dans chaque composition d’objet. Il n’y a pas de décalage
entre le moment où une diapositive apparaît à l’écran et la première étape d’une composition d’objet.
6 Pour inclure la bande originale du diaporama ou l’audio enregistré, sélectionnez la case
à cocher Audio.
7 Cliquez sur Envoyer.
Si iWeb n’était pas ouvert, il s’ouvre, et vous pouvez choisir le blog ou podcast à joindre à
votre diaporama. Si vous avez uniquement un blog ou podcast, le document y est attaché.
Exporter vers iTunes et iPod
Vous pouvez convertir votre diaporama en film pouvant être lu sur iTunes. Si vous avez
un iPod, vous pouvez utiliser iTunes pour y transférer le film.
Pour envoyer votre diaporama à iTunes ou iPod :
1 Dans Keynote, exécutez l’une de ces actions :
 Choisissez Fichier > Envoyer vers > iTunes.
 Choisissez Fichier > Exporter, puis cliquez sur iPod.
2 Choisissez une option dans le menu local Utilisations Lecture.
Minutage enregistré : si vous avez enregistré votre diaporama (comme expliqué dans
« Ajout de narration » à la page 107), le film est reproduit avec le minutage enregistré.
Minutage fixe : les spectateurs n’ont aucun contrôle sur la vitesse d’avance car le film
est lu selon le minutage que vous définissez à la prochaine étape.
3 Si vous choisissez Minutage fixe, saisissez des valeurs dans les champs de durée :
Durée de la diapositive : durée de l’apparition à l’écran de chaque diapositive entièrement
composée après la fin de la dernière composition d’objet.
Durée de la composition : nombre de secondes écoulées entre le début d’une étape de
composition et la suivante dans chaque composition d’objet. Il n’y a pas de décalage
entre le moment où une diapositive apparaît à l’écran et la première étape d’une composition d’objet.
4 Pour inclure la bande originale du diaporama ou l’audio enregistré, sélectionnez la case
à cocher Audio.Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 209
5 Cliquez sur Envoyer.
6 Tapez un titre, choisissez un emplacement pour le diaporama, puis cliquez sur Exporter.
Si iTunes n’était pas ouvert, il démarre alors. Votre diaporama est importé en tant que
séquence. Pour plus d’informations sur le transfert de film vers votre iPod, reportez-vous
à l’Aide iTunes.
Exportationvers GarageBand
Vous pouvez convertir votre diaporama en podcast vidéo avec des effets audio sophistiqués en l’exportant vers GarageBand.
Pour envoyer votre diaporama à GarageBand :
1 Dans Keynote, choisissez Fichier > Envoyer vers > GarageBand.
2 Choisissez une option dans le menu local Minutage.
Minutage enregistré : si vous avez enregistré votre diaporama (comme expliqué dans
« Ajout de narration » à la page 107), le film est reproduit avec le minutage enregistré.
Minutage fixe : les spectateurs n’ont aucun contrôle sur la vitesse d’avance car le film
est lu selon le minutage que vous définissez à la prochaine étape.
3 Si vous choisissez Minutage fixe, saisissez des valeurs dans les champs de durée :
Durée de la diapositive : durée de l’apparition à l’écran de chaque diapositive entièrement
composée après la fin de la dernière composition d’objet.
Durée de la composition : nombre de secondes écoulées entre le début d’une étape de
composition et la suivante dans chaque composition d’objet. Il n’y a pas de décalage
entre le moment où une diapositive apparaît à l’écran et la première étape d’une composition d’objet.
4 Pour inclure la bande originale du diaporama ou l’audio enregistré, sélectionnez la case
à cocher Audio.
5 Cliquez sur Envoyer.
6 Tapez un titre, choisissez un emplacement pour le diaporama, puis cliquez sur Exporter.
Si GarageBand n’était pas ouvert, il démarre alors. Votre diaporama est importé en tant
que séquence.210 Chapitre 9 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Enregistrement d’une présentation dans le format iWork ’05 ou iWork ’06
Si d’autres utilisateurs ouvrent votre diaporama à l’aide d’une version plus ancienne de
Keynote, vous pouvez exporter celui-ci dans le format iWork ’05 ou iWork ’06. De nouvelles caractéristiques incluses dans iWork ’08, telles que les compositions intelligentes
et l’enregistrement de diaporama peuvent ne pas être converties lorsque la présentation est ouverte avec une version précédente. D’autres éléments, tels que les fichiers
audio ou de séquence, fonctionnent de la même façon.
Pour enregistrer une présentation afin de pouvoir l’ouvrir dans iWork ’05 ou iWork ’06 :
1 Ouvrez le diaporama à exporter.
2 Choisissez Fichier > Enregistrer sous.
3 Tapez un nom pour ce fichier et sélectionnez un emplacement.
4 Sélectionnez « Enregistrer une copie » et choisissez iWork ’05 ou iWork ’06.
Si vous ne trouvez pas ces options, cliquez sur le triangle d’affichage à droite du champ
Enregistrer sous.
5 Si vous ne souhaitez pas inclure de fichier audio ou vidéo dans l’exportation, cliquez
sur Options avancées et désélectionnez « Copier l’audio et la vidéo dans le document »
(cette option est activée par défaut).
6 Cliquez sur Enregistrer.10
211
10 Conception de thèmes et modèles
de diapositive personnalisés
Ce chapitre explique comment modifier les attributs par
défaut des images, objets et autres éléments, ainsi que comment créer vos propres modèles de diapositive et thèmes.
Ce chapitre s’adresse aux personnes familiarisées avec les fonctionnalités de design
et de mise en forme de Keynote décrites dans les autres chapitres.
Conception de modèles de diapositive et de thèmes
Les thèmes de Keynote sont des ensembles de modèles de diapositive dont les dispositions, arrières-plans, graphiques, tableaux et attributs de texte sont prédéfinis et coordonnés. Vous pouvez modifier ces attributs afin de créer vos propres modèles et thèmes.
Lorsque vous modifiez un modèle de diapositive, les modifications apparaissent sur
chaque diapositive dans le document basé sur ce modèle.
Vous pouvez créer un nouveau thème en :
 Modifiant des modèles de diapositive et en enregistrant le document en tant que
nouveau thème.
 Supprimant tous les modèles de diapositive et en conservant uniquement le modèle
vide, en créant une collection de modèles de diapositive à partir de zéro et en enregistrant ensuite le document en tant que nouveau thème.
Vous pouvez personnaliser les attributs de modèle de diapositive suivants :
 Position par défaut du texte du titre et du corps de texte
 Graphismes d’arrière-plan
 Polices par défaut
 Styles de puces par défaut
 Emplacement par défaut des objets (paramètres fictifs d’objet)
 Remplissages d’objet et styles de lignes pour les objets
 Styles de graphiques
 Styles de transition
 Positions du guide d’alignement212 Chapitre 10 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
Utilisation des outils de modèle de diapositive
Vous pouvez utiliser le navigateur et l’Inspecteur de modèles de diapositive pour travailler
avec des modèles de diapositive.
Pour utiliser les outils des modèles de diapositive :
1 Ouvrez le navigateur de modèles de diapositive en cliquant sur Présentation dans la barre
d’outils et en choisissant Afficher les modèles de diapositive .
2 Dans le navigateur, sélectionnez un modèle de diapositive.
Reportez-vous à la rubrique « Sélection des modèles de diapositive à personnaliser »
à la page 214 pour en savoir plus sur la sélection de modèles de diapositive.
3 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils puis cliquez sur le bouton Inspecteur
des diapositives.
4 Pour modifier les attributs de disposition et d’arrière-plan, cliquez sur Apparence.
Reportez-vous à la rubrique « Personnalisation de dispositions de modèles de diapositive »
à la page 215 pour obtenir plus d’informations.
5 Pour ajouter ou modifier des transitions entre modèles de diapositive, cliquez sur
Transition.
Créez des espaces réservés
aux tableaux, graphiques,
affichages Web et graphismes importés.
Insérez des zones de titre et
de corps de texte dans vos
modèles de diapositive.
Sélectionnez pour que les
objets des diapositives se
superposent aux objets du
modèle.
Transformez un fichier
audio, vidéo, ou image en
un paramètre fictif pour un
autre support. Vous pouvez
également sélectionner du
texte ou une forme et définir un paramètre fictif.
Choisissez une couleur ou
une image d’arrière-plan.Chapitre 10 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 213
Reportez-vous à la rubrique « Définition des transitions par défaut » à la page 221 pour
obtenir plus d’informations.
Aperçu des modèles de diapositive
Au cours de votre travail sur un modèle de diapositive, vous pouvez tester vos modifications sur une diapositive normale afin d’avoir une meilleure idée de la nouvelle disposition. En alternant l’affichage de cette diapo de test avec celui du modèle, vous pouvez
réaliser des réglages précis, notamment rallonger ou raccourcir les lignes ou ajouter plusieurs niveaux de retrait. Afficher le texte d’une diapositive s’avère particulièrement utile
pour ajuster les taquets de tabulation et les espaces entre les lignes.
Pour tester un modèle de diapositive :
1 Sélectionnez une diapositive dans le Navigateur de diapositives et cliquez ensuite
sur Nouveau dans la barre d’outils ou appuyez sur Retour.
2 Appliquez la disposition du modèle de diapositive à tester en cliquant sur Modèles
dans la barre d’outils et en sélectionnant le modèle de diapositive.
3 Ajoutez du texte et des objets à la nouvelle diapositive, en revenant au besoin au modèle
pour y effectuer des réglages.
4 Si vous apportez à la diapositive des modifications qui remplacent les réglages du modèle
de diapositive (comme changer le fond de la diapositive) et si vous souhaitez que la
diapositive testée rétablisse les réglages du modèle de diapositive, sélectionnez celle-ci
et choisissez Format > Revenir au format du modèle pour la diapositive.
Cliquez pour prévisualiser la transition.
Réglez la durée
de la transition.
Réglez le point de
démarrage des transitions en mode lecture
automatique.
Réglez la direction de la
transition.
Choisissez le mode de
démarrage de la transition.
Choisissez une transition.214 Chapitre 10 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
Sélection des modèles de diapositive à personnaliser
Pour concevoir un nouveau modèle de diapositive, le plus simple est de partir d’un
modèle existant proche de celui désiré, qu’il se trouve dans le document courant ou
qu’il soit importé d’un autre document. Autre possibilité : créer un modèle de diapositive à partir de zéro, en travaillant sur une diapositive au départ vide.
Dupliquer un modèle de diapositive
Avant de modifier un modèle de diapositive, vous pouvez éventuellement le dupliquer
afin de pouvoir continuer à utiliser la version originale du modèle dans votre document.
Pour dupliquer un modèle de diapositive :
1 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils et choisissez « Afficher les modèles
de diapositive ».
2 Dans le navigateur de modèles de diapositive, sélectionnez le modèle à dupliquer.
3 Exécutez l’une de ces actions :
 Cliquez sur Nouvelle dans la barre d’outils.
 Choisissez Diapositive > Nouveau modèle de diapositive.
 Appuyez sur la touche Retour.
 Choisissez Édition > Dupliquer.
4 Dans le navigateur de modèles de diapositive, double-cliquez sur le nom de la nouvelle
diapositive et saisissez-en un autre.
Si vous apportez des modifications à un modèle de diapositive et si vous décidez ensuite
que vous préférez rétablir les réglages par défaut du thème, sélectionnez la diapositive et
choisissez Format > Revenir au format du modèle pour la sélection.
Importation de diapositive ou de modèle de diapositive
Vous pouvez importer des diapositives et des modèles de diapositive issus d’autres
documents Keynote.
Pour importer une diapositive ou un modèle de diapositive :
1 Ouvrez le document Keynote source (celui contenant la diapo à importer) et le document
Keynote courant (celui de destination).
2 Exécutez l’une de ces actions :
Pour importer une diapositive, faites-la glisser du navigateur de diapositives du document
source vers le navigateur de diapositives du document courant. La diapositive et le modèle
correspondant sont insérés dans le document courant. (Le modèle est la dernière diapositive du navigateur de modèles.)
Pour importer un modèle de diapositive, faites-le glisser du navigateur de modèles de diapositive vers celui du document courant.Chapitre 10 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 215
Création d’un modèle de diapositive à partir de zéro
Si vous ne trouvez pas de modèle de diapositive s’approchant du modèle souhaité,
vous pouvez en créer un à partir de zéro.
Pour créer un nouveau modèle de diapositive :
m Dans le navigateur, sélectionnez une diapositive vide.
m S’il n’y en a pas pour le thème que vous utilisez, sélectionnez un modèle de diapositive,
choisissez Édition > Tout sélectionner et appuyez ensuite sur la touche Suppr.
Personnalisation de dispositions de modèles de diapositive
Définissez les paramètres fictifs pour le texte, le support et les objets ; modifiez les éléments
de fond d’un modèle de diapositive ; ajoutez des guides d’alignement, etc.
Définition des paramètres fictifs d’un texte
Vous pouvez ajouter des paramètres fictifs pour un texte et y définir des attributs par
défaut pour le texte.
Pour définir le paramètre fictif d’un texte :
1 Dans le navigateur du modèle de diapositive, sélectionnez une diapositive (ouvrir le
navigateur de modèle de diapositive, cliquer sur Afficher dans la barre d’outils et choisir Afficher les modèles de diapositives).
2 Ouvrez l’Inspecteur des modèles de diapositive et cliquez ensuite sur Apparence.
3 Pour ajouter une zone de titre de paramètre fictif, sélectionnez Titre.
4 Pour ajouter une zone de corps de paramètre fictif, sélectionnez Corps.
Pour contrôler l’application de puces, de numéros ou du format standard par défaut
dans la zone de texte, utilisez la sous-fenêtre Puces de l’Inspecteur du texte.
5 Pour ajouter une zone de texte de paramètre fictif libre :
a Dans la barre d’outils, cliquez sur Zone de texte.
b Dans l’inspecteur de modèle de diapositive, sélectionnez « Définir comme paramètre
fictif de Texte » (ou choisissez Format > Avancé > Définir comme paramètre fictif de
texte).
Vous pouvez ajouter également une forme et la définir comme un paramètre fictif de texte.
6 Redimensionnez et réorganisez vos zones de texte.
7 Sélectionnez le texte du paramètre fictif et mettez-le en forme à votre guise.
Dans une zone de texte, vous pouvez définir des attributs pour 5 niveaux de texte
maximum.216 Chapitre 10 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
Définition des paramètres fictifs d’un support
Vous pouvez créer un ou plusieurs paramètres fictifs sur un modèle de diapositive afin
de conserver des images, des fichiers audio et des films. Lorsque vous ajoutez l’un de
ces éléments à une diapositive basée sur ce modèle, le fichier va automatiquement
dans le paramètre fictif à la position et la taille spécifiée.
Pour définir le paramètre fictif d’un support :
1 Sélectionnez un modèle de diapositive.
2 Ouvrez l’Inspecteur des modèles de diapositive et cliquez ensuite sur Apparence.
3 Sélectionnez « Définir comme paramètre fictif d’un support ».
4 (Facultatif) Tapez une description dans le champ Balise.
5 Redimensionnez et réorganisez le paramètre fictif.
6 (Facultatif) Ajoutez une image de paramètre fictif.
Définition des paramètres fictifs d’un objet
Vous pouvez créer un paramètre fictif sur un modèle de diapositive pour conserver des
tableaux et des graphiques. Lorsque vous ajoutez l’un de ces éléments à une diapositive
basée sur ce modèle, l’objet va automatiquement dans le paramètre fictif à la position
et la taille spécifiée.
Pour définir le paramètre fictif d’un objet :
1 Dans le navigateur du modèle de diapositive, sélectionnez une diapositive (ouvrir le
navigateur de modèle de diapositive, cliquer sur Afficher dans la barre d’outils et choisir Montrer les modèles de diapositives).
2 Ouvrez l’Inspecteur des modèles de diapositive et cliquez ensuite sur Apparence.
3 Sélectionnez le paramètre fictif de l’objet.
4 Positionnez et redimensionnez le paramètre fictif.
Création d’éléments d’arrière-plan sur des modèles de diapositive
Vous pouvez faire en sorte qu’un élément (par exemple le logo d’une société, ou un
autre graphisme, texte ou couleur) apparaisse sur chacune des diapositives basées sur
un modèle en particulier.
Cette technique permet notamment de créer des groupes de diapositives associées à
l’intérieur d’une présentation. Vous pourriez, par exemple, ménager une légère différence
dans l’arrière-plan de chaque groupe de diapositives. Vous devez pour ce faire créer un
groupe de modèles doté des différents arrière-plans choisis.Chapitre 10 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 217
Pour modifier l’arrière-plan d’un modèle de diapositive :
1 Sélectionnez le modèle de diapositive à utiliser.
2 Sélectionnez les éléments qui ne vous intéressent pas et appuyez sur la touche Suppr.
3 Si vous souhaitez définir un objet (figure, image, fichier son ou séquence vidéo, tableau
ou graphique) comme élément d’arrière-plan, ajoutez-le au modèle de diapositive puis
ajustez sa taille et positionnez-le sur la diapositive.
Une fois que vous avez placé un objet, vous pouvez sélectionner Disposition > Verrouiller
afin d’empêcher qu’il ne soit déplacé par inadvertance pendant que vous travaillez.
4 Pour autoriser l’entrelacement des objets modèles avec des objets insérés dans des diapositives basées sur ce modèle, ouvrez l’Inspecteur des modèles de diapositive, cliquez
sur Apparence et sélectionnez « Autoriser la superposition des objets ».
Pour en savoir plus sur l’application de couches aux objets, reportez-vous à la rubrique
« Déplacement d’objets vers l’avant ou vers l’arrière (disposition en couches) » à la page 77.
5 Pour remplir l’arrière-plan de la diapositive avec une couleur ou pour y insérer une image,
utilisez les contrôles d’arrière-plan dans la sous-fenêtre Apparence de l’Inspecteur des
modèles de diapositive.
Les arrière-plans multiples en couches sont couramment utilisés dans le cas des graphismes à canal alpha (images avec transparence) ; vous pouvez ajouter des objets à une diapositive et les organiser en couche afin qu’ils s’affichent à travers une partie de l’image
d’arrière-plan.
Ajout de guides d’alignement à des modèles de diapositive
Vous pouvez créer des guides d’alignement afin de vous aider à insérer votre texte et vos
graphismes de manière harmonieuse sur chaque diapositive. Les guides d’alignement
créés dans un modèle de diapositive sont disponibles lorsque vous insérez des objets sur
n’importe quelle diapositive utilisant ce modèle.
Pour créer des guides d’alignement dans un modèle de diapositive :
1 Sélectionnez le modèle de diapositive auquel vous désirez ajouter des guides d’alignement.
2 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils et sélectionnez Afficher les règles.
3 Placez le pointeur sur une règle et faites glisser un guide d’alignement vers n’importe
quel endroit du modèle de diapositive.
Pour placer un guide horizontal, faites-le glisser depuis la règle située en haut de la diapositive.
Pour placer un guide vertical, faites-le glisser depuis la règle située à gauche.
Vous pouvez également tourner les grilles qui affichent les modèles de diapositives et
apparaissent dynamiquement sur les diapositives. Pour plus d’informations, reportez-vous
à la rubrique « Utilisation d’un quadrillage principal » à la page 79.218 Chapitre 10 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
Définition des attributs par défaut des textes et des objets
Vous pouvez définir des attributs par défaut pour le texte et les objets
KeynoteVous pouvez par exemple spécifier que chaque fois que vous cliquez sur Tableau
dans la barre d’outils, le tableau par défaut est inséré, mis en forme avec le nombre de
rangs et de colonnes, avec la police d’en-tête et de corps de texte, ainsi que les couleurs
de bordure que vous avez prédéfinis.
Pour modifier les attributs par défaut d’un élément, vous créez l’élément avec les attributs
souhaités, puis vous définissez l’élément pour un modèle spécifique ou pour tous les modèles
dans le thème. Si vous définissez l’élément pour un modèle, les valeurs par défaut s’appliquent aux nouveaux éléments sur les diapositives basées sur ce modèle. Si vous définissez
l’élément pour tous les modèles, chaque nouvel élément dans le document utilise les
valeurs par défaut.
Définition des attributs par défaut des zones de texte et des figures
Vous pouvez définir les attributs par défaut des nouvelles zones de texte et figures.
Pour définir les attributs par défaut des zones de texte et des figures :
1 Créez une nouvelle diapositive dans le navigateur de diapositive.
2 Lorsque vous configurez des attributs par défaut pour un modèle de diapositive
en particulier (et non pour tous les modèles correspondant au thème actuel), cliquez
sur Modèles dans la barre d’outils et choisissez le modèle de diapositive.
3 Pour définir une zone de texte par défaut, cliquez sur Zone de Texte dans la barre d’outils
puis mettez en forme le paramètre fictif de texte. Reportez-vous à la rubrique « Mise en
forme de la taille et de l’apparence du texte » à la page 44 pour obtenir plus d’informations.
4 Exécutez l’une de ces actions :
 Pour que la zone de texte définie soit celle par défaut uniquement pour le modèle de
diapositive actuel, sélectionnez Format > Avancé Définir un texte pour le modèle actuel.
 Pour que la zone de texte soit celle par défaut de tous les modèles de diapositive du
thème actuel, sélectionnez Format > Avancé Définir un texte pour tous les modèles.
5 Pour définir une figure par défaut, insérez-la et configurez ensuite ses attributs. Pour
obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques « Modification des objets » à la
page 81 et « Remplissage d’un objet avec de la couleur » à la page 87.
6 Exécutez l’une de ces actions :
 Pour que la forme définie soit celle par défaut uniquement pour le modèle de diapositive actuel, sélectionnez Format > Avancé Définir une forme pour le modèle actuel.
 Pour que la forme soit celle par défaut de tous les modèles de diapositive du thème
actuel, sélectionnez Format > Avancé Définir une forme pour tous les modèles.
7 Si vous ne souhaitez pas que l’objet par défaut figure sur la diapositive, supprimez-le.Chapitre 10 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 219
Définition des attributs par défaut des images importées
Vous pouvez définir des attributs par défaut (notamment ombre, reflet, opacité et couleur du trait de bordure), afin qu’ils s’appliquent automatiquement à toutes les images
que vous insérez dans votre diaporama.
Pour définir les attributs par défaut des images :
1 Créez une nouvelle diapositive dans le navigateur de diapositive.
2 Si vous voulez configurer des attributs par défaut pour un modèle de diapositive en
particulier (et non pour tous les modèles utilisant le thème actuel), cliquez sur Modèles
dans la barre d’outils et choisissez le modèle de diapositive.
3 Positionnez une image sur la diapositive et définissez ses attributs par défaut. Reportezvous aux rubriques suivantes, pour plus d’instructions :
 « Importation d’une image » à la page 98
 « Ajout d’ombres » à la page 84
 « Ajustement de l’opacité » à la page 85
 « Modification du style des bordures » à la page 82
4 Exécutez l’une de ces actions :
 Pour que l’image définie soit celle par défaut uniquement pour le modèle de diapositive actuel, sélectionnez Format > Avancé > Définir une image pour le modèle actuel.
 Pour que l’image soit celle par défaut de tous les modèles de diapositive du thème
actuel, sélectionnez Format > Avancé > Définir une image pour tous les modèles.
5 Si vous ne souhaitez pas que l’image apparaisse sur la diapositive, supprimez-la.
Définition des attributs par défaut des tableaux
Vous pouvez définir des attributs de tableau comme le nombre de rangs et de colonnes,
les styles et couleurs de ligne, les styles de texte et les ombres.
Important : un tableau contient quatre zones différentes de mise en forme: l’en-tête de
rang, l’en-tête de colonne, les bordures intérieures et les bordures extérieures. Pour définir
les attributs du tableau par défaut, vous devez appliquer chaque attribut à l’ensemble
d’une zone de mise en forme. Par exemple, pour définir la mise en forme par défaut d’un
rang d’en-tête, vous devez modifier la mise en forme de toutes les cellules qu’il contient
(et non d’une seule cellule d’en-tête).
Pour définir les attributs par défaut des tableaux :
1 Créez une nouvelle diapositive dans le navigateur de diapositive.
2 Si vous configurez des attributs par défaut pour un modèle de diapositive en particulier
(et non pour tous les modèles correspondant au thème actuel), cliquez sur Modèles dans
la barre d’outils et choisissez le modèle de diapositive.220 Chapitre 10 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
3 Positionnez un tableau sur la diapositive. La rubrique « Ajout d’un tableau » à la page 127
vous indique la procédure à suivre.
4 Sélectionnez le tableau et définissez ses attributs.
Reportez-vous à la rubrique « Redimensionnement d’un tableau » à la page 130 si vous
désirez modifier les dimensions du tableau.
Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des rangs et des colonnes » à la page 143 pour
en savoir plus sur l’ajout et la suppression de colonnes et de rangs et sur la création de
rangs et de colonnes d’en-tête.
Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des cellules d’un tableau » à la page 146 pour
en savoir plus sur la division et la fusion de cellules d’un tableau, leur redimensionnement et la mise en forme de leurs bordures.
Reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des valeurs de cellule » à la page 137 pour
en savoir plus sur les options de mise en forme pour l’affichage des valeurs de cellules.
Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’images et de couleurs aux cellules » à la page 142
si vous désirez ajouter des graphismes au tableau.
5 Exécutez l’une de ces actions :
 Pour que le tableau défini soit celui par défaut uniquement pour le modèle de diapositive actuel, sélectionnez Format > Avancé > Définir un tableau pour le modèle actuel.
 Pour que le tableau soit celui par défaut de tous les modèles de diapositive du thème
actuel, sélectionnez Format > Avancé > Définir un tableau pour tous les modèles.
6 Si vous ne souhaitez pas que le tableau apparaisse sur la diapositive, supprimez-le.
Définition d’attributs par défaut pour les graphiques
Vous pouvez définir le type de graphique par défaut (celui qui apparaît lorsque vous
cliquez sur Graphique dans la barre d’outils), de même que l’aspect par défaut de chaque type de graphique. Les attributs par défaut doivent être définis séparément pour
chaque type de graphique.
Pour définir le style et la position par défaut des graphiques :
1 Créez une nouvelle diapositive dans le navigateur de diapositive.
2 Si vous configurez des attributs par défaut pour un modèle de diapositive en particulier
(et non pour toutes les diapositives correspondant au thème actuel), cliquez sur Modèles
dans la barre d’outils et choisissez le modèle de diapositive.
3 Positionnez un graphique sur la diapositive. Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’un
graphique » à la page 165 pour en connaître les instructions.Chapitre 10 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 221
4 Sélectionnez le graphique, puis définissez ses attributs.
Reportez-vous à la rubrique « Sélection d’un type de graphique » à la page 165 pour
savoir comment modifier un type de graphique.
Reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des attributs généraux d’un graphique » à
la page 169 pour savoir comment redimensionner un graphique, le faire pivoter et définir d’autres attributs que les graphiques ont en commun.
Reportez-vous à la rubrique « Mise en forme de types de graphiques spécifiques » à la
page 177 pour savoir comment mettre en forme des graphiques sectoriels, des graphiques à barres et autres types de graphiques.
5 Répétez les étapes 3 et 4 pour chaque type de graphique auquel vous souhaitez attribuer
des valeurs par défaut.
6 Pour chaque graphique, effectuez l’une des opérations suivantes après l’avoir sélectionné :
 Pour qu’un graphique soit celui par défaut uniquement pour le modèle de diapositive actuel, sélectionnez Format > Avancé Définir type de graphiquepour le modèle
actuel.
 Pour qu’un graphique soit celui par défaut de tous les modèles de diapositive du thème
actuel, sélectionnez Format > Avancé Définir type de graphiquepour tous les modèles.
7 Pour définir le type de graphique qui doit apparaître lorsque vous cliquez sur Graphique
dans la barre d’outils, sélectionnez le graphique correspondant et sélectionnez ensuite
Format > Avancé > Définir type de graphiquepar défaut pour le thème actuel.
8 Si vous ne souhaitez pas que les graphiques apparaissent sur la diapositive, supprimez-les.
Définition des transitions par défaut
Vous pouvez spécifier un style de transition par défaut pour un modèle de diapositive
afin que toutes les diapositives basés sur celui-ci utilisent automatiquement le style
spécifié pour passer à la diapo suivante.
Pour choisir le style de transition par défaut d’un modèle de diapositive :
1 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils et choisissez Afficher les modèles de diapositive.
2 Dans le navigateur, sélectionnez un modèle de diapositive.
3 Dans la sous-fenêtre Transition de l’Inspecteur des modèles de diapositive, définissez
la transition. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Ajout de transitions
entre les diapositives » à la page 112.222 Chapitre 10 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
Création de versions sur les modèles de diapositive
Vous pouvez ajouter des versions d’objets à un modèle de diapositive de sorte que
les effets de version apparaissent sur chacune des diapositives basées sur ce modèle.
Par exemple, si vous prévoyez de créer un certain nombre de diapositives avec du texte
à puces, et que vous souhaitez que chacune d’entre elle inclue une composition entrante
puce par puce, créez un modèle de diapositive avec les effets de composition souhaités
et utilisez ensuite le modèle pour créer les autres diapositives.
Pour créer une composition sur un modèle de diapositive :
1 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils et choisissez Afficher les modèles de diapositive.
2 Dans le navigateur, sélectionnez un modèle de diapositive.
3 Définissez des compositions en suivant les instructions de la rubrique « Utilisation d’effets
de composition pour faire apparaître et disparaître des éléments dans des diapositives »
à la page 114.
Création de thèmes personnalisés
Si vous modifiez les modèles de diapositive d’un thème et que souhaitez réutiliser ces
modifications dans d’autres diaporamas, vous pouvez enregistrer le thème modifié en
tant que thème personnalisé. Une fois votre thème personnalisé enregistré, il apparaît
dans le Sélecteur de thèmes. Lorsque vous sélectionnez votre thème personnalisé, il
contient également tous les modèles de diapositive que vous avez définis.
Enregistrement de thèmes personnalisés
Créez un nouveau thème contenant toutes les modifications de modèle de diapositive
que vous avez effectuées sur le thème actuel.
Pour enregistrer le thème actuel en tant que thème personnalisé :
1 Choisissez Fichier > Enregistrer le thème.
2 Attribuez un nom à votre thème.
3 Si vous avez ajouté du son ou des séquences que vous désirez inclure au thème, sélectionnez « Copier l’audio et la vidéo dans le thème ». Si vous ne trouvez pas cette case,
cliquez sur le triangle d’affichage à droite du champ Enregistrer sous.
Le document devient beaucoup plus volumineux lorsque vous y ajoutez des fichiers média.
4 Cliquez sur Enregistrer.
À moins que vous ne spécifiiez un autre emplacement, les thèmes personnalisés sont enregistrés dans le dossier Thèmes de votre disque dur ([Départ]/Bibliothèque/Application Support/iWork/Keynote/Themes). Seuls les thèmes de ce dossier apparaissent dans le sélecteur
de thèmes. Si vous conservez votre thème à un autre emplacement, vous pouvez toujours
l’ouvrir (à partir du Finder) et l’utiliser pour créer un diaporama.Chapitre 10 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 223
Création d’un thème à partir de zéro
Si vous désirez créer un thème entièrement nouveau qui ne soit pas basé sur un thème
Keynote existant, le plus facile est d’ouvrir un nouveau document Keynote et de supprimer tous les modèles de diapositive qu’il contient en conservant uniquement une diapositive vide.
Pour supprimer un modèle de diapositive, sélectionnez-le dans le navigateur et choisissez
Édition > Supprimer ou appuyez sur la touche Suppr.
Voici quelques conseils pour la création du nouveau thème :
m Avant de créer des modèles de diapositive, configurez l’ensemble des attributs de texte
et d’arrière-plan.
m À l’aide d’une diapositive échantillon, testez vos dispositions de texte afin de vous assurer
qu’elles fonctionnent correctement avec un texte de plusieurs lignes. Lorsque vous configurez la taille et le positionnement d’une zone de corps de texte, réfléchissez au nombre de
puces que vous désirez y insérer.
m Dupliquez le modèle de diapositive original pour créer plusieurs dispositions de texte. Les
attributs originaux de texte et d’arrière-plan s’appliquent automatiquement aux nouveaux
modèles réalisés à partir des copies. Il vous suffira ensuite d’ajuster les dispositions des
zones de texte (vous pourrez par exemple supprimer la zone de titre et agrandir la zone
de corps de texte afin de créer un modèle de diapositive « pur corps de texte »).
m Créez dans le navigateur de diapositives des diapositives échantillons à partir de chaque
modèle que vous créez et insérez des zones de texte libres, des formes, des tableaux et
des images dans chacune d’entre elles si vous souhaitez que les attributs d’objet par défaut
soient différents dans les divers modèles de diapositive. Si vous voulez configurer les
mêmes attributs d’objet par défaut pour tous les modèles, vous n’aurez besoin de procéder ainsi que pour un seul modèle de diapositive.
m Créez dans le navigateur une série de diapositives échantillons basées sur chacun de
vos modèles. Créez un graphique dans une diapositive, puis copiez-le et collez-le dans
chaque diapositive. Puis convertissez chaque graphique en un type de graphique diffé-
rent et définissez sa taille et sa position. Réalisez cette étape avant de définir des styles
de graphique par défaut dans Format > Avancé.224 Chapitre 10 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
Retour aux attributs de thème originaux
Si vous modifiez des modèles de diapositive dans un document et que vous souhaitez
ensuite revenir aux valeurs par défaut du thème original, vous pouvez appliquer de nouveau le thème à votre document ou à des diapositives spécifiques.
Pour revenir au thème par défaut :
1 Si vous désirez restaurer les valeurs par défaut uniquement sur certaines diapositives,
sélectionnez-les dans le navigateur (en appuyant sur la touche Commande pour en
sélectionner plusieurs).
2 Choisissez Fichier > Sélectionner un thème.
3 Dans le Sélecteur de thèmes, sélectionnez le thème original ainsi que la taille de présentation.
4 Assurez-vous que Appliquer les modif. aux thèmes par défaut n’est pas sélectionné.
5 Choisissez Toutes les diapos ou Diapos sélectionnées dans le menu local Appliquer sur.
6 Cliquez sur Choisir. 225
Index
Index
A
affichages de diapositives
alternance des modes 18
changement 18
mode Diapositive 17
mode Navigateur 18
mode plan 19
mode table lumineuse 21
utilisation d’un écran unique 188
zoom avant et arrière 18
Alpha instantané 101
annulation de modifications 30
AppleWorks 28
B
barre d'outils
personnaliser 22
C
canevas 18
ajout d'un graphique 165
caractères dans d’autres langues 51
caractères spéciaux et symboles
insertion 51
cellules de tableau
agrandissement pour contenir les données 136
ajout d’images 142
ajout et modification de contenu 134
contrôle des valeurs de cellule avec des
règles 141
définition de règles 141
division en parts égales 147
fusion de cellules adjacentes en une seule 146
mise en forme de bordures 148
mise en forme des nombres 138
mise en forme des valeurs 137
redimensionner 136
remplissage automatique 143
sélection 132
sélection d’un groupe de cellules 132
sélection de bordures 133
tri 149
utilisation des chiffres 135
utilisation des dates 136
utilisation du texte 135
classeur de diapositives
afficher et masquer 17
mode Navigateur 18
mode plan 19
utilisation pour la navigation 21
commentaires
afficher et masquer 36
ajout 36
impression 36
mise en forme 36
redimensionnement 36
suppression 36
compositions d’objet
activation 121
animation individuelle des parties d’un objet 122
création de compositions de graphique 124
création de compositions de séquence 125
création de compositions de tableau 124
création de compositions de texte 123
réorganisation 121
suppression 125
utilisation 113
utilisation de compositions d’action 116
utilisation de compositions intelligentes
prédéfinies 119
compositions intelligentes 119
D
diaporamas
affichage 188, 189, 191, 192
affichage sur l’écran de votre ordinateur 188
affichage sur un écran externe 189
commande 184, 195
création de diaporamas à lecture
automatique 185
enregistrement 107
impression 199226 Index
lecture 109, 187
lecture de séquences et de son 198
modification du thème 37
recopie vidéo 189
réenregistrement 108
test 188
utilisation d’autres applications durant un
diaporama 198
utilisation de la recopie vidéo 191, 193, 194
utilisation de plusieurs thèmes 38
utilisation du double affichage 189
diapositives
ajout d'images 98
ajout d'une figure 91
ajout d'une nouvelle diapositive 32
ajout d’un tableau 127
ajout de numéros de diapositive 35
ajout des notes de l’intervenant 187
ajout de sons et de vidéos 104
ajout de texte 41
déplacement ou copie d'éléments 36
ignorer 34
modification de la disposition 38
modification de la résolution 190, 193
organisation 18
passage d'une diapositive à l'autre 21
regroupement 33
réorganisation 33
suppression 34
utilisation des commentaires 35
disposition
ajout d'une zone de titre ou d'autres éléments 39
aperçu pour les modèles de diapositive 213
application d'un arrière-plan 39
modification 38, 215
document
choix d'un modèle 27
création 27
ouverture d'un document existant 28
E
écrans
optimisation d’un écran externe 190
utilisation de la recopie vidéo 191
utilisation du double affichage 189
éditeur de formules 153
enregistrement 107
annulation des modifications effectuées 30
automatique d'une version de sauvegarde 31
avec des images du thème 29
avec les fichiers audio et de séquence inclus 29
copie d'une présentation 30
d'un document 29
de séquence avec le diaporama 29
en tant que thème 31
pour la première fois 29
pour une utilisation sur d'autres ordinateurs 29
Spotlight 31
exportation
en tant qu’album iPhoto 207
en tant qu’entrée de blog ou de podcast 207
en tant que diaporama PowerPoint 203
en tant que document Flash 205
en tant que document HTML 205
en tant que fichier PDF 203
en tant que projet iDVD 206
en tant que séquence QuickTime 201
sous forme de fichiers image 204
vers GarageBand 209
vers iTunes 208
F
fenêtre Ajuster l'image 103
fenêtre Avertissements 25
fenêtre Couleurs 25, 88
fenêtre Inspecteur 24
fenêtre Typographie 53
fermeture d'un document 32
fichiers audio
manquants 28
fichiers multimédia
ajout d'une bande sonore 105
fichiers multimédias
ajout d'une séquence vidéo 106
ajout de son 105
fichiers PDF
création 203
figure en forme d'étoile
ajout 91
modification 96
figure en forme de polygone
ajout 91
modification 97
figures
ajout de figures personnalisées 92
ajout de figures prédessinées 91
conversion de points d'angle en points de courbe
et vice versa 95
manipulation de points 93
mise en forme de texte dans 67
modifiables 93
modification du tracé d'une courbe 94
modification du tracé d'un segment droit 94
modifications de figures prédessinées 95
rognage d'une image à l'aide du masque par
défaut (de forme rectangulaire) 99
utilisation de l'outil de dessin 92
utilisation en tant que masques 100Index 227
films
exportation vers QuickTime 201
FLASH 205
flèches prédessinées
ajout 91
modification 96
fonctions
utilisation 160
formatage conditionnel 141
formats d'image pris en charge 98
formats multimédias pris en charge 104
formules
ajout d'une formule à plusieurs cellules 157
ajout d'une formule rapide 151
ajout de nouvelles formules 154
calcul d'opérations arithmétiques 158
calcul élémentaire avec des valeurs d'une même
colonne 152
calcul élémentaire avec des valeurs d'un même
rang 152
enregistrement ou annulation des
modifications 154
fonctions 160
modification 154
opérateurs 158
suppression 153
utilisation de références de cellules 155
G
GarageBand 209
graphiques
affichage des axes et des bordures 172
afficher et masquer une légende 169
ajout d'étiquettes et de marques d'axe 171
ajout de texte descriptif 176
ajouter 165
choix d'un type de graphique 165
interprétation des séries de données 163
mise en forme 169, 177
mise en forme d'éléments d'une série de
données 175
mise en forme de l'axe des valeurs 173
mise en forme de titres, d'étiquettes et de
légendes 176
mise en place d'étiquettes de quadrillage et de
marques de graduation 174
modification d'un type de graphique 166
modification de données 167
redimensionnement 170
repositionnement d'une légende 169
rotation 170
graphiques 3 D
définition de réglages de scène 183
modification de l'angle d'affichage 183
graphiques à barres et à colonnes
ajout d'ombres 180
réglage de l'espacement 179
réglage de l'opacité 180
graphiques à couches et linéaires
ajout d'ombres 181
graphiques en nuage de points
définition des réglages d'axe 182
mise en forme de symboles 182
graphiques linéaires et à couches
définition de la couleur de ligne 181
mise en forme de symboles 181
graphiques modification de l'orientation de la
représentation
164
graphiques sectoriels
affichage de noms de séries dans 177
ajout d'ombres 178
réglage de l'opacité 179
rotation 179
sélection de portions individuelles 177, 178
guides d'alignement
création de nouveaux guides 79
utilisation 79
guillemets courbes 52
H
HTML 205
I
iDVD 206
images
ajustement automatique 103
animation 119
histogramme 103
introduction à l'intérieur d'un objet 89
mise à l'échelle 90
mosaïque 90
niveaux automatiques 103
réglage de l'exposition 103
réglage de la luminosité 103
réglage de la netteté 103
réglage de la saturation 103
réglage de la température 103
réglage du contraste 103
suppression de la couleur 101
teinte 91
importation d'une présentation
depuis AppleWorks 28
depuis PowerPoint 28
impression
avec affichage de commentaires 199
avec notes de l’intervenant 188
diapositives 199228 Index
options 200
Inspecteur des diapositives 35, 38, 42, 112, 115, 203,
212
Inspecteur des documents 31
Inspecteur des graphismes 82, 83, 84, 85, 86, 87, 89,
90, 176
Inspecteur des liens 69
Inspecteur des mesures 130, 170, 171, 179
Inspecteur du texte 49, 54, 55, 56, 57, 61, 66, 135
Inspecteur QuickTime 106
Inspecteurs
utilisation pour la mise en forme 24
iPhoto 207
iPod 208
iTunes 208
iWeb 207
J
JPEG 204
L
liens
types de lien 68
vers une page web 68
vers un message électronique préadressé 69
liens hypertexte
pour arrêter un diaporama 71
soulignement du texte du lien 71
vers une diapositive 70
vers un fichier Keynote 70
lissage de police 53
listes
à puces 62
génération automatique 61
numérotées 63
ordonnées (structures) 64
utilisation 61
M
masquage d'images 99
menus locaux 22, 26
mise en forme du texte
création d’ombres 49
modification de l’alignement horizontal du
texte 55
modification de l’alignement vertical du texte 55
modification de la casse 45, 53
modification de la couleur 49, 57
modification de la couleur d’arrière-plan du
paragraphe 49
modification de la marge intérieure 61
modification de la taille et de l’apparence 44
réglage de l’écart des caractères 57
réglage de l’espacement entre les
paragraphes 57
réglage de l’interligne 56
réglage du retrait des paragraphes 60
modèles de diapositive
affichage 19
ajout de guides d’alignement 217
aperçu de la disposition 213
conception 211
création à partir de zéro 215
création d’éléments d’arrière-plan 216
création de compositions sur 222
définition d’un titre et d’un corps de texte 215
définition des attributs d’image par défaut 219
définition des attributs de graphique par
défaut 220
définition des attributs de tableau par défaut 219
définition des zones de texte et figures par
défaut 218
définition de transitions par défaut pour 221
dupliquer 214
importation 214
modification 38
numérotation 35
paramètre fictif de texte 41
présentation 15
utilisation 32
utilisation d’outils pour 212
utilisation sur les thèmes personnalisés 222
modèles de diapositives
paramètres fictifs multimédias sur 97
mode Navigateur 18
mode plan
changement de polices 20
utilisation pour organiser les diapos 20
mode table lumineuse 21
moniteurs
réglage de la fréquence de rafraîchissement 193
N
narration 107
navigateur de média 24
nombres
format Date et heure 140
format de fraction 140
format monétaire 139
format pourcentage 139
format scientifique 140
mise en forme des nombres 138
notes de l’intervenant
affichage au cours du test d’une
présentation 188
utilisation 187Index 229
O
objets
ajout d'ombres 84
ajout d'une figure personnalisée 92
ajout d'une figure prédessinée 91
ajout d'une image 98
ajout d'un fichier de séquence vidéo 106
ajout d'un fichier son 105
ajout de couleurs et de dégradés de couleurs 87
ajout de reflets 85
alignement 78
copie 76
déplacement 76
duplication 76
espacement uniforme des objets sur la
diapositive 78
faire pivoter 81
modification 81
modification de l'ordre d'empilement 77
modification du style des bordures 82
positionnement 77
positionnement précis 80
redimensionnement 81
réglage de l'opacité 85
regroupement et dissociation 86
retournement 81
sélection et désélection 75
suppression 76
utilisation comme liens hypertextes 111
verrouillage et déverrouillage 87
opérateurs
arithmétiques 158, 159
comparaison 160
outil Alpha 101
outil de dessin 92
P
palette de caractères 51
panneau des polices 25
paramètres fictifs 97
paramètres fictifs multimédias 97
PNG 204
PowerPoint 28, 203
Préférences 20, 28, 31, 50, 51, 52, 53, 58, 61, 68, 69,
71, 77, 79, 80, 81, 99, 107, 113, 185, 189,
190, 191, 192, 193, 194, 197, 198
présentations
affichage du pointeur 197
à liens uniquement 185
arrêt 196
atteindre une diapositive précise 196
commande à l’aide du clavier 195
création de présentations à liens
uniquement 185
créées dans iWork ’05 ou iWork ’06 210
lecture automatique 185
mise en pause et reprise 195
naviguer vers la diapositive ou la composition
suivante ou précédente 196
personnalisation de l’affichage de
l’intervenant 192
recherche avec Spotlight 31
réglage des options de lecture 187
supprimer des diapositives 34
Q
QuickTime 201
R
raccourcis clavier
affichage d'une liste de raccourcis dans l'aide 26
utilisation 26
recherche de texte 74
rechercher et remplacer, zone de dialogue 74
rectangle, aux coins arrondis
ajout 91
rectangle aux coins arrondis
modification 95
règle
affichage et masquage 58
utilisation pour définir des retraits de
paragraphe 60
utilisation pour définir un nouveau taquet de
tabulation 59
utilisation pour modifier un taquet de
tabulation 59
utilisation pour supprimer un taquet de
tabulation 60
rognage d'images 99
S
séquences
affichage du pointeur dans les diapositives 197
et résolution d’affichage 193
lecture 198
manquantes 28
son
ajout à une diapositive 105
ajout d'une bande son 105
enregistrement de sons avec le diaporama 104
lecture 198
T
tableaux
ajout 127230 Index
ajout de bandes de couleur aux rangs 146
ajout de colonnes 144
ajout de rangs 143
copie de tableaux entre des applications
iWork 131
création d’un rang de pied de page 145
création d’un rang ou d’une colonne d’entête 145
déplacement 130
formules 150
redimensionnement 130
redimensionnement des rangs et des
colonnes 145
sélection 131
sélection d’un rang ou d’une colonne 132
suppression de rangs et de colonnes 144
utilisation des rangs et des colonnes 143
taquets de tabulation
création 59
modification 59
supprimer 60
utilisation de règles pour définir 58
texte
ajout 41
ajout de zones de texte libre 65
dans les cellules d’un tableau 135
définition de l’alignement, de l’espacement et de
la couleur 54
définition de retraits 60
définition de taquets de tabulation pour aligner le
texte 58
espace insécable 72
mise en forme de la taille et de l’apparence 44
modification 43
présentation en colonnes 66
sélection 42
substitution automatique 71
utilisation de listes 61
texte à puces
ajout de 62
passage en mode plan 19
réorganisation et modification 63
thèmes
choix 14, 27
création de thème personnalisé 222
enregistrement d'un document comme
thème 31
ouverture automatique d'un thème particulier 28
TIFF 204
transitions
ajout de transitions entre diapositives 112
types de fichier son et vidéo pris en charge 104
types de fichier son pris en charge 104
typographie
modification de la casse 53
modification de la ligne de base 53
modification du crénage 53
personnalisation de l’apparence du texte 47
utilisation des ligatures 53
V
vérification orthographique
recherche des mots mal orthographiés 72
utilisation des suggestions de correction
orthographique 73
visualiseur de clavier 50
VRAM
compenser l’insuffisance de VRAM 194
configuration 194
Z
zones de texte (libre) 65
zoom avant ou arrière 18
Manuel de l’utilisateur
Benutzerhandbuch
Manuale UtenteFrançais 3
Félicitations pour l’achat de votre nouvelle oreillette
Bluetooth® iPhone. Pour commencer à utiliser votre
appareil, suivez les instructions ci-dessous.
Pour jumeler l’oreillette avec votre iPhone
1 Connectez le câble de voyage iPhone Bluetooth inclus à un
port USB 2.0 de votre ordinateur (pas sur un port du clavier).
2 Branchez l’autre extrémité du câble sur l’iPhone et
l’oreillette sur l’embout du câble. L’oreillette est alors
automatiquement jumelée avec l’iPhone.
Câble
À la première connexion de l’oreillette, laissez-la se recharger
pendant environ une heure jusqu’à ce que son indicateur
d’état passe du orange au vert.
3 Débranchez le câble de l’iPhone et de l’oreillette.
Pour connecter l’oreillette à l’iPhone, appuyez sur le bouton
situé en bout d’oreillette. Ce bouton permet de rediriger les
appels vers l’oreillette.4 Français
Dans certains cas, il se peut que vous deviez rebrancher
l’oreillette sur l’iPhone. Voir page 7.
Pour e∂ ectuer un appel ou répondre à un appel
1 Placez l’oreillette dans une oreille en orientant le microphone
vers votre bouche.
Microphone
Le coussinet en mousse inclus peut être placé sur l’écouteur
pour mieux adapter ce dernier à votre oreille.
2 E∂ ectuez un appel avec l’iPhone. Appuyez sur le bouton
situé en bout d’oreillette pour répondre à un appel entrant.
Bouton Indicateur d’état
Si vous répondez à un appel entrant en touchant l’écran tactile
de l’iPhone, le son est dans ce cas acheminé vers l’iPhone.
3 Une fois votre conversation terminée, appuyez sur le bouton
pour mettre fi n à l’appel.Français 5
Pour régler le volume
m Utilisez les boutons de réglage du volume situés sur le côté
de l’iPhone.
ATTENTION : pour prendre connaissance des précautions
à prendre pour éviter toute perte d’audition, reportez-vous
à la page 15.
Autres fonctions
Pour Procédez ainsi :
Refuser un appel entrant Appuyez sur le bouton pendant environ
une seconde, jusqu’à ce que vous
entendiez un bip.
Passer à un appel
entrant ou en attente et
mettre l’appel en cours
en attente
Appuyez sur le bouton.
Passer à un appel entrant
ou en attente et mettre
fi n à l’appel en cours
Appuyez sur le bouton pendant environ
une seconde, jusqu’à ce que vous
entendiez un bip.
Vérifi er si l’oreillette
est activée
Appuyez sur le bouton. Si l’oreillette est
activée, un voyant d’état vert clignote
et l’oreillette émet un bip.6 Français
Activer l’oreillette Maintenez le bouton enfoncé pendant
environ trois secondes, jusqu’à ce que le
voyant d’état vert se mette à clignoter
ou que vous entendiez quatre tonalités
de plus en plus fortes.
Désactiver l’oreillette Maintenez le bouton enfoncé pendant
environ quatre secondes, jusqu’à ce que le
voyant d’état orange se mette à clignoter
ou que vous entendiez quatre tonalités de
plus en plus faibles.
Pour passer de l’oreillette à l’iPhone
Pour ne plus utiliser l’oreillette et écouter vos appels via
l’iPhone, vous avez deux possibilités :
m Désactivez l’oreillette. Vous pouvez toujours la réactiver
à tout moment de façon à l’utiliser avec l’iPhone.
m Durant un appel, appuyez sur Source audio sur l’écran
de l’iPhone, puis choisissez iPhone ou Haut-parleur
(pour le haut-parleur du téléphone).Français 7
Pour reconnecter l’oreillette à l’iPhone
Il est possible de s’assurer que les appels sont acheminés
vers l’oreillette en vérifi ant si l’icône Bluetooth (◊), située
dans la barre d’état de l’iPhone, est bleue ou blanche
(en fonction de l’application utilisée).
L’oreillette émet deux bips graves dès qu’elle est
déconnectée de l’iPhone. Il est possible de vérifi er si
l’oreillette est déconnectée de l’iPhone en vérifi ant si
l’icône Bluetooth de la barre d’état est grise ou absente.
Pour acheminer les appels vers l’oreillette :
m Appuyez sur le bouton pour rétablir une connexion.
m Si cela ne marche pas, assurez-vous que l’oreillette est
activée, rechargée et qu’elle se trouve à portée de l’iPhone
(dans un rayon d’environ 9 m).
m Si cela ne marche pas, assurez-vous que Bluetooth est activé
sur l’iPhone. À partir de l’écran Accueil, choisissez Réglages >
Généraux > Bluetooth, puis activez l’option Bluetooth.
m Si cela ne marche pas, jumelez à nouveau l’oreillette avec
l’iPhone. Voir page 3.
Si l’oreillette est jumelée avec d’autres appareils Bluetooth,
vous devez dans ce cas la rebrancher, après l’avoir éteint ou
utilisé avec les appareils en question, sur l’iPhone.8 Français
Chargement de l’oreillette
L’oreillette émet un long bip toutes les 10 secondes pour
vous signaler que sa batterie est presque épuisée.
Pour recharger l’oreillette :
1 Branchez le câble de voyage iPhone Bluetooth inclus sur
votre ordinateur. Vous pouvez également le connecter à
l’adaptateur secteur USB Apple fourni avec l’iPhone, puis
brancher l’adaptateur sur une prise électrique.
2 Branchez l’autre extrémité du câble sur l’oreillette.
Il faut environ une heure et demie pour recharger une
oreillette dont la batterie est complètement épuisée.
Voyant d’état orange = en cours de chargement
Voyant d’état vert = complètement rechargée
3 Retirez l’oreillette du câble. Appuyez sur le bouton pour
connecter l’oreillette à l’iPhone, afi n que les appels soient
acheminés vers l’oreillette.
Pour vérifi er le niveau de charge restant :
m Connectez le câble de voyage pour iPhone Bluetooth à
votre ordinateur ou à un adaptateur secteur USB Apple
branché sur une prise de courant. Branchez l’autre
extrémité du câble sur l’iPhone et l’oreillette sur l’embout
du câble. L’écran de l’iPhone a∑ che le niveau de charge
de la batterie de l’oreillette.Français 9
L’oreillette contient une batterie interne qui ne peut être
remplacée par l’utilisateur. Les batteries rechargeables ont
un nombre de cycles de chargement limité et fi nissent
par s’user complètement. La durée de vie et le nombre de
cycles de chargement des batteries varient en fonction de
leur usage et des réglages utilisés. Pour plus d’informations,
rendez-vous sur www.apple.com/fr/batteries. Pour en savoir
plus sur le recyclage de l’oreillette, reportez-vous à la page 64.
ATTENTION : pour prendre connaissance des
précautions à prendre pour recharger l’oreillette,
reportez-vous à la page 14.
Utilisation de l’oreillette avec un autre téléphone
ou un autre appareil
Vous pouvez utiliser l’oreillette avec d’autres appareils
Bluetooth tels que d’autres types de téléphones. Vous pouvez
aussi jumeler manuellement l’oreillette à votre iPhone si vous
ne disposez pas du câble de voyage iPhone Bluetooth.
L’oreillette peut également être jumelée avec certains
ordinateurs équipés de la technologie Bluetooth, afi n
de pouvoir converser avec des amis au moyen d’une
application de messagerie instantanée dotée de fonctions
audio, telle qu’iChat.10 Français
Pour régler l’oreillette afi n qu’elle soit détectable par
d’autres appareils :
1 Désactivez l’oreillette.
2 Maintenez le bouton de l’oreillette enfoncé pendant environ
huit secondes, jusqu’à ce que vous entendiez les tonalités de
démarrage suivies d’une succession rapide de cinq bips aigus.
L’oreillette demeure détectable pendant environ
cinq minutes. Le voyant d’état vert clignote tant que
l’oreillette est détectable.
Pour jumeler l’oreillette avec un autre téléphone ou
pour la jumeler manuellement avec l’iPhone :
1 Sur le téléphone, activez Bluetooth, puis réglez le téléphone
afi n qu’il recherche d’autres appareils Bluetooth. Pour ce faire,
choisissez Réglages > Généraux > Bluetooth, puis activez
Bluetooth.
2 Réglez l’oreillette afi n qu’elle soit détectable (voir ci-dessus).
3 Sur le téléphone, choisissez Oreillette Bluetooth iPhone,
puis tapez le code PIN 0000.
Consultez les instructions de votre téléphone pour obtenir
des informations sur la manière de le jumeler avec des
appareils Bluetooth.Français 11
Pour jumeler l’oreillette avec un ordinateur Mac équipé
de Bluetooth et fonctionnant sous Mac OS X 10.4.9 ou
ultérieur :
1 Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Bluetooth.
2 Si l’appareil Bluetooth est le premier que vous confi gurez,
cliquez sur le bouton « Confi gurer le nouvel appareil ».
Dans le cas contraire, cliquez sur le bouton Ajouter (+)
situé sous la liste des appareils déjà confi gurés.
3 Choisissez l’option Casque d’écoute.
4 Réglez l’oreillette afi n qu’elle soit détectable.
5 Suivez les instructions à l’écran. Lorsque vous êtes invité
à saisir un code d’accès, tapez 0000.
Pour utiliser l’oreillette avec iChat :
1 Jumelez l’oreillette avec votre Mac.
2 Dans iChat, choisissez iChat > Préférences, puis cliquez
sur Audio/Vidéo.
3 Choisissez Oreillette Bluetooth iPhone dans les menus
locaux Microphone et Sortie audio.
4 Commencez une conversation audio ou vidéo.
Pour jumeler l’oreillette avec un autre ordinateur (un PC
Windows par exemple) ou un autre appareil Bluetooth :
Suivez les instructions fournies avec l’ordinateur où l’appareil.
Lorsque vous êtes invité à saisir un code d’accès ou un code
PIN, tapez 0000.12 Français
Astuces et dépannage
Si l’oreillette ne répond plus ou ne fonctionne plus
correctement, essayez les solutions suivantes dans
l’ordre jusqu’à ce qu’elle fonctionne à nouveau.
m Assurez-vous que l’oreillette est activée. Appuyez sur
le bouton. Si le voyant d’état vert ne clignote pas,
maintenez le bouton enfoncé pendant environ trois
secondes, jusqu’à ce que le voyant vert clignote ou que
vous entendiez quatre tonalités de plus en plus fortes.
m Assurez-vous que l’iPhone est allumé.
m Assurez-vous que l’oreillette et l’iPhone sont rechargés.
m Durant un appel, assurez-vous que l’iPhone est réglé pour
di∂ user le son à travers l’oreillette. Appuyez sur Source
audio, puis choisissez Oreillette Bluetooth iPhone.
m Assurez-vous que l’iPhone est jumelé avec l’oreillette.
Voir page 3.
m Sur l’iPhone, assurez-vous que Bluetooth est activé.
À partir de l’écran Accueil, choisissez Réglages >
Généraux > Bluetooth, puis activez l’option Bluetooth.
m Sur l’iPhone, choisissez Réglages, puis activez l’option
Mode Avion. Patientez ensuite pendant environ trois
secondes, puis désactivez à nouveau ce mode.Français 13
Pour obtenir des astuces et des instructions de
dépannage supplémentaires, rendez-vous sur :
www.apple.com/fr/support/iphone.
±
Pour éviter tout problème, lisez attentivement
toutes les informations relatives à la sécurité ainsi
que les instructions d’utilisation ci-dessous avant
d’utiliser votre oreillette Bluetooth pour iPhone.
Informations importantes relatives à la sécurité
ATTENTION : tout manquement à ces consignes de sécurité
est susceptible de provoquer un incendie, une décharge
électrique ou d’autres blessures ou dégâts.
Manipulation de l’oreillette Bluetooth iPhone
Évitez de laisser tomber, de démonter ou d’ouvrir, d’écraser, de
tordre ou de déformer, de percer, de broyer, de mettre au four
à micro-ondes, d’incinérer ou de peindre l’oreillette Bluetooth
iPhone, ni d’y insérer des corps étrangers.14 Français
Éviter l’eau et les endroits mouillés
N’utilisez jamais l’oreillette Bluetooth iPhone sous la pluie,
à proximité d’un lavabo ou de tout autre endroit mouillé.
Veillez à ne pas renverser d’aliments ou de liquide sur l’oreillette
Bluetooth iPhone. Si l’oreillette Bluetooth iPhone est mouillée,
désactivez-la (en maintenant le bouton enfoncé pendant environ
quatre secondes jusqu’à ce que le voyant d’état orange clignote)
avant de la nettoyer et attendez qu’elle soit complètement
sèche avant de l’activer à nouveau. N’essayez jamais de sécher
l’oreillette Bluetooth iPhone à l’aide d’une source de chaleur
extérieure telle qu’un four à micro-ondes ou un sèche-cheveux.
Réparation de l’oreillette Bluetooth iPhone
N’essayez jamais de réparer ou de modifi er vous-même
l’oreillette Bluetooth iPhone. L’oreillette Bluetooth iPhone
ne contient aucune pièce réparable par un utilisateur. Si
l’oreillette Bluetooth iPhone a été plongée dans l’eau, a été
perforée ou a subi une chute grave, ne l’utilisez pas avant de
l’avoir fait réviser par un fournisseur de services agréé Apple.
Chargement de l’oreillette Bluetooth iPhone
Pour recharger l’oreillette Bluetooth pour iPhone, utilisez
exclusivement le câble de voyage iPhone Bluetooth avec
un adaptateur secteur USB Apple ou le port USB alimenté
d’un appareil conforme aux normes USB 2.0 ou 1.1, ou avec
un autre produit ou accessoire Apple conçu pour fonctionner
avec l’oreillette Bluetooth pour iPhone.Français 15
Lisez préalablement toutes les instructions de sécurité
des produits et accessoires que vous voulez utiliser avec
l’oreillette Bluetooth iPhone. Apple n’est pas responsable
du fonctionnement d’accessoires tiers ni de leur conformité
aux normes de réglementation et de sécurité.
Si vous utilisez un adaptateur secteur USB Apple pour recharger
l’oreillette Bluetooth iPhone, assurez-vous que l’adaptateur
secteur est complètement assemblé avant de le brancher sur
une prise électrique. Insérez ensuite fermement l’adaptateur
secteur USB Apple dans la prise de courant. Ne branchez ni ne
débranchez en aucun cas l’adaptateur secteur Apple USB Power
Adapter lorsque vous avez les mains mouillées. N’utilisez pas
d’autre adaptateur secteur que l’adaptateur secteur USB Apple
pour recharger l’oreillette Bluetooth iPhone.
Prévention de la perte d’acuité auditive
L’utilisation de l’oreillette Bluetooth iPhone à des volumes
sonores élevés peut entraîner une perte irréversible de
l’audition. Vous pouvez vous habituer peu à peu à un volume
sonore plus élevé qui peut vous paraître normal mais peut
entraîner la détérioration de votre audition. Réglez le volume
à un niveau raisonnable, avant que le problème se présente.
Si vous entendez vos oreilles « siπ er » ou que les sons vous
paraissent étou∂ és, réduisez le volume ou n’utilisez plus
votre oreillette et consultez un spécialiste de l’audition. 16 Français
Plus le volume d’écoute est élevé, moins il faut de temps
pour que votre audition soit endommagée. Voici quelques
conseils de spécialistes qui vous permettront de protéger
votre audition :
 Limitez la durée d’utilisation à des volumes élevés
de votre oreillette.
 Évitez d’augmenter le volume pour couvrir les bruits
environnants.
 Baissez le volume si vous ne pouvez plus entendre
les personnes qui parlent à côté de vous.
En cas d’irritation cutanée
L’usage d’une oreillette peut provoquer parfois des infections
de l’oreille si le dispositif n’est pas correctement entretenu.
Nettoyez régulièrement l’écouteur de votre oreillette Bluetooth
pour iPhone, avec de l’eau ou un produit antiseptique, par
exemple à l’aide d’un linge non pelucheux humidifi é d’alcool
isopropyle. Si l’irritation cutanée se développe, n’utilisez plus
le dispositif. Si le problème persiste, consultez un médecin.
Consignes de sécurité lors de la conduite
Consultez et respectez les lois et réglementations applicables en
matière d’utilisation de dispositifs mobiles à l’endroit où vous
conduisez. Soyez vigilant et attentif lorsque vous conduisez.
Si vous comptez utiliser l’iPhone en conduisant, n’oubliez pas Français 17
de rester bien attentif à votre conduite et au code de la route.
L’utilisation d’un dispositif mobile lors de la conduite peut vous
distraire de celle-ci. Si vous avez du mal à vous concentrer alors
que vous conduisez n’importe quel type de véhicule, que vous
utilisez une bicyclette ou que vous réalisez toute activité qui
demande votre attention complète, arrêtez-vous sur le bord de
la route avant de passer un appel ou de répondre à un appel si
les conditions de conduite l’exigent.
Risques d’étou∂ ement
L’oreillette Bluetooth iPhone constitue, du fait de sa taille réduite,
un risque d’étou∂ ement pour les jeunes enfants. Ne la laissez pas
à la portée des jeunes enfants.
Véhicules équipés d’un coussin gonfl able de sécurité
Les coussins de sécurité se gonfl ent brusquement. Ne placez
jamais l’oreillette Bluetooth iPhone ou l’un de ses accessoires
dans la zone située au-dessus de l’airbag ou dans la zone de
déploiement de ce dernier.
Perturbations radioélectriques
Presque tous les appareils électroniques sont sensibles aux
perturbations radioélectriques dues à des sources externes
s’ils ne sont pas adéquatement blindés, conçus ou confi gurés
pour être compatibles. Il se peut, par conséquent, que l’oreillette
Bluetooth iPhone provoque des interférences avec d’autres 18 Français
appareils. Respectez les instructions suivantes pour éviter
tout problème d’interférence.
Avions
Les règlements de la FAA (Federal Aviation Administration)
peuvent interdire l’utilisation d’appareils de communication
sans fi l à bord des avions. Désactivez l’oreillette Bluetooth
iPhone lorsque vous voyagez en avion.
Véhicules
Les signaux RF peuvent a∂ ecter les systèmes électroniques
embarqués ou mal protégés des véhicules à moteur. En ce
qui concerne votre véhicule, vérifi ez avec le constructeur
ou son représentant.
Appareils électroniques
La plupart des appareils électroniques modernes sont blindés
contre les signaux RF. Il se peut toutefois que certains d’entre
eux ne soient pas blindés contre les signaux RF émis par
l’oreillette Bluetooth iPhone.
Appareils auditifs
L’oreillette Bluetooth iPhone peut provoquer des interférences
avec certains appareils auditifs. Si c’est le cas, consultez le
fabricant de votre prothèse ou votre médecin pour trouver
d’autres options ou remèdes.Français 19
Autres appareils médicaux
Si vous utilisez un autre type d’appareil médical, consultez
votre médecin ou le fabricant de l’appareil pour vous assurer
que cet appareil est adéquatement blindé contre les signaux
RF externes.
Dans les établissements de santé, désactivez l’oreillette
Bluetooth iPhone lorsque des a∑ ches vous invitent à le faire.
Certains équipements utilisés dans les hôpitaux ou dans les
établissements de santé sont sensibles aux signaux RF externes.
Installations sensibles
Désactivez l’oreillette Bluetooth iPhone dans les installations
au sein desquelles des a∑ ches vous demandent de le faire.
Zones de dynamitage
Pour éviter toute interférence avec des opérations de dynamitage,
désactivez l’oreillette Bluetooth iPhone dès que vous vous trouvez
dans une « zone de dynamitage » ou dans des endroits où sont
a∑ chées des pancartes invitant à « Désactiver les émetteurs
récepteurs ». Respectez toutes les pancartes et toutes les consignes.20 Français
Informations importantes concernant la manipulation
de l’appareil
AVIS : le non-respect de ces instructions de manipulation
risque d’endommager l’oreillette Bluetooth iPhone ou
d’autres biens.
Utilisation des connecteurs et des ports
Ne forcez jamais l’insertion d’un connecteur dans un port.
Assurez-vous que le port n’est pas bouché. Si vous ne
parvenez pas à insérer le connecteur dans le port de manière
relativement aisée, c’est qu’ils ne sont probablement pas
compatibles. Veillez à ce que le connecteur corresponde au
port et à ce qu’il soit correctement positionné par rapport
au port.Français 21
Conservation de l’oreillette Bluetooth iPhone dans des plages
de température acceptables
N’utilisez l’oreillette Bluetooth iPhone que dans des endroits
où la température est comprise entre 0º et 35º C. Il se peut
que l’autonomie de la batterie de l’oreillette Bluetooth iPhone
soit temporairement réduite dans des conditions de faible
température.
Conservez l’oreillette Bluetooth iPhone dans un endroit où
la température est toujours comprise entre -20º et 45º C.
N’abandonnez pas l’oreillette Bluetooth iPhone dans votre
voiture, car les températures à l’intérieur d’une voiture en
stationnement peuvent dépasser ces limites.Deutsch 23
Herzlichen Glückwunsch zu Ihrem neuen iPhone
Bluetooth® Headset. Bitte beachten Sie vor der
Inbetriebnahme des Geräts die folgenden
Informationen.
Verbinden des Headsets mit dem iPhone
1 Verbinden Sie das mitgelieferte iPhone Bluetooth Travel
Cable mit einem USB 2.0-Anschluss an Ihrem Computer
(nicht an der Tastatur).
2 Verbinden Sie das iPhone und das Headset mit dem
Kabel. Das Headset wird automatisch logisch mit dem
iPhone verbunden.
Kabel
Wenn Sie das erste Mal eine Verbindung zum Headset
herstellen, laden Sie es ungefähr eine Stunde lang auf, bis
die Statusanzeige am Headset von gelb zu grün wechselt.24 Deutsch
3 Trennen Sie das iPhone und das Headset vom Kabel.
Zum Verbinden des Headsets mit dem iPhone drücken
Sie auf die Taste oben am Headset. Auf diese Weise
werden Anrufe über das Headset geleitet.
In einigen Fällen müssen Sie das Headset möglicherweise
erneut mit dem iPhone verbinden. Näheres hierzu fi nden
Sie auf Seite 27.
Tätigen oder Annehmen von Anrufen
1 Setzen Sie das Headset so in ein Ohr ein, dass das Mikrofon in Richtung Mund weist.
Mikrofon
Sie können evtl. den Tragekomfort erhöhen, indem Sie
den mitgelieferten Schaumsto∂ aufsatz für den Lautsprecher verwenden.Deutsch 25
2 Rufen Sie mit dem iPhone an. Drücken Sie die Taste oben
am Headset, um einen eingehenden Anruf anzunehmen.
Taste Statusanzeige
Wenn Sie einen eingehenden Anruf annehmen, indem
Sie auf den Touchscreen des iPhone tippen, wird der
Anruf an das iPhone geleitet.
3 Beenden Sie den Anruf durch Drücken der Headset-Taste.
Anpassen der Lautstärke
m Verwenden Sie die Lautstärketasten an der Seite des
iPhone.
ACHTUNG: Lesen Sie die wichtigen Sicherheits hinweise zur Vermeidung von Hörschäden auf Seite 39.26 Deutsch
Weitere Möglichkeiten
Aufgabe Erforderliche Schritte
Ablehnen des eingehenden Anrufs
Drücken Sie die Headset-Taste ca.
eine Sekunde lang, bis ein Piepton
zu hören ist.
Wechseln zu eingehendem oder in die
Warteschleife gestelltem Anruf oder Übergeben eines Anrufs an
die Warteschleife
Drücken Sie die Headset-Taste.
Wechseln zu einge -
hen dem oder in die
Warteschleife gestelltem Anruf und Be -
en den des aktuellen
Anrufs
Drücken Sie die Headset-Taste ca.
eine Sekunde lang, bis ein Piepton
zu hören ist.
Überprüfen, ob
das Headset eingeschaltet ist
Drücken Sie die Headset-Taste. Ist
das Headset eingeschaltet, blinkt die
Statusanzeige grün und ein Piepton
ist zu hören.
Einschalten des
Headsets
Drücken Sie die Headset-Taste ca. drei
Sekunden lang, bis die Statusanzeige
grün blinkt oder vier zunehmend
lautere Töne zu hören sind.Deutsch 27
Ausschalten des
Headsets
Drücken Sie die Headset-Taste ca. vier
Sekunden lang, bis die Statusanzeige
gelb blinkt oder vier zunehmend leisere
Töne zu hören sind.
Wechseln vom Headset zum iPhone
Sie haben folgende Möglichkeiten, wenn Sie die
Verwendung des Headsets beenden und stattdessen
direkt über das iPhone telefonieren möchten:
m Schalten Sie das Headset aus. Sie können es jederzeit
wieder einschalten, um es erneut mit dem iPhone zu
verwenden.
m Tippen Sie während eines Anrufs auf dem Touchscreen
des iPhone auf „Audioquelle“ und wählen Sie „iPhone“
oder „Lautsprecher“ (für Freisprechfunktion) aus.
Erneutes Verbinden des Headsets mit dem
iPhone
Wird das Bluetooth-Symbol (◊) in der Statusleiste des
iPhone blau oder weiß angezeigt (je nachdem, welches
Programm Sie verwenden), werden Anrufe über das
Headset geleitet. 28 Deutsch
Wenn das Headset vom iPhone getrennt wird, gibt das
Headset zwei leise Pieptöne aus. Wird das BluetoothSymbol in der Symbolleiste grau oder gar nicht angezeigt, ist das Headset vom iPhone getrennt.
Gehen Sie wie folgt vor, um Anrufe über das Headset
zu leiten:
m Drücken Sie die Headset-Taste, um die Verbindung
wieder herzustellen.
m Falls das nicht funktioniert, vergewissern Sie sich, dass das
Headset eingeschaltet und geladen ist und sich innerhalb
der Reichweite des iPhone befi ndet (etwa 9 Meter).
m Besteht das Problem weiterhin, vergewissern Sie sich,
dass Bluetooth auf dem iPhone aktiviert ist. Wählen Sie
im Home-Bildschirm „Einstellungen“ > „Allgemein“ >
„Bluetooth“ und aktivieren Sie Bluetooth.
m Funktioniert auch das nicht, verbinden Sie das Headset
erneut mit dem iPhone. Näheres hierzu fi nden Sie auf
Seite 23.
Wenn das Headset mit anderen Bluetooth-Geräten
verbunden ist, müssen Sie das Headset, nachdem Sie es
ausgeschaltet oder mit einem der anderen Geräte verwendet haben, erneut an das iPhone anschließen. Deutsch 29
Laden des Headsets
Wenn der Ladestand der Headset-Batterie niedrig ist,
ertönt alle zehn Sekunden ein langer Piepton.
Gehen Sie wie folgt vor, um das Headset zu laden:
1 Verbinden Sie das mitgelieferte iPhone Bluetooth Travel
Cable mit dem Computer. Oder verbinden Sie es mit dem
Apple USB Power Adapter (Netzteil), der mit dem iPhone
geliefert wird, und verbinden Sie das Netzteil mit einer
Steckdose.
2 Verbinden Sie das Headset mit dem Kabel.
Ist die Batterie des Headsets vollständig entladen, dauert
der Ladevorgang ungefähr eineinhalb Stunden.
Gelbe Statusanzeige = Wird geladen
Grüne Statusanzeige = Vollständig geladen
3 Ziehen Sie das Kabel vom Headset ab. Drücken Sie die
Headset-Taste, um das Headset mit dem iPhone zu verbinden, sodass Anrufe über das Headset geleitet werden.30 Deutsch
Gehen Sie wie folgt vor, um den Ladestand des
Headsets zu prüfen:
m Schließen Sie das iPhone Bluetooth Travel Cable an
Ihren Computer oder an den an einer Steckdose angeschlossenen Apple USB Power Adapter an. Verbinden
Sie das iPhone und das Headset mit dem Kabel. Auf dem
Display des iPhone wird der Batteriestatus des Headsets
angezeigt.
Das Headset ist mit einer internen Batterie ausgestattet,
die vom Benutzer nicht ausgetauscht werden kann.
Die Anzahl der Ladezyklen bei wiederaufl adbaren
Batte rien ist begrenzt. Daher müssen diese Batterien
irgendwann ersetzt werden. Die Batterielaufzeit und die
Anzahl der Ladezyklen hängt von der Nutzung und den
Einstellungen ab. Weitere Informationen hierzu fi nden Sie
auf dieser Website: www.apple.com/de/batteries. Weitere
Informationen zur Entsorgung des Headsets fi nden Sie
auf Seite 64.
ACHTUNG: Lesen Sie die wichtigen Sicherheitshinweise zum Laden des Headsets auf Seite 38.Deutsch 31
Verwenden des Headsets mit einem anderen
Telefon oder Gerät
Sie können das Headset mit einigen anderen BluetoothGeräten verwenden, etwa mit einem anderen Telefon.
Außerdem haben Sie die Möglichkeit, das Headset manuell mit dem iPhone zu verbinden, wenn Sie kein iPhone
Bluetooth Travel Cable zur Hand haben.
Das Headset lässt sich auch mit bestimmten, mit
Bluetooth-Technologie ausgestatteten Computern verbinden, sodass Sie über ein Instant Messaging-Programm
mit Audiofunktionalität wie iChat mit Freunden chatten
können.
Gehen Sie wie folgt vor, um das Headset so einzustellen, dass es von anderen Geräten erkannt werden kann:
1 Schalten Sie das Headset aus.
2 Drücken Sie die Headset-Taste etwa acht Sekunden lang,
bis Sie die Starttöne und dann fünf schnell aufeinander
folgende, hohe Töne hören.
Das Headset kann ungefähr fünf Minuten lang von anderen Geräten erkannt werden. Während dieser Zeit blinkt
die Statusanzeige grün.32 Deutsch
Gehen Sie wie folgt vor, um das Headset logisch mit
einem anderen Telefon oder manuell mit dem iPhone
zu verbinden:
1 Aktivieren Sie Bluetooth auf dem Telefon und stellen
Sie das Telefon so ein, dass es nach anderen BluetoothGeräten sucht. Auf dem iPhone wählen Sie hierzu „Einstellungen“ > „Allgemein“ > „Bluetooth“ und aktivieren
Bluetooth.
2 Stellen Sie das Headset so ein, dass es erkannt werden
kann (vgl. oben).
3 Wählen Sie das iPhone Bluetooth Headset auf dem
Telefon aus und geben Sie die PIN 0000 ein.
Weitere Informationen zum Verbinden des Telefons mit
Bluetooth-Geräten fi nden Sie in den mit dem Telefon
gelieferten Anweisungen.
Gehen Sie wie folgt vor, um das Headset mit einem
Bluetooth-fähigen Mac mit Mac OS X Version 10.4.9
(oder neuer) zu verbinden:
1 Ö∂ nen Sie die Systemeinstellungen und klicken Sie auf
„Bluetooth“.Deutsch 33
2 Ist dies das erste Bluetooth-Gerät, das Sie konfi guriert
haben, klicken Sie auf „Neues Gerät konfi gurieren“.
Klicken Sie andernfalls auf die Taste „Hinzufügen“ (+)
unter der Liste der vorhandenen Geräte.
3 Wählen Sie dann „Headset“.
4 Stellen Sie das Headset so ein, dass es erkannt werden
kann.
5 Befolgen Sie die Anweisungen auf dem Bildschirm. Wenn
Sie zur Eingabe einer PIN aufgefordert werden, geben Sie
0000 ein.
Gehen Sie wie folgt vor, um das Headset mit iChat zu
verwenden:
1 Verbinden Sie das Headset mit Ihrem Mac.
2 Wählen Sie in iChat „iChat“ > „Einstellungen“ und klicken
Sie auf „Audio/Video“.
3 Wählen Sie das iPhone Bluetooth Headset aus den
Einblendmenüs „Mikrofon“ und „Tonausgabe“ aus.
4 Starten Sie einen Audio- oder Videochat.34 Deutsch
Gehen Sie wie folgt vor, um das Headset mit einem
anderen Computer (etwa einem Windows-PC) oder
Bluetooth-Gerät zu verbinden:
Befolgen Sie die Anweisungen, die Sie mit dem Computer
oder Gerät erhalten haben. Wenn Sie zur Eingabe eines
Kennworts oder einer PIN aufgefordert werden, geben
Sie 0000 ein.
Tipps und Fehlerbeseitigung
Reagiert oder funktioniert das Headset nicht ordnungsgemäß, führen Sie die folgenden Schritte der Reihe nach
aus, bis das Problem behoben ist.
m Vergewissern Sie sich, dass das Headset eingeschaltet ist.
Drücken Sie die Headset-Taste. Wenn die Statusanzeige
nicht grün blinkt, halten Sie die Taste etwa drei Sekunden
lang gedrückt, bis die Statusanzeige grün blinkt oder Sie
vier lauter werdende Töne hören.
m Vergewissern Sie sich, dass das iPhone eingeschaltet ist.
m Stellen Sie sicher, dass Headset und iPhone geladen sind.Deutsch 35
m Stellen Sie sicher, dass das iPhone bei einem Anruf auf
die Audiowiedergabe über das Headset eingestellt ist.
Tippen Sie auf „Audioquelle“ und wählen Sie das iPhone
Bluetooth Headset aus.
m Vergewissern Sie sich, dass das iPhone mit dem Headset
verbunden ist. Näheres hierzu fi nden Sie auf Seite +++3.
m Vergewissern Sie sich, dass Bluetooth auf dem iPhone aktiviert ist. Wählen Sie im Home-Bildschirm „Einstellungen“
> „Allgemein“ > „Bluetooth" und aktivieren Sie Bluetooth.
m Wählen Sie auf dem iPhone „Einstellungen“ und aktivieren Sie den Flugzeugmodus. Warten Sie dann ungefähr
drei Sekunden und deaktivieren Sie den Modus wieder.
Weitere Tipps und Informationen zur Fehlerbeseitigung
fi nden Sie unter: www.apple.com/de/support/iphone.36 Deutsch
±
Lesen Sie die folgenden Sicherheitsrichtlinien
und Nutzungshinweise, bevor Sie das iPhone
Bluetooth Headset verwenden, um Verletzungen
zu vermeiden.
Wichtige Sicherheitsinformationen
ACHTUNG: Das Nichtbeachten dieser Sicherheitsrichtlinien kann zu Bränden, elektrischen Schlägen oder
anderen Verletzungen oder zur Beschädigung von
Komponenten führen.
Umgang mit dem iPhone Bluetooth Headset
Lassen Sie das iPhone Bluetooth Headset nicht fallen, bauen
Sie es nicht auseinander und ö∂ nen, zerbrechen und verbiegen Sie es nicht mit Gewalt. Werfen Sie es nicht ins o∂ ene
Feuer und bemalen Sie es nicht. Erhitzen Sie das iPhone
Bluetooth Headset nicht in einer Mikrowelle und führen Sie
keine Gegenstände in das iPhone Bluetooth Headset ein.Deutsch 37
Schützen vor Flüssigkeiten und Witterungseinfl üssen
Verwenden Sie das iPhone Bluetooth Headset nicht bei Regen, in der Nähe von Waschbecken oder in anderen feuchten
Umgebungen. Achten Sie darauf, dass keine Flüssigkeiten auf
oder in das iPhone Bluetooth Headset gelangen. Sollte das
iPhone Bluetooth Headset Feuchtigkeit ausgesetzt worden
sein, schalten Sie es aus, bevor Sie es reinigen. (Halten Sie
die Headset-Taste etwa vier Sekunden lang gedrückt, bis die
Statusanzeige gelb blinkt.) Lassen Sie das Gerät vollständig
trocknen, bevor Sie es wieder einschalten. Versuchen Sie
nicht, das iPhone Bluetooth Headset mithilfe einer externen
Wärmequelle zu trocknen, z. B. in einem Mikrowellenherd
oder mit einem Haartrockner.
Reparieren des iPhone Bluetooth Headsets
Versuchen Sie niemals, das iPhone Bluetooth Headset
selbst zu reparieren oder anderweitig zu modifi zieren. Das
iPhone Bluetooth Headset enthält keine Komponenten, die
vom Benutzer gewartet werden können. Wenn das iPhone
Bluetooth Headset mit Wasser in Kontakt geraten oder heruntergefallen ist oder wenn das Gehäuse beschädigt wurde,
lassen Sie es von einem Apple Autorisierten Service-Partner
warten, bevor Sie es wieder verwenden.38 Deutsch
Aufl aden des iPhone Bluetooth Headsets
Verwenden Sie zum Aufl aden des iPhone Bluetooth Headsets ausschließlich Folgendes: Das iPhone Bluetooth Travel
Cable mit einem Apple USB Power Adapter (Netzteil), einen
High-Power-USB-Anschluss an einem anderen Gerät, das mit
den USB 2.0- oder 1.1-Standards kompatibel ist, oder ein anderes Apple-Produkt oder -Zubehör, das für die Verwendung
mit dem iPhone Bluetooth Headset konzipiert ist.
Lesen Sie alle Sicherheitsinformationen von anderen Produkten
oder Zubehörprodukten aufmerksam durch, bevor Sie diese
mit dem iPhone Bluetooth Headset verwenden. Apple über -
nimmt keine Gewähr im Hinblick auf die Verwendbarkeit
von Drittanbieterzubehör oder deren Konformität mit den
Standards für Sicherheit und Funkentstörung.
Wenn Sie zum Aufl aden des iPhone Bluetooth Headsets den
Apple USB Power Adapter (Netzteil) verwenden, achten Sie
darauf, dass das Netzteil vollständig zusammengesetzt ist,
bevor Sie es ans Stromnetz anschließen. Schließen Sie den
Apple USB Power Adapter dann so an, dass er fest in der
Steckdose sitzt. Der Apple USB Power Adapter darf nicht mit
nassen Händen an eine Netzsteckdose angeschlossen oder
aus einer Steckdose herausgezogen werden. Verwenden Sie
zum Laden Ihres iPhone Bluetooth Headsets nur den Apple
USB Power Adapter und keine sonstigen Netzteile.Deutsch 39
Vermeiden von Hörschäden
Die Verwendung des iPhone Bluetooth Headsets mit hoher
Lautstärke kann zu bleibenden Hörschäden führen. Sie
gewöhnen sich mit der Zeit zwar an höhere Lautstärken,
sodass diese für Sie normal erscheinen mögen, Ihre
Hör fähigkeit kann dadurch jedoch beeinträchtigt werden.
Stellen Sie die Lautstärke daher nicht zu hoch ein. Falls Sie in
Ihren Ohren ein Klingeln wahrnehmen oder Gesprochenes
gedämpft hören, sollten Sie die Lautstärke reduzieren oder
die Verwendung des Headset einstellen und ggf. einen
Ohrenarzt aufsuchen. Je höher Sie die Lautstärke einstellen,
desto schneller kann Ihr Gehör geschädigt werden. Experten
empfehlen, das Gehör wie folgt zu schützen:
 Benutzen Sie das Headset nur für eine beschränkte Dauer
bei hohen Lautstärken.
 Vermeiden Sie es, die Lautstärke zu erhöhen, um
Umgebungsgeräusche zu übertönen.
 Reduzieren Sie die Lautstärke, wenn Sie nicht hören
können, dass Personen in Ihrer Nähe sprechen.
Hautirritationen
Die Verwendung von Headsets kann gelegentlich zu Infektionen am Ohr führen, wenn diese nicht ordnungsgemäß gereinigt werden. Reinigen Sie die Lautsprechen Ihres iPhone
Bluetooth Headsets mit einem leicht mit Wasser oder einer 40 Deutsch
antispetischen Lösung wie Isopropylalkohol angefeuchteten,
fl usenfreien Tuch. Verschwindet die Hautirritation, können
Sie das Gerät weiter verwenden. Wenden Sie sich an einen
Arzt, wenn dies nicht der Fall ist.
Verkehrssicherheit
Informieren Sie sich über die Gesetze und Vorschriften zur
Verwendung mobiler Geräte wie dem iPhone in den Ländern,
in denen Sie mit dem Fahrzeug unterwegs sind, und halten
Sie diese Vorschriften ein. Fahren Sie stets vorsichtig und
konzentriert. Wenn Sie das iPhone beim Fahren verwenden
möchten, beachten Sie unbedingt die folgenden Richtlinien:
Richten Sie Ihre uneingeschränkte Aufmerksamkeit auf das
Fahren und die Straße. Die Verwendung von mobilen Geräten
beim Fahren kann die Aufmerksamkeit beeinträchtigen. Wenn
Sie beim Führen eines Fahrzeugs, beim Fahrradfahren oder bei
anderen Aktivitäten, die Ihre ganze Aufmerksamkeit erfordern,
durch Telefonieren gestört werden, fahren Sie an den Straßenrand und parken Sie das Fahrzeug, bevor Sie Anrufe tätigen
oder annehmen.
Erstickungsgefahr
Das iPhone Bluetooth Headset ist klein und kann von Kindern möglicherweise verschluckt werden. Bewahren Sie das
Headset außerhalb der Reichweite von Kindern auf.Deutsch 41
Für Fahrzeuge mit Airbag
Beim Aufblasen eines Airbags wirken enorme Kräfte. Bewahren Sie weder das iPhone Bluetooth Headset noch seine
Zubehörprodukte im Aktionsbereich des Airbags auf.
Funkfrequenzstörungen
Nahezu jedes elektronische Gerät reagiert empfi ndlich auf
Interferenzen durch externe Quellen, wenn es nicht entsprechend abgeschirmt, konzipiert oder anderweitig konfi guriert
ist. Auch das iPhone Bluetooth Headset kann Interferenzen
mit anderen Geräten verursachen. Befolgen Sie die hier
genannten Anweisungen, um Probleme durch Interferenzen
zu vermeiden.
Flugzeuge
Die Bestimmungen der US-Behörde FAA (Federal Aviation
Administration) sowie von Regulierungsbehörden in anderen
Ländern untersagen möglicherweise die Verwendung drahtloser Geräte im Flugzeug. Schalten Sie das iPhone Bluetooth
Headset aus, wenn Sie sich im Flugzeug befi nden.
Kraftfahrzeuge
HF-Signale beeinfl ussen u. U. installierte oder unzureichend
abgeschirmte elektronische Geräte in Kraftfahrzeugen.
Wenden Sie sich bei Fragen an den Fahrzeughersteller oder
dessen Kundenvertretung.42 Deutsch
Elektronische Geräte
Die meisten modernen elektronischen Geräte sind vor
HF-Signalen geschützt. Dennoch kann es vorkommen, dass
bestimmte elektronischen Geräte nicht gegen die HF-Signale
des iPhone Bluetooth Headsets abgeschirmt sind.
Hörgeräte
Das iPhone Bluetooth Headset kann Störungen mit
bestimmten Hörgeräten verursachen. Wenden Sie sich
in diesem Fall an den Hersteller des Hörgeräts oder an
Ihren Arzt und erkundigen Sie sich nach Alternativen oder
Abhilfemöglichkeiten.
Sonstige medizinische Geräte
Wenn Sie ein sonstiges medizinisches Gerät verwenden,
fragen Sie den Hersteller des Geräts oder Ihren Arzt, ob das
Gerät ausreichend vor externen HF-Signalen geschützt ist.
Schalten Sie das iPhone Bluetooth Headset in medizinischen
Einrichtungen aus, wenn Sie durch Hinweisschilder dazu
aufgefordert werden. In Krankenhäusern oder anderen
medizinischen Einrichtungen werden u. U. Geräte verwendet,
die durch externe HF-Signale gestört werden können.
Andere Einrichtungen
Schalten Sie das iPhone Bluetooth Headset überall dort aus,
wo Sie durch Hinweisschilder dazu aufgefordert werden.Deutsch 43
Sprengarbeiten
Schalten Sie das iPhone Bluetooth Headset aus, wenn Sie
sich in Bereichen befi nden, in denen Sprengarbeiten ausgeführt werden, oder wenn Hinweisschilder zum Ausschalten
von Funksprechgeräten au∂ ordern, um Störungen bei
Sprengarbeiten zu vermeiden. Beachten Sie alle Hinweisschilder und Anweisungen.
Wichtige Informationen zur Handhabung
BITTE BEACHTEN: Das Nichtbeachten dieser Richtlinien
zum Umgang mit dem iPhone Bluetooth Headset kann zu
Schäden am Gerät oder an anderen Gegenständen führen.
Verwenden der Anschlüsse
Versuchen Sie niemals, einen Stecker mit Gewalt in einen
Anschluss zu stecken. Überprüfen Sie, ob sich im Anschluss
Fremdkörper befi nden. Lässt sich der Stecker nicht problemlos anschließen, passt er vermutlich nicht zu diesem
Anschluss. Vergewissern Sie sich, dass Stecker und Anschluss
übereinstimmen und dass Sie den Stecker korrekt mit dem
Anschluss ausgerichtet haben.44 Deutsch
Akzeptabler Temperaturbereich für das iPhone Bluetooth
Headset
Verwenden Sie das iPhone Bluetooth Headset nur in einem
Temperaturbereich zwischen 0 ºC und 35 ºC. Die Batterielaufzeit des iPhone Bluetooth Headsets kann bei niedrigen
Temperaturen vorübergehend kürzer sein.
Lagern Sie das iPhone Bluetooth Headset nur in einem
Temperaturbereich zwischen -20 ºC und 45 ºC. Lassen
Sie das iPhone Bluetooth Headset nicht im Auto liegen,
denn in parkenden Autos kann dieser Temperaturbereich
überschritten werden.Italiano 45
Congratulazioni per aver acquistato il nuovo
auricolare Bluetooth® per iPhone. Segui le
istruzioni qui riportate per iniziare.
Abbinare l’auricolare con iPhone
1 Collega il cavo da viaggio iPhone Bluetooth Travel Cable
(incluso) a una porta USB 2.0 del tuo computer (non a
quella della tastiera).
2 Collega iPhone e l’auricolare al cavo. L’auricolare si
abbinerà automaticamente con iPhone.
Cavo
La prima volta che colleghi l’auricolare, lascialo in carica
per circa un’ora fi no a quando l’indicatore luminoso di
stato giallo su di esso non diventa verde.
3 Scollega iPhone e l’auricolare dal cavo.
Per connettere l’auricolare a iPhone, premi il pulsante
situato sulla parte superiore dell’auricolare. In questo
modo le chiamate passeranno attraverso l’auricolare.46 Italiano
In alcuni casi, potrebbe dover essere necessario
riconnettere l’auricolare a iPhone. Fai riferimento
alla pagina 49.
Telefonare o rispondere a una chiamata
1 Posiziona l’auricolare in un orecchio con il microfono
puntato verso la tua bocca.
Microfono
Ti risulterà più comodo utilizzare i copri auricolari in
spugnetta inclusi che si adattano bene alle orecchie.
2 Realizza una chiamata con iPhone. Premi il pulsante
situato sulla parte superiore dell’auricolare per rispondere
a una chiamata in arrivo.
Pulsante
Indicatore
luminoso
di statoItaliano 47
Se invece rispondi a una chiamata in arrivo toccando
leggermente lo schermo tattile di iPhone, l’audio passerà
attraverso iPhone.
3 Quando hai terminato, premi il pulsante per terminare
la chiamata.
Regolare il volume
m Usa i pulsanti del volume situati sul lato di iPhone.
ATTENZIONE: per informazioni di sicurezza importanti
su come evitare danni all’udito, consulta la pagina 58.
Cos’altro puoi fare
Per Esegui questa operazione
Rifi utare una chiamata
in arrivo
Premi il pulsante per circa un secondo,
fi no a quando non senti un bip.
Passare a una chiamata
in arrivo o in attesa e
mettere la telefonata
attuale in attesa
Premi il pulsante.
Passare a una
chiamata in arrivo o in
attesa e terminare la
telefonata attuale
Premi il pulsante per circa un secondo,
fi no a quando non senti un bip.48 Italiano
Verifi care se
l’auricolare è acceso
Premi il pulsante. Se è acceso,
l’indicatore luminoso di stato verde
lampeggia e l’auricolare fa bip.
Accendere l’auricolare Mantieni premuto il pulsante per circa
tre secondi, fi no a quando non vedi
lampeggiare l’indicatore luminoso di
stato verde o non senti una sequenza di
quattro toni ascendenti.
Spegnere l’auricolare Mantieni premuto il pulsante per circa
quattro secondi, fi no a quando non
vedi lampeggiare l’indicatore luminoso
di stato giallo o non senti una sequenza
di quattro toni discendenti.
Passare dall’auricolare a iPhone
Per smettere di utilizzare l’auricolare e ascoltare
le chiamate attraverso iPhone, puoi:
m Spegnere l’auricolare. Potrai riaccenderlo e utilizzarlo con
iPhone in qualsiasi momento.
m Durante una chiamata, toccare leggermente “Sorgente
audio” su iPhone e scegliere iPhone o Vivavoce (per
telefoni vivavoce).Italiano 49
Ristabilire la connessione dell’auricolare
con iPhone
Se l’icona di Bluetooth (◊) nella barra di stato di iPhone
è blu o bianca (a seconda dell’applicazione utilizzata)
signifi ca che le chiamate passeranno attraverso
l’auricolare.
L’auricolare emetterà due toni di bip bassi se viene
interrotta la connessione con iPhone. Se l’icona di Bluetooth
nella barra di stato è grigia o non è presente signifi ca che
la connessione dell’auricolare con iPhone è interrotta.
Per far passare le chiamate attraverso l’auricolare:
m Premi il pulsante per riavviare una connessione.
m Se ciò non dovesse funzionare, assicurati che l’auricolare
sia acceso, carico e nel raggio di azione di iPhone (a una
distanza di circa 9 metri).
m Se il problema persiste, assicurati che Bluetooth sia
stato attivato su iPhone. Dallo schermo Home, scegli
Impostazioni > Generali > Bluetooth e attiva Bluetooth.
m Se il problema persiste, abbina nuovamente l’auricolare
con iPhone. Fai riferimento alla pagina 45.50 Italiano
Se l’auricolare è abbinato con altri dispositivi Bluetooth,
dovrai ristabilire la connessione con iPhone dopo aver
spento l’auricolare o dopo averlo utilizzato con uno degli
altri dispositivi.
Ricaricare l’auricolare
Quando l’auricolare è quasi scarico, viene emesso ogni
dieci secondi un lungo bip.
Per ricaricare l’auricolare:
1 Collega il cavo da viaggio iPhone Bluetooth Travel Cable
(incluso) al computer. Oppure collegalo all’alimentatore
Apple USB Power Adapter fornito con iPhone e collega
l’alimentatore a una presa di corrente.
2 Collega l’auricolare al cavo.
L’auricolare completamente scarico si ricarica in circa
un’ora e mezza.
Indicatore luminoso di stato giallo = in carica
Indicatore luminoso di stato verde = ricarica completa
3 Scollega l’auricolare dal cavo. Premi il pulsante per
stabilire la connessione dell’auricolare con iPhone e
far sì che le chiamate passino attraverso esso.Italiano 51
Per visualizzare la carica rimanente:
m Collega il cavo da viaggio iPhone Bluetooth Travel Cable
al computer o all’alimentatore Apple USB Power Adapter
attaccato a una presa di corrente. Quindi collega iPhone
e l’auricolare al cavo. Lo schermo di iPhone mostra
il livello di carica della batteria dell’auricolare.
L’auricolare ha una batteria interna che non può essere
sostituita dall’utente. Le batterie ricaricabili dispongono
di un numero limitato di cicli di carica e potrebbero
consumarsi. La durata della batteria e il numero di cicli
di carica può variare a seconda dell’uso e delle
impostazioni. Per ulteriori informazioni, consulta il sito
www.apple.com/it/batteries. Per maggiori informazioni
sullo smaltimento dell’auricolare, fai riferimento alla
pagina 64.
ATTENZIONE: per informazioni di sicurezza importanti
su come ricaricare l’auricolare, consulta la pagina 57.52 Italiano
Utilizzare l’auricolare con un altro telefono o
dispositivo
Puoi utilizzare l’auricolare con un altro dispositivo
Bluetooth, ad esempio con un altro telefono. Puoi
abbinare manualmente l’auricolare con iPhone, se non
hai a portata di mano il cavo da viaggio iPhone Bluetooth
Travel Cable.
Puoi anche abbinare l’auricolare con un computer
dotato di tecnologia Bluetooth e parlare con i tuoi amici
utilizzando un’applicazione di messaggeria istantanea
con l’audio abilitato, come iChat.
Per impostare l’auricolare a∑ nché sia visibile da un
altro dispositivo:
1 Spegni l’auricolare.
2 Mantieni premuto il pulsante dell’auricolare per circa
otto secondi, fi no a quando non senti i toni di avvio e
poi cinque bip veloci e forti.
L’auricolare rimane in modalità visibile per circa cinque
minuti. L’indicatore luminoso di stato verde lampeggia
per tutto il tempo in cui l’auricolare è visibile.Italiano 53
Per abbinare l’auricolare con un altro telefono o per
abbinarlo manualmente con iPhone:
1 Attiva Bluetooth sul telefono e imposta il telefono
a∑ nché cerchi altri dispositivi Bluetooth. Per eseguire
questa operazione su iPhone, scegli Impostazioni >
Generali > Bluetooth e attiva Bluetooth.
2 Imposta l’auricolare in modalità visibile (vedi sopra).
3 Sul telefono, scegli l’auricolare Bluetooth per iPhone e
inserisci il codice PIN 0000.
Fai riferimento alle istruzioni fornite con il telefono per
maggiori informazioni su come abbinarlo con i dispositivi
Bluetooth.
Per abbinare l’auricolare con un Mac dotato di tecnologia
Bluetooth con Mac OS X versione 10.4.9 o successiva:
1 Apri le Preferenze di Sistema e fai clic su Bluetooth.
2 Se è il primo dispositivo Bluetooth che confi guri, fai clic
sul pulsante Confi gura nuovo dispositivo. Altrimenti,
fai cli sul pulsante Aggiungi (+) situato sotto l’elenco
dei dispositivi esistenti.
3 Scegli Cu∑ e auricolari.
4 Imposta l’auricolare a∑ nché sia visibile.
5 Segui le istruzioni su schermo. Quando ti viene chiesta
una chiave d’accesso, inserisci 0000.54 Italiano
Per utilizzare l’auricolare con iChat:
1 Abbina l’auricolare con il tuo Mac.
2 In iChat, scegli iChat > Preferenze e fai clic su Audio/Video.
3 Scegli l’auricolare Bluetooth per iPhone dai menu a
comparsa Microfono e Uscita audio.
4 Inizia una chat audio o video.
Per abbinare l’auricolare con un altro computer
(ad esempio un PC Windows) o dispositivo Bluetooth:
Segui le istruzioni fornite insieme al computer o al
dispositivo. Quando ti viene chiesta una chiave d’accesso
o un PIN, inserisci 0000.
Suggerimenti e risoluzione dei problemi
Se l’auricolare non risponde o non funziona correttamente,
prova i seguenti suggerimenti nell’ordine riportato di
seguito fi no a quando non si risolve il problema.
m Assicurati che l’auricolare sia acceso. Premi il pulsante.
Se l’indicatore luminoso di stato verde non lampeggia,
mantieni premuto il pulsante per circa tre secondi fi no
a quando non lo vedi lampeggiare o non senti una
sequenza di quattro toni ascendenti.
m Assicurati che iPhone sia acceso.
m Assicurati che l’auricolare e iPhone siano carichi.Italiano 55
m Durante una chiamata, assicurati che iPhone sia
impostato per emettere il suono attraverso l’auricolare.
Tocca leggermente “Sorgente audio” e scegli l’auricolare
Bluetooth per iPhone.
m Assicurati che iPhone sia abbinato con l’auricolare.
Fai riferimento alla pagina 45.
m Assicurati che Bluetooth sia stato attivato su iPhone.
Dallo schermo Home, scegli Impostazioni > Generali >
Bluetooth, quindi attiva Bluetooth.
m Su iPhone, scegli Impostazioni e attiva la modalità di uso
in aereo. Quindi attendi per circa tre secondi e disattivala
nuovamente.
Per ulteriori suggerimenti e informazioni sulla
risoluzione dei problemi tecnici, vai al sito:
www.apple.com/it/support/iphone.
±
Leggi tutte le informazioni sulla sicurezza riportate
di seguito e le istruzioni sul funzionamento prima
di utilizzare l’auricolare Bluetooth per iPhone per
evitare eventuali lesioni.56 Italiano
Importanti informazioni sulla sicurezza
ATTENZIONE: la mancata osservanza delle istruzioni
di sicurezza qui riportate può causare incendi, scosse
elettriche o danni e lesioni.
Maneggiare l’auricolare Bluetooth per iPhone
Non fare cadere, smontare o aprire, schiacciare, piegare o
deformare, forare, tagliare, esporre a microonde, incenerire,
dipingere o inserire oggetti estranei nell’auricolare Bluetooth
per iPhone.
Evita l’acqua e i luoghi umidi
Non utilizzare l’auricolare Bluetooth per iPhone sotto la
pioggia o in prossimità di lavandini o luoghi umidi. Fai
attenzione a non versare alcun cibo o liquido su di esso. Nel
caso in cui l’auricolare Bluetooth per iPhone si bagni, spegnilo
(mantieni premuto il pulsante per circa quattro secondi, fi no
a quando l’indicatore luminoso di stato giallo non lampeggia)
prima di pulirlo e lascialo asciugare completamente prima
di riaccenderlo. Evita di asciugarlo con una fonte di calore
esterna, come un forno a microonde o un asciugacapelli.Italiano 57
Riparare l’auricolare Bluetooth per iPhone
Non provare mai a riparare o modifi care da solo l’auricolare
Bluetooth per iPhone. Non contiene parti che possano essere
riparate dall’utente. Se l’auricolare è stato immerso in acqua,
forato o ha subito una forte caduta, prima di utilizzarlo
contatta un Fornitore di servizi autorizzato Apple.
Ricaricare l’auricolare Bluetooth per iPhone
Per caricare l’auricolare Bluetooth per iPhone, utilizza soltanto
il cavo da viaggio iPhone Bluetooth Travel Cable con un
alimentatore di corrente USB di Apple o una porta USB ad
elevata velocità su un altro dispositivo compatibile con gli
standard USB 2.0 o 1.1, o un altro prodotto o accessorio Apple
adatto all’utilizzo con l’auricolare Bluetooth per iPhone.
Leggi le istruzioni di sicurezza relative a tutti i prodotti e
accessori prima di utilizzarli con l’auricolare Bluetooth per
iPhone. Apple non è responsabile del funzionamento di
accessori di terze parti o della loro compatibilità con gli
standard sulla sicurezza e le normative.
Quando utilizzi l’alimentatore di corrente USB di Apple
per caricare l’auricolare Bluetooth per iPhone, assicurati
che l’alimentatore sia completamente montato prima di
collegarlo a una presa elettrica. Quindi, inserisci saldamente
l’alimentatore di corrente USB di Apple nella presa elettrica.
Non collegarlo o scollegarlo con le mani bagnate. 58 Italiano
Per ricaricare l’auricolare Bluetooth per iPhone non utilizzare
alimentatori diversi dall’alimentatore di corrente USB di Apple.
Evitare danni permanenti all’udito
L’utilizzo dell’auricolare Bluetooth per iPhone ad alto volume
può comportare danni permanenti all’udito. Sebbene
l’orecchio sia in grado di adattarsi progressivamente a
volumi più elevati senza apparenti problemi, un volume
elevato potrebbe causare danni all’udito. Evita di impostare il
volume su livelli eccessivi prima che ciò accada. Se noti fi schi
nelle orecchie o l’ascolto risulta attutito, abbassa il volume
o interrompi l’uso dell’auricolare ed e∂ ettua un controllo
dell’udito. Più alto è il volume e in meno tempo l’udito
potrebbe subire dei danni. Per proteggere l’udito gli esperti
consigliano di:
 Limita il tempo di utilizzo dell’auricolare ad alto volume.
 Evita di aumentare il volume per nascondere rumori di
sottofondo.
 Abbassa il volume se non puoi sentire le persone vicine
quando parlano. Italiano 59
In caso di irritazione cutanea
Gli auricolari possono provocare infezioni alle orecchie se
non vengono puliti correttamente. Pulisci l’altoparlante
dell’auricolare Bluetooth per iPhone, se necessario, utilizzando
acqua o una sostanza antisettica, come ad esempio alcol
isopropilico, su un panno leggermente inumidito e privo di
lanugine. Se si sviluppa un’irritazione cutanea, interrompine
l’uso. Se il problema continua consulta un medico.
Guidare con sicurezza
Controlla e rispetta le leggi e la normativa sull’uso di
dispositivi portatili come iPhone nelle zone in cui stai
guidando. Durante la guida presta attenzione e sii prudente.
Se decidi di utilizzare iPhone mentre sei alla guida, tieni a
mente le seguenti indicazioni: presta la massima attenzione
alla guida e alla strada. L’utilizzo di un dispositivo portatile
mentre sei alla guida potrebbe distrarti. Se ritieni che il
dispositivo sia fonte di distrazione o disturbo mentre guidi
qualsiasi tipo di veicolo, vai in bicicletta o svolgi qualsiasi
attività che richiede la massima attenzione, accosta e
parcheggia prima di e∂ ettuare una chiamata o di rispondere
qualora le condizioni di guida lo richiedano. 60 Italiano
Pericolo di so∂ ocamento
L’auricolare Bluetooth per iPhone è di piccole dimensioni
e può rappresentare un pericolo per i bambini piccoli.
Mantienilo fuori dalla loro portata.
Per i veicoli dotati di air bag
Un air bag si gonfi a con grande potenza. Non posizionare
l’auricolare Bluetooth per iPhone o i suoi accessori nell’area
sopra l’air bag o nella zona in cui è previsto che si gonfi .
Interferenza di radiofrequenza
La maggior parte dei dispositivi elettronici è soggetta a
interferenze a radiofrequenze (RFI) da parte di sorgenti
esterne se non adeguatamente schermati, progettati o
confi gurati per la compatibilità. L’auricolare Bluetooth
per iPhone potrebbe quindi creare interferenze con altri
dispositivi. Per evitare problemi causati da eventuali
interferenze, segui queste istruzioni.
Aeroplano
Le normative della FAA (Federal Aviation Administration)
potrebbero proibire l’utilizzo di dispositivi wireless durante
il volo. Spegni l’auricolare Bluetooth per iPhone quando sei
in aereo.Italiano 61
Veicoli
I segnali RF potrebbero interferire con sistemi elettronici
installati o non protetti idoneamente in veicoli a motore.
Rivolgiti al produttore o al rappresentante del tuo veicolo
per maggiori informazioni.
Dispositivi di elettronica
La maggior parte dei moderni dispositivi elettronici è
schermato contro i segnali RF. È tuttavia possibile che alcuni
sistemi elettronici non dispongano di protezione contro i
segnali a RF dell’auricolare Bluetooth per iPhone.
Apparecchi acustici
L’auricolare Bluetooth per iPhone potrebbe interferire
con alcuni apparecchi acustici. Qualora succeda, rivolgiti
al produttore dell’apparecchio o al medico per rimedi o
possibili alternative.
Altri dispositivi medicali
Se utilizzi altri dispositivi medici personali, contatta il
produttore del tuo dispositivo o il tuo medico per stabilire
se il dispositivo è adeguatamente schermato contro
interferenze RF esterne.62 Italiano
Spegni l’auricolare Bluetooth per iPhone all’interno di
strutture sanitarie qualora venga espressamente richiesto.
Gli ospedali o le cliniche potrebbero utilizzare dispositivi
“sensibili” alle interferenze RF esterne.
Locali con divieto
Spegni l’auricolare Bluetooth per iPhone nei locali che ne
vietano esplicitamente l’utilizzo.
Zone a rischi di esplosione
Per evitare interferenze con operazioni che implicano
esplosioni, spegni l’auricolare Bluetooth per iPhone se ti
trovi in un’atmosfera potenzialmente esplosiva o in zone
segnalate con indicazioni come “Spegnere ricetrasmittenti”.
Attenersi alle segnalazioni e alle istruzioni.
Informazioni importanti sul trattamento e
la manipolazione
AVVISO: la mancata osservanza delle istruzioni per un
corretto utilizzo dell’auricolare Bluetooth per iPhone
può causare danni al dispositivo o ad altri oggetti.Italiano 63
Utilizzare connettori e porte
Non forzare mai un connettore in una porta. Verifi ca
eventuali ostruzioni della porta. Se il connettore e la
porta non si collegano con facilità, probabilmente non
corrispondono. Accertati che il connettore corrisponda alla
porta e di avere posizionato il connettore correttamente
rispetto alla porta.
Mantenere l’auricolare Bluetooth per iPhone entro
temperature accettabili
Utilizza l’auricolare Bluetooth per iPhone in un luogo in cui
la temperatura sia sempre compresa tra 0º e 35º C. La durata
della batteria dell’auricolare potrebbe temporaneamente
ridursi in condizioni di basse temperature.
Conservalo in un luogo in cui la temperatura sia sempre
compresa tra -20º e 45º C. Non lasciare l’auricolare in auto
perché la temperatura nelle auto parcheggiate può superare
tali valori.64
Regulatory Compliance Information
FCC Compliance Statement
This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject
to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful
interference, and (2) this device must accept any interference received,
including interference that may cause undesired operation.
Important: Changes or modifi cations to this product not authorized
by Apple could void the EMC compliance and negate your authority to
operate the product. This product has demonstrated EMC compliance
under conditions that included the use of compliant peripheral devices
and shielded cables between system components. It is important that
you use compliant peripheral devices and shielded cables between
system components to reduce the possibility of causing interference to
radios, televisions, and other electronic devices.
Disposal and Recycling Information
iPhone Bluetooth Headset Disposal and Recycling
Your iPhone Bluetooth Headset must be disposed of properly according
to local laws and regulations. Because the iPhone Bluetooth Headset
contains electronic components and a battery, it must be disposed of
separately from household waste. When your iPhone Bluetooth Headset
reaches its end of life, contact local authorities to learn about disposal
and recycling options, or simply drop it o∂ at your local Apple retail store
or return it to Apple. For more information, go to:
www.apple.com/environment/recycling 65
Battery Disposal Information
Deutschland: Das Gerät enthält Batterien. Diese gehören nicht in den
Hausmüll. Sie können verbrauchte Batterien beim Handel oder bei den
Kommunen unentgeltlich abgeben. Um Kurzschlüsse zu vermeiden,
kleben Sie die Pole der Batterien vorsorglich mit einem Klebestreifen ab.
Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de
chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval
(kca) worden gedeponeerd.
European Union—Disposal Information:
The symbol above means that according to local laws and regulations
your product should be disposed of separately from household waste.
When this product reaches its end of life, take it to a collection point
designated by local authorities. Some collection points accept products
for free. The separate collection and recycling of your product at the
time of disposal will help conserve natural resources and ensure that it
is recycled in a manner that protects human health and the environment.66
Union Européenne: informations sur l’élimination
Ce symbole signifi e que vous devez vous débarasser de votre produit
sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et
la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable,
portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les
autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement.
Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son
élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger
l’environnement et la santé des êtres humains.
Europäische Union – Informationen zur Entsorgung
Dieses Symbol weist darauf hin, dass dieses Produkt entsprechend
den geltenden gesetzlichen Vorschriften und getrennt vom Hausmüll
entsorgt werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur Entsorgung bei
einer o∑ ziellen Sammelstelle ab. Bei einigen Sammelstellen können
Produkte zur Entsorgung unentgeltlich abgegeben werden. Durch
getrenntes Sammeln und Recycling werden die Rohsto∂ -Reserven
geschont, und es ist sichergestellt, dass beim Recycling des Produkts alle
Bestimmungen zum Schutz von Gesundheit und Umwelt eingehalten
werden.
Unione Europea: informazioni per l’eliminazione
Questo simbolo signifi ca che, in base alle leggi e alle norme locali, il
prodotto dovrebbe essere eliminato separatamente dai rifi uti casalinghi.
Quando il prodotto diventa inutilizzabile, portarlo nel punto di raccolta
stabilito dalle autorità locali. Alcuni punti di raccolta accettano i prodotti
gratuitamente. La raccolta separata e il riciclaggio del prodotto al
momento dell’eliminazione aiutano a conservare le risorse naturali e
assicurano che venga riciclato in maniera tale da salvaguardare la salute
umana e l’ambiente. 67
Europeiska unionen – uttjänta produkter
Den här symbolen betyder att produkten enligt lokala lagar och
bestämmelser inte får kastas tillsammans med hushållsavfallet. När
produkten har tjänat ut måste den tas till en återvinningsstation
som utsetts av lokala myndigheter. Vissa återvinningsstationer tar
kostnadsfritt hand om uttjänta produkter. Genom att låta den uttjänta
produkten tas om hand för återvinning hjälper du till att spara
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de recommandation. Apple ne se porte pas garant de ces
produits et décline toute responsabilité quant à leur
utilisation et à leur fonctionnement.Préface 7 Présentation des effets de Logic Pro
8 À propos des effets de Logic Pro
8 À propos de la documentation de Logic Pro
8 Ressources supplémentaires
Chapitre 1 11 Amplificateurs et Pédales
11 Amp Designer
30 Bass Amp
31 Guitar Amp Pro
38 Pédalier
Chapitre 2 55 Effets Delay (de retard)
56 Delay Designer
77 Echo
77 Sample Delay
78 Stereo Delay
80 Tape Delay
Chapitre 3 83 Effets de distorsion
84 Bitcrusher
85 Clip Distortion
87 Effet de distorsion
87 Distortion II
88 Overdrive
88 Phase Distortion
Chapitre 4 91 Effets dynamiques
92 Types de processeurs dynamiques
93 Adaptive Limiter
95 Compressor
99 DeEsser
101 Ducker
103 Enveloper
105 Expander
3
Sommaire106 Limiter
107 Multipressor
110 Noise Gate
113 Silver Compressor
114 Silver Gate
114 Surround Compressor
Chapitre 5 119 Égaliseurs
120 Channel EQ
124 DJ EQ
125 Fat EQ
126 Linear Phase EQ
130 Match EQ
137 Égaliseurs monobandes
139 Silver EQ
Chapitre 6 141 Effets de filtre
141 AutoFilter
147 EVOC 20 Filterbank
153 EVOC 20 TrackOscillator
166 Fuzz-Wah
169 Spectral Gate
Chapitre 7 173 Processeurs Imaging
173 Posttraitement binaural
175 Direction Mixer
178 Stereo Spread
Chapitre 8 181 Outils de mesure
182 BPM Counter
182 Correlation Meter
183 Module Level Meter
183 MultiMeter
189 Surround MultiMeter
195 Tuner
Chapitre 9 197 Effets de modulation
198 Effet chorus
198 Effet Ensemble
200 Effet Flanger
201 Microphaser
201 Modulation Delay
204 Phaser, effet
205 RingShifter
4 Sommaire212 Effet Rotor Cabinet
214 Effet Scanner Vibrato
216 Spreader
217 Effet Tremolo
Chapitre 10 219 Pitch, effets
219 Effet Pitch Correction
223 Pitch Shifter II
225 Vocal Transformer
Chapitre 11 229 Effets de réverbération
230 Planches, effets de réverbération numériques et réverbération à convolution
230 AVerb
231 EnVerb
234 GoldVerb
237 PlatinumVerb
241 SilverVerb
Chapitre 12 243 Space Designer Convolution Reverb
244 Découvrir l’interface de Space Designer
245 Utilisation des paramètres de réponse impulsionnelle dans Space Designer
250 Travailler avec les paramètres Envelope et EQ dans Space Designer
256 Travailler avec le filtre de Space Designer
258 Travailler avec les paramètres globaux de Space Designer
265 Automatisation de Space Designer
Chapitre 13 267 Effets et utilitaires spécialisés
267 Denoiser
270 Enhance Timing
271 Exciter
272 Grooveshifter
273 Speech Enhancer
274 SubBass
Chapitre 14 277 Utilitaires et outils
277 Down Mixer
278 Module Gain
279 Utilitaire I/O
281 Multichannel Gain
281 Test Oscillator
Sommaire 5Logic Pro comporte une gamme étendue d’effets de traitement de signal numérique
(DSP, Digital Signal Processing) et de processeurs servant à colorer ou à former la tonalité
des enregistrements audio, des instruments logiciels et des sources audio externes en
temps réel. Ils couvrent la majorité des besoins quotidiens en traitement et manipulation
audio.
Les options de traitement les plus usuelles comprennent les égaliseurs, les processeurs
dynamiques, les distorsions, réverbérations et retards.
Les simulations d’amplificateurs et d’enceintes de hautparleurs sont les moins courantes
et vous permettent de « jouer » vosinstruments ou d’autressignaux à travers une gamme
de systèmes de reproduction sonore anciens et modernes. Les guitaristes et les joueurs
de synthéthiseur bénéficient également d’un certain nombre d’émulations d’effet de
pédale classique.
Des fonctions plus avancées comprennent des instruments de mesure et des analyseurs
de signaux précis, un générateur de tonalité de test, des processus et utilitaires de
diminution du bruit, de correction de la hauteur tonale, d’imagerie, d’amélioration des
graves et de modification de la durée.
Comme vous pouvez le constater, nombre de ces processeurs et utilitaires inclus ne
rentrent pas réellement dans la catégorie des « effets », mais peuvent s’avérer précieux
dans votre studio.
Cette préface traite des sujets suivants :
• À propos des effets de Logic Pro (p 8)
• À propos de la documentation de Logic Pro (p 8)
• Ressources supplémentaires (p 8)
7
Présentation des effets de
Logic Pro PréfaceÀ propos des effets de Logic Pro
Tous les effets, processeurs, et utilitaires fournissent une interface intuitive qui simplifie
le fonctionnement, et permet de travailler rapidement. Une excellente qualité audio est
garantie en cas de besoin et il est également possible, à l’autre extrémité du spectre,
d’effectuer un traitement approfondi en cas de modification poussée de votre son. Tous
les effets et processeurs sont très optimisés pour une utilisation efficace de la CPU.
À propos de la documentation de Logic Pro
Logic Pro est accompagné d’une documentation pour vous aider à prendre rapidement
l’application en main ou vous donner des informations détaillées.
• Manuel de l'utilisateur de Logic Pro : Logic Proce manuel propose des instructions
complètes pour configurer un système d’enregistrement, composer de la musique,
éditer des fichiers audio et MIDI et générer la sortie audio pour la production de CD.
• Découverte de Logic Pro : ce fascicule fournit une introduction rapide aux fonctionnalités
et tâches principales de Logic Pro, encourageant l'exploration individuelle pour les
nouveaux utilisateurs.
• Logic Pro - Prise en charge des surfaces de contrôle : ce manuel décrit la configuration et
l’utilisation de surfaces de contrôle avec Logic Pro.
• Instruments de Logic Pro : ce manuel fournit des instructions complètes concernant
l’utilisation de la puissante gamme d’instruments inclus avec .Logic Pro
• Effets de Logic Pro : ce manuel fournit desinstructions complètes concernant l’utilisation
de la puissante gamme d’effets inclus avec Logic Pro.
• Utilisation de Logic Pro avec le matériel Apogee : ce manuel explique comment utiliser
le matériel Apogee avec Logic Pro.
• Manuel de l'utilisateur de l'utilitaire Impulse Response : ce manuel fournit desinstructions
complètes sur l'utilisation de l'utilitaire Impulse Response afin de créer vos propres
réponses impulsionnelles mono, stéréo et surround pour Space Designer, effet de
réverbération à convolution de Logic Pro.
Ressources supplémentaires
En plus de la documentation de Logic Pro, de nombreuses autres ressources vous
permettent d’en savoir plus.
Notes de mises à jour et de nouvelles fonctionnalités
Chaque application offre une documentation détaillée couvrant les nouvelles et anciennes
fonctionnalités et fonctions. Il est possible d’accéder à cette documentation comme suit :
• Cliquez sur Notes de mise à jour et Nouvelles fonctionnalités dans le menu Aide de
l’application.
8 Préface Présentation des effets de Logic ProSite web de Logic Pro
Pour obtenir desinformations générales et des mises à jour, mais aussi consulter l’actualité
de Logic Pro, reportez-vous à l’adresse :
• http://www.apple.com/fr/logicpro
Sites Web de service et assistance Apple
Pour obtenir des mises à jour de logiciels et consulter lesréponses aux questions courantes
(FAQ) concernant tous les produits Apple, rendez-vous sur la page web Support Apple.
Vous aurez aussi accès aux spécifications des produits, à la documentation de référence
et aux articles techniques relatifs aux produits Apple et de tierce partie.
• http://www.apple.com/fr/support
Pour les mises à jour logicielles, la documentation, lesforums de discussion et lesréponses
aux questions les plus fréquentes sur Logic Pro, rendez-vous à l’adresse suivante :
• http://www.apple.com/fr/support/logicpro
Pour consulter les forums de discussion sur tous les produits Apple à travers le monde,
vous permettant de rechercher des réponses, de poser des questions ou de répondre
aux questions des autres utilisateurs, allez à l’adresse :
• http://discussions.apple.com (en anglais)
Préface Présentation des effets de Logic Pro 9Logic Pro comporte un ensemble complet d’amplificateurs de guitares et de basses ainsi
que d’effets de pédale classique. Vous pouvez jouer ou lire des sections instrumentales
logicielles ou audio enregistrées, à l’aide de ces amplificateurs et effets.
Les modèles d’amplificateurs reproduisent des tubes d’époque et des tubes modernes
et des amplificateurs à semi-conducteurs. Les unités d’effets intégrés, tels que l’effet
réverb, trémolo ou vibrato, sont également reproduites. Une variété d’enceintes de
hautparleurs émulés accompagne les amplificateurs ; celles-ci sont utilisées comme un
ensemble concordant ou sont combinées de différentes manières pour produire dessons
hybrides intéressants.
Un certain nombre d’effets de pédalier « classique » ou stompbox est égalementreproduits.
Ces effets ont toujours été prisés et le sont encore aujourd’hui par les guitaristes et
claviéristes. À l’instar de leurs homologues actuels, vous pouvez librement enchaîner les
pédales dans l’ordre souhaité pour reproduire le son idéal.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Amp Designer (p 11)
• Bass Amp (p 30)
• Guitar Amp Pro (p 31)
• Pédalier (p 38)
Amp Designer
Amp Designer émule le son de plus de 20 amplis de guitare connus et des enceintes de
hautparleurs utilisées avec ces derniers. Chaque modèle préconfiguré combine un
amplificateur, une enceinte, et un égaliseur qui reproduisent un son connu d’un ampli
de guitare. Il est possible de traiter les signaux de guitare directement, vous permettant
ainsi de reproduire le son de votre guitare par le biais de ces systèmes d’amplification.
Amp Designer peut également servir au traitement et à la conception sonores
expérimentaux. Vous pouvez l’utiliser avec d’autres instruments, en appliquant, par
exemple, le caractère sonore d’un amplificateur de guitare à une partie vocale ou de
trompette.
11
Amplificateurs et Pédales
1Les amplificateurs, enceintes, et égaliseurs émulés par Amp Designer peuvent être
combinés de différentes manières pour modifier radicalement ou subtilement la tonalité.
Les microphones virtuels permettent de détecter le signal de l’amplificateur ou de
l’enceinte émulé(e). Vous avez le choix entre trois types de microphones, et vous pouvez
les repositionner.
Amp Designer émule également les effets d’un amplificateur de guitare classique, y
compris les effets réverb à ressort, vibrato et trémolo.
L’interface AmpDesigner peut être divisée en quatre sections générales en ce qui concerne
les différents types de paramètres.
Paramètres de l’amplificateur Paramètres des effets Paramètres de l’amplificateur
Paramètres du microphone
• Paramètres de modèle : le menu local Modèle est situé dans le coin gauche de la barre
noire. Il permet de choisir un modèle préconfiguré comportant un amplificateur, une
enceinte, un type d’égaliseur et de microphone. Consultez Choix d’un modèle
Amp Designer. Les paramètres de personnalisation du modèle situés sur la barre noire
vous permettent de choisir indépendamment le type d’amplificateur et d’enceinte.
Consultez Création d’une combinaison personnalisée Amp Designer. Il est possible de
choisir le type d’égaliseur à partir du menu local Égaliseur situé audessus de Graves,
Médiums, et Aigus dans la section boutons. Consultez Utilisation de l’égaliseur d’Amp
Designer.
• Paramètres de l’amplificateur : situés à la fin de chaque section de boutons, ces
paramètres permettent de régler le gain d’entrée, la présence et le niveau de sortie
d’un amplificateur. Consultez Utilisation des commandes Gain, Presence et Master
d’Amp Designer.
• Paramètres des effets : situés au centre de la section de boutons, ces paramètres vous
permettent de contrôler les effets de guitare intégrés. Consultez Présentation des
paramètres d’effets d’Amp Designer.
12 Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales• Paramètres dumicrophone : situéslégèrement audessus de l’extrémité inférieure droite
de la barre noire, ces paramètres permettent de régler le type et la position du
microphone qui capture le son de l’amplificateur et de l’enceinte. Consultez Paramétrage
du micro d’Amp Designer.
Pour passer d’une version plus petite de l’interface à une version plein écran ou
inversement
µ Cliquez sur le triangle d’affichage situé entre les menuslocaux Enceinte et Mic de l’interface
plein écran pour passer à la version plus petite. Pour revenir à la version plein écran de
l’interface, cliquez sur le triangle d’affichage situé en regard du champ Sortie de la version
plus petite de l’interface. Vous pouvez accéder à tous les paramètres, à l’exception de la
sélection et du positionnement du microphone, dans la version plus petite de l’interface.
Cliquez ici dans
l'interface plein écran.
Cliquez ici dans
l’interface plus petite.
Choix d’un modèle Amp Designer
Vous pouvez choisir un modèle préconfiguré, comportant un amplificateur, une enceinte,
un type d’égaliseur et de micro, dans le menu local Modèle situé à l’extrémité inférieure
gauche de la barre noire de l’interface Amp Designer. Vos choix comprennent plusieurs
combinaisons dans chacune des catégories suivantes :
• Tweed Combos
• Combos américains classiques
• British Stack
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 13• British Combos
• Alternatives aux modèles British
• Metal Stack
• Combinaisons supplémentaires
Tweed Combos
Les modèles Tweed se basent sur les combos américains des années 50 et du début des
années 60 qui ont permis de définir les sons du blues, du rock et de la musique country.
Ils présentent des sons chauds, complexes et nets qui passent progressivement d’une
distorsion légère à un overdrive rauque avec l’augmentation du gain. Un demisiècle plus
tard, Tweed est toujours au goût du jour. De nombreux amplificateurs modernesse basent
sur la circuiterie Tweed.
Model Description
Le combo 2,54 x 30,48 cm qui passe progressivement d’un son net
à un son saturé est idéal pour le blues et le rock. Pour une meilleure
définition, réglez les commandes Aigus et Présence sur une valeur
avoisinant 7.
Small Tweed Combo
Le combo 10,16 x 25,40 cm était à l’origine destiné aux bassistes,
mais il était également utilisé par les guitaristes de blues et de rock.
Il produit des sons plus ouverts et plus transparents que le Small
Tweed Combo tout en pouvant également offrir des sons saturés.
Combo Small Tweed
Petit amplificateur équipé d’un seul hautparleur de 25,40 cm, utilisé
par d’innombrables artistes de blues et de rock. Ce combo offre un
son dynamique et peut produire ces tonalités nettes et saturées
pour lesquelles les combos Tweed sont réputés.
Small Tweed Combo
Astuce : les combos Tweed répondent merveilleusement bien à votre dynamique musicale.
Réglez les boutons pour créer un son distordu, puis baissez le volume de votre guitare
pour créer une tonalité plus nette. Augmentez le volume de votre guitare pour effectuer
un solo endiablé.
Combos américains classiques
Les modèles Blackface, Brownface, et Silverface sont inspirés des modèles américains du
milieu des années 60. Ils ont tendance à produire des sons bruyants et nets avec des
niveaux de basse courts et une distorsion relativement limitée. Ils sont idéaux pour du
rock aux tonalités nettes, du R&B old school, de la surf music, de la country nasillarde, du
jazz, ou tout autre style de musique dans lequel la définition de note soutenue est
essentielle.
Model Description
Combo 10,16 cmx 25,40 cm dont la tonalité douce et bien équilibrée
est la préférée des artistes de rock, surf music et R&B. Combo idéal
pour des accords fournis, gorgés de reverb ou de solos stridents.
Large Blackface Combo
14 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesModel Description
Combo 5,08 x 30,48 cm avec une tonalité bruyante et très nette. Le
son d’attaque percutant et articulé est idéale pour le funk, le R&B,
et les accords complexes. Ce combo peut produire dessonssaturés
lorsqu’il est en overdrive, maisla majorité desjoueursle privilégient
en raison de sa production de sons nets.
Combo Silverface
Combo 2,54 x 25,4 cm produisant des sons nets et ouverts, avec
une quantité surprenante d’incidences de bas de gamme. Elle excelle
dans les tonalités nettes avec une pointe d’overdrive.
Large Blackface Combo
Combinaison 2,54 x 30,48 cm produisant des sons légers et riches,
mais maintenant un niveau correct de détails.
Small Brownface Combo
Combinaison 2,54 x 38,10 cm produisant des sons de hauts de
gamme nets et un bas de gamme défini. Ce modèle est privilégié
par les joueurs de blues et de rock.
Petite combinaison Blaster
Astuce : alors que ces amplificateurs tendent à produire un son net et court, vous pouvez
utiliser un stompbox de distorsion Pédalier pour obtenir des sons saturés incisifs avec
des aigus pénétrants et une définition bas de gamme étendue. Consultez Pédales de
distorsion et Pédalier.
British Stack
Les modèles British Stack se basent sur les têtes d’amplificateurs de 50 et 100 W qui
définissent largement le son heavy rock, en particulier lorsqu’elles sont jumelées avec
leurs enceintes de signature 10,16 x 30,48 cm. Ces amplificateurs sont idéaux pour des
accords et riffs saccadés à des réglages de gain moyen. L’augmentation du gain produit
des sons de solo lyriques et des parties de guitare rythmiques musclées. Les crêtes et
creux complexes du spectre tonal maintiennent destonalités nettes et attrayantes, même
en cas de distorsion importante.
Model Description
Capture le son d’un amplificateur de 50 W de la fin des années 60
réputé pour sa distorsion importante et progressive. Les notes
conservent leur netteté, même à un gain maximum. Au bout de
quatre décennies, ce modèle constitue toujours la tonalité de rock
absolue.
Vintage British Stack
Descendants des années 80 et 90 de la tête d’amplificateur Vintage
British, optimisés pour le hard rock et le métal de l’époque. Les
tonalités sont plus profondes dans les basses, plus légères dans les
aigus et plus « creusées » dans les médiums que les modèles
d’amplificateurs Vintage British.
Modern British Stack
Des tonalités uniques peuvent être obtenues à partir d’une tête
d’amplificateur British en la faisant fonctionner à des tensions plus
basses que celles prévues par ses concepteurs. Le bruit « brun » qui
en résulte,souvent plus distordu et relâché que la tonalité standard,
peut ajouter une épaisseur intéressante au son de la guitare.
Brown Stack
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 15Model Description
Cette combinaison 5,08 x 30,48 cm produit un ton intense et agressif
plus net que le son des têtes d’amplificateur British mais produit
pourtant des tons de distorsion crémeux à des gains élevés.
Combinaison British Blues
Astuce : vous ne pouvez pas vous tromper en combinant une tête d’ampli British, une
enceinte 10,16 x 30,48 cm, et un excellent riff à des niveaux élevés. Cependant, n’hésitez
pas à briser ce moule. Ces têtes peuvent produire des sons exceptionnels via des petites
enceintes ou à des gains bas et nets. Si le combo British Blues vous semble trop net,
combinezle avec un stompbox de pédale d’effet Hi Drive pour obtenir une tonalité de
blues agressive, ou un stompbox Candy Fuzz pour un son de rock explosif. Consultez
Pédales de distorsion et Pédalier.
British Combos
Les British Combos capturent des sons crus, riches en aigus qui restent pour toujours
associés au rock et pop britannique des années 60. La signature sonique de ces
amplificateurs se caractérise par leur réponse haut de gamme, bien que les sons soient
rarement rauques en raison d’une distorsion douce et d’une compression naturelle légère.
Model Description
Combo 5,08 x 30,48 cm basé sur les amplificateurs du début des
années 60 qui ont lancé l’invasion musicale britannique. Idéale pour
des accords de carillon et des solos lancinants.
British Combos
Combo 2,54 x 30,48 cm deux fois moins puissant que le combo
British ; cet amplificateur offre une tonalité légèrement plus noire
et moins ouverte.
Small British Combo
Combo 5,08 x 30,48 cm moderne basé sur le son original des années
60. La tonalité est plus épaisse, avec des basses plus puissantes et
des aigus plus doux que les British Combo.
Small British Combo
Astuce : grâce aux réglages élevés des boutons Aigus et Présence pouvant être stridents
sur d’autres types d’amplificateurs, ces réglages produisent d’excellents sons avec les
British Combo.
Alternatives aux modèles British
Lestêtes d’amplificateurs et les combos de la fin des années 60 qui ont inspiré les modèles
Sunshine sont bruyants et agressifs, avec des fréquences de médiums généreuses. Ces
amplificateurs ne sont pas seulement destinés aux solos à une seule note et aux accords
puissants car ils peuvent produire des accords importants et ouverts; c’est d’ailleurs pour
cette raison qu’ils ont été adoptés par les groupes de « Brit pop » des années 90. Les
amplificateurs Stadium sont réputés pour leurssonstrèsfortssans dissolution en distorsion
fade. Ils maintiennent des aigus nets et une excellente définition des notes, même à des
réglages de gain maximum.
16 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesModel Description
Tête produisant des sons performants jumelée à une enceinte de
10,16 x 30,48 cm. Elle constitue un excellent choix pour les accords
pop-rock puissants.
Sunshine Stack
Combo 2,54 x 30,48 cm basé sur un amplificateur moderne réputé
pour son son de « grand ampli ». Il est plus brillant que la tête
d’amplificateur Sunshine Stack, avec une touche de British Combo
des années 60.
Small Sunshine Combo
Configuration classique de tête et d’enceinte 10,16 x 30,48 cm
privilégiée par les groupes de rock des années 70. Ses tons sont
plus nets que les stacks 10,16 x 30,48 cm Amp Designer tout en
conservant une caisse et un impact. Si vous recherchez de la
puissance et de la netteté, ce modèle est fait pour vous.
Stadium Stack
Combinaison 5,08 x 30,48 cm basée sur un amplificateur moderne.
Le ton est légèrement plus doux et plus arrondi que celui du modèle
Stadium Stack.
Combinaison Stadium
Astuce : la tonalité du modèle Sunshine Stack peut parfoissembler noire, mais un réglage
élevé des Aigus ouvre le son. La petite combinaison Sunshine est appropriée avec son
enceinte par défaut de 2,54 x 30,48 cm, mais elle est également remarquable avec une
enceinte 10,16 x 30,48 cm. Les amplificateurs Stadium peuvent être lents à distordre, c’est
pourquoi la plupart de ses utilisateurs célèbres les ont jumelés avec des pédales fuzz
agressives. Essayez de combiner ce modèle avec des stompbox de pédale d’effet Candy
Fuzz ou Fuzz Machine. Consultez Pédales de distorsion et Pédalier.
Metal Stack
Les modèles Metal Stack sont inspirés des têtes d’amplificateurs puissantes et au gain
très élevé qui ont transformé des « morceaux » en hard rock et métal modernes. Tous les
modèles sont jumelés avec des enceintes de 10,16 x 30,48 cm. Les tonalités de leur
signature varient d’une distorsion lourde à une distorsion très lourde. Si vous souhaitez
obtenir des basses puissantes, des aigus tranchants et un maintien important, privilégiez
ces modèles.
Model Description
Un amplificateur de gain très élevé et puissant, idéal pour le heavy
rock et le métal. Utilisez le bouton des Médiums pour régler la
quantité idéale de médiums creusés et d’amplifications.
Modern American Stack
Amplificateur à gain élevé et puissant, ce modèle offre cependant
une transition progressive entre les réglages de gain et une
excellente compression naturelle. lI représente un excellent choix
pour les solos rapides et les accords à deux ou trois notes.
High Octane Stack
Amplificateur aux sons agressifs avec des aigus animés et des
harmoniques bruyantes, en particulier au niveau des réglages de
gain élevé. Essayez le modèle Turbo Stack si vous devez couper un
mix.
Turbo Stack
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 17Astuce : la combinaison du Turbo Stack avec des pédales de distorsion et fuzz risque de
diminuer la marge de l’amplificateur. Un son sec est souvent le choix privilégié pour des
riffs à grande répercussion.
Combinaisons supplémentaires
Les combinaisons et modèles d’utilitaire de cette catégorie sont des amplificateurs
polyvalents qui peuvent être utilisés pour une grande variété de styles musicaux.
Model Description
Combinaison 2,54 x 30,48 cm basée sur des combinaisons
commerciales des années 80 et 90 qui utilise plusieurs étapes de
gain pour produire une distorsion lourde soutenue et douce sans
sacrifier les sons gras, brillants et nets.
Combinaison Studio
Combinaison 5,08 x 30,48 cm inspirée des amplificateurs modernes
aigus qui combinent les sons de plusieurs superbes combinaisons
des années 60. Elle excelle dans le reflet de sons nets et craquants,
ce qui en fait le choix idéal pour des ambiances « à l’ancienne »
avec, cependant, les aigus nets et les basses définies d’un
amplificateur moderne.
Combinaison commerciale Rétro
Combinaison 2,54 x 20,32 cm basée sur des amplificateurs bon
marché vendus dansles grands magasins américains dansles années
60. En dépit de leurs fonctionnalités limitées et de leur qualité bon
marché, ces amplificateurs sont le secret des sons de nombreux
joueurs de rock, blues et punk. Lessons netssont chauds et lessons
distordus sont épais et tout à fait honorables en dépit d’un petit
hautparleur.
Combinaison Pawnshop
Comme son nom l’indique, le préamplificateur est sans coloration.
Veuillez noter que le préamplificateur transparent est activé dans
le menu local Amplificateur et non dans le menu local Modèle.
Préamplificateur transparent
Astuce : essayez de jumeler l’amplificateur de combinaison Studio avec une des enceintes
de 10,16 x 30,48 cm pour un son plus lourd. L’amplificateur commercial Rétro dispose de
commandes de tonalités très sensibles, offrant d’innombrables ombrages de tonalités.
Même des réglages extrêmes peuvent produire d’excellents résultats. Combinez
l’amplificateur de la combinaison Pawnshop avec des stompbox de pédale d’effet Hi
Drive ou Candy Fuzz pour produire les tonalités hard rock de la fin des années 60.
Consultez Pédales de distorsion et Pédalier.
Création d’une combinaison personnalisée Amp Designer
Vous pouvez utiliser un des modèles par défaut ou créer votre propre modèle hybride à
partir de différents amplificateurs, enceintes, etc., à l’aide des menuslocaux Amplificateur,
Enceinte et Micro, situés sur la barre noire au bas de l’interface. Il est possible d’accéder
au menu local Égaliseur en cliquant sur le terme EQ ou Custom EQ à gauche de la section
de boutons.
18 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesRemarque : si vous créez votre propre combinaison d’amplificateurs hybride, utilisez le
menu Réglages pour l’enregistrer comme un fichier de réglages, qui comprend également
tous les changements de paramètre effectués.
Menu local Model
Menu local Amp Menu local Cabinet
Menu local Mic
Menu local EQ
La création d’un modèle Amp Designer est présentée dans les sections suivantes :
• Sélection d’un ampli Amp Designer
• Sélection d’une enceinte Amp Designer
• Utilisation de l’égaliseur d’Amp Designer
• Paramétrage du micro d’Amp Designer
Sélection d’un ampli Amp Designer
Vous pouvez choisir un modèle d’amplificateur dans le menu local Amplificateur sur la
barre noire située au bas de l’interface Amp Designer. Consultez les rubriques suivantes
pour en savoir plus sur les caractéristiques de chaque amplificateur dans ces catégories :
• Tweed Combos
• Combos américains classiques
• British Stack
• British Combos
• Alternatives aux modèles British
• Metal Stack
• Combinaisons supplémentaires
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 19Sélection d’une enceinte Amp Designer
Les enceintes ont une incidence considérable sur le caractère sonore d’une guitare
(consultez Tableau de référence des enceintes Amp Designer). Certains jumelages
d’amplificateur et d’enceinte ont été privilégiés pendant des décennies maisleurséparation
est une manière efficace de créer des tonalités originales. Par exemple, la plupart des
joueurs associe automatiquement têtes British et enceintes de 10,16 x 30,48 cm.
Amp Designer vous permet d’activer un petit hautparleur avec une tête puissante, ou de
jumeler un petit amplificateur avec une enceinte de 10,16 x 30,48 cm.
Il n’y a rien d’anormal à tester des combinaisons aléatoires. Cependant, si vous prenez
en compte les variables qui déterminent le son d’une enceinte, vous serez en mesure
d’élaborer des combinaisons non traditionnelles d’amplificateur et d’enceinte. Voici
quelques facteurs à prendre en compte :
Combinaisons ou Stacks
Les amplificateurs de combinaisons comprennent un amplificateur et des hautparleurs
dans une seule enceinte. L’arrière de ces dernières est en général ouvert pour que le son
résonne dans plusieurs directions. Le son qui en résulte est « ouvert », avec des aigus
brillants et spacieux et une sensation générale d’espace. Les « stacks » d’amplificateur
comprennent une tête d’amplificateur, avec des hautparleurs dans une enceinte distincte.
Ces enceintes sont généralement dotées d’un arrière fermé, et projettent le son vers
l’avant dans un « faisceau » court et concentré. Elles produisent un son plus puissant que
les enceintes dont l’arrière est ouvert, et présentent en général une réponse de bas de
gamme plus courte aux dépens d’une certaine transparence des hauts de gamme.
Anciens et nouveaux hautparleurs
Les modèles Amp Designer basés sur des enceintes d’époque capturent le caractère des
anciens hautparleurs. Ils produisent des sons légèrement plus lâches et ternes que les
nouveaux hautparleurs, mais de nombreux joueurs les privilégient en raison de leur
fluidité et musicalité. Les sons basés sur les nouvelles enceintes tendent à être plus
instantanés et mordants.
Petits ou grands hautparleurs
Un hautparleur plus grand ne garantit pas un son plus important. En fait, l’enceinte de
guitare de basse la plus célèbre de tous les temps utilise uniquement des petits hautparleurs de 20,32 cm. Ne soyez pas surpris si vous obtenez une tonalité plus profonde et
plus riche avec un hautparleur de 25,40 cm qu’avec une grande enceinte de
10,16 x 30,48 cm. Testez plusieurs tailles et choisissez la plus adaptée à votre musique.
20 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesHautparleur unique ou hautparleurs multiples
Les guitaristes utilisent parfois des enceintes avec plusieurs hautparleurs, pas seulement
pour le son plus étendu qu’elles tendent à produire. Les annulations de phase se
produisent entre les hautparleurs, ajoutant texture et intérêt au son. Par exemple, le son
« classic rock » est principalement produit par les crêtes et les creux de tonalités causés
par l’interaction entre les hautparleurs d’une enceinte de 10,16 x 30,48 cm.
Tableau de référence des enceintes Amp Designer
Vous pouvez choisir un modèle d’enceinte dans le menu local Enceinte sur la barre noire
située au bas de l’interface Amp Designer. Le tableau cidessous couvre les propriétés de
chaque modèle d’enceinte disponible dans Amp Designer.
Enceinte Description
Enceinte à arrière ouvert de 30,48 cm inspirée des années 50 avec
une tonalité chaleureuse et lisse.
Tweed 2,54 x 30,48
Enceinte à arrière ouvert de 10,16 x 25,40 cm, conçue à l’origine
pour les bassistes, mais également prisée des guitaristes pour sa
présence éclatante. Elle produit un son authentique de la fin des
années 50.
Tweed 10,16 x 25,40
Combinaison unique d’enceinte d’amplificateur de 25,40 cm inspirée
des années 50 et produisant un son chaleureux.
Tweed 2,54 x 25,40
Enceinte classique à arrière ouvert avec quatre hautparleurs de
25,40 cm. Son son est plus profond et plus noir que le modèle Tweed
10,16 x 25,40.
Blackface 10,16 x 25,40
Modèle à arrière ouvert inspiré des années 60 et produisant un
excellent punch de bas de gamme.
Silverface 5,08 x 30,48
Enceinte à arrière ouvert inspirée des années 60 et produisant des
aigus brillants et un étonnant corps de médiums faibles.
Blackface 2,54 x 25,40
Enceinte à arrière ouvert inspirée des années 60 et magnifiquement
équilibrée. Elle produit un son lisse et riche, avec une grande
transparence.
Brownface 2,54 x 30,48
Cette enceinte à arrière ouvert du début des années 60 héberge le
plus grand hautparleur émulé par Amp Designer. Ses aigus sont
nets et lumineux, et ses basses sont courtes et concentrées.
Brownface 2,54 x 38,10
Cette enceinte à arrière fermé inspirée de la fin des années 60 est
typique du rock classique. Le son est majestueux et épais, mais
également lumineux et vif, grâce aux annulations de phase
complexe entre les quatre hautparleurs de 30 W.
Vintage British 10,16 x 30,48
Enceinte close de 10,16 x 30,48 cm produisant un son pluslumineux
et un meilleur bas de gamme que le modèle Vintage British
10,16 x 30,48, avec un accent moindre sur les médiums.
Modern British 10,16 x 30,48
Enceinte close de 10,16 x 30,48 cm produisant d’excellents bas de
gamme et des médiums complexes.
Brown 10,16 x 30,48
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 21Enceinte Description
Enceinte à arrière ouvert produisant un son lumineux et des
basses/aigussolides même maintenus à desréglages de gain élevé.
British Blues 5,08 x 30,48
Enceinte close de 10,16 x 30,48 cm produisant un son intégral. Les
basses et médiums sont plus denses que les enceintes British de
10,16 x 30,48 cm.
Modern American 10,16 x 30,48
Enceinte à arrière ouvert produisant un son compact avec des
médiums intégraux et des aigus éclatants.
Studio 2,54 x 30,48
Enceinte à arrière ouvert inspirée du milieu des années 60 et
produisant un son ouvert et lisse.
British 5,08 x 30,48
Petite enceinte à arrière ouvert produisant des aigus nets et une
grande transparence des médiums faibles.
British 2,54 x 30,48
Enceinte de 5,08 x 30,48 cm basée sur le modèle British 5,08 x 30,48.
Elle possède une gamme de médiums plusriche et est plus agressive
dans la gamme des aigus.
Boutique British 5,08 x 30,48
Enceinte close de 10,16 x 30,48 cm avec une gamme des médiums
épaisse et riche.
Sunshine 10,16 x 30,48
Combinaison unique d’enceinte d’amplificateur à arrière ouvert de
30,48 cm produisant un son lumineux et vif aux aigus chaleureux
et aux médiums transparents.
Sunshine 2,54 x 30,48
Enceinte British close au son court et lumineux avec des pointes de
médiums nettes.
Stadium 10,16 x 30,48
Enceinte British moderne à arrière ouvert et magnifiquement
équilibrée. En termes de tonalité, cette enceinte est un compromis
entre la solidité du modèle Blackface 10,16 x 25,40 et la brillance
de l’enceinte British 5,08 x 30,48.
Stadium 5,08 x 30,48
Enceinte de 5,08 x 30,48 cm basée sur le modèle British 5,08 x 30,48.
Elle présente une gamme de médiums riche et ouverte et est plus
agressive dans la gamme des aigus.
Boutique Retro 5,08 x 30,48
Enceinte European moderne close produisant des basses et aigus
forts et des médiums creusés appropriés pour le métal et heavy
rock.
High Octane 10,16 x 30,48
Enceinte European moderne close produisant des bassesfortes, des
aigus très forts et des médiums très creusés adaptés au métal et au
heavy rock.
Turbo 10,16 x 30,48
Une seule enceinte de 20,32 cm produisant un excellent punch de
bas de gamme.
Pawnshop 2,54 x 20,32
Direct Cette option fait dériver la partie émulation du hautparleur.
Astuce : pour produire dessons créatifs,sélectionnez l'option Direct, placez SpaceDesigner
dansle logement Insérer après AmpDesigner, puis chargez une desréponses d'impulsion
« faussée » du hautparleur Space Designer.
22 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesUtilisation de l’égaliseur d’Amp Designer
Les commandes de tonalités de l’amplificateur matériel varient en fonction des modèles
et des fabricants. Il est très probable, par exemple, que les boutons des aigus de deux
modèles différents visent desfréquences différentes, ou fournissent des niveaux différents
de coupure et de suralimentation. Certaines parties de l’égaliseur (EQ) amplifient le signal
de la guitare plus que d’autres, affectant ainsi la manière dont l’amplificateur effectue la
distorsion du son.
Amp Designer offre plusieurs types d’égaliseur pour refléter ces variations dans les
amplificateurs matériels. Quel que soit le type d’égaliseursélectionné, le jeu de commandes
sera identique : Graves, Médiums et Aigus. Le passage d’un type d’égaliseur à un autre
peut entraîner une réaction très différente de ces commandes.
Le choix d’un type d’égaliseur autre qu’un égaliseur traditionnel associé à un certain
amplificateur entraîne, en général, des changements de tonalités considérables, bien que
cela ne soit pas nécessairement à votre avantage. À l’instar des amplificateurs matériels,
les égaliseurs Amp Designer sont étalonnés pour des performances correctes avec des
sons d’amplificateur spécifiques. L’utilisation d’autres types d’égaliseurs peut parfois
déboucher sur un son fin ou désagréablement distordu. Consultez Tableau de référence
des types d’égaliseurs Amp Designer.
En dépit d’un son moins agréable, vous devez essayer différentes combinaisons
d’amplificateur et d’égaliseur car nombre d’entre elles produisent d’excellents sons.
Potentiomètres Bass,
Mids et Treble
Menu local EQ
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 23Les paramètres des égaliseurs comprennent le menu local Égaliseur et les boutons Graves,
Médiums et Aigus. Ces paramètres sont situés à l’extrémité gauche de la section des
boutons.
• Menu local EQ : Cliquez sur le termeÉgaliseur ou Égaliseur personnalisé au-dessus des
boutons Graves, Médiums et Aigus pour ouvrir le menu local Égaliseur qui contient les
modèles d'égaliseurs suivants: British Bright, Vintage, U.S. Classic, Modern et Boutique.
Chaque modèle d’égaliseur présente des qualités tonales uniques qui affectent la
manière dont les Graves, Médiums et Aigus répondent. Consultez Tableau de référence
des types d’égaliseurs Amp Designer.
• PotentiomètresGraves,Médiums et Aigus: Ajustent les plages de fréquences des modèles
d’égaliseur de la même façon que les potentiomètres de tonalité des amplificateurs
matériels de guitare. Le comportement et la réponse de ces boutons changent lorsque
des modèles d’égaliseurs différents sont choisis.
Tableau de référence des types d’égaliseurs Amp Designer
Il est possible de choisir le type d’égaliseur en cliquant sur le terme EQ ou CUSTOM EQ
audessus des boutons Bass, Mids et Treble dansla section des potentiomètres. Le tableau
cidessous couvre les propriétés de chaque type d’égaliseur disponible dans AmpDesigner.
Type d’égaliseur Description
Inspiré par les égaliseurs d’amplificateurs de la combinaison British
des années 60. ll produit des sons forts et agressifs, avec des aigus
plus épais que l’égaliseur Vintage. Cet égaliseur convient à une
définition plus grande des aigus sans que le son ne soit trop net.
British Bright
Émule la réponse de l’égaliseur des amplificateurs américains Tweed
et des amplificateurs stacks vintage British qui utilisent un circuit
très similaire Il produit un son fort et est prédisposé à la distorsion.
Cet égaliseur est adapté si vous souhaitez un son plus violent.
Vintage
Dérivé du circuit d’égaliseur des amplificateurs américains Blackface.
Le son produit est plusfidèle que l’égaliseur Vintage, avec des basses
plus courtes et des aigus plus nets. Cet égaliseur est adapté si vous
souhaitez produire un son plus lumineux et diminuer la distorsion.
U.S. Classic
Basé sur un égaliseur numérique réputé dans les années 80 et 90.
Cet égaliseur est adapté si vous souhaitez sculpter les aigus élevés,
pousser les basses et les médiums creusés associés aux styles
musicaux de l’ère du rock et du métal.
Modern
Reproduit la partie tonale d’un amplificateur boutique « rétro
moderne ». Il excelle dans les réglages précis de l’égaliseur ;
cependant, son ton peut être plus net que celui souhaité lorsqu’il
est utilisé avec un amplificateur vintage. Cet égaliseur est
parfaitement adapté si vous souhaitez un son plus net et plus
lumineux.
Boutique
24 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesUtilisation des commandes Gain, Presence et Master d’Amp Designer
Les paramètres d’amplificateur comprennent des commandes pour le gain d’entrée, la
présence et la sortie Master. Le potentiomètre Gain est situé à gauche de la section des
boutons et les boutons Présence et Master se trouvent à droite de celleci.
Gain Presence Master
• Potentiomètre Gain : détermine la quantité de préamplification appliquée au signal
d’entrée. Cette commande affecte différemment les modèles d’amplificateur. Par
exemple, lorsque vous utilisez le modèle d’amplificateur British, le réglage de gain
maximum produit un son saturé puissant. Par contre, lorsque vous utilisez les
amplificateurs de tête Vintage British Head ou Modern British Head, les mêmesréglages
de gain produisent de très fortes distorsions qui conviennent aux solos.
• Potentiomètre Présence : Règle la plage des hautes fréquences, située audessus de la
plage de la commande des Aigus. Le paramètre Présence n’affecte que l’étape de sortie
(Master).
• Potentiomètre Master : Détermine le volume de sortie de l’amplificateur vers l’enceinte.
Pour les amplificateurs à lampes, l’augmentation au niveau de Master produit en général
un son compressé et saturé, ce qui donne un signal plus distordu et plus puissant (plus
fort). Les réglages High Master pouvant produire une sortie très forte qui risque
d’endommager vos hautparleurs ou l’écoute, augmentez le réglage progressivement.
Le niveau de sortie final de l’application Amp Designer se règle avec le curseur Sortie
situé dans le coin inférieur droit de l’interface. Consultez Définition du niveau de sortie
d’Amp Designer.
Présentation des paramètres d’effets d’Amp Designer
Les paramètres d’effets comprennent les effets Trémolo, Vibrato, et Reverb, qui émulent
les processeurs identifiés sur de nombreux amplificateurs. Ces commandes sont situées
au centre de la section des boutons.
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 25Vous pouvez déplacer le commutateur vers la droite pour sélectionner Trémolo (TREM),
qui module l’amplitude ou le volume du son, ou Vibrato (VIB), qui module la hauteur
tonale.
Reverb, contrôlé à partir du commutateur du milieu, peut être ajouté à l’un de ces effets
ou être utilisé de manière indépendante.
Remarque : la section Effets se trouve devant les commandes Présence et Master dans
le flux de signaux ; elle reçoit donc le signal préamplifié en amont du Master.
Les effets Reverb, Trémolo et Vibrato sont décrits dans les rubriques suivantes :
• Utilisation de l’effet Reverb d’Amp Designer
• Utilisation des effets Tremolo et Vibrato d’Amp Designer
Utilisation de l’effet Reverb d’Amp Designer
Le paramètre Reverb est toujours disponible dans AmpDesigner, même lorsque le modèle
utilisé est basé sur un amplificateur n’offrant pas l’effet réverbération. Reverb est contrôlé
par un commutateur marche/arrêt et un bouton de niveau au centre, audessus duquel
se trouve le menu local Reverb. Il est possible d’ajouter Reverb à l’effet Trémolo ou Vibrato,
ou de l’utiliser de façon autonome.
• Commutateur marche/arrêt : Active ou désactive l’effet Reverb.
• Menu local Reverb : Cliquez sur le terme Reverb pour sélectionner l’un des types de
réverbération suivants à partir du menu local : Vintage Spring, Simple Spring, Mellow
Spring, Bright Spring, Dark Spring, Resonant Spring, Boutique Spring, Sweet Reverb,
Rich Reverb et Warm Reverb. Reportezvous à Tableau de référence des types d’effets
Reverb d’Amp Designer pour en savoir plus sur ces types de réverbération.
• Potentiomètre Level : Détermine la quantité de réverbération appliquée au signal
préamplifié.
Tableau de référence des types d’effets Reverb d’Amp Designer
Vous pouvez choisir un type de réverbération en cliquant sur l’étiquette Reverb située
au centre de la rubrique Amplificateur. Le tableau cidessous couvre les propriétés de
chaque type de réverbération disponible dans Amp Designer.
26 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesType d’effet Reverb Description
Ce son lumineux et éclatant définit la réverbération de la
combinaison d’amplificateur depuis le début des années 60.
Vintage Spring
Simple Spring Son de ressort plus noir et plus subtil.
Mellow Spring Son de ressort encore plus noir et moins fidèle.
Comporte une certaine brillance de l’effet Vintage Spring, avec
moins d’éclat de style surf.
Bright Spring
Dark Spring Son sombre de ressort. Son plus retenu que l’effet Mellow Spring.
Autre son de ressort des années 60 comportant un fort accent des
médiums légèrement distordu.
Resonant Spring
Version modernisée du classique Vintage Spring avec un ton plus
riche au niveau des graves et des médiums.
Boutique Spring
Réverbération moderne et lisse avec des graves riches et des aigus
soutenus.
Sweet Reverb
Rich Reverb Réverbération moderne et épaisse bien équilibrée.
Réverbération moderne avec des graves et médiums riches et des
aigus discrets.
Warm Reverb
Utilisation des effets Tremolo et Vibrato d’Amp Designer
Les effets Trémolo et Vibrato sont commandés par plusieurs commutateurs et deux
boutons dans la rubrique Effets située à droite de la section des boutons. L’effet Tremolo
module l’amplitude ou le volume sonore, et l’effet Vibrato module la hauteur tonale.
• Commutateur marche/arrêt : active ou désactive l’effet Trémolo ou Vibrato.
• Commutateur Trem/Vib : Choisissez entre l’effet trémolo et l’effet vibrato.
• Potentiomètre Depth : Définit l’intensité de la modulation (trémolo ou vibrato).
• Potentiomètre Speed : Détermine la vitesse de modulation en Hz. Des réglages plus bas
produisent un son lisse et flottant. Desréglages plus hauts produisent un effet de rotor.
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 27• Commutateur Sync/Free : lorsque le commutateur est placé sur Sync, la vitesse de
modulation est synchronisée avec le tempo de l’application hôte. Le potentiomètre
Speed permet de sélectionner différentes valeurs de barres, battements et notes de
musique (1/8, 1/16, etc., comprenant des valeurs de note triolet et note pointée).
Lorsque le commutateur est placé sur Free, la vitesse de modulation peut être définie
sur toute valeur disponible à l’aide du potentiomètre Speed.
Paramétrage du micro d’Amp Designer
Amp Designer offre le choix entre trois microphones virtuels. À l’instar de tout autre
composant de la chaîne de sons, les sélections produisent des résultats très différents.
Après avoirsélectionné une enceinte, vous pouvez sélectionner le type de micro à émuler
et son emplacement par rapport à l’enceinte. Le menu local Mic est situé à proximité de
l’extrémité inférieure droite de la barre noire et le graphique de réglage des hautparleurs
s’affiche lorsque vous déplacez la souris vers la zone située audessus du menu local Mic.
Remarque : les paramètres de cette rubrique sont accessibles uniquement dansl’interface
complète Amp Designer. Si vous êtes dans l’interface plus petite, cliquez sur le triangle
d’affichage situé à droite du champ Sortie à l’extrémité inférieure droite de l’interface
pour revenir à l’interface complète.
Placez le pointeur de votre
souris sur le menu local
Mic pour révéler le
graphique du haut-parleur.
• Enceinte et graphique de réglage des hautparleurs : Par défaut, le micro est placé au
centre du cône du hautparleur (dans l’axe). Cette position produit un son plein et plus
puissant qui convient aux sons de guitare blues ou jazz. Si vous placez le micro sur le
bord du hautparleur (en dehors de l’axe), vous obtenez un son plus lumineux et plus
fin, adapté aux morceaux de guitare rock ou R&B tranchants. Si le micro est placé à
proximité du hautparleur, la réponse des graves est accentuée.
28 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesLa position du micro est indiquée sur l’enceinte par un point blanc dans le graphique
de réglage des hautparleurs. Faites glisser le point blanc pour changer la position et la
distance du micro par rapport à l’enceinte. L’emplacement est limité à un
positionnement de champ proche.
• Menu local Mic : Vous pouvez choisir l’un des modèles de micro à partir du menu local :
• Électrostatique : Émule le son d’un micro électrostatique de studio allemand de haut
de gamme. Le son des micros électrostatiques est fin, transparent et bien équilibré.
• Dynamique : Émule le son du célèbre micro cardioïde dynamique américain. Ce type
de micro a un son plus clair et plus tranchant que les modèles électrostatiques. Par
contre, les médiums sont poussés, avec des fréquences de médium inférieur moins
prononcées ; ce modèle convient donc mieux à l’enregistrement de guitares rock. Il
est particulièrement adapté si vous souhaitez que votre morceau de guitare coupe
d’autres pistes d’un mix.
• Ruban : Émule le son d’un micro à ruban. Un micro à ruban est un micro dynamique
qui capture un son souvent décrit comme lumineux ou cassant, mais toujours
chaleureux. Il est adapté aux sons rock, saturés et nets.
Astuce : la combinaison de plusieurs types de micros peut produire un son intéressant.
Dupliquez la piste de guitare et insérez Amp Designer dansles deux pistes. Sélectionnez
des micros différents dans les deux exemples Amp Designer tout en conservant des
réglages identiques pour tous les autres paramètres puis réglez les niveaux de signal
des pistes à tester.
Définition du niveau de sortie d’Amp Designer
Le curseur Sortie (ou le champ Sortie, dans l’interface plus petite) est situé dans le coin
inférieur droit de l’interface Amp Designer. Il sert de commande de niveau final de
Amp Designer et peut être envisagé comme une commande de volume en aval de
l’enceinte qui règle le niveau de sortie envoyé vers les logements Insérer suivants de la
bande de canaux ou directement vers la sortie de la bande des canaux.
Remarque : ce paramètre est distinct de la commande Master pour deux raisons : pour
la conception sonore et pour contrôler le niveau de la section Amp.
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 29Bass Amp
Le module Bass Amp (Ampli de basse) simule le son de plusieurs amplificateurs de basse
renommés. Vous pouvez acheminer les signaux de guitare basse et d’autres signaux
directement vers le module Bass Amp et reproduire le son de votre morceau joué par
l’intermédiaire d’un certain nombre de systèmes d’amplification de guitare basse de haute
qualité.
Bass Amp comprend les paramètres suivants.
• Menu local Model : Contient les modèles d’amplificateur suivants :
• American Basic : modèle d’amplificateur de basses américain des années 70 équipé
de huit haut-parleurs de 10 pouces. Bien adapté aux enregistrements blues et rock.
• American Deep : Dérivé du modèle American Basic avec une forte accentuation des
fréquences médium les plus faibles (à partir de 500 Hz). Bien adapté aux
enregistrements reggae et pop.
• American Scoop : Dérivé du modèle d’amplificateur American Basic alliant les
caractéristiques de fréquence d’American Deep et American Bright, avec accentuation
des fréquences médium faibles (à partir de 500 Hz) et des médiums forts (à partir de
4,5 kHz). Bien adapté aux enregistrements funk et fusion.
• American Bright : Dérivé du modèle American Basic, ce modèle accentue les
fréquences des médiums les plus forts (au-delà de 4,5 kHz).
• NewAmerican Basic : Modèle d’ampli de basse américain des années 80, bien adapté
aux enregistrements blues et rock.
30 Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales• NewAmerican Bright : Dérivé du New American Basic, ce modèle accentue fortement
la plage de fréquence au-delà de 2 kHz. Bien adapté aux enregistrements rock et
heavy metal.
• Top ClassDIWarm : Simulation DI réputée, bien adaptée aux enregistrementsreggae
et pop. La fréquence de médiums de la plage comprise entre 500 et 5 000 Hz est
réduite.
• Top Class DI Deep : Basé sur l’amplificateur Top Class DI Warm, ce modèle convient
bien au funk et à la fusion. La plage de fréquences médium est la plus forte autour
de 700 Hz.
• Top Class DI Mid : Basé sur l’amplificateur Top Class DI Warm, ce modèle comporte
une plage de fréquences presque linéaire n’accentuant aucune fréquence. Il est
adapté aux enregistrements blues, rock et jazz.
• Curseur Pre Gain : détermine le niveau de préamplification du signal d’entrée.
• Curseurs Graves, Médiums et Aigus : ajustent respectivement les niveaux de graves, de
médiums et d’aigus.
• Curseur Mid Freq : détermine la fréquence centrale de la bande moyenne (comprise
entre 200 Hz et 3 000 Hz).
• Curseur Output Level : Détermine le niveau de sortie final de Bass Amp.
Guitar Amp Pro
Le module Guitar Amp Pro peut simuler le son d’amplis de guitare renommés et de
haut-parleurs utilisés avec ces derniers. Il est possible de traiter les signaux de guitare
directement, vous permettant ainsi de reproduire le son de votre guitare par le biais de
ces systèmes d’amplification de haute qualité.
Guitar Amp Pro peut aussi être utilisé pour le traitement et la conception sonores
expérimentaux. Vous pouvez librement l’utiliser avec d’autresinstruments, en appliquant,
par exemple, le caractère sonore d’un amplificateur de guitare à une partie voix ou à une
partie trompette.
Les amplificateurs, hautparleurs et égaliseurs émulés par Guitar Amp Pro peuvent être
combinés de différentes manières pour modifier radicalement ou subtilement la tonalité.
Les microphones virtuels permettent de détecter le signal de l’amplificateur ou de
l’enceinte émulé(e). Vous avez le choix entre deux types de microphones, et vous pouvez
lesrepositionner. Guitar Amp Pro émule également les effets d’un amplificateur de guitare
classique, y compris les effets reverb, vibrato et trémolo.
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 31La fenêtre Guitar Amp Pro est organisée en sections en fonction des différents types de
paramètres.
Section Effects
Section Amp
Section Microphone Position Section Microphone Type
• Section Amp : les paramètres du modèle situéssur la partie supérieure vous permettent
de choisir le type d’amplificateur, le modèle d’égaliseur et le hautparleur. Consultez
Création de votre modèle Guitar Amp Pro.
Plus bas dansla section Amp, les boutons en forme de V permettent de régler la tonalité,
le gain et le niveau. Consultez Utilisation des commandes Gain, Tone, Presence et
Master de Guitar Amp Pro.
• Section Effects : fournit les paramètres qui permettent de contrôler les effets intégrés
trémolo, vibrato, et reverb. Consultez Utilisation de l’effet Reverb de Guitar Amp Pro
et Utilisation des effets Tremolo et Vibrato de Guitar Amp Pro.
• Sections Position et type de micro : ces sections vous permettent de régler la position et
le type des micros. Consultez Paramétrage du micro de Guitar Amp Pro.
Création de votre modèle Guitar Amp Pro
Un « modèle » d’amplificateur comprend un amplificateur, une enceinte de hautparleur,
un type d’égaliseur et un type de micro. Vous pouvez créer vos propres modèles hybrides
de différents amplificateurs, enceintes, etc., à l’aide des menus locaux situés au centre
supérieur de l’interface. Choisissez la position et le type du micro dans les zones jaunes
situées à gauche et à droite.
Vous pouvez utiliser le menu Réglages pour enregistrer vos combinaisons d’amplificateurs
hybrides comme un fichier de réglages, qui comprend également tous les changements
de paramètre effectués.
32 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesLa création de votre modèle d’amplificateur est présentée dans les sections suivantes :
• Sélection d’un ampli Guitar Amp Pro
• Sélection d’une enceinte Guitar Amp Pro
• Sélection d’un égaliseur Guitar Amp Pro
• Paramétrage du micro de Guitar Amp Pro
Sélection d’un ampli Guitar Amp Pro
Vous pouvez choisir un modèle d’amplificateur dans le menu local Amp situé dans la
partie supérieure de l’interface.
• UK Combo 30W : son neutre convenant bien aux parties rythmiques au son clair ou un
peu mordant.
• UK Top 50W : assez agressif dans les hautes fréquences, ce modèle convient bien aux
sons rock classiques.
• US Combo 40W : son net convenant bien aux musiques de style funk et jazz.
• US Hot Combo 40W : accentue la plage de fréquence des hauts médiums, ce qui en fait
le modèle idéal pour les solos.
• US Hot Top 100W: cet amplificateur produit dessonstrès gras, même avec desréglages
Master bas qui donnent des sons larges avec beaucoup de punch.
• Custom 50W : convient bien aux sons lead assez doux avec un paramètre Presence
réglé sur 0.
• British Clean (GarageBand) : simule les combos anglais classiques travaillant en classe
A utilisés en rock depuis les années 1960 sans avoir subi de modifications importantes.
Ce modèle convient très bien aux parties rythmiques claires ou mordantes.
• British Gain (GarageBand) : reproduit le son d’une tête à lampes anglaise, synonyme
d’un son typé rock, pour des rythmiques puissantes et des parties lead avec un soutien
riche.
• American Clean (GarageBand) : reproduit le son plein des combos à lampes, utilisés
pour produire des sons clairs et mordants.
• American Gain (GarageBand) : reproduit le son d’une tête d’amplification moderne
réglée sur un gain élevé convenant bien aux parties lead rythmiques avec beaucoup
de distorsion.
• Clean Tube Amp : reproduit le son d’un modèle à lampes réglé sur un gain faible. La
distorsion n’apparaît que lorsque vous utilisez des niveaux d’entrée ou de réglages de
Gain/Master très élevés.
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 33Sélection d’une enceinte Guitar Amp Pro
L’enceinte de hautparleur peut être étroitement lié au type de tonalités que vous pouvez
extraire de l’amplificateur sélectionné. Les paramètres du hautparleur se trouvent à dans
la partie supérieure de l’interface.
• Menu local Speaker : Sélectionnez un des 15 modèles de haut-parleurs suivants :
• Modèle anglais 2,54 x 30,48 ouvert : Enceinte classique, ouverte et équipée d’un
haut-parleur de 30,48 cm. Son neutre, bien équilibré, assez polyvalent.
• Modèle anglais 5,08 x 30,48 ouvert : Enceinte classique ouverte, équipée de deux
haut-parleurs de 30,48 cm. Son neutre, bien équilibré, assez polyvalent.
• Modèle anglais 5,08 x 30,48 clos: Beaucoup de résonance dans les basses fréquences,
convient donc bien aux combos : les sons mordants sont également possibles avec
des réglages de commande de basses faibles.
• Modèle anglais 10,16 x 30,48 clos et incliné : Utilisé en combinaison avec des micros
décentrés, vous obtenez une plage de médium intéressante. Il est le complément
idéal des amplis à gain élevé.
• Modèle américain 2,54 x 25,40 ouvert : Peu de résonance dans les basses fréquences.
Convient bien à l’harmonica blues.
• Modèle américain 2,54 x 30,48 ouvert 1 : Enceinte ouverte d’un combo américain, son
lead, un seul haut-parleur de 12".
• Modèle américain 2,54 x 30,48 ouvert 2 : Enceinte ouverte d’un combo américain pour
son clair/légèrement saturé, un seul haut parleur de 12".
• Modèle américain 2,54 x 30,48 ouvert 3 : Enceinte ouverte d’un autre combo américain
pour son clair/légèrement saturé, un seul haut-parleur de 12".
• US broad range : Simulation d’un hautparleursouvent utilisée sur un piano électrique
classique.
• Analog simulation : Simulation du circuit de charge du haut-parleur interne d’un
célèbre préamplificateur anglais.
• Modèle anglais 2,54 x 30,48 (GarageBand) : Amplificateur à lampes clos, anglais, classeA,
un seul haut-parleur de 12".
• Modèle anglais 10,16 x 30,48 (GarageBand) : Enceinte close classique, équipée de
quatre haut-parleurs de 12" (série noire), convient au rock.
• Modèle américain 2,54 x 30,48 ouvert (GarageBand) : Enceinte ouverte d’un combo
américain, son lead, un seul haut-parleur de 12".
• Modèle américain 2,54 x 30,48 bassreflex (GarageBand) : Enceinte close, de type « bass
reflex », un seul haut-parleur de 12".
• DI Box : Cette option permet de contourner la section de simulation de haut-parleur.
34 Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales• Bouton Amp–Speaker Link : Situé entre les menus locaux Amp et Speaker, lie ces menus
afin de charger automatiquement le hautparleur associé à l’amplificateur que vous
souhaitez changer.
Sélection d’un égaliseur Guitar Amp Pro
Le menu local Égaliseur et le bouton Amp-EQ Link sont situés à proximité de la partie
supérieure de l’interface.
• Menu local EQ : Contient les modèles d’égaliseur suivants : British1, British2, American
et Modern. Chaque modèle d’égaliseur présente des qualités tonales uniques qui
affectent la réponse des Graves, Médiums et Aigus de la section Amp.
• Bouton Amp–EQ Link : Situé entre les menus locaux Amp et EQ, lie ces menus afin de
charger automatiquement le modèle d’égaliseur associé à l’amplificateur que vous
souhaitez changer.
Chaque modèle d’ampli est associé à un modèle de haut-parleur et d’égaliseur. Les
combos par défaut de réglages d’amplificateur, de hautparleur et d’égaliseur recréent
un son de guitare connu. Vous pouvez toutefois combiner librement les modèles de
haut-parleurs ou d’égaliseurs avec n’importe quel amplificateur en désactivant ces deux
boutons de lien.
Utilisation des commandes Gain, Tone, Presence et Master de Guitar
Amp Pro
Les boutons Gain, Graves, Médiums, Aigus, Présence et Master sont situés de gauche à
droite en forme de V dans la partie supérieure de l’interface.
• Potentiomètre Gain : détermine la quantité de préamplification appliquée au signal
d’entrée. Les effets de cette commande varient en fonction du modèle d’amplificateur
sélectionné. Par exemple, si vous utilisez le modèle d’amplificateur British Clean, le
réglage de gain maximum produit un son saturé puissant. Par contre, si vous utilisez
les amplificateurs British Gain ou Modern Gain, les mêmes réglages de gain produisent
de très fortes distorsions qui conviennent aux solos.
• PotentiomètresGraves,Médiums et Aiguss: Ajustent les niveaux de plages de fréquences
des modèles d’égaliseur de la même façon que les potentiomètres de tonalité des
amplificateurs matériels de guitare.
• Potentiomètre Présence : Ajuste le niveau de la plage des hautesfréquences. Le paramètre
Presence n’affecte que l’étage de sortie (Master) de Guitar Amp Pro.
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 35• Potentiomètre Master : Détermine le volume de sortie de l’amplificateur, vers le
haut-parleur. Pour les amplificateurs à lampes, l’augmentation au niveau de Master
produit, en général, un son plus compressé et plus saturé, ce qui donne un signal plus
distordu et plus puissant (plus fort). Les réglages High Master pouvant produire une
sortie très forte qui risque d’endommager vos hautparleurs ou l’écoute, augmentez le
réglage progressivement. Dans Guitar Amp Pro, le paramètre Master modifie le caractère
sonique, tandis que le niveau de sortie final se définit à l’aide du paramètre Sortie situé
au bas de l’interface. Consultez Définition du niveau de sortie de Guitar Amp Pro.
Présentation de la section Effets de Guitar Amp Pro
Les paramètres d’effets comprennent les effets Trémolo, Vibrato, et Reverb, qui émulent
les processeurs identifiés sur de nombreux amplificateurs.
Vous pouvez utiliser le menu local pour choisir l’effet Trémolo, qui module l’amplitude
ou le volume du son, ou l’effet Vibrato, qui module la hauteur tonale.
Il est possible d’ajouter Reverb à l’un de ces effets, ou de l’utiliser de façon autonome.
Pour utiliser ou régler un effet, vous devez en premier lieu l’activer en cliquant sur le
bouton d’activation correspondant situé à gauche. Une fois activé, le bouton devient
rouge.
Remarque : la section Effets se trouve devant les commandes Présence et Master dans
le flux de signaux ; elle reçoit donc le signal préamplifié en amont du Master.
Les effets Reverb, Trémolo et Vibrato sont décrits dans les rubriques suivantes :
• Utilisation des effets Tremolo et Vibrato de Guitar Amp Pro
• Utilisation de l’effet Reverb de Guitar Amp Pro
Utilisation des effets Tremolo et Vibrato de Guitar Amp Pro
Les effets Trémolo et Vibrato sont commandés par le bouton d’activation, le menu local
FX, les boutons Depth et Speed, et le bouton Sync de la section Effets. L’effet Tremolo
module l’amplitude ou le volume sonore, et l’effet Vibrato module la hauteur tonale.
• Menu local FX : Vous pouvez choisir l’effet Trémolo ou Vibrato.
• Potentiomètre Depth : détermine l’intensité de la modulation.
• Potentiomètre Speed : Détermine la vitesse de modulation en Hz. Les réglages bas
produisent un son doux et flottant alors que les réglages plus élevés produisent un
effet de rotor.
• Bouton Sync : Si le bouton Sync est activé, la vitesse de modulation est synchronisée
avec le tempo du projet. Vous pouvez régler le bouton Speed pour sélectionner les
valeurs de barres, battements et notes de musique (y compris les triolets et notes
pointées). Si le bouton Sync est désactivé, la vitesse de modulation peut être réglée
sur toute valeur disponible à l’aide du bouton Speed.
36 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesUtilisation de l’effet Reverb de Guitar Amp Pro
Reverb est contrôlé par le bouton d’activation, le menu local Reverb et un bouton de
niveau dans la section Reverb située à proximité de la partie inférieure. Il est possible
d’ajouter Reverb à l’effet Trémolo ou Vibrato, ou de l’utiliser de façon autonome.
• Menu local Reverb : sélectionnez un des trois types de réverbération à ressort.
• Potentiomètre Level : détermine la quantité de réverbération appliquée au signal
préamplifié de l’amplificateur.
Paramétrage du micro de Guitar Amp Pro
Après avoirsélectionné une enceinte de haut-parleur dansle menu Speaker, vous pouvez
définir le type de micro à émuler et son emplacement par rapport au haut-parleur. Les
paramètres Position du micro sont disponibles dans la zone jaune située à gauche, et les
paramètres Type de micro dans la zone jaune à droite.
Paramètres Microphone Position
• Bouton Centered : Place le micro au centre du cône du hautparleur, c’estàdire dansl’axe.
Cette position produit un son plein et plus puissant qui convient aux sons de guitare
blues ou jazz.
• Bouton Off-Center : Place le micro au bord du hautparleur, c’estàdire en dehors de l’axe.
Cette position produit un son plus clair et plus précis, mais aussi plus fin qui convient
aux morceaux de guitare rock ou R & B tranchants.
Si voussélectionnez l’un de ces deux boutons, l’écran de haut-parleur graphique reflète
votre choix.
Paramètres Microphone Type
• Bouton Condenser: Émule le son d’un micro électrostatique de studio. Le son des micros
électrostatiques est fin, transparent et bien équilibré.
• Bouton Dynamic : Émule le son d’un micro cardioïde dynamique. Ce type de micro a
un son plus clair et plustranchant que les modèles électrostatiques. Par contre, la plage
de fréquence des médiums inférieurs est moins prononcée, ce modèle convient donc
mieux à l’enregistrement de guitares rock.
Astuce : la combinaison de ces deux types de micros peut produire un son assez
intéressant. Dupliquez la piste de guitare et ajoutez Guitar Amp Pro comme effet
d’insertion sur les deux pistes. Sélectionnez des types de micros différents dans les
exemples Guitar Amp Pro tout en conservant des réglages identiques pour tous les
autres paramètres puis mixez les niveaux de signal des pistes. Vous pouvez bien entendu
faire varier les autres paramètres.
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 37Définition du niveau de sortie de Guitar Amp Pro
Le curseur Sortie est situé sous la section Effets. Il sert de commande de niveau final de
Guitar Amp Pro et peut être envisagé comme une commande de volume en aval de
l’enceinte qui règle le niveau qui est envoyé vers les logements du module suivants de
la bande de canaux ou vers les bandes des canaux Sortie.
Remarque : ce paramètre est distinct de la commande Master pour deux raisons : pour
la conception sonore et pour contrôler le niveau de la section Amp.
Pédalier
Le Pédalier simule le son d’un certain nombre d’effets de pédale « stompbox » renommés
et appréciés. Vous pouvez traiter tout signal audio avec une combinaison de stompbox.
Vous pouvez ajouter, supprimer et réorganiser les pédales. Le flux de signaux s’achemine
de gauche à droite dans la zone de la Pédale. L’ajout de deux bus discrets, couplés aux
unités de division et de mixage, vous permet de tester le son et de contrôler précisément
le signal en tout point de la chaîne des signaux.
Tous les boutons, commutateurs et curseurs de stompbox peuvent être automatisés. Les
commandes Huit macro permettent d’effectuer des changements en temps réel sur les
paramètres de pédale à l’aide du contrôleur MIDI.
Zone Commandes Macro Le navigateur de pédale
Zone Routage Zone Pédale
• Le navigateur de pédale affiche tous les effets et utilitaires de la pédale. Il est possible
de faire glisser ces éléments dansla zone de la Pédale comme faisant partie de la chaîne
des signaux. Consultez Utilisation du navigateur de pédale du Pédalier. La zone de
cette interface est également utilisée pour le mode d’importation alternatif. Consultez
Utilisation du mode Importer du pédalier.
38 Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales• La zone de la Pédale permet de déterminer l’ordre des effets et de régler les paramètres
d’effets. Vous pouvez ajouter, remplacer etsupprimer lesstompbox à cet emplacement.
Consultez Utilisation de la zone de Pédale du pédalier.
• La zone Routage permet de contrôler le flux de signaux des deux bus d’effet (Bus A et
Bus B) disponibles dans le Pédalier. Consultez Utilisation de la zone de Routage du
pédalier.
• La zone Commandes Macro permet d’affecter huit contrôleurs MIDI, qui servent à
contrôler les paramètres d’un stompbox en temps réel. Consultez Utilisation de la zone
de Commandes Macro du pédalier.
• Les pédales d’effet et d’utilitaire sont présentées dans les rubriques suivantes :
• Pédales de distorsion
• Pédales de modulation
• Pédales de retard
• Pédales de filtre
• Pédales dynamiques
• Pédales d’utilitaire
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 39Utilisation du navigateur de pédale du Pédalier
Le Pédalier offre une douzaine d’effets et d’utilitaires de pédale dans le Navigateur de
pédale situé à droite de l’interface. Chaque effet et utilitaire sont regroupés en une
catégorie, telle que la distorsion, la modulation, etc. Pour en savoir plus sur ces types de
stompbox, consultez Pédales de distorsion, Pédales de modulation, Pédales de retard,
Pédales de filtre, Pédales dynamiques, et Pédales d’utilitaire.
Menu local View Bouton du mode d’importation
Pour masquer ou afficher le navigateur de pédale
µ Cliquez sur le triangle d’affichage situé dans le coin inférieur droit de la zone de Pédale.
Pour afficher uniquement des groupes de pédale spécifiques dans le navigateur de
pédale
µ Ouvrez le menu local Afficher et choisissez Distorsion, Modulation, Retard, Filtre,
Dynamique ou Utilitaire. Le navigateur de pédale affiche uniquement les stompbox de
la catégorie sélectionnée.
Pour afficher tous les groupes de pédale, choisissez Tout afficher dans le menu local
Afficher.
40 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesPour ajouter un stompbox à la zone de Pédale
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites glisser l’effet à insérer du navigateur de pédale sur la position appropriée de la
zone de Pédale. Cet emplacement peut se trouver à gauche, à droite ou entre les pédales
existantes.
µ Double-cliquez sur un effet dans le navigateur de pédale pour l’ajouter à droite de tous
les stompbox existants de la zone de Pédale.
Remarque : l’action de double-cliquer sur un stompbox dans le navigateur de pédale
lorsqu’un stompbox est sélectionné dans la zone de Pédale remplace la pédale
sélectionnée.
Utilisation du mode Importer du pédalier
Le pédalier est doté d’une fonction qui vous permet d’importer lesréglages d’un paramètre
pour chaque type de pédale. Contrairement au menu Réglages de la fenêtre de module,
qui vous permet de charger un réglage pour le module complet du Pédalier, cette fonction
sert à charger un réglage pour un type spécifique de stompbox.
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 41Pour activer ou désactiver le mode Importer
µ Cliquez sur le bouton Mode Importer pour afficher toutes les pédales utilisées dans le
dernier réglage du pédalier. Lorsque ce bouton est activé, le navigateur de pédale passe
à un mode d’affichage alternatif qui affiche les réglages importés. Lorsque le mode
d’importation est inactif, le navigateur de pédale s’affiche en mode normal.
Pour importer les réglages de pédale dans le navigateur de pédale
1 Cliquez sur le bouton Mode Importer pour activer le mode d’importation. Notez que le
menu Afficher passe sur le bouton Sélectionner un réglage.
Remarque : si vous importez des réglages pour la première fois, une zone de dialogue
s’ouvre dans laquelle vous pouvez sélectionner un réglage à importer.
2 Cliquez sur le bouton Sélectionner un réglage et sélectionnez un réglage, puis cliquez
sur Ouvrir. En fonction du réglage sélectionné, un ou plusieursstompbox s’affichent dans
le navigateur de pédale. Le nom du réglage importé s’affiche au bas du navigateur de
pédale.
Pour ajouter une pédale importée à la zone de Pédale
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites glisser le stompbox à ajouter du navigateur de pédale sur la position appropriée
de la zone de Pédale. Cet emplacement peut se trouver à gauche, à droite ou entre les
pédales existantes.
µ Vérifiez qu’aucune pédale n’est sélectionnée dans la zone de Pédale, puis double-cliquez
sur un stompbox dans le navigateur de pédale pour l’ajouter à droite de tous les effets
existants de la zone de Pédale.
Remarque : les réglages de paramètre des pédales ajoutés en mode Importer sont
également importés.
Pour remplacer un réglage de pédale dans la zone de Pédale par un réglage de pédale
importé
1 Cliquez sur la pédale à remplacer dansla zone de Pédale. Elle est alors mise en surbrillance
avec un contour bleu.
2 Cliquez sur le stompbox dans le navigateur de pédale pour remplacer la pédale
sélectionnée (ou le réglage de pédale) dans la zone de Pédale. Les contours bleu de la
pédale sélectionnée dans la zone de Pédale et dans le navigateur de pédale clignotent
pour indiquer un réglage importé. La zone du nom du réglage située au bas du navigateur
de pédale affiche le message suivant : « Cliquez à nouveau sur l’élément sélectionné pour
revenir ».
Remarque : si vous souhaitez que votre remplacement soit permanent, cliquez sur
l’arrièreplan du navigateur de pédale, ou cliquez sur le bouton Mode Importer.
42 Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales3 Pour restaurer le réglage précédent de la pédale sélectionnée, cliquez sur le stompbox
en surbrillance dans le navigateur de pédale. Le bouton Mode Importer et le contour de
la pédale sélectionnée (dans la zone de Pédale) sont mis en surbrillance, ce qui indique
que le réglage d’origine a été restauré.
Utilisation de la zone de Pédale du pédalier
Les pédales d’effets de stompbox de pédalier ressemblent non seulement à leur
homologue physique, mais sont également utilisées de la même façon (sans le
désagrément desfils de raccordement, des câbles d’alimentation, et des vis ou mécanismes
de verrouillage). La disposition de la zone de Pédale est le reflet d’un pédalier traditionnel,
avec des signaux passant de gauche à droite.
Pour ajouter une pédale à la zone de Pédale
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites glisser le stompbox à insérer du navigateur de pédale sur la position appropriée
de la zone de Pédale. Cet emplacement peut se trouver à gauche, à droite ou entre les
pédales existantes.
µ Vérifiez qu’aucune pédale n’est sélectionnée dans la zone de Pédale, puis double-cliquez
sur un stompbox dans le navigateur de pédale pour l’ajouter à droite de tous les effets
existants de la zone de Pédale.
Remarque : les pédales d’utilitaire Mixer et Splitter s’insèrent de manière différente.
Consultez Utilisation de la zone de Routage du pédalier.
Pour modifier la position d’une pédale d’effet dans la zone de Pédale
µ Faites glisser le stompbox vers un nouvel emplacement, vers la gauche ou la droite. Les
routages d’automation et de bus (s’ils sont activés) sont déplacés avec la pédale d’effet.
Pour en savoir plus sur les routages d’automation et de bus, consultez Utilisation de la
zone de Routage du pédalier.
Remarque : il existe deux exceptions à la règle pour le routage de bus : si la pédale
déplacée est la seule pédale entre un utilitaire Splitter et Mixer, les deux pédales d’utilitaire
sont automatiquement supprimées. Si le second Bus (“B”) n’est pas activé à destination,
la pédale est insérée dans le Bus A.
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 43Pour modifier la position d’un utilitaire de Mixage dans la zone de Pédale
µ Faites glisser l’utilitaire de Mixage vers un nouvel emplacement, vers la gauche ou la
droite.
Déplacement versla gauche : le « downmix » des Bus A et B se produit au point d’insertion
le plus proche. Les pédales d’effet concernéessont déplacées versla droite etsont insérées
dans le Bus A.
Déplacement vers la droite : le « downmix » des Bus A et B se produit au dernier point
d’insertion. Les pédales d’effet concernées sont déplacées vers la gauche et sont insérées
dans le Bus A.
Remarque : une pédale Mixer ne peut pas être déplacée vers un emplacement directement
après (ou à gauche) le point de division ou l’utilitaire Splitter correspondant.
Pour modifier la position d’un utilitaire Splitter dans la zone Pédal
µ Faites glisser l’utilitaire Splitter sur un nouvel emplacement, vers la gauche ou la droite.
Déplacement vers la gauche : le scindage entre les Bus A et B se produit au point
d’insertion le plus proche. Les pédales d’effet concernées sont déplacées vers la droite
et sont insérées dans le Bus A.
Déplacement vers la droite : le scindage entre les Bus A et B se produit au dernier point
d’insertion. Les pédales d’effet concernées sont déplacées vers la gauche et sont insérées
dans le Bus A.
Remarque : une pédale de Scindage ne peut pas être déplacée vers un emplacement
précédant directement (ou à droite) l’utilitaire de Mixage correspondant.
Pour remplacer une pédale dans la zone de Pédale
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites glisser le stompbox du navigateur de pédale directement sur la pédale à remplacer
dans la zone de Pédale.
µ Cliquez pour sélectionner le stompbox à remplacer dans la zone de Pédale, puis
double-cliquez sur la pédale appropriée du navigateur de pédale.
Remarque : vous pouvez uniquement remplacer les pédales d'« effets », et non les utilitaires
de Mixage ou de Scindage. Les routages de bus (s’ils sont activés) ne sont pas modifiés
lorsqu’une pédale d’effet est remplacée.
Pour supprimer une pédale dans la zone de Pédale
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites glisser la pédale hors de la zone de Pédale.
µ Cliquez sur la pédale pour la sélectionner et appuyez sur la touche Supprimer.
44 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesUtilisation de la zone de Routage du pédalier
Le pédalier est doté de deux bus de signaux discrets (Bus A et Bus B) situés dans la zone
de Routage audessus de la zone de Pédale. Ces bus offrent une grande flexibilité lorsque
vous configurez les chaînes de traitement des signaux. Tous les stompbox que vous faites
glisser dans la zone de Pédale sont insérés dans le Bus A par défaut.
Remarque : la zone de Routage s’affiche lorsque vous déplacez votre pointeur sur un
emplacement situé immédiatement audessus de la zone de Pédale, et celuici disparaît
lorsque vous éloignez le pointeur. Lorsque vous créez un second routage de bus, la zone
de Routage reste ouverte même lorsque votre pointeur n’est pas positionné sur celleci.
Vous pouvez fermer la zone de Routage en cliquant sur le petit bouton de verrouillage
situé sur la partie supérieure : la zone de Routage s’ouvre ou se ferme automatiquement
lorsque vous déplacez votre pointeur sur celleci.
Pour créer un second routage de bus
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Déplacez votre pointeur immédiatement audessus de la zone de Pédale pour ouvrir la
zone de Routage, puis cliquez sur le nom d’un stompbox dans la zone de Routage. Le
nom de la pédale est déplacé vers le haut, et le stompbox sélectionné est acheminé vers
le Bus B. Deux lignes grises s’affichent dans la zone de Routage qui représentent les Bus
A et Bus B. La pédale d’utilitaire de Mixage est automatiquement ajoutée à la fin de la
chaîne des signaux.
µ Faites glisser une pédale d’utilitaire de Scindage dans la zone de Pédale lorsque plusieurs
pédales sont insérées. Une pédale d’utilitaire de Mixage est également insérée à la fin de
la chaîne des signaux en l’absence d’autre pédale de ce type.
Pour supprimer le second routage de bus
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Supprimez les pédales d’utilitaire de Mixage et de Scindage de la zone de Pédale.
µ Supprimez tous les stompbox de la zone de Pédale. Cela entraîne la suppression
automatique d’un utilitaire de Mixage existant.
Pour supprimer un effet du second bus
µ Cliquez sur le nom de la pédale (ou sur l’une des lignes grises) dans la zone de Routage.
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 45Remarque : la suppression de tous les effets du Bus B n’entraîne pas la suppression du
second bus. La pédale d’utilitaire de Mixage reste dansla zone de Pédale, même lorsqu’un
seul stompbox (effet) se trouve dans la zone de Pédale. Cela permet un routage parallèle
des signaux secs et humides. Ce n’est qu’après la suppression de tous les effets de pédale
de la zone de Pédale que l’utilitaire de Mixage (et le second bus) est lui aussi supprimé.
Pour définir le point de scindage entre les bus
µ Lorsque plusieurs bus sont activés, un certain nombre de points s’affichent le long des
« câbles » (lignes grises) dans la zone de Routage. Ils représentent la sortie (la prise) de la
pédale dans le coin inférieur gauche du point. Cliquez sur le point approprié pour
déterminer où le point de scindage (le signal) est acheminé entre les bus. Un câble s’affiche
entre les bus lorsque vous cliquez sur un point.
Remarque : vous ne pouvez pas créer un point de scindage directement avant, ou après,
l’utilitaire de Mixage.
Pour passer d’un utilitaire de Scindage à un point de scindage de bus et inversement
µ Double-cliquez sur le point de scindage du bus dansla zone de Routage pour le remplacer
par un utilitaire de Scindage. L’utilitaire de Scindage s’affiche dans la zone de Pédale.
µ Double-cliquez sur l’étiquette Scindage dansla zone de Routage pour remplacer l’utilitaire
de Scindage par un point de scindage de bus. L’utilitaire de Scindage est supprimé de la
zone de Pédale.
Remarques concernant l’utilisation d’un utilitaire de Scindage ou de
Mixage
Le déplacement automatique d’un utilitaire de Scindage dansla zone de Pédale entraîne
l’insertion d’un utilitaire de Mixage à l’extrémité droite de toutes les pédales insérées.
Vous ne pouvez pas faire glisser un utilitaire de Scindage vers l’extrémité droite de
toutes les pédales insérées, directement après un utilitaire de Scindage inséré,
directement devant un utilitaire de Mixage inséré, ou sur un espace vide de la zone de
Pédale.
Le déplacement automatiquement d’un utilitaire de Mixage dansla zone de Pédale crée
un point de scindage au point le plus proche (le plus à gauche) de la chaîne dessignaux.
Vous ne pouvez pas faire glisser un utilitaire de Mixage vers le premier logement de la
zone de Pédale, entre un combo d’utilitaires de Scindage et de Mixage insérés, ou
directement à droite d’un utilitaire de Mixage inséré.
46 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesUtilisation de la zone de Commandes Macro du pédalier
Le pédalier offre huit cibles Macro (de A à H) situées dans la zone de Commandes Macro
sous la zone de Pédale. Elles vous permettent d’appliquer le paramètre d’un stompbox
inséré comme une cible Macro A à H. Vous pouvez enregistrer les différents mappages
à l’aide des réglages de Pédalier.
Assignez un contrôleur ou créez un bouton d'espace de travaille pour la valeur Macro
A-H. Les commutateurs matériels, les curseurs ou les boutons MIDI peuvent ensuite servir
à contrôler les paramètres cibles mappés de la Macro A à H du pédalier en temps réel.
Consultez le Logic Pro Manuel de l'utilisateur pour plus de détails.
Cliquez sur le triangle situé dans la partie inférieure gauche pour masquer ou afficher la
zone de Commandes Macro.
• Menus locaux « Cible Macro A à H » : déterminez le paramètre à contrôler avec un
contrôleur MIDI.
• Curseurs et champs de « Valeur Macro A à H » : réglez et affichez la valeur réelle du
paramètre sélectionné dans le menu local Cible Macro correspondant.
Pour affecter une valeur « Cible Macro A à H »
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Cliquez sur l’un des menus locaux « Cible Macro A à H », puis choisissez le paramètre à
contrôler.
Chaque paramètre de stompbox s’affiche de la manière suivante : « Numéro du logement,
Nomde la pédale, Paramètre ». Par exemple :« Logement 1, Blue Echo,Durée », ou « Logement
2, Roswell Ringer, Commentaire ». Le numéro du « logement » fait référence à la position
de la pédale et s’affiche de gauche à droite dans la zone de Pédale.
µ Choisissez l’élément « -Affectation automatique- » dans un des menus locaux « Cible
Macro A à H », puis cliquez sur le paramètre approprié d’une pédale insérée.
Remarque : le paramètre sélectionné s’affiche dans le menu local « Cible Macro A à H ».
Pédales de distorsion
Cette rubrique présente les pédales d’effets de distorsion.
Stompbox Description
Effet de distorsion lumineux et «déplaisant ». Il contrôle le gain du
signal de sortie. Le niveau règle le volume d’effet.
Candy Fuzz
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 47Stompbox Description
Effet de distorsion haut de gamme Il offre des commandes de niveau
indépendant pour l’entrée (Entrée) et la sortie (Niveau). Il contrôle
la quantité de saturation appliquée au signal d’entrée. Le bouton
Ton définit la fréquence de coupure. Le bouton Squash définit le
seuil du circuit de compression interne. Le contour détermine le
volume de distorsion non linéaire appliquée au signal. Le mixage
détermine le rapport entre les signaux source et distordus. Le
commutateur Bright/Fat passe d’une fréquence de filtre de plateau
d’aigus fixe à une seconde. Les voyants bleu et rouge indiquent la
position respective de chaque changement.
Double Dragon
Effet de distorsion de « fuzz » américain. L’effet fuzz contrôle le gain
d’entrée. Le gain global en sortie est défini à l’aide de Niveau. Le
bouton Tone augmente les aigus, tout en diminuantsimultanément
les fréquences des graves, lorsque vous le déplacez vers les valeurs
supérieures.
Fuzz Machine
Grinder est un effet de distorsion de basses fréquences de « métal »
sombre. Il définit la quantité de drive appliquée au signal d’entrée.
Le ton est contrôlé à l’aide du bouton Filtre, produisant un son plus
dur et plus craquant à des valeurs supérieures. Le commutateur
Full/Scoop passe d’un réglage de filtre Gain fixe à un réglage de
filtre Q fixe et inversement. En position Full, le filtrage est moins
prononcé qu’en position Scoop. Le niveau global de sortie est
contrôlé par le bouton Niveau.
Grinder
Effet de distorsion plus doux et intégral. L’effet Fuzz définit le volume
de saturation appliquée au signal d’entrée. Volume détermine le
niveau de sortie.
Happy Face Fuzz
Effet overdrive pouvant accentuer les hautes fréquences du signal.
Niveau contrôle la sortie de l’effet. Le commutateur Treble/Full
détermine une fréquence de plateau fixe, permettant le traitement
du signal d’entrée de la partie des aigus ou de la plage intégrale.
HiDrive
Effet de distorsion saturé et rauque. Rugissement détermine le
volume de gain appliqué au signal d’entrée. Grognement détermine
le volume de saturation. Ton détermine la coloration globale de la
distorsion. Les valeurs de son supérieures augmentent le contenu
des aigus du signal, mais une diminution correspondante est
observée dans le volume global. Texture peut lisser ou durcir la
distorsion. Le gain détermine le volume de distorsion non linéaire
appliquée au signal. La sortie de l’effet est contrôlée par le bouton
Niveau.
Monster Fuzz
Effet fat fuzz, pouvant produire une distorsion saturée et lisse. L’effet
fuzz contrôle le gain d’entrée. Le niveau détermine le rapport entre
les signaux source et distordus. Le bouton Ton détermine la
fréquence de coupure du filtre passehaut.
Octafuzz
48 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesStompbox Description
Effet de distorsion du métal/hard rock. L’effet Craquant détermine
le volume de saturation appliquée au signal d’entrée. Le gain de
sortie est déterminé à l’aide de Niveau. La coloration du ton est
définie par le bouton Ton, produisant un son plus lumineux à des
valeurs supérieures.
Rawk ! Distortion
L’effet Overdrive émule la distorsion générée par un transistor à
effet de champ (FET), généralement utilisée dans les amplificateurs
solides. Une fois saturé, le FET génère une distorsion de son plus
chaude que lestransistors bipolaires(comme ceux émulés par l’effet
Grinder). Le drive détermine le volume de saturation du signal
d’entrée. Le ton définit la fréquence du filtre high cut, entraînant
un ton plus doux ou plus dur. Lorsque le commutateur Fat est placé
sur la position supérieure, il améliore la fréquence des graves
contenus dans le signal. Niveau définit le niveau de sortie global
de l’effet.
Vintage Drive
Pédales de modulation
Cette rubrique présente les pédales d’effets de modulation.
Stompbox Description
Effet de chorus riche et doux pouvant épaissir le son de manière
considérable. Le taux définit la vitesse de modulation et peut
fonctionner librement ou être synchronisé avec le tempo de
l’application hôte en appuyant sur le bouton Sync. Une fois la
synchronisation effectuée, vous pouvez spécifier les valeurs de
barres, battements et notes(y comprislestriolets et notes pointées).
Profondeur définit la puissance de l’effet. Feedback renvoie la sortie
de l’effet dans l’entrée, en épaississant davantage le son, ou en
entraînant des intermodulations. Retard définit le rapport entre les
signaux d’origine et les signaux d’effet. La position supérieure du
commutateur Bright applique un égaliseur interne de fréquence
fixe au signal. En position inférieure, l’égaliseur est contourné.
Heavenly Chorus
Effet de phase simple. Le taux définit la vitesse de modulation et
peut fonctionner librement ou être synchronisé avec le tempo de
l’application hôte en appuyant sur le bouton Sync. Une fois la
synchronisation effectuée, vous pouvez spécifier les valeurs de
barres, battements et notes(y comprislestriolets et notes pointées).
Profondeur définit la puissance de l’effet. Feeback détermine la
quantité de signal d’effet renvoyée dansl’entrée. Cela peut modifier
la couleur de ton et/ou rendre l’effet de balayage plus prononcé.
Phase Tripper
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 49Stompbox Description
Effet phaser double très flexible. LFO 1 et LFO2 Rate définissent la
vitesse de modulation ; ils peuvent fonctionner librement ou être
synchronisés avec le tempo de l’application hôte en appuyant sur
le bouton Sync. Ceiling et Floor déterminent la plage de fréquences
balayée. L’ordre permet de changer d’algorithmes, avec des nombres
(pairs) plus élevés, entraînant un effet de phasing plus lourd. Les
nombres impairs entraînent un effet de filtrage de combinaison
plus subtile. Feeback détermine la quantité de signal d’effet
renvoyée dans l’entrée. Cela peut modifier la couleur de ton et/ou
rendre l’effet de phasing plus prononcé. Ton fonctionne à partir du
centre ; tournezle vers la gauche pour augmenter la quantité du
filtrage passebas, ou vers la droite pour augmenter la quantité de
filtrage passehaut. Mixage définit le rapport de niveau entre chaque
phaser.
Phase 2
Effet de chorus d’époque et subtil. Le taux définit la vitesse de
modulation et peut fonctionner librement ou être synchronisé avec
le tempo de l’application hôte en appuyantsur le bouton Sync. Une
fois la synchronisation effectuée, vous pouvez spécifier les valeurs
de barres, battements et notes (y compris les triolets et notes
pointées). Profondeur définit la puissance de l’effet.
Retro Chorus
Effet de flanging flexible. Le taux définit la vitesse de modulation
et peut fonctionner librement ou être synchronisé avec le tempo
de l’application hôte en appuyant sur le bouton Sync. Une fois la
synchronisation effectuée, vous pouvez spécifier les valeurs de
barres, battements et notes(y comprislestriolets et notes pointées).
Profondeur définit la puissance de l’effet. Feeback détermine la
quantité de signal d’effet renvoyée dansl’entrée. Cela peut modifier
la couleur de ton et/ou rendre l’effet de flanging plus prononcé. Le
bouton Manuel définit le retard entre les signaux source et les
signaux d’effet. Cela peut entraîner des effets de flangerchorus, ou
des modulations métalliques, en particulier s’ils sont utilisés avec
des valeurs Feeback élevées.
Robo Flanger
L’effet de modulation en anneau peut rendre un son entrant
métallique (ou méconnaissable), produire des trémolos, éclaircir
des signaux etc. Le bouton Freq définit la fréquence de coupure du
filtre principal. Fine est un bouton de réglage de précision pour la
fréquence du filtre. Le commutateur Lin/Exp détermine si la courbe
de fréquence est linéaire (12 notes par octave) ou exponentielle.
FB (Feeback) détermine la quantité de signal d’effet renvoyée dans
l’entrée. Cela peut modifier la couleur de ton et/ou rendre l’effet
plus prononcé. La balance entre les signaux d’origine et les signaux
d’effet est déterminée par le bouton Mixage. Consultez RingShifter
pour en savoir plus sur la modulation en anneau.
Roswell Ringer
50 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesStompbox Description
Effet de phaser qui ajoute du mouvement à la phase du signal et
l’altère. Le taux définit la vitesse de modulation et peut fonctionner
librement ou être synchronisé avec le tempo de l’application hôte
en appuyant sur le bouton Sync. Une fois la synchronisation
effectuée, vous pouvez spécifier les valeurs de barres, battements
et notes (y compris les triolets et notes pointées) à l’aide du bouton
Rate. Intensité définit la puissance de l’effet. Le commutateur
Vintage/Modern active un égaliseur interne de fréquence fixe
lorsqu’il est placé sur Vintage, et le désactive lorsqu’il est positionné
sur Modern.
Phase Roto
Émulation de l’enceinte de hautparleur de rotor « Leslie »
couramment utilisée avec un orgue B3 Hammond. Enceinte définit
le type d’enceinte de hautparleur. Débit rapide définit la vitesse de
modulation maximum (s’affiche uniquement lorsque le bouton
Rapide est activé). Réponse détermine la durée nécessaire au rotor
pour qu’il atteigne sa vitesse maximale ou minimale. Drive augmente
le gain d’entrée, introduisant ainsi une distorsion au signal. Le
commutateur Bright active un filtre de rayonnage élevé lorsqu’il est
actionné. Les boutons Lent, Frein et Rapide déterminent le
comportement du « hautparleur » : Lent fait tourner lentement le
hautparleur. Rapide fait tourner rapidement le hautparleur (jusqu’à
la vitesse maximale déterminée par le bouton Débit rapide). Frein
arrête la rotation du hautparleur. Consultez Effet Rotor Cabinet pour
en savoir plus sur l’effet Leslie.
Spin Box
Effet trémolo flexible (modulation du niveau de signal). Le taux
définit la vitesse de modulation et peut fonctionner librement ou
être synchronisé avec le tempo de l’application hôte en appuyant
sur le bouton Sync. Une fois la synchronisation effectuée, vous
pouvez spécifier les valeurs de barres, battements et notes (y
compris les triolets et notes pointées). Profondeur définit la
puissance de l’effet. Wave et Smooth fonctionnent en combinaison
pour altérer la forme d’onde de l’oscillateur subaudio. Cela permet
de créer des changements flottants en termes de niveau ou des
étapes brusques. Volume détermine le niveau de sortie de l’effet.
Les boutons de vitesse 1/2 et 2 x réduisent de moitié ou doublent
immédiatement la valeur réelle du Taux.Maintenez les boutons
Augmenter la vitesse et Diminuer la vitesse enfoncés pour
augmenter ou diminuer progressivement la valeur réelle du Taux
aux valeurs maximales ou minimales possibles.
Total Trémolo
Effet trémolo (modulation du niveau de signal). Le taux définit la
vitesse de modulation et peut fonctionner librement ou être
synchronisé avec le tempo de l’application hôte en appuyant sur
le bouton Sync. Une fois la synchronisation effectuée, vous pouvez
spécifier les valeurs de barres, battements et notes (y compris les
triolets et notes pointées). Profondeur définit la puissance de l’effet.
Niveau définit le gain posttrémolo.
Trem-o-Tone
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 51Stompbox Description
Effet vibrato/chorus, basé sur l’unité Scanner Vibrato, que l’on
retrouve dansl’orgue B3 Hammond. Vous pouvez choisir entre trois
variations vibrato (V1 à V3) ou chorus (C1 à C3) à l’aide du bouton
Type. Le taux définit la vitesse de modulation et peut fonctionner
librement ou être synchronisé avec le tempo de l’application hôte
en appuyant sur le bouton Sync. Une fois la synchronisation
effectuée, vous pouvez spécifier les valeurs de barres, battements
et notes(y comprislestriolets et notes pointées). Profondeur définit
la puissance de l’effet. Consultez Effet Scanner Vibrato pour en savoir
plus sur cet effet.
Vibration
Pédales de retard
Cette rubrique présente les pédales d’effet de retard.
Stompbox Description
Effet de retard. Temporel définit la vitesse de modulation et peut
fonctionner librement ou être synchronisé avec le tempo de
l’application hôte en appuyant sur le bouton Sync. Une fois la
synchronisation effectuée, vous pouvez spécifier les valeurs de
barres, battements et notes(y comprislestriolets et notes pointées).
Le bouton Répétitions détermine le nombre de répétitionsretardées.
Le mixage détermine la balance entre les signaux retardés et les
signaux source. Le commutateur Tone Cut contrôle le circuit du
filtre interne des fréquences fixes pouvant produire des fréquences
de graves (Lo) ou d’aigus (Hi) plus importantes. Vous pouvez
également désactiver le circuit de ce filtre en choisissant Désactiver.
Blue Echo
Pédale de réverbération à ressort. Temporel définit la longueur de
la réverbération des valeurs courtes, médiums ou longues. Ton
contrôle la fréquence de coupure, rendant l’effet plus lumineux ou
plus sombre. Style permet de changer d’algorithme, chacun étant
doté caractéristiques propres. Vous pouvez choisir: Boutique, Simple,
Vintage, Bright ou Resonant. Le mixage détermine le rapport entre
les signaux source et les signaux d’effet.
Spring Box
52 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesStompbox Description
Effet de retard d’enregistrement d’époque. Le commutateur
Norm/Reverse change le sens de présonorisation du retard. Le mode
Inverser est indiqué par un voyant DEL bleu et le mode Normal par
un voyant DEL rouge. Hi Cut et Lo Cut activent un filtre de fréquence
fixe. Dirt définit la quantité de gain du signal d’entrée, qui peut
introduire une qualité saturée et d’overdrive. Scintillement émule
lesfluctuations de vitesse dansle mécanisme de transport de bande.
Temporel définit la vitesse de modulation et peut fonctionner
librement ou être synchronisé avec le tempo de l’application hôte
en appuyant sur le bouton Sync. Une fois la synchronisation
effectuée, vous pouvez spécifier les valeurs de barres, battements
et notes(y comprislestriolets et notes pointées). Feeback détermine
la quantité de signal d’effet renvoyée dans l’entrée. Le
développement de signaux de répétition peut être utilisé de manière
créative pour les effets dubdelay ou autres en ajustant Feedback
en temps réel. Le mixage détermine la balance entre les signaux
source et les signaux d’effet.
Retard TruTape
Pédales de filtre
Cette rubrique présente les pédales d’effets de filtre.
Stompbox Description
Effet (filtre) auto-wah. Sensibilité définit un seuil qui détermine la
manière dont le filtre répond aux niveaux des signaux entrants.
Coupure définit la fréquence centrale du filtre. Le commutateur
BP/LP active le circuit d’un filtre passe-bande ou passe-bas. Les
fréquences du signalsituéesimmédiatement audessus ou endessous
du point de coupure sont filtrées si la position du commutateur BP
est sélectionnée. Lorsque la position du commutateur LP est
sélectionnée,seulslessignaux situés audessous du point de coupure
sont autorisés à travers le filtre. Le commutateur Hi/Lo sélectionne
un des deux réglages de résonance (filtre) préréglés. Le
commutateur Haut/Bas active un sens de modulation positif ou
négatif (le filtrage « wah » se produit audessus ou endessous de la
fréquence du signal source).
Auto-Funk
Effet funky wah, directement inspiré des bandes sons des séries
policières des années 70. Cet effet se contrôle en faisant glisser la
pédale.
Classic Wah
Effet wah plus agressif. Cet effet se contrôle en faisant glisser la
pédale. Mode permet de sélectionner l’un des effetssuivants: Retro
Wah, Modern Wah, Opto Wah 1, Opto Wah 2, Volume. Chaque effet
présente une qualité de ton différente. Le bouton Q détermine les
caractéristiques de résonance. Les valeurs faibles Q affectent une
plage de fréquence plus large, entraînant des résonances plus
douces. Les valeurs élevées Q affectent une plage de fréquences
plus étroite, entraînant un accent plus prononcé.
Modern Wah
Chapitre 1 Amplificateurs et Pédales 53Pédales dynamiques
Cette rubrique présente les pédales dynamiques.
Stompbox Description
Effet simple compressor. Soutien définit le niveau du seuil. Les
signaux au-dessus de ce dernier sont réduits en niveau. Niveau
détermine le gain de sortie. Le commutateur Attack peut être réglé
sur Rapide pour les signaux dont l’élément transitoire d’attaque est
rapide, tels que les percussions, ou sur Lent pour les signaux dont
les phases d’attaque sont lentes, telles que les cordes.
Squash Compressor
Pédales d’utilitaire
Cette rubrique présente les paramètres des pédales de Mixage et de Scindage.
Stompbox Description
Utilitaire utilisé pour contrôler la relation de niveau entre lessignaux
des Bus A et B. Il peut être inséré n’importe où dans la chaîne des
signaux, mais il est généralement utilisé à la fin de la chaîne (à
l’extrémité droite de la zone de Pédale). Utilisation de la zone de
Routage du pédalierConsultez Le commutateur A/Mixage/B met
en solo le signal « A », mixe les signaux « A » et « B », ou met en solo
le signal « B ». Le réglage de niveau de l’équilibreur de Mixage est
important pour les positions du commutateur A/Mixage/B.
Dans les exemples stéréo, l’utilitaire de Mixage offre également des
commandes de Balance discrètes pour chaque bus.
Mixage
Utilitaire pouvant être inséré n’importe où dans la chaîne des
signaux. Le Scindage peut être utilisé de deux manières différentes.
Lorsqu’il est réglé sur Freq, il fonctionne comme un scindage de
signal dépendant de la fréquence et divise le signal entrant. Les
signaux situés audessus de la fréquence du bouton Fréquence sont
envoyés vers le Bus B. Les signaux situés audessous de cette
fréquence sont envoyés vers le Bus A.
Lorsqu’il est réglé sur Scinder, le signal entrant est acheminé de
manière égale vers les deux bus. Le bouton Fréquence n’a aucune
incidence dans ce mode.
Utilisation de la zone de Routage du pédalierConsultez
Scindage
54 Chapitre 1 Amplificateurs et PédalesLes effets Delay (de retard) enregistrent le signal d’entrée et le conservent un court instant
avant de l’envoyer à l’entrée ou à la sortie de l’effet.
Le signal maintenu, et retardé, est répété à l’issu d’une durée donnée, créant ainsi un
effet d’écho. Chaque répétition ultérieure est légèrement plus faible que la précédente.
La plupart des retards permettent en outre de renvoyer un certain pourcentage du signal
retardé à l’entrée. Cela peut produire un subtil effet chaotique, de type chorus ou en
cascade, à la sortie audio.
Le temps de retard peut être synchronisé avec le tempo du projet, via la mise en
correspondance de la résolution de grille du projet, généralement en valeur de notes ou
en millisecondes.
Vous pouvez utiliser des retards pour doubler des sons individuels afin d'obtenir des sons
rappelant un groupe d'instruments reproduisant la même mélodie, de créer des effets
d'écho, de donner l'impression que le son provient d'un grand espace, de créer des effets
de rythme ou de souligner la position stéréo des pistes d'un mixage.
Les effets de retard sont généralement utilisés comme insertion de canal ou effets de
bus. Il est plus rare d’en faire usage sur l’ensemble d’un mixage (dans un canal de sortie),
à moins que vous ne cherchiez à obtenir un effet inhabituel.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Delay Designer (p 56)
• Echo (p 77)
• Sample Delay (p 77)
• Stereo Delay (p 78)
• Tape Delay (p 80)
55
Effets Delay (de retard)
2Delay Designer
Delay Designer est un effet de retard multitap. Contrairement aux unités de retard
traditionnelles qui n’offrent qu’un ou deux retards(ou taps), lesquels peuvent être renvoyés
dans le circuit ou non, Delay Designer propose jusqu’à 26 taps. Ces taps sont tous issus
du signal source et peuvent être modifiés à loisir pour créer des effets de retard vraiment
originaux.
Il permet de contrôler les aspects suivants de chaque tap :
• Niveau et balance
• Filtre passe-haut et passe-bas
• Transposition de tonalité (vers le haut ou vers le bas)
Il existe également d’autres paramètres relatifs aux effets, tels que la synchronisation, la
quantification et le retour.
Comme son nom l’indique (concepteur de retard en anglais), l’effet Delay Designer offre
un potentiel de création de son très intéressant. Il permet notamment de créer des effets
allant du simple écho à un séquenceur de motifs audio. Vous pouvez créer des rythmes
flexibles, évolutifs et complexes en synchronisant le positionnement des taps. Ceci vous
ouvre davantage de possibilités musicales en les couplant à une transposition et à un
filtrage pertinents. Vous pouvez également configurer plusieurs taps sous forme de
« répétitions » d’autres taps, tout comme vous utiliseriez le contrôle de retour d’un retard
simple, mais en contrôlant les répétitions une à une.
Vous pouvez utiliser l’effet Delay Designer sur les tranches de console dotées d’entrées
et/ou de sorties mono, stéréo ou Surround. Consultez Utilisation de Delay Designer en
Surround pour obtenir desinformations détailléessur l'utilisation destranches des canaux
Surround.
56 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)Présentation de l’interface de Delay Designer
L’interface de l’effet Delay Designer se compose de cinq parties principales :
Section Sync
Nappes Tap Barre de paramétrage Tap
Écran principal Section Master
• Écran principal : il propose une représentation graphique de tous les taps. Cette zone
vous permet de visualiser et modifier les paramètres de chaque tap. Consultez
Présentation de l’écran principal de Delay Designer.
• Barre des paramètres de tap : affiche une présentation numérique des réglages du
paramètre indiqué pour le tap sélectionné. Cette zone vous permet de visualiser et
modifier les paramètres de chaque tap. Consultez Modification de taps dans la barre
des paramètres Tap de Delay Designer.
• Tap pads: vous pouvez utiliser ces deux pavés pour créer destaps dans Delay Designer.
Consultez Création de taps dans Delay Designer.
• Section Sync : dans cette zone, vous pouvez définir tous les paramètres de
synchronisation et de quantification de Delay Designer. Consultez Synchronisation de
taps dans Delay Designer.
• Section Master : cette zone contient les paramètres généraux de mixage et de retour.
Consultez Utilisation de la section Master de Delay Designer.
Chapitre 2 Effets Delay (de retard) 57Présentation de l’écran principal de Delay Designer
L’écran principal de Delay Designer sert à afficher et à modifier les paramètres des taps.
Vous pouvez modifier librement le paramètre affiché et zoomer ou parcourir rapidement
tous les taps.
Boutons d’affichage
Basculer
les boutons Bouton Autozoom
Affichage de l’aperçu
Écran Tap
Barre Identification
• Boutons View : permettent de définir les paramètres représentés dans l’écran Tap.
Consultez Utilisation des boutons de présentation de Delay Designer.
• Bouton Autozoom : effectue un zoom arrière sur l’écran Tap pour afficher tous les taps.
Désactivez le zoom automatique si vous souhaitez agrandir l’écran (en faisant glisser
la souris verticalement sur l’écran Overview) pour afficher des taps précis.
• Affichage de l’aperçu : affiche tous les taps de l’intervalle temporel. Consultez Zoom et
navigation dans l’écran Tap de Delay Designer.
• Boutons Toggle : cliquez sur ce bouton pour activer ou désactiver les paramètres d’un
tap. Utilisez les boutons View pour sélectionner le paramètre à utiliser. Le nom situé à
gauche de la barre de basculement indique toujours le paramètre vers lequel vous
basculez. Pour en savoir plus, consutez Utilisation des boutons Tap Toggle de
Delay Designer.
• Écran Tap : représente chaque tap sous forme de trait ombré. Ils contiennent chacun
une barre visible (ou un point pour la balance stéréo) qui indique la valeur du paramètre.
Dans cette zone d’écran, vous pouvez modifier directement les paramètres des taps.
Pour en savoir plus, consultez Modification des paramètres dans l’écran Tap de Delay
Designer.
58 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)• Barre d’identification : associe une lettre d’identification à chaque tap. Elle indique
également la position temporelle de chaque tap. Vous pouvez déplacer à loisir les taps
dans le temps sur cette barre/timeline. Consultez Déplacement et suppression de taps
dans Delay Designer.
Utilisation des boutons de présentation de Delay Designer
Les boutons de présentation déterminent le paramètre représenté dans l’écran Tap de
Delay Designer.
• Bouton Cutoff : affiche les fréquences de coupure de filtrage passe-haut et passe-bas
des taps.
• Bouton Reso(nance) : affiche la valeur de résonance du filtre de chaque tap.
• Bouton Transp(ose) : affiche la transposition de la hauteur tonale de chaque tap.
• Bouton Pan : affiche le paramètre de panoramique de chaque tap.
• Pour les canaux mono vers stéréo, chaque tap comprend un trait représentant le
point de balance.
• Dansle cas des canaux stéréo versstéréo, chaque tap comprend un point représentant
le point de balance stéréo. Une ligne qui s’étend à l’extrémité du point indique le
Stereo Spread du tap.
• Pour les canaux Surround, chaque tap contient un trait représentant l’angle Surround
(pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique Utilisation de Delay Designer en
Surround).
• Bouton Level : affiche le niveau de volume relatif de chaque tap.
Astuce : vous pouvez faire passer temporairement l’écran Tap sur la présentation Level
en appuyant sur Commande + Option.
Chapitre 2 Effets Delay (de retard) 59Zoom et navigation dans l’écran Tap de Delay Designer
Vous pouvez passer par l’écran Overview de Delay Designer pour réduire, agrandir ou
parcourir la zone d’écran Tap.
Affichage de l’aperçu
Astuce : si l’écran Overview est masqué derrière un tap, vous pouvez le faire passer au
premier plan en maintenant enfoncée la touche Maj.
Pour effectuer un zoom sur l’écran Tap
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites glisser verticalement la section en surbrillance (rectangle) de l’écran Overview.
µ Faites glisser horizontalement les barres en surbrillance à gauche ou à droite du rectangle
dans l’écran Overview.
Remarque : vous devez désactiver le bouton Autozoom lorsque vous effectuez un zoom
manuel avec l’écran Overview. Lorsque vous zoomez sur un petit groupe de taps, l’écran
d’aperçu continue d’afficher tous les taps. La zone affichée dans l’écran Tap est indiquée
par le rectangle en surbrillance dans l’écran Overview.
60 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)Pour vous déplacer entre les différentes rubriques de l’écran Tap, procédez comme
suit
µ Faites glisser horizontalement le (centre du) rectangle en surbrillance dans l’écran
Overview.
La vue agrandie s’actualise dans l’écran Tap à mesure que vous faites glisser le rectangle.
Création de taps dans Delay Designer
Vous pouvez créer des taps de retard de trois façons différentes : à l’aide des Tap pads,
en les créant dans la barre Identification ou en copiant des taps.
Pour créer des taps à l’aide des tap pads, procédez comme suit
1 Cliquez sur le pad supérieur (Start).
Remarque : à chaque fois que vous cliquez sur le pad Start, tous les taps sont
automatiquement effacés. Ainsi, une fois les taps initiaux créés, cliquez dans la barre
Identification pour en créer d’autres.
Le pad supérieur est alors étiqueté Tap et une barre d’enregistrement de tap rouge
apparaît dans la bande située sous les boutons de présentation.
2 Cliquez sur le bouton Tap pour lancer l’enregistrement de nouveaux taps.
3 Cliquez sur le bouton Tap pour créer des taps. Ceux-ci sont créés au moment précis où
vous cliquez et adoptent le rythme de vos clics.
4 Pour terminer la création de taps, cliquez sur le bouton Last tap.
Cela permet d’ajouter le tap final, de mettre fin à l’enregistrement des taps et de définir
le dernier comme tap de retour (pour plus d’informationssur le tap de retour, reportez-vous
à la rubrique Utilisation de la section Master de Delay Designer).
Remarque : si vous ne cliquez passur le bouton Last Tap, l’enregistrement destapss’arrête
automatiquement après dix secondes ou après la création du vingt-sixième tap, selon le
cas.
Chapitre 2 Effets Delay (de retard) 61Pour créer des taps à l’aide de la barre d’identification, procédez comme suit
µ Cliquez au point qui convient.
Pour copier des taps dans la barre d’identification, procédez comme suit
µ Faites glisser un ou plusieurs taps vers l’emplacement souhaité tout en maintenant la
touche Option enfoncée.
Le temps de retard des taps copiés est défini par rapport à la position cible.
Suggestions pour la création de taps dans Delay Designer
Le moyen le plus rapide de créer plusieurs taps en même temps est d’utiliser tap pads.
Si vous envisagez un rythme spécifique, il vous sera peut-être plus facile de taper votre
rythme sur un périphérique spécial plutôt qu’avec la souris. Si vous disposez d’un
contrôleur MIDI, vous pouvez attribuer les Tap pads à des touches de votre matériel.
Consultez le manuel « Prise en charge des surfaces de contrôle » pour en savoir plus sur
l’assignation des contrôleurs.
Remarque : à chaque fois que vous cliquez sur le pad Start Tap, tous les taps sont
automatiquement effacés. Ainsi, une fois les taps initiaux créés, cliquez dans la barre
Identification pour en créer d’autres.
Après avoir créé un tap, vous pouvez modifier librement sa position ou le supprimer s’il
a été créé par inadvertance. Pour en savoir plus, reportez-vous à Déplacement et
suppression de taps dans Delay Designer.
62 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)Identification des taps dans Delay Designer
Les taps sont associés à des lettres en fonction de leur ordre de création. Le premier tap
créé prend la valeur Tap A, le second prend la valeur Tap B, etc. Une fois cette attribution
faite, chaque tap est toujours identifié par la même lettre, même si les taps sont ensuite
déplacés et suivent donc un autre ordre. Par exemple, si vous créez au départ trois taps,
ceux-ci s’intitulent Tap A, Tap B et Tap C. Si, par la suite, vous modifiez le retard du tap B
de sorte qu’il soit placé avant le tap A, il reste toujours le Tap B.
La barre d’identification indique la lettre de chaque tap visible. Le champ Tap Delay de
la barre de paramètres de tap affiche la lettre associée au tap sélectionné ou au tap en
cours de modification lorsque plusieurs taps sont sélectionnés (pour en savoir plus,
reportez-vous à la rubrique Sélection de taps dans Delay Designer).
Sélection de taps dans Delay Designer
Il doit toujours y avoir au moins un tap sélectionné. Vous pouvez facilement distinguer
les taps sélectionnés par leur couleur : les icônes de la barre d’édition et les lettres de la
barre d’identification sont blanches.
Pour sélectionner un tap
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Cliquez sur un tap dans l’écran homonyme.
µ Cliquez sur la lettre correspondant au tap dans la barre d’identification.
µ Cliquez sur l’une des flèches situées à gauche du nom du tap pour sélectionner le tap
précédent ou suivant.
Chapitre 2 Effets Delay (de retard) 63µ Ouvrez le menu local situé à droite du nom du tap, puis choisissez la lettre du tap à
sélectionner.
Pour sélectionner plusieurs taps
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Cliquez sur l’arrière-plan de l’écran Tap et faites glisser le pointeur pour sélectionner
plusieurs taps.
µ Cliquez sur des taps spécifiques dans l’écran Tap en appuyant sur la touche Maj pour
sélectionner plusieurs taps non adjacents.
Déplacement et suppression de taps dans Delay Designer
Vous pouvez déplacer un tap dans le temps ou le supprimer.
Remarque : lorsque vous déplacez un tap, vous modifiez son temps de retard réel.
Pour déplacer le tap sélectionné dans le temps
µ Sélectionnez le tap dans la barre d’identification et faites-le glisser vers la gauche (en
arrière dans le temps) ou vers la droite (en avant dans le temps).
Cette méthode s’applique également lorsque plusieurs taps sont sélectionnés.
Remarque : le fait de modifier le paramètre du temps de retard dans le champ Tap delay
de la barre des paramètres de tap déplace également le tap dans le temps. Pour en savoir
plus sur le champ Tap Delay et sur la modification des taps, reportez-vous à la rubrique
Modification de taps dans la barre des paramètres Tap de Delay Designer.
Pour supprimer un tap
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Sélectionnez-le et appuyez sur la touche suppr ou Retour arrière.
64 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)µ Sélectionnez une lettre dans la barre Identification et faites-la glisser vers le bas de sorte
à la faire sortir de l’écran Tap.
Cette méthode s’applique également lorsque plusieurs taps sont sélectionnés.
Pour supprimer tous les taps sélectionnés
µ Cliquez en maintenant la touche ctrl enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit de la
souris) sur un tap, puis choisissez Delete tap(s) dans le menu contextuel.
Utilisation des boutons Tap Toggle de Delay Designer
La barre d’édition comprend un bouton par tap. Ils permettent d’activer et de désactiver
plus rapidement des paramètres de façon visuelle. Le paramètre basculé par le bouton
est fonction de la sélection du bouton de présentation View :
• Présentation Cutoff : les boutons Toggle activent ou désactivent le filtre.
• Présentation Reso : les boutons Toggle font passer la pente du filtre de 6 dB à 12 dB et
inversement.
• Présentation Pitch : les boutons Toggle permettent d’activer ou de désactiver la
transposition de tonalité.
• Présentation Pan : les boutons Toggle permettent de passer d’un mode Flip à l’autre.
• Présentation Level : les boutons Toggle permettent d’activer ou de désactiver le son du
tap.
Chapitre 2 Effets Delay (de retard) 65Pour activer ou désactiver temporairement le son des taps
µ Cliquez sur un bouton Toggle (quel que soit le mode de présentation actif) tout en
maintenant les touches Commande et Option enfoncées.
Lorsque vous relâchez les touches Commande et Option, les boutons Toggle reprennent
leur fonction standard dans le mode de présentation actif.
Remarque : la première fois que vous modifiez un paramètre de filtre ou de transposition
de hauteur tonale, le module correspondant s’active automatiquement. Cela vous évite
d’avoir à l’activer manuellement avant de le modifier. Toutefois, si vous le désactivez
manuellement, vous devrez le réactiver manuellement.
Modification des paramètres dans l’écran Tap de Delay Designer
Vous pouvez modifier de manière graphique tout paramètre de tap représenté par un
trait vertical dans l’écran Tap de Delay Designer. L’écran Tap s’avère idéal si vous comptez
modifier les paramètres d’un tap par rapport à d’autres ou lorsque vous devez modifier
plusieurs taps simultanément.
Pour modifier un paramètre de tap dans l’écran Tap, procédez comme suit
1 Cliquez sur le bouton d’affichage du paramètre que vous souhaitez modifier.
2 Faites glisser verticalement la ligne en surbrillance du tap à modifier (ou de l’un des taps
sélectionnés, s’il y en a plusieurs).
Si vous avez sélectionné plusieurs taps, les valeurs de tous les taps sélectionnés sont
modifiées en conservant les écarts de l’une par rapport à l’autre.
Remarque : la méthode exposée ci-dessus diffère légèrement pour les paramètres Filter
Cutoff et Pan. Consultez Modification du paramètre Filter Cutoff dansl’écran Tap de Delay
Designer et Modification du paramètre Pan dans l’écran Tap de Delay Designer.
66 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)Pour définir les valeurs de plusieurs taps
µ Tout en maintenant la touche Commande enfoncée, faites glisser le pointeur
horizontalement et verticalement sur plusieurs taps dans l’écran Tap.
Les valeurs des paramètres reflètent instantanément tout changement de position de la
souris. Faire ainsi glisser, tout en maintenant la touche Commande enfoncée, le pointeur
sur plusieurstaps vous permet de tracer des courbes de valeurs, tout comme voustraceriez
une courbe sur une feuille de papier avec un crayon.
Alignement des valeurs de tap de Delay Designer
L’écran Tap de Delay Designer vous permet d’aligner graphiquement les valeurs des
paramètres de tap représentés par des traits verticaux.
Pour aligner les valeurs de plusieurs taps
1 Cliquez dansl’écran Tap tout en maintenant la touche Commande enfoncée, puis déplacez
le pointeur. Vous obtiendrez ainsi une ligne dessinée derrière le pointeur.
2 Cliquez au niveau du point auquel vous voulez placer le point d’arrivée de la ligne.
Chapitre 2 Effets Delay (de retard) 67Les valeurs des taps situées entre les points de départ et d’arrivée sont alors alignées sur
la ligne.
Modification du paramètre Filter Cutoff dans l’écran Tap de Delay
Designer
Si les techniques mentionnées dans la rubrique Modification des paramètres dans l’écran
Tap de Delay Designer s’appliquent à la plupart des paramètres réglables de manière
graphique, les paramètres Cutoff et Pan fonctionnent quelque peu différemment.
Dans la présentation Cutoff, chaque tap indique en fait deux paramètres : la fréquence
de coupure du filtre passe-haut et celle du filtre passe-bas. Vous pouvez régler les valeurs
Cutoff séparément en cliquant sur la ligne de fréquence souhaitée (la ligne du haut
représente le filtre passe-bas, celle du bas le filtre passe-haut) et en la faisant glisser. Vous
pouvez également régler les deux fréquences de coupure simultanément en faisant glisser
le point entre les deux.
68 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)Lorsque la valeur de la fréquence de coupure du filtre passe-haut est inférieure à celle
du filtre passe-bas, une seule ligne s’affiche. Elle représente la bande de fréquences qui
passe à traverslesfiltres(cela signifie que ces derniersjouent le rôle de filtre passe-bande).
Dans une telle configuration, les deux filtres fonctionnent en série, c’est-à-dire que le tap
passe d’abord par un filtre, puis par l’autre.
Si la valeur de la fréquence de coupure du filtre passe-haut est supérieure à celle du filtre
passe-bas, le filtrage passe alors d’un fonctionnement en série à un fonctionnement en
parallèle, ce qui signifie que le tap passe par les deux filtres en même temps. Dans ce cas,
l’intervalle entre les deux fréquences de coupure représente la bande de fréquences qui
est rejetée (c’est-à-dire que les filtres jouent le rôle de filtre d’élimination de bande).
Modification du paramètre Pan dans l’écran Tap de Delay Designer
La représentation du paramètre Pan, dansla présentation du même nom, est entièrement
liée à la configuration du canal d’entrée, à savoir mono vers stéréo, stéréo vers stéréo ou
Surround.
Remarque : ce paramètre n’est pas disponible dans les configurations mono.
Dans une configuration entrée mono/sortie stéréo, touslestapssont au centre, au départ.
Pour modifier la balance, faites glisser verticalement le pointeur depuis le centre du tap
dans le sens où vous voulez effectuer le panoramique du ou des taps. Un trait blanc
indique en effet le centre en suivant le sens que vous avez adopté et reflète la balance
du tap ou des taps.
Chapitre 2 Effets Delay (de retard) 69Les lignes situées au-dessus du centre indiquent une balance à gauche et les lignes en
dessous, une balance à droite. Les canaux gauche (en bleu) et droit (en vert) sont
clairement identifiés.
Dans une configuration entrée stéréo/sortie stéréo, le paramètre Pan ajuste la balance
stéréo et non la position du tap dans le champ stéréo. Le paramètre Pan apparaît sous
forme de point sur le tap, ce qui représente la balance stéréo. Faites glisser ce point
verticalement pour régler la balance stéréo.
Par défaut, le Stereo Spread est défini sur 100 pour cent. Pour le modifier, faites glisser le
pointeur d’un côté ou de l’autre du point. Vous pouvez ainsi modifier la largeur de la
ligne qui s’étend au-delà du point. Vérifiez le paramètre Spread dans la barre des
paramètres Tap pendant vos modifications.
Dans une configuration Surround, la ligne en surbrillance représente l’angle Surround.
Pour en savoir plus, voir Utilisation de Delay Designer en Surround.
70 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)Modification de taps dans la barre des paramètres Tap de Delay Designer
La barre des paramètres Tap permet d’accéder instantanément à l’intégralité des
paramètres du tap sélectionné. Elle permet également d’accéder à plusieurs paramètres
qui sont indisponibles dans l’écran Tap, tels que Transpose et Flip.
Les opérations de modification à l’aide de la barre des paramètres Tap s’avèrent rapides
et précises quand il s’agit de modifier les paramètres d’un seul tap. Tous les paramètres
du tap sélectionné sont disponibles, ce qui évite de passer d’une présentation à l’autre
ou d’estimer les valeurs d’aprèslestraits verticaux. Si vous avez sélectionné plusieurstaps
dans l’écran Tap, leur valeur se voit augmentée ou réduite en fonction des autres taps.
Pour rétablir la valeur par défaut d’un paramètre, cliquez dessus tout en appuyant sur la
touche Option. Si plusieurs taps sont sélectionnés et que vous cliquez sur un paramètre
en appuyant sur la touche Option, vous rétablissez sa valeur par défaut pour tous les taps
sélectionnés.
• Bouton Filter On/Off : active ou désactive les filtres passe-haut et passe-bas du tap
sélectionné.
• Champs HP – Cutoff – LP : déterminent les fréquences de coupure (exprimées en Hz)
des filtres passe-haut et passe-bas.
• Boutons Slope : détermine le degré de la pente de filtrage passe-haut et passe-bas.
Cliquez sur le bouton 6 dB pour obtenir une pente de filtrage moins raide ou sur le
bouton 12 dB pour un effet de filtrage plus prononcé.
Remarque : il n’est pas possible de définir lesfiltres passe-haut et passe-basséparément.
• Champ Reso(nance) : définit le taux de résonance de filtre pour les deux filtres.
• Champs Tap Delay : indiquent le numéro et le nom du tap sélectionné dans la section
supérieure et la durée du retard dans la section inférieure.
• Touche Pitch On/Off : active ou désactive la transposition de tonalité pour le tap
sélectionné.
• Champs Transp(ose) : le champ de gauche définit le degré de transposition de la hauteur
tonale, exprimé en demi-tons. Le champ de droite affine chaque changement de ton
en centièmes de demi-ton.
Chapitre 2 Effets Delay (de retard) 71• Boutons Flip : intervertit les côtés gauche et droit de l’image stéréo ou Surround. Si
vous cliquez sur ces boutons, vous inversez la position du tap de gauche à droite et
inversement. Par exemple, si un tap est défini sur 55 pour cent sur la gauche, le fait de
cliquer sur le bouton le fera passer à 55 pour cent sur la droite.
• Champ Pan : ce paramètre contrôle la balance des signaux d’entrée mono, la balance
stéréo des signaux d’entrée stéréo et l’angle Surround pour les configurations de ce
type.
• Pan affiche un pourcentage compris entre 100 % (entièrement à gauche) et − 100 %
(entièrement à droite), qui représente le panoramique ou la balance du tap. Une
valeur de 0 pour cent représente une balance au centre.
• Dans un environnement Surround, une balance Surround remplace la représentation
en pourcentage. Pour en savoir plus, voir Utilisation de Delay Designer en Surround.
• Champ Spread : lorsque vous utilisez une instance stéréo vers stéréo ou stéréo vers
Surround de Delay Designer, ce paramètre permet de définir la largeur du Stereo Spread
du tap sélectionné.
• Bouton Mute : permet d’activer ou de désactiver le son du tap sélectionné.
• Champ Level : détermine le niveau de sortie pour le tap sélectionné.
Modification des taps de Delay Designer à l’aide du menu contextuel
Cliquez sur un tap tout en maintenant la touche ctrl enfoncée (ou cliquez dessus avec le
bouton droit de la souris) dans l’écran Tap de Delay Designer pour ouvrir un menu
contextuel reprenant les commandes suivantes :
• Copy sound parameters : copie tous les paramètres du ou des taps sélectionnés dans
le Presse-papiers, à l’exception du temps de retard (delay time).
• Paste sound parameters: colle tous les paramètres du Presse-papiers dans le ou les taps
sélectionnés. Si le Presse-papiers contient plus de taps que de taps sélectionnés dans
l’écran Tap, les taps supplémentaires sont ignorés.
• Reset sound parameters to default values : rétablit la valeur par défaut de tous les
paramètres des taps sélectionnés, à l’exception du temps de retard (delay time).
• 2 x delay time : double la durée du retard de tous les taps sélectionnés. Supposons par
exemple que vous ayez trois taps avec les durées de retard suivantes : Tap A = 250 ms,
Tap B = 500 ms, Tap C = 750 ms. Si vous sélectionnez ces trois taps puis choisissez la
commande « 2 x delay time » du menu contextuel, ces taps sont alors modifiés comme
suit : Tap A = 500 ms, Tap B = 1 000 ms, Tap C = 1 500 ms. En d’autres termes, un modèle
de retard rythmique s’étendrait ainsi deux fois moins vite. (En termes musicaux, le retard
est alors reproduit selon une valeur de temps deux fois moindre.)
72 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)• 1/2 x delay time : réduit de moitié la durée du retard de tous les taps sélectionnés. En
reprenant l’exemple ci-dessus, la commande « 1/2 x delay time » du menu contextuel
revient donc à modifier les taps comme suit : Tap A = 125 ms, Tap B = 250 ms, Tap C =
375 ms. En d’autres termes, un modèle de retard rythmique s’étendrait ainsi deux fois
plus vite. (En termes musicaux, le retard est alors reproduit selon une valeur de temps
deux fois supérieure.)
• Delete tap(s) : supprime tous les taps sélectionnés.
Réinitialisation des valeurs de tap de Delay Designer
Vous pouvez utiliser l’écran Tap et la barre des paramètres Tap de Delay Designer pour
rétablir les valeurs par défaut des paramètres des taps.
Pour réinitialiser la valeur d’un tap
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Dans l’écran Tap, cliquez sur un tap tout en appuyant sur la touche Option pour rétablir
le réglage par défaut du paramètre choisi.
Si plusieurs taps sont sélectionnés, vous pouvez ainsi rétablir la valeur par défaut du
paramètre choisi pour tous les taps en question.
µ Dans la barre des paramètres Tap, cliquez sur la valeur d’un paramètre tout en appuyant
sur la touche Option pour rétablir son réglage par défaut.
Si plusieurs taps sont sélectionnés et que vous cliquez sur un paramètre en appuyant sur
la touche Option, vous rétablissez sa valeur par défaut pour tous les taps sélectionnés.
Synchronisation de taps dans Delay Designer
Delay Designer peut se synchroniser au tempo du projet ou s’exécuter séparément. En
mode synchronisé (mode Sync), les taps s’alignent sur une grille de positions musicales
adéquates, en fonction de la durée des notes. Dans ce mode, vous pouvez également
définir une valeur Swing, ce qui permet de faire varier la synchronisation précise de la
grille, afin d’obtenir un effet plus « fluide » et moins « mécanique » pour chaque tap. Si le
mode Sync n’est pas activé, les taps ne s’alignent pas sur une grille et vous ne pouvez
pas appliquer la valeur Swing.
Lorsque le mode Sync est actif, une grille adoptant la valeur du paramètre Grid choisie
s’affiche dans la barre Identification. Tous les taps se déplacent alors vers la valeur de
durée de retard la plus proche sur la grille. Les taps créés ou déplacés par la suite sont
alignés sur les points de la grille.
Chapitre 2 Effets Delay (de retard) 73Lorsque vous enregistrez un réglage de Delay Designer, l’état du mode Sync, la grille ainsi
que les valeurs Swing sont tous enregistrés. Lorsque vous enregistrez un réglage et que
le mode Sync est activé, la position de grille de chaque tap est également enregistrée.
Cela permet de garantir qu’avec un réglage chargé dans un projet avec un autre tempo
(différent de celui avec lequel le réglage a été créé), tous les taps conservent leur position
relative et leur rythme dans le nouveau tempo.
Remarque : delay Designer offre une durée de retard maximale de 10 secondes. Cela
signifie que si vous chargez un réglage dans un projet dont le tempo est plus lent que
le tempo auquel il a été créé, certains taps risquent de dépasser cette limite. Si le cas se
présente, les taps en question ne sont alors pas joués mais conservés dans le réglage.
• Bouton Sync : active ou désactive le mode synchronisé.
• Menu localGrid : propose plusieursrésolutions de grille, qui correspondent à des durées
de note. La résolution de grille ainsi que le tempo du projet déterminent la longueur
de chaque graduation de grille. Lorsque vous changez de résolution de grille, les
graduationsfigurant dansla barre Identification varient en conséquence. Cela détermine
également une limite d’« étape » pour tous les taps.
Pour illustrer ce comportement, imaginons un projet dont le tempo est défini sur
120 battements par minute. La valeur du menu local Grid est définie sur des doubles
croches. Pour ce tempo et cette résolution de grille, chaque graduation correspond à
125 millisecondes (ms). Si le Tap A est défini sur 380 ms, l’activation du mode Sync le
fait immédiatement passer à 375 ms. Si, par la suite, vous avancez le Tap A dans le
temps, il passera à 500 ms, 625 ms, 750 ms, etc. Avec une résolution correspondant à
des croches, les pas sont séparés de 250 millisecondes. Ainsi, le Tap A passe
automatiquement à la division la plus proche (500 ms) et peut être déplacé à 750 ms,
1 000 ms, 1 250 ms, etc.
74 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)• Champ Swing : définit la proximité entre la position absolue sur la grille et chaque
graduation de la grille secondaire. Si elle est réglée sur 50 pour cent, chaque graduation
de grille a la même valeur. Avec un réglage inférieur à 50 pour cent, chaque graduation
de la grille secondaire est plus courte. Si le réglage est supérieur à 50 pour cent, ces
graduations sont plus longues.
Des déplacements fins de la position de chaque graduation secondaire sur la grille
(valeurs comprises entre 45 et 55 pour cent) permettent de créer un effet rythmique
moins rigide. Cette technique assure ainsi des variations de synchronisation très
naturelles. Des valeurs de Swing très élevées s’avèrent beaucoup moins subtiles
puisqu’elles placent chaque graduation secondaire juste aprèsla suivante. Vous pouvez
faire appel à cette méthode pour créer des rythmes doubles élaborés et intéressants
avec certains taps, tout en conservant la grille pour verrouiller les autres taps dans une
synchronisation plus stricte sur le tempo du projet.
Utilisation de la section Master de Delay Designer
La section Master propose deux fonctions globales : le retour de retard et le mixage
sans/avec effets.
Pour lesretardssimples, le feedback est le seul moyen de répéter un retard. Delay Designer
proposant 26 taps, vous pouvez les utiliser pour créer des répétitions sans avoir besoin
de commandes de retour distinctes pour chaque tap.
Le paramètre Feedback global de Delay Designer vous permet cependant de renvoyer
la sortie d’un tap personnalisé à l’entrée de l’effet pour créer un rythme ou un motif qui
se suffit à lui-même. On l’appelle feedback tap (c’est-à-dire tap de retour).
• Bouton Feedback : active ou désactive le tap de retour.
• Menu local Feedback Tap : permet d’indiquer le tap servant de tap de retour.
Chapitre 2 Effets Delay (de retard) 75• Potentiomètre Feedback Level : définit le niveau de retour. Vous pouvez faire varier le
niveau de sortie du tap de retour avant que ce dernier ne soit réacheminé vers l’entrée
de Delay Designer.
• Une valeur de 0 % indique une absence de retour.
• 100 % renvoie le tap de retour vers l’entrée de Delay Designer à son volume normal.
Remarque : si la fonction de retour est activée et que vous créez des taps à l’aide des
Tap pads, la fonction Feedback est alors automatiquement désactivée. Dès que vous
interrompez la création des taps, la fonction est automatiquement réactivée.
• Curseurs Mix : permettent de régler indépendamment les niveaux du signal d’entrée
sans effets et du signal de post-traitement avec effets.
Utilisation de Delay Designer en Surround
Delay Designer est optimisé pour les configurations Surround. Les 26 taps pouvant être
positionnés librement dans le champ Surround vous permettent de créer des effets
particulièrement étonnants des points de vue rythmique et spatial.
Le module Delay Designer traite toujours chaque canal d’entrée de manière individuelle.
• Dans une configuration avec entrée mono/stéréo et sortie Surround, Delay Designer
traite indépendamment les deux canaux stéréo et le panoramique Surround vous
permet de placer chaque retard dans le champ Surround.
• Dans une configuration avec entrée et sortie Surround, Delay Designer traite
indépendamment chaque canal Surround et le panoramique Surround vous permet
de positionner chaque tap dans le champ Surround.
Lors de l’utilisation de Delay Designer dans une configuration Surround, le paramètre
Pan de la barre des paramètres Tap est remplacé par un panoramique Surround, ce qui
vous permet de définir la position Surround de chaque tap.
Remarque : dans le mode Pan de l’écran Tap, vous ne pouvez ajuster que l’angle des taps.
Vous devez faire appel au panoramique Surround de la barre des paramètres Tap pour
ajuster la diversité.
Pour déplacer en toute simplicité la position Surround, vous pouvez :
• faire glisser le pointeur tout en maintenant la touche Commande enfoncée pour ajuster
la diversité ;
76 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)• faire glisser le pointeur tout en maintenant lestouches Option et Commande enfoncées
pour ajuster l’angle ;
• cliquer sur le point bleu en appuyant sur la touche Option pour réinitialiser l’angle et
la diversité.
Remarque : delay Designer génère des données d’automatisation distinctes pour la
balance stéréo et le panoramique Surround. Ainsi,si vousl’utilisez sur des canaux Surround,
il ne répondra pas aux données d’automatisation de balance stéréo existantes, et
inversement.
Echo
Cet effet d’écho simple permet de synchroniser le temps de retard avec le tempo du
projet; ainsi, vous pouvez créer rapidement des effets d’écho quis’exécutent « en rythme »
avec votre composition.
• Menu local Time : définit la résolution de grille de la durée de retard en termes de durées
de note, en fonction du tempo du projet.
• Les valeurs « T » représentent des triolets.
• Les valeurs « . » représentent des notes pointées.
• Curseur et champ Repeat : détermine la fréquence à laquelle l’effet de retard se répète.
• Curseur et champ Color : définit le contenu harmonique (couleur) du signal de retard.
• Curseurs et champs Dry et Wet : contrôlent la valeur du signal original et celle du signal
de l’effet.
Sample Delay
Sample Delay est plus un utilitaire qu’un simple effet. Vous pouvez l’utiliser pour retarder
un canal à l’échantillon près.
Chapitre 2 Effets Delay (de retard) 77Si vous l’utilisez en association avec les fonctionnalités d’inversion de phase de l’effet
Gain, il s’avère parfaitement adapté à la correction des problèmes de synchronisation
pouvant apparaître avec des micros multicanaux. Il peut également être utilisé dans le
cadre de la création, pour émuler l’effet de séparation de canaux des micros stéréo.
À une fréquence de 44,1 kHz, chaque échantillon correspond au temps nécessaire à une
onde sonore pour parcourir 7,76 millimètres. si vous retardez le canal d’un micro stéréo
de 13 échantillons, vous émulez une séparation acoustique (micro) de 10 centimètres.
• Curseur et champDelay (L et R dansla version stéréo) : définissent le nombre d’échantillons
constituant le retard du signal entrant.
• Bouton Link L&R (seulement dansla version stéréo) : garantit que le nombre d’échantillons
reste identique entre les deux canaux. Ainsi, le réglage de la valeur d’un canal entraîne
aussi celui de l’autre canal.
Stereo Delay
Le fonctionnement de l’effet Stereo Delay est similaire à celui de Tape Delay (voir Tape
Delay) mais vous permet en outre de régler séparément les paramètres Delay, Feedback
et Mix pour les canaux droit et gauche. Le potentiomètre Crossfeed de chaque côté stéréo
détermine l’intensité du retour ou le niveau auquel chaque signal est acheminé vers le
côté stéréo opposé. Vous pouvez utiliser l’effet Stereo Delay librement sur les pistes ou
les bus mono lorsque vous souhaitez créer des retards indépendants pour chacun des
côtés stéréo.
78 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)Remarque : si vous utilisez cet effet sur des tranches de console mono, la piste ou le bus
est alors associé à deux canaux à partir du point d’insertion (tous les points d’insertion
après celui sélectionné deviennent stéréo).
Puisque les paramètres des retards gauche et droit sont identiques, les descriptions
ci-dessous ne couvrent que le canal gauche ; les informations relatives au canal droit sont
indiquées entre parenthèses, le cas échéant. Les paramètres communs aux deux canaux
sont repris séparément.
Paramètres de canal
• Menu local Left (Right) Input : choisissez le signal d’entrée pour les deux côtés stéréo.
Les options proposéessont OFF (Désactivé), Left (Gauche), Right (Droite), L + R (Gauche
+ Droite) et L − R (Gauche − Droite).
• Champ Left (Right) Delay : définit la durée de retard active en millisecondes (si vous
synchronisez le retard avec le tempo du projet, ce paramètre est estompé).
• Curseur et champ Groove : déterminent la proximité de chaque répétition du retard
secondaire par rapport à la position absolue sur la grille (c’est-à-dire l’éloignement de
chaque répétition de retard secondaire).
• Boutons Note : définissent la résolution de la grille pour la durée du retard. Ces boutons
s’affichent sous forme de durées de note (ils sont estompés lorsque la durée de retard
n’est pas synchronisée avec le tempo du projet).
• Potentiomètre et champ Left (Right) Feedback : définissent la valeur du retour pour les
signaux de retard gauche et droit.
• Potentiomètre et champ Crossfeed Left to Right (Crossfeed Right to Left) : permettent de
transférer le signal du retour du canal gauche au canal droit et inversement.
Chapitre 2 Effets Delay (de retard) 79• Bouton Feedback Phase : utilisez ce bouton pour inverser la phase du signal de feedback
pour le canal correspondant.
• Bouton Crossfeed Phase : utilisez ces boutons pour inverser la phase des signaux de
feedback d’intercommunication.
Paramètres communs
• Bouton Beat Sync : synchronise lesrépétitions du retard sur le tempo du projet, y compris
sur les changements de tempo.
• Curseurs et champs Output Mix (gauche et droit) : contrôlent indépendamment le signal
des canaux gauche et droit.
• Curseurs et champs Low Cut et High Cut : les fréquences du signal source situées en
dessous de la valeur Low Cut (Passe-bas) et au-dessus de la valeur High Cut (Passe-haut)
sont filtrées.
Tape Delay
L’effet Tape Delay simule le son chaleureux des appareils à écho d’époque. Il a pour
avantage de faciliter la synchronisation de la durée de retard avec le tempo de votre
projet. Il est doté d’un filtre passe-haut et passe-bas dans la boucle de retour, ce qui
simplifie la création d’effets d’écho dub classiques. Tape Delay inclut également un
oscillateur LFO pour la modulation de la durée de retard, lequel permet de produire des
effets de chorus harmonieux ou inhabituels, même avec de longs retards.
• Curseur Feedback : détermine la valeur du signal retardé et filtré qui est réacheminé
vers l’entrée de l’effet Tape Delay. Placez le curseur Feedback sur sa valeur la plus faible
pour générer un seul écho. Placez-le à sa valeur maximale pour que le signal se répète
indéfiniment. Les niveaux du signal initial et de ses taps (répétitions d’échos) ont
tendance à s’accumuler et risquent de causer des distorsions. Le circuit de saturation
de bande interne vous permet de vous assurer que ces signaux saturés conservent un
bon son.
80 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)• Bouton Freeze : capture les répétitions de retard actuelles et les maintient jusqu’à ce
que le bouton soit désactivé.
• Champ Delay : définit la durée de retard active en millisecondes (si vous synchronisez
le retard avec le tempo du projet, ce paramètre est estompé).
• Bouton Sync : synchronise les répétitions du retard sur le tempo du projet (y compris
sur les changements de tempo).
• Champ Tempo : définit la durée de retard active en battements par minute (si vous
synchronisez la durée de retard avec le tempo du projet, ce paramètre est estompé).
• Curseur et champ Groove : déterminent la proximité de chaque répétition du retard
secondaire par rapport à la position absolue sur la grille (c’est-à-dire l’éloignement de
chaque répétition de retard secondaire). Un Groove de 50 pour centsignifie que chaque
retard est associé à la même durée. Avec un réglage inférieur à 50 pour cent, le retard
secondaire est joué plus tôt. Si le réglage est supérieur à 50 pour cent, le retard
secondaire intervient plus tard. Si vous souhaitez créer des valeurs de notes pointées,
déplacez le curseur Groove complètement à droite (à 75 %). Pour les triolets, réglez-le
sur 33,33 %.
• Boutons Note : définissent la résolution de la grille pour la durée du retard. Ceux-ci sont
affichés sous forme de durées de note.
• Curseurs et champs Low Cut et High Cut : les fréquences du signal source situées en
dessous de la valeur Low Cut (Passe-bas) et au-dessus de la valeur High Cut (Passe-haut)
sont filtrées. Vous pouvez ajuster le son des échos à l’aide des filtres passe-haut et
passe-bas. Ces filtres se trouvent dans le circuit de retour ; par conséquent l’effet de
filtre augmente en intensité à chaque répétition. Si vous souhaitez obtenir une tonalité
de plus en plus voilée et vague, déplacez le curseur du filtre High Cut vers la gauche.
Pour obtenir des échos encore plus estompés, déplacez le curseur du filtre Low Cut
vers la droite. S’il vous est impossible d’entendre l’effet même si vous disposez d’une
configuration adaptée, assurez-vous de bien vérifier les commandes Dry et Wet d’une
part et lesréglages de filtrage d’autre part; déplacez le curseur High Cut complètement
à droite et le curseur Low Cut entièrement à gauche.
• Curseur et champ Smooth : égalise le LFO et l’effet de scintillement.
• Potentiomètre et champ LFO Rate : définit la fréquence du LFO.
• Potentiomètre et champ LFO Depth : définit le taux de modulation du LFO. Dans le cas
d’une valeur nulle (0), la modulation du retard est désactivée.
• Curseurs et champs Flutter Rate et Intensity : simulent les irrégularités de vitesse des
mécanismes d’entraînement utilisés dans les unités de retard analogiques.
• Flutter Rate : définit la variation de vitesse.
• Flutter Intensity : détermine le degré de prononciation de l’effet.
Chapitre 2 Effets Delay (de retard) 81• Curseurs et champsDry etWet : contrôlent indépendamment la valeur du signal original
et celle du signal de l’effet.
• Curseur et champ Distortion Level (zone Extended Parameters) : détermine le niveau du
signal déformé (saturation de l’enregistrement).
82 Chapitre 2 Effets Delay (de retard)Vous pouvez utiliser les effets Distortion pour recréer le son de la distorsion analogique
ou numérique et pour transformer radicalement votre audio.
Les effets Distortion simulent la distorsion créée par les lampes à vide, les transistors ou
les circuits numériques. Les lampes étaient utilisées dans les amplificateurs audio avant
le développement de la technologie audio numérique et sont toujours utilisées dans
certains amplis d’instruments de musique de nosjours. Lorsqu’on les pousse, ils produisent
un type de distorsion apprécié par de nombreuses personnes et qui est devenue une
caractéristique du son de la musique rock et pop. La distorsion de tube analogique ajoute
au signal une chaleur caractéristique et une vivacité.
Il existe également des effets de distorsion qui génèrent intentionnellement un écrêtage
(clipping) et une distorsion numérique du signal audio. Ils peuvent être utilisés pour
modifier des pistes vocales, musicales et autres afin de générer un effet intense et artificiel,
ou pour créer des effets sonores.
Les effets de distorsion comprennent des paramètres pour la tonalité (tone), qui permettent
de définir la façon dont la distorsion altère le signal (souvent sous la forme d’un filtre de
fréquences), et des paramètres pour le gain, qui permettent de contrôler la quantité de
distorsion du niveau de sortie du signal.
Avertissement : Lorsqu’ils sont réglés sur des niveaux de sortie élevés, les effets de
distorsion peuvent endommager votre ouïe et vos haut-parleurs. Lorsque vous ajustez
les réglages d’un effet, il est recommandé de baisser le niveau de sortie de la piste et
d’augmenter graduellement le niveau une fois que vous avez fini.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Bitcrusher (p 84)
• Clip Distortion (p 85)
• Effet de distorsion (p 87)
• Distortion II (p 87)
• Overdrive (p 88)
83
Effets de distorsion
3• Phase Distortion (p 88)
Bitcrusher
Bitcrusher est un effet de distorsion numérique de basse résolution. Vous pouvez l’utiliser
pour émuler le son des débuts des appareils audio numériques, créer du repliement
artificiel en divisant la séquence d’échantillonnage ou déformer des signaux jusqu’à ce
qu’ils soient méconnaissables.
• Curseur et champ Drive : détermine le gain en décibels à appliquer au signal d’entrée.
Remarque : augmenter le niveau de Drive tend aussi à augmenter la quantité d’écrêtage
à la sortie de l’effet Bitcrusher.
• Curseur et champ Resolution : détermine le débit binaire (entre 1 et 24 bits). Il modifie
la précision des calculs du processus. En effet, en baissant la valeur, vous augmentez
le nombre d’erreurs d’échantillonnage, ce qui génère plus de distorsion. Pour des débits
binaires extrêmement bas, le niveau de distorsion peut même devenir supérieur au
niveau du signal utile.
• Écran Waveform : indique l’impact des paramètres sur le processus de distorsion.
• Curseur et champ Downsampling : réduit la fréquence d’échantillonnage. La valeur 1 x
laisse le signal inchangé, la valeur 2 x divise la fréquence d’échantillonnage par deux
et la valeur 10 x divise la fréquence d’échantillonnage du signal original par un dixième.
(par exemple, si vous réglez le Downsampling sur 10 x, un signal à 44,1 kHz sera
échantillonné à exactement 4,41 kHz.)
Remarque : downsampling n’a aucun impact sur la vitesse de lecture ou la tonalité du
signal.
• Boutons Mode : définit le mode de distorsion sur Folded, Cut ou Displaced. Les crêtes
de signal dépassant le niveau du plan sont traitées.
84 Chapitre 3 Effets de distorsionRemarque : le paramètre Clip Level a un impact significatif sur le comportement des
trois modes. Cela se reflétant dans l’écran Waveform, essayez chaque bouton de mode
et réglez le curseur Clip Level pour essayer de comprendre comment cela fonctionne.
• Folded : les niveaux de début et de fin du signal coupé sont inchangés, mas la partie
centrale est effectivement pliée en deux (coupée en deux au-dessus du seuil), ce qui
donne une distorsion plus légère.
• Cut : le signal subit une distorsion lorsque le seuil de coupe est dépassé. Le coupage
de la plupart des systèmes numériques correspond plus au mode Cut.
• Displaced : les niveaux de début, de milieu et de fin (au-dessus du seuil) du signal
sont décalés, ce qui donne une distorsion moins forte lorsque les niveaux de signal
dépassent le seuil. La partie centrale du signal coupé est également plus douce qu’en
mode Cut.
• Curseur et champ Clip Level : définit le point (en dessous du seuil d’écrêtage de la tranche
de console) auquel le signal commence à couper.
• Curseur et champMix (zone Extended Parameters) : détermine la balance entre lessignaux
secs (originaux) et humides (effet).
Clip Distortion
Clip Distortion est un effet de distorsion non linéaire qui produit un spectre imprévisible.
Il peut simuler des sons de tubes chauds et poussés mais aussi des distorsions sévères.
L’effet Clip Distortion propose une combinaison inhabituelle de filtres connectés en série.
Le signal entrant est amplifié par la valeur Drive, passe dans le filtre passe-haut et fait
ensuite l’objet d’une distorsion non linéaire. Le signal passe ensuite au travers d’un filtre
passe-bas. Le signal de l’effet est ensuite recombiné avec le signal original et ce mixage
est envoyé dans un filtre passe-bas supplémentaire. Ces trois filtres ont une pente de
6 dB/octave.
Chapitre 3 Effets de distorsion 85Cette combinaison unique de filtres permet des vides dans le spectre de fréquences qui
peuvent donner de bons résultats avec ce type de distorsion non linéaire.
• Curseur et champ Drive : détermine le gain à appliquer au signal d’entrée. Après avoir
été amplifié par la valeur Drive, le signal passe au travers d’un filtre passehaut.
• Curseur et champ Tone : détermine la fréquence de coupure (en Hertz) du filtre
passe-haut.
• Écran Clip Circuit : indique l’impact de chacun des paramètres, à l’exception du filtre
High Shelving.
• Curseur et champ Symmetry : détermine la distorsion non linéaire (asymétrique) à
appliquer au signal.
• Curseur et champ Clip Filter : détermine la fréquence de coupure (en Hertz) du filtre
passe-bas.
• Curseur et champ Mix : définit le ratio entre le signal d’effet (humide) et les signaux
originaux (secs), en fonction de Clip Filter.
• Champ et potentiomètre Sum LPF : détermine la fréquence de coupure (en Hertz) du
filtre passe-bas. Il traite le signal mixé.
• Potentiomètre et champ (High Shelving) Frequency : détermine la fréquence (en Hertz)
du filtre de shelving haut. Si vous réglez le paramètre High Shelving Frequency autour
des 12 kHz, vous pouvez l’utiliser comme contrôle des aigus sur une bande de canaux
de mélangeur ou un amplificateur hi-fi stéréo. En revanche, contrairement à ces types
de contrôles d’aigus, vous pouvez amplifier ou couper le signal jusqu’à ±30 dB à l’aide
du paramètre Gain.
• Potentiomètre et champ Gain (High Shelving) : détermine le gain à appliquer au signal
de sortie.
• Curseur et champGain d’entrée (zone Extended Parameters) : détermine le gain à appliquer
au signal d’entrée.
86 Chapitre 3 Effets de distorsion• Curseur et champGain de sortie (zone Extended Parameters) : détermine le gain à appliquer
au signal de sortie.
Effet de distorsion
L’effet Distortion simule le son sale et lo-fi généré par un transistor bipolaire. Vous pouvez
l’utiliser pour simuler un instrument de musique au travers d’un amplificateur fortement
poussé ou pour créer des sons déformés uniques.
• Curseur et champ Drive : détermine la saturation à appliquer au signal.
• Écran : indique l’impact des paramètres sur le signal.
• Potentiomètre et champ Tone : définissent la fréquence de coupure du filtre passe-haut.
Le filtrage d’un signal harmonique riche ayant subi une distorsion produit une tonalité
plus douce.
• Curseur et champ Output : définit le niveau de sortie. Permet de compenser les
augmentations de contour provoquées par l’ajout de distorsion.
Distortion II
L’effet Distortion II émule le circuit de distorsion d’un orgue Hammond B3. Vous pouvez
l’utiliser sur des instruments de musique pour recréer cet effet classique ou l’utiliser de
façon plus créative dans le cadre de la conception sonore.
• Potentiomètre de PreGain : détermine le gain à appliquer au signal d’entrée.
• Potentiomètre Drive : détermine la saturation à appliquer au signal.
Chapitre 3 Effets de distorsion 87• Potentiomètre Tone : définit la fréquence du filtre passe-haut. Le filtrage d’un signal
harmonique riche ayant subi une distorsion produit une tonalité plus douce.
• Menu local Type : sélectionnez le type de distorsion à appliquer :
• Growl : émule un amplificateur à lampe à deux niveaux semblable à celui que l’on
retrouve dans la cabine Leslie 122, souvent utilisé avec l’orgue Hammond B3.
• Bity : émule le son d’un amplificateur de guitare blues (poussé).
• Nasty : produit une distorsion dure qui convient à la création de sons très agressifs.
Overdrive
L’effet Overdrive émule la distorsion générée par un transistor à effet de champ (FET),
généralement utilisée dans les amplificateurs d’instruments et les générateurs d’effets.
Une fois saturé, le FET génère une distorsion de son plus chaude que les transistors
bipolaires, comme ceux émulés par l’effet Distortion.
• Curseur et champ Drive : détermine la saturation du transistor simulé.
• Écran : indique l’impact des paramètres sur le signal.
• Potentiomètre et champ Tone : définissent la fréquence de coupure du filtre passe-haut.
Le filtrage d’un signal harmonique riche ayant subi une distorsion produit une tonalité
plus douce.
• Curseur et champ Output : définit le niveau de sortie. Permet de compenser les
augmentations de contour provoquées en utilisant l’Overdrive.
Phase Distortion
L’effet Phase Distortion est inspiré d’une ligne de retard modulé, similaire à un effet de
choeur ou de flanger (voir Effets de modulation). En revanche, la durée du retard n’est
pas modulée par un oscillateur basse fréquence (LFO), mais par une version à filtre
passe-bas du signal d’entrée lui-même, à l’aide d’une chaîne interne. Cela signifie que le
signal entrant module sa propre position de phase.
88 Chapitre 3 Effets de distorsionLe signal d’entrée ne passe que par la ligne de retard et n’est affecté par aucun autre
processus. Le paramètre Mix mélange le signal soumis à l’effet au signal original.
• Bouton Monitor : Active la fonction permettant d’écouter le signal d’entrée isolé.
Désactive l’écoute du signal mixé.
• Potentiomètre et champ Cutoff : Définit la fréquence de coupure (centre) du filtre
passe-bas.
• Potentiomètre et champ Resonance : Met en évidence les fréquences autour de la
fréquence de coupure.
• Écran : indique l’impact des paramètres sur le signal.
• Curseur et champ Mix : ajuste le pourcentage de signal mixé soumis à l’effet par rapport
au signal original.
• Curseur et champ Max Modulation : détermine la durée du retard maximum.
• Curseur et champ Intensity : détermine la modulation à appliquer au signal.
• Case Phase Reverse (zone Extended Parameters) : permet de réduire la durée de retard
sur le canal droit lorsque les signaux d’entrée qui dépassent la fréquence de coupure
sont reçus. Disponible uniquement pour les cas stéréo de l’effet Phase Distortion.
Chapitre 3 Effets de distorsion 89Vous pouvez utiliser les effets de dynamique pour contrôler le volume de vos données
audio, donner plus d’intensité et de « punch » à vos pistes et projets et optimiser la qualité
sonore de la lecture dans différentes situations.
La plage dynamique d’un signal audio correspond à l’intervalle entre la partie la plus basse
et la partie la plus forte du signal, en termes techniques, entre l’amplitude la plus faible
et l’amplitude la plus élevée. Les effets dynamiques vous permettent de régler la portée
dynamique des fichiers et pistes audio individuels ou d’un projet global. Cela peut
permettre d’augmenter le volume perçu ou de mettre en évidence les sons les plus
importants, tout en garantissant que les sons plus doux ne soient pas perdus dans le
mixage.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Types de processeurs dynamiques (p 92)
• Adaptive Limiter (p 93)
• Compressor (p 95)
• DeEsser (p 99)
• Ducker (p 101)
• Enveloper (p 103)
• Expander (p 105)
• Limiter (p 106)
• Multipressor (p 107)
• Noise Gate (p 110)
• Silver Compressor (p 113)
• Silver Gate (p 114)
• Surround Compressor (p 114)
91
Effets dynamiques
4Types de processeurs dynamiques
Quatre types de processeurs dynamiquessont compris dans Logic Pro. Chacun correspond
à des tâches de traitement audio différentes.
• Compresseurs: Logic Pro propose plusieurs compresseurs versle bas. Ils agissent comme
une commande de volume automatique qui diminue le volume dès qu’il atteint un
certain niveau appelé seuil. Mais quel intérêt y a-t-il à réduire l’amplitude de la
dynamique ?
En réduisant les parties les plus fortes du signal appelées crêtes, le compresseur
augmente le niveau global de ce signal et amplifie ainsi le volume sonore perçu.
L’intensité du signal est alors renforcée, dans la mesure où les moments les plus forts
(de premier plan) prennent davantage de relief, tandis que les passages les plus doux
restent audibles en arrière-plan. La compression a également pour effet de rendre le
son plus vif, plus énergique, d’une part car les éléments transitoires sont mis en valeur
en fonction des réglages d’attaque et de relâchement, mais aussi parce que le volume
maximal est plus rapidement atteint.
Par ailleurs, la compression peut améliorer la qualité sonore d’un projet lors de sa lecture
dans différents environnements audio. Par exemple, la plage dynamique des
haut-parleurs d’un téléviseur ou d’un autoradio est bien moindre que celle d’une salle
de cinéma. La compression du mixage global permet d’amplifier et de clarifier le son
lors d’une lecture basse fidélité.
Les compresseurs sont généralement utilisés sur des pistes vocales afin de mettre en
valeur la voix dans le mixage global. On les utilise également souvent sur les pistes de
musique et d’effets audio, mais rarement sur les pistes d’ambiance.
Certains compresseurs, appelés compresseurs multibandes, sont capables de diviser le
signal entrant en plusieurs bandes de fréquence, puis d’appliquer des réglages de
compression différents à chacune de ces bandes. Cela permet d’atteindre un niveau
maximum sans introduire d’artefact de compression. La compression multibande est
généralement utilisée sur le mixage global.
• Expandeurs : les expandeurs sont semblables aux compresseurs mais, lorsque le seuil
fixé est atteint, ils amplifient le signal au lieu de le réduire. On les utilise pour donner
plus de punch aux signaux audio.
• Limiteurs : les limiteurs, également appelés limiteurs de crête fonctionnent de la même
façon que les compresseurs, dans la mesure où ils réduisent le signal audio lorsque
celui-ci atteint le seuil prédéfini. La différence est la suivante : alors qu’un compresseur
réduit progressivement les niveaux de signal au-dessus du seuil, un limiteur ramène
immédiatement un signal trop fort au niveau du seuil fixé. Le rôle principal d’un limiteur
est d’éviter l’écrêtage tout en préservant le niveau maximal du signal global.
92 Chapitre 4 Effets dynamiques• Portes de bruit : les portes de bruit (noise gate) modifient le signal d’une façon
complètement opposée aux compresseurs ou limiteurs. Alors qu’un compresseur réduit
le niveau du signal lorsque celui-ci franchit le seuil prédéfini, une porte de bruit réduit
le signal dès qu’il est inférieur à ce seuil. Ainsi, les sons les plus forts passent la porte
sans être modifiés, alors que les sons plus faibles, tels que le bruit ambiant ou la chute
d’une note tenue,sont éliminés. Les portes de bruitsontsouvent utilisées pour éliminer
d’un signal audio les bruits parasitestels que les bourdonnements quisurviennent avec
des volumes très faibles.
Adaptive Limiter
Le module Adaptive Limiter est un outil versatile qui permet de contrôler le volume
sonore dessignaux perçus. Il arrondit et lisse les crêtes du signal, produisant ainsi un effet
similaire à celui d’un amplificateur analogique que l’on aurait poussé à l’extrême. Tout
comme un amplificateur, il permet de colorer légèrement le son du signal. Vous pouvez
utiliser le module Adaptive Limiter pour atteindre un gain maximum, sans introduire de
distorsion et de coupe indésirable, ce qui peut arriver lorsque le signal dépasse 0 dBFS.
L’Adaptive Limiter est généralement utilisé lors du mixage final, où il peut être placé après
un compresseur, le module Multipressor par exemple, et avant un contrôle de gain final,
ce qui donne un mixage au volume sonore optimal. Le module Adaptive Limiter peut
produire un mixage dont le volume sera plus fort que ce que vous pourriez obtenir en
normalisant le signal.
Chapitre 4 Effets dynamiques 93Remarque : l’utilisation d’Adaptive Limiter ajoute un temps de latence lorsque le paramètre
Lookahead est activé. En général, il est conseillé de faire appel à ce module pour le mixage
et la mastérisation de pistes préalablement enregistrées, et non lors d’un enregistrement.
• Analyseurs Input (sur la gauche) : Affichent les niveaux d’entrée en temps réel lors de la
lecture du fichier ou du projet. Le champ Margin affiche le niveau d’entrée le plus haut.
Pour réinitialiser les champs Margin, cliquez dessus.
• Potentiomètre et champ Input Scale : permet de changer l’échelle du niveau d’entrée.
C’est utile pour manier des signaux d’entrée de très haut ou très bas niveau. Il réduit
les niveaux de signal les plus faibles et les plus hauts dans une plage permettant une
utilisation efficace du potentiomètre Gain. En général, le niveau d’entrée ne doit pas
excéder 0 dBFS, ce qui peut engendrer une distorsion inappropriée.
• Potentiomètre et champGain : définit l’importance du gain aprèsle changement d’échelle
du signal d’entrée.
• Potentiomètre et champ Out Ceiling : définit le niveau de sortie maximum ou ceiling. Le
signal ne s’élèvera pas au-dessus.
• Analyseurs Output (à droite) : indiquent les niveaux de sorties, permettant ainsi de voir
les résultats du traitement limité. Le champ Margin affiche le niveau de sortie le plus
haut. Pour réinitialiser les champs Margin, cliquez dessus.
• Boutons de mode (zone des paramètres étendus) : Choisissez le type de lissage de crête
:
• OptFit : lla limitation suit une courbe linéaire qui permet des crêtes de signal
supérieures à 0 dB.
• NoOver : Évite les artefacts de distorsion du matériel de sortie en vérifiant que le
signal ne dépasse pas 0 dB.
94 Chapitre 4 Effets dynamiques• Curseur et champ Lookahead (zone des paramètres étendus) : déterminent la portée de
l’analyse effectuée par l’Adaptive Limiter sur le fichier à la recherche de crêtes.
• Case Remove DC (zone des paramètres étendus) : Permet d'activer un filtre passehaut
qui supprime le courant continu (CC) du signal. Ce courant continu peut être introduit
par du matériel audio bas de gamme.
Compressor
Le module Compressor est conçu pour émuler le son et la réponse d’un compresseur
(matériel) analogique professionnel. Il resserre vos données audio en réduisant les sons
qui excèdent un certain niveau de seuil, atténuant ainsi la dynamique et augmentant le
volume sonore global. La compression permet de mettre en valeur les moments clés
d’une piste ou d’un mixage, tout en évitant que les passages les plus doux deviennent
inaudibles. Avec l’égaliseur, il s’agit probablement de l’outil de traitement sonore le plus
polyvalent et le plus répandu dans le domaine du mixage.
Vous pouvez utiliser le module Compressor sur des pistes individuelles, y compris des
pistes vocales, instrumentales et d’effets, ou bien sur l’intégralité du mixage. De façon
générale, vous pouvez insérer le compresseur directement dans la bande de canaux.
Paramètres du module Compressor
Le module Compressor comprend les paramètres suivants :
• Menu local Circuit Type : permettent de sélectionner le type de circuit émulé par le
module Compressor. Les options disponiblessont Platinum, Class(ic) A_R, Class(ic) A_U,
VCA, FET et Opto (optique).
Chapitre 4 Effets dynamiques 95• Menu local Side ChainDetection : Détermine si le Compressor utilise le niveau maximum
de chaque signal d’entrée latérale (Max) ou la somme des niveaux de tous les signaux
d’entrée latérale (Sum) pour dépasser ou être sous le seuil.
• Si l’un des canaux stéréo dépasse ou est sous le seuil, les deux canaux sont
compressés.
• Si Sum est sélectionné, le niveau combiné des deux canaux doit dépasser le seuil
avant que la compression ne se produise.
• Compteur Gain Reduction : indique la compression en temps réel.
• Potentiomètre et champ Attack : déterminent le temps que met le compresseur à réagir
lorsque le signal excède le seuil fixé.
• Écran Compression Curve : indique la courbe de compression créée en combinant les
valeurs des paramètres Ratio et Knee. L’entrée (niveau) s’affiche sur l’axe des x et la
sortie (niveau) sur l’axe des y.
• Potentiomètre et champ Release : déterminent le temps nécessaire au compresseur pour
arrêter de réduire le signal lorsqu’il est repassé en dessous du seuil fixé.
• Bouton Auto : Lorsque le bouton Auto est actif, le temps de relâchement s’ajuste de
façon dynamique au matériel audio.
• Curseur et champ Ratio : définit le ratio de compression, c’est-à-dire le ratio de réduction
de signal lorsque le seuil est dépassé.
• Curseur et champ Knee : détermine la force de la compression aux niveaux proches du
seuil. Les valeurs faibles donnent une compression plus sévère et immédiate (hard
knee). Les valeurs élevées donnent une compression plus douce (soft knee).
• Curseur et champ Compressor Threshold : définit le niveau de seuil : les signaux au-delà
de cette valeur sont réduits au niveau.
• Boutons Peak/RMS : Détermine si l’analyse du signal est effectuée à l’aide de la méthode
Peak ou RMS, lors de l’utilisation de circuit de type Platinum.
• Curseur et champ Gain : détermine le gain à appliquer au signal de sortie.
• Menu local Auto Gain : Choisissez une valeur pour compenser lesréductions de volume
dues à la compression. Les options possibles sont OFF, 0 dB et -12 dB.
• Curseur et champ Limiter Threshold : définissent le niveau de seuil du limiteur.
• Bouton Limiter : active ou désactive le limiteur intégré.
• Menu localOutputDistortion (zone Extended Parameters) : Permet d’indiquersi l’écrêtage
doit être appliqué au-dessus de 0 dB et de préciser le type d’écrêtage. Les choix possibles
sont : Off, Soft, Hard, et Clip.
• Menu local Activity (zone Extended Parameters) : Active ou désactive l’entrée latérale.
Les options possibles sont : Off, Listen, et On.
96 Chapitre 4 Effets dynamiques• Menu local Mode (zone Extended Parameters) : permet d’indiquer le type de filtre utilisé
pour l’entrée latérale. Les options possibles sont : LP (Low Pass, passe-bas), BP (Band
Pass, passe-bande), HP (High Pass, passe-haut), ParEQ (égaliseur paramétrique) et HS
(High Shelving, plateau d’aigus).
• Curseur et champ Frequency (zone Extended Parameters) : Définissent la fréquence centrale
pour le filtre d’entrée latérale.
• Curseur et champ Q (zone Extended Parameters) : Définissent la largeur de la bande de
fréquence affectée par le filtre d’entrée latérale.
• Curseur et champ Gain (zone Extended Parameters) : Déterminent la quantité de gain
appliquée au signal d’entrée latérale.
• Curseur et champ Mix (zone Extended Parameters) : Déterminent la balance entre les
signaux secs (source) et humides (effet).
Utilisation du module Compressor
La rubrique suivante explique comment utiliser les principaux paramètres Compressor.
Définition de Threshold et Ratio de Compressor
Les paramètres les plus importants du module Compressor sont Threshold et Ratio.
Threshold définit le niveau plancher en décibels. Les signaux qui dépassent ce niveau
sont réduits suivant la quantité définie par le paramètre Ratio.
Le Ratio est le pourcentage du niveau total. Plusle signal dépasse le seuil, plusil est réduit.
Un ratio de 4:1 indique que l’augmentation de l’entrée de 4dB entraîne une augmentation
de la sortie de 1dB, si elle est au-dessus du seuil.
À titre d’exemple, avec un seuil définit à -20 dB et un Ratio de 4:1, une crête de -16 dB
dans le signal (soit 4 dB au-dessus du seuil) est réduite de 3 dB, ce qui donne un niveau
de sortie de -19 dB.
Définition de temps d’enveloppe convenables pour Compressor
Les paramètres Attack et Release mettent en forme la réponse dynamique du module
Compressor. Le paramètre Attack détermine le délai qui s’écoule entre le moment où le
signal dépasse le seuil fixé et celui où le module Compressor commence à réduire le
signal.
De nombreux sons, et notamment la voix et les instruments de musique, prennent en
compte la phase d’attaque initiale pour définir le timbre et les caractéristiques principales
du son. Lorsque l’on compresse ce type de sons, il vaut toujours mieux définir des valeurs
d’Attack fortes pour éviter de perdre ou modifier les éléments transitoires de la source
du signal source.
Lorsque vous essayez d’optimiser le niveau d’un mixage global, il vaut mieux définir une
valeur faible pour le paramètre Attack car les valeursfortes ne donnent pas de compression
ou très peu.
Chapitre 4 Effets dynamiques 97Le paramètre Release détermine la vitesse à laquelle le signal reprend son niveau original
après avoir été contraint au niveau de seuil. Choisissez une valeur de Release haute pour
adoucir les différences dynamiques dansle signal. Choisissez une valeur de Release faible
si vous voulez mettre en évidence les différences dynamiques.
Important : l’explication ci-dessus dépend fortement du type de matériel source, mais
aussi des réglages de ratio et seuil de compression.
Définition de la valeur Knee du module Compressor
Le paramètre Knee définit si le signal est légèrement ou fortement compressé lorsqu’il
approche le niveau de seuil.
Avec une valeur de Knee proche de 0 (zéro), vous n’avez aucune compression des niveaux
de signal se trouvant juste en dessous du seuil, mais les niveaux du seuil sont
complètement compressés en fonction du Ratio. C’est ce que l’on appelle une compression
hard knee, elle peut engendrer des transitions abruptes voire inappropriées lorsque le
signal atteint le seuil.
Si vous augmentez la valeur du paramètre Knee, cela augmente la compression à mesure
que le signal se rapproche du seuil, d’où une transition bien plus subtile. On parle alors
de compression soft knee.
Définition des autres paramètres du module Compressor
Lorsque le module Compressor réduit les niveaux, le volume total de sortie est plus faible
que le signal d’entrée. Vous pouvez néanmoins ajuster ce niveau de sortie à l’aide du
curseur Gain.
Vous pouvez aussi utiliser le paramètre Auto Gain pour compenser le niveau de réduction
engendré par la compression (-12 dB ou 0 dB).
Lorsque vous utilisez le paramètre Platinum Circuit Type, le module Compressor peut
analyser le signal à l’aide de l’une des deux méthodes suivantes: Peak ou RMS (moyenne
quadratique). La méthode Peak est plus précise techniquement parlant, mais la méthode
RMS fournit une indication plus poussée de la façon dont les gens percevront le signal.
Remarque : si vous activez simultanément les options Auto Gain et RMS, le signal risque
d’être saturé. Si vous entendez la moindre distorsion, désactivez l’option Auto Gain et
réglez le curseur Gain jusqu’à ce que la distorsion devienne inaudible
Utilisation d’une entrée latérale avec le Compressor
L’utilisation d’une entrée latérale avec le Compressor est courante. Cela vous permet
d’utiliser les dynamiques (changements de niveau) d’une autre bande de canaux comme
source de commande de la compression. Par exemple, les dynamiques d’un sillon de
percussion peuvent être utilisées pour modifier en rythme la compression et par
conséquent les dynamiques d’un morceau de guitare.
98 Chapitre 4 Effets dynamiquesImportant : dans ce cas, le signal d’entrée latérale fait simplement office de
détecteur/déclencheur. La source d’entrée latérale est utilisée pour contrôler le
Compressor, mais l’audio du signal d’entrée latérale n’est pas acheminé à travers le
Compressor.
Pour utiliser une entrée latérale avec le Compressor
1 Insérez le Compressor dans une bande de canaux.
2 Sélectionnez la bande de canaux qui transporte le signalsouhaité (source d’entrée latérale)
dans le menu Side Chain du module Compressor.
3 Choisissez la méthode d’analyse souhaitée (Max ou Sum) dans le menu local Side Chain
Detection.
4 Ajustez les paramètres du Compressor.
DeEsser
Le module DeEsser est un compresseurspécifique de fréquences, conçu pour compresser
uniquement une bande de fréquence particulière au sein d’un signal audio complexe. Il
permet d’éliminer les sifflantes (ce que l’on appelle la sibilance) présentes dans le signal.
L’intérêt d’utiliser le DeEsser plutôt qu’un égaliseur pour couper les hautes fréquences
est que ce module compresse le signal de façon dynamique et non de façon statique.
Ainsi, lorsqu’aucune sibilance n’est détectée dans le signal, le son ne devient pas plus
sombre pour autant. Le DeEsser a des temps d’attaque et de relâchement extrêmement
rapides.
Lorsque vous utilisez le DeEsser, vous pouvez définir la plage de fréquences compressée
(fréquence Suppressor) indépendamment de celle analysée (fréquence Detector). Les
deux plages peuvent être facilement comparées dans l’écran de plage de fréquence
Detector et Suppressor de l’effet DeEsser.
La plage de fréquence de Suppressor est réduite de niveau tant que le seuil de fréquence
du Detector n’est pas dépassé.
DeEsser n’utilise pas de réseau de séparation des fréquences : un cross-over utilisant des
filtres passe-haut et passe-bas. Il isole et soustrait plutôt la bande de fréquence, ce qui
engendre une altération de la courbe de phase.
Chapitre 4 Effets dynamiques 99Les paramètres Detector se trouvent sur le côté gauche de la fenêtre du DeEsser, les
paramètres Suppressor sur le côté droit. La partie centrale contient les écrans Detector
et Suppressor, ainsi que le curseur de lissage.
DeEssersection Detector
• Potentiomètre et champ Detector Frequency : définissent la plage de fréquence pour
analyse.
• Potentiomètre et champ Detector Sensitivity : définissent le degré de réponse au signal
d’entrée.
• Moniteur, menu local : Choisissez Det(ector) pour surveiller le signal isolé de Detector,
et Sup(pressor) poursurveiller le signal filtré de Suppressor, Sens(itivity) pour remplacer
le son du signal d’entrée en réponse au paramètre Sensitivity ou Off pour écouter le
résultat DeEsser.
DeEssersection Suppressor
• Potentiomètre et champ Suppressor Frequency : indiquent quelle bande de fréquence
est réduite lorsque le signal excède le seuil de sensibilité Detector.
• Potentiomètre et champ Strength : définissent la réduction de gain pour les signaux
autour de la fréquence de Suppressor.
• Voyant DEL Activity : indique la suppression active en temps réel.
Partie centrale DeEsser
• Écrans de fréquenceDetector et Suppressor: L’écran du haut affiche la plage de fréquence
de Detector. L’écran du bas affiche la plage de fréquence de Suppressor (en Hz).
• Curseur Smoothing : définit la vitesse de réaction des phases de début et de fin de
réduction du gain. Le curseur de lissage contrôle à la foisle temps d’attaque et le temps
de relâchement lors de leur utilisation par les compresseurs.
100 Chapitre 4 Effets dynamiquesDucker
L’atténuation est une technique courante utilisée en radio et dans la diffusion
télévisée : lorsque le présentateur parle pendant la musique, le volume de celleci est
automatiquement réduit. Une fois l’annonce terminée, la musique reprend
automatiquement son niveau de volume original.
Ducker offre un moyen simple d’obtenir ce résultat avec des enregistrements existants.
Il ne fonctionne pas en temps réel.
Remarque : pour des raisons techniques, le module Ducker peut uniquement être inséré
dans les bandes de sortie et de canaux.
Paramètres du module Ducker
Le module Ducker est doté des paramètres suivants :
• Boutons Ducking On et Off : Activent ou désactivent l’atténuation.
• Boutons Lookahead On et Off : Permettent de vérifier que le module Ducker lit le signal
entrant avant de le traiter. Cela n’entraîne aucun temps de latence. Il est principalement
destiné aux ordinateurs lents.
• Curseur et champ Amount : Définissent le niveau de réduction du volume de la bande
de canaux de mixage musical, ce qui correspond en fait au signal de sortie.
Chapitre 4 Effets dynamiques 101• Curseur et champ Threshold : Déterminent le niveau minimal qu’un signal d’entrée
latérale doit atteindre avant de commencer à réduire le niveau de sortie du mixage
musical, selon la valeur définie à l’aide du curseur Intensity. Si le niveau du signal
d’entrée latérale n’atteint pas le seuil fixé, le volume de la bande de canaux du mixage
musical reste inchangé.
• Curseur et champ Attack : contrôle la vitesse avec laquelle le volume est réduit. Si vous
souhaitez que le signal du mixage musical soit légèrement atténué, réglez ce curseur
sur une valeur élevée.
Cette valeur contrôle également si le niveau du signal est réduit avant que le signal
n’atteigne le seuil fixé. Plus cela se produit rapidement, plusle temps de latence introduit
est important.
Remarque : cela ne fonctionne que si le signal d’atténuation n’a pas lieu « en direct »,
autrement dit, le signal doit être un enregistrement existant. L’application hôte doit
analyser le niveau du signal avant de le lire, afin de prédéfinir le point de début
d’atténuation.
• Curseur et champ Hold : Détermine le temps pendant lequel le volume de la bande de
canaux du mixage musical est réduit. Ce contrôle évite l’effet de broutement pouvant
être provoqué par un niveau d’entrée latérale évoluant rapidement. Si le niveau d’entrée
latérale dépasse très légèrement le seuil, au lieu de le dépasser nettement ou de rester
en deçà, configurez le paramètre Hold sur une valeur élevée afin de compenser les
réductions rapides du volume.
• Curseur et champ Release : contrôle la vitesse à laquelle le volume revient à son niveau
d’origine. Réglezle sur une valeur élevée si vous souhaitez que le volume du mixage
musical remonte progressivement une fois l’annonce terminée.
Utilisation du module Ducker
Les étapes cidessous présentent l’utilisation du module Ducker sur des enregistrements
existants.
Remarque : pour des raisons techniques, le module Ducker peut uniquement être inséré
dans les bandes de sortie et de canaux.
Pour utiliser le module Ducker
1 Insérez le module dans une bande de canaux auxiliaire.
2 Affectez à un bus toutes les sorties de bande de canaux qui doivent atténuer (réduire
dynamiquement le volume de mixage) la bande de canaux auxiliaire sélectionnée à l’étape
1.
3 Sélectionnez le bus qui transporte le signal d’atténuation (vocal) dansle menu Side Chain
du module Ducker.
102 Chapitre 4 Effets dynamiquesRemarque : contrairement à tous les autres modules à entrée latérale, l’entrée latérale
du Ducker est mixée avec le signal de sortie une fois qu’elle est passée par le module.
Cela permet de garantir que le signal d’entrée latérale de l’atténuation (la voix off) sera
entendu en sortie.
4 Ajustez les paramètres du module Ducker.
Enveloper
Enveloper est un traitement inhabituel qui vous permet de mettre en forme les phrases
Attack et Release du signal ou, en d’autres termes, les élémentstransitoires du signal. Cela
en fait un outil unique à utiliser pour obtenir desrésultats différents des autres processeurs
dynamiques.
• Curseur et champ Threshold : définit le niveau de seuil Les signaux au-delà de ce seuil
voient leur attaque et relâchement modifiés.
• Curseur et champ Gain (Attack) : augmente ou atténue la phrase d’attaque du signal.
Lorsque le curseur de Gain est en position centrale (0%) le signal n’est pas modifié.
• Champ et curseur Lookahead : définit le temps d’analyse de prélecture pour le signal
entrant. Cela permet au module Enveloper de connaître à l’avance lessignaux entrants,
permettant ainsi un traitement rapide et précis.
• Potentiomètre et champ (Attack) Time : déterminent le temps nécessaire pour que le
signal soit augmenté du niveau de seuil au niveau de Gain maximum.
• Écran : affiche les courbes d’attaque et de relâchement appliquées au signal.
• Potentiomètre et champ (Release) Time : déterminent le temps nécessaire pour que le
signal soit réduit du niveau de Gain maximum au niveau de seuil.
• Curseur et champ Gain (Release) : augmente ou atténue la phase de relâchement du
signal. Lorsque le curseur de Gain est en position centrale (0%) le signal n’est pas
modifié.
Chapitre 4 Effets dynamiques 103• Curseur et champ Out Level : définit le niveau du signal de sortie.
Utilisation du module Enveloper
Les deux curseurs Gain, un de chaque côté de l’écran principal, sont les paramètres les
plus importants du module Enveloper. Ils jouent sur les niveaux d’attaque et de
relâchement des niveaux de chaque phase respective.
Par exemple, si vous poussez la phase d’attaque, un son de batterie a davantage
demordant et le son des cordes de guitare pincées ou grattées est amplifié. Si au contraire
vous atténuez l’attaque, le volume dessignaux percussifs augmente de façon plus douce.
Vous pouvez également désactiver le son de l’attaque, afin de la rendre virtuellement
inaudible. Vous pouvez utiliser cet effet à votre avantage et modifier des éléments
transitoires d’attaque pour masquer un mauvais contrôle du temps des parties
instrumentales.
En poussant la phase de relâchement, vous accentuez également la réverbération
appliquée à la bande de canaux affectée. Inversement, si vous atténuez la phase de
relâchement, les pistes jusqu’alors noyées dans la réverbération bénéficient d’un son
beaucoup plus vif. Ce traitement est particulièrement utile lorsque vous travaillez avec
des boucles de batterie, mais ses applications ne se limitent pas à ce seul usage. Laissez
parler votre imagination !
Lorsque vous utilisez le module Enveloper, définissez le paramètre Threshold sur la valeur
minimale et n’y touchez plus. Ce n’est que lorsque vous déciderez de remonter de façon
significative la phase de relâchement, entraînant ainsi une forte augmentation du niveau
de bruit de l’enregistrement original, que vous devrez remonter légèrement le curseur
Threshold. De cette façon, le champ d’action du module Enveloper est limité pour que
seule la partie utile du signal soit modifiée.
Une augmentation ou une réduction drastique de la phase d’attaque ou de relâchement
estsusceptible de modifier le niveau global du signal. Cela peut être compensé en réglant
le curseur Out Level.
De façon générale, il est bon de commencer avec des valeurs d’Attack Time d’environ
20 ms et de Release Time autour de 1 500 ms. Il vous suffit ensuite de les ajuster en
fonction du type de signal que vous traitez.
Le curseur Lookahead définit jusqu’où Enveloper regarde le futur signal entrant, afin
d’anticiper les événements futurs. Normalement, vous n’avez pas besoin de faire appel
à cette fonctionnalité, sauf si vous traitez des signaux dont les éléments transitoires sont
extrêmement sensibles. Si toutefois vous étiez amené à augmenter la valeur du curseur
Lookahead, vous devriez probablement ajuster le temps d’attaque pour compenser.
104 Chapitre 4 Effets dynamiquesContrairement à un compresseur ou un expandeur, le module Enveloper agit
indépendamment du niveau absolu du signal d’entrée, à condition que le curseur
Threshold soit réglé sur la valeur la plus basse possible.
Expander
Le module Expander estsemblable à un compresseur, à cette différence près qu’il amplifie
la plage dynamique située au-dessus du niveau de seuil (au lieu de la réduire). Vous
pouvez l’utiliser pour donner de la pêche et de la fraîcheur à vos signaux audio.
• Curseur et champ Threshold : définit le niveau de seuil Les signaux au-dessus de ce
niveau sont augmentés.
• Boutons Peak/RMS : détermine si la méthode Peak ou RMS est utilisée pour analyser le
signal.
• Potentiomètre et champ Attack : détermine le temps nécessaire au module Expander
pour répondre aux signaux au-dessus du niveau de seuil.
• Écran Expansion : affiche la courbe d’expansion appliquée au signal.
• Potentiomètre et champ Release : déterminent le temps nécessaire pour que le module
Expander arrête de traiter le signal lorsqu’il retombe en dessous du niveau de seuil.
• Curseur et champ Ratio : définit le ratio d’expansion, c’est-à-dire le ratio d’augmentation
de signal lorsque le seuil est dépassé.
Remarque : Étant donné que l’Expander est un véritable expandeur vers le haut, par
opposition à un expandeur vers le bas qui augmente la plage dynamique en dessous
du seuil, le curseur Ratio propose une gamme de valeurs comprises entre 1:1 et 0.5:1.
• Curseur et champ Knee : détermine la force de l’expansion aux niveaux proches du seuil.
Les valeurs faibles donnent une expansion plus sévère et immédiate : hard knee. Les
valeurs élevées donnent une expansion plus douce : soft knee.
• Curseur et champ Gain : définit la quantité de gain de sortie.
Chapitre 4 Effets dynamiques 105• Bouton Auto Gain : compense l’augmentation de niveau engendrée par l’expansion. Si
Auto Gain est actif, le signal a l’air plus doux, même si le niveau d’écrêtage est le même.
Remarque : si vous modifiez considérablement les dynamiques du signal (avec des
valeurs Threshold et Ratio extrêmes), vousrisquez de devoir réduire le niveau du curseur
Gain pour éviter une distorsion. Dans la plupart des cas, l’option Auto Gain ajuste le
signal au niveau approprié.
Limiter
Le Limiter fonctionne comme un compresseur avec une différence importante : alors
qu’un compresseur réduit progressivement le signal lorsque celui-ci excède le seuil fixé,
un limiteur ramène toute crête trop élevée au niveau du seuil fixé, limitant ainsi de façon
effective le signal à ce niveau.
On utilise surtout le Limiter dans la mastérisation. Dans ce cas, on applique le module
Limiter au tout dernier traitement de la chaîne de signal de mastérisation où il augmente
le volume général du signal pour qu’il atteigne 0 dB, sans le dépasser.
Le module Limiter est conçu de telle sorte que, si les options Gain et Output Level sont
toutes les deux définies sur 0 dB, il ne produit aucun effet sur un signal normalisé. Si le
signal écrête, le module Limiter réduit le niveau avant l’écrêtage. En revanche, le Limiter
ne peut pas réparer des données audio écrêtées lors de l’enregistrement.
• Compteur Gain Reduction : indique la limitation en temps réel.
• Curseur et champ Gain : détermine le gain à appliquer au signal d’entrée.
• Champ et curseur Lookahead : déterminent la portée, en millisecondes, de l’analyse
effectuée par le Limiter sur le signal audio. Cela permet de réagir plus vite aux volumes
d’écrêtage en réglant la réduction.
106 Chapitre 4 Effets dynamiquesRemarque : l’utilisation de Lookahead provoque un temps de latence, mais celui-ci
n’est pas perceptible lorsque vous employez le module Limiter comme outil de
mastérisation sur des données préalablement enregistrées. Attribuez des valeurs plus
élevées au paramètre Lookahead si voussouhaitez que l’effet de limitation soit appliqué
avant que le niveau maximal soit atteint, créant ainsi une transition plus subtile.
• Curseur et champ Release : déterminent le délai qui s’écoule entre le moment où le
signal repasse en dessous du seuil et celui où le module Limiter arrête la limitation.
• Potentiomètre et champ Output Level : définissent le niveau de sortie du signal.
• Bouton Softknee : lorsqu’il est actif, le signal n’est limité qu’à partir du moment où il
atteint le seuil. La transition vers la limitation intégrale n’est pas linéaire, produisant
ainsi un effet plus doux, moins brusque, et réduisant les effets de distorsion qu’une
limitation extrême est susceptible de générer.
Multipressor
Le module Multipressor (contraction en anglais de multiband compressor ou compresseur
multibande) est un outil extrêment polyvalent utilisé dans le domaine de la mastérisation
audio. Il divise le signal entrant en différentes bandes de fréquence (jusqu’à 4) et vous
permet de compresser chacune de façon indépendante. Une foisla compression appliquée,
les bandes sont regroupées en un signal de sortie unique.
La compression séparée des différentes bandes de fréquence vous permet d’appliquer
plus de compression sur les bandes qui en ont besoin sans affecter les autres. Cela évite
les effets de pompage associés aux grosses compressions.
Multipressor vous permet d’appliquer des ratios de compression plus importants sur des
bandes de fréquence spécifiques et d’obtenir ainsi un volume moyen plus élevé sans
causer d’effets secondaires audibles.
Une hausse du volume global peut entraîner une augmentation correspondante du bruit
de fond existant. Chaque bande de fréquence fait l’objet d’une expansion vers le bas qui
vous permet de réduire ce bruit, voire de le supprimer.
L’expansion vers le bas vient en fait compléter le travail de la compression. Alors que le
compresseur réduit la plage dynamique des niveaux de volume les plus élevés, l’expandeur
vers le bas accroît la plage dynamique des niveaux de volume les plus faibles. Avec
l’expansion vers le bas, le niveau du signal est réduit lorsqu’il passe en dessous du seuil
fixé. Cette fonctionnalité fonctionne comme une porte de bruit, mais au lieu de couper
brusquement le son, elle atténue progressivement le volume au moyen d’un ratio ajustable.
Chapitre 4 Effets dynamiques 107Paramètres du module Multipressor
Les paramètres de la fenêtre Multipressor sont regroupés en trois zones principales :
l’affichage graphique situé dansla partie supérieure, l’ensemble de commandes de chaque
bande de fréquence dans la partie inférieure, et les paramètres de sortie situés à droite.
Section Graphic display
Section des bandes de fréquence Multipressor Section Output
Section d'affichage graphique de Multipressor
• Écran graphique : chaque bande de fréquence est représentée sousforme de graphique.
L’importance du changement de gain à partir de 0 dB est indiquée par les barres bleues.
Le nombre de bandes apparaît au centre des bandes actives. Vous pouvez ajuster
chaque bande de fréquence individuellement des façons suivantes :
• Faites glisser la barre horizontale vers le haut ou vers le bas pour ajuster la
compensation de gain de la bande concernée.
• Faites glisser les bordures verticales d’une bande vers la gauche ou la droite pour
définir les fréquences de croisement, ce qui a pour effet d’ajuster sa plage de
fréquences.
• ChampsCrossover: définissent la fréquence de croisement entre deux bandes adjacentes.
• Champs Gain Make-up : déterminent l’importance de la compensation de gain pour
chaque bande.
108 Chapitre 4 Effets dynamiquesMultipressorsection des bandes de fréquence
• Champs Compr(ession) Thrsh(old) : définissent le seuil de compression de la bande
sélectionnée. Si vous attribuez la valeur 0 dB à ce paramètre, la bande ne fera l’objet
d’aucune compression.
• Champs Compr(ession) Ratio : définissent le ratio de compression de la bande
sélectionnée. Si vous attribuez la valeur 1:1 dB à ce paramètre, la bande ne fera l’objet
d’aucune compression.
• Champs Expnd Thrsh(old) : définissent le seuil d’expansion de la bande sélectionnée. Si
vous attribuez à ce paramètre sa valeur minimale (-60 dB), seuls les signaux passant en
dessous de ce niveau font l’objet d’une expansion.
• Champs Expnd Ratio : définissent le ratio d’expansion de la bande sélectionnée.
• Champs Expnd Reduction : définissent le degré d’expansion vers le bas de la bande
sélectionnée.
• Champs Peak/RMS : entrez une valeur faible pour une détection des crêtes courte ou
une valeur plus élevée pour une détection RMS, en millisecondes.
• Champs Attack : déterminent le délai avant le début de la compression de la bande
sélectionnée lorsque le signal excède le seuil fixé.
• Champs Release : déterminent le délai nécessaire entre le moment où le signal repasse
en dessous du seuil fixé et celui où la compression s’arrête pour la bande sélectionnée.
• Boutons Band on/off (1, 2, 3 et 4) : Activent/désactivent chaque bande (1 à 4). Lorsqu’il
est actif, le bouton est mis en évidence et la bande correspondante apparaît dans la
zone d’affichage graphique au-dessus.
• Boutons Byp(ass) : permettent de contourner la bande de fréquence sélectionnée.
• Boutons Solo : permettent de n’écouter la compression que sur la bande de fréquence
sélectionnée.
• Level meters : la barre de gauche indique le niveau d’entrée, la barre bleu foncé sur la
droite indique le niveau de sortie.
• Flèches Threshold : Deux flèches se trouvent à gauche de chaque barre de niveau.
• Celle du haut définit le seuil de compression (Compr Thrsh).
• Celle du bas indique le seuil d’expansion (Expnd Thrsh).
Multipressorsection Output
• Menu local Auto Gain : Lorsque vous choisissez On, il prend pour référence le traitement
général du signal à 0 dB, la sortie est donc plus forte.
• Champ de valeur Lookahead : Règle la durée sur laquelle l’effet analyse par avance le
signal entrant, afin de réagir plus rapidement aux volumes d’écrêtage pour réussir des
transitions plus douces.
• Curseur Out : définit le gain global à la sortie du module Multipressor.
Chapitre 4 Effets dynamiques 109• VU-mètre : affiche le niveau de sortie global.
Utilisation du module Multipressor
Dans la zone graphique, les barres bleues représentent le changement de gain, et pas
seulement la réduction de gain comme dans un compresseur standard. L’affichage du
changement de gain est une valeur composite regroupant la réduction de compression,
la réduction d’expansion, mais aussi la compensation automatique de gain et
l’augmentation de gain.
Paramètres de compression du module Multipressor
Les paramètres Compression Threshold et Compression Ratio constituent les éléments
essentiels pour le contrôle de la compression. En général, les combinaisons les plus utiles
de ces deux paramètres sont soit une valeur Compression Threshold faible avec une
valeur Compression Ratio faible, soit une valeur Compression Threshold élevée avec une
valeur Compression Ratio élevée.
Paramètres d’expansion vers le bas de Multipressor
Les paramètres Expansion Threshold, Expansion Ratio et Expansion Reduction constituent
les éléments essentiels pour le contrôle de l’expansion versle bas. Ils déterminent la force
de l’expansion appliquée à la plage choisie.
Paramètres Envelope et Peak/RMS du module Multipressor
Le choix des paramètres Peak (0 ms, valeur minimale) et RMS (Root Meantime Square,
-200 ms, valeur maximale) dépend du type de signal que vous voulez compresser. Un
réglage de détection Peak extrêmement bas est idéal pour la compression de crêtes
courtes et abruptes de faible puissance, ce qui est très rare en musique. La méthode de
détection RMS mesure la puissance des données audio au fil du temps et a donc une
approche beaucoup plus musicale. Cela vient du fait que l’oreille humaine est plusréactive
à la puissance globale d’un signal qu’à des crêtes isolées. Il est recommandé de définir
ce réglage sur une position centrale pour la plupart des applications.
Paramètres de sortie du module Multipressor
Le curseur Out détermine le niveau de sortie global. Attribuez des valeurs plus élevées
au paramètre Lookahead lorsque les champs Peak/RMS ont eux aussi des valeurs élevées
(davantage portées vers la méthode RMS). Positionnez le paramètre Auto Gain sur On,
pour qu’il définisse le traitement global sur 0 dB, augmentant ainsi le volume du signal
de sortie.
Noise Gate
Le module Noise Gate est généralement utilisé pour supprimer les bruits indésirables
audibles lorsque le niveau du signal audio est faible. Vous pouvez l’utiliser, entre autres,
pour supprimer le bruit de fond, la diaphonie causée par d’autres sources de signal ou
encore le bourdonnement perceptible lorsque le volume est bas.
110 Chapitre 4 Effets dynamiquesVoici comment fonctionne le Noise Gate : les signaux situés au-dessus du seuil fixé sont
autorisés à passer sans être altérés, alors que les signaux situés en dessous de ce seuil
sont réduits. Cela supprime les portions du signal dont le niveau est le plus faible tout
en autorisant le passage des sections audio que vous souhaitez conserver.
Paramètres du module Noise Gate
Le module Noise Gate propose les paramètres suivants.
• Curseur et champ Threshold : définit le niveau de seuil Les signaux en dessous de ce
seuil sont réduits.
• Curseur et champ Reduction : définit la réduction du signal.
• Potentiomètre et champ Attack : déterminent le temps nécessaire pour que la porte soit
entièrement ouverte à partir du moment où le signal excède le seuil fixé.
• Potentiomètre et champ Hold : déterminent combien de temps la porte reste ouverte
une fois que le signal est repassé en dessous du seuil.
• Potentiomètre et champ Release : détermine le temps nécessaire pour atteindre
l’atténuation maximum à partir du moment où le signal repasse en dessous du seuil.
• Curseur et champ Hysteresis: définit la différence (en décibels) entre les valeurs de seuil
pour ouvrir et fermer la porte. Cela évite que la porte ne s’ouvre ou se ferme rapidement
lorsque le signal d’entrée est proche du seuil.
• Champ et curseur Lookahead : définit jusqu’où le module Noise Gate analyse le signal
entrant, permettant ainsi à l’effet de répondre plus rapidement aux niveaux de crêtes.
• Bouton Monitor : activez-le pour écouter le signal d’entrée latérale, y compris l’effet des
filtres High Cut et Low Cut.
• Curseur et champ High Cut : définit la fréquence de coupure supérieure associée au
signal d’entrée latérale.
Chapitre 4 Effets dynamiques 111• Curseur et champ LowCut : définit la fréquence de coupure inférieure associée au signal
d’entrée latérale.
Remarque : lorsqu’aucune entrée latérale externe n’est sélectionnée, le signal d’entrée
est utilisé comme entrée latérale.
Utilisation du module Noise Gate
Le plus souvent, régler le curseur Reduction sur la valeur la plus basse possible permet
de s’assurer que les sons situés en dessous du seuil fixé seront intégralement supprimés.
Si vous optez pour une réduction plus élevée, les sons faibles sont atténués mais ils sont
toujours autorisés à passer. Vous pouvez également utiliser la réduction pour pousser le
signal de jusqu’à 20 dB, ce qui peut être utile pour les effets d’atténuation.
Les potentiomètres Attack, Hold et Release permettent de modifier la réponse dynamique
du Noise Gate. Si vous souhaitez que la porte s’ouvre très rapidement, par exemple pour
les signaux percussifs tels que la batterie, réglez le potentiomètre Attack sur une valeur
plusfaible. Pour lessons avec une phase d’attaque lente, comme lesstring pads, choisissez
une forte valeur Attack. De même, lorsque vous utilisez des signaux dont le volume
diminue progressivement ou ayant une queue de réverbération plus longue, réglez le
potentiomètre Release sur une valeur plus élevée pour que le volume du signal s’atténue
de façon naturelle.
Le potentiomètre Hold détermine la durée minimale pendant laquelle la porte reste
ouverte. Vous pouvez utiliser le potentiomètre Hold pour éviter les changements brusques
de niveau, aussi appelés broutements générés par des ouvertures et fermetures rapides
de porte.
Le curseur Hysteresis permet lui aussi d’éviter le broutement, sans qu’il soit nécessaire
de définir une durée de maintien (Hold) minimale. Utilisez-le pour définir la plage entre
les valeurs seuil qui ouvrent et ferment la porte de bruit. C’est particulièrement utile
lorsque le niveau de signal oscille autour du niveau de seuil, ouvrant et fermant rapidement
la porte de bruit, ce qui donne ces broutements. Le curseur Hysteresis configure le Noise
Gate pour qu’il s’ouvre au niveau du seuil et qu’il reste ouvert tant que le niveau ne passe
pas en dessous d’un autre niveau plus faible. Tant que l’écart entre ces deux valeurs est
suffisamment important pour supporter le niveau fluctuant du signal entrant, le Noise
Gate peut fonctionner sans provoquer de broutement. Cette valeur est toujours négative
et, de manière générale, une valeur de -6 dB constitue une bonne base de départ.
Parfois, il peut arriver que le niveau du signal que vous souhaitez conserver et le niveau
de bruit soient si proches qu’il est difficile de les isoler. Par exemple, si vous enregistrez
un morceau de batterie et utilisez le Noise Gate pour isoler le son de la grosse caisse, il
est fort possible que la charleston entraîne elle aussi l’ouverture de la porte. Pour y
remédier, utilisez les contrôles d’entrée latérale pour isoler le signal de déclenchement
souhaité à l’aide des filtres High Cut et Low Cut.
112 Chapitre 4 Effets dynamiquesImportant : dans ce cas, le signal d’entrée latérale fait simplement office de
détecteur/déclencheur. Lesfiltressont utilisés pour isoler un signal déclencheur particulier
dans la source d’entrée latérale, mais ils n’ont aucune influence sur le signal actuel de la
porte, l’audio étant dirigé dans la porte de bruit.
Pour utiliser les filtres d’entrée latérale
1 Cliquez sur le bouton Monitor pour écouter l’effet des filtres High Cut et Low Cut sur le
signal entrant déclencheur.
2 Faites glisser le curseur High Cut pour définir la fréquence haute. Les signaux de
déclenchement au-dessus sont filtrés.
3 Faites glisser le curseur Low Cut pour définir la fréquence basse. Les signaux de
déclenchement en dessous sont filtrés.
Les filtres ne laissent passer que les crêtes de signal très hautes (fortes). Dans notre
exemple, vous pourriez supprimer le signal de la charleston, dont la fréquence est plus
élevée, à l’aide du filtre High Cut, puis autoriser le passage du signal de la grosse caisse.
Pour définir plus facilement un niveau de seuil adapté, désactivez le monitoring.
Silver Compressor
Le module Silver Compressor est une version simplifiée du Compressor (pour des astuces
pratiques, consultez Utilisation du module Compressor).
• Compteur Gain Reduction : indique la compression en temps réel.
• Curseur et champ Threshold : définit le niveau de seuil Les signaux qui dépassent ce
seuil sont réduits.
• Potentiomètre et champ Attack : Déterminent le temps que met le compresseur à réagir
lorsque le signal dépasse le seuil fixé.
• Potentiomètre et champ Release : Déterminent le temps nécessaire au compresseur pour
arrêter de réduire le signal lorsqu’il est repassé en dessous du seuil fixé.
Chapitre 4 Effets dynamiques 113• Curseur et champ Ratio : Définissent le ratio selon lequel le signal est réduit lorsqu’il
dépasse le seuil fixé.
Silver Gate
Le module Silver Gate est une version simplifiée de Noise Gate (pour des astuces pratiques,
consultez Utilisation du module Noise Gate).
• Champ et curseur Lookahead : Définissent jusqu’où le module Noise Gate analyse le
signal entrant, permettant ainsi à Silver Gate de répondre plus rapidement aux niveaux
de crêtes.
• Curseur et champ Threshold : définit le niveau de seuil Les signaux en dessous de ce
seuil sont réduits.
• Potentiomètre et champ Attack : déterminent le temps nécessaire pour que la porte soit
entièrement ouverte à partir du moment où le signal excède le seuil fixé.
• Potentiomètre et champ Hold : déterminent combien de temps la porte reste ouverte
une fois que le signal est repassé en dessous du seuil.
• Potentiomètre et champ Release : déterminent le temps nécessaire pour que la porte
soit entièrement refermée une fois que le signal est repassé en dessous du seuil.
Surround Compressor
Le module Surround Compressor, basé sur le Compressor, est particulièrement adapté à
la compression de mixagessurround complets. Il est généralement inséré dans une bande
de canaux de sortie surround, ou des bandes de canaux d’entrée ou auxiliaire, des bus,
qui transportent le signal audio.
Vous pouvez régler le ratio, le knee, l’attaque et le relâchement de compression, pour les
canaux main,side,surround et LFE, en fonction du formatsurround choisi. Tousles canaux
comprennent un limiteur intégré et proposent des contrôles indépendants de niveau de
seuil et de sortie.
114 Chapitre 4 Effets dynamiquesVous pouvez relier les canaux en les assignant à l’un des trois groupes. Lorsque vous
réglez le paramètre de seuil ou sortie d’un canal groupé, son réglage se reflète dans les
canaux attribués au groupe.
Section Main Section LFE
Section Link
Le Surround Compressor se divise en trois sections :
• la section Link, située dans la partie supérieure, contient un ensemble de menus au
moyen desquels vous pouvez assigner chaque canal à un groupe. Consultez Paramètres
de lien de Surround Compressor.
• La section Main contient les commandes communes à tousles canaux principaux, ainsi
que les commandes de seuil et de sortie de chaque canal. Consultez Paramètres
principaux de Surround Compressor.
• La section LFE, située en bas à droite, contient des commandes distinctes, propres au
canal LFE. Consultez Paramètres LFE de Surround Compressor.
Chapitre 4 Effets dynamiques 115Paramètres de lien de Surround Compressor
La section de lien de Surround Compressor propose les paramètres suivants :
• Menu local Circuit Type : permettent de sélectionner le type de circuit émulé par le
module Compressor. Les options disponibles sont Platinum, Classic A_R, Classic A_U,
VCA, FET et Opto (optique).
• Menus locaux Grp. (Group) : Définissent l’attribution de chaque canal (A, B, C, ou aucun
groupe, indiqué par -). Si vous déplacez le curseur Threshold ou Output Level d’un
canal groupé, les curseurs de tous les canaux assignés à ce groupe se déplacent
également.
Astuce : appuyez sur Commande + Option en déplaçant le curseur Threshold ou Output
Level d’un canal groupé pour couper temporairement le lien entre le canal et le groupe.
Cela vous permet de définir des réglages de seuil indépendants tout en conservant le
lien de détection d’entrée latérale nécessaire pour obtenir une image surround stable.
• Boutons Byp (Bypass) : contourne le canal correspondant indépendamment, sauf s’il est
groupé. Si le canal appartient à un groupe, tous les canaux du groupe sont contournés.
• Menu local Detection : Détermine si le module Surround Compressor utilise le niveau
maximum de chaque signal (Max) ou la somme des niveaux de tous les signaux (Sum)
pour dépasser ou être sous le seuil.
• Si Max est sélectionné et que l'un des canaux Surround dépasse ou se trouve sous
le seuil fixé, ce canal (ou canaux groupés) est compressé.
• Si Sum est sélectionné, le niveau combiné de tous les canaux doit dépasser le seuil
avant que la compression ne se produise.
116 Chapitre 4 Effets dynamiquesParamètres principaux de Surround Compressor
La section principale de Surround Compressor propose les paramètres suivants :
• Potentiomètre et champ Ratio : définissent le ratio de réduction du signal lorsque le
seuil est dépassé.
• Curseur et champ Knee : déterminent le ratio de compression aux niveaux proches du
seuil.
• Potentiomètre et champ Attack : déterminent le temps nécessaire pour parvenir à une
compression intégrale à partir du moment où le signal excède le seuil.
• Potentiomètre et champ Release : déterminent le temps nécessaire pour revenir à une
compression nulle à partir du moment où le signal repasse en dessous du seuil.
• Bouton Auto : Lorsque le bouton Auto est actif, le temps de relâchement s’ajuste de
façon dynamique au matériel audio.
• Bouton Limiter : active ou désactive la limitation pour les canaux principaux.
• Potentiomètre et champ Threshold : définit le seuil pris en compte par le limiteur sur les
canaux principaux.
• Curseurs et champs Main Compressor Threshold : définissent le niveau de seuil pour
chaque canal, y compris le canal LFE, qui a également des contrôles indépendants.
• Curseurs et champs Main Output Levels : définissent le niveau de sortie pour chaque
canal, y compris le canal LFE, qui a également des contrôles indépendants.
Chapitre 4 Effets dynamiques 117Paramètres LFE de Surround Compressor
La section LFE de Surround Compressor propose les paramètres suivants :
• Potentiomètre et champ Ratio : définissent le ratio de compression du canal LFE.
• Curseur et champ Knee : définit le point de seuil du canal LFE.
• Potentiomètre et champ Attack : définit le temps d’attaque du canal LFE.
• Potentiomètre et champ Release : définit le temps de relâchement du canal LFE.
• Bouton Auto : Lorsque le bouton Auto est actif, le temps de relâchement s’ajuste
automatiquement au signal audio.
• Potentiomètre et champ Threshold : définit le seuil pris en compte par le limiteur sur le
canal LFE.
• Bouton Limiter : active et désactive la limitation du canal LFE.
118 Chapitre 4 Effets dynamiquesUn égaliseur (également abrégé EQ en référence à l’anglais equalizer) forme le son de
l’audio entrant en changeant le niveau de bandes de fréquence spécifiques.
L’égalisation est un des processus audio les plus utilisés, que ce soit pour des projets
musicaux ou lors d’un travail de postproduction vidéo. Vous pouvez utiliser l’égalisation
pour modeler de façon subtile ou radicale le son d’un fichier audio, d’un instrument,
d’une piste ou d’un projet en ajustant des fréquences ou des plages de fréquences
spécifiques.
Tous les EQ sont des filtres spécialisés permettant à certaines fréquences de passer sans
modification tout en élevant (augmentant) ou abaissant (coupant) le niveau d’autres
fréquences. Certains EQ peuvent être utilisés pour augmenter ou baisser de grandes
plages de fréquences. D’autres EQ, tout particulièrement les EQ paramétriques ou
multibande peuvent être utilisés pour un contrôle plus précis.
Les types d’EQ les plus simples sont obtenus à l’aide d’égaliseurs monobandes, qui
comprennent des égaliseurs coupe-haut et coupe-bas, passe-haut et passe-bas, à plateau
et paramétriques.
Les EQ multibandes (tel que le Channel EQ, le Fat EQ ou le Linear Phase EQ) combinent
plusieurs filtres en un, permettant ainsi de contrôler une grande partie du spectre de
fréquences. Les égaliseurs multibandes vous permettent de définir séparément la
fréquence, le débit et le facteur Q pour chaque bande du spectre de fréquence. Cela
permet une mise en forme de la tonalité étendue et précise sur n’importe quelle source
audio, qu’il s’agisse d’un signal audio simple ou d’un mixage général.
Logic Pro comprend une gamme d’EQ simple bande et multibande.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Channel EQ (p 120)
• DJ EQ (p 124)
• Fat EQ (p 125)
• Linear Phase EQ (p 126)
• Match EQ (p 130)
119
Égaliseurs
5• Égaliseurs monobandes (p 137)
• Silver EQ (p 139)
Channel EQ
Le module Channel EQ est un égaliseur multibande extrêmement polyvalent. Il dispose
de huit bandes de fréquence, incluant des filtres High Pass et Low Pass, des filtres High
Shelving et Low Shelving et quatre bandes paramétriquesflexibles. Il comprend également
un analyseur FFT (Transformée de Fourier rapide) intégré, grâce auquel vous pouvez
visualiser la courbe de fréquence des données audio à modifier et ainsi déterminer quelles
portions du spectre de fréquences doivent être ajustées.
Vous pouvez Channel EQ pour former le son de pistes ou fichiers audio individuels, ou
former la tonalité d’un projet mixé. Grâce à l’analyseur et aux contrôles graphiques, il est
facile de visualiser et modifier le signal audio en temps réel.
Astuce : les paramètres du Channel EQ et du Linear Phase EQ sont quasiment identiques,
ce qui vous permet de copier les réglages de l’un pour les utiliser dans l’autre. Si vous
remplacez un effet Channel EQ par un effet Linear Phase EQ (ou vice versa) sur le même
logement Insert, les réglages sont automatiquement transférés vers le nouvel égaliseur.
Paramètres du module Channel EQ
Sur la gauche de la fenêtre Channel EQ se trouvent les commandes Gain et Analyzer. La
partie centrale de la fenêtre comporte l’écran graphique et les paramètres de mise en
forme de chaque bande EQ.
120 Chapitre 5 ÉgaliseursCommandes Channel EQ Gain et Analyzer
• Curseur et champ Master Gain : définissent le niveau de sortie global du signal. À utiliser
après une augmentation ou une diminution des bandes de fréquence individuelles.
• Bouton Analyzer : permet d’activer ou de désactiver l’Analyzer.
• Bouton Pre/Post EQ : lorsque le mode Analyzer est activé, ce bouton détermine si
l’Analyzer doit afficher la courbe de fréquence avant ou après application de l’égalisation.
• Menu local Resolution : Détermine la résolution d’échantillonage de l’analyseur, avec
les éléments de menu suivants: graves (1 024 points), médiums (2 048 points), et aigus
(4 096 points).
Section d’écran graphique Channel EQ
• Boutons Band on/off : cliquez pour activer ou désactiver la bande correspondante.
Chaque icône de bouton indique le type de filtre :
La bande 1 correspond à un filtre High Pass.
La bande 2 correspond à un filtre Low Shelving.
Les bandes 3 à 6 correspondent à des filtres paramétriques en cloche.
La bande 7 correspond à un filtre High Shelving.
La bande 8 correspond à un filtre Low Pass.
• Écran graphique : affiche la courbe de chaque bande de l’égaliseur.
• Glissez horizontalement dans la section d’écran qui englobe chaque bande pour
régler la fréquence de la bande.
• Glissez horizontalement dans la section d’écran qui englobe chaque bande pour
régler la fréquence de chaque bande (sauf pour les bandes 1 et 8). L’écran reflète
immédiatement les modifications apportées.
• Glissez le point de pivot de chaque bande pour régler le facteur Q. Q s’affiche à côté
du curseur lorsqu’il est placé sur un point de pivot.
Channel EQsection Parameter
• Champs Frequency : permettent d’ajuster la fréquence de chaque bande.
• ChampsGain/Slope : permettent d’ajuster la quantité de gain pour chaque bande. Pour
les bandes 1 et 8, cette quantité modifie la pente du filtre.
• Champs Q : permet d’ajuster le « facteur Q » ou la résonance de chaque bande ; plage
de fréquences affectée autour de la fréquence centrale.
Remarque : le paramètreQ des bandes 1 et 8 n’a aucun effet lorsque la pente est définie
sur 6 dB/oct. Lorsque le paramètre Q des bandes est défini sur une valeur très élevée
comme 100, ces filtres n’affectent qu’une bande de fréquence très étroite et peuvent
être utilisés comme filtres de rupture.
Chapitre 5 Égaliseurs 121• Bouton Lien : active le couplage Gain-Q, qui ajuste automatiquement le facteurQ (bande
passante) lorsque vous augmentez ou réduisez le gain sur l’une des bandes de l’égaliseur,
afin de préserver la bande passante perçue de la courbe en cloche.
• Boutons du mode Analyzer (zone des paramètres étendus) : permet de sélectionner la
méthode Peak ou RMS.
• Curseur et champ Analyzer Decay (zone de paramètres étendus) : permettent d’ajuster le
taux de chute (en dB par seconde) de la courbe de l’Analyzer (chute de crête en mode
Peak ou chute moyenne en mode RMS)
• Menu local Gain-Q Couple (zone des paramètres étendus) : permet de sélectionner le
degré de couplage Gain-Q.
• Sélectionnez « strong » pour conserver la majorité de la bande passante perçue.
• Choisissez « light » ou « medium » pour pouvoir effectuer certaines modifications
lorsque vous augmentez ou diminuez le gain.
• Les réglages asymétriques entraînent un couplage plus fort pour les valeurs de gain
négatives que pour les valeurs positives, par conséquent la bande passante perçue
est mieux préservée lorsque vousréduisez le gain plutôt que lorsque vousl’amplifiez.
Remarque : si vous lancez l’automatisation du paramètre Q avec un réglage
Gain-Q-Couple différent, les valeurs réelles du facteur Q seront différentes de celles
constatées lors de l’enregistrement de l’automatisation.
Utilisation du module Channel EQ
La manière dont vous utilisez le Channel EQ dépend manifestement du matériel audio
et de ce que vous avez l’intention d’en faire. Toutefois, le flux de travaux suivant est utile
dans de nombreuses situations : réglez le Channel EQ sur une réponse plane (aucune
fréquence amplifiée ou réduite), activez l’Analyzer et lancez la lecture des données audio.
Gardez un œil sur l’écran graphique pour voir les parties du spectre de fréquence
présentant des crêtes fréquentes ou un spectre assez homogène. Faites bien attention
aux sections dans lesquelles le signal subit une distorsion ou se coupe. Utilisez l’écran
graphique ou les commandes de paramètre pour régler les bandes de fréquence à votre
guise.
Vous pouvez réduire et éliminer les fréquences indésirables et augmenter les fréquences
plus discrètes pour qu’elles soient plus prononcées. Vous pouvez régler les fréquences
du centre des bandes 2 à 7 pour affecter une fréquence spécifique : qu’il s’agisse d’une
note à mettre en évidence, comme la note de la tonalité ou d’une note à éliminer, comme
un ronflement ou tout autre bruit. Pendant ce temps, changez le paramètre Q afin qu’une
seule faible plage de fréquence soit affectée ou augmentez si vous voulez toucher une
grosse zone.
122 Chapitre 5 ÉgaliseursDansl’écran graphique, chaque bande de l’égaliseur apparaît avec une couleur différente.
Vous pouvez régler la fréquence d’une bande de façon graphique en la faisant glisser
horizontalement. Faites-la glisser à la verticale pour régler le gain de la bande. Pour les
bandes 1 et 8, les valeurs de la courbe ne peuvent être modifiées que dans la zone de
paramètres en dessous de l’écran graphique. Chaque bande possède un point de pivot
(un petit cercle sur la courbe), au niveau de la fréquence de la bande ; vous pouvez ajuster
le facteur Q ou la largeur de la bande en faisant glisser ce point de pivot verticalement.
Vous pouvez également ajuster l’échelle de décibels de l’écran graphique en faisant glisser
verticalement le bord gauche ou droit de l’écran où figure l’échelle dB lorsque l’Analyzer
n’est pas activé. Lorsqu’il est activé et que vous faites glisser le bord gauche, l’échelle de
dB linéaire est ajustée ;si vousfaites glisser le bord droit, c’est l’échelle de dB de l’analyseur
qui est ajustée.
Pour augmenter la résolution d’affichage de la courbe d’égalisation dans la zone la plus
intéressante, voisine de la ligne du zéro, faites glisser vers le haut l’échelle de dB située
sur le côté gauche de l’écran graphique. Faites-la glisser vers le bas pour réduire la
résolution.
Utilisation de l’Analyser Channel EQ
L’Analyzer, lorsqu’il est actif, utilise un processus mathématique appelé Transformée de
Fourier rapide (FFT) pour donner une courbe en temps réel pour tous les composants de
fréquence dans le signal entrant. Il est superposé aux courbes EQ déjà définies. La courbe
Analyzer utilise la même échelle que les courbes EQ, ce qui permet de mieux reconnaître
les fréquences importantes dans l’audio entrant. Cela facilite également la définition des
courbes de l’EQ pour augmenter ou baisser les niveaux de fréquence/plage de fréquence.
Les bandes dérivées de l’analyse FFT se divisent en une échelle logarithmique : il y a plus
de bandes dans les octaves hautes que basses.
Dès qu’Analyzer est activé, vous pouvez modifier l’échelle avec le paramètre Analyzer
Top,sur le côté droit de l’écran graphique. La zone visible représente une plage dynamique
de 60 dB. Faites glisser verticalement pour définir la valeur maximale entre +20 dB et
80 dB. L’écran Analyzer est toujours linéaire en dB.
Remarque : lorsque vous choisissez une résolution, n’oubliez pas que les grandes
résolutions nécessitent une puissance de traitement bien plus importante. La haute
résolution est nécessaire lorsque vous voulez une analyse précise de fréquences très
basses, par exemple. Nous vous recommandons de désactiver Analyzer ou de fermer la
fenêtre Channel EQ lorsque vous avez défini les paramètres EQ. Ainsi, une partie des
ressources de l’ordinateur seront libérées pour d’autres tâches.
Chapitre 5 Égaliseurs 123DJ EQ
Le module DJ EQ associe des filtres High et Low Shelving, chacun doté d’une fréquence
fixe, et un égaliseur paramétrique. Vous pouvez ajuster les paramètres Frequency, Gain
et Q-Factor de ce dernier. Le module DJ EQ permet de réduire le gain du filtre de − 30 dB
maximum.
• Curseur et champHigh Shelf : déterminent la quantité de gain pour le filtre High Shelving.
• Curseur et champ Frequency : déterminent la fréquence centrale de l’égaliseur
paramétrique.
• Curseur et champ Q-Factor : déterminent la plage (bande passante) de l’égaliseur
paramétrique.
• Curseur et champ Gain : déterminent la quantité de gain pour l’égaliseur paramétrique.
• Curseur et champ LowShelf : déterminent la quantité de gain pour le filtre Low Shelving.
124 Chapitre 5 ÉgaliseursFat EQ
Fat EQ est un égaliseur multibande polyvalent pouvant être utilisé sur des sources
individuelles ou des mixages généraux. Fat EQ propose jusqu’à cinq bandes de fréquence
avec un écran graphique des courbes EQ ainsi qu’un ensemble de paramètres pour chaque
bande.
Fat EQ comprend les paramètres suivants :
• Boutons Band Type : boutons situés au-dessus de l’écran graphique. Pour les bandes 1,
2 et 4, 5, cliquez sur l’une des paires de boutons pour sélectionner le type d’égaliseur
associé à la bande correspondante.
• Bande 1 : cliquez sur le bouton highpass ou low shelving.
• Bande 2 : cliquez sur le bouton low shelving ou parametric.
• Bande 3 : se comporte toujours comme une bande d’égaliseur paramétrique.
• Bande 4 : cliquez sur le bouton parametric ou high shelving.
• Bande 5 : cliquez sur le bouton high shelving ou lowpass.
• Écran graphique : affiche la courbe d’égalisation de chaque bande de fréquence.
• Champs Frequency : déterminent la fréquence de chaque bande.
• Potentiomètres Gain : permettent d’ajuster la quantité de gain pour chaque bande.
Chapitre 5 Égaliseurs 125• Champs Q : Déterminent le facteur Q ou la bande passante de chaque bande : la plage
de fréquences affectée autour de la fréquence centrale. Avec des valeurs faibles de
facteur Q, l’égaliseur couvre une plus large plage de fréquence. Pour les fortes valeurs
de facteur Q, l’effet de la bande d’EQ est limité à une plage de fréquences étroite. La
valeur Q peut donc jouer considérablement sur la perception des changements : si
vous travaillez sur une bande étroite de fréquences, il vous faut baisser ou augmenter
plus fortement pour pouvoir entendre la différence.
Remarque : pour les bandes 1 et 5, ces réglages modifient la pente du filtre.
• Boutons Band on/off : Activent/désactivent la bande correspondante.
• Curseur et champ Master Gain : définissent le niveau de sortie global du signal. À utiliser
après une augmentation ou une diminution des bandes de fréquence individuelles.
Linear Phase EQ
Le module de grande qualité Linear Phase EQ est très semblable au Channel EQ, puisqu’il
partage avec lui les mêmes paramètres et la même disposition à huit bandes. Le module
Linear Phase EQ utilise une technologie différente, en revanche, qui conserve parfaitement
la phase du signal audio. Cette cohérence de phase est assurée, même lorsque vous
appliquez les courbes EQ les plus saugrenues aux éléments transitoires de signal les plus
improbables.
Il existe une autre différence entre ces deux modules : le Linear Phase EQ utilise une
quantité fixe de ressources de l’ordinateur, quel que soit le nombre de bandes actives. Il
introduit également beaucoup plus de latence. Par conséquent, il est vivement
recommandé d'utiliser ce module pour la mastérisation de données audio précédemment
enregistrées. Ne l’utilisez pas pendant que vous jouez d’un instrument en direct, par
exemple.
Astuce : les paramètres du Channel EQ et du Linear Phase EQ sont quasiment identiques,
ce qui vous permet de copier les réglages de l’un pour les utiliser dans l’autre. Si vous
remplacez un effet Channel EQ par un effet Linear Phase EQ (ou vice versa) sur le même
logement Insert, les réglages sont automatiquement transférés vers le nouvel égaliseur.
126 Chapitre 5 ÉgaliseursParamètres du module Linear Phase EQ
Sur la gauche de la fenêtre Channel EQ se trouvent les commandes Gain et Analyzer. La
partie centrale de la zone comporte l’écran graphique et les paramètres de mise en forme
de chaque bande EQ.
Commandes Gain et Analyzer du module Linear Phase EQ
• Curseur et champ Master Gain : définissent le niveau de sortie global du signal. À utiliser
après une augmentation ou une diminution des bandes de fréquence individuelles.
• Bouton Analyzer : permet d’activer ou de désactiver l’Analyzer.
• Bouton Pre/Post EQ : lorsque le mode Analyzer est activé, ce bouton détermine si
l’Analyzer doit afficher la courbe de fréquence avant ou après application de l’égalisation.
• Menu local Resolution : Détermine la résolution d’échantillonage de l’analyseur, avec
les éléments de menu suivants: graves (1 024 points), médiums (2 048 points), et aigus
(4 096 points).
Section de l'écran graphique du module Linear Phase EQ
• Boutons Band on/off : cliquez pour activer ou désactiver la bande correspondante.
Chaque icône de bouton indique le type de filtre :
La bande 1 correspond à un filtre High Pass.
La bande 2 correspond à un filtre Low Shelving.
Les bandes 3 à 6 correspondent à des filtres paramétriques en cloche.
La bande 7 correspond à un filtre High Shelving.
La bande 8 correspond à un filtre Low Pass.
Chapitre 5 Égaliseurs 127• Écran graphique : affiche la courbe de chaque bande de l’égaliseur.
• Glissez horizontalement dans la section d’écran qui englobe chaque bande pour
régler la fréquence de la bande.
• Glissez horizontalement dans la section d’écran qui englobe chaque bande pour
régler la fréquence de chaque bande (sauf pour les bandes 1 et 8). L’écran reflète
immédiatement les modifications apportées.
• Glissez le point de pivot de chaque bande pour régler le facteur Q. Q s’affiche à côté
du curseur lorsque la souris est placée sur un point de pivot.
Section des paramètres du module Linear Phase EQ
• Champs Frequency : permettent d’ajuster la fréquence de chaque bande.
• ChampsGain/Slope : permettent d’ajuster la quantité de gain pour chaque bande. Pour
les bandes 1 et 8, cette quantité modifie la pente du filtre.
• Champs Q : ajustent le « facteur Q » ou la résonance de chaque bande : la plage de
fréquences affectée autour de la fréquence centrale.
Remarque : le paramètreQ des bandes 1 et 8 n’a aucun effet lorsque la pente est définie
sur 6 dB/oct. Lorsque le paramètre Q des bandes est défini sur une valeur très élevée
(comme 100), ces filtres n’affectent qu’une bande de fréquence très étroite et peuvent
être utilisés comme filtres de rupture.
• Bouton Lien : active le couplage Gain-Q, qui ajuste automatiquement le facteurQ (bande
passante) lorsque vous augmentez ou réduisez le gain sur l’une des bandes de l’égaliseur,
afin de préserver la bande passante perçue de la courbe en cloche.
• Boutons du mode Analyzer (zone des paramètres étendus) : permet de sélectionner la
méthode Peak ou RMS.
• Curseur et champ Analyzer Decay (zone de paramètres étendus) : permettent d’ajuster le
taux de chute (en dB par seconde) de la courbe de l’Analyzer (chute de crête en mode
Peak ou chute moyenne en mode RMS)
• Menu local Gain-Q Couple (zone des paramètres étendus) : permet de sélectionner le
degré de couplage Gain-Q.
• Réglez Gain-Q Couple sur « strong » pour conserver la majorité de la bande passante
perçue.
• Les réglages « Light » et « medium » permettent d'effectuer certaines modifications
lorsque vous augmentez ou diminuez le gain.
• Les réglages asymétriques entraînent un couplage plus fort pour les valeurs de gain
négatives que pour les valeurs positives, par conséquent la bande passante perçue
est mieux préservée lorsque vousréduisez le gain plutôt que lorsque vousl’amplifiez.
128 Chapitre 5 ÉgaliseursRemarque : si vous lancez l’automatisation du paramètre Q avec un réglage
Gain-Q-Couple différent, les valeurs réelles du facteur Q seront différentes de celles
constatées lors de l’enregistrement de l’automatisation.
Utilisation du module Linear Phase EQ
Le module Linear Phase EQ est généralement utilisé comme utilitaire de mastérisation
et est donc généralement inséré dans les bandes de canaux originales ou de sortie. La
manière dont vous utilisez le module Linear Phase EQ dépend manifestement du matériel
audio et de ce que vous avez l'intention d'en faire. Toutefois, le flux de travaux suivant
est utile dans de nombreuses situations : réglez le Linear Phase EQ sur une réponse plane
(aucune fréquence amplifiée ou réduite), activez l’Analyzer et lancez la lecture des données
audio. Gardez un œil sur l’écran graphique pour voir les parties du spectre de fréquence
présentant des crêtes fréquentes ou un spectre assez homogène. Faites bien attention
aux sections dans lesquelles le signal subit une distorsion ou se coupe. Utilisez l’écran
graphique ou les commandes de paramètre pour régler les bandes de fréquence à votre
guise.
Vous pouvez réduire et éliminer les fréquences indésirables et augmenter les fréquences
plus discrètes pour qu’elles soient plus prononcées. Vous pouvez régler les fréquences
du centre des bandes 2 à 7 pour affecter une fréquence spécifique : qu’il s’agisse d’une
note à mettre en évidence, comme la note de la tonalité ou d’une note à éliminer, comme
un ronflement ou tout autre bruit. Pendant ce temps, changez le paramètre Q afin qu’une
seule faible plage de fréquence soit affectée ou augmentez si vous voulez toucher une
grosse zone.
Dansl’écran graphique, chaque bande de l’égaliseur apparaît avec une couleur différente.
Vous pouvez régler la fréquence d’une bande de façon graphique en la faisant glisser
horizontalement. Faites-la glisser à la verticale pour régler le gain de la bande. Pour les
bandes 1 et 8, les valeurs de la courbe ne peuvent être modifiées que dans la zone de
paramètres en dessous de l’écran graphique. Chaque bande possède un point de pivot
(un petit cercle sur la courbe), au niveau de la fréquence de la bande ; vous pouvez ajuster
le facteur Q ou la largeur de la bande en faisant glisser ce point de pivot verticalement.
Vous pouvez également ajuster l’échelle de décibels de l’écran graphique en faisant glisser
verticalement le bord gauche ou droit de l’écran où figure l’échelle dB lorsque l’Analyzer
n’est pas activé. Lorsqu’il est activé et que vous faites glisser le bord gauche, l’échelle de
dB linéaire est ajustée ;si vousfaites glisser le bord droit, c’est l’échelle de dB de l’analyseur
qui est ajustée.
Pour augmenter la résolution d’affichage de la courbe d’égalisation dans la zone la plus
intéressante, voisine de la ligne du zéro, faites glisser vers le haut l’échelle de dB située
sur le côté gauche de l’écran graphique. Faites-la glisser vers le bas pour réduire la
résolution.
Chapitre 5 Égaliseurs 129Utilisation d’Analyzer dans le module Linear Phase EQ
L’Analyzer, lorsqu’il est actif, utilise un processus mathématique appelé Transformée de
Fourier rapide (FFT) pour donner une courbe en temps réel pour tous les composants de
fréquence dans le signal entrant. Il est superposé aux courbes EQ déjà définies. La courbe
Analyzer utilise la même échelle que les courbes EQ, ce qui permet de mieux reconnaître
les fréquences importantes dans l’audio entrant. Cela facilite également la définition des
courbes de l’EQ pour augmenter ou baisser les niveaux de fréquence ou plages de
fréquences.
Les bandes dérivées de l’analyse FFT sont divisées conformément au principe linéaire de
fréquence : il y a davantage de bandes dans les octaves aiguës que dans les octaves
graves.
Dès qu’Analyzer est activé, vous pouvez modifier l’échelle avec le paramètre Analyzer
Top,sur le côté droit de l’écran graphique. La zone visible représente une plage dynamique
de 60 dB. Faites glisser verticalement pour définir la valeur maximale entre +20 dB et
-40 dB. L’écran Analyzer est toujours linéaire en dB.
Remarque : lorsque vous choisissez une résolution, n’oubliez pas que les grandes
résolutions nécessitent une puissance de traitement bien plus importante. La haute
résolution est nécessaire lorsque vous voulez une analyse précise de fréquences très
basses, par exemple. Nous vous recommandons de désactiver Analyzer ou de fermer la
fenêtre Linear Phase EQ lorsque vous avez défini les paramètres EQ appropriés. Ainsi, une
partie des ressources de l’ordinateur seront libérées pour d’autres tâches.
Match EQ
Le module Match EQ vous permet d’enregistrer le spectre de fréquences moyen d’un
fichier audio sous la forme d’un modèle, puis d’appliquer ce modèle à un autre signal
audio de sorte que ce dernier adopte lui aussi le spectre du fichier d’origine. C’est ce que
l’on appelle également une empreinte EQ, puisqu’une empreinte du son est appliquée à
un autre signal.
Le module Match EQ vous permet de faire correspondre la qualité tonale ou le son global
de différents morceaux à insérer dans un album, par exemple, ou de transmettre la couleur
de n’importe quel enregistrement source à votre projet.
130 Chapitre 5 ÉgaliseursLe module Match EQ est un égaliseur qui analyse ou identifie le spectre de fréquences
d’un signal audio, tel qu’un fichier audio, une bande de canaux ou un modèle. Le spectre
de fréquence moyen du fichier source (le modèle) et le matériel actuel (il peut s’agir d’un
projet entier ou de bandes de canaux séparées qui le composent)sont analysés. Ces deux
spectres sont ensuite mis en correspondance, créant ainsi une courbe de filtre. Cette
courbe de filtre adapte la réponse de fréquence du morceau en cours pour qu’elle
corresponde à celle du modèle. Avant d’appliquer la courbe de filtre, vous pouvez la
modifier en amplifiant ou en réduisant le nombre de fréquences de votre choix ou bien
en inversant la courbe.
L’analyseur vous permet d’effectuer une comparaison visuelle du spectre de fréquences
du fichiersource et celui de la courbe obtenue. Ainsi, il est beaucoup plusfacile d’apporter
manuellement des corrections sur des points spécifiques du spectre.
Vous pouvez utiliser le module Match EQ de différentesfaçons,selon ce que voussouhaitez
faire et en fonction des données audio utilisées. En règle générale, il vous permet de faire
ressembler le son de votre mix à celui d’un enregistrement existant (le vôtre ou celui d’un
autre artiste).
Remarque : bien que le module Match EQ corresponde acoustiquement à la courbe de
fréquence de deux signaux audio, il ne fait pas correspondre les différences dynamiques
entre les deux signaux.
Paramètres du module Match EQ
Match EQ comprend les paramètres suivants :
Paramètres de l’Analyzer Match EQ
• Bouton Analyzer : active ou désactive la fonction Analyzer.
Chapitre 5 Égaliseurs 131• Bouton Pre/Post : détermine si l’Analyzer étudie le signal avant que la courbe de filtre
soit appliquée (Pre) ou après (Post).
• Menu local View : Indique les informations affichées sur l’écran graphique. Les choix
disponibles sont les suivants :
• Automatic : Affiche les informations de la fonction actuelle, comme le détermine le
bouton actif endessous de l’écran graphique.
• Template : affiche le modèle de courbe de fréquence appris pour le fichier source. Il
s’affiche en rouge.
• CurrentMaterial : affiche la courbe de fréquences pour l’audio appris comme matériel
actuel. Elle s’affiche en vert.
• Filter : affiche la courbe de filtre créée lors de l’homogénéisation du modèle et du
morceau en cours. Elle s’affiche en jaune.
• Bouton View: Détermine si les courbes distinctes sont affichées par Analyzer (L&R pour
les canaux stéréo, All Cha pour les canaux surround) ou s’il affiche le niveau maximal
cumulé (LR Max pour les canaux stéréo, Cha Max pour les canaux surround).
Remarque : les paramètres View sont désactivés lorsque vous utilisez l’effet sur un
canal mono.
• Bouton Select : Détermine si les changements effectués sur la courbe de filtre (créée
par l'homogénéisation du modèle avec le morceau actuel) sont appliqués au canal
gauche (L), au canal droit (R), ou aux deux (L+R).
Remarque : les paramètres Select sont désactivés lorsque vous utilisez l’effet sur un
canal mono.
• Menu Select(pourlesinstances Surround uniquement) : Les boutons Selectsont remplacés
par le menu Select, ce qui permet de choisir un canal individuel ou tous les canaux.
Les changements effectués sur la courbe de filtre affectent le canal choisi lorsqu’un
canal est sélectionné.
• Curseur et champ Channel Link : Affine les réglages définis à l’aide des boutons ou du
menu Select.
• Si ce curseur est réglé sur 100%, tous les canaux (gauche et droite pour des données
stéréo, tous les canaux pour un fichier surround) sont représentés par une courbe
d’égalisation commune.
• S’il est réglé sur 0%, une courbe de filtre distincte s’affiche pour chaque canal. Utilisez
les boutons Select ou le menu Select pour choisir chaque canal.
• Les réglages entre 0 et 100% vous permettent de mélanger ces valeurs avec les
changements de la courbe de filtre pour chaque canal. Cela donne une courbe
hybride.
Remarque : les paramètres Channel Link sont désactivés lorsque vous utilisez l’effet
sur un canal mono.
132 Chapitre 5 Égaliseurs• Boutons LFE Handling (zone des paramètres étendus) : Dans des instances Surround, ces
boutons vous permettent de traiter ou de contourner le canal LFE.
Paramètres Match EQ Display, Learn et Match
• Écran graphique : affiche la courbe de filtre créée lors de l’homogénéisation du modèle
et du morceau en cours. Vous pouvez modifier cette courbe de filtre (reportez-vous à
la rubrique Modification de la courbe de filtre Match EQ).
• Bouton Template Learn : cliquez sur ce bouton pour lancer le processus d’identification
du spectre de fréquences du fichier source. Cliquez à nouveau dessus pour arrêter le
processus.
• Bouton Current Material Learn : cliquez sur ce bouton pour lancer le processus
d’identification du spectre de fréquences du projet que vous souhaitez homogénéiser
avec le fichier source. Cliquez à nouveau dessus pour arrêter le processus.
• Bouton Current Material Match : homogénéise le spectre de fréquences du morceau en
cours avec celui du fichier modèle (source).
Paramètres de traitement Match EQ
• Menu local Phase : Active le principe opérationnel de la courbe de filtre.
• Linear permet d'éviter que le traitement ne modifie la phase du signal, mais le temps
de latence du module est augmenté.
• Minimal modifie la phase du signal (légèrement), maisle temps de latence est réduit.
• Minimal, Zero Latency n'ajoutent aucune latence, mais ont une demande de CPU
plus importante que les autres options.
• Curseur et champ Apply : détermine l’impact de la courbe de filtre sur le signal.
• Les valeurs au-dessus de 100% augmentent l’effet.
• Les valeurs en dessous de 100% le réduisent.
• Les valeurs négatives (-1% à -100%) inversent les crêtes et les creux de la courbe de
filtre.
• Une valeur de 100 % n’a pas d’impact sur la courbe de filtre.
• Curseur et champ de lissage : définit le lissage de la courbe de filtre, en utilisant une
bande passante définie par étapes de demi-tons. Une valeur de 0.0 % n’a pas d’impact
sur la courbe de filtre. Une valeur de 1.0 indique un lissage de la bande passante d’un
demi-ton. Une valeur de 4.0 indique un lissage de la bande passante de quatre demi-tons
(une tierce majeure). Une valeur de 12.0 indique un lissage de la bande passante d’une
octave, etc.
Remarque : le lissage n’a pas d’incidence sur les modifications que vous apportez
manuellement à la courbe de filtre.
• Case Fade Extremes (zone des paramètres étendus) : Cochez cette case pour lisser la
courbe de filtre au niveau des extrêmes graves et aigus du spectre de fréquences.
Chapitre 5 Égaliseurs 133Utilisation du module Match EQ
Voici un exemple d’utilisation courante que vous pouvez adapter à votre propre flux de
travaux. Dans cet exemple, le spectre de fréquences d’un mix est adapté à celui d’un
fichier audio source.
Pour apprendre ou créer un modèle Match EQ
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites glisser un fichier audio sur le bouton Template Learn du Finder et sélectionnez la
bande de canaux source comme entrée latérale. Voir cidessous.
µ Utilisez le Match EQ sur la bande de canaux source et enregistrez le réglage. Importez ce
réglage dans l'instance cible Match EQ. Voir cidessous.
Pour adapter l’égalisation d’un mix de projet à celle d’un fichier audio source
1 Dans le projet que vous souhaitez adapter au fichier audio source, créez une instance
Match EQ (en général avec une sortie 1-2).
2 Faites glisser le fichier audio source sur le bouton Template Learn.
3 Revenez au début de votre mix, cliquez sur Current Material Learn, puis lancez la lecture
(du morceau en cours) du début jusqu’à la fin.
4 Une fois terminé, cliquez sur Current Material Match (cela désactive automatiquement le
bouton Current Material Learn).
Pour utiliser l'égalisation obtenue sur une bande de canaux :
1 Choisissez la bande de canaux à faire concorder dans le menu Sidechain de la fenêtre
Match EQ.
2 Cliquez sur le bouton Template Learn.
3 Lisez le fichier audio source du début à la fin, puis cliquez à nouveau sur le bouton
Template Learn (pour arrêter le processus d'apprentissage).
4 Revenez au début de votre mix, cliquez sur Current Material Learn, puis lancez la lecture
(du morceau en cours) du début jusqu’à la fin.
5 Une fois terminé, cliquez sur Current Material Match (cela désactive automatiquement le
bouton Current Material Learn).
Le Match EQ crée une courbe de filtre basée sur les différences entre le spectre du modèle
et celui du morceau en cours. Cette courbe compense automatiquement les écarts de
gain entre le modèle et le morceau en cours, d’où un résultat avec une courbe d’égalisation
référencée sur 0 dB. Une courbe de réponse de filtre jaune s'affiche sur l'écran graphique,
présentant le spectre moyen de votre mixage. Cette courbe se rapproche du (reflète le)
spectre moyen de votre fichier audio source.
134 Chapitre 5 ÉgaliseursVous pouvez faire glisser un fichier audio sur le bouton Template Learn ou Current Material
Learn pour l’utiliser en tant que modèle ou morceau en cours. Une barre de progression
apparaît pendant que le module Match EQ analyse le fichier. Vous pouvez également
charger un fichier de réglage de module précédemment enregistré ou importer les
réglages d’une autre instance Match EQnon enregistrée en faisant un copier-coller.
Lorsque vous cliquez sur l’un des boutons Learn, le paramètre View est définisur Automatic
et l’écran graphique affiche la courbe de fréquence de la fonction correspondant au
bouton sélectionné. Vous pouvez consulter n’importe quelle courbe de fréquence
lorsqu’aucun fichier n’est en cours de traitement, il vous suffit de sélectionner l’une des
autres options View.
La courbe de filtre est automatiquement mise à jour chaque fois que le spectre d’un
nouveau modèle ou du morceau en cours est identifié ou chargé, dès que le bouton
Match est activé. Vous pouvez passer de la courbe de filtre adaptée (et éventuellement
mise à l’échelle et/ou modifiée manuellement) à une réponse plane en activant ou en
désactivant le bouton Match.
Vous ne pouvez activer qu’un seul des boutons Learn à la fois. Ainsi, si le bouton Learn
de la section Template est activé et que vous appuyez sur le bouton Learn de la section
Current Material, l’analyse du fichier modèle s’interrompt, l’état en cours est utilisé comme
modèle spectral et l’analyse du signal audio entrant (Current Material) commence.
Remarque : chaque fois que vous homogénéisez deux signaux audio (que ce soit en
chargeant ou en identifiant un nouveau spectre alors que le bouton Match est activé ou
en activant le bouton Match après avoir chargé un nouveau spectre), toutes les
modifications apportées à la courbe de filtre sont ignorées et le paramètre Apply est
défini sur 100 %.
Par défaut, le curseur Apply est réglé sur 100 % lorsque vous identifiez la courbe de
fréquence d’un signal audio. Dans bon nombre de cas, vous devrez légèrement la réduire
pour éviter que des changements de spectre brusques se produisent dans votre mix. Il
est également recommandé d’utiliser le curseur de lissage pour ajuster les détails de
spectre de la courbe d’égalisation générée.
Utilisation du menu contextuel Match EQ
Cliquez sur le bouton Learn en maintenant la touche Contrôle enfoncée (ou clic droit)
pour ouvrir un menu local. Il propose les commandes qui peuvent être appliquées au
spectre du modèle ou au morceau actuel.
• Spectre Clear Current Material : efface le spectre actuel.
• Copy Current Spectrum: copie le spectre actuel dansle Presse-papiers(il peut être utilisé
par n’importe quelle instance Match EQ du projet actuel).
• Paste Current Spectrum : colle le contenu du Presse-papiers dans l’instance Match EQ
actuelle.
Chapitre 5 Égaliseurs 135• Load Current Material Spectrum from setting file : charge le spectre à partir d’un fichier
de réglage enregistré.
• Generate Current Material Spectrum from audio file : génère un spectre de fréquence
pour un fichier audio que vous avez choisi.
Modification de la courbe de filtre Match EQ
Vous pouvez modifier la courbe de filtre graphiquement dansl’écran graphique en réglant
différents points affichés sur chaque bande. À mesure que vous faites glisser le curseur,
les valeurs en cours apparaissent dans un petit encadré à l’intérieur de l’écran graphique,
ce qui vous permet de faire des ajustements précis directement dans le graphique.
Pour régler les valeurs de courbe Match EQ
µ Faites glisser le curseur horizontalement pour changer la fréquence de crête de la bande
concernée (sur l’ensemble du spectre).
µ Faites-la glisser à la verticale pour régler le gain de la bande.
µ Faites-la glisser à la verticale en maintenant la touche Maj enfoncée et réglez le facteur
Q.
µ Faites glisser tout en maintenant la touche Option enfoncée pour réinitialiser le gain à
0 dB.
Remarque : si vous modifiez manuellement la courbe de filtre, vous pouvez restaurer sa
forme initiale (ou plane) en appuyantsur Option et en cliquantsur l’arrière-plan de l’écran
de l’analyseur. Cliquez une nouvelle foissur l’arrière-plan en maintenant la touche Option
enfoncée pour restaurer la courbe la plus récente.
Le facteur Q du filtre est déterminé (et réglé) par la distance verticale entre le point où
vous cliquez et la courbe.
Pour régler le facteur Q du module Match EQ
µ Cliquez directement sur la courbe pour régler la valeur maximale du facteur Q,
c’est-à-dire 10 (pour les filtres de rupture).
µ Cliquez au-dessus ou en dessous de la courbe pour diminuer la valeurQ. Plus vous cliquez
loin de la courbe, plus la valeur sera faible (jusqu’à un minimum de 0.3).
Les couleurs et les modes des échelles de décibels situées à gauche et à droite de l’écran
sont automatiquement adaptés à la fonction active. Si l’analyseur est actif, l’échelle de
gauche affiche le spectre moyen dans le signal, tandis que l’échelle de droite sert de
référence pour les valeurs de crête de l’analyseur. Par défaut, une plage dynamique de
60 dB s’affiche. Si ce n’est pas assez précis pour vos modifications, vous pouvez augmenter
la plage.
Pour modifier l’échelle de la plage du module Match EQ
µ Faites glisser l’échelle pour la régler sur des valeurs entre +20 dB et -100 dB.
136 Chapitre 5 ÉgaliseursPour modifier la valeur du gain Match EQ avec les échelles
µ Faites glisser les échelles pour régler le gain général de la courbe de filtre de -30 à +30 dB.
L’échelle de gauche, et celle de droite si Analyzer est inactif, indique les valeurs en dB de
la courbe de filtre dans la couleur appropriée.
Égaliseurs monobandes
Les rubriques ci-dessous vous proposent une description des effets d’égaliseurs
monobandes de Logic Pro suivants :
• Low Cut et High Cut Filter
• High Pass et Low Pass Filter
• High Shelving et Low Shelving EQ
• Égaliseurs paramétriques
Vous pouvez accéder à ces effets en ouvrant le menu du module et en sélectionnant EQ
> Monobande.
Low Cut et High Cut Filter
Le filtre Low Cut atténue la plage de fréquence qui tombe en dessous de la fréquence
sélectionnée. Le filtre High Cut atténue la plage de fréquence au-dessus de la fréquence
sélectionnée. Utilisez le champ et le curseur Frequency pour régler la fréquence de
coupure.
High Pass et Low Pass Filter
Le High Pass Filter (filtre passe-haut) affecte la plage de fréquencesinférieure à la fréquence
définie. Le filtre laisse passer uniquement les fréquences supérieures à cette dernière.
Vous pouvez utiliser le High Pass Filter pour éliminer les basses situées en dessous d’une
fréquence donnée.
Chapitre 5 Égaliseurs 137Par opposition, le Low Pass Filter affecte la plage de fréquences supérieure à la fréquence
sélectionnée.
• Curseur et champ Frequency : définissent la fréquence de coupure.
• Curseur et champ Order : définissent l’ordre de filtrage. Plus vous utilisez d’ordre, plus
l’effet filtrant est important.
• Curseur et champ de lissage : ajustent le degré de lissage, en millisecondes.
High Shelving et Low Shelving EQ
L’égaliseur Low Shelving n’affecte que la plage de fréquence qui tombe en dessous de
la fréquence sélectionnée. L’égaliseur High Shelving n’affecte que la plage de fréquence
au-dessus de la fréquence sélectionnée.
• Curseur et champ Gain : définissent la coupure et l’augmentation.
• Curseur et champ Frequency : définissent la fréquence de coupure.
138 Chapitre 5 ÉgaliseursÉgaliseurs paramétriques
Le module Parametric EQ est un simple filtre doté d’une fréquence centrale variable. Il
peut être utilisé pour amplifier ou réduire toute bande de fréquence du spectre audio,
soit avec une plage de fréquences étendue,soitsousla forme d’un filtre de rupture associé
à une plage très étroite. Ainsi, une plage de fréquences symétrique de part et d’autre de
la fréquence centrale est amplifiée ou réduite.
• Curseur et champ Gain : définissent la coupure et l’augmentation.
• Curseur et champ Frequency : définissent la fréquence de coupure.
• Curseur et champ Q-Factor : permettent d’ajuster le facteur Q (bande passante).
Silver EQ
Le module Silver EQ comprend trois bandes : High Shelving EQ, Parametric EQ et Low
Shelving EQ. Vous pouvez régler les fréquences de coupure des égaliseurs de plateau des
aigus et de plateau des graves. Vous pouvez ajuster la fréquence centrale, le gain, et le
facteur Q pour les égaliseurs paramétriques.
• Curseur et champ High Shelf : Définissent le niveau de l’égaliseur de plateau des aigus.
Chapitre 5 Égaliseurs 139• Curseur et champ High Frequency : définissent la fréquence de coupure pour l’égaliseur
High Shelving.
• Curseur et champ Frequency : déterminent la fréquence centrale de l’égaliseur
paramétrique.
• Curseur et champQ-Factor: permettent d’ajuster la plage (bande passante) de l’égaliseur
paramétrique.
• Curseur et champ Gain : Déterminent la réduction ou l’amplification du gain pour
l’égaliseur paramétrique.
• Curseur et champ Low Shelf : Définissent le niveau de l’égaliseur de plateau des graves.
• Curseur et champ Low Frequency : définissent la fréquence de coupure pour l’égaliseur
Low Shelving.
140 Chapitre 5 ÉgaliseursOn utilise les filtres pour mettre en évidence ou supprimer des fréquences dans un signal
audio, ce modifie la couleur tonale de l’audio.
Logic Pro propose toute une gamme d’effets complexes à filtres qui vous permettent de
modifier votre audio de façon créative. Ces effetssont le plussouvent utilisés pour modifier
radicalement le spectre de fréquences d’un son ou d’un mixage.
Remarque : les égaliseurs(EQ)sont desfiltres d’un genre particulier. Ilssont généralement
utilisés en tant qu’outils permettant d’affiner le spectre de fréquences d’un son ou d’un
mixage. Consultez Égaliseurs.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• AutoFilter (p 141)
• EVOC 20 Filterbank (p 147)
• EVOC 20 TrackOscillator (p 153)
• Fuzz-Wah (p 166)
• Spectral Gate (p 169)
AutoFilter
Le module AutoFilter est un effet de filtre polyvalent offrant plusieursfonctionsspécifiques.
Vous pouvez l’utiliser pour créer des effets de synthétiseur analogique classique ou comme
outil de conception sonore créatif.
L’effet fonctionne par analyse des niveaux de signaux entrants à travers l’utilisation d’un
paramètre de seuil. Tout niveau de signal au-dessus de ce seuil sert alors de déclencheur
d’enveloppe ADSR semblable à celle d’un synthétiseur ou d’oscillateur sub-audio (LFO).
Ces sources de contrôle sont utilisées pour moduler de façon dynamique la coupure de
filtre.
Le module AutoFilter vous permet de choisir parmi une variété de types et de pentes de
filtres, contrôler le niveau de résonance, ajouter un effet de distorsion pour obtenir des
sons plus agressifs et mélanger le signal sec d’origine avec le signal traité.
141
Effets de filtre
6Présentation de l’interface AutoFilter
Les zones principales de la fenêtre AutoFilter sont les sections des paramètres Threshold,
Envelope, LFO, Filter, Distortion et Output.
Paramètre Threshold Paramètres d’enveloppe Paramètres Filter
Paramètres de l’effet
Distortion
Paramètres LFO
Paramètres Output
• Paramètre Threshold : définit le niveau d’entrée au-delà duquel se déclenchent
l’enveloppe ou le LFO qui sont utilisés pour moduler de façon dynamique la fréquence
de coupure du filtre. Consultez Paramètre Threshold du module AutoFilter.
• Paramètres d’enveloppe : définissent comment la fréquence de coupure de filtre est
modulée dans le temps. Consultez AutoFilterparamètres Envelope.
• Paramètres LFO : définit comment la fréquence de coupure de filtre est modulée par
l’oscillateur sub-audio. Consultez AutoFilterparamètres LFO.
• Paramètres Filter : contrôle la couleur de la tonalité du son filtré. Consultez
AutoFilterparamètres Filter.
• Paramètres de l’effet Distortion : applique une distorsion au signal, avant et après le
filtre. Consultez AutoFilterparamètres de l’effet Distortion.
• Paramètres Output : définit le niveau du signal sec et humide. Consultez
AutoFilterparamètres Output.
142 Chapitre 6 Effets de filtreParamètre Threshold du module AutoFilter
Le paramètre Threshold analyse le niveau du signal d’entrée. S’il dépasse le niveau du
seuil défini, l’enveloppe ou le LFO se déclenche. Ceci n’est valable que lorsque le bouton
Retrigger est actif.
Vous pouvez utiliser l’enveloppe et le LFO pour moduler la fréquence de coupure du
filtre.
AutoFilterparamètres Envelope
L’enveloppe est utilisée pour mettre en forme la coupure de filtre dans le temps. Lorsque
le signal d’entrée dépasse le niveau de seuil défini, l’enveloppe se déclenche.
• Potentiomètre et champ Attack : définissent le temps d’attaque de l’enveloppe.
• Potentiomètre et champ Decay : définissent le temps de chute de l’enveloppe.
• Potentiomètre et champ Sustain : définissent le temps de maintien de l’enveloppe. Si le
signal d’entrée est en dessous du niveau de seuil avant la phase de maintien de
l’enveloppe, la phase de libération se déclenche.
• Potentiomètre et champ Release : définisssent le temps de libération de l’enveloppe (elle
est libérée dès que le signal d’entrée passe en dessous du seuil).
• Potentiomètre et champ Dynamic : détermine l’importance de la modulation du signal
d’entrée. Vous pouvez moduler une valeur de crête de la section Envelope en modifiant
cette commande.
Chapitre 6 Effets de filtre 143• Curseur et champ Cutoff Mod. : détermine l’impact de la courbe de l’enveloppe sur la
fréquence de coupure.
AutoFilterparamètres LFO
Le LFO sert de source de modulation pour la coupure de filtre.
• Potentiomètre Coarse Rate, curseur et champ Fine Rate : utilisés pour régler la vitesse de
modulation du LFO. Faites glisser le potentiomètre Coarse Rate pour définir la fréquence
du LFO en Hertz. Faites glisser le curseur Fine Rate (curseur circulaire au-dessus du
potentiomètre Coarse Rate) pour régler la fréquence avec précision.
Remarque : les étiquettes du potentiomètre, du curseur et du champ Rate changent
lorsque vous activez Beat Sync. Seul le potentiomètre (et le champ) Rate est disponible.
• Bouton Beat Sync : Cliquez dessus poursynchroniser le LFO avec le tempo de l’application
hôte. Vous pouvez choisir dans les valeurs de barre, les valeurs de triolet et plus. Vous
pouvez faire ce réglage avec le potentiomètre ou le champ Rate.
• Potentiomètre et champ Phase : change la relation de phase entre le débit LFO et le
tempo de l’application hôte lorsque Beat Sync est activé. Ce paramètre s’affiche en gris
lorsque Beat Sync est désactivé.
• PotentiomètreDecay/Delay : définit le temps nécessaire pour que l’oscillateursub-audio
passe de 0 à sa valeur maximale.
• Potentiomètre et champ Rate Mod. : définissent le taux de modulation de la fréquence
de l’oscillateursub-audio, indépendamment du niveau du signal d’entrée. Généralement,
lorsque le signal d’entrée dépasse le seuil Threshold, la largeur de modulation de
l’oscillateur sub-audio passe de 0 à la valeur entrée pour Rate Mod. Ce paramètre vous
permet de pousser ce comportement.
• Potentiomètre et champ Stereo Phase : danslesinstancesstéréo de l’Autofilter, définissent
les relations de phase des modulations de l’oscillateur sub-audio sur les deux canaux
stéréo.
• Curseur et champ Cutoff Mod. : détermine l’impact de la courbe du LFO sur la fréquence
de coupure.
144 Chapitre 6 Effets de filtre• Bouton Retrigger : Si le bouton Retrigger est activé, la forme d’onde commence à 0
chaque fois que le seuil Threshold est dépassé.
• Boutons Waveform : Cliquez sur l’un des boutons suivants pour régler la forme d’onde
de LFO : dent de scie descendante, dent de scie ascendante, triangle, forme d’onde
d’impulsion, ou aléatoire.
• Curseur et champ PulseWidth : met en forme la courbe de la forme d’onde sélectionnée.
AutoFilterparamètres Filter
Les paramètres Filter vous permettent de définir avec précision la couleur de la tonalité.
• Potentiomètre et champ Cutoff : définit la fréquence de coupure du filtre. Les hautes
fréquences sont atténuées et les basses fréquences peuvent passer grâce à un filtre
passe-bas. L’inverse est également vrai avec un filtre passe-haut. Lorsque le filtre State
Variable est en mode bandpass(BP), la coupure de filtre détermine la fréquence centrale
de la bande de fréquence autorisée à passer.
• Potentiomètre et champ Resonance : augmente ou coupe les signaux dans la bande de
fréquence autour de la fréquence de coupure. L’utilisation de hautes valeurs de
résonance engendre un début d’oscillation sur le filtre à la fréquence de coupure. Cette
oscillation apparaît avant que la valeur maximale de résonance soit atteinte.
• Curseur et champ Fatness : Augmente le niveau du contenu basse fréquence. Si vous
définissez le paramètre Fatness sur sa valeur maximale, le réglage de la résonance
n’aura aucun effet sur les fréquences situées en deçà de la fréquence de coupure. Ce
paramètre est utilisé pour compenser un son faible ou cassant généré par des valeurs
hautes de résonance, en mode filtre passe-bas.
• Boutons State Variable Filter : fait passer le filtre en mode passe-haut (HP), passe-bande
(BP), ou passe-bas (LP).
• Boutons 4-Pole Lowpass Filter : définit la pente du filtre sur 6, 12, 18, ou 24 dB par octave,
lorsque le filtre passe-bas (LP) est choisi par le filtre State Variable.
Chapitre 6 Effets de filtre 145AutoFilterparamètres de l’effet Distortion
Les paramètres de distorsion peuvent être utilisés pour pousser l’entrée ou la sortie de
filtre. Les modules de distorsion d’entrée et de sortie sont identiques, mais leur position
respective sur le parcours du signal, respectivement avant et après le filtre, produit des
sons très différents.
• Potentiomètre et champ Input : définit le niveau de la distorsion appliquée avant la
section de filtre.
• Potentiomètre et champ Output : définit le niveau de la distorsion appliquée après la
section de filtre.
AutoFilterparamètres Output
Les paramètres de sortie sont utilisés pour définir la balance humide/sec et le niveau
général.
• Curseur et champ Dry Signal : définissent la portion de signal d’origine sec ajoutée au
signal filtré.
146 Chapitre 6 Effets de filtre• Curseur et champ Main Out : Définit le niveau de sortie total du module AutoFilter, ce
qui vous permet de compenser les hauts niveaux générés par l’ajout de distorsion ou
par le processus de filtrage en lui-même.
EVOC 20 Filterbank
L’EVOC 20 Filterbank comprend deux banques de filtre à formant. Le signal d’entrée
traverse ces deux banques de filtres en parallèle. Chaque banque dispose de curseurs de
volume pour 20 bandes de fréquences maximum, vous permettant de régler le volume
de chaque bande indépendamment. En réglant un curseur sur sa valeur minimale, vous
supprimez complètement lesformants de la bande correspondante. Vous pouvez contrôler
la position des bandes du filtre avec le paramètre Formant Shift. Vous avez également la
possibilité de réaliser un fondu enchaîné entre les deux banques de filtres.
Brève présentation des formants
Un formant est une crête dans le spectre de fréquences d’un son. Lorsque ce terme est
employé par rapport à la parole, les formants constituent le composant clé qui permet
aux humains de distinguer les différents sons de voyelles en se basant uniquement sur
la fréquence de ces sons. Les formants de discours et de chansons sont générés par le
tractus vocal, avec la majorité dessons de voyelles contenant au moins quatre formants.
Chapitre 6 Effets de filtre 147Présentation de l’interface EVOC 20 Filterbank
L’interface EVOC 20 Filterbank est répartie en trois sections principales : la section des
paramètres Formant Filter située au centre de la fenêtre, la section des paramètres
Modulation située dans la partie centrale inférieure et la section des paramètres Output
du côté droit.
Paramètres Formant Filter
Paramètres Output
Paramètres de la section
Modulation
• Paramètres Formant Filter : contrôlent les bandes de fréquences des deux banques de
filtres: Banque de filtre A (partie supérieure, bleu) et Banque de filtre B (partie inférieure,
vert). Consultez Paramètres Formant Filtre d’EVOC 20 Filterbank.
• Paramètres de la sectionModulation : contrôlent la modulation des paramètres Formant
Filter. Consultez Paramètres Modulation d’EVOC 20 Filterbank.
• Paramètres Output : contrôlent le niveau de sortie global et la balance de EVOC 20
Filterbank. Consultez Paramètres Output d’EVOC 20 Filterbank.
148 Chapitre 6 Effets de filtreParamètres Formant Filtre d’EVOC 20 Filterbank
Les paramètres de cette section fournissent le niveau précis et le contrôle de fréquence
des filtres.
Champ de valeur Bands
Bouton Lowest
Potentiomètre Formant
Shift
Paramètres High/Low
Frequency
Curseurs Frequency band
Potentiomètre Boost A
Curseur Fade AB
Potentiomètre Boost B
Bouton Highest
Menu local Slope
Potentiomètre
Resonance
• Paramètres High/LowFrequency : Déterminent les fréquences les plus hautes et les plus
basses qui passeront par les banques de filtres. Les fréquences situées à l’extérieur de
ces limites sont coupées.
• La longueur de la barre bleue horizontale située sur la partie supérieure représente
la plage des fréquences. Vous pouvez déplacer la plage complète des fréquences en
faisant glisser la barre bleue. Les poignées argentées situées aux extrémités de la
barre bleue réglent les valeurs Low Frequency et High Frequency.
• Vous pouvez également utiliser les champs numériques pour régler séparément les
valeurs de fréquence.
• Curseurs Frequency band : Définissent le niveau de chaque bande de fréquences dans
la Banque de filtre A (curseurs supérieurs bleus) ou la Banque de filtre B (curseurs
inférieurs verts). Vous pouvez rapidement créer des courbes de niveau complexes en
faisant glisser horizontalement (« en dessinant ») une des lignes de curseurs.
• Potentiomètre Formant Shift : Déplace toutes les bandes des deux banques de filtres
vers le haut ou le bas du spectre de fréquences.
Remarque : l’utilisation de Formant Shift peut provoquer la génération de fréquences
résonantes inhabituelles lorsque des valeurs élevées sont définies pour le réglage
Resonance.
Chapitre 6 Effets de filtre 149• Champ de valeur Bands : Définit le nombre de bandes de fréquences (20 maximum)
dans chaque banque de filtres.
• Bouton Lowest : Cliquez dessus pour déterminer si la bande de filtres la plus basse
fonctionne comme un filtre passebande ou passehaut. Avec le réglage Bandpass, les
fréquences situées au-dessous ou au-dessus des bandes les plus basses et hautes sont
ignorées. Avec le réglage Higpass, toutes les fréquences situées audessous des bandes
les plus basses sont filtrées.
• Bouton Highest : Cliquez dessus pour déterminer si la bande de filtres la plus haute
fonctionne comme un filtre passebande ou passebas. Avec le réglage Bandpass, les
fréquences situées au-dessous ou au-dessus des bandes les plus basses et hautes sont
ignorées. Avec le réglage Lowpass, toutes les fréquences situées audessus des bandes
les plus hautes sont filtrées.
• Potentiomètre Resonance : Détermine le caractère sonore de base des deux banques
de filtres. L’augmentation de la valeur Resonance accentue les fréquences centrales de
chaque bande. Des réglages faibles donnent un caractère plus doux, tandis que des
réglages élevés donnent un caractère plus abrupt et plus net.
• Potentiomètres Boost A et B : Définit l’amplitude de l’amplification ou de l’atténuation
appliquée aux bandes de fréquences de la banque de filtres A ou B. Cela permet de
compenser la réduction de volume causée par la baisse du niveau d’une ou de plusieurs
bandes. Si vous utilisez Boost pour régler les relations (niveaux) de mixage entre les
deux banques de filtres, vous pouvez utiliser Fade A/B (voir « Curseur Fade AB »
ci-dessous) pour modifier la couleur sonore, mais pas les niveaux.
• Menu local Slope : Détermine la quantité d’atténuation de filtre appliquée à tous les
filtres des deux banques. Les options possibles sont : 1 (6 dB/Oct.) et 2 (12 dB/Oct.). 1
sonne plus doux, 2 sonne plus serré.
• Curseur Fade AB : applique un fondu enchaîné entre les banques de filtres A et B. En
position supérieure,seule la Banque A est audible. En position inférieure,seule la Banque
B est audible. En position intermédiaire, les signaux passant par les deux banques sont
mixées de manière égale.
150 Chapitre 6 Effets de filtreParamètres Modulation d’EVOC 20 Filterbank
La section Modulation comprend deux LFO. Les paramètres LFO Shift situés à gauche
contrôlent le paramètre Formant Shift. Les paramètres LFO Fade situés à droite contrôlent
le paramètre Fade AB.
• Curseur LFO Shift Intensity : Contrôle la valeur de la modulation Formant Shift par Shift
LFO.
• Potentiomètres et champs Rate : Déterminent la vitesse de modulation. Les valeurs
situées à gauche des positions centralessontsynchroniséessur le tempo de l’application
hôte et incluent notamment des valeurs de mesure et de triolet. Les valeurs situées à
droite des positions centrales sont asynchrones, et sont affichées en Hertz (cycles par
seconde).
Remarque : la possibilité d’utiliser des valeurs de mesure synchrones peut servir à
effectuer, par exemple, une modification de formant (formant shift) toutes les quatre
mesures sur une partie de percussion à une mesure reprise en cycle. Vous pouvez aussi
effectuer la même modification de formant sur chaque croche d’un triolet à l’intérieur
d’une même partie. Chacune de ces méthodes peut donner des résultats intéressants
et apporter de nouvelles idées ou un second souffle aux anciens équipements audio.
• Boutons Waveform : Réglent le type de forme d’onde utilisée par Shift LFO sur le côté
gauche ou par Fade LFO sur le côté droit. Pour chaque LFO, vous avez le choix entre
les différentes formes d’onde suivantes : Triangle, Sawtooth (en dent de scie), Square
(carrée) montante et descendante autour de zéro (bipolaire, idéale pour les trilles),
Square (carrée) montante à partir de zéro (unipolaire, idéale pour les changements
entre deux hauteurs définissables), une forme d’onde aléatoire par palier (S&H), et une
forme d’onde aléatoire lissée.
• Curseur LFO Fade Intensity : Contrôle la valeur de la modulation Fade AB par Fade LFO.
Astuce : les modulations LFO sont à la base de certains sons extraordinaires obtenus
avec l’EVOC 20 Filterbank. Configurez des courbes de filtre complètement différentes
ou complémentaires dans les deux banques de filtres. Vous avez la possibilité d’utiliser
un enregistrement rythmique, tel qu’une boucle de percussion, comme signal d’entrée
et de configurer des modulations synchronisées sur le tempo avec des vitesses (Rates)
différentes pour chaque LFO. Vous pouvez ensuite essayer l’effet delay (tel que Tape
Delay) synchronisé sur le tempo après l’EVOC 20 FilterBank, afin d’obtenir des
polyrhythmes uniques.
Chapitre 6 Effets de filtre 151Paramètres Output d’EVOC 20 Filterbank
Les paramètres Output offrent un contrôle sur le niveau et la largeur stéréo. La section
Output incorpore également un circuit overdrive (distorsion) intégré.
• Bouton Overdrive : Cliquez dessus pour activer ou désactiver le circuit overdrive.
Remarque : pour entendre l’effet d’overdrive, vous devrez peut-être augmenter le
niveau d’une ou des deux banques de filtres.
• Curseur Level : Contrôle le niveau du signal de sortie de l’EVOC 20 Filterbank.
• Menu local Stereo Mode : définit le mode d’entrée/sortie de l’EVOC 20 FilterBank. Choix
possibles : m/s (entrée mono/sortie stéréo) et s/s (entrée stéréo/sortie stéréo).
• En mode s/s, les canaux gauche et droit sont traités par des banques de filtres
séparées.
• En mode m/s, un signal d’entrée stéréo est d’abord réduit en mono avant de passer
par les banques de filtres.
• Potentiomètre Stereo Width : Distribue les signaux de sortie des bandes de filtres dans
l’image stéréo.
• Sur la position de gauche, les sorties de toutes les bandes sont centrées.
• Positionné au centre, les sorties de toutes les bandes passent de gauche à droite.
• Positionné à droite, la sortie des bandes est répartie, de manière alternative, sur les
canaux gauche et droit.
152 Chapitre 6 Effets de filtreEVOC 20 TrackOscillator
L’EVOC 20 TrackOscillator est un vocoder équipé d’un oscillateur de suivi de la hauteur
tonale (pitch tracking oscillator) monophonique. L’oscillateur de suivi suit la hauteur du
signal d’entrée monophonique. Si le signal d’entrée est une mélodie chantée, chaque
hauteur de note sera contrôlée et restituée ou jouée par le moteur de synthèse.
L’EVOC 20 TrackOscillator comporte deux banques de filtres de formants : Analysis et
Synthesis. Chacune dispose de plusieurs options d’entrée.
Vous pouvez capturer une source de signal Analysis en utilisant l’audio arrivant de l’entrée
de la bande des canaux dans laquelle l’EVOC 20 TrackOscillator est inséré, ou en utilisant
un signal d’entrée latérale d’une autre bande de canaux.
La source Synthesis peut provenir de l’entrée audio de la bande de canaux dans laquelle
l’EVOC 20 TrackOscillator est inséré, d’un signal d’entrée latérale ou de l’oscillateur de
suivi.
Étant donné que vous pouvez sélectionner librement les deux signaux d’entrée Analysis
et Synthesis, l’EVOC 20 TrackOscillator n’est pas limité dans les effets de contrôle des
hauteurs tonales. Il s’avère très utile pour les effets de filtre inhabituels. Par exemple, vous
pouvez filtrer un enregistrement orchestralsur une seule bande de canaux avec des bruits
de train provenant de l’entrée latérale d’une autre bande de canaux. Il est également très
utile dans le traitement de boucles de percussions avec des signaux d’entrée latérale, tels
que d’autres boucles de percussions ou des enregistrements de guitare rythmique, de
clavier ou de piano.
Qu’est-ce qu’un vocoder ?
Le terme vocoder est la contraction de VOice enCODER. Un vocoder analyse le caractère
sonore du signal audio arrivant à son entrée Analysis et le transfère vers les générateurs
sonores du synthétiseur. Le résultat de ce processus est entendu à la sortie du vocoder.
Le son classique du vocoder utilise la voix comme signal d’analyse et un son de
synthétiseur comme signal de synthèse. Ce son a été popularisé à la fin des années 1970
et au début des années 1980. Vous le connaissez probablement grâce aux morceaux « O
Superman » de Laurie Anderson, « Funky Town » de Lipps Inc. et de nombreux morceaux
de Kraftwerk, d’« Autobahn » à « Europe Endless », en passant par « The Robots » et
« Computer World ».
Outre ces sons de robot, vocoder a été utilisé dans de nombreux films tels qu’avec les
Cylons de Battlestar Galactica, le plus célèbre étant celui utilisé avec la voix de Darth Vader
dans la saga de la Guerre des étoiles.
Le vocodage, en tant que processus, n’est passtrictement limité aux performances vocales.
Vous pouvez utiliser une boucle de batterie comme signal d’analyse afin de former un
son d’ensemble à corde arrivant à l’entrée Synthesis.
Chapitre 6 Effets de filtre 153Fonctionnement d’un vocoder
Les fonctions de l’analyseur et du synthétiseur vocaux d’un vocoder sont en fait deux
banques de filtres de type passe-bande. Les filtres passe-bande permettent à une bande
de fréquence (une tranche) d’un spectre de fréquences global de transiter sans être
modifiée, et coupent les fréquences qui ne font pas partie de la plage de la bande.
Dans les modules EVOC 20, ces banques de filtres sont nommées sections Analysis et
Synthesis. Chaque banque de filtre dispose d’un certain nombre de bandes
correspondantes identiques. Si la banque de filtres d’analyse dispose de cinq bandes (1,
2, 3, 4 et 5), il y aura un ensemble correspondant de cinq bandes dans la banque de filtres
de synthèse. La bande 1 de la banque d’analyse est associée à la bande 1 de la banque
de synthèse, la bande 2 à la bande 2, et ainsi de suite.
Le signal audio qui arrive à l’entrée Analysis passe à travers la banque de filtres d’analyse,
où il est divisé en bandes.
Une enveloppe de type follower est couplée avec chaque bande de filtre. Chacune de
ces enveloppes piste, ou suit, toutes les modifications de volume dans la source audio,
ou plus particulièrement dans la partie de l’audio qui a été autorisée à passer par le filtre
passebande associé. De cette façon, l’enveloppe follower de chaque bande génère des
signaux de contrôles dynamiques.
Ces signaux de contrôles sont alors envoyés vers la banque de filtre de synthèse où ils
contrôlent les niveaux des bandes de filtres de synthèse correspondantes. Cela est effectué
via des VCA, amplificateurs commandés en tension dans les vocoders analogiques. Cela
permet d’imposer des changements de volume de bandes de la banque de filtres d’analyse
aux bandes correspondantes de la banque de filtres de synthèse. Ces changements de
filtre sont perçus comme une reproduction synthétique du signal d’entrée d’origine, ou
un mixage des deux signaux de banque de filtres.
Plus un vocoder offre de bandes, plus le caractère du son d’origine sera remodelé de
façon précise. Les modules de l’EVOC offrent jusqu’à 20 bandes par banque. Pour assurer
leur utilité musicale, vous contrôlez complètement le niveau de sortie de chaque filtre
de passebande, facilitant ainsi des changements uniques et dramatiques au spectre de
fréquences.
154 Chapitre 6 Effets de filtrePrésentation de l’interface EVOC 20 TrackOscillator
La fenêtre EVOC 20 TrackOscillator est divisée en plusieurs sections de paramètres.
Paramètres LFO
Paramètres Analysis In Paramètres Formant Filter
Paramètres U/V
Detection
Paramètres Output
Paramètres Synthesis In
Paramètres Tracking
Oscillator
• Paramètres Analysis In : déterminent la manière dont le signal d’entrée est analysé et
utilisé par la banque de filtre d’analyse. Consultez Paramètres Analysis In d’EVOC 20
TrackOscillator.
• Paramètres U/V Detection : détectent les portions non vocales du son dans le signal
Analysis, améliorant ainsi l’intelligibilité vocale. Consultez Paramètres U/V Detection
d’EVOC 20 TrackOscillator.
• Paramètres Synthesis In : déterminent la manière dont le signal d’entrée est utilisé par
la banque de filtre de synthèse. Consultez Paramètres Synthesis In d’EVOC 20
TrackOscillator.
• Paramètres TrackingOscillator: déterminent la manière dont le signal d’entrée d’analyse
est utilisé par l’oscillateur. Consultez Paramètres de base Tracking Oscillator.
• Paramètres Formant Filter : configurent les banques de filtres d’analyse et de synthèse.
Consultez Paramètres Formant Filter d’EVOC 20 TrackOscillator.
• Paramètres de la section Modulation : modulent les hauteurs tonales de l’oscillateur ou
le paramètre Formant Shift. Consultez Paramètres Modulation d’EVOC 20 TrackOscillator.
• ParamètresOutput: configurent le signal de sortie de l’EVOC 20 TrackOscillator. Consultez
Paramètres Output d’EVOC 20 TrackOscillator.
Chapitre 6 Effets de filtre 155Paramètres Analysis In d’EVOC 20 TrackOscillator
Les paramètres de la section Analysis In déterminent la manière dont le signal d’entrée
est analysé et utilisé par l’EVOC 20 TrackOscillator. Vous devez être le plus précis possible
avec ces paramètres pour assurer la meilleure intelligibilité vocale et un suivi précis.
• Potentiomètre Attack : Détermine la vitesse à laquelle chaque suiveur d’enveloppe
(envelope follower) couplé à chaque bande de filtre Analysis réagit aux signaux
montants.
• Potentiomètre Release : Détermine la vitesse à laquelle chaque suiveur d’enveloppe
(envelope follower) couplé à chaque bande de filtre Analysis réagit aux signaux
descendants.
• Bouton Freeze : Lorsque ce bouton est activé, le spectre actuel du son d’analyse est
maintenu (ou bloqué) indéfiniment. Si Freeze est activé, la banque de filtres d’analyse
ignore la source d’entrée, et les potentiomètres Attack et Release n’ont aucun effet.
• Champ Bands: Détermine le nombre de bandes de fréquences (20 maximum) utilisées
par l’EVOC 20 TrackOscillator.
• Menu local Analysis In : définit le signal source Analysis. Les modèles suivants sont
disponibles :
• Track : utilise le signal audio d’entrée de la bande de canaux dans laquelle l’EVOC 20
TrackOscillator est inséré comme signal d’analyse.
• side chain : utilise une entrée latérale comme signal d’analyse. Choisissez la bande
de canaux source d’entrée latérale dansle menu local Side Chain en haut de la fenêtre
du module.
Remarque : si le paramètre Side Chain est sélectionné et qu’aucune bande de canaux
Side Chain n’est assignée, l’EVOC 20 TrackOscillator retourne en mode Track.
Utilisation des paramètres Analysis In d’EVOC 20 TrackOscillator
Cette section présente certains réglages et méthodes pour les paramètres de l’Analyse.
Réglage du temps d’attaque
Des temps d’attaque plus longs donnent une réponse plus lente du suivi aux éléments
transitoires (pointes de niveau) du signal d’entrée d’analyse. Un temps d’attaque long
sur des signaux d’entrée de type percussif, des mots parlés ou une partie de charley, par
exemple, sont transformés en un effet de vocoder moins articulé. Par conséquent, vous
devez régler le paramètre Attack sur la valeur la plus faible pour renforcer l’articulation.
156 Chapitre 6 Effets de filtreRéglage du temps de libération
Des temps de libération plus longs prolongent les transitoires du signal d’entrée Analysis
en sortie du vocoder. Un temps de libération long sur des signaux d’entrée de type
percussif, des mots parlés ou une partie de charley, par exemple, sont transformés en un
effet de vocoder moins articulé. Des temps de libération trop courts donnent des sons
de vocoder bruts et granuleux. Des valeurs Release comprises entre 8 et 10msreprésentent
un bon point de départ.
Utilisation de Freeze
Le signal d’analyse gelé peut capter une caractéristique particulière du signal source qui
est ensuite imposée comme forme de filtre complexe maintenue à la section Synthesis.
Quelques exemples illustrant son utilité :
Si vous utilisez une suite de mots parlés comme source, le bouton Freeze peut capturer
la phase d’attaque ou la fin d’un mot particulier, la voyelle a, par exemple.
Si vous souhaitez compenser l’impossibilité des personnes à tenir les notes chantées
pendant une période prolongée, sans respirer, vous pouvez utiliser le bouton Freeze : si
le signal de synthèse doit être tenu alors que le signal source d’analyse (partie vocale) ne
l’est pas, le bouton Freeze peut servir à bloquer les niveaux actuels du formant d’une
note chantée, même pendant des interruptions de la partie vocale, tel qu’il y en a entre
les mots d’une phrase vocale. Le paramètre Freeze peut être automatisé, ce qui s’avère
utile dans ce cas.
Réglage du nombre de bandes
Plus il y a de bandes, plus le son sera remodelé avec précision. Si vous réduisez le nombre
de bandes, la plage de fréquences du signal source sera divisée en moins de bandes et
le son résultant sera formé avec moins de précision par le moteur de synthèse. Il faut
souvent trouver un compromis entre la précision sonore, qui permet aux signaux reçus
(paroles et chants, en particulier) de rester intelligibles, et l’usage des ressources qui se
trouve entre 10 et 15 bandes.
Astuce : pour assurer le meilleur suivi de la hauteur tonale, il est essentiel d’utiliser un
signal monophonique sans superposition de hauteurs. Idéalement, le signal ne doit pas
être traité et ne pas comporter de bruits de fond. Par exemple, l’utilisation d’un signal
traité avec même un léger effet de réverbération donne des résultats plutôt étranges et
vraisemblablement indésirables. Desrésultats encore plus étrangessont obtenuslorsqu’un
signal sans hauteur tonale audible, tel qu’une boucle de percussion, est utilisé. Toutefois,
il se peut que dans certains cas ce soit le résultat recherché pour votre projet.
Chapitre 6 Effets de filtre 157Paramètres U/V Detection d’EVOC 20 TrackOscillator
Le discours humain est constitué d’une série de sons vocaux (sons tonaux ou formants)
et de sons non vocaux (consonances nasales sans formants, fricatives, et occlusives)
mentionnés dans Brève présentation des formants. La différence principale entre sons
vocaux et non vocaux est que lessons vocaux sont produits par une oscillation des cordes
vocales, alors que les sons non vocaux sont produits par des blocages et des restrictions
imposés sur le flux d’air par les lèvres, la langue, le palais, la gorge et le larynx.
Si ce type de discours, contenant à la fois des sons vocaux et non vocaux, est utilisé
comme signal d’analyse d’un vocoder, mais que le moteur de synthèse ne peut pas les
différencier, il en résulte un son assez faible. Pour éviter ce problème, la section Synthesis
du vocoder doit produire des sons différents pour les parties vocales et non vocales du
signal.
C’est la raison pour laquelle l’EVOC 20 TrackOscillator est équipé d’un détecteur non
vocal/vocal. Cette unité détecte les parties non vocales du son dans le signal d’analyse,
puis remplace les parties correspondantes dans le signal de synthèse par du bruit, un
mélange de bruit et de synthétiseur ou par le signal d’origine. Si le détecteur U/V identifie
des parties vocales, il transmet ces informations à la section Synthesis, qui utilise le signal
de synthèse normal pour ces parties.
• Potentiomètre Sensitivity : Détermine la sensibilité de la détection U/V. Si ce
potentiomètre est tourné vers la droite, davantage de parties non vocales distinctes
sont reconnues dansle signal d’entrée. Si vous utilisez desréglages élevés, la sensibilité
accrue aux signaux non vocaux peut conduire à ce que la source sonore U/V, déterminée
par le menu Mode (décrite dans le « Menu mode » ciaprès), soit utilisée sur la majeure
partie du signal d’entrée, y comprislessignaux vocaux . Cela donne un son ressemblant
à un signal radio, détérioré et contenant beaucoup de parasites et de bruit de fond.
• Mode, menu : Détermine les sources sonores pouvant être utilisées pour remplacer le
contenu non vocal du signal d’entrée. Vous avez le choix parmi les réglages suivants :
• Noise : Utilise le bruit seul pour les parties non vocales du son.
158 Chapitre 6 Effets de filtre• Noise + Synth : Utilise le bruit et le synthétiseur pour les parties non vocales du son.
• Blend : Utilise le signal d’analyse après son passage à travers un filtre passe-haut,
pour les parties non vocales du son. Le paramètre Sensitivity n’a aucun effet lorsque
ce réglage est utilisé.
• Potentiomètre Level : Contrôle le volume du signal utilisé pour remplacer le contenu
non vocal du signal d’entrée.
Important : faites très attention avec le potentiomètre Level, surtout si vous utilisez
une valeur de Sensitivity élevée, afin d’éviter toute saturation interne de
l’EVOC 20 TrackOscillator.
Paramètres Synthesis In d’EVOC 20 TrackOscillator
La section Synthesis In contrôle de nombreux aspects du signal de suivi du synthétiseur.
Le signal de suivi permet de déclencher le synthétiseur interne.
• Menu local Synthesis In : Définit la source du signal de suivi. Les modèles suivants sont
disponibles :
• Oscillator (Osc.) : définit l’oscillateur de suivi comme source Synthesis. L’oscillateur
reflète ou suit la hauteur du signal d’entrée Analysis. La sélection du paramètre Osc.
active les autres paramètres de la section Synthesis. Si Osc. n’est pas sélectionné, FM
Ratio, FM Int et les autres paramètres de cette section n’auront aucun effet.
• Track : utilise le signal audio d’entrée de la bande de canaux dans laquelle l’EVOC 20
TrackOscillator est inséré comme signal de synthèse qui active le synthétiseur interne.
• side chain : utilise une entrée latérale comme signal de synthèse. Choisissez le canal
source d’entrée latérale dans le menu local Side Chain en haut de la fenêtre de
l’EVOC 20 TrackOscillator.
Remarque : si le paramètre Side Chain est sélectionné et qu’aucun canal Side Chain
n’est affecté, l’EVOC 20 TrackOscillator retourne en mode Track.
• Champ Bands : Définissent le nombre de bandes de fréquences utilisées par la section
Synthesis In.
Paramètres de base Tracking Oscillator
L’oscillateur de suivi suit la hauteur tonale des signaux d’entrée audio monophoniques
et reflète ces hauteurs par un son synthétisé. Le générateur sonore FM de l’oscillateur de
suivi est composé de deux oscillateurs, chacun générant une onde sinusoïdale. La
fréquence de l’oscillateur 1 (porteur) est modulée par l’oscillateur 2 (modulateur), ce qui
a pour effet de déformer l’onde sinusoïdale de l’oscillateur 1. Vous obtenez une forme
d’onde au contenu harmonique riche.
Chapitre 6 Effets de filtre 159Important : les paramètres présentés dans cette rubrique sont accessibles uniquement
si le menu Synthesis In est réglé sur Osc.
• Champ FM Ratio : définit le rapport entre les oscillateurs 1 et 2, ce qui détermine le
caractère de base du son. Des valeurs paires ou leurs multiples produisent des sons
harmoniques, tandis que des valeurs impaires ou leurs multiples génèrent des sons
non harmoniques, perçus comme des sons métalliques.
• Un contrôle FM Ratio de 1 000 donne des résultats ressemblant à une forme d’onde
en dent de scie.
• Un contrôle FM Ratio de 2 000 donne des résultats ressemblant à une forme d’onde
carrée avec une largeur d’impulsion de 50 %.
• Un contrôle FM Ratio de 3 000 donne des résultats ressemblant à une forme d’onde
carrée avec une largeur d’impulsion de 33 %.
• Potentiomètre FM Int : Détermine l’intensité de la modulation. Des valeurs plus élevées
produisent une forme d’onde plus complexe avec davantage de sons dominants.
• S’il est réglé sur 0, le générateur sonore FM est désactivé et une onde en dent de
scie est générée.
• Pour des valeurs supérieures à 0, le générateur sonore FM est activé. Des valeurs plus
élevées produisent un son plus complexe et plus brillant.
• Champ de valeur Coarse Tune : Définit le décalage de la hauteur tonale de l’oscillateur
par incréments d’un demiton.
• Champ de valeur Fine Tune : définit le décalage de hauteur par incréments d’un cent.
160 Chapitre 6 Effets de filtreParamètres Pitch Correction de l’oscillateur de suivi
Les paramètres de hauteur tonale de l’oscillateur de suivi contrôlent la correction
automatique de la hauteur tonale de l’oscillateur de suivi. Ils peuvent servir à limiter la
hauteur tonale de l’oscillateur de suivi à une gamme ou un accord. Cela permet d’obtenir
des corrections de hauteurs subtiles ou sauvages et peut aussi être employé de façon
créative sur des données dotées d’un contenu harmonique aigu mais dont la hauteur
tonale n’est pas déterminée, comme des cymbales et une charleston.
• Curseur Pitch Quantize Strength : détermine l’amplitude de la correction automatique
de hauteur.
• Curseur Pitch Quantize Glide : Détermine la durée de la correction de hauteur, ce qui
permet des transitions progressives vers les hauteurs quantifiées.
• Menu local et clavier Root/Scale : Définit la ou les hauteurs à laquelle/auxquelles
l’oscillateur de suivi est quantifié.
• Champ de valeur Max Track : Définit la fréquence la plus élevée. Toutes les fréquences
situées audessus de ce seuil sont coupées, entraînant une détection de la hauteur
tonale plusrobuste. Si la détection de la hauteur tonale entraîne desrésultatsinstables,
réduisez ce paramètre à son réglage minimum pour permettre d’entendre ou de traiter
l’ensemble des signaux d’entrée appropriés.
Quantification de la hauteur de l’oscillateur de suivi
Vous pouvez utiliser le clavier Root/Scale et le menu local pour définir la ou les hauteurs
à laquelle/auxquelles l’oscillateur de suivi est quantifié.
Pour choisir une note fondamentale ou une gamme
1 Cliquez sur le champ de valeur verte situé sous l’étiquette Root/Scale pour afficher le
menu local.
2 Choisissez la gamme ou l’accord à utiliser comme base de la correction de hauteur.
Remarque : vous pouvez également définir la note fondamentale de la gamme ou de
l’accord choisi en faisant glisser verticalement le champ de valeur Root ou en
double-cliquant sur celuici et en entrant une note fondamentale comprise entre Do et
Si. Le paramètre Root n’est pas disponible lorsque la valeur Root/Scale est définie sur
chromatic (chromatique) ou user (utilisateur).
Chapitre 6 Effets de filtre 161Pour ajouter des notes ou en supprimer de la gamme ou de l’accord sélectionné(e)
µ Cliquez sur les touches non utilisées du petit clavier pour les ajouter à la gamme ou à
l’accord.
µ Cliquez sur les notes sélectionnées (éclairées) pour les supprimer.
Astuce : votre dernière modification est enregistrée. Si vous sélectionnez une nouvelle
gamme ou un nouvel accord, mais que vous n’apportez aucune modification, vous pouvez
revenir à la gamme définie précédemment en choisissant utilisateur dans le menu local.
Paramètres Formant Filter d’EVOC 20 TrackOscillator
L’EVOC 20 TrackOscillator comporte deux banques de filtre à formant, une pour la section
Analysis In et une pour la section Synthesis In. Le spectre complet de fréquence d’un
signal d’entrée est essentiellement analysé (section Analysis), et est divisé de manière
égale en un certain nombre de bandes de fréquences. Chaque banque de filtre peut
contrôler jusqu’à 20 bandes de fréquences. Pour en savoir plus, voir Fonctionnement
d’un vocoder.
La fenêtre Formant Filter est divisée en deux sections par une ligne horizontale. La partie
supérieure concerne la section Analysis et la partie inférieure, la section Synthesis. Les
changements de paramètres sont instantanément reflétés dans la fenêtre Formant Filter,
fournissant ainsi un retour appréciable de ce qui se produit avec le signal lorsqu’il passe
à travers les deux banques de filtres à formant.
• Paramètres High/LowFrequency : Déterminent les fréquences les plus hautes et les plus
basses qui passeront par la section de filtres. Les fréquences situées à l’extérieur de ces
limites sont coupées.
• La longueur de la barre bleue représente la plage de fréquences de Analysis et
Synthesis (à moins que Formant Stretch ou Formant Shift soit utilisé) comme cela
est présenté ciaprès dans « Potentiomètre Formant Stretch » et « Potentiomètre
Formant Shift ». Vous pouvez déplacer la plage complète des fréquences en faisant
glisser la barre bleue vers le haut. Les poignées argentées situées aux extrémités de
la barre bleue réglent les valeurs Low Frequency et High Frequency.
162 Chapitre 6 Effets de filtre• Vous pouvez également utiliser les champs numériques pour régler séparément les
valeurs de fréquence.
• Bouton Lowest : Cliquez dessus pour déterminer si la bande de filtres la plus basse
fonctionne comme un filtre passebande ou passehaut. Avec le réglage Bandpass, les
fréquences situées au-dessous ou au-dessus des bandes les plus basses et hautes sont
ignorées. Avec le réglage Higpass, toutes les fréquences situées audessous des bandes
les plus basses sont filtrées.
• Bouton Highest : Cliquez dessus pour déterminer si la bande de filtres la plus haute
fonctionne comme un filtre passebande ou passebas. Avec le réglage Bandpass, les
fréquences situées au-dessous ou au-dessus des bandes les plus basses et hautes sont
ignorées. Avec le réglage Lowpass, toutes les fréquences situées audessus des bandes
les plus hautes sont filtrées.
• Potentiomètre Formant Stretch : Altère la largeur et la répartition de toutes les bandes
de la banque de filtres de synthèse. La plage de fréquences peut être plus large ou plus
étroite que celle définie par la barre bleue (voir cidessus les « Paramètres High et Low
Frequency »).
• Potentiomètre Formant Shift : Déplace toutes les bandes de la banque de filtres de
synthèse vers le haut ou le bas du spectre de fréquences.
• Potentiomètre Resonance : Resonance donne le caractère sonore de base au vocoder ;
des réglages dans les basses entraînent un caractère plus doux alors que des réglages
dans les aigus entraînent un caractère plus accentué et féroce. Le fait d’augmenter la
valeur de Resonance accentue la fréquence des médiums de chaque bande de
fréquences.
Utilisation de Formant Stretch et Formant Shift
Formant Stretch et Formant Shift sont des paramètres essentiels de Formant Filter qui
peuvent être utilisés séparément ou en combinaison (voir Paramètres Formant Filter
d’EVOC 20 TrackOscillator).
Lorsque le paramètre Formant Stretch est réglé sur 0, la largeur et la répartition des
bandes de la banque de filtres Synthesis du bas sont équivalentes à la largeur des bandes
de la banque de filtres Analysis du haut. Des valeursfaiblesréduisent la largeur de chaque
bande de la banque Synthesis, alors que des valeurs élevées l’élargissent. Les valeurs du
paramètre s’expriment sous la forme d’un rapport de la largeur de bande générale.
Lorsque Formant Shift est réglé sur 0, la position des bandes de la banque de filtres de
synthèse est la même que celle des bandes de la banque de filtres d’analyse. Des valeurs
positives déplacent les banques de filtres Synthesis vers le haut, en terme de fréquences,
alors que des valeurs négatives les déplacent vers le bas en fonction des positions de la
bande de la banque de filtres d’analyse.
Chapitre 6 Effets de filtre 163Lorsqu’ilssont associés, Formant Stretch et Formant Shift modifient la structure du formant
du son de vocoder résultant, ce qui peut donner des changements de timbre intéressants.
Par exemple, utilisez des signaux vocaux tout en réglant le paramètre Formant Shift plus
haut produit un effet « Mickey Mouse ».
Les paramètres Formant Stretch et Formant Shift sont également très utiles si le spectre
desfréquences du signal Synthesis ne complète pas celui du signal Analysis. Vous pouvez
créer un signal Synthesis dans la plage haute des fréquences à partir d’un signal Analysis
qui module le son principalement dans la plage basse des fréquences, par exemple.
Remarque : l’utilisation des paramètres Formant Stretch et Formant Shift peut provoquer
la génération de fréquences résonantes inhabituelles lorsque des valeurs élevées sont
définies pour le réglage Resonance.
Paramètres Modulation d’EVOC 20 TrackOscillator
Les paramètres de cette section contrôlent l’oscillateur sub-audio (LFO) permettant de
moduler la fréquence (hauteur tonale) de l’oscillateur de suivi, créant ainsi un vibrato, ou
le paramètre Formant Shift de la banque de filtres Synthesis.
• Curseur Shift Intensity : Contrôle la valeur de la modulation Formant Shift par le LFO.
• Curseur Pitch Intensity : Contrôle l’amplitude de la modulation de hauteur tonale (vibrato)
appliquée par l’oscillateur sub-audio (LFO).
• Boutons Waveform : Définit le type de forme d’onde utilisé par l’oscillateur sub-audio
(LFO). Pour chaque LFO, vous avez le choix entre les différentesformes d’onde suivantes:
Triangle, Sawtooth (en dent de scie), Square (carrée) montante et descendante autour
de zéro (bipolaire, idéale pour les trilles), Square (carrée) montante à partir de zéro
(unipolaire, idéale pour les changements entre deux hauteurs définissables), une forme
d’onde aléatoire par palier (S&H), et une forme d’onde aléatoire lissée.
• Potentiomètre et champ LFO Rate : Détermine la vitesse de modulation. Les valeurs
situées à gauche des positions centralessontsynchroniséessur le tempo de l’application
hôte et incluent notamment des valeurs de mesure et de triolet. Les valeurs situées à
droite des positions centrales sont asynchrones, et sont affichées en Hertz (cycles par
seconde).
164 Chapitre 6 Effets de filtreRemarque : la possibilité d’utiliser des valeurs de mesure synchrones peut servir à
effectuer, par exemple, une modification de formant (formant shift) toutes les quatre
mesures sur une partie de percussion à une mesure reprise en cycle. Vous pouvez aussi
effectuer la même modification de formant sur chaque croche d’un triolet à l’intérieur
d’une même partie. Chacune de ces méthodes peut donner des résultats intéressants
et apporter de nouvelles idées ou un second souffle aux anciens équipements audio.
Paramètres Output d’EVOC 20 TrackOscillator
La section Output fournit un contrôle du type, de la largeur stéréo, et du niveau du signal
qui est envoyé depuis l’EVOC 20 TrackOscillator.
• Signal, menu : Détermine le signal envoyé aux sorties principales de l’EVOC 20
TrackOscillator. Vous avez le choix parmi les réglages suivants :
• Voc(oder) : pour écouter l’effet de vocoder.
• Syn(thesis) : pour écouter uniquement le signal du synthétiseur.
• Ana(lysis) : pour écouter uniquement le signal d’analyse.
Remarque : les deux derniers réglages servent principalement au monitoring.
• Curseur Level : Contrôle le niveau du signal de sortie de l’EVOC 20 TrackOscillator.
• Menu local Stereo Mode : définit le mode d’entrée/sortie de l’EVOC 20 FilterBank. Choix
possibles: m/s (entrée mono vers sortie stéréo) et s/s (entrée stéréo vers sortie stéréo).
Remarque : définissez Stereo Mode sur m/s si le signal d’entrée est monophonique et
sur s/s si le signal d’entrée est stéréophonique. En mode s/s, les canaux stéréo gauche
et droit sont traités par des banques de filtres séparées. Lorsque vous utilisez le mode
m/s sur un signal d’entrée stéréo, le signal est d’abord réduit en mono avant de passer
par les banques de filtres.
Chapitre 6 Effets de filtre 165• Potentiomètre Stereo Width : Répartit les signaux de sortie des bandes de filtre de la
section Synthesis dans l’image stéréo.
• Sur la position de gauche, les sorties de toutes les bandes sont centrées.
• Positionné au centre, les sorties de toutes les bandes passent de gauche à droite.
• Positionné à droite, la sortie des bandes est répartie, de manière alternative, sur les
canaux gauche et droit.
Fuzz-Wah
Le module Fuzz-Wah émule des effets wah-wah classiques souvent utilisés avec un
Clavinet et ajoute des effets de compression et de distorsion (fuzz). Le nom wah wah
provient du son qu’il produit. Cet effet a été rendu célèbre (généralement effet de pédale)
par les guitaristes de l’époque de Jimi Hendrix. Cette pédale contrôle la fréquence de
coupure (cutoff ) d’un filtre passe-bande, passe-bas ou, plus rarement, d’un filtre
passe-haut.
Découverte de l’interface Fuzz-Wah
L’interface Fuzz-Wah est divisée en plusieurs sections.
Boutons Effect Order
Paramètres Fuzz
Paramètres Wah Paramètres Auto Wah
• Boutons Effect Order : indiquez si l’effet wah wah précède l’effet fuzz dans la chaîne du
signal (Wah-Fuzz) ou vice versa (Fuzz-Wah). Consultez Boutons Effect Order.
• Paramètres Wah : offrent un contrôle sur le type et la tonalité de l’effet wah wah.
Consultez Paramètres Wah.
• Paramètres Auto Wah : définissent la profondeur et la durée de l’enveloppe de l’effet
automatique wah wah. Consultez Paramètres Auto Wah.
• Paramètres Fuzz : définissent le ratio de compression, et contrôlent la tonalité et le
niveau du circuit de distorsion intégré. Consultez Paramètres Fuzz.
166 Chapitre 6 Effets de filtreBoutons Effect Order
Ces boutons déterminent le flux de signaux de l’effet Fuzz-Wah. Cliquez sur Wah-Fuzz
ou Fuzz-Wah pour sélectionner le flux souhaité.
Notez que le module Fuzz-Wah est doté d’un circuit à compression intégré. Le compresseur
précède toujours l’effet Fuzz. Lorsque Wah-Fuzz est sélectionné, le compresseur est placé
entre les effets wah wah et fuzz. Toutefois, lorsque Fuzz-Wah est sélectionné, le
compresseur est d’abord placé dans la chaîne des signaux.
Paramètres Wah
Ce groupe de paramètres contrôle la tonalité et le comportement de l’effet wah wah.
• Menu local Wah Mode : Comprend les réglages suivants de l’effet Wah Wah :
• Off : L’effet Wah Wah est désactivé.
• ResoLP (Resonating Lowpass Filter, filtre passebas résonant) : Dans ce mode, l’effet
wah-wah fonctionne comme un filtre passe-bas avec résonance. Si la pédale est en
position minimum, seules les fréquences basses peuvent passer.
• ResoHP (Resonating Highpass Filter, filtre passe-haut résonant) : Dans ce mode, l’effet
wah-wah fonctionne comme un filtre passe-haut avec résonance. Si la pédale est en
position minimum, seules les fréquences hautes peuvent passer.
• Peak : Dans ce mode, l’effet wah-wah fonctionne comme un filtre à crête ou en
cloche. Les fréquences proches de la fréquence de coupure sont accentuées.
• CryB : Ce réglage imite le son de la célèbre pédale wahwah « Cry Baby ».
• Morl1 : Ce réglage imite le son de la célèbre pédale wahwah. avec une légère crête
caractéristique.
• Morl2 : Ce réglage imite le son de la célèbre pédale de distorsion wahwah. Il est doté
d’un facteur Q(ualité) constant.
• Bouton Auto Gain : L’effet wahwah peut faire varier considérablement le niveau de
sortie. L’activation du paramètre Auto Gain permet de compenser cette tendance et
de limiter les dynamiques du signal de sortie. (voir Réglage du niveau WahWah avec
le paramètre Auto Gain)
Chapitre 6 Effets de filtre 167• Potentiomètre Wah Level : définit le niveau du signal filtré par l’effet wah.
• Curseur Relative Q : Règle la crête du filtre principal sur le réglage du modèle afin
d’obtenir un balayage wahwah plus ou moins intense. Si ce paramètre est réglé sur 0,
le réglage d’origine du modèle est actif.
• Curseur Pedal Range : Définit la plage de balayage du filtre wahwah lorsqu’il est contrôlé
par une pédale MIDI. Ce paramètre est conçu pour compenser les différences de plage
mécanique entre une pédale MIDI et une pédale classique WahWah (voir Réglage du
paramètre Pedal Range).
Paramètres Auto Wah
Outre l’utilisation de pédales MIDI, vous pouvez contrôler l’effet WahWah avec la fonction
Auto Wah, qui effectue un balayage continu du filtre dansl’ensemble de la plage. Consultez
Utilisation du Fuzz-Wah.
• Potentiomètre Depth : Définit la profondeur de l’effet Auto Wah. Lorsqu’il est réglé sur
zéro, la fonction WahWah automatique est désactivée.
• Potentiomètre Attack : Définit le temps nécessaire à l’ouverture complète du filtre
wahwah.
• Potentiomètre Release : Définit le temps nécessaire à la fermeture du filtre wahwah.
Paramètres Fuzz
Ces paramètres contrôlent les circuits de distorsion et de compression intégrés. Le
compresseur précède toujours l’effet Fuzz.
• Potentiomètre Comp (Compression) Ratio : Définit le ratio de compression.
• Potentiomètre Fuzz Gain : Définit le niveau de l’effet Fuzz ou de distorsion.
• Potentiomètre Fuzz Tone : Règle la couleur de la tonalité de l’effet fuzz. Des réglages
faibles ont tendance à être plus chauds alors que desréglages élevéssont pluslumineux
et durs.
168 Chapitre 6 Effets de filtreUtilisation du Fuzz-Wah
La section suivante fournit des conseils pratiques pour les paramètres Fuzz-Wah.
Réglage du niveau WahWah avec le paramètre Auto Gain
L’effet wahwah peut faire varier considérablement le niveau de sortie. L’activation du
paramètre Auto Gain permet de compenser cette tendance et de maintenir le signal de
sortie dans une plage plus stable.
Pour entendre la différence apportée par le paramètre Auto Gain
1 Activez la fonction Auto Gain.
2 Augmentez le niveau de l’effet en le définissant sur une valeur située juste en dessous
de la limite d’écrêtage de la table de mixage.
3 Faites un balayage avec un réglage Relative Q élevé.
4 Désactivez la fonction Auto Gain et répétez le balayage.
Important : veillez à régler un niveau strict de sortie principale pour votre application
hôte avant tout test. Le nonrespect de ce réglage risque d’endommager les hautparleurs
ou d’altérer votre écoute.
Réglage du paramètre Pedal Range
Les pédales MIDI usuelles offrent des possibilités mécaniques bien plus étendues que la
plupart des pédales wahwah classiques.
La plage de balayage du filtre wahwah est réglée avec les paramètres Pedal Range. Les
valeurs extrêmes pouvant être atteintes par la pédale MIDI sont représentées
graphiquement par un crochet gris le long du curseur Pedal Position (qui représente la
position actuelle de la pédale wahwah).
Vous pouvez régler les limites supérieures et inférieures de la plage de manière
indépendante en faisant glisser les poignées gauche et droite du curseur. Vous pouvez
déplacer la plage complète en faisant glisser la section centrale du curseur.
Spectral Gate
Spectral Gate est un effet de filtre peu commun qui peut servir d’outil pour la conception
sonore créative.
Cela fonctionne en divisant le signal entrant en deux plages de fréquences : en dessus
et en dessous de la bande de fréquence centrale que vous spécifiez dans les paramètres
Center Freq et Bandwidth. Les plages de signal au dessus et en dessous de la bande
définie peuvent être traitées individuellement avec les paramètres Low Level et High
Level et les paramètres Super Energy et Sub Energy. Consultez Utilisation du module
Spectral Gate.
Chapitre 6 Effets de filtre 169Paramètres du module Spectral Gate
Le tableau Spectral Gate comprend les paramètres suivants :
Curseur Gain
Contrôles Sub Energy
et Low Level
Potentiomètres Center
Freq. et Bandwidth
Curseurs Speed, CF
Modulation et BW
Modulation Écran graphique
Contrôles Super Energy
et High Level
Curseur Threshold
• Curseur et champ Threshold : définit le niveau de la division des plages de fréquences.
Lorsque le seuil est dépassé, la bande de fréquences définie par les paramètres Center
Freq. et Bandwidth est divisée en plages de fréquences supérieure et inférieure.
• Curseur et champ Speed : déterminent la fréquence de modulation pour la bande de
fréquences définie.
• Curseur et champ CF (Center Frequency)Modulation : règlent l’intensité de la modulation
de la fréquence centrale.
• Curseur et champ BW (Band Width) Modulation : définissent le niveau de la modulation
de la largeur de bande.
• Écran graphique : affiche la bande de fréquences définie par les paramètres Center
Freq. et Bandwidth.
• Potentiomètre et champ Center Freq. (Frequency) : définissent la fréquence centrale de
la bande que vous voulez traiter.
• Potentiomètre et champ Bandwidth : définissent la largeur de la fréquence de la bande
que vous voulez traiter.
• Potentiomètre et champ Super Energy : contrôlent le niveau de la plage de fréquences
située au-dessus du seuil.
• Curseur et champ High Level : mélangent les fréquences du signal d’origine situées
au-dessus de la bande de fréquences sélectionnée avec le signal traité.
• Potentiomètre et champ Sub Energy : contrôlent le niveau de la plage de fréquences
située au-dessous du seuil.
• Curseur et champ Low Level : mélangent les fréquences du signal d’origine situées
au-dessous la bande de fréquences sélectionnée avec le signal traité.
170 Chapitre 6 Effets de filtre• Curseur et champ Gain : définissent le niveau de sortie de Spectral Gate.
Utilisation du module Spectral Gate
Pour mieux vous familiariser avec le fonctionnement du module Spectral Gate, vous
pouvez commencer par utiliser une boucle de batterie. Définissez le paramètre Center
Freq. sur sa valeur minimale (20 Hz) et le paramètre Bandwidth sur sa valeur maximale
(20 000 Hz) de façon à ce que la plage de fréquences entière soit traitée. Tournez les
potentiomètres Super Energy et Sub Energy l’un après l’autre, puis essayez différents
réglages du paramètre Threshold. Cela devrait vous donner un bon aperçu de la façon
dont les différents niveaux Threshold affectent le son dans les bandes contrôlées par
Super Energy et Sub Energy. Lorsque vous avez trouvé un son qui vous plaît ou qui vous
semble simplement utile, vous pouvez réduire considérablement la largeur de bande
(Bandwidth), augmenter progressivement la fréquence centrale ( Center Freq.), puis utiliser
les curseurs Low Level et High Level de façon à ajouter un peu d’aigus et de basse
provenant du signal d’origine. Pour des réglages bas du paramètre Speed, servez-vous
du potentiomètre CF Mod. ou BW Mod..
Suivez ces étapes pour vous familiariser avec le module Spectral Gate
1 Définissez la bande de fréquences que vous souhaitez traiter avec le module Spectral
Gate à l’aide des paramètres Center Freq. et Bandwidth.
La représentation graphique indique visuellement la bande définie par ces deux
paramètres.
2 Lorsque la bande de fréquences est définie, utilisez le paramètre Threshold pour régler
le niveau approprié.
Tous les signaux entrants au-dessus et en dessous du niveau de seuil sont répartis entre
les plages de hautes et basses fréquences.
3 Utilisez le potentiomètre Super Energy ou Sub Energy pour contrôler respectivement le
niveau des fréquences situées au-dessus et au-dessous du seuil Threshold.
4 Vous pouvez mélanger les fréquences en dehors de la bande de fréquences (définie par
les paramètres Center Freq. et Bandwidth) avec le signal traité.
a Utilisez le curseur Low Level pour mélanger les fréquences en dessous de la bande de
fréquences définie avec le signal traité.
b Utilisez le curseur High Level pour mélanger les fréquences au-dessus de la bande de
fréquences définie avec le signal traité.
5 Vous pouvez moduler la bande de fréquences définie à l’aide des paramètres Speed, CF
Modulation et BW Modulation.
a Speed détermine la fréquence de modulation.
b CF (Center Frequency) Modulation définit l’intensité de la modulation de fréquence
centrale.
Chapitre 6 Effets de filtre 171c BW (Band Width) Modulation contrôle l’importance de la modulation de largeur de
bande.
6 Une fois vosréglages effectués, vous pouvez utiliser le curseur Gain pour ajuster le niveau
de sortie final du signal traité.
172 Chapitre 6 Effets de filtreLes processeurs Imaging de Logic Pro sont des outils de manipulation de l’image stéréo.
Cela vous permet de rendre certains sons, ou la totalité du mixage, plus larges et plus
amples. Vous pouvez aussi modifier la phase des sons individuels dans un mixage, pour
améliorer ou supprimer des éléments transitoires particuliers.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Posttraitement binaural (p 173)
• Direction Mixer (p 175)
• Stereo Spread (p 178)
Posttraitement binaural
Chaque bande de canaux de Logic Pro permet d'utiliser une version spéciale du
potentiomètre Pan, plus connu sous Binaural Panner. Ce processeur psychoacoustique
peutsimuler des positions de source sonore de manière arbitraire (y compris des données
ascendantes et descendantes) lorsqu'il alimente un signal stéréo standard.
Le signal de sortie qui résulte de l’utilisation de Binaural Panner est plus adapté à la lecture
à l’aide d’écouteurs. Vous pouvez toutefois utiliser le conditionnement intégré du Binaural
Panner pour garantir un son neutre pour une lecture par haut-parleurs ou écouteurs.
173
Processeurs Imaging
7Remarque : lorsque vous utilisez plusieurs modules Binaural Pannersur plusieurs canaux,
vous devez désactiver le conditionnement intégré, et acheminer la sortie de tous les
signaux faisant l’objet d’un panoramique binauralement vers un canal auxiliaire. Insérez
un module Binaural PostProcessing dans ce canal et appliquez une compensation de
trame à touteslessorties Binaural Panner en une seule fois. Cette méthode est plussimple
à gérer, produit un meilleur son et réduit les exigences de traitement informatique.
• Menu local Compensation : Détermine le type de traitement appliqué aux différents
systèmes de lecture. Vous pouvez choisir :
• Headphone FF - optimized for front direction : réglage pour une lecture par écouteurs,
utilisant une compensation en champ libre. Dans ce mode, lessourcessonores placées
avant la position d’écoute présentent des caractéristiques sonores neutres.
• HeadphoneHB - optimized for horizontal directions: réglage pour lecture par écouteurs.
Mode optimisé pour fournir un son le plus neutre possible pour des sources placées
sur le, ou près du, plan horizontal.
• Headphone DF - averaged over all directions : réglage pour une lecture par écouteurs,
utilisant une compensation en champ diffus. Dans ce mode, lessonssont globalement
plus neutres pour les sources placées, ou déplacées, de façon arbitraire.
• Speaker CTC - Cross Talk Cancellation : Réglage pour une lecture par haut-parleurs,
qui vous permet de jouer dessignaux faisant l’objet d’un panoramique binauralement
via des haut-parleurs de type stéréo. Une bonne reproduction spatiale est limitée
par une plage restreinte de positions d’écoute, sur le plan symétrique, entre les
haut-parleurs.
• Curseur et champ CTC—Speaker Angle : Ce paramètre ne s'applique que si le mode de
compensation Speaker CTC est sélectionné. Pour obtenir le meilleur effet binaural,
entrez l’angle correspondant à la position de vos haut-parleurs stéréo par rapport au
centre (position d’écoute).
Pour desinformations plus détailléessur l’utilisation de Binaural Panner avec le module
Binaural Post-Processing, reportezvous au Manuel de l'utilisateur de Logic Pro.
174 Chapitre 7 Processeurs ImagingDirection Mixer
Vous pouvez utiliser le module Direction Mixer pour décoder les enregistrements audio
Middle and Side (milieu et côté) ou pour diffuser la base stéréo d’un enregistrement
(gauche/droit) et déterminer sa balance.
Le module Direction Mixer fonctionne avec tout type d’enregistrement stéréo,
indépendamment du mixage utilisé. Pour en savoir plus sur les enregistrements XY, AB
et MS, consultez Présentation des techniques de prise de son stéréo.
• Boutons Input : cliquez sur le bouton LR si le signal d’entrée est un signal standard
gauche/droite, et cliquez sur le bouton MS si le signal est encodé en middle and side.
• Curseur et champ Spread : déterminent l’étalement de la base stéréo dans les signaux
d’entrée LR. Déterminent le niveau du signal de côté dans les signaux d’entrée MS.
Consultez Utilisation du paramètre Spread du module Direction Mixer.
• Potentiomètre et champ Direction : Déterminent la balance pour le milieu (le centre de
la base stéréo) d’un signalstéréo enregistré. Consultez Utilisation du paramètre Direction
du module Direction Mixer
Utilisation du paramètre Spread du module Direction Mixer
Le comportement du paramètre Spread du module Direction Mixer change lorsqu’il reçoit
des signaux LR ou MS. Ces différences sont présentées ci-dessous.
Lorsque vous travaillez avec des signaux LR :
• À la valeur neutre 1, le côté gauche du signal est positionné précisément sur la gauche
et le côté droit précisémentsur la droite. Lorsque la valeur Spread baisse, les deux côtés
se rapprochent du centre de l’image stéréo.
• La valeur 0 génère un signal mono de somme : les deux côtés du signal d’entrée sont
acheminés vers les deux sorties au même niveau. Aux valeurs supérieures à 1, la base
stéréo est diffusée vers un point imaginaire au-delà des limites spatiales des
haut-parleurs.
Chapitre 7 Processeurs Imaging 175Lorsque vous travaillez avec des signaux MS :
• Les valeurs de 1 ou plus augmentent le niveau du signal de côté qui devient alors plus
fort que le signal central.
• Avec une valeur de 2, vous ne pouvez entendre que le signal de côté.
Utilisation du paramètre Direction du module Direction Mixer
Lorsque Direction a une valeur de 0, le point central de la base stéréo dans un
enregistrement stéréo est parfaitement centré dans le mixage.
Voici les règles lorsque vous travaillez avec des signaux LR :
• À 90 °, le centre de la base stéréo est décalé de façon importante à gauche.
• À -90 °, le centre de la base stéréo est décalé de façon importante à droite.
• Des valeurs plus élevées ramènent le centre de la base stéréo vers le centre du mixage
stéréo, mais elles échangent également les côtés stéréo de l’enregistrement. Par
exemple, aux valeurs 180 ° ou -180 °, le centre de la base stéréo est le point mort du
mixage, mais les côtés gauche et droit de l’enregistrement sont échangés.
Lorsque vous travaillez avec des signaux MS :
• À 90°, le signal du milieu est décalé de façon importante à gauche.
• À -90°, le signal du milieu est décalé de façon importante à droite.
• Des valeurs plus élevées ramènent le signal du milieu vers le centre du mixage stéréo,
mais elles échangent également les côtés stéréo de l’enregistrement. Par exemple, aux
valeurs 180 ° ou -180 °, le point du milieu est le point mort du mixage, mais les côtés
gauche et droit du signal de côté sont échangés.
Présentation des techniques de prise de son stéréo
Il existe trois variantes de prise de son stéréo largement utilisées pour les enregistrements:
AB, XY et MS. Un enregistrementstéréo, pour faire simple, est un enregistrement contenant
des signaux à deux canaux.
Les enregistrements AB et XY enregistrent tous les deux les canaux gauche et droit, mais
le signal du milieu est le résultat de la combinaison des deux canaux.
Les enregistrements MS enregistrent un signal du milieu réel, mais les canaux gauche et
droite doivent être décodés du signal de côté qui est la somme des signaux des canaux
gauche et droite.
176 Chapitre 7 Processeurs ImagingPrésentation de la prise de son AB
Dans un enregistrement AB, deux micros, généralement omnidirectionnels (mais vous
pouvez utiliser la polarité de votre choix) sont espacés de façon égale par rapport au
centre et pointent directement vers la source sonore. L’espacement entre les micros est
extrêmement important pour la largeur totale de la stéréo et la perception de la position
des instruments dans le champ stéréo.
La technique AB est généralement utilisée pour enregistrer une partie d’un orchestre,
comme les cordes ou un petit groupe de chanteurs. Elle peut également être utile pour
enregistrer un piano ou une guitare acoustique.
AB n’est pas très appropriée en revanche pour l’enregistrement d’un orchestre complet
ou d’un groupe car cette technique a tendance à étaler l’image/la position stéréo des
instruments décentrés. Elle ne convient pas non plus au mixage vers le mono car elle
risque d’engendrer des effacements entre les canaux.
Présentation de la prise de son XY
Dans un enregistrement XY, deux micros directionnels sont positionnés de façon
symétrique à partir du centre du champ stéréo. Le micro de droite vise un point entre le
côté gauche et le centre de la source sonore. Le micro de gauche vise un point entre le
côté droit et le centre de la source sonore. Ceci donne un enregistrement décalé de 45°
à 60° sur chaque canal (ou de 90° à 120° entre les canaux).
Les enregistrements de type XY tendent vers un équilibre des deux canaux, avec de
bonnesinformations de position encodées. On utilise généralement cette technique pour
les enregistrements de percussions. Elle est également appropriée pour les grands
ensembles et les grands nombres d’instruments.
De façon générale, les enregistrements XY ont un champ sonore plus étroit que les
enregistrements AB, ils peuvent donc parfois manquer de largeur lors de la lecture. Les
enregistrements XY peuvent être réduits en mono.
Présentation de la prise de son MS
Pour créer un enregistrement milieu-côté (MS), deux micros sont positionnés le plus près
possible l’un de l’autre : généralement sur un pupitre ou pendus au plafond du studio.
Le premier est un micro cardioïde (ou unidirectionnel) qui fait face à la source sonore à
enregistrer, en ligne droite. L’autre est un micro bidirectionnel dont les axes pointent sur
la gauche et la droite de la source sonore à des angles de 90°. Le micro cardioïde enregistre
le signal centralsur un côté d’un enregistrementstéréo. Le micro bidirectionnel enregistre
le signal latéralsur l’autre côté de l’enregistrementstéréo. Les enregistrements MS réalisés
de cette façon peuvent être décodés par Direction Mixer.
Lorsque les enregistrements MS sont relus, le signal de côté est utilisé deux fois :
• Comme il a été enregistré
• Décalé fortement à gauche et en inversion de phase, décalé fortement à droite
Chapitre 7 Processeurs Imaging 177La technique MS convient à toutes les situations dans lesquelles vous voulez conserver
une compatibilité mono absolue. L’avantage des enregistrements MS par rapport aux
enregistrements XY est que le milieu de la stéréo est positionné sur la direction principale
d’enregistrement (dansl’axe) du micro cardioïde. Ainsi, leslégèresfluctuations de réponse
de fréquence qui apparaissent en dehors de l’axe, comme c’est le cas de tous les micros,
posent moins problèmes, car l’enregistrement retient toujours la compatibilité mono.
Stereo Spread
Stereo Spread est généralement utilisé lors de la mastérisation. Il existe plusieurs moyens
d’étendre la base stéréo (ou perception de l’espace), notamment l’utilisation de
réverbérations ou d’autres effets et la modification de la phase du signal. Ces options
peuvent toutes être très intéressantes, mais elles risquent aussi d’affaiblir le son global
de votre mixage en annihilant les réponses des éléments transitoires, par exemple.
Le module Stereo Spread étend la base stéréo en distribuant un nombre sélectionnable
de bandes de fréquences depuis la plage de fréquences centrale vers les canaux gauche
et droit. Ceci est effectué tour à tour : les fréquences centrales vers le canal gauche, puis
vers le canal droit, etc. La perception de largeur stéréo en est grandement accrue sans
que le son perde sa qualité naturelle, particulièrement lors d’une utilisation sur des
enregistrements mono.
• Curseur et champ Lower Int(ensity) : définit la quantité d’extension de base stéréo pour
les bandes de fréquences inférieures.
• Curseur et champ Upper Int(ensity) : définit la quantité d’extension de base stéréo pour
les bandes de fréquences supérieures.
Remarque : lorsque vous positionnez les curseurs Lower et Upper Int., n’oubliez pas
que l’effet stéréo est plus apparent dans les fréquences moyennes et hautes, aussi la
répartition des bassesfréquences versles haut-parleurs gauche et droite peut fortement
impacter sur l’énergie du mixage globale. Aussi, utilisez de faibles valeurs pour le
paramètre Lower Int. et évitez d’utiliser un paramètre Lower Freq. en dessous de 300Hz.
178 Chapitre 7 Processeurs Imaging• Écran graphique : montre le nombre de bandes constituant le signal et l’intensité de
l’effet Stereo Spread dans les bandes de fréquences supérieure et inférieure. La section
supérieure représente le canal gauche et la section inférieure, le canal droit. L’échelle
de fréquence affiche les fréquences par ordre croissant, de gauche à droite.
• Curseur et champs Upper et Lower Freq(uency) : déterminent les fréquences les plus
hautes et les plus basses qui seront redistribuées dans l’image stéréo.
• Potentiomètre et champ Order : définissent le nombre de bandes de fréquences
constituant le signal. La valeur 8 est généralementsuffisante pour la plupart destâches,
mais vous pouvez utiliser jusqu’à 12 bandes.
Chapitre 7 Processeurs Imaging 179Vous pouvez utiliser les outils de mesure pour analyser l’audio de différentes façons. Ces
modules offrent différentesinstallations aux instruments de mesure des bandes de canaux.
Ils n’ont aucun effet sur le signal audio et sont conçus comme aide au diagnostic.
Chaque outil de mesure est spécifiquement conçu pour afficher les différentes
caractéristiques d’un signal audio, rendant chacune appropriée aux situations particulières
d’un studio. Par exemple, BPM Counter affiche le tempo, Correlation Meter affiche la
relation de phase et Level Meter affiche le niveau d’un signal audio.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• BPM Counter (p 182)
• Correlation Meter (p 182)
• Module Level Meter (p 183)
• MultiMeter (p 183)
• Surround MultiMeter (p 189)
• Tuner (p 195)
181
Outils de mesure
8BPM Counter
BPM Counter permet d’analyser le tempo d’un signal d’entrée audio en nombre de
battements par minute (bpm). Le circuit de détection recherche les éléments transitoires
(également dénommésimpulsions) dansle signal d’entrée. Les élémentstransitoiressont
des événements sonores très rapides, non périodiques dans la partie d’attaque du signal.
Plus l’impulsion est nette, plus il est facile pour le compteur BPM de détecter le tempo.
Par conséquent, les morceaux de percussion et instrumentaux (lignes de basse, par
exemple) sont très bien adaptés à l’analyse de tempo. Les sons feutrés ne constituent
pas un bon choix.
Le voyant DEL indique l’état de l’analyse en cours. S’il clignote, il s’agit d’une mesure de
tempo. Lorsque le voyant DEL est allumé en continu, l’analyse est terminée et le tempo
s’affiche. La mesure va de 80 à 160 battements par minute. La valeur mesurée est affichée
avec une décimale. Cliquez sur le voyant DEL pour réinitialiser BPM Counter.
Remarque : bPM Counter détecte aussi la variation de tempo dans le signal et tente de
l’analyser de façon précise. Si le voyant DEL commence à clignoter au cours de la lecture,
cela indique que BPM a détecté un tempo qui a dévié du dernier tempo reçu (ou défini).
Dès qu’un nouveau tempo constant est reconnu, le voyant DEL s’allume en continu et le
nouveau tempo s’affiche.
Correlation Meter
Le module Correlation Meter affiche la relation de phase d’un signal stéréo.
• Une corrélation de +1 (la position la plus à droite) signifie que les canaux gauche et
droit sont à 100 % en corrélation : ils sont complètement en phase.
• Une corrélation de 0 (position centrale) indique la divergence gauche/droite la plus
large autorisée, souvent perçue comme un effet stéréo extrêmement large.
• Les valeurs de corrélation inférieures à 0 indiquent que du matériel hors phase est
présent, ce qui peut conduire à des annulations de phase si le signalstéréo est combiné
en un signal monaural.
182 Chapitre 8 Outils de mesureModule Level Meter
Le module Level Meter affiche le niveau de signal en cours sur une échelle de décibels.
Le niveau du signal pour chaque canal est représenté par une mesure bleue. Lorsque le
niveau dépasse 0 dB, la partie de la mesure à droite du point 0 dB devient rouge.
Lesinstancesstéréo de Level Meter montrent les mesures gauche et droite indépendantes,
les instances mono n’affichant qu’une mesure. Les instances Surround affichent une
mesure pour chaque canal dans une orientation verticale plutôt qu’horizontale.
Les valeurs de crête en cours sont affichées numériquement, superposées sur l’écran
graphique. Vous pouvez redéfinir ces valeurs en cliquant dans l’écran.
Le module Level Meter peut être défini afin d’afficher les niveaux via les caractéristiques
Peak, ou Peak & RMS. Sélectionnez le réglage approprié dansle menu localsitué audessous
de la représentation graphique. Les niveaux RMS apparaissent sous forme de barres bleu
foncé. Les niveaux Peak apparaissent sous forme de barres bleu foncé. Vous pouvez
également choisir de visualiser simultanément les niveaux Peak et RMS.
Explication de Peak et RMS
La valeur peak (crête) correspond au niveau le plus élevé du signal. La valeur RMS
(moyenne quadratique) correspond à la valeur effective du signal total. En d’autres
termes, cela correspond à la mesure de la puissance continue du signal.
L’écoute humaine est optimisée pour capturer des signaux continus, faisant de nos
oreilles des instruments RMS, et non des instruments de lecture de crêtes. Par
conséquent, l’utilisation d’instruments de mesure RMS semble appropriée dans la
majorité des cas. Vous pouvez également utiliser les instruments de mesure RMS et
Peak.
MultiMeter
Le module MultiMeter fournit un ensemble d’outils de calibrage et d’analyse dans une
seule fenêtre. Il s’agit des outils suivants :
• Analyzer, pour afficher le niveau de chaque bande de fréquence de tiers d’octave,
• Goniometer, pour juger de la cohérence de phase dans le champ sonore stéréo,
Chapitre 8 Outils de mesure 183• Correlation Meter, pour situer la compatibilité mono phase,
• Level Meter intégré pour afficher le niveau de signal de chaque canal.
Vous pouvez voir lesrésultats Analyzer ou Goniometer dansla zone d’affichage principale.
Vous pouvez modifier l’affichage et définir d’autres paramètres du MultiMeter via les
commandes sur la gauche de l’interface.
Paramètres Peak
Paramètres Analyzer
Paramètres Goniometer Correlation Meter
Level Meter
Écran principal en
affichage Analyzer
Si vous pouvez insérer MultiMeter directement dans la bande de canaux, il est plus
généralement utilisé dans la bande de canaux master de l’application hôte, lorsque vous
travaillez sur un mixage global.
Il existe aussi une version Surround du MultiMeter, avec des paramètres pour chaque
canal et une présentation légèrement différente. Consultez Surround MultiMeter.
184 Chapitre 8 Outils de mesureUtilisation d’Analyzer dans MultiMeter
En mode Analyzer, l’écran principal MultiMeter indique le spectre de fréquences du signal
d’entrée sur 31 bandes de fréquences indépendantes. Chaque bande de fréquence
représente un tiers d’une octave. Les paramètres Analyzer sont utilisés pour activer le
mode Analyzer et pour personnaliser la façon dont le signal entrant est indiqué dans
l’écran principal.
Paramètres Analyzer Scale
• Bouton Analyzer : fait passer l’écran principal en mode Analyzer.
• Boutons Left, Right, LRMax et Mono : déterminent les canaux qui sont affichés dans les
résultats Analyzer, dans l’écran principal.
• Left ou Right : indique les canaux gauche ou droite.
• LRmax : indique le niveau maximum d’entrée stéréo.
• Mono : affiche le spectre de la somme mono des deux entrées (stéréo).
• Champs View: modifient la façon dont les valeurss’affichent dans Analyzer en définissant
le niveau maximum affiché (Top) et la plage dynamique totale (Range).
• Boutons Mode : déterminent la façon d’afficher les niveaux. Vous pouvez choisir les
caractéristiques Peak, Slow RMS ou Fast RMS.
• Les deux modes RMS indiquent la moyenne de signal effectif et donnent un aperçu
représentatif des niveaux de volume perçus.
• Le mode Peak montre les crêtes de niveau de façon précise.
Chapitre 8 Outils de mesure 185• Scale (dans l’écran principal) : indique l’échelle de niveaux. Le réglage de l’échelle est
utile lorsque vous voulez analyser un morceau fortement compressé car il est alors plus
facile d’identifier les petites différences de niveau. Faites-la glisser verticalement pour
l’ajuster.
Utilisation de Goniometer dans MultiMeter
Un goniomètre permet de juger de la cohérence de l’image stéréo et de déterminer les
différences de phase entre les canaux gauche et droit. Les problèmes de phase sont
facilement détectables sous la forme d’annulations le long de la ligne centrale (M -
mid/mono).
Le concept du goniomètre est né suite à l’avènement des premiers oscilloscopes bicanaux.
Pour utiliser des appareils tels que des goniomètres, les utilisateurs doivent connecter
les canaux stéréo gauche et droit aux entrées X et Y, tout en effectuant une rotation de
l’écran de 45 degrés pour aboutir à une visualisation utile de la phase stéréo du signal.
La trace du signal devient progressivement noire et prend l’aspect brillant des tubes des
goniomètres anciens, ce qui améliore aussi la lisibilité de l’écran.
• Bouton Goniometer : fait passer l’écran principal en mode Goniometer.
• Champ AutoGain : définit la compensation d’affichage pour lesfaibles niveaux d’entrée.
Vous pouvez définir le niveau Auto Gain par incréments de 10 % ou le désactiver (off).
Remarque : pour éviter toute confusion avec le paramètre Auto Gain des autres effets
et processeurs(comme les compresseurs), Auto Gain n’est utilisée que comme paramètre
d’affichage dansles outils de mesure. Il augmente les niveaux d’affichage pour améliorer
la lisibilité. Il ne change pas les niveaux audio.
• ChampDecay : détermine le temps nécessaire pour que la trace du Goniometer devienne
noire.
186 Chapitre 8 Outils de mesureUtilisation de Level Meter dans MultiMeter
Le Level Meter affiche le niveau de signal en cours sur une échelle des décibels
logarithmique. Le niveau du signal pour chaque canal est représenté par une mesure
bleue.
Les niveaux RMS et Peak sont présentés simultanément, les niveaux RMS apparaissant
sous la forme de mesures bleu foncé et les niveaux Peak sous la forme de mesures bleu
clair. Lorsque le niveau dépasse 0 dB, la partie de la mesure au-dessus du repère 0 dB
devient rouge.
Les valeurs de crête en cours sont affichées numériquement (en incréments de dB),
au-dessus du Level Meter. Cliquez sur l’écran pour réinitialiser les valeurs de crête.
Utilisation de Correlation Meter dans MultiMeter
Le module Correlation Meter mesure la relation de phase d’un signal stéréo. Les valeurs
de l’échelle de Correlation Meter indiquent :
• Une valeur de corrélation +1 indique que les canaux gauche et droitsont en corrélation
à 100 %. En d’autres termes, les signaux gauche et droit sont en phase et ont la même
forme.
• Les valeurs de corrélation dansla zone bleue (entre +1 et la position du milieu) indiquent
que le signal stéréo est compatible mono.
Chapitre 8 Outils de mesure 187• La position du milieu indique le niveau acceptable le plus élevé de divergence
gauche/droite, qui est souvent audible sous la forme d’un effet stéréo extrêmement
étendu.
• Lorsque Correlation Meter passe dans la zone rouge à gauche de la position centrale,
du matériel hors phase est présent. Cela aboutira à des annulations de phase si le signal
stéréo est combiné en un signal mono.
Utilisation des paramètres Peak dans MultiMeter
Les paramètres Peak de MultiMeter sont utilisés pour activer/désactiver la fonction de
retenue de crête et de réinitialiser les segments de crête de tous les types de mesure.
Vous pouvez également déterminer une durée de retenue de crête temporaire.
• Bouton Hold : active la retenue de crête pour tous les appareils de mesure dans
MultiMeter, comme suit :
• Analyzer : un petit segment jaune au-dessus de chaque mesure de niveau de tiers
d’octave indique le niveau de crête le plus récent.
• Goniometer : tous les pixels illuminés sont maintenus pendant une retenue de crête.
• Correlation Meter : la zone horizontale autour de l’indicateur blanc de corrélation
dénote des déviations de la corrélation de phase en temps réel, dans les deux
directions. Une ligne rouge verticale sur la gauche de l’indicateur de corrélation
indique la valeur de déviation de phase négative maximale. Vous pouvez réinitialiser
cette ligne en cliquant dessus au cours de la lecture.
• Level Meter : un petit segment jaune au-dessus de chaque barre de niveau stéréo
indique le niveau de crête le plus récent.
• Menu local Hold Time : lorsque la retenue de crête est active, définit la durée de retenue
pour tous les outils de mesure sur 2 s, 4 s, 6 s ou l’infini.
• Bouton Réinitialiser : cliquez dessus pour réinitialiser les segments de retenue de crête
de tous les outils de mesure.
188 Chapitre 8 Outils de mesureSurround MultiMeter
La version Surround de MultiMeter a été spécialement conçue pour l’analyse et la mesure
des fichiers surround multicanaux. Vous pouvez voir les résultats Analyzer, Goniometer
ou Correlation Meter dans la zone d’affichage principale. Utilisez les commandes sur la
gauche de l’interface pour modifier l’affichage et définir d’autres paramètres du MultiMeter.
Level Meter ( (Peak/RMS) ) est visible sur la droite.
Même si vous pouvez insérer Surround MultiMeter directement dansla bande de canaux,
il est plus généralement utilisé dans la bande de canaux master de l’application hôte,
lorsque vous travaillez sur un mixage surround global.
Bouton
Balance/Correlation
Écran principal
Paramètres Goniometer (Goniometer illustré ici)
Paramètres Peak
Paramètres Analyzer
Chapitre 8 Outils de mesure 189Utilisation de Surround Analyzer dans MultiMeter
En mode Analyzer, l’écran principal MultiMeter indique le spectre de fréquences du signal
d’entrée sur 31 bandes de fréquences indépendantes. Chaque bande de fréquence
représente un tiers d’une octave. Les paramètres Analyzer sont utilisés pour activer le
mode Analyzer et pour personnaliser la façon dont le signal entrant est indiqué dans
l’écran principal.
Paramètres Analyzer Scale
• Bouton Analyzer : fait passer l’écran principal en mode Analyzer.
• Boutons Sum et Max : détermine si un niveau de somme ou maximum s’affiche dans
les résultats d’Analyzer dans l’écran principal. Ces boutons n’ont d’intérêt que si des
canaux multiples sont sélectionnés avec les boutons des canaux.
• Boutons Channel : utilisés pour sélectionner un canal unique ou une combinaison de
canaux à mesurer. Le nombre et l’apparence de ces boutons varient lorsque des modes
surround différents sont choisis.
• Champs View: modifient la façon dont les valeurss’affichent dans Analyzer en définissant
le niveau maximum affiché (Top) et la plage dynamique totale (Range).
• Boutons Mode : déterminent la façon d’afficher les niveaux. Vous pouvez choisir les
caractéristiques Peak, Slow RMS ou Fast RMS.
• Les deux modes RMS indiquent la moyenne de signal effectif et donnent un aperçu
représentatif des niveaux de volume perçus.
• Le mode Peak montre les crêtes de niveau de façon précise.
• Scale (affiché dansl’écran principal) : indique l’échelle de niveaux. Le réglage de l’échelle
est utile lorsque vous voulez analyser un morceau fortement compressé car il est alors
plus facile d’identifier les petites différences de niveau. Faites-la glisser verticalement
pour l’ajuster.
190 Chapitre 8 Outils de mesureUtilisation de Surround Goniometer dans MultiMeter
Un goniomètre permet de juger de la cohérence de l’image stéréo et de déterminer les
différences de phase entre les canaux gauche et droit. Les problèmes de phase sont
facilement détectables sous la forme d’annulations le long de la ligne centrale (M -
mid/mono).
Le concept du goniomètre est né suite à l’avènement des premiers oscilloscopes bicanaux.
Pour utiliser des appareils tels que des goniomètres, les utilisateurs doivent connecter
les canaux stéréo gauche et droit aux entrées X et Y, tout en effectuant une rotation de
l’écran de 45 degrés pour aboutir à une visualisation utile de la phase stéréo du signal.
La trace du signal devient progressivement noire et prend l’aspect brillant des tubes des
goniomètres anciens, ce qui améliore aussi la lisibilité de l’écran.
Surround Goniometer de MultiMeter gérant lessignaux multicanaux, l’affichage est divisé
en plusieurs segments, comme l’indique l’image. Chaque segment indique une position
de haut-parleur. Lorsque la balance surround est déplacée sur une bande de canaux,
l’indicateur change en fonction. Cela indique non seulement la cohérence gauche/ droite
mais aussi avant/arrière.
• Bouton Goniometer : affiche les résultats Goniometer dans l’affichage principal.
• Champ AutoGain : définit la compensation d’affichage pour lesfaibles niveaux d’entrée.
Vous pouvez définir le niveau Auto Gain par incréments de 10 % ou le désactiver (off).
Remarque : pour éviter toute confusion avec le paramètre Auto Gain des autres effets
et processeurs(comme les compresseurs), Auto Gain n’est utilisée que comme paramètre
d’affichage dansles outils de mesure. Il augmente les niveaux d’affichage pour améliorer
la lisibilité. Il ne change pas les niveaux audio.
• ChampDecay : détermine le temps nécessaire pour que la trace du Goniometer devienne
noire.
Chapitre 8 Outils de mesure 191• Boutons L–R, Ls–Rs et Both : déterminent les paires de canaux affichées dans l’écran
principal. Lors de l’utilisation du Surround MultiMeter dans des configurations
d’exactement deux paires de canaux (configurations quadruples, 5.1 et 6.1), le
goniomètre peut optionnellement afficher les deux paires en sélectionnant Both. Une
paire (pour L-R) s’affiche dans la moitié supérieure de l’écran graphique et une autre
(pour Ls-Rs) s’affiche dans la moitié inférieure.
Utilisation de Surround Level Meter dans MultiMeter
Le Level Meter affiche le niveau de signal en cours sur une échelle des décibels
logarithmique. Le niveau du signal pour chaque canal est représenté par une mesure
bleue.
Les niveaux RMS et Peak sont présentés simultanément, les niveaux RMS apparaissant
sous la forme de mesures bleu foncé et les niveaux Peak sous la forme de mesures bleu
clair. Lorsque le niveau dépasse 0 dB, la partie de la mesure au-dessus du repère 0 dB
devient rouge.
Les valeurs de crête en cours sont affichées numériquement (en incréments de dB),
au-dessus du Level Meter. Cliquez sur l’écran pour réinitialiser les valeurs de crête.
192 Chapitre 8 Outils de mesureUtilisation des paramètres Surround Balance/Correlation dansMultiMeter
La fonction Surround Correlation Meter mesure la balance ou le placement du son entre
les signaux entrants. Les signaux fortement corrélés s’affichent avec des marqueurs nets
alors que les signaux moins corrélés sont dans la zone floue. Activez le bouton Surround
MultiMeter’s Balance/Correlation pour voir Correlation Meter dans l’écran principal.
En fonction du format Surround choisi, il y a un certain nombre de points affichés pour
indiquer les positions des haut-parleurs (L, R, C, Ls, Rs dans une configuration 5.1 s’affiche
dans la figure). Des lignes relient ces points. La position centrale de chaque ligne de
connexion est indiquée par un marqueur bleu.
Une boule grise indique le champ surround/placement du son. Lorsque vous déplacez
la balance surround de la bande de canaux, la boule de Correlation Meter reflète vos
déplacements. Les marqueurs bleus se déplacent également en temps réel, avec des
lignes griséesindiquant la divergence entre les positions centralessur chacune deslignes
de connexion.
LFE channel Correlation Meter s’affiche en bas de l’écran principal. La zone horizontale
autour de l’indicateur blanc de corrélation dénote des déviations de la corrélation de
phase en temps réel. Elle s’affiche dans les deux directions. Une ligne rouge verticale sur
la gauche de l’indicateur de corrélation indique la valeur de déviation de phase négative
maximale. Vous pouvez réinitialiser cette ligne en cliquant dessus au cours de la lecture.
Les valeurs de l’échelle de LFE Correlation Meter indiquent :
• Une valeur de corrélation +1 indique que le signal est équilibré.
• Les valeurs de corrélation dansla zone bleue (entre +1 et la position du milieu) indiquent
que le signal est compatible mono.
• La position du milieu indique la plus grande quantité de divergence de canaux
acceptable.
Chapitre 8 Outils de mesure 193• Lorsque Meter passe dans la zone rouge à gauche de la position centrale, du matériel
hors balance est présent.
Paramètres Surround Peak dans MultiMeter
Surround MultiMeter propose les paramètres Peak suivants :
• BoutonHold : active la retenue de crête pour tousles appareils de mesure dans Surround
MultiMeter, comme suit :
• Analyzer : un petit segment jaune au-dessus de chaque barre de niveau indique le
niveau de crête le plus récent.
• Goniometer : tous les pixels illuminés sont maintenus pendant une retenue de crête.
• Level Meter : un petit segment jaune au-dessus de chaque barre de niveau indique
le niveau de crête le plus récent.
• Balance/Correlation Meter : la zone horizontale autour de l’indicateur blanc de
corrélation dénote des déviations de la corrélation de phase en temps réel, dans les
deux directions.
Remarque : l’instrument de mesure doit être ouvert manuellement en cliquant sur le
bouton Balance/Correlation.
• Menu local Hold Time : lorsque la retenue de crête est active, définit la durée de retenue
pour tous les outils de mesure sur 2 s, 4 s, 6 s ou l’infini.
• Bouton Réinitialiser : cliquez dessus pour réinitialiser les segments de retenue de crête
de tous les outils de mesure.
194 Chapitre 8 Outils de mesureTuner
Vous pouvez accorder les instruments connectés à votre système avec l’utilitaire Tuner.
Cette opération garantit que vos enregistrements d’instruments externesseront accordés
avec les instruments logiciels, les échantillons ou les enregistrements existants dans vos
projets.
Écran Graphic tuning
Curseur et champ Tuning
Adjustment
Écran Keynote/Octave
Bouton Precision
• Bouton Precision : l’écran Graphic tuning affiche une gamme linéaire par défaut. Appuyez
sur le bouton Precision pour modifier la mise à l’échelle afin qu’elle s’étire du centre
vers l’extérieur.
• Écran Graphic tuning : indique la hauteur tonale de la note dans la zone semi-circulaire,
centrée autour de la tonique/octave. En position centrale, (à 12 heures), la note est
correctement accordée. Si l’indicateur se déplace vers la gauche du centre, la note est
bémol. Si l’indicateur se déplace vers la droite du centre, la note est dièse.
Les numéros autour du bord de l’écran montrent la variance, en cents, avec la hauteur
tonale cible. La plage est indiquée en demi-tons pour les six premiers demi-tons (dièse
ou bémol). Ensuite, les écarts sont plus importants.
• Écran Keynote/Octave : dans la partie supérieure, Keynote affiche la tonalité cible de la
note jouée (la tonalité juste la plus proche). La partie du bas, Octave, indique l’octave
à laquelle appartient la note entrante. Cela correspond à l’échelle des octaves MIDI, le
Do au-dessus du Do central étant représenté par C4, et le Do central représenté par
C3.
Chapitre 8 Outils de mesure 195• Curseur et champ Tuning Adjustment: définit la hauteur tonale de la note utilisée comme
base pour réaliser l’accord. Par défaut, le Tuner est réglé sur la valeur du paramètre
Tuning du projet. Faites glisser le potentiomètre vers la gauche pour baisser la tonalité
correspondant à A. Faites glisser le potentiomètre vers la droite pour augmenter la
tonalité correspondant à A. La valeur en cours est affichée dans la zone.
Pour utiliser l’accordeur
1 Insérez-le dans une bande de canaux audio.
2 Jouez une seule note sur l’instrument et regardez l’écran. Si la note est bémol ou dièse
(par rapport à la tonique), les segments à gauche ou droite du centre s’illuminent,
indiquant en centièmes le désaccord.
3 Accordez l’instrument en conséquence jusqu’à ce que l’indicateur soit centré sur l’écran
d’accordement graphique.
196 Chapitre 8 Outils de mesureLes effets de modulation sont utilisés pour ajouter du mouvement et de la profondeur à
vos sons.
Les effets tels que l’effet de chorus, flanger et de phasing sont des exemples bien connus.
Les effets de modulation retardent généralement le signal entrant de quelques
millisecondes et utilisent un oscillateur basse fréquence (LFO) pour moduler le signal
retardé. Le LFO peut également être utilisé pour moduler le temps de retard de certains
effets.
Un oscillateur basse fréquence ressemble beaucoup à un oscillateur générateur de son
dans un synthétiseur, mais les fréquences générées par l’oscillateur basse fréquence sont
si basses qu’elles sont inaudibles. On ne les utilise donc que pour la modulation. Parmi
les paramètres de l’oscillateur basse fréquence, on retrouve les commandes speed (ou
fréquence) et depth (également appelée intensité).
Vous pouvez aussi contrôler le ratio du signal traité (humide) et du signal original (sec).
Certains effets de modulation comportent en outre des paramètres de retour, qui
remettent une partie de la sortie de l’effet dans l’entrée.
D’autres effets de modulation prennent en compte la tonalité. La modulation de tonalité
la plus simple est le vibrato. Il utilise un oscillateur basse fréquence pour moduler la
fréquence du son. Contrairement aux autres effets de modulation de tonalité, le vibrato
ne modifie que le signal retardé.
Des effets de modulation de Logic Pro plus complexes comme Ensemble associent
plusieurs signaux retardés au signal d’origine.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Effet chorus (p 198)
• Effet Ensemble (p 198)
• Effet Flanger (p 200)
• Microphaser (p 201)
• Modulation Delay (p 201)
197
Effets de modulation
9• Phaser, effet (p 204)
• RingShifter (p 205)
• Effet Rotor Cabinet (p 212)
• Effet Scanner Vibrato (p 214)
• Spreader (p 216)
• Effet Tremolo (p 217)
Effet chorus
L’effet Chorus retarde le signal original. Le temps de retard est modulé à l’aide d’un
oscillateur basse fréquence (LFO). Le signal retardé et modulé est mixé avec le signal
original sec.
Vous pouvez utiliser l’effet Chorus pour enrichir le signal entrant et donner l’impression
qu’il est joué à l’unisson par plusieurs instruments ou voix. Les légères variations dans le
temps de retard générées par l’oscillateur basse fréquence simulent les différencessubtiles
de durée et de hauteur tonale perceptibleslorsque plusieurs personnesjouent ou chantent
ensemble. Le chorus confère en outre davantage d’ampleur et de richesse au signal et
peut augmenter le mouvement des sons graves ou soutenus.
• Curseur et champ Intensity : définit le taux de modulation.
• Potentiomètre et champ Rate : détermine la fréquence et donc la vitesse du LFO.
• Curseur et champ Mix : détermine la balance entre les signaux secs et humides.
Effet Ensemble
L’effet Ensemble permet de combiner jusqu’à huit effets de chorus. Deux oscillateurs
standards et un oscillateur aléatoire (qui génère des modulations aléatoires) vous
permettent de créer des modulations complexes. L’écran graphique Ensemble représente
visuellement ce qui arrive aux signaux traités.
198 Chapitre 9 Effets de modulationL’effet Ensemble peut ajouter une bonne dose de richesse et de mouvement aux sons,
surtout si vous utilisez un grand nombre de voix. Très important pour les parties les plus
faibles, vous pouvez également l’utiliser pour simuler des variations de tonalité plus
extrêmes entre les voix ; dans ce cas, vous pourriez obtenir un résultat totalement
désaccordé.
• Curseurs et champsIntensity : permettent d’ajuster l’importance de la modulation pour
chaque oscillateur basse fréquence.
• Potentiomètres et champs Rate : contrôlent la fréquence de chaque oscillateur basse
fréquence.
• Curseur et champ Voices : déterminent le nombre de chorus à utiliser simultanément
et donc le nombre de voix, ou de signaux, à générer en plus du signal original.
• Écran graphique : indique la forme et l’intensité des modulations.
• Potentiomètre et champ Phase : contrôle la relation de phase entre les différentes
modulations de voix. La valeur sélectionnée ici dépend du nombre de voix, c’est
pourquoi elle est représentée sous la forme d’un pourcentage plutôt qu’en degrés. La
valeur 100 (ou -100) indique la plus grande distance possible entre les phases de
modulation de toutes les voix.
• Curseur et champ Spread : répartissent les voix sur le champ stéréo ou surround.
Choisissez une valeur de 200 % pour étendre artificiellement la base stéréo ou surround.
Notez que ce réglage peut nuire à la compatibilité monaurale.
• Curseur et champ Mix : détermine la balance entre les signaux sec et humide.
Chapitre 9 Effets de modulation 199• Potentiomètre et champ Effect Volume : déterminent le niveau du signal des effets. Cet
outil s’avère très utile pour compenser les modifications de volume provoquées par
les changements du paramètre Voices.
Remarque : lorsque vous utilisez l'effet Ensemble en surround, le signal d'entrée est
converti en mono avant traitement. En d'autres termes, vous insérez l'effet Ensemble
comme une instance multi-mono.
Effet Flanger
L’effet Flanger fonctionne un peu comme l’effet Chorus, si ce n’est qu’il utilise un temps
de retard nettement plus court. De plus, le signal de l’effet peut être renvoyé dansl’entrée
de la ligne de retard.
On utilise généralement cet effet pour créer des changements qui ajoutent une qualité
d’espace et aquatique aux signaux entrants.
• Curseur et champ Feedback : détermine la quantité de signal d’effet renvoyée dans
l’entrée. Cela peut modifier la couleur de la tonalité et/ou rendre l’effet plus prononcé.
Les valeurs négatives de Feedback inversent la phase du signal renvoyé.
• Potentiomètre et champ Rate : définissent la fréquence (la vitesse) de l’oscillateur basse
fréquence.
• Curseur et champ Intensity : détermine la modulation.
• Curseur et champ Mix : détermine la balance entre les signaux sec et humide.
200 Chapitre 9 Effets de modulationMicrophaser
Microphaser est un module simple qui permet de créer rapidement des effets de
« bruissement » et de phaser.
• Curseur et champ LFO Rate : définissent la fréquence (la vitesse) de l’oscillateur basse
fréquence.
• Curseur et champ Feedback : détermine la quantité de signal d’effet renvoyée dans
l’entrée. Cela peut modifier la couleur de la tonalité et/ou rendre l’effet plus prononcé.
• Curseur et champ Intensity : détermine la quantité de modulation.
Modulation Delay
L’effet Modulation Delay reprend les mêmes principes que les effets Flanger et Chorus,
mais vous pouvez régler le temps du retard, ce qui permet de générer de l’effet Chorus
et Flanger. Il peut aussi être utilisé sans modulation pour créer des effets de résonance
ou de doublage. La section de modulation comprend deux oscillateurs basse fréquence
à fréquences variables.
Chapitre 9 Effets de modulation 201Même s’il est possible de combiner les effets chorus et flanger, Modulation Delay est
capable de produire des effets de modulation extrêmes. Cela comprend des émulations
de fluctuations de vitesse de bande et des modulations métalliques et robotiques des
signaux entrants.
• Curseur et champ Feedback : détermine la quantité de signal d’effet renvoyée dans
l’entrée. Pour des effets de Flanger radicaux,saisissez une valeur élevée. Si vous cherchez
un doublage n’utilisez pas de feedback. Les valeurs négatives inversent la phase du
signal de retour, ce qui donne des effets chaotiques.
• Potentiomètre et champ Flanger-Chorus : détermine le temps de retard élémentaire.
Positionnez le curseur à l’extrême gauche pour créer des effets de Flanger, au centre
pour des effets de Chorus et à l’extrême droite pour entendre très nettement un retard.
• Bouton De-Warble : garantit que la tonalité du signal modulé reste constante.
• Const Mod. (Modulation constante) : garantit que la largeur de modulation reste
constante, indépendamment du débit de modulation.
Remarque : si Const Mod est activé, les fréquences de modulation hautes réduisent la
largeur de modulation.
• Mod. Curseur et champ Intensity : définit le taux de modulation.
• Curseur et champs LFO Mix : détermine la balance entre deux oscillateurs.
• Potentiomètres et champs LFO1 et LFO2 Rate : le potentiomètre gauche règle la fréquence
de modulation du canal stéréo gauche et le bouton droit celle du canal stéréo droit.
En Surround, le canal central se voit attribuer la valeur médiane des potentiomètres
LFO Rate de gauche et de droite. Les autres canaux reçoivent des valeurs situées entre
les deux fréquences LFO de gauche et de droite.
Remarque : le potentiomètre LFO Rate de droite n’est disponible qu’en stéréo et
surround et ne peut être réglé séparément que lorsque le bouton Left Right Link n’est
pas activé.
• Bouton LFO Left Right Link : Disponible uniquement en stéréo et surround, il lie les
vitesses de modulation des canaux stéréo gauche et droit. Le réglage du potentiomètre
Rate affecte les autres canaux.
202 Chapitre 9 Effets de modulation• Potentiomètre et champ LFO Phase : Uniquement disponible pour les instances stéréo
etsurround, il contrôle la relation de phase entre les modulations de canaux individuels.
• Sur 0°, les valeurs extrêmes de la modulation sont atteintes en simultané sur tous les
canaux.
• Les valeurs 180° et -180° correspondent aux plus grandes distances possibles entre
les phases de modulation des canaux.
Remarque : le paramètre LFO Phase n’est disponible que si le bouton LFO Left Right
Link est actif.
• Menu local Distribution : Uniquement disponible pour les instances surround, il définit
la distribution des décalages de phase entre les canaux individuels dans le champ
surround. Vous avez le choix entre les répartitions Circular (Circulaire), Left↔Right
(Gauche Droite), Front↔Rear (Avant Arrière), Random (Aléatoire) et New random
(Nouvelle distribution aléatoire).
Remarque : lorsque vous chargez un réglage qui utilise l’option Random, la valeur du
décalage de phase enregistrée est rappelée. Si vous souhaitez rendre le réglage de la
phase à nouveau aléatoire, choisissez New random dans le menu local Distribution.
• Curseur et champ Volume Mod(ulation) : déterminent l’impact de la modulation
d’oscillateur basse fréquence sur l’amplitude du signal humide.
• Curseur et champ Output Mix : détermine la balance entre les signaux sec et humide.
• Bouton All Pass (zone des paramètres étendus) : Introduit un filtre passetout dans le
parcours du signal. Un filtre passe-tout décale l’angle de la phase d’un signal, ce qui
influence son image stéréo.
• Curseurs et champs All Pass Left et All Pass Right (zone des paramètres
étendus) : Déterminent la fréquence à laquelle le déphasage traverse 90° (le point à
mi-chemin de 180 °) pour chacun des canaux stéréo. En surround, les autres canaux se
voient automatiquement attribuer des valeurs comprises entre ces deux réglages.
Chapitre 9 Effets de modulation 203Phaser, effet
L’effet Phaser allie le signal original à une copie de l’original légèrement déphasée. Cela
signifie que l’amplitude des deux signaux atteint son point maximal et minimal avec un
léger décalage temporel. Les décalages entre les deux signaux sont modulés par deux
LFO indépendants. De plus, l’effet Phaser comprend un circuit de filtrage et un suiveur
d’enveloppe intégré qui détecte tout changement de volume dans le signal d’entrée et
génère un signal de contrôle dynamique. Ce signal de contrôle altère la plage de
mouvement. Du point de vue du son, le phaser est utilisé pour créer dessons de balayage
et glissements quis’égarent à traversle spectre de fréquence. Ils’agit d’un effet de guitare
très utilisé, mais il convient également à bien d’autres signaux.
Partie Phaser Feedback
• Bouton Filter : Active la partie filtre qui traite le signal de retour.
• Potentiomètres et champs LP et HP : Définissent la fréquence de coupure des filtres
passe-haut (HP) et passe-bas (LP) de la partie filtre.
• Curseur et champ Feedback : détermine la quantité de signal de l’effet renvoyée dans
l’entrée.
Partie Phaser Sweep
• Curseurs et champs Ceiling et Floor: utilisez les poignées du curseur pour définir la plage
de fréquences sur laquelle les modulations du LFO doivent porter.
• Curseur et champ Order : vous permet de sélectionner un algorithme de modulateur
de phase. Plus un modulateur de phase a d’ordres, plus l’effet est fort.
Les réglages 4, 6, 8, 10 et 12 vous proposent 4 algorithmes de phaser différents. Ils sont
tous modélisés sur des circuits analogiques, chacun étant conçu pour une application
spécifique.
Rien ne vous empêche de sélectionner des réglages impairs (5, 7, 9, 11), mais ils ne
génèrent pas de phasing à proprement parler. Les effets de filtrage en peigne plus
subtils produits par lesréglagesimpairs peuvent toutefoiss’avérer pratiques à l’occasion.
• Curseur et champ Env Follow : déterminent l’impact des niveaux du signal entrant sur
la plage de fréquences (comme pour les contrôles Ceiling et Floor).
204 Chapitre 9 Effets de modulationPartie Phaser LFO
• Potentiomètres et champs LFO1 et LFO2 Rate : définissent la vitesse de chaque oscillateur
basse fréquence.
• Curseur et champs LFO Mix : Détermine le ratio entre deux LFO.
• Curseur et champ Env Follow : déterminent l’impact des niveaux de signal entrants sur
la vitesse de l’oscillateur basse fréquence 1.
• Potentiomètre et champ Phase : Disponible uniquement en stéréo et surround. Ils
contrôlent la relation de phase entre les différentes modulations de canal.
Sur 0°, les valeurs extrêmes de la modulation sont atteintes en simultané sur tous les
canaux. Les valeurs 180° et -180° correspondent aux plus grandes distances possibles
entre les phases de modulation des canaux.
• Menu local Distribution : Uniquement disponible en instances surround. détermine la
façon dont les décalages de phase entre les différents canaux sont distribués dans le
champ surround. Vous avez le choix entre lesrépartitions Circular (Circulaire), Left↔Right
(Gauche Droite), Front↔Rear (Avant Arrière), Random (Aléatoire) et New random
(Nouvelle distribution aléatoire).
Remarque : lorsque vous chargez un réglage qui utilise l’option Random, la valeur du
décalage de phase enregistrée est rappelée. Si vous souhaitez rendre le réglage de la
phase à nouveau aléatoire, choisissez New random dans le menu local Distribution.
Partie Phaser Output
• Curseur et champ Output Mix : détermine la balance entre les signaux secs et humides.
Les valeurs négatives donnent un mixage de phase inversée de l’effet et un signal direct
(sec).
• BoutonWarmth : permet le circuit de distorsion qui convient aux effets chauds et
poussés.
RingShifter
L’effet RingShifter combine un modulateur en anneau avec un effet de décaleur de
fréquence. Ces deux effets étaient populaires dans les années 70 et vivent une sorte de
renaissance.
Le modulateur en anneau module l’amplitude du signal d’entrée à l’aide de l’oscillateur
intégré ou d’un signal de chaîne latérale. Le spectre de fréquence du signal d’effet qui
en résulte est égal à la somme et la différence des fréquences contenues dans les deux
signaux originaux. On ditsouvent qu’il donne un son métallique ou bruyant. Le modulateur
en anneau a beaucoup été utilisé sur des enregistrements de jazz, de rock et de fusion
au début des années 1970.
Chapitre 9 Effets de modulation 205Le décaleur de fréquence déplace le contenu de fréquence du signal d’entrée d’une valeur
fixe et, ce faisant, altère la relation de fréquence des harmoniques originales. Les sons
qui en résultent vont d’effets de phasing mélodieux et amples à des timbres robotiques
étranges.
Remarque : il ne faut pas confondre le décalage de fréquence avec le décalage de hauteur
tonale. Le décalage de hauteur tonale transpose le signal original sans altérer sa relation
de fréquence harmonique.
Présentation de l’interface Ringshifter
L’interface Ringshifter se divise en six grandes parties.
Boutons Mode Paramètres Delay Paramètres Output
Paramètres du suiveur Paramètres LFO
d’enveloppe
Paramètres des
oscillateurs
• Boutons Mode : déterminent si l’effet Ringshifter fonctionne comme un décaleur de
fréquence ou un modulateur en anneau. Consultez Réglage du mode Ringshifter.
• Paramètres des oscillateurs : configurent l’oscillateur d’onde sinusoïdale interne qui
module l’amplitude du signal d’entrée tant en mode décaleur de fréquence qu’en mode
OSC du modulateur en anneau. Consultez Utilisation de l’oscillateur Ringshifter.
• Paramètres Delay : utilisez ces derniers pour retarder le signal de l’effet. Consultez
Utilisation de Ringshifter’s Delay.
• Paramètres du suiveur d’enveloppe : la fréquence de l’oscillateur et le signal de sortie
peuvent être modulés à l’aide d’un suiveur d’enveloppe. Consultez Modulation de
Ringshifter avec Envelope Follower.
206 Chapitre 9 Effets de modulation• Paramètres LFO: la fréquence de l’oscillateur et le signal de sortie peuvent être modulés
à l’aide d’un oscillateur basse fréquence. Consultez Modulation de Ringshifter avec
l’oscillateur basse fréquence.
• Paramètres Output : la section output de l’effet RingShifter comporte une boucle de
retour et des contrôles permettant de définir la largeur stéréo et la quantité de signaux
sec et humide. Consultez Contrôle des paramètres Ringshifter Output.
Réglage du mode Ringshifter
Les quatre boutons de mode déterminent si l’effet RingShifter doit fonctionner comme
un décaleur de fréquence ou un modulateur en anneau.
• Bouton Single (Frequency Shifter) : le décaleur de fréquence génère un seulsignal d’effet,
décalé. La commande Frequency de l’oscillateur détermine si le signal doit être décalé
vers le haut (valeur positive) ou vers le bas (valeur négative).
• Bouton Dual (Frequency Shifter) : le glissement de fréquence produit un signal d’effet
décalé pour chaque canal stéréo, l’un étant décalé vers le haut, l’autre vers le bas. Le
contrôle Frequency de l’oscillateur détermine la direction du décalage dans le canal
gauche ou droit.
• Bouton OSC (Ring Modulator) : le modulateur en anneau utilise l’oscillateur d’onde
sinusoïdale pour moduler le signal d’entrée.
• Bouton Side Chain (Ring Modulator) : le modulateur en anneau module l’amplitude du
signal d’entrée avec le signal audio attribué via l’entrée latérale. L’oscillateur d’onde
sinusoïdale est désactivé et les commandes Frequency ne sont pas accessibles lorsque
le mode Side Chain est actif.
Utilisation de l’oscillateur Ringshifter
Dans les deux modes du décaleur de fréquence et dans le mode OSC du modulateur en
anneau, l’oscillateur d’onde sinusoïdale interne est utilisé pour moduler l’amplitude du
signal d’entrée.
• Dans les modes du décaleur de fréquence, le paramètre Fréquence contrôle le
glissement de fréquence (vers le haut et/ou vers le bas) à appliquer au signal d’entrée.
Chapitre 9 Effets de modulation 207• Dans le mode OSC du modulateur en anneau, le paramètre Fréquence contrôle le
contenu de fréquence (timbre) de l’effet qui en résulte. Ce timbre va des effets de
trémolo subtils aux sons métalliques.
• Commande Frequency : définit la fréquence de l’oscillateur d’ondes sinusoïdales.
• Boutons Lin(éaire) et Exp(onentiel) : modifient l’échelle du contrôle de fréquence :
• Exp(onential) : l’échelle exponentielle offre desincréments extrêmement petits autour
du point 0, ce qui est utile pour la programmation d’effets de phasing et de trémolo.
• Lin(ear) : la résolution de l’échelle linéaire est uniforme dans l’intégralité de la plage
de contrôle.
• Curseur et champ Env Follow : déterminent l’impact des niveaux de signal entrant sur
la profondeur de la modulation de l’oscillateur
• Curseur et champ LFO : déterminent l’amplitude de la modulation appliquée par
l’oscillateur basse fréquence (LFO).
208 Chapitre 9 Effets de modulationUtilisation de Ringshifter’s Delay
Le signal de l’effet est routé après un retard, suivant l’oscillateur.
• Potentiomètre et champ Time : détermine le temps de retard. Il est exprimé en Hz lorsqu’il
fonctionne librement, ou en battements de notes (y compris les triolets et notes
pointées) lorsque le bouton Sync est activé.
• Bouton Sync : Synchronise le retard au tempo du projet. Vous pouvez choisir des
battements de note musicale avec le potentiomètre Time.
• Potentiomètre et champ Level : définissent le niveau du retard à ajouter au signal du
modulateur en anneau ou de décalage de fréquence. Un niveau de 0 passe le signal
de l’effet directement à la sortie (dérivation).
Modulation de Ringshifter avec Envelope Follower
La fréquence de l’oscillateur et les paramètres Dry/Wet peuvent être modulés à l’aide
d’envelope follower et de l’oscillateur basse fréquence (consultez Modulation de Ringshifter
avec l’oscillateur basse fréquence.) La fréquence de l’oscillateur permet même la
modulation au travers du point 0Hz, ce qui permet de changer la direction des oscillations.
Envelope Follower analyse l’amplitude (volume) du signal d’entrée et l’utilise pour créer
un signal de contrôle changeant continuellement, une enveloppe de volume dynamique
du signal d’entrée. Ce signal de contrôle peut être utilisé pour la modulation.
• Bouton Power : active ou désactive Envelope follower et active les paramètres suivants.
Chapitre 9 Effets de modulation 209• Curseur et champ Sens(ibilité) : détermine la réactivité du suiveur d’enveloppe par rapport
au signal d’entrée. Réglés sur des valeurs basses, ils ne réagissent qu’aux crêtes de
signal dominantes. Régléssur des valeurs élevées, ilssuivent le signal de plus près, mais
peuvent réagir de façon moins dynamique.
• Curseur et champ Attack : détermine le temps de réponse du suiveur d’enveloppe.
• Curseur et champ decay : contrôle le temps que prend le suiveur d’enveloppe pour
passer d’une valeur élevée à une valeur basse.
Modulation de Ringshifter avec l’oscillateur basse fréquence
La fréquence de l’oscillateur et les paramètres Dry/Wet peuvent être modulés à l’aide
d’envelope follower et de l’oscillateur basse fréquence (consultez Modulation de Ringshifter
avec Envelope Follower.) La fréquence de l’oscillateur permet même la modulation au
travers du point 0 Hz, ce qui permet de changer la direction des oscillations. Il produit
des signaux de contrôle continus et en cycle.
• Bouton Power : active ou désactive l’oscillateur basse fréquence et active les paramètres
suivants.
• Curseurs et champs Symmetry et Smooth : Ces commandes, de chaque côté de l’affichage
de l’oscilloscope, modifient la forme de la forme d’onde de l’oscillateur basse fréquence.
• Affichage Oscilloscope : L’affichage de l’oscilloscope de l’oscillateur basse fréquence
donne un retour visuel sur la forme de l’oscilloscope.
• Potentiomètre et champ Rate : Définit la vitesse (cycle d’oscilloscope) de l’oscillateur
basse fréquence.
• Bouton Sync : synchronise les cycles de l’oscillateur basse fréquence (sa vitesse) avec
le tempo du projet à l’aide de valeurs de notes de musique.
210 Chapitre 9 Effets de modulationContrôle des paramètres Ringshifter Output
Les paramètres de sortie sont utilisés pour définir la balance entre les signaux d’effet de
d’entrée mais aussi pour définir la largeur et le retour de Ringshifter.
• Potentiomètre et champ Dry/Wet : Détermine le ratio entre le signal d’entrée sec et de
signal d’effet humide pour le mixage.
• Potentiomètre et champ Feedback : détermine le signal qui est renvoyé dans l’entrée de
l’effet. Le retour donne au son de l’effet RingShifter un petit quelque chose de plus et
est très utile pour une série d’effetsspéciaux. Il produit un son de phasing riche lorsqu’il
est utilisé en combinaison avec un mouvement d’oscillateur lent. Les effets de filtrage
en peigne sont créés en utilisant un feedback élevé avec un retard de courte durée
(moins de 10 ms). L’utilisation de retards plus longs avec un fort feedback crée des
effets de glissement de fréquence en spirale montant et descendant constamment.
• Potentiomètre et champ Stereo Width : détermine la largeur du signal de l’effet dans le
champ stéréo. La largeurstéréo n’affecte que le signal de l’effet RingShifter, pasle signal
d’entrée sec.
• Curseur et champ Env Follower: déterminent l’importance de la modulation du paramètre
Dry/Wet pour le niveau du signal d’entrée.
• Curseur et champ LFO : déterminent la profondeur de modulation du paramètre
Dry/Wet par rapport à l’oscillateur basse fréquence.
Chapitre 9 Effets de modulation 211Effet Rotor Cabinet
L’effet Rotor Cabinet émule le style « Leslie » de l’enceinte de haut-parleur rotative d’un
orgue Hammond. Il simule à la fois l’enceinte de haut-parleur rotatif avec et sans
déflecteurs et les microphones qui captent le son.
Paramètres de base Rotor Speaker
L’effet Rotor Cabinet offre les paramètres de base rotor speaker suivants :
• Boutons Rotor speed : Ces boutons permettent de modifier la vitesse rotative de la
manière suivante :
• Chorale : mouvement lent
• Tremolo : mouvement rapide.
• Brake : arrête le rotor.
• Menu local Cabinet Type : Vous avez le choix parmi les modèles d’enceinte suivants :
• Wood : simule une Leslie équipée d’une enceinte en bois etsonne comme les modèles
Leslie 122 ou 147.
• Proline : simule une Leslie équipée d’une enceinte plus ouverte semblable au modèle
Leslie 760.
• Single : Simule le son d’une Leslie équipée d’un rotor simple full-range. Le son
ressemble au modèle Leslie 825.
• Split : Le signal du rotor de graves est dirigé légèrement à gauche tandis que le signal
du rotor des aigus est dirigé plus à droite.
• Wood & Horn IR : ce réglage utilise une réponse d’impulsion d’une Leslie avec une
enceinte en bois.
• Proline & Horn IR : ce réglage utilise une réponse d’impulsion de Leslie équipée d’une
enceinte plus ouverte.
212 Chapitre 9 Effets de modulation• Split & Horn IR : Ce réglage utilise une réponse d’impulsion de Leslie dont le signal
du rotor des graves est dirigé légèrement à gauche tandis que le signal du rotor des
aigus est dirigé plus à droite.
Paramètres avancés Rotor Speaker
L’effet Rotor Cabinet offre les paramètres avancés rotor speaker suivants :
• Bouton Horn Deflector : Une enceinte Leslie comprend un double diffuseur avec un
déflecteur au niveau de son embouchure. C’est lui qui fabrique le son Leslie. Certaines
personnes retirent le déflecteur pour augmenter la modulation de l’amplitude, et
diminuer la modulation de fréquences. Vous pouvez émuler cela à l’aide du bouton
Horn Deflector pour activer ou désactiver les déflecteurs.
• Menu localMotor Ctrl : Vous pouvez définir différentes vitesses pour lesrotors des graves
et des aigus dans le menu local Motor Ctrl :
Remarque : si voussélectionnez Single Cabinet dansle menu Cabinet, le réglage Motor
Ctrl est inopérant, parce qu’il n’y a pas de rotors de graves et d’aigus séparés dans une
enceinte simple.
• Normal : Les deux rotors utilisent la vitesse définie par les boutons de vitesse de
rotor.
• Inv (mode inversé) : en mode Tremolo, le compartiment des graves tourne à grande
vitesse, alors que le compartiment du pavillon acoustique tourne lentement. C’est
l’inverse en mode Chorale. En mode Brake, les deux rotors sont arrêtés.
• 910 : le 910, ou mode Memphis, arrête la rotation du tambour des graves à basse
vitesse, tandis que la vitesse du compartiment du pavillon acoustique peut être
réglée. Cela peut être utile si vousrecherchez un son de gravessolide, maissouhaitez
conserver un peu de mouvement dans les aigus.
• Sync : L’accélération et la décélération du pavillon acoustique et du tambour de
graves sont pratiquement identiques. On a l’impression que les deux sont bloqués,
mais l’effet n’est clairement audible que pendant l’accélération ou la décélération.
• Curseur Rotor Fast Rate : Ajustez-le pour définir la vitesse maximale possible du rotor
(Trémolo). La vitesse de rotation Trémolo s’affiche en Hertz.
Chapitre 9 Effets de modulation 213• Curseur Acc/Dec Scale : Les moteurs Leslie doivent accélérer et ralentir physiquement
les diffuseurs mécaniques situés sur les haut-parleurs dans les enceintes, pour cela leur
puissance est limitée. Utilisez le paramètre Acc/Dec Scale pour déterminer le temps
qu’il faut pour amener les rotors à une vitesse déterminée et le temps nécessaire pour
ralentir.
• Réglez le curseur complètement à gauche pour passer immédiatement à la vitesse
présélectionnée.
• S’il est complètement à droite, les changements de vitesse mettent plus de temps
pour être effectifs.
• Dans sa position par défaut (1), le comportement ressemble à celui de la Leslie.
Paramètres Microphone de Rotor Cabinet
L’effet Rotor Cabinet offre les paramètres Microphone suivants :
• Curseur Mic Distance : Détermine la distance des micros virtuels (position d’écoute) de
l’enceinte du hautparleur émulé. Utilisez des valeurs plus élevées pour donner dessons
plus sombres et moins définis. C’est typique des microphones, lorsqu’ils sont placés
trop loin de la source sonore.
• Curseur Mic Angle : Utilisez le curseur pour définir l’image stéréo, en modifiant l’angle
des micros simulés.
• Un angle de 0° entraîne un son mono.
• Un angle de 180° entraîne des annulations de phase.
Effet Scanner Vibrato
L’effet Scanner Vibrato simule la section d’effet Scanner vibrato d’un orgue Hammond.
Le Scanner Vibrato est basé sur une ligne à retard analogique, comportant plusieursfiltres
passe-bas. La ligne à retard est analysée (scannée) par condensateur rotatif à lames
multipôles. Il s’agit d’un effet très particulier, qui ne peut pas être simulé par de simples
LFO.
214 Chapitre 9 Effets de modulationVous avez le choix entre trois types de vibrato et de chorus. La version stéréo de l’effet
propose deux paramètres supplémentaires : Stereo Phase et Rate Right. Ces derniers
permettent de régler la vitesse de modulation des canaux gauche et droite de façon
indépendante.
Les paramètres stéréo de
la version mono du
Scanner Vibrato sont
masqués derrière une
couverture transparente.
• Potentiomètre Vibrato : Vous pouvez choisir parmi trois positions de Vibrato (V1, V2 et
V3) ou trois positions de Chorus (C1, C2 et C3).
• Dans les positions Vibrato, seul le signal de la ligne de retard s’entend, avec des
intensités toutes différentes.
• Les trois positions Chorus (C1, C2 et C3) mélangent le signal de la ligne à retard avec
le signal d’origine. Le mélange du signal de vibrato avec un signal d’origine,
statiquement élevé, donne un effet de chorus. Ces sons de type chorus d’orgue
s’avèrent différents de ceux du module Chorus de Logic Pro.
• Si vous choisissez C0, le chorus et le vibrato sont désactivés.
• Potentiomètre Chorus Int : détermine l’intensité du type d’effet de chorus sélectionné.
Si vous avez choisi un effet de type vibrato, ce paramètre n’a pas d’effet.
• Potentiomètre Stereo Phase : s’il est réglé sur une valeur comprise entre 0 et 360 degrés,
il détermine la relation de phase entre les modulations du canal gauche et du canal
droit, ce qui donne des effets stéréo synchronisés.
Si vous positionnez le potentiomètre sur Free, vous pouvez régler la vitesse de
modulation séparément pour le canal gauche et droit.
• Potentiomètre Rate Left : Détermine la vitesse de modulation du canal gauche lorsque
Stereo Phase est réglé sur « free ». S’il est réglé sur une valeur comprise entre 0° et 360°,
Rate Left détermine la vitesse de modulation des canaux gauche et droit. Rate Right
est inopérant dans ce mode.
• Potentiomètre Rate Right : Détermine la vitesse de modulation du canal droit lorsque
Stereo Phase est réglé sur « free ».
Chapitre 9 Effets de modulation 215Spreader
Spreader augmente le spectre stéréo d’un signal. L’effet Spreader décale périodiquement
la plage de fréquences du signal original, ce qui modifie la largeur perçue du signal. Le
retard entre les canaux peut également être spécifié (en échantillons), s’ajoutant à la
séparation de largeur et canal perçue d’un signal d’entrée stéréo.
• Curseur et champ Intensity : détermine la modulation.
• Potentiomètre et champ Speed : Définit la fréquence du LFO intégré, et, par conséquent
la vitesse de modulation.
• Curseur et champ Channel Delay : détermine la durée du retard en échantillons.
• Curseur et champ Mix : Définit la balance entre les signaux d’effet et d’entrée.
216 Chapitre 9 Effets de modulationEffet Tremolo
L’effet Tremolo module l’amplitude d’un signal entrant, ce qui donne des changements
de volume périodiques. On reconnaît parfois cet effet dans les vieux amplis mixtes de
guitare (où on l’appelle parfois à tort vibrato). Le graphique montre tous les paramètres,
à l’exception de la fréquence.
• Curseur et champ Depth : détermine la modulation.
• Affichage Oscilloscope : affiche la forme d’onde générée.
• Potentiomètre et champ Rate : définit la fréquence du LFO.
• Potentiomètres et champs Symmetry et Smoothing : utilisez-les pour modifier la forme
de la forme d’onde de l’oscillateur basse fréquence.
Si Symmetry est réglé sur 50 % et Smoothing sur 0, la forme d’onde de l’oscillateur
basse fréquence a une forme rectangulaire. Cela veut dire que les signaux du volume
le plus haut et le plus bas ont le même timing et que le passage d’un état à l’autre
s’effectue brusquement.
• Potentiomètre et champ Phase : Disponible uniquement en stéréo et surround. Ils
contrôlent la relation de phase entre les différentes modulations de canal. À 0, les
valeurs de modulation sont atteintes simultanément par tous les canaux. Les valeurs
180 et -180 indiquent les plus grandes distances possibles entre les phases de
modulation des canaux.
• Menu local Distribution : Uniquement disponible en instances surround. détermine la
façon dont les décalages de phase entre les différents canaux sont distribués dans le
champ surround. Vous avez le choix entre les distributions Circular (Circulaire),
Left↔Right (Gauche ↔ ), Front↔Rear (Avant ↔ Arrière), Random (Aléatoire) et New
random (Nouvelle distribution aléatoire) (pour rendre la phase aléatoire, choisissez New
random).
Chapitre 9 Effets de modulation 217• Curseur et champ Offset (zone des paramètres étendus) : Détermine le décalage de la
modulation (cycle) vers la gauche ou vers la droite, ce qui donne des variations de
trémolo subtiles ou plus évidentes.
218 Chapitre 9 Effets de modulationVous pouvez utiliser les effets Pitch de Logic Pro pour transposer ou corriger la hauteur
tonale des signaux audio. Ces effets peuvent aussi être utilisés pour créer des parties à
l’unisson ou légèrement plus fournies ou même des voix harmoniques.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Effet Pitch Correction (p 219)
• Pitch Shifter II (p 223)
• Vocal Transformer (p 225)
Effet Pitch Correction
Vous pouvez utiliser l’effet Pitch Correction pour corriger la hauteur tonale des signaux
audio entrants. Une intonation incorrecte est un problème courant dans le cas de pistes
vocales, par exemple. Les artefacts acoustiques pouvant être introduits par le processus
sont infimes et peuvent être à peine entendus, tant que vos corrections sont modérées.
La correction Pitch fonctionne en accélérant et en ralentissant la vitesse de lecture audio,
en vérifiant que le signal d’entrée (le chant) correspond toujours à la hauteur tonale de
note correcte. Si vous tentez de corriger des intervalles plus grands, vous pouvez créer
des effets spéciaux. Les éléments naturels de la performance, comme la respiration, sont
préservés. Toutes les gammes peuvent être définies comme référence de hauteur tonale
(plus connu comme grille de quantification de hauteur tonale), avec des notes
incorrectement accordées corrigées en fonction de cette gamme.
Remarque : il n’est pas possible d’ajuster les enregistrements polyphoniques (choeurs)
et les signaux hautement percussifs, constitués de parties fortes prédominantes, en
fonction d’une hauteur tonale spécifique. Que cela ne vous empêche pas de tenter
d’utiliser le module sur des signaux de batterie.
219
Pitch, effets
10Paramètres du module Pitch Correction
L’effet Pitch Correction offre les paramètres suivants.
• Bouton Use Global Tuning : permet d’utiliser les réglages Tuning du projet pour le
processus de correction de hauteur tonale. S’il est désactivé, vous pouvez utiliser Ref.
Pitch pour définir l’accord de référence voulu. Consultez Définition de l’accord de
référence Pitch Correction.
• Boutons Normal et Low : déterminent le plage de hauteur tonale analysée (pour les
notes devant être corrigées). Consultez Définition de la grille de quantification de l’effet
Pitch Correction.
• Champ Ref. Pitch : Définit l’accord de référence souhaité en cents (relatif à la note
fondamentale). Consultez Définition de l’accord de référence Pitch Correction.
• Menu local et champ Root : Cliquez dessus pour choisir la note fondamentale de la
gamme dans le menu local Root. Consultez Définition de la grille de quantification de
l’effet Pitch Correction.
• Menu local et champ Scale : Cliquez dessus pour choisir différentes grilles de
quantification de hauteur tonale dans le menu local Scale. Consultez Définition de la
grille de quantification de l’effet Pitch Correction.
• Clavier : cliquez sur une tonalité pour exclure la note correspondant des grilles de
quantification de hauteur tonale. La tonalité est supprimée de la gamme, aboutissant
à des corrections de notes qui sont forcées vers la hauteur tonale (tonalité) disponible
la plus proche. Consultez Exclusion de notes de Pitch Correction.
• Boutons Byp(ass) : permettent d’exclure la note correspondante de la correction de
hauteur tonale. En d’autres termes, toutes les notes correspondant à cette hauteur
tonale ne seront pas corrigées. Cela est applicable aux grilles de quantification de
gammes utilisateur et intégrées. Consultez Exclusion de notes de Pitch Correction.
220 Chapitre 10 Pitch, effets• Bouton Bypass All : Permet de comparer rapidement les signaux corrigés et d’origine
ou peut être utilisé pour les modifications d’automatisation.
• Boutons Show Input et Show Output : ces boutons permettent d’afficher la hauteur
tonale du signal d’entrée et de sortie, respectivement, sur les notes du clavier.
• Écran Correction Amount : indique le niveau de modification de la hauteur tonale. Le
marqueur rouge indique le niveau de correction moyen sur une longue période. Vous
pouvez faire appel à cet écran lors de discussions (et d’optimisations) relatives à
l’intonation vocale avec un chanteur au cours d’une session d’enregistrement.
• Curseur et champ Response : déterminent la vitesse à laquelle la voix atteint la hauteur
tonale de destination corrigée. Les chanteurs utilisent le portamenti et d’autres
techniques de glissé. Si vous choisissez une valeur Response trop élevée, les portamenti
transparents deviennent des glissandi sur demi-ton, mais l’intonation sera parfaite. Si
la valeur de réponse est trop faible, la hauteur tonale du signal de sortie ne change pas
assez vite. Le réglage optimal pour ce paramètre dépend du style de chant, du tempo,
du vibrato et de la précision des performances d’origine.
• Curseur et champ Detune : Désaccordent le signal de sortie par la valeur définie.
Définition de la grille de quantification de l’effet Pitch Correction
Utilisez les boutons Normal et Low de l’effet Pitch Correction pour déterminer la plage
de hauteur tonale où rechercher les notes à corriger. Normal est la plage par défaut, qui
fonctionne pour la plupart des morceaux audio. Low ne doit être utilisé que pour le
morceau audio contenant des fréquences extrêmement basses (sous 100 Hz), ce qui peut
aboutir à une détection de hauteur tonale inexacte. Ces paramètres n’ont aucun effet sur
le son, ils’agitsimplement d’options de suivi pour la plage de hauteur tonale cible choisie.
Le menu local Scale permet de choisir différentes grilles de quantification de hauteur
tonale. La gamme définie manuellement (avec le graphique clavier situé dans la fenêtre
du module) est appelée la gamme utilisateur. Le réglage par défaut est la gamme
chromatique. Si vous n’êtes passûr desintervalles utilisés dans une gamme donnée, faites
votre choix dans le menu Scale et vérifiez le graphique du clavier. Vous pouvez modifier
toute note de la gamme choisie en cliquantsur lestouches du clavier. De tels ajustements
écrasent les réglages de la gamme utilisateur.
Il n’existe qu’une seule gamme utilisateur par projet. Vous pouvez cependant en créer
plusieurs et les enregistrer comme fichiers de réglages du module Pitch Correction.
Astuce : la gamme drone utilise une quinte comme grille de quantification, la gamme
single définit une seule note. Ces deux gammes ne sont pas censées produire des voix
chantées réalistes, par conséquent, si vous recherchez des effets un peu spéciaux, ne
manquez pas de les essayer.
Chapitre 10 Pitch, effets 221Ouvrez le menu local Root pour choisir la note fondamentale de la gamme (si vous
choisissez la gamme utilisateur ou la gamme chromatique dans le menu local Scale, le
menu local Root ne fonctionne pas). Vous pouvez transposer librement les gammes
majeures et mineures, ainsi que les gammes portant des noms d’accords.
Exclusion de notes de Pitch Correction
Vous pouvez utiliser le clavier virtuel de l’effet Pitch Correction pour exclure des notes
de la grille de quantification de hauteur tonale. Lorsque vous ouvrez l’effet pour la première
fois, toutes les notes de la gamme chromatique sont sélectionnées. Cela signifie que
chaque note entrante sera modifiée pour correspondre à la prochaine étape de demi-ton
de la gamme chromatique. Si l’intonation du chanteur est insuffisante, cela peut aboutir
à une identification et donc à une correction incorrecte des notes à une hauteur tonale
non souhaitée. Par exemple, le chanteur peut avoir eu l’intention de chanter un Mi, mais
il est plus proche d’un Ré#. Si vous ne voulez pas de Ré# dans le morceau, la touche Ré#
peut être désactivée sur le clavier. Étant donné que la hauteur tonale d’origine était plus
proche d’un Mi que d’un Ré, elle est corrigée en Mi.
Remarque : les réglages sont valables pour toutes les plages d’octaves. Il n’existe pas de
réglages individuels pour les différentes octaves.
L’utilisation des petits boutons bypass(byp) au-dessus destouches vertes(noires) etsous
les touches bleues (blanches) exclut les notes de la correction. Ceci est très utile pour les
notes caractéristiques du blues. Il s’agit de notes passant d’une hauteur tonale à une
autre, rendant la tonalité difficile à identifier comme étant majeure ou mineure. Comme
vous le savez peut-être, l’une des principales différences entre le Do mineur et le Do
majeur est le Mib (Mi bémol) et le Sib (Si bémol), au lieu du Mi et du Si. Les chanteurs de
Blues glissent entre ces notes, créant un incertitude ou une tension entre les gammes.
L’utilisation des boutons bypass permet de laisser inchangées des tonalités particulières
Si vous activez le bouton Bypass All, le signal d’entrée n’est ni traité ni corrigé. Ceci est
utile pour les corrections ponctuelles de hauteur tonale via l’utilisation de l’automatisation.
Le bouton Bypass All est optimisé pour activer ou désactiver un contournement
transparent dans toutes les situations.
Astuce : vous vous rendrez souvent compte qu’il vaut mieux ne corriger que les notes
ayant le plus de gravité harmonique. Par exemple, choisissez « sus4 » dans le menu local
Scale et définissez la note fondamentale en fonction de la tonalité du projet. Cela limite
la correction à la note fondamentale, la quarte et la quinte de la gamme de tonalités.
Activez les boutons Bypass pour toutes les autres notes et seules les notes les plus
importantes et les plus sensibles sont corrigées, le reste du chant restant inchangé.
Définition de l’accord de référence Pitch Correction
Sélectionnez File > Project Settings > Tuning pour déterminer la référence d’accord pour
tous les instruments du logiciel.
222 Chapitre 10 Pitch, effetsSi vous utilisez le bouton Use Global Tuning dans la fenêtre Pitch Correction, les réglages
d’accord de l’application hôte sont utilisés pour le processus de correction de la hauteur
tonale. Si ce paramètre est désactivé, vous pouvez utiliser le champ Ref. Pitch pour définir
l’accord de référence voulu (à la tonalité de la note fondamentale/note).
Par exemple, l’intonation d’une ligne vocale est souvent légèrement trop haute ou trop
basse sur un morceau entier. Utilisez le paramètre Reference Pitch pour résoudre ce
problème à l’entrée du processus de détection de la hauteur tonale. Définissez la Tonalité
de référence pour refléter la déviation de tonalité constante en centièmes. Cela permet
une correction plus précise de la tonalité.
Remarque : des accords différents de l’accord des instruments logiciels peuvent être
intéressants, lorsque vous voulez corriger individuellement les notes des chanteurs d’un
choeur. Si toutes les voix étaient toutes corrigées individuellement et parfaitement à la
même hauteur tonale, l’effet du choeur serait partiellement perdu. Vous pouvez éviter
cela en (dés)accordant les corrections de hauteur tonale individuellement.
Automatisation de l’effet Pitch Correction
Cet effet peut être entièrement automatisé. Cela signifie que vous pouvez automatiser
les paramètres Scale et Root afin qu’ils soient conformes aux harmonies du projet. Selon
la précision de l’intonation d’origine, la définition de la tonalité (paramètre Scale)
appropriée peut suffire. Des intonations moins précises peuvent nécessiter des
modifications plus importantes des paramètres Scale et Root.
Pitch Shifter II
Le module Pitch Shifter II offre un moyen simple de combiner une version du signal dont
la hauteur tonale a été changée avec le signal d’origine.
• Curseur et champ Semi Tones : définissent la valeur de changement de tonalité en
demi-tons.
• Curseur et champ Cents : contrôlent le désaccordage de la valeur de changement de
tonalité en centièmes (1/100 de demi-ton).
Chapitre 10 Pitch, effets 223• Boutons Drums, Speech et Vocals : sélectionnez un de ces trois algorithmes pour les
morceaux audio les plus communs :
• Drums : maintient le groove (sensation rythmique) du signal source.
• Speech : propose un équilibre entre les aspectsrythmiques et harmoniques du signal.
Il convient bien pour les signaux complexes comme les enregistrements parlés, le
rap et d’autres signaux hybrides comme une guitare rythmique.
• Vocals : maintient l’intonation de la source, convient bien aux signaux harmoniques
ou mélodieux de façon inhérente comme les string pads.
• Curseur et champ Mix : détermine la balance entre les signaux sec et humide.
• Menu local Timing (zone des paramètres étendus) : détermine la manière dont le contrôle
du temps est décliné : en étant conforme à l’algorithme de préréglages (Preset)
sélectionné, en analysant le signal entrant (Auto), ou en utilisant les réglages des
paramètres Delay, Crossfade et Stereo Link, décrits ci-dessous (Manual).
Remarque : les trois paramètres suivants sont actifs uniquement lorsque l’option Manual
est choisie dans le menu local Timing.
• Curseur et champ Delay (zone des paramètres étendus) : définissent le délai appliqué au
signal d’entrée. Plus les fréquences du signal d’entrée sont basses, plus le délai défini
doit être élevé (long) afin de transposer réellement la hauteur tonale du signal.
• Curseur et champ Crossfade (zone des paramètres étendus) : définit la gamme (exprimée
en pourcentage du signal d’origine) utilisée pour analyser le signal d’entrée.
• Boutonsradio Stereo Link (zone des paramètres étendus) : sélectionnez Inv. pour inverser
les signaux des canaux stéréo, le traitement pour le canal droit ayant lieu à gauche et
vice versa. Sélectionnez Normal pour laisser le signal inchangé.
Suivez ces étapes lors d’un changement de hauteur tonale
1 Déplacez le curseur Semi Tones suivant l’importance de la transposition ou décalage de
tonalité.
2 Réglez le curseur Cents en fonction de la justesse voulue.
3 Cliquez sur le bouton Drums, Speech, ou Vocals poursélectionner l’algorithme qui convient
le mieux à votre morceau.
Si vous travaillez sur un échantillon qui ne correspond à aucune de ces catégories, faites
des essais avec chaque algorithme (en commençant par Speech), comparez les résultats
et utilisez celui qui vous convient le mieux.
Astuce : lors d’essais et de comparaisons de différents réglages, il est souvent utile de
définir temporairement le paramètre Mix sur 100 %, car les artefacts Pitch Shifter II sont
plus faciles à entendre.
224 Chapitre 10 Pitch, effetsVocal Transformer
Vous pouvez l’utiliser pour transposer la hauteur tonale d’une ligne vocale, pour augmenter
ou réduire la plage de la mélodie ou même la réduire à une seule note, afin de refléter
les hauteurstonales d’une mélodie. Même si vous changez lestonalités de votre mélodie,
les parties constitutives du signal restent les mêmes.
Vous pouvez modifier les formants de façon indépendante, ce qui signifie que vous
pouvez transformer une piste vocale en une voix de type « Mickey Mouse », tout en
conservant la hauteur tonale d’origine. Les formants sont des emphases caractéristiques
de certaines plages de fréquences. Ils sont statiques et ne changent pas avec la hauteur
tonale. Les formants définissent le timbre spécifique d’une voix humaine donnée.
Vocal Transformer est bien adapté aux effets vocaux extrêmes. Les meilleurs résultats
sont obtenus avec les signaux monophoniques, y compris les pistes instrumentales
monophoniques. Le module n’est pas conçu pour les voix polyphoniques (un chœur sur
une seule piste, par exemple) ou d’autres pistes « choristiques ».
Paramètres Vocal Transformer
Vocal Transformer comprend les paramètres suivants :
• Potentiomètre et champ Pitch : détermine le degré de transposition appliqué au signal
d’entrée. Consultez Choix des paramètres Pitch et Formant de Vocal Transformer.
• Bouton Robotize : active le mode robotisé qui est utilisé pour augmenter, diminuer ou
refléter la mélodie. Consultez Utilisation du mode Robotize de Vocal Transformer.
• Curseur et champ Pitch Base (uniquement disponible en mode Robotize) : Utilisez-les pour
transposer la note suivie par le paramètre Tracking (voir ci-dessous). Consultez Utilisation
du mode Robotize de Vocal Transformer.
• Curseur, champ et boutons Tracking (uniquement disponible enmode Robotize) : contrôlent
la façon dont la mélodie est modifiée en mode Robotize. Consultez Utilisation du mode
Robotize de Vocal Transformer.
• Curseur et champ Mix : définissent le rapport de niveaux entre les signaux d’origine
(secs) et d’effet.
Chapitre 10 Pitch, effets 225• Potentiomètre et champ Formant : changent les formants du signal d’entrée. Consultez
Choix des paramètres Pitch et Formant de Vocal Transformer.
• Curseur et champ Glide (zone Extended Parameters) : détermine la durée de la
transformation vocale, autorisant des transitions par glissement vers la valeur Pitch
définie.
• Curseur et champ Grain (zone Extended Parameters) : L’algorithme de l’effet Vocal
Transformer est basé sur une synthèse granulaire. Le paramètre Grain Size vous permet
de définir la taille des grains et affecte donc la précision du processus. Faites des essais
afin de déterminer le meilleur paramètre. Essayez d’abord Auto.
• Menu local Formants (zone des Extended Parameters) : détermine si Vocal Transformer
traite tous les formants (réglage « Process always »), ou uniquement les ceux de type
sonore (réglage « Keep unvoiced formants »). L’option « Keep unvoiced formants » laisse
inchangé le bruit sifflant d’une représentation vocale. Ce réglage produit un effet de
transformation à sonorité plus naturelle avec certains signaux.
• Curseur et champ Detune (zone Extended Parameters) : Désaccordent le signal d’entrée
par la valeur définie. Ce paramètre présente un avantage particulier lorsqu’il est
automatisé.
Choix des paramètres Pitch et Formant de Vocal Transformer
Utilisez le paramètre Pitch de Vocal Transformer pour transposer la hauteur tonale du
signal vers le haut ou le bas. Les ajustements sont faits par étapes de demi-ton. Les
hauteurs tonales entrantes sont indiquées par une ligne verticale sous le champ Pitch
Base. Les transpositions d’une quinte vers le haut (hauteur tonale = + 7), une quarte vers
le bas (hauteur tonale = - 5) ou d’une octave (hauteur tonale = ± 12) sont les plus utiles
harmoniquement.
En modifiant le paramètre Pitch, vousremarquerez peut-être que lesformants ne changent
pas. Les formants sont des emphases caractéristiques de certaines plages de fréquences.
Ils sont statiques et ne changent pas avec la hauteur tonale. Les formants définissent le
timbre spécifique d’une voix humaine donnée.
Le paramètre Pitch est expressément utilisé pour modifier la hauteur tonale d’une voix,
passon caractère. Si vous définissez des valeurs Pitch négatives pour une voix de soprano
féminine, vous pouvez la transformer en voix alto, sans modifier le caractère spécifique
de la voix de la chanteuse.
226 Chapitre 10 Pitch, effetsLe paramètre Formant change les formants, tout en conservant —ou en modifiant de
façon indépendante—la hauteur tonale. Si vous définissez ce paramètre sur des valeurs
positives, le chanteur a la voix de Mickey Mouse. En baissant la valeur du paramètre, vous
pouvez obtenir des voix similaires à celle de Dark Vador.
Astuce : si Pitch est défini sur 0 demi-ton, Mix sur 50 % et Formant sur +1 (Robotize étant
désactivé), vous pouvez véritablement rajouter un chanteur (avec une plus petite tête)
en parallèle au vrai chanteur. Ils chanteront tout deux avec la même voix, comme un
chœur de deux personnes. Ce doublage de voix est relativement efficace, les niveaux
étant facilement contrôlables avec le paramètre Mix.
Utilisation du mode Robotize de Vocal Transformer
Lorsque vous activez le mode Robotize, Vocal Transformer peut augmenter ou diminuer
la mélodie. Vous pouvez contrôler l’intensité de cette distorsion avec le paramètre Tracking.
Le curseur et le champ Tracking contiennent quatre boutons qui règlent immédiatement
sur le curseur sur les valeurs les plus utiles, comme suit :
• − 1 (règle le curseur sur − 100 %) : tous les intervalles sont reflétés.
• 0 (passe le curseur sur 0 %) : donne des résultats intéressants, chaque syllabe de la piste
vocale étant chantée sur le même ton. Les valeurs faibles transforment les lignes
chantées en énoncé parlé.
• 1 (passe le curseur sur 100 %) : la plage de la mélodie est conservée. Les valeurs les plus
élevées augmentent la mélodie et les valeurs les plus faibles la diminuent.
• 2 (passe le curseur sur 200 %) : les intervalles sont doublés.
Le paramètre Pitch Base est utilisé pour transposer la note suivie par le paramètre Tracking.
Par exemple : si Tracking est réglé sur 0 %, la hauteur tonale de la note (parlée) est
transposée à la valeur de hauteur tonale de base choisie.
Chapitre 10 Pitch, effets 227Vous pouvez utiliser des effets Reverb pour simuler le son d’environnements acoustiques
comme les salles, salles de concert, cavernes ou plein air.
Les ondes sonores rebondissent plusieurs fois sur les surfaces comme les murs, plafonds,
fenêtres, etc. mais aussi sur les objets, et ce dans n’importe quel espace, jusqu’à devenir
inaudibles. Les ondes sonores du bounce produisent un schéma de réflexion, plus connu
sous le nom de réverbération (ou réverb).
La première étape d’une réverbération consiste en un certain nombre de réflexions
séparées que vous pouvez distinguer clairement avant apparition du champ diffus (ou
queue de réverbération). Ces premières réflexions sont essentielles dans la perception
humaine des caractéristiques spatiales comme la taille et la forme d’une pièce.
Signal Discrete
réflexions
Champ diffus (queue de réverbération diffuse)
Pattern/réverbération de réflexion
Time
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Planches, effets de réverbération numériques et réverbération à convolution (p 230)
• AVerb (p 230)
• EnVerb (p 231)
• GoldVerb (p 234)
• PlatinumVerb (p 237)
• SilverVerb (p 241)
229
Effets de réverbération
11Planches, effets de réverbération numériques et réverbération
à convolution
La première forme de réverbération utilisée dans la production musicale était une pièce
dotée de parois rigides, appelée chambre d’écho. Elle était utilisée pour ajouter des échos
au signal. Des appareils mécaniques, y compris des planches et desressorts, étaient utilisés
pour ajouter un effet de réverbération à la sortie des instruments musicaux et des
microphones.
Avec l’enregistrement numérique sont apparus les effets de réverbération numériques,
qui se composent de milliers de retards de longueur et d’intensité variables. La différence
de temps entre le signal d’origine et l’arrivée des réflexions précoces peut être ajustée
par un paramètre généralement appelé un predelay (pré-retard). Le nombre moyen de
réflexions dans une période donnée est défini par le paramètre de densité. La régularité
ou l’irrégularité de la densité est contrôlée par le paramètre de diffusion.
Les ordinateurs actuels peuvent échantillonner les caractéristiques de réverbération des
espacesréels à l’aide desréverbérations de convolution. Ces enregistrements échantillons
des caractéristiques d’une pièce sont appelés réponses impulsionnelles.
Lesréverbérations à convolution fonctionnent par convolution (combinaison) d’un signal
audio avec l’enregistrement par réponse impulsionnelle des caractéristiques de
réverbération d’une pièce. Consultez Space Designer Convolution Reverb.
AVerb
Le module AVerb est un effet de réverbération simple qui utilise un paramètre unique
(Density/Time) pour contrôler à la fois les réflexions précoces de l’effet et le champ diffus.
Il constitue un outil rapide et facile permettant de créer toute une gamme d’effets
intéressants « d’espace » et « d’écho ». Il ne représente toutefois pas le choix idéal pour
la simulation d’environnements acoustiques réels.
• Curseur et champ Predelay : détermine l’intervalle de temps entre le signal d’origine et
les réflexions précoces du signal de réverbération.
230 Chapitre 11 Effets de réverbération• Potentiomètre et champ Reflectivity : Définissent la réflectivité des murs, plafonds et
planchers imaginaires, en d’autres termes, la rigidité des murs et leur composition. Le
verre, la pierre, le bois, les tapis et les autres matériaux ont une incidence déterminante
sur la tonalité de la réverbération.
• Potentiomètre et champ Room : définit les dimensions des pièces simulées.
• Curseur et champ Density/Time : détermine à la fois la densité et la durée de la
réverbération.
Des valeurs faibles génèrent souvent des groupes de réflexions précoces clairement
perceptibles et crée un effet similaire à l’écho. L’utilisation de valeurs élevées produit
un effet similaire à la réverbération.
• Curseur et champ Mix : Déterminent la balance entre les signaux d’effet (humides) et
directs (secs).
EnVerb
EnVerb est un effet de réverbération polyvalent doté d’une seule fonctionnalité : il permet
d’ajuster librement l’enveloppe (la forme) d’un champ diffus.
Paramètres Time
Mix
Paramètres Sound
L’interface peut être divisée en trois zones :
• Paramètres Time : ces paramètres déterminent le temps de retard du signal d’origine
et de la queue de réverbération et modifient la queue de réverbération dans le temps.
L’écran graphique fournit une représentation visuelle des niveaux de la réverbération
dans le temps (enveloppe). Consultez Paramètres EnVerb Time.
• Paramètres Sound : cette zone vous permet de définir le son du signal de réverbération.
Vous pouvez également utiliser le paramètre Crossover pour fractionner le signal entrant
en deux bandes et définir séparément le niveau de la bande de fréquence basse.
Consultez Paramètres EnVerb Sound.
• Paramètre Mix : détermine la balance entre les signaux d’effet (humides) et directs
(secs).
Chapitre 11 Effets de réverbération 231Paramètres EnVerb Time
EnVerb offre les paramètres Time suivants :
• Curseur et champ Dry Signal Delay : détermine le retard du signal d’origine. Vous ne
pouvez entendre le signal sec que sinle paramètre Mix est défini sur une valeur autre
que 100 pour cent.
• Potentiomètre et champ Predelay : Définissent l’intervalle de temps entre le signal
d’origine et le point de départ de la phase d’attaque de la réverbération (toute première
phase de la première réflexion).
• Potentiomètre et champ Attack : définit le temps nécessaire à la réverbération pour
atteindre son niveau le plus haut.
• Potentiomètre et champ Decay : définit le temps nécessaire pour que le niveau de
réverbération passe du point culminant au niveau de maintien (Sustain).
• Potentiomètre et champ Sustain : définit le niveau de réverbération qui reste constant
tout au long de la phase de maintien. Ce niveau est exprimé en pourcentage du volume
total du signal de réverbération.
• Potentiomètre et champ Hold : Définit la durée de la phase de sustain.
• Potentiomètre et champ Release : définit le temps nécessaire à la réverbération pour se
terminer en fondu, une fois la phase de maintien terminée.
232 Chapitre 11 Effets de réverbérationParamètres EnVerb Sound
EnVerb offre les paramètres de contrôle de la tonalité suivants :
• Curseur et champ Density : définit la densité de la réverbération.
• Curseur et champ Spread : contrôle l’image stéréo de la réverbération. À une valeur de
0 pour cent, l’effet génère une réverbération monophonique. À 200 pour cent, la base
stéréo est étendue de manière artificielle.
• Curseur et champ High Cut : les fréquences situées au-dessus de la valeur définie sont
filtrées à partir de la queue de réverbération.
• Curseur et champ Crossover : Définissent la fréquence à laquelle le signal d’entrée est
fractionné en deux bandes de fréquences pour qu’elles soient traitées séparément.
• Curseur et champ Low Freq Level : Déterminent le niveau relatif des fréquences (signal
de réverbération) situées au-dessous de la fréquence de répartition. Dans la plupart
des cas, on obtient des résultats sonores plus satisfaisants en définissant des valeurs
négatives pour ce paramètre.
Chapitre 11 Effets de réverbération 233GoldVerb
Le module GoldVerb vous permet de modifier les réflexions précoces et les queues de
réverbération diffuse séparément, ce qui facilite l’émulation précise des environnements
réels.
Paramètres Early Reflections Curseur Balance ER/Reverb
Paramètres Reverb
Curseur et champ Mix
L’interface est séparée en quatre grandes zones de paramètres :
• Paramètres Early Reflections: permet d’émuler les premièresréflexions du signal d’origine
lorsqu’elles rebondissent sur les murs, le plafond ou le plancher d’une pièce. Consultez
Paramètres Early Reflections de GoldVerb.
• Paramètres Reverb : contrôlent lesréverbérations diffuses. Consultez Paramètres Reverb
de GoldVerb.
• Curseur Balance ER/Reverb : contrôle la balance entre les réflexions précoces et le signal
de réverbération. Lorsque le curseur est placé sur l’une des positions extrêmes, l’autre
signal n’est pas perceptible.
• Curseur et champ Mix : détermine la balance entre les signaux d’effet (humides) et
directs (secs).
234 Chapitre 11 Effets de réverbérationParamètres Early Reflections de GoldVerb
GoldVerb offre les paramètres Early Reflections suivants :
• Curseur et champ Predelay : détermine l’intervalle de temps entre le début du signal
d’origine et l’arrivée desréflexions précoces. Lesréglages Predelay extrêmement courts
peuvent colorer le son et rendre difficile la localisation du signal source. Les réglages
trop longs de Predelay peuvent être perçus comme un écho non naturel et dissocier
le signal original des premières réflexions, laissant ainsi un écart audible entre les deux.
Le réglage Predelay optimum dépend du type de signal d’entrée, ou plus précisément
de l’enveloppe du signal d’entrée. Les signaux percussifs requièrent généralement des
pré-retards plus courts que les signaux pour lesquels les attaques diminuent
progressivement. Il est recommandé d’utiliser le pré-retard le plus long possible avant
d’entendre des effets secondaires indésirables, tels qu’un écho audible. Lorsque vous
atteignez ce point, réduisez alors légèrement le réglage de Predelay.
• Curseur et champ Room Shape : définissent la forme géométrique de la pièce. La valeur
numérique (entre 3 et 7) représente le nombre d’angles dansla pièce. L’écran graphique
fournit une représentation visuelle de ce réglage.
• Curseur et champ Room Size : définit les dimensions de la pièce. La valeur numérique
indique la longueur des murs, c’est-à-dire la distance entre deux angles.
• Curseur et champ Stereo Base : définissent la distance entre les deux microphones virtuels
utilisés pour capturer le signal dans une salle simulée.
Remarque : le fait d’éloigner légèrement les microphones d’une largeur plusimportante
que la distance entre les deux oreilles offre généralement de meilleurs résultats. Ce
paramètre n’est disponible que pour les effets en stéréo.
Chapitre 11 Effets de réverbération 235Paramètres Reverb de GoldVerb
GoldVerb offre les paramètres Reverb suivants :
• Curseur et champ Initial Delay : détermine l’intervalle de temps entre le signal d’origine
et la queue de réverbération diffuse. Si vous souhaitez obtenir une sonorité naturelle
et une réverbération harmonieuse, la transition entre lesréflexions précoces et la queue
de réverbération doit être aussi fluide et transparente que possible. Réglez le paramètre
Initial Delay de sorte qu’il soit le plus long possible, sans qu’il soit possible de percevoir
un intervalle de temps entre les réflexions précoces et la queue de réverbération.
• Curseur et champ Spread : contrôle l’image stéréo de la réverbération. À une valeur de
0 pour cent, l’effet génère une réverbération monophonique. À 200 pour cent, la base
stéréo est étendue de manière artificielle.
• Potentiomètre et champ High Cut : les fréquences situées au-dessus de la valeur définie
sont filtrées à partir du signal de réverbération. Les surfaces inégales ou absorbantes
comme le papier peint, le lambris, le tapis, etc. ont tendance à mieux renvoyer les
basses fréquences que les hautes. Le filtre High Cut imite cet effet. Si vous définissez
le filtre passe-haut de sorte qu’il soit totalement ouvert (valeur maximum), le son de
la réverbération sera proche du son d’une pièce en pierre ou en verre.
• Potentiomètre et champDensity : contrôle la densité de la queue de réverbération diffuse.
En règle générale, vous souhaitez que le signal soit aussi dense que possible. Toutefois,
dans de rares cas, une valeur haute Density peut colorer le son. Vous pouvez résoudre
ce problème en réduisantsimplement la valeur du potentiomètre Density. Inversement,
si vous sélectionnez une valeur trop faible, la queue de réverbération aura un son
granuleux.
• Potentiomètre et champ Reverb Time : Temps nécessaire pour que le niveau de
réverbération diminue de 60 dB (souvent dénommé RT60). Les salles les plus naturelles
ont un temps de réverbération dans une plage allant de une à troissecondes. Ce temps
est réduit par lessurfaces absorbantestelles que lestapis et lesrideaux, et par le mobilier
dense et lisse tels que les canapés, fauteuils, placards et tables. Pour un grand hall ou
une grande église vide, ce temps peut atteindre jusqu’à huit secondes, voire plus pour
les lieux caverneux ou les cathédrales.
236 Chapitre 11 Effets de réverbération• Curseur et champ Diffusion (zone Extended Parameters) : définit la diffusion de la queue
de réverbération. Lesfortes valeurs de diffusion représentent une densité normale avec
peu d’altérations de niveau, de temps et de position de panorama sur le parcours du
signal de réverbération diffus. Des valeurs de diffusion basse génèrent une densité de
réflexion irrégulière et granuleuse. Cela affecte également le spectre stéréo. Tout comme
pour la densité, trouvez le meilleur équilibre pour le signal.
PlatinumVerb
Le module PlatinumVerb vous permet de modifier les réflexions précoces et les queues
de réverbération diffuse séparément, ce qui facilite l’émulation précise des environnements
réels. La section Reverb à double bande divise le signal entrant en deux bandes, chacune
d’entre elles pouvant alors être traitée et modifiée séparément.
Paramètres Early Reflections Curseur Balance ER/Reverb Paramètres Output
Paramètres Reverb
L’interface est séparée en quatre grandes zones de paramètres :
• Paramètres Early Reflections: permet d’émuler les premièresréflexions du signal d’origine
lorsqu’elles rebondissent sur les murs, le plafond ou le sol d’une pièce. Consultez
Paramètres Early Reflection de PlatinumVerb.
• Paramètres Reverb : contrôle lesréverbérations diffuses. Consultez PlatinumVerbReverb,
paramètres.
Chapitre 11 Effets de réverbération 237• Paramètres Output : détermine la balance entre les signaux d’effet (mouillés) et directs
(secs). Consultez PlatinumVerbOutput, paramètres.
• Curseur Balance ER/Reverb : contrôle la balance entre les sections Early Reflections et
Reverb. Lorsque vous placez le curseur sur l’une des extrémités, la section inutilisée est
désactivée.
Paramètres Early Reflection de PlatinumVerb
L’effet PlatinumVerb propose les paramètres Early Reflections suivants :
• Curseur et champ Predelay : détermine l’intervalle de temps entre le début du signal
d’origine et l’arrivée desréflexions précoces. Lesréglages Predelay extrêmement courts
peuvent colorer le son et rendre difficile la localisation du signal source. Les réglages
trop longs de Predelay peuvent être perçus comme un écho non naturel et dissocier
le signal original des premières réflexions, laissant ainsi un écart audible entre les deux.
Le réglage Predelay optimum dépend du type de signal d’entrée, ou plus précisément
de l’enveloppe du signal d’entrée. Les signaux percussifs requièrent généralement des
pré-retards plus courts que les signaux pour lesquels les attaques diminuent
progressivement. Il est recommandé d’utiliser le pré-retard le plus long possible avant
d’entendre des effets secondaires indésirables, tels qu’un écho audible. Lorsque vous
atteignez ce point, réduisez alors légèrement le réglage de Predelay.
• Curseur et champ Room Shape : définissent la forme géométrique de la pièce. La valeur
numérique (entre 3 et 7) représente le nombre d’angles dansla pièce. L’écran graphique
fournit une représentation visuelle de ce réglage.
• Curseur et champ Room Size : définit les dimensions de la pièce. La valeur numérique
indique la longueur des murs, c’est-à-dire la distance entre deux angles.
• Curseur et champ Stereo Base : définissent la distance entre les deux microphones virtuels
utilisés pour capturer le signal dans une salle simulée.
Remarque : le fait d’éloigner légèrement les microphones d’une largeur plusimportante
que la distance entre les deux oreilles offre généralement de meilleurs résultats. Ce
paramètre n’est disponible que pour les effets en stéréo.
238 Chapitre 11 Effets de réverbération• Curseur et champ ER Scale (zone Extended Parameters) : définit les réflexions précoces
le long de l’axe temporel et influence simultanément les paramètres de forme de la
pièce, de taille de la pièce et de base stéréo.
PlatinumVerbReverb, paramètres
L’effet PlatinumVerb propose les paramètres Reverb suivants :
• Curseur et champ Initial Delay : détermine l’intervalle de temps entre le signal d’origine
et la queue de réverbération diffuse.
• Curseur et champ Spread : contrôle l’image stéréo de la réverbération. À une valeur de
0 pour cent, l’effet génère une réverbération monophonique. À 200 pour cent, la base
stéréo est étendue de manière artificielle.
• Curseur et champ Crossover : définit la fréquence à laquelle le signal d’entrée est
fractionné en deux bandes de fréquences pour qu’elles soient traitées séparément.
• Curseur et champ LowRatio : déterminent lestemps de réverbération relatifs des bandes
de basses et aigus. On l’exprime en pourcentage. À 100 pour cent, le temps de
réverbération des deux bandes est identique. Avec des valeurs en dessous de 100 %,
le temps de réverbération desfréquencessituées en deçà de la fréquence de répartition
est plus court. Avec des valeurs supérieures à 100 pour cent, le temps de réverbération
des fréquences basses est plus long.
• Curseur et champ LowFreq Level : définissent le niveau du signal de réverbération basse
fréquence. À 0 dB, le volume des deux bandes est identique. Dansla plupart des mixages,
vous devez définir un niveau inférieur pour le signal de réverbération basse fréquence.
Cela vous permet d’augmenter le niveau de l’instrument grave d’entrée et de le rendre
plus vivant. Les effets de masque de l’extrémité inférieure en sont par ailleurs atténués.
• Curseur et champ High Cut : les fréquences situées au-dessus de la valeur définie sont
filtrées à partir du signal de réverbération. Lessurfacesinégales ou absorbantes comme
le papier peint, le lambris, le tapis, etc. ont tendance à mieux renvoyer les basses
fréquences que les hautes. Le filtre High Cut reproduit cet effet. Si vous définissez le
filtre passe-haut de sorte qu’il soit totalement ouvert (valeur maximum), le son de la
réverbération sera proche du son d’une pièce en pierre ou en verre.
Chapitre 11 Effets de réverbération 239• Curseur et champ Density : contrôle la densité de la queue de réverbération diffuse. En
règle générale, vous souhaitez que le signal soit aussi dense que possible. Toutefois,
dans de rares cas, une valeur haute Density peut colorer le son. Vous pouvez résoudre
ce problème en réduisant la valeur du curseur Density. Inversement,si voussélectionnez
une valeur trop faible, la queue de réverbération aura un son granuleux.
• Curseur et champ Diffusion : définit la diffusion de la queue de réverbération. Les fortes
valeurs de diffusion représentent une densité normale avec peu d’altérations de niveau,
de temps et de position de panorama sur le parcours du signal de réverbération diffus.
Des valeurs de diffusion basse génèrent une densité de réflexion irrégulière et
granuleuse. Cela affecte également le spectre stéréo. Tout comme pour la densité,
trouvez le meilleur équilibre pour le signal.
• Curseur et champ Reverb Time : détermine le temps de réverbération de la bande haute.
Les salles les plus naturelles ont un temps de réverbération dans une plage allant de
une à trois secondes. Ce temps est réduit par les surfaces absorbantes telles que les
tapis et les rideaux, et par le mobilier dense et lisse tels que les canapés, fauteuils,
placards et tables. Pour un grand hall ou une grande église vide, ce temps peut atteindre
jusqu’à huit secondes, voire plus pour les lieux caverneux ou les cathédrales.
PlatinumVerbOutput, paramètres
L’effet PlatinumVerb propose les paramètres Output suivants :
• Curseur et champ Dry : détermine le taux du signal d’origine.
• Curseur et champ Wet : détermine le taux du signal d’effet.
240 Chapitre 11 Effets de réverbérationSilverVerb
Le module SilverVerb estsimilaire au module AVerb, maisil fournit un LFO supplémentaire
que vous pouvez utiliser pour moduler le signal résultant de la réverbération. Il comprend
également un filtre passe-haut et un filtre passe-bas qui vous permettent de filtrer les
fréquences à partir du signal de réverbération. Les fréquences hautes produisent
généralement un son peu agréable, altèrent l’intelligibilité des paroles ou masquent les
accents du signal d’origine. Les queues de réverbération longue dont l’extrémité est
importante produisent généralement un mixage vague.
• Curseur et champ Predelay : détermine l’intervalle de temps entre le signal d’origine et
le signal de réverbération.
• Curseur et champ Reflectivity : définit le degré de réflexivité des murs, plafonds et sols
imaginaires.
• Curseur et champ Room Size : Définit les dimensions d’une pièce simulée.
• Curseur et champ Density/Time : Détermine à la fois la densité et la durée de la
réverbération.
• Curseur et champ Low Cut : Les fréquences situées au-dessous de la valeur définie sont
filtrées à partir du signal de réverbération. Cela n’affecte que la tonalité du signal de
réverbération, et non le signal d’origine.
• Curseur et champ High Cut : les fréquences situées au-dessus de la valeur définie sont
filtrées à partir du signal de réverbération. Cela n’affecte que la tonalité du signal de
réverbération, et non le signal d’origine.
• Potentiomètre et champ Mod(ulation) Rate : Définissent la fréquence (la vitesse) de
l’oscillateur basse fréquence.
• Potentiomètre et champ Mod(ulation) Phase : définit la phase de modulation entre les
canaux gauche et droite du signal de réverbération.
• À une valeur de 0°, les valeurs extrêmes (minimum ou maximum) de la modulation
sont atteintes simultanément sur les canaux gauche et droit.
Chapitre 11 Effets de réverbération 241• À une valeur de 180°, les valeurs extrêmes opposéesl’une à l’autre (le canal de gauche
au minimum et le canal de droite au maximum, ou inversement) sont atteintes
simultanément.
• Curseur et champMod(ulation) Intensity : définit le taux de modulation. Dansle cas d’une
valeur nulle ( 0), la modulation du retard est désactivée.
• Curseur et champ Mix : Déterminent la balance entre les signaux d’effet (humides) et
d’origine (secs).
242 Chapitre 11 Effets de réverbérationSpace Designer est un module de réverbération à convolution. Vous pouvez l’utiliser pour
placer vos signaux audio dans des environnements acoustiques reproduisant de façon
extrêmement réaliste le monde réel.
Space Designer génère des réverbérations en combinant un signal audio avec un
échantillon de la réverbération de la réponse impulsionnelle. Une réponse impulsionnelle
est un enregistrement des caractéristiques de réverbération d’une salle ou, pour être plus
précis, un enregistrement des réflexions d’une salle donnée, suivant une crête de signal
initial. Le fichier de réponse impulsionnelle actuel est un fichier audio standard.
Pour comprendre comment il marche, imaginez une situation danslaquelle Space Designer
est utilisé comme piste vocale. Une RI enregistrée dans un opéra est chargée dans Space
Designer. La RI est convoluée avec votre piste vocale, plaçant ainsi le chanteur dans un
opéra.
Vous pouvez utiliser la convolution pour placer un signal audio dans n’importe quel type
d’espace, y compris un caisson de haut-parleur, un jouet en plastique, un carton, etc.
Vous avez simplement besoin de la RI d’un espace donné.
En plus de charger desréponsesimpulsionnelles, Space Designer comprend une structure
de synthèse de réponse impulsionnelle embarquée. Cela vous permet de créer des effets
complètement uniques et tout particulièrement lorsque la RI synthétisée ne représente
pas un espace réel.
Vous pouvez également enregistrer et modifier des réponses impulsionnelles à l'aide de
l'utilitaire Response Utility accessible depuis le menu Echantillon de Space Designer.
Space Designer vous propose également des fonctionnalités d’enveloppe, de filtres,
d’égaliseurs et de commandes de balance stéréo/surround qui vous donnent un contrôle
précis de la dynamique, du timbre et de la durée de la réverbération.
Space Designer peut fonctionner avec un effet mono, stéréo, true stereo (ce qui signifie
que chaque canal est traité individuellement) ou Surround.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Découvrir l’interface de Space Designer (p 244)
243
Space Designer Convolution
Reverb 12• Utilisation des paramètres de réponse impulsionnelle dans Space Designer (p 245)
• Travailler avec les paramètres Envelope et EQ dans Space Designer (p 250)
• Travailler avec le filtre de Space Designer (p 256)
• Travailler avec les paramètres globaux de Space Designer (p 258)
• Automatisation de Space Designer (p 265)
Découvrir l’interface de Space Designer
L’interface de Space Designer se compose des rubriques principales suivantes :
Paramètres globaux
Paramètres Filter
Paramètres de réponse
impulsionnelle
Paramètres globaux
Écran principal Barre de boutons
Paramètres Envelope
et EQ
Barre de paramétrage
• Paramètres de réponse impulsionnelle : utilisés pour charger, enregistrer et manipuler
des fichiers de réponse impulsionnelle (enregistrée ou synthétisée). Le fichier de RI
choisi détermine les paramètres utilisés par Space Designer pour effectuer la convolution
avec votre signal audio. Consultez Utilisation des paramètres de réponse impulsionnelle
dans Space Designer
• Paramètres Envelope et EQ : utilisez les boutons de la barre d’outils pour passer de
l’affichage principale avec la barre de paramètres à la présentation d’enveloppe et
d’égaliseur. Utilisez l’écran principal pour modifier les paramètres affichés graphiquement
et la barre de paramètres pour les modifier numériquement. Consultez Travailler avec
les paramètres Envelope et EQ dans Space Designer.
244 Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb• Paramètres Filter: utilisés pour modifier le timbre de la réverbération de Space Designer.
Vous pouvez choisir parmi plusieurs modes de filtre, ajuster la résonance mais aussi
régler dynamiquement l’enveloppe de filtre avec le temps. Consultez Travailler avec le
filtre de Space Designer
• Paramètres globaux : lorsque votre réponse impulsionnelle est chargée, ces paramètres
déterminent la façon dont Space Designer agit sur le signal global et sur la réponse
impulsionnelle. Cela comprend les paramètres d’entrée et de sortie, de retard et de
compensation du volume, de pré-retard, etc. Consultez Travailler avec les paramètres
globaux de Space Designer
Utilisation des paramètres de réponse impulsionnelle dans
Space Designer
Space Designer peut utiliser des fichiers de réponse impulsionnelle enregistrés ou ses
propres réponses synthétisées. La zone circulaire à gauche de l’écran principal contient
les paramètres de réponse impulsionnelle. Ils sont utilisés pour déterminer le mode de
réponse impulsionnelle (mode IR Sample impulsionnelle ou Synthesized IR), charger ou
créer des réponses impulsionnelles et définir la fréquence d’échantillonnage et la durée.
• Bouton et menu IR Sample : cliquez sur le bouton IR Sample pour faire passer Space
Designer en mode IR Sample. Dans ce mode, un échantillon de réponse impulsionnelle
est utilisé pour générer de la réverbération. Cliquez sur la flèche vers le bas à côté du
bouton IR Sample pour ouvrir le menu local correspondant qui vous permettra de
charger et manipuler des échantillons de réponse impulsionnelle et d'enregistrer et
éditer des réponses via Utilitaire Impulse Response.Consultez Travailler en mode IR
Sample dans Space Designer.
• Curseur Sample rate et bouton Preserve length : le curseur Sample rate détermine la
fréquence d’échantillonnage de la réponse impulsionnelle chargée. Appuyez sur le
bouton Preserve length pour conserver la durée de la réponse impulsionnelle lorsque
vous modifiez la fréquence d’échantillonnage. Consultez Choix de la fréquence
d’échantillonnage RI dans Space Designer.
• Champ Length : permet d’ajuster la durée de la réponse impulsionnelle. Consultez
Définition de la durée de la réponse impulsionnelle dans Space Designer.
Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb 245• Bouton Synthesized IR : cliquez pour activer le mode Synthesized IR. Une nouvelle
réponse impulsionnelle est générée. Elle est dérivée des valeurs des paramètres Length,
envelope, Filter, EQ, et Spread. Consultez Travailler en mode Synthesized IR dans Space
Designer.
Remarque : vous pouvez librement passer d’un échantillon de réponse impulsionnelle à
une réponse impulsionnelle synthétisée sans perdre les paramètres de l’un ou de l’autre.
Pour en savoir plus, voir Travailler en mode Synthesized IR dans Space Designer.
Important: afin d’effectuer la convolution de données audio en tempsréel, Space Designer
doit d’abord calculer les ajustements de paramètres nécessaires pour la réponse
impulsionnelle. Cette opération peut prendre quelques instants à partir du moment où
vous modifiez les paramètres ; son état d’avancement est indiqué par une barre de
progression bleue. Pendant le temps de traitement des modifications de paramètre, vous
pouvez continuer à modifier les paramètres. Lorsque le calcul commence, la barre bleue
est remplacée par une barre rouge pour vous prévenir que le calcul est en cours.
Travailler en mode IR Sample dans Space Designer
En mode IR, Space Designer charge et utilise la réponse impulsionnelle d’un environnement
acoustique. La convolution avec le signal audio entrant est effectuée pour le placer dans
un espace acoustique définit par la réponse impulsionnelle.
Pour activer le mode IR Sample
µ Cliquez sur le bouton IR Sample dans la zone circulaire à gauche de l’écran principal, puis
sélectionnez le fichier de réponse impulsionnelle souhaité dans un répertoire.
Remarque : si vous avez déjà chargé un fichier de réponse impulsionnelle, en cliquant
sur le bouton IR vous passez du mode Synthesized IR au mode IR Sample.
246 Chapitre 12 Space Designer Convolution ReverbPour gérer le fichier de RI chargé
µ Cliquez sur la flèche vers le bas à côté du bouton IR Sample pour ouvrir un menu local
avec les commandes suivantes :
• Load IR : charge un échantillon de réponse impulsionnelle sans modifier les enveloppes.
• Load IR & Init : charge un échantillon de réponse impulsionnelle et initialise les
enveloppes.
• Afficher dans le Finder : ouvre une fenêtre de Finder qui indique le lieu du fichier RI
chargé actuellement.
• Ouvrir Utilitaire Impulse Response : ouvre Utilitaire Impulse Response où vous pouvez
enregisrer et éditer des réponses impulsionnelles. Consultez le manuel de l'utilitaire
Impulse Response pour des informations détaillées relatives à son utilisation.
Logic ProToutes les réponses impulsionnelles fournies avec sont installées dans le dossier
/Bibliothèque/Audio/Impulse Responses/Apple. Les fichiers de déconvolution ont
l’extension .sdir.
Tout fichier AIFF, SDII ou WAV mono ou stéréo peut être utilisé comme RI. Par ailleurs,
Space Designer prenant en charge les formats Surround jusqu’à 7.1, les fichiers audio
discrets et au format B comprenant une réponse impulsionnelle Surround unique peuvent
également être utilisés.
Travailler en mode Synthesized IR dans Space Designer
En mode Synthesized IR, Space Designer génère une réponse impulsionnelle synthétisée,
déterminée par les valeurs des paramètres de durée, d’enveloppes, de filtre, d’égaliseur
et de diffusion. Pour activer ce mode, cliquez sur le bouton Synthesized IR dans la section
des paramètres de réponse impulsionnelle.
Si vous cliquez plusieursfoissur le bouton Synthesized IR aprèsl’avoir activé, de nouvelles
réponses impulsionnelles sont générées de façon aléatoire, avec des motifs de réflexion
légèrement différents. L'état de la réponse impulsionnelle actuelle (comprenant des
paramètres et d'autres valeursreprésentant les modèles de réflexion et les caractéristiques
de la réponse impulsionnelle synthétique) est enregistré avec le fichier de réglage.
Remarque : cliquez sur le bouton Synthesized IR lorsque vous êtes en mode IR Sample
pour revenir à la réponse impulsionnelle synthétisée enregistrée avec le réglage.
Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb 247Choix de la fréquence d’échantillonnage RI dans Space Designer
Le curseur Sample rate détermine la fréquence d’échantillonnage d’une réponse
impulsionnelle.
• Orig : space Designer utilise la fréquence d’échantillonnage actuelle du projet. Lorsqu’il
charge une réponse impulsionnelle, Space Designer convertit automatiquement la
fréquence d’échantillonnage de la réponse impulsionnelle pour qu’elle corresponde à
celle actuellement associée au projet (si nécessaire). Par exemple, cela vous permet de
charger une réponse impulsionnelle de 44,1 kHz dans un projet s’exécutant à 96 kHz,
et vice versa.
• /2, /4, /8 : ces réglages correspondent à des demi-divisions de la valeur précédente (un
demi, un quart, un huitième). Par exemple :
• Si la fréquence d’échantillonnage du projet est de 96 kHz, les options disponibles
seront 48 kHz, 24 kHz et 12 kHz.
• Si la fréquence d’échantillonnage du projet est de 44,1 kHz, les options disponibles
sont 22,05 kHz, 11,025 kHz et 5512,5 Hz.
Si vous modifiez la fréquence d’échantillonnage vers le haut ou le bas, la fréquence (et
la longueur) de la réponse impulsionnelle augmente ou diminue, dans une certaine
mesure, la qualité sonore globale de la réverbération. L’augmentation de la fréquence
d’échantillonnage n’a d’intérêt que si l’échantillon RI original contient réellement des
fréquences hautes. Lorsque vousréduisez la fréquence d’échantillonnage, faites confiance
à vos oreilles pour savoir si la qualité sonore vous convient.
Remarque : les surfaces de salle naturelles, à l’exception du béton et des tuiles, ont en
général desréflexions minimales dansles hautes plages de fréquence, aussi les RI mi-débit
et plein débit ont-ils pratiquement le même son.
En sélectionnant la moitié de la fréquence d’échantillonnage, la réponse impulsionnelle
devient deux fois plus longue. La fréquence la plus élevée pouvant être réverbérée est
divisée par deux. Cela entraîne un comportement qui équivaut à doubler chaque
dimension d’une pièce virtuelle et donc multiplier le volume de la pièce par huit.
248 Chapitre 12 Space Designer Convolution ReverbUn autre avantage lié à la réduction de la fréquence d’échantillonnage est que le
traitement requiert beaucoup moins de ressources ; la solution idéale pour les grandes
salles ouvertes consiste donc à utiliser des réglages de fréquence d’échantillonnage
réduits de moitié.
Si vous activez le bouton Preserve Length, la durée de la réponse impulsionnelle est
préservée lorsque vous modifiez la fréquence d’échantillonnage. Manipulez ces deux
paramètres comme il vous convient et vous pourrez obtenir des résultats intéressants.
Les fréquences d’échantillonnage moins élevées peuvent également être utilisées pour
créer des effets sonores numériques de tempo, de tonalité et rétro.
Si vous exécutez Space Designer dans un projet qui utilise une fréquence d’échantillonnage
plus élevée que la réponse impulsionnelle, vous pouvez également réduire la fréquence
d’échantillonnage de cette dernière. Vérifiez que la fonction Preserve Length est activée.
La consommation de ressources de processeur est ainsi réduite sans nuire à la qualité de
la réverbération. Il n’y a pas de perte de qualité de la réverbération car la réponse
impulsionnelle ne bénéficie pas de la fréquence d’échantillonnage plus élevée du projet.
Vous pouvez effectuer des ajustements similaires lorsque vous vous trouvez en mode
Synthesized IR. La plupart des sons typiques d’une réverbération ne présentent pas un
contenu très élevé de fréquence. En 96 kHz, par exemple, vous devriez utiliser un filtre
passe-bas pour obtenir la douceur caractéristique de la réponse de fréquence de nombreux
sons de réverbération. Avec une approche différente, il est préférable de commencer par
réduire les fréquences élevées de moitié ou même d’un quart à l’aide du curseur Sample
rate, puis d’appliquer le filtre passe-bas. Ainsi, vous économisez considérablement les
ressources processeur.
Définition de la durée de la réponse impulsionnelle dans Space Designer
Vous pouvez utiliser le paramètre Length pour définir la durée de la réponse
impulsionnelle, qu’elle provienne d’un échantillon ou qu’elle ait été synthétisée.
Toutes les enveloppes sont automatiquement calculées sous la forme d’un pourcentage
de la durée globale, ce qui signifie que si vous modifiez ce paramètre, la courbe de votre
enveloppe va s’étirer ou se rétrécir pour s’adapter, vous permettant ainsi de gagner du
temps.
Lorsque vous utilisez un fichier de réponse impulsionnelle, la valeur du paramètre Length
ne peut pas dépasser la durée de l'échantillon de réponse impulsionnelle proprement dit.
Les réponses impulsionnelles plus longues (issues de l’échantillon ou synthétisées)
entraînent une charge plus lourde sur le processeur.
Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb 249Travailler avec les paramètres Envelope et EQ dans Space
Designer
L’interface principale de Space Designer est utilisée pour afficher et modifier les paramètres
Envelope et EQ. Elle comprend trois composants : la barre des boutons en haut, l'écran
principal et la barre des paramètres.
• La barre de bouton est utilisée pour choisir le mode view/edit.
• L’écran principal affiche l’enveloppe ou la courbe EQ et vous permet de les modifier
graphiquement .
• La barre des paramètres affiche l’enveloppe ou la courbe EQ et vous permet de les
modifier numériquement.
Écran en affichage Écran en affichage EQ
Envelope
Écran principal Barre de paramétrage
Barre de boutons
Utilisation de la barre de boutons de Space Designer
Utilisez les boutons de la barre d’outils pour passer de l’affichage principal avec la barre
de paramètres à la présentation d’enveloppe et d’égaliseur. Cette barre comprend
également des boutons pour réinitialiser les enveloppes et l’égaliseur ou inverser la RI.
• Bouton Réinitialiser : réinitialise l’enveloppe ou l’égaliseur actuellement affiché à ses
valeurs par défaut.
• Bouton All : réinitialise les valeurs par défaut des enveloppes et de l’égaliseur.
• Bouton Volume Env : affiche l’enveloppe du volume en arrière-plan de l’écran principal.
Les autres courbes de l’enveloppe s’affichent en transparence en arrière-plan. Consultez
Travailler avec les enveloppes de volume dans Space Designer.
250 Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb• Bouton Filter Env : affiche l’enveloppe de filtre en arrière-plan de l’écran principal. Les
autres courbes de l’enveloppe s’affichent en transparence en arrière-plan. Consultez
Travailler avec le filtre de Space Designer.
• Bouton Density Env : affiche l’enveloppe de densité en arrière-plan de l’écran principal.
Les autres courbes de l’enveloppe s’affichent en transparence en arrière-plan. Consultez
Travailler en mode Synthesized IR dans Space Designer.
• Bouton EQ : affiche l’égaliseur parametric EQ à quatre bandes dans l’écran principal.
Consultez Travailler avec l’égaliseur de Space Designer.
• Bouton Reverse : inverse la réponse impulsionnelle et les enveloppes. Lorsque la réponse
impulsionnelle est inversée, vous utilisez la queue et non la tête de l’échantillon. Vous
pouvez être amené à changer les valeurs Pre-Dly et d’autres paramètres lorsque vous
réalisez une inversion.
Zoom et navigation dans la présentation Envelope de Space Designer
Lors de l’affichage d’enveloppes, l’écran principal propose les paramètres de zoom et de
navigation suivants (non disponibles en présentation EQ).
Affichage de l’aperçu
• Affichage de l’aperçu : indique la partie du fichier de réponse impulsionnelle actuellement
visible dans l’écran principal, ce qui vous aide à vous orienter lorsque vous effectuez
un zoom.
• Bouton Zoom to Fit : Cliquez pour afficher les formes d’onde complètes de la réponse
impulsionnelle dansl’écran principal. Tousles changements de durée d’enveloppe sont
automatiquement répercutés.
• Boutons A et D : Cliquez dessus pour limiter la fonction Zoom to Fit aux portions
d’attaque et de chute de l’enveloppe actuellementsélectionnée et affichée dansl’écran
principal. Les boutons A et D ne sont disponibles que si vous visualisez les enveloppes
de volume et de filtre.
Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb 251Choix des paramètres d’Envelope dans Space Designer
Vous pouvez modifier les enveloppes de filtre et de volume de toutes les réponses
impulsionnelles, ainsi que l’enveloppe de densité des réponses impulsionnelles
synthétisées. Vous pouvez ajuster toutes ces enveloppes de façon graphique dans l’écran
principal et de façon numérique dans la barre de paramètres.
Alors que certains paramètressont propres à une enveloppe en particulier, les paramètres
Attack Time et Decay Time sont associés à toutes les enveloppes. Le total cumulé des
paramètres Attack Time et Decay Time équivaut à la durée totale de la réponse
impulsionnelle, qu’elle soit synthétisée ou issue d’un échantillon, sauf si la valeur Decay
time est réduite. Consultez Définition de la durée de la réponse impulsionnelle dans Space
Designer).
Les gros nœuds sont des indicateurs de valeur des paramètres qui figurent au-dessous,
dans la barre de paramètres (Init Level, Attack Time, Decay Time, etc.). Si vous modifiez
une valeur numérique dans la barre de paramètres, le nœud correspondant se déplace
dans l’écran principal.
Pour déplacer graphiquement un nœud d’enveloppe dans Space Designer
µ Faites glisser le noeud dans une des directions disponibles.
Lorsque vous déplacez votre curseur sur un nœud de l’écran principal, deux flèches
s’affichent : elles vous indiquent les déplacements possibles.
Pour modifier graphiquement la forme de la courbe d’enveloppe dans Space Designer
1 Faites glisser la courbe d’enveloppe dans l’écran principal.
2 Faites glisser les petits nœuds associés à une ligne pour réaliser des ajustements plus
précis sur les courbes de l’enveloppe. Ces nœuds sont directement attachés à la courbe
de l’enveloppe, on peut donc les envisager comme des sortes de « poignées ».
Faites bouger les nœuds
verticalement ou
horizontalement pour
influer sur la courbe de
l’enveloppe.
252 Chapitre 12 Space Designer Convolution ReverbTravailler avec les enveloppes de volume dans Space Designer
L’enveloppe de volume est utilisée pour définir le niveau initial de la réverbération et
ajuster la façon dont le volume change au fil du temps. Vous pouvez modifier
numériquement tous les paramètres d’enveloppe et la plupart peuvent également être
modifiés graphiquement (voir Choix des paramètres d’Envelope dans Space Designer).
Nœud Attack/Decay Time
Nœud Init Level
Nœud Decay Time/End
Level
• Champ Init Level : définit le niveau de volume initial de la phase d’attaque de la réponse
impulsionnelle. Il est exprimé sous la forme d’un pourcentage de l’échelle de volume
totale du fichier de réponse impulsionnelle. La phase d’attaque correspond
généralement au point le plus fort de la réponse impulsionnelle. Réglez le paramètre
Init Level sur 100 % pour garantir un volume maximal pour les premières réflexions.
• Champ Attack Time : détermine le temps écoulé avant que la phase de chute de
l’enveloppe de volume ne commence.
• Champ Decay Time : définit la durée de la phase de chute.
• Boutons de mode Volume decay : définissent le type de courbe de chute du volume.
• Exp : la sortie de l’enveloppe de volume est formée par un algorithme exponentiel
afin de générer un son de queue de réverbération le plus naturel possible.
• Lin : la chute du volume est plus linéaire (et sonne moins naturelle).
• Champ End Level : définit le niveau de volume final. Il est exprimé sous la forme d’un
pourcentage de l’enveloppe de volume globale.
• Lorsqu’il est réglé sur 0%, vous pouvez atténuer la queue.
• S’il est réglé sur 100%, vous ne pouvez pas atténuer la queue. La réverbération s’arrête
donc net (si le point final tombe dans la queue).
Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb 253• Si le point final tombe en dehors de la queue de réverbération, End Level n’a aucun
effet.
Utilisation de l’enveloppe de densité de Space Designer
L’enveloppe de densité vous permet de contrôler la densité de la réponse impulsionnelle
synthétisée au fil du temps. Vous pouvez ajuster l’enveloppe de densité de façon
numérique dans la barre des paramètres ou bien éditer les paramètres Init Level, Ramp
Time et End Level à l’aide des techniques décrites dans la rubrique Choix des paramètres
d’Envelope dans Space Designer.
Remarque : l'enveloppe de densité n'est disponible qu'en mode Synthesized IR.
• Champ Init Level : définit la densité initiale de la réverbération (le nombre moyen de
réflexionssur une période donnée). Si vous baissez les niveaux de densité, vous obtenez
des motifs de réflexion audibles et des échos distincts.
• Champ Ramp Time : ajuste la durée écoulée entre le niveau de densité initial et le niveau
de densité final.
• Champ End Level : définit la densité de la queue de réverbération. Si vous sélectionnez
une valeur End Level trop basse, la queue de réverbération aura un son « granuleux ».
Il est également possible que le spectre stéréo soit affecté par des valeurs trop basses.
254 Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb• Curseur Reflection Shape : détermine la pente (forme) des clusters des premières
réflexions lorsqu’elles rebondissent sur les murs, le plafond et le mobilier de l’espace
virtuel. Avec des valeurs basses, les clusters ont un contour précis, tandis qu’avec des
valeurs élevées, on obtient une inclinaison exponentielle et un son plus harmonieux.
Cette fonction s’avère utile pour recréer des pièces constituées de plusieurs matériaux.
Le paramètre Reflection Shape, associé aux réglages appropriés d’enveloppes, de
densité et de réflexion initiale, vous permet de créer des pièces de toutes les formes
et contenant tous types de matériaux.
Travailler avec l’égaliseur de Space Designer
Space Designer inclut un égaliseur à quatre bandes, constitué de deux bandes moyennes
et de deux filtres shelving (un pour les aigus, un autre pour les graves). Vous pouvez
modifier les paramètres de l’égaliseur de façon numérique dans la barre de paramètres
ou de façon graphique dans l’écran principal.
Bouton EQ On/Off Boutons de bande
Individual EQ
• Bouton EQ On/Off : active ou désactive toute la partie égaliseur.
• Boutons de bande Individual EQ: activent ou désactivent les bandes d’égaliseur de façon
individuelle.
• Champs Frequency : définissent la fréquence de la bande d’égaliseur sélectionnée.
• Champs Gain : ajustent la réduction ou l’augmentation du gain de la bande d’égaliseur
sélectionnée.
• Champs Q : définissent le facteur Q des deux bandes paramétriques. Les valeurs du
facteur Q peuvent aller de 0,1 (très étroit) à 10 (très large).
Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb 255Pour modifier graphiquement une courbe d’égaliseur dans Space Designer
1 Activez l’égaliseur et une ou plusieurs bandes avec les boutons EQ On/Off et EQ band
dans la ligne du haut de la barre de paramètres.
2 Faites glisser le curseur horizontalement sur l’écran principal. Lorsque le curseur est dans
la zone d’accès de la bande, la courbe correspondante et la zone de paramètres sont
automatiquement mises en évidence et un point de pivot s’affiche.
3 Faites-la glisser à l’horizontale pour régler la fréquence de la bande.
4 Faites-la glisser à la verticale pour augmenter ou diminuer le gain de la bande.
5 Faites glisser à la verticale le point de pivot (allumé) d’une bande de l’égaliseur
paramétrique pour augmenter ou diminuer la valeur Q.
Travailler avec le filtre de Space Designer
Les filtres de Space Designer permettent de contrôler le timbre de la réverbération.
Vous avez le choix entre différents types de filtres et grâce à l’enveloppe, vous contrôlez
également la coupure de filtre qui est indépendante de l’enveloppe de volume. Toute
modification apportée aux réglages du filtre entraîne un nouveau calcul de la réponse
impulsionnelle, plutôt qu’un changement direct du son lorsqu’il est joué par la
réverbération.
256 Chapitre 12 Space Designer Convolution ReverbUtilisation des paramètres de filtre principal de Space Designer
Les paramètres de filtre principaux se trouvent dansl’angle inférieur gauche de l’interface.
• Bouton Filter On/Off : active ou désactive la section de filtre.
• Potentiomètre Filter Mode : Détermine le mode de filtre.
• 6 dB (LP) : mode de filtre général, pour une qualité correcte. Il peut être utilisé pour
conserver l’extrémité supérieure de la plupart des matériaux, tout en appliquant un
filtrage.
• 12 dB (LP) : utile lorsque l’on souhaite un son plus chaud, sans effets de filtre
drastiques. Cette fonction est pratique pour atténuer les réverbérations trop vives.
• BP : 6 dB par dessin d’octave. Réduit la fin haute et basse du signal, laissant ainsi les
fréquences autour de la fréquence de cutoff intactes.
• HP : 12 dB par dessin d’octave/bipolaire. Réduit le niveau des fréquences inférieures
à la fréquence de coupure.
• Potentiomètre Reso(nance) : met en évidence les fréquences au-dessus, autour et en
dessous de la fréquence de coupure. L’impact du potentiomètre de résonance sur le
son dépend fortement du mode de filtre choisi. Les modes de filtre plusraides donnent
des changements de tonalité plus prononcés.
Utilisation de l’enveloppe de filtre de Space Designer
L’enveloppe de filtre apparaît dans l’écran principal lorsque le bouton Filter Env est actif.
Il permet de contrôler la fréquence de coupure du filtre avec le temps. Tousses paramètres
peuvent être ajustés de façon numérique dans la barre de paramètres ou de façon
graphique dans l’écran principal, à l’aide des techniques décrites dans la rubrique Choix
des paramètres d’Envelope dans Space Designer.
Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb 257Remarque : l’activation de l’enveloppe de filtre active automatiquement le filtre principal.
Contrôle simultanément
le point d’arrivée Decay
et les paramètres End
Level.
Contrôle simultanément
le point d’arrivée Attack
Time (ainsi que le point
de départ Decay Time) et
les paramètres Break
Level.
• Champ Init Level : définit la fréquence de coupure initiale de l’enveloppe de filtre.
• Champ Attack Time : détermine le temps nécessaire pour atteindre le niveau de rupture
(voir ci-dessous).
• Champ Break Level : définit la fréquence de coupure maximale du filtre atteinte par
l’enveloppe. Ce paramètre fait également office de point de séparation entre les phases
d’attaque et de chute de l’enveloppe de filtre globale. En d’autres termes, lorsque ce
niveau est atteint après la phase d’attaque, la phase de chute commence. Vous pouvez
créer des trajectoires de filtre intéressantes en définissant le paramètre Break Level sur
une valeur inférieure à celle d’Init Level.
• Champ Decay Time : détermine le temps nécessaire (après le point Break Level) pour
atteindre la valeur End Level.
• Champ End Level : définit la fréquence de coupure à la fin de la phase de chute de
l’enveloppe de filtre.
Travailler avec les paramètres globaux de Space Designer
Les paramètres globaux de Space Designer jouentsur la sortie et le comportement global
de l’effet. Ils sont divisés en deux parties : ceux autour de l’écran principal et ceux qui se
trouvent en dessous.
258 Chapitre 12 Space Designer Convolution ReverbParamètres Global de Space Designer : partie supérieure
Ces paramètres se trouvent dans l’écran principal.
Curseurs Output
Bouton Rev Vol
Compensation
Bouton Latency Zone Definition
Compensation
Curseur
Input
• Curseur Input : détermine la façon dont Space Designer traite un signal d’entrée stéréo
ou Surround. Pour en savoir plus, voir Utilisation du curseur d’entrée de Space Designer.
• Bouton Latency Compensation : active ou désactive la fonction de compensation de la
latence interne de Space Designer. Consultez Utilisation de la fonctionnalité de
compensation de latence dans Space Designer.
• Zone Definition : : vous permet de passer à une réponse impulsionnelle moins définie
afin d’émuler la diffusion de la réverbération et d’économiser les ressources du
processeur. Consultez Utilisation du paramètre de définition de Space Designer.
• Bouton Rev VolCompensation : engage la fonction interne d’homogénéisation de volume
RI de Space Designer. Consultez Utilisation de Rev Vol Compensation dans Space
Designer.
• CurseursOutput : règle les niveaux de sortie. Consultez Utilisation des curseurs de sortie
Space Designer.
Paramètres Global de Space Designer : partie inférieure
Ces paramètres se trouvent en dessous de l’écran principal.
• Potentiomètre Pre-Dly : définit le pré-retard de la réverbération ou le temps entre le
signal d’origine et les premièresréflexions de la réverbération. Consultez Travailler avec
Pre-Dly (Predelay) dans Space Designer.
Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb 259• Potentiomètre IR Start : définit le point de départ de la lecture dans l’échantillon de
réponse impulsionnelle. Consultez Utilisation du paramètre IR Start de Space Designer.
• Potentiomètres Spread et Xover (synthesized IR uniquement) : spread ajuste la largeur
perçue du champ stéréo ou surround. Xover définit la fréquence crossover en Hertz.
Toute fréquence de réponse impulsionnelle synthétisée en dessous de la valeur est
affectée par le paramètre Spread. Consultez Utilisation des paramètres Spread de Space
Designer.
Utilisation du curseur d’entrée de Space Designer
Le curseur Input se comporte différemment des instances stéréo et surround. Le curseur
Input n’apparaît pas en mono ou mono vers stéréo.
• Danslesinstancesstéréo, le curseur Input détermine comment est traité le signalstéréo.
• Dans les instances surround, le curseur Input détermine la quantité de signal LFE à
mixer avec les canaux surround introduits dans la réverbération.
Stereo Surround
Curseur Input de Space Designer : mode Stereo
• Réglage Stereo (haut du curseur) : le signal est traité sur les deux canaux, en conservant
la balance stéréo du signal d’origine.
• Réglage Mono (milieu du curseur) : le signal est traité en mono.
• Réglage XStereo (bas du curseur) : le signal est inversé, c’est-à-dire que le traitement du
canal de droite a lieu à gauche et inversement.
• Positions intermédiaires : produisent un mélange de signaux d’intercommunications
mono et stéréo.
Curseur Input de Space Designer : mode Surround
• Réglage Surround Max (haut du curseur) : la quantité maximum du signal LFE est mixée
avec les autres canaux surround.
• Réglage Surround 0 (en bas du curseur) : l’intégralité du signal LFE passe à travers la
réverbération sans être traitée.
260 Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb• Positions intermédiaires : un mélange des informations LFE et canal surround est traité.
Utilisation de la fonctionnalité de compensation de latence dans Space
Designer
Les calculs complexes effectués par Space Designer prennent du temps. Cela entraîne
un délai de traitement, ou latence, entre le signal direct d’entrée et le signal traité de
sortie. Lorsqu’elle est activée, la fonctionnalité Latency Compensation retarde le signal
direct (dans la section Output) pour le faire correspondre au temps de traitement du
signal d’effet.
Remarque : cela n’a rien à voir avec la compensation de latence de l’application hôte.
Cette fonctionnalité de compensation se passe entièrement dans Space Designer.
La latence de traitement de Space Designer est de 128 échantillons à la fréquence
d’échantillonnage originale et elle double à chaque division de la fréquence
d’échantillonnage. Si vous placez le curseur Sample Rate de Space Designer sur « /2 », la
latence de traitement passe à 256 échantillons. Elle n’augmente pas en mode Surround
ou avec des fréquences d’échantillonnage supérieures à 44,1 kHz.
Utilisation du paramètre de définition de Space Designer
Le paramètre Definition émule la diffusion de motifs de réverbération naturelle. Lorsqu’il
est utilisé avec des valeursinférieures à 100%, il réduit également lesressources processeur
nécessaires.
Remarque : les détails sur l’évolution de Definition ne s’affichent en dessous de l’écran
principal que lorsque vous avez chargé des RI synthétisées nécessitant beaucoup de
ressources CPU.
La grande majorité desinformationsspatiales d’une réverbération naturelle est contenue
dans les premières millisecondes. Vers la fin de la réverbération, le motif de réflexion (les
signaux qui rebondissent sur les murs, etc.) devient plus diffus. En d’autres termes, les
signaux qui se reflètent deviennent plus faibles et de moins en moins directionnels : ils
contiennent donc moins d’informations spatiales.
Afin d’émuler ce phénomène tout en économisant les ressources CPU, vous pouvez
configurer Space Designer pour qu’il utilise uniquement la résolution maximale de réponse
impulsionnelle au début de la réverbération, puis une résolution moindre vers la fin.
Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb 261Le paramètre Definition définit le point de répartition au niveau duquel la résolution de
réponse impulsionnelle diminue. Le paramètre s’affiche en millisecondes, indiquant
lorsque la répartition a lieu, et en pourcentage, 100% correspond à la durée de la réponse
impulsionnelle en résolution maximale.
Utilisation de Rev Vol Compensation dans Space Designer
La fonction de compensation du volume de réverbération (Rev Vol Compensation) a pour
objectif d’équilibrer les différences de volume perçues (non réelles) entre les fichiers de
réponse impulsionnelle.
Elle est activée par défaut et il est généralement préférable de la laisser activée dans ce
mode, même si vous constatez qu’elle ne fonctionne pas avec tous les types de réponses
impulsionnelles. Si c’est le cas, désactivez-la et ajustez les niveaux d’entrée et de sortie
de façon appropriée.
Utilisation des curseurs de sortie Space Designer
Les paramètres de sortie vous permettent de régler la balance entre les signaux directs
(secs) et les signaux traités. Les paramètres disponibles dépendent de la configuration
d’entrée de Space Designer.
Si vous insérez Space Designer comme effet mono, mono vers stéréo ou effet stéréo, il
vous propose deux curseurs de sortie : un pour le signal direct et un pour le signal de
réverbération.
262 Chapitre 12 Space Designer Convolution ReverbDans les configurations Surround, Space Designer offre quatre curseurs de sortie qui,
ensemble, constituent une petite table de mixage de sortie Surround.
Mono/Stereo Surround
Paramètres de configuration de sortie Mono/Stereo de Space Designer
• Curseur Dry : définit le niveau du signal non traité (dry). Placez ce curseur sur 0 (muet)
si Space Designer est inséré dans un canal de bus ou lorsque vous utilisez des réponses
impulsionnelles de modélisation, telles que des simulations de haut-parleur.
• Curseur Rev(erb) : ajuste le niveau de sortie du signal traité (wet).
Paramètres de configuration de sortie surround Space Designer
• Curseur C(enter) : règle le niveau de sortie du canal du centre indépendamment des
autres canaux surround.
• Curseur Bal(ance) : définit la balance de niveau entre les haut-parleurs avant (L-C-R) et
arrière (Ls-Rs).
• En mode Surround ITU 7.1, la balance pivote autour des haut-parleurs Lm-Rm, en
prenant en compte les angles Surround.
• Avec le Surround SDDS 7.1, les haut-parleurs Lc-Rc sont considérés comme des
haut-parleurs avant.
• Curseur Rev(erb) : règle le niveau de sortie du signal d’effet (humide) de tousles canaux.
• Curseur Dry : règle le niveau de sortie général du signal non traité de tous les canaux.
Choisissez une valeur de 0 (muet) lorsque vous utilisez Space Designer comme effet
de bussur une bande de canaux auxiliaires. Utilisez le potentiomètre Send pour chaque
bande de canaux de bus pour contrôler la balance humide/sec.
Travailler avec Pre-Dly (Predelay) dans Space Designer
Predelay indique le temps qui s’écoule entre le signal original et les toutes premières
réflexions de la réverbération.
Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb 263Pour une pièce d’une taille et d’une forme données, le pré-retard détermine la distance
entre l’auditeur et les murs, le plafond et le sol. Space Designer vous permet d’ajuster ce
paramètre séparément de predelay et de lui attribuer une valeur plus importante que ce
qu’on peut considérer comme naturel.
En pratique, un pré-retard extrêmement court a tendance à rendre difficile le repérage
de la source du signal. Il peut également colorer le son du signal original. Inversement,
un pré-retard trop long peut donner un écho non naturel. Il peut également dissocier le
signal original de ses premières réflexions, ce qui laisse un blanc audible entre le signal
original et de réverbération.
Le réglage de pré-retard idéal pour différents sons dépend des propriétés (ou plus
exactement de l’enveloppe) du signal d’origine. Les signaux percussifs requièrent
généralement des pré-retards plus courts que les signaux pour lesquels les attaques
diminuent progressivement, comme les cordes. En règle générale, il est préférable d’utiliser
le pré-retard le plus long possible avant que des effets secondaires indésirables ne
commencent à se matérialiser, comme un écho perceptible.
Ce guide vise bien entendu à vous aider à créer des espaces sonores réalistes valables
pour différentssignaux. Si voussouhaitez créer dessons non naturels ou desréverbérations
et échos d’un autre monde, faites des essais avec le paramètre Pre-Dly.
Utilisation du paramètre IR Start de Space Designer
Le paramètre IR Start vous permet de déplacer le point de départ dans la réponse
impulsionnelle, ce qui a pour effet de couper le début de la réponse impulsionnelle.
Cela peut être utile si vous voulez éliminer les crêtes de niveau au début d’un échantillon
de réponse impulsionnelle. Il offre également diverses options créatives, surtout lorsque
vous le combinez avec la fonction Reverse. Consultez Utilisation de la barre de boutons
de Space Designer.
Remarque : le paramètre IR Start n’est pas disponible ou nécessaire en mode Synthesized
IR, par nature, car le paramètre Length fournit la même fonctionnalité.
Utilisation des paramètres Spread de Space Designer
Les potentiomètres Spread et Xover améliorent la largeur du signal perçu, sans perdre
les informations directionnelles du signal d’entrée que l’on trouve généralement dans la
plage de fréquences supérieure. Les fréquences basses sont diffusées vers les côtés, ce
qui réduit leur quantité au centre et permet à la réverbération de bien envelopper la
version mixée. Ces potentiomètres ne fonctionnent qu’en mode Synthesized IR.
264 Chapitre 12 Space Designer Convolution ReverbRemarque : Étant donné que ces paramètres ajustent le traitement stéréo ou Surround,
ils n’ont aucun impact lorsque vous utilisez Space Designer en tant que module mono.
• Potentiomètre et champ Spread : Étend la base stéréo ou Surround sur des fréquences
inférieures à celle déterminée par le paramètre Xover.
• Si la valeur Spread est égale à 0.00, aucune information stéréo ou Surround n’est
ajoutée (même si les informations de ce type inhérentes à la source et à sa
réverbération sont conservées).
• Avec une valeur égale à 1.00, la divergence entre le canal de gauche et celui de droite
est maximale.
• Potentiomètre et champ Xover : définit la fréquence crossover en Hertz. Toute fréquence
de réponse impulsionnelle synthétisée en dessous de ce seuil est modifiée par le
paramètre Spread (pour les valeurs supérieures à 0).
Automatisation de Space Designer
Space Designer ne peut pas être entièrement automatisé, contrairement à la plupart des
autres modules. En effet, Space Designer doit recharger la réponse impulsionnelle et
recalculer la convolution avant de pouvoir acheminer des données audio.
En revanche, vous pouvez enregistrer, modifier et lire n’importe quel déplacement des
paramètres suivants de Space Designer dans une application hôte appropriée :
• Stereo Crossfeed
• Direct Output
• Reverb Output
Chapitre 12 Space Designer Convolution Reverb 265Logic Pro comprend un ensemble d’effets et utilitaires spécialisés conçus pour réaliser
les tâches fréquemment rencontrées dans la production audio. Exemples où ces
processeurs peuvent être utiles : Denoiser permet d'éliminer ou de réduire le bruit
au-dessous d'un certain niveau de seuil. Enhance Timing améliore le contrôle du temps
des enregistrements audio. Exciter permet d'ajouter des enregistrements numériques
plus vivants en générant des composants haute fréquence. Grooveshifter vous offre la
possibilité de créer des variations de rythme dans vos enregistrements. SubBass génère
un un signal de basse artificiel, dérivé du signal entrant.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Denoiser (p 267)
• Enhance Timing (p 270)
• Exciter (p 271)
• Grooveshifter (p 272)
• Speech Enhancer (p 273)
• SubBass (p 274)
Denoiser
Le module Denoiser élimine ou réduit les bruits en dessous d’un niveau de volume seuil.
Il utilise la transformée de Fourier rapide (FFT) pour reconnaître les bandes de fréquence
de faible volume et de structure harmonique peu complexe. Il réduit ensuite ces bandes
de bas niveau et peu complexes au niveau de décibels souhaité. Consultez Paramètres
principaux du module Denoiser.
Si vous utilisez trop fortement Denoiser, l’algorithme risque de créer des artefacts qui
sont généralement plus indésirables que le bruit existant. Si l’utilisation du Denoiser
génère ces effets, vous pouvez utiliser lestrois potentiomètres Smoothing pour lesréduire
ou les éliminer. Consultez Paramètres Smoothing de Denoiser.
267
Effets et utilitaires spécialisés
13Pour utiliser Denoiser
1 Localisez une section du morceau audio où uniquement du bruit est audible et définissez
la valeur Threshold de sorte que seuls les signaux inférieurs ou égaux à ce niveau soient
filtrés.
2 Lisez le signal audio et définissez la valeur Reduce à un point avec une réduction de bruit
optimale sans trop réduire le signal que vous souhaitez conserver.
3 Si des artefacts apparaissent, utilisez des paramètres Smoothing.
Paramètres principaux du module Denoiser
Le module Denoiser comprend les paramètres suivants :
Écran graphique
Curseur et champ Reduce
Curseur et champ
Threshold Curseur et champ Noise Type
• Curseur et champ Threshold : définit le niveau de seuil Les signaux en dessous de ce
niveau sont réduits par Denoiser.
268 Chapitre 13 Effets et utilitaires spécialisés• Curseur et champ Reduce : définissent la quantité de réduction de bruit appliquée aux
signaux sous le seuil. Lors de la réduction du bruit, n’oubliez pas que chaque réduction
de 6 dB est équivalente à la réduction de moitié du niveau de volume (et chaque
augmentation de 6 dB correspond au doublement du niveau de volume).
Remarque : par exemple, si le bruit de fond de votre enregistrement est très élevé
(supérieur à -68 dB), le réduire à un niveau compris entre -83 et -78 dB devrait suffire,
si cela n’introduit pas d’effets secondaires audibles. Le bruit est réduit de plus de 10 dB,
moins de la moitié du volume (bruit) d’origine.
• Curseur et champ Noise Type : déterminent le type de bruit que vous voulez réduire.
• La valeur 0 est égale à un bruit blanc (distribution de fréquences égales).
• Les valeurs positives changent le type de bruit en bruit rose (bruit harmonique ; plus
grande réponse de basse).
• Les valeurs négatives changent le type de bruit en bruit bleu (bruit de bande de type
souffle).
• Écran graphique : montre comment les niveaux de volume les plus bas de votre morceau
audio (qui doit être majoritairement ou entièrement du bruit) sont réduits. Les
changements apportés aux paramètres sont instantanément pris en compte sur cet
écran, vous devez donc le consulter régulièrement.
Paramètres Smoothing de Denoiser
Le module Denoiser comprend les paramètres Smoothing suivants :
Potentiomètre et champ Time
Potentiomètre et champ Frequency
Potentiomètre et champ
Transition
• Potentiomètre et champ Frequency : ajuste la façon dont le lissage est appliqué aux
fréquences voisines. Lorsque le Denoiser reconnaît que seul du bruit est présent dans
une certaine bande de fréquences, plusle paramètre Frequency est élevé, plusil modifie
également les bandes de fréquences voisines afin d’éviter le bruit de verre.
• Potentiomètre et champ Time : définit combien de temps met le Denoiser pour atteindre
(ou déclencher) une réduction maximale. Il s’agit de la forme la plus simple de lissage.
Chapitre 13 Effets et utilitaires spécialisés 269• Potentiomètre et champ Transition : ajuste la façon dont le lissage est appliqué aux
niveaux de volume voisins. Lorsque le Denoiser reconnaît que seul du bruit est présent
dans une certaine plage de volumes, plus le paramètre Transition est élevé, plus il
modifie également les valeurs de niveau similaires afin d’éviter le bruit de verre.
Enhance Timing
Le module Enhance Timing est conçu pour « resserrer » la lecture de l’audio enregistré
dans une production. Il peut être utilisé sur divers morceaux et fonctionne en temps réel.
Alors qu’il est efficace sur des morceaux appropriés, ce type de quantification en temps
réel présente certaines limitations. Il ne fonctionne pas bien sur les enregistrements qui
ont été lus avec trop de décalage par rapport au rythme. Il en va de même pour les pistes
de percussion très complexes, à plusieurs couches.
Toutefois, il améliore de façon notable le contrôle du temps sur les morceaux percussifs
et mélodiques raisonnablement serrés (lus sur la base de croches et de noires). Si de
nombreuses corrections du contrôle de tempssont requises etsi les élémentstransitoires
sont modifiéstrop avant, ilse peut que vousremarquiez un certain nombre d’effets audio.
Il est donc important de tenter d’équilibrer la qualité du son et les améliorations du
contrôle du temps.
Important : pour des raisons techniques, le module Enhance Timing ne fonctionne que
sur les bandes de canaux audio et doit être inséré dans le logement Insert supérieur.
• Curseur et champ Intensity : détermine le degré d’amélioration du contrôle du temps.
Les éléments transitoires audio qui ne tombent pas sur les divisions de grille,
déterminées par la valeur choisie dans le menu local Note Grid, sont corrigées.
• Menu local Note Grid : Propose quatre divisions de grille. Les divisions de grille servent
de points de référence pour le processus de correction de contrôle du temps. Astuce
pour les triolets de notes d’un huitième, essayez le réglage de note 1/12.
270 Chapitre 13 Effets et utilitaires spécialisésExciter
Exciter génère des composants haute fréquence qui ne font pas partie du signal original.
Il le fait à l’aide d’un processus de distorsion non linéaire qui ressemble aux effets distortion
et overdrive.
Cependant, contrairement à ces effets, Exciter transmet le signal d’entrée par le biais d’un
filtre passe-haut avant de l’intégrer au générateur (de distorsion) à formant. Cela ajoute
donc des harmoniques artificielles au signal original. Ces harmoniques ajoutées
contiennent des fréquences au moins une octave au-dessus du seuil du filtre passe-haut.
Le signal distordu est mixé avec le signal sec d’origine.
Vous pouvez utiliser Exciter pour rendre plus vivants des enregistrements. Il convient
particulièrement bien aux pistes audio ayant une plage de fréquences à aigus faibles.
Exciter est également très utile comme utilitaire généraliste pour améliorer les pistes de
guitare.
• Écran Frequency : indique la plage de fréquence utilisée comme signal source pour le
processus.
• Curseur et champ Frequency : détermine la fréquence de coupure (en Hertz) du filtre
passe-haut. Le signal d’entrée passe par ce filtre avant que la distorsion (harmonique)
ne soit introduite.
• Bouton Input : Lorsque le bouton Input est actif, le signal original (pre-effet) est mélangé
au signal d’effet. Si vous désactivez Input, seul le signal avec effet est entendu.
• Potentiomètre et champ Harmonics : définissent le rapport entre l’effet et les signaux
originaux, en pourcentage. Si le bouton Input est désactivé, ce paramètre n’a aucun
effet.
Remarque : dans la plupart des cas, des valeurs Frequency et Harmonics plus élevées
sont préférables, car l’oreille humaine ne peut pas facilement faire la distinction entre
les hautes fréquences artificielles et d’origine.
Chapitre 13 Effets et utilitaires spécialisés 271• Boutons Color 1 et Color 2 : Color 1 génère un spectre de distorsion harmonique moins
dense. Color 2 génère une distorsion harmonique plus intense. Color 2 introduit aussi
plus de distorsions intermodulation (indésirables).
Grooveshifter
L’effet Grooveshifter permet de varier rythmiquement les enregistrements audio, donnant
un feeling « swing » au signal d’entrée. Imaginez un solo de guitare joué en 1/8 ou 1/16
de notes fixes. Grooveshifter est à même de réaliser ce solo franc et direct.
Le tempo de référence est celui du projet. Grooveshifter suit automatiquement toutes
les modifications de tempo du projet.
Remarque : grooveshifter repose sur une mise en correspondance parfaite du tempo du
projet avec celui de l’enregistrement traité. Toute variation de tempo aboutit à desrésultats
moins précis.
Paramètres Source Material de Grooveshifter
• Boutons Beat et Tonal : il s’agit de deux algorithmes, chacun optimisé pour différents
types de morceau audio.
• Algorithme Beat : optimisé pour les morceaux d’entrée percussifs. Le curseur Grain
Size n’a aucun effet lorsque Beat est choisi.
• Algorithme Tonal : optimisé pour les morceaux d’entrée tonaux. Cet algorithme est
basé sur une synthèse granulaire, et offre un curseur supplémentaire Grain Size.
• Curseur et champ Grain Size : Définissent la taille des grains, c’estàdire qu’ils permettent
de déterminer la précision de l’analyse. Le réglage (par défaut) Auto dérive
automatiquement d’une valeur de taille de grain appropriée du signal entrant.
Paramètres Swing de Grooveshifter
• Boutons Grid : Déterminent la division de battement utilisée comme référence de
contrôle du temps par l’algorithme pour analyser le morceau audio.
• Choisissez 1/8ème si le morceau audio contient principalement des croches et 1/16 s’il
est constitué principalement de doubles croches.
272 Chapitre 13 Effets et utilitaires spécialisés• Curseur et champ Swing : Déterminent de combien les battements pairsseront retardés.
Une valeur de 50 % n’introduit aucun swing, ce qui est typique de la majeure partie
des morceaux de pop et de rock. Plus la valeur est élevée, plus l’effet swing est
important.
• Curseur et champ Accent : augmente ou réduit le niveau des battements pairs, en les
accentuant. Ces accents sont typiques de plusieurs styles rythmiques, comme le swing
ou le reggae.
Speech Enhancer
Vous pouvez utiliser l’effet Speech Enhancer pour améliorer les enregistrements parlés
effectués avec le micro interne de votre ordinateur (le cas échéant). Il combine la réduction
du bruit, la remodélisation avancée desfréquences du micro et la compression multibande.
• Curseur et champ Denoise : Déterminent le bruit de fond (votre estimation) dans votre
enregistrement et donc la quantité de bruit qui doit être éliminée. Les réglages vers
100 dB permettent de conserver davantage de bruit. Les réglages vers 0 dB vont
supprimer plus avant le bruit de fond, mais augmenteront aussi proportionnellement
les effets.
• Boutons Mic Correction : Activez le bouton On pour améliorer la réponse en fréquence
des enregistrements effectués avec votre micro intégré. Cela donne l’impression qu’un
micro haut de gamme a été utilisé.
• Menu local Mic Model : Offre un choix de modèles de micro différents qui compensent
pour les caractéristiques tonales des micros Macintosh intégrés.
Remarque : vous pouvez utiliser l’effet Speech Enhancer avec d’autres micros, mais les
modèles de correction de micro sont uniquement proposés pour les micros Macintosh
et iSight intégrés. Si un micro non Apple est utilisé, le résultat est meilleur si l’option
Mic Correction a la valeur « Generic ».
Chapitre 13 Effets et utilitaires spécialisés 273• Bouton Voice Enhance et menu local Enhance Mode : Ce bouton active le circuit de
compression multibande de l’effet Speech Enhancer. Lorsqu’il est activé, vous pouvez
choisir parmi quatre réglages qui rendent la voix enregistrée plus audible et intelligible.
Choisissez le réglage offrant les meilleursrésultats dans votre situation d’enregistrement.
• (Female ou Male) Solo : ce mode est utilisé lorsque le signal enregistré comprend une
seule voix.
• (Female ouMale) VoiceOver: ce mode est utilisé lorsque le signal enregistré comprend
une voix et un fond musical ou d’ambiance.
SubBass
Le module SubBass génère des fréquences en dessous de celles du signal d’origine, en
d’autres termes, une basse artificielle.
Le plussimple consiste à utiliser SubBass comme diviseur d’octaves,similaire aux pédales
d’effet Octaver pour les guitares basses électriques. Si de telles pédales peuvent
uniquement traiter une source sonore d’entrée monophonique d’une hauteur tonale
clairement définie, SubBass peut être utilisé avec des signaux cumulés complexes.
Consultez Utilisation de SubBass.
SubBass crée deux signaux graves, dérivés de deux parties distinctes du signal entrant.
Ils sont définis avec les paramètres High et Low. Consultez Paramètres de SubBass.
Avertissement: SubBass peut générer dessignaux de sortie extrêmement forts. Choisissez
des niveaux de monitoring modérés et n’utilisez que des haut-parleurs pouvant
reproduire lestrès bassesfréquences générées. N’essayez jamais de forcer un haut-parleur
à émettre ces bandes de fréquences avec un égaliseur.
274 Chapitre 13 Effets et utilitaires spécialisésParamètres de SubBass
Le module SubBass comprend les paramètres suivants :
• Potentiomètre et champ High Ratio : ajuste le rapport entre le signal généré et le signal
de bande supérieure d’origine.
• Potentiomètre et champHigh Center: définit la fréquence centrale de la bande supérieure.
• Potentiomètre et champ High Bandwith : définissent la largeur de la bande supérieure.
• Écran graphique : affiche les bandes de fréquencessupérieure et inférieure sélectionnées.
• Freq. Curseur et champ Mix : ajuste le rapport de mixage entre les bandes de fréquences
supérieure et inférieure.
• Potentiomètre et champ LowRatio : ajustent le rapport entre le signal généré et le signal
de la bande inférieure d’origine.
• Potentiomètre et champ LowCenter : définit la fréquence centrale de la bande inférieure.
• Potentiomètre et champ Low Bandwith : définissent la largeur de la bande inférieure.
• Curseur et champ Dry : définissent le niveau du signal sec (sans effet, original).
• Curseur et champ Wet : définissent la quantité de signal humide (avec effet).
Chapitre 13 Effets et utilitaires spécialisés 275Utilisation de SubBass
Contrairement à un Pitch Shifter (appareil qui permet d’entendre la transposition d’une
note), la forme d’onde du signal généré par SubBass n’est pas basée sur celle du signal
d’entrée, mais est sinusoïdale, c’est-à-dire qu’elle utilise une onde sinusoïdale). Étant
donné que les ondes sinusoïdales pures s’intègrent rarement bien aux arrangements
complexes, vous pouvez contrôler la quantité et l’équilibre entre les signaux générés et
d’origine via les curseurs Dry et Wet.
Utilisez les paramètres High et Low pour définir les deux bandes de fréquences que
SubBass utilise pour générer destons. High Center et Low Center définissent la fréquence
centrale de chaque bande ; High Bandwidth et Low Bandwidth définissent la largeur de
chaque bande de fréquence.
Les potentiomètres High Ratio et Low Ratio définissent l’importance de la transposition
pour le signal généré sur chaque bande. Ceci est exprimé sous la forme d’un ratio du
signal d’origine. Par exemple : Ratio = 2 transpose le signal d’une octave vers le bas.
Important : dans chaque bande de fréquences, le signal filtré doit avoir une hauteur
tonale raisonnablement stable pour être analysé correctement.
En général, des bandes passantes étroites génèrent les meilleursrésultats, car elles évitent
les intermodulations non souhaitées. Définissez High Center une quinte plus haut que
Low Center, ce qui signifie un facteur de 1,5 pour la fréquence centrale. Dérivez la
sous-basse à synthétiser depuis la partie grave existante du signal et transposez d’une
octave dans les deux bandes (Ratio = 2). Ne poussez pas trop le processus ou vous
introduirez de la distorsion. Si vous entendez des écarts de fréquence, tournez l’un des
potentiomètres Center Frequency ou les deux, ou élargissez un peu la bande passante
(d’une ou des deux plages de fréquences).
Astuce : utilisez SubBass de façon raisonnable et comparez le contenu d’extrême basse
fréquence de vos mixages avec d’autres productions. Il est très facile de le surutiliser.
276 Chapitre 13 Effets et utilitaires spécialisésLes outils de la catégorie Utility peuvent vous aider dansl’exécution destâchesrépétitives
et dans les situations de production suivantes : Les modules Gain servent à ajuster le
niveau ou la phase des signaux entrants. I/O Utility vous permet d'intégrer des effets
audio externes à votre mélangeur d'application hôte. Le module Test Oscillator génère
une fréquence statique ou un balayage sinusoïdal.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Down Mixer (p 277)
• Module Gain (p 278)
• Utilitaire I/O (p 279)
• Multichannel Gain (p 281)
• Test Oscillator (p 281)
Down Mixer
Vous pouvez utiliser Down Mixer pour ajuster le format d’entrée d’une bande de canaux
maître surround. Cela vous permet, par exemple, de contrôler rapidement le mixage
Surround en stéréo.
277
Utilitaires et outils
14Important : le format Surround souhaité est sélectionné dans le menu Insert à l'insertion
du module. Vous avez le choix entre : To Stereo, To Quad, To LCRS.
Le mappage, la balance et le mixage abaisseur de canaux sont réalisés automatiquement
« en coulisses». Cependant, vous pouvez contrôler le mixage, dans une certaine mesure
Utilisez les curseurs Level pour contrôler les niveaux de chaque canal. Le nombre (et le
nom) des curseurs dépendent du format de module choisi.
Module Gain
Gain amplifie (ou réduit) le signal d’un certain nombre de décibels. Cette option s’avère
très utile pour les ajustements rapides de niveau, lorsque vous travaillez avec des pistes
automatisées durant la phase de post-production. Par exemple, lorsque vous avez inséré
un nouvel effet qui ne dispose pas de contrôle de gain ou lorsque voussouhaitez modifier
le niveau d’une piste pour une version remixée.
• Curseur et champ Gain : définit la quantité de gain.
• Boutons Phase Invert (Left et Right) : inversent la phase des canaux gauche et droite,
respectivement.
• Potentiomètre et champ Balance : ajuste la balance du signal entrant entre les canaux
de gauche et de droite.
• Bouton Swap L/R (Left/Right) : échange les canaux de sortie gauche et droite. L échange
a lieu après le paramètre Balance dans le chemin de signal.
• Bouton Mono : émet le signal mono cumulé sur les canaux de gauche et de droite.
Remarque : le module Gain est disponible dans les configurations mono, mono vers
stéréo, et stéréo. En modes mono et mono vers stéréo, un seul bouton Phase Invert est
disponible. Dans la version mono, les paramètres Stereo Balance, Swap Left/Right, et
Mono sont désactivés.
278 Chapitre 14 Utilitaires et outilsUtilisation de l’inversion de phase
L’inversion de phase est utile lorsqu’il faut régler des problèmes d’alignement temporel,
particulièrement lorsqu’ils ont été causés par des enregistrementssimultanéssur plusieurs
micros. Lorsque vous inversez la phase d’un signal entendu de façon isolée, il a le même
son que l’original. Mais, lorsque le signal est entendu conjointement avec d’autres
signaux, l’inversion de phase peut avoir un effet audible. Par exemple, si vous placez
des micros au-dessus et en dessous d’une caisse claire, vous vousrendrez compte qu’en
inversant la phase des micros, vous pouvez améliorer (ou endommager) le son. Comme
d’habitude, faites confiance à vos oreilles.
Utilitaire I/O
L’utilitaire I/O permet d’utiliser des unités d’effets audio externes de façon similaire aux
effets internes de Logic Pro.
Remarque : en pratique, cela n’a de sens que si vous utilisez une interface audio qui
fournit des entrées et des sorties discrètes (analogiques ou numériques), utilisées pour
envoyer des signaux vers et depuis l’unité d’effets audio externes.
• Curseur et champ Output Volume : ajuste le niveau du signal de sortie.
• Menu local Output : affecte la sortie respective (ou paire de sorties) de votre matériel
audio.
• Menu local Input: affecte l’entrée respective (ou paire d’entrées) de votre matériel audio.
Remarque : le menu local Input n’est visible que lorsqu’une interface audio avec
plusieurs entrées est active.
• Curseur et champ Input Volume : ajuste le niveau du signal d’entrée.
Chapitre 14 Utilitaires et outils 279• Bouton de détection de temps de latence (ping) : détecte le retard entre l'entrée et la
sortie sélectionnée et compense le retard sur cette base.
Remarque : Éviter les modules introduisant des temps de latence sur la piste offre la
lecture la plus précise.
• Champ et curseur Latency Offset : affiche la valeur pour le temps de latence détecté
entre l'entrée et la sortie sélectionnées. Vous permet également de décaler le temps
de latence manuellement.
Pour intégrer et utiliser une unité d’effets externes avec l’utilitaire I/O
1 Connectez une sortie (ou paire de sorties) de votre interface audio avec la (paire de)
sortie(s) sur votre unité d’effets. Connectez la sortie (ou paire de sorties) de votre unité
d’effets avec une (paire d’)entrée(s) sur votre interface audio.
Remarque : il peut s’agir de connexions analogiques ou numériques si votre interface
audio et unité d’effets sont équipées de l’une d’entre elles ou des deux.
2 Cliquez sur un logement Insert d’une bande de canaux auxiliaire (utilisée comme
envoi/retour de bus) et choisissez Utility > I/O.
3 Dans la fenêtre I/O, choisissez les sorties (Output) et entrées (Input) de votre matériel
audio (auxquelles votre unité d’effets est connectée).
4 Acheminez les signaux des bandes de canaux à traiter vers le bus (bande de canaux
auxiliaire) sélectionné à l’étape 3, et réglez les niveaux Send appropriés.
5 Ajustez le volume d’entrée ou de sortie comme requis dans la fenêtre I/O.
6 Cliquez sur le bouton de détection de temps de latence (ping) si vous souhaitez détecter
et compenser tout retard entre l'entrée et la sortie sélectionnées.
Lorsque vous débutez la lecture, les signaux des bandes de canaux acheminés vers le
canal auxiliaire (sélectionné à l’étape 3) sont traités par l’unité d’effets externe.
280 Chapitre 14 Utilitaires et outilsMultichannel Gain
Multichannel Gain vous permet de contrôler le gain (et la phase)séparément pour chaque
canal d’un mixage surround.
• Curseur et champ Master : définit le gain principal pour la sortie de canal combinée.
• Curseurs et champs Channel gain : définissent le gain pour chacun des canaux.
• Boutons Phase Invert : inversent la phase du canal sélectionné.
• Boutons Mute : rendent le canal sélectionné muet.
Test Oscillator
Test Oscillator sert à l’accordage de l’équipement de studio et d’instruments, et peut être
inséré comme un instrument ou comme un module d’effet. Il fonctionne en deux modes,
générant une fréquence statique ou un balayage sinusoïdal.
Chapitre 14 Utilitaires et outils 281Dans le premier mode (mode par défaut), il commence à générer le signal test dès qu’il
est inséré. Vous pouvez le désactiver en l’ignorant. Dansle second mode (activé en cliquant
sur le bouton Sine Sweep), Test Oscillator génère un balayage de tonalités de spectre de
fréquences défini par l’utilisateur lorsqu’il est déclenché par le bouton Trigger.
• BoutonsWaveform : permettent de sélectionner le type de forme d’onde à utiliser pour
la génération du bruit rose.
• Lesformes d’onde Square Wave et Needle Pulse sont disponibles en version crénelée
ou anti-crénelage, cette dernière solution étant possible en coordination avec le
bouton Anti Aliased.
• Needle Pulse est une forme d’onde à une seule impulsion très réduite.
• Si le bouton Sine Sweep est actif, les réglages de l’oscillateur fixe dans la section
Waveform au-dessus sont désactivés.
• Potentiomètre et champ Frequency : détermine la fréquence de l’oscillateur (la valeur
par défaut est 1 kHz).
• Bouton Sine Sweep : génère un balayage sinusoïdal (du spectre de fréquence défini
dans les champs Start Freq et End Freq).
• Champ Time : définit la durée du balayage sinusoïdal.
• Champs Start Freq et End Freq : Faites-les glisser à la verticale pour définir la fréquence
de l’oscillateur au début et à la fin du balayage sinusoïdal.
• Menu local Sweep Mode (zone des paramètres étendus) : Choisissez une courbe (de
balayage) de type Linear ou Logarithmic.
• Bouton etmenu local Trigger: Cliquez sur le bouton Trigger pour déclencher le balayage
sinusoïdal. Choisissez le comportement du bouton Trigger à partir du menu local :
• Single : déclenche le balayage une fois.
• Continuous : déclenche le balayage indéfiniment.
282 Chapitre 14 Utilitaires et outils• Curseur et champ Level : détermine le niveau de sortie global de Test Oscillator.
Chapitre 14 Utilitaires et outils 283
iPod shuffle
Guide de l’utilisateur2
1 Table des matières
Chapitre 1 3 À propos de l’iPod shuffle
Chapitre 2 5 Notions élémentaires de l’iPod shuffle
5 Vue d’ensemble de l’iPod shuffle
6 Utilisation des commandes de l’iPod shuffle
7 Connexion et déconnexion de l’iPod shuffle
9 Recharge de la batterie
Chapitre 3 12 Configuration de l’iPod shuffle
12 À propos d’iTunes
13 Importation de musique dans votre bibliothèque iTunes
17 Organisation de votre musique
19 Ajout de musique à l’iPod shuffle
Chapitre 4 25 Écoute de musique
25 Lecture de musique
28 Utilisation de la fonctionnalité VoiceOver
Chapitre 5 33 Stockage de fichiers sur l’iPod shuffle
33 Utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque externe
Chapitre 6 35 Astuces et dépannage
39 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle
Chapitre 7 40 Sécurité et manipulation
40 Informations importantes relatives à la sécurité
42 Informations importantes sur la manipulation
Chapitre 8 44 En savoir plus, réparation et assistance 1
3
1 À propos de l’iPod shuffle
Apple vous félicite pour l’acquisition de votre iPod shuffle.
Lisez ce chapitre pour en savoir plus sur les fonctionnalités
de l’iPod shuffle et sur la manière d’utiliser ses commandes,
entre autres informations.
Pour utiliser l’iPod shuffle, vous devez au préalable charger des morceaux et autres
fichiers audio de votre ordinateur sur l’iPod shuffle.
Vous pouvez utiliser l’iPod shuffle pour :
 synchroniser des morceaux et des listes de lecture en vue de les écouter lorsque vous
êtes en déplacement ;
 écouter des podcasts, sorte d’émissions téléchargeables de type radiophoniques,
proposés sur Internet ;
 écouter des livres audio achetés sur l’iTunes Store ou audible.com ;
 stocker ou sauvegarder des fichiers et autres données en utilisant l’iPod shuffle
comme disque externe.
± AVERTISSEMENT : pour éviter toute lésion ou blessure, lisez l’intégralité des
instructions relatives au fonctionnement reprises dans le présent guide ainsi
que les informations sur la sécurité en « Sécurité et manipulation » à la
page 40 avant tout usage de l’iPod shuffle. 4 Chapitre 1 À propos de l’iPod shuffle
Nouveautés de l’iPod shuffle
 écouteurs Apple Earphones dotés d’une télécommande pour contrôler en toute
simplicité l’iPod shuffle lors de vos déplacements ;
 prise en charge de plusieurs listes de lecture et livres audio ;
 nouvelle fonctionnalité VoiceOver permettant d’annoncer le titre du morceau et
le nom de l’interprète, un menu reprenant vos listes de lecture, vos livres audio et
vos podcasts, ainsi que l’état de la batterie et autres messages complémentaires ;
 souplesse améliorée lors de la synchronisation de musique et autre contenu dans
iTunes.2
5
2 Notions élémentaires de
l’iPod shuffle
Lisez ce chapitre pour en savoir plus sur les fonctionnalités de
l’iPod shuffle, sur la manière d’utiliser ses commandes et plus
encore.
Le coffret de votre iPod shuffle comprend l’iPod shuffle en tant que tel, les écouteurs
Apple Earphones avec sa télécommande et un câble USB 2.0 pour brancher l’iPod shuffle
sur votre ordinateur.
Vue d’ensemble de l’iPod shuffle
Attache (arrière)
Hausse du volume
Bouton central
Baisse du volume
Port écouteurs
Voyant d’état
Interrupteur trois positions6 Chapitre 2 Notions élémentaires de l’iPod shuffle
Pour utiliser les écouteurs Apple Earphones avec la télécommande :
m Branchez les écouteurs sur le port écouteurs de l’iPod shuffle. Placez ensuite les écouteurs dans les oreilles comme sur l’illustration. Utilisez les boutons situés sur la télécommande pour piloter la lecture.
Vous avez la possibilité d’acheter d’autres accessoires, tels que les écouteurs intra-auriculaires Apple avec télécommande et micro, et les écouteurs Apple Earphones avec
télécommande et micro, à l’adresse www.apple.com/fr/ipodstore. Les fonctionnalités
du micro ne sont pas prises en charge sur l’iPod shuffle.
Utilisation des commandes de l’iPod shuffle
L’interrupteur trois positions (éteint, lecture séquentielle ⁄ ou lecture aléatoire ¡)
de l’iPod shuffle et les boutons situés sur la télécommande des écouteurs simplifient
la lecture de morceaux, de livres audio et de podcasts audio sur l’iPod shuffle, tel qu’il
est décrit ci-dessous.
AVERTISSEMENT : avant d’utiliser les écouteurs, lisez les consignes de sécurité à la
page 41 pour savoir comment éviter la perte d’audition liée à l’usage du produit.
Le cordon de l’écouteur
est réglable.
Télécommande
Pour Procédez ainsi sur l’iPod shuffle
Allumer ou éteindre l’iPod shuffle Faites glisser l’interrupteur trois positions (le voyant vert de
l’interrupteur indique que l’iPod shuffle est allumé).
Définir l’ordre de lecture des
morceaux
Faites glisser l’interrupteur trois positions pour lancer la lecture
séquentielle (⁄) ou aléatoire (¡).
Réinitialiser l’iPod shuffle
(si l’iPod shuffle ne répond pas ou
si le voyant d’état rouge s’allume)
Débranchez l’iPod shuffle de l’ordinateur. Éteignez l’iPod shuffle,
attendez 10 secondes puis rallumez-le.
Rechercher le numéro de série de
l’iPod shuffle
Regardez sous l’attache de l’iPod shuffle ou bien sélectionnez
l’iPod shuffle dans la sous-fenêtre Appareils dans iTunes
(lorsque l’iPod shuffle est relié à l’ordinateur) et cliquez sur
l’onglet Résumé.Chapitre 2 Notions élémentaires de l’iPod shuffle 7
Connexion et déconnexion de l’iPod shuffle
Branchez l’iPod shuffle sur votre ordinateur pour synchroniser des morceaux et autres
fichiers audio mais aussi pour recharger sa batterie. Déconnectez l’iPod shuffle lorsque
vous avez terminé.
Important : n’utilisez que le câble USB 2.0 fourni avec l’iPod shuffle pour relier ce
dernier à votre ordinateur.
Connexion de l’iPod shuffle
Pour connecter l’iPod shuffle à votre ordinateur :
m Branchez une extrémité du câble USB fourni dans le port écouteurs de l’iPod shuffle
et l’autre extrémité dans un port USB 2.0 de votre ordinateur.
Remarque : la phase de recharge ou la synchronisation de l’iPod shuffle s’avère plus
rapide si vous branchez l’appareil sur un port USB 2.0 à haut rendement. Sur la plupart
des claviers, le port USB ne fournit pas une puissance suffisante pour recharger la batterie à un débit optimal.
Pour Procédez comme suit sur la télécommande des écouteurs
Lecture ou pause Cliquez sur le bouton central.
Régler le volume Cliquez sur les boutons Augmenter le volume (∂) ou Baisser
le volume (D).
Passer à la piste suivante Double-cliquez sur le bouton central.
Avancer rapidement Double-cliquez et maintenez enfoncé le bouton central.
Revenir à la piste précédente Triple-cliquez sur le bouton central dans les 6 premières secondes de la piste en cours de lecture. Triple-cliquez après le délai
de 6 secondes pour recommencer la piste en cours de lecture.
Rembobiner Triple-cliquez et maintenez le bouton central appuyé.
Entendre le titre des morceaux,
le nom des interprètes et celui
des listes de lecture
Pour entendre le titre et le nom de l’interprète du morceau en
cours de lecture, cliquez et maintenez le bouton central enfoncé.
Pour écouter le nom de vos listes de lecture, maintenez le bouton enfoncé puis relâchez-le lorsque vous entendez le signal
sonore ; cliquez ensuite pour sélectionner la liste de lecture de
votre choix. Pour en savoir plus, consultez « Utilisation de la fonctionnalité VoiceOver » à la page 28.8 Chapitre 2 Notions élémentaires de l’iPod shuffle
Un câble USB plus long est disponible à part à l’adresse www.apple.com/fr/ipodstore.
La première fois que vous branchez l’iPod shuffle sur l’ordinateur, iTunes vous aide à
configurer l’iPod shuffle et à le synchroniser avec votre bibliothèque iTunes. Par défaut,
iTunes synchronise automatiquement les morceaux sur l’iPod shuffle quand vous
le branchez sur votre ordinateur. Lorsqu’iTunes a terminé le processus, vous pouvez
débrancher l’iPod shuffle. Vous pouvez synchroniser des morceaux pendant que
la batterie se recharge.
Si vous connectez l’iPod shuffle sur un autre ordinateur et que l’iPod shuffle est configuré de sorte à synchroniser de la musique automatiquement, iTunes ouvre alors une
zone de dialogue avant de procéder à la synchronisation de tout morceau. Si vous cliquez sur Oui, les morceaux et autres fichiers audio se trouvant déjà sur l’iPod shuffle
sont alors effacés et remplacés par les morceaux et les fichiers audio de l’ordinateur
auquel est relié l’iPod shuffle. Pour en savoir plus sur l’ajout de musique sur l’iPod shuffle
et l’utilisation de l’iPod shuffle avec plusieurs ordinateurs, reportez-vous au chapitre 4,
« Écoute de musique », à la page 25.
Déconnexion de l’iPod shuffle
Il est important de ne pas débrancher l’iPod shuffle de votre ordinateur lorsque des
fichiers audio sont en cours de synchronisation ou lorsque l’iPod shuffle est utilisé en
tant que disque externe. Vous pouvez débrancher l’iPod shuffle si le voyant d’état
orange ne clignote pas ou si le message « Déconnexion autorisée » s’affiche en haut
de la fenêtre iTunes.
Important : si le message « Ne pas déconnecter » s’affiche dans iTunes ou si le voyant
d’état orange de l’iPod shuffle clignote, vous devez éjecter l’iPod shuffle avant de le
débrancher. Ne pas suivre ces indications peut entraîner la détérioration de fichiers sur
l’iPod shuffle et vous obliger à restaurer l’iPod shuffle dans iTunes. Pour en savoir plus
sur la restauration, reportez-vous à la rubrique « Mise à jour et restauration du logiciel
de l’iPod shuffle » à la page 39.
Si vous activez le mode disque de l’iPod shuffle (voir la page 33), vous devrez toujours
éjecter l’iPod shuffle avant de le débrancher.
Pour éjecter l’iPod shuffle :
m Cliquez sur le bouton d’éjection (C) représentant l’iPod shuffle dans la liste des appareils dans iTunes.
Si vous utilisez un Mac, pour éjecter l’iPod shuffle, vous pouvez également faire glisser
l’icône iPod shuffle du bureau vers la Corbeille.
Si votre ordinateur est un PC sous Windows, vous pouvez aussi éjecter l’iPod shuffle
dans « Poste de travail » ou en cliquant sur l’icône « Supprimer le périphérique en
toute sécurité » située dans la zone de notification du PC puis en sélectionnant
votre iPod shuffle.Chapitre 2 Notions élémentaires de l’iPod shuffle 9
Pour débrancher l’iPod shuffle :
m Débranchez le câble USB de l’iPod shuffle et de l’ordinateur.
Recharge de la batterie
iPod shuffle est doté d’une batterie interne rechargeable que l’utilisateur ne doit pas
remplacer le cas échéant par ses propres moyens. Pour obtenir des résultats optimum, à
la première utilisation de l’iPod shuffle, rechargez entièrement sa batterie, laquelle opé-
ration prend environ trois heures. Il faut environ deux heures pour recharger la batterie à
80 %, et trois heures pour la recharger complètement. Si l’iPod shuffle n’a pas été utilisé
pendant un moment, il est possible qu’une recharge de sa batterie soit nécessaire.
Vous pouvez synchroniser de la musique pendant que la batterie se recharge. Vous
pouvez en outre déconnecter et utiliser l’iPod shuffle avant qu’il ne soit complètement
rechargé.
Dans iTunes, l’icône représentant une batterie en regard du nom de votre iPod shuffle
indique son état. Cette icône signale un boulon s’éclaircissant lorsque la batterie est en
phase de recharge et une prise de courant une fois la batterie entièrement rechargée.
Il vous est possible de recharger la batterie de l’iPod shuffle de deux façons :
 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
 Utilisez l’adaptateur secteur USB Apple, vendu séparément.
Pour recharger la batterie par le biais de votre ordinateur :
m Branchez l’iPod shuffle sur un port USB 2.0 à haut rendement de votre ordinateur à
l’aide du câble USB fourni. L’ordinateur doit alors être sous tension et non en mode
veille.
Le voyant d’état orange sur l’iPod shuffle s’allume lorsque la batterie se recharge.
Une fois la batterie complètement rechargée, le voyant passe au vert.
Si vous utilisez l’iPod shuffle en tant que disque dur ou que vous procédez à sa synchronisation avec iTunes, le voyant d’état orange clignote pour vous indiquer qu’il convient d’éjecter l’iPod shuffle avant de le débrancher. Dans ce cas, votre batterie peut
soit toujours être en phase de recharge ou être entièrement rechargée. Vous pouvez
vérifier son état en vous reportant dans iTunes sur l’icône représentant une batterie
en regard du nom de votre iPod shuffle dans la liste des appareils.10 Chapitre 2 Notions élémentaires de l’iPod shuffle
Si le voyant d’état ne s’allume pas, il est possible que l’iPod shuffle ne soit pas connecté à un port USB 2.0 à haut rendement. Essayez de le brancher sur un autre port
USB de votre ordinateur.
Si vous comptez recharger la batterie sans disposer de votre ordinateur, vous pouvez
connecter l’iPod shuffle à un adaptateur secteur USB Apple. Pour acheter des accessoires iPod shuffle, rendez-vous sur www.apple.com/fr/ipodstore.
Pour recharger la batterie par le biais de l’adaptateur secteur USB Apple :
1 Connectez l’adaptateur CA à une prise électrique (si nécessaire).
2 Branchez le connecteur du câble USB sur l’adaptateur secteur.
3 Branchez l’autre extrémité du câble USB sur l’iPod shuffle.
4 Branchez l’adaptateur secteur sur une prise de courant standard.
Les batteries rechargeables ont un nombre limité de cycles de recharge. La durée de
vie de la batterie et le nombre de cycles de recharge varient en fonction de l’utilisation
et des réglages du matériel. Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site
www.apple.com/fr/batteries.
Vérification de la batterie état
Vous avez la possibilité de vérifier l’état de la batterie de l’iPod shuffle, qu’il soit branché sur votre ordinateur ou déconnecté. Le voyant d’état vous indique approximativement le niveau de charge de la batterie.
AVERTISSEMENT : assurez-vous que l’adaptateur secteur est en une seule pièce avant
de le brancher sur une prise de courant. Prenez connaissance de l’intégralité des
consignes de sécurité spécifiques à l’utilisation de l’adaptateur secteur USB Apple
à la page 41 avant tout usage.
Adaptateur secteur USB Apple
(votre adaptateur peut se présenter sous une autre forme)
Câble USB pour l’iPod shuffle
Voyant d’état une fois branché
Vert continu Entièrement rechargé
Orange continu En cours de recharge
Orange clignotant
Ne pas débrancher (iTunes est en cours de synchronisation ou
l’iPod shuffle est activé en mode disque) ; il se peut que l’appareil soit
toujours en phase de recharge ou peut être entièrement rechargéChapitre 2 Notions élémentaires de l’iPod shuffle 11
Si l’iPod shuffle est allumé mais non relié à un ordinateur, il est possible de vérifier l’état
de la batterie sans interrompre la lecture en cours en éteignant puis en rallumant rapidement l’iPod shuffle.Vous pouvez aussi passer par VoiceOver pour entendre les renseignements sur l’état de la batterie.
Voyant d’état une fois débranché VoiceOver
Vert continu Charge correcte « Batterie pleine »
« Batterie à 75 % »
« Batterie à 50 % »
Orange continu Charge faible « Batterie à 25 % »
Rouge continu Charge très faible « Batterie vide »3
12
3 Configuration de l’iPod shuffle
Pour configurer l’iPod shuffle, vous devez utiliser iTunes sur
votre ordinateur pour importer, acheter et organiser votre
musique, vos podcasts audio et vos livres audio. Connectez
ensuite l’iPod shuffle à votre ordinateur et lancez sa synchronisation avec votre bibliothèque iTunes.
Lisez ce qui suit pour en savoir plus sur les étapes de ce processus, notamment sur :
 le transfert de musique à partir de votre collection de CD, votre disque dur ou
l’iTunes Store (qui fait partie d’iTunes et n’est disponible que dans certains pays)
vers l’application iTunes de votre ordinateur ;
 l’organisation de votre musique et des autres fichiers audio en liste de lectures ;
 la synchronisation de morceaux, de livres audio et de podcasts (programmes de type
radiophonique, téléchargeables gratuitement) de votre bibliothèque iTunes avec
l’iPod shuffle ;
 l’écoute de musique ou de tout autre fichier audio lorsque vous êtes en déplacement.
À propos d’iTunes
Vous devez passer par iTunes pour synchroniser de la musique, des livres audio et des
podcasts audio avec l’iPod shuffle. Pour télécharger iTunes 8.1 ou ultérieur (nécessaire
à l’iPod shuffle), rendez-vous à l’adresse www.apple.com/fr/ipod/start. Après avoir installé iTunes, l’application s’ouvre automatiquement quand vous connectez l’iPod shuffle
à votre ordinateur.
Le présent chapitre vous explique comment utiliser iTunes pour télécharger des morceaux et autres fichiers audio sur votre ordinateur, créer des compilations personnalisées de vos morceaux préférés (appelées listes de lecture), synchroniser l’iPod shuffle
et définir les réglages de l’iPod shuffle.Chapitre 3 Configuration de l’iPod shuffle 13
iTunes dispose également d’une fonctionnalité appelée Genius, laquelle crée instantané-
ment des listes de lecture compilant des morceaux issus de votre bibliothèque iTunes et
qui semblent se combiner. Vous pouvez créer des listes de lecture Genius dans iTunes et
les synchroniser sur l’iPod shuffle. Pour savoir comment configurer Genius dans iTunes,
consultez « Fonction Genius dans iTunes » à la page 18.
iTunes possède bien d’autres fonctionnalités. Il vous est possible, entre autres, de graver vos propres CD lisibles sur des lecteurs CD standard (si votre ordinateur dispose
d’un lecteur-enregistreur de CD), d’écouter de la radio Internet diffusée en continu,
regarder des vidéos et des programmes télévisés et noter des morceaux en fonction
de vos goûts. Pour en savoir plus sur ces fonctionnalités, ouvrez iTunes puis choisissez
Aide > Aide iTunes.
Si vous disposez déjà d’iTunes sur votre ordinateur et que vous avez configuré votre
bibliothèque iTunes, vous pouvez passer à la rubrique suivante, « Ajout de musique à
l’iPod shuffle » à la page 19.
Importation de musique dans votre bibliothèque iTunes
Pour écouter de la musique sur l’iPod shuffle, il vous faut tout d’abord la transférer
depuis la bibliothèque iTunes de votre ordinateur.
Il existe trois façons d’importer de la musique et autres supports audio dans
la bibliothèque iTunes :
 en achetant de la musique et des livres audio, ou en téléchargeant des podcasts en
ligne à partir de l’iTunes Store ;
 en important de la musique et autres fichiers audio extraits de CD audio ;
 en y ajoutant de la musique et des données audio déjà stockées sur votre ordinateur.14 Chapitre 3 Configuration de l’iPod shuffle
Achat de musique et téléchargement de podcasts via l’iTunes Store
Si vous disposez d’une connexion à Internet, vous pouvez facilement acheter et télé-
charger des morceaux, des albums et des livres audio en ligne via l’iTunes Store. Vous
pouvez également vous abonner à des podcasts, sortes d’émissions radiophoniques
gratuites, et les télécharger. Les podcasts vidéo ne peuvent pas se synchroniser sur
l’iPod shuffle.
Pour acheter de la musique en ligne via l’iTunes Store, vous devez configurer
un compte Apple dans iTunes, rechercher les morceaux voulus, puis les acheter.
Si vous disposez déjà d’un compte Apple ou d’un compte America Online (AOL,
disponible uniquement dans certains pays), vous pouvez vous en servir pour vous
inscrire à l’iTunes Store et acheter des morceaux.
Vous n’avez pas besoin d’un compte iTunes Store pour télécharger ou vous abonner
à des podcasts.
Pour accéder à l’iTunes Store :
m Ouvrez iTunes, puis :
 Si vous disposez déjà d’un compte iTunes, choisissez Store > Ouvrir une session,
puis entrez vos données d’identification.
 Si vous n’avez pas encore de compte iTunes, choisissez Store > Créer un compte.
Suivez alors les instructions à l’écran pour configurer un compte Apple ou bien
saisissez les données de votre compte Apple ou AOL existant.
Vous pouvez parcourir l’iTunes Store ou y faire une recherche pour trouver un album,
un morceau ou un artiste. Ouvrez iTunes puis cliquez sur iTunes Store dans la liste de
gauche.
 Pour parcourir l’iTunes Store, choisissez une catégorie (par exemple, Musique) sur la
partie de gauche de la page d’accueil d’iTunes Store. Vous pouvez y choisir le genre,
consulter les nouveautés, cliquer sur l’un des morceaux en vedette, connaître le classement des meilleurs morceaux, etc. L’option Parcourir vous est en outre proposée
dans la fenêtre principale de l’iTunes Store, sous la section Liens rapides.
 Pour rechercher des podcasts, cliquez sur le lien Podcasts situé à gauche dans la page
d’accueil de l’iTunes Store.
 Pour lancer une recherche dans l’iTunes Store, tapez le nom d’un album, d’un morceau,
d’un interprète ou d’un compositeur dans le champ de recherche. Appuyez sur
Retour ou choisissez un élément dans la liste qui s’affiche.
 Pour affiner les résultats de votre recherche, choisissez un élément dans le menu
local situé en haut à gauche (la valeur par défaut correspond à Tous les résultats).
Par exemple, pour limiter la recherche aux morceaux et aux albums, choisissez
Musique dans le menu local.
 Pour rechercher une combinaison d’éléments, cliquez sur Recherche avancée dans
la page des résultats de recherche.Chapitre 3 Configuration de l’iPod shuffle 15
 Pour revenir à la page d’accueil de l’iTunes Store, cliquez sur le bouton Accueil dans
la ligne d’état située en haut de la page.
Pour acheter un morceau, un album ou un livre audio :
1 Sélectionnez iTunes Store puis recherchez l’élément que vous souhaitez acheter.
Vous pouvez double-cliquer sur un morceau ou un autre élément pour en écouter un
extrait et vous assurer que c’est bien celui que vous voulez. (Si votre connexion réseau
s’avère plus lente que 128 kbps, sélectionnez les préférences iTunes, puis, dans la sousfenêtre Store, cochez « Charger l’extrait complet avant lecture ».)
2 Cliquez sur Acheter le morceau, Acheter l’album ou Acheter le livre.
L’élément est alors téléchargé sur votre ordinateur et le prix est débité de la carte de
crédit indiquée sur votre compte Apple ou AOL.
Pour télécharger un podcast ou vous y abonner :
1 Sélectionnez iTunes Store.
2 Cliquez sur le lien Podcasts dans la partie gauche de la page d’accueil de l’iTunes Store.
3 Recherchez le podcast que vous souhaitez télécharger.
 Pour télécharger un seul épisode de podcast, cliquez sur le bouton Obtenir l’épisode
situé à côté de l’épisode.
 Pour vous abonner à un podcast, cliquez sur le bouton S’abonner situé à côté de
l’image du podcast. iTunes télécharge l’épisode le plus récent. Les nouveaux épisodes disponibles sont alors automatiquement téléchargés dans iTunes lorsque vous
vous connectez à Internet.
Ajout de morceaux stockés sur votre ordinateur à la bibliothèque
iTunes
Si vous possédez des morceaux sur votre ordinateur, encodés sous des formats
de fichier qu’iTunes prend en charge, vous pouvez ajouter en toute simplicité ces
morceaux dans iTunes.
Pour ajouter des morceaux stockés sur votre ordinateur à la bibliothèque iTunes :
m Faites glisser le dossier ou l’unité contenant les fichiers audio sur votre bibliothèque
iTunes (ou choisissez Fichier > Ajouter à la bibliothèque, puis sélectionnez le dossier
ou l’unité). Si iTunes prend en charge le format de fichier des morceaux, ceux-ci sont
automatiquement ajoutés à la bibliothèque iTunes.
Vous pouvez également faire glisser individuellement des fichiers audio dans iTunes.
Remarque : si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers
WMA non protégés en fichiers au format AAC ou MP3. Cela peut s’avérer utile si vous
disposez d’une bibliothèque de musique encodée au format WMA. Pour en savoir plus,
ouvrez iTunes puis choisissez Aide > Aide iTunes.16 Chapitre 3 Configuration de l’iPod shuffle
Importation de musique dans iTunes à partir de CD audio
Suivez ces instructions pour importer de la musique de vos CD dans iTunes.
Pour importer de la musique dans iTunes à partir d’un CD audio :
1 Insérez un CD dans votre ordinateur puis ouvrez iTunes.
Si vous disposez d’une connexion à Internet, iTunes obtient le nom des morceaux sur
Internet (s’ils sont disponibles) et les affiche dans la fenêtre.
Si vous ne disposez pas de connexion à Internet, vous pouvez dans un premier temps
importer vos CD et ultérieurement, lorsque l’ordinateur est connecté à Internet, sélectionner les morceaux dans iTunes puis choisir Avancé > Obtenir le nom des pistes du
CD. iTunes récupère alors le nom des pistes des CD importés.
Si le nom des pistes du CD n’est pas disponible en ligne, vous pouvez les saisir manuellement. Reportez-vous à la rubrique suivante, « Saisie du nom des morceaux et autres
informations. »
Une fois les données des morceaux saisies, vous pouvez parcourir les morceaux dans
iTunes par titre, artiste, album ou autre critère.
2 Cliquez sur la coche située en regard des morceaux que vous ne souhaitez pas importer,
pour la supprimer.
3 Cliquez sur le bouton Importer. La zone d’affichage située en haut de la page d’iTunes
indique le temps nécessaire à l’importation des différents morceaux.
Par défaut, iTunes lit les morceaux à mesure qu’ils sont importés. Si vous importez un
grand nombre de morceaux, il est possible que vous souhaitiez arrêter la lecture des
morceaux afin d’améliorer les performances.
4 Pour éjecter le CD, cliquez sur le bouton d’éjection (C).
Vous ne pouvez pas éjecter le CD tant que l’importation n’est pas terminée.
5 Répétez ces opérations pour tout autre CD contenant des morceaux que vous souhaitez
importer.
Saisie du nom des morceaux et autres informations
Il est possible de saisir manuellement les titres et d’autres informations (y compris des
commentaires) pour les morceaux et les autres éléments de votre bibliothèque iTunes.
Pour saisir le nom des morceaux d’un CD et autres informations manuellement :
1 Sélectionnez le premier morceau du CD, puis choisissez Fichier > Obtenir des informations.
2 Cliquez sur Infos.
3 Saisissez les informations concernant le morceau.
4 Cliquez sur Suivant pour saisir les informations concernant la piste suivante.
5 Cliquez sur OK une fois terminé.Chapitre 3 Configuration de l’iPod shuffle 17
Organisation de votre musique
Grâce à iTunes, vous pouvez organiser à votre guise des morceaux et d’autres éléments
dans des listes appelées listes de lecture. Vous pouvez par exemple créer des listes de
lecture qui accompagnent votre séance d’exercice physique ou qui correspondent à
une humeur particulière.
Vous pouvez également élaborer des listes de lecture intelligentes qui se mettent automatiquement à jour selon les règles que vous aurez établies. Lorsque vous ajoutez à
iTunes des morceaux qui satisfont à ces règles, ils sont alors ajoutés automatiquement
à la liste de lecture intelligente. Vous avez également la possibilité de choisir un morceau et faire appel à la fonctionnalité Genius pour créer automatiquement une liste de
lecture (reportez-vous à la rubrique suivante pour en savoir plus). Vous ne pouvez pas
créer de liste de lecture sur l’iPod shuffle lorsque ce dernier est déconnecté d’iTunes.
Vous pouvez créer autant de listes de lecture que vous le souhaitez, incluant n’importe
lequel des morceaux de la bibliothèque iTunes. Les modifications que vous apportez à
l’une de vos listes de lecture dans iTunes, telles que l’ajout ou la suppression de morceaux, n’affecte en rien le contenu de votre bibliothèque iTunes.
Les listes de lecture que vous écoutez sur l’iPod shuffle, créées dans iTunes, se comportent de façon identique. Vous pouvez toujours les choisir par nom sur votre iPod shuffle.
Pour créer une liste de lecture dans iTunes :
1 Cliquez sur le bouton Ajouter (∂) ou bien choisissez Fichier > Nouvelle liste de lecture.
2 Tapez le nom de la liste de lecture.
3 Cliquez sur Musique dans la liste Bibliothèque, puis faites glisser un morceau ou un
autre élément vers la liste de lecture.
Pour sélectionner plusieurs morceaux, lorsque vous cliquez sur chaque morceau,
maintenez la touche Maj ou Commande (x) enfoncée s’il s’agit d’un Mac, ou la
touche Maj ou Contrôle s’il s’agit d’un PC sous Windows.
Pour créer une liste de lecture intelligente :
m Sélectionnez Fichier > « Nouvelle liste de lecture intelligente » puis définissez les règles
de votre liste de lecture.
Les listes de lecture intelligentes créées dans iTunes sont synchronisables sur
l’iPod shuffle comme toute autre liste de lecture iTunes.18 Chapitre 3 Configuration de l’iPod shuffle
Fonction Genius dans iTunes
Genius crée automatiquement des listes de lecture reprenant les morceaux issus de
votre bibliothèque et qui semblent s’associer entre eux. Pour lire des listes de lecture
Genius sur l’iPod shuffle, vous devez au préalable configurer Genius dans iTunes.
Genius constitue un service gratuit, mais vous devez posséder un compte iTunes Store
pour l’utiliser (si vous n’en disposez pas d’un, vous pouvez en configurer un au moment
où vous activez Genius).
Pour configurer Genius :
1 Dans iTunes, choisissez Store > Activer Genius.
2 Suivez les instructions à l’écran.
3 Branchez l’iPod shuffle et procédez à sa synchronisation.
Vous pouvez à présent utiliser la fonction Genius pour créer une liste de lecture Genius
synchronisable sur l’iPod shuffle.
Pour créer une liste de lecture Genius dans iTunes :
1 Cliquez sur Musique dans la bibliothèque ou sélectionnez une liste de lecture.
2 Sélectionnez un morceau.
3 Cliquez sur le bouton Genius situé en bas de la fenêtre d’iTunes.
4 Pour modifier le nombre maximal de morceaux inclus dans la liste de lecture, indiquez
un nombre dans le menu local.
5 Pour enregistrer la liste de lecture, cliquez sur Enregistrer la liste. Vous avez la possibilité
de modifier une liste de lecture enregistrée en y ajoutant ou en y supprimant des élé-
ments. Vous pouvez aussi cliquer sur Actualiser pour créer une liste de lecture reprenant
un morceau donné.
Les listes de lecture Genius créées dans iTunes sont synchronisables sur l’iPod shuffle
comme toute autre liste de lecture iTunes.Chapitre 3 Configuration de l’iPod shuffle 19
Ajout de musique à l’iPod shuffle
Une fois votre musique importée et organisée dans iTunes, vous pouvez facilement
l’ajouter à l’iPod shuffle.
Pour indiquer le mode d’ajout de la musique depuis iTunes sur votre ordinateur à
l’iPod shuffle, vous devez brancher l’iPod shuffle sur votre ordinateur, puis utilisez
les préférences iTunes pour sélectionner les réglages de l’iPod shuffle.
Vous pouvez configurer iTunes, pour ajouter de la musique à l’iPod shuffle, de trois
façons :
 Synchronisation des morceaux et des listes de lecture : lorsque vous branchez l’iPod shuffle,
l’appareil s’actualise automatiquement en fonction des morceaux et autres éléments se
trouvant dans votre bibliothèque iTunes. Il vous est possible de synchroniser les morceaux et listes de lecture dans leur intégralité, ou vous limiter seulement aux listes de
lecture choisies. Tout autre morceau se trouvant sur l’iPod shuffle est alors supprimé.
Reportez-vous à la rubrique suivante pour en savoir plus.
 Ajout manuel de musique sur l’iPod shuffle : si vous branchez l’iPod shuffle, il vous est
possible de faire glisser des morceaux et listes de lecture un par un sur l’iPod shuffle
et en supprimer de l’iPod shuffle de la même façon. Grâce à cette option, vous pouvez ajouter des morceaux de plusieurs ordinateurs sans pour autant effacer ceux qui
se trouvent sur l’iPod shuffle. Si vous gérez la musique manuellement, vous devez
toujours éjecter l’iPod shuffle d’iTunes avant de pouvoir le débrancher. Reportez-vous
à la rubrique « Gestion manuelle de l’iPod shuffle » à la page 21.
 Remplissage automatique de l’iPod shuffle : si vous optez pour manipuler manuellement le contenu de votre iPod shuffle, vous avez la possibilité de configurer iTunes
pour combler automatiquement la mémoire de l’iPod shuffle par une sélection
de morceaux et autre contenu audio de votre choix. Reportez-vous à la rubrique
« Remplissage automatique de l’iPod shuffle » à la page 23.20 Chapitre 3 Configuration de l’iPod shuffle
Synchronisation automatique de musique
Par défaut, l’iPod shuffle est configuré pour la synchronisation de tous les morceaux
et listes de lecture dès que vous le branchez sur votre ordinateur. C’est là le moyen le
plus simple d’ajouter de la musique à l’iPod shuffle. Il vous suffit pour cela de brancher
l’iPod shuffle sur votre ordinateur, laisser l’ajout de morceaux, de livres audio et de
podcasts audio se faire automatiquement, puis de le débrancher et l’emporter avec
vous. Tout morceau que vous aurez ajouté à iTunes depuis la dernière connexion de
l’iPod shuffle se synchronise alors sur l’iPod shuffle. Si vous avez supprimé des morceaux d’iTunes, ceux-ci sont alors également supprimés de l’iPod shuffle.
Pour synchroniser de la musique avec l’iPod shuffle :
m Branchez simplement l’iPod shuffle sur votre ordinateur. Si l’iPod shuffle est configuré
de sorte à effectuer la synchronisation automatiquement, la mise à jour se lance à ce
moment.
Important : la première fois où vous branchez l’iPod shuffle sur un ordinateur, un message vous invite à indiquer si vous comptez synchroniser automatiquement les morceaux. Si vous acceptez, tous les morceaux, livres audio et podcasts sont alors effacés
de l’iPod shuffle et remplacés par ceux de l’ordinateur. Si vous refusez, vous avez toujours la possibilité d’ajouter manuellement les morceaux voulus sur l’iPod shuffle sans
effacer ceux déjà présents sur l’iPod shuffle.
Au cours de la synchronisation de la musique de votre ordinateur avec l’iPod shuffle, la
fenêtre d’état d’iTunes indique la progression de l’opération et une icône de synchronisation s’affiche en regard de l’iPod shuffle dans la liste des appareils. Une fois la mise à
jour terminée, le message « L’iPod est à jour » apparaît dans iTunes.
Si, pendant la configuration de l’iPod shuffle, vous n’avez pas indiqué de synchroniser
automatiquement la musique sur l’iPod shuffle, vous pouvez toujours le faire ultérieurement. Il vous est possible de synchroniser les morceaux et listes de lecture dans leur
intégralité, ou vous limiter seulement aux listes de lecture choisies.
Pour configurer iTunes de sorte à synchroniser automatiquement la musique avec
l’iPod shuffle :
1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur
l’onglet Musique.
3 Sélectionnez « Synchroniser la musique ».
4 Choisissez entre « tous les morceaux et listes de lecture » et « listes de lecture
sélectionnées », puis sélectionnez les listes de lecture à synchroniser.
Vous pouvez synchroniser les livres audio en même temps que la musique. Les livres
audio apparaissent dans la liste répertoriant les listes de lecture sélectionnées. Indiquez si
vous comptez synchroniser tous les livres audio de votre bibliothèque iTunes ou aucun.Chapitre 3 Configuration de l’iPod shuffle 21
5 Cliquez sur Appliquer.
La mise à jour se lance automatiquement.
Si « Ne synchroniser que les morceaux cochés » est sélectionné dans la sous-fenêtre
Résumé, iTunes se limite à ne synchroniser que les éléments cochés dans vos bibliothè-
ques musicale et autres.
Synchronisation automatique de podcasts
Les réglages d’ajout de podcasts sur l’iPod shuffle sont indépendants de ceux portant
sur les morceaux. Les réglages relatifs aux podcasts n’influent donc en rien sur les morceaux, et inversement. Vous pouvez configurer iTunes pour synchroniser automatiquement tous les podcasts ou seulement les podcasts sélectionnés. Vous pouvez en outre
ajouter manuellement des podcasts à l’iPod shuffle. Il ne vous est pas possible de synchroniser de podcasts vidéo sur l’iPod shuffle.
Pour configurer iTunes de façon à mettre automatiquement à jour les podcasts sur
l’iPod shuffle :
1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur
l’onglet Podcasts.
3 Sélectionnez « Synchroniser les épisodes » puis choisissez le nombre d’épisodes voulu
dans le menu local.
4 Choisissez entre « Tous les podcasts » et « Podcasts sélectionnés ». Si vous cliquez sur
« Podcasts sélectionnés », vous devez alors sélectionner ceux à synchroniser.
5 Cliquez sur Appliquer.
Si vous configurez iTunes de façon à synchroniser les podcasts automatiquement,
l’iPod shuffle se met à jour chaque fois que vous le branchez sur votre ordinateur.
Gestion manuelle de l’iPod shuffle
Configurer iTunes pour vous laisser gérer manuellement votre iPod shuffle vous offre la
plus grande souplesse pour la gestion de votre musique et autre contenu sur l’iPod shuffle.
Vous pouvez ainsi ajouter et supprimer des morceaux, des listes de lecture, des podcasts et
des livres audio spécifiques à loisir. De même, vous pouvez ajouter de la musique et autre
contenu audio de plusieurs ordinateurs sur l’iPod shuffle, sans pour autant effacer d’élé-
ment stocké sur l’iPod shuffle.22 Chapitre 3 Configuration de l’iPod shuffle
Pour configurer iTunes afin de vous permettre la gestion manuelle du contenu audio
sur votre iPod shuffle :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur
l’onglet Résumé.
2 Dans la section Options, sélectionnez « Gérer manuellement la musique ».
3 Cliquez sur Appliquer.
Au moment de manipuler manuellement le contenu de l’iPod shuffle, vous devez toujours éjecter l’iPod shuffle d’iTunes avant de le débrancher.
Pour ajouter un morceau ou un autre élément de l’iPod shuffle :
1 Cliquez sur Musique ou sur un autre élément Bibliothèque dans iTunes.
2 Faites glisser un morceau ou un autre élément de l’iPod shuffle.
Vous pouvez également faire glisser des listes de lecture entières afin de les synchroniser avec l’iPod shuffle.Vous pouvez sélectionner plusieurs éléments et les faire tous glisser en une seule fois sur l’iPod shuffle.
Pour supprimer un morceau ou un autre élément de l’iPod shuffle :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils.
2 Sélectionnez Musique, Livres audio ou Podcasts sous la section iPod shuffle.
3 Sélectionnez un morceau ou autre élément et appuyez sur la touche Suppr ou Arrière
de votre clavier.
Pour créer une liste de lecture sur l’iPod shuffle par le biais d’iTunes :
1 Dans iTunes, dans la liste des appareils, sélectionnez iPod shuffle, puis cliquez sur
le bouton Ajouter (∂), ou choisissez Fichier > Nouvelle liste de lecture.
2 Tapez le nom de la liste de lecture.
3 Cliquez sur un élément, tel que Musique, dans la liste Bibliothèque, puis faites glisser
des morceaux ou d’autres éléments sur la liste de lecture.
Pour ajouter des morceaux ou pour en retirer d’une liste de lecture sur
l’iPod shuffle :
m Faites glisser un morceau sur une liste de lecture de l’iPod shuffle pour l’y ajouter.
Sélectionnez un morceau d’une liste de lecture et appuyez sur la touche Suppr de
votre clavier pour supprimer le morceau.
Gardez bien les points suivants à l’esprit si vous gérez manuellement votre contenu sur
l’iPod shuffle :
 Si vous apportez des modifications à une de vos listes de lecture, n’oubliez pas de
faire glisser la liste de lecture modifiée sur l’iPod shuffle lorsqu’il est connecté à iTunes.
 Si vous supprimez un morceau ou un autre élément de l’iPod shuffle, celui-ci n’est
pas pour autant supprimé de votre bibliothèque iTunes.Chapitre 3 Configuration de l’iPod shuffle 23
 Si vous configurez iTunes de sorte à gérer la musique manuellement, vous pouvez
reparamétrer l’application ultérieurement pour assurer à nouveau la synchronisation
automatiquement. Pour en savoir plus, reportez-vous à la page 20.
Remplissage automatique de l’iPod shuffle
Si vous gérez manuellement la musique, vous pouvez configurer iTunes pour synchroniser automatiquement une sélection de vos morceaux sur l’iPod shuffle lorsque vous
cliquez sur le bouton Remplissage automatique. Vous pouvez opter pour récupérer
les morceaux repris dans la totalité de la bibliothèque ou bien dans une seule liste de
lecture, ou encore définir d’autres options pour la fonction de remplissage automatique. La fonction de remplissage automatique vous offre un contrôle supérieur sur le
contenu que vous ajoutez à l’iPod shuffle par rapport à la synchronisation automatique,
et vous permet de « combler » en toute simplicité la mémoire de votre iPod shuffle
lorsque vous gérez manuellement son contenu.
Pour charger automatiquement de la musique sur l’iPod shuffle :
1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
2 Dans la liste des appareils, sous iPod shuffle, sélectionnez Musique.
3 Choisissez la liste de lecture que vous souhaitez charger automatiquement sur l’iPod
dans le menu local « Remplissage automatique ».
Pour charger automatiquement les morceaux de la totalité de votre bibliothèque,
sélectionnez Musique.
4 Cliquez sur le bouton Réglages pour sélectionner les options parmi les suivantes :
Remplacer tous les éléments lors du remplissage automatique : iTunes remplace les morceaux présents sur l’iPod shuffle par les nouveaux morceaux sélectionnés. Si cette
option n’est pas sélectionnée, les morceaux déjà synchronisés avec l’iPod shuffle y
demeurent et iTunes sélectionne d’autres morceaux pour combler l’espace encore
disponible.
Choisir les éléments aléatoirement : iTunes modifie l’ordre des morceaux au cours de leur
synchronisation avec l’iPod shuffle. Si cette option n’est pas sélectionnée, iTunes télé-
charge les morceaux dans l’ordre où ils apparaissent dans la liste de lecture sélectionnée ou dans la bibliothèque.
Favoriser les éléments les mieux cotés: iTunes charge l’iPod shuffle en donnant la préfé-
rence aux morceaux que vous avez classés le mieux (c’est-à-dire avec un nombre
d’étoiles supérieur en priorité).
5 Pour réserver de l’espace pour un usage en tant que disque, réglez le curseur afin de
définir l’espace à réserver au contenu iTunes d’une part et celui dédié aux données
d’autre part.
Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque dur, reportez-vous
à la rubrique « Utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque externe » à la page 33.24 Chapitre 3 Configuration de l’iPod shuffle
6 Cliquez sur OK dans la zone de dialogue « Réglages de remplissage auto », puis cliquez
sur Remplissage automatique dans la fenêtre d’iTunes.
Au cours de la synchronisation de la musique d’iTunes vers l’iPod shuffle, la fenêtre
d’état d’iTunes affiche sa progression. Une fois le « remplissage automatique » terminé,
le message « L’iPod est à jour » apparaît dans iTunes.
Comment faire tenir davantage de morceaux sur l’iPod shuffle
Si vous avez importé des morceaux dans iTunes dans un format au débit plus élevé,
tel que le format iTunes Plus, Apple Lossless ou WAV, vous pouvez faire en sorte
qu’iTunes convertisse automatiquement les morceaux en fichiers AAC à 128 kbps
lors de leur synchronisation vers l’iPod shuffle. Cela n’influe pas sur la qualité et sur
la durée des morceaux dans iTunes.
Remarque : les morceaux aux formats non pris en charge par l’iPod shuffle doivent obligatoirement être convertis pour pouvoir être synchronisés avec l’iPod shuffle. Pour en
savoir plus sur les formats pris en charge par l’iPod shuffle, consultez la section « Si vous
ne parvenez pas à synchroniser un morceau ou un autre élément sur l’iPod shuffle » à
la page 37.
Pour convertir des morceaux au débit plus élevé en fichiers AAC :
1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils.
3 Cliquez sur l’onglet Résumé.
4 Sélectionnez « Convertir en AAC 128 kbps les morceaux dont le débit est supérieur ».
5 Cliquez sur Appliquer.4
25
4 Écoute de musique
Après avoir configuré l’iPod shuffle, vous êtes en mesure
d’écouter des morceaux, des livres audio et des podcasts.
Lisez ce chapitre pour savoir comment utiliser votre
iPod shuffle en déplacement.
Après avoir déconnecté l’iPod shuffle de votre ordinateur, vous pouvez emporter avec
vous l’iPod shuffle en le clipsant à votre ceinture ou vos vêtements. Vous pouvez alors
continuer à écouter de la musique, un livre audio ou un podcast, tout en contrôlant la
lecture à l’aide de la télécommande attachée aux écouteurs. VoiceOver vous permet
d’entendre le nom du morceau en cours de lecture, de choisir parmi un menu vocal
récapitulant les listes de lecture ou de connaître l’état de charge de la batterie.
Lecture de musique
Vous pouvez écouter de la musique et autres contenus audio après les avoir synchronisés
au préalable sur votre iPod shuffle.
Pour écouter des morceaux et autres éléments audio avec l’iPod shuffle :
1 Branchez les écouteurs sur l’iPod shuffle et placez-les dans vos oreilles.
2 Faites glisser l’interrupteur de l’iPod shuffle de la position OFF à celle de la lecture
séquentielle (⁄) ou aléatoire (¡).
La lecture commence dès lors. Si l’iPod shuffle est allumé au moment où vous y branchez les écouteurs, la lecture ne se lance pas automatiquement. Cliquez sur le bouton
central de la télécommande ou éteignez puis rallumez l’interrupteur trois positions en
le faisant glisser, pour lancer la lecture.
Pour préserver la durée de vie de la batterie si vous n’utilisez pas l’iPod shuffle, faites
glisser l’interrupteur trois positions sur OFF (éteint).26 Chapitre 4 Écoute de musique
Si vous branchez les écouteurs, attendez que le voyant d’état vert s’éteigne avant de
cliquer sur les boutons de la télécommande. Reportez-vous au tableau qui suit pour
en savoir plus sur les commandes de lecture à travers la télécommande attachée aux
écouteurs.
Le voyant d’état de l’iPod shuffle clignote en réponse aux clics que vous effectuez sur
les boutons de la télécommande attachée aux écouteurs.
AVERTISSEMENT : avant d’utiliser les écouteurs, lisez les consignes de sécurité à la
page 41 pour savoir comment éviter la perte d’audition liée à l’usage du produit.
Pour Procédez ainsi Réponse du voyant d’état
Lancer la lecture d’un
morceau (ou autre)
Cliquez une fois sur le bouton central. Le voyant vert clignote
une fois
Mettre un morceau en
pause
Cliquez une fois sur le bouton central. Le voyant vert
clignote pendant 30 secondes
Régler le volume Cliquez sur Augmenter le volume (∂)
ou Baisser le volume (D) pour régler le
volume sonore. Un signal sonore indique chaque changement de volume lorsque l’iPod shuffle est en pause.
Le voyant vert clignote une
fois à chaque pas de volume
Le voyant orange
clignote trois fois lorsque la
limite inférieure ou supérieure
du volume est atteinte
Passer à la piste suivante
(ou au chapitre suivant
dans le cas d’un livre
audio)
Double-cliquez sur le bouton central. Le voyant vert clignote
une fois
Passer à la piste précé-
dente (ou au chapitre
précédent dans le cas
d’un livre audio)
Triple-cliquez sur le bouton central dans
les 6 premières secondes de la piste en
cours de lecture. Pour recommencer la
lecture de la piste active, triple-cliquez
une fois passé le délai des 6 premières
secondes.
Le voyant vert clignote
une fois
Avance rapide Double-cliquez et maintenez enfoncé le
bouton central.
Le voyant vert clignote
une fois
Rembobinage Triple-cliquez et maintenez le bouton
central appuyé.
Le voyant vert clignote
une fois
Entendre le titre du
morceau et le nom
des interprètes
Cliquez et maintenez le bouton central
appuyé.
Le voyant vert clignote
une foisChapitre 4 Écoute de musique 27
Réglage de l’iPod shuffle pour la lecture séquentielle ou aléatoire de
morceaux
Vous pouvez configurer l’iPod shuffle pour lire les morceaux de façon aléatoire ou selon
l’ordre dans lequel ils sont organisés dans iTunes. Un signal sonore indique chaque
changement de l’interrupteur trois positions.
Pour que l’iPod shuffle lise les morceaux dans l’ordre :
m Faites glisser l’interrupteur trois positions pour lancer la lecture séquentielle (⁄).
À l’issue de la lecture du dernier morceau, l’iPod shuffle recommence au premier morceau.
Important : si vous écoutez un livre audio ou un podcast, activez le mode de lecture
séquentielle à l’aide de l’interrupteur trois positions, de sorte que les chapitres ou
les épisodes se lisent dans l’ordre de leur enregistrement.
Pour que l’iPod shuffle lise les morceaux dans un ordre aléatoire :
m Faites glisser l’interrupteur trois positions sur le mode de lecture aléatoire (¡).
Pour réinitialiser l’ordre de lecture aléatoire des morceaux, faites glisser l’interrupteur
trois positions du mode de lecture aléatoire (¡) à celui de lecture en ordre séquentiel
(⁄), puis à nouveau sur la lecture aléatoire.
Entendre le menu des
listes de lecture
Cliquez sur le bouton central jusqu’à ce
que vous entendiez un signal sonore,
puis relâchez le bouton pour obtenir
le menu vocal de la liste de lecture.
À l’écoute du nom de la liste de lecture
voulue, cliquez sur le bouton central
pour la sélectionner. Vous pouvez cliquer sur ∂ ou sur D pour passer rapidement d’une option à l’autre dans le
menu des listes de lecture.
Le voyant vert clignote
une fois
Quitter le menu des
listes de lecture
Cliquez et maintenez le bouton central
appuyé.
Le voyant vert clignote
une fois
Pour Procédez ainsi Réponse du voyant d’état28 Chapitre 4 Écoute de musique
Utilisation de la fonctionnalité VoiceOver
L’iPod shuffle offre un contrôle supplémentaire sur vos options de lecture, en disant
à voix haute le titre des morceaux et le nom des interprètes, et vous propose l’annonce
d’un menu récapitulant vos listes de lecture parmi lesquelles effectuer vos choix.
VoiceOver vous indique également l’état de la batterie et d’autres messages. VoiceOver
est disponible dans plusieurs langues.
Pour écouter ces annonces, installez le kit VoiceOver et activez la fonctionnalité
VoiceOver dans iTunes. Vous pouvez activer VoiceOver lors de la première configuration de l’iPod shuffle ou ultérieurement.
Les options de VoiceOver se définissent dans iTunes, sous l’onglet Résumé. Les rubriques
suivantes décrivent l’activation et la personnalisation de cette fonctionnalité.
Pour activer VoiceOver au moment où vous configurez l’iPod shuffle :
1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
2 Suivez les instructions à l’écran dans iTunes. Activer VoiceOver est sélectionné par défaut.
3 Cliquez sur Continuer, puis suivez les instructions à l’écran pour télécharger et installer
le kit VoiceOver.
4 Dans l’onglet Résumé, sous la section Synthèse vocale, choisissez la langue dans
le menu local.
La langue est à présent définie pour vos messages système vocaux et le nom de vos listes de lecture, ainsi que pour de nombreux titres de morceaux et noms d’interprètes.
Remarque : pour choisir une autre langue pour des morceaux donnés, sélectionnez-les
dans iTunes, choisissez Fichier > Lire les informations, choisissez une langue pour
VoiceOver dans le menu local au niveau de l’onglet Options, puis cliquez sur OK.
5 Cliquez sur Appliquer.
Une fois la configuration terminée, VoiceOver est activé sur l’iPod shuffle.
Pour activer VoiceOver ultérieurement :
1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur
l’onglet Résumé.
3 Sous la rubrique Synthèse vocale, sélectionnez Activer VoiceOver.
4 Cliquez sur Appliquer.
5 Suivez les instructions à l’écran pour télécharger puis installer le kit VoiceOver.
6 Choisissez la langue voulue dans le menu local Synthèse vocale.
7 Cliquez sur Appliquer.
Une fois la synchronisation terminée, VoiceOver est activé.Chapitre 4 Écoute de musique 29
Pour désactiver VoiceOver :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur
l’onglet Résumé.
2 Sous Synthèse vocale, décochez la case Activer VoiceOver.
3 Cliquez sur Appliquer.
Une fois la synchronisation terminée, VoiceOver est désactivé. Vous entendrez néanmoins quelques annonces système en anglais sur l’iPod shuffle, telles que l’état de la
batterie, les messages d’erreur et le menu générique des listes de lecture numérotées.
Vous n’entendrez plus cependant le titre des morceaux et le nom des interprètes.
Annonces des morceaux
La fonctionnalité VoiceOver permet de dire le titre et le nom de l’interprète du morceau
en cours de lecture sur l’iPod shuffle. Si vous ne voulez pas entendre le titre des morceaux
et le nom des interprètes, vous avez la possibilité de désactiver VoiceOver dans iTunes
(reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la fonctionnalité VoiceOver » à la page 28).
Pour activer l’annonce du morceau en cours de lecture :
m Cliquez et maintenez le bouton central enfoncé, situé sur la télécommande.
Vous entendez alors le titre du morceau en cours de lecture et le nom de son interprète.
Si vous écoutez un livre audio, c’est alors le titre de l’ouvrage qui est dit.
VoiceOver vous permet d’accéder à un autre morceau si vous avez activé l’annonce
des morceaux.
Pour l’accès par l’annonce de morceaux :
 Si la lecture est en cours sur l’iPod shuffle, cliquez et maintenez le bouton central
enfoncé pour entendre l’annonce du morceau en cours de lecture ; double-cliquez
pour entendre l’annonce du morceau suivant ; triple-cliquez pour l’annonce du
morceau précédent.
 Si la lecture est en pause sur l’iPod shuffle, cliquez et maintenez le bouton central
enfoncé pour entendre l’annonce du morceau en cours de lectureffi ; double-cliquez
pour entendre l’annonce du morceau suivant ; triple-cliquez pour l’annonce du morceau précédent. Appuyez sur le bouton central pour écouter le morceau annoncé.
Utilisation du menu des listes de lecture
Lorsque VoiceOver est activé, vous avez le choix parmi un menu vocal pour écouter
n’importe quelle liste de lecture que vous aurez synchronisée d’iTunes, avec l’iPod shuffle.
Si des livres audio et des podcasts audio sont synchronisés sur l’iPod shuffle, leur titre est
également lu dans le menu des listes de lecture. Si VoiceOver est désactivé dans iTunes,
vous entendez alors un menu abrégé de listes de lecture numérotées, sans connaître leur
nom (en d’autres termes, « Liste de lecture 1, liste de lecture 2 », et ainsi de suite).30 Chapitre 4 Écoute de musique
Le menu des listes de lecture annonce les éléments dans l’ordre suivant :
 la liste de lecture en cours de lecture (le cas échéant) ;
 « Tous les morceaux » (liste de lecture par défaut reprenant tous les morceaux de
l’iPod shuffle) ;
 les autres listes de lecture dans leur ordre ;
 « Podcasts » (si vous choisissez cette option, vous accédez alors au premier podcast
se trouvant dans la liste ; de là, vous pouvez accéder aux autres podcasts) ;
 les livres audio (chaque titre de livre audio fait l’objet d’une annonce de liste de
lecture à part).
Pour choisir un élément dans le menu des listes de lecture :
1 Cliquez et maintenez le bouton central enfoncé, situé sur la télécommande.
2 Maintenez enfoncé le bouton après l’annonce du morceau en cours de lecture, jusqu’à
ce qu’un signal sonore retentisse.
3 Relâchez le bouton central lorsque le son se fait entendre. Le nom de vos listes de
lecture est alors émit.
Tout en écoutant le menu des listes de lecture, vous avez la possibilité de cliquer sur
le bouton Augmenter le volume (∂) ou Baisser le volume (D) pour respectivement
avancer ou reculer dans le menu des listes de lecture.
4 À l’écoute du nom de la liste de lecture voulue, cliquez sur le bouton central pour
la sélectionner. Un signal se fait entendre, puis le premier élément de votre liste de
lecture se lit.
Pour recommencer une liste de lecture, suivez ces étapes pour sélectionner la liste
de lecture voulue.
Pour fermer le menu des listes de lecture :
m Cliquez et maintenez le bouton central enfoncé, situé sur la télécommande.
Lecture de morceaux au même volume
L’intensité sonore de morceaux et autres supports audio peut varier en fonction du
moyen d’enregistrement ou du mode d’encodage audio. Vous pouvez configurer iTunes
de sorte à adapter automatiquement le volume des morceaux de façon à les lire au
même volume relatif, et pouvez configurer l’iPod shuffle de sorte à reprendre les mêmes
réglages de volume issus d’iTunes.
Pour régler iTunes de sorte que les morceaux se reproduisent au même volume :
1 Dans iTunes, sélectionnez iTunes > Préférences si vous utilisez un Mac, ou Édition >
Préférences si votre ordinateur correspond à un PC sous Windows.
2 Cliquez sur Lecture puis choisissez Égaliseur de volume.Chapitre 4 Écoute de musique 31
Pour régler l’iPod shuffle de manière à ce qu’il utilise les réglages de volume d’iTunes :
1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils.
3 Cliquez sur l’onglet Résumé.
4 Sélectionnez « Activer l’Égaliseur de volume ».
5 Cliquez sur Appliquer.
Si vous n’avez pas activé l’option Égaliseur de volume dans iTunes, la configurer sur
l’iPod shuffle n’a aucun effet.
Activation du volume maximum
Vous avez la possibilité d’établir un volume maximum sur l’iPod shuffle, mais aussi de
définir un mot de passe dans iTunes afin d’empêcher toute autre personne de modifier
ce réglage.
Si vous avez mis en place un volume maximum sur l’iPod shuffle, le voyant d’état passe à
l’orange et clignote trois fois si vous essayez de monter le son au-delà de la limite établie.
Pour activer le volume maximum sur votre iPod shuffle :
1 Réglez le son sur l’iPod shuffle sur le niveau que vous souhaitez établir comme volume
maximum.
2 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
3 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur
l’onglet Résumé.
4 Sélectionnez « Limiter le volume maximum ».
5 Faites alors glisser le curseur pour définir le niveau sonore maximum.
Il faut savoir que l’emplacement initial du curseur représente le volume établi sur
l’iPod shuffle au moment où la case « Limiter le volume maximum » aura été cochée.
6 Pour qu’un mot de passe soit demandé avant de modifier ce réglage, cliquez sur
le verrou puis saisissez et confirmez par un mot de passe.
Si vous définissez un mot de passe, vous devez alors le saisir avant de modifier
le volume maximum ou de le retirer.
Remarque : le niveau sonore peut varier selon le type d’écouteurs ou de casque utilisé.32 Chapitre 4 Écoute de musique
Pour retirer le volume maximum :
1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils.
3 Cliquez sur l’onglet Résumé.
4 Désélectionnez « Limiter le volume maximum ».
Au besoin, saisissez le mot de passe.
Si vous avez oublié le mot de passe, vous avez la possibilité de restaurer l’iPod shuffle.
Consultez « Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle » à la page 39.5
33
5 Stockage de fichiers sur
l’iPod shuffle
L’iPod shuffle vous permet de transportez votre musique ainsi
que vos données.
Lisez ce chapitre pour savoir comment utiliser l’iPod shuffle en tant que disque externe.
Utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque externe
Vous pouvez utiliser l’iPod shuffle comme disque externe pour y stocker des fichiers
de données.
Pour synchroniser de la musique et autres supports audio à écouter sur l’iPod shuffle,
vous devez passer par l’application iTunes. L’iPod shuffle ne peut pas lire les fichiers
audio copiés à travers le Finder de Macintosh ou l’explorateur Windows.
Pour utiliser l’iPod shuffle comme disque externe :
1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils.
3 Cliquez sur l’onglet Résumé.
4 Dans la section Options, sélectionnez « Activer l’utilisation comme disque dur ».
Il vous sera peut-être nécessaire de faire défiler les éléments pour arriver aux réglages
concernant le disque.
5 Cliquez sur Appliquer.
Lorsque vous paramétrez iTunes pour occuper automatiquement l’espace de
l’iPod shuffle, vous avez la possibilité de réserver de l’espace dédié à un usage en tant
que disque. Consultez « Remplissage automatique de l’iPod shuffle » à la page 23.
Si vous utilisez l’iPod shuffle en tant que disque externe, l’icône de disque de
l’iPod shuffle apparaît sur le bureau dans le cas d’un ordinateur Macintosh ou
sous la lettre d’unité suivante disponible dans l’explorateur Windows dans le
cas d’un PC sous Windows.34 Chapitre 5 Stockage de fichiers sur l’iPod shuffle
Quand l’iPod shuffle est activé en tant que disque dur et que vous le branchez sur
votre ordinateur, le voyant d’état orange clignote de façon continue. Il est important
d’éjecter l’iPod shuffle dans iTunes avant de le débrancher de votre ordinateur.
Transfert de fichiers entre ordinateurs
Lorsque l’utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque dur est activée, vous pouvez
transférer des fichiers d’un ordinateur à un autre. L’iPod shuffle est formaté en FAT-32,
système pris en charge par les ordinateurs Mac et les PC sous Windows. De cette manière,
vous pouvez utiliser l’iPod shuffle pour transférer des fichiers entre ordinateurs fonctionnant sous systèmes d’exploitation différents.
Pour transférer des fichiers entre ordinateurs :
1 Après avoir activé la fonction d’utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque dur,
branchez-le sur l’ordinateur qui contient les fichiers que vous souhaitez copier.
Important : si l’iPod shuffle est configuré de façon à assurer sa synchronisation automatiquement, en connectant l’iPod shuffle à un autre ordinateur ou compte utilisateur,
un message vous demande si vous souhaitez effacer l’iPod shuffle et le synchroniser
avec la nouvelle bibliothèque iTunes. Cliquez sur Annuler si vous ne voulez pas effacer
ce qui se trouve sur l’iPod shuffle.
2 Faites glisser les fichiers désirés sur votre iPod shuffle à travers le système de fichiers de
l’ordinateur (le Finder sur un Mac ou l’explorateur Windows sur un PC).
3 Débranchez ensuite l’iPod shuffle puis branchez-le sur l’autre ordinateur.
Là encore, cliquez sur Annuler si vous ne voulez pas effacer ce qui se trouve sur
l’iPod shuffle.
4 Faites glisser les fichiers de l’iPod shuffle sur un des dossiers situés sur l’autre ordinateur.
Comment empêcher l’ouverture automatique d’iTunes
Il est possible d’empêcher iTunes de s’ouvrir automatiquement quand vous connectez
l’iPod shuffle à votre ordinateur.
Pour empêcher iTunes de s’ouvrir automatiquement :
1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils.
3 Cliquez sur l’onglet Résumé.
4 Dans la section Options, désélectionnez « Ouvrir iTunes à la connexion de cet iPod ».
5 Cliquez sur Appliquer.6
35
6 Astuces et dépannage
La plupart des problèmes de l’iPod shuffle peuvent être rapidement résolus si vous suivez les conseils de ce chapitre.
Si le voyant d’état reste rouge ou si le message d’erreur vocal « Utilisez iTunes pour
restaurer » retentit
Branchez l’iPod shuffle sur votre ordinateur et procédez à sa restauration dans iTunes.
Consultez « Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle » à la page 39.
Si l’iPod shuffle ne s’allume ou ne répond pas
 Branchez l’iPod shuffle sur un port USB 2.0 à haut rendement sur votre ordinateur.
Il se peut que la batterie de votre iPod shuffle ait à être rechargée.
 Éteignez l’iPod shuffle, attendez 10 secondes puis rallumez-le.
 Il est possible que le logiciel de l’iPod shuffle ait besoin d’être restauré. Consultez
« Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle » à la page 39.
Les 5 R : Réinitialiser, Réessayer, Redémarrer, Réinstaller, Restaurer
Souvenez-vous de ces conseils élémentaires si un problème survient avec l’iPod shuffle.
Essayez de réaliser ces opérations l’une après l’autre jusqu’à ce que le problème soit
résolu. Si l’une des suggestions suivantes ne permet pas de résoudre le problème,
continuez à lire et consultez les solutions aux problèmes spécifiques.
 Réinitialisez l’iPod shuffle en l’éteignant, en attendant 10 secondes, puis en le rallumant.
 Réessayez sur un autre port USB 2.0 si l’iPod shuffle n’apparaît pas dans iTunes.
 Redémarrez votre ordinateur et assurez-vous que les mises à jour de logiciels les plus
récentes sont installées.
 Réinstallez le logiciel d’iTunes à partir de la dernière version disponible sur le web.
 Restaurez l’iPod shuffle. Consultez « Mise à jour et restauration du logiciel de
l’iPod shuffle » à la page 39.36 Chapitre 6 Astuces et dépannage
Si l’iPod shuffle ne lit pas de musique
 L’iPod shuffle peut ne pas inclure de musique. Si le message vocal « Utilisez iTunes
pour restaurer » se fait entendre, branchez l’iPod shuffle sur votre ordinateur pour y
synchroniser de la musique.
 Faites glisser l’interrupteur trois positions sur OFF, puis rallumez le dispositif.
 Assurez-vous que le connecteur du casque ou des écouteurs est complètement
enfoncée dans la prise casque.
 Assurez-vous que le volume est correctement réglé. Il est possible qu’un niveau de
volume maximum ait été mis en place. Consultez « Activation du volume maximum »
à la page 31.
 Il se peut que l’iPod shuffle soit en pause. Réessayez en cliquant sur le bouton central
situé sur la télécommande des écouteurs.
Si rien ne se produit lorsque vous branchez l’iPod shuffle sur votre ordinateur
 Branchez l’iPod shuffle sur un port USB 2.0 à haut rendement sur votre ordinateur.
La batterie de votre iPod shuffle peut avoir besoin d’être rechargée.
 Assurez-vous que vous avez installé la dernière version d’iTunes disponible à l’adresse
www.apple.com/fr/ipod/start.
 Réessayez en branchant le câble USB sur un autre port USB 2.0 de votre ordinateur.
Assurez-vous que le câble USB est bien enfiché sur l’iPod shuffle et correctement relié
à l’ordinateur. Vérifiez que le connecteur USB est orienté correctement. Il ne peut être
inséré que dans un sens.
 L’iPod shuffle a peut-être besoin d’être réinitialisé. Éteignez l’iPod shuffle, attendez
10 secondes puis rallumez-le.
 Si l’iPod shuffle n’apparaît pas dans iTunes ou dans le Finder, il se peut que batterie
soit complètement déchargée. Laissez l’iPod shuffle se recharger pendant plusieurs
minutes pour voir si cela lui permet de se réactiver.
 Assurez-vous que vous disposez de l’ordinateur et du logiciel requis. Consultez
« Si vous souhaitez revérifier la configuration requise » à la page 38.
 Essayez de redémarrer votre ordinateur.
 Il est possible que vous deviez restaurer le logiciel de l’iPod. Consultez « Mise à jour
et restauration du logiciel de l’iPod shuffle » à la page 39.
 L’iPod shuffle a peut-être besoin d’une réparation. Vous pouvez obtenir des services
en consultant le site web de service et d’assistance de l’iPod shuffle à l’adresse
www.apple.com/fr/support/ipodshuffle/service.Chapitre 6 Astuces et dépannage 37
Si vous ne parvenez pas à synchroniser un morceau ou un autre élément sur
l’iPod shuffle
Le morceau peut être encodé dans un format que l’iPod shuffle ne prend pas en charge.
Les formats de fichiers audio suivants sont pris en charge par l’iPod shuffle. Ils comprennent les formats des livres audio et des podcasts :
 AAC (M4A, M4B, M4P) (jusqu’à 320 kbps)
 Apple Lossless (format compressé haute qualité)
 MP3 (jusqu’à 320 kbps)
 MP3 Variable Bit Rate (VBR)
 WAV
 AA (texte lu audible.com, formats 2, 3 et 4)
 AIFF
Un morceau encodé au format Apple Lossless présente une qualité sonore très proche
de celle d’un CD tout en occupant deux fois moins d’espace qu’un morceau encodé au
format AIFF ou WAV. Le même morceau encodé au format AAC ou MP3 utilise encore
moins de place. Quand vous importez de la musique depuis un CD à l’aide d’iTunes,
elle est convertie par défaut au format AAC.
Vous pouvez configurer l’iPod shuffle pour qu’il convertisse automatiquement les fichiers
encodés à un débit plus élevé en fichiers AAC de 128 kbps au cours de leur synchronisation avec l’iPod shuffle. Consultez « Comment faire tenir davantage de morceaux sur
l’iPod shuffle » à la page 24.
Si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non protégés en fichiers AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une collection de
musique encodée au format WMA.
L’iPod shuffle ne prend pas en charge les fichiers audio WMA, MPEG Layer 1, MPEG
Layer 2 et le format 1 d’audible.com.
Si vous possédez dans iTunes un morceau qui n’est pas pris en charge par l’iPod shuffle,
vous pouvez le convertir en un format que l’iPod shuffle prend en charge. Pour en
savoir plus, consultez l’Aide iTunes.
Si vos podcasts ou vos livres audio ne se lisent pas correctement
 Assurez-vous que l’interrupteur trois positions de l’iPod shuffle est réglé sur le mode
de lecture séquentiel (⁄). Si une liste de lecture inclut des pistes mixtes (par exemple, des morceaux, des podcasts et des livres audio), les livres audio et les podcasts
ne peuvent pas se lire si l’iPod shuffle est en mode de lecture aléatoire (¡).
 Si les chapitres d’un livre audio n’ont pas été ajoutés à l’iPod shuffle dans l’ordre, branchez l’iPod shuffle à votre ordinateur puis réorganisez les pistes par le biais d’iTunes. 38 Chapitre 6 Astuces et dépannage
Si vous souhaitez revérifier la configuration requise
Pour utiliser l’iPod shuffle, vous devez disposer des éléments suivants :
 Une des configurations informatiques suivantes :
 Un ordinateur Macintosh doté d’un port USB 2.0
 Un PC sous Windows doté d’un port USB 2.0 ou d’une carte USB 2.0
 Un des systèmes d’exploitation suivants : Mac OS X 10.4.11 ou ultérieur, Windows Vista
ou Windows XP Édition Familiale ou Professionnel avec Service Pack Service Pack 3
ou ultérieur
 Un accès à Internet (une connexion à haut débit est recommandée)
 iTunes 8.1 ou ultérieur (vous pouvez télécharger iTunes depuis l’adresse
www.apple.com/fr/ipod/start)
Si votre PC sous Windows n’est pas doté de port USB 2.0 à haut rendement, vous pouvez
acheter et mettre en place une carte d’extension USB 2.0.
Si vous souhaitez utiliser l’iPod shuffle avec un Mac et un PC sous Windows
Si votre iPod shuffle est configuré de sorte à vous laisser gérer manuellement la musique, vous avez la possibilité d’y ajouter du contenu à partir de plusieurs bibliothèques
iTunes, indépendamment du système d’exploitation de l’ordinateur. Si votre iPod shuffle
est configuré de façon à assurer sa synchronisation automatiquement, en connectant
l’iPod shuffle à un autre ordinateur ou compte utilisateur, un message vous demande
si vous souhaitez effacer l’iPod shuffle et le synchroniser avec la nouvelle bibliothèque
iTunes. Si vous voulez conserver le contenu audio sur l’iPod shuffle, cliquez sur Annuler.
Il est possible d’utiliser l’iPod shuffle comme disque externe aussi bien avec un ordinateur Macintosh qu’avec un PC sous Windows, ce qui vous permet de transférer des
fichiers d’un système d’exploitation à l’autre. Consultez le chapitre 5, « Stockage de
fichiers sur l’iPod shuffle », à la page 33.
Port USB 2.0 à haut rendementChapitre 6 Astuces et dépannage 39
Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle
Vous pouvez utiliser iTunes pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de l’iPod shuffle.
Il est recommandé de mettre à jour l’iPod shuffle et d’utiliser le logiciel le plus récent.
Vous pouvez également restaurer le logiciel et rétablir ainsi l’iPod shuffle à son état
d’origine.
 Si vous optez pour la mise à jour, le logiciel conserve vos réglages, vos morceaux et
toute autre donnée.
 Si vous choisissez de restaurer, toutes les données sont effacées de l’iPod shuffle,
y compris les morceaux et toutes les autres données. Tous les réglages d’origine
de l’iPod shuffle seront rétablis.
Pour mettre à jour ou restaurer l’iPod shuffle :
1 Assurez-vous que vous disposez d’une connexion à Internet et que vous avez installé
la dernière version d’iTunes disponible sur www.apple.com/fr/ipod/start.
2 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur.
3 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur
l’onglet Résumé.
La section Version indique si l’iPod shuffle est à jour ou nécessite une version plus
récente du logiciel.
4 Procédez de l’une des manières suivantes :
 Pour installer la toute dernière version du logiciel, cliquez sur Mettre à jour.
 Pour restaurer l’iPod shuffle et rétablir ses réglages d’origine, cliquez sur Restaurer.
Cette opération efface toutes les données de l’iPod shuffle. Suivez les instructions
à l’écran pour terminer la restauration.7
40
7 Sécurité et manipulation
Ce chapitre contient des informations importantes sur
la sécurité et la manipulation de l’iPod shuffle.
Conservez ce Guide de l’utilisateur de l’iPod shuffle à portée de main pour pouvoir
vous y reporter facilement.
Informations importantes relatives à la sécurité
Manipulation de l’iPod shuffle L’iPod shuffle est un appareil fragile : ne le laissez pas
tomber, ne le démontez, l’ouvrez, l’écrasez, le tordez, le déformez, le percez, le broyez
ou ne le peignez pas. Ne le mettez pas dans un four à micro-ondes ou au feu et ne lui
insérez pas d’objets étrangers.
Utilisation près de l’eau et dans des endroits humides N’utilisez pas l’iPod shuffle sous la
pluie ou à proximité d’un lavabo ou de tout autre endroit humide. Veillez à ne pas renverser d’aliments ou de liquides sur l’iPod shuffle. Si l’iPod shuffle venait à être en contact avec
de l’humidité, débranchez tous les câbles, puis éteignez l’iPod shuffle (en faisant glisser
l’interrupteur trois positions sur OFF) avant de procéder au nettoyage. Laissez-le ensuite
sécher complètement avant de le rallumer. N’essayez pas de sécher l’iPod shuffle à l’aide
d’une source de chaleur externe, telle qu’un four à micro-ondes ou un sèche-cheveux.
± Pour éviter toute blessure, lisez toutes les informations relatives à la sécurité
exposées ci-dessous, ainsi que le mode d’emploi, avant d’utiliser l’iPod shuffle.
AVERTISSEMENT : ne pas suivre les présentes instructions en matière de sécurité peut
provoquer un départ de feu, une électrocution ou toute autre blessure ou tout autre
dommage.Chapitre 7 Sécurité et manipulation 41
Réparation de l’iPod shuffle N’essayez jamais de réparer ou de faire évoluer
l’iPod shuffle vous-même. L’iPod shuffle ne contient aucune pièce démontable par l’utilisateur. Si l’iPod shuffle a été immergé, perforé ou sujet à une chute, ne l’utilisez pas tant
que vous ne l’avez pas fait examiner par un fournisseur de services agréé Apple. Pour
des informations sur le service, choisissez Aide iPod dans le menu Aide d’iTunes ou allez
sur www.apple.com/fr/support/ipod/service. La batterie rechargeable de l’iPod shuffle
ne doit être remplacée que par un fournisseur de service agréé Apple. Pour plus d’informations sur les batteries, rendez-vous à l’adresse www.apple.com/fr/batteries.
Utilisation de l’adaptateur secteur USB Apple (vendu séparément) Si vous utilisez l’adaptateur secteur USB Apple (vendu séparément à l’adresse www.apple.com/fr/ipodstore)
pour recharger l’iPod shuffle, assurez-vous que l’adaptateur secteur est en une seule pièce
avant de le brancher sur une prise de courant. Insérez ensuite fermement l’adaptateur dans
la prise de courant. Ne branchez ou ne débranchez pas l’adaptateur en ayant les mains
mouillées. N’utilisez aucun adaptateur secteur autre que celui d’Apple pour recharger votre
iPod shuffle.
Il se peut que l’adaptateur secteur USB Apple chauffe dans des conditions d’usage
normal. Laissez toujours un espace adéquat pour assurer la circulation de l’air autour
de l’adaptateur secteur USB Apple et manipulez-le avec soin.
Débranchez l’adaptateur secteur USB Apple si l’une des conditions suivantes se
présente :
 Le câble d’alimentation ou la prise est effiloché ou endommagé.
 L’adaptateur est exposé à la pluie, à des liquides ou à une humidité excessive.
 Le boîtier de l’adaptateur est endommagé.
 Vous pensez que l’adaptateur doit être réparé.
 Vous voulez nettoyer l’adaptateur.
Prévention de la diminution de l’acuité auditive Vous risquez une perte d’audition
irréparable si vous utilisez un casque ou des écouteurs à volume sonore élevé. Réglez le
volume à un niveau raisonnable. Vous pouvez vous habituer petit à petit à un volume
de son plus élevé qui peut vous paraître normal mais entraîner une détérioration de
votre audition. Si vos oreilles bourdonnent ou si les sons vous semblent sourds, arrêtez
l’écoute et rendez-vous chez votre médecin pour vérifier votre audition. Plus le volume
est élevé, plus vous risquez d’abîmer rapidement votre audition. Les spécialistes de
l’audition suggèrent de protéger votre audition de la façon suivante :
 Évitez au maximum d’écouter de la musique via des écouteurs ou un casque à un
volume élevé.
 Évitez de monter le son pour filtrer les bruits extérieurs.
 Baissez le son si vous n’entendez pas ce que disent les gens à côté de vous.
Pour en savoir plus sur la manière de définir un volume maximum sur l’iPod shuffle,
reportez-vous à la rubrique « Activation du volume maximum » à la page 31.42 Chapitre 7 Sécurité et manipulation
Déclaration de Conformité Utiliser cet iPod avec les écouteurs inclus ou les écouteurs
actuellement commercialisés sous la marque Apple, sous la marque iPod ou revêtus du
logo Apple permet d’assurer le respect de la puissance sonore maximale fixée par l’article L 5232-1 du Code de la Santé Publique français.
Pour en savoir plus sur l’écoute sans risque, consultez les directives de sécurité dans la
documentation de l’iPod.
Conduite prudente N’utilisez pas l’iPod shuffle seul ou avec ses écouteurs (même sur
une seule oreille) pendant la conduite d’un véhicule ; ce comportement est fortement
déconseillé, voire illégal aux yeux de certaines lois locales. Soyez prudent et attentif au
volant. Cessez d’utiliser l’iPod shuffle si vous vous rendez compte que cela vous distrait
ou vous dérange lorsque vous conduisez ou lorsque vous réalisez toute autre activité
nécessitant toute votre attention.
Informations importantes sur la manipulation
Transport de l’iPod shuffle Les composants de l’iPod shuffle sont délicats. Ne tordez,
n’écrasez ni ne laissez pas tomber l’iPod shuffle.
Utilisation des connecteurs et des ports Ne forcez jamais un connecteur à entrer
dans un port. Vérifiez que rien ne bloque l’entrée au port. Si le connecteur et le port ne
s’assemblent pas facilement, c’est probablement parce qu’ils ne sont pas compatibles.
Assurez-vous que le connecteur est compatible avec le port et que vous l’avez positionné correctement par rapport à ce dernier.
Conservation de l’iPod shuffle à température normale Utilisez toujours l’iPod shuffle
dans des endroits où la température se situe entre 0º et 35º C. Sous de faibles températures, l’autonomie de l’iPod shuffle peut diminuer temporairement.
Rangez l’iPod shuffle dans un endroit où la température est toujours comprise entre
-20º et 45˚ C. La température dans les voitures en stationnement pouvant dépasser
cette fourchette, ne laissez pas l’iPod shuffle dans votre voiture.
Lorsque vous utilisez l’iPod shuffle ou rechargez sa batterie, il est normal que l’iPod shuffle
chauffe. L’extérieur de l’iPod shuffle sert en effet de surface de refroidissement et transfère la chaleur de l’intérieur de l’appareil vers l’extérieur, où l’air est moins chaud.
A pleine puissance, l’écoute prolongée du baladeur peut endommager
l’oreille de l’utilisateur.
AVIS : ne pas suivre les présentes instructions sur la manipulation peut provoquer des
dommages à l’iPod shuffle ou à d’autres objets.8
43
8 En savoir plus, réparation
et assistance
Vous trouverez plus d’informations sur l’utilisation de
l’iPod shuffle dans l’aide à l’écran et sur le web.
Le tableau suivant décrit à quel endroit trouver des informations sur les services et
les logiciels de l’iPod.
Pour en savoir plus sur : procédez ainsi :
Les services et l’assistance,
les forums de discussion,
les guides d’initiation et
les téléchargements de
logiciels Apple
Allez sur www.apple.com/fr/support/ipodshuffle
L’utilisation d’iTunes Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Pour obtenir le guide
d’initiation d’iTunes en ligne (uniquement disponible dans certains
pays), rendez-vous à l’adresse : www.apple.com/fr/itunes/tutorials
Les toutes dernières informations sur l’iPod shuffle
Allez sur www.apple.com/fr/ipodshuffle
L’enregistrement de
l’iPod shuffle
Pour enregistrer l’iPod shuffle, installez iTunes sur votre ordinateur
et branchez-y l’iPod shuffle.
L’emplacement du numéro
de série de l’iPod shuffle
Regardez sous l’attache de l’iPod shuffle ou bien sélectionnez
l’iPod shuffle dans la liste des appareils dans iTunes (lorsque
l’iPod shuffle est relié à l’ordinateur) et cliquez sur l’onglet Résumé.
Les services assurés dans
le cadre de la garantie
Suivez d’abord les conseils qui figurent dans le présent fascicule,
l’aide à l’écran et les ressources en ligne, puis allez sur
www.apple.com/fr/support/ipodshuffle/service44
Regulatory Compliance Information
FCC Compliance Statement
This device complies with part 15 of the FCC rules.
Operation is subject to the following two conditions:
(1) This device may not cause harmful interference,
and (2) this device must accept any interference
received, including interference that may cause
undesired operation. See instructions if interference
to radio or television reception is suspected.
Radio and Television Interference
This computer equipment generates, uses, and can
radiate radio-frequency energy. If it is not installed
and used properly—that is, in strict accordance with
Apple’s instructions—it may cause interference with
radio and television reception.
This equipment has been tested and found to
comply with the limits for a Class B digital device in
accordance with the specifications in Part 15 of FCC
rules. These specifications are designed to provide
reasonable protection against such interference in a
residential installation. However, there is no
guarantee that interference will not occur in a
particular installation.
You can determine whether your computer system is
causing interference by turning it off. If the
interference stops, it was probably caused by the
computer or one of the peripheral devices.
If your computer system does cause interference to
radio or television reception, try to correct the
interference by using one or more of the following
measures:
 Turn the television or radio antenna until the
interference stops.
 Move the computer to one side or the other of the
television or radio.
 Move the computer farther away from the
television or radio.
 Plug the computer into an outlet that is on a
different circuit from the television or radio. (That
is, make certain the computer and the television or
radio are on circuits controlled by different circuit
breakers or fuses.)
If necessary, consult an Apple-authorized service
provider or Apple. See the service and support
information that came with your Apple product. Or,
consult an experienced radio/television technician
for additional suggestions.
Important: Changes or modifications to this product
not authorized by Apple Inc. could void the EMC
compliance and negate your authority to operate
the product.
This product was tested for EMC compliance under
conditions that included the use of Apple peripheral
devices and Apple shielded cables and connectors
between system components.
It is important that you use Apple peripheral devices
and shielded cables and connectors between system
components to reduce the possibility of causing
interference to radios, television sets, and other
electronic devices. You can obtain Apple peripheral
devices and the proper shielded cables and
connectors through an Apple Authorized Reseller.
For non-Apple peripheral devices, contact the
manufacturer or dealer for assistance.
Responsible party (contact for FCC matters only):
Apple Inc. Corporate Compliance
1 Infinite Loop, MS 26-A
Cupertino, CA 95014-2084
Industry Canada Statement
This Class B device meets all requirements of the
Canadian interference-causing equipment
regulations.
Cet appareil numérique de la classe B respecte
toutes les exigences du Règlement sur le matériel
brouilleur du Canada.
VCCI Class B Statement
Korea Class B Statement 45
Russia
Communauté Européenne
Conforme aux directives européennes 2006/95/EEC
et 89/336/EEC.
Informations sur l’élimination et le recyclage
Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous
débarrasser de votre produit selon les normes et la
législation de votre pays. Lorsque votre produit n’est
plus utilisable, contactez Apple ou les autorités
locales afin de connaître les possibilités de recyclage.
Pour en savoir plus sur le programme
de recyclage d’Apple, consultez le site
www.apple.com/fr/environment/recycling.
Remplacement de la batterie
La batterie rechargeable de l’iPod shuffle ne doit
être remplacée que par un fournisseur de service
agréé. Pour retrouver toutes les informations
relatives aux services de remplacement de
batterie, rendez-vous à l’adresse :
www.apple.com/fr/batteries/replacements.html
Informations concernant l’élimination de
la batterie
Votre iPod shuffle contient une batterie. Jetez
votre iPod shuffle en conformité avec les lois et
dispositions légales environnementales de votre
pays ou région.
Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte
nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses
Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend
der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen.
China:
Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden
ingeleverd bij de chemokar of in een speciale
batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca)
worden gedeponeerd.
Taiwan:
Union Européenne-informations sur l’élimination :
Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous
débarrasser de votre produit sans le mélanger avec
les ordures ménagères, selon les normes et la
législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est
plus utilisable, portez-le dans un centre de
traitement des déchets agréé par les autorités
locales. Certains centres acceptent les produits
gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de
votre produit lors de son élimination aideront à
préserver les ressources naturelles et à protéger
l’environnement et la santé des êtres humains.
Apple et l’environnement
Chez Apple, nous sommes conscients de la
responsabilité qui nous incombe de réduire les
impacts écologiques de nos activités et de nos
produits.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site :
www.apple.com/fr/environment.
© 2009 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, iPod,
iTunes, Mac, Macintosh et Mac OS sont des marques d’Apple Inc.
déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder et Shuffle
sont des marques d’Apple Inc. Apple Store et iTunes Store sont des
marques de service d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans
d’autres pays. Les autres noms de produits et de sociétés peuvent
être la propriété de leurs détenteurs respectifs.
La mention de produits tierces est réservée à des fins d’information
et n’équivaut pas à une approbation ou à une recommandation. La
responsabilité d’Apple n’est pas engagée concernant les performances ou
l’utilisation de ces produits. Tous les accords ou garanties éventuels sont
directement évoqués entre le fournisseur et les éventuels utilisateurs.
Apple s’est attaché à fournir aux utilisateurs les informations les plus
justes possible dans ce manuel. Apple n’est pas responsable des erreurs
d’impression ou d’écriture.
F019-1531/07-2009
iPod classic
Guide de l’utilisateur2
2 Table des matières
Chapitre 1 4 Notions élémentaires de l’iPod classic
5 Vue d’ensemble de l’iPod classic
5 Utilisation des commandes de l’iPod classic
7 Désactivation des commandes de l’iPod classic
8 Utilisation des menus de l’iPod classic
11 Connexion et déconnexion de l’iPod classic
14 À propos de la batterie de l’iPod classic
Chapitre 2 17 Configuration de l’iPod classic
17 À propos d’iTunes
18 Configuration de votre bibliothèque iTunes
19 Ajout d’informations supplémentaires dans votre bibliothèque iTunes
21 Organisation de votre musique
22 Import de vidéos dans iTunes
23 Ajout de musique, de vidéos et d’autres contenus à l’iPod classic
24 Première connexion de l’iPod classic à un ordinateur
25 Synchronisation automatique de la musique
27 Ajout de vidéos à l’iPod classic
28 Ajout de podcasts à l’iPod classic
29 Ajout de contenu iTunes U à l’iPod classic
29 Ajout de livres audio à l’iPod classic
30 Ajout d’autre contenu à l’iPod classic
30 Gestion manuelle de l’iPod classic
Chapitre 3 33 Écoute musique
33 Lecture de musique et d’autres fichiers audio
37 Utilisation de la fonction Genius sur l’iPod classic
46 Lecture de podcasts
46 Lecture de contenu iTunes U
47 Écoute de livres audio
47 Écoute d’émissions de radio FM
Chapitre 4 48 Visionnement de vidéos
48 Visionnement de vidéos sur l’iPod classicTable des matières 3
49 Visionnement de vidéos sur un téléviseur connecté à l’iPod classic
Chapitre 5 51 Ajout et visionnement de photos
51 Importation de photos
52 Ajout de photos provenant de votre ordinateur à l’iPod classic
53 Visionnage de photos
56 Ajout de photos provenant de l’iPod classic à un ordinateur
Chapitre 6 58 Réglages et fonctionnalités supplémentaires, accessoires
58 Utilisation de l’iPod classic en tant que disque externe
59 Utilisation des réglages supplémentaires
63 Synchronisation des contacts, des calendriers et des
listes de tâches
66 Stockage et lecture de notes
66 Enregistrement de mémos vocaux
68 À propos des accessoires de l’iPod classic
Chapitre 7 70 Astuces et dépannage
70 Quelques suggestions
78 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod
Chapitre 8 79 Sécurité et entretien
79 Informations importantes relatives à la sécurité
81 Informations importantes sur le maniement
Chapitre 9 83 Informations complémentaires, service et assistance 1
4
1 Notions élémentaires de
l’iPod classic
Lisez ce chapitre pour découvrir entre autres les fonctionnalités de l’iPod classic et la manière d’utiliser ses commandes.
Pour utiliser l’iPod classic, vous devez mettre de la musique, des vidéos, des photos et
d’autres fichiers sur votre ordinateur, puis les ajouter à l’iPod classic.
L’iPod classic est un lecteur de musique et bien plus encore. Utilisez l’iPod classic pour :
 synchroniser des morceaux, des vidéos et des photos numériques pour les écouter et
les visionner partout où vous allez ;
 écouter des podcasts, des émissions audio et vidéo téléchargeables sur Internet ;
 regarder des vidéo sur votre iPod classic ou un téléviseur à l’aide d’un
câble facultatif ;
 afficher des photos sous forme de diaporama en musique sur votre iPod classic ou
un téléviseur à l’aide d’un câble facultatif ;
 écouter des livres audio achetés sur l’iTunes Store ou audible.com ;
 stocker ou sauvegarder des fichiers et d’autres données en utilisant l’iPod classic en
tant que disque externe ;
 synchroniser des contacts, calendriers et listes de tâches avec votre ordinateur ;
 jouer à des jeux, stocker des notes texte, régler une alarme et plus encore.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod classic 5
Vue d’ensemble de l’iPod classic
Apprenez à utiliser les commandes de l’iPod classic :
Utilisation des commandes de l’iPod classic
Les commandes de l’iPod classic sont faciles à trouver et à utiliser. Appuyez sur
n’importe quel bouton pour activer l’iPod classic.
Lorsque vous allumez l’iPod classic pour la première fois, vous voyez apparaître le menu
des langues. Utilisez la molette cliquable pour faire défiler la liste des langues, puis
appuyez sur le bouton central pour sélectionner la vôtre. Le menu principal apparaît
alors dans votre langue.
Utilisez la molette cliquable et le bouton central pour naviguer dans les menus à
l’écran, écouter des morceaux, modifier des réglages et afficher des informations.
Bouton de
verrouillage
(Hold)
Menu
Précédent/
Retour rapide
Lecture/Pause
Connecteur Dock
Port de sortie
casque
Molette cliquable
Suivant/
Avance rapide
Bouton central6 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod classic
Déplacez légèrement votre pouce autour de la molette cliquable pour sélectionner un
élément du menu. Pour sélectionner l’élément, appuyez sur le bouton central.
Pour revenir au menu précédent, cliquez sur le bouton Menu de la molette cliquable.
Voici ce que vous pouvez faire avec les commandes de l’iPod classic.
Pour Procédez comme suit :
Allumer l’iPod classic Appuyez sur un bouton quelconque.
Éteindre l’iPod classic Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’).
Activer le rétro-éclairage Appuyez sur un bouton quelconque ou utilisez la molette
cliquable.
Désactiver les commandes de
l’iPod classic
(pour ne pas les activer par mégarde)
Faites glisser le bouton de verrouillage en position HOLD
(une barre orange apparaît).
Réinitialiser l’iPod classic
(s’il ne répond pas)
Faites glisser le bouton de verrouillage en position HOLD,
puis replacez-le en position normale. Appuyez simultané-
ment sur le bouton central et Menu pendant environ 6
secondes jusqu’à l’apparition du logo Apple.
Choisir un élément du menu Utilisez la molette cliquable pour faire défiler les éléments
du menu, puis appuyez sur le bouton central pour sélectionner l’élément désiré.
Revenir au menu précédent Appuyez sur Menu.
Aller directement au menu principal Maintenez enfoncé le bouton Menu.
Accès à des options supplémentaires Maintenez enfoncé le bouton central jusqu’à ce qu’un menu
apparaisse.
Rechercher un morceau Dans le menu principal, sélectionnez Musique.
Rechercher une vidéo Dans le menu principal, choisissez Musique.
Lire un morceau ou une vidéo Sélectionnez le morceau ou la vidéo souhaité, puis appuyez
sur le bouton central ou sur Lecture/Pause (’).
L’iPod classic doit être éjecté de votre ordinateur pour lire
des morceaux et des vidéos.
Suspendre la lecture d’un morceau ou
d’une vidéo
Appuyez sur Lecture/Pause (’) ou débranchez vos
écouteurs.
Régler le volume Dans l’écran En lecture, servez-vous de la molette cliquable.
Lire tous les morceaux d’une liste de
lecture ou d’un album
Sélectionnez la liste de lecture ou l’album souhaité, puis
appuyez sur le bouton Lecture/Pause (’).
Lire tous les morceaux dans un
ordre aléatoire
Sélectionnez l’option Mix de morceaux dans le menu principal. Vous pouvez aussi lire les morceaux dans un ordre aléatoire à partir de l’écran En lecture.
Sauter directement à un endroit pré-
cis d’un morceau ou d’une vidéo
Dans l’écran En lecture, appuyez sur le bouton central pour
afficher le défileur (la tête de lecture indique l’emplacement actuel), puis déplacer la tête de lecture à l’endroit souhaité dans le morceau ou la vidéo.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod classic 7
Désactivation des commandes de l’iPod classic
Grâce au bouton de verrouillage, vous pouvez éviter d’activer l’iPod classic ou des commandes sans le vouloir.
Passer au morceau ou chapitre de livre
audio ou de podcast suivant
Appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘).
Recommencer la lecture d’un morceau ou d’une vidéo
Appuyez sur Précédent/Retour rapide (]).
Avance rapide ou rembobinage d’un
morceau ou d’une vidéo
Maintenez enfoncé Suivant/Avance rapide (‘) ou Précé-
dent/Retour rapide (]).
Ajouter un morceau à la liste de lecture On-The-Go
Lisez ou sélectionnez un morceau, puis maintenez enfoncé
le bouton central jusqu’à ce qu’un menu apparaisse. Sélectionnez « Ajouter à On-the-Go », puis appuyez sur le bouton central.
Lire le morceau ou le chapitre de livre
audio ou de podcast précédent
Appuyez deux fois sur Précédent/Retour rapide (]).
Créer une liste de lecture Genius Lisez ou sélectionnez un morceau, puis maintenez enfoncé
le bouton central jusqu’à ce qu’un menu apparaisse. Choisissez Démarrer Genius, puis appuyez sur le bouton central
(Démarrer Genius apparaît dans l’écran En lecture uniquement si des données Genius existent pour le morceau sélectionné).
Enregistrer une liste de lecture Genius Créez une liste de lecture Genius, sélectionnez Enregistrer la
liste, puis appuyez sur le bouton central.
Lire une liste de lecture Genius
enregistrée
Dans le menu Liste de lecture, sélectionnez une liste de lecture Genius, puis appuyez sur Lecture/Pause (’).
Lire un mix Genius Dans le menu Musique, choisissez Listes Genius. Sélectionnez un mix, puis appuyez sur Lecture/Pause (’).
Rechercher le numéro de série de
l’iPod classic
Dans le menu principal, choisissez Réglages > Informations,
puis appuyez sur le bouton central jusqu’à obtenir le
numéro de série ou regardez au dos de l’iPod classic.
Pour Procédez comme suit :8 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod classic
Pour désactiver les commandes de l’iPod classic :
m Faites glisser le bouton de verrouillage en position HOLD (une barre orange apparaît).
Si vous désactivez les commandes alors que vous utilisez l’iPod classic, la reproduction
du morceau, de la liste de lecture, du podcast ou de la vidéo en cours se poursuit.
Pour arrêter ou interrompre la lecture, faites glisser le bouton Hold afin de réactiver
les commandes.
Utilisation des menus de l’iPod classic
Lorsque vous allumez l’iPod classic, vous voyez apparaître le menu principal. Sélectionnez des éléments du menu pour effectuer des actions ou accéder à d’autres menus. Les
icônes du haut de l’écran indiquent l’état de l’iPod classic.
Élément affiché Fonction
Intitulé du menu Affiche l’intitulé du menu actuel.
Icône de verrouillage L’icône de verrouillage (le cadenas) s’affiche lorsque le bouton de
verrouillage est en position HOLD. Cela indique que les commandes de l’iPod classic sont désactivées.
Intitulé du menu
Éléments de menu
Icône de la batterie
Icône de lecture
Icône de verrouillageChapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod classic 9
Ajout ou suppression d’éléments dans le menu principal
Il se peut que vous souhaitiez ajouter les éléments que vous utilisez le plus
fréquemment au menu principal de l’iPod classic. Par exemple, vous pouvez ajouter
un élément Morceaux au menu principal pour ne pas devoir choisir Musique avant de
choisir Morceaux.
Pour ajouter ou supprimer des éléments dans le menu principal :
1 Choisissez Réglages > Menu principal.
2 Choisissez les différents éléments qui doivent apparaître dans le menu principal.
Une coche identifie les éléments qui ont été ajoutés.
Icône de lecture L’icône Lecture («) apparaît lorsqu’un morceau, une vidéo
ou tout autre élément est en cours de lecture. L’icône Pause (1)
apparaît lorsque la lecture de l’élément est interrompue
temporairement.
Icône de la batterie L’icône de la batterie indique la charge restante approximative.
Éléments de menu Utilisez la molette cliquable pour faire défiler les éléments de
menu. Appuyez sur le bouton central pour sélectionner un élé-
ment. Une flèche en regard d’un élément de menu indique qu’en
le sélectionnant vous accédez à un autre menu ou écran.
Élément affiché Fonction10 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod classic
Réglage de la langue
L’iPod classic peut être utilisé dans différentes langues.
Pour sélectionner la langue :
m Choisissez Réglages > Langue, puis sélectionnez une langue.
Réglage de la minuterie du rétroéclairage
Vous pouvez configurer l’activation du rétroéclairage afin que l’écran s’illumine pendant une durée déterminée lorsque vous cliquez sur un bouton ou utilisez la molette
cliquable. Cette durée est configurée par défaut sur 10 secondes.
Pour configurer la minuterie du rétro-éclairage :
m Sélectionnez Réglages > Rétroéclairage, puis choisissez la durée de rétroéclairage.
Sélectionnez « Toujours activé » pour éviter que le rétroéclairage s’éteigne (cette
option diminue les performances de la batterie).
Réglage de la luminosité de l’écran
Vous pouvez régler la luminosité de l’écran de votre iPod classic.
Pour définir la luminosité de l’écran :
m Choisissez Réglages > Luminosité, puis utilisez la molette cliquable ajuster
la luminosité.
Vous pouvez également régler la luminosité au cours d’un diaporama ou d’une vidéo.
Appuyez sur le bouton central jusqu’à ce que le curseur de luminosité apparaisse, puis
utilisez la molette cliquable pour régler la luminosité.
Remarque : Votre réglage de la luminosité peut avoir une incidence sur les performances de la batterie.
Désactivation du son de la molette cliquable
Lorsque vous faites défiler les éléments de menu, le haut-parleur interne de
l’iPod classic émet de petits cliquetis égalements audibles dans vos écouteurs ou votre
casque. Si vous le souhaitez, vous pouvez désactiver le son de la molette cliquable.
Pour désactiver le son de la molette cliquable :
m Choisissez Réglages et réglez le cliqueur sur Non.
Pour réactiver le son de la molette cliquable, réglez le cliqueur sur Oui.
Défilement rapide dans une longue liste
Vous pouvez faire défiler rapidement une longue liste de morceaux, de vidéos ou
d’autres éléments en déplaçant rapidement votre pouce sur la molette cliquable.
Remarque : Toutes les langues ne sont pas prises en charge.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod classic 11
Pour défiler rapidement parmi la liste :
1 Déplacez rapidement votre pouce sur la molette cliquable afin d’afficher à l’écran une
lettre de l’alphabet.
2 Utilisez la molette cliquable pour naviguer dans l’alphabet jusqu’à trouver la première
lettre de l’élément que vous cherchez.
Les éléments commençant par un symbole ou un numéro apparaissent après la
lettre « Z ».
3 Levez temporairement votre pouce pour revenir à un défilement normal.
4 Utilisez la molette cliquable pour atteindre l’élément souhaité.
Obtention d’information sur l’iPod classic
Vous pouvez obtenir des informations sur votre iPod classic, comme l’espace disponible, le nombre de morceaux, de vidéos, de photos et d’autres éléments qu’il contient,
ainsi que le numéro de série, le modèle et la version du logiciel.
Pour obtenir des informations sur l’iPod classic :
m Choisissez Réglages > Informations, puis appuyez sur le bouton central pour faire défiler tous les écrans d’information.
Réinitialisation de tous les réglages
Vous pouvez rétablir les valeurs par défaut de tous les éléments du menu Réglages.
Pour ce faire :
m Choisissez Réglages > Réinitialiser réglages, puis Réinitialiser.
Connexion et déconnexion de l’iPod classic
Connectez l’iPod classic à votre ordinateur pour ajouter de la musique, des vidéos, des
photos et des fichiers, ainsi que pour recharger sa batterie. Déconnectez l’iPod classic
une fois que vous avez fini.
Connexion de l’iPod classic
Pour connecter l’iPod classic à votre ordinateur :
m Branchez le câble iPod Dock Connector vers USB qui vous a été fourni sur un port USB
2.0 de votre ordinateur, puis connectez l’autre extrémité à l’iPod classic.
Si vous disposez d’une station d’accueil iPod, vous pouvez connecter le câble à un port
USB 2.0 de votre ordinateur, connecter l’autre extrémité à la station d’accueil, puis placer l’iPod classic sur celle-ci.12 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod classic
Remarque : Le port USB de la majorité des claviers ne fournit pas une alimentation suffisante pour recharger l’ iPod classic.Connectez l’iPod classic à un port USB 2.0 de votre
ordinateur sauf si votre clavier dispose d’un port USB 2.0 suffisamment alimenté.
Par défaut, iTunes synchronise automatiquement les morceaux avec votre iPod classic
lorsque vous connectez ce dernier à l’ordinateur. Lorsqu’iTunes a terminé, vous pouvez
alors déconnecter l’iPod classic. Vous pouvez synchroniser des morceaux pendant que
la batterie se recharge.
Si vous connectez l’iPod classic à un autre ordinateur et qu’il est configuré de manière à
synchroniser automatiquement la musique, iTunes vous demande avant de synchroniser de la musique si vous voulez effectuer une synchronisation. Si vous cliquez sur Oui,
les morceaux et autres fichier audio qui se trouvent déjà sur l’iPod classic sont effacés
et remplacés par des morceaux et autres fichiers qui se trouvent sur l’ordinateur auquel
l’iPod classic est connecté. Pour en savoir plus sur l’ajout de musique à l’iPod classic et
sur l’utilisation de l’iPod classic avec plus d’un ordinateur, consultez le chapitre 3,
« Écoute musique, » à la page 33.
Déconnexion de l’iPod classic
Il est important de ne pas débrancher l’iPod classic lorsqu’il est en cours de synchronisation. Vous pouvez facilement voir si vous pouvez déconnecter l’iPod classic sur l’écran
de l’iPod classic. Ne déconnecter pas votre iPod classic si vous voyez le message
« Connecté » ou « Synchronisation en cours » affiché, vous risqueriez d’endommager
des fichiers contenus sur votre iPod classic.
Si un de ces message est affiché, vous devez éjecter l’iPod classic avant de
le déconnecter : Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod classic 13
Si vous voyez le menu principal ou une grande icône de grande batterie, vous pouvez
déconnecter l’iPod classic.
Si vous avez configuré l’iPod classic pour qu’il gère manuellement la musique ou activé
l’utilisation de l’iPod classic en tant que disque, vous devez toujours éjecter
l’iPod classic avant de le déconnecter. Voir « Gestion manuelle de l’iPod classic » à la
page 30 et « Utilisation de l’iPod classic en tant que disque externe » à la page 58.
Si vous déconnectez l’iPod classic par mégarde sans l’avoir éjecté auparavant,
reconnectez l’ iPod classic à votre ordinateur et procéder une nouvelle fois à la
synchronisation
Pour éjecter l’iPod classic :
m Dans iTunes, cliquez sur le bouton Éjecter (C) en regard de l’iPod classic dans la liste
des sources.
Vous pouvez déconnecter l’iPod classic en toute sécurité lorsqu’un de ces
messages s’affiche :
Si vous utilisez un Mac, vous pouvez également éjecter l’iPod classic en faisant glisser
l’icône de l’iPod classic du bureau vers la Corbeille.
Si vous utilisez un PC Windows, vous pouvez également éjecter l’iPod classic dans Poste
de travail ou en cliquant sur l’icône « Supprimer le périphérique en toute sécurité »
située dans la zone de notification Windows, puis en sélectionnant votre iPod classic.14 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod classic
Pour déconnecter l’iPod classic :
m Débranchez le câble de l’iPod classic. Si l’iPod classic se trouve dans la station d’accueil
Dock, il vous suffit de le retirer.
À propos de la batterie de l’iPod classic
L’iPod classic dispose d’une batterie interne, que l’utilisateur ne peut remplacer luimême. Pour de meilleurs résultats, la première fois que vous utilisez l’iPod classic, laissez-le recharger pendant environ quatre heures ou jusqu’à ce que l’icône de batterie
qui se trouve dans la zone d’état de l’écran indique que la batterie est entièrement
rechargée. Si l’iPod classic n’a pas été utilisé pendant un certain temps, il se peut que la
batterie doive être rechargée.
La batterie de l’iPod classic est rechargée à 80 pour cent en environ deux heures et
entièrement rechargée en environ quatre heures. Si vous rechargez l’iPod classic pendant que vous ajoutez des fichiers, écoutez de la musique, visionnez des vidéos ou un
diaporama, l’opération peut durer plus longtemps.
Chargement de la batterie de l’iPod classic
Vous pouvez recharger la batterie de l’iPod classic de deux façons :
 Connectez l’iPod classic à votre ordinateur.
 Utilisez l’adaptateur secteur USB Apple, vendu séparément.
Pour recharger la batterie via votre ordinateur :
m Connectez l’iPod classic à un port USB 2.0 de votre ordinateur. L’ordinateur
doit être allumé et ne peut être en mode de suspension d’activité (certains modèles
Mac peuvent toutefois recharger l’iPod classic
en mode de suspension d’activité). Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod classic 15
Si l’icône de batterie affichée sur l’écran de l’iPod classic présente l’écran En charge,
la batterie se recharge. Si l’écran Chargé s’affiche, cela signifie que la batterie est
entièrement rechargée.
Si l’écran de charge n’est pas visible, il se peut que l’iPod classic ne soit pas connecté à
un port USB suffisamment alimenté. Essayez de le connecter à un autre port USB de
votre ordinateur.
Important : Si le message « En charge, veuillez patienter » ou « Connectez à une prise
d’alimentation » est affiché à l’écran de l’iPod classic, la batterie doit être rechargée
pour que l’iPod classic puisse communiquer avec votre ordinateur. reportez-vous à la
section « Si l’iPod classic affiche le message « Branchez la batterie » » à la page 72.
Si vous voulez recharger l’iPod classic lorsque vous n’êtes pas à votre ordinateur, vous
pouvez acheter l’adaptateur secteur Apple USB Power Adapter.
Pour recharger la batterie à l’aide de l’adaptateur secteur USB Apple :
1 Connectez le câble iPod Dock Connector vers USB 2.0 à l’adaptateur secteur et connectez l’autre extrémité du câble à l’iPod classic. 16 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod classic
2 Connectez l’adaptateur secteur à une prise de courant en état de fonctionnement.
Description des états de la batterie
Lorsque l’iPod classic n’est pas connecté à une source électrique, une icône de
batterie située dans le coin supérieur droit de l’écran de l’iPod classic affiche la
charge restante approximative.
Lorsque l’iPod classic est connecté à une source électrique, l’icône de batterie change
pour indiquer que la batterie est en charge ou entièrement chargée.
Vous pouvez déconnecter et utiliser l’iPod classic même si la batterie n’est pas
entièrement rechargée.
Remarque : Les batteries rechargeables ont un nombre de cycles de recharge limité et
il peut s’avérer nécessaire de les remplacer. La durée de vie de la batterie et le nombre
de cycles de recharge varient en fonction de l’utilisation et des réglages de l’iPod. Pour
plus d’informations, rendez-vous au site web www.apple.com/fr/batteries.
Avertissement : Assurez-vous que l’adaptateur secteur est complètement assemblé
avant de le brancher sur la prise.
Adaptateur secteur USB Apple
(il se peut que votre adaptateur soit différent)
Câble USB iPod
Batterie rechargée à moins de 20 %
Batterie environ à moitié rechargée
Batterie entièrement rechargée
Batterie en cours de recharge (éclair)
Batterie entièrement rechargée (prise)2
17
2 Configuration de l’iPod classic
La configuration de votre iPod classic afin qu’il puisse
reproduire de la musique, des vidéos et d’autres
contenus multimédia, se fait depuis votre ordinateur
au moyen d’iTunes.
Vous pouvez utiliser l’iPod classic pour importer des morceaux, des livres audio, des
films, des séries TV, des clips vidéo et des podcasts dans votre ordinateur, puis les transférer sur votre iPod classic. Lisez ce qui suit pour en savoir plus sur les étapes de ce processus, notamment sur :
 le transfert de musique à partir de votre collection de CD, votre disque dur ou l’iTunes Store (qui fait partie d’iTunes et n’est disponible que dans certains pays) vers
l’application iTunes de votre ordinateur ;
 l’organisation, si vous le souhaitez, de votre musique et des autres fichiers audio en
liste de lectures ;
 Synchronisation de listes de lecture, de morceaux, de livres audio, de vidéos et de
podcasts avec l’iPod classic ;
À propos d’iTunes
iTunes est l’application gratuite que vous pouvez utiliser pour configurer, organiser et
gérer le contenu de votre iPod classic.Elle vous permet de synchroniser de la musique,
des livres audio, des podcasts et bien plus encore avec l’iPod classic. Si vous iTunes
n’est pas encore installé sur votre ordinateur, vous pouvez télécharger l’application sur :
www.apple.com/fr/downloads. L’iPod classic requiert iTunes 9 ou ultérieur.
Vous pouvez utiliser iTunes pour importer de la musique depuis des CD ou depuis
Internet, acheter des morceaux et d’autres contenus audio et vidéo sur iTunes Store,
créer des compilations personnelles de vos morceaux favoris (listes de lecture) que
vous synchronisez avec l’.iPod classic18 Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic
iTunes dispose également d’une fonction nommée Genius pour créer des listes de
lecture et des mix à partir des morceaux de votre bibliothèque iTunes qui vont bien
ensemble. Vous pouvez synchroniser les listes de lecture Genius que vous créez dans
iTunes avec l’iPod classic ou créer des listes de lecture Genius et écouter des Mix Genius
sur l’iPod classic. Pour utiliser la fonction Genius, vous devez disposer d’un compte
iTunes Store.
iTunes possède bien d’autres fonctionnalités. Vous pouvez créer vos propres CD lisibles
sur des lecteurs CD standard (si votre ordinateur possède un lecteur-graveur de CD),
écouter la radio diffusée sur Internet, visionner des vidéos et des séries TV, évaluer les
morceaux selon vos préférences et bien plus encore.
Pour obtenir plus d’informations sur l’utilisation de ces fonctionnalités d’iTunes, ouvrez
iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes.
Si iTunes 9 ou ultérieur est installé sur votre ordinateur et que vous avez déjà configuré
votre bibliothèque iTunes, vous pouvez vous rendre à la section « Ajout de musique, de
vidéos et d’autres contenus à l’iPod classic » à la page 23.
Configuration de votre bibliothèque iTunes
Pour écouter de la musique sur l’iPod classic, vous devez d’abord importer cette musique dans iTunes sur votre ordinateur.
Il y a trois façons d’importer de la musique et d’autres données audio dans iTunes :
 Acheter de la musique, des livres audio et des vidéos ou télécharger des podcasts en
ligne sur l’iTunes Store.
 Importer de la musique et d’autres données audio à partir de CD audio.
 Ajouter de la musique et d’autres données audio qui se trouvent déjà sur votre ordinateur à votre bibliothèque iTunes.
Achat de musique et téléchargement de podcasts via l’iTunes Store
Si vous disposez d’une connexion à Internet, vous pouvez facilement acheter et télé-
charger des morceaux, des albums, et des livres audio en ligne sur l’iTunes Store. Vous
pouvez également vous abonner à des podcasts et télécharger du contenu éducatif
gratuit sur iTunes U.Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic 19
Pour acheter de la musique en ligne via l’iTunes Store, vous devez configurer un
compte gratuit dans iTunes, rechercher les morceaux que vous désirez, puis les acheter. Si vous possédez déjà un compte iTunes, vous pouvez l’utiliser pour vous connecter à l’iTunes Store et acheter des morceaux.
Il n’est pas nécessaire de disposer d’un compte iTunes Store pour télécharger des podcasts ou s’y abonner.
Pour entrer dans l’iTunes Store, ouvrez iTunes et cliquez sur iTunes Store (sous Store)
dans la partie gauche de la fenêtre d’iTunes.
Ajout de morceaux stockés sur votre ordinateur à votre
bibliothèque iTunes
Si votre ordinateur contient des morceaux encodés dans des formats de fichier pris en
charge par iTunes, vous pouvez facilement les ajouter à iTunes. Pour apprendre comment importer de la musique de votre ordinateur dans iTunes, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes.
Si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non protégés au format AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une bibliothèque
de musique encodée au format WMA.
Pour en savoir plus, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes.
Importation de musique dans iTunes à partir de CD audio
iTunes permet d’Importer de la musique et d’autres données audio à partir de CD
audio. Si vous disposez d’une connexion à Internet, iTunes obtient le nom des morceaux sur Internet (s’ils sont disponibles) et les affiche dans la fenêtre. Lorsque vous
ajoutez des morceaux à l’iPod classic, les informations liées à ces morceaux sont également enregistrées.Pour apprendre comment importer de la musique depuis vos CD
dans iTunes, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes.
Ajout d’informations supplémentaires dans votre bibliothè-
que iTunes
Après avoir importé votre musique dans iTunes, vous pouvez ajouter des informations
supplémentaires à propos des morceaux et des albums dans votre bibliothèque iTunes. La plupart de ces informations apparaissent dans l’iPod classic lorsque vous ajouter des morceaux.20 Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic
Saisie du nom des morceaux et d’autres informations
Si vous ne disposez pas d’une connexion à Internet, si les informations liées aux morceaux ne sont pas disponibles pour la musique que vous importez ou si vous souhaitez
ajouter d’autres informations (tels que le nom des compositeurs), vous pouvez saisir ces
informations manuellement. Pour découvrir comment saisir les informations liées aux
morceaux, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes.
Ajout de paroles
Vous pouvez saisir les paroles des morceaux au format texte dans iTunes pour pouvoir
les afficher sur l’iPod classic en cours de lecture. Pour découvrir comment ajouter des
paroles, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes.
Pour en savoir plus, consultez la section « Visualisation des paroles sur l’iPod classic » à
la page 36.
Ajout des illustrations d’album
La musique que vous achetez sur l’iTunes Store est accompagné de l’illustration de
l’album, que votre iPod classic peut afficher. Vous pouvez ajouter automatiquement des
illustrations d’album pour la musique que vous avez importée à partir de CD, si ces CD
sont disponibles sur l’iTunes Store.Vous pouvez ajouter manuellement des illustrations
d’album si vous les possédez sur votre ordinateur. Pour en savoir plus à ce sujet, ouvrez
iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes.
Pour en savoir plus, consultez la section « Affichage des illustrations d’albums sur
l’iPod classic » à la page 36.Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic 21
Organisation de votre musique
Dans iTunes, vous pouvez organiser à votre guise les morceaux et d’autres éléments
dans des listes appelées listes de lecture. Vous pouvez par exemple créer des listes de
lecture à écouter lors de votre séance d’exercice physique ou qui correspondent à une
ambiance particulière.
Vous pouvez aussi créer des listes de lecture intelligente qui se mettent à jour automatiquement en fonction de règles que vous définissez. Lorsque vous ajoutez à iTunes des
morceaux qui correspondent à ces règles, ils seront automatiquement ajoutés à la liste
de lecture intelligente.
Vous pouvez activer Genius dans iTunes et créer des listes de lecture de morceaux
qui vont bien ensemble. Genius peut également organiser votre bibliothèque
musicale automatiquement pour trier et regrouper les morceaux en collections
appelées Mix Genius.
Vous pouvez créer autant de listes de lecture avec n’importe quels morceaux de votre
bibliothèque iTunes. Le fait d’ajouter un morceau à une liste de lecture ou de l’en supprimer ne le supprime pas de votre bibliothèque.
Pour découvrir comment créer des listes de lectures dans iTunes, ouvrez iTunes, puis
choisissez Aide > Aide iTunes.
Remarque : Pour créer des listes de lecture sur l’iPod classic lorsque l’iPod classic n’est
pas connecté à un ordinateur, consultez la section « Création de listes de lecture OnThe-Go sur l’iPod classic » à la page 38.
Activation de Genius dans iTunes
Genius recherche les morceaux de votre bibliothèque qui vont bien ensemble et les
utilise pour créer des listes de lecture et des Mix Genius.
Une liste de lecture Genius se base sur un morceau que vous sélectionnez. iTunes compile ensuite une liste de lecture à partir des morceaux qui vont bien avec celui que
vous avez sélectionné.
Les Mix Genius sont des compilations présélectionnées de morceaux qui vont bien
ensemble. Ils sont créés pour vous par iTunes, à l’aide des morceaux de votre bibliothè-
que. Chaque Mix Genius est conçu pour vous fournir une expérience d’écoute diffé-
rente à chaque fois. iTunes peut créer jusqu’à 12 Mix Genius, selon la variété de
musique contenue dans votre bibliothèque iTunes.
Pour créer des listes de lecture et des Mix Genius sur l’iPod classic, vous devez d’abord
activer Genius dans iTunes. Pour en savoir plus, ouvrez iTunes, puis choisissez
Aide > Aide iTunes.22 Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic
Les listes de lecture et les Mix Genius créés dans iTunes peuvent être synchronisés avec
l’iPod classic comme toute autre liste de lecture iTunes. Vous ne pouvez pas ajouter
manuellement de Mix Genius à l’iPod classic. Consultez la section « Synchronisation des
listes Genius et des Mix Genius avec l’iPod classic » à la page 26.
Genius est un service gratuit qui requiert cependant un compte iTunes Store. Si vous
n’avez pas de compte, vous pouvez en configurer un lorsque vous activez Genius.
Import de vidéos dans iTunes
Il existe plusieurs façons d’importer des vidéos dans iTunes, comme décrit ci-dessous.
Acheter ou louer des vidéos et télécharger des podcasts vidéo sur
l’iTunes Store
Pour acheter des vidéos, c’est-à-dire des films, des séries TV et des clips vidéo, ou louer
des films en ligne sur l’iTunes Store (partie d’iTunes qui n’est disponible que dans certains pays), vous devez vous connecter avec votre compte iTunes Store, rechercher les
vidéos souhaitées et les acheter ou les louer.
Un film loué expire 30 jours après la date de location ou 24 heures après le début du
visionnement, quelle que soit la condition remplie en premier (les conditions de location peuvent être différentes à l’extérieur des États-Unis). Les films loués arrivés à expiration sont automatiquement supprimés. Ces conditions s’appliquent pour les locations
aux États-Unis. Elles peuvent varier en fonction des pays.
Pour entrer dans l’iTunes Store, ouvrez iTunes et cliquez sur iTunes Store (sous Store)
dans la partie gauche de la fenêtre d’iTunes.
Vous pouvez visionnez la bande-annonce d’un film ou l’aperçu d’une série TV en cliquant sur le bouton à côté de son nom.
Les vidéos que vous avez achetées s’affichent lorsque vous sélectionnez Films, série TV
(dans Bibliothèque) ou Achats (dans Store) dans la liste se trouvant dans la partie gauche de la fenêtre d’iTunes. Les vidéos louées apparaissent lorsque vous sélectionnez
Films en location (sous Bibliothèque).
Certains éléments disposent d’autres options, comme, par exemple, les séries TV, qui
vous permettent d’acheter une carte pour la saison complète et tous les épisodes.
Les podcasts vidéo apparaissent parmi les autres podcasts sur l’iTunes Store. Vous pouvez vous y abonner et les télécharger comme n’importe quel autre podcast. Il n’est pas
nécessaire de disposer d’un compte iTunes Store pour télécharger des podcasts. Consultez la section « Achat de musique et téléchargement de podcasts via l’iTunes Store »
à la page 18.Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic 23
Créer des versions de vos propres vidéos pour qu’elles fonctionnent
sur l’iPod classic
Vous pouvez regarder d’autres types de fichiers vidéo sur l’iPod classic, comme les
vidéos que vous avez créées dans iMovie sur un Mac ou les vidéos que vous avez télé-
chargées sur Internet. Importez la vidéo dans iTunes, convertissez-la vers un format
compatible avec l’iPod classic, si nécessaire, puis ajoutez-la à l’iPod classic.
iTunes prend en charge beaucoup de formats vidéo que QuickTime prend en charge.
Pour en savoir plus, consultez la section « Si vous ne parvenez pas à ajouter un morceau ou un autre élément à l’iPod classic » à la page 73.
Il se peut que certaines vidéos soient déjà dans un format compatible avec
l’iPod classic une fois que vous les avez importées dans iTunes.
Si vous essayez d’ajouter une vidéo à l’iPod classic (voir « Synchronisation automatique
de vidéos » à la page 27) et qu’un message indique que la vidéo ne peut pas être lue
sur l’iPod classic, vous devez la convertir pour qu’elle puisse être vue sur l’iPod classic.
Selon la longueur et le contenu de la vidéo, la conversion vers un format compatible
avec l’iPod classic peut prendre de quelques minutes à plusieurs heures.
Lorsque vous créez une vidéo pour la lire avec l’iPod classic, la vidéo originale reste
dans votre bibliothèque iTunes.
Pour en savoir plus sur la conversion de vidéos vers un format compatible avec
l’iPod classic, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes ou lisez le document à
l’adresse http://support.apple.com/kb/HT2729?viewlocale=fr_FR.
Ajout de musique, de vidéos et d’autres contenus à
l’iPod classic
Une fois que vous avez importé votre musique dans iTunes et l’y avez organisée, vous
pouvez facilement l’ajouter à l’iPod classic.
Pour gérer la manière dont les morceaux, les vidéos, les photos et d’autres contenus
sont ajoutés à l’iPod classic depuis votre ordinateur, connectez l’iPod classic à votre
ordinateur, puis utilisez les préférences d’iTunes pour définir les réglages de
l’iPod classic.24 Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic
Première connexion de l’iPod classic à un ordinateur
La première fois que vous connecteu l’iPod classic à votre ordinateur après avoir
installé iTunes, iTunes s’ouvre automatiquement et l’Assistant réglages de
l’iPod classic apparaît.
Pour utiliser l’Assistant réglages de l’iPod classic :
1 Saisissez un nom pour l’iPod classic. Ce nom est celui qui s’affichera dans la liste
d’appareils de la partie gauche de la fenêtre d’iTunes.
2 Sélectionnez vos réglages. La synchronisation automatiques est activée par défaut.
Pour plus d’informations concernant la synchronisation automatique et manuelle, réfé-
rez-vous à la section suivante.
3 Cliquez sur Terminé.
Vous pouvez modifier le nom de l’appareil ou les réglages à tout moment, si
l’iPod classic est connecté à votre ordinateur.
Quand vous cliquez sur Terminé, la sous-fenêtre Résumé apparaît. Si vous choisissez la
synchronisation automatique, la synchronisation avec l’iPod classic démarre..
Ajout automatique ou manuel de contenu
Il existe deux façons d’ajouter du contenu à l’iPod classic :
 la synchronisation automatique : lorsque vous connectez l’iPod classic à votre ordinateur, l’iPod classic est automatiquement mis à jour avec votre bibliothèque iTunes.
Vous pouvez synchroniser tous vos morceaux, vos listes de lecture, vos vidéos et vos
podcasts, ou, si l’intégralité de votre bibliothèque iTunes ne tient pas sur
l’iPod classic, vous pouvez synchroniser uniquement certains éléments.Vous pouvez
synchroniser l’iPod classic automatiquement avec un seul ordinateur à la fois.
 Gestion manuelle de l’iPod classic : lorsque vous connectez l’iPod classic, vous pouvez
faire glisser des morceaux et des listes de lecture individuels vers l’iPod classic et supprimer des morceaux et des listes de lecture individuels de l’iPod classic. Avec cette
option, vous pouvez ajouter des morceaux à partir de plusieurs ordinateurs sans effacer ceux qui se trouvent sur l’iPod classic. Lorsque vous générez la musique vousmême, vous devez toujours éjecter l’iPod classic d’iTunes avant de le déconnecter.
Pour consultez directement la section relative à la gestion manuelle du contenu, réfé-
rez-vous à « Gestion manuelle de l’iPod classic » à la page 30.Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic 25
Synchronisation automatique de la musique
L’iPod classic est configuré par défaut pour être synchronisé avec tous les morceaux et
toutes les listes de lecture des votre ordinateur dès que vous le connectez à ce dernier.
C’est la façon la plus simple d’ajouter de la musique à l’iPod classic. Pour cela, connectez l’iPod classic à votre ordinateur, laissez-le ajouter automatiquement des morceaux,
des livres audio, des vidéos et d’autres éléments, puis déconnectez-le. Si vous avez
ajouté des morceaux à iTunes depuis la dernière connexion de l’iPod classic, ils seront
ajoutés à l’iPod classic. Si vous avec supprimé des morceaux d’iTunes, ils seront aussi
supprimés de l’iPod classic.
Pour synchroniser de la musique avec l’iPod classic :
m Connectez l’iPod classic à votre ordinateur. Si l’iPod classic est configuré pour une synchronisation automatique, la mise à jour commence.
Important : La première fois que vous connectez l’iPod classic à un ordinateur avec
lequel il n’est pas synchronisé, un message vous demande si vous voulez synchroniser
automatiquement les morceaux. Si vous acceptez, tous les morceaux, les livres audio,
les vidéos et autres éléments sont supprimés de l’iPod classic et remplacés par ceux de
l’ordinateur en question.
Pendant la synchronisation de la musique de votre ordinateur avec l’iPod classic, la
fenêtre d’état d’iTunes indique la progression et une icône de synchronisation s’affiche
à côté de l’iPod classic dans la liste des sources.
Une fois la mise à jour terminée, le message « La sychronisation de l’iPo a réussi » apparaît dans iTunes. En bas de la fenêtre d’iTunes, une barre indique l’espace disque utilisé
par les différents types de contenu.
S’il n’y a pas assez d’espace disponible sur l’iPod classic pour toute votre musique, vous
pouvez configurer iTunes pour que le programme synchronise que certains morceaux
et listes de lecture. Dans ce cas, seuls les morceaux et les listes de lecture que vous
sélectionnez sont synchronisés avec l’iPod classic.
Synchronisation de musique en fonction des listes de lectures, des
artistes et des genres avec l’iPod classic
Vous pouvez configurer iTunes de sorte qu’il synchronise les listes de lecture, les artistes ou les genres spécifiés avec l’iPod classic si la musique qui se trouve sur votre bibliothèque iTunes ne tient pas sur l’iPod classic. Dans ce cas, seule la musique des listes de
lecture, des artistes et des genres que vous avez sélectionnés est synchronisée avec
l’iPod classic.
Pour configurer iTunes afin qu’il synchronise la musique des listes de lecture, des
artistes et de genres spécifiés avec l’iPod classic :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Musique. 26 Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic
2 Sélectionnez Synchroniser la musique, puis choisissez « Listes de lecture, artistes et
genres sélectionnés ».
3 Sélectionnez les listes de lectures, les artistes ou les genres à synchroniser.
4 Pour inclure les clips vidéo, sélectionnez « Inclure les clips vidéo ».
5 Pour configurer iTunes afin qu’il remplisse automatiquement tout espace
disponible sur l’iPod classic, sélectionnez « Remplir automatiquement l’espace libre
avec des morceaux ».
6 Cliquez sur Appliquer.
Remarque : Si la case « Ne synchroniser que les morceaux et vidéos
sélectionnés » est cochée dans la sous-fenêtre Résumé, iTunes ne
synchronise que les éléments sélectionnés.
Synchronisation des listes Genius et des Mix Genius avec l’iPod classic
Vous pouvez régler iTunes pour qu’il synchronise les listes de lecture Genius et les Mix
Genius avec l’iPod classic.
Les listes Genius peuvent être ajoutées manuellement à l’iPod classic. Les Mix Genius
ne peuvent être synchronisés qu’automatiquement. Vous ne pouvez pas ajouter de Mix
Genius à l’iPod classic si vous gérez votre contenu manuellement.
Si vous sélectionnez des Mix Genius à synchroniser, iTunes peut sélectionner et synchroniser d’autres morceaux de votre bibliothèque que vous n’avez pas sélectionnés.
Pour régler iTunes afin qu’il synchronise les listes Genius et les Mix Genius
sélectionnés avec l’iPod classic :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Musique.
2 Sélectionnez « Synchroniser la musique », puis choisissez « Listes de lecture, artistes et
genres sélectionnés ».
3 Sous Listes de lecture, sélectionnez les listes et les Mix Genius souhaités.
4 Cliquez sur Appliquer.
Si vous choisissez de synchroniser l’ensemble de votre bibliothèque musicale, iTunes
synchronise toutes vos listes de lecture Genius et tous vos Mix Genius.
Si la case « Ne synchroniser que les morceaux et vidéos sélectionnés » est cochée dans
la sous-fenêtre Résumé, iTunes ne synchronise que les éléments sélectionnés.Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic 27
Ajout de vidéos à l’iPod classic
Vous pouvez ajouter des films et des séries TV à l’iPod classic de la même façon que
vous ajoutez des morceaux. Vous pouvez configurer iTunes de sorte qu’il synchronise
automatiquement tous les films et toutes les séries TV vers l’iPod classic lorsque vous
connectez l’iPod classic ou configurer iTunes de sorte qu’il ne synchronise que les listes
de lecture sélectionnées. Si cela ne vous convient pas, vous pouvez gérer manuellement les films et les séries TV. Cette option permet d’ajouter des vidéos à partir de plusieurs ordinateurs sans effacer celles qui se trouvent sur l’iPod classic.
Remarque : Les clips vidéo sont gérés avec les morceaux, dans l’onglet Musique
d’iTunes. reportez-vous à la section « Ajout de musique, de vidéos et d’autres contenus
à l’iPod classic » à la page 23.
Important : Vous ne pouvez visionner un film loué que sur un appareil à la fois. Par
exemple, si vous louez un film sur l’iTunes Store et que vous l’ajoutez à votre
iPod classic, vous ne pouvez le visionner que sur l’iPod classic. Si vous retransférez le
film dans iTunes, vous ne pouvez le visionner que dans iTunes et plus sur votre
iPod classic. Pensez à la date d’expiration des locations.
Synchronisation automatique de vidéos
Par défaut, l’iPod classic est configuré pour synchroniser toutes les vidéos de votre ordinateur lorsque vous le connectez à ce dernier. C’est la façon la plus simple d’ajouter des
vidéos à l’iPod classic. Pour cela, connectez l’iPod classic à votre ordinateur, laissez-le
ajouter automatiquement des vidéos et d’autres éléments, puis déconnectez-le. Si vous
avez ajouté des vidéos à iTunes depuis la dernière connexion de l’iPod classic, elles
seront ajoutées à l’iPod classic. Si vous avec supprimé des vidéos d’iTunes, elles seront
aussi supprimées de l’iPod classic.
S’il n’y a pas assez d’espace disponible sur l’iPod classic pour toute vos vidéos, vous
pouvez configurer iTunes pour qu’il synchronise que les vidéos que vous spécifiez.Vous
pouvez synchroniser les vidéos sélectionnées ou les listes de lecture sélectionnées qui
contiennent des vidéos.
Les réglages concernant la synchronisation des films et celle des séries TV sont diffé-
rents. Les réglages de synchronisation des films n’auront aucune incidence sur ceux des
séries TV et inversement.
Pour configurer dans iTunes la synchronisation des films avec l’ iPod classic :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Films.
2 Sélectionnez « Synchroniser les films ».
3 Sélectionnez les films ou listes de lecture souhaités.
Tous les films, les récents ou les non-visionnés : Sélectionnez « Inclure automatiquement… films » et choisissez les options souhaitées dans le menu local.28 Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic
Films sélectionnés ou Listes de lecture sélectionnées :Sélectionnez les films ou listes
de lecture souhaités.
4 Cliquez sur Appliquer.
Si la case « Ne synchroniser que les morceaux et vidéos sélectionnés » est cochée dans
la sous-fenêtre Résumé, iTunes ne synchronise que les éléments sélectionnés.
Pour configurer dans iTunes la synchronisation de séries TV avec l’iPod classic :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Séries TV.
2 Sélectionnez « Synchroniser les séries TV ».
Tous les épisodes, les récents ou les non-visionnés : Sélectionnez « Inclure automatiquement… épisodes… » et choisissez les options souhaitées dans les menus locaux.
Épisodes des listes de lecture sélectionnées :Sélectionnez les listes de lecture voulues.
3 Cliquez sur Appliquer.
Si la case « Ne synchroniser que les morceaux et vidéos sélectionnés » est cochée dans
la sous-fenêtre Résumé, iTunes ne synchronise que les éléments sélectionnés.
Ajout de podcasts à l’iPod classic
Les réglages relatifs à l’ajout de podcasts à l’iPod classic ne sont pas liés aux réglages
relatifs à l’ajout de morceaux et de vidéos. Les réglages relatifs aux podcasts n’influent
pas sur ceux de des morceaux et des vidéos, et inversement. Vous pouvez configurer
iTunes de sorte qu’il synchronise automatiquement tous les podcasts ou uniquement
les podcasts sélectionnés, ou ajouter manuellement des podcasts à l’iPod classic.
Pour configurer iTunes de sorte qu’il mette automatiquement à jour les podcasts de
l’iPod classic :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Podcasts.
2 Dans la sous-fenêtre Podcasts, sélectionnez Synchroniser les podcasts.
3 Sélectionnez les podcasts, les épisodes et les listes de lecture désirés et définissez les
options de synchronisation.
4 Cliquez sur Appliquer.
Lorsque vous configurez iTunes de sorte qu’il synchronise automatiquement les podcasts de l’iPod classic, l’iPod classic est mis à jour chaque fois que vous le connectez à
votre ordinateur.
Si la case « Ne synchroniser que les morceaux et vidéos sélectionnés » est cochée dans
la sous-fenêtre Résumé, iTunes ne synchronise que les éléments sélectionnés.Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic 29
Ajout de podcasts vidéo à l’iPod classic
Vous pouvez ajouter des podcasts vidéo à l’iPod classic de la même façon que
vous ajoutez d’autres podcasts (voir « Ajout de podcasts à l’iPod classic » à la page 28).
Si un podcast inclut une vidéo, la vidéo est lue lorsque vous le sélectionnez dans le
menu Podcasts.
Ajout de contenu iTunes U à l’iPod classic
Les réglages relatifs à l’ajout de contenu iTunes U à l’iPod classic ne sont pas liés aux
réglages relatif à l’ajout d’autre contenu. Les réglages relatifs à iTunes U n’ont pas
d’incidence sur d’autres réglages, et inversement. Vous pouvez configurer iTunes de
sorte qu’il synchronise automatiquement tous le contenu iTunes U ou uniquement le
contenu iTunes U sélectionné, ou ajouter manuellement du contenu iTunes U à
l’iPod classic.
Pour configurer iTunes de sorte qu’il mette automatiquement à jour le contenu
iTunes U de l’iPod classic :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des phériphériques, puis cliquez sur
l’onglet iTunes U.
2 Dans la sous-fenêtre iTunes U, sélectionnez Synchroniser iTunes U.
3 Sélectionnez les collections, les éléments et les listes de lecture désirés et définissez les
options de synchronisation.
4 Cliquez sur Appliquer.
Lorsque vous configurez iTunes de sorte qu’il synchronise automatiquement le
contenu iTunes U, l’iPod classic est mis à jour chaque fois que vous le connectez à
votre ordinateur.
Si l’option « Ne synchroniser que les morceaux et vidéos cochés » est sélectionnée dans
la sous-fenêtre Résumé, iTunes ne synchronise que les éléments cochés dans votre
bibliothèque iTunes U et dans les autres bibliothèques.
Ajout de livres audio à l’iPod classic
Vous pouvez acheter et télécharger des livres audio depuis l’iTunes Store ou à l’adresse
audible.com ou encore en importer depuis des CD et les écouter sur l’iPod classic.
Utilisez iTunes pour ajouter des livres audio à l’iPod classic. Si vous synchronisez automatiquement l’iPod classic, tous les livres audio contenus dans votre bibliothèque iTunes sont ajoutés à la liste de lecture appelée Livres audio, que vous pouvez
synchronisez avec l’iPod classic. Si vous gérez le contenu de votre iPod classic manuellement, vous pouvez ajouter des livres audio un par un.30 Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic
Pour synchroniser des livres audio avec l’iPod classic :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez
sur l’onglet Musique.
2 Sélectionnez Synchroniser la musique, puis à choix :
 Sélectionnez « Toute la biblothèque musicale ».
 Sélectionnez « Listes de lecture, artistes et genres sélectionnés », puis sélectionnez
Livres audio (dans Listes de lecture).
3 Cliquez sur Appliquer.
La mise à jour commence automatiquement.
Ajout d’autre contenu à l’iPod classic
Vous pouvez aussi utiliser iTunes pour synchroniser des photos, des jeux, des contacts
et bien plus encore avec votre . iPod classicVous pouvez configurer iTunes afin que le
contenu soit synchronisé automatiquement ou gérer manuellement le contenu de
votre iPod classic.
Pour plus d’informations sur la manière d’ajouter d’autres types de contenu à
l’iPod classic, voir :
 « Ajout de photos provenant de votre ordinateur à l’iPod classic » à la page 52
 « Pour synchroniser automatiquement les jeux sur l’iPod classic : » à la page 62
 « Synchronisation des contacts, des calendriers et des listes de tâches » à la page 63
Gestion manuelle de l’iPod classic
Si vous gérer le contenu de l’iPod classic manuellement, vous pouvez ajouter et supprimer des morceaux (y compris des clips vidéo) et des vidéos (y compris des films et des
séries TV) à votre guise. Vous pouvez aussi ajouter de la musique et des vidéos de plusieurs ordinateurs à l’iPod classic sans supprimer les éléments qui se trouvent déjà sur
l’iPod classic.
Vous ne pouvez pas ajouter de Mix Genius à l’iPod classic manuellement, mais vous
pouvez ajouter des listes de lecture Genius manuellement.
Régler l’iPod classic de manière à pouvoir gérer manuellement la musique et la vidéo
désactive les options de synchronisation automatique dans les sous-fenêtres Musique,
Films, Séries TV, Podcasts, iTunes U, Photos, Contacts et Jeux. Vous ne pouvez pas gérer
manuellement les uns et synchroniser automatiquement les autres.
Si vous avez configuré iTunes pour la gestion manuelle, vous pouvez régler l’application plus tard afin de mettre en place la synchronisation automatique. Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic 31
Pour configurer iTunes de manière à pouvoir gérer manuellement le contenu de
l’iPod classic :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Résumé.
2 Dans la section Options, sélectionnez « Gérer manuellement la musique et les
clips vidéo ».
3 Cliquez sur Appliquer.
Lorsque vous gérez manuellement le contenu de l’iPod classic, vous devez toujours
éjecter l’iPod classic d’iTunes avant de le déconnecter.
Lorsque vous connectez un iPod classic géré manuellement à un ordinateur, il apparaît
dans la liste de phériphériques située dans la partie gauche de la fenêtre d’iTunes.
Pour ajouter un morceau, une vidéo ou tout autre élément à l’iPod classic :
1 Dans iTunes, cliquez sur Musique ou sur un autre élément dans la liste Bibliothèque
à gauche.
2 Faites glisser un morceau ou tout autre élément vers l’icône de l’iPod classic dans la
liste des phériphériques.
Pour supprimer un morceau, une vidéo ou tout autre élément de l’iPod classic :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources.
2 Sélectionnez un morceau ou tout autre élément sur l’iPod classic, puis appuyez sur la
touche Supprimer ou Arrière de votre clavier.
Si vous supprimez manuellement un morceau ou tout autre élément de l’iPod classic, il
n’est pas supprimé de votre bibliothèque iTunes.
Pour créer une nouvelle liste de lecture sur l’iPod classic :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur le bouton Ajouter (+) ou choisissez Fichier > « Nouvelle liste de lecture ».
2 Tapez le nom de la liste de lecture.
3 Cliquez sur un élément, comme par exemple Musique, dans la liste Bibliothèque, puis
faites glisser un morceau ou un autre élément vers la liste de lecture.
Pour ajouter des morceaux à ou supprimer des morceaux d’une liste de lecture sur
l’iPod classic :
m Faites glisser un morceau vers une liste de lecture de l’iPod classic pour ajouter le morceau à celle-ci. Sélectionnez un morceau dans une liste de lecture et appuyez sur la
touche Supprimer du clavier pour supprimer le morceau.32 Chapitre 2 Configuration de l’iPod classic
Pour configurer iTunes de manière à synchroniser automatiquement la musique,
la vidéo et les podcasts de l’ :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
|l’onglet Résumé.
2 Desélectionnez « Gérer manuellement la musique et les clips vidéo ».
3 Cliquez sur Appliquer.
La mise à jour commence automatiquement.3
33
3 Écoute musique
Lisez ce chapitre pour savoir comment utiliser votre
iPod classic à votre guise.
Une fois votre iPod classic configuré, vous pouvez écouter des morceaux, des podcasts,
des livres audio et bien plus encore.
Lecture de musique et d’autres fichiers audio
Lorsqu’un morceau est en cours de lecture, l’écran En lecture apparaît. Le tableau suivant décrit les éléments qui apparaissent dans l’écran En lecture de l’iPod classic.
Élément de l’écran En lecture Fonction
Icône Aléatoire (¡) Apparaît lorsque l’iPod classic est configuré pour lire de façon aléatoire des morceaux ou des albums.
Icône Répéter (⁄) Apparaît lorsque l’iPod classic est configuré pour répéter tous les
morceaux. L’icône Répéter une fois (!) apparaît lorsque
l’iPod classic est configuré pour ne répéter qu’un seul morceau.
Icône de lecture S’affiche lorsqu’un morceau est en cours de lecture. L’icône Pause
(1) apparaît lorsque la lecture de l’élément est interrompue temporairement.
Icône de la batterie Elle indique la charge restante approximative.
Pochette d’album Affiche l’illustration de l’album, si elle est disponible.
Icône Aléatoire
Icône Répéter
Barre de progression
Informations sur le
morceau, classement et
numéro de séquence
Pochette d’album
Icône de la batterie
Icône de lecture34 Chapitre 3 Écoute musique
Lorsque l’écran En lecture est affiché, cliquez sur le bouton central pour naviguer parmi
ces éléments supplémentaires.
Utilisez la molette cliquable et le bouton central pour sélectionner un morceau ou un
clip vidéo.
Lorsque vous lisez des clips vidéo depuis le menu Musique, vous n’entendez que la
musique. Par contre, lorsque vous les lisez depuis le menu Vidéos, vous voyez aussi
la vidéo.
Pour sélectionner un morceau et le lire :
m sélectionnez Musique, recherchez un morceau ou un clip vidéo et appuyez sur le
bouton Lecture/Pause.
Pour régler le volume :
m lorsque la barre de progression est affichée, vous pouvez utiliser la molette cliquable
pour régler le volume.
Si celle-ci n’est pas affichée, cliquez sur le bouton central jusqu’à ce qu’elle apparaisse.
Pour écouter une partie différente du morceau :
1 appuyez sur le bouton central jusqu’à l’apparition du défileur ;
2 utilisez la molette cliquable pour déplacer la tête de lecture à l’endroit souhaité
sur le défileur.
Informations du morceau Affiche le titre du morceau, le nom de l’artiste et le titre de l’album.
Si vous notez le morceau, les étoiles de classement s’affichent.Affiche le numéro du morceau en cours de lecture dans la séquence
de morceaux actuelle.
Barre de progression Affiche le temps écoulé et le temps restant du morceau en cours
de lecture.
Élément de l’écran En lecture Fonction
Élément de l’écran Fonction
défileur Vous permet de vous rendre rapidement à un endroit différent de
la piste.
Curseur Genius Crée une liste de lecture Genius basée sur le morceau en cours de
lecture. Le curseur Genius n’apparaît pas si aucune information
Genius est disponible pour le morceau en cours de lecture.
Curseur de lecture aléatoire Vous permet de lire des morceaux ou des albums dans un ordre
aléatoire directement depuis l’écran En lecture.
Classement du morceau Vous permet de notez le morceau.
lyrics Affiche les paroles du morceau en cours de lecture.Les paroles ne
peuvent pas s’afficher si vous ne les avez pas ajoutées dans iTunes.Chapitre 3 Écoute musique 35
Pour créer une liste de lecture Genius à partir du morceau en cours de lecture :
1 appuyez sur le bouton central jusqu’à l’apparition du curseur Genius ;
2 utilisez la molette cliquable pour déplacer le curseur au début.
Le curseur Genius n’apparaît pas si aucune information Genius est disponible pour le
morceau en cours de lecture.
Pour régler la lecture aléatoire à partir de l’écran En lecture :
1 appuyez sur le bouton central jusqu’à l’apparition du curseur de lecture aléatoire ;
2 utilisez la molette cliquable pour déplacer le curseur sur Morceaux ou sur Albums.
 Choisissez Morceaux pour lire tous les morceaux de votre iPod classic en
lecture aléatoire.
 Choisissez Albums pour lire les morceaux de l’album en cours de lecture dans
l’ordre,iPod classic, puis choisir de manière aléatoire le prochain album à reproduire.
Pour simplement écouter un clip vidéo :
m choisissez Musique, puis sélectionnez le clip vidéo souhaité.
Lorsque vous lisez la vidéo, vous l’entendez mais vous ne voyez pas l’image. Il en va de
même pour les podcasts vidéo.
Pour revenir au menu précédent :
m depuis n’importe quel écran, appuyez sur Menu.
Classement des morceaux
Vous pouvez attribuer à un morceau une note d’évaluation (de 1 à 5 étoiles) pour indiquer à quel point il vous plaît. Vous pouvez créer automatiquement des listes de lecture intelligentes dans iTunes grâce à ce classement.
Pour attribuer une note à un morceau :
1 lancez la lecture du morceau ;
2 à partir de l’écran En lecture, appuyez sur le bouton central jusqu’à ce que les cinq pastilles de classement apparaissent ;
3 utilisez la molette cliquable pour noter un morceau (la note est représentée par des
étoiles).
Le classement des morceaux que vous effectuez sur votre iPod classic est transféré sur
iTunes lors de la synchronisation.
Remarque : Il est impossible d’attribuer une note à un podcast vidéo.36 Chapitre 3 Écoute musique
Visualisation des paroles sur l’iPod classic
Si vous ajoutez des paroles à un morceau dans iTunes (voir la section « Ajout de
paroles » à la page 20), puis ajoutez ce morceau à l’iPod classic, vous pouvez afficher les
paroles sur l’iPod classic. Les paroles ne peuvent pas s’afficher si vous ne les avez pas
ajoutées dans iTunes.
Pour afficher les paroles sur l’iPod classic lorsqu’un morceau est en cours de lecture :
m lorsque l’écran En lecture est affiché, cliquez sur le bouton central jusqu’à ce que les
paroles apparaissent. Vous pouvezfaire défiler les paroles au fur et à mesure de la lecture du morceau.
Affichage des illustrations d’albums sur l’iPod classic
iTunes affiche les illustrations d’albums sur votre iPod classic, si celles-ci sont disponibles. Les illustrations apparaissent sur votre iPod classic dans la liste d’albums, lorsque
vous lisez un morceau et en mode Cover Flow (référez-vous à la section suivante pour
plus d’informations concernant le mode Cover Flow).
Pour afficher les illustrations d’album sur l’iPod classic :
m lorsque vous lisez un morceau qui comprend une illustration d’album, celle-ci s’affiche
dans l’écran En lecture.
Pour en savoir plus à ce sujet, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes.
Exploration de la musique à l’aide de Cover Flow
Vous pouvez naviguer dans votre collection de musique à l’aide de Cover Flow, un
moyen visuel de passer en revue le contenu de votre bibliothèque. Cover Flow affiche
vos albums par ordre alphabétique du nom des artistes. Vous pouvez voir l’illustration
de l’album, le titre de celui-ci et le nom de l’artiste.
Pour utiliser Cover Flow :
1 dans le menu Musique, choisissez Cover Flow ;
2 utilisez la molette cliquable (ou appuyez sur les boutons Suivant/Avance rapide et Pré-
cédent/Retour rapide) pour naviguer parmi les illustrations d’albums ;
3 sélectionnez un album, puis appuyez sur le bouton central ;
4 utilisez la molette cliquable pour sélectionner un morceau, puis appuyez sur le bouton
central pour le lire.
Accès aux commandes supplémentaires
Il est possible d’accéder à certaines commandes supplémentaires de l’iPod classic directement depuis l’écran En lecture et depuis certains menus.
Pour accéder aux commandes supplémentaires :
m maintenez enfoncé le bouton central jusqu’à ce qu’un menu apparaisse, sélectionnez
une commande, puis appuyez à nouveau sur le bouton central.Chapitre 3 Écoute musique 37
Si aucun menu apparaît, cela signifie qu’il n’y a pas de commande
supplémentaires disponibles.
Utilisation de la fonction Genius sur l’iPod classic
La fonction Genius peut créer automatiquement des listes de lecture composées de
morceaux qui vont bien ensemble, même lorsque l’iPod classic n’est pas connecté à
votre ordinateur. Vous pouvez également lire des Mix Genius, qui sont des compilations présélectionnées de morceaux qui vont bien ensemble. Vous pouvez créer des listes Genius dans iTunes et les ajouter à l’iPod classic ou synchroniser des Mix Genius
avec l’iPod classic.
Pour pouvoir utiliser la fonction Genius, vous devez la configurer sur l’iTunes Store,
puis synchroniser l’iPod classic avec iTunes (voir « Activation de Genius dans iTunes » à
la page 21).
Pour créer une liste de lecture Genius sur l’iPod classic :
1 sélectionnez un morceau, puis maintenez enfoncé le bouton central jusqu’à ce qu’un
menu apparaisse.
(Vous pouvez sélectionner un morceau à partir d’un menu ou d’une liste de lecture ou
vous pouvez commencer à partir de l’écran En lecture) ;
2 choisissez Lancer Genius ;
Lancer Genius n’apparaît pas dans le menu des commandes supplémentaires si :
 vous n’avez pas configuré Genius dans iTunes, puis synchronisé l’iPod classic
avec iTunes ;
 Genius ne reconnaît pas le morceau sélectionné ;
 Genius reconnaît le morceau, mais qu’il y a au moins dix morceaux similaires dans
votre bibliothèque.
3 appuyez sur le bouton central ;La nouvelle liste de lecture apparaît.
4 Pour garder cette liste de lecture, choisissez Enregistrer la liste.
La liste de lecture est enregistrée sous le nom du morceau et l’artiste du morceau utilisé pour la créer.
5 Pour changer la liste de lecture en une nouvelle liste basée sur le même morceau, choisissez Actualiser. Lorsque vous actualisez une liste de lecture enregistrée, la nouvelle
liste remplace l’ancienne. Vous ne pouvez plus récupérer la liste de lecture précédente.
Vous pouvez également lancer Genius depuis l’écran En lecture en appuyant sur le
bouton central jusqu’à ce que le curseur Genius apparaisse, puis en utilisant la molette
cliquable pour déplacer le curseur sur la droite.Le curseur de Genius n’apparaît pas si
aucune information Genius est disponible pour le morceau en cours de lecture.38 Chapitre 3 Écoute musique
Les listes de lecture Genius enregistrées sur l’iPod classic sont synchronisées dans iTunes lorsque vous connectez l’iPod classic à votre ordinateur.
Pour lire une liste de lecture Genius :
m choisissez Musique > Listes de lecture > et sélectionnez une liste de lecture Genius.
Écoute de Mix Genius
iTunes crée pour vous des Mix Genius composés de morceaux de votre bibliothèque
qui vont bien ensemble. Les Mix Genius sont différentes à chaque écoute. iTunes peut
créer jusqu’à 12 Mix Genius en fonction de la diversité de musique de votre bibliothè-
que iTunes.
Pour apprendre à synchroniser les Mix Genius avec l’iPod classic, voir « Synchronisation
des listes Genius et des Mix Genius avec l’iPod classic » à la page 26.
Pour écouter un Mix Genius :
1 Choisissez Musique > Mix Genius.
2 Utilisez la molette cliquable (ou appuyez sur Suivant/Avance rapide ou Précédent/
Retour rapide) pour parcourir les Mix Genius. Les points situés en bas de l’écran indiquent le nombre de Mix Genius synchronisés avec l’iPod classic.
3 Pour lancer la lecture d’un Mix Genius, appuyez sur le bouton central ou sur Lecture/
Pause lorsque vous voyez cet écran.
Création de listes de lecture On-The-Go sur l’iPod classic
Vous pouvez créer des listes de lecture On-The-Go sur l’iPod classic lorsque
l’iPod classic n’est pas connecté à votre ordinateur..
Pour créer une liste de lecture On-The-Go :
1 sélectionnez un morceau, puis maintenez enfoncé le bouton central jusqu’à ce qu’un
menu apparaisse ;
2 choisissez « Ajouter à On-the-Go », puis appuyez sur le bouton central.
3 Pour ajouter d’autres morceaux, répétez les étapes 1 et 2.
4 Sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go pour afficher et lire votre
liste de morceaux.
L’icône de haut-parleur
apparaît lorsque le Mix
Genius sélectionné est
en cours de lecture.
❋Chapitre 3 Écoute musique 39
Vous pouvez également ajouter une liste de morceaux. Par exemple, pour ajouter un
album, sélectionnez le titre de l’album, puis maintenez le bouton central enfoncé
jusqu’à ce qu’un menu apparaisse et sélectionnez « Ajouter à On-The-Go ».
Pour lire les morceaux d’une liste de lecture On-The-Go :
m sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go, puis choisissez un morceau.
Pour supprimer un morceau d’une liste de lecture On-The-Go :
1 sélectionnez un morceau dans la liste de lecture, puis maintenez enfoncé le bouton
central jusqu’à ce qu’un menu apparaisse ;
2 choisissez « Supprimer de On-the-Go », puis appuyez sur le bouton central.
Pour effacer tout le contenu de la liste de lecture On-The-Go :
m Choisissez Musique > Listes de lecture > On-The-Go > Effacer la liste de lecture,
puis cliquez sur Effacer.
Pour enregistrer la liste de lecture On-The-Go sur l’iPod classic :
m Choisissez Musique > Listes de lecture > On-The-Go > Enregistrer liste.
La première liste de lecture est enregistrée sous l’intitulé « Nouvelle liste 1 » dans le
menu Listes de lecture. La liste de lecture On-The-Go est effacée. Vous pouvez enregistrer autant de listes de lecture que vous le souhaitez. Après avoir enregistré une liste de
lecture, vous ne pouvez plus en supprimer des morceaux.
Pour copier les listes de lecture On-The-Go sur votre ordinateur :
m Si l’iPod classic est configuré de manière à mettre automatiquement à jour les
morceaux (voir la section « Synchronisation automatique de la musique » à la page 25)
et vous créez une liste de lecture On-The-Go, la liste de lecture est copiée automatiquement vers iTunes lorsque vous connectez l’iPod classic. La nouvelle liste de lecture OnThe-Go apparaît dans la liste des listes de lecture d’iTunes. Vous pouvez renommer,
modifier ou supprimer la nouvelle liste de lecture, comme n’importe quelle autre liste
de lecture.
Exploration des morceaux par artiste ou album
Lorsque vous écoutez un morceau, vous pouvez explorer les morceaux du même
artiste ou tous les morceaux de l’album actuel.
Pour explorer les morceaux par artiste :
1 Dans l’écran En lecture, maintenez le bouton central enfoncé jusqu’à ce qu’un
menu apparaisse.
2 Choisissez Explorer l’artiste, puis appuyez sur le bouton central.
Vous voyez apparaître les autres morceaux de cet artiste qui figurent sur votre
iPod classic. Vous pouvez sélectionner un autre morceau ou revenir à l’écran En lecture.40 Chapitre 3 Écoute musique
Pour explorer les morceaux par album :
1 Dans l’écran En lecture, maintenez le bouton central enfoncé jusqu’à ce qu’un
menu apparaisse.
2 Choisissez Explorer l’album, puis appuyez sur le bouton central.
Vous voyez apparaître les autres morceaux de l’album qui figurent sur votre
iPod classic. Vous pouvez sélectionner un autre morceau ou revenir à l’écran En lecture.
Réglage de l’iPod classic pour la lecture de morceaux dans un
ordre aléatoire
Vous pouvez configurer l’iPod classic de sorte qu’il lise des morceaux, des albums ou
l’ensemble de votre bibliothèque dans un ordre aléatoire.
Pour configurer l’iPod classic de manière qu’il lise tous vos morceaux dans un
ordre aléatoire :
m Choisissez Mix de morceaux dans le menu principal de l’iPod classic.
L’iPod classic commence à lire des morceaux de l’ensemble de votre bibliothèque de
musique dans un ordre aléatoire, en ignorant les livres audio et les podcasts.
Pour configurer l’iPod classic de sorte qu’il lise toujours les morceaux ou les albums
dans un ordre aléatoire :
1 Choisissez Réglages dans le menu principal de l’iPod classic.
2 Réglez l’élément du menu Aléatoire sur Morceaux ou Albums.
Lorsque vous configurez l’iPod classic pour lire les morceaux dans un ordre aléatoire,
l’iPod classic reproduit dans un ordre aléatoire les morceaux de la liste (par exemple
l’album ou la liste de lecture) que vous avez choisi de lire.
Lorsque vous configurez l’iPod classic pour lire les albums dans un ordre aléatoire, il lit
tous les morceaux d’un album dans l’ordre, puis sélectionne de façon aléatoire un autre
album et lit également les morceaux qu’il contient dans l’odrdre.
Vous pouvez aussi configurer l’iPod classic pour lire des morceaux dans un ordre aléatoire directement depuis l’écran En lecture.
Pour configurer l’iPod classic pour lire les morceaux dans un ordre aléatoire depuis
l’écran En lecture :
1 Dans l’écran En lecture, cliquez sur le bouton central jusqu’à ce que le curseur de lecture aléatoire apparaisse.
2 Utilisez la molette cliquable pour configurez l’iPod classic pour lire les morceaux ou les
albums dans un ordre aléatoire.
Réglage de l’iPod classic pour la répétition des morceaux
Vous pouvez régler l’iPod classic de sorte qu’il répète un morceau indéfiniment ou bien
qu’il répète les morceaux d’une liste particulière.Chapitre 3 Écoute musique 41
Pour régler l’iPod classic de sorte qu’il répète les morceaux :
m Choisissez Réglages dans le menu principal de l’iPod classic.
 Pour répéter tous les morceaux de la liste, réglez l’élément du menu Répéter sur Tous.
 Pour lire un morceau en boucle, réglez l’élément du menu Répéter sur Un.42 Chapitre 3 Écoute musique
Recherche de musique
Vous pouvez rechercher sur l’iPod classic des morceaux, des listes de lecture, des titres
d’album, des noms d’artiste, des podcasts audio et des livres audio. La recherche ne
porte pas sur les vidéos, les notes, les éléments de calendrier, les contacts ni les paroles.
Remarque : Toutes les langues ne sont pas prises en charge.
Pour rechercher de la musique :
1 Choisissez Rechercher dans le menu Musique.
2 Saisissez une chaîne de recherche. Pour cela, utilisez la molette cliquable pour parcourir l’alphabet et choisissez les caractères un par un en appuyant sur le bouton central.
iPod classic lance la recherche dès que vous saisissez le premier caractère et affiche les
résultats sur l’écran de recherche. Par exemple, si vous saisissez « b », l’
iPod classic affiche tous les éléments de musique qui contiennent la lettre « b ». si
vous saisissez « ab », l’iPod classic affiche tous les éléments qui contiennent cette
suite de lettres.
Pour saisir un espace, appuyez sur le bouton Suivant/Avance rapide.
Pour supprimer le caractère précédent, appuyez sur le bouton Précédent/Retour rapide.
3 Appuyez sur Menu pour afficher la liste des résultats dans laquelle vous pouvez naviguez à l’aide de la molette cliquable.
Les éléments apparaissent dans la liste des résultats avec des icônes identifiant leur
type : morceau, vidéo, artiste, album, livre audio, podcast ou iTunes U.
Pour revenir à Recherche (si l’élément Recherche est sélectionné dans le menu),
appuyez sur le bouton central.
Personnalisation du menu Musique
Vous pouvez ajouter ou supprimer des éléments du menu Musique comme dans
le menu principal. Vous pouvez par exemple ajouter un élément Compilations au
menu Musique pour pouvoir choisir facilement des compilations constituées à partir
de plusieurs sources.
Pour ajouter ou supprimer des éléments dans le menu Musique :
1 Choisissez Réglages > Menu Musique.
2 Choisissez les différents éléments qui doivent apparaître dans le menu Musique. Une
coche identifie les éléments qui ont été ajoutés. Pour revenir aux réglages du menu Musique, choisissez Réinitialiser le menu.Chapitre 3 Écoute musique 43
Réglage de la limite de volume maximum
Vous pouvez définir une limite de volume maximum sur l’iPod classic et assigner un
code pour empêcher quiconque de modifier ce réglage.
Pour définir le volume maximum de l’iPod classic :
1 Sélectionnez Réglages > Volume maximum.
La commande de volume affiche le volume actuel.
2 Utilisez la molette cliquable pour sélectionner le niveau sonore que vous souhaitez établir en tant que volume maximum.
Vous pouvez appuyez sur Lire afin d’écouter le morceau en cours de sélection lorsque
vous choisissez le niveau sonore.
3 Appuyez sur le bouton central pour définir le volume maximum.
Dans la barre de volume, un triangle indique le volume maximum.
4 Appuyez sur le bouton Menu pour valider le volume maximum défini sans exiger de
code pour le modifier. Vous pouvez également définir, dans l’écran Saisir le code, le
code nécessaire pour modifier le volume maximum.
5 Pour saisir un code :
 Utilisez la molette cliquable pour sélectionner un chiffre à entrer dans la case du premier chiffre. Appuyez sur le bouton central pour confirmer votre choix et passer à la
case suivante.
 Utilisez la même méthode pour définir les autres chiffres du code (ou combinaison).
Vous pouvez utiliser le bouton Suivant/Avance rapide pour passer à la case suivante
ou le bouton Précédent/Retour rapide pour revenir à la case précédente. Appuyez
sur le bouton central lorsque vous vous trouvez sur la dernière position pour confirmer le code entier.
Si vous avez défini une combinaison, vous devez alors la saisir avant de modifier ou de
supprimer le volume maximum.
Le volume des morceaux et des autres fichiers audio peut varier selon leur mode
d’enregistrement ou d’encodage. Consultez la section « Activation de la lecture de tous
les morceaux au même volume » à la page 44 pour obtenir des informations sur la
manière de mettre en place un niveau sonore relatif dans iTunes et sur l’iPod classic.
Le niveau sonore peut également varier selon le type d’écouteurs ou de casque
utilisés. À l’exception de l’iPod Radio Remote, les accessoires qui se branchent via
le connecteur iPod Dock Connector de l’iPod ne prennent pas en charge le
volume maximum.
Pour modifier le volume maximum :
1 Sélectionnez Réglages > Volume maximum. 44 Chapitre 3 Écoute musique
2 Si vous avez établi une combinaison, saisissez-la en utilisant la molette cliquable pour
sélectionner les chiffres et en appuyant sur le bouton central pour les valider.
3 Utilisez la molette cliquable pour modifier le niveau sonore établi en tant que
volume maximum.
4 Appuyez sur le bouton Lecture/Pause pour accepter la modification.
Pour supprimer le volume maximum :
1 Si vous êtes en train d’écouter l’iPod classic, appuyez sur Pause.
2 Sélectionnez Réglages > Volume maximum.
3 Si vous avez établi une combinaison, saisissez-la en utilisant la molette cliquable pour
sélectionner les chiffres et en appuyant sur le bouton central pour les valider.
4 Utilisez la molette cliquable pour déplacer la limite établie jusqu’au niveau le plus élevé
sur la barre de volume. Cela annule toute restriction quant au volume.
5 Appuyez sur le bouton Lecture/Pause pour accepter la modification.
Si vous avez oublié le code, vous pouvez toujours restaurer l’iPod classic. Consultez
la section « Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod » à la page 78 pour en
savoir plus.
Activation de la lecture de tous les morceaux au même volume
iTunes peut régler automatiquement le volume des morceaux, de manière qu’ils soient
lus au même volume relatif. Vous pouvez configurer l’iPod classic de sorte qu’il utilise
les réglages de volume d’iTunes.
Pour régler iTunes de sorte qu’il lise les morceaux au même niveau sonore :
1 Dans iTunes, sélectionnez iTunes > Préférences si vous utilisez un Mac ou sélectionnez
Édition > Préférences si vous utilisez un PC Windows.
2 Cliquez sur Lecture, cochez la case Égaliseur de volume, puis cliquez sur OK.
Pour configurer l’iPod classic de sorte qu’il utilise les réglages de volume d’iTunes :
m Choisissez Réglages, puis réglez Égaliseur de volume sur Oui.
Si vous n’avez pas activé l’égaliseur de volume dans iTunes, l’activer sur l’iPod classic n’a
aucun effet.
Utilisation de l’égaliseur
Vous pouvez utiliser des préréglages d’égaliseur pour adapter le son de l’iPod classic à
un genre ou style musical particulier. Par exemple, pour améliorer l’acoustique d’un
morceau rock, réglez l’égaliseur sur Rock.
Pour utiliser l’égaliseur pour modifier le son de l’iPod classic :
m Sélectionnez Réglages > Égaliseur, puis choisissez un préréglage d’égaliseur. Chapitre 3 Écoute musique 45
Si vous avez assigné un préréglage d’égaliseur à un morceau dans iTunes et que l’égaliseur de l’iPod classic est désactivé, le morceau est lu avec les réglages d’iTunes. Pour en
savoir plus, consultez l’Aide iTunes.46 Chapitre 3 Écoute musique
Lecture de podcasts
Les podcasts sont des émissions téléchargeables gratuites que vous pouvez vous procurer sur l’iTunes Store. Les podcasts s’organisent par émissions, épisodes (inclus dans
les séries) et chapitres (inclus dans les épisodes). Si vous interrompez la lecture d’un
podcast sur l’iPod et que vous la reprenez plus tard, elle recommencera à l’endroit où
vous vous étiez arrêté.
Pour écouter un podcast :
1 Dans le menu principal, sélectionnez Podcasts, puis choisissez une émission.
Les émissions s’affichent dans l’ordre chronologique inverse pour que vous puissiez
commencer par la plus récente. Un point bleu apparaît à côté des émissions et des épisodes que vous n’avez pas encore regardés ou écoutés.
2 Choisissez un épisode à écouter.
Pour les podcasts audio, l’écran En lecture affiche les informations sur l’émission et
l’épisode, mais aussi sur le temps écoulé et le temps restant. Appuyez sur le bouton
central pour faire afficher le défileur, les étoiles de classement et d’autres informations
sur le podcast. Les podcasts vidéo sont manipulables comme toute autre vidéol.
Si le podcast comporte des chapitres, vous pouvez appuyer sur le bouton Suivant/
Avance rapide pour passer au chapitre suivant et Précédent/Retour rapide pour revenir
au début du chapitre courant.
Si le podcast inclut des illustrations, vous pourrez également les visualiser. Les illustrations d’un podcast peuvent changer au cours d’un épisode.
Pour en savoir plus sur les podcasts, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes.
Recherchez alors « podcasts ».
Lecture de contenu iTunes U
iTunes U est une partie de l’iTunes Store qui contient des conférences, des leçons de
langue, des livres audio et d’autres éléments gratuits, que vous pouvez télécharger et
reproduire sur votre iPod classic. Le contenu iTunes U est organisé en collections, selon
les éléments, les auteurs et les fournisseurs.
Si vous interrompez la lecture d’un contenu iTunes U, celle-ci reprendra à l’endroit où
vous l’avez interrompue lorsque vous y reviendrez.
Pour lire du contenu iTunes U :
1 Dans le menu principal, sélectionnez iTunes U, puis choisissez une collection.
Les éléments d’une collection s’affichent dans l’ordre chronologique inverse pour que
vous puissiez commencer par écouter la plus récente. Un point bleu apparaît à côté des
collections et des éléments que vous n’avez pas encore lus.Chapitre 3 Écoute musique 47
2 Choisissez un élément à lire.
Pour en savoir plus sur iTunes U, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes.
Recherchez alors « iTunes U ».
Écoute de livres audio
Pour écouter des livres audio sur l’iPod classic, sélectionnez Livres audios dans le menu
Musique. Choisissez un livre audio, puis appuyez sur Lecture/Pause.
Si vous arrêtez la lecture d’un livre audio sur l’iPod classic et la reprenez plus tard, la lecture du livre audio reprend à l’endroit où vous l’avez interrompue. L’iPod classic
ignore les livres audio lorsqu’il est en mode aléatoire.
Si le livre audio que vous écoutez comporte des chapitres, vous pouvez appuyer sur le
bouton Suivant/Avance rapide pour passer au chapitre suivant et Précédent/Retour
rapide pour revenir au début du chapitre en cours de lecture. Vous pouvez également
sélectionner le livre audio dans le menu Livres audio, puis choisir un chapitre ou
Reprendre si vous souhaitez démarrer la lecture où vous vous étiez arrêté.
Vous pouvez lire des livres audio à des vitesses inférieures ou supérieures à la normale.
Le choix d’une vitesse de lecture ne concerne que les livres audio achetés sur l’iTunes
Store ou sur audible.com.
Pour régler la vitesse de lecture d’un livre audio :
m Sélectionnez Réglages > Livres audio, puis choisissez une vitesse.
Écoute d’émissions de radio FM
Vous pouvez écouter la radio avec l’accessoire facultatif iPod Radio Remote pour
iPod classic.
L’iPod Radio Remote se connecte à l’iPod classic au moyen du connecteur Dock.
Lorsque vous utilisez la télécommande iPod Radio Remote, une commande de menu
Radio apparaît dans le menu principal de l’iPod classic. Pour en savoir plus, consultez la
documentation concernant l’iPod Radio Remote.4
48
4 Visionnement de vidéos
Vous pouvez regarder des films, des séries TV, des podcasts
vidéo et bien d’autres choses avec votre iPod classic. Lisez ce
chapitre pour apprendre comment regarder des vidéos sur
votre iPod classic et sur votre téléviseur.
Vous pouvez visionner et écouter des vidéos sur l’iPod classic. Si vous disposez
d’un câble AV compatible (vendu séparément sur www.apple.com/fr/ipodstore ou
dans votre magasin Apple), vous pouvez visionner les vidéos de votre iPod classic
sur un téléviseur.
Visionnement de vidéos sur l’iPod classic
Les vidéos que vous ajoutez à l’iPod classic apparaissent dans les menus Vidéos.
Les clips vidéo apparaissent aussi dans les menus Musique.
Pour visionner une vidéo sur l’iPod classic :
1 Choisissez Vidéos, puis sélectionnez la vidéo souhaitée.
2 Sélectionnez une vidéo, puis appuyez sur Lecture/Pause.
Lorsque vous lisez la vidéo, vous voyez les images et entendez le son.
Visionnement de podcasts vidéo
Pour visionner un podcast vidéo :
m Dans le menu principal, sélectionnez Podcasts, puis choisissez un podcast vidéo.
Pour en savoir plus, consultez la section « Lecture de podcasts » à la page 46.
Visionnement de vidéos téléchargées sur iTunes U
Pour visionner une vidéo d’iTunes U :
m Dans le menu principal, sélectionnez iTunes U, puis choisissez une vidéo.
Pour en savoir plus, consultez la section « Lecture de contenu iTunes U » à la page 46.Chapitre 4 Visionnement de vidéos 49
Visionnement de vidéos sur un téléviseur connecté à
l’iPod classic
Si vous disposez d’un câble AV Apple, vous pouvez visionner des vidéos sur un téléviseur connecté à votre iPod classic. Vous devez d’abord configurer l’iPod classic de sorte
qu’il affiche les vidéos sur un téléviseur, puis connecter l’iPod classic à votre téléviseur
et enfin lire la vidéo.
Utilisez le câble AV composante Apple, le câble AV composite Apple ou le kit de
connexion AV Apple. Il se peut que des câbles RCA similaires ne fonctionnent pas.
Vous pouvez acheter ces câbles sur www.apple.com/fr/ipodstore ou dans votre
magasin Apple.
Pour configurer l’iPod classic de sorte qu’il affiche les vidéos sur un téléviseur :
m Choisissez Vidéos > Réglages, puis réglez Sortie télévision sur Demander ou
Activé.
Si vous avez réglé Sortie télévision sur Activé, l’iPod classic vous demande si vous souhaitez afficher les vidéos sur un téléviseur ou sur l’iPod classic chaque fois que vous
lisez une vidéo. Si vous réglez Sortie télévision sur Activé, l’iPod classic affichent les
vidéos uniquement sur le téléviseur. Si vous essayez de lire une vidéo lorsque
l’iPod classic n’est pas connecté à un téléviseur, l’iPod classic affiche un message vous
demandant de le connecter à un téléviseur.
Vous pouvez également choisir entre la lecture des vidéos en mode écran large ou
plein écran et entre la lecture sur des appareils PAL ou NTSC.
Pour définir les réglage du téléviseur :
m Choisissez Vidéos > Réglages, puis suivez les instructions ci-dessous.
Pour activer : Procédez comme suit :
Vidéo à visionner sur
un téléviseur
Réglez Sortie télévision sur Demander ou Oui.
Vidéos à visionner sur téléviseurs PAL ou NTSC
Réglez Signal télévision sur NTSC ou PAL. NTSC et PAL font réfé-
rence à des normes de diffusion TV. Votre téléviseur utilise probablement l’une de ces deux normes, selon la région du monde dans
laquelle il a été acheté. Si vous ne savez pas laquelle de ces normes votre téléviseur utilise, consultez la documentation que
accompagne votre téléviseur.
Format de votre
téléviseur externe
Réglez l’écran du téléviseur sur Écran large pour le format 16/9 ou
Standard pour le format 4/3.
Adaptation de la vidéo à
votre écran
Réglez « Adapter à l’écran » sur Oui. Si vous réglez « Adapter à
l’écran » sur Non, les vidées pour écran large s’affichent au format
letterbox sur l’iPod classic ou sur les téléviseurs standard (4:3).
La lecture de l’audio alternatif Réglez Audio alternatif sur Oui.
L’affichage des légendes Réglez Légendes sur Oui.
L’affichage des sous-titres Réglez Sous-titres sur Oui.50 Chapitre 4 Visionnement de vidéos
Pour utiliser le câble AV composante Apple afin de connecter l’iPod classic
à votre téléviseur :
1 Branchez les connecteurs vidéo rouge, vert et bleu dans les ports d’entrée vidéo composante (Y, Pb et Pr) de votre téléviseur.
Vous pouvez également utiliser le câble AV composite Apple. Dans ce cas, connectez le
connecteur vidéo jaune dans le port d’entrée vidéo de votre téléviseur. Votre téléviseur
doit être équipé de ports audio et vidéo RCA.
2 Branchez respectivement les connecteurs audio blanc et rouge dans les port d’entrée
audio analogique gauche et droit de votre téléviseur.
3 Branchez le connecteur iPod Dock Connector sur votre iPod classic ou sur une station
d’accueil Universal Dock.
4 Branchez le connecteur USB à votre adaptateur secteur USB Power Adapter ou votre
ordinateur, de manière à garder votre iPod classic chargé.
5 Mettez votre iPod classic et votre téléviseur ou récepteur sous tension pour lancer
la lecture.
Assurez-vous d’activer l’option Sortie télévision de votre iPod classic.
Remarque : Les ports de votre téléviseur ou récepteur peuvent différer de ceux
qui sont illustrés.
Pour visionner une vidéo sur votre téléviseur :
1 Connectez l’iPod classic à votre téléviseur (voir ci-avant).
2 Allumez votre téléviseur et réglez-le de sorte qu’il affiche le signal provenant des ports
d’entrée connectés à l’iPod classic.
Consultez la documentation qui accompagne votre téléviseur pour plus d’informations.
3 Sur l’iPod classic, choisissez Vidéos, puis sélectionnez la vidéo souhaitée.
Adaptateur
secteur USB
Connecteur
USB
iPod Audio gauche
(blanc)
Connecteur Dock
Télévision
Vidéo in (Y, Pb, Pr)
Audio droit (rouge)5
51
5 Ajout et visionnement de photos
Lisez ce chapitre pour apprendre comment importer et
visionner des photos.
Vous pouvez importer des photos numériques dans votre ordinateur, puis les ajouter à
l’iPod classic. Vous pouvez visionner vos photos sur l’iPod classic ou sous la forme d’un
diaporama sur votre téléviseur.
Importation de photos
Si votre ordinateur est un Mac, vous pouvez importer des photos provenant d’un appareil photo numérique sur votre ordinateur en utilisant iPhoto.
Vous pouvez importer d’autres images numériques, comme des images téléchargées
sur Internet, dans iPhoto. Pour en savoir plus sur l’importation, l’organisation et l’édition de photos et d’autres images, ouvrez iPhoto, puis choisissez Aide > Aide iPhoto.
iPhoto fait partie d’une suite d’applications appelée iLife, en vente sur le site web
www.apple.com/fr/ilife ou dans votre magasin Apple. Il est possible qu’iPhoto soit déjà
installé sur votre Mac, dans le dossier Applications.
Pour importer des photos sur un PC sous Windows, suivez les indications fournies avec
votre appareil photo numérique ou avec votre logiciel de photo.52 Chapitre 5 Ajout et visionnement de photos
Ajout de photos provenant de votre ordinateur à l’iPod classic
Si vous possédez un Mac et iPhoto 7.1.5 ou ultérieur, vous pouvez synchroniser les
albums iPhoto automatiquement (pour Mac OS X 10.4.11, iPhoto 6.0.6 ou ultérieur est
requis). Si vous possédez un PC ou un Mac, vous pouvez ajouter des photos sur
l’iPod classic depuis un fichier de votre disque dur.
L’ajout de photos à l’iPod classic la première fois peut durer un certain temps si votre
photothèque contient un grand nombre de photos.
Pour synchroniser des photos depuis un Mac avec l’iPod classic en utilisant iPhoto :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Photos.
2 Sélectionnez « Synchroniser les photos à partir de : Puis, choisissez iPhoto dans le
menu local.
3 Sélectionnez vos options de synchronisation :
 Pour ajouter toutes vos photos, sélectionnez « Tous les albums, photos, événements
et visages ».
 Pour ajouter certaines photos uniquement, sélectionnez « Albums, événements et
visages sélectionnés, et inclure automatiquement… », puis choisir une option dans le
menu local. Sélectionnez alors les albums, les événements et les visages que vous
souhaitez ajouter. (l’option relative aux visages est prise en charge seulement par
iPhoto 8.1 ou ultérieur) ;
 pour ajouter des vidéos depuis iPhoto, sélectionnez « Inclure les vidéos ».
4 Cliquez sur Appliquer.
Pour ajouter des photos à partir d’un dossier de votre disque dur à l’iPod classic :
1 Faites glisser les images dans un dossier de votre ordinateur.
Si vous souhaitez que les images apparaissent dans différents albums photo sur
l’iPod classic, créez des dossiers à l’intérieur du dossier d’images principal et faites glisser les images dans les nouveaux dossiers.
2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Photos.
3 Sélectionnez « Synchroniser les photos à partir de : … »… ». Chapitre 5 Ajout et visionnement de photos 53
4 Sélectionnez « Choisir un dossier » dans le menu local, puis choisissez votre
dossier d’images.
5 Cliquez sur Appliquer.
Ajout de fichiers d’image en pleine résolution à l’iPod classic
Lorsque vous ajoutez des photos à l’iPod classic, iTunes optimise les photos pour l’affichage. Par défaut, les fichiers d’image en pleine résolution ne sont pas transférés.
L’ajout de fichiers d’image en pleine résolution est utile si vous souhaitez, par exemple,
les déplacer d’un ordinateur à un autre, mais il n’est pas nécessaire pour afficher les
images en haute qualité sur l’iPod classic.
Pour ajouter des fichiers d’image en pleine résolution à l’iPod classic :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Photos.
2 Sélectionnez « Inclure les photos en pleine résolution ».
3 Cliquez sur Appliquer.
iTunes copie les versions en pleine résolution des photos dans le dossier Photos de
l’iPod classic.
Pour supprimer des photos de l’iPod classic :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Photos.
2 Sélectionnez « Synchroniser les photos à partir de : … ».
 Sur un Mac, choisissez iPhoto dans le menu local.
 Sur un PC Windows, choisissez Photoshop Album ou Photoshop Elements dans le
menu contextuel.
3 Choisissez « Albums sélectionnés », puis désélectionnez les albums que vous souhaitez
supprimer de l’iPod classic.
4 Cliquez sur Appliquer.
Visionnage de photos
Vous pouvez visionner des photos sur l’iPod classic manuellement, ou sous la forme
d’un diaporama. Si vous disposez d’un câble AV Apple optionnel (un câble AV composante par exemple), vous pouvez connecter l’iPod classic à un téléviseur et afficher vos
photos sous forme de diaporama accompagné de musique.54 Chapitre 5 Ajout et visionnement de photos
Visionnage de photos sur l’iPod classic
Pour visionner des photos sur l’iPod classic :
1 Sur l’iPod classic, choisissez Photos > Toutes les photos. Vous pouvez aussi sélectionner
Photos, puis un album photo pour afficher uniquement les photos de cet album. L’affichage des vignettes des photos peut prendre un moment.
2 Sélectionnez la photo de votre choix, puis appuyez sur le bouton central pour afficher
une version en plein écran.
À partir de n’importe quel écran d’affichage de photos, utilisez la molette cliquable
pour faire défiler les photos. Pour passer à l’écran de photos suivant ou précédent,
appuyez sur le bouton Suivant/Avance rapide ou Précédent/Retour rapide. Maintenez
enfoncé le bouton Suivant/Avance rapide ou Précédent/Retour rapide pour sauter à la
première ou à la dernière photo de la photothèque ou de l’album.
Visionnage de diaporamas
Vous pouvez visionner un diaporama, avec la musique et les transitions de votre choix,
sur l’iPod classic. Si vous disposez d’un câble AV facultatif d’Apple, vous pouvez visionner le diaporama sur un téléviseur.
Pour configurer les réglages d’un diaporama :
m Choisissez Photos > Réglages, puis suivez les instructions ci-dessous :
Pour activer : Procédez comme suit :
La durée d’affichage de chaque diapositive
Sélectionnez Temps par diapo, puis choisissez une durée.
La musique d’accompagnement des diaporamas
Sélectionnez Musique, puis choisissez une liste de lecture. Si vous
utilisez iPhoto, vous pouvez choisir l’option D’iPhoto pour copier le
réglage de musique d’iPhoto. Seuls les morceaux que vous avez
ajouté à l’iPod classic sont lus.
Les diapositives à répéter Réglez Répéter sur Oui.
Les diapositives à afficher dans
un ordre aléatoire
Réglez Mix de photos sur Oui.
Les diapositives à afficher avec
des transitions
Sélectionnez Transitions, puis choisissez le type de transition.
Les diaporamas à afficher sur
l’iPod classic
Réglez Sortie télévision sur Demander ou Non.Chapitre 5 Ajout et visionnement de photos 55
Pour visionner un diaporama sur l’iPod classic :
m Choisissez une photo, un album ou un rouleau, puis appuyez sur le bouton Lecture/
Pause ou bien sélectionnez une photo en plein écran et appuyez sur le bouton central.
Pour faire une pause, appuyez sur le bouton Lecture/Pause. Pour passer à la photo suivante ou précédente, appuyez sur le bouton Suivant/Avance rapide ou Précédent/
Retour rapide.
Lorsque vous visionnez un diaporama, vous pouvez utiliser la molette cliquable pour
régler le volume et la luminosité. Vous pouvez utiliser la molette cliquable pour faire
défiler les photos d’un diaporama.
Si vous visionnez un diaporama d’un album qui contient des vidéos, le diaporama
s’interrompt lorsqu’il atteint une vidéo. Si de la musique est en cours de lecture, celle-ci
se poursuit. Si vous lisez une vidéo, la musique s’interrompt le temps de la vidéo, puis
reprend une fois celle-ci terminée. Pour lire la vidéo, appuyez sur Lecture/Pause. Pour
reprendre le diaporama, appuyez sur Suivant/Avance rapide.
Les diaporamas à afficher sur
un téléviseur
Réglez Sortie télévision sur Demander ou Oui.
Si vous avez réglé Sortie télévision sur Oui, l’iPod classic
vous demande si vous souhaitez afficher des diaporamas sur
un téléviseur ou sur l’iPod classic chaque fois que vous lancez
un diaporama.
Les diapositives à afficher sur
des téléviseurs PAL ou NTSC
Réglez Signal télévision sur PAL ou NTSC.
PAL et NTSC font référence à des normes de diffusion TV. Votre télé-
viseur utilise probablement l’une de ces deux normes, selon la
région du monde dans laquelle il a été acheté.
Si vous ne savez pas laquelle de ces normes votre téléviseur utilise,
consultez la documentation que accompagne votre téléviseur.
Pour activer : Procédez comme suit :56 Chapitre 5 Ajout et visionnement de photos
Pour régler la luminosité lors d’un diaporama :
1 Appuyez sur le bouton central jusqu’à ce que l’indicateur de luminosité apparaisse.
2 Réglez la luminosité à l’aide de la molette cliquable.
Pour connecter l’iPod classic à votre téléviseur :
1 Connectez le câble optionnel AV composante ou composite Apple à l’iPod classic.
Utilisez le câble AV composante Apple, le câble AV composite Apple ou le kit de connexion AV Apple. Les câbles RCA similaires ne fonctionnent pas. Vous pouvez acheter
ces câbles sur www.apple.com/fr/ipodstore ou dans votre magasin Apple.
2 Branchez les connecteurs vidéo et audio sur les ports de votre téléviseur (voir l’illustration en page 50).
Assurez-vous de régler l’option Sortie télévision de votre iPod classic sur Oui.
Votre téléviseur doit être équipé de ports audio et vidéo RCA. Les ports de votre téléviseur ou récepteur peuvent différer de ceux qui sont illustrés.
Pour visionner un diaporama sur un téléviseur :
1 Connectez l’iPod classic à votre téléviseur (voir ci-avant).
2 Allumez votre téléviseur et réglez-le de sorte qu’il affiche le signal provenant des ports
d’entrée connectés à l’iPod classic.
Consultez la documentation qui accompagne votre téléviseur pour plus d’informations.
3 Utilisez l’iPod classic pour lire et contrôler votre diaporama.
Ajout de photos provenant de l’iPod classic à un ordinateur
Si vous ajoutez des photos en pleine résolution de votre ordinateur à l’iPod classic en
suivant les étapes précédentes, elles sont stockées sur l’iPod classic dans un dossier intitulé Photos. Vous pouvez connecter l’iPod classic à un ordinateur et mettre ces photos
sur l’ordinateur. L’utilisation de l’iPod classic en tant que disque dur doit être activée
(voir la section « Utilisation de l’iPod classic en tant que disque externe » à la page 58).
Pour ajouter des photos de l’iPod classic à un ordinateur :
1 Connectez l’iPod classic à l’ordinateur.Chapitre 5 Ajout et visionnement de photos 57
2 Faites glisser des fichiers d’images du dossier Photos ou DCIM de l’iPod classic vers le
bureau ou une application de retouche de photos sur l’ordinateur.
Remarque : Vous pouvez aussi utiliser une application de retouche de photos, comme,
par exemple, iPhoto, pour ajouter des photos stockées dans le dossier Photos. Consultez la documentation qui accompagne l’application pour plus d’informations.
Pour supprimer des photos du dossier Photos de l’iPod classic :
1 Connectez l’iPod classic à l’ordinateur.
2 Naviguez jusqu’au dossier Photos de l’iPod classic et supprimez les photos dont
vous ne voulez plus.6
58
6 Réglages et fonctionnalités supplémentaires, accessoires
Votre iPod classic peut faire bien plus que lire des
morceaux et avec lui, vous pouvez faire bien plus
qu’écouter de la musique.
Consultez ce chapitre pour en savoir plus sur les fonctions supplémentaires de
l’iPod classic, notamment utilisation en tant que disque externe, alarme, minuterie de
mise en veille, horloges affichant l’heure dans d’autres régions du monde, affichage de
notes et fonction de synchronisation de contacts, de calendriers et de listes de tâches.
Apprenez comment utiliser l’iPod classic en tant que chronomètre et comment verrouiller l’écran, et découvrez quelques uns des accessoires disponibles pour
l’iPod classic.
Utilisation de l’iPod classic en tant que disque externe
Vous pouvez utiliser l’iPod classic en tant que disque externe pour y stocker des fichiers
de données.
Remarque : Pour ajouter de la musique et d’autres données audio ou des fichiers vidéo
à l’iPod classic, vous devez utiliser iTunes. Par exemple, vous ne voyez pas les morceaux
ajoutés à l’aide d’iTunes dans le Finder du Mac ni dans l’explorateur Windows. De la
même façon, si vous copiez des fichiers de musique sur l’
iPod classic dans le Finder du Mac ou dans l’explorateur Windows, vous ne pourrez pas
les lire sur l’iPod classic.
Pour activer l’iPod classic en tant que disque externe :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez
sur l’onglet Résumé.
2 Dans la section Options, sélectionnez « Activer l’utilisation comme disque dur ».
3 Cliquez sur Appliquer.
Lorsque vous utilisez l’iPod classic en tant que disque externe, l’icône de disque
iPod classic apparaît sur le bureau du Mac ou sous la lettre d’unité disponible suivante
dans l’explorateur Windows sur un PC Windows.Chapitre 6 Réglages et fonctionnalités supplémentaires, accessoires 59
Remarque : Vous pouvez également cliquer sur Résumé, puis cocher la case « Gérer
manuellement la musique et les clips vidéo » dans la section Options pour activer l’utilisation de l’iPod classic en tant que disque externe. Faites glisser des fichiers sur et à
partir de l’iPod classic pour les copier.
Si vous utilisez principalement l’iPod classic en tant que disque, vous souhaiterez probablement qu’iTunes ne s’ouvre pas automatiquement lorsque vous connectez
l’iPod classic à votre ordinateur.
Pour empêcher iTunes de s’ouvrir automatiquement lorsque vous connectez l’
iPod classic à votre ordinateur :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Résumé.
2 Dans la section Options, desélectionnez « Ouvrir iTunes à la connexion de cet iPod ».
3 Cliquez sur Appliquer.
Utilisation des réglages supplémentaires
Vous pouvez régler la date et l’heure, définir des horloges dans différents fuseaux horaires et définir des fonctionnalités d’alarme et de suspension de l’activité sur
l’iPod classic. Vous pouvez utiliser l’iPod classic en tant que chronomètre ou comme
console de jeu et verrouiller l’écran de l’iPod classic.
Réglage et affichage de la date et de l’heure
La date et l’heure sont réglées automatiquement à partir de l’horloge de votre ordinateur lorsque vous connectez l’iPod classic, mais vous pouvez les modifier.
Pour régler les options de date et d’heure :
1 Choisissez Réglages > Date et Heure.
2 Choisissez une ou plusieurs des options suivantes :
Pour Procédez comme suit :
Régler la date Choisissez Date. Utilisez la molette cliquable pour modifier la valeur
sélectionnée. Appuyez sur le bouton central pour passer à la valeur
suivante.
Régler l’heure Choisissez Heure. Utilisez la molette cliquable pour modifier la
valeur sélectionnée. Appuyez sur le bouton central pour passer à la
valeur suivante.
Indiquer le fuseau horaire Choisissez Fuseau horaire, puis utilisez la molette cliquable pour
sélectionner une ville se trouvant dans un autre fuseau horaire.
Afficher l’heure au format
24 heures
Choisissez Horloge 24 heures, puis appuyez sur le bouton central
pour activer ou désactiver le format 24 heures.
Afficher l’heure dans la barre
de titre
Choisissez Heure dans titre, puis appuyez sur le bouton central
pour activer ou désactiver cette option. 60 Chapitre 6 Réglages et fonctionnalités supplémentaires, accessoires
Ajout d’horloges d’autres fuseaux horaires
Pour ajouter des horloges d’autres fuseaux horaires :
1 Choisissez Extras > Horloge monde.
2 Dans l’écran Horloge monde, appuyez sur le bouton central, puis choisissez Ajouter.
3 Choisissez une région, puis une ville.
Les horloges ajoutées s’affichent dans une liste. La dernière horloge ajoutée s’affiche
à la fin.
Pour supprimer une horloge :
1 Choisissez Extras > Horloge monde.
2 Choisir l’horloge.
3 Choisissez Supprimer.
Réglage de l’alarme
Vous pouvez régler une alarme pour n’importe quelle horloge sur l’iPod classic.
Pour utiliser l’iPod classic comme une horloge d’alarme :
1 Choisissez Extras > Alarmes.
2 Choisissez Créer nouvelle, puis configurez une ou plusieurs des options suivantes :
Pour supprimer une alarme :
1 Choisissez Extras > Alarmes.
2 Choisissez l’alarme, puis Supprimer.
Pour Procédez comme suit :
Activer l’alarme Choisissez Alarme, puis Active.
Régler la date Choisissez Date. Utilisez la molette cliquable pour modifier la
valeur sélectionnée. Appuyez sur le bouton central pour passer
à la valeur suivante.
Régler l’heure Choisissez Heure. Utilisez la molette cliquable pour modifier la
valeur sélectionnée. Appuyez sur le bouton central pour passer à la
valeur suivante.
Définir une option de
répétition
Choisissez Répétition, puis choisissez une option (par exemple, « du
lundi au vendredi »).
Choisir un son Choisissez Tonalités ou une liste de lecture. Si vous avez choisi
Tonalités, sélectionnez Bip pour que le haut-parleur interne diffuse
l’alarme. Si vous avez choisi une liste de lecture, vous devez connecter l’iPod classic à des haut-parleurs ou à des écouteurs pour
entendre l’alarme.
Nommer l’alarme Choisissez Étiquette, puis choisissez une option
(par exemple, « Réveil »).Chapitre 6 Réglages et fonctionnalités supplémentaires, accessoires 61
Réglage de la minuterie de mise en veille
Vous pouvez configurer l’iPod classic de façon qu’il s’éteigne automatiquement après
avoir lu un morceau ou tout autre contenu pendant un temps déterminé.
Pour configurer la minuterie de mise en veille :
1 Choisissez Extras > Alarmes.
2 Choisissez Mise en veille, puis choisissez pendant combien de temps l’iPod classic doit
être actif.
Utilisation du chronomètre
Vous pouvez utiliser le chronomètre pendant que vous faites de l’exercice pour connaî-
tre votre temps total et, si vous courrez sur une piste, vos temps de passage. Vous pouvez écouter de la musique tout en utilisant le chronomètre.
Pour utiliser le chronomètre :
1 Sélectionnez Extras > Chronomètre.
2 Appuyez sur le bouton Lecture/Pause pour lancer le chronomètre.
3 Appuyez sur le bouton central pour enregistrer des temps au tour. Jusqu’à trois temps
au tour s’affichent sous le temps total.
4 Appuyez sur le bouton Lecture/Pause pour arrêter le chronomètre général, ou choisissez Reprendre pour reprendre le chronométrage.
5 Choisissez Nouvelle minuterie pour lancer une nouvelle session de chronométrage.
Remarque : Une fois lancé, le chronomètre continue à compter le temps tant que vous
gardez l’écran Minuterie affiché. Si vous lancez le chronomètre, puis changez de menu
et que l’iPod classic n’est pas en train de lire de musique ou de vidéo, le chronomètre
s’arrête et l’iPod classic s’éteint automatiquement après quelques minutes.
Pour consulter ou supprimer une session de chronométrage mémorisée :
1 Sélectionnez Extras > Chronomètre.
L’historique courant et la liste des sessions de chronométrage
enregistrées apparaissent.
2 Choisissez une session de chronométrage pour la consulter.
L’iPod classic enregistre des statistiques concernant la date, l’heure et les temps au tour
pour chaque session de chronométrage. Vous pouvez voir la date et l’heure auxquelles
la session a commencé, le temps total de la session, le plus petit temps au tour, le plus
grand temps au tour et le temps au tour moyen ainsi que les derniers temps au tour.
3 Appuyez sur le bouton central, puis choisissez Supprimer l’historique pour supprimer
l’historique sélectionné ou Effacer les historiques pour supprimer tous les historiques.
Jeux
iPod classic est fourni avec trois jeux : iQuiz, Klondike et Vortex. 62 Chapitre 6 Réglages et fonctionnalités supplémentaires, accessoires
Pour jouer à un jeu :
m Sélectionnez Extras > Jeux, puis choisissez un jeu.
Vous pouvez acheter des jeux supplémentaires sur l’iTunes Store (dans certains pays)
pour jouer sur l’iPod classic. Une fois que vous avez acheté des jeux sur iTunes, vous
pouvez les ajouter à l’iPod classic en les synchronisant automatiquement ou en les
gérant manuellement.
Pour acheter à un jeu :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iTunes Store dans la liste à gauche de la fenêtre iTunes.
2 Choisissez Jeux iPod dans la liste de l’iTunes Store.
3 Sélectionnez le jeu souhaité, puis cliquez sur Ajouter ce jeu.
Pour synchroniser automatiquement les jeux sur l’iPod classic :
1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez
sur l’onglet Jeux.
2 Cochez « Synchroniser les jeux ».
3 Cliquez sur « Tous les jeux » ou « Jeux sélectionnés ». Si vous cliquez sur « Jeux
sélectionnés », sélectionnez les jeux à synchroniser.
4 Cliquez sur Appliquer.
Verrouillage de l’écran de l’iPod classic
Vous pouvez définir un code d’accès pour empêcher que l’iPod classic ne soit utilisé
sans votre autorisation. Lorsque vous verrouillez un iPod classic qui n’est pas connecté
à un ordinateur, vous devez entrer un code d’accès pour le déverrouiller et l’utiliser.
Remarque : Cela n’a rien à voir avec le bouton de verrouillage qui empêche l’utilisateur
d’appuyer par erreur sur des boutons de l’iPod classic de s’allumer accidentellement. Le
code d’accès empêche les autres personnes d’utiliser l’iPod classic.
Pour définir un code d’accès pour l’iPod classic :
1 Choisissez Extras > Verr. écran.
2 Dans l’écran Nouveau code d’accès, tapez un code d’accès :
 Utilisez la molette cliquable pour sélectionner un chiffre à entrer dans la case du premier chiffre. Appuyez sur le bouton central pour confirmer votre choix et passer à la
case suivante.
 Utilisez la même méthode pour définir les autres chiffres du code (ou combinaison).
Vous pouvez utiliser le bouton Suivant/Avance rapide pour passer à la case suivante
ou le bouton Précédent/Retour rapide pour revenir à la case précédente. Appuyez
sur le bouton central sur la dernière position.
3 Dans l’écran Confirmer le code d’accès, tapez le code d’accès pour le confirmer, ou
appuyez sur Menu pour terminer sans verrouiller l’écran.Chapitre 6 Réglages et fonctionnalités supplémentaires, accessoires 63
Lorsque vous avez fini, vous revenez à l’écran Verr. écran, où vous pouvez verrouiller
l’écran ou réinitialiser le code d’accès. Appuyez sur le bouton Menu pour terminer sans
verrouiller l’écran.
Pour verrouiller l’écran de l’iPod classic :
m Choisissez Extras > Verr. écran > Verrouiller.
Si vous venez de définir votre combinaison, l’élément Verrouiller sera déjà sélectionné à
l’écran. Il suffit alors d’appuyer sur le bouton central pour verrouiller l’iPod classic.
Lorsque l’écran est verrouillé, un cadenas apparaît.
Remarque : vous pouvez ajouter la commande de menu Verr. écran au menu principal
pour pouvoir verrouiller rapidement l’écran de l’iPod classic. Consultez la section
« Ajout ou suppression d’éléments dans le menu principal » à la page 9.
Lorsque le cadenas apparaît à l’écran, vous pouvez déverrouiller l’écran de
l’iPod classic de deux manières :
 Appuyez sur le bouton central pour entrer le code d’accès sur l’iPod classic. Utilisez la
molette cliquable pour sélectionner les chiffres, puis appuyez sur le bouton central
pour les confirmer. Si vous tapez un code d’accès incorrect, le verrouillage n’est pas
levé. Essayez à nouveau.
 Connectez l’iPod classic à l’ordinateur avec lequel vous l’utilisez généralement.
L’iPod classic se déverrouille automatiquement.
Remarque : Si, après avoir essayé ces méthodes, vous ne pouvez toujours pas déverrouiller l’iPod classic, vous pouvez restaurer l’iPod classic. Consultez la section « Mise à
jour et restauration du logiciel de l’iPod » à la page 78.
Pour modifier une combinaison déjà définie :
1 Choisissez Extras > Verr. écran > Réinitialiser.
2 Dans l’écran Saisir le code d’accès, tapez le code d’accès actuel.
3 Dans l’écran Nouveau code d’accès, tapez et confirmez un nouveau code d’accès.
Remarque : Si vous avez oublié la combinaison actuelle, la seule façon de l’effacer et
d’en entrer une nouvelle est de restaurer le logiciel de l’iPod classic. Consultez la section « Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod » à la page 78.
Synchronisation des contacts, des calendriers et des
listes de tâches
L’iPod classic peut mémoriser des contacts, des événements de votre calendrier et des
listes de tâches qui vous accompagneront partout. 64 Chapitre 6 Réglages et fonctionnalités supplémentaires, accessoires
Si vous utilisez Mac OS X 10.4 ou ultérieur, vous pouvez utiliser iTunes pour synchroniser les informations relatives aux contacts et aux calendriers de l’iPod classic avec Carnet d’adresses et iCal. Si vous utilisez une version de Mac OS X antérieure à 10.4, vous
pouvez utiliser iSync pour synchroniser vos informations. Cela requiert les applications
iSync 1.1 ou ultérieur et iCal 1.0.1 ou ultérieur.
Si vous utilisez Windows XP et le carnet d’adresses Windows ou Microsoft Outlook 2003
ou ultérieur pour stocker des informations sur vos contacts, vous pouvez utiliser iTunes
pour synchroniser les informations de carnet d’adresses sur l’iPod classic. Si vous utilisez Microsoft Outlook 2003 ou ultérieur pour tenir à jour un calendrier, vous pouvez
également synchroniser ce dernier.
Pour synchroniser les informations de contacts ou de calendrier à l’aide de Mac OS X
10.4 ou ultérieur :
1 Connectez l’iPod classic à votre ordinateur.
2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Contacts.
3 Procédez de l’une des manières suivantes :
 Pour synchroniser les contacts, sélectionnez « Synchroniser les contacts de Carnet
d’adresses » dans la section Contacts, puis sélectionnez l’une des options suivantes :
 Pour synchroniser automatiquement tous les contacts, sélectionnez
« Tous les contacts ».
 Pour synchroniser automatiquement les groupes de contacts sélectionnés, sélectionnez « Groupes sélectionnés », puis sélectionnez les groupes à synchroniser.
 Pour copier les photos des contacts sur l’iPod classic lorsqu’elles sont disponibles,
sélectionnez « Inclure les photos des contacts »
Lorsque vous cliquez sur Appliquer, iTunes met à jour l’iPod classic avec les informations relatives aux contacts de Carnet d’adresses que vous avez indiquées.
 Pour synchroniser des calendriers, dans la section Calendriers, sélectionnez
« Synchroniser les calendriers iCal », puis choisissez l’une des options suivantes :
 Pour synchroniser automatiquement tous les calendriers, sélectionnez
« Tous les calendriers ».
 Pour synchroniser automatiquement les calendriers sélectionnés, sélectionnez
« Calendriers sélectionnés », puis sélectionnez les calendriers à synchroniser.
Lorsque vous cliquez sur Appliquer, iTunes met à jour l’
iPod classic avec les informations de calendrier que vous avez indiquées.
Pour synchroniser les contacts et les calendriers avec iSync et un ordinateur doté
d’une version de Mac OS X antérieure à v10.4 :
1 Connectez l’iPod classic à votre ordinateur.Chapitre 6 Réglages et fonctionnalités supplémentaires, accessoires 65
2 Ouvrez iSync, puis choisissez Appareils > Ajouter un appareil. Vous ne devez effectuer
cette étape que la première fois que vous utilisez iSync avec l’iPod classic.
3 Sélectionnez l’iPod classic, puis cliquez sur Synchroniser. iSync copie les informations
d’iCal et de Carnet d’adresses sur l’iPod classic.
La prochaine fois que vous synchroniserez l’iPod classic, il suffira d’ouvrir iSync et de cliquer sur Synchroniser. Vous pouvez aussi configurer l’iPod classic de sorte qu’il se synchronise automatiquement lorsque vous le connectez.
Remarque : iSync synchronise les informations de votre ordinateur vers l’iPod classic.
Vous ne pouvez pas utiliser iSync pour synchroniser des informations de l’iPod classic
vers votre ordinateur.
Pour synchroniser des contacts ou des calendriers à l’aide du Carnet d’adresses de
Windows ou de Microsoft Outlook pour Windows :
1 Connectez l’iPod classic à votre ordinateur.
2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Contacts.
3 Procédez de l’une des manières suivantes :
 Pour synchroniser des contacts, dans la section Contacts, sélectionnez « Synchroniser
les contacts de », puis choisissez le Carnet d’adresses Windows ou Microsoft Outlook
dans le menu local. Sélectionnez ensuite les informations à synchroniser.
 Pour synchroniser des calendriers de Microsoft Outlook, sélectionnez « Synchroniser
les calendriers de Microsoft Outlook » dans la section Calendriers.
4 Cliquez sur Appliquer.
Vous pouvez aussi ajouter manuellement des informations de contact et de calendrier
à l’iPod classic. L’iPod classic doit être activé en tant que disque externe (consultez la
section « Utilisation de l’iPod classic en tant que disque externe » à la page 58).
Pour ajouter manuellement des informations de contact :
1 Connectez l’iPod classic et ouvrez votre application de courrier électronique ou de gestion de contacts préférée. Vous pouvez ajouter des contacts à l’aide de Palm Desktop,
Microsoft Outlook, Microsoft Entourage et Eudora, entre autres.
2 Faites glisser des contacts du carnet d’adresses de l’application dans le dossier Contacts de l’iPod classic.
Dans certains cas, il peut être nécessaire d’exporter des contacts, puis de faire glisser le
ou les fichiers exportés dans le dossier Contacts. Consultez la documentation de votre
application de courrier électronique ou de contacts.66 Chapitre 6 Réglages et fonctionnalités supplémentaires, accessoires
Pour ajouter manuellement des rendez-vous et autres événements de calendrier :
1 Exportez des événements de calendrier à partir de n’importe quelle application de gestion de calendriers utilisant le format iCal standard (les noms des fichiers se terminent
en .ics) ou le format vCal (les noms des fichiers se terminent en .vcs).
2 Faites glisser les fichiers dans le dossier Calendriers de l’iPod classic.
Remarque : Pour ajouter manuellement des listes de tâches à l’iPod classic, enregistrezles dans un fichier de calendrier portant l’extension .ics ou .vcs.
Pour afficher des contacts sur l’iPod classic :
m Sélectionnez Extras > Contacts.
Pour trier les contacts selon le nom ou le nom de famille :
m Choisissez Réglages > Trier par, puis appuyez sur le bouton central pour choisir Pré-
nom ou Nom de famille.
Pour afficher les événements du calendrier :
m Choisissez Extras > Calendriers.
Pour afficher les listes de tâches :
m Choisissez Extras > Calendriers > Tâches.
Stockage et lecture de notes
Vous pouvez stocker et lire des notes de texte sur l’iPod classic si ce dernier est activé
en tant que disque externe (voir
page 58).
1 Enregistrez un document en tant que fichier texte (.txt) à l’aide de n’importe quel programme de traitement de texte.
2 Placez le fichier dans le dossier Notes de l’iPod classic.
Pour afficher les notes :
m Sélectionnez Extras > Notes.
Enregistrement de mémos vocaux
Vous pouvez enregistrer des mémos vocaux à l’aide des écouteurs avec télécommande
et micro « Apple Earphones with Remote and Mic » ou d’un micro compatible avec
l’iPod classic (en vente sur www.apple.com/fr/ipodstore ou dans un magasin Apple proche de chez vous). Vous pouvez stocker des mémos vocaux sur l’iPod classic pour
ensuite les synchroniser avec votre ordinateur. Vous pouvez régler la qualité des
mémos vocaux sur Faible ou Élevé.Chapitre 6 Réglages et fonctionnalités supplémentaires, accessoires 67
Remarque : Les mémos vocaux ne peuvent pas durer plus de deux heures. Si vous
enregistrez pendant plus de deux heures, l’iPod classic commence automatiquement
un nouveau mémo vocal pour poursuivre l’enregistrement.
Pour enregistrer un mémo vocal :
1 Connectez les écouteurs avec télécommande et micro « Apple Earphones with Remote
and Mic » à l’iPod classic ou branchez un micro sur le port de connexion Dock de
l’iPod classic.
La commande Mémos vocaux apparaît dans le menu principal.
2 Pour commencer l’enregistrement, choisissez Mémos vocaux > Commencer
l’enregistrement.
3 Parlez en portant les écouteurs avec télécommande et micro « Apple Earphones with
Remote and Mic » ou tenez le micro à quelques centimètres de votre bouche et parlez.
Pour faire une pause dans l’enregistrement, appuyez sur le bouton Lecture/Pause.
Choisissez Reprendre pour poursuivre l’enregistrement.
4 Une fois que vous avez fini, choisissez Arrêter et enregistrer. Votre enregistrement est
affiché dans la liste des enregistrements par date et heure.
Pour écouter un enregistrement :
m Choisissez Extras > Mémos vocaux, puis sélectionnez l’enregistrement.
Remarque : Vous ne verrez pas apparaître la commande de menu Mémos vocaux si
vous n’avez jamais connecté de micro ou d’écouteurs avec télécommande et micro «
Apple Earphones with Remote and Mic » à l’iPod classic.
Pour synchroniser des mémos vocaux avec votre ordinateur :
Les mémos vocaux sont enregistrés dans l’application Mémos vocaux de l’iPod classic
au format de fichier WAV. Si vous avez activé l’iPod classic en tant que disque externe,
vous pouvez faire glisser des mémos vocaux à partir du dossier pour les copier.
Si l’iPod classic est réglé pour synchroniser automatiquement la musique (voir
« Synchronisation automatique de la musique » à la page 25) et que vous enregistrez
des mémos vocaux, ces derniers sont automatiquement synchronisés vers une liste de
lecture dans iTunes (et supprimés de l’iPod classic) lorsque vous connectez
l’iPod classic. La nouvelle liste de lecture Mémos vocaux s’affiche dans la liste des listes
de lecture à gauche de la fenêtre iTunes.68 Chapitre 6 Réglages et fonctionnalités supplémentaires, accessoires
À propos des accessoires de l’iPod classic
L’iPod classic est fourni avec quelques-uns des nombreux accessoires disponibles. Pour
acheter des accessoires pour l’iPod classic, visitez www.apple.com/fr/ipodstore.
Parmi les accessoires disponibles, citons :
 la télécommande iPod Radio Remote ;
 la station d’accueil Apple Universal Dock ;
 le câble AV composante Apple ;
 le câble AV composite Apple ;
 l’adaptateur secteur USB Apple ;
 les écouteurs avec télécommande et micro
« Apple Earphones with Remote and Mic » ;
 les écouteurs intra-auriculaires avec télécommande et micro
« Apple In-Ear Headphones with Remote and Mic » ;
 les chaussettes iPod Socks ;Chapitre 6 Réglages et fonctionnalités supplémentaires, accessoires 69
Pour utiliser les écouteurs fournis avec votre iPod classic :
m Connectez les écouteurs au port de sortie casque. Placez ensuite les écouteurs
dans vos oreilles.
Avertissement : Vous risquez une perte auditive irréparable si vous écoutez de la
musique avec vos écouteurs ou votre casque à un volume trop élevé. Vous pouvez
vous habituer petit à petit à un volume de son plus élevé qui peut vous paraître normal mais entraîner une détérioration de votre audition. Si vos oreilles bourdonnent
ou si les sons vous semblent sourds, arrêtez l’écoute et rendez-vous chez votre médecin pour vérifier votre audition. Plus le volume est élevé, plus vous risquez d’abîmer
rapidement votre audition. Pour protéger votre audition, les experts donnent les
conseils suivants :
 Limitez la durée d’utilisation d’un casque à volume sonore élevé.
 Évitez d’augmenter le volume pour bloquer le bruit ambiant.
 Diminuez le volume si vous ne pouvez plus entendre les personnes parler
autour de vous.
Pour en savoir plus sur la mise en place d’un volume maximum sur l’iPod classic, consultez la section « Réglage de la limite de volume maximum » à la page 43.
Le fil des écouteu
est réglable.7
70
7 Astuces et dépannage
Vous pourrez résoudre rapidement la plupart des problèmes
de l’iPod classic en suivant les conseils qui figurent dans le
présent chapitre.
Quelques suggestions
La plupart des problèmes de l’iPod classic peuvent être résolus en réinitialisant l’appareil. Assurez-vous d’abord que l’iPod classic est chargé.
Pour réinitialiser l’iPod classic :
1 Mettez le commutateur Hold sur HOLD, puis désactivez-le à nouveau.
2 Maintenez enfoncés les boutons Menu et central pendant au moins 6 secondes jusqu’à
l’apparition du logo Apple.
Si l’iPod classic ne s’allume pas ou ne répond pas
 Assurez-vous que le commutateur Hold n’est pas sur HOLD.
Les 5 R : réinitialiser, réessayer, redémarrer, réinstaller, restaurer
Souvenez-vous de ces cinq conseils de base si vous rencontrez un problème avec
votre iPod classic. Essayez une de ces solutions à la fois jusqu’à ce que votre problème soit résolu. Si les solutions suivantes ne suffisent pas, lisez plus loin pour
apprendre à résoudre des problèmes spécifiques.
 Réinitialiser l’ iPod classic. Consultez la section « Quelques suggestions, » ci-dessous.
 Réessayez sur un autre port USB si vous ne voyez pas l’iPod classic dans iTunes.
 Redémarrez votre ordinateur et assurez-vous que les mises à jour de logiciels les
plus récentes sont installées.
 Réinstallez le logiciel d’iTunes à partir de la dernière version disponible sur le web.
 Restaurez l’ iPod classic. Consultez la section « Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod » à la page 78.Chapitre 7 Astuces et dépannage 71
 Il se peut que la batterie de l’iPod classic doive être rechargée. Connectez
l’iPod classic à votre ordinateur ou à un adaptateur secteur Apple USB Power Adapter et laissez la batterie se recharger. Assurez-vous à la présence de l’éclair sur l’écran
de l’iPod classic que l’iPod classic reçoit bien du courant.
Pour charger la batterie, connectez l’iPod classic à un port USB 2.0 de votre ordinateur. La connexion de l’iPod classic à un port USB de votre clavier ne permet pas de
charger la batterie, sauf si le clavier dispose d’un port USB 2.0 à haute intensité.
 Essayez la méthode des 5 R, un par un, jusqu’à ce que l’iPod classic réponde.
Pour déconnecter l’iPod classic alors que le message « Connecté » ou « Synchronisation en cours » est affiché
 Si l’iPod classic synchronise de la musique, attendez que la synchronisation soit terminée.
 Sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur le bouton Éjecter
(C).
 Si l’iPod classic disparaît de la liste des sources, mais que le message « Connecté » ou
« Synchronisation en cours » est toujours affiché sur l’écran de l’iPod classic, déconnectez l’iPod classic.
 Si l’iPod classic ne disparaît pas de la liste des sources, faites glisser l’icône de
l’iPod classic du bureau dans la Corbeille (si vous utilisez un Mac) ou bien, si vous utilisez un PC Windows, éjectez l’appareil à partir du Poste de travail ou cliquez sur
l’icône « Retirer le périphérique en toute sécurité » dans la zone de notification, puis
sélectionnez l’iPod classic. Si le message « Connecté » ou « Synchronisation en cours »
est toujours affiché, redémarrez votre ordinateur, puis éjectez à nouveau l’iPod classic.
Si l’iPod classic ne parvient pas à lire la musique
 Assurez-vous que le commutateur Hold n’est pas sur HOLD.
 Assurez-vous que la fiche du casque est complètement enfoncée dans la
prise casque.
 Assurez-vous que le volume soit correctement réglé. Il est possible qu’une limite de
volume maximum ait été définie. Vous pouvez la modifier ou la supprimer en choisissant Réglages > Volume maximum. Consultez la section « Réglage de la limite de
volume maximum » à la page 43.
 Il se peut que l’iPod classic soit en pause. Essayez d’appuyer sur le bouton
Lecture/Pause.
 Assurez-vous que vous utilisez iTunes 9.0 ou ultérieur (visitez www.apple.com/fr). Les
morceaux achetés sur l’iTunes Store à l’aide des versions antérieures d’iTunes ne peuvent pas être lus sur l’iPod classic tant que vous n’avez par mis à niveau iTunes.
 Si vous utilisez la station d’accueil iPod Universal Dock, assurez-vous que l’iPod classic
y repose correctement et que tous les câbles sont bien connectés. 72 Chapitre 7 Astuces et dépannage
Si vous connectez l’iPod classic à votre ordinateur et que rien ne se passe
 Assurez-vous que vous avez installé la dernière version d’iTunes sur
www.apple.com/fr/ipod/start.
 Essayez la connexion à un autre port USB de votre ordinateur.
Remarque : Un port USB 2.0 est recommandé pour connecter l’iPod classic. USB 1.1
est beaucoup plus lent que USB 2.0. Si votre PC Windows n’est pas équipé d’un port
USB 2.0, vous pouvez dans certains cas acheter et installer une carte USB 2.0. Pour
plus d’informations, visitez www.apple.com/fr/ipod.
 Une réinitialisation de votre iPod classic est peut-être nécessaire (voir page 70).
 Si vous connectez l’iPod classic à un ordinateur portable à l’aide du câble iPod Dock
Connector vers USB 2.0, branchez l’ordinateur sur une source d’alimentation avant de
connecter l’iPod classic.
 Assurez-vous que vous disposez de l’ordinateur et du logiciel requis. Consultez la section « Si vous souhaitez effectuer une double vérification de la configuration
requise » à la page 76.
 Vérifiez la connexion des câbles. Débranchez le câble aux deux extrémités et assurezvous que rien ne s’est glissé dans les ports USB. Rebranchez alors le câble avec précaution. Assurez-vous que les connecteurs des câbles sont correctement orientés. Ils ne
peuvent être insérés que dans un sens.
 Essayez de redémarrer votre ordinateur.
 Si aucune des suggestions ci-avant ne résout votre problème, il se peut que vous
deviez restaurer le logiciel de l’iPod classic. Consultez la section « Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod » à la page 78.
Si l’iPod classic affiche le message « Branchez la batterie »
Il se peut que ce message apparaisse si la charge de l’iPod classic est exceptionnellement basse et que la batterie doit être rechargée pour que l’iPod classic puisse communiquer avec votre ordinateur. Pour charger la batterie, connectez l’iPod classic à un port
USB 2.0 de votre ordinateur.
Laissez l’iPod classic connecté à votre ordinateur jusqu’à ce que le message disparaisse
et que l’iPod classic apparaisse dans iTunes ou le Finder. Si le niveau de charge de la
batterie est vraiment très bas, il se peut que vous deviez recharger l’iPod classic pendant une trentaine de minutes avant qu’il ne démarre.
Pour charger l’iPod classic plus rapidement, utilisez l’adaptateur section Apple USB
Power Adapter facultatif.
Remarque : La connexion de l’iPod classic à un port USB de votre clavier ne
permet pas de charger la batterie, sauf si votre clavier dispose d’un port
USB 2.0 à forte alimentation. Chapitre 7 Astuces et dépannage 73
Si l’iPod classic affiche le message « Utilisez iTunes pour restaurer »
 Assurez-vous que vous disposez de la dernière version d’iTunes sur votre ordinateur
(à défaut, téléchargez-la depuis www.apple.com/fr/ipod/start).
 Connectez l’iPod classic à votre ordinateur. Lorsqu’iTunes s’ouvre, suivez les
instructions à l’écran pour restaurer l’iPod classic.
 Si la restauration de l’iPod classic ne résout pas le problème, il se peut que
l’iPod classic doive être réparé. Vous pouvez obtenir le service sur le site web de service et d’assistance de l’iPod : www.apple.com/fr/support/ipod
Si les morceaux ou les données sont synchronisés plus lentement via USB 2.0
 Si vous synchronisez un grand nombre de morceaux ou une grande quantité de données par USB 2.0 et que la charge de la batterie de l’iPod classic est basse,
l’iPod classic synchronise les informations à vitesse réduite pour économiser la puissance de la batterie.
 Pour synchroniser plus rapidement, vous pouvez arrêter la synchronisation et laisser
l’iPod classic connecté pour qu’il puisse se recharger ou le connecter à l’adaptateur
secteur USB 2.0 pour iPod facultatif. Laissez l’iPod classic se recharger pendant une
heure environ, puis reprenez la synchronisation de la musique ou des données.
Si vous ne parvenez pas à ajouter un morceau ou un autre élément à l’iPod classic
Il se peut que le morceau ait été encodé dans un format que l’iPod classic ne prend pas
en charge. Les formats de fichier audio suivants sont pris en charge par l’iPod classic. Ils
comprennent les formats des livres audio et des podcasts :
 AAC (M4A, M4B, M4P, jusqu’à 320 Kbit/s)
 Apple Lossless (format de compression haute qualité)
 HE-AAC
 MP3 (jusqu’à 320 Kbit/s)
 MP3 Variable Bit Rate (VBR)
 WAV
 AA (texte lu audible.com, formats 2, 3 et 4)
 AIFF
Un morceau encodé au format Apple Lossless possède la même qualité sonore qu’un
CD tout en occupant deux fois moins d’espace qu’un morceau encodé au format AIFF
ou WAV. Le même morceau encodé au format AAC ou MP3 utilise encore moins de
place. Lorsque vous importez de la musique depuis un CD à l’aide d’iTunes, elle est
convertie par défaut au format AAC.
Si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non protégés en format AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une bibliothèque
de musique encodée au format WMA. 74 Chapitre 7 Astuces et dépannage
L’iPod classic ne prend pas en charge les fichiers audio WMA, MPEG Layer 1 et MPEG
Layer 2, ni le format 1 d’audible.com.
Si un des morceaux dans iTunes n’est pas pris en charge par l’iPod classic, vous pouvez
le convertir dans un format que l’iPod classic prend en charge. Pour en savoir plus, consultez l’Aide iTunes.
Si l’iPod classic affiche le message « Connectez-vous à iTunes pour activer Genius »
Vous n’avez pas activé Genius dans iTunes ou vous n’avez pas synchronisé votre
iPod classic depuis l’activation de Genius dans iTunes. Pour en savoir plus, consultez la
page 21 ou l’Aide iTunes.
Si l’iPod classic affiche un message du type « Genius est indisponible pour le morceau sélectionné »
Genius est activé mais ne reconnaît pas le morceau que vous avez sélectionné pour
commencer la liste Genius. De nouveaux morceaux sont ajoutés à la base de données
Genius de l’iTunes Store régulièrement. Réessayez donc ultérieurement.
Si vous avez configuré accidentellement l’iPod classic de sorte qu’il utilise une langue que vous ne comprenez pas
Vous pouvez réinitialiser le choix de la langue.
1 Maintenez enfoncé le bouton Menu jusqu’à ce que le menu principal apparaisse.
2 Choisissez le sixième élément du menu (Réglages).
3 Choisissez le dernier élément du menu (Réinitialiser les réglages).
4 Choisissez l’élément de gauche (Réinitialiser) et sélectionnez une langue.
D’autres réglages de l’iPod classic, comme, par exemple, la répétition des morceaux,
sont aussi réinitialisés.
Remarque : Si vous avez ajouté ou supprimé des éléments dans le menu principal de
l’iPod classic (voir « Ajout ou suppression d’éléments dans le menu principal » à la
page 9), il se peut que la commande de menu Réglages se trouve à un autre endroit. Si
vous ne trouvez pas la commande de menu Réinitialiser les réglages, vous pouvez restaurer l’iPod classic à son état d’origine et sélectionner une langue que vous comprenez. Consultez la section « Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod » à la
page 78.
Si vous ne pouvez pas visionner de vidéos ou de photos sur votre téléviseur
 Vous devez utiliser des câbles RCA fabriqués spécialement pour l’iPod classic tels que
les câbles AV composant Apple et AV composite Apple pour connecter l’iPod classic à
votre téléviseur. Les câbles RCA similaires ne fonctionnent pas.
 Assurez-vous que votre téléviseur est réglé de sorte qu’il affiche les images provenant de la bonne source d’entrée (consultez la documentation qui accompagnait
votre téléviseur pour en savoir plus).Chapitre 7 Astuces et dépannage 75
 Assurez-vous que tous les câbles sont connecté correctement (voir la section
« Visionnement de vidéos sur un téléviseur connecté à l’iPod classic » à la page 49).
 Assurez-vous que la fiche jaune du câble AV composite Apple est connectée au port
vidéo de votre téléviseur.
 Si vous essayez de visionner une vidéo, choisissez Vidéos > Réglages et réglez
Sortie télévision sur Oui, puis réessayez. Si vous essayez de visionner un
diaporama, choisissez Photos > Réglages de diaporama et réglez Sortie télévision
sur Oui, puis réessayez.
 Si cela ne fonctionne pas, choisissez Vidéos > Réglages (pour la vidéo) ou
Photos > Réglages (pour un diaporama) et réglez Signal TV sur PAL ou NTSC,
selon le type de téléviseur que vous avez. Essayez les deux réglages.76 Chapitre 7 Astuces et dépannage
Si vous souhaitez effectuer une double vérification de la configuration requise
Pour utiliser l’iPod classic, vous devez disposer des éléments suivants :
 Une des configurations d’ordinateur suivantes :
 Un Mac équipé d’un port USB 2.0
 Un PC Windows équipé d’un port USB 2.0 ou d’une carte USB 2.0
 Un des systèmes d’exploitation suivants :
 Mac OS X 10.4.11 ou ultérieur
 Windows Vista
 Windows XP (Édition familiale ou Professionnel) avec Service Pack 3 ou ultérieur
 iTunes 9.0 ou ultérieur (vous pouvez télécharger iTunes sur
www.apple.com/fr/ipod/start).
Si votre PC Windows n’est pas équipé d’un port USB 2.0 , vous pouvez acheter et installer
une carte USB 2.0. Pour en savoir plus sur les câbles et les cartes USB compatibles, consultez www.apple.com/fr/ipod.
Sur le Mac, iPhoto 4.0.3 ou ultérieur est recommandé pour l’ajout de photos et
d’albums à l’iPod classic. Ce logiciel est facultatif. iPhoto est peut-être déjà installé sur
votre Mac. Vérifiez dans le dossier Applications. Si vous disposez d’iPhoto 4, vous pouvez le mettre à jour en choisissant menu Pomme () > « Mise à jour de logiciels ».
Sur un PC Windows, l’iPod classic peut synchroniser automatiquement des
collections de photos provenant d’Adobe Photoshop Album 2.0 ou ultérieur et
d’Adobe Photoshop Elements 3.0 ou ultérieur (disponibles sur www.adobe.com).
Ce logiciel est facultatif.
Sur les Mac et les PC Windows, l’iPod classic peut synchroniser des photos numériques
à partir de dossiers du disque dur de votre ordinateur.
Si vous voulez utiliser l’iPod classic avec un Mac et un PC Windows
Si vous utilisez l’iPod classic avec un Mac et souhaitez l’utiliser avec un PC Windows,
vous devez restaurer le logiciel de l’iPod pour pouvoir l’utiliser avec le PC (consultez la
section « Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod » à la page 78 ci-dessous). La
restauration du logiciel de l’iPod efface toutes les données de l’iPod classic, y compris
tous les morceaux de musique.
Vous ne pouvez pas passer de l’utilisation de l’iPod classic avec un Mac à l’utilisation
de ce dernier avec un PC Windows sans effacer toutes les données qui se trouvent sur
l’iPod classic.Chapitre 7 Astuces et dépannage 77
Si vous avez verrouillé l’écran de l’iPod classic et que vous ne parvenez plus
à le déverrouiller
En règle générale, si vous pouvez connecter l’iPod classic à l’ordinateur avec lequel il
est autorisé à travailler, l’iPod classic se déverrouille automatiquement. Si l’ordinateur
autorisé à travailler avec l’iPod classic est indisponible, vous pouvez connecter
l’iPod classic à un autre ordinateur et utiliser iTunes pour restaurer le logiciel de l’iPod.
Consultez la section suivante pour en savoir plus.
Si vous souhaitez modifier la combinaison de verrouillage de l’écran mais que vous ne
vous souvenez pas de la combinaison actuelle, une restauration du logiciel de l’iPod sera
nécessaire avant de pouvoir définir une nouvelle combinaison.78 Chapitre 7 Astuces et dépannage
Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod
Vous pouvez utiliser iTunes pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de l’iPod.
Il est recommandé de mettre à jour l’iPod classic pour utiliser la dernière version
du logiciel. Vous pouvez aussi restaurer le logiciel, ce qui remet l’iPod classic dans
son état d’origine.
 Si vous choisissez de mettre à jour, le logiciel sera mis à jour, mais vos réglages et morceaux seront conservés.
 Si vous optez pour la restauration, toutes les données sont effacées de l’iPod classic, y
compris les morceaux, les vidéos, les fichiers, les contacts, les photos, les informations de calendrier et toutes les autres données. Tous les réglages de l’iPod classic
sont restaurés à leur état d’origine.
Pour mettre à jour ou restaurer l’iPod classic:
1 Assurez-vous que vous disposez d’une connexion à Internet et que vous avez installé la
dernière version d’iTunes disponible sur www.apple.com/fr/ipod/start.
2 Connectez l’iPod classic à votre ordinateur.
3 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Résumé.
La section Version vous indique si votre iPod classic est à jour ou a besoin d’une version plus récente du logiciel.
4 Cliquez sur Mettre à jour pour installer la toute dernière version du logiciel.
5 Si nécessaire, cliquez sur Restaurer pour restaurer l’iPod classic à son état d’origine
(cela efface toutes les données de l’iPod classic). Suivez les instructions à l’écran pour
terminer la restauration.8
79
8 Sécurité et entretien
Lisez attentivement les informations importantes ci-dessous
concernant la sécurité et le maniement des iPod Apple.
Gardez le Guide de l’utilisateur de l’ iPod classic à portée de main pour répondre aux
questions que vous pourriez vous poser plus tard.
Informations importantes relatives à la sécurité
Maniement correct Veillez à ne jamais tordre, écraser, perforer, incinérer, ouvrir ou laisser tomber l’iPod classic.
Utilisation près de l’eau et dans des endroits humides N’utilisez jamais l’iPod classic
sous la pluie ni à proximité d’un lavabo ou de tout autre endroit humide. Veillez à ne
pas renverser d’aliments ou de liquides sur l’iPod classic. Si l’iPod classic est mouillé,
débranchez tous les câbles, éteignez l’iPod classic et faites glisser le bouton de verrouillage en position HOLD avant de procéder au nettoyage. Laissez-le ensuite sécher
entièrement avant de le rallumer.
± Pour éviter toute blessure, lisez toutes les informations relatives à la sécurité
exposées ci-dessous, ainsi que le mode d’emploi, avant d’utiliser l’.
iPod classic
Avertissement : Ne pas suivre les présentes instructions relatives à la sécurité pourrait
provoquer un incendie, un choc électrique ou un autre dommage.80 Chapitre 8 Sécurité et entretien
Réparation de l’iPod classic N’essayez jamais de réparer l’iPod classic vous-même. Si l’
iPod classic est tombé dans l’eau, a été perforé ou a fait une chute importante, ne l’utilisez pas avant de l’avoir ammené à un fournisseur de services agréé Apple.
L’iPod classic ne contient aucune pièce manipulable par l’utilisateur. Pour des informations concernant le service, choisissez Aide iPod dans le menu Aide d’iTunes ou consultez la page www.apple.com/fr/support/ipod. La batterie rechargeable de l’iPod classic
ne doit être remplacée que dans un Centre de maintenance agréé Apple. Pour en
savoir plus sur le service de remplacement des batteries, rendez-vous sur
www.apple.com/fr/support/ipod/service/battery.
Adaptateur secteur Apple USB Power Adapter (disponible séparément) Si vous utilisez l’adaptateur secteur Apple USB Power Adapter (vendu séparément sur
www.apple.com/fr/ipodstore) pour recharger l’iPod classic, assurez-vous que l’adaptateur secteur est correctement assemblé avant de le brancher sur une prise de courant.
Insérez ensuite fermement l’adaptateur secteur Apple USB Power Adapter dans la prise
de courant. Ne branchez ni ne débranchez en aucun cas l’adaptateur secteur Apple
USB Power Adapter lorsque vous avez les mains mouillées. N’utilisez pas d’adaptateur
secteur autre qu’un adaptateur secteur iPod Power Adapter d’Apple pour recharger
votre iPod classic.
Il se peut que l’adaptateur secteur iPod USB Power Adapter chauffe pendant une utilisation normale. Veillez à toujours assurer une ventilation correcte autour de lui et à toujours le manipuler avec précaution.
Débranchez l’adaptateur secteur iPod USB Power Adapter si l’une des conditions suivantes se présente :
 Le câble d’alimentation ou la prise est effiloché ou endommagé.
 L’adaptateur est exposé à la pluie, à des liquides ou à une humidité excessive.
 Le boîtier de l’adaptateur est endommagé.
 Vous pensez que l’adaptateur doit être réparé.
 Vous voulez nettoyer l’adaptateur.
Perte d’acuité auditive Vous risquez une perte auditive irréversible si vous réglez votre
casque ou vos écouteurs sur un volume sonore trop élevé. Réglez le volume sur un
niveau raisonnable. Vous pouvez vous habituer petit à petit à un volume de son plus
élevé qui peut vous paraître normal mais entraîner une détérioration de votre audition.
Si vos oreilles bourdonnent ou si les sons vous semblent sourds, arrêtez l’écoute et rendez-vous chez votre médecin pour vérifier votre audition. Plus le volume est élevé, plus
vous risquez d’abîmer rapidement votre audition. Pour protéger votre audition, les
experts donnent les conseils suivants :
 Limitez la durée d’utilisation d’un casque à volume sonore élevé.
 Évitez d’augmenter le volume pour bloquer le bruit ambiant.Chapitre 8 Sécurité et entretien 81
 Diminuez le volume si vous ne pouvez plus entendre les personnes parler
autour de vous.
Pour en savoir plus sur la manière de définir un volume maximum sur l’iPod classic,
consultez la section « Réglage de la limite de volume maximum » à la page 43.
Casque d’écoute et sécurité L’utilisation d’écouteurs est vivement déconseillée lorsque vous conduisez et constitue même une infraction au code de la route dans certains endroits. Consultez et respectez les lois et réglementations en vigueur concernant
l’utilisation d’écouteurs lors de la conduite d’un véhicule. Soyez prudent et attentif au
volant. Cessez d’écouter votre appareil audio si vous vous rendez compte que cela vous
distrait ou vous dérange lorsque vous conduisez un véhicule ou lorsque vous réalisez
n’importe quelle autre activité nécessitant toute votre attention.
Crises, évanouissements et fatigue visuelle Un petit pourcentage de personnes sont
susceptibles de subir des évanouissements ou des crises (même si elles n’en avaient
jamais eues auparavant) en cas d’exposition aux flashes de lumière ou aux signaux
lumineux que l’on trouve dans certains jeux ou films vidéo. Si vous avez déjà eu des
attaqies ou des évanouissements ou si vous avez des antécédents familiaux à ce sujet,
vous devriez consulter un médecin avant de jouer à des jeux vidéo ou de regarder des
vidéos sur votre iPod classic. Arrêter de l’utiliser et consultez un médecin si vous souffrez des symptômes suivants : convulsions, contractions des muscles ou des yeux,
perte de conscience, mouvements involontaires ou désorientation. Pour réduire les risques d’évanouissements, de crises et de fatigue visuelle, évitez toute utilisation prolongée, tenez l’iPod classic à une certaine distance de vos yeux, utilisez l’iPod classic
dans une pièce bien éclairée et faites des pauses fréquentes.
Mouvements répétitifs Lorsque vous effectuez des activités répétitives, comme jouer
à des jeux sur l’iPod classic, il se peut que vous ressentiez une gêne occasionnelle dans
vos mains, vos bras, vos épaules, votre nuque ou d’autres parties de votre corps. Faites
des pauses fréquentes et, si vous ressentez une gêne pendant ou après l’utilisation,
arrêtez et allez consulter un médecin.
Informations importantes sur le maniement
Port de l’iPod classic L’iPod classic est doté de composants fragiles, notamment, dans
certains cas, d’un disque dur. Ne tordez, n’écrasez ni ne laissez pas tomber l’iPod classic.
Si vous avez peur de griffer l’iPod classic, vous pouvez utiliser une des nombreuses
housses vendues séparément.
NOTICE: Ne pas suivre les présentes instructions sur le maniement peut provoquer
des dommages à l’iPod classic ou à d’autres objets.82 Chapitre 8 Sécurité et entretien
Utilisation des connecteurs et des ports Ne forcez jamais un connecteur à entrer dans
un port. Vérifiez que rien ne bloque l’entrée au port. Si le connecteur et le port ne
s’assemblent pas facilement, c’est probablement parce qu’ils ne sont pas compatibles.
Assurez-vous que le connecteur est compatible avec le port et que vous l’avez positionné correctement par rapport à ce dernier.
Conservation de l’iPod classic à température normale Utilisez toujours l’iPod classic
dans des endroits où la température se situe entre 0º et 35º C. Dans des conditions de
basses températures, l’autonomie de l’ iPod classic peut diminuer temporairement.
Rangez l’iPod classic dans un endroit où la température est toujours comprise entre -
20º et 45º C. La température dans les voitures en stationnement pouvant dépasser
cette fourchette, ne laissez pas l’iPod classic dans votre voiture.
Lorsque vous utilisez l’iPod classic ou rechargez sa batterie, il est normal que
l’iPod classic chauffe. L’extérieur de l’iPod classic sert en effet de surface de
refroidissement et transfère la chaleur de l’intérieur de l’appareil vers l’extérieur,
où l’air est moins chaud.
Nettoyage des parties externes de l’iPod classic Pour nettoyer l’iPod classic, débranchez tous les câbles, éteignez l’iPod classic et faites glisser le bouton de verrouillage en
position HOLD. Utilisez ensuite un chiffon doux, légèrement humide et non pelucheux.
Évitez toute pénétration d’humidité dans les orifices de l’appareil. N’utilisez pas de produits pour le nettoyage des vitres, de produits d’entretien ménager, d’aérosols, de solvants, d’alcool, d’ammoniac ni d’abrasifs pour nettoyer l’iPod classic.
Respect des consignes en matière d’élimination pour l’iPod classic Pour obtenir des
informations sur la mise au rebut de l’iPod classic, y compris d’importantes informations sur le respect des normes en vigueur, consultez « Regulatory Compliance
Information » à la page 84.9
83
9 Informations complémentaires,
service et assistance
Vous trouverez plus d’informations sur l’utilisation de
l’iPod classic dans l’aide à l’écran et sur le web.
Le tableau suivant décrit à quel endroit trouver de plus amples informations sur les services et les logiciels de l’iPod.
Pour en savoir plus sur : Procédez comme suit :
Le service et l’assistance, les
discussions, les guides d’initiation et les téléchargements de
logiciels Apple
accédez àwww.apple.com/fr/support/ipod
L’utilisation d’iTunes Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Pour accéder à un
guide d’initiation iTunes en ligne (disponible uniquement dans certains pays), rendez-vous sur :www.apple.com/fr/support/itunes
L’utilisation d’iPhoto
(sous Mac OS X)
Ouvrez iPhoto et sélectionnez Aide > Aide iPhoto.
L’utilisation d’iSync
(sous Mac OS X)
Ouvrez iSync et sélectionnez Aide > Aide iSync.
L’utilisation d’iCal
(sous Mac OS X)
Ouvrez iCal et sélectionnez Aide > Aide iCal.
Les dernières informations sur
l’iPod classic
accédez à www.apple.com/ipodclassic
L’enregistrement de
l’iPod classic
Pour enregistrer l’iPod classic, installez iTunes sur votre ordinateur
et connectez l’iPod classic.
La localisation du numéro de
série de l’iPod classic
Regardez au dos de l’iPod classic ou choisissez
Réglages > Informations et appuyez sur le bouton central. Dans
iTunes (lorsque l’iPod classic est connecté à votre ordinateur), sélectionnez iPod classic dans la liste des sources, puis cliquez sur
l’onglet Réglages.
Les services couverts par
la garantie
Suivez d’abord les conseils qui figurent dans le présent fascicule,
l’aide à l’écran et les ressources en ligne. Allez ensuite sur
www.apple.com/fr/support/ipod/service84
Regulatory Compliance Information
FCC Compliance Statement
This device complies with part 15 of the FCC rules.
Operation is subject to the following two conditions:
(1) This device may not cause harmful interference,
and (2) this device must accept any interference
received, including interference that may cause
undesired operation. See instructions if interference
to radio or TV reception is suspected.
Radio and TV Interference
This computer equipment generates, uses, and can
radiate radio-frequency energy. If it is not installed
and used properly—that is, in strict accordance with
Apple’s instructions—it may cause interference with
radio and TV reception.
This equipment has been tested and found to
comply with the limits for a Class B digital device in
accordance with the specifications in Part 15 of FCC
rules. These specifications are designed to provide
reasonable protection against such interference
in a residential installation. However, there is
no guarantee that interference will not occur in
a particular installation.
You can determine whether your computer system is
causing interference by turning it off. If the
interference stops, it was probably caused by the
computer or one of the peripheral devices.
If your computer system does cause interference to
radio or TV reception, try to correct the interference
by using one or more of the following measures:
 Turn the TV or radio antenna until the interference
stops.
 Move the computer to one side or the other of the
TV or radio.
 Move the computer farther away from the TV or
radio.
 Plug the computer in to an outlet that is on a
different circuit from the TV or radio. (That is, make
certain the computer and the TV or radio are on
circuits controlled by different circuit breakers or
fuses.)
If necessary, consult an Apple Authorized Service
Provider or Apple. See the service and support
information that came with your Apple product. Or,
consult an experienced radio/TV technician for
additional suggestions.
IMPORTANT Changes or modifications to this
product not authorized by Apple Inc. could void the
EMC compliance and negate your authority to
operate the product.
This product was tested for EMC compliance under
conditions that included the use of Apple peripheral
devices and Apple shielded cables and connectors
between system components.
It is important that you use Apple peripheral devices
and shielded cables and connectors between system
components to reduce the possibility of causing
interference to radios, TV sets, and other electronic
devices. You can obtain Apple peripheral devices and
the proper shielded cables and connectors through
an Apple Authorized Reseller. For non-Apple
peripheral devices, contact the manufacturer or
dealer for assistance.
Responsible party (contact for FCC matters only):
Apple Inc. Corporate Compliance
1 Infinite Loop, MS 26-A
Cupertino, CA 95014
Industrie Canada Statement
This Class B device meets all requirements of the
Canadian interference-causing equipment
regulations.
Cet appareil numérique de la classe B respecte
toutes les exigences du Règlement sur le matériel
brouilleur du Canada.
VCCI Class B Statement
Korea Class B Statement 85
Russia
European Community
Informations concernant l’élimination et le
recyclage
Vous devez respecter les lois et réglementations
locales lors de l’élimination de votre iPod. Étant
donné que ce produit contient une batterie, il doit
être éliminé séparément des déchets ménagers.
Lorsque votre iPod atteint la fin de sa vie, contactez
Apple ou les autorités locales pour en savoir plus à
propos des options de recyclage.
Pour plus d’informations sur le programme de
recyclage d’Apple, consultez la page
: www.apple.com/fr/environment/recycling
Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte
nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses
Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend
der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen.
Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden
ingeleverd bij de chemokar of in een speciale
batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca)
worden gedeponeerd.
China:
Taiwan:
European Union—Disposal Information:
This symbol means that according to local laws and
regulations your product should be disposed of
separately from household waste. When this product
reaches its end of life, take it to a collection point
designated by local authorities. Some collection
points accept products for free. The separate
collection and recycling of your product at the time
of disposal will help conserve natural resources and
ensure that it is recycled in a manner that protects
human health and the environment.
Union Européenne—informations sur l’élimination
Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous
débarrasser de votre produit sans le mélanger avec
les ordures ménagères, selon les normes et la
législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est
plus utilisable, portez-le dans un centre de
traitement des déchets agréé par les autorités
locales. Certains centres acceptent les produits
gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de
votre produit lors de son élimination aideront à
préserver les ressources naturelles et à protéger
l’environnement et la santé des êtres humains.
Europäische Union—Informationen zur Entsorgung
Das Symbol oben bedeutet, dass dieses Produkt
entsprechend den geltenden gesetzlichen
Vorschriften und getrennt vom Hausmüll entsorgt
werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur
Entsorgung bei einer offiziellen Sammelstelle ab. Bei
einigen Sammelstellen können Produkte zur
Entsorgung unentgeltlich abgegeben werden. Durch
das separate Sammeln und Recycling werden die
natürlichen Ressourcen geschont und es ist
sichergestellt, dass beim Recycling des Produkts alle
Bestimmungen zum Schutz von Gesundheit und
Umwelt beachtet werden.86
Unione Europea—informazioni per l’eliminazione
Questo simbolo significa che, in base alle leggi e alle
norme locali, il prodotto dovrebbe essere eliminato
separatamente dai rifiuti casalinghi. Quando il
prodotto diventa inutilizzabile, portarlo nel punto di
raccolta stabilito dalle autorità locali. Alcuni punti di
raccolta accettano i prodotti gratuitamente. La
raccolta separata e il riciclaggio del prodotto al
momento dell’eliminazione aiutano a conservare le
risorse naturali e assicurano che venga riciclato in
maniera tale da salvaguardare la salute umana e
l’ambiente.
Europeiska unionen—uttjänta produkter
Symbolen ovan betyder att produkten enligt lokala
lagar och bestämmelser inte får kastas tillsammans
med hushållsavfallet. När produkten har tjänat ut
måste den tas till en återvinningsstation som utsetts
av lokala myndigheter. Vissa återvinningsstationer
tar kostnadsfritt hand om uttjänta produkter. Genom
att låta den uttjänta produkten tas om hand för
återvinning hjälper du till att spara naturresurser och
skydda hälsa och miljö.
Remplacement et élimination de la batterie
d’un iPod classic
La batterie rechargeable de l’iPod classic ne doit être
remplacée que par un Centre de maintenance agréé
Apple. Pour les services de remplacement de
batterie, consultez l’adresse suivante :
www.apple.com/fr/support/ipod/service/battery
Lorsque l’iPod classic est arrivé en fin de vie,
contactez les autorités locales pour connaître les
possibilités d’élimination et de recyclage, rapportez
simplement la batterie chez votre détaillant Apple
local ou renvoyez-la à Apple. Elle sera démontée et
recyclée dans le respect de l’environnement. Pour en
savoir plus, consultez :
www.apple.com/fr/environment/recycling
Apple et l’environment
À Apple, nous reconnaissons nos responsabilités en
matière de réduction des eff ets de nos actions et de
nos produits sur l’environnement.
Pour en savoir plus, consultez :
www.apple.com/fr/environment
© 2009 Apple Inc. All rights reserved. Apple, le logo Apple, iCal, iLife,
iPhoto, iPod, iPod classic, iPod Socks, iTunes, Mac, Macintosh et
Mac OS sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et
dans d’autres pays. Finder et Shuffle sont des marques d’Apple Inc.
iTunes Store est une marque de service d’Apple Inc. déposée aux
États-Unis et dans d’autres pays. Les autres noms de sociétés et de
produits mentionnés ci-dessus peuvent être des marques de leurs
détenteurs respectifs.
La mention de produits tiers n’est effectuée qu’à des fins informatives
et ne constitue en aucun cas une approbation ni une
recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité vis-à-vis des
performances ou de l’utilisation de ces produits. Tout arrangement,
accord ou garantie, le cas échéant, s’applique directement entre le
revendeur et les utilisateurs potentiels. Tous les efforts nécessaires ont
été mis en oeuvre pour que les informations contenues dans ce
manuel soient les plus exactes possibles. Apple n’est pas responsable
des erreurs typographiques.
F019-1734/2009-12
iBook G4
Premiers contacts
Contient des informations de configuration,
d’extension et de dépannage concernant
votre ordinateur iBook G4K Apple Computer Inc.
© 2004 Apple Computer Inc. Tous droits réservés.
Ce manuel est protégé par la loi du 11 mars 1957
sur la propriété littéraire et artistique, complétée
par la loi du 3 juillet 1985 et par toutes les conventions
internationales applicables aux droits d’auteurs. En vertu
de ces lois et conventions, aucune reproduction totale
ni partielle de ce manuel n’est autorisée, sauf
consentement écrit préalable d’Apple.
Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc.,
déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En
l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à
des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option +
1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de
concurrence déloyale.
Tout a été mis en œuvre pour que les informations
présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est
pas responsable des erreurs de reproduction ou
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Apple
1 Infinite Loop
Cupertino, CA 95014-2084
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et dans d’autres pays.
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AppleCare est une marque de service d’Apple
Computer, Inc., déposée aux États-Unis et dans
d’autres pays.
.Mac est une marque de service d’Apple Computer, Inc.
ENERGY STAR® est une marque déposée aux États-Unis.
La marque et les logos Bluetooth® sont la propriété de
Bluetooth SIG, Inc. et sont utilisés sous licence par Apple
Computer, Inc.
PowerPC est une marque d’International Business
Machines Corporation, utilisée sous licence.
Les autres noms de produits et de sociétés sont la
propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits
commercialisés par des entreprises tierces ne sont
mentionnés que pour information, sans aucune
intention de préconisation ni de recommandation.
Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et
au fonctionnement de ces produits.
Le produit décrit dans le présent manuel intègre des
technologies de protection de droits d’auteur ellesmêmes protégées par divers brevets américains ainsi
que d’autres droits de propriété intellectuelle
appartenant à Macrovision Corporation et à d’autres
détenteurs. L’utilisation de ces technologies de
protection des droits d’auteurs doit être autorisée par
Macrovision Corporation et est destinée à un cadre privé
ou de visualisation restreinte, sauf consentement de
Macrovision Corporation. Tout démontage ou ingénierie
inverse est interdit.
Réclamations concernant l’appareillage aux États-Unis.
Brevets n° 4,631,603, 4,577,216, 4,819,098 et 4,907,093
sous licence à des fins de visualisation limitée
uniquement.
Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. 3
1 Table des matières
Chapitre 1 5 Premiers contacts
6 Fonctionnalités élémentaires de votre iBook G4
8 Autres fonctionnalités de votre iBook G4
10 Configuration
15 Comment éteindre mon iBook G4 ?
17 Étalonnage de votre nouvelle batterie
17 Et ensuite ?
Chapitre 2 19 Notions élémentaires
19 Premiers contacts avec votre iBook G4
20 Réglage de votre moniteur
21 Utilisation de votre adaptateur secteur
22 Utilisation du trackpad
23 Utilisation du clavier
23 Utilisation d’une souris
24 À propos de Mac OS X
24 Personnalisation du bureau et réglage des préférences
25 Connexion à une imprimante
27 Lecture d’un CD et connexion d’un casque d’écoute
27 Maintien à jour de votre logiciel
28 Connexion d’un appareil photo ou de tout autre périphérique
via le port FireWire ou USB
28 Connexion à un réseau
28 Utilisation d’Internet
28 Transfert de fichiers vers un autre ordinateur
30 Lorsqu’une application se fige
Chapitre 3 31 Utilisation de votre ordinateur
32 USB (Universal Serial Bus)
34 FireWire
36 Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme
38 Utilisation de périphériques Bluetooth
39 Ethernet (10/100Base-T)4 Table des matières
40 Utilisation de votre modem
40 Gestion vidéo externe (VGA, Composite et S-Vidéo)
42 Utilisation de votre lecteur optique
46 Connexion de haut-parleurs et de périphériques audio
46 Batterie
50 Logement de sécurité
Chapitre 4 51 Amélioration des performances de votre ordinateur
51 Installation d’une carte AirPort Extreme ou de mémoire supplémentaire
Chapitre 5 61 Dépannage
62 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur
64 Autres problèmes
66 Restauration des logiciels de votre ordinateur
67 Localisation du numéro de série de votre produit
Annexe A 69 Caractéristiques
Annexe B 71 Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité
71 Nettoyage de votre iBook G4
71 Transport de votre iBook G4
72 Rangement de votre iBook G4
72 Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre ordinateur
73 Consignes générales de sécurité
74 Batterie
74 Connecteurs et ports
75 Prévention des dommages auditifs
75 Apple et l’environnement
75 Ergonomie
Annexe C 77 Connexion à Internet
79 Collecte des informations nécessaires
80 Saisie de vos informations
81 Modem téléphonique avec connexions PPP (Point-To-Point Protocol)
83 Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble ou réseau LAN
89 Connexion sans fil AirPort Extreme
92 Dépannage de votre connexion
Annexe D 95 Les dix questions principales
99 Communications Regulation Information1
5
1 Premiers contacts
Votre iBook G4 est un ordinateur portable complet.
Important : lisez attentivement toutes les instructions d’installation et consignes de
sécurité (voir la page 71) avant de brancher votre ordinateur sur une prise de courant.
Adaptateur pour moniteur VGA Apple
Adaptateur secteur Câble CA
Connecteur CA
Câble téléphonique6 Chapitre 1 Premiers contacts
Fonctionnalités élémentaires de votre iBook G4
®
Haut-parleur intégré
® Bouton d’alimentation
Antenne
AirPort Extreme
Antenne
AirPort Extreme
Microphone
Touche
de fonction
(Fn)
Témoin
lumineux de
suspension
d’activité Bouton Trackpad
d'ouverture
de l’écran
Bouton du
trackpad
Lecteur de disque
optique à chargement
frontal
Touches de
réglage du
volume
¤ Touches de
réglage de la
luminosité
Touche de
verrouillage
numérique
- Touches de fonction
— Touche
silence
Touche
d’éjection
de disque
Haut-parleur intégré
(sous la grille du
haut-parleur)
¯ Port de l’adaptateur secteurChapitre 1 Premiers contacts 7
Pour plus d’informations sur AirPort Extreme ou sur le lecteur de disque optique, consultez le
chapitre 3, “Utilisation de votre ordinateur”, à la page 31.
¤ Boutons de réglage de la luminosité
Augmentent ou diminuent la luminosité de l’écran de votre iBook G4.
- Boutons de réglage du volume
Augmentent ou diminuent le volume du son provenant des haut-parleurs intégrés et du port casque.
Touche de verrouillage numérique
Active le pavé numérique incorporé au clavier du iBook G4. Lorsque le pavé numérique est activé,
un lumière verte éclaire la touche.
Touche d’éjection de disque
Maintenez cette touche enfoncée pour éjecter un disque. Il est également possible d’éjecter
un disque en faisant glisser son icône dans la corbeille.
Microphone
Enregistrez des sons directement sur le disque dur de votre iBook G4 grâce à ce microphone intégré
(situé en haut à droite de l’écran).
Haut-parleurs stéréo intégrés (2)
Écoutez de la musique, le son de vos films, jeux et fichiers multimédia.
Touche de fonction (Fn)
Maintenez cette touche enfoncée pour activer les touches de fonction (F1 à F12).
Témoin lumineux de suspension d’activité
Une lumière blanche clignote lorsque le iBook G4 est en suspension d’activité.
Bouton d’ouverture de l’écran
Appuyez sur ce bouton pour relever l’écran et ouvrir votre iBook G4.
Trackpad
Permet de déplacer le pointeur sur l’écran du iBook G4.
Lecteur de disque optique à chargement frontal
Votre lecteur de disque optique peut lire les CD-ROM, les CD de photos et les disques audio. Si vous
disposez d’un lecteur Combo (en option), il peut également lire les DVD-ROM et les disques DVD-R,
les films DVD et autres types de support. Il permet aussi de graver de la musique, des documents et
d’autres fichiers numériques sur des disques CD-R et CD-RW. Si vous disposez également d’un lecteur
SuperDrive, vous pouvez également graver des disques DVD-R.
® Bouton d’alimentation
Allume, éteint ou suspend l’activité de votre iBook G4.
¯ Port d’adaptateur secteur
Branchez l’adaptateur secteur portable Apple fourni pour recharger la batterie de votre iBook G4.
Antenne AirPort Extreme
Connectez-vous à Internet sans fil à l’aide d’une carte AirPort Extreme optionnelle et d’une borne
d’accès AirPort Extreme ou via tout autre concentrateur sans fil.8 Chapitre 1 Premiers contacts
Autres fonctionnalités de votre iBook G4
®
W Port du modem interne
Port du casque
d’écoute
Batterie
Port Ethernet
(10/100Base-T)
G
f
Ports USB 2.0
Port FireWire 400
Port de sortie vidéo
Dispositif
de sécuritéChapitre 1 Premiers contacts 9
Pour des informations supplémentaires sur ces caractéristiques, consultez le chapitre 3, “Utilisation de
votre ordinateur”, à la page 31.
W Port de modem interne
Permet de relier une ligne téléphonique standard directement au modem interne.
G Port Ethernet (10/100Base-T)
Permet de se connecter à un réseau Ethernet 10/100Base-T haut débit ou à un autre ordinateur afin
d’échanger des fichiers. La fonction de détection automatique du port Ethernet détecte les autres
périphériques Ethernet. Pour établir des connexions à d’autres périphériques Ethernet, il est inutile
d’utiliser un câble croisé Ethernet.
Port FireWire 400
Permet de connecter des périphériques à haute vitesse tels que les caméras vidéo et les
périphériques de stockage externes. Pour plus d’informations, consultez la page 34.
Deux ports USB 2.0 (Universal Serial Bus)
Grâce à la technologie USB, vous pouvez connecter des périphériques supplémentaires à votre
iBook G4, tels qu’une imprimante, des unités de stockage externes, un appareil photo numérique,
un modem, un clavier ou une manette de jeu.
Port de sortie vidéo (moniteur externe)
Permet de se connecter à un moniteur externe ou à un appareil de projection utilisant un connecteur
VGA avec l’adaptateur Moniteur VGA Apple fourni. Vous pouvez également utiliser un adaptateur
vidéo Apple (vendu séparément) pour connecter un téléviseur, un magnétoscope ou autre appareil
vidéo.
f Port du casque d’écoute (sortie ligne audio)
Permet de connecter des haut-parleurs externes, un casque d’écoute ou tout autre périphérique
de sortie audio.
Ç Dispositif de sécurité
Protégez votre iBook G4 contre le vol en y reliant un câble de sécurité.10 Chapitre 1 Premiers contacts
Configuration
Votre iBook G4 est conçu pour être configuré rapidement et utilisé immédiatement.
Étape 1 : Branchement de l’adaptateur secteur
m
Branchez la fiche CA de votre adaptateur secteur dans la prise de courant et branchez
la fiche de l’adaptateur secteur dans le port adaptateur secteur de votre iBook G4.
Important : si vous utilisez la fiche CA avec votre adaptateur secteur, assurez-vous que
les deux broches sont totalement déployées avant de brancher l’adaptateur sur la prise.
Pour étendre la portée de votre adaptateur secteur, vous pouvez joindre le câble CA si
vous le souhaitez. Voir la section “Utilisation de votre adaptateur secteur” à la page 21.
Connecteur CA
Câble CA
¯ Port de l’adaptateur secteur Fiche de l’adaptateur secteur Connecteur CAChapitre 1 Premiers contacts 11
Étape 2 : Connectez vos câbles
Ensuite, connectez votre iBook G4 à une ligne téléphonique, à un modem DSL, à un
modem par câble ou à un réseau Ethernet. Si vous vous connectez à un réseau sans fil
AirPort Extreme, vous n’avez pas besoin de câbles.
Pour se connecter à une ligne téléphonique :
m
Connectez le câble téléphonique relié à la prise murale au port modem interne pour
une connexion commutée.
Veillez à connecter le modem interne à une ligne téléphonique analogique (type le
plus répandu chez les particuliers). Le modem ne fonctionnera pas avec une ligne
téléphonique numérique.
Pour plus d’informations sur votre modem, consultez “Utilisation de votre modem” à la
page 40. Pour plus d’informations sur d’autres types de connexions, voir l’annexe C,
“Connexion à Internet”, à la page 77.
Câble téléphonique
W Port modem interne
®
Avertissement : ne connectez jamais une ligne téléphonique numérique au modem ;
un type de ligne inapproprié risquerait en effet de l’endommager. Contactez votre
opérateur téléphonique si vous n’êtes pas certain(e) de votre type de ligne
téléphonique.12 Chapitre 1 Premiers contacts
Pour se connecter à un modem DSL ou câble ou à un réseau Ethernet :
m
Connectez le câble à votre modem DSL ou modem câble comme indiqué dans les
instructions du modem, ou connectez le câble Ethernet à un concentrateur ou une
prise Ethernet. Connectez ensuite l’autre extrémité du câble au port Ethernet de
l’ordinateur.
Étape 3 : Mise sous tension de votre iBook G4
La première fois que vous démarrez votre ordinateur, un assistant réglages vous
accueille et vous guide dans le processus d’enregistrement. Il vous aide aussi à
configurer votre ordinateur et votre connexion Internet. Cet accès requiert
généralement l’ouverture d’un compte auprès d’un fournisseur d’accès à Internet
(payant dans certains cas).
La configuration de la connexion Internet requiert que vous fournissiez des
informations telles que le nom de compte donné par votre FAI. Si vous connaissez ces
informations, gardez-les à portée de main lors du démarrage de votre iBook G4. Si vous
n’êtes pas encore prêt à configurer votre connexion ou si vous ne connaissez pas ces
informations, vous pouvez passer cette procédure et y revenir plus tard. Consultez
l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 77 pour plus d’informations sur comment
la configurer plus tard.
®
Câble Ethernet
GPort Ethernet
(10/100Base-T)Chapitre 1 Premiers contacts 13
1 Pour mettre l’ordinateur sous tension, appuyez sur le bouton d’alimentation (®).
Lorsque vous allumez l’ordinateur, il émet normalement un signal sonore. Sa mise
en route prend quelques instants. L’assistant réglages se lance automatiquement
pour vous aider.
Remarque : lorsque vous appuyez sur le bouton d’alimentation pour démarrer votre
ordinateur, effectuez une seule pression brève (maximum 1 seconde). Relâchez le
bouton d’alimentation dès que vous entendez le signal sonore indiquant le démarrage,
sinon vous risquez d’éteindre l’ordinateur.
®
® Bouton d’alimentation14 Chapitre 1 Premiers contacts
2 Le trackpad de votre iBook G4 permet de sélectionner et de déplacer des éléments
à l’écran de la même façon que la souris d’un ordinateur de bureau.
• Pour déplacer le pointeur à l’écran, glissez votre index sur le trackpad.
• Pour sélectionner un élément, cliquer ou faire un double-clic, utilisez le bouton
du trackpad.
Pour obtenir des conseils sur l’utilisation du trackpad, voir “Conseils d’utilisation du
trackpad” à la page 22.
®
Trackpad Bouton du trackpadChapitre 1 Premiers contacts 15
Félicitations, vous maîtrisez votre PowerBook !
Comment éteindre mon iBook G4 ?
Lorsque vous avez fini d’utiliser votre iBook G4, vous pouvez suspendre son activité
ou l’éteindre.
Suspension de l’activité de votre iBook G4
Si vous n’utilisez pas votre iBook G4 pendant une courte période, suspendez son
activité. Cela permet de réactiver votre ordinateur sans avoir à le redémarrer.
Pour suspendre l’activité de votre ordinateur, procédez de l’une des manières
suivantes :
• Rabattez l’écran.
• Choisissez Pomme (K) > Suspendre l’activité dans la barre des menus.
Problèmes de mise sous tension de l’ordinateur
Rien ne se produit lorsque vous appuyez sur le bouton d’alimentation
• La batterie est peut-être déchargée. Assurez-vous que l’adaptateur secteur est
correctement connecté à l’ordinateur et relié à une prise électrique. La prise doit
s’éclairer lorsque que vous la branchez à l’ordinateur.
• Si l’ordinateur ne démarre toujours pas, consultez “Problèmes vous empêchant
d’utiliser votre ordinateur” à la page 62.
Un point d’interrogation clignote à l’écran sur une icône de disque
ou de dossier.
• Cette icône signifie généralement que l’ordinateur ne parvient pas à localiser
le logiciel système sur le disque dur interne ou sur tout disque externe relié à
l’ordinateur. Essayez de redémarrer. Appuyez sur le Bouton d’alimentation pendant
4 à 5 secondes jusqu’à l’arrêt de votre ordinateur. Appuyez ensuite de nouveau sur
le bouton d’alimentation. Si le problème persiste, vous devrez peut-être réinstaller
votre logiciel système. Voir “Restauration des logiciels de votre ordinateur” à la
page 66.16 Chapitre 1 Premiers contacts
• Appuyez sur le bouton d’alimentation (®), puis cliquez sur Suspendre dans la zone
de dialogue qui s’affiche.
Pour réactiver l’ordinateur :
• Si l’écran est rabattu, ouvrez-le. Votre iBook G4 reprend automatiquement son activité
lorsque vous ouvrez l’écran.
• Si l’écran est déjà ouvert, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) ou sur n’importe
quelle touche du clavier.
Mise hors tension de votre iBook G4
Si vous ne comptez pas utiliser votre iBook G4 pendant un jour ou deux, éteignez-le.
Pour éteindre votre ordinateur, procédez de l’une des manières suivantes :
• Choisissez Pomme (K) > Éteindre dans la barre des menus.
• Appuyez sur le bouton d’alimentation (®), puis cliquez sur Éteindre dans la zone
de dialogue qui s’affiche.
Si vous prévoyez de ranger votre iBook G4 pendant une durée prolongée, consultez la
section “Rangement de votre iBook G4” à la page 72 pour obtenir plus d’informations
sur les moyens d’éviter que votre batterie se décharge complètement.
Avertissement : patientez quelques secondes jusqu’à ce que le voyant blanc de
suspension d’activité clignote près du loquet de l’écran (signalant que l’activité de
l’ordinateur est suspendue et que le disque dur a cessé de tourner) avant de déplacer
votre iBook G4. Tout déplacement de votre ordinateur lorsque le disque dur est en
train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données
ou l’impossibilité de démarrer à partir du disque dur.Chapitre 1 Premiers contacts 17
Étalonnage de votre nouvelle batterie
Pour garantir à votre batterie une durée de vie optimale, respectez les étapes suivantes
pendant la première semaine d’utilisation de votre iBook G4.
Pour procéder à l’étalonnage initial de votre batterie, procédez comme suit :
1 Branchez l’adaptateur secteur et rechargez complètement la batterie de votre iBook G4
jusqu’à ce que le voyant de l’adaptateur passe au vert et que l’indicateur à l’écran dans
la barre des menus indique que la batterie est complètement chargée.
2 Débranchez l’adaptateur secteur et utilisez votre iBook G4.
Lorsque votre batterie est presque déchargée, un message d’avertissement apparaît à
l’écran. Continuez à utiliser votre iBook G4 jusqu’à ce qu’il suspende automatiquement
son activité. Votre batterie sera alors suffisamment déchargée en vue de son étalonnage.
3 Connectez l’adaptateur secteur jusqu’à ce que la batterie soit complètement rechargée.
Important : pour étalonner votre batterie, vous devez la vider complètement, puis
la recharger en une seule fois. Après cela, vous pouvez connecter et déconnecter
l’adaptateur secteur, quel que soit le niveau de charge de la batterie.
Si vous avez acheté des batteries supplémentaires, répétez la procédure d’étalonnage
avec ces dernières. Pour plus d’informations sur votre adaptateur secteur et votre
batterie, consultez “Utilisation de votre adaptateur secteur” à la page 21 et “Batterie” à
la page 46.
Et ensuite ?
• Découvrez les notions élémentaires importantes concernant votre iBook G4.
Consultez le chapitre 2, “Notions élémentaires”, à la page 19.
• Amusez-vous en testant les applications et les fonctionnalités Internet offertes par
votre ordinateur. Parcourez le livret Bienvenue sur Panther fourni avec votre ordinateur.
• Si vous n’êtes pas familiarisé avec Mac OS X, ouvrez l’Aide Mac OS et parcourez les
informations.
• Passage d’un autre ordinateur ? Ouvrez l’Aide Mac OS et lisez la section “Nouveautés
deMac OS X”. Elle vous permettra de faire appel à vos connaissances informatiques en
vue de vous familiariser avec Mac.18 Chapitre 1 Premiers contacts
Davantage de questions ?
Aide Mac OS
La plupart des informations sur l’utilisation de votre Macintosh sont disponibles
directement sur votre ordinateur.
1 Cliquez sur l’icône Finder dans le Dock (la barre des icônes au bas de l’écran).
2 Sélectionnez Aide > Aide Mac (cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus,
puis choisissez Aide Mac).
3 Cliquez dans le champ Rechercher, tapez votre question, puis appuyez sur la touche
Retour du clavier.
Autre assistance
• Si un problème vous empêche d’utiliser votre ordinateur, consultez le chapitre 5,
“Dépannage”, à la page 61.
• Consultez les dix questions les plus fréquemment posées. Consultez l’annexe D, “Les
dix questions principales”, à la page 95.
• Pour plus d’information sur l’assistance, les groupes de discussion et les dernières
nouveautés logicielles Apple à télécharger, visitez le site www.apple.com/support.
• Si vous ne trouvez pas de réponse à votre problème, consultez les documents
AppleCare livrés avec votre ordinateur pour savoir comment contacter Apple.2
19
2 Notions élémentaires
Ce chapitre présente les notions élémentaires sur votre
iBook G4.
Premiers contacts avec votre iBook G4
La légèreté et la finesse de votre iBook G4 vous permettent de l’emporter partout, que
ce soit au bureau, à la bibliothèque, en classe ou dans tout autre endroit pour travailler
ou jouer.
Chaque fois que vous cessez d’utiliser votre iBook G4, patientez quelques instants
pour laisser le temps au disque dur ou à un disque optique dans votre lecteur d’arrêter
de tourner avant de transporter l’ordinateur. Évitez de bousculer ou de heurter votre
iBook G4 lorsque les disques tournent.
Lorsque vous utilisez votre iBook G4 ou que vous rechargez la batterie, il est normal que
la température de la partie inférieure du boîtier s’élève. En prévision d’une utilisation
prolongée, placez votre iBook G4 sur une surface plane et stable. Le dessous du boîtier
est légèrement surélevé pour permettre la circulation d’air et assurer ainsi à
l’équipement une température de fonctionnement normale.
À mesure que vous vous familiarisez avec votre nouvel ordinateur, vous entendrez
parfois de petits bruits émis au démarrage ou lorsque le lecteur de disque dur et le
lecteur optique sont sollicités. Ainsi, vous pouvez entendre comme un ronronnement
ou de petits clics lorsque ces lecteurs accèdent aux informations ou lorsque vous
chargez ou éjectez un disque. De même, il arrive qu’après une certaine période de
fonctionnement un petit ventilateur se mette en marche pour refroidir le système,
ce qui peut produire un léger bruit. Ces petits bruits font partie du fonctionnement
normal de l’ordinateur.
Pour plus d’instructions de sécurité sur la manipulation et l’utilisation de votre iBook G4
dans d’autres emplacements, veillez à consulter l’annexe B, “Consignes d’entretien,
d’utilisation et de sécurité”, à la page 71.20 Chapitre 2 Notions élémentaires
Réglage de votre moniteur
Lorsque vous travaillez pour la première fois sur votre ordinateur iBook G4, réglez si
nécessaire l’affichage de l’écran pour un meilleur confort visuel. Utilisez les touches
portant le symbole ¤ pour régler la luminosité de l’écran.
Vous pouvez agrandir ou réduire la taille des images affichées à l’écran en changeant
la résolution.
Vous pouvez choisir une résolution dans la fenêtre Moniteurs des Préférences Système.
Si vous le souhaitez, vous pouvez changer la résolution pour que les éléments
apparaissent plus grands à l’écran et soient donc plus faciles à visualiser. Il se peut
toutefois que certaines résolutions ne permettent pas d’afficher aussi nettement les
éléments que la résolution par défaut de l’écran.
Pour régler la résolution de votre écran :
m Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système.
Ouvrez la fenêtre Moniteurs des Préférences système.
Pour contrôler vos réglages d’écran via l’icône Moniteurs de la barre des menus, cliquez
sur l’option Ouvrir Moniteurs dans la barre des menus.
®
¤ Boutons de réglage
de la luminositéChapitre 2 Notions élémentaires 21
Utilisation de votre adaptateur secteur
Le branchement de l’adaptateur secteur fournit à l’ordinateur du courant alternatif (CA)
et recharge sa batterie.
Important : pour obtenir des performances optimales, utilisez uniquement l’adaptateur
secteur fourni avec votre ordinateur.
La première fois que vous connectez votre adaptateur secteur à votre ordinateur, un
témoin lumineux s’allume. La lumière orange indique que la batterie est en train de se
recharger. La lumière verte indique qu’elle est rechargée complètement. Vous pouvez
contrôler le niveau de la batterie soit à l’aide de l’icône de batterie de la barre des
menus, soit en vérifiant les témoins lumineux de niveau de la batterie situés sur la
partie inférieure de la batterie (voir la page 46).
Pour étendre la portée de votre adaptateur secteur, retirez la fiche CA de votre adaptateur.
Reliez le câble CA à l’adaptateur et insérez l’autre extrémité dans la prise de courant murale.
Utilisez uniquement le câble pour courant alternatif fourni avec votre adaptateur
secteur. Veillez à ce que le connecteur soit fermement engagé dans le port de
l’adaptateur secteur de l’ordinateur afin de garantir l’arrivée du courant à l’ordinateur.
Lorsque vous déconnectez l’adaptateur secteur d’une prise de courant ou de
l’ordinateur, débranchez bien la prise et non le câble.
Pour des consignes de sécurité sur l’utilisation de votre adaptateur secteur, voir
“Branchement de l’adaptateur secteur” à la page 72.
Avertissement : assurez-vous que l’adaptateur secteur est complètement assemblé
avant de le brancher sur une prise de courant. Si vous utilisez la fiche CA avec votre
adaptateur secteur, assurez-vous que les deux broches sont complètement déployées
avant de brancher l’adaptateur.
Câble CA Connecteur CA22 Chapitre 2 Notions élémentaires
Utilisation du trackpad
Le trackpad est sensible à la vitesse de déplacement de votre doigt. Pour déplacer le
pointeur sur une courte distance, faites glisser l’index lentement sur le trackpad. Plus le
déplacement du doigt est rapide, plus la distance parcourue par le pointeur est grande.
Plutôt que d’utiliser le bouton du trackpad, utilisez votre doigt pour cliquer ou doublecliquer directement sur le trackpad. Les options du trackpad doivent être activées via la
fenêtre Clavier et souris des Préférences Système.
Remarque : si vous avez effleuré le trackpad par inadvertance et que le pointeur se
déplace lorsque vous saisissez des informations, activez l’option “Ignorer les utilisations
accidentelles du trackpad” dans la fenêtre Clavier et souris des Préférences Système,
afin d’éviter ce problème.
Conseils d’utilisation du trackpad
Pour une utilisation efficace du trackpad, tenez compte de ces conseils :
• N’utilisez qu’un seul doigt,
• N’utilisez pas de stylo ou tout autre objet.
• Veillez à ce que votre doigt et le trackpad soient secs. Si l’humidité ou la
condensation provoque une accumulation de buée sur le trackpad, essuyez-le
avec un chiffon propre avant de l’utiliser.
• N’utilisez jamais de produit nettoyant sur le trackpad.
Pour plus d’informations sur l’utilisation du trackpad, choisissez Aide > Aide Mac dans
la barre des menus, en haut de l’écran.Chapitre 2 Notions élémentaires 23
Utilisation du clavier
Le clavier de votre iBook G4 est doté d’un pavé numérique incorporé aux touches
standard. Les touches utilisées par le pavé numérique sont pourvues d’une mention
secondaire plus petite.
Pour utiliser le pavé numérique, appuyez sur la touche de verrouillage numérique.
Un voyant vert s’allume pour indiquer que le pavé est activé. Une fois que vous avez
terminé, appuyez à nouveau sur la touche de verrouillage numérique pour la désactiver.
Important : si vous avez l’impression que votre clavier ne fonctionne pas normalement,
c’est peut-être parce que le pavé numérique est verrouillé. Lorsque le pavé numérique
est activé, les autres touches et raccourcis clavier correspondant à des commandes de
menu (comme x-Q pour quitter) sont désactivés.
Si vous souhaitez utiliser les raccourcis clavier pour travailler de manière plus efficace,
ouvrez l’Aide Mac OS et recherchez “raccourcis.” Vous trouverez une liste de raccourcis
clavier pour un grand nombre de procédures et d’applications courantes.
Utilisation d’une souris
Si vous disposez d’une souris Apple Mouse dotée d’un connecteur USB, insérez ce
dernier dans le port USB 2.0 et utilisez-la sans avoir à redémarrer l’ordinateur. Vous
pouvez vous procurer une souris USB auprès d’un revendeur agréé Apple ou sur le site
Web Apple Store : www.apple.com/store.
®
Pavé numérique
Touche Verrouillage num24 Chapitre 2 Notions élémentaires
À propos de Mac OS X
L’ordinateur vous est fourni avec le système d’exploitation Mac OS X et l’environnement
Classic, permettant d’utiliser les applications de Mac OS 9 sur un ordinateur exécutant
Mac OS X.
Remarque : Mac OS 9 ne peut pas être installé comme système d’exploitation principal
de votre iBook G4.
Si vous souhaitez en savoir plus sur Mac OS X et les applications Apple, consultez le
livret Bienvenue dans Panther fourni avec votre iBook G4. Vous pouvez également ouvrir
l’Aide Mac OS et parcourir les informations qu’elle contient. Vous trouverez un grand
volume d’informations pour les utilisateurs novices et expérimentés, et pour ceux qui
passent au Mac.
Pour avoir des informations sur la compatibilité des applications logicielles avec Mac OS X,
ou pour en savoir plus sur Mac OS X, visitez le site Web d’Apple : www.apple.com/macosx.
Personnalisation du bureau et réglage des préférences
Au moyen des Préférences Système, vous pouvez donner à votre bureau l’apparence
souhaitée sans perdre de temps. Dans la barre des menus, sélectionnez le menu
Pomme (K) > Préférences Système. Chapitre 2 Notions élémentaires 25
N’hésitez pas à changer et essayer ce qui suit :
• Apparence : sélectionnez ce panneau de préférences pour changer entre autres les
couleurs des boutons, menus, fenêtres et la couleur de contraste.
• Bureau et économiseur d’écran : sélectionnez ce panneau de préférences pour
changer la couleur et le motif du bureau ou pour le remplacer par la photo ou
l’image de votre choix. Vous pouvez également choisir un effet d’écran accrocheur
qui apparaîtra lorsque l’ordinateur reste inactif.
• Dock : sélectionnez ce panneau de préférences pour changer l’apparence,
l’emplacement et le comportement de votre Dock.
Tout en vous familiarisant avec votre ordinateur, découvrez progressivement les autres
Préférences Système. C’est le poste de commande qui vous permet d’effectuer la plupart
des réglages de votre iBook G4. Pour plus d’informations, ouvrez l’Aide Mac OS et
cherchez “Préférences Système” ou directement la fenêtre de préférence que vous
souhaitez modifier.
Connexion à une imprimante
Pour utiliser une imprimante avec votre iBook G4, suivez les instructions fournies pour
installer les logiciels requis et connecter l’imprimante. De nombreuses imprimantes se
connectent via un câble USB tandis que d’autres sont accessibles via une connexion
réseau de type Ethernet, par exemple. Pour plus d’informations sur les ports USB,
consultez la section “USB (Universal Serial Bus)” à la page 32. Pour plus d’informations
sur un réseau ou une connexion sans fil, consultez les sections “Ethernet (10/100Base-T)”
à la page 39 et “Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme” à la
page 36.
Une fois votre imprimante connectée et réglée, ouvrez le panneau Imprimer et faxer
des Préférences Système pour sélectionner l’imprimante que vous voulez utiliser. Si
vous vous connectez à une imprimante via un réseau, il vous faudra peut-être savoir
le nom de réseau ou l’adresse de l’imprimante pour la sélectionner. Si une imprimante
USB est connectée à une borne d’accès AirPort Extreme et que votre iBook G4 est
équipé d’une carte AirPort Extreme, vous pouvez vous connecter à cette imprimante
et imprimer sans fil.26 Chapitre 2 Notions élémentaires
Pour configurer une imprimante :
1 Ouvrez Préférences Système et cliquez sur l’icône Imprimer et faxer.
2 Cliquez sur le bouton Réglage des imprimantes.
3 Cliquez sur le bouton Ajouter.
4 Sélectionnez le type de connexion de votre imprimante dans le menu contextuel
(par exemple, USB, AppleTalk, etc.).
Pour ajouter une imprimante USB connectée à une borne d’accès AirPort Extreme,
sélectionnez Rendezvous dans le menu local.
5 Sélectionnez ou saisissez les informations de l’imprimante et cliquez sur Ajouter.
Contrôle de l’impression
Lorsque vous avez envoyé un document à l’impression, vous pouvez contrôler
l’impression et l’arrêter ou la mettre en attente temporairement.
Pour contrôle l’impression :
m
Cliquez sur l’icône de l’imprimante dans le Dock pour ouvrir la fenêtre Liste des
imprimantes.
Vous voyez alors la liste des travaux d’impression et la file d’attente sur lesquelles vous
pouvez intervenir. Pour plus d’informations, ouvrez l’Aide Mac OS et cherchez “impression”.Chapitre 2 Notions élémentaires 27
Lecture d’un CD et connexion d’un casque d’écoute
Pour écouter de la musique lorsque vous travaillez, insérez un CD dans votre lecteur
optique. iTunes, un lecteur de musique facile à utiliser, apparaît automatiquement à
l’écran. Vous pouvez également brancher vos écouteurs au port casque de votre iBook
G4 pour une écoute discrète et immédiate. Pour en savoir plus sur iTunes, ouvrez l’Aide
Mac OS et choisissez Bibliothèque > Aide iTunes et Music Store. Pour en savoir plus
sur votre lecteur optique, consultez la section “Utilisation de votre lecteur optique” à
la page 42.
Maintien à jour de votre logiciel
Vous pouvez vous connecter à Internet et télécharger et installer automatiquement les
dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple.
Une fois connecté à Internet, l’application Mise à jour de logiciels recherche dans les
serveurs Internet d’Apple les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Vous pouvez
configurer votre Mac afin qu’il recherche régulièrement dans le serveur Apple des mises
à jour de logiciels, puis qu’il les télécharge et les installe sur votre ordinateur.
Pour rechercher les logiciels mis à jour :
1 Ouvrez les Préférences Système.
2 Cliquez sur l’icône Mise à jour de logiciels et suivez les instructions sur l’écran.
• Pour plus d’informations, recherchez “Mise à jour de logiciels” dans l’Aide Mac OS.
• Pour obtenir les dernières informations concernant Mac OS, rendez-vous sur le site
Web Mac OS à l’adresse www.apple.com/macos.
Avertissement : écouter de manière prolongée de la musique à un volume excessif
peut endommager votre ouïe.28 Chapitre 2 Notions élémentaires
Connexion d’un appareil photo ou de tout autre
périphérique via le port FireWire ou USB
Vous pouvez connecter un appareil photo numérique, un caméscope, un scanneur ou
tout autre périphérique doté d’un connecteur FireWire ou USB à votre iBook G4. Suivez
les instructions d’installation fournies avec votre appareil. Pour plus d’informations
à propos de FireWire, consultez “FireWire” à la page 34. Pour plus d’informations
concernant les connexions USB, consultez “USB (Universal Serial Bus)” à la page 32.
Connexion à un réseau
Si vous souhaitez connecter votre iBook G4 à un réseau Ethernet ou sans fil, consultez
“Ethernet (10/100Base-T)” à la page 39 et “Accès sans fil à Internet et à votre réseau
local via AirPort Extreme” à la page 36 pour en savoir plus sur la configuration d’une
connexion Ethernet ou AirPort. Ouvrez également l’Aide Mac OS et cherchez “Ethernet”
ou “AirPort” pour obtenir de l’aide supplémentaire.
Utilisation d’Internet
Au cours des étapes de configuration initiale, vous avez appris comment vous
connecter à Internet. Pour changer de connexion telle que DSL, modem câble, réseau
local (LAN) Ethernet ou réseau AirPort Extreme, vous trouverez plus d’informations
dans l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 77.
Transfert de fichiers vers un autre ordinateur
Différentes méthodes s’offrent à vous si vous souhaitez transférer des fichiers ou des
documents à partir de ou vers votre iBook G4.
• Si vous possédez un lecteur de disque dur externe, un lecteur Zip ou tout autre
périphérique de stockage de données qui se connecte via un câble USB ou FireWire,
vous pouvez l’utiliser pour transférer des fichiers.
• Si vous disposez d’une connexion de courrier électronique, vous pouvez envoyer vos
fichiers par courrier électronique vers un autre ordinateur.
• Vous pouvez également vous connecter à un autre Mac via un câble FireWire (vendu
séparément). Lorsque vous démarrez votre iBook G4 en mode disque cible FireWire,
votre iBook G4 apparaît comme un disque dur sur l’autre ordinateur et vous pouvez
alors transférer vos fichiers. Pour plus d’informations sur l’utilisation de FireWire pour
le transfert de fichiers, consultez la section “Connexion de votre iBook G4 à un autre
ordinateur via FireWire” à la page 35. Chapitre 2 Notions élémentaires 29
• Si vous disposez d’un compte .Mac, vous pouvez l’utiliser pour transférer des fichiers.
Un compte .Mac vous offre l’accès à Internet et iDisk, qui vous fournit un espace de
stockage disponible sur Internet pour partager des fichiers. Vous pouvez demander
l’ouverture d’un compte .Mac auprès d’Apple (payant). Vous pouvez ensuite transférer
des fichiers sur votre compte iDisk où d’autres ordinateurs pourront y avoir accès.
• Si vous connectez votre ordinateur à un réseau via Ethernet, vous pouvez transférer
des fichiers vers un autre ordinateur du réseau. Vous pouvez accéder à un serveur ou
à un autre ordinateur en cliquant sur Réseau dans le volet de sélection de gauche du
Finder ou en choisissant Aller > “Se connecter au serveur” dans la barre des menus
du Finder.
• Vous pouvez créer un petit réseau Ethernet en connectant un câble Ethernet de
votre iBook G4 au port Ethernet d’un autre ordinateur. Une fois connecté à l’autre
ordinateur, vous pouvez transférer les fichiers directement d’un ordinateur à l’autre.
Pour plus d’informations, ouvrez l’Aide Mac OS et cherchez “Connexion de deux
ordinateurs”.
• Si votre ordinateur est équipé d’une carte AirPort Extreme, vous pouvez vous
connecter à un réseau sans fil AirPort Extreme pour transférer les fichiers. Pour plus
d’informations, consultez la section “Accès sans fil à Internet et à votre réseau local
via AirPort Extreme” à la page 36.
• Si vous avez fait l’acquisition du module optionnel Bluetooth®
en même temps que
votre iBook G4 et que vous disposez d’appareils qui communiquent via la technologie
sans fil Bluetooth, vous pouvez transférer des fichiers vers d’autres appareils équipés
du système Bluetooth. Pour plus d’informations, consultez la section “Utilisation de
périphériques Bluetooth” à la page 38.
Pour des informations générales sur le transfert de fichiers et de documents, ouvrez
l’Aide Mac OS et cherchez “transfert” ou le type de connexion dont vous avez besoin.30 Chapitre 2 Notions élémentaires
Lorsqu’une application se fige
Il est possible que, quelques rares fois, une application se fige à l’écran. Mac OS X
permet de quitter une application figée sans redémarrer votre ordinateur, ce qui
permet d’enregistrer le travail effectué dans d’autres applications ouvertes.
Pour forcer une application à se fermer :
1 Appuyez sur Commande (x) + Option + Échap ou sélectionnez Forcer à quitter
dans le menu Pomme (K).
La zone de dialogue Forcer à quitter des applications apparaît avec l’application
sélectionnée.
2 Cliquez sur Forcer à quitter.
L’application quitte, en laissant toutes les autres applications ouvertes.
Si nécessaire, vous pouvez forcer la fermeture de l’environnement Classic, ce qui
provoque la fermeture de toutes les applications Classic. Vous pouvez également
redémarrer le Finder à partir de cette boîte de dialogue.
Si vous rencontrez d’autres difficultés, consultez le chapitre 5, “Dépannage”, à la page 61.3
31
3 Utilisation de votre ordinateur
Votre iBook G4 comporte de nombreuses fonctions et
capacités de connexion intégrées.
En voici la liste :
• Des ports USB 2.0 pour la connexion de matériel supplémentaire à votre iBook G4 :
imprimantes, scanneurs, etc. Voir la page 32.
• Un port FireWire (400) pour la connexion de matériel à haute vitesse tel que les
caméras vidéo numériques et les disques durs externes. Voir la page 34.
• Le système facultatif AirPort Extreme de réseau sans fil et la connectivité sans fil
Bluetooth optionnelle. Voir la page 36.
• La fonctionnalité de mise en réseau Ethernet et un modem 56K pour la mise en
réseau et les communications. Voir la page 39.
• Un port de sortie vidéo associé à un adaptateur pour écran VGA Apple inclus vous
offre la possibilité d’utiliser votre iBook G4 avec un moniteur ou un écran externe.
Utilisez un adaptateur vidéo Apple (vendu séparément) pour relier un téléviseur,
un magnétoscope ou autre appareil vidéo. Voir la page 40.
• Un lecteur optique permettant de lire des CD. Si vous disposez d’un lecteur Combo
(en option), vous pouvez également lire des DVD et graver des CD. Si vous disposez
d’un graveur SuperDrive, vous pouvez également graver des DVD. Voir la page 42.
• Un port de casque pour relier des écouteurs, des haut-parleurs et autre équipement
audio. Voir la page 46.
• Une batterie iBook G4 qui permet de connaître en un clin d’oeil l’état de la charge.
Voir la page 46.
• Une rainure de sécurité pour protéger votre iBook G4 contre le vol. Voir “Logement
de sécurité” à la page 50.32 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
USB (Universal Serial Bus)
Votre iBook G4 est doté de deux ports USB 2.0 ( ), ou ports USB haute vitesse, que
vous pouvez utiliser pour connecter de nombreux périphériques externes : imprimantes,
scanneurs, appareils photo numériques, manettes de jeu, claviers ou lecteurs de disquettes.
Ces ports USB 2.0 sont compatibles avec les anciens modèles de périphériques USB. Dans
la plupart des cas, vous pouvez connecter et déconnecter un périphérique USB pendant
que l’ordinateur fonctionne. Vous pouvez utiliser les périphériques dès leur branchement,
Il n’est pas nécessaire de redémarrer ni de reconfigurer votre ordinateur.
Utilisation de périphériques USB
Pour utiliser un périphérique USB avec votre ordinateur, il suffit de connecter le
périphérique à l’ordinateur. Apple fournit d’origine des logiciels compatibles avec de
nombreux périphériques USB. Votre ordinateur détecte automatiquement les nouveaux
périphériques connectés.
Remarque : si vous avez connecté un périphérique USB et que votre iBook G4 ne
trouve pas le logiciel approprié, vous pouvez soit installer le logiciel fourni avec le
périphérique, soit suivre les instructions affichées à l’écran pour utiliser Internet afin
de trouver, télécharger et installer le logiciel approprié.
®Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 33
Périphériques USB et alimentation par batterie
Les périphériques USB, tels que les manettes de jeu ou les claviers, alimentés via le port
USB plutôt qu’à l’aide d’un adaptateur secteur séparé peuvent être utilisés avec votre
iBook G4. Toutefois, ces types de périphériques USB peuvent provoquer un déchargement
plus rapide de la batterie de votre iBook G4. Si vous utilisez le périphérique pendant une
durée prolongée, il est recommandé de brancher votre iBook G4 à son adaptateur secteur.
Utilisation simultanée de plusieurs périphériques USB
Vous pouvez vous procurer un concentrateur USB pour connecter plusieurs
périphériques USB à votre ordinateur. Ce dernier se connecte à un port USB disponible
de votre ordinateur et vous permet de disposer de ports USB supplémentaires (en général
quatre ou sept). Les concentrateurs haute vitesse peuvent gérer les périphériques USB 2.0
haute vitesse, ainsi que les périphériques compatibles USB 1.1. Les concentrateurs USB 1.1
ne permettent pas aux périphériques USB haute vitesse de fonctionner à leur vitesse
maximale. La plupart des concentrateurs USB disposent d’un adaptateur secteur et
doivent être branchés sur une prise électrique.
Informations supplémentaires sur la technologie USB
Des informations supplémentaires sur USB sont disponibles dans l’Aide Mac OS. Choisissez
Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et recherchez “USB.” Vous trouverez d’autres
informations sur le site Web USB d’Apple, à l’adresse www.apple.com/usb.
Pour obtenir des informations sur les périphériques USB disponibles pour votre
ordinateur, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide.
®
Concentrateur
USB34 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
FireWire
Votre ordinateur est équipé d’un port FireWire 400 ( ). Avec FireWire, vous pouvez
facilement connecter et déconnecter des périphériques externes à haute vitesse (tels
que caméras numériques DV, imprimantes, scanneurs et disques durs) sans avoir à
redémarrer votre ordinateur.
La liste ci-dessous répertorie certaines des opérations possibles avec FireWire :
• Connecter une caméra vidéo numérique pour capturer, transférer et monter de la
vidéo de haute qualité directement sur votre ordinateur à l’aide de logiciels de
montage vidéo tels qu’iMovie ou Final Cut Pro.
• Connecter un disque dur FireWire externe et l’utiliser pour sauvegarder des données
ou transférer des fichiers.
• Démarrer à partir d’un disque dur externe FireWire. Connecter un disque dur FireWire
externe (sur lequel un système d’exploitation valide est installé), ouvrir la fenêtre
Démarrage des Préférences Système, puis cliquer sur le disque dur FireWire.
Redémarrer votre ordinateur.
• Transférer des fichiers entre votre iBook G4 et un autre ordinateur équipé de la
technologie FireWire en utilisant le mode disque cible FireWire.
Utilisation de périphériques FireWire
Pour utiliser un périphérique FireWire avec votre ordinateur, reliez le périphérique
à l’ordinateur. Apple fournit d’origine des logiciels compatibles avec de nombreux
périphériques FireWire. Votre ordinateur détecte automatiquement les nouveaux
périphériques connectés.
®Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 35
Remarque : si vous avez connecté un périphérique FireWire et que votre iBook G4
ne trouve pas le logiciel approprié, vous pouvez soit installer le logiciel fourni avec
le périphérique, soit suivre les instructions affichées à l’écran pour utiliser Internet
afin de trouver, télécharger et installer le logiciel approprié.
Périphériques FireWire et alimentation par batterie
Les périphériques FireWire, tels que certains disques durs externes, peuvent être
alimentés par le port FireWire de l’iBook G4 plutôt que par un adaptateur secteur distinct.
Toutefois, ces types de périphériques FireWire peuvent provoquer un déchargement plus
rapide de la batterie de votre iBook G4. Si vous comptez connecter un périphérique
pendant une longue période, il est recommandé de brancher le iBook G4 sur son
adaptateur secteur.
Remarque : le port FireWire est conçu pour gérer l’alimentation des périphériques
FireWire (jusqu’à un maximum de 7 watts). Il est possible de connecter plusieurs
périphériques entre eux puis de connecter les périphériques “en chaîne” au port
FireWire de votre ordinateur. Apple recommande qu’un seul d’entre eux soit alimenté
par l’ordinateur. Les autres périphériques de la chaîne doivent alors être alimentés par
des adaptateurs secteur distincts. La connexion de plusieurs périphériques FireWire
alimentés par le port peut poser des problèmes. En cas de problème, éteignez
l’ordinateur, déconnectez les périphériques FireWire, puis redémarrez l’ordinateur.
Connexion de votre iBook G4 à un autre ordinateur via FireWire
Vous avez la possibilité de relier deux ordinateurs équipés de la technologie FireWire
avec un câble FireWire pour transférer des fichiers. De même, si vous êtes confronté
à un problème qui empêche le démarrage de votre ordinateur, vous pouvez utiliser
la technologie FireWire pour vous connecter à un autre ordinateur et accéder à vos
fichiers. Lorsque vous démarrez votre iBook G4 en mode disque cible FireWire, il
apparaît comme un disque dur sur l’autre ordinateur et vous pouvez alors transférer
vos fichiers.
Remarque : lorsque vous utilisez le mode disque cible FireWire, il est conseillé
de connecter l’adaptateur secteur à votre iBook G4.
Pour connecter votre iBook G4 à un autre ordinateur en mode disque cible
FireWire :
1 Assurez-vous que votre iBook G4 est éteint.
2 Utilisez un câble FireWire pour connecter votre iBook G4 à un autre ordinateur équipé
de FireWire.
3 Démarrez votre iBook G4, puis maintenez immédiatement la touche T enfoncée. L’écran
de votre iBook G4 affiche alors le logo FireWire. L’écran de l’autre ordinateur affiche
l’icône du disque dur interne de votre iBook G4. Vous pouvez maintenant glisserdéposer des fichiers entre les deux systèmes.36 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
4 Lorsque vous avez terminé de transférer les fichiers, glissez l’icône du disque dur
du iBook G4 dans la corbeille.
5 Appuyez sur le bouton d’alimentation du iBook G4 pour l’éteindre, puis déconnectez
le câble FireWire.
Informations supplémentaires sur la technologie FireWire
Des informations supplémentaires sur FireWire sont disponibles dans l’Aide Mac OS.
Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus du Finder et cherchez “FireWire”.
Vous trouverez d’autres informations sur le site Web FireWire d’Apple, à l’adresse
www.apple.com/firewire.
Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort
Extreme
Votre iBook G4 peut utiliser la technologie sans fil AirPort. AirPort Extreme permet
d’accéder sans fil à Internet en toute simplicité et sans se ruiner n’importe où, que ce
soit chez soi, au bureau ou dans un établissement scolaire par exemple. Au lieu de faire
appel à des câbles classiques, AirPort Extreme utilise la technologie de réseau local
(LAN) sans fil permettant une communication sans fil entre plusieurs ordinateurs.
Utilisez un réseau sans fil pour configurer l’accès à Internet, transférer des fichiers,
jouer à plusieurs en réseau et bien d’autres choses encore.
Si vous avez commandé une carte AirPort Extreme lors de l’achat de votre iBook G4,
une carte est déjà installée. Si vous ne disposez pas d’une carte AirPort Extreme et
souhaitez en installer une, lisez la section “Installation d’une carte AirPort Extreme ou
de mémoire supplémentaire” à la page 51.
La carte AirPort Extreme est compatible avec la borne d’accès AirPort Extreme Apple et
la borne d’accès originale Apple, ainsi qu’avec tous les produits conformes aux normes
802.11b ou 802.11g.
Remarque : l’Internet sans fil requiert une carte AirPort Extreme, une borne d’accès
AirPort Extreme ou une borne d’accès AirPort et une connexion à Internet (ce service
peut être payant). Certains fournisseurs d’accès à Internet ne sont pas encore
compatibles avec AirPort. La portée varie en fonction des conditions d’emplacement. Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 37
Mode d’accès sans fil à Internet via AirPort Extreme
La technologie AirPort Extreme permet d’établir une connexion sans fil via une borne
d’accès, que vous branchez à votre ligne de téléphone, à votre modem ou à votre réseau
Internet. La technologie AirPort Extreme fonctionne comme un téléphone sans fil. La carte
AirPort Extreme de votre ordinateur permet d’effectuer une connexion sans fil avec la
borne d’accès, elle-même connectée à la ligne téléphonique, DSL ou un modem par câble.
Pour plus d’informations sur AirPort Extreme
Pour acheter une borne d’accès AirPort Extreme, adressez-vous à votre vendeur agréé
Apple ou rendez-vous sur le site Web Apple Store, à l’adresse www.apple.com/store.
Des informations supplémentaires sur AirPort Extreme sont disponibles dans l’Aide
AirPort. Choisissez Aide > Aide Mac, puis Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre des
menus Visualisation Aide. Vous trouverez également des informations sur le site Web
AirPort d’Apple, à l’adresse www.apple.com/airport, ou sur www.apple.com/support.
Borne d’accès
AirPort Extreme
Connexion à Internet
Prise CA
®38 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Utilisation de périphériques Bluetooth
Si vous avez acheté un module Bluetooth®
, votre iBook G4 peut se connecter sans fil
à des appareils utilisant la technologie Bluetooth, tels qu’un téléphone portable ou un
ordinateur de poche (PDA), et transférer des fichiers vers ces appareils. La technologie
Bluetooth permet d’éliminer les câbles reliant normalement les appareils. Il est possible
de connecter sans fil des appareils utilisant la technologie Bluetooth dans un rayon de
10 mètres.
Les appareils utilisant la technologie sans fil Bluetooth comprennent des :
• Ordinateurs
• Téléphones portables
• Périphériques (claviers, souris, etc.)
• Ordinateurs de poche (PDA)
Avec la technologie sans fil Bluetooth, vous pouvez :
• Utiliser votre iBook G4 pour communiquer avec un téléphone portable équipé de
la technologie sans fil Bluetooth. Votre téléphone peut servir de modem pour vous
connecter à un fournisseur de services sans fil, à un débit de 56 kilobits par seconde
(Kbps) suffisant pour vous connecter à Internet.
• Communiquer avec votre assistant personnel (PDA). À l’aide d’iSync, vous pouvez
exécuter une opération HotSync sans fil ou transmettre votre carte de visite ou
encore des événements de calendrier directement sur le PDA d’un collègue.
• Transférer de petits fichiers entre ordinateurs, même de Mac à PC, en utilisant
l’utilitaire de transfert. Apple recommande l’utilisation du réseau sans fil AirPort
Extreme pour le transfert de tous vos fichiers à l’exception des plus petits.
Pour plus d’informations sur la technologie sans fil Bluetooth
Pour accéder à l’aide Bluetooth, ouvrez l’applications Échange de fichiers Bluetooth
(dans le dossier Utilitaires du dossier Applications) et sélectionnez Aide > Aide Bluetooth.
Vous trouverez d’autres informations sur le site Web Bluetooth d’Apple, à l’adresse
www.apple.com/bluetooth.Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 39
Ethernet (10/100Base-T)
Votre ordinateur est fourni avec la fonctionnalité de mise en réseau Ethernet intégrée,
qui permet de vous connecter à un réseau ou à un modem DSL ou par câble.
La connexion à un réseau vous donne accès à d’autres ordinateurs et vous permet
de stocker et de récupérer des informations, d’utiliser les imprimantes d’un réseau, des
modems et une messagerie électronique ou de vous connecter à Internet. Vous pouvez
utiliser Ethernet pour partager des fichiers entre deux ordinateurs ou établir un petit
réseau. Vous pouvez également connecter des modems par câble et DSL à votre port
Ethernet pour accéder à Internet via un fournisseur d’accès à Internet (FAI). Le port
Ethernet de votre iBook G4 détecte automatiquement les autres périphériques
Ethernet. Pour établir des connexions à d’autres périphériques Ethernet, il est inutile
d’utiliser un câble croisé Ethernet.
Informations supplémentaires sur l’utilisation d’Ethernet
Des informations supplémentaires, y compris sur la configuration d’un réseau Ethernet
et le transfert de fichiers via Ethernet, sont disponibles dans l’Aide Mac OS. Choisissez
Aide > Aide Mac dans la barre des menus et recherchez “Ethernet” ou “réseau”.
Pour obtenir des informations sur les produits de mise en réseau que vous pouvez
utiliser avec votre iBook G4, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse
www.apple.com/guide.
®40 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Utilisation de votre modem
Votre iBook G4 est équipé d’un modem interne Apple 56K (conforme à la norme V.92).
Pour connecter le modem interne, branchez l’une des extrémités du câble téléphonique
ou câble RJ-11 dans le port de modem de votre ordinateur et l’autre extrémité sur une
prise téléphonique murale standard RJ-11.
Veillez à connecter le modem interne à une ligne téléphonique analogique (type
le plus répandu chez les particuliers). Le modem ne fonctionne pas avec une ligne
téléphonique numérique.
Pour obtenir des informations sur la manière d’établir une connexion à Internet,
consultez l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 77. Des informations
supplémentaires sur le modem interne sont également disponibles dans l’Aide Mac OS.
Gestion vidéo externe (VGA, Composite et S-Vidéo)
Votre ordinateur est équipé d’un port de sortie vidéo et d’un adaptateur qui vous
permettent de connecter un moniteur ou un projecteur doté d’un connecteur VGA.
Utilisez l’adaptateur d’écran VGA Apple fourni pour connecter votre iBook G4 aux
moniteurs et projecteurs dotés d’une sortie VGA.
Avertissement : pour éviter tout risque d’endommagement du modem, ne connectez
jamais une ligne téléphonique numérique à ce dernier. Contactez votre opérateur
téléphonique si vous n’êtes pas certain(e) de votre type de ligne téléphonique.
®
Adaptateur
pour moniteur VGA Apple
fChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 41
Vous pouvez également afficher et enregistrer les images issues de l’ordinateur
en connectant un téléviseur, un projecteur vidéo, un magnétoscope, ou lire des DVD
vidéo sur votre téléviseur, en utilisant un adaptateur vidéo Apple (vendu séparément).
L’adaptateur vidéo Apple fournit des connecteurs composites et S-vidéo pour les
téléviseurs et autres appareils.
Lorsqu’un moniteur externe ou un téléviseur est connecté, la même image apparaît
à la fois sur l’écran de l’ordinateur et sur le moniteur externe (recopie vidéo).
Pour que le son soit diffusé via l’écran externe (un projecteur ou un téléviseur par
exemple), vous devez relier le port de casque de l’ordinateur (sortie de ligne audio)
et cet écran externe à l’aide d’un câble audio.
Remarque : en raison des limites d’affichage de la plupart des téléviseurs, les images
apparaissent avec une qualité inférieure à celle de l’écran intégré ou d’un moniteur
externe.
Connexion d’un écran externe ou d’un projecteur
Pour connecter à votre ordinateur un écran externe ou un projecteur via un
connecteur VGA :
1 Allumez l’écran externe ou le projecteur.
2 Connectez le câble du moniteur VGA à l’adaptateur d’écran VGA Apple, puis connectez
l’adaptateur à votre iBook G4. Votre iBook G4 détecte automatiquement le moniteur
externe.
Important : pour être sûr que votre iBook G4 détecte automatiquement le moniteur
externe ou le projecteur, vérifiez que l’adaptateur d’écran VGA Apple est d’abord
branché au moniteur externe ou au projecteur.
Mac OS X règle automatiquement la résolution et la fréquence de l’écran en fonction
du périphérique. Vous pouvez régler la résolution du moniteur externe via l’onglet
Moniteur de la fenêtre Moniteurs des Préférences Système ou via l’icône Moniteurs
située dans la barre des menus.
Remarque : votre iBook G4 ne gère pas les résolutions de moniteur externe supérieures
à 1024 X 768.42 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Connexion d’un téléviseur, d’un magnétoscope ou de tout autre
appareil vidéo
Pour connecter un téléviseur, un magnétoscope ou tout autre appareil vidéo
au iBook G4 :
1 Connectez un adaptateur vidéo Apple (vendu séparément) au connecteur composite ou
S-vidéo du téléviseur ou autre appareil, puis connectez l’adaptateur à votre iBook G4.
2 Si vous voulez envoyer le son de votre iBook G4 vers l’appareil, connectez un câble
miniprise/RCA (non fourni) du port du casque d’écoute (f) de votre iBook G4 aux
ports d’entrée audio de votre appareil.
3 Allumez l’appareil.
Pour régler l’apparence des images affichées à l’écran, ouvrez le fenêtre Moniteurs
des Préférences Système.
Informations supplémentaires sur l’utilisation d’un moniteur
externe ou d’un téléviseur
Vous pourrez trouver des informations supplémentaires sur la configuration et
l’utilisation d’un moniteur externe dans l’Aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac
dans la barre des menus, puis recherchez “moniteur”.
Utilisation de votre lecteur optique
Vous pouvez installer ou utiliser des logiciels sur CD à l’aide de votre lecteur optique et
sur DVD si votre ordinateur est équipé d’un lecteur Combo. Vous pouvez également lire
des CD multimédia et écouter de la musique sur CD audio. Si votre iBook G4 est équipé
d’un lecteur Combo, votre lecteur optique vous permet également de graver de la
musique, des documents et autres fichiers numériques sur des disques CD-R et CD-RW
et de lire des films DVD et d’utiliser la plupart des disques DVD. Si vous disposez d’un
lecteur SuperDrive optionnel, vous pouvez enregistrer des films DVD ou des données
sur des disques DVD-R.
Important : le lecteur optique de votre iBook G4 gère les disques circulaires standard de
12 cm de diamètre. Les disques de forme irrégulière et les disques de moins de 12 cm ne
peuvent pas être lus. Les disques non circulaires risquent de se bloquer dans le lecteur.Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 43
Insertion d’un CD ou d’un DVD
Pour installer ou utiliser des programmes à partir d’un CD ou d’un DVD :
1 L’ordinateur étant allumé, introduisez le disque (étiquette vers le haut) dans la fente
du lecteur jusqu’à ce le CD soit happé.
Il se peut qu’il faille insérer le disque presque entièrement avant que le lecteur ne le
prenne en charge. Cela est normal.
Remarque : certains disques DVD sont double-face. Pour utiliser la seconde face, il faut
retourner le disque.
2 Dès que son icône apparaît sur le bureau, le disque peut être utilisé.
Éjection d’un disque
Pour éjecter un disque, procédez comme suit :
• Glissez l’icône du disque dans la corbeille.
• Appuyez sur la touche d’éjection de disque ( ) située sur le clavier et maintenez-la
enfoncée jusqu’à l’éjection du disque.
Attendez que le disque soit complètement éjecté avant de le retirer ou réinsérer.
Si vous ne parvenez pas à éjecter le disque, fermez toutes les applications susceptibles
d’utiliser le disque et réessayez. Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez
l’ordinateur tout en maintenant le bouton du trackpad enfoncé.
®44 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Lecture de disques DVD vidéo
Si votre iBook G4 est équipé d’un lecteur Combo ou d’un lecteur SuperDrive optionnel,
il peut lire les disques DVD vidéo. Insérez le disque DVD vidéo dans le lecteur et ouvrez
Lecteur DVD. Vous pouvez constater que Lecteur DVD offre des commandes simples
d’utilisation pour lancer, interrompre et visionner des DVD.
Si votre iBook G4 est relié à un téléviseur, vous pouvez regarder un DVD Vidéo sur
l’écran du téléviseur. Vous pouvez également connecter votre iBook G4 à votre chaîne
stéréo. Utilisez un câble miniprise/RCA (non fourni) pour connecter le port du casque
d’écoute (f) de votre iBook G4 aux ports d’entrée audio de votre chaîne stéréo.
Enregistrement de disques CD-R et CD-RW
Si votre iBook G4 est équipé d’un lecteur Combo, vous pouvez enregistrer des données
sur des disques CD-R et CD-RW.
Pour graver des données sur un disque CD-R ou CD-RW :
1 Insérez un disque vierge dans le lecteur optique.
2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque. Une icône
correspondant au disque apparaît sur le bureau.
3 Glissez des fichiers et dossiers sur l’icône du disque.
4 Cliquez sur l’icône Graver le disque située à droite du nom du disque dans la barre
latérale du Finder.
Vous pouvez également enregistrer des disques CD-R ou CD-RW directement à partir
de votre bibliothèque iTunes.
Pour enregistrer de la musique issue de votre bibliothèque iTunes :
1 Cliquez sur l’icône d’iTunes dans le Dock.
2 Sélectionnez la liste de lecture à enregistrer.
3 Insérez un disque vierge CD-R ou CD-RW.
4 En haut de la fenêtre iTunes, cliquez sur l’option Graver le CD.
Pour plus d’informations
• Pour obtenir des instructions sur l’utilisation du Lecteur DVD, sélectionnez Aide >
Aide Lecteur DVD dans la barre des menus en haut de la fenêtre.
• Pour obtenir des informations sur l’enregistrement sur disques CD-R ou CD-RW de
fichiers musicaux issus d’iTunes, consultez l’aide à l’écran iTunes dans le Centre d’aide.Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 45
Enregistrement d’informations sur un DVD
Si vous disposez d’un graveur SuperDrive optionnel, vous pouvez enregistrer vos films
numériques sur des disques DVD enregistrables vierges. Vous pouvez également
enregistrer d’autres types de données numériques. Il est possible par exemple de
sauvegarder vos fichiers sur des DVD enregistrables vierges.
Les applications telles qu’iDVD vous permettent de créer vos propres projets numériques
multimédias, de les graver sur des DVD enregistrables vierges, puis de les lire sur la
plupart des lecteurs DVD standard.
Pour graver un projet iDVD sur un disque DVD-R vierge :
1 Ouvrez iDVD puis votre projet iDVD final.
2 Cliquez sur le bouton Graver.
3 À l’invite, insérez un DVD enregistrable vierge dans le graveur.
4 Cliquez de nouveau sur le bouton Graver le CD.
Pour enregistrer des données sur des disques DVD-R :
1 Insérez un disque DVD-R vierge dans le graveur.
2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque et sélectionnez le
format souhaité. Une icône représentant le DVD apparaît sur le bureau.
3 Double-cliquez sur l’icône du DVD, puis glissez-y des fichiers et des dossiers.
4 Cliquez sur l’icône Graver le disque située à droite du nom du disque dans la barre
latérale du Finder.
Pour plus d’informations sur l’utilisation d’iDVD, ouvrez iDVD et consultez-en l’aide
en ligne.
Important : si votre batterie vient à s’épuiser lors de la gravure d’un DVD, il se peut que
cette dernière échoue et que le disque DVD devienne inutilisable. Pour éviter ce problème,
veillez à toujours utiliser l’adaptateur secteur lorsque vous gravez un DVD.46 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Connexion de haut-parleurs et de périphériques audio
Votre iBook G4 est doté de deux haut-parleurs intégrés, d’un micro intégré et d’un port
de casque d’écoute/sortie audio.
Vous pouvez connecter des haut-parleurs externes, un casque et d’autres périphériques
de sortie audio au port de casque. Le port de casque est constitué d’une prise mini-jack
de 3,5 mm.
Grâce au microphone intégré, vous pouvez enregistrer du son directement sur votre
disque dur. Vous avez également la possibilité de connecter des micros USB externes
ou autre appareil audio sur le port USB. Avec les applications permettant d’enregistrer
des sons, iMovie par exemple, utilisez la fenêtre Son des Préférences Système pour
sélectionner le périphérique d’entrée audio à utiliser (y compris des micros connectés
via USB).
Les commandes de volume de votre clavier vous permettent de régler facilement
le volume. Vous pouvez également accéder à ces commandes via la fenêtre Son des
Préférences Système.
Pour plus d’informations sur l’utilisation ou le dépannage du son de votre ordinateur,
ouvrez l’Aide Mac OS et cherchez “son”.
Batterie
Lorsque l’adaptateur secteur externe n’est pas connecté, votre ordinateur est alimenté
par sa batterie. En fonction des applications utilisées et des périphériques externes
connectés à votre iBook G4, l’autonomie de la batterie de l’ordinateur peut varier de
manière significative. Pour éviter que la batterie ne se décharge trop vite, vous pouvez
désactiver certaines fonctionnalités, telles qu’AirPort Extreme ou Bluetooth®. Pour plus
d’informations sur l’utilisation de la batterie, consultez la section “Recharge d’une
batterie” à la page 49.
Pour connaître le niveau de charge de votre batterie, vous pouvez observer les témoins
de niveau de charge dont elle est dotée. Appuyez sur le bouton en regard de chaque
témoin lumineux pour connaître le niveau de charge de la batterie. Les témoins restent
allumés pendant quelques secondes après que vous avez appuyé sur les boutons
correspondants. Vous pouvez vérifier le niveau de charge, que la batterie soit ou non
insérée dans votre iBook G4.
Si votre batterie devient faible pendant que vous travaillez, branchez l’adaptateur
secteur et laissez la batterie se recharger. Si vous préférez remplacer la batterie par une
batterie rechargée, branchez l’adaptateur secteur, éteignez votre iBook G4 et changez
la batterie. Si vous changez la batterie sans avoir branché l’adaptateur secteur, vous
risquez de perdre des informations et des réglages tels que la date et l’heure. Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 47
Important : si un seul témoin clignote, le niveau de charge est très faible. Si aucun
témoin n’est allumé, c’est que la batterie est complètement vide, auquel cas l’ordinateur
ne pourra démarrer sans l’adaptateur secteur. Branchez l’adaptateur secteur et laissez la
batterie se recharger pendant plusieurs heures ou remplacez la batterie à plat par une
batterie complètement rechargée (voir la section suivante).
Si l’icône de batterie de la barre des menus du Finder affiche le pourcentage de charge,
vous remarquerez parfois que la batterie n’indique pas 100 % même si l’adaptateur
secteur est branché. Dès que le niveau de la batterie passe en dessous de 95 %, elle est
automatiquement rechargée jusqu’à 100 %. Cela permet de prolonger la durée de vie
de la batterie car cette dernière n’est pas continuellement chargée puis déchargée.
Batterie Témoins DEL
de la batterie48 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Retrait et remplacement de la batterie
Pour retirer la batterie :
m
Éteignez votre iBook G4. Retournez-le et repérez l’emplacement du loquet de la
batterie. Utilisez une pièce de monnaie pour faire tourner le loquet d’un quart de tour
dans le sens des aiguilles d’une montre afin de débloquer la batterie, puis retirez cette
dernière avec précaution.
Pour remettre la batterie en place :
m
Placez la partie gauche de la batterie dans son compartiment. Appuyez doucement
sur la partie droite de la batterie jusqu’à ce que le loquet soit bloqué.
Remarque : débarrassez-vous de la batterie conformément aux directives d’environnement
locales en vigueur. Pour plus d’informations, consultez la section “Informations sur
l’élimination des piles usagées” à la page 100.
Batterie
LoquetChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 49
Recharge d’une batterie
Lorsque l’adaptateur secteur fourni avec votre ordinateur est connecté, la batterie
se recharge, que l’ordinateur soit éteint, allumé ou en mode suspension d’activité.
La recharge sera toutefois plus rapide si l’ordinateur est éteint ou en mode suspension
d’activité. Lorsque l’ordinateur est allumé, vous pouvez contrôler le niveau de charge
de la batterie au moyen de l’icône d’état Batterie dans la barre des menus.
Le niveau affiché dépend de la quantité d’énergie restant dans la batterie mais aussi
des applications et des périphériques en cours d’utilisation et des réglages de votre
système (luminosité de l’écran, réglages de l’économiseur d’énergie, etc.). Pour disposer
de plus d’énergie, fermez des applications, déconnectez les périphériques non utilisés
et réglez votre économiseur d’énergie (consultez la section suivante).
Conseils d’économie de la batterie
L’autonomie assurée par la batterie de votre iBook G4 avant qu’il soit nécessaire de la
recharger dépend des applications et des périphériques utilisés, ainsi que des mesures
prises pour économiser l’énergie.
Pour économiser l’énergie de la batterie de façon optimale, procédez comme suit :
• Déconnectez tout périphérique USB ou FireWire alimenté par bus dès qu’ils ne sont
pas utilisés.
• Quittez les applications ouvertes non utilisées.
• Si une carte AirPort Extreme ou un module Bluetooth est installé, désactivez AirPort
ou Bluetooth dès qu’ils ne sont pas utilisés. (Utilisez les icônes d’état AirPort et
Bluetooth dans la barre des menus. Si ces icônes n’apparaissent pas dans la barre des
menus, vous pouvez les activer dans les fenêtres AirPort et Bluetooth des Préférences
Système).
• Retirez les CD et les DVD non utilisés.
• Réduisez la luminosité de l’écran à l’aide des boutons prévus à cet effet et situés
sur le clavier du iBook G4.
• Configurez le disque dur afin qu’il réduise sa vitesse de rotation après un bref délai.
Dans la fenêtre Économiseur d’énergie des Préférences Système, sélectionnez
l’option “Suspendre l’activité du/des disque(s) dur(s) chaque fois que possible”.
• Configurez votre iBook G4 de façon qu’il suspende son activité après un maximum
de cinq minutes.50 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Pour économiser davantage l’énergie de la batterie, sélectionnez les options
suivantes dans la fenêtre Économiseur d’énergie des Préférences Système :
• Configurez votre ordinateur de sorte qu’il modifie la vitesse de son processeur en
fonction du niveau d’activité de traitement requis. Dans la fenêtre Économiseur
d’énergie des Préférences Système, cliquez sur Afficher les détails pour afficher les
Réglages. Choisissez “La batterie” dans le menu local “Réglages de”, cliquez sur l’onglet
Options, puis choisissez Automatique dans le menu local Performance du processeur.
(Pour configurer votre ordinateur de sorte qu’il utilise toujours sa vitesse de traitement
la plus élevée, choisissez Maximale dans le menu local Performance du processeur).
• Pour prolonger au maximum la durée de vie de la batterie, choisissez Longévité
maximale de la batterie dans le menu local Optimisation des réglages.
Informations supplémentaires sur la batterie de votre iBook G4
Des informations supplémentaires sont disponibles dans l’Aide Mac OS. Choisissez
Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez “batterie”.
Logement de sécurité
Afin de protéger votre iBook G4 contre le vol, vous pouvez vous procurer un câble
de sécurité pour attacher votre ordinateur à un bureau ou une table.
Informations supplémentaires sur les options de sécurité
Des informations supplémentaires sur les fonctionnalités logicielles de sécurité
de votre iBook G4, y compris les mots de passe d’utilisateurs multiples et le cryptage
des fichiers, sont disponibles dans l’Aide Mac OS. Choisissez Aide puis Aide Mac dans
la barre des menus et tapez “sécurité” ou “utilisateurs multiples.”
®
Dispositif de verrouillage
avec câble de sécurité
Logement de sécurité4
51
4 Amélioration des performances
de votre ordinateur
Vous pouvez augmenter la mémoire de votre ordinateur
et installer une carte AirPort Extreme.
Ce chapitre fournit des instructions pour l’installation d’une carte AirPort Extreme
et l’ajout de mémoire.
Installation d’une carte AirPort Extreme ou de mémoire
supplémentaire
Vous pouvez installer vous-même une carte AirPort Extreme sur votre iBook G4 ou la
faire installer par un technicien agréé Apple. Si votre ordinateur n’est pas équipé d’une
carte AirPort Extreme, vous pouvez en acheter une auprès de votre revendeur agréé
Apple ou sur le site Web Apple Store à l’adresse www.apple.com/store.
Remarque : votre iBook G4 n’est pas compatible avec les anciennes cartes AirPort.
N’utilisez que les cartes AirPort Extreme.
Votre ordinateur est doté d’un logement de mémoire auquel vous accédez en retirant
le clavier de l’ordinateur. Votre ordinateur est également livré avec 256 mégaoctets
(Mo) de mémoire SDRAM (Synchronous Dynamic Random-Access Memory) DDR
(Double Data Rate) préinstallée sur la carte logique.
Avertissement : Apple vous recommande de confier l’installation de mémoire à un
technicien agréé Apple. Consultez les informations sur l’assistance technique fournies
avec l’ordinateur pour savoir comment joindre la société Apple. Tout dommage causé
à votre matériel en tentant d’installer vous-même de la mémoire n’est pas couvert par
la garantie limitée de votre ordinateur.52 Chapitre 4 Amélioration des performances de votre ordinateur
Le logement de mémoire peut accueillir un module SDRAM conforme aux spécifications
suivantes :
• Format DDR SO-DIMM (Double Data Rate Small Outline Dual Inline Memory Module)
• Taille inférieure à 3,8 cm
• 128, 256, 512 Mo ou 1 Go
• 200 broches
• Mémoire RAM de type PC 2100 DDR 266
La quantité maximale de mémoire recommandée que vous pouvez installer sur votre
iBook G4 est de 1,256 Go via une barrette DIMM de 1 Go insérée dans le connecteur
de mémoire.
Pour installer une carte AirPort Extreme ou ajouter de la mémoire, vous devez d’abord
retirer la batterie et le clavier. Suivez les étapes de la section ci-après, puis continuez
avec “Installation d’une carte AirPort Extreme” à la page 54 ou “Installation de mémoire
supplémentaire” à la page 55.
Retrait de la batterie et du clavier
1 Éteignez votre ordinateur. Débranchez l’adaptateur secteur, le câble téléphonique et
tous les autres câbles connectés à l’ordinateur pour éviter toute détérioration. Retournez
l’ordinateur et retirez la batterie en donnant un quart de tour au loquet.
Avertissement : les composants internes de votre iBook G4 peuvent être chauds.
Si vous venez d’utiliser votre iBook G4, attendez 30 minutes après l’extinction, afin
de laisser aux composants internes le temps de se refroidir.
Batterie
LoquetChapitre 4 Amélioration des performances de votre ordinateur 53
2 Dégagez le clavier en glissant les deux clips en plastique vers l’avant. Soulevez ensuite
le clavier, basculez-le et faites-le reposer sur le repose-poignets.
Si le clavier ne s’extrait pas, il se peut qu’il soit verrouillé. Localisez la languette en
plastique située près de la touche Verr. num. Utilisez un petit tournevis à tête plate
pour donner un demi-tour à la vis.
3 Touchez la surface métallique de l’intérieur de l’ordinateur afin de décharger toute
électricité statique que vous pouvez avoir emmagasinée.
• Si vous installez une carte AirPort Extreme, continuez à la section suivante.
• Si vous installez de la mémoire, accédez directement à “Installation de mémoire
supplémentaire” à la page 55.54 Chapitre 4 Amélioration des performances de votre ordinateur
Installation d’une carte AirPort Extreme
Assurez-vous que vous avez effectué toutes les étapes de la section “Retrait de la
batterie et du clavier” à la page 52.
Pour installer une carte AirPort Extreme :
1 Soulevez la tige métallique et reliez le bout de l’antenne à la carte AirPort Extreme.
Glissez la carte AirPort Extreme (logo vers le haut) dans la fente jusqu’à ce que vous
entendiez un clic. Assurez-vous qu’elle est complètement installée.
2 Appuyez sur la tige métallique pour fixer la carte. L’installation de votre carte AirPort
Extreme est désormais terminée, passez directement à “Remise en place du clavier et
de la batterie” à la page 57.Chapitre 4 Amélioration des performances de votre ordinateur 55
Installation de mémoire supplémentaire
Assurez-vous que vous avez effectué toutes les étapes de la section “Retrait de la
batterie et du clavier” à la page 52.
Pour installer de la mémoire supplémentaire :
1 Si une carte AirPort Extreme est installée, retirez-la. Soulevez la tige métallique qui
maintient la carte, sortez la carte du logement et détachez l’antenne.
Pour éviter les rayures, ne posez pas votre carte AirPort Extreme sur votre iBook G4
à moins que vous ne preniez soin de glisser un tissu doux entre les deux.
2 Retirez les quatre vis qui maintiennent le bouclier de protection de la RAM,
pour soulevez-le délicatement pour le retirer.
Tige métallique56 Chapitre 4 Amélioration des performances de votre ordinateur
3 Si une carte mémoire est installée dans le logement, retirez-la. Écartez les languettes
du logement des encoches de la carte mémoire. de sorte que cette dernière se dégage
légèrement.
4 Insérez la nouvelle carte mémoire, inclinée à 30º, dans le logement. Poussez la carte
pour la placer entièrement dans le logement.
5 Appuyez sur la carte pour la fixer en place.
Si la carte mémoire ne se bloque, n’essayez pas de l’enfoncer par la force. Essayez de
réinsérer la carte pour vous assurer qu’elle est placée entièrement.
6 Replacez le bouclier de la RAM et la carte AirPort Extreme, le cas échéant.
30
OChapitre 4 Amélioration des performances de votre ordinateur 57
L’installation de la carte mémoire est désormais terminée, passez à la section suivante
et à “Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre ordinateur” à
la page 59.
Remise en place du clavier et de la batterie
1 Pour remettre le clavier en place, tenez-le incliné et insérez-le en l’abaissant doucement
pour le fixer.58 Chapitre 4 Amélioration des performances de votre ordinateur
2 Pour prévenir les accès non autorisés à votre carte AirPort Extreme ou à votre module de
mémoire, vous pouvez verrouiller le clavier en donnant un demi-tour à la vis du clavier.
3 Remettez la batterie en place. Placez la partie gauche de la batterie dans son
compartiment. Appuyez doucement sur la partie droite de la batterie jusqu’à ce
que le loquet soit bloqué.
®Chapitre 4 Amélioration des performances de votre ordinateur 59
4 Reconnectez l’adaptateur secteur et tout autre câble connecté auparavant à l’ordinateur.
Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par
votre ordinateur
Après l’ajout de mémoire sur votre iBook G4, vérifiez que l’ordinateur détecte
correctement la nouvelle mémoire.
1 Démarrez votre ordinateur.
2 Lorsque que vous voyez le bureau Mac OS, choisissez Pomme (K) > À propos de ce Mac
dans la barre des menus.
Une zone de dialogue indique la quantité totale de mémoire installée dans votre
ordinateur.
Pour avoir une analyse plus détaillée de la quantité de mémoire installée sur votre
ordinateur, cliquez sur le bouton Plus d’infos ou ouvrez Informations Système, situé
dans le dossier Utilitaires, se trouvant lui-même dans le dossier Applications.
Si la mémoire n’est pas reconnue ou que votre ordinateur ne démarre pas
correctement, éteignez votre iBook G4 et relisez les instructions afin d’être sûr que la
mémoire est correctement installée et compatible avec cet iBook G4. Si les problèmes
persistent, retirez la mémoire et consultez les informations d’assistance technique
fournies avec la mémoire ou contactez le fournisseur de la mémoire. 5
61
5 Dépannage
Si vous rencontrez un problème lors de l’utilisation de
votre iBook G4, commencez par consulter cette section
pour obtenir des solutions et des conseils.
Généralement, il existe toujours une solution simple et rapide pour le régler. Ayez
en tête les conditions qui entraîné l’apparition de ce problème. Ce récapitulatif de
la totalité des opérations effectuées avant que le problème ne survienne permet de
restreindre ses possible causes et de trouver la solution.
Les éléments à noter comprennent :
• Les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu. Les
problèmes qui n’apparaissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer
que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur
votre ordinateur.
• Les logiciels que vous avez installés récemment, notamment ceux qui ont ajouté des
éléments à votre dossier Système. (Certaines applications installent des extensions
qui peuvent ne pas être compatibles avec l’environnement Classic).
• Tout nouveau composant matériel installé, mémoire supplémentaire ou périphérique
par exemple.
Pour plus d’informations sur le dépannage, consultez également l’Aide Mac OS sur
le site Web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/support, ainsi que la base
de données AppleCare Knowledge à l’adresse kbase.info.apple.com.62 Chapitre 5 Dépannage
Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur
Si l’ordinateur ne répond pas ou que le pointeur se fige
• Appuyez simultanément sur les touches Commande (x), Option et Échap pour forcer
une application bloquée à quitter. Si une zone de dialogue apparaît, sélectionnez
l’application que vous désirez quitter et cliquez sur Forcer à quitter.
Si vous travaillez avec Classic, maintenez enfoncées les touches Option et Commande
(x), puis appuyez sur Échap.
Enregistrez ensuite le travail de toute application ouverte, puis redémarrez
l’ordinateur afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé.
• Si vous ne parvenez pas à forcer la fermeture de l’application, maintenez le bouton
d’alimentation (®) enfoncé pendant quelques secondes pour éteindre l’ordinateur.
• Si l’ordinateur ne répond toujours pas, essayez de le redémarrer en appuyant
simultanément sur les touches Commande (x) et Contrôle de votre clavier et sur le
bouton d’alimentation (®).
Si le problème survient fréquemment, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des
menus située en haut de l’écran. Recherchez le mot “blocage” pour savoir ce que
vous pouvez faire lorsque l’ordinateur ne répond plus.
Si le problème ne survient que lorsque vous utilisez un programme en particulier, vérifiez
auprès de son fabricant s’il est compatible avec votre ordinateur. Si vous découvrez que
l’application est compatible, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système de
l’ordinateur ou, si vous utilisez Classic, vérifiez la compatibilité des extensions système.
Consultez le sujet suivant pour les instructions.
Si l’ordinateur se bloque lors du démarrage ou qu’un point d’interrogation
clignote à l’écran
1 Essayez d’utiliser Utilitaire de disque pour réparer le disque.
• Si vous possédez le CD n° 1 d’installation de Mac OS X pour votre iBook G4, insérez-le
dans le lecteur de votre ordinateur. Redémarrez ensuite votre ordinateur en
maintenant la touche C enfoncée lors du démarrage.
• Si vous possédez deux DVD d’installation et de restauration pour iBook G4, insérez le
premier disque dans le lecteur de votre ordinateur. Redémarrez ensuite votre
ordinateur en maintenant la touche C enfoncée lors du démarrage.
2 Sélectionnez Installation > Ouvrir Utilitaire de disque. Lorsque l’Utilitaire de disque
s’ouvre, suivez les instructions de la fenêtre Réparateur de disques pour voir si vous
pouvez réparer votre disque.
Si l’utilisation de l’Utilitaire de disque ne résout rien, vous devrez peut-être réinstaller
le logiciel système de votre ordinateur. Pour obtenir des instructions, consultez la
page 66.
• Si vous utilisez l’environnement Classic de Mac OS X, il se peut que le problème soit dû
à une extension incompatible. (Mac OS X n’emploie pas d’extensions système). Chapitre 5 Dépannage 63
Essayez de désactiver vos extensions système pour voir si cela résout le problème.
Pour désactiver les extensions de Classic, ouvrez Préférences Système, cliquez sur
Classic, Options avancées, puis choisissez “Désactiver les extensions” dans le menu
local. Cliquez ensuite sur Redémarrer Classic.
Si la désactivation des extensions semble résoudre le problème, il se peut que vous
ayez besoin d’identifier, éliminer ou réinstaller l’extension qui provoque le problème.
Ouvrez le tableau de bord Gestionnaire d’extensions et désactivez les extensions que
vous pensez être à l’origine du problème. Puis, redémarrez Classic en réactivant les
extensions.
Si l’ordinateur ne s’allume pas ou ne démarre pas
• Assurez-vous que l’adaptateur secteur est connecté à l’ordinateur et branché sur une
prise électrique en état de marche. Veillez à utiliser l’adaptateur secteur fourni avec
votre ordinateur.
• Vérifiez si votre batterie à besoin d’être rechargée. Appuyez sur le bouton situé sur
la batterie (consultez la page 46). Vous devriez voir apparaître un à quatre voyants
indiquant le niveau de charge de la batterie. Si un seul témoin de niveau de batterie
clignote, branchez l’adaptateur secteur pour recharger la batterie jusqu’à ce qu’au
moins un témoin reste allumé continuellement.
• En cas d’échec, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez
immédiatement enfoncées les touches Commande (x), Option, P et R jusqu’à ce que
le signal sonore de démarrage retentisse une deuxième fois.
• Si vous avez récemment ajouté de la mémoire, assurez-vous qu’elle est correctement
installée et compatible avec votre ordinateur. Vérifiez si son retrait permet à
l’ordinateur de démarrer (voir la page 51).
• Si vous ne réussissez toujours pas à démarrer votre ordinateur, consultez les
informations sur les options de services et d’assistance fournies avec votre iBook G4
pour savoir comment contacter Apple.
Si l’écran devient soudainement noir ou que votre système se bloque
Essayez de redémarrer votre système.
1 Débranchez tout appareil connecté à votre iBook G4 à l’exception de l’adaptateur secteur.
2 Maintenez les touches Commande (x) et Contrôle enfoncées et appuyez sur le bouton
d’alimentation (®) pour redémarrer le système.
3 Le niveau de charge de la batterie nécessaire à la connexion d’un périphérique
et la reprise du travail doit atteindre au moins 10 pour cent.
Pour vérifier le niveau de charge de la batterie, regardez l’icône d’état de la batterie
dans la barre des menus.64 Chapitre 5 Dépannage
Autres problèmes
Si vous avez oublié votre mot de passe
Vous pouvez réinitialiser le mot de passe d’administrateur.
1 Insérez le disque d’installation dans le lecteur.
• Si vous possédez le CD d’installation Mac OS X pour votre iBook G4, insérez-le dans le
lecteur de votre ordinateur. Redémarrez ensuite votre ordinateur en maintenant la
touche C enfoncée lors du démarrage.
• Si vous possédez deux DVD d’installation et de restauration pour votre iBook G4, insérez
le premier disque dans le lecteur de votre ordinateur. Redémarrez ensuite votre
ordinateur en maintenant la touche C enfoncée lors du démarrage.
2 Sélectionnez Installation > Réinitialiser le mot de passe dans la barre des menus. Suivez
les instructions à l’écran.
En cas de problème avec une application
• Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur
concerné.
Les fabricants de logiciels fournissent souvent des mises à jour logicielles sur leurs
sites Web.
• Vous pouvez configurer votre iBook G4 pour qu’il cherche et installe
automatiquement les dernières mises à jour Apple via la fenêtre Mise à jour de
logiciels des Préférences Système. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide
Mac, dans la barre des menus, puis recherchez “mise à jour de logiciels”.
En cas de problèmes avec les communications sans fil AirPort Extreme
• Vérifiez que vous avez correctement configuré le logiciel en respectant les
instructions fournies avec la carte AirPort Extreme ou la borne d’accès AirPort.
• Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est
activé et dispose d’un point d’accès sans fil.
• Assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans la
zone de couverture de l’antenne de votre ordinateur.
Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité
peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre
antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en réorientant
l’ordinateur.
• Vérifiez le niveau du signal AirPort Extreme.
Vérifiez l’icône d’état AirPort dans la barre des menus. Jusqu’à quatre barres de
mesure apparaissent pour afficher la puissance du signal.
• Pour plus d’informations, consultez l’Aide AirPort (choisissez Aide > Aide Mac, puis
Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre des menus), ainsi que les instructions
fournies avec votre périphérique sans fil.Chapitre 5 Dépannage 65
En cas de problèmes avec l’éjection d’un disque
m Quittez toute application susceptible d’utiliser le disque, puis réessayez. Si cela ne
donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant le bouton du
trackpad enfoncé.
Si vous suspectez un problème matériel
m
Vous pouvez utiliser l’application Apple Hardware Test pour vous aider à déterminer si
le problème est lié à l’un des composants de votre ordinateur, tels que la mémoire ou
le processeur.
Si votre iBook G4 a été livré avec deux DVD d’installation et de restauration de logiciels,
Apple Hardware Test se trouve sur le premier DVD d’installation et de restauration de
logiciels. Si votre iBook G4 a été livré avec une série de CD d’installation de logiciels et
une autre série de CD de restauration de logiciels, Apple Hardware Test se trouve sur un
CD Apple Hardware Test séparé.
Pour utiliser Apple Hardware Test :
1 Déconnectez tous les périphériques de votre ordinateur sauf le clavier et la souris.
Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le.
2 Démarrez votre ordinateur à l’aide d’Apple Hardware Test :
• Si vous possédez le CD Apple Hardware Test, insérez-le dans votre ordinateur.
Redémarrez ensuite votre ordinateur en maintenant la touche C enfoncée lors du
démarrage.
• Si vous possédez deux DVD d’installation et de restauration pour votre iBook G4, insérez
le premier disque dans le lecteur de votre ordinateur. Redémarrez ensuite ce dernier
en maintenant la touche Option enfoncée lors du démarrage. Une liste de volumes
de démarrage disponibles apparaît alors. Cliquez sur Apple Hardware Test, puis sur la
flèche droite.
3 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît, suivez les instructions à l’écran.
4 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur.
Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple
Hardware Test ne détecte pas de panne de matériel, il est probable que le problème
soit lié aux logiciels.
Pour en savoir plus à propos d’Apple Hardware Test, consultez le fichier Ouvrez-moi
Apple Hardware Test situé sur le CD Apple Hardware Test ou sur le premier DVD
d’installation et de restauration de logiciels.
En cas de problèmes de connexion à Internet
• Assurez-vous que votre ligne téléphonique ou que votre câble réseau est connecté
et qu’il fonctionne correctement.
• Si vous utilisez une connexion Internet par ligne commutée, vérifiez que le câble
téléphonique est bien relié au port de modem (signalé par le symbole W) et non
au port Ethernet (signalé par le symbole G ) de l’ordinateur.66 Chapitre 5 Dépannage
• Ouvrez la fenêtre Réseau des Préférences Système, puis vérifiez la validité des
informations saisies dans cette fenêtre auprès de votre Fournisseur d’Accès Internet
(FAI) ou de votre administrateur réseau.
En cas de problèmes de fonctionnement de votre ordinateur ou de Mac OS
• Si les réponses à vos questions ne figurent pas dans ce manuel, recherchez des
instructions et des informations de dépannage dans l’Aide Mac OS.
• Pour obtenir les dernières informations de dépannage et des mises à jour de logiciels,
consultez le site Web d’assistance Apple, à l’adresse www.apple.com/support.
Restauration des logiciels de votre ordinateur
Utilisez les disques d’installation et de restauration de logiciels fournis avec votre
ordinateur pour installer Mac OS X, les applications et la gestion de l’environnement
Classic.
Pour installer Mac OS X :
1 Si possible, sauvegardez les fichiers essentiels.
2 Insérez le disque d’installation et de restauration de logiciels fourni avec votre
ordinateur.
• Si vous possédez le CD d’installation Mac OS X pour votre iBook G4, insérez-le dans le
lecteur de votre ordinateur.
• Si vous possédez deux DVD d’installation et de restauration pour votre iBook G4, insérez
le premier disque dans le lecteur de votre ordinateur.
3 Double-cliquez sur l’icône “Install Mac OS X”.
4 Suivez les instructions à l’écran.
Remarque : si vous rencontrez des problèmes et que l’ordinateur ne démarre pas,
essayez d’utiliser le mode Disque cible FireWire pour transférer vos fichiers sur un autre
ordinateur (voir la page 35). Redémarrez ensuite l’ordinateur après avoir inséré le disque
d’installation et de restauration dans le lecteur optique.Chapitre 5 Dépannage 67
Pour installer des applications et la Gestion de Classic :
1 Si possible, sauvegardez les fichiers essentiels.
2 Insérez le disque d’installation et de restauration de logiciels fourni avec votre
ordinateur.
• Si vous possédez des CD de restauration de logiciels pour l’iBook G4, insérez le premier
disque de restauration dans le lecteur de votre ordinateur.
• Si vous possédez deux DVD d’installation et de restauration pour votre iBook G4, insérez
le premier disque dans le lecteur de votre ordinateur.
3 Double-cliquez sur l’icône “Installer appli/gestion Classic”.
4 Suivez les instructions à l’écran.
Remarque : iCal, iChat, iMovie, iPhoto, iSync, iTunes et Safari font partie intégrante
de Mac OS X. Pour installer ces applications, vous devez suivre les instructions
d’installation de Mac OS X.
Localisation du numéro de série de votre produit
Pour connaître le numéro de série de votre ordinateur, choisissez À propos de ce
Mac dans le Menu Pomme (K), puis cliquez sur le bouton Plus d’infos ou ouvrez
Informations Système (dans le dossier Applications/Utilitaires), puis cliquez sur Matériel.
Le numéro de série de votre iBook G4 se trouve également sous le clavier et dans la
baie de la batterie. Pour obtenir des instructions sur le retrait du clavier ou de la
batterie, consultez la section “Retrait de la batterie et du clavier” à la page 52. 69
A Annexe
A Caractéristiques
Vous pouvez utiliser Informations Système pour
rechercher des informations détaillées sur votre iBook G4,
telle que la quantité de mémoire intégrée, la taille du
disque dur, les périphériques connectés et le numéro de
série du produit.
Pour accéder à ces informations dans Informations Système, choisissez Pomme (K) >
À propos de ce Mac dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos ou ouvrez
Informations Système, situé dans Applications/Utilitaires.
Conditions ambiantes
• Température de fonctionnement : 10° C à 35° C
• Altitude : 3 048 m maximum
• Humidité relative : de 20 % à 80 % sans condensation
Adaptateur secteur :
• Entrée : 100-240 volts (V) CA, 50/60 hertz (Hz)
• Sortie : 24,5 V CC et 1,875 A
Dans la fenêtre
apparaissant, cliquez sur
les triangles pour afficher
ou cacher le contenu des
différentes catégories.70 Annexe A Caractéristiques
Batterie
• Sortie : 10,8 V CC pour un iBook G4 12 pouces, 14,4 V pour un iBook G4 14 pouces
• Capacité : 50 Wh pour un iBook G4 12 pouces, 62 Wh pour un iBook G4 14 pouces
Des informations supplémentaires sont disponibles sur les sites Internet
www.apple.com/ibook et www.apple.com/support. 71
B Annexe
B Consignes d’entretien,
d’utilisation et de sécurité
Lisez ces informations importantes sur la sécurité et
l’entretien de votre iBook G4.
Nettoyage de votre iBook G4
Respectez les règles suivantes lors du nettoyage de votre ordinateur et de ses
accessoires :
• Éteignez votre iBook G4, débranchez l’adaptateur secteur et le câble du modem
et retirez la batterie.
• Pour nettoyer le boîtier de l’ordinateur, utilisez un chiffon doux, humide et non
pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit.
Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’ordinateur.
• N’utilisez ni aérosols, ni dissolvant, ni abrasifs.
Nettoyage de l’écran de votre iBook G4
Pour nettoyer l’écran de votre iBook G4, procédez comme suit :
• Éteignez votre iBook G4, débranchez l’adaptateur secteur et le câble du modem
et retirez la batterie.
• Humidifiez, à l’eau seulement, un chiffon propre, doux et non pelucheux et essuyez
l’écran. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran.
Transport de votre iBook G4
Si vous transportez votre iBook G4 dans un sac ou dans un attaché-case, assurez-vous
que ce dernier ne contient pas d’objets non attachés (tels que des trombones ou des
pièces de monnaie) qui pourraient pénétrer accidentellement dans l’ordinateur par une
ouverture telle que la fente du lecteur optique.72 Annexe B Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité
Rangement de votre iBook G4
Si vous comptez ranger votre iBook G4 pendant un délai prolongé, effectuez l’une
des opérations suivantes pour éviter que la batterie du iBook G4 ne se décharge
complètement :
• Laissez l’adaptateur secteur branché.
• Rechargez complètement la batterie de votre iBook G4 avant de ranger l’ordinateur.
• Rechargez complètement la batterie du iBook G4, puis retirez-la avant de ranger
l’ordinateur (en particulier si la période en question est supérieure à 5 mois).
Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation
de votre ordinateur
Branchement de l’adaptateur secteur
Veillez à toujours laisser suffisamment d’espace autour de votre adaptateur secteur.
N’utilisez pas ce matériel dans un endroit où l’air ne circule pas près de l’adaptateur
secteur ou près de l’ordinateur. Veillez à toujours débrancher l’adaptateur secteur et à
retirer la batterie avant d’ouvrir l’ordinateur en vue d’opérations telles que l’installation
de mémoire ou le retrait du disque dur.
Connexion du modem interne à la ligne téléphonique
Veillez à toujours débrancher le câble téléphonique avant d’ouvrir l’ordinateur en vue
d’opérations telles que l’installation de mémoire ou l’extraction du disque dur.
Avertissement : utilisez uniquement l’adaptateur secteur livré avec votre ordinateur
iBook G4. Les adaptateurs destinés à tout autre appareil électronique (y compris à
d’autres modèles de iBook G4 et d’ordinateurs portables) peuvent paraître similaires,
mais risquent d’avoir une incidence sur les performances de votre ordinateur, voire de
l’endommager.
Avertissement : ne branchez pas le modem à une ligne numérique car cela pourrait
l’endommager.Annexe B Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité 73
Utilisation de votre iBook G4
Lorsque vous utilisez votre iBook G4 ou que vous rechargez la batterie, il est normal
que la température de la partie inférieure du boîtier s’élève. En prévision d’une utilisation
prolongée, placez votre iBook G4 sur une surface plane et stable. La partie inférieure du
boîtier de l’iBook G4 sert de surface de refroidissement et permet d’évacuer la chaleur de
l’ordinateur vers l’extérieur. Le dessous du boîtier est légèrement surélevé pour permettre
la circulation d’air et assurer ainsi à l’équipement une température de fonctionnement
normale. De plus, l’ordinateur dégage de l’air chaud à l’arrière du boîtier.
Consignes générales de sécurité
Pour votre propre sécurité et celle de votre matériel, respectez toujours les consignes
suivantes.
Débranchez le cordon d’alimentation (en tirant sur la prise plutôt que sur le cordon),
retirez la batterie et débranchez le câble téléphonique si l’un des cas suivants se
présente :
• Vous voulez retirer un ou plusieurs composants.
• Le câble d’alimentation ou la prise est endommagé(e).
• Un liquide a été renversé dans le boîtier.
• Votre ordinateur est exposé à la pluie ou à une humidité excessive.
• Votre ordinateur a subi une chute ou le boîtier a été endommagé de quelque autre
façon.
• Vous pensez que votre ordinateur a besoin d’être inspecté ou réparé.
• Vous voulez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions
exposées précédemment).
Avertissement : ne posez pas votre iBook G4 allumé sur un oreiller ou toute autre
surface dans laquelle il pourrait s’enfoncer, car cela risque de bloquer les conduits d’air,
en particulier les conduits arrière, et d’entraîner une surchauffe de l’ordinateur. Évitez
également de laisser des objets sur le clavier avant de rabattre l’écran. Cela risque de
provoquer une succession d’arrêts et de mises en marche de votre ordinateur, entraînant
une surchauffe et la décharge de la batterie. N’allumez jamais l’ordinateur tant que tous
ses composants internes ou externes ne sont pas en place. L’utilisation de l’ordinateur
lorsque son boîtier est ouvert ou que certains composants ont été démontés peut
s’avérer dangereuse et risque de l’endommager.74 Annexe B Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité
Important : la seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur
consiste à débrancher le cordon d’alimentation et le câble téléphonique, et à retirer la
batterie. Assurez-vous qu’au moins une extrémité du cordon d’alimentation se trouve
à portée de main afin de pouvoir débrancher l’ordinateur si nécessaire.
Observez toujours les consignes ci-dessous :
• Évitez de placer votre ordinateur à proximité d’un évier, d’un lavabo, d’une baignoire,
d’une douche, etc.
• Protégez votre ordinateur de l’humidité et des intempéries (neige, pluie...).
• Lisez soigneusement les instructions d’installation avant de brancher votre
ordinateur sur une prise murale.
• Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les
utilisateurs éventuels.
• Suivez toutes les instructions et mises en garde concernant votre système.
Important : le matériel électrique peut s’avérer dangereux s’il n’est pas utilisé
correctement. L’utilisation de ce produit ou de tout produit similaire doit toujours être
supervisée par un adulte. Ne permettez pas aux enfants de toucher les composants
internes de tout appareil électrique, ni de manipuler des câbles électriques.
Batterie
Connecteurs et ports
Ne forcez jamais un connecteur dans un port. Si vous ne parvenez pas à brancher sans
forcer le connecteur sur le port, c’est qu’ils ne sont pas adaptés. Assurez-vous que le
connecteur est adapté au port et que vous l’avez positionné correctement par rapport
à ce dernier.
Avertissement : votre cordon d’alimentation CA est livré avec une fiche de terre à trois
broches (fiche équipée d’une troisième broche de mise à la terre). Cette fiche ne peut
être branchée que sur une prise CA reliée à la terre. Si vous ne pouvez pas brancher la
fiche car la prise n’est pas reliée à la terre, utilisez la fiche CA livrée avec l’adaptateur
ou adressez-vous à un électricien agréé pour qu’il la remplace par une prise de terre
appropriée. Ne dérogez en aucun cas à cette consigne.
Avertissement : n’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures du
boîtier. Cela peut être dangereux et provoquer un incendie ou un choc électrique.
Avertissement : il existe un risque d’explosion si la batterie est remplacée par une
autre de type incorrect. Disposez des batteries usagées conformément aux directives
d’environnement locales en vigueur. Veillez à ne pas percer ni incinérer la batterie.Annexe B Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité 75
Prévention des dommages auditifs
Apple et l’environnement
Apple Computer reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact
qu’ont ses produits et ses activités sur l’environnement.
Pour plus d’informations
Rendez-vous sur le site Web www.apple.com/about/environment.
Ergonomie
Voici quelques conseils pour la mise en place d’un environnement de travail sain.
Clavier et trackpad
Lorsque vous tapez au clavier ou que vous vous servez du trackpad, vos épaules
doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main
étant placée dans le prolongement du poignet.
Avertissement : l’utilisation d’écouteurs ou de casques d’écoute réglés sur un niveau
de volume trop élevé peut entraîner une perte durable de l’acuité auditive. Il est
possible de supporter petit à petit des volumes sonores de plus en plus élevés qui
peuvent sembler normaux à la longue, mais qui risquent néanmoins d’endommager
votre ouïe. De manière préventive, réglez le volume de votre iBook G4 à un niveau
normal. Si vous éprouvez une sensation de sifflement dans les oreilles, réduisez le
volume ou arrêtez d’utiliser des écouteurs ou un casque d’écoute avec votre iBook G4.
Position
recommandée
Position
à éviter76 Annexe B Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité
Vous devez avoir les mains et les doigts détendus lorsque vous tapez au clavier ou que
vous utilisez le trackpad. Évitez de replier les pouces à l’intérieur des paumes.
Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un effort
continu et intensif, certains utilisateurs ressentent des douleurs aux mains, aux poignets
ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste.
Siège
Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables.
Réglez la hauteur du siège de sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et vos pieds
à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à-dire la
partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage
du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie.
Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient
placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus
à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Vous pouvez
également abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied.
Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus
bas que le plan de travail.
Souris externe
Si vous utilisez une souris externe, veillez à ce qu’elle se trouve à hauteur du clavier.
Ménagez un espace suffisant pour la manipuler avec aisance.
Écran intégré
Orientez l’écran de manière à réduire le plus possible les reflets de l’éclairage
électrique et de la lumière du jour. Ne forcez pas l’écran si vous rencontrez une
résistance. L’angle d’ouverture maximal de l’écran ne peut dépasser 140 degrés.
Réglez la luminosité et le contraste de l’écran chaque fois que vous déplacez
l’ordinateur ou que l’éclairage ambiant change.
Pour plus d’informations
Rendez-vous sur le site Web www.apple.com/about/ergonomics.
Position
recommandée
Position
à éviter 77
C Annexe
C Connexion à Internet
Votre ordinateur vous permet de naviguer sur le Web,
d’échanger du courrier électronique avec vos amis et
votre famille ou de dialoguer en temps réel via Internet.
Suivez les instructions de ce guide détaillé pour vous
connecter à Internet.
Pour utiliser Internet, vous avez besoin d’un compte auprès d’un FAI. L’Assistant
réglages peut en configurer un pour vous. Dans certains pays, l’Assistant réglages
ne peut pas vous configurer un compte auprès d’un FAI. Vous devez donc contacter
un FAI pour obtenir un compte. Utilisez ensuite les informations contenues dans cette
annexe pour configurer votre connexion.
Si vous n’avez pas utilisé l’Assistant réglages pour configurer votre connexion à
Internet, vous pouvez l’utiliser maintenant. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez
sur Réseau. Cliquez sur le bouton “Assistez-moi” pour ouvrir l’Assistant réglages de
réseau. Si vous ne souhaitez pas utiliser l’Assistant réglages de réseau, vous pouvez
utiliser les informations figurant dans cette annexe pour configurer votre connexion
manuellement.
Il existe quatre types de connexion à Internet :
• Connexion par ligne téléphonique : l’ordinateur est relié à une prise téléphonique
murale via un câble téléphonique (pour les ordinateurs comprenant un modem).
• Connexion à haut débit via un modem câble ou DSL : l’ordinateur est relié via un
câble Ethernet à un modem spécial fourni par un FAI.
• Connexion sans fil AirPort Extreme : votre ordinateur est connecté sans fil à Internet
via une borne d’accès AirPort Extreme.
• Réseau local (LAN) : l’ordinateur est connecté à un réseau local via un câble
Ethernet. C’est le type de connexion habituellement utilisé dans les entreprises.78 Annexe C Connexion à Internet
Avant de vous connecter à Internet :
1 Procurez-vous les informations de connexion auprès de votre FAI ou de votre
administrateur réseau. Consultez la section suivante, “Collecte des informations
nécessaires”, pour savoir quelles sont les informations dont vous avez besoin pour
chaque type de connexion.
Si un autre ordinateur se trouvant au même emplacement est déjà connecté à Internet,
vous pouvez probablement utiliser ses réglages.
Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS X :
• Ouvrez la fenêtre Réseau des Préférences Système.
• Dans le menu local Afficher, sélectionnez votre mode de connexion.
• Copiez les informations concernant votre connexion.
Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS 9 :
• Ouvrez le tableau de bord TCP/IP.
• Recherchez le mode de connexion dans le menu local “Connexion”.
• Recherchez la configuration dans le menu local Configurer.
• Notez l’adresse IP, le masque de sous-réseau et l’adresse du routeur figurant dans les
champs correspondants.
Pour accéder aux réglages sur un PC Windows :
Les informations de connexion d’un PC Windows se trouvent à deux endroits.
• Pour trouver l’adresse IP et le masque de sous-réseau, ouvrez le tableau de bord
“Connexions réseau et Internet”.
• Pour accéder aux informations relatives aux comptes d’utilisateurs, ouvrez le tableau
de bord Comptes d’utilisateurs.
Vous pouvez écrire ces informations directement sur les pages suivantes, puis les saisir
dans l’Assistant réglages.
2 Si vous utilisez un modem téléphonique, branchez un câble téléphonique (inclus avec
la plupart des ordinateurs Macintosh) sur le port modem de votre ordinateur et sur une
prise téléphonique murale. Si vous disposez d’un modem DSL ou câble, connectez-le à
votre ordinateur en suivant les instructions incluses.Annexe C Connexion à Internet 79
Collecte des informations nécessaires
Vous pouvez noter sur ces pages les informations obtenues auprès de votre Fournisseur
d’Accès à Internet (FAI), de votre administrateur réseau ou de votre autre ordinateur, puis
les saisir dans l’Assistant réglages de réseau.
Pour configurer une connexion téléphonique classique, procurez-vous les
informations suivantes :
• Nom du fournisseur d’accès
• Nom d’utilisateur ou de compte
• Mot de passe
• Numéro de téléphone du FAI
• Numéro de téléphone de remplacement
• Préfixe pour obtenir une ligne extérieure
Pour configurer une connexion DSL, modem câble, LAN ou sans fil AirPort
Extreme :
m
Choisissez d’abord votre méthode de connexion (en cas de doute, consultez votre
administrateur système ou votre FAI) :
• Manuellement
• Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle
• Via DHCP
• Via BootP
• PPP
Si vous ne savez pas quelle méthode utiliser, il est recommandé d’activer l’option “Via
DHCP”, car le réseau fournit alors la plupart des informations requises automatiquement.
Si vous avez sélectionné “Manuellement” ou “Utilisation de DHCP avec une adresse
manuelle”, regroupez les informations suivantes :
• Adresse IP
• Masque de sous-réseau
• Adresse du routeur
Remarque : si vous avez sélectionné “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle”,
vous n’avez pas besoin d’un masque de sous-réseau ni d’adresse de routeur.
Si vous avez sélectionné “Via DHCP”, regroupez les informations facultatives suivantes
(consultez votre FAI si nécessaire) :
• ID client DHCP
• Serveurs DNS80 Annexe C Connexion à Internet
Si vous avez sélectionné “PPP”” (pour des connexions PPPoE), procurez-vous les
informations suivantes :
• Fournisseur d’accès
• Nom du compte
• Mot de passe
• Nom du service PPPoE
Les informations ci-dessous sont facultatives. Consultez votre FAI ou votre
administrateur système si nécessaire.
• Serveurs DNS
• Nom de domaine
• Serveur proxy
Saisie de vos informations
Après vous être procuré les informations de configuration spécifiques auprès de votre
FAI ou de votre administrateur réseau, vous pouvez soit cliquer sur le bouton “Assistezmoi” dans la fenêtre des préférences Réseau pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau,
soit saisir les informations manuellement.
Pour saisir vos informations manuellement, suivez les étapes correspondant à votre
mode de connexion.
• Modem téléphonique avec connexion PPP (Point-to-Point Protocol) (voir la page 81)
• Connexion via modem câble, DSL ou réseau LAN avec les configurations suivantes :
• Manuelle (voir la page 85)
• DHCP (voir la page 86)
• PPPoE (voir la page 87)
• Connexion sans fil AirPort Extreme (voir la page 89)Annexe C Connexion à Internet 81
Modem téléphonique avec connexions PPP (Point-ToPoint Protocol)
Le modem téléphonique constitue la manière la plus courante de se connecter à
Internet. Votre modem utilise une méthode appelée PPP (Point-to-Point Protocol)
pour se connecter à un FAI.
Assurez-vous que votre modem est branché sur une ligne téléphonique et que vous
disposez des informations fournies par votre FAI (voir la page 79).
Pour configurer l’utilisation du port de modem interne dans les
préférences Réseau :
1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau.
3 Choisissez Configuration des ports réseau dans le menu local Afficher, puis cochez la
case Activé à côté de Modem interne.
4 Faites glisser Modem interne en haut de la liste Configurations de port pour en faire
l’interface réseau préférée ou principale.82 Annexe C Connexion à Internet
5 Choisissez Modem interne dans le menu local Afficher et cliquez sur PPP.
6 Saisissez les informations fournies par votre FAI, puis cliquez sur Appliquer.
Pour tester votre configuration Internet :
1 Ouvrez l’application Connexion à Internet (dans le dossier Applications).
2 Cliquez sur l’icône Modem interne si nécessaire.
3 Tapez le numéro de téléphone de connexion de votre FAI, votre nom de compte
et votre mot de passe, si nécessaire.
4 Cliquez sur Se connecter.
L’application Connexion à Internet compose le numéro de votre FAI et établit une
connexion.Annexe C Connexion à Internet 83
Pour vous connecter automatiquement dès que vous ouvrez une application
TCP/IP, telle qu’un navigateur Web ou une messagerie électronique, procédez
de la manière suivante :
1 Cliquez sur Options PPP (dans la fenêtre PPP des préférences Réseau).
2 Cochez la case “Se connecter automatiquement si nécessaire”.
3 Cliquez sur OK, puis sur Appliquer.
Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble ou
réseau LAN
Si vous vous connectez à Internet soit à l’aide d’un modem DSL ou câble, soit via un
réseau LAN Ethernet, demandez à votre FAI ou à votre administrateur réseau comment
vous devriez configurer votre connexion à Internet :
• Manuellement : dans le cas d’une configuration manuelle, votre FAI ou
administrateur réseau vous indique une adresse IP statique et d’autres informations
que vous devez saisir dans les préférences Réseau.
• Via le protocole DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) : avec une configuration
DHCP, le serveur DHCP saisit automatiquement les informations à votre place.
• Via le protocole PPPoE (Point-to-Point Protocol over Ethernet) : si vous utilisez un
modem DSL et que vous avez besoin d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe
pour vous connecter à Internet, vous devrez éventuellement configurer votre réseau
pour qu’il utilise le protocole PPPoE.
Lors de la configuration de votre réseau, veillez à garder les informations fournies par
votre FAI à portée de main (voir la page 79).84 Annexe C Connexion à Internet
Pour configurer les Préférences réseau pour le port Ethernet intégré :
1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau.
3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configuration de ports réseau.
4 Cochez la case Activé à côté d’Ethernet intégré.
5 Faites glisser Ethernet intégré en haut de la liste Configurations de port pour en faire
l’interface réseau préférée ou principale.
Suivez ensuite les instructions de configuration manuelle de votre réseau, via DHCP ou
PPPoE, selon les recommandations de votre FAI ou de votre administrateur réseau.Annexe C Connexion à Internet 85
Configuration manuelle
Ayez à portée de main votre adresse IP statique, l’adresse du routeur et le masque de
sous-réseau fournis par votre FAI (voir la page 79).
Pour effectuer une configuration manuelle :
1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher.
2 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire.
3 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement.
4 Remplissez le reste des champs.
5 Cliquez sur Appliquer.
Votre connexion est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Ouvrez votre
navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre connexion à
Internet.86 Annexe C Connexion à Internet
Configuration DHCP
Une fois la configuration DHCP effectuée, le serveur DHCP saisit automatiquement
vos informations réseau.
Pour configurer DHCP :
1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher.
2 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire.
3 Choisissez Via DHCP dans le menu local Configurer IPv4.
4 Cliquez sur Appliquer.
Ouvrez votre navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre
connexion à Internet.
Remarque : sauf instructions contraires de votre FAI, ignorez les champs Client DHCP
et Domaines de recherche.Annexe C Connexion à Internet 87
Configuration PPPoE
Certains FAI s’appuyant sur la technologie DSL utilisent le protocole PPPoE (Point-toPoint Protocol over Ethernet). Si vous utilisez un modem DSL et que vous avez besoin
d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe pour vous connecter à Internet, contactez
votre FAI pour savoir si vous devez vous connecter via PPPoE.
Pour configurer une connexion PPPoE :
Ayez à portée de main le nom d’utilisateur, le mot de passe et, si cela est nécessaire,
l’adresse du serveur DNS fournis par votre FAI (voir la page 79).
1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher.
2 Cliquez sur PPPoE et sélectionnez “Se connecter via PPPoE”.
3 Remplissez le reste des champs. Si vous souhaitez que tous les utilisateurs de votre
ordinateur utilisent la même méthode de connexion, sélectionnez “Enregistrer le mot
de passe”.
Remarque : pour vous connecter automatiquement au démarrage d’une application
TCP/IP, telle qu’un navigateur Web ou une application de courrier électronique, cliquez
sur Options PPPoE, puis sélectionnez “Se connecter automatiquement si nécessaire”.88 Annexe C Connexion à Internet
4 Cliquez sur TCP/IP et sélectionnez Via PPP ou Manuellement dans le menu local
Configurer IPv4, selon les instructions de votre FAI. Si votre FAI vous a communiqué
une adresse IP statique, choisissez Manuellement et tapez l’adresse dans le champ
Adresse IP.
5 Saisissez les adresses des serveurs de noms de domaine (DNS) dans le champ
Serveurs DNS.
6 Cliquez sur Appliquer.
Votre connexion à Internet est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Vous
pouvez alors ouvrir votre navigateur Web ou une autre application TCP/IP afin de tester
votre connexion.
Important : si vous n’avez pas sélectionné l’option de connexion automatique, vous
devez ouvrir l’application Connexion à Internet, choisir la configuration adéquate, puis
cliquer sur Se connecter. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Connexion
à Internet dans la barre des menus située en haut de l’écran. Annexe C Connexion à Internet 89
Connexion sans fil AirPort Extreme
Vous pouvez configurer votre réseau AirPort Extreme et votre connexion Internet à
l’aide de l’Assistant réglages AirPort, situé dans le dossier Utilitaires de votre dossier
Applications. L’assistant vous aide à configurer votre borne d’accès AirPort Extreme et
à régler votre ordinateur pour qu’il utilise AirPort Extreme. Pour en savoir plus sur votre
borne d’accès AirPort Extreme, consultez le Guide de configuration de la borne d’accès
AirPort Extreme livré avec votre borne d’accès.
Si votre borne d’accès AirPort Extreme est déjà configurée, votre carte AirPort Extreme
peut dans la plupart des cas y accéder immédiatement.
Pour vérifier si vous avez accès à un réseau AirPort Extreme :
m
Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez un réseau
AirPort dans la liste.
Si aucun réseau AirPort n’y figure, vous pouvez utiliser l’Assistant réglages AirPort
pour vérifier ou modifier vos réglages ou bien les changer via la fenêtre Réseau des
Préférences Système.
Configuration manuelle d’une connexion AirPort Extreme
Pour configurer une connexion manuelle utilisant des adresses spécifiques affectées
par avance pour vos serveurs et votre ordinateur, procurez-vous les informations
suivantes auprès de votre administrateur de système.
Si vous vous connectez via DHCP, la plupart de ces informations sont automatiquement
transmises à votre ordinateur via le réseau. Consultez votre administrateur de système
pour obtenir les renseignements nécessaires.
• Adresses des serveurs de noms de domaine (DNS), si nécessaire
• Configuration d’adresse IP manuelle ou via DHCP
• Adresse IP
• Adresse du routeur
• Masque de sous-réseau
• Mot de passe, si nécessaire90 Annexe C Connexion à Internet
Assurez-vous ensuite que les options de connexion AirPort sont activées dans les
préférences Réseau.
Pour configurer les Préférences réseau pour une connexion AirPort Extreme :
1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau.
3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau.
4 Cochez la case Activé à côté d’AirPort.
Suivez ensuite les instructions fournies par votre FAI ou votre administrateur réseau
pour configurer votre réseau manuellement ou via DHCP. Si vous configurez vousmême votre réseau, il est peut-être plus simple d’utiliser DHCP car le serveur attribue
automatiquement les adresses IP.Annexe C Connexion à Internet 91
5 Choisissez AirPort dans le menu local Afficher.
6 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire.
7 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement ou Via DHCP.
• Si vous choisissez Manuellement, saisissez les autres informations dans les champs
correspondants.
• Si vous choisissez Via DHCP, il est inutile de saisir d’autres informations, sauf
instructions contraires de votre administrateur de système.
8 Cliquez sur AirPort et sélectionnez les options requises pour vous connecter à un
réseau AirPort Extreme après le redémarrage ou lors de la réactivation de l’ordinateur
après une suspension d’activité.
9 Cliquez sur Appliquer.
Une fois les réglages AirPort configurés, vous êtes prêt à vous connecter.
Pour tester votre connexion AirPort Extreme :
m
Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez Activer AirPort.
Tout réseau AirPort Extreme situé dans la zone de couverture doit apparaître dans
le menu.92 Annexe C Connexion à Internet
Dépannage de votre connexion
Connexion à Internet par modem câble, ligne DSL et réseau LAN
Si vous ne parvenez pas à vous connecter à Internet à l’aide de votre modem câble
ou DSL ou via votre réseau local (LAN), suivez les étapes ci-après.
Important : les instructions relatives aux modems ne concernent pas les utilisateurs
de réseau LAN. Contrairement aux utilisateurs de modems câble et DSL, les utilisateurs
de réseau LAN peuvent disposer de concentrateurs, de commutateurs, de routeurs et
autres dispositifs de connexion. Ils doivent faire appel à leur administrateur réseau
plutôt qu’à un FAI.
Vérifiez les câbles et les sources d’alimentation
Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés, y compris
le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble
raccordant le modem à la prise murale. Vérifiez les câbles et l’alimentation des routeurs
et des concentrateurs Ethernet.
Éteignez puis rallumez le modem et réinitialisez les composants matériels du
modem.
Éteignez votre modem DSL ou votre modem câble pendant quelques minutes puis
rallumez-le. Certains FAI conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem.
Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant
ou après avoir éteint puis rallumé le modem.
Connexions PPPoE
Si vous n’arrivez pas à vous connecter à votre FAI via PPPoE, commencez par vérifier
les câbles et l’alimentation, puis éteignez le modem et rallumez-le et réinitialisez le
matériel modem.
Vérifiez les réglages de Préférences Système
1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau.
3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau.
4 Sélectionnez Ethernet intégré, puis faites glisser cette configuration en haut de la liste
des configurations de ports.
5 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Ethernet intégré.
6 Cliquez sur PPPoE.
7 Sélectionnez Se connecter via PPPoE.
8 Vérifiez le champ Nom de compte pour vous assurer d’avoir tapé les informations
correctes fournies par votre FAI. Annexe C Connexion à Internet 93
9 Si vous avez choisi d’enregistrer votre mot de passe, saisissez-le à nouveau afin d’être
sûr(e) qu’il est correct.
10 Cliquez sur TCP/IP. Assurez-vous d’avoir saisi dans cette fenêtre les informations
correctes fournies par votre FAI.
11 Cliquez sur Appliquer.
Connexions au réseau
Si vous disposez de plusieurs ordinateurs tentant de partager une connexion à Internet,
assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre
FAI fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque
ordinateur.
Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de
partager la connexion (on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de
masquage d’adresses IP). Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez
la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré
votre réseau. La borne d’accès AirPort Extreme peut être utilisée pour que plusieurs
ordinateurs partagent une adresse IP. Pour plus d’informations sur l’utilisation de la
borne d’accès AirPort Extreme, consultez l’aide à l’écran ou rendez-vous sur le site
Web AirPort, à l’adresse www.apple.com/airport.
Si ces instructions s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés,
contactez votre FAI. 95
D Annexe
D Les dix questions principales
Une question ? Voici les dix questions les plus fréquemment
posées par les nouveaux utilisateurs iBook G4.
Ma connexion Internet ne semble pas fonctionner. Comment la configurer ?
Il y a différents types de connexions Internet. Vous pouvez, par exemple, vous
connectez via un modem, une connexion DSL, une connexion sans fil AirPort ou via un
réseau Ethernet. Vous devrez fournir à Mac OS X des informations spécifiques sur votre
type de connexion, votre fournisseur d’accès Internet ou votre réseau. La première
étape de configuration de votre connexion consiste à regrouper les informations
requises pour votre type de connexion. Pour connaître les informations requise et
savoir comment configurer votre type de connexion, consultez l’annexe C, “Connexion
à Internet”, à la page 77. Votre ordinateur dispose également d’une application Assistant
réglages de réseau pour vous aider à configurer votre connexion Internet.
Comment configurer mon imprimante ? Est-elle compatible avec mon iBook G4 ?
Commencez par connecter votre imprimante et installer tous les logiciels en suivant
les instructions fournies avec. Ensuite, ouvrez les Préférences Système puis cliquez
sur l’icône Imprimer et faxer. Utilisez la fenêtre Imprimer et faxer pour configurer
votre iBook G4 afin qu’il accède à l’imprimante. Vous trouverez un grand nombre
d’informations sur la configuration des imprimantes dans l’Aide Mac OS (cherchez
“imprimante”). Consultez également “Connexion à une imprimante” à la page 25
de ce manuel.
Si votre imprimante ne semble pas fonctionner comme prévu, consultez le site Web du
fabricant pour obtenir les pilotes d’impression mis à jour. La dernière version du logiciel
d’imprimante est souvent disponible en téléchargement.96 Annexe D Les dix questions principales
Si une tâche d’impression envoyée à votre imprimante ne s’imprime pas, cliquez sur l’icône
de l’imprimante dans le Dock pour vérifier si la tâche est interrompue ou suspendue. (Si
aucune icône d’imprimante ne se trouve dans le Dock, ouvrez Configuration d’imprimante
dans le dossier Applications/Utilitaires, puis double-cliquez sur le nom de l’imprimante.)
Si la fenêtre de l’imprimante annonce “Tâche suspendue” , cliquez sur le bouton Démarrer
tâches. Si “Pause” apparaît à côté du nom de la tâche, reprenez l’impression en cliquant sur
le nom de la tâche, puis sur Reprendre. Si l’impression d’une tâche a été interrompue à la
suite d’une erreur technique, effacez la tâche défectueuse en la sélectionnant et en
cliquant sur Effacer. Essayer ensuite d’imprimer la tâche à nouveau.
Comment fonctionne l’interface Mac OS X ?
Les nouveaux utilisateurs de Mac OS X se demandent souvent comment exécuter
certaines tâches. Votre meilleure source d’informations sur Mac OS X est l’Aide Mac OS.
S’y trouvent des explications préliminaires destinées aux nouveaux utilisateurs, aux
utilisateurs Windows s’initiant à Mac OS X ainsi qu’aux utilisateurs ayant effectué
une mise à niveau de Mac OS 9. Ouvrez l’Aide Mac OS en choisissant Aide Mac dans
le menu Aide de la barre des menus du Finder, en haut de votre écran, et parcourez
les informations destinées aux nouveaux utilisateurs. Parmi les principales tâches
élémentaires recherchées par l’utilisateur figure le Finder, essayez donc de rechercher
“Finder” également.
Comment prolonger l’autonomie de la batterie de mon iBook G4 ?
N’oubliez pas de calibrer votre batterie lors de la première utilisation (voir la page 17).
Vous pouvez économiser l’énergie de la batterie en spécifiant, via la fenêtre des
préférences Économiseur d’énergie, le délai qui doit s’écouler avant que l’ordinateur
ne suspende son activité ou que l’écran ne s’obscurcisse. Ouvrez Préférences système
et cliquez sur l’icône Économiseur d’énergie. Choisissez les réglages les mieux adaptés
à votre mode d’utilisation. Les périphériques tels que les lecteurs de disques durs,
qui sont alimentés par votre ordinateur, peuvent également contribuer à diminuer
l’autonomie de votre batterie. Vous pouvez économiser l’énergie de la batterie en
déconnectant ces appareils. Vous pouvez également vous procurer une batterie
supplémentaire et la brancher à votre ordinateur lorsque la batterie est faible. Pour
plus d’informations sur les moyens d’économiser l’énergie de la batterie, voir “Conseils
d’économie de la batterie” à la page 49.
J’ai inséré un disque dans le lecteur optique, mais rien ne se passe. Comment
savoir si le disque est compatible avec mon lecteur optique ?
Appuyez sur la touche d’éjection de disque ( ) pour éjecter le disque. Les lecteurs
optiques Apple à chargement par fente ne gèrent que les disques ronds de 12 cm de
diamètre. Les disques non standards n’ayant pas une forme circulaire ne fonctionnent pas
avec le lecteur optique. Pour plus d’informations sur les disques non standards, consultez
la base de données AppleCare Knowledge Base à l’adresse www.apple.com/support.
Avertissement : l’insertion d’un disque non standard risque d’endommager le lecteur.Annexe D Les dix questions principales 97
Comment connecter un moniteur ou un téléviseur à mon iBook G4 ?
Votre iBook G4 est équipé d’un port moniteur externe et d’un adaptateur pour
connecter des périphériques disposant de connecteurs VGA. Vous pouvez également
vous procurer un adaptateur vidéo Apple afin de connecter les moniteurs, téléviseurs
et écrans vidéo les plus courants utilisés. Si votre périphérique possède un connecteur
différent de l’adaptateur fourni avec votre iBook G4, vous devez vous procurer un autre
adaptateur pour pouvoir le connecter au iBook G4. Pour connaître l’adaptateur fourni
avec votre iBook G4, voir la page 5. Pour plus d’informations sur la connexion d’écrans
et autres périphériques, consultez “Gestion vidéo externe (VGA, Composite et S-Vidéo)”
à la page 40.
J’ai oublié mon mot de passe. Comment le réinitialiser ?
Vous pouvez réinitialiser le mot de passe d’administrateur. Pour savoir comment
réinitialiser votre mot de passe, voir la page 64.
J’entends un ventilateur se mettre en marche et mon iBook G4 me paraît
chaud. Est-ce normal ?
Lorsque le iBook G4 fonctionne, il est conçu pour réguler lui-même la température à ne
pas dépasser. Le ventilateur se met en marche pour que le iBook G4 puisse fonctionner
à des températures normales. La partie inférieure de votre iBook G4 est susceptible
de chauffer car cette dernière a été conçue pour évacuer la chaleur générée via son
boîtier. Cela est normal. Pour plus d’informations, consultez la section “Utilisation de
votre iBook G4” à la page 73.
Mon application ou Mac OS X ne semblent pas fonctionner correctement.
Dois-je réinstaller Mac OS X ?
Le processus de dépannage d’un problème exige que vous déterminiez un certain
nombre de choses, comme savoir si un problème arrive toujours avec une application
spécifique, s’il est lié au système d’exploitation ou s’il est dû à un matériel défectueux.
Avant de réinstaller, consultez “Dépannage” à la page 61 pour vous aider à analyser
le problème. Apple vous fournit également un grand nombre d’explications et
de conseils techniques pour résoudre vos problèmes dans la base de données
AppleCare Knowledge Base. Pour accéder à cette base de données en ligne, allez sur
www.apple.com/support. Si vous constatez qu’une réinstallation de Mac OS X s’impose,
vous trouverez des instructions dans “Restauration des logiciels de votre ordinateur”
à la page 66.
J’ai installé une application sur mon iBook G4, mais elle ne semble pas
fonctionner. Où trouver de l’aide ?
Vérifiez la documentation fournie avec l’application pour obtenir des instructions
sur l’assistance. Les fabricants sont souvent conscients des problèmes courants
susceptibles de survenir avec leurs applications et fournissent des solutions et des
mises à jours à usage immédiat. Si votre programme n’est pas un produit Apple,
contactez directement l’éditeur pour obtenir une meilleure assistance. 99
Communications Regulation Information
FCC Compliance Statement
This device complies with part 15 of the FCC rules.
Operation is subject to the following two
conditions: (1) This device may not cause harmful
interference, and (2) this device must accept any
interference received, including interference that
may cause undesired operation. See instructions if
interference to radio or television reception is
suspected.
Radio and Television Interference
This computer equipment generates, uses, and can
radiate radio-frequency energy. If it is not installed
and used properly—that is, in strict accordance with
Apple’s instructions—it may cause interference with
radio and television reception.
This equipment has been tested and found to
comply with the limits for a Class B digital device in
accordance with the specifications in Part 15 of FCC
rules. These specifications are designed to provide
reasonable protection against such interference in a
residential installation. However, there is no
guarantee that interference will not occur in a
particular installation.
You can determine whether your computer system is
causing interference by turning it off. If the
interference stops, it was probably caused by the
computer or one of the peripheral devices.
If your computer system does cause interference to
radio or television reception, try to correct the
interference by using one or more of the following
measures:
• Turn the television or radio antenna until the
interference stops.
• Move the computer to one side or the other of the
television or radio.
• Move the computer farther away from the
television or radio.
• Plug the computer into an outlet that is on a
different circuit from the television or radio. (That
is, make certain the computer and the television or
radio are on circuits controlled by different circuit
breakers or fuses.)
If necessary, consult an Apple-authorized service
provider or Apple. See the service and support
information that came with your Apple product. Or,
consult an experienced radio/television technician
for additional suggestions.
Important: Changes or modifications to this product
not authorized by Apple Computer, Inc., could void
the EMC compliance and negate your authority to
operate the product.
This product was tested for EMC compliance under
conditions that included the use of Apple peripheral
devices and Apple shielded cables and connectors
between system components. It is important that
you use Apple peripheral devices and shielded
cables and connectors between system components
to reduce the possibility of causing interference to
radios, television sets, and other electronic devices.
You can obtain Apple peripheral devices and the
proper shielded cables and connectors through an
Apple-authorized dealer. For non-Apple peripheral
devices, contact the manufacturer or dealer for
assistance.
Responsible party (contact for FCC matters
only): Apple Computer, Inc. Product Compliance, 1
Infinite Loop M/S 26-A, Cupertino, CA 95014-2084,
408-974-2000.
Industry Canada Statement
Complies with the Canadian ICES-003 Class B
specifications. Cet appareil numérique de la classe B
est conforme à la norme NMB-003 du Canada.
VCCI Class B Statement
Communauté Européenne
Conforme aux directives européennes 72/23/CEE,
89/336/CEE et 99/5/CEE.100
Laser Information
Making adjustments or performing procedures other
than those specified in your equipment’s manual
may result in hazardous radiation exposure.
Do not attempt to disassemble the cabinet
containing the laser. The laser beam used in this
product is harmful to the eyes. The use of optical
instruments, such as magnifying lenses, with this
product increases the potential hazard to your eyes.
For your safety, have this equipment serviced only
by an Apple-authorized service provider.
If you have an internal Apple CD-ROM, DVD-ROM, or
DVD-RAM drive in your computer, your computer is
a Class 1 laser product. The Class 1 label, located in a
user-accessible area, indicates that the drive meets
minimum safety requirements. A service warning
label is located in a service-accessible area. The
labels on your product may differ slightly from the
ones shown here.
Laser Specifications for Combo Drive
Laser on pickup unit when reading a DVD:
• Type: Semiconductor laser GaAs/In(GaAI)P/InGaP
• Wavelength: 655 ± 15 nm
• Power out of objective lens: 0.33 mW
• Beam divergence: 20º ~ 35º (Typical 27º)
Laser on pickup unit when reading a CD:
• Type: Semiconductor laser AIGaAs/GaAs
• Wavelength: 784 ± 8 nm
• Power out of objective lens: Read = 1.0 mW,
Write = 80.0 mW
• Beam divergence: 14.5º ~ 17.5º (Typical 16º)
Laser Specifications for CD
Laser on pickup unit when reading a CD:
• Type: Semiconductor laser AIGaAs
• Wavelength: 78 ~ 800 nm (Typical 790 nm)
• Power out of objective lens: Read = .11 mW,
• Beam divergence: 14º ~ 20º (Typical 17º)
Exposure to Radio Frequency Energy
The radiated output power of the optional AirPort
Extreme Card is far below the FCC radio frequency
exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the
wireless equipment in such a manner that the
potential for human contact during normal
operation is minimized.
Mouse and Keyboard Information
La souris optique d’Apple est un appareil à diode
électroluminescente de catégorie 1. Ce produit est
conforme aux exigences des directives européennes
72/23/CEE et 89/336/CEE.
It also complies with the Canadian ICES-003 Class B
Specification.
Avertissement relatif aux activités à haut
risque
Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans
des installations nucléaires, pour la navigation ou la
communication aérienne, pour le contrôle du trafic
aérien, ni dans aucune autre situation où une panne
du système informatique pourrait entraîner la mort,
des blessures ou de graves dommages écologiques.
Conformité ENERGY STAR®
En tant que partenaire ENERGY STAR®
Apple a
configuré ce produit de telle sorte qu’il respecte les
recommandations d’économie d’énergie d’ENERGY
STAR®
. Le programme ENERGY STAR®
est un
partenariat avec les fabricants de matériel de bureau
visant à promouvoir une consommation efficace de
l’énergie. La réduction de la consommation
d’énergie des appareils de bureau permet de réaliser
des économies et contribue à réduire la pollution en
éliminant le gaspillage d’énergie.
Informations sur l’élimination des piles
usagées
Les batteries usagées doivent être recyclées ou
traitées conformément aux normes d’environnement
locales.
Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden
ingeleverd bij de chemokar of in een speciale
batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca)
worden gedeponeerd.
Informations relatives au téléphone et
au modem Apple 56K
Class 1 label Étiquette de mise en garde 101
Informez votre opérateur téléphonique
Certains opérateurs téléphoniques exigent que vous
informiez votre agence locale lorsque vous raccordez
un modem à leur réseau.
Information You Need in the United States
The internal modem complies with Part 68 of the
FCC rules. On the back of this equipment is a label
that contains, among other information, the FCC
registration number and ringer equivalence number
(REN). If requested, provide this information to your
telephone company.
• Ringer equivalence number (REN) : 0.1B The REN is
useful to determine the quantity of devices you
may connect to your telephone lines and still have
all those devices ring when your telephone
number is called. In most, but not all areas, the
sum of the RENs of all devices connected to one
line should not exceed five (5.0). To be certain of
the number of devices you may connect to your
line, as determined by the REN, you should contact
your local telephone company to determine the
maximum REN for your calling area.
• Telephone jack type: USOC, RJ-11 An FCC-compliant
telephone cord and modular plug are provided
with this equipment. This equipment is designed
to be connected to the telephone network or
premises wiring using a compatible modular jack
that complies with Part 68 rules. See the
installation instructions for details.
Telephone Line Problems
If your telephone doesn’t work, there may be a
problem with your telephone line. Disconnect the
modem to see if the problem goes away. If it doesn’t,
report the problem either to your local telephone
company or to your company’s telecommunications
people.
If disconnecting the modem eliminates the problem,
the modem itself may need service. See the service
and support information that came with your Apple
product for instructions on how to contact Apple or
an Apple-authorized service provider for assistance.
If you do not disconnect your modem when it is
adversely affecting the telephone line, the telephone
company has the right to disconnect your service
temporarily until you correct the problem. The
telephone company will notify you as soon as
possible. Also, you will be informed of your right to
file a complaint with the FCC.
The telephone company may make changes in its
facilities, equipment, operations, or procedures that
could affect the operation of your equipment. If this
happens, the telephone company will provide
advance notice in order for you to make the
necessary modifications to maintain uninterrupted
service.
The internal modem will not work with party lines,
cannot be connected to a coin-operated telephone,
and may not work with a private branch exchange
(PBX).
Telephone Consumer Protection Act
The Telephone Consumer Protection Act of 1991
makes it unlawful for any person to use a computer
or other electronic device to send any message via a
telephone fax machine unless such message clearly
contains, in a margin at the top or bottom of each
transmitted page or on the first page of the
transmission, the date and time it was sent and an
identification of the business or other entity, or
individual sending the message and the telephone
number of the sending machine of such business,
entity, or individual.
Information You Need in Canada
The Industry Canada (IC) label identifies certified
equipment. This certification means that the
equipment meets certain telecommunications
network protective, operational, and safety
requirements. The Department does not guarantee
the equipment will operate to a user’s satisfaction.
Before installing this equipment, make sure that you
are permitted to connect to the facilities of the local
telecommunications company. Be sure you use an
acceptable method of connection to install the
equipment. In some cases, you may extend the
company’s internal wiring for single-line individual
service by means of a certified telephone extension
cord. Be aware, however, that compliance with these
conditions may not prevent degradation of service
in some situations.
Repairs to certified equipment should be made by
an authorized Canadian maintenance facility
designated by the supplier. Any equipment
malfunctions or repairs or alterations that you make
to this equipment may cause the
telecommunications company to request that you
disconnect the equipment.
In Canada, contact Apple at: 7495 Birchmount Road,
Markham, Ontario, L3R 5G2, 800-263-3394
Warning: Users should ensure for their own
protection that the electrical ground connections
of the power utility, telephone lines, and internal
metallic water pipe system, if present, are
connected together. This precaution may be
particularly important in rural areas. 102
Users should not attempt to make such connections
themselves, but should contact the appropriate
electric inspection authority or electrician.
• Load number:0.1 The load number (LN) assigned to
each terminal device denotes the percentage of
the total load to be connected to the telephone
loop that is used by the device, to prevent
overloading. The termination of a loop may consist
of any combination of devices, subject only to the
requirement that the sum of the load numbers of
all devices does not exceed 100.
• Telephone jack type: CA-11
Informations destinées aux utilisateurs canadiens
L’étiquette d’Industrie Canada identifie un matériel
homologué. Cette étiquette certifie que le matériel
est conforme à certaines normes de protection,
d’exploitation et de sécurité des réseaux de
télécommunications. Le Ministère n’assure toutefois
pas que le matériel fonctionnera à la satisfaction de
l’utilisateur.
Avant d’installer ce matériel, l’utilisateur doit
s’assurer qu’il est permis de le raccorder au réseau de
l’entreprise locale de télécommunication. Le matériel
doit également être installé en suivant une méthode
acceptée de raccordement. Dans certains cas, le
câblage appartenant à l’entreprise utilisé pour un
service individuel à ligne unique peut être prolongé
au moyen d’un dispositif homologué de
raccordement (cordon prolongateur téléphonique).
L’abonné ne doit pas oublier qu’il est possible que la
conformité aux conditions énoncées ci-dessus
n’empêche pas la dégradation du service dans
certaines situations. De fait, les entreprises de
télécommunication ne permettent pas que l’on
raccorde un matériel aux prises d’abonnés, sauf dans
les cas précis prévus par les tarifs particuliers de ces
entreprises.
Les réparations de matériel homologué doivent être
effectuées par un centre d’entretien canadien
autorisé désigné par le fournisseur. La compagnie de
télécommunications peut demander à l’utilisateur de
débrancher un appareil suite à des réparations ou à
des modifications effectuées par l’utilisateur ou en
raison d’un mauvais fonctionnement.
Veuillez contacter Apple pour des informations
supplémentaires :
Apple Canada, Inc.
7495 Birchmount Road
Markham, Ontario
Canada L3R 5G2
Service clientèle d’Apple Canada : 800-263-3394
L’utilisateur ne doit pas tenter de faire ces
raccordements lui-même ; il doit avoir recours à un
service d’inspection des installations électriques ou à
un électricien, selon le cas.
• Numéro de charge : 0,1 L’indice de charge (IC)
assigné à chaque dispositif terminal indique, pour
éviter toute surcharge, le pourcentage de la
charge totale qui sera raccordée à un circuit
téléphonique bouclé utilisé par ce dispositif. La
terminaison du circuit bouclé peut être constituée
de n’importe quelle combinaison de dispositifs
pourvu que la somme des indices de charge de
l’ensemble des dispositifs ne dépasse pas 100.
• Type de prise téléphonique : CA-11
Information You Need in the United Kingdom
This terminal equipment is intended for direct
connection to the analogue Public Switched
Telecommunications Network and is approved for
use within the United Kingdom with the following
features:
• Modem facility
• Autocalling facility
• Autoanswer facility
• DTMF signaling
Operation in the absence of proceed indication or
upon detection of proceed indication
This product is in conformity with relevant
regulatory standards following the provisions of
European Council Directives 73/23/EEC (Low Voltage
Directive) and 89/336/EEC amended by 92/31/EEC
(EMC Directive).
Informationen für Deutschland
Diese Modem-Karte ist als Endeinrichtung
vorgesehen und muss an ein TAE mit F-Kodierung
angeschlossen werden. Diese Endeinrichtung ist in
Konformität gemäss Niederspannungsrichtlinie 73 /
23 / EWG sowie EMC-Richtlinien 89 / 336 / EWG und
92 / 31 / EWG.
Avertissement : Pour sa propre sécurité, l’utilisateur
doit s’assurer que tout les fils de mise à la terre du
secteur, des lignes téléphoniques et les
canalisations d’eau métalliques, s’il y en a, soient
raccordés ensemble. Cette précaution est
particulièrement importante dans les régions
rurales. 103
Informations pour la France
Ce matériel est conforme aux normes applicables de
sécurité électrique d’après la directive 73/23/CEE et
aux normes applicables de comptabilité
électromagnétique d’après la directive 89/336/CEE,
modifiée par la directive 92/31/CEE.
Information You Need in Australia
All telecommunications devices are required to be
labelled as complying to the Australian
telecommunications standards, ensuring the health
and safety of the operator and the integrity of the
Australian telecommunications network. To provide
compliance with the Australian Communications
Authority’s technical standards, please ensure that
the following AT commands are maintained:
• ATB0 (ITU/CCITT operation)
• AT&G0 (no guard tone)
• AT&P1 (33/66 pulse dial make/break ratio)
• ATS0 = 0 or ATS0 = 1 (no answer or answer greater
than one ring)
• ATS6 = 95 (DTMF period between 70–255 ms)
• ATS11 = 95 (DTMF period between 70–255 ms)
For calls that are automatically generated, a total of
three call attempts are allowed to a telephone
number, with a minimum period between calls of 2
seconds. If the call does not connect after three
attempts, 30 minutes must expire before automatic
redialing may be initiated. Failure to set the modem
(and any associated communications software) to
the above settings may result in the modem being
non-compliant with Australian telecommunications
standards. Under these circumstances a user could
be subject to significant penalties under the
Telecommunications Act 1997.
This modem must be properly secured in order for
you to use it. Telecommunications network voltages
exist inside the computer and the
telecommunications line connection must be
removed before opening the computer.
Information You Need in New Zealand
This modem is fully approved to operate on the New
Zealand telecommunications network under
Telepermit number PTC 211/04/002. All
telecommunications devices are required to hold a
Telepermit and be labelled accordingly with the
approved Telepermit number to comply with the
New Zealand telecommunications standards,
ensuring the health and safety of the operator and
the integrity of the New Zealand
telecommunications network. To ensure compliance,
all calls that are automatically generated should not
make more than 10 call attempts to the same
number within any 30 minute period with a
minimum period between calls of 30 seconds.
Failure to adhere to these standards may result in
the modem being non-compliant with New Zealand
Telecom standards. Under these circumstances a
user could be subject to significant penalties.
Important: The grant of a Telepermit for any item of
terminal equipment indicates that only Telecom has
accepted that the item complies with minimum
conditions for connection to its network. It indicates
no endorsement of the product by Telecom, nor
does it provide any sort of warranty. Above all, it
provides no assurance that any item will work
correctly in all respects with another item of
Telepermitted equipment of a different make or
model, nor does it imply that any product is
compatible with all of Telecom’s network services.
Mac OS X Server
Administration de
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Apple, le logo Apple, ColorSync, Final Cut Pro, Mac,
Macintosh, Mac OS, QuickTime, Xgrid et Xserve sont
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dans d’autres pays. Finder et Safari sont des marques
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Incorporated.
UNIX est une marque de The Open Group.
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ici sont des marques de leurs détenteurs respectifs.
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informatives et ne constitue en aucun cas une approbation ni une recommandation. Apple n’assume aucune
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F019-0945/01-09-2007 3
1 Table des matières
Préface 9 À propos de ce guide
9 Nouveautés de la version 10.5
9 Contenu de ce guide
10 Utilisation du guide
10 Utilisation de l’aide à l’écran
11 Guides d’administration de Mac OS X Server
12 Visualisation de guides PDF à l’écran
13 Impression des guides PDF
13 Obtenir des mises à jour de documentation
14 Pour obtenir des informations supplémentaires
Chapitre 1 15 Vue d’ensemble des technologies web
15 Vue d’ensemble des technologies web
16 Principales fonctionnalités web
16 Serveur web Apache
16 WebDAV
16 Prise en charge CGI
17 Prise en charge SSL
17 Contenu dynamique avec SSI (Server Side Includes)
17 Blogs et prise en charge du format RSS
17 Avant de commencer
17 Sélection d’une version d’Apache
18 Configuration de votre serveur web
18 Garantie de la sécurité des transactions
18 Configuration de sites web
18 Hébergement de plusieurs sites
19 À propos du protocole WebDAV
19 Définition des autorisations WebDAV
19 À propos de la sécurité WebDAV
20 Définition de royaumes
21 À propos du standard MIME (Multipurpose Internet Mail Extension)
21 Extensions MIME
21 Réponses du serveur web (gestionnaires de contenu)4 Table des matières
Chapitre 2 23 Utilisation du service web
23 Présentation générale de la configuration
24 Activation du service web
24 Configuration de service web
25 Configuration des réglages généraux
26 Configuration des réglages Types MIME
27 Configuration des réglages Proxy
29 Configuration des réglages Modules
29 Configuration des réglages Services web
30 Démarrage du service web
31 Gestion du service web
31 Vérification de l’état d’un service web
32 Affichage des historiques de service web
32 Affichage des graphiques web
33 Arrêt du service web
33 Réglage des performances
33 Réglage du nombre de connexions simultanées pour le serveur web
34 Réglage du nombre de connexions persistantes pour le serveur web
35 Définition d’un délai de déconnexion
Chapitre 3 37 Création et gestion de sites web
37 Vue d’ensemble de la configuration d’un site web
40 Configuration d’un site web
40 Configuration du dossier web
40 Création d’un site web
41 Définition de la page web par défaut
42 Configuration des options Apache du site web
43 Utilisation de royaumes pour le contrôle d’accès
45 Activation des historiques d’accès et d’erreurs pour un site web
46 Activation du protocole SSL
48 Gestion de l’accès aux sites à l’aide d’alias
50 Configuration d’un proxy inversé
51 Activation de services web facultatifs
52 Connexion au site web
53 Gestion de site web
53 Affichage des réglages du site web
54 Modification du dossier web d’un site
54 Modification du port d’accès d’un site web
55 Activation d’un script CGI (Common Gateway Interface)
55 Activation des SSI (Server Side Includes)
56 Création d’index permettant d’effectuer des recherches dans le contenu
d’un site web
57 Contrôle de l’activité d’un site webTable des matières 5
57 Utilisation d’une phrase clé avec des certificats SSL
58 Utilisation de WebDAV pour gérer le contenu d’un site web
58 Activation de WebDAV sur des sites web
59 Utilisation de WebDAV pour le partage de fichiers
60 Configuration des autorisations relatives aux fichiers et aux dossiers de contenu web
60 Gestion de plusieurs sites sur un seul serveur
61 Utilisation d’alias pour qu’un site réponde à plusieurs noms
61 Sites web et interfaces réseau multiples
62 Contenu d’utilisateur sur les sites web
62 Configuration du service web
62 Contenu par défaut
63 Accès au contenu web
63 Sécurisation du contenu web sur des systèmes de fichiers insensibles à la casse
Chapitre 4 65 Création et gestion de wikis et de blogs
65 Vue d’ensemble des wikis
66 À propos des pages de wiki
66 À propos de la sécurité des wikis
67 À propos de la hiérarchie des fichiers et des dossiers de wiki
67 Vue d’ensemble de la configuration d’un wiki
68 Configuration d’un wiki
68 Activation des services web de wiki pour un site web
70 Connexion à un wiki
70 Modification des réglages de wiki
71 Gestion des pages de wiki
71 Ajout de pages de documents
71 Modification de pages de document
71 Suppression de pages de document
72 Ajout d’un lien à une page de wiki
72 Insertion d’un tableau dans une page de wiki
73 Ajout de balises aux pages de wiki
73 Suppression de balises des pages de wiki
73 Ajout de fichiers aux pages de wiki
74 Recherche de pages de wiki comportant des balises
74 Recherche dans les pages de wiki
75 Affichage ou remplacement de pages de wiki anciennes ou supprimées
75 Restauration de pages de wiki supprimées
76 Personnalisation des wikis
76 Sélection de styles et de formats de police
76 Personnalisation des présentations et des thèmes de wiki
77 Sources d’aide lors de l’utilisation d’un wiki
77 Configuration d’un calendrier web
77 Activation du service Calendrier web pour un site web6 Table des matières
78 Navigation dans le Calendrier web
79 Création d’événements de calendrier programmés à certaines heures
79 Modification d’événements de calendrier
80 Suppression d’événements de calendrier web
80 Utilisation du Calendrier web avec iCal
81 Configuration de blogs d’utilisateurs et de groupes
81 Activation du service Blog pour un site web
81 Ajout d’une page de blog
82 Définition d’autorisations SACL de blog pour les utilisateurs
Chapitre 5 83 Configuration et gestion de WebMail
83 Vue d’ensemble de WebMail
83 Services d’utilisateur WebMail
84 WebMail et votre serveur de messagerie
84 Protocoles WebMail
85 Activation de WebMail
85 Configuration de WebMail
87 Configuration d’archives web de liste d’envoi
Chapitre 6 89 Utilisation de WebObjects et d’applications open source
89 Utilisation du service WebObjects
90 Vue d’ensemble de WebObjects
90 Activation du service WebObjects
90 Configuration du service WebObjects
91 Démarrage du service WebObjects
92 Vérification de l’état du service WebObjects
92 Arrêt du service WebObjects
92 Ouverture de Contrôle
93 Utilisation d’Apache
94 Modification des fichiers de configuration d’Apache
94 Restauration de la configuration par défaut
95 Utilisation du script apachectl
96 À propos de l’enregistrement Multicast DNS d’Apache
96 Utilisation d’Apache Axis
97 Utilisation de Tomcat
98 Définition de Tomcat en tant que conteneur d’application
98 Utilisation de MySQL
99 Activation du service MySQL
99 Configuration du service MySQL
99 Lancement du service MySQL
100 Vérification de l’état du service MySQL
100 Affichage et gestion des historiques de service et Admin de MySQL
101 Arrêt du service MySQLTable des matières 7
101 Mise à niveau de MySQL
102 Utilisation de Ruby on Rails
102 Gestion du déploiement des applications Ruby on Rails
Chapitre 7 107 Gestion des modules web
107 Vue d’ensemble des modules web Apache
107 Utilisation des modules web
108 Affichage des modules web
108 Ajout de modules web
109 Activation des modules web
109 Modification de modules web
110 Suppression de modules web
110 Modules propres à Macintosh
110 mod_macbinary_apple
110 mod_spotlight_apple
111 mod_auth_apple
111 mod_hfs_apple
111 mod_digest_apple
111 mod_auth_digest_apple
111 mod_spnego
111 mod_encoding
111 mod_bonjour
112 Modules Open Source
112 Tomcat
112 PHP
112 mod_perl
112 mod_encoding
Chapitre 8 115 Résolution des problèmes de service web
115 Les utilisateurs ne parviennent pas à se connecter à un site web sur votre serveur
116 Un module web ne fonctionne pas comme prévu
116 Un script CGI ne fonctionne pas
Index 121 9
Préface
À propos de ce guide
Ce guide explique comment configurer et gérer un serveur
web et des sites web et comment utiliser des technologies
web open source.
Mac OS X Server 10.5 comprend un service web constitué de plusieurs technologies web.
Le service web est préinstallé sur le matériel de serveur Apple et offre un environnement
intégré et souple permettant la mise en place et la gestion des technologies web.
Nouveautés de la version 10.5
Mac OS X Server 10.5 apporte les améliorations suivantes au service web :
 nouveau serveur Apache 2.2 amélioré,
 wikis et blogs de groupe,
 gestion aisée des certificats dans Admin Serveur,
 contrôle des proxy conventionnels (directs) et back-end (inversés),
 compensateur de proxy back-end permettant un déploiement simple d’applications
Ruby on Rails ou WebObject.
Contenu de ce guide
Ce guide comprend les chapitres suivants :
 Le chapitre 1, « Vue d’ensemble des technologies web » explique les concepts
essentiels et fournit des informations de base sur la configuration d’un serveur,
la configuration de sites web et les composants web spécialisés.
 Le chapitre 2, « Utilisation du service web » décrit comment configurer votre serveur
web pour la première fois et comment gérer des réglages et des composants web.
 Le chapitre 3, « Création et gestion de sites web » fournit des instructions sur
la configuration et la gestion de sites web.
 Le chapitre 4, « Création et gestion de wikis et de blogs » décrit comment utiliser
Admin Serveur pour configurer et gérer des wikis et des blogs.10 PréfaceÀ propos de ce guide
 Le chapitre 5, « Configuration et gestion de WebMail » explique comment activer
et utiliser Webmail sur votre serveur web.
 Le chapitre 6, « Utilisation de WebObjects et d’applications open source » fournit des
informations et des instructions relatives au service WebObjects et aux composants
open source Apache, Tomcat et MySQL.
 Le chapitre 7, « Gestion des modules web » décrit les modules inclus dans Mac OS X
Server et explique comment installer, activer et visualiser ces modules.
 Le chapitre 8, « Résolution des problèmes de service web » vous aide à résoudre
les problèmes liés aux technologies et aux sites web.
Le glossaire définit les termes que vous rencontrerez lors de la lecture de ce guide.
Remarque :étant donné qu’Apple publie régulièrement de nouvelles versions et mises
à jour de ses logiciels, les illustrations de ce document peuvent être différentes de celles
qui s’affichent à l’écran.
Utilisation du guide
La liste ci-dessous contient des suggestions à propos de l’utilisation de ce guide :
 Lisez le guide en entier. Certaines sections peuvent faire appel à des informations
et des recommandations abordées dans les sections qui précèdent.
 Les instructions qui figurent dans ce guide doivent toujours être testées dans un environnement non opérationnel avant le déploiement. Cet environnement non opérationnel
doit simuler autant que possible l’environnement dans lequel l’ordinateur sera déployé.
Utilisation de l’aide à l’écran
Tout en gérant Mac OS X Server, vous pouvez obtenir à l’écran des instructions sur
les tâches, dans Visualisation Aide. L’aide peut être affichée sur un serveur ou sur un
ordinateur administrateur (Un ordinateur administrateur est un ordinateur Mac OS X
sur lequel un logiciel d’administration Mac OS X Server est installé.)
Pour obtenir de l’aide dans le cas d’une configuration avancée de Leopard Server :
m Ouvrez Admin Serveur ou Gestionnaire de groupe de travail, puis :
 Utilisez le menu Aide pour rechercher une tâche à exécuter.
 Choisissez Aide > Aide Admin Serveur ou Aide > Gestionnaire de groupe de travail
pour explorer les rubriques d’aide et effectuer des recherches sur ces rubriques.
L’aide à l’écran contient des instructions issues de Administration du serveur et d’autres
guides d’administration avancés décrits dans « Guides d’administration de Mac OS X
Server ».Préface À propos de ce guide 11
Pour visualiser les rubriques d’aide les plus récentes concernant les serveurs :
m Assurez-vous que le serveur ou l’ordinateur administrateur est connecté à Internet
pendant que vous consultez l’Aide.
Visualisation Aide extrait automatiquement les rubriques d’aide les plus récentes
depuis Internet et les stocke en mémoire cache. Lorsque vous n’êtes pas connecté
à Internet, Visualisation Aide affiche les rubriques d’aide mises en cache.
Guides d’administration de Mac OS X Server
Premiers contacts traite de l’installation et de la configuration des configurations standard
et de groupe de travail de Mac OS X Server. Pour les configurations avancées, consultez
Administration du serveur, qui regroupe la planification, l’installation, la configuration et
l’administration du serveur en général. Une série de guides supplémentaires, énumérés
ci-dessous, décrit la planification, la configuration, ainsi que la gestion avancée des services individuels. Vous pouvez obtenir ces guides au format PDF sur le site web sur la documentation de Mac OS X Server à l’adresse :
www.apple.com/fr/server/documentation
Ce guide ... explique comment :
Premiers contacts et
Feuille d’opération d’installation
et de configuration
Installer Mac OS X Server et le configurer pour la première fois.
Administration de ligne
de commande
Installer, configurer et gérer Mac OS X Server à l’aide de fichiers
de configuration et d’outils en ligne de commande UNIX.
Administration des services
de fichier
Partager certains volumes ou dossiers de serveur entre les clients
du serveur, à l’aide des protocoles AFP, NFS, FTP et SMB.
Administration du service iCal Configurer et gérer le service de calendrier partagé d’iCal.
Administration du service iChat Configurer et gérer le service de messagerie instantanée d’iChat.
Configuration de la sécurité
de Mac OS X
Renforcer la sécurité des ordinateurs (clients) Mac OS X, comme
l’exigent les entreprises et les organismes publics.
Configuration de la sécurité
de Mac OS X Server
Renforcer la sécurité de Mac OS X Server et de l’ordinateur sur lequel
il est installé, comme l’exigent les entreprises et les organismes publics.
Administration du service
de messagerie
Configurer et gérer les services de messagerie IMAP, POP et SMTP
sur le serveur.
Administration des services
de réseau
Installer, configurer et administrer les services DHCP, DNS, VPN, NTP,
coupe-feu IP, NAT et RADIUS sur le serveur.
Administration d’Open Directory Configurer et gérer les services d’annuaire et d’authentification
et configurer les clients autorisés à accéder aux services d’annuaire.
Administration de Podcast Producer Configurer et gérer le service Podcast Producer destiné à enregistrer,
traiter et distribuer des podcasts.
Administration du service
d’impression
Héberger les imprimantes partagées et gérer les files d’attente
et travaux d’impression associés.12 PréfaceÀ propos de ce guide
Visualisation de guides PDF à l’écran
Lorsque vous lisez la version PDF d’un guide à l’écran, vous pouvez :
 Afficher les signets pour visualiser le plan du guide et cliquer sur un signet pour
accéder directement à la section correspondante.
 Rechercher un mot ou une phrase pour afficher une liste des endroits où ce mot ou
cette phrase apparaît dans le document. Cliquez sur un de ces endroits pour afficher
la page correspondante.
 Cliquer sur une référence croisée pour accéder directement à la rubrique référencée.
Cliquer sur un lien pour visiter le site web à partir de votre navigateur.
Administration de QuickTime
Streaming et Broadcasting
Capturer et encoder du contenu QuickTime. Configurer et gérer le
service QuickTime Streaming en vue de diffuser des données multimédias en temps réel ou à la demande.
Administration du serveur Mettre en place l’installation et la configuration avancées du logiciel serveur et gérer des options qui s’appliquent à plusieurs services ou à l’intégralité du serveur.
Administration de Mise à jour
de logiciels et d’Imagerie système
Utiliser NetBoot, NetInstall et Mise à jour de logiciels pour automatiser la gestion du système d’exploitation et des autres logiciels
utilisés par les ordinateurs clients.
Mise à niveau et migration Utiliser des réglages de données et de services correspondant
à une version antérieure de Mac OS X Server ou de Windows NT.
Gestion des utilisateurs Créer et gérer des comptes utilisateur, des groupes et des ordinateurs. Configurer les préférences gérées des clients Mac OS X.
Administration des
technologies web
Configurer et gérer des technologies web telles que les blogs,
WebMail, wiki, MySQL, PHP, Ruby on Rails (RoR) et WebDAV.
Informatique à haute performance
et administration Xgrid
Configurer et gérer des grappes de calcul de systèmes Xserve
et d’ordinateurs Mac.
Glossaire Mac OS X Server Savoir à quoi correspondent les termes utilisés pour les produits
de serveur et les produits de stockage.
Ce guide ... explique comment :Préface À propos de ce guide 13
Impression des guides PDF
Si vous devez imprimer un guide procédez comme suit pour économiser du papier
et de l’encre :
 Économisez de l’encre ou du toner en évitant d’imprimer la couverture.
 Si vous disposez d’une imprimante couleur, économisez de l’encre en choisissant
une option d’impression en niveaux de gris ou en noir et blanc dans une des sections
de la zone de dialogue Imprimer.
 Réduisez le volume du document imprimé et économisez du papier en imprimant
plusieurs pages par feuille.Dans la zone de dialogue Imprimer, réglez Échelle sur 115 %
(155 % pour Premiers contacts). Choisissez ensuite Mise en page dans le menu local sans
titre. Si votre imprimante prend en charge l’impression recto verso (duplex),sélectionnez
l’une des options proposées. Sinon, choisissez 2 dans le menu local Pages par feuille et,si
vous le souhaitez, Simple extra fine dans le menu Bordure. (Si vous utilisez Mac OS X 10.4
ou antérieur, le réglage Échelle se trouve dans la zone de dialogue Format d’impression
et les réglages relatifs à la mise en page dans la zone de dialogue Imprimer.)
Il peut s’avérer utile d’agrandir les pages imprimées même si vous n’imprimez pas en
recto verso, car la taille des pages PDF est inférieure à celle du papier d’imprimante standard. Dans la zone de dialogue Imprimer ou dans la zone de dialogue Format d’impression, essayez de régler Échelle sur 115 % (155 % pour Premiers contacts qui possède des
pages de la taille d’un CD).
Obtenir des mises à jour de documentation
Apple publie régulièrement des pages d’aide révisées ainsi que de nouvelles éditions
de ses guides. Certaines pages d’aide révisées sont des mises à jour des dernières éditions de ces guides.
 Pour afficher les nouvelles rubriques d’aide à l’écran d’une application de serveur,
assurez-vous que votre serveur ou votre ordinateur administrateur est connecté à
Internet et cliquez sur le lien des dernières rubriques d’aide ou de mise à jour dans
la page d’aide principale de l’application.
 Pour télécharger les guides les plus récents au format PDF, rendez-vous
sur le site web de documentation sur Mac OS X Server à l’adresse :
www.apple.com/fr/server/documentation/.14 PréfaceÀ propos de ce guide
Pour obtenir des informations supplémentaires
Pour plus d’informations, consultez les ressources suivantes :
 Documents Ouvrez-moi : mises à jour importantes et informations spécifiques.
Recherchez-les sur les disques du serveur.
 Site web de Mac OS X Server (www.apple.com/fr/server/macosx) : passerelle vers
des informations détaillées sur de nombreux produits et technologies.
 Site web de service et d’assistance Mac OS X Server (www.apple.com/fr/support/
macosxserver) : accès à des centaines d’articles du service d’assistance d’Apple.
 Groupe de discussions Apple, en anglais (discussions.apple.com) : un moyen de partager
questions, connaissances et conseils avec d’autres administrateurs.
 Site web des listes d’envoi Apple, en anglais (www.lists.apple.com) : abonnez-vous
à des listes d’envoi pour pouvoir communiquer par courrier électronique avec
d’autres administrateurs.1
15
1 Vue d’ensemble des
technologies web
Ce chapitre vous aide à vous familiariser avec les technologies
web et à en comprendre les principaux composants avant
de configurer vos services et vos sites.
Le service web consiste en une série complexe d’outils permettant de configurer
et de gérer le serveur web Apache, de développer des sites web et d’intégrer un serveur d’application à un certain nombre de composants Open Source. Avant de continuer, nous vous conseillons de vous familiariser avec les complexités de votre système.
Vue d’ensemble des technologies web
Les technologies web offrent une solution de serveur Internet intégrée. Ces technologies
(également désignées par l’expression « service web » dans ce guide) peuvent par ailleurs
être facilement configurées et gérées. Inutile d’être un administrateur web expérimenté
pour créer des sites web, configurer et contrôler votre serveur web.
Le service web repose sur Apache, un serveur web HTTP Open Source. Un serveur web
permet de répondre aux requêtes concernant les pages web HTML stockées sur votre
site. Les logiciels Open Source permettent à quiconque de consulter et de modifier leur
code source pour les modifier et les améliorer. Cette particularité a contribué à populariser Apache, qui est de nos jours le serveur web le plus utilisé sur Internet.
Les administrateurs web peuvent utiliser Admin Serveur pour administrer le service web
sans avoir une connaissance préalable des réglages avancés ni des fichiers de configuration. Les administrateurs web spécialistes d’Apache peuvent également administrer des
technologies web à l’aide des fonctions avancées d’Apache.
Comme le service web de Mac OS X Server repose sur Apache, vous pouvez lui ajouter des fonctionnalités avancées à l’aide de simples modules d’extension. Ces modules Apache vous permettent d’ajouter la prise en charge du protocole SOAP (Simple
Object Access Protocol), de Java et de langages CGI tels que Python.16 Chapitre 1Vue d’ensemble des technologies web
Principales fonctionnalités web
Le service web est constitué des principaux composants suivants (technologies web)
offrant un environnement serveur flexible et évolutif.
 Serveur web Apache.
 WebDAV.
 Prise en charge CGI.
 Prise en charge SSL.
 Contenu dynamique avec SSI (Server Side Includes).
 Blogs et prise en charge du format RSS.
Serveur web Apache
Apache est un serveur web HTTP Open Source que les administrateurs peuvent configurer
à l’aide de l’application Admin Serveur.
Apache possède une structure modulaire et le jeu de modules activé par défaut convient
à la plupart des utilisations. Admin Serveur peut prendre en charge quelques modules
optionnels. Les utilisateurs Apache expérimentés peuvent ajouter et supprimer des
modules ou modifier le code du serveur. Pour en savoir plus sur les modules, consultez
la section « Vue d’ensemble des modules web Apache » à la page 107.
Apache 1.3 est installé sur les versions antérieures de Mac OS X Server. Si vous effectuez
une installation spéciale, utilisez Apache 2. La migration automatique d’Apache 1 vers
Apache 2 est prise en charge par Mac OS X Server 10.5.
WebDAV
WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) est particulièrement utile
pour la mise à jour de contenu sur un site web. Les utilisateurs qui disposent d’un accès
WebDAV au serveur peuvent ouvrir des fichiers, apporter des modifications ou effectuer
des ajouts, puis enregistrer ces modifications. Sous Mac OS X, les utilisateurs peuvent
monter des volumes WebDAV et y accéder facilement à partir du Finder.
Pour en savoir plus sur l’utilisation de WebDAV pour le partage de fichiers, consultez
la section « Utilisation de WebDAV pour le partage de fichiers » à la page 59.
Prise en charge CGI
Les scripts CGI (Common Gateway Interface) représentent l’interface de communication
entre le serveur et les clients. Ils peuvent, par exemple, être utilisés pour permettre aux
utilisateurs de commander un produit sur un site web ou de répondre à des demandes
d’informations.
AVERTISSEMENT : il se peut que l’exécution du script de conversion d’Apache 1
en Apache 2 ait des effets secondaires, notamment sur les réglages de sécurité,
ce qui peut avoir des répercussions sur la sécurité de votre mise à niveau.Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies web 17
Vous pouvez écrire des scripts CGI dans plusieurs langages, notamment Perl et Python.
Le dossier /Bibliothèque/WebServer/CGI-Executable constitue l’emplacement par défaut
des scripts CGI.
Prise en charge SSL
Le service web prend en charge le protocole SSL (Secure Sockets Layer) qui chiffre les
informations échangées entre le client et le serveur. SSL utilise un certificat numérique
permettant de certifier l’identité du serveur en établissant un échange d’informations
sécurisé et chiffré.
Contenu dynamique avec SSI (Server Side Includes)
SSI (Server Side Includes) permet d’utiliser le même contenu sur plusieurs pages d’un site.
Il peut également indiquer au serveur d’exécuter un script ou d’insérer des données spé-
cifiques dans une page. Cette fonction simplifie la mise à jour du contenu, puisque vous
modifiez les informations à un seul endroit et que la commande SSI affiche vos informations modifiées sur plusieurs pages.
Pour en savoir plus sur SSI, consultez la section « Activation des SSI (Server Side Includes) »
à la page 55.
Blogs et prise en charge du format RSS
Le serveur web fournit des blogs comme option pour chaque site web. Ces blogs respectent les normes XML RSS et Atom et permettent l’authentification Open Directory.
Les utilisateurs de ces blogs ont le choix entre plusieurs techniques de manipulation
de modèles et de feuilles de style.
Important :pour modifier la liste SACL d’un service Blog, vous devez utiliser l’interface
serveur plutôt que l’interface web.
Pour en savoir plus sur la configuration du contrôle d’accès aux blogs à l’aide de listes
SACL, consultez la section « Définition d’autorisations SACL de blog pour les utilisateurs »
à la page 82.
Avant de commencer
Cette section fournit les informations nécessaires pour la configuration initiale de votre
serveur web. Nous vous conseillons de lire ce chapitre, même si vous êtes un administrateur web expérimenté. En effet, certaines fonctions et certains comportements
peuvent différer de ce que vous connaissez.
Sélection d’une version d’Apache
Apache 2.2.4 est installé si vous effectuez une installation spéciale. En cas de mise à niveau,
c’est la version 1.3 qui est d’abord utilisée, mais vous pouvez passer à la version 2.2.4 dès
que vous le souhaitez.18 Chapitre 1Vue d’ensemble des technologies web
Configuration de votre serveur web
Vous devez utiliser Admin Serveur pour configurer la plupart des fonctions de votre serveur web. Si vous êtes un administrateur Apache expérimenté et que vous avez besoin
de fonctions du serveur web Apache qui ne sont pas incluses dans Admin Serveur,
modifiez les fichiers de configuration appropriés.
Apple ne fournit toutefois aucune assistance technique en cas de modification des fichiers
de configuration Apache. Si vous devez modifier un fichier, effectuez d’abord une copie
de sauvegarde de ce fichier.Vous pourrez revenir à cette copie en cas de problème.
Garantie de la sécurité des transactions
Pour garantir la sécurité des transactions sur votre serveur, vous devez configurer la protection SSL (Secure Sockets Layer). Le protocole SSL vous permet d’envoyer sur Internet
des informations chiffrées et authentifiées. Si vous souhaitez, par exemple, autoriser des
transactions par carte de crédit sur votre site web, utilisez le protocole SSL pour protéger
les informations qui transitent sur votre site.
Important :vous ne pouvez faire bénéficier un site web du cache performances
si le protocole SSL est activé pour ce site.
Pour en savoir plus sur la configuration de transactions sécurisées, consultez la section
« Activation du protocole SSL » à la page 46.
Configuration de sites web
Avant d’héberger un site web, vous devez :
 Enregistrer votre nom de domaine auprès d’une autorité compétente.
 Créer sur le serveur un dossier destiné à votre site web.
 Créer dans ce dossier une page par défaut que les utilisateurs visualiseront lors
de leur connexion.
 Vérifier que le service DNS est correctement configuré si vous souhaitez que les clients
accèdent à votre site web par l’intermédiaire de son nom.
Une fois prêt à publier, ou activer, votre site, utilisez Admin Serveur. La sous-fenêtre Sites,
située dans le service web, vous permet d’ajouter un nouveau site et de sélectionner
un ensemble de réglages pour chacun des sites hébergés.
Pour en savoir plus sur l’utilisation de WebDAV pour le partage de fichiers, consultez
la section « Gestion de site web » à la page 53.
Hébergement de plusieurs sites
Vous pouvez héberger simultanément plusieurs sites sur votre serveur web. Selon
la manière dont vos sites sont configurés, il se peut qu’ils possèdent les mêmes nom
de domaine, adresse IP ou port. La combinaison unique d’un nom de domaine,
d’une adresse IP et d’un port permet d’identifier chacun des sites.Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies web 19
Vos noms de domaine doivent être enregistrés auprès d’une autorité compétente telle
que le service InterNIC. Sinon, le site web associé au domaine ne sera pas visible sur
Internet. (Chaque nouvelle inscription est payante.)
Pour en savoir plus sur l’hébergement de plusieurs sites, consultez la section « Gestion
de plusieurs sites sur un seul serveur » à la page 60.
Pour en savoir plus sur WebDAV, consultez la section « À propos du protocole WebDAV »
à la page 19.
Pour en savoir plus sur les formats MIME, consultez la section « À propos du standard
MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) » à la page 21.
À propos du protocole WebDAV
Si vous utilisez WebDAV pour la création dynamique de contenu sur votre site web,
vous devez créer des royaumes et définir des autorisations d’accès pour les utilisateurs.
Chaque site que vous hébergez peut être divisé en plusieurs royaumes, disposant chacun
de ses propres utilisateurs et groupes dotés d’autorisations de navigation ou de création.
Définition des autorisations WebDAV
Le processus Apache exécuté sur le serveur doit avoir accès aux fichiers et aux dossiers
du site web. Pour ce faire, Mac OS X Server installe un utilisateur nommé « www »
et un groupe nommé « www » dans la liste des utilisateurs et des groupes du serveur.
Les processus Apache qui servent les pages web sont exécutés en tant qu’utilisateur
« www » et membres du groupe « www ».
Vous devez attribuer au groupe « www » l’accès en lecture aux fichiers des sites web,
afin que le serveur puisse envoyer ces fichiers aux navigateurs lorsque des utilisateurs
se connectent aux sites. Le processus Apache est exécuté avec un ID utilisateur et un ID
de groupe « www » effectifs et requiert l’accès aux fichiers et aux répertoires du royaume
WebDAV, ainsi qu’au dossier /var/run/davlocks/.
À propos de la sécurité WebDAV
Dans Mac OS X Server 10.5, WebDAV vous permet d’utiliser un serveur web comme serveur de fichiers. Les clients utilisent leur navigateur à partir de toutes sortes d’emplacements et sur de nombreux types d’ordinateurs pour accéder aux fichiers du serveur et
les partager. Pour en savoir plus sur l’utilisation de WebDAV pour le partage de fichiers,
consultez la section « Utilisation de WebDAV pour le partage de fichiers » à la page 59.
WebDAV permet également aux utilisateurs de mettre à jour des fichiers sur un site web
pendant que celui-ci est actif. Lorsque le protocole WebDAV est activé, le serveur web doit
disposer d’un accès en écriture aux fichiers et aux dossiers du site que les utilisateurs sont
en train de mettre à jour.20 Chapitre 1Vue d’ensemble des technologies web
Les deux fonctionnalités de WebDAV (à savoir, fourniture d’un serveur de fichiers avec accès
via un navigateur et mise à jour de sites web) ont une incidence en matière de sécurité lorsque d’autres sites sont exécutés sur le serveur. En effet, les personnes responsables d’un site
peuvent alors en modifier d’autres.
Vous pouvez éviter ce problème en définissant avec soin les autorisations d’accès aux
fichiers du site via la sous-fenêtre Partage de fichiers d’Admin Serveur. Mac OS X Server
utilise un groupe prédéfini, nommé « www », qui contient les processus Apache. Vous
devez accorder au groupe « www » l’accès en lecture et en écriture aux fichiers du site
web. Vous devez également attribuer à l’administrateur du site web (propriétaire) l’accès
en lecture et en écriture à ces fichiers et n’attribuer aucun accès à tous les autres utilisateurs. Pour en savoir plus, consultez la section Administration des services de fichier.
Définition de royaumes
Lorsque vous définissez un royaume, généralement sous forme de dossier (ou de système
de fichiers), les autorisations d’accès définies pour le royaume s’appliquent à l’ensemble du
contenu de ce dossier. Si un nouveau royaume est défini pour l’un des dossiers du royaume
existant,seules les autorisations du nouveau royaume s’appliqueront à ce dossier et à son
contenu. Pour en savoir plus sur la création de royaumes et la définition d’autorisations
d’accès, consultez la section « Utilisation de royaumes pour le contrôle d’accès » à la page 43.
Remarque :lorsqu’un groupe ou un utilisateur assigné dispose d’un nombre moins important d’autorisations que le nombre attribué à l’utilisateur Tous, cet utilisateur ou ce groupe
est supprimé lors d’une actualisation. En effet, les droits d’accès attribués à l’utilisateur Tous
sont prioritaires par rapport à ceux qui sont attribués à des utilisateurs ou groupes spécifiques disposant de moins d’autorisations.
Les autorisations les plus importantes sont toujours prioritaires. Par conséquent, la liste des
utilisateurs et groupes assignés dotés d’autorisations moins importantes n’est pas enregistrée dans la sous-fenêtre Royaumes lors de l’actualisation si leurs autorisations sont considé-
rées comme inférieures à celles qui ont été attribuées à Tous. Après l’actualisation, les noms
ne figurent plus dans la liste située sur la droite de la sous-fenêtre Royaumes. Par ailleurs,
la mention « Aucun utilisateur » est affichée pendant un cours moment à la place de « Tous ».Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies web 21
À propos du standard MIME (Multipurpose Internet Mail
Extension)
Le standard MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) est une norme Internet permettant de spécifier ce qui se produit lorsqu’un navigateur web demande un certain type de
fichier. Vous pouvez définir la réponse de l’utilisateur en fonction de l’extension du fichier.
Vos choix dépendent en partie des modules que vous avez installés sur votre serveur web.
Chaque combinaison incluant une extension de fichier et une réponse correspondante
constitue un mappage MIME.
Extensions MIME
Une extension décrit le type de données d’un fichier. Voici quelques exemples :
 « txt » pour les fichiers texte,
 « cgi » pour les fichiers Common Gateway Interface,
 « gif » pour les fichiers GIF (graphiques),
 « php » pour les fichiers PHP :Hypertext Preprocessor (scripts HTML intégrés) utilisé
pour Webmail, etc.,
 « tiff » pour les fichiers TIFF (images).
Mac OS X Server comprend un ensemble d’extensions MIME par défaut. Cet ensemble
inclut toutes les extensions du fichier mime.types distribué avec Apache plus quelques
ajouts. Si une extension dont vous avez besoin n’est pas répertoriée ou ne présente pas
le comportement souhaité, utilisez Admin Serveur pour ajouter l’extension à l’ensemble
ou pour modifier son comportement.
Remarque :évitez d’ajouter ou de modifier des extensions MIME en modifiant des fichiers
de configuration.
Réponses du serveur web (gestionnaires de contenu)
Lorsqu’un fichier est demandé, le serveur web traite le fichier en fonction de la réponse
spécifiée pour l’extension de fichier. Ces réponses, également appelées « gestionnaires
de contenu », peuvent correspondre à une action ou à un mappage MIME.Voici quelquesunes des réponses possibles :
 Renvoyer le fichier comme type MIME (saisissez le mappage que vous souhaitez renvoyer).
 Send-as-is (envoyer le fichier tel quel).
 Script cgi (exécuter un script CGI de votre choix).
 Fichier Imap (générer un message électronique IMAP).
 Mac-binary (télécharger un fichier compressé au format MacBinary).
Les mappages MIME sont divisés en deux champs subalternes séparés par une barre
oblique, par exemple « text/plain ».
Mac OS X Server comprend une liste de mappages MIME par défaut. Vous pouvez
les modifier ou en ajouter d’autres à l’aide d’Admin Serveur.22 Chapitre 1Vue d’ensemble des technologies web
Lorsque vous spécifiez un type MIME comme réponse, le serveur identifie le type de données sollicitées et envoie la réponse spécifiée. Par exemple,si le serveur demande un fichier
avec l’extension « jpg » et que le mappage MIME correspondant est image/jpeg, le serveur
sait qu’il doit envoyer un fichier d’image dont le format est JPEG. Le serveur se contente
de transférer les données demandées.
Le traitement des opérations est différent. Si vous avez associé une opération à une extension, votre serveur exécute un programme ou un script et le résultat est transmis au navigateur à l’origine de la requête. Par exemple,si un navigateur demande un fichier portant
l’extension « cgi » et que la réponse associée est l’action cgi-script, votre serveur exécute
le script et renvoie les données résultantes au navigateur demandeur.2
23
2 Utilisation du service web
Ce chapitre indique comment utiliser Admin Serveur pour
configurer un service web et gérer des réglages et des
composants web.
Mac OS X Server combine les plus récents services Internet open source basés sur des normes standard, afin de constituer une solution d’hébergement web complète et facile à utiliser. Utilisez Admin Serveur pour configurer le service web et installer les composants web
en fonction des besoins de votre organisation.
Présentation générale de la configuration
Voici un aperçu des principales étapes nécessaires pour configurer le service web.
Étape 1 :Lisez la section intitulée « Avant de commencer »
Pour connaître les éléments à prendre en considération avant de configurer le service
web sur votre réseau, consultez la section « Avant de commencer » à la page 17.
Étape 2 :Activez le service web
Avant de procéder à la configuration du service web, vous devez l’activer. Consultez
la section « Activation du service web » à la page 24.
Étape 3 :Configurez les réglages web généraux
Configurez les réglages généraux pour définir les réglages de connexion et activer
Tomcat. Consultez la section « Configuration des réglages généraux » à la page 25.
Étape 4 :Configurez les types MIME web
Les types MIME permettent de définir la façon dont votre serveur web répond lorsque
votre navigateur demande certains types de fichiers. Consultez la section
« Configuration des réglages Types MIME » à la page 26.
Étape 5 :Configurez les réglages proxy web
Les réglages proxy permettent d’activer un proxy qui envoie les demandes au serveur
web et transmet les données depuis ce dernier. Consultez la section « Configuration
des réglages Proxy » à la page 27.24 Chapitre 2Utilisation du service web
Étape 6 :Configurez les modules web
Les réglages de modules permettent de sélectionner ou de désélectionner les modules
web disponibles pour le serveur web. Consultez la section « Configuration des réglages
Modules » à la page 29.
Étape 7 :Configurez les services web
Les réglages du service web permettent de configurer des réglages communs partagés entre les wikis, les blogs, les calendriers web et les archives de liste d’envoi basées
sur le web pour les groupes. Consultez la section « Configuration des réglages Services
web » à la page 29.
Étape 8 :Démarrez le service web
Après avoir configuré le service web, vous devez le démarrer pour qu’il soit disponible.
Consultez la section « Démarrage du service web » à la page 30.
Activation du service web
Avant de configurer les réglages web, vous devez activer le service web dans Admin Serveur.
Pour activer le service web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur Réglages, puis sur Services.
3 Cochez la case Web.
4 Cliquez sur Enregistrer.
Configuration de service web
Utilisez Admin Serveur pour modifier les réglages du service web. Les sections suivantes
décrivent les tâches de configuration et de démarrage du service web.
Il existe cinq groupes de réglages dans la sous-fenêtre Réglages du service web
d’Admin Serveur :
 Général. Définition des réglages de connexion au service web et de serveur de réserve.
 Types MIME. Configuration des types MIME (Multipurpose Internet Mail Extension)
et des gestionnaires de contenu.
 Proxy. Configuration des réglages proxy du serveur web.
 Modules. Sélection des modules web disponibles pour le service web.
 Services web. Configuration des réglages des services web communs hébergés sur un site.
Les sections suivantes décrivent comment configurer ces réglages et la dernière section
indique comment démarrer un service web lorsque vous avez terminé.Chapitre 2 Utilisation du service web 25
Configuration des réglages généraux
La sous-fenêtre de réglages généraux de service web permet de configurer les réglages
de connexion au serveur web, les réglages du serveur de réserve et d’activer ou de désactiver Tomcat.
Pour plus d’informations sur les réglages de connexion au serveur web, reportez-vous
à la section « Réglage des performances » à la page 33.
Pour configurer les réglages généraux d’un service web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Général.
5 Saisissez le nombre maximal de connexions simultanées.
Le réglage par défaut est de 1024 connexions.
Il s’agit du nombre de connexions simultanées autorisées à accéder à votre serveur web.
6 Saisissez la durée en secondes du délai de déconnexion.
Le réglage par défaut est de 300 secondes.
Il s’agit du temps écoulé avant qu’une connexion à votre serveur web ne dépasse la
durée d’inactivité autorisée. Cette inactivité se produit quand un utilisateur consulte
des pages web mais n’interagit pas avec le site.
7 Saisissez le nombre minimal et maximal de serveurs de réserve.
Les réglages de serveur de réserve régulent la création de processus de serveur
de réserve inactifs.
Pour le nombre maximal de serveurs de réserve, si le nombre de serveurs de réserve
inactifs dépasse le nombre maximal spécifié, le serveur arrête d’ajouter des serveurs
de réserve au-delà de la limite maximale.
Pour le nombre minimal de serveurs de réserve, si le nombre de serveurs de réserve
est inférieur au nombre minimal requis, le serveur en ajoute un par seconde.
8 Saisissez le nombre de serveurs à démarrer.
Il s’agit du nombre de serveurs de réserve créés au démarrage.
9 Pour que votre site autorise les connexions persistantes, cochez la case « Autoriser
les connexions persistantes » et configurez les réglages correspondants :
Définissez le nombre maximal de connexions persistantes. Le nombre par défaut
est 500 connexions.
Définissez la valeur du « Délai d’attente de connexion persistante » en secondes. Le délai
par défaut est de 15 secondes.26 Chapitre 2Utilisation du service web
10 Cochez Activer Tomcat pour activer Tomcat.
11 Cliquez sur Enregistrer.
Configuration des réglages Types MIME
MIME désigne une norme Internet utilisée pour spécifier ce qui se produit quand un navigateur web demande un fichier ayant des caractéristiques particulières. La sous-fenêtre
Types MIME d’Admin Serveur permet de configurer la façon dont votre serveur web
répond lorsqu’un navigateur demande certains types de fichiers.
Les gestionnaires de contenu sont similaires et utilisent également des extensions (suffixes)
pour déterminer le mode de traitement d’un fichier. Le suffixe de fichier décrit le type
de données du fichier. Chaque suffixe et sa réponse associée (comme text/plain et text/
richtext) sont appelés mappage de type MIME ou mappage de gestionnaire de contenu.
Le serveur inclut le type MIME dans sa réponse à un navigateur pour décrire les informations envoyées. Le navigateur peut alors utiliser sa liste de préférences MIME pour
déterminer comment traiter les informations.
Le type MIME par défaut du serveur est text/html, qui spécifie qu’un fichier contient
du texte HTML.
Le serveur web est configuré pour gérer les types MIME et les gestionnaires de contenu
les plus courants. Vous pouvez ajouter, modifier ou supprimer des mappages de type
MIME et de gestionnaire de contenu.Dans Admin Serveur, ces fichiers sont affichés dans
deux listes :Types MIME et Gestionnaires de contenu. Vous pouvez modifier, ajouter
et supprimer des éléments dans chaque liste.
Pour configurer les réglages de Types MIME :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Types MIME.
5 Ajoutez, supprimez ou modifiez des mappages de types MIME.
Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter un mappage à la liste Types MIME.
Saisissez chaque partie du nom (en les séparant par une barre oblique), double-cliquez
sur « Nouveau » dans la liste Suffixes, puis saisissez un nom de suffixe. Utilisez le bouton Ajouter (+) ou Supprimer (–) (en regard de la liste Suffixes) pour ajouter ou supprimer des suffixes dans la liste Suffixes. Cliquez ensuite sur OK.
Pour supprimer un mappage Type MIME, sélectionnez-le dans la liste Types MIME
et cliquez sur le bouton Supprimer (–).Chapitre 2 Utilisation du service web 27
Pour modifier un mappage Type MIME, sélectionnez le mappage dans la liste Types
MIME et cliquez sur le bouton Modifier (/). Modifiez le mappage, puis cliquez sur OK.
6 Ajoutez, supprimez ou modifiez les mappages Gestionnaires de contenu.
Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter un mappage à la liste Gestionnaires
de contenu. Saisissez le nom, puis double-cliquez sur « Nouveau » dans la liste Suffixes
et saisissez un nom de suffixe. Utilisez le bouton Ajouter (+) ou Supprimer (–) (en regard
de la liste Suffixes) pour ajouter ou supprimer des suffixes dans la liste Suffixes. Cliquez
ensuite sur OK.
Pour supprimer un mappage Gestionnaires de contenu, sélectionnez-le dans la liste
Gestionnaires de contenu et cliquez sur le bouton Supprimer (–).
Pour modifier un mappage Gestionnaires de contenu, sélectionnez-le dans la liste
Gestionnaires de contenu et cliquez sur le bouton Modifier (/). Modifiez le mappage,
puis cliquez sur OK.
Remarque :si vous ajoutez ou modifiez un gestionnaire ayant un script CGI (Common
Gateway Interface), assurez-vous que vous avez activé l’exécution de scripts CGI pour
votre site dans la section Options de la sous-fenêtre Sites.
7 Cliquez sur Enregistrer.
Configuration des réglages Proxy
La sous-fenêtre de réglages Proxy du service web permet de configurer un proxy direct.
Un proxy direct est placé entre le serveur web et les navigateurs clients pour transmettre les demandes d’informations entre les clients et le serveur. Le client doit être configuré pour utiliser le proxy direct afin d’accéder à d’autres sites.
Un proxy direct est généralement utilisé pour fournir un accès Internet aux ordinateurs
clients internes limités par un coupe-feu. Un proxy direct permet aux utilisateurs de rechercher des fichiers fréquemment utilisés sur un serveur local. Il peut être utilisé pour empê-
cher les clients internes d’accéder à des sites particuliers et peut améliorer les performances.
Vous pouvez aussi utiliser un proxy direct pour accélérer les temps de réponse et réduire
le trafic réseau. Le proxy stocke les fichiers récemment consultés dans la mémoire cache
de votre serveur web. Les navigateurs utilisés sur votre réseau vérifient d’abord la mémoire
cache avant d’aller récupérer des fichiers sur des serveurs plus éloignés.
Pour plus de sécurité, vous devez limiter l’accès à votre serveur en configurant ce proxy
direct. Cela est particulièrement utile si votre serveur héberge des sites web internes
et externes. Si votre serveur web est configuré pour agir comme proxy, vous pouvez
l’empêcher de placer des sites web indésirables en mémoire cache.
Important :pour tirer parti de cette fonction, les ordinateurs clients doivent désigner
votre serveur web comme serveur proxy dans leurs préférences de navigateur.28 Chapitre 2Utilisation du service web
Lorsque vous configurez un proxy direct, assurez-vous que vous créez et activez un site
web pour le proxy. Il peut s’avérer utile de désactiver la journalisation sur le site du proxy
ou de configurer le site pour qu’il enregistre l’historique des accès dans un fichier distinct
des historiques d’accès de vos autres sites. Il n’est pas indispensable que le site soit sur
le port 80, mais cela simplifie la configuration des clients web, car les navigateurs utilisent
le port 80 par défaut.
Mac OS X Server 10.5 fournit un proxy direct et un proxy inversé. Le proxy inversé
est configuré dans la sous-fenêtre Sites du service web. Pour plus d’informations
sur la configuration d’un proxy inversé, reportez-vous à la section « Configuration
d’un proxy inversé » à la page 50.
Pour configurer les réglages de proxy direct de service web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Proxy.
5 Cochez la case « Activer le proxy direct ».
Si un serveur proxy direct est activé, chaque site du serveur peut être utilisé comme proxy.
6 Cochez la case « Contrôler l’accès au proxy » pour limiter l’accès, puis saisissez le nom
de domaine dont l’accès est autorisé dans le champ « Domaine autorisé ».
En règle générale, lorsque vous souhaitez restreindre le nombre de personnes autorisées à utiliser votre serveur web comme proxy, limitez l’accès à un domaine particulier.
Seuls les utilisateurs de ce domaine bénéficient de l’accès.
7 Dans le champ Dossier cache, saisissez le nom du chemin d’accès au dossier cache.
Vous pouvez aussi cliquer sur le bouton Parcourir et rechercher le dossier à utiliser.
Si vous administrez un serveur distant, le service de fichiers doit être activé sur le serveur
distant pour que le bouton Parcourir soit utilisable.
Si vous choisissez un emplacement de dossier autre que l’emplacement par défaut,
vous devez sélectionner le nouveau dossier dans le Finder. Choisissez Fichier > Lire
les informations, puis remplacez le propriétaire et le groupe par www.
8 Déterminez la taille cible du fichier cache sur disque et définissez un intervalle de vidage
de la mémoire cache.
Quand la mémoire cache atteint cette taille, les fichiers les plus anciens sont supprimés
du dossier cache.
9 Pour ajouter un hôte à bloquer, cliquez sur le bouton Ajouter (+) et saisissez son adresse URL.
Ajoutez les noms de tous les hôtes à bloquer.Chapitre 2 Utilisation du service web 29
Vous pouvez importer une liste de sites web en la faisant glisser dans la liste des hôtes
bloqués. Cette liste doit consister en un fichier texte dont les noms d’hôtes sont séparés
par des virgules ou des tabulations (chaînes csv et tsv). Assurez-vous que la dernière entrée
du fichier est suivie d’un retour de chariot ou d’un saut de ligne,sinon elle est ignorée.
10 Cliquez sur Enregistrer.
Configuration des réglages Modules
La sous-fenêtre contenant les réglages des modules du service web permet de configurer les modules web qui seront utilisés par votre serveur.
Le service web fourni dans Mac OS X Server est modulaire. Cela signifie que les administrateurs bénéficient d’une plus grande souplesse en ce qui concerne l’ajout de technologies web au service. Pour plus d’informations sur les modules web, reportez-vous
à la section « Utilisation des modules web » à la page 107.
Pour configurer les réglages des modules de service web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Modules.
5 Cochez la case Activer en regard de chaque module que doit utiliser le serveur.
Pour plus d’informations sur l’ajout, la modification ou la suppression de modules,
reportez-vous à la section « Utilisation des modules web » à la page 107.
6 Cliquez sur Enregistrer.
Configuration des réglages Services web
La sous-fenêtre de réglages Services web du service web permet de configurer
les réglages communs des serveurs web hébergés sur un site.
Les services web comprennent les wikis, les blogs, les calendriers web et les archives
de listes d’envoi basées sur le web pour les groupes. Ces services sont activés indépendamment pour chaque site web que vous hébergez.
Pour configurer les réglages de services web sur votre serveur :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Services web.30 Chapitre 2Utilisation du service web
5 Dans le champ Stockage des données, saisissez le dossier dans lequel le service web
va stocker des informations.
Le dossier par défaut est /Bibliothèque/Collaboration/. Cliquez sur Choisir pour sélectionner un autre dossier.
6 Dans le champ « Taille maximum des pièces jointes », saisissez la taille maximum
des pièces jointes pour les fichiers pouvant être joints aux services web.
La taille de fichier par défaut est de 50 Mo.
7 Dans le menu local « Thème de wiki et de blog par défaut », choisissez un thème pour
votre wiki.
Les thèmes permettent de contrôler l’apparence des wikis et des blogs. Ils déterminent
la couleur, la taille, l’emplacement et d’autres attributs des éléments de wiki ou de blog.
Chaque thème est implémenté au moyen d’une feuille de style. Le thème par défaut
est utilisé à la création d’un wiki ou d’un blog, mais les propriétaires du blog ou du wiki
peuvent modifier ce thème. Pour en savoir plus, consultez la section « Personnalisation
des présentations et des thèmes de wiki » à la page 76.
8 Cliquez sur Enregistrer.
Démarrage du service web
Le démarrage du service web s’effectue depuis Admin Serveur. Lorsque vous modifiez
la configuration du service web et que vous enregistrez vos modifications, le serveur
web redémarre afin que les modifications soient reconnues par le processus httpd.
Pour démarrer un service web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Démarrer Web (sous la liste Serveurs).
Le service fonctionne jusqu’à ce que vous l’arrêtiez et il redémarre si votre serveur
est redémarré.
À partir de la ligne de commande
Vous pouvez aussi démarrer un service web via la commande serveradmin dans Terminal.
Pour plus d’informations,reportez-vous au chapitre consacré au service web dansle manuel
intitulé Administration de ligne de commande.Chapitre 2 Utilisation du service web 31
Gestion du service web
Cette section décrit les tâches quotidiennes classiques que vous pourrez être amené
à effectuer après avoir configuré un service web sur votre serveur. Vous trouverez les
informations relatives à la configuration initiale à la section « Configuration de service
web » à la page 24.
Pour plus d’informations sur la gestion d’un site web, reportez-vous à la section
« Gestion de site web » à la page 53.
Vérification de l’état d’un service web
Utilisez Admin Serveur pour vérifier l’état d’un service web.
Pour afficher l’état du service web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Pour savoir, par exemple, si le service fonctionne, quand il a démarré, pour connaître
la version du serveur Apache, le nombre de demandes par seconde et le débit du
serveur, cliquez sur Vue d’ensemble.
5 Pour voir les historiques des accès et ceux des erreurs, cliquez sur Historiques.
Pour choisir l’historique à afficher, sélectionnez-le dans la liste. L’historique correspondant apparaît en dessous.
6 Pour afficher les graphiques des utilisateurs connectés ou du débit, cliquez sur Graphiques.
Utilisez les menus locaux pour choisir le graphique à afficher et l’intervalle de représentation graphique des données.
7 Pour afficher une liste de sites web, cliquez sur Sites.
Cette liste inclut le nom de domaine, l’adresse et le port. Elle indique également
si le site est activé.
À partir de la ligne de commande
Vous pouvez aussi afficher l’état du service web en utilisant la commande ps ou top
dans Terminal, ou en consultant les fichiers d’historique dans le dossier /Bibliothèque/
Logs/wikid/ ou /var/log/apache2/ via la commande cat ou tail. Pour plus d’informations, consultez le chapitre concernant les services de fichiers dans le manuel intitulé
Administration de ligne de commande.32 Chapitre 2Utilisation du service web
Affichage des historiques de service web
Utilisez Admin Serveur pour afficher les historiques d’erreurs et d’accès du service web,
si vous les avez activés. Le service web de Mac OS X Server utilise le format d’historique
Apache standard, afin que vous puissiez utiliser un outil d’analyse d’historique tiers pour
interpréter les données de l’historique.
Pour afficher les historiques, procédez de la manière suivante :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Historiques, puis choisissez un historique d’erreurs ou d’accès en le sélectionnant dans la liste.
Pour rechercher des entrées spécifiques, utilisez le champ Filtre en bas à droite.
À partir de la ligne de commande
Vous pouvez aussi consulter les historiques de service web dans le dossier /Bibliothèque/
Logs/wikid/ ou /var/log/apache2/ en utilisant la commande cat ou tail dans Terminal.
Pour plus d’informations, reportez-vous au chapitre concernant le service web dans
le manuel intitulé Administration de ligne de commande.
Affichage des graphiques web
Utilisez Admin Serveur pour afficher les graphiques de service Web.
Pour afficher des graphiques web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Pour afficher les graphiques des utilisateurs connectés ou du débit, cliquez sur Graphiques.
Pour choisir quel graphique afficher et la durée correspondant au graphique des données,
utilisez les menus locaux.
5 Pour mettre à jour les données du graphique, cliquez sur le bouton Actualiser (situé
sous la liste Serveurs).Chapitre 2 Utilisation du service web 33
Arrêt du service web
Utilisez Admin Serveur pour arrêter le service web. Cela déconnecte tous les utilisateurs ;
les utilisateurs connectés risquent alors de perdre les modifications non enregistrées dans
les fichiers ouverts.
Pour arrêter le service web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Arrêter Web (sous la liste Serveurs).
À partir de la ligne de commande
Vous pouvez aussi arrêter un service Web immédiatement via la commande serveradmin
dans Terminal. Pour plus d’informations, reportez-vous au chapitre concernant les services
web dans le manuel intitulé Administration de ligne de commande.
Réglage des performances
Vous pouvez limiter la durée de connexion des utilisateurs au serveur. Vous pouvez
aussi indiquer le nombre de connexions simultanées aux sites web du serveur.
Réglage du nombre de connexions simultanées pour le serveur web
Vous pouvez spécifier le nombre de connexions simultanées à votre serveur web.
Quand le nombre maximal de connexions est atteint, les nouvelles demandes reçoivent un message indiquant que le serveur est occupé.
Les connexions simultanées sont des connexions clientes HTTP simultanées. Les navigateurs demandent souvent plusieurs parties d’une page web à la fois et chaque demande
crée une connexion. Par conséquent, un nombre élevé de connexions simultanées peut
être atteint si le site comprend des pages dotées de plusieurs éléments et si un grand
nombre d’utilisateurs essaient d’accéder au serveur en même temps.
Pour spécifier le nombre maximal de connexions à votre serveur web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Général.
5 Saisissez un nombre dans le champ « Maximum de connexions simultanées ».34 Chapitre 2Utilisation du service web
La plage de valeurs admises pour le nombre maximal de connexions simultanées
va de 1 à 1024. La valeur par défaut est 500, mais vous pouvez choisir un nombre
plus élevé ou plus faible, selon le niveau de performances souhaité pour votre serveur.
6 Saisissez la durée en secondes du délai de déconnexion.
La valeur par défaut est 300 secondes.
Il s’agit du temps écoulé avant qu’une connexion à votre serveur web ne dépasse la
durée d’inactivité autorisée. Cette inactivité se produit quand un utilisateur consulte
des pages web mais n’interagit pas avec le site.
7 Saisissez le nombre minimal et maximal de serveurs de réserve.
Les réglages de serveur de réserve régulent la création de processus de serveur
de réserve inactifs.
Pour le nombre maximal de serveurs de réserve, si le nombre de serveurs de réserve
inactifs dépasse le nombre maximal spécifié, le serveur arrête d’ajouter des serveurs
de réserve au-delà de la limite maximale.
Pour le nombre minimal de serveurs de réserve, si le nombre de serveurs de réserve
est inférieur au nombre minimal requis, le serveur en ajoute un par seconde.
8 Saisissez le nombre de serveurs à démarrer.
Il s’agit du nombre de serveurs de réserve créés au démarrage.
9 Cliquez sur Enregistrer.
Réglage du nombre de connexions persistantes pour le serveur web
Vous pouvez configurer votre serveur web afin qu’il réponde à plusieurs demandes
d’un ordinateur client sans fermer la connexion à chaque fois. L’ouverture et la fermeture répétées des connexions est inefficace et réduit les performances.
La plupart des navigateurs demandent une connexion persistante au serveur et ce dernier laisse la connexion ouverte jusqu’à ce que le navigateur la ferme. Cela signifie que
la connexion utilisée par le navigateur demeure ouverte même si aucune information
n’est transférée. Dans la documentation Apache, les connexions persistantes sont appelées connexions « Keep-Alive ».
Vous pouvez autoriser un plus grand nombre de connexions persistantes (et ainsi
éviter de devoir envoyer aux autres utilisateurs un message signalant que le serveur
est occupé), en augmentant le nombre de connexions persistantes autorisées.
Important :les connexions persistantes ne sont pas compatibles avec le cache
performances.Chapitre 2 Utilisation du service web 35
Pour définir le nombre de connexions persistantes :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Général.
5 Sélectionnez « Autoriser les connexions persistantes » si ce n’est pas déjà fait.
6 Saisissez un nombre dans le champ « Maximum de connexions persistantes ».
La plage de valeurs admises pour le nombre maximal de connexions persistantes
va de 1 à 2048.
7 Cliquez sur Enregistrer.
Le service web redémarre quand vous enregistrez les modifications.
Définition d’un délai de déconnexion
Vous pouvez spécifier un délai au-delà duquel le serveur peut fermer une connexion inactive.
Pour définir le délai de déconnexion :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Général.
5 Dans le champ « Délai d’attente de connexion persistante », saisissez un nombre indiquant la durée autorisée entre les demandes avant que la session soit déconnectée
par le serveur web.
La plage de valeurs du délai va de 0 à 9999 secondes.
6 Cliquez sur Enregistrer.3
37
3 Création et gestion de sites web
Ce chapitre explique comment créer et gérer des sites web
hébergés sur un serveur web.
Une fois que le service web est configuré et que le serveur web est en service, vous
pouvez créer des sites web. Pour créer et modifier des sites web sur le serveur, utilisez
l’application Admin Serveur. La création d’un site web détermine la structure utilisée
pour fournir du contenu web sous différents formats.
Vue d’ensemble de la configuration d’un site web
Voici une vue d’ensemble des étapes élémentaires permettant de configurer un site web.
Étape 1 :Configuration du serveur web
La configuration par défaut convient à la plupart des serveurs web hébergeant un seul
site, mais vous pouvez configurer toutes les fonctions de base du service et des sites
web à l’aide de l’application Admin Serveur. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 2,
« Utilisation du service web ».
Pour des options de configuration plus avancées, consultez le chapitre 6, « Utilisation
de WebObjects et d’applications open source ».
Pour héberger des sites web d’utilisateurs, vous devez en configurer au moins un.
Étape 2 :Configuration du dossier web
Lors de l’installation du logiciel serveur, un dossier situé dans le répertoire /Bibliothèque/
WebServer/Documents/ est créé dans le système de fichiers. Placez dans ce dossier tous
les éléments que vous souhaitez mettre à disposition via un site web. Vous pouvez organiser vos données en créant des sous-dossiers à l’intérieur du dossier web. Il est généralement recommandé de procéder de cette manière si vous créez d’autres hôtes virtuels.
En outre, chaque utilisateur enregistré dispose d’un dossier Sites à l’intérieur de son dossier de départ. Les images et les pages HTML stockées dans le dossier Sites de l’utilisateur
proviennent de l’adresse http://serveur.exemple.com/~nom_utilisateur/.
Pour en savoir plus, consultez la section « Configuration du dossier web » à la page 40.38 Chapitre 3Création et gestion de sites web
Étape 3 :Attribution d’autorisations pour un site web
Les processus Apache qui fournissent des pages web doivent disposer d’un accès
en lecture pour les fichiers et d’un accès en écriture/exécution pour les dossiers.
(Dans le cas d’un dossier, les droits d’exécution impliquent la possibilité de lire les noms
des fichiers et des dossiers contenus dans ce dossier.)
Ces processus Apache s’exécutent en tant qu’utilisateur www, un utilisateur spécial créé
pour Apache lors de l’installation de Mac OS X Server. L’utilisateur www est membre du
groupe www, ce qui signifie que pour que les processus Apache puissent accéder au
contenu du site web, les fichiers et dossiers doivent pouvoir être lus par l’utilisateur www.
Vous devez au minimum attribuer au groupe www l’accès en lecture seule aux fichiers
de votre site web, de façon à ce qu’il puisse transférer ces fichiers aux navigateurs lorsque des utilisateurs se connectent au site. Cela s’applique également à tous les dossiers
parents. Autrement dit, le dossier dans lequel figure votre contenu web, le dossier parent
contenant ce dossier, et ainsi de suite, doivent pouvoir être lus et consultés par l’utilisateur ou le groupe www.
Pour ce faire, procédez de la manière suivante :
 Attribuez des autorisations de lecture et de recherche sur ces fichiers et dossiers
à tous les utilisateurs, quels qu’ils soient et quel que soit leur groupe.
 Définissez le groupe www comme propriétaire des fichiers et des dossiers et assurezvous que ces derniers sont lisibles et interrogeables par le propriétaire.
 Définissez le groupe www comme propriétaire des fichiers et des dossiers et assurezvous que ces derniers sont lisibles et interrogeables par le groupe.
 Attribuez des autorisations de lecture et de recherche sur ces fichiers et dossiers
à tous (monde), indépendamment des réglages de propriété et de groupe. Il s’agit
de la situation par défaut.
Pour en savoir plus sur l’attribution d’autorisations, consultez le guide intitulé Administration
desservices de fichier.
Étape 4 :Création du site web
Servez-vous de l’application Admin Serveur pour créer un site web. Une fois le site créé,
configurez les réglages de l’environnement réseau et déterminez la configuration web
requise. Pour plus de détails, consultez la section « Création d’un site web » à la page 40.
Étape 5 :Définition de la page par défaut
Lorsqu’un utilisateur se connecte à votre site web, il voit la page par défaut. Quand vous
installez le logiciel pour la première fois, le fichier index.html, qui se trouve dans le dossier Documents, constitue la page par défaut. Remplacez ce fichier par la première page
de votre site web et nommez-le index.html.Chapitre 3 Création et gestion de sites web 39
Pour attribuer un nom différent au fichier, ajoutez ce nom à la liste des fichiers d’index par
défaut et placez-le en haut de la liste, dans la sous-fenêtre Général de la fenêtre des réglages
d’Admin Serveur. Pour obtenir des instructions sur la définition de noms de fichiers d’index
par défaut, consultez la section « Définition de la page web par défaut » à la page 41.
Étape 6 :(Facultatif ) Configuration des options Apache du site web
Utilisez la section Options de la sous-fenêtre Sites pour configurer les options web
d’Apache. Pour plus de détails, consultez la section « Configuration des options Apache
du site web » à la page 42.
Étape 7 :(Facultatif ) Création de royaumes pour contrôler l’accès à un site web
Vous pouvez créer un royaume afin de contrôler l’accès aux emplacements ou aux dossiers d’un site web. Utilisez la section Royaumes de la sous-fenêtre Sites pour configurer
les royaumes de votre site web. Pour plus de détails, consultez la section « Utilisation
de royaumes pour le contrôle d’accès » à la page 43.
Étape 8 :Activation de l’accès au site web et des historiques d’erreurs
Utilisez la section Journalisation de la sous-fenêtre Sites pour activer les historiques d’accès
et d’erreurs de votre site web. Pour plus de détails, consultez la section « Activation des historiques d’accès et d’erreurs pour un site web » à la page 45.
Étape 9 :(Facultatif ) Activation du protocole SSL
Utilisez la section Sécurité de la sous-fenêtre Sites, afin d’activer le protocole SSL pour
votre site web. Pour plus de détails, consultez la section « Activation du protocole SSL »
à la page 46.
Étape 10 :(Facultatif ) Création d’alias de site web et de redirections
Utilisez la section Alias de la sous-fenêtre Sites afin de configurer des alias et des redirections pour votre site web. Pour plus de détails, consultez la section « Gestion de l’accès
aux sites à l’aide d’alias » à la page 48.
Étape 11 :(Facultatif ) Configuration d’un proxy inversé
Utilisez la section Proxy de la sous-fenêtre Sites afin de configurer un proxy inversé pour
votre site web. Pour plus de détails, consultez la section « Configuration d’un proxy inversé »
à la page 50.
Étape 12 :(Facultatif ) Activation de fonctions de site web facultatives
Utilisez la section Services web de la sous-fenêtre Sites pour activer des services web
facultatifs. Pour plus de détails, consultez la section « Activation de services web facultatifs »
à la page 51.
Étape 13 :Connexion au site web
Pour vérifier si votre site web fonctionne correctement, ouvrez votre navigateur et essayez
de vous connecter au site via Internet. Si le site ne fonctionne pas correctement, consultez
le chapitre 8, « Résolution des problèmes de service web, » à la page 115.40 Chapitre 3Création et gestion de sites web
Configuration d’un site web
Les sections suivantes expliquent comment configurer un site web.
Configuration du dossier web
Pour rendre des fichiers disponibles via un site web, placez-les dans le dossier web
du site en question. Vous pouvez créer des sous-dossiers à l’intérieur de ce dossier
web afin de classer les informations. Le dossier se trouve dans le répertoire /Bibliothèque/
WebServer/Documents/.
En outre, chaque utilisateur enregistré dispose d’un dossier Sites dans son dossier
de départ. Les images et les pages HTML stockées dans ce dossier proviennent
de l’adresse http://serveur.exemple.com/~nom_utilisateur/.
Pour configurer le dossier web de votre site :
1 Ouvrez le dossier web sur le serveur web.
Par défaut, le dossier Documents se trouve dans /Bibliothèque/WebServer/Documents/.
2 Remplacez le fichier index.html par la page principale de votre site web.
Assurez-vous que le nom de votre page principale correspond au nom de document
par défaut défini dans la section Général de la sous-fenêtre Sites. Pour plus de détails,
consultez la section « Définition de la page web par défaut » à la page 41.
3 Dans le dossier web, copiez les fichiers que vous souhaitez rendre disponibles sur votre
site web.
Création d’un site web
Servez-vous de l’application Admin Serveur pour créer une structure de site web. Le contenu
du dossier web pourra ainsi être hébergé par votre serveur web. Pour pouvoir créer un site
web, vous devez produire son contenu et configurer ses dossiers.
Pour créer un site web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter un nouveau site.
5 Dans la section Général de la sous-fenêtre Sites, tapez le nom DNS complet du site
web dans le champ Nom de domaine.
Remarque :vous pouvez laisser le nom de domaine vide et utiliser l’adresse IP
« Quelconque », cela n’affectera pas le fonctionnement du site.Chapitre 3 Création et gestion de sites web 41
6 Saisissez l’adresse IP et le numéro de port du site.
Le numéro de port par défaut est 80. Si vous utilisez le protocole SSL, le numéro
de port est 443. Veillez à ne pas sélectionner un numéro de port utilisé par un autre
service sur le serveur.
Pour que votre site web puisse être activé sur le serveur, il doit posséder un nom, une
adresse IP et un numéro de port constituant une combinaison unique. Pour en savoir
plus, consultez la section « Hébergement de plusieurs sites » à la page 18.
7 Saisissez le chemin du dossier configuré pour ce site web.
Vous pouvez également cliquer sur le bouton Choisir et sélectionner le dossier à utiliser.
8 Dans le champ Document d’erreurs, indiquez la page à afficher en cas d’erreur de page web.
9 (Facultatif) Dans le champ « Adresse de l’admin. », indiquez l’adresse électronique
de l’administrateur.
Le serveur envoie les messages relatifs aux erreurs de site web à cette adresse.
10 Cliquez sur Enregistrer.
Définition de la page web par défaut
La page par défaut est affichée lorsqu’un utilisateur se connecte à votre site web
en spécifiant un nom d’hôte ou de dossier plutôt qu’un nom de fichier.
Il est possible de définir plusieurs pages par défaut (appelées fichiers d’index par défaut
dans Admin Serveur) pour un site web. Si plusieurs fichiers d’index sont répertoriés pour
un même site, le serveur web utilise le premier figurant dans le dossier web du site.
Pour définir la page web par défaut :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
5 Cliquez sur Général en dessous de la liste de sites web.
6 À droite de la liste « Fichiers d’index par défaut », cliquez sur le bouton Ajouter (+)
et saisissez un nom (sans espace).
Un fichier portant ce nom doit se trouver dans le dossier web.
AVERTISSEMENT : n’essayez pas d’accéder au serveur via les ports directs. Optez plutôt
pour un accès par proxy via Apache lors de la configuration. Admin Serveur, par exemple,
ne fournit aucun moyen direct pour configurer des wikis et renvoie l’erreur xmlrpc.
N’accédez pas au serveur de wikis sur les ports 8086 ou 8087.42 Chapitre 3Création et gestion de sites web
7 Pour définir le fichier comme page affichée par défaut par le serveur, faites-le glisser
en haut de la liste.
8 Cliquez sur Enregistrer.
Remarque :si vous prévoyez de n’utiliser qu’une seule page d’index par site, vous pouvez
conserver le fichier index.html comme fichier d’index par défaut en modifiant simplement
son contenu dans le répertoire /Bibliothèque/WebServer/Documents/.
Configuration des options Apache du site web
La page par défaut est affichée lorsqu’un utilisateur se connecte à votre site web
en spécifiant un nom d’hôte ou de dossier plutôt qu’un nom de fichier.
Pour configurer les options Apache du site web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
5 Cliquez sur Options en dessous de la liste de sites web.
6 Parmi les options Apache suivantes, sélectionnez celles requises par le site web :
Liste des dossiers : affiche la liste des dossiers lorsqu’un utilisateur spécifie l’adresse URL
et qu’il n’existe aucune page web par défaut (index.html, par exemple). Au lieu d’afficher
une page web par défaut, le serveur affiche la liste du contenu du dossier web. Les listes
de dossiers n’apparaissent que si aucun document par défaut n’est détecté.
WebDAV : active WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning), ce qui
permet aux utilisateurs de modifier des sites web sans interrompre leur fonctionnement.
Si vous activez WebDAV, vous devez également définir des autorisations d’accès pour
les sites et les dossiers web.
Exécution CGI : permet l’exécution des programmes et des scripts CGI (Common
Gateway Interface) sur votre serveur web. Les programmes et scripts CGI définissent
le mode d’interaction entre un serveur web et les programmes externes de génération
de contenu. Pour en savoir plus, consultez la section « Activation d’un script CGI (Common Gateway Interface) » à la page 55.
Server Side Includes (SSI) : permet d’évaluer sur le serveur les directives SSI placées
dans les pages web pendant que le site web est actif. Vous pouvez ajouter du contenu
généré de façon dynamique à vos pages web même si les fichiers sont en cours de
consultation par des utilisateurs. Pour en savoir plus, consultez la section « Activation
des SSI (Server Side Includes) » à la page 55.
Autoriser toutes les dérogations : indique au service web de rechercher des fichiers
de configuration supplémentaires dans le dossier web pour chaque requête.Chapitre 3 Création et gestion de sites web 43
Recherche Spotlight : permet aux navigateurs web d’effectuer des recherches dans le
contenu de votre site web. Pour obtenir des détails sur la configuration de l’indexation
d’un site web, consultez la section « Création d’index permettant d’effectuer des recherches dans le contenu d’un site web » à la page 56.
7 Cliquez sur Enregistrer.
Utilisation de royaumes pour le contrôle d’accès
Vous pouvez utiliser des royaumes pour contrôler l’accès et garantir la sécurité des emplacements ou dossiers d’un site web. Il s’agit d’emplacements associés à l’adresse URL
ou bien de fichiers figurant dans un dossier accessible par les utilisateurs.
Si WebDAV est activé, les utilisateurs disposant d’autorisations de création peuvent
également modifier le contenu du royaume. Vous devez configurer les royaumes
et spécifier quels utilisateurs et groupes y ont accès.
Lorsqu’un groupe ou un utilisateur assigné dispose d’un nombre moins important
d’autorisations que le nombre attribué à l’utilisateur Tous, cet utilisateur ou ce groupe
est supprimé lors d’une actualisation. En effet, les droits d’accès attribués à l’utilisateur
Tous sont prioritaires par rapport à ceux qui sont attribués à des utilisateurs ou groupes spécifiques disposant d’autorisations inférieures. Les autorisations les plus importantes sont toujours prioritaires.
Par conséquent, la liste des utilisateurs et groupes assignés dotés d’autorisations moins
importantes n’est pas enregistrée dans la sous-fenêtre Royaumes lors de l’actualisation
si leurs autorisations sont considérées comme inférieures à celles qui ont été attribuées
à Tous. Après l’actualisation, les noms ne figurent plus dans la liste située sur la droite
de la sous-fenêtre Royaumes. Par ailleurs, la mention « Aucun utilisateur » est affichée
pendant un cours moment à la place de « Tous ».
Pour utiliser un royaume afin de contrôler l’accès à un site web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
5 Cliquez sur Royaumes en dessous de la liste de sites web.
6 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour créer un royaume.
Le royaume constitue la partie du site à laquelle les utilisateurs peuvent accéder.
7 Dans le champ Nom de royaume, saisissez le nom du royaume.
Il s’agit du nom que les utilisateurs voient lorsqu’ils se connectent au site web.44 Chapitre 3Création et gestion de sites web
8 Dans le menu local Authentification, sélectionnez une méthode d’authentification.
L’authentification de base est activée par défaut. N’utilisez pas ce type d’authentification pour les données sensibles, car votre mot de passe est transmis en clair au serveur.
L’authentification Digest est plus sécurisée que l’authentification de base, car elle utilise
un hachage chiffré de votre mot de passe.
L’authentification Kerberos est la méthode la plus sûre : elle implémente des certificats
de serveur pour l’authentification. Si vous souhaitez appliquer l’authentification Kerberos à un royaume, vous devez relier le serveur à un domaine Kerberos.
9 Indiquez l’emplacement ou le dossier du royaume dont vous limitez l’accès :
Sélectionnez Emplacement dans le menu local et saisissez l’adresse URL pointant
vers l’emplacement du site web dont vous souhaitez restreindre l’accès.
Sélectionnez Dossier dans le menu local et saisissez le chemin du dossier dont vous
souhaitez restreindre l’accès.
Vous pouvez également cliquer sur le bouton Explorer pour accéder au dossier à utiliser.
10 Cliquez sur OK.
11 Sélectionnez le nouveau royaume et cliquez sur Ajouter (+) pour ouvrir le panneau
Utilisateurs et groupes.
Pour passer de la liste Utilisateurs à la liste Groupes (et vice versa), cliquez sur Utilisateurs
ou Groupes dans le panneau.
12 Pour ajouter des utilisateurs ou des groupes à un royaume, faites-les glisser dans la liste
située sur la droite de la sous-fenêtre Royaumes.
Lorsque les utilisateurs ou les membres d’un groupe que vous avez ajouté au royaume
se connectent au site, ils doivent indiquer leur nom d’utilisateur et leur mot de passe.
13 Pour restreindre l’accès à un royaume à des utilisateurs et groupes spécifiques, définissez les autorisations ci-dessous à l’aide des flèches vers le haut et vers le bas dans
la colonne Autorisations.
Navigation uniquement : permet aux utilisateurs ou groupes de parcourir le site web.
Navigation et lecture WebDAV : permet aux utilisateurs ou groupes de parcourir le site
web et de lire les fichiers du site à l’aide du protocole WebDAV.
Navigation et lecture/écriture WebDAV : permet aux utilisateurs ou groupes de parcourir le site web, mais également d’accéder en lecture et en écriture aux fichiers du site via
le protocole WebDAV.
Aucun : empêche les utilisateurs ou les groupes de bénéficier de la moindre autorisation.
14 Cliquez sur Enregistrer.
Pour supprimer un utilisateur ou un groupe,sélectionnez son nom et cliquez sur le bouton
Supprimer (–) dans la sous-fenêtre Royaumes.Chapitre 3 Création et gestion de sites web 45
Activation des historiques d’accès et d’erreurs pour un site web
Lorsque cette fonction est activée, le service web conserve les historiques d’accès et
d’erreurs correspondant à votre site web. Vous pouvez configurer ces historiques pour
chaque site web hébergé sur votre serveur. Cette activation risque toutefois de réduire
les performances du serveur.
L’historique des accès contient une entrée pour chaque accès au site web. Chaque
entrée précise la page affichée et l’utilisateur concerné, indique si l’accès a abouti
et fournit d’autres détails.
L’historique des erreurs contient des informations relatives aux accès ayant échoué, ainsi
que diverses informations susceptibles d’intéresser l’administrateur. Cet historique établit
un ordre de priorité entre les messages à l’aide de niveaux de gravité allant de Déboguer
à Critique. L’application Admin Serveur peut limiter les messages consignés en fonction
de leur niveau de gravité. Par défaut, les messages sont consignés avec le seuil de niveau
Avertissement.
Outre les historiques propres à chaque site, il existe un historique d’accès et un historique
d’erreurs pour le processus wikid, dans lesquels sont consignés les éléments relatifs aux wikis.
Pour finir, si vous avez effectué une mise à niveau de Mac OS X Server 10.3 ou 10.4
vers Mac OS X Server 10.5 et remplacé le mode Apache 1 par Apache 2, un historique
de migration du service web est créé, dans lequel figurent les détails des opérations
effectuées par le script de conversion Apache 1.3 -> 2.2.
Pour activer les historiques d’accès et d’erreurs pour un site web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
5 Cliquez sur Journalisation en dessous de la liste de sites web.
6 Sélectionnez « Activer l’historique des accès » pour activer l’historique correspondant.
7 Définissez la fréquence à laquelle vous souhaitez que l’historique des accès soit archivé
en cochant la case « Archiver tous les __ jours » et en tapant le nombre de jours voulu.
8 Dans le champ Emplacement, indiquez le chemin du dossier dans lequel vous souhaitez stocker les historiques d’accès.
Si vous utilisez plusieurs sites web, vous pouvez nommer des historiques distincts pour chacun d’eux. Afin de les reconnaître plus facilement, vous pouvez inclure le nom de domaine
du site dans le nom de l’historique. Si vous n’avez que deux sites web, il est préférable d’utiliser un seul historique (en conservant le nom par défaut utilisé par le serveur).46 Chapitre 3Création et gestion de sites web
Vous pouvez également cliquer sur le bouton Explorer pour accéder au dossier à utiliser.
Si vous administrez un serveur distant, le service de fichiers doit être en cours d’exécution sur ce dernier pour que le bouton Explorer soit disponible.
9 Dans le menu local Format, sélectionnez un format d’historique.
10 Si nécessaire, modifiez la chaîne de format.
Remarque :le bouton Aide situé en regard de la chaîne de format permet d’ouvrir la page
web de documentation Apache (http://httpd.apache.org/docs/mod/mod_log_config.html),
dans laquelle sont expliqués les paramètres des chaînes de format.
11 Définissez la fréquence à laquelle vous souhaitez que l’historique des erreurs soit archivé
en cochant la case « Archiver tous les __ jours » et en tapant le nombre de jours voulu.
12 Dans le champ « Emplacement du fichier d’erreurs », indiquez le chemin du dossier
dans lequel vous souhaitez stocker les historiques d’erreurs.
Vous pouvez également cliquer sur le bouton Explorer pour accéder au dossier à utiliser.
13 Sélectionnez un niveau d’erreur dans le menu local Niveau, afin de déterminer le niveau
de priorité entraînant une journalisation des messages d’erreur.
14 Cliquez sur Enregistrer.
Activation du protocole SSL
Le protocole SSL (Secure Sockets Layer) garantit la sécurité d’un site et de ses utilisateurs en authentifiant le serveur, en chiffrant les informations et en assurant l’intégrité
des messages.
Le protocole SSL est un réglage propre à chaque site qui vous permet d’envoyer des
données authentifiées et chiffrées sur Internet. Vous pouvez, par exemple, utiliser ce
protocole pour protéger les informations transitant sur votre site web si vous décidez
d’autoriser les transactions par carte de crédit.
La couche SSL se trouve en dessous des protocoles d’application (HTTP par exemple) et audessus du protocole TCP/IP. Cela signifie que lorsque le protocole SSL est actif sur le serveur
et sur l’ordinateur client, toutes les informations sont chiffrées avant d’être envoyées.
Le serveur web Apache de Mac OS X Server utilise une combinaison comprenant une clé
publique et une clé privée pour protéger les informations. Les navigateurs chiffrent les informations à l’aide d’une clé publique fournie par le serveur. Seul ce serveur possède la clé privée capable de déchiffrer ces informations.
Le serveur web prend en charge les protocoles SSLv2, SSLv3 et TLSv1. Pour en savoir
plus sur ces versions de protocoles, consultez le site www.modssl.org.
Lorsque le protocole SSL est implémenté sur un serveur, les navigateur s’y connectent en
utilisant le préfixe https plutôt que http dans l’adresse URL. Le « s » indique que le serveur
est sécurisé.Chapitre 3 Création et gestion de sites web 47
Lorsqu’un navigateur tente d’établir une connexion avec un serveur protégé par SSL,
il se connecte à un port spécifique (443) et envoie un message décrivant les codes
de chiffrement qu’il reconnaît. Le serveur répond avec son code le plus fort et continue
d’échanger des messages avec le navigateur jusqu’à ce qu’il identifie le code le plus fort
que lui-même et le navigateur sont capables de reconnaître.
Le serveur envoie alors son certificat (de type ISO X.509) au navigateur. Ce certificat
identifie le serveur et s’en sert pour créer une clé de chiffrement utilisable par le navigateur. Une connexion sécurisée est alors établie et le navigateur et le serveur peuvent
échanger des informations chiffrées.
L’activation de la protection SSL sur un site web requiert l’obtention préalable des certificats appropriés. Pour obtenir des informations détaillées sur les certificats et leur gestion,
consultez la section Administration du serveur.
Pour configurer le protocole SSL sur un site web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
5 Cliquez sur Sécurité en dessous de la liste de sites web.
6 Dans la sous-fenêtre Sécurité, sélectionnez l’option Activer SSL (Secure Sockets Layer).
Lorsque vous activez SSL, un message s’affiche pour signaler que le port 443 est désormais utilisé.
7 Dans le menu local Certificat, sélectionnez le certificat souhaité.
S’il s’agit d’un certificat protégé par une phrase clé, son nom doit correspondre à celui
de l’hôte virtuel. Si les noms ne sont pas identiques, le service web ne démarre pas.
8 Si vous sélectionnez l’option « Config. personnalisée » ou que vous souhaitez modifier
un certificat, vous devrez probablement effectuer les opérations suivantes :
a Cliquez sur le bouton Modifier (/) et saisissez les informations appropriées dans chaque
champ du certificat.
b Si l’autorité de certificat vous a envoyé un fichier ca.crt, cliquez sur le bouton Modifier (/) et collez le texte de ce fichier dans le champ « Fichier d’autorité de certificat ».
Remarque :le fichier ca.crt peut être obligatoire, mais il ne vous est pas forcément
envoyé directement. Il doit être disponible sur le site web de l’autorité de certificat.
c Dans le champ « Phrase secrète de la clé privée »,saisissez une phrase clé et cliquez sur OK.
9 Cliquez sur Enregistrer.48 Chapitre 3Création et gestion de sites web
10 Confirmez que vous souhaitez redémarrer le service web.
Admin Serveur vous permet d’activer le protocole SSL avec ou sans enregistrement de
la phrase clé SSL. Si vous n’avez pas enregistré la phrase clé avec les données de certificat SSL, le serveur vous la demande à chaque redémarrage, mais il n’accepte toutefois
pas les phrases tapées manuellement. Utilisez la sous-fenêtre Sécurité correspondant
au site dans Admin Serveur pour enregistrer la phrase clé avec les données de certificat SSL. Pour en savoir plus, consultez la section « Utilisation d’une phrase clé avec
des certificats SSL » à la page 57.
Gestion de l’accès aux sites à l’aide d’alias
Il est possible de gérer l’accès aux sites web au moyen d’alias et de commandes de redirection. Un alias est un nom de rechange attribué à un site web, qui permet notamment
de simplifier le nom à taper pour se connecter au site. Un même site peut être associé
à plusieurs alias.
Ainsi, pour un hôte nommé exemple.com, vous pouvez fournir un alias de serveur
appelé www.exemple.com.
La section Alias de la sous-fenêtre Sites de l’application Admin Serveur combine deux
types d’alias.
 Dans la partie supérieure sont regroupés les alias de serveur web qui constituent
un nom de rechange pour le site web ou l’hôte virtuel.
 La partie inférieure du panneau est réservée aux commandes de redirection et aux alias
d’URL, qui sont beaucoup plus spécifiques.
Par défaut, le panneau Alias de sites contient une directive de type Alias de serveur web *
(caractère générique). Pour effectuer un hébergement virtuel basé sur les noms,supprimez le caractère générique. Si vous ne le faites pas, les navigateurs qui tentent d’accéder
à vos hôtes virtuels accéderont à chaque fois à l’hôte par défaut.
Remarque :les alias de site web et les hôtes virtuels doivent correspondre à des noms
DNS et être convertis en adresse IP du site web.
Une commande de redirection spécifie que, lorsqu’un utilisateur demande un fichier
ou un dossier spécifique sur un site, son navigateur est renvoyé vers un autre emplacement défini par vous-même.
Vous pouvez par exemple configurer une redirection fonctionnant de telle sorte que si
l’utilisateur tape une URL du type www.exemple.com/images/bateaux.jpg et que le site
possède un dossier d’images contenant le fichier bateaux.jpg, le navigateur est renvoyé
vers la page www.apple.com.Chapitre 3 Création et gestion de sites web 49
Par défaut, le panneau Alias de sites répertorie les redirections suivantes :
 /collaboration : permet de fournir les codes CSS requis par les pages de blog et
de wiki Apple, ainsi que le fichier index.html par défaut et les affichages Spotlight.
 /icons/ : permet de renvoyer les navigateurs vers la collection standard d’icônes fournies
avec Apache.
 /error/ :permet de renvoyer les navigateurs vers la collection standard de pages d’erreurs
fournies avec Apache.
Les exemples ci-dessous présentent les alias et les redirections.
Des informations complémentaires et d’autres exemples d’alias et de redirections sont
disponibles sur le site http://httpd.apache.org/docs/mod/mod_alias.html.
Pour créer ou modifier les alias auxquels le site répond :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
5 Cliquez sur Alias en dessous de la liste de sites web.
Type Motif Chemin Description
Alias /images /Volumes/Data/imgs Si vous effectuez une modification
au niveau du système de fichiers, mais
que vous ne souhaitez pas mettre à jour
toutes les URL d’image dans vos fichiers
HTML, cet alias indique à l’adresse
www.exemple.com/images/bateau.jpg
de récupérer le fichier dans le dossier
/Volumes/Data/imgs/bateau.jpg.
Correspondance
d’alias
^/(.*)\.gif /Bibliothèque/WebServer/Documents/
gifs$1.jpg
Si vous stockez tous les fichiers gif dans
un dossier spécifique, mais que ceux-ci
doivent être référencés depuis la racine
du serveur web, cet élément indique à
l’alias www.exemple.com/logo.gif d’utiliser le fichier /Bibliothèque/WebServer/
Documents/gifs/logo.gif.
Redirection /webstore https://secure.exemple.com/webstore
Cet élément redirige toutes les requêtes
relatives au magasin web vers le serveur
sécurisé.
Correspondance
de redirection
(.*)\.jpg http://imageserver.exemple.com$1.jpg
Si vous hébergez du contenu statique
(tel que des images) sur un nouveau
serveur, cet élément redirige toutes
les requêtes relatives aux fichiers se terminant par .jpg vers cet autre serveur.50 Chapitre 3Création et gestion de sites web
6 Pour créer des alias, cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste « Alias de serveur web »
ou bien sélectionnez un alias et cliquez sur le bouton Modifier.
7 Dans le champ Alias du serveur, saisissez un alias, puis cliquez sur OK.
8 Pour créer une redirection, cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste « Alias et redirections d’URL » ou bien sélectionnez une redirection et cliquez sur le bouton Modifier (/).
9 Choisissez l’une des options ci-dessous dans le menu local Type.
Alias : associe le terme de l’URL à un emplacement du système de fichiers.
Correspondance d’alias : associe un motif d’expression rationnelle de chemin
à un emplacement du système de fichiers.
Redirection : associe un terme de l’URL à rediriger à un autre serveur.
Correspondance de redirection : associe un motif d’expression rationnelle de chemin
à rediriger à un autre serveur.
10 Dans le champ Motif, saisissez le motif de l’alias ou de la redirection.
Il s’agit de l’entrée de motif provenant de l’URL entrante.
11 Dans le champ Chemin,saisissez le chemin de l’alias ou de la redirection, puis cliquez sur OK.
Il s’agit de la redirection ou du chemin d’accès qui est renvoyé au demandeur.
12 Cliquez sur Enregistrer.
Configuration d’un proxy inversé
Pour configurer un proxy inversé, utilisez la section Proxy de la sous-fenêtre Sites
d’Admin Serveur. Un proxy inversé est différent d’un proxy direct, car il apparaît comme
un serveur web normal pour les ordinateurs clients. Ces derniers envoient leurs requê-
tes au serveur web. Le proxy inversé détermine alors l’emplacement vers lequel il doit
envoyer les requêtes et renvoie le contenu web comme s’il était le serveur web. Il n’est
pas nécessaire de modifier la configuration des ordinateurs clients pour qu’ils utilisent
un proxy inversé.
Vous pouvez utiliser un proxy inversé pour permettre aux internautes d’accéder à un
serveur situé derrière un coupe-feu. Un proxy inversé permet également d’équilibrer
le trafic réseau entre plusieurs serveurs back-end ou de fournir une mise en cache pour
un serveur back-end plus lent. Les administrateurs peuvent également utiliser un proxy
inversé pour regrouper plusieurs serveurs au sein du même espace URL.
Mac OS X Server 10.5 fournit à la fois un proxy direct et un proxy inversé. Le proxy direct est
configuré dans la sous-fenêtre Réglages du service web. Pour en savoir plus sur la configuration d’un proxy direct, consultez la section « Configuration des réglages Proxy » à la page 27.
Pour activer un proxy inversé :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.Chapitre 3 Création et gestion de sites web 51
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
5 Cliquez sur Proxy en dessous de la liste de sites web.
6 Cochez la case « Activer le proxy inversé ».
7 Dans le champ « Chemin d’accès au proxy », saisissez le chemin du proxy.
8 Dans le champ « Identifiant de session permanent », saisissez un identifiant de session
permanent ou sélectionnez-en un dans le menu local.
Un identifiant de session permanent permet de lier un utilisateur visitant votre site au
serveur sur lequel la session a été ouverte. Ainsi, les utilisateurs qui consultent un site
web pris en charge par plusieurs serveurs web restent connectés au serveur sur lequel
ils ont débuté leur session.
9 Pour ajouter des membres compensateurs, cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste
Membres compensateurs, tapez une URL de serveur (URL travailleur), définissez sa route
et son facteur de charge, puis cliquez sur OK.
Un membre compensateur est un serveur (désigné par son URL travailleur) qui partage
le trafic réseau généré par les sessions de site web. Plusieurs compensateurs partagent
le trafic des sites web en liant et en acheminant une charge prédéterminée vers chaque serveur. Cela permet, d’une part, d’éviter que le trafic web ne submerge un seul
serveur et, d’autre part, d’améliorer les performances.
La route de l’URL travailleur correspond à une valeur ajoutée à l’identifiant de session
permanent.
Le facteur de charge correspond à un nombre compris entre 1 et 100 définissant la charge
que le travailleur est capable de traiter.
10 Ajoutez autant de membres compensateurs que nécessaire, en fonction des exigences
de votre réseau.
11 Cliquez sur Enregistrer.
Activation de services web facultatifs
Vous pouvez activer des services web supplémentaires tels que des wikis, des blogs
ou un service webmail.
Pour activer des services web facultatifs :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.52 Chapitre 3Création et gestion de sites web
5 Cliquez sur Services web en dessous de la liste de sites web.
6 Cochez la case WebMail pour activer le service WebMail sur votre site web.
Ce service fournit à chaque utilisateur du site web des fonctions de messagerie
électronique. Pour en savoir plus sur la configuration de WebMail, consultez la section
« Configuration de WebMail » à la page 85.
7 Cochez la case Blog pour activer les blogs sur votre site web.
Un blog est un journal chronologique publié sur le site web et mis à jour à l’aide
du contenu ajouté par les utilisateurs. Pour en savoir plus, consultez la section
« Configuration de blogs d’utilisateurs et de groupes » à la page 81.
8 Cochez la case Wiki pour activer les fonctionnalités de site web de groupe.
Ces fonctionnalités permettent aux groupes de créer et de diffuser des informations
sur leurs propres sites web partagés. Pour plus de détails, consultez la section
« Configuration d’un wiki » à la page 68.
9 Cochez la case Calendrier web pour ajouter une fonctionnalité de calendrier à votre site
web.
Les utilisateurs peuvent accéder au calendrier d’un groupe pour se tenir informés
des réunions prévues et des échéances à respecter.
Pour plus de détails, consultez la section « Configuration d’un calendrier web » à la page 77.
10 Cochez la case « Archive web de la liste d’envoi » pour ajouter la fonctionnalité de liste
d’envoi à votre site web.
Une liste d’envoi est un groupe de discussion qui utilise la messagerie de masse pour
faciliter les communications. Pour plus de détails, consultez la section « Configuration
d’archives web de liste d’envoi » à la page 87.
11 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste Utilisateurs/Groupe pour ajouter
des utilisateurs et des groupes, qui créeront ensuite des wikis sur votre site.
Cochez la case Modérateur pour chaque utilisateur ou groupe que vous souhaitez
nommer comme modérateur.
Si la liste est vide, tous les utilisateurs peuvent créer des wikis.
12 Cliquez sur Enregistrer.
Connexion au site web
Une fois votre site web configuré, ouvrez-le dans un navigateur web pour vérifier
sque tout s’affiche correctement.
Pour vous connecter à votre site web :
1 Ouvrez un navigateur web et saisissez l’adresse web de votre serveur.
Vous pouvez utiliser l’adresse IP ou le nom DNS du serveur. Si le protocole SSL est activé,
tapez « https » au lieu de « http » dans l’URL.Chapitre 3 Création et gestion de sites web 53
2 Si vous n’utilisez pas le port par défaut, indiquez le numéro de port approprié.
3 Si vous avez restreint l’accès à des utilisateurs spécifiques, saisissez un nom d’utilisateur
et un mot de passe valides.
4 Vérifiez que la page d’index par défaut du site web s’affiche.
Gestion de site web
Cette rubrique décrit les tâches courantes à effectuer une fois le site web créé sur le serveur.
Vous trouverez les informations relatives à la configuration initiale du site web à la section
« Configuration d’un site web » à la page 40.
Affichage des réglages du site web
Vous pouvez utiliser la sous-fenêtre Sites de l’application Admin Serveur pour consulter la liste de vos sites web. La sous-fenêtre Sites répertorie les informations de configuration de chaque site, notamment :
 l’état du site (activé ou non),
 le nom DNS et l’adresse IP du site,
 le port utilisé par le site.
Pour afficher les réglages d’un site web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
Vous pouvez consulter ou modifier les réglages d’un site en le sélectionnant dans la liste
de la sous-fenêtre Sites et en cliquant sur un réglage.
AVERTISSEMENT : n’essayez pas d’accéder au serveur via les ports directs. Optez plutôt
pour un accès par proxy via Apache lors de la configuration. Admin Serveur, par exemple,
ne fournit aucun moyen direct pour configurer des wikis et renvoie l’erreur xmlrpc.
N’accédez pas au serveur de wikis sur les ports 8086 ou 8087.54 Chapitre 3Création et gestion de sites web
Modification du dossier web d’un site
Le dossier web est utilisé comme racine du site (il est appelé DocumentRoot dans Apache).
Autrement dit, le dossier par défaut constitue le niveau le plus élevé de la structure
du système de fichiers d’un site.
Pour modifier le dossier web d’un site hébergé sur votre serveur :
1 Connectez-vous au serveur à administrer.
Vous devez avoir accès au système de fichiers du serveur.
2 Faites glisser le contenu de l’ancien dossier web dans le nouveau.
3 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
4 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
5 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
6 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
7 Dans la sous-fenêtre Général du site web,saisissez le chemin du dossier web dans le champ
Dossier web ou bien cliquez sur le bouton Explorer pour accéder à l’emplacement du nouveau dossier.
8 Cliquez sur Enregistrer.
Modification du port d’accès d’un site web
Par défaut, le serveur utilise le port 80 pour les connexions aux sites web de votre serveur.
Il est parfois nécessaire de changer le port utilisé par un site web particulier (par exemple,
si vous souhaitez configurer un serveur de diffusion en continu sur le port 80).
Veillez à ce que le numéro que vous sélectionnez n’entre pas en conflit avec les ports
utilisés sur le serveur (pour FTP, le service de fichiers Apple, SMTP, etc.). Si vous changez
le numéro de port d’un site web, vous devez modifier toutes les adresses URL qui pointent sur le serveur web de façon à inclure le numéro de port choisi.
Remarque :si vous activez SSL sur un site, celui-ci adopte automatiquement le port 443.
Si vous désactivez SSL, le port 80 est utilisé, quels que soient les ports précédemment
utilisés. Un message s’affiche à l’écran pour vous avertir de ce changement de port lorsque vous désactivez SSL.
Pour définir le port d’un site web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.Chapitre 3 Création et gestion de sites web 55
5 Dans la sous-fenêtre Général, tapez le numéro de port dans le champ Port.
6 Cliquez sur Enregistrer.
Activation d’un script CGI (Common Gateway Interface)
Les scripts (ou programmes CGI) transfèrent des informations entre votre site web et diverses applications fournissant des services sur le site.
Si un script CGI est réservé à un site spécifique, installez l’interface CGI dans le dossier
Documents associé au site. Le nom CGI doit porter l’extension .cgi.
Si un script CGI est destiné à tous les sites du serveur, installez-le dans le dossier /Bibliothè-
que/WebServer/CGI-Executable.Dans ce cas, les clients doivent ajouter /cgi-bin/ à l’adresse
URL du site (par exemple, http://www.exemple.com/cgi-bin/test.cgi).
Assurez-vous que les autorisations de fichier du script CGI permettent l’exécution de ce
dernier par l’utilisateur www. Comme le script n’appartient généralement pas à l’utilisateur www, l’utilisateur Tous doit pouvoir l’exécuter.
Pour activer une interface CGI sur un site :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
5 Dans la sous-fenêtre Options, sélectionnez Exécution CGI.
6 Cliquez sur Enregistrer.
Remarque :la désactivation des CGI d’un site ne désactive pas les CGI figurant dans
le dossier CGI-Executables.
Activation des SSI (Server Side Includes)
L’activation des SSI (Server Side Includes) permet à plusieurs pages web de votre site
de partager un bloc de code HTML ou d’autres informations. Les SSI peuvent également
fonctionner comme des CGI et exécuter des commandes ou des scripts sur le serveur.
Pour activer les SSI dans Admin Serveur :
1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité.
2 Cliquez sur Sites dans la barre de boutons.
AVERTISSEMENT : n’essayez pas d’accéder au serveur via les ports directs. Optez plutôt
pour un accès par proxy via Apache lors de la configuration. Admin Serveur, par exemple,
ne fournit aucun moyen direct pour configurer des wikis et renvoie l’erreur xmlrpc.
N’accédez pas au serveur de wikis sur les ports 8086 ou 8087.56 Chapitre 3Création et gestion de sites web
3 Dans la sous-fenêtre Sites, sélectionnez le site dans la liste.
4 Dans la sous-fenêtre Options, sélectionnez « Server Side Includes (SSI) ».
5 Cliquez sur Enregistrer.
Création d’index permettant d’effectuer des recherches dans le contenu
d’un site web
Utilisez la section Options de la sous-fenêtre Sites d’Admin Serveur pour activer la recherche Spotlight sur votre site web. Le module Apache mod_spotlight_apple Apache est ainsi
activé, ce qui permet aux navigateurs d’effectuer leurs recherches en consultant un index
du contenu de votre site.
Le mécanisme d’indexation de Spotlight est désactivé par défaut sous Mac OS X Server
10.5. La fonction de recherche Spotlight demeure disponible, mais vous devez activer
l’indexation pour que le service web bénéficie des fonctionnalités de recherche basées
sur Spotlight.
Pour créer un index pour votre site web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
5 Dans la sous-fenêtre Options, cochez la case Recherche Spotlight.
Le module mod_spotlight est alors activé et les processus Spotlight créent un index
pour le dossier DocumentRoot du site web. Quelques minutes après avoir activé pour
la première fois l’indexation, l’index est disponible et la recherche possible.
6 Cliquez sur Enregistrer.
7 Copiez le fichier template.spotlight du répertoire /Bibliothèque/WebServer/Document
dans le dossier DocumentRoot de chaque hôte virtuel sur lequel vous souhaitez activer
la recherche Spotlight.
Vous pouvez personnaliser le titre, le nombre maximal de résultats affichés, ainsi
que d’autres aspects de la présentation en modifiant un exemplaire de ce fichier.
8 Indiquez à vos clients qu’ils doivent ajouter la mention « .spotlight » à l’URL des sites web.
Exemple d’URL : httpd://vhost1.exemple.com/.spotlight. Une page de recherche simple
est alors proposée ; elle permet d’effectuer des recherches dans le contenu du dossier
DocumentRoot du site web. Les résultats sont triés par ordre de pertinence (même si
aucun pourcentage n’est indiqué).Chapitre 3 Création et gestion de sites web 57
Contrôle de l’activité d’un site web
Les historiques du site web permettent de contrôler son activité et les événements
du serveur. Les historiques peuvent être configurés pour enregistrer les événements sous
forme de messages correspondant à une activité de site web particulière. Ils permettent
d’assurer le suivi des utilisateurs ayant accédé à un site et des erreurs survenues sur le site.
Ces informations sont particulièrement utiles pour résoudre des problèmes ou détecter
des activités nuisibles.
Pour en savoir plus sur la configuration des historiques, consultez la section « Activation
des historiques d’accès et d’erreurs pour un site web » à la page 45.
Pour afficher les historiques d’un site web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Historiques, puis sélectionnez l’historique de votre site web dans la liste.
Les messages d’historique enregistrés s’affichent sous la liste des historiques.
Passez d’un historique à un autre en sélectionnant l’élément souhaité dans la liste.
5 Pour faire une recherche dans un historique,saisissez un terme à rechercher dans le champ
Filtre situé dans l’angle inférieur droit,sous l’historique.
Utilisation d’une phrase clé avec des certificats SSL
Si vous gérez des certificats SSL à l’aide d’Admin Serveur et que vous les associez
à une phrase clé, Admin Serveur s’assure que la phrase clé est stockée dans le trousseau
du système.
Lorsqu’un site web est configuré pour utiliser un certificat et que le serveur web est
en service, l’utilitaire getsslpassphrase(8) extrait la phrase clé du trousseau et la transmet
au serveur web, à condition que le nom du certificat corresponde à celui de l’hôte virtuel.
(Si vous ne souhaitez pas faire appel à ce mécanisme, configurez le serveur web Apache
pour qu’il vous demande la phrase clé à chaque démarrage. Servez-vous de l’outil de ligne
de commande serveradmin pour définir cette option.)
Pour configurer Apache de façon à ce qu’il demande une phrase clé au démarrage :
1 Ouvrez Terminal et saisissez la commande suivante :
$ sudo serveradmin settings web:IfModule:_array_id:mod_ssl.c:SSL
PassPhraseDialog=builtin
2 Démarrez Apache à l’aide de la commande suivante :
$ sudo serveradmin start web
3 À l’invite, saisissez la phrase clé du certificat.58 Chapitre 3Création et gestion de sites web
Utilisation de WebDAV pour gérer le contenu d’un site web
Le protocole WebDAV vous permet, à vous comme à vos utilisateurs, d’apporter des modifications aux sites web alors que ceux-ci sont en cours d’exécution. Ainsi, les utilisateurs ou
groupes peuvent gérer de façon collaborative les fichiers et les dossiers d’un site. Pour en
savoir plus sur le fonctionnement de WebDAV, consultez la section « À propos du protocole
WebDAV » à la page 19.
Utilisez le protocole WebDAV en suivant les indications des sections ci-dessous :
 « Activation de WebDAV sur des sites web » à la page 58.
 « Utilisation de WebDAV pour le partage de fichiers » à la page 59.
 « Configuration des autorisations relatives aux fichiers et aux dossiers de contenu web »
à la page 60.
Activation de WebDAV sur des sites web
Si vous activez WebDAV, vous devez également définir des autorisations d’accès pour
les sites et les dossiers web.
Pour activer WebDAV sur un site :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
5 Cliquez sur Options en dessous de la liste de sites web.
6 Cochez la case WebDAV.
Cette option active le protocole WebDAV et permet donc aux utilisateurs de modifier
des sites web alors que ceux-ci sont en cours d’exécution. Si vous activez WebDAV,
vous devez également définir des autorisations d’accès pour les sites et les dossiers web.
Remarque :si vous avez désactivé le module WebDAV dans la sous-fenêtre Modules
d’Admin Serveur, vous devez le réactiver pour qu’il prenne effet sur un site, même si
l’option WebDAV est sélectionnée dans la sous-fenêtre Options correspondant au site.
Pour en savoir plus sur l’activation des modules, consultez la section « Vue d’ensemble
des modules web Apache » à la page 107.
7 Cliquez sur Enregistrer.
Une fois le module WebDAV activé, vous pouvez utiliser des royaumes pour contrôler
l’accès au site web. Pour en savoir plus sur la configuration de royaumes, consultez
la section « Utilisation de royaumes pour le contrôle d’accès » à la page 43.Chapitre 3 Création et gestion de sites web 59
Utilisation de WebDAV pour le partage de fichiers
Le protocole WebDAV permet aux utilisateurs autorisés de se connecter à un site web
pour y partager des fichiers. La procédure ci-dessous fournit un bref exemple de configuration et de partage de fichiers à l’aide de WebDAV.
 Utilisez Admin Serveur pour activer WebDAV sur le site. Consultez la section
« Activation de WebDAV sur des sites web » à la page 58.
 Configurez des royaumes dans Admin Serveur, afin de contrôler l’accès au site.
Consultez la section « Utilisation de royaumes pour le contrôle d’accès » à la page 43.
Vous pouvez, par exemple, créer un dossier destiné aux documents partagés dans
le dossier du site web, puis attribuer à des utilisateurs spécifiques des droits de navigation et de lecture/écriture sur ce dossier.
 Indiquez aux utilisateurs autorisés comment se connecter au site à partir du client
WebDAV intégré à Mac OS X (ou Mac OS X Server).
Les utilisateurs peuvent se connecter au site web au moyen d’une application compatible WebDAV, telle que le Finder de Mac OS X, Adobe GoLive, Adobe Dreamweaver
ou Microsoft Internet Explorer.
Les navigateurs ne sont généralement pas compatibles avec WebDAV. En revanche, un navigateur peut accéder à un site compatible WebDAV et y effectuer des opérations de lecture
(dans la limite des autorisations de royaume configurées sur le serveur web), car WebDAV
est une extension du protocole HTTP.
Les opérations d’écriture ne peuvent pas être effectuées à l’aide d’un navigateur web.
Elles requièrent un client WebDAV, tel que Goliath, ou bien le client intégré au système
de fichiers Mac OS X et généralement utilisé via le Finder. Pour en savoir plus sur Goliath,
consultez le site www.webdav.org/goliath.
Pour utiliser le Finder afin de se connecter à un site web utilisant WebDAV :
1 Ouvrez le Finder.
2 Cliquez sur Aller > Se connecter au serveur.
3 Dans le champ Adresse du serveur, saisissez l’URL HTTP.
L’adresse URL permettant de se connecter est http://:/
.
4 Cliquez sur Se connecter.
Remarque :pour vous connecter à partir d’une autre plateforme, reportez-vous à la documentation propre à la plateforme concernée pour connaître le client WebDAV approprié.
Les plateformes Microsoft utilisent un dispositif d’authentification pouvant compliquer,
voire rendre impossible, le montage de volumes WebDAV à partir de Mac OS X.60 Chapitre 3Création et gestion de sites web
Configuration des autorisations relatives aux fichiers et aux dossiers
de contenu web
Vous pouvez utiliser des autorisations d’accès aux fichiers et aux dossiers pour contrôler
l’accès WebDAV au contenu du site web situé par défaut dans le répertoire /Bibliothèque/
WebServer/Documents/.
Mac OS X Server impose les contraintes suivantes sur les fichiers et les dossiers
de contenu web :
 Pour des raisons de sécurité, les fichiers et dossiers de contenu web ne doivent
pas être accessibles en écriture par l’utilisateur Tous.
 Ils appartiennent par défaut à l’utilisateur Root et au groupe Admin, ce qui les rend
modifiables par un administrateur, mais non par l’utilisateur ou le groupe www.
 Pour utiliser WebDAV, les fichiers de contenu web doivent être accessibles en lecture
et en écriture par l’utilisateur ou le groupe www et les dossiers doivent être accessibles en lecture, écriture et exécution par ce même utilisateur ou groupe.
 Si vous devez modifier des fichiers ou des dossiers de contenu web alors que vous êtes
connecté en tant qu’administrateur, ils doivent être modifiables par l’administrateur.
Pour utiliser le protocole WebDAV, vous devez l’activer dans Admin Serveur. Une fois
activé, Admin Serveur affecte le dossier WebDAV au groupe www.
Si vous utilisez WebDAV et que vous souhaitez modifier des fichiers ou des dossiers
de contenu web en étant connecté en tant qu’administrateur, vous devez régler les
autorisations associées à ces fichiers ou dossiers sur admin, apporter les modifications souhaitées, puis rétablir les autorisations en choisissant www.
Pour ajouter des sites à votre serveur web tout en utilisant WebDAV :
1 Modifiez les autorisations de groupe du dossier contenant les sites web en les réglant
sur admin.
L’emplacement par défaut du dossier est /Bibliothèque/Webserver/Documents/.
2 Ajoutez le nouveau dossier de site.
3 Modifiez les autorisations de groupe du dossier contenant vos sites web en les réglant
à nouveau sur www.
Gestion de plusieurs sites sur un seul serveur
Il est possible de créer plusieurs sites sur un même serveur web, soit à la même adresse
IP (ils sont alors également appelés hôtes virtuels), soit à des adresses IP secondaires
distinctes (on parle alors de multi-adressage).Chapitre 3 Création et gestion de sites web 61
L’appellation « hôtes virtuels » fait référence à plusieurs sites hébergés sur un même
serveur. Ces sites peuvent reposer sur un nom (de type www.exemple.com) ou bien
utiliser des adresses IP (telles que 10.201.42.73). Dans les deux cas, vous pouvez utiliser
Admin Serveur pour gérer ces sites web.
Si vous configurez plusieurs sites sur votre serveur à l’aide de la sous-fenêtre Sites d’Admin
Serveur, chacun de ces sites est considéré comme un hôte virtuel. Pour en savoir plus sur
la configuration d’un site, consultez la section « Création d’un site web » à la page 40.
Un site de type multi-adressage possède plusieurs connexions à Internet. Le multi-adressage est généralement adopté pour améliorer la fiabilité et augmenter les performances.
Ces connexions multiples peuvent transiter par le même fournisseur d’accès à Internet
ou par différents fournisseurs et impliquer une ou plusieurs adresses IP.
Utilisation d’alias pour qu’un site réponde à plusieurs noms
Si vous souhaitez qu’un site web réponde à plusieurs noms, choisissez-en un comme
nom principal et ajoutez les autres comme alias.
Pour configurer un site web de cette façon, utilisez le nom principal comme nom du
site dans Admin Serveur ; pour cela, sélectionnez le site et tapez le nom principal dans
la sous-fenêtre Général correspondante, puis ajoutez les autres noms dans la sous-fenê-
tre Alias. Pour connaître la procédure, consultez la section « Gestion de l’accès aux sites
à l’aide d’alias » à la page 48.
Par exemple, si vous voulez que votre site web réponde aux noms exemple.com,
www.exemple.com et widget.exemple.com, vous pouvez le configurer de la façon
suivante (les noms et adresses IP utilisés ne sont que des exemples) :
Nom principal : www.exemple.com (saisi dans la sous-fenêtre Général du site)
Noms secondaires : exemple.com et widget.exemple.com (saisis dans la liste Alias
de serveur web du site)
Assurez-vous que le serveur DNS relie votre adresse de serveur web aux trois noms
de domaine.
Sites web et interfaces réseau multiples
Par défaut, le serveur web est configuré avec un seul site web ou hôte virtuel générique.
Ce type de site est utile pour les raisons suivantes :
 Il répond sur toutes les interfaces réseau et toutes les adresses IP figurantsur ces interfaces.
 Il répond au nom DNS associé à l’une de ces adresses.
D’autres sites web peuvent être ajoutés à partir de la sous-fenêtre Sites d’Admin Serveur.
Dans ce cas, l’administrateur peut associer une adresse IP spécifique ou une adresse
générique à chacun de ces sites.62 Chapitre 3Création et gestion de sites web
Si le serveur web est doté de plusieurs interfaces et de plusieurs adresses, configurer
Apache pour qu’il les utilise équivaut à configurer des sites web pour qu’ils utilisent
les adresses souhaitées. Le scénario le plus simple consiste à laisser le site web générique
répondre à toutes les adresses, ce qui est le cas par défaut.
Contenu d’utilisateur sur les sites web
Le client Mac OS X dispose d’une fonctionnalité de partage web qui permet à un utilisateur de placer du contenu dans le dossier Sites de son dossier de départ et de le rendre
disponible sur le web. Mac OS X Server bénéficie également d’une capacité de service
web beaucoup plus étendue, qui peut inclure une forme de partage web personnel,
mais les divergences entre le client Mac OS X et Mac OS X Server sont très importantes.
Configuration du service web
Sous Mac OS X Server, le service web ignore par défaut les fichiers se trouvant dans
le répertoire /etc/httpd/users/ et les listes de dossiers ne sont pas activées pour les utilisateurs. Toutes les listes de dossiers du service web utilisent la directive FancyIndexing
d’Apache, qui facilite leur lecture.
Dans Admin Serveur, la section Options de la sous-fenêtre Sites dispose d’une case Liste
des dossiers pour chacun des sites référencés. Ce réglage active les listes de dossiers d’un
hôte virtuel spécifique en ajoutant un indicateur « +Indexes » à la directive Options d’Apache correspondant à l’hôte virtuel en question. Si les listes de dossiers ne sont pas explicitement activées pour chaque site (hôte virtuel), les index de fichiers ne sont pas affichés.
Les réglages propres à chaque site ne s’appliquent pas en dehors du site concerné ;
ils ne s’appliquent donc pas aux répertoires de départ. Si vous souhaitez que les utilisateurs bénéficient d’une capacité d’indexation de dossiers dans leur répertoire de départ,
vous devez ajouter les directives appropriées aux fichiers de configuration d’Apache.
Pour un utilisateur spécifique, ajoutez les directives suivantes au bloc du fichier httpd.conf :
Options Indexes MultiViews
AllowOverride None
Order allow,deny
Allow from all
Contenu par défaut
Le contenu par défaut du dossier Sites de l’utilisateur est un fichier index.html, accompagné de quelques images. Ce fichier comprend un texte décrivant la fonctionnalité Partage
web personnel du client Mac OS X. L’utilisateur doit remplacer le fichier index.html par
un fichier adapté au contenu de son dossier Sites.Chapitre 3 Création et gestion de sites web 63
Accès au contenu web
Une fois le dossier de départ créé, le contenu du dossier Sites figurant dans le dossier
de départ de l’utilisateur est visible dès que le service web est en cours d’exécution. Ainsi,
si votre serveur s’intitule « exemple.com » et que le nom abrégé de l’utilisateur est « utilref »,
le contenu du dossier Sites est disponible à l’adresse http://exemple.com/~utilref.
Si l’utilisateur est associé à plusieurs noms abrégés, l’un d’eux peut également être ajouté
après le tilde (~) pour accéder au même contenu.
Si l’utilisateur place un fichier de contenu nommé foo.html dans son dossier Sites,
ce fichier doit être disponible à l’adresse http://exemple.com/~utilref/foo.html.
Si l’utilisateur place plusieurs fichiers de contenu dans son dossier Sites et ne parvient pas
à modifier le fichier index.html pour y inclure des liens vers ces fichiers, il peut utiliser
la fonction d’indexation automatique de dossier décrite précédemment. Si le réglage
« Activer la liste de dossiers » est activé, une liste d’index des noms de fichiers est visible dans les navigateurs à l’adresse http://exemple.com/~utilref.
Les réglages d’indexation s’appliquent également aux sous-dossiers figurant dans le dossier
Sites d’un utilisateur. Si l’utilisateur place un sous-dossier de contenu nommé Exemple dans
le dossier Sites et qu’un fichier index.html figure dans ce dossier Exemple ou que l’indexation de dossier est activée pour le site de cet utilisateur, le dossier est mis à la disposition
des navigateurs à l’adresse http://exemple.com/~utilref/Exemple.
Sécurisation du contenu web sur des systèmes de fichiers insensibles
à la casse
La méthode recommandée pour servir du contenu web dont l’accès est contrôlé
au moyen de royaumes consiste à servir ce contenu à partir de volumes sensibles
à la casse, tels les volumes UFS ou HFSX, dans lesquels un dossier nommé « Protégé »
est différent d’un dossier nommé « PrOTéGé ».
Si vous utilisez HFS,système de fichiers par défaut insensible à la casse, pour servir du
contenu web dont l’accès est contrôlé, il est préférable d’utiliser des royaumes basés
sur les emplacements plutôt que sur les dossiers. Toutefois, si vous devez utiliser des
royaumes basés sur les dossiers sur un système de fichiers insensible à la casse, Apple
utilise mod_hfs_apple pour fournir un niveau de protection correspondant à ce scénario, à la fois pour Apache 1.3 et Apache 2.2.
Le format de volume HFS étendu, fréquemment utilisé pour Mac OS X Server, conserve
la casse des noms de fichiers, mais ne fait pas la distinction entre les noms de fichier, ou
de dossier, « Exemple » et « eXeMpLe ». Sans mod_hfs_apple, cette insensibilité peut poser
problème lorsque votre contenu web réside sur ce type de volume et que vous tentez
d’y restreindre entièrement ou partiellement l’accès à l’aide de royaumes de sécurité.64 Chapitre 3Création et gestion de sites web
Si vous configurez un royaume de sécurité requérant que les navigateurs utilisent un nom et
un mot de passe pour accéder en lecture seule au contenu d’un dossier nommé « Protégé »,
ces navigateurs doivent s’authentifier pour accéder aux URL suivantes :
 http://exemple.com/Protégé
 http://exemple.com/Protégé/secret
 http://exemple.com/Protégé/sECreT
Toutefois, ils peuvent contourner l’obstacle en utilisant des URL telles que :
 http://exemple.com/Protégé
 http://exemple.com/PrOTéGé/secret
 http://exemple.com/PrOTéGé/sECreT
Heureusement, le module mod_hfs_apple, qui est activé par défaut, empêche ce type
de tentative de contournement du royaume de sécurité.
Remarque :le module mod_hfs_apple s’applique aux dossiers ; il n’est pas conçu pour
empêcher l’accès aux fichiers individuels. Un fichier nommé « secret » reste accessible
sous le nom « seCREt ». Il s’agit là d’un comportement normal qui ne permet pas de
contourner les royaumes de sécurité.4
65
4 Création et gestion de wikis
et de blogs
Ce chapitre vous indique comment utiliser Admin Serveur
afin de créer et de gérer un wiki et un blog sur votre site web.
Mac OS X 10.5 permet aux groupes de collaborer et de communiquer facilement grâce
à leur propre site web intranet reposant sur un wiki et assorti d’un calendrier, de blogs
et de listes d’envoi.
Par simple glisser-déposer, les utilisateurs peuvent créer et modifier des pages de wiki,
baliser et référencer des éléments, télécharger des fichiers et des images, ajouter des
commentaires et effectuer des recherches.
Vue d’ensemble des wikis
Les wikis vous permettent de créer des sites web propres à un projet et destinés à tout
un groupe. Ces groupes peuvent alors collaborer et communiquer via des sites web intranet reposant sur un wiki et assortis d’un calendrier, d’un blog et d’une liste de diffusion.
Vous disposez d’un choix de plus de vingt thèmes intégrés, dotés de leur propre palette
de couleurs, de polices et de styles de mise en page.Vous pouvez personnaliser ces modè-
les en ajoutant votre propre bannière et un titre de barre latérale personnalisé affichant
les pages avec une balise définie par l’utilisateur lors de sa première connexion.
Une fois votre wiki configuré, il est facile d’ajouter, de supprimer et de modifier le contenu.
Aucune connaissance en syntaxe ou en langage de balisage n’est requise ; le wiki prend
totalement en charge la fonction glisser-déposer.
Vous pouvez ajouter des liens hypertexte, créer des liens entre des pages, insérer des images, joindre des fichiers et modifier la mise en page. Comme les wikis prennent en charge
les flux RSS, les membres du groupe peuvent être automatiquement informés de l’ajout
ou de la modification du contenu. Le wiki dispose d’un historique complet qui vous donne
la possibilité de revenir à tout moment à une version antérieure de votre document.66 Chapitre 4Création et gestion de wikis et de blogs
Une fois que vous avez créé un wiki sur votre site web et que vous en avez accordé l’accès
aux membres du groupe, chacun peut y apporter sa contribution. Le propriétaire et l’administrateur du groupe peuvent accorder des autorisations d’accès en lecture et en écriture.
Les utilisateurs peuvent accéder au calendrier du groupe pour consulter les dates
de réunion et les échéances importantes ou envoyer des messages à une liste d’envoi
pour informer les autres membres. La fonction de blog est idéale pour l’échange
d’idées ou de commentaires sur un projet.
À propos des pages de wiki
Voici la liste des pages de wiki accompagnées de leur description :
 Page Groupes :page qui relie tous les groupes hébergés par le site web wiki.
 Page d’accueil de wiki :page d’accueil du wiki d’un groupe. Cette page contient des
liens vers d’autres pages, un calendrier de groupe, un blog de groupe et une fonction
de recherche. Elle comprend également des liens vers les barres latérales par défaut
(par exemple, « Actualités » et « Dernières modifications »).
 Pages Document :pages créées par les membres du groupe. Elles sont reliées de
façon dynamique à d’autres pages web et sont accessibles lorsque vous effectuez
des recherches ou que vous utilisez des étiquettes.
 Pages Calendrier :pages contenant un calendrier de groupe qui utilise le service iCal
pour fournir une fonction de calendrier partagé aux membres du groupe. Pour en
savoir plus sur le service iCal, consultez le guide intitulé Administration du service iCal.
 Pages Liste d’envoi :pages servant d’archives web pour tous les messages de la liste
d’envoi d’un groupe. Pour en savoir plus sur Webmail, consultez le chapitre 5,
« Configuration et gestion de WebMail »
 Pages Blog :pages présentant le blog d’un utilisateur ou d’un groupe. Les blogs sont
créés et mis à jour au fur et à mesure que les utilisateurs ou les membres du groupe
(disposant d’autorisations d’accès en lecture et en écriture à un blog de groupe)
y ajoutent des commentaires. Pour en savoir plus sur les blogs, consultez la section « Configuration de blogs d’utilisateurs et de groupes » à la page 81.
À propos de la sécurité des wikis
Le niveau de sécurité du site web détermine le niveau de sécurité des wikis. La sécurité
des wikis est établie lorsque le site web sur lequel le wiki est configuré est sécurisé.
Voici différentes méthodes que vous pouvez utiliser pour sécuriser le transfert de données
vers et à partir de votre wiki :
 Configurez le protocole SSL pour le site web sur lequel le wiki est en service. Ce protocole permet de sécuriser un site et ses utilisateurs en authentifiant le serveur, en chiffrant
les informations et en assurant l’intégrité des messages. Pour en savoir plus, consultez
la section « Activation du protocole SSL » à la page 46.Chapitre 4 Création et gestion de wikis et de blogs 67
 Limitez le nombre d’utilisateurs et de groupes autorisés à créer des pages de wiki sur
votre site web. Pour ce faire, ajoutez les utilisateurs et les groupes à la liste des services web. Pour en savoir plus, consultez la section « Activation du service Calendrier
web pour un site web » à la page 77.
À propos de la hiérarchie des fichiers et des dossiers de wiki
Par défaut, le contenu d’un wiki est stocké dans le dossier /Bibliothèque/Collaboration/.
Vous pouvez modifier ce dossier dans la sous-fenêtre Services web de la fenêtre des
réglages de service web d’Admin Serveur.
La liste suivante présente la hiérarchie par défaut des fichiers et des dossiers de wiki.
Cette liste inclut l’emplacement de stockage des fichiers de wiki, ainsi que la structure
des dossiers destinés au contenu du wiki. Dans la liste, nom_groupe correspond au nom
du groupe, nom_page correspond au nom de la page de wiki et page désigne le nom
de la page web.
 /Bibliothèque/Collaboration/ contient tous les fichiers du wiki.
 /Bibliothèque/Collaboration/Groups/nom_groupe/ contient tous les fichiers des services d’un groupe.
 /Bibliothèque/Collaboration/Groups/nom_groupe/wiki/nom_page.page/ contient
les fichiers de composant d’une page de wiki.
 /Bibliothèque/Collaboration/Groups/nom_groupe/wiki/nom_page.page/page.html
contient le texte principal du wiki (son contenu html).
 /Bibliothèque/Collaboration/Groups/nom_groupe/wiki/nom_page.page/page.plist
contient les métadonnées de la page de wiki.
 /Bibliothèque/Collaboration/Groups/nom_groupe/wiki/nom_page.page/revisions.db
contient la base de données de l’historique des versions de la page de wiki concernée.
 /Bibliothèque/Collaboration/Groups/nom_groupe/nom_page.page/images/ contient
les images de la page de wiki concernée.
 /bibliothèque/Collaboration/Groups/nom_groupe/nom_page.page/attachments/
contient toutes les pièces jointes de la page de wiki concernée.
Vue d’ensemble de la configuration d’un wiki
Voici un aperçu des étapes élémentaires de configuration d’un wiki.
Étape 1 :Configurez votre serveur web
La configuration par défaut convient à la plupart des serveurs web hébergeant un seul
site web, mais vous pouvez utiliser Admin Serveur pour configurer toutes les fonctions
de base du service web et des sites web. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 2,
« Utilisation du service web »68 Chapitre 4Création et gestion de wikis et de blogs
Avant de créer et de configurer des wikis ou des blogs, sélectionnez les réglages
par défaut des services web. Pour plus de détails, consultez la section « Configuration
des réglages Services web » à la page 29.
Étape 2 :Configurez votre site web
Vous pouvez créer des sites web une fois que votre service web a été configuré et qu’il est
en cours de fonctionnement. Créer un site web permet d’établir le cadre dans lequel vous
allez fournir du contenu web dans différents formats, y compris sous forme de wikis et
de blogs. Pour plus de détails, consultez le chapitre 3, « Création et gestion de sites web »
Étape 3 :Activez les services web de wiki pour votre site web
Pour créer un wiki, vous devez d’abord activer le service web de wiki sur votre site web.
Pour plus de détails, consultez la section « Activation du service Calendrier web pour
un site web » à la page 77.
Étape 4 :Créez des groupes pour le wiki
Une fois le service web de wiki activé sur votre site web, vous devez créer des groupes
dans Gestionnaire de groupe de travail ou Répertoire et leur accorder l’accès au service
web de wiki du site wiki. Pour en savoir plus sur l’utilisation de Répertoire, consultez
l’aide de cette application.
Les wikis sont dimensionnés en fonction des groupes créés et activés pour les services web
dans Gestionnaire de groupe de travail.Vous pouvez modifier les autorisations d’accès (en
lecture et en écriture) aux pages de wiki des utilisateurs figurant dans le groupe. Pour plus
de détails, consultez le guide intitulé Gestion des utilisateurs.
Étape 5 :Connectez-vous à votre wiki
Pour vous assurer que le wiki fonctionne correctement, ouvrez votre navigateur et essayez
de vous connecter à Internet. Pour plus de détails, consultez la section « Connexion à un
wiki » à la page 70.
Configuration d’un wiki
Les sections suivantes expliquent comment configurer un wiki sur votre site web.
Activation des services web de wiki pour un site web
Vous pouvez activer des services web de wiki sur votre site web. Les services web de blog,
de calendrier et de liste d’envoi sont également disponibles pour votre site.
Les wikis ne peuvent pas fonctionner sans maître Open Directory local. Votre serveur
peut être connecté simultanément à un autre serveur d’annuaire, mais il doit être un
maître Open Directory pour que votre wiki puissent fonctionner. Pour en savoir plus,
consultez le guide intitulé Administration d’Open Directory.Chapitre 4 Création et gestion de wikis et de blogs 69
Pour activer les services de wiki sur votre site web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
5 Cliquez sur Services web sous la liste des sites web.
6 Cochez la case Blog pour activer les blogs d’utilisateur pour votre site web.
Les utilisateurs pourront ainsi créer et conserver des pages de blog personnel. Un blog
est un journal chronologique publié sur le site web et mis à jour à l’aide du contenu ajouté
par les utilisateurs. Pour en savoir plus, consultez la section « Configuration de blogs d’utilisateurs et de groupes » à la page 81.
7 Cochez la case « Wiki et blog » pour activer la fonctionnalité de site web de groupe.
Cette fonctionnalité permet à des groupes d’utilisateurs de créer et de diffuser facilement des informations sur leurs propres sites web partagés. Elle permet également
d’activer des blogs de groupe sur vos pages de wiki.
8 Si vous souhaitez que votre site web dispose de la fonctionnalité de calendrier, cochez
la case Calendrier web.
Les utilisateurs peuvent accéder à un calendrier de groupe pour se tenir au courant
des réunions et des échéances importantes. Pour plus de détails, consultez la section
« Configuration d’un calendrier web » à la page 77.
9 Si vous souhaitez que votre site web dispose de la fonctionnalité de liste d’envoi,
cochez la case « Archive web de la liste d’envoi ».
Une liste d’envoi est un groupe de discussion qui exploite les possibilités d’envoi de
messages électroniques en masse pour faciliter la communication. Pour plus de détails,
consultez la section « Configuration d’archives web de liste d’envoi » à la page 87.
10 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) situé sous la liste des utilisateurs et des groupes pour
ajouter des utilisateurs et des groupes qui créeront des wikis sur votre site. Cochez ensuite
la case Modérateur pour chaque utilisateur ou groupe de la liste que vous voulez désigner
comme modérateur.
Si vous laissez la liste vide, tous les utilisateurs peuvent créer des wikis.
11 Cliquez sur Enregistrer.70 Chapitre 4Création et gestion de wikis et de blogs
Connexion à un wiki
Si le service web de wiki est activé sur votre site web, vous pouvez vous connecter au wiki.
Pour vous connecter à votre wiki :
1 Ouvrez un navigateur web et accédez au site web.
2 Pour accéder au wiki, cliquez sur Groupes en haut de la page web.
Les wikis de groupe disponibles sont présentés sur la page. Ils sont affichés sur cette
page au fur et à mesure de la création et de l’activation des groupes.
3 Sélectionnez le wiki auquel vous souhaitez vous connecter.
La page de wiki du groupe s’ouvre.
Modification des réglages de wiki
Si vous êtes propriétaire du groupe ou administrateur du serveur, vous pouvez modifier
les réglages de wiki, notamment l’apparence des pages de wiki, et définir si les lecteurs
peuvent ajouter des commentaires aux pages. Vous pouvez également ajouter une barre
latérale à la page d’accueil pour y afficher du contenu particulier.
Pour modifier les réglages de wiki :
1 Ouvrez la page d’accueil de votre wiki.
Ouvrez une session en tant qu’administrateur ou propriétaire du groupe.
2 Dans la barre latérale Fonctions d’administrateur, cliquez sur Réglages.
3 Dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Modifier (/) pour modifier les options suivantes.
Titre :nom de votre site.
Thème :thème de votre site. Cliquez sur Choisir pour modifier l’apparence de votre
site. Le thème est appliqué de façon dynamique au fur et à mesure que les pages sont
servies aux utilisateurs. Si le thème utilise une image de bannière, vous pouvez télé-
charger une image JPEG ou PNG vers le serveur.
Barre latérale personnalisée :titre de barre latérale personnalisée sur la page d’accueil
et balise permettant aux éléments de s’afficher dans la liste de la barre latérale.
Commentaires :les utilisateurs éventuels peuvent publier des commentairessur les pages
de wiki.Vous pouvez également activer la fonction de modération des commentaires, pour
que toute publication d’un commentaire soit préalablementsoumise à l’avis d’un modérateur.
Podcast :permet d’indiquer si les podcasts sont autorisés sur le blog, ainsi que la catégorie sous laquelle ils doivent figurer lorsqu’un utilisateur s’abonne au podcast via l’iTunes
Music Store (magasin de musique en ligne).
4 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 4 Création et gestion de wikis et de blogs 71
Gestion des pages de wiki
Cette section décrit les tâches quotidiennes classiques que vous pourrez effectuer après
avoir configuré un wiki sur votre site web. Vous trouverez des informations concernant
la configuration initiale des wikis à la section « Configuration d’un wiki » à la page 68.
Ajout de pages de documents
Vous pouvez ajouter des pages de documents à votre wiki à partir de votre navigateur
Internet.
Pour créer une page de wiki :
1 Cliquez sur Wiki si vous ne vous trouvez pas déjà sur une page de wiki. Autrement,
accédez à la page de wiki à laquelle vous souhaitez ajouter une nouvelle page.
2 Cliquez sur le bouton Nouvelle page (+) dans la barre d’outils.
3 Dans la zone de dialogue qui s’affiche,saisissez le titre de la page, puis cliquez sur Créer.
La barre d’outils d’édition s’affiche et une nouvelle page est créée.
4 Supprimez l’exemple de texte et saisissez votre propre contenu.
5 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur Enregistrer dans la barre d’outils d’édition.
Il est possible d’insérer, dans le champ consacré aux commentaires, une remarque concernant les modifications que vous avez effectuées. Ce commentaire s’affiche dans l’historique
de la page.
Modification de pages de document
Vous pouvez modifier des pages de wiki à partir de votre navigateur Internet.
Pour modifier une page de wiki :
1 Accédez à la page que vous souhaitez modifier.
2 Cliquez sur le bouton Modifier (/) dans la barre d’outils.
3 Lorsque le contenu s’affiche, modifiez-le à l’aide des outils de la barre d’outils d’édition.
4 Dans cette barre, cliquez sur Enregistrer pour enregistrer vos modifications.
Lorsque vous enregistrez vos modifications dans une page de wiki, vous pouvez également saisir un commentaire qui sera affiché dans l’historique de la page.
Votre nouveau contenu remplace le contenu précédent.
Suppression de pages de document
Vous pouvez supprimer des pages de wiki à partir de votre navigateur Internet.
Pour supprimer une page de wiki :
1 Accédez à la page que vous souhaitez supprimer.
2 Cliquez sur le bouton Supprimer la page (–) dans la barre d’outils.
3 Cliquez sur Supprimer pour confirmer.72 Chapitre 4Création et gestion de wikis et de blogs
La page disparaît, mais son contenu est conservé, ce qui vous permet de restaurer cette
page au besoin. Les administrateurs et les propriétaires de groupe peuvent supprimer
la page de manière définitive.
Ajout d’un lien à une page de wiki
Vous pouvez ajouter des liens hypertexte vers d’autres pages de wiki ou d’autres sites web.
Pour ajouter un lien à une page de wiki :
1 Naviguez jusqu’à la page à laquelle vous souhaitez ajouter un lien.
2 Cliquez sur le bouton Modifier (/) dans la barre d’outils.
3 Sélectionnez le texte à utiliser comme texte de lien.
4 Cliquez sur le bouton Lien dans la barre d’outils d’édition, puis choisissez une option
dans le menu local qui s’affiche :
Nouvelle page :établit un lien vers une page de wiki qui n’existe pas encore (vous
serez invité à créer la page).
Rechercher :recherche une page de wiki contenant le texte de lien que vous avez
sélectionné ou vous permet de saisir une autre expression à rechercher.
Saisir URL :établit un lien vers une page d’un autre site web. Saisissez une adresse
URL complète.
Délier :supprime le lien si le texte que vous avez sélectionné possède déjà un lien.
5 Pour créer un lien permettant de rédiger un message électronique, sélectionnez
Saisir URL dans le menu local Lien, puis saisissez un lien similaire à celui-ci :
mailto:annedubois@exemple.com.
6 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur Enregistrer dans la barre d’outils d’édition.
Insertion d’un tableau dans une page de wiki
Utilisez l’éditeur de tableaux pour insérer ou supprimer un tableau sur une page de wiki.
Vous pouvez également ajouter ou supprimer des colonnes, des lignes, des colonnes
d’en-tête et des lignes d’en-tête dans le tableau, ou encore saisir des données dans les
cellules du tableau.
Pour insérer un tableau dans une page de wiki :
1 Naviguez jusqu’à la page dans laquelle vous souhaitez insérer un tableau.
2 Cliquez sur le bouton Modifier (/) dans la barre d’outils pour passer en mode d’édition.
3 Placez le point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez insérer le tableau, puis cliquez
sur Insérer un tableau dans la barre d’outils pour afficher l’éditeur de tableaux.
4 Cliquez sur OK pour ajouter le tableau à la page.
Appuyez sur la touche de tabulation pour passer d’une cellule à l’autre.
5 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur Enregistrer dans la barre d’outils d’édition.Chapitre 4 Création et gestion de wikis et de blogs 73
Ajout de balises aux pages de wiki
Les balises vous permettent d’identifier, de classer et de retrouver rapidement des pages
de wiki et de blog associées. Utilisez des balises pour regrouper et identifier des éléments
associés et offrir un système organisationnel simple à utiliser. Toute personne contribuant
au wiki pourra ainsi être informée des dernières modifications et informations.
Vous pouvez, par exemple, ajouter une balise à chaque page pour indiquer le service
ou le projet concerné. Tout utilisateur autorisé à modifier le contenu du site peut ajouter ou supprimer des balises. Vous pouvez rechercher des éléments comportant des
balises, afin de trouver rapidement l’objet de votre recherche.
Pour ajouter une balise à une page :
1 Naviguez jusqu’à la page à laquelle vous souhaitez ajouter une balise.
2 Cliquez sur le bouton Ajouter une balise (+).
Un champ de texte s’affiche.
3 Saisissez la balise à insérer, puis appuyez sur la touche Retour.
Si la balise existe déjà, sélectionnez-la lorsqu’elle s’affiche, puis appuyez sur Retour.
4 Ajoutez autant de balises que nécessaire.
Vous pouvez également ajouter des balises lors de la modification d’une page et supprimer
les balises devenues inutiles.
Suppression de balises des pages de wiki
Vous pouvez supprimer les balises ajoutées par mégarde ou de façon erronée à une page.
Pour supprimer une balise d’une page :
1 Affichez la page.
Il est impossible de supprimer des balises dans les résultats de recherche, l’affichage
des balises ou la liste d’historique.
2 Faites glisser la balise à supprimer hors de la barre des balises, puis relâchez le bouton
de la souris.
Un petit nuage de fumée apparaît à l’écran pour indiquer que la balise a été supprimée.
Pour supprimer une balise lors de la modification d’une page, cliquez sur le petit x qui
s’affiche lorsque vous déplacez le pointeur à proximité de la balise.
Ajout de fichiers aux pages de wiki
Le meilleur moyen de joindre un fichier à télécharger consiste à créer une archive (zip)
du fichier avant de le télécharger vers le serveur. Il est essentiel de procéder pour ajouter un dossier de fichiers ou des fichiers complexes tels que des présentations Keynote.74 Chapitre 4Création et gestion de wikis et de blogs
Pour joindre un fichier à une page afin que d’autres utilisateurs puissent le télécharger :
1 Accédez à la page à laquelle vous souhaitez joindre un fichier.
2 Cliquez sur le bouton Modifier (/) dans la barre d’outils.
3 Placez le point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez que le fichier joint s’affiche
sur la page.
4 Cliquez sur le bouton Joindre fichier (trombone) dans la barre d’outils d’édition.
5 Cliquez sur Choisir et sélectionnez le fichier à joindre.
6 Cliquez sur Joindre pour télécharger le fichier vers le serveur.
Une fois le téléchargement vers le serveur terminé, un bouton de téléchargement
de fichier est affiché sur la page avec le nom du fichier.
7 Après avoir terminé de modifier la page, cliquez sur Enregistrer dans la barre d’outils
d’édition.
Il suffira aux utilisateurs de cliquer sur le nom du fichier pour le télécharger sur leur
ordinateur.
Si vous avez joint un fichier multimédia, une image par exemple, et que vous souhaitez
que les utilisateurs puissent l’afficher sans avoir à le télécharger, utilisez le bouton Insérer
un support plutôt que le bouton Joindre fichier. Le bouton Insérer un support permet de
télécharger des fichiers audio ou des images QuickTime.
Recherche de pages de wiki comportant des balises
Il existe deux méthodes permettant de trouver rapidement des pages de wiki comportant des balises :
 Si la page que vous consultez comprend la balise que vous recherchez, cliquez sur
la balise pour rechercher d’autres pages.
 Si la page que vous consultez ne possède pas la balise recherchée, cliquez sur le bouton Rechercher (icône en forme de loupe), puis choisissez une balise dans le menu
local ou sélectionnez Toutes les balises pour bénéficier d’un plus grand choix.
Recherche dans les pages de wiki
Utilisez la fonction de recherche pour trouver des éléments dans votre wiki.
Pour rechercher des éléments dans votre wiki :
1 Cliquez sur le bouton Rechercher (loupe).
2 Saisissez un mot ou une expression dans le champ de texte qui s’affiche.
La fonction de recherche rapide (affichage des résultats en cours de frappe) affiche
la liste des pages comportant le ou les termes saisis au fur et à mesure de la saisie.
3 Si votre recherche est infructueuse, appuyez sur la touche Retour pour rechercher
parmi les titres et le contenu.Chapitre 4 Création et gestion de wikis et de blogs 75
La liste des pages et des événements de calendrier comprenant l’expression saisie
est alors affichée.
Une fois les résultats affichés, vous pouvez affiner votre recherche en choisissant d’afficher uniquement les pages de wiki ou de blogs contenant les balises que vous avez
sélectionnées. Utilisez les cases de balise situées à droite la page.
Pour afficher les résultats de recherche dans un autre ordre, utilisez les menus locaux
pour définir un nouvel ordre de tri. Vous pouvez étendre votre recherche à toutes les
pages ou limiter la recherche aux blogs, aux wikis, aux événements de calendrier (seuls
le nom et l’emplacement sont recherchés) ou aux messages électroniques.
Affichage ou remplacement de pages de wiki anciennes ou supprimées
À chaque fois qu’une page de wiki est mise à jour, la version précédente est conservée,
ce qui vous permet d’annuler les modifications ou de réactiver une ancienne version.
Pour consulter les versions précédentes d’une page de wiki :
1 Accédez à la page dont vous souhaitez consulter des versions antérieures.
2 Cliquez sur le bouton « Voir l’historique du document » (>).
Ce bouton n’est visible que lorsque vous consultez une page, pas lorsque vous la modifiez.
3 Sélectionnez une version dans la liste pour afficher son contenu.
4 Cliquez sur le bouton Comparer pour comparer la version sélectionnée à sa version
précédente.
5 Cliquez sur le bouton Voir uniquement pour arrêter de comparer les versions.
6 Pour remplacer la version actuelle d’une page par une version antérieure, sélectionnez
cette dernière, puis cliquez sur Restaurer.
L’ancienne version remplace la nouvelle. Les pièces jointes et les médias associés
à la version antérieure sont également restaurés.
7 Pour quitter la page sans modifier la version actuelle, cliquez sur le bouton « Masquer
l’historique du document » (V).
Restauration de pages de wiki supprimées
Comme les fichiers de wiki sont stockés dans un système de fichiers, ils peuvent être
sauvegardés de la même manière que des fichiers ordinaires. Les fichiers par défaut
sont stockés dans le dossier /Bibliothèque/Collaboration/Groups//.
Chaque wiki conserve son propre historique. Vous pouvez restaurer une page de façon
individuelle à l’aide de la fonction d’historique de wiki.76 Chapitre 4Création et gestion de wikis et de blogs
Pour restaurer une page de wiki supprimée :
1 Effectuez une recherche, puis choisissez Entrées supprimées dans la zone « Rechercher
dans le sommaire » de la page de résultats.
2 Cliquez sur le titre d’une page supprimée.
3 Cliquez sur « Annuler l’effacement de la page » pour restaurer la page supprimée.
Personnalisation des wikis
Vous pouvez personnaliser vos pages de wiki afin de leur donner un aspect qui leur soit
propre. Vous pouvez, par exemple, inclure des logos de votre société ou les photos des
employés dans vos wikis.
Sélection de styles et de formats de police
Utilisez la barre d’outils d’édition pour appliquer un style et un format au texte lorsque
vous modifiez une page.
Les outils suivants sont disponibles :
 Style de paragraphe :pour modifier le style du paragraphe actuel ou des paragraphes sélectionnés, cliquez sur le bouton Style de paragraphe et choisissez un nouveau style dans le menu local.
 Style de texte :pour modifier le style d’un mot ou de quelques caractères, sélectionnez le texte à modifier, puis choisissez un style dans le menu Style de texte.
 Style de la liste :ce menu local permet de déplacer vers l’intérieur ou l’extérieur la marge
de gauche du paragraphe actuel ou des paragraphes sélectionnés ou d’appliquer un
style de liste numérotée ou de liste à puces. Pour numéroter plusieurs lignes ou paragraphes de façon séquentielle,sélectionnez-les tous avant de choisir Liste triée.
Pour modifier le style de texte :
1 Accédez à la page à modifier.
2 Cliquez sur le bouton Modifier (/) dans la barre d’outils pour passer en mode d’édition.
3 Sélectionnez le texte à modifier.
4 Utilisez les outils de style de texte dans la barre d’outils d’édition pour modifier le texte.
5 Cliquez sur Enregistrer dans la barre d’outils d’édition.
Personnalisation des présentations et des thèmes de wiki
Les administrateurs de wiki peuvent créer des thèmes à l’aide de feuilles CSS (Cascading
Style Sheets) et ajouter des modèles XSL personnalisés pour modifier le contenu des pages.
Ne modifiez pas les modèles par défaut, car ils peuvent être modifiés ou remplacés lors
d’une mise à jour de logiciel.Vous pouvez utiliser les modèles par défaut comme exemples.Chapitre 4 Création et gestion de wikis et de blogs 77
Nous vous conseillons d’utiliser le thème Fil de fer comme point de départ. Ce thème
se trouve dans le dossier /Bibliothèque/Application/Support/Apple/WikiServer/Themes/
wireframe.wikitheme/.
À chaque dossier de thème correspond un fichier .plist. Vous pouvez modifier les caractéristiques des thèmes, notamment les images de bannière et de la barre latérale, dans
le fichier .plist. Vous pouvez également inclure des scripts Java pour exécuter vos pages
de wiki.
Dans le fichier CSS, vous pouvez spécifier l’affichage de variables telles que des définitions
de polices et des couleurs de liens.
Sources d’aide lors de l’utilisation d’un wiki
Un lien est mis à votre disposition pour accéder à l’aide en ligne dans le wiki.
Pour accéder à l’aide en ligne à partir de votre wiki :
1 Ouvrez une page de wiki.
2 Cliquez sur le bouton Aide en bas de la page.
3 Sélectionnez la rubrique de service web pour obtenir la liste des sujets proposés dans
la fonction de recherche rapide.
4 Pour obtenir une aide plus spécifique, cliquez sur le bouton Rechercher (loupe),
saisissez un sujet, puis appuyez sur la touche Retour.
Une liste de sujets est alors affichée.
Configuration d’un calendrier web
Les sections suivantes expliquent comment configurer un calendrier web sur votre site web.
Le calendrier web est un service web destiné aux groupes et qui permet aux utilisateurs
d’accéder à un calendrier de groupe pur se tenir aux courant des réunions et des échéances à venir.
Le calendrier web utilise le service iCal de Mac OS X Server 10.5. Ce service doit être
configuré et en cours d’exécution pour qu’un wiki puisse utiliser le calendrier de groupe.
Pour en savoir plus, voir Administration du service iCal.
Activation du service Calendrier web pour un site web
Vous pouvez activer le service Calendrier web sur votre site web. Vous devez activer les services web de groupe de blogs et de wiki avant de pouvoir activer le service Calendrier web.78 Chapitre 4Création et gestion de wikis et de blogs
Pour activer le calendrier web sur votre site web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites.
5 Dans la liste des sites, cliquez sur le site pour lequel vous souhaitez activer le service
de calendrier web.
6 Cliquez sur Services web.
7 Dans la section « Services pour les groupes », cochez la case Calendrier web.
8 Cliquez sur Enregistrer.
Navigation dans le Calendrier web
Le calendrier comprend plusieurs boutons de navigation qui permettent de faire défiler
les mois ou les semaines ou de revenir à la date du jour.
Le calendrier comprend deux types de présentations :la présentation par semaine
et la présentation par mois.
 Dans la présentation par semaine, tous les événements programmés pour une semaine
donnée sont affichés, y compris les événements occupant une journée entière et ceux
qui se déroulent à des heures précises. Vous disposez en outre d’options permettant
de créer rapidement ces types d’événements.
 Dans la présentation par mois, seuls les événements occupant une journée entière
sont indiqués et vous ne disposez par défaut que de l’option de création de ce type
d’événements.
Pour passer d’une présentation par semaine à une présentation par mois et vice versa,
cliquez sur Semaine ou Mois dans le calendrier.
Pour naviguer à travers le calendrier :
1 Ouvrez le calendrier web.
2 Cliquez sur Mois pour passer à la présentation par mois ou sur Semaine pour passer
à la présentation par semaine.
3 Dans la présentation par mois, cliquez sur Précédent (<) pour afficher le mois précédent
ou sur Suivant (>) pour afficher le mois suivant.
Pour afficher un autre mois (en présentation par mois), cliquez sur le nom du mois
(situé entre les boutons Précédent et Suivant), puis choisissez le mois à afficher.
4 Dans la présentation par semaine, cliquez sur Précédent (<) pour afficher la semaine
précédente ou sur Suivant (>) pour afficher la semaine suivante.Chapitre 4 Création et gestion de wikis et de blogs 79
5 Pour ouvrir un mini-calendrier en présentation par semaine, cliquez sur le nom
de la semaine, puis accédez à un mois ou à une semaine particulière :
Pour accéder au mois précédent dans le mini-calendrier, cliquez sur Précédent (flèche
vers le haut).
Pour accéder au mois suivant dans le mini-calendrier, cliquez sur Suivant (flèche vers le bas).
6 Pour afficher la semaine comportant la date du jour, cliquez sur Aujourd’hui (losange).
7 Pour afficher une semaine particulière, cliquez sur l’un des jours de cette semaine.
8 Pour afficher un mois particulier, cliquez sur le nom du mois.
Création d’événements de calendrier programmés à certaines heures
Les événements programmés à certaines heures correspondent à des événements tels
que des réunions ou des rendez-vous. Vous pouvez créer ce type d’événements en présentation par semaine ou par mois,mais il est plus facile d’utiliser la présentation par semaine.
Pour créer un événement programmé à une certaine heure dans le calendrier web :
1 Accédez au calendrier web.
2 En présentation par semaine, faites glisser le curseur de l’heure de début à l’heure
de fin de l’événement.
3 Saisissez le nom de l’événement dans la zone Résumé et le lieu dans la zone Emplacement.
Pour changer la date de début de l’événement, cliquez sur la date, puis cliquez sur une
date dans le calendrier qui s’affiche. Pour remplacer la date de début par la date du jour,
cliquez sur Aujourd’hui (losange) ; pour afficher le mois précédent, cliquez sur Précédent
(flèche vers le haut) ; pour afficher le mois suivant, cliquez sur Suivant (flèche vers le bas).
Pour changer l’heure de début, utilisez les menus locaux Heure de début.
4 Désactivez la case « Événement du jour (bannière) ».
5 Pour modifier la durée de l’événement, utilisez les menus locaux Durée.
Si la durée est supérieure à 24 heures, saisissez un nombre dans le champ Jours.
6 Cliquez sur OK.
Modification d’événements de calendrier
Lorsque vous modifiez un événement dans le calendrier, vous pouvez modifier toutes les
informations relatives à l’événement, notamment le nom, le lieu, la date ainsi que la durée.
Vous pouvez également transformer un événement occupant un jour entier en événement
se déroulant à une heure précise et vice versa.
Pour modifier un événement de calendrier web :
1 Accédez au calendrier web.
2 En présentation par mois ou par semaine, cliquez sur l’événement.
3 Pour modifier le nom de l’événement, tapez le nouveau nom dans le champ Résumé.80 Chapitre 4Création et gestion de wikis et de blogs
4 Pour modifier le lieu de l’événement, tapez un nouveau lieu dans le champ Emplacement.
5 Pour changer la date de début de l’événement, cliquez sur la date, puis cliquez sur la date
souhaitée dans le calendrier qui s’affiche.
Pour remplacer la date de début par la date du jour, cliquez sur Aujourd’hui (losange) ;
pour afficher le mois précédent, cliquez sur Précédent (flèche vers le haut) ; pour afficher
le mois suivant, cliquez sur Suivant (flèche vers le bas).
6 Pour modifier l’heure de début de l’événement, utilisez les menus locaux en regard
de la date.
Les menus locaux respectent le format HH:MM.
7 Pour transformer un événement occupant une journée entière en événement se déroulant à une heure particulière et vice versa, cochez ou désactivez la case « Événement
du jour (bannière) ».
8 Pour modifier la durée de l’événement, utilisez les menus locaux Durée.
S’il s’agit d’un événement d’un jour ou si la durée est supérieure à 24 heures,
saisissez un nombre dans le champ Jours.
9 Cliquez sur OK pour enregistrer vos réglages.
Suppression d’événements de calendrier web
Lorsque vous supprimez un événement du calendrier, l’événement est supprimé de façon
permanente et l’opération est irréversible. Vous pouvez néanmoins créer à nouveau cet
événement.
Pour supprimer un événement du calendrier web :
1 Accédez au calendrier web.
2 En présentation par mois ou par semaine, cliquez sur l’événement.
3 Cliquez sur Supprimer.
4 Cliquez sur OK.
Utilisation du Calendrier web avec iCal
Vous pouvez vous abonner à un calendrier web dans iCal et configurer votre calendrier
iCal pour récupérer les mises à jour du calendrier web. Le calendrier web est présenté
en lecture seule dans iCal. Vous ne pouvez donc pas le modifier.
Le coupe-feu du serveur web doit autoriser le trafic via le port 8008.
Pour vous abonner à un calendrier web dans iCal :
5 Dans iCal, choisissez Calendrier > S’abonner.
6 Tapez http://url_serveur:8008/calendars/groups/nom_groupe/calendar/.
Remplacez url_serveur par l’URL de votre serveur web, comme « www.exemple.com »
par exemple. Remplacez nom_groupe par le nom de votre groupe.Chapitre 4 Création et gestion de wikis et de blogs 81
7 Cliquez sur S’abonner.
8 Authentifiez-vous à l’aide de votre mot de passe et de votre nom web, puis cliquez sur OK.
9 Dans le champ Titre, saisissez un nom pour votre calendrier.
10 Pour activer la mise à jour automatique de votre calendrier iCal,sélectionnez Actualiser,
puis sélectionnez la fréquence de mise à jour.
11 Cliquez sur OK.
Configuration de blogs d’utilisateurs et de groupes
Les blogs sont similaires à des journaux et comprennent des entrées figurant dans l’ordre
dans lequel elles ont été créées. Les wikis, par contre, comportent un contenu partagé
qui n’est pas affiché dans l’ordre chronologique. Le type d’informations que vous comptez placer sur votre site permet de déterminer s’il s’affiche dans un wiki ou dans un blog.
Les sections suivantes fournissent des instructions relatives à la configuration de blogs
d’utilisateurs et de groupes sur votre site web.
Activation du service Blog pour un site web
Vous pouvez activer un service blog d’utilisateurs ou de groupes sur votre site web.
Mac OS X Server inclut un wiki de groupe et un blog de groupe. Ils sont activés ensemble.
Les blogs de groupes permettent aux utilisateurs d’un groupe d’accéder et de publier des
entrées sur le même blog.
Les utilisateurs peuvent également publier leurs propres blogs à l’aide des services web
associés à leur compte de serveur. Cela leur permet de conserver leurs blogs personnels
dans leurs propres pages.
Pour en savoir plus, consultez la section « Activation du service Calendrier web pour un site
web » à la page 77.
Ajout d’une page de blog
Les entrées s’affichent dans l’ordre dans lequel elles ont été créées, l’entrée la plus récente
figurant en tête de liste. Seules les entrées les plus récentes s’affichent sur la page principale
du blog. Les entrées les plus anciennes sont toujours disponibles.Vous pouvez les retrouver
et les consulter en les recherchant ou en les explorant à l’aide des commandes de date.
Pour ajouter une page de blog :
1 Cliquez sur Blog si vous n’êtes pas déjà en train de consulter une page de blog.
2 Cliquez sur le bouton Nouvelle page (+) dans la barre d’outils.
3 Saisissez un titre dans la zone de dialogue Nouvelle entrée qui s’affiche.
4 Si le blog est configuré pour le podcasting et que vous disposez d’un fichier audio
ou vidéo pour cette entrée, sélectionnez Podcast et choisissez le fichier.82 Chapitre 4Création et gestion de wikis et de blogs
5 Cliquez sur Créer.
La barre d’outils d’édition s’affiche et une nouvelle page est créée.
6 Supprimez l’exemple de texte et saisissez votre propre contenu.
7 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur Enregistrer dans la barre d’outils d’édition.
Définition d’autorisations SACL de blog pour les utilisateurs
Les administrateurs de services web peuvent utiliser des listes SACL (Service access control
lists) pour spécifier les utilisateurs ayant accès aux blogs. Utilisez Admin Serveur pour définir des autorisations SACL.
Important :pour modifier les réglages SACL de blogs, vous devez utiliser l’interface
serveur plutôt que l’interface web.
Pour définir des autorisations SACL de blog :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Sélectionnez le serveur.
La liste des services apparaît.
3 Cliquez sur Réglages.
4 Cliquez sur Accès.
5 Cliquez sur Services, si cette option n’est pas déjà affichée.
6 Sélectionnez le niveau de restriction souhaité pour les services.
Pour restreindre l’accès à tous les services, sélectionnez « Pour tous les services ».
Pour définir des autorisations d’accès aux blogs, sélectionnez « Pour les services
sélectionnés », puis choisissez Blog dans la liste des services.
7 Sélectionnez le niveau de restriction à appliquer aux utilisateurs et aux groupes.
Pour accorder un accès sans restriction, cliquez sur « Autoriser tous les utilisateurs
et groupes ».
Pour restreindre l’accès à certains utilisateurs et groupes,sélectionnez « Autoriser les utilisateurs et groupes ci-dessous », cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ouvrir la sous-fenê-
tre Utilisateurs et groupes, puis faites glisser des utilisateurs et des groupes de cette sousfenêtre dans la liste.
8 Cliquez sur Enregistrer.5
83
5 Configuration et gestion
de WebMail
Ce chapitre explique comment activer WebMail sur les sites
web de votre serveur, afin d’avoir accès aux opérations de
messagerie classiques via une connexion web.
WebMail vous permet d’ajouter des fonctions de messagerie élémentaires à votre site web.
Si votre service web héberge plusieurs sites,WebMail permet d’accéder au service de messagerie sur chacun d’entre eux. Le service de messagerie se présente de la même façon sur
tous les sites.
Vue d’ensemble de WebMail
Le logiciel WebMail, inclus avec Mac OS X Server, est désactivé par défaut.
Le logiciel WebMail est basé sur SquirrelMail (v1.4.9a), un ensemble de scripts open
source exécutés par le serveur Apache. Pour en savoir plus sur SquirrelMail, consultez
le site www.squirrelmail.org.
Services d’utilisateur WebMail
Si vous activez WebMail, les utilisateurs peuvent effectuer les opérations suivantes :
 composer et envoyer des messages,
 recevoir des messages,
 réexpédier des messages reçus ou y répondre,
 gérer une signature ajoutée à chaque message envoyé,
 créer,supprimer et renommer des dossiers, déplacer des messages d’un dossier à l’autre,
 joindre des fichiers aux messages sortants,
 extraire les pièces jointes des messages entrants,
 gérer un carnet d’adresses personnel,
 définir les préférencesWebMail, notamment les couleurs affichées dans le navigateur web.
Les utilisateurs accèdent à la page WebMail de votre site web en ajoutant
« /webmail » à son adresse URL (par exemple, http://monsite.exemple.com/webmail/).84 Chapitre 5Configuration et gestion de WebMail
Pour pouvoir utiliser votre serviceWebMail, un utilisateur doit posséder un compte sur votre
serveur de messagerie. Par conséquent, le service de messagerie doit être configuré pour
que vous puissiez proposer les fonctions WebMail sur vos sites web.
Les utilisateurs se connectent à WebMail avec le nom et le mot de passe qu’ils utilisent
pour ouvrir une session sur leur service de messagerie habituel.WebMail ne dispose pas
de son propre service d’authentification. Pour en savoir plus sur les utilisateurs du service
de messagerie, consultez le guide intitulé Administration du service de messagerie.
Lorsqu’un utilisateur se connecte à WebMail, son mot de passe est transmis sur Internet
sous forme de texte en clair (non chiffré), sauf si le site web est configuré pour utiliser
le protocole SSL. Pour obtenir des instructions sur la configuration du protocole SSL pour
un site web, consultez la section « Activation du protocole SSL » à la page 46.
Vous trouverez des informations complémentaires sur WebMail dans le manuel d’utilisation
de SquirrelMail, disponible à l’adresse http://squirrelmail.org/wiki/DocumentationHome.
WebMail et votre serveur de messagerie
WebMail s’appuie sur votre serveur de messagerie pour fournir le service de messagerie.
En fait,WebMail permet simplement d’accéder au service de messagerie par le biais d’un
navigateur web. Il est incapable de fournir de manière autonome le service de messagerie
sans se baser sur un serveur de messagerie.
Par défaut, WebMail utilise le service de messagerie de Mac OS X Server. Vous pouvez
désigner un serveur de messagerie différent à l’aide des outils de ligne de commande
Terminal et UNIX. Pour obtenir des instructions, consultez la section « Configuration de
WebMail » à la page 85.
Protocoles WebMail
WebMail fait appel aux protocoles de messagerie standard suivants, qui doivent donc
être pris en charge par votre serveur de messagerie :
 Protocole IMAP (Internet Message Access Protocol), pour la récupération des messages
entrants
 Protocole SMTP (Simple Mail Transfer Protocol), pour l’échange de messages avec d’autres
serveurs de messagerie (envoi de messages sortants et réception de messages entrants)
Le script de configuration de SquirrelMail permet de définir le type de serveur IMAP :
 Le réglage macosx = Mac OS X MailServer renvoie à l’ancien logiciel Apple MailServer
de Mac OS X Server 10.2.
 Sous Mac OS X 10.3, 10.4 et 10.5, le réglage approprié (utilisé par défaut) est cyrus =
Cyrus IMAP Server.
WebMail ne prend pas en charge la récupération de messages entrants via le protocole
POP (Post Office Protocol), même si votre serveur de messagerie prend en charge le
protocole POP.Chapitre 5 Configuration et gestion de WebMail 85
Activation de WebMail
Utilisez Admin Serveur pour activer WebMail sur les sites hébergés sur votre serveur web.
Les modifications effectuées ne prennent effet qu’après le redémarrage du service web.
Important :WebMail ne fonctionne pas si les protocoles de messagerie et le service
de messagerie ne sont pas configurés et démarrés.
Pour activer WebMail sur un site :
1 Assurez-vous que votre service de messagerie est en cours d’exécution et configuré
de façon à fournir des services IMAP et SMTP.
2 Vérifiez que le service de messagerie IMAP est activé pour les comptes d’utilisateur
devant avoir accès à WebMail.
Pour obtenir des détails sur les réglages de messagerie dans les comptes d’utilisateur,
consultez le guide intitulé Gestion des utilisateurs.
3 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
4 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
5 Développez la liste Serveurs, puis sélectionnez Web.
6 Cliquez sur Sites.
7 Dans la liste Sites, cliquez sur le site pour lequel vous souhaitez activer WebMail.
8 Cliquez sur Services web.
9 Dans la section « Services pour les utilisateurs », cochez la case WebMail.
10 Cliquez sur Enregistrer.
L’activation de WebMail entraîne celle du module PHP (si ce n’était pas déjà le cas).
Le module PHP demeure en service,même si vous désactivez WebMail.Vous devez désactiver ce module manuellement. Pour en savoir plus, consultez la section « PHP » à la page 112.
Configuration de WebMail
Après avoir activé WebMail pour ajouter des fonctions de messagerie élémentaires
à votre site web, vous pouvez modifier les réglages de façon à intégrer complètement
WebMail à votre site. Pour cela, modifiez le fichier de configuration de SquirrelMail, /etc/
squirrelmail/config/config.php, ou utilisez l’application Terminal avec des autorisations
root afin d’exécuter le script de configuration actif. Ce script Perl a pour effet de lire les
valeurs d’origine du fichier config.php et de les remplacer par les nouvelles valeurs.
Vous pouvez configurer les options SquirrelMail suivantes pour intégrerWebMail à votre site :
 Organization Name : nom qui figure sur la page WebMail principale lorsqu’un utilisateur se connecte. La valeur par défaut est Mac OS X Server WebMail.86 Chapitre 5Configuration et gestion de WebMail
 Organization Logo : chemin d’accès relatif ou absolu à un fichier d’image.
 Organization Title :titre de la fenêtre de navigateur web, affiché lors de la consultation
d’une page WebMail. La valeur par défaut est Mac OS X Server WebMail.
 Trash Folder : nom du dossier IMAP dans lequel le service de messagerie place
les messages supprimés par l’utilisateur. La valeur par défaut est « Deleted Messages ».
 Sent Folder : nom du dossier IMAP dans lequel le service de messagerie place
les messages envoyés. La valeur par défaut est « Sent Messages ».
 Draft Folder : nom du dossier IMAP dans lequel le service de messagerie place
les brouillons rédigés par l’utilisateur. La valeur par défaut est « Drafts ».
Important :si vous utilisez le script de configuration interactif pour modifier les réglages
de SquirrelMail, vous devez également l’utiliser pour indiquer le nom de domaine de votre
serveur. Dans le cas contraire,WebMail ne peut envoyer aucun message.
Les réglages de configuration de WebMail s’appliquent à tous les sites hébergés par votre
service web.
Pour configurer les options WebMail à l’aide d’un script de configuration Perl :
1 Ouvrez Terminal et saisissez la commande suivante :
$ sudo /etc/squirrelmail/config/conf.pl
2 Accédez aux réglages SquirrelMail et modifiez-les en fonction de vos besoins à l’aide
des options de menu interactives.
3 Remplacez le nom de domaine par celui de votre serveur (exemple.com, par exemple).
Le nom de domaine est le premier élément figurant dans le menu Server Settings du script
SquirrelMail.
Si vous ne tapez pas correctement le nom de domaine du serveur, le script interactif remplace la valeur d’origine, getenv(NOM_SERVEUR), par la même valeur, mais en la plaçant
entre des guillemets simples. Cette valeur ne fonctionne alors plus comme un appel de
fonction permettant de récupérer le nom de domaine et WebMail ne peut donc envoyer
aucun message.
4 Une fois les changements de configuration effectués, enregistrez vos données.
5 Fermez le script interactif.
La modification de configuration de WebMail n’exige pas le redémarrage du service
Web, sauf si des utilisateurs sont connectés à WebMail.
Pour personnaliser davantage l’apparence de WebMail (pour donner un aspect spécifique
à chaque site Web, par exemple), vous devez savoir écrire des scripts PHP. Par ailleurs,
vous devez connaître l’architecture de module SquirrelMail et écrire vos propres modules
SquirrelMail.Chapitre 5 Configuration et gestion de WebMail 87
Configuration d’archives web de liste d’envoi
Les listes d’envoi sont des groupes de discussion faisant appel à la diffusion de messages
électroniques pour faciliter la communication entre utilisateurs. Une liste d’envoi permet
de diffuser un même message à plusieurs destinataires et ne doit pas nécessairement être
gérée par l’administrateur du groupe de travail ou du serveur. De plus, les abonnés aux
listes d’envoi n’ont pas besoin de posséder un compte (accès au courrier ou aux fichiers)
sur le serveur de la liste ; n’importe quelle adresse électronique peut être ajoutée à la liste.
Vous pouvez créer et gérer des listes d’envoi par le biais d’une interface web destinée
aux utilisateurs. Vous pouvez également configurer des archives de liste d’envoi, des
réglages de filtrage de contenu et des options de diffusion en mode résumé pour les
listes d’envoi. Pour en savoir plus sur les listes d’envoi, consultez la section Administration
du service de messagerie.
Les messages transmis à une liste d’envoi peuvent être archivés et consultés ultérieurement depuis votre site web. Les messages sont regroupés par volumes d’archives classés par heure et par date. Vous devez activer le service d’archives web de liste d’envoi
sur votre site web pour accéder aux archives correspondantes via votre serveur web.
Pour activer l’archivage de liste d’envoi sur votre site web, procédez comme suit :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Développez la liste Serveurs, puis sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Sites.
5 Dans la liste Sites, sélectionnez le site pour lequel vous souhaitez activer le service
d’archivage de liste d’envoi.
6 Cliquez sur Services web.
7 Dans la section « Services pour les groupes », cochez la case « Archive web de la liste
d’envoi ».
8 Cliquez sur Enregistrer.6
89
6 Utilisation de WebObjects et
d’applications open source
Ce chapitre vous aidera à vous familiariser avec WebObjects
et les applications open source que Mac OS X Server utilise
pour administrer et fournir des services web.
Le service WebObjects est le composant de serveur d’application de Mac OS X Server.
WebObjects propose des outils de développement web polyvalents qui vous permettent
d’étendre votre serveur web de multiples façons.
En outre, plusieurs applications open source proposent des fonctions essentielles pour
le service web. Ces applications sont les suivantes :
 Serveur web Apache.
 Conteneur de servlets Tomcat.
 Base de données MySQL.
 Ruby on Rails.
Utilisation du service WebObjects
WebObjects est la solution Apple pour le développement et le déploiement rapides
d’applications de commerce électronique et d’autres applications Internet. Les applications WebObjects peuvent se connecter à plusieurs bases de données et générer
des codes HTML de manière dynamique.
Les sections suivantes traitent de l’administration de WebObjects :
 « Vue d’ensemble de WebObjects » à la page 90.
 « Activation du service WebObjects » à la page 90.
 « Configuration du service WebObjects » à la page 90.
 « Démarrage du service WebObjects » à la page 91.
 « Vérification de l’état du service WebObjects » à la page 92.
 « Arrêt du service WebObjects » à la page 92.
 « Ouverture de Contrôle » à la page 92.90 Chapitre 6Utilisation de WebObjects et d’applications open source
Vue d’ensemble de WebObjects
Mac OS X Server inclut des bibliothèques d’exécution WebObjects, ainsi qu’une licence de
déploiement illimitée, afin de faciliter le développement de services web et d’applications
de serveur Java basés sur des normes standard.Vous disposez également de la possibilité
d’acquérir des outils de développementWebObjects sur Apple Store (store.apple.com), ainsi
que dans les boutiques et chez les revendeurs Apple.
Vous pouvez programmer le lancement automatique de WebObjects au démarrage
du serveur. Cela permet de garantir que les modules WebObjects démarrent après
une panne électrique ou l’arrêt du serveur.
Pour en savoir plus sur WebObjects, visitez le site web www.apple.com/fr/webobjects
ou developer.apple.com/documentation/WebObjects.
Activation du service WebObjects
Pour configurer le serveur d’applications, vous devez d’abord activer le service WebObjects
dans Admin Serveur.
Pour activer le service WebObjects :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur Réglages, puis sur Services.
3 Cochez la case WebObjects.
4 Cliquez sur Enregistrer.
Configuration du service WebObjects
Utilisez les réglages du service WebObjects dans Admin Serveur pour définir un port
WebObjects Task Daemon (wotaskd), activer le contrôle Java et définir le port de contrôle.
Le déploiement WebObjects utilise wotaskd pour gérer les instances d’application exécutées sur votre serveur d’applications.
La tâche principale de wotaskd consiste à lancer des instances d’application après le
redémarrage du serveur. Pour cela, wotaskd doit être relancé au démarrage du serveur.
Vous devez donc configurer wotaskd en tant que service lancé au démarrage de l’ordinateur. Par défaut, un processus wotaskd exécuté sur le port 1085 est configuré en tant
que service sur toutes les plateformes prises en charge.
AVERTISSEMENT : afin d’éviter tout problème de sécurité, les ordinateurs qui exécutent
JavaMonitor et wotaskd doivent être systématiquement placés derrière un coupe-feu.
En outre, pour chaque sous-réseau, il ne doit y avoir à tout moment qu’un seul serveur
qui exécute JavaMonitor.Chapitre 6 Utilisation de WebObjects et d’applications open source 91
Pour configurer les réglages du service WebObjects :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Cliquez sur WebObjects.
4 Cliquez sur Réglages.
5 Spécifiez le port wotaskd ou Contrôle selon vos besoins.
Contrôle et wotaskd font partie de la stratégie de déploiement de WebObjects.
Chaque ordinateur qui exécute une application WebObjects doit aussi exécuter wotaskd.
Pour configurer ces applications en vue du déploiement, exécutez l’application Contrôle.
Une fois que WebObjects est configuré, seul wotaskd doit continuer à fonctionner.
Chaque instance de wotaskd est uniquement responsable des applications WebObjects
exécutées sur le même hôte. L’adaptateur du serveur web (ou l’adaptateur HTTP
WebObjects) communique avec l’instance wotaskds sur chaque hôte pour détecter
les applications WebObjects disponibles.
Les instances de WebObjects communiquent leur état à wotaskd à l’aide de messages
d’état TCP ; wotaskd contrôle les instances au moyen d’appels DirectActions spéciaux.
6 Au besoin, activez Contrôle en cochant la case Activer Contrôle.
Vous devez lancer Contrôle depuis un ordinateur qui exécute wotaskd et qui est un serveur
géré.N’exécutez jamais plus d’une instance de Contrôle pour un ensemble de serveurs.
Exécutez toujours Contrôle et wotaskd derrière un coupe-feu.
7 Cliquez sur Enregistrer.
Démarrage du service WebObjects
Vous devez lancer le service WebObjects depuis Admin Serveur.
Pour démarrer le service WebObjects :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez WebObjects.
4 Cliquez sur Démarrer WebObjects (sous la liste Serveurs).
Le service fonctionne jusqu’à ce que vous l’arrêtiez et il redémarre si votre serveur
est redémarré.92 Chapitre 6Utilisation de WebObjects et d’applications open source
À partir de la ligne de commande
Vous pouvez également démarrer ou arrêter WebObjects à l’aide de la commande
serveradmin dans Terminal, en saisissant ce qui suit :
$ serveradmin start webobjects
$ serveradmin stop webobjects
Vérification de l’état du service WebObjects
Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour surveiller le service WebObjects.
Pour vérifier l’état du service WebObjects :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez WebObjects.
4 Cliquez sur Vue d’ensemble pour vérifier si le service WebObjects est en cours d’exécution,
connaître l’heure à laquelle il a démarré et savoir si Contrôle est également en cours
d’exécution.
Arrêt du service WebObjects
Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour arrêter le service WebObjects.
Pour arrêter le service WebObjects :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez WebObjects.
4 Cliquez sur Arrêter WebObjects (sous la liste Serveurs).
Ouverture de Contrôle
Contrôle est un outil basé sur le web qui vous permet de gérer et de surveiller les applications exécutées sur le service WebObjects. Vous pouvez utiliser cet outil pour configurer
des applications destinées au déploiement via votre serveur web et pour surveiller la répartition de la charge sur plusieurs serveurs web.
Pour en savoir plus, ouvrez Contrôle et sélectionnez Aide.
Pour ouvrir Contrôle :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez WebObjects.Chapitre 6 Utilisation de WebObjects et d’applications open source 93
4 Cliquez sur Réglages, puis cochez la case Activer Contrôle.
5 Cliquez sur Enregistrer.
6 Ouvrez un navigateur web, puis tapez l’adresse de Contrôle :
http://localhost:
Utilisation d’Apache
Apache est le serveur web HTTP open source intégré à Mac OS X Server.Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour gérer la plupart des opérations de serveur web, mais il est parfois
nécessaire d’ajouter ou de modifier des portions du serveur Apache. Vous devez alors
modifier les fichiers de configuration Apache et changer ou ajouter des modules Apache.
Mac OS X Server 10.5 prend en charge deux versions du serveur web Apache :
Apache 1.3 et Apache 2.2.Apache 1.3 et Apache 2.2 sont pris en charge par Admin Serveur.
Apache 2.2 s’exécute en tant que processus 64 bits si le matériel est adéquat, mais
Apache 1.3 ne fonctionne qu’en 32 bits.
Vous pouvez configurer manuellement ces deux versions afin qu’elles s’exécutent en parallèle, à condition qu’elles n’essaient pas toutes les deux d’écouter la même combinaison
d’adresses IP et de port de service. Seule une version est gérée par Admin Serveur ; leur
exécution simultanée n’est pas prise en charge.
Admin Serveur ne peut gérer qu’une seule version d’Apache à la fois. En cas d’installation
spéciale, il s’agit toujours d’Apache 2.2. En cas de mise à niveau, il s’agit d’Apache 1.3, jusqu’à
ce que vous passiez à la version Apache 2.2.
Les emplacements desfichiers essentiels d’Apache sont répertoriés dansle tableau ci-dessous.
Description des fichiers Emplacement dans Apache 1.3 Emplacement dans Apache 2.2
Fichier de configuration
du service web
Dossier /etc/httpd/ Dossier /etc/apache2/
Fichiers de configuration de site Dossier /etc/httpd/sites/ Dossier /etc/apache2/sites/
Fichier exécutable /usr/sbin/httpd-1.3 /usr/sbin/httpd
Modules web Dossier /usr/libexec/httpd/ Dossier /usr/libexec/apache2/
Historique des erreurs Dossier /var/log/httpd/ Dossier /var/log/apache2/ (avec
un lien symbolique qui permet
d’afficher un dossiersousla forme
/Bibliothèque/Logs/WebServer/)
Hôtes virtuels temporairement
désactivés
Dossier /etc/httpd/
sites_disabled/
Dossier /etc/apache2/
sites_disabled/
Par défaut, le contenu statique des deux versions Apache pointe vers /Bibliothèque/WebServer/Documents/
Par défaut, les CGI des deux versions Apache pointent vers /Bibliothèque/WebServer/CGI-Executables/94 Chapitre 6Utilisation de WebObjects et d’applications open source
Tous les fichiers des dossiers /etc/httpd/sites/ (Apache 1.3) et /etc/apache2/sites/
(Apache 2.2) sont lus et traités par Apache lorsque l’application réalise un redémarrage
à froid ou à chaud. Chaque fois que vous enregistrez des changements, le serveur effectue
un redémarrage à chaud.
Si vous modifiez un fichier à l’aide d’un éditeur de texte qui crée une copie temporaire ou
de sauvegarde, le redémarrage du serveur peut échouer, car il existe alors deux fichiers portant des noms quasi identiques. Pour éviter ce problème,supprimez les fichiers temporaires
ou de sauvegarde créés lors de la modification des fichiers dans ce dossier.
Modification des fichiers de configuration d’Apache
Vous pouvez modifier les fichiers de configuration d’Apache si vous avez besoin d’utiliser des fonctionnalités de serveur web Apache qui ne font pas partie d’Admin Serveur.
Pour modifier les fichiers de configuration, vous devez être un administrateur Apache
expérimenté et maîtriser les outils d’édition de texte. Prenez soin de réaliser une copie
du fichier de configuration original avant de le modifier.
Le fichier de configuration httpd.conf gère toutes les directives contrôlées par Admin
Serveur. Vous pouvez modifier ce fichier à condition de respecter les conventions
relatives au texte et les commentaires.
Ce fichier dispose également d’une directive pour inclure le dossier .../sites/. Ce dossier
contient tous les hôtes virtuels de ce serveur. Les fichiers portent le nom de l’identificateur unique de l’hôte virtuel (par exemple, 0000_17.221.43.127_80_www.exemple.com.conf).
Pour désactiver des sites spécifiques, placez-les dans le dossier sites_disabled, puis redémarrez le service web.Vous pouvez aussi modifier les fichiers de site à condition d’en respecter les conventions.
L’un des fichiers masqués du dossier sites_disabled se nomme default_default.conf.
Il sert de modèle à tous les nouveaux hôtes virtuels créés dans Admin Serveur. Les administrateurs peuvent modifier le fichier de modèle afin de le personnaliser, en veillant à respecter les conventions établies dans le fichier.
Pour en savoir plus sur Apache et sur ses modules, consultez la section « Vue d’ensemble
des modules web Apache » à la page 107.
Restauration de la configuration par défaut
Vous pouvez restaurer un réglage d’usine ou une configuration par défaut d’Apache sans
réinstaller Mac OS X Server. Les différents fichiers .default qui se trouvent dans les répertoires de configuration d’Apache sont prévus à cet effet et sont en lecture seule pour éviter
que les administrateurs ne soient tentés de les modifier.Chapitre 6 Utilisation de WebObjects et d’applications open source 95
Pour restaurer la configuration par défaut :
1 Ouvrez Terminal.
2 Tapez la commande suivante :
$ sudo serveradmin web:command=writeSettings \web:variant=withDefaults
Il existe un fichier ReadMe.txt qui décrit la configuration d’Apache :
 Le fichier readme.txt d’Apache 2.2 est installé dans le dossier /etc/apache2/.
 Le fichier readme.txt d’Apache 1.3 est installé dans le dossier /etc/httpd/.
Ce fichier contient des instructions permettant de passer manuellement d’Apache 2.2
à 1.3, si cela s’avère nécessaire.
Utilisation du script apachectl
Le moyen par défaut permettant de démarrer et d’arrêter Apache sur Mac OS X Server
consiste à utiliser Admin Serveur.
Il existe deux versions des commandes apachectl :
 Commandes apachectl pour Apache 2.2. Apache 2.2 est exécuté en tant que processus 64 bits sur le matériel approprié.
 Commandes apachectl-1.3 pour Apache 1.3. Apache 1.3 est exécuté en 32 bits
uniquement.
Si vous voulez utiliser le script apachectl plutôt qu’Admin Serveur pour démarrer
et arrêter le service web, prenez note de ce qui suit :
 Le cache performances web est activé par défaut sous Mac OS X Server 10.5. Pour les
installations de mise à niveau, avec Apache 1.3, le cache performances web est activé
dans la version 10.5 uniquement s’il l’a été avant la mise à niveau. Lorsque le service
web démarre, le processus de service web principal (httpd) et le processus webperfcache sont également lancés. (Le processus webperfcache transfère du contenu statique depuis une mémoire cache et relaie les requêtes vers httpd lorsque cela est
nécessaire.) Le script apachectl fourni avec Mac OS X Server ignore la présence
de webperfcache ; ainsi, si vous n’avez pas désactivé le cache performances, vous
devez aussi utiliser le script webperfcachectl pour démarrer et arrêter webperfcache.
 Si Apache est lancé à l’aide du script apachectl, la limite de processus soft est égale
à 100, c’est-à-dire la limite par défaut. Lorsque vous utilisez des scripts CGI, cette
limite peut s’avérer trop basse. Dans ce cas, vous pouvez démarrer le service web à
l’aide d’Admin Serveur, qui fixe la limite de processus soft à 2048. Vous pouvez aussi
saisir ulimit -u 2048 avant d’utiliser apachectl.
 Le script apachectl ne lance pas Apache lorsque le serveur redémarre.
En raison des problèmes évoqués plus haut, si vous devez contrôler Apache à partir
d’un script, il est recommandé d’utiliser l’outil de ligne de commande serveradmin.96 Chapitre 6Utilisation de WebObjects et d’applications open source
Pour démarrer Apache à partir d’un script :
1 Ouvrez votre script.
2 Tapez la commande suivante :
serveradmin start web
Cela permet de démarrer Apache et le cache performances (si nécessaire) et d’indiquer
à /etc/hostconfig de lancer le service web au redémarrage.
3 Enregistrez et exécutez votre script.
Pour arrêter Apache depuis la ligne de commande :
1 Ouvrez votre script.
2 Tapez la commande suivante :
serveradmin stop web
Cela permet d’arrêter Apache et le cache performances (si nécessaire) et d’indiquer
à /etc/hostconfig de ne pas lancer le service web au redémarrage.
3 Enregistrez et exécutez votre script.
À propos de l’enregistrement Multicast DNS d’Apache
N’utilisez pas l’enregistrement Multicast DNS d’Apache avec le serveur.
Important :ne tentez pas d’activer l’enregistrement Multicast DNS (mdns) d’Apache
pour le serveur. Cet enregistrement ne prend pas en charge les hôtes virtuels, alors
que le serveur en utilise.
Utilisation d’Apache Axis
Axis (Apache Extensible Interaction System) est une implémentation du protocole SOAP
(Simple Object Access Protocol). Pour en savoir plus sur le protocole SOAP, visitez le site web
www.w3.org/TR/SOAP. Pour en savoir plus sur Axis, visitez le site web ws.apache.org/axis.
Vous pouvez utiliser Apache Axis en créant des applications web qui utilisent les bibliothè-
ques Axis, puis déployer ces applications dans Tomcat. Contrairement à Tomcat, Axis n’est
généralement pas utilisé en tant que serveur d’applications.
Mac OS X Server 10.5 inclut une version préinstallée d’Apache Axis (v1.1), qui fonctionne
avec la version préinstallée de Tomcat (v4.1.x).
Les bibliothèques Axis sont installées dans le dossier /Système/Bibliothèque/Axis/.
Par défaut, Apple installe un exemple d’application web Axis dans Tomcat. Cette application web, connue sous le nom d’Axis,se trouve dans /Bibliothèque/Tomcat/webapps/axis/.
Après avoir activé Tomcat dansla sous-fenêtre desréglages du service web d’Admin Serveur,
vous pouvez valider la version préinstallée d’Apache Axis en accédant au site web suivant :
http://exemple.com:9006/axis/Chapitre 6 Utilisation de WebObjects et d’applications open source 97
Remplacez « exemple.com » par votre nom d’hôte. Notez le port Tomcat non standard.
La première fois que vous utilisez la version préinstallée d’Axis en accédant à
http://exemple.com:9006/axis/ et en sélectionnant le lien « Validate the local installation’s configuration » (Valider la configuration de l’installation locale), vous recevez
les messages d’erreur suivants :
 Warning : could not find class javax.mail.internet.MimeMessage from file mail.jar
Attachments will not work. (Classe javax.mail.internet.MimeMessage introuvable
dans le fichier mail.jar. Les pièces jointes seront inopérantes.)
See java.sun.com/products/javamail.
 Warning : could not find class org.apache.xml.security.Init from file xmlsec.jar XML
Security is not supported (Classe org.apache.xml.security.Init introuvable dans le
fichier xmlsec.jar. XML Security n’est pas pris en charge.)
See xml.apache.org/security.
Suivez les instructions qui accompagnent les messages d’avertissement si vous avez
besoin de ces composants facultatifs.
Consultez le manuel Axis User’s Guide pour en savoir plus sur l’utilisation d’Axis dans vos
applications web. Ce guide est disponible sur le site ws.apache.org/axis/java/user-guide.html.
Utilisation de Tomcat
Tomcat ajoute desfonctionnalités de servlet Java et JSP (JavaServer Pages) à Mac OS X Server.
LesservletsJava sont des applications baséessur Java quisont exécutéessur votre serveur,
par opposition aux appletsJava, quisont exécutéssur l’ordinateur de l’utilisateur.JavaServer
Pages vous permet d’incorporer desservletsJava dans vos pages web HTML.
Les spécifications de servlet Java et de JavaServer Pages sont développées par Sun
Microsystems dans le cadre de Java Community Process. La série en cours de production
est Tomcat 4.1.x, qui intègre les spécifications Java Servlet 2.3 et JavaServer Pages 1.2.
Pour en savoir plus sur Tomcat, visitez le site web http://tomcat.apache.org/.
Pour en savoir plus sur les servlets Java que vous pouvez utiliser sur votre serveur web,
consultez les sites suivants :
 java.sun.com/products/servlet
 java.sun.com/products/jsp98 Chapitre 6Utilisation de WebObjects et d’applications open source
Par défaut, la console de gestion et le service d’état de Tomcat sont désactivés. Consultez
la documentation Apache Tomcat (http://tomcat.apache.org/tomcat-6.0-doc/index.html)
pour activer etsécuriser correctement ce service dans votre environnement de déploiement.
Il est recommandé de sécuriser ce service web derrière un coupe-feu.
Pour en savoir plus, consultez le guide Tomcat the Definitive Guide paru chez O’Reilly
(www.oreilly.com).
Définition de Tomcat en tant que conteneur d’application
Vous devez utiliser Admin Serveur pour travailler avec Tomcat. Vous pouvez programmer
le lancement automatique de Tomcat au démarrage du serveur. Cela permet de garantir
que les modules Tomcat démarrent après une panne électrique ou l’arrêt du serveur.
Vous pouvez utiliser Admin Serveur ou Terminal pour activer Tomcat.
Pour démarrer Tomcat à l’aide d’Admin Serveur :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Général.
5 Cochez la case Activer Tomcat.
6 Cliquez sur Enregistrer.
À partir de la ligne de commande
Vous pouvez aussi démarrer Tomcat dans Terminal en saisissant les commandes suivantes :
$ cd /Library/Tomcat/bin
$ ./startup.sh start
Pour vous assurer que Tomcat est en cours d’exécution, utilisez un navigateur pour accé-
der au port 9006 sur votre serveur de sites web en saisissant l’adresse URL de votre site,
suivie de :9006. Si Tomcat est en cours d’exécution, cette adresse URL permet d’accéder
à la page d’accueil de Tomcat.
Utilisation de MySQL
MySQL propose une solution de gestion des bases de données relationnelles pour votre
serveur web. Grâce à ce logiciel open source, vous pouvez relier les données de différents
tableaux ou bases de données et fournir les informations sur votre site web.
L’application MySQL Manager est remplacée par le service MySQL dans Admin Serveur.Chapitre 6 Utilisation de WebObjects et d’applications open source 99
Activation du service MySQL
Pour configurer votre gestionnaire de base de données, vous devez d’abord activer
le service MySQL dans Admin Serveur.
Pour activer le service MySQL :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur Réglages, puis sur Services.
3 Cochez la case MySQL.
4 Cliquez sur Enregistrer.
Configuration du service MySQL
Utilisez les réglages du service MySQL dans Admin Serveur pour définir l’emplacement de
la base de données, activer les connexions réseau et définir le mot de passe root de MySQL.
Pour configurer le service MySQL :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Cliquez sur MySQL.
4 Cliquez sur Réglages.
5 Cochez la case « Autoriser les connexions réseau », afin de permettre aux utilisateurs
d’accéder au service MySQL.
Cette options accorde aux utilisateurs l’accès aux informations de la base de données
via le serveur web.
6 Saisissez le chemin d’accès à l’emplacement de votre base de données dans le champ
« Emplacement de la base de données ».
Vous pouvez également cliquer sur le bouton Choisir et rechercher le dossier à utiliser.
7 Cliquez sur Enregistrer.
Lancement du service MySQL
Le lancement du service MySQL s’effectue à partir d’Admin Serveur.
Pour démarrer le service MySQL :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez MySQL.100 Chapitre 6Utilisation de WebObjects et d’applications open source
4 Cliquez sur Démarrer MySQL (sous la liste Serveurs).
Le service fonctionne jusqu’à ce que vous l’arrêtiez et il redémarre si votre serveur
est redémarré.
Vérification de l’état du service MySQL
Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour surveiller le service MySQL.
Pour vérifier l’état du service MySQL :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez MySQL.
4 Cliquez sur Vue d’ensemble pour vérifier si le service MySQL est en cours d’exécution,
connaître l’heure à laquelle il a démarré et savoir si les connexions réseau sont autorisées.
Affichage et gestion des historiques de service et Admin de MySQL
Le service MySQL conserve deux types d’historique, un historique de service et des historiques Admin :
 L’historique de service MySQL enregistre l’heure des événements tels que le démarrage
et l’arrêt du service MySQL.
 L’historique Admin MySQL enregistre des informations telles que la connexion
et la déconnexion des clients, ainsi que chaque instruction SQL reçue par les clients.
Cet historique est situé dans /Bibliothèque/Logs/MySQL.log.
Vous pouvez afficher les historiques de service MySQL à l’aide d’Admin Serveur.
Pour afficher les historiques de service MySQL :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Cliquez sur MySQL.
4 Cliquez sur Historiques.
Utilisez le champ Filtre pour rechercher des entrées particulières.Chapitre 6 Utilisation de WebObjects et d’applications open source 101
Arrêt du service MySQL
Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour arrêter le service MySQL.
Pour arrêter le service MySQL :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez MySQL.
4 Cliquez sur Arrêter MySQL (sous la liste Serveurs).
Mise à niveau de MySQL
Mac OS X Server 10.5 inclut la dernière version de MySQL, à savoir la version 5.0. Comme
elle est préinstallée, elle ne se trouve pas dans /usr/local/mysql. En effet,ses éléments sont
répartis dans le système de fichiers selon la disposition standard des fichiers UNIX :
 Les fichiers exécutables de MySQL sont situés dans les dossiers /usr/sbin/ et /usr/bin/.
 Les pages man de MySQL sont situées dans le dossier /usr/share/man/.
 Les autres composants MySQL sont situés dans le dossier /usr/share/mysql/.
Une fois installée, la base de données MySQL réside dans le dossier /var/mysql/.
Une version plus récente de MySQL sera disponible sur www.mysql.com. Vous pourrez
alors en télécharger la source et l’assembler (si vous avez installé les paquets de développeur) ou télécharger la distribution binaire appropriée et l’installer, en suivant les
instructions publiées sur ce site web.
Par défaut, ces installations résident dans le dossier /usr/local/mysql/. Si vous installez votre
propre version de MySQL, vous disposerez de deux versions de MySQL sur votre système.
Cela ne pose aucun problème, à condition de ne pas tenter de les exécuter en même temps.
Assurez-vous que vous utilisez les commandes destinées à la nouvelle version en indiquant le chemin d’accès complet (qui commence par /usr/local/mysql/) ou que la variable du chemin d’accès au shell est définie pour consulter d’abord votre dossier local.102 Chapitre 6Utilisation de WebObjects et d’applications open source
Utilisation de Ruby on Rails
Ruby on Rails est un cadre d’applications web qui rencontre un fort engouement en raison
de sa facilité de développement, de son extensibilité, du fait qu’il prend en charge l’architecture « Model-View-Controller » (Modèle-Vue-Contrôleur) et aussi parce qu’il utilise Ajax via
les bibliothèques Prototype et Script.aculo.us. Pour en savoir plus, visitez le site web
www.rubyonrails.org.
Dans Mac OS X Server 10.5, Ruby on Rails est préinstallé avec plusieurs paquets
de composants très utiles, y compris le serveur web Mongrel.
Le serveur Mongrel est fourni avec l’outil mongrel_rails pour en assurer la gestion.
Mac OS X Server 10.5 prend en charge le déploiement des applications Ruby on Rails
des différentes manières suivantes :
 Il inclut une version améliorée de l’outil mongrel_rails appelée mongrel_rails_persist,
qui crée un fichier plist launchd pour exécuter Mongrel de façon continue (d’un redémarrage à l’autre) et entraîne son enregistrement auprès de Bonjour.
Cette fonctionnalité s’avère pratique, car elle permet à la sous-fenêtre Proxy de site web
d’Admin Serveur de détecter les instances de Mongrel en cours d’exécution sur le même
ordinateur et de présenter leurs adresses URL dans le menu local Membres compensateurs. Pour en savoir plus sur mongrel_rails_persist, reportez-vous à sa page principale.
 Il permet d’administrer le module mod_proxy_balancer d’Apache 2.2 dans la sousfenêtre Proxy de site web d’Admin Serveur. Cela permet d’accéder à plusieurs instances de Mongrel (ou d’un autre serveur http back-end) à l’aide d’une seule adresse URL.
Apache peut ainsi répartir sa charge sur ces services dans une proportion configurée.
 Il inclut le module mod_fastcgi pour les clients qui l’ont utilisé pour résoudre des problè-
mes de configuration et qui le préfèrent à mod_proxy_balancer. Ce module est désactivé
par défaut.
Gestion du déploiement des applications Ruby on Rails
Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour gérer le déploiement des applications Ruby
on Rails avec le module mod_proxy_balancer d’Apache 2.2.
Vous pouvez dédier votre site web (hôte virtuel) à Ruby on Rails ou vous pouvez le partager avec Ruby on Rails. Les scénarios suivants décrivent différentes façons de procéder :
 Dans le premier scénario, le site web est dédié à l’application web Ruby on Rails.
 Dans le second scénario, le site web est partagé avec l’application Ruby on Rails.
Dans ces scénarios, nous utilisons le site web générique par défaut,signalé par un astérisque dans la colonne des adresses de la liste de sites web, en tant qu’exemple. Il existe
d’autres variations selon la façon dont vous organisez vos sites web et vos applications
Ruby on Rails, mais ces deux scénarios illustrent le mécanisme général. Vous pouvez
consulter la base de connaissances pour découvrir d’autres techniques.Chapitre 6 Utilisation de WebObjects et d’applications open source 103
Scénario 1 - Dédier un site web (hôte virtuel) à l’application web qui passe par le proxy
1 Ouvrez Terminal et saisissez les commandes suivantes pour créer votre application Ruby
on Rails à l’extérieur de la racine de document de n’importe quel hôte virtuel web existant
(par exemple dans /Bibliothèque/WebServer/MonAppWeb, où MonAppWeb correspond au
nom de votre application Rails).
$ cd /Library/WebServer
$ rails MonAppWeb
$ ...
2 Démarrez le serveur web Mongrel à l’aide de la commande mongrel_rails_persist :
$ sudo mongrel_rails_persist start -p 3001 -c /Library/WebServer/MonAppWeb
Cette enveloppe de la commande mongrel_rails enregistre l’instance de Mongrel avec
Bonjour et fournit un fichier plist launchd de sorte que l’instance de Mongrel soit relancée au démarrage du serveur.
3 Utilisez Safari pour accéder à l’adresse URL Rails locale afin de confirmer que l’application
web répond :
http://127.0.0.1:3001
Si vous avez défini un modèle ou un schéma dans votre application Rails, l’adresse URL
peut ressembler à ce qui suit :
http://127.0.0.1:3001/NomDuModèle
La page de bienvenue « Welcome Aboard / You’re riding the rails » (Bienvenue. Vous naviguez à présent sur Rails) devrait s’afficher.
4 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
5 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
6 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
7 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
8 Cliquez sur Proxy sous la liste des sites web.
9 Cochez la case « Activer le proxy inversé ».
10 Assurez-vous que le champ « Chemin d’accès au proxy » est « / ».
Pour cela, toutes les adresses URL contenues dans le site web doivent passer par un proxy
pour accéder au groupe compensateur.
11 Laissez le champ « Identifiant de session permanent » vide, sauf si vous avez une raison
de spécifier une valeur.
12 Pour ajouter un membre compensateur, cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste
Membres compensateurs.104 Chapitre 6Utilisation de WebObjects et d’applications open source
13 Dans le menu local URL du serveur, indiquez l’adresse URL du membre compensateur
de charge.
Chaque instance de Mongrel exécutée localement voit s’afficher son adresse URL dans
le menu local, vous devriez donc pouvoir en sélectionner une.
Créez d’autres membres compensateurs si vous disposez de plusieurs instances de Mongrel qui servent votre application web sur cet hôte ou d’autres hôtes accessibles. Chaque
membre compensateur correspond à une instance de Mongrel, exécutée sur l’hôte local
ou les autres hôtes.
14 S’il n’existe qu’un seul membre compensateur, réglez l’option Facteur de charge sur 100.
Utilisez le champ Facteur de charge pour répartir la charge entre les membres compensateurs.
15 Laissez le champ Route vide,sauf si vous avez une raison spécifique de saisir une valeur.
16 Cliquez sur OK.
17 Cliquez sur Enregistrer.
18 Démarrez le service web s’il n’est pas déjà en cours d’exécution.
19 Utilisez Safari pour accéder à l’adresse URL du proxy afin de confirmer que l’application
web répond :
http://127.0.0.1
Si vous avez défini un modèle ou un schéma dans votre application Rails, l’adresse URL
peut ressembler à ce qui suit :
http://127.0.0.1/NomDuModèle
Il n’est pas nécessaire de saisir une barre oblique de fin.
Scénario 2 - Partager un site web (hôte virtuel) avec l’application web passant par le proxy
1 Ouvrez Terminal et saisissez les commandes suivantes pour créer votre application Ruby
on Rails à l’extérieur de la racine de document de n’importe quel hôte virtuel web existant
(par exemple dans /Bibliothèque/WebServer/MonAppWeb, où MonAppWeb correspond au
nom de votre application Rails).
$ cd /Library/WebServer
$ rails MonAppWeb
$ ...
2 Démarrez le serveur web Mongrel à l’aide de la commande mongrel_rails_persist
et de l’argument --prefix :
$ sudo mongrel_rails_persist start -p 3001 --prefix /rails -c /Library/
WebServer/MonAppWebChapitre 6 Utilisation de WebObjects et d’applications open source 105
3 Utilisez Safari pour accéder à l’adresse URL Rails locale afin de confirmer que l’application
web répond :
http://127.0.0.1:3001/rails/
Si vous avez défini un modèle ou un schéma dans votre application Rails, l’adresse URL
peut ressembler à ce qui suit :
http://127.0.0.1/rails/NomDuModèle
La page de bienvenue « Welcome Aboard / You’re riding the rails » (Bienvenue.Vous naviguez à présent sur Rails) devrait s’afficher.
4 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
5 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
6 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
7 Cliquez sur Sites, puis sélectionnez le site web dans la liste.
8 Cliquez sur Proxy sous la liste des sites web.
9 Cochez la case « Activer le proxy inversé ».
10 Dans le champ « Chemin d’accès au proxy », saisissez le préfixe que vous avez défini
sur mongrel_rails_persist, mais en ajoutant une barre oblique inverse de début et de fin.
Dans notre exemple, cela correspondrait à /rails/.
11 Laissez le champ « Identifiant de session permanent » vide, sauf si vous avez une raison
de spécifier une valeur.
12 Pour ajouter un membre compensateur, cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste
Membres compensateurs.
13 Dans le menu local URL du serveur, indiquez l’adresse URL du membre compensateur
de charge.
Chaque instance de Mongrel exécutée localement voit s’afficher son adresse URL
dans le menu local, vous devriez donc pouvoir en sélectionner une (par exemple,
http://127.0.0.1:3001/rails).
14 S’il n’existe qu’un seul membre compensateur, réglez l’option Facteur de charge sur 100.
Utilisez le champ Facteur de charge pour répartir la charge entre les membres
compensateurs.
15 Laissez le champ Route vide, sauf si vous avez une raison spécifique de saisir une valeur.
16 Cliquez sur OK.
17 Cliquez sur Enregistrer.106 Chapitre 6Utilisation de WebObjects et d’applications open source
18 Démarrez le service web s’il n’est pas déjà en cours d’exécution.
19 Utilisez Safari pour accéder à l’adresse URL du proxy afin de confirmer que l’application
web répond :
http://127.0.0.1/rails/
Si vous avez défini un modèle ou un schéma dans votre application Rails, l’adresse URL
peut ressembler à ce qui suit :
http://127.0.0.1/rail/NomDuModèle
Si vous constatez qu’une barre oblique de fin est nécessaire, vous pouvez utiliser
la section Alias de la sous-fenêtre Web d’Admin Serveur correspondant au site, puis
ajouter une entrée RedirectMatch établissant une correspondance entre /rails et /rails/.
20 Utilisez Safari pour accéder à l’adresse URL locale et vous assurer que le contenu ajouté
est disponible dans d’autres emplacements sur le site web :
http://127.0.0.17
107
7 Gestion des modules web
Ce chapitre vous permet de vous familiariser avec les modules web Apache qui offrent des commandes et des fonctions
importantes pour le service web.
Le serveur web Apache comprend plusieurs modules permettant de contrôler le fonctionnement du serveur. Mac OS X Server fournit en outre des modules dotés de fonctions
spéciales pour Macintosh.
Vue d’ensemble des modules web Apache
Les modules se connectent au serveur web Apache pour ajouter des fonctionnalités à votre
site web. Apache est livré avec plusieurs modules standard et vous pouvez en acquérir
d’autres auprès d’un vendeur de logiciels ou en télécharger sur Internet. Vous trouverez
des informations sur les différents modules Apache disponibles sur le site
www.apache.org/docs/mod.
Remarque :Rails n’est pas basé sur un module web distinct. Les explications concernant
Rails font référence à mod_proxy_balancer, qui est un module Apache 2.2 standard.
Utilisation des modules web
Le serveur web Apache repose sur un concept modulaire qui vous permet d’étendre
les fonctions de base de votre serveur web en activant des modules supplémentaires.
Admin Serveur permet d’activer ou de désactiver les différents modules.
Même si les opérations d’activation et de désactivation des modules web Apache sont
simples à réaliser dans Admin Serveur, il est généralement recommandé d’avoir un objectif précis quant aux fonctions recherchées et de bien comprendre les implications de ces
opérations.
Certains modules web s’excluent mutuellement, d’autres sont interdépendants.
Voici quelques exemples :
 auth_digest_module et digest_module ne doivent jamais être activés en même temps.108 Chapitre 7Gestion des modules web
 proxy_module doit être activé si proxy_connect_module, proxy_ftp_module,
proxy_http_module, proxy_ajp_module ou proxy_balancer_module sont activés.
 dav_module et dav_fs_module doivent présenter le même état.
 encoding_module requiert l’activation de headers_module, dav_module
et dav_fs_module.
 cache_module est nécessaire pour mem_cache_module et disk_cache_module.
Important :les modules web utilisés avec Apache 1.3 ne sont pas les mêmes que ceux
utilisés avec Apache 2.2.
Affichage des modules web
Vous pouvez afficher la liste des modules en cours d’utilisation ou disponibles sur le serveur.
Pour afficher les modules web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Modules.
5 Faites défiler la liste des modules pour voir ceux qui sont en cours d’utilisation ou
disponibles sur le serveur web.
Ajout de modules web
Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour ajouter des modules web à votre serveur web.
Avant de pouvoir ajouter un module web au serveur, vous devez d’abord l’installer.
Pour installer un module, suivez les instructions fournies avec le logiciel du module.
Le serveur web charge les modules à partir du dossier /usr/libexec/httpd/.
Pour ajouter des modules web au serveur :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Modules.
5 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter un module à la liste des modules disponibles.
6 Dans le champ Nom du module, saisissez le nom du module.
7 Pour activer le module, cochez la case Activé.
8 Dans le champ Chemin du module, saisissez le chemin d’accès au module installé
ou cliquez sur le bouton Parcourir pour sélectionner le dossier correspondant.Chapitre 7 Gestion des modules web 109
9 Cliquez sur OK.
10 Cliquez sur Enregistrer.
Activation des modules web
Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour activer des modules pour votre serveur web.
Pour activer des modules de service web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Modules.
5 Faites défiler la liste des modules pour voir ceux qui sont en cours d’utilisation ou
disponibles sur le serveur web.
6 Cochez la case Activer en regard du module à activer.
7 Cliquez sur Enregistrer.
Modification de modules web
Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour modifier des modules web sur votre serveur.
Pour modifier les réglages d’un module web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Modules.
5 Faites défiler la liste des modules pour voir ceux qui sont en cours d’utilisation ou
disponibles sur le serveur web.
6 Sélectionnez le module à modifier et cliquez sur le bouton Modifier (/).
Vous pouvez également dupliquer un module existant et en modifier les réglages.
Pour ce faire, sélectionnez le module et cliquez sur le bouton Dupliquer, puis modifiez
les réglages du module dupliqué.
7 Dans le champ Nom du module, saisissez le nom du module.
8 Cochez ou décochez la case Activé, selon que vous souhaitez activer le module pour
votre serveur web ou pas.
9 Dans le champ Chemin du module,saisissez le chemin d’accès au module installé ou cliquez
sur le bouton Parcourir pour sélectionner le dossier correspondant.110 Chapitre 7Gestion des modules web
10 Cliquez sur OK.
11 Cliquez sur Enregistrer.
Suppression de modules web
Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour supprimer des modules web de votre serveur.
Pour supprimer des modules web :
1 Ouvrez Admin Serveur et connectez-vous au serveur.
2 Cliquez sur le triangle situé à gauche du serveur.
La liste des services apparaît.
3 Dans la liste Serveurs développée, sélectionnez Web.
4 Cliquez sur Réglages, puis sur Modules.
5 Faites défiler la liste des modules pour voir ceux qui sont en cours d’utilisation ou
disponibles sur le serveur web.
6 Sélectionnez le module à supprimer et cliquez sur le bouton Supprimer (–).
7 Cliquez sur Enregistrer.
Modules propres à Macintosh
Les modules propres à Macintosh sont installés par le service web dans Mac OS X Server.
Ces modules sont décrits dans cette section.
mod_macbinary_apple
Ce module permet d’assembler des fichiers en paquets au format MacBinary, afin de
permettre le téléchargement de fichiers Macintosh directement à partir de votre site
web. Les utilisateurs peuvent télécharger ces fichiers MacBinary à l’aide d’un navigateur
web standard en ajoutant l’extension « .bin » à l’adresse URL utilisée pour accéder au fichier.
Cette fonction n’est disponible que dans Apache 1.3.
mod_spotlight_apple
Ce module permet à Apache d’utiliser Spotlight pour effectuer des recherches sur votre
site web et de classer les résultats en fonction de leur pertinence. Une fois votre site
indexé, vous pouvez proposer un champ de recherche aux utilisateurs.
Les clients doivent ajouter l’extension .spotlight à l’adresse URL de votre site (par exemple,
http://www.example.com/.spotlight) pour accéder à une page permettant d’effectuer des
recherches sur votre site web.Chapitre 7 Gestion des modules web 111
mod_auth_apple
Ce module permet à un site web d’authentifier les utilisateurs en consultant les domaines
de service du système de fichiers spécifiés par les règles de recherche du serveur. Une fois
l’authentification activée, les visiteurs du site sont invités à saisir un nom d’utilisateur et un
mot de passe pour accéder aux informations relatives au site.
mod_hfs_apple
Ce module, qui nécessite que les utilisateurs saisissent l’adresse URL des volumes HFS
en utilisant la casse correcte (minuscules ou majuscules), permet d’ajouter un niveau
de sécurité supplémentaire aux volumes qui ne sont pas sensibles à la casse.
mod_digest_apple
Ce module permet d’activer l’authentification digest d’un royaume WebDAV. Il s’agit
du plus ancien module d’authentification digest par défaut basé sur le module Apache
mod_digest, mais modifié pour utiliser Open Directory plutôt que des fichiers htdigest.
C’est le module digest par défaut, car il fonctionne avec les maîtres Open Directory
exécutant Mac OS X Server v10.4.
Il est conseillé d’utiliser ce type de recommandation plutôt que l’authentification de base,
car il évite l’envoi des mots de passe en clair.
mod_auth_digest_apple
Ce module permet d’activer l’authentification digest d’un royaume WebDAV.
Il s’agit du module d’authentification digest le plus récent basé sur le module Apache
mod_auth_digest, mais modifié pour utiliser Open Directory plutôt que des fichiers
htdigest. Il est désactivé par défaut, car il requiert que le maître Open Directory utilise
Mac OS X 10.5.
mod_spnego
Ce module fournit l’authentification Kerberos aux utilisateurs Open Directory via le protocole SPNEGO/Negotiate.
mod_encoding
Ce module open source, personnalisé par Apple et accompagné d’une modification
du module WebDAV mod_dav, permet d’inclure des caractères japonais dans le nom
des fichiers WebDAV.
mod_bonjour
Ce module permet aux administrateurs de contrôler la façon dont les sites web sont
enregistrés avec la multidiffusion DNS.112 Chapitre 7Gestion des modules web
Modules Open Source
Mac OS X Server comprend plusieurs modules web open source très répandus tels
que Tomcat et PHP.
Tomcat
Ce module, qui utilise un langage de scripts de type Java, constitue l’implémentation de
référence officielle de Java Servlet et JavaServer Pages développée sous Java Community
Process.
Tomcat doit être activé pour pouvoir être utilisé.
Pour en savoir plus sur Tomcat et sur son activation, reportez-vous à la section « Utilisation
de Tomcat » à la page 97.
PHP
PHP (PHP Hypertext Preprocessor) désigne un langage de scripts côté serveur, intégré au
code HTML et semblable au langage C, qui vous permet de gérer des contenus web dynamiques. Les développeurs web incorporent le code PHP au code HTML, permettant ainsi
aux programmeurs d’intégrer une logique dynamique directement dans un script HTML,
plutôt que d’écrire un programme générant du code HTML.
Le langage PHP offre des fonctions similaires à celles des scripts CGI, mais prend également en charge plusieurs formats de bases de données et peut communiquer sur plusieurs réseaux grâce à de nombreux protocoles.
Les bibliothèques PHP sont incluses dans Mac OS X Server, mais sont désactivées
par défaut.
Contrairement au code JavaScript exécuté côté client, le code PHP est exécuté sur le
serveur. Il est également utilisé pour l’implémentation de Webmail sur Mac OS X Server.
Pour en savoir plus sur ce module, consultez le site www.php.net.
Important :si vous procédez à une mise à niveau sur votre serveur et que vous conservez
Apache 1.3 avec PHP 4.4.x, vous devrez passer à Apache 2.2 avec PHP 5.x avant le 8 août
2008, date à laquelle PHP cessera de prendre en charge PHP 4.4.
mod_perl
Ce module intègre l’interpréteur Perl au serveur web, ce qui permet aux scripts Perl CGI
existants d’être exécutés sans subir de modifications. Cette intégration permet une exé-
cution plus rapide des scripts et une moindre consommation des ressources système.
Pour en savoir plus sur ce module, visitez le site perl.apache.org.
mod_encoding
Le service web inclut le module open source Apache mod_encoding, afin d’améliorer
l’interopérabilité de WebDAV avec les noms de fichiers non-ASCII.Chapitre 7 Gestion des modules web 113
Le module mod_encoding est désactivé par défaut. Ce module est installé et les directives
de configuration se trouvent dans le fichier Apache config, mais elles ne sont pas activées
car les directives LoadModule et AddModule qui permettent d’informer Apache sur
le module mod_encoding sont désactivées.
Pour prendre en charge les noms de fichiers non-ASCII, vous devez activer le module
mod_encoding. Assurez-vous que le module dav_module est également activé.
Le module mod_encoding permet d’étendre les fonctionnalités d’Apache. Il est contrôlé
par plusieurs directives de configuration.
Le fichier de configuration Apache fourni avec le service web contient un certain nombre
de directives qui sont normalement suffisantes pour répondre à la plupart des besoins.
Pour modifier ces directives, vous devez éditer le fichier /etc/httpd/httpd.conf à l’aide
d’un éditeur de texte.
Vous trouverez ci-dessous la description des directives prises en charge par le module
mod_encoding.
Directive EncodingEngine : permet d’activer et de désactiver le module mod_encoding.
Pour que ce module fonctionne correctement, la version spéciale des modules mod_dav
et mod_dav_encoding doit également être activée.
Directive AddClientEncoding :bien que les clients WebDAV soient censés envoyer leurs
données en respectant le codage UTF-8 ou tout autre style aisément détectable, certains
les envoient en codage propre à une plateforme particulière et non détectable automatiquement. Cette situation nécessite l’utilisation de cette directive qui établit une correspondance entre les noms de codage et les types de clients.
Cette directive spécifie les codages attendus de chaque type de client. Les clients sont identifiés par leur nom d’agent qui peut être spécifié sous la forme d’un modèle à l’aide d’une
expression rationnelle étendue.N’utilisez jamais « .* » comme nom d’agent. Utilisez DefaultClientEncoding.
Ce module utilise la chaîne CFString CoreFoundation et prend en charge tous les codages pris en charge par cette chaîne. Les noms de codage enregistrés IANA sont généralement pris en charge.
Syntaxe
Valeurpar
défaut Contexte Compatibilité
EncodingEngine [ on | off ] Désactivé Config. serveur Apache 1.3.x ; Mac OS X
Server uniquement
Syntaxe
Valeurpar
défaut Contexte Compatibilité
AddClientEncoding agent-name
encoding [ encoding...]
Aucun Config. serveur Apache 1.3.x ; Mac OS X
Server uniquement114 Chapitre 7Gestion des modules web
Directive DefaultClientEncoding :cette directive indique à l’ensemble de codages
par défaut ce à quoi s’attendre des différents clients en général. Vous n’avez pas besoin
de spécifier UTF-8, car il s’agit du codage par défaut.
Directive NormalizeUsername :cette directive est introduite pour prendre en charge
le comportement de Microsoft Windows XP lors de l’accès à une ressource protégée par
un mot de passe. Les clients Windows XP doivent ajouter « hostname\ » devant le nom
d’utilisateur réel. L’activation de cette option supprime la partie « hostname\ », afin que
seul le nom d’utilisateur « réel » soit transmis au module d’authentification interne.
Pour en savoir plus sur le module mod_encoding, téléchargez votre propre version
et consultez la documentation complémentaire fournie avec la distribution source,
à l’adresse suivante :
www.denpa.org/~go/denpa/200302/mod_encoding+mod_dav-macosx.tar.gz
Syntaxe
Valeurpar
défaut Contexte Compatibilité
DefaultClientEncoding encoding
[ encoding...]
UTF-8 Config. serveur Apache 1.3.x ; Mac OS X
et Mac OS X Server
uniquement
Syntaxe
Valeurpar
défaut Contexte Compatibilité
NormalizeUsername [ on | off ] Désactivé Config. serveur Apache 1.3.x ; Mac OS X
et Mac OS X Server
uniquement8
115
8 Résolution des problèmes
de service web
En cas de problèmes avec le service web ou l’un de
ses composants, référez-vous aux astuces et stratégies
proposées dans ce chapitre.
Il est possible que vous rencontriez de temps en temps un problème lors de la configuration ou de la gestion des services web. Certaines situations susceptibles d’entraîner
un problème pour l’administration du service web ou pour les connexions clientes sont
décrites dans ce chapitre.
Les utilisateurs ne parviennent pas à se connecter à un site
web sur votre serveur
Essayez d’appliquer les stratégies suivantes pour identifier le problème :
 Assurez-vous que le service web est en cours de fonctionnement et que le site est activé.
 Consultez la fenêtre Vue d’ensemble du service web pour vous assurer que le serveur
fonctionne.
 Vérifiez l’accès à Apache et les historiques d’erreurs. (Si vous n’êtes pas certain de la signification des messages, vous trouverez des explications sur le site web Apache, à l’adresse
www.apache.org.)
 Assurez-vous que les utilisateurs saisissent l’URL appropriée pour se connecter
au serveur web.
 Assurez-vous que le dossier correct est sélectionné comme dossier web par défaut.
Assurez-vous que le fichier HTML correct est sélectionné comme page par défaut.
 Si votre site web est limité à des utilisateurs particuliers, assurez-vous que ces utilisateurs disposent d’autorisations d’accès à votre site web.
 Assurez-vous que les ordinateurs des utilisateurs sont correctement configurés pour
le protocole TCP/IP. Si les réglages TCP/IP sont corrects, utilisez un utilitaire ping pour
vérifier les connexions réseau.
 Vérifiez qu’il ne s’agit pas d’un problème de DNS. Essayez d’utiliser l’adresse IP du serveur
au lieu de son nom DNS pour vous connecter.
 Assurez-vous que l’entrée de votre serveur DNS est correcte en ce qui concerne
l’adresse IP et le nom de domaine du site web.116 Chapitre 8Résolution des problèmes de service web
Un module web ne fonctionne pas comme prévu
Essayez d’appliquer les stratégies suivantes pour identifier le problème :
 Examinez l’historique des erreurs dans Admin Serveur, afin de déterminer la cause
du mauvais fonctionnement du module.
 Si ce module était fourni avec votre serveur web, consultez la documentation Apache
concernant ce module et assurez-vous que la fonction indiquée de ce module correspond à vos attentes.
 Si vous avez installé ce module, consultez la documentation fournie avec le module
web pour vous assurer qu’il est correctement installé et compatible avec votre logiciel
de serveur.
Pour en savoir plus sur les modules Apache pris en charge pour Mac OS X Server,
consultez la section « Utilisation des modules web » à la page 107 ansi que le site
web Apache à l’adresse www.apache.org/docs/mod.
Un script CGI ne fonctionne pas
Essayez d’appliquer cette stratégie pour identifier le problème.
Vérifiez les autorisations du fichier de scripts CGI pour vous assurer qu’il s’agit d’un script
exécutable par www. Si tel n’est pas le cas, le script ne peut fonctionner sur votre serveur,
même si vous avez activé l’exécution CGI dans Admin Serveur. 117
Glossaire
Glossaire
Adresse IPAdresse numérique unique qui identifie un ordinateur sur Internet.
ApacheServeur HTTP open source intégré à Mac OS X Server. Le site (en anglais)
www.apache.org contient des informations détaillées sur Apache.
blogPage web présentant des entrées dans un ordre chronologique. Un blog est souvent
utilisé comme journal ou lettre d’informations électronique.
BlojsomLe projet open source sur lequel repose le service de journal web
de Mac OS X Server 10.4.
certificatParfois appelé « certificat d’identité » ou « certificat de clé publique ». Fichier
de format spécifique (Mac OS X Server utilise le format X.509) contenant la clé publique
d’une paire de clés publique et privée, les informations d’identification de l’utilisateur,
par exemple son nom et ses coordonnées, ainsi que la signature numérique émise par
une Autorité de certificat ou l’utilisateur de la clé.
CGICommon Gateway Interface. Script ou programme permettant d’ajouter des fonctions
dynamiques à un site web. Un script CGI transmet les informations entre un site Web et une
application au service du site.
Common Gateway InterfaceVoir CGI.
HTMLInitiales de « Hypertext Markup Language » (langage de structuration hypertexte).
Ensemble de symboles ou de codes insérés dans un fichier afin d’être affiché sous forme
de page dans un navigateur web. La structure indique au navigateur web la manière d’afficher à l’utilisateur les mots et les images d’une page web.
HTTPHypertext Transfer Protocol. Protocole client/serveur pour le web. Le protocole HTTP
permet aux navigateurs web d’accéder à un serveur web et de demander des documents
hypermédias créés avec du code HTML.
Internet ProtocolVoir IP.118 Glossaire
IPInternet Protocol. Également désigné par IPv4. Méthode utilisée conjointement avec
le protocole TCP (Transmission Control Protocol) pour envoyer des données d’un ordinateur à un autre via un réseau local ou via Internet. Le protocole IP envoie les paquets de
données, alors que le protocole TCP se charge de leur suivi.
JavaScriptLangage de pilotage par script utilisé pour ajouter une certaine interactivité aux pages web.
JBossServeur d’applications Java gérant les applications Java 2 Platform, Enterprise
Edition (J2EE).
journal webVoir blog.
multicast DNSProtocole développé par Apple pour la découverte automatique d’ordinateurs, de périphériques et de services sur les réseaux IP. Appelé « Bonjour » (auparavant
« Rendezvous ») par Apple, ce protocole, proposé comme standard Internet, est parfois
appelé ZeroConf ou multicast DNS. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.apple.com/fr/
ou www.zeroconf.org (en anglais). Pour savoir comment ce protocole est utilisé sous
Mac OS X Server, reportez-vous à nom d’hôte local.
MySQLOutil de gestion de base de données relationnelles open source fréquemment
utilisé par les serveurs web.
nom d’hôte localNom qui désigne un ordinateur sur un sous-réseau local. Il peut être
utilisé sans système DNS global pour convertir les noms en adresses IP. Il est constitué de
lettres minuscules, de nombres ou de tirets (sauf pour le dernier caractère) et se termine
par « .local » (par exemple, ordinateur-jean.local). Bien que le nom par défaut soit dérivé
du nom d’ordinateur, un utilisateur peut reprendre ce nom dans la sous-fenêtre Partage
des Préférences Système. Il peut aussi être aisément modifié et utilisé dans tous les cas où
un nom DNS ou un nom de domaine complet est utilisé. Il ne peut être converti que sur
le même sous-réseau que l’ordinateur qui l’utilise.
nom d’utilisateurNom complet d’un utilisateur, parfois appelé nom réel de l’utilisateur.
Open SourceTerme désignant le développement coopératif de logiciels par la communauté Internet. Le principe de base consiste à impliquer le maximum de personnes
dans l’écriture et la mise au point du code en publiant le code source et en encourageant la formation d’une large communauté de développeurs qui feront part de leurs
modifications et améliorations.
PHPInitiales de « PHP Hypertext Preprocessor » (à l’origine, acronyme de « Personal
Home Page », page d’accueil personnelle). Langage de script incorporé à HTML et
utilisé pour créer des pages web dynamiques.Glossaire 119
portSorte d’emplacement de messagerie virtuel. Un serveur utilise des numéros de port
pour déterminer quelle application doit recevoir les paquets de données. Les coupe-feu utilisent des numéros de port pour déterminer si les paquets de données sont autorisés à transiter par un réseau local. Le terme « port » fait généralement référence à un port TCP ou UDP.
protocoleEnsemble de règles qui déterminent la manière dont les données sont
échangées entre deux applications.
royaumeTerme général utilisé pour plusieurs applications. Voir royaume WebDAV,
royaume Kerberos.
royaume KerberosDomaine d’authentification comprenant les utilisateurs et les services
enregistrés auprès du même serveur Kerberos. Les utilisateurs et services enregistrés délè-
guent au serveur Kerberos la vérification de l’identité de chacun.
royaume WebDAVPartie d’un site web, généralement un dossier ou un répertoire,
défini pour fournir l’accès à des utilisateurs et des groupes WebDAV.
Serveur d’applicationsLogiciel qui exécute et gère d’autres applications, généralement des applications web accessibles à l’aide d’un navigateur web. Les applications
gérées résident sur le même ordinateur que le serveur d’applications.
serveur proxyServeur placé entre une application cliente, telle qu’un navigateur web,
et un serveur réel. Le serveur proxy intercepte toutes les requêtes envoyées au serveur
réel pour vérifier s’il peut y répondre lui-même. Si ce n’est pas le cas, il transmet la requête
au serveur réel.
SSLInitiales de « Secure Sockets Layer » (couche sécurisée pour sockets réseau).
Protocole Internet permettant d’envoyer des informations authentifiées et chiffrées
à travers Internet. Les versions les plus récentes de SSL sont connues sous le nom
de TLS (Transport Level Security).
TCPInitiales de « Transmission Control Protocol » (protocole de contrôle des transmissions). Méthode utilisée conjointement avec le protocole IP (Internet Protocol) pour
envoyer des données, sous la forme d’unités de message, d’un ordinateur à un autre
à travers Internet. Le protocole IP gère la livraison effective des données, tandis que
le protocole TCP assure le suivi des unités de données (chaque message est divisé en
unités, appelées « paquets », qui permettent leur acheminement efficace sur Internet).
TomcatImplémentation de référence officielle de Java Servlet 2.2 et JavaServer Pages 1.1,
deux technologies complémentaires développées dans le cadre de Java Community Process.
tousTout utilisateur pouvant ouvrir une session sur un serveur de fichiers : un utilisateur
enregistré ou un invité, un utilisateur FTP anonyme ou encore un visiteur de site web.120 Glossaire
URLInitiales de « Uniform Resource Locator » (localisateur uniforme de ressources).
Adresse d’un ordinateur, d’un fichier ou d’une ressource, accessible à travers un réseau
local ou Internet. L’URL se compose du nom du protocole nécessaire pour accéder
à la ressource, d’un nom de domaine identifiant un ordinateur particulier sur Internet
et d’une description hiérarchique de l’emplacement d’un fichier sur l’ordinateur.
WebDAVWeb-based Distributed Authoring and Versioning. Environnement de création
en direct permettant à des utilisateurs clients de prendre des pages web, de les modifier,
puis de les rendre à leur site d’origine sans interruption de ce dernier. 121
Index
Index
A
access
ACLs62
and aliases45
and Apache Axis90
blog service17, 76
CGI script permissions51
client connections32, 33
proxy server27
securing web content59
user20, 40
WebDAV19, 54, 55, 104
webmail78
website36, 40, 45
accounts, webmail78
ACLs (access control lists)62
AddClientEncoding directive105
addresses. See IP addresses
aliases, website45, 56
Apache Axis90
apachectl controls88
Apache web server
command-line tools88
configuration86, 87, 88
file locations87
installation16, 86
migration log42
multicast DNS registration89
overview15, 16, 17, 87
privilege assignments36
and Ruby on Rails94
website options39
See also modules, web
authentication
passwords45, 53, 78
users on websites102
WebDAV41, 103
B
balancer member47
blog service
access control17, 76
definition48
enabling75
entries75
overview17
themes29
and wikis62, 64
browsers, WebDAV access55
C
cache
performance18, 32, 89
proxy27
cache module100
calendar, website48, 72, 73, 74
Cascading Style Sheets. See CSS
case-insensitive file systems, securing59, 103
cat tool30
certificates44, 53
CGI (Common Gateway Interface) scripts
and content handlers26
enabling40, 51
overview16
Perl104
troubleshooting108
clear text password78
clients
connections32, 33
encoding module for WebDAV105
NormalizeUsername directive105
proxy server27, 47
Spotlight searching52
See also users
command-line tools
Apache script88
log viewing31
Ruby on Rails95
Server Admin30, 32, 89
web service process30
Common Gateway Interface scripts. See CGI
configuration
Apache86, 87
overview17
webmail79122 Index
web server17
web service23, 24, 28, 29
websites18, 19, 35, 36, 49, 57
wikis63
content handlers21, 25
CSS (Cascading Style Sheets)71
D
dav_fs module99
dav module99
decryption43
DefaultClientEncoding directive105
digest authentication, WebDAV41, 103
digest module99
disk_cache module100
DNS (Domain Name System) service45, 56, 89
documentation11, 12, 13
Domain Name System. See DNS
E
email. See webmail
EncodingEngine directive105
encoding module100
encryption17, 43
error messages. See troubleshooting
Everyone user category20
F
files
Apache87
permissions55
and WebDAV access19, 104
wiki62, 68, 69
file sharing19, 55
file systems
case-insensitive59
defining realms20
finding. See searching
folders
Apache87
defining realms20
home folders57
permissions55
webmail79
website35, 36, 37, 40, 49
wiki62
fonts, customizing wiki70
forward proxy27
G
graphs, web31
groups
blog service75
permissions20
wiki48, 64
H
headers module100
help, using10
home folders57
hosts. See servers
HTTP (Hypertext Transfer Protocol)43
See also Apache web server
hyperlinks, inserting wiki67
Hypertext Transfer Protocol. See HTTP
I
iCal service72, 73, 74
See also calendar, website
IMAP (Internet Message Access Protocol)78
indexes, website52, 57, 58
installation, Apache web server16, 86
Internet Message Access Protocol. See IMAP
intranets. See wikis
IP addresses45, 56
J
Java84, 90, 103
JSP (JavaServer Pages)90, 103
K
Kerberos41
L
Leopard server. See Mac OS X Server
load factor47
logs
Apache migration42
MySQL service93
web service30, 31
website42, 53
wiki42
M
MacBinary format102
Mac OS X
user content57
WebDAV access problem55
Mac OS X Server
Apache server installation16, 86
user content57
mailing lists80
mail service20, 25, 78
See also webmail
mem_cache module100
migration16, 42
MIME (Multipurpose Internet Mail Extensions)20, 25
mod_auth_apple module102
mod_auth_digest_apple module103
mod_bonjour module103
mod_digest_apple module103Index 123
mod_encoding module103
mod_fastcgi module95
mod_hfs_apple module59, 103
mod_macbinary_apple module102
mod_perl module104
mod_proxy_balancer module95
mod_spnego module103
mod_spotlight_apple module102
modules, web
adding100
enabling101
Macinstoch-specific59, 102, 103
modifying101
overview99
PHP103
Ruby on Rails95
setup28
Tomcat90, 91, 103
troubleshooting107
viewing100
mongrel_rails tool95
Mongrel web server94
Monitor, WebObjects86
multicast DNS registration89, 103
multihoming56
multiple websites on server, managing18, 56, 57
Multipurpose Internet Mail Extensions. See MIME
MySQL service92, 93, 94
N
network interfaces, multiple57
network services
DNS45, 57, 89
IP addresses45, 56, 57
NormalizeUsername directive105
O
off_digest module99
Open Directory103
open source modules41, 103, 104
See also modules, web
P
passwords45, 53, 78
performance cache18, 32, 89
Perl scripting80, 104
permissions
blog service76
CGI scripts51
user19, 20, 40, 53, 55, 56
WebDAV19, 40, 55
website access36
Personal Web Sharing57
PHP (PHP Hypertext Preprocessor)104
plist files71
POP (Post Office Protocol78
ports
and SSL43
WebObjects service84
website38, 48, 50
Post Office Protocol. See POP
private key cryptography43
privileges. See permissions
problems. See troubleshooting
protocols
HTTP43
mail78
Soap90
SPNEGO/Negotiate103
proxy_ajp module99
proxy_connect module99
proxy_ftp module99
proxy_http module99
proxy server settings27, 38, 47
ps tool30
public key cryptography43
R
Rails. See mod_proxy_balancer module
Really Simple Syndication. See RSS
realms20, 40
See also Kerberos; WebDAV; websites
redirect, website45
reverse proxy47
RSS (Really Simple Syndication)17
Ruby on Rails web framework94
S
SACLs (service access control lists)17, 76
searching
Spotlight40, 52
websites50, 52, 59, 102
wiki pages68, 69
Secure Sockets Layer. See SSL
security
and file case sensitivity59
SSL17, 18, 43
WebDAV19
webmail78
websites43, 53
wiki62
See also access; authentication; permissions
Server Admin15, 23
serveradmin tool30, 32, 89
servers
balancer member47
content handlers21
mail78
MIME types26
Mongrel94124 Index
proxy27, 38, 47
setup for web17
Tomcat90, 91, 103
See also Apache web server; websites
server side includes. See SSI
service access control lists. See SACLs
setup procedures. See configuration; installation
shared files. See file sharing
short name58
SMTP (Simple Mail Transfer Protocol)78
Soap (Simple Object Access Protocol)90
SPNEGO/Negotiate protocol103
Spotlight searching40, 52
SquirrelMail. See webmail
SSI (server side includes)17, 40, 52
SSL (Secure Sockets Layer)17, 18, 43
sticky session identifier47
T
tables, inserting wiki67
tags, wiki page68
tail tool30
themes, blog and wiki29, 71
timeout, connection33
Tomcat application server90, 91, 103
top tool30
troubleshooting42, 107, 108
U
upgrading
Apache web server16
logs42
MySQL94
and PHP versions104
user accounts, webmail78
users
access control20, 40
and blog service17, 75
home folders57
mailing lists80
permissions19, 20, 40, 53, 55, 56
webmail77, 78
websites39, 57, 59, 107
wikis48, 64
See also clients; groups
V
virtual hosts56, 89
W
Web-Based Distributed Authoring and Versioning.
See WebDAV
webblog service. See blog service
web browsers and WebDAV access55
WebDAV (Web-Based Distributed Authoring and
Versioning)
access control19, 54, 55, 56, 104
authentication41, 103
enabling40, 54
encoding module103
files and folders56
file sharing55
non-ASCII file names104
overview16, 19
permissions19, 40, 56
realm definitions20, 40
security19
starting40
website management54, 55, 56
webmail
access control78
archives80
enabling48, 78
overview77, 78
and PHP104
security78
setup48, 79
wikis62
WebObjects service83, 84, 85, 86
web service
connections32, 33
graphs31
logs30, 31
setup23, 24, 28, 29
starting24, 29
status checking30
stopping31
troubleshooting107, 108
See also blog service; modules, web; webmail;
websites; wikis
websites
access control36, 40, 45
aliases56
Apache options39
authentication of users102
browsers55
calendar feature48, 72, 73, 74
connections48, 50, 107
creating38, 39
folders35, 36, 40, 49
logs42, 53
multiple sites on one server18, 56, 57
ports38, 48, 50
proxy server27, 47
searching50, 52, 59, 102
security43, 54, 62
services settings48
setup18, 19, 35, 37, 49, 57
SSI50
troubleshooting107Index 125
user content39, 57, 59, 107
viewing31
See also blog service; WebDAV; wikis
web technologies overview9, 15, 16, 17
wikis
and blog service62, 64
calendar feature72, 73, 74
connections65
customizing70, 71
definition48
enabling64
file organization62, 68, 69
help resources71
logs42
overview61, 62
page management66, 67, 68, 69, 70
security62
settings65
setup overview63, 64
themes29, 71
wildcard, website aliases45
wireframe theme, wiki71
wotaskd daemon84
Compressor 4
Manuel de l’utilisateurCopyright © 2012 Apple Inc. Tous droits réservés.
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Bonjour. « Koffee House Mayhem » © 2004 Jean-Paul
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Photos de plateau du film « A Sus Ordenes » reproduites
avec l’aimable autorisation de Eric Escobar. « A Sus
Ordenes » © 2004 Eric Escobar. Tous droits réservés.
http://www.kontentfilms.comPréface 9 Bienvenue dans Compressor
9 À propos de Compressor
10 À propos de la documentation de Compressor
10 Ressources supplémentaires
Chapitre 1 11 Premiers contacts rapides
11 Terminologie utilisée par Compressor
12 Flux de travaux Compressor rapide et facile : méthode Modèle de lot
17 Flux de travaux Compressor rapide et facile : méthode manuelle
24 Tâches optionnelles disponibles avant l’envoi d’un lot
Chapitre 2 27 Méthodes d’utilisation de Compressor
28 Scénarios standard de Compressor
29 Fonctions de Compressor
Chapitre 3 33 Flux de production de transcodage de base
33 Concepts et terminologie de Compressor
36 Préparation de Compressor au transcodage à l’aide de réglages personnalisés
38 Choix d’un format de sortie
39 Création d’un lot Compressor
42 Visualisation de l’état du transcodage
42 Raccourcis optionnels de Compressor
Chapitre 4 45 Interface de Compressor
46 Les fenêtres Compressor et le flux de transcodage
47 Création et gestion des modèles Compressor
50 Utilisation des fenêtres de Compressor
53 Fenêtre Lot
57 Onglet Réglages
58 Onglet Destinations
58 Fenêtre Inspecteur
68 Fenêtre Historique
69 Fenêtre Aperçu
71 Fenêtre Apple Qmaster Sharing
3
Sommaire72 Share Monitor
73 Fenêtres Droplet
74 À propos du changement des valeurs et des entrées de timecode
76 Raccourcis clavier
Chapitre 5 77 Configuration des préférences de Compressor
77 À propos des préférences de Compressor
80 Utilisation des préférences de Compressor
Chapitre 6 83 Importation de fichiers multimédias sources
84 À propos de la fenêtre Lot
87 Ajout de fichiers multimédias sources à un lot pour créer des tâches
97 Utilisation de l’Inspecteur avec des fichiers multimédias sources
100 Astuces pour l’importation de fichiers multimédias sources
Chapitre 7 103 Création, aperçu et modification des réglages
104 À propos de l’onglet Réglages
108 Utilisation de l’Inspecteur avec les réglages
109 Duplication des réglages
110 Création d’un réglage entièrement nouveau
112 Recherche d’un réglage
112 Aperçu d’un réglage
114 Suppression de réglages
115 Création de groupes de réglages
116 Distribution et partage de réglages
117 Exemple : Création de réglages et de groupes personnalisés pour un DVD
Chapitre 8 121 Finalisation de tâches et soumission de lots
121 Affectation de réglages
126 Attribution de destinations
128 Informations générales sur les cibles et les tâches
131 Généralités sur les lots
138 Utilisation de Final Cut Pro et Motion avec Compressor
140 Utilisation du traitement distribué avec Compressor
Chapitre 9 143 Création de fichiers AIFF
143 Création de fichiers de sortie AIFF
144 À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder
144 À propos de la zone de dialogue Réglages audio
145 Tailles et fréquences d’échantillonnage audio QuickTime
146 Choix d’un codec audio pour la distribution
146 Configuration des réglages AIFF
4 SommaireChapitre 10 147 Création de fichiers de formats audio courants
147 Création de fichiers de formats audio courants
148 À propos de la sousfenêtre Formats audio courants
148 Configuration des réglages Formats audio courants
Chapitre 11 151 Création de fichiers de sortie pour flux DV
151 À propos de la sous-fenêtre Encodeur DV
152 Processus de transcodage DV
Chapitre 12 153 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional
154 À propos de la sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital Professional
160 Informations générales sur la création de fichiers Dolby Digital Professional
161 Conversion de fichiers audio stéréo au format Dolby Digital Professional
162 Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode manuelle)
165 Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthodes automatiques)
167 Affectation de fichiers à des canaux audio Surround à l’aide de droplets
167 Options de mixage spatial
Chapitre 13 171 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple
172 À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils Apple
175 Marqueurs de chapitre et de podcast pour les appareils Apple
176 Proportions pour les appareils Apple
177 Flux de production H.264 pour appareils Apple
177 Configuration des réglages pour fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple
Chapitre 14 179 Création de fichiers H.264 pour disque Blu-ray
180 À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour disque Blu-ray
182 Flux de production H.264 pour disque optique
Chapitre 15 185 Création de fichiers de séquence d’images
185 Création de fichiers de sortie de séquence d’images
186 À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images
187 Définition de réglages de séquence d’images
Chapitre 16 191 Création de fichiers de sortie MP3
191 Utilisations courantes du format MP3
192 À propos de la sous-fenêtre Encodeur MP3
194 Processus de transcodage MP3
Chapitre 17 195 Création de fichiers de sortie MPEG-1
195 Utilisations courantes de MPEG-1
196 Spécifications de la norme MPEG-1
197 À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1
Sommaire 5198 À propos de l’onglet Vidéo MPEG-1
200 À propos de l’onglet Audio MPEG-1
200 À propos des flux système et élémentaires
201 Flux de production de transcodage MPEG-1
202 Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation Web
204 Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation DVD
204 Création du réglage Vidéo MPEG-1 pour DVD
206 Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD
208 Facultatif : création d’un groupe et d’une destination MPEG-1 pour DVD
Chapitre 18 209 Création de fichiers de sortie MPEG-2
209 À propos du format MPEG-2 en définition standard
210 À propos des sources haute définition et de MPEG-2
211 À propos des flux élémentaires, des flux de transport et des flux de programme
212 À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2
223 Informations de référence MPEG-2
228 Flux de production de transcodage MPEG-2
234 Exemples de paramètres MPEG-2
Chapitre 19 237 Création de fichiers de sortie MPEG-4
238 À propos de MPEG-4 Partie 2
239 À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 Partie 2
243 Utilisation des réglages par défaut du format MPEG-4 Partie 2
244 Personnalisation des réglages du format MPEG-4 Partie 2
247 Processus de podcasting audio
250 Ajout de réglages et préréglages supplémentaires
Chapitre 20 251 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime
251 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime
252 Installation des modules de composant d’exportation QuickTime
252 À propos du module iPod
253 À propos de la sous-fenêtre Encodeur Composants d’exportation au format QuickTime
253 Configuration des réglages de composant d’exportation
Chapitre 21 255 Création de fichiers de sortie QuickTime
255 Création de fichiers de sortie QuickTime
256 À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime
263 Flux de production de transcodage QuickTime
267 Compréhension des codecs
267 Codecs vidéo QuickTime
268 Codecs audio QuickTime
Chapitre 22 271 Ajout de filtres à un réglage
271 Utilisation des filtres
6 Sommaire273 À propos de la sous-fenêtre Filtres
274 Onglet Filtres vidéo
281 Onglet Filtres audio
284 Onglet Couleur
285 Ajout de filtres à un réglage
Chapitre 23 287 Utilisation des contrôles d’images
287 À propos de la sous-fenêtre Contrôles d’images
293 Ajout de contrôles d’images à un réglage
294 À propos du désentrelacement
295 À propos du télécinéma inverse
298 Utilisation des contrôles de resynchronisation
Chapitre 24 301 Ajout de réglages de géométrie
301 Utilisation du rognage, de la mise à l’échelle et du remplissage
303 À propos de la sous-fenêtre Géométrie
308 Ajustements de géométrie pour un réglage
Chapitre 25 311 Ajout d’actions
311 Utilisation des actions de post-transcodage
311 Ajout d’actions de réglage
313 Ajout d’actions de tâche
Chapitre 26 329 Utilisation de la fenêtre Aperçu
329 À propos de la fenêtre Aperçu
336 Prévisualisation d’un plan
342 Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Aperçu
343 Utilisation de marqueurs et d’affiches
350 À propos des raccourcis clavier de la fenêtre Aperçu
Chapitre 27 351 Création et changement de destinations
352 À propos de l’onglet Destinations
353 Utilisation de l’Inspecteur avec l’onglet Destinations
354 Création d’une destination
355 Triangles d’avertissement
356 Suppression et duplication d’une destination
Chapitre 28 359 Utilisation de droplets
360 Création de droplets
362 À propos de la fenêtre Droplet
364 Contrôle des réglages de droplet
366 Utilisation d’un droplet pour transcoder des fichiers multimédias sources
368 Utilisation de droplets pour créer des tâches et des réglages dans Compressor
369 Conseils à propos des droplet
Sommaire 7Chapitre 29 371 Apple Qmaster et le traitement distribué
371 Notions élémentaires sur le traitement distribué
373 Composants élémentaires du système de traitement distribué Apple Qmaster
381 Premiers contacts rapides avec Cet ordinateur plus
382 Premiers contacts rapides avec QuickClusters
385 Interfaces du système de traitement distribué Apple Qmaster
392 Fenêtre Apple Qmaster Sharing de Compressor
397 Informations générales sur les clusters
409 Création de clusters avec Apple Qadministrator
412 Configuration d’un système de traitement distribué à temps partiel avec Shake
Annexe A 415 Raccourcis clavier
415 Raccourcis clavier généraux de Compressor
416 Raccourcis clavier de la fenêtre Aperçu
Annexe B 419 Résolution des problèmes
419 Ressources pour la résolution des problèmes
419 Solutions aux problèmes courants
421 Contacter l’assistance AppleCare
Annexe C 423 Utilisation de la ligne de commande
423 Commandes de shell pour l’envoi de tâches Compressor
8 SommaireCompressor constitue une partie essentielle du processus de compression vidéo. Il rend
la compression rapide, efficace et pratique et vous offre des options supplémentaires
pour les paramètres et formats de sortie de compression.
Cette préface traite des sujets suivants :
• À propos de Compressor (p 9)
• À propos de la documentation de Compressor (p 10)
• Ressources supplémentaires (p 10)
À propos de Compressor
Compressor cible les professionnels de la postproduction et de la compression vidéo, qui
requièrent de hautes performances et un contrôle maximum du contenu numérique final
pour la création de DVD, les serveurs de contenu multimédia et les dispositifs sans fil.
Outre les possibilités de redimensionnement, de rognage, de traitement des images,
d’encodage et de distribution, Compressor offre des fonctions de traitement de lot, des
options VBR et la fonction d’encodage H.264. Vous pouvez également utiliser des droplets
et AppleScript, spécifier et enregistrer des réglages de transcodage, utiliser des filtres,
indiquer des destinations, entre autres. Compressor offre aussi un grand nombre de
formats de sortie pour les appareils Apple, les DVD, le web, les CD et les bornes interactives.
Important : Compressor 4 est conçu pour travailler en collaboration étroite avec
Final Cut Pro X et Motion 5 (et versions ultérieures). Cette application est nécessaire au
fonctionnement de la commande Envoyer à Compressor. Toutes les mentions de
Final Cut Pro et de Motion dans le présent document se rapportent à ces versions.
9
Bienvenue dans Compressor
PréfaceÀ propos de la documentation de Compressor
Compressor est fourni avec un certain nombre de documents pour vous aider à démarrer
avec l’application et apporter des informations détaillées sur celle-ci. (Pour accéder à
l’aide en ligne de Compressor, ouvrez Compressor, puis choisissez Aide > Aide Compressor.)
• Manuel de l’utilisateur de Compressor : il s’agit d’un document complet qui décrit
l’interface, les commandes et les menus de Compressor et qui fournit des instructions
détaillées sur l’utilisation de Compressor et la réalisation de tâches spécifiques. Il contient
également des informations sur la configuration d’un système de traitement distribué
Apple Qmaster pour un transcodage et un rendu optimisés. Ce document s’adresse
aux utilisateurs de tous niveaux.
• Manuel de l’utilisateur d’Apple Qadministrator : ce document explique la configuration
et la gestion manuelles des clusters à utiliser dans un système de traitement distribué
Apple Qmaster.
• Manuel de l’utilisateur Apple Qmaster : ce document décrit l’utilisation d’Apple Qmaster
comme client pour la soumission de tâches de rendu depuis Shake, Maya et d’autres
applications vers un système de traitement distribué.
• Manuel de l’utilisateur de Share Monitor : ce document relativement court explique
comment utiliser Share Monitor pour surveiller l’état d’avancement du transcodage de
lots et de tâches.
Ressources supplémentaires
Outre la documentation de Compressor, vous pouvez en savoir plus en consultant les
nombreuses ressources disponibles.
Site web de Compressor
Pour obtenir des informations générales et des mises à jour et pour consulter les dernières
actualités concernant Compressor, allez à :
• http://www.apple.com/fr/finalcutpro/Compressor
Sites web de service et d’assistance Apple
Pour obtenir des mises à jour logicielles et trouver les réponses que vous cherchez dans
la foire aux questions, allez à la page web de l’assistance Apple. Vous pourrez aussi y
consulter les spécifications des produits, des documents de référence et des articles
techniques sur des produits Apple et tiers.
• http://www.apple.com/fr/support
Pour obtenir des mises à jour logicielles et trouver les réponses que vous cherchez dans
la foire aux questions consacrée à Compressor, allez à :
• http://www.apple.com/fr/support/Compressor
10 Préface Bienvenue dans CompressorCompressor est fourni avec un certain nombre de réglages prédéfinis qui permettent de
commencer immédiatement le transcodage. Si vous disposez d’un ou de plusieurs fichiers
multimédias sources et que les destinations, les réglages ou les modèles de lots existants
de Compressor répondent à vos besoins, vous pouvez commencer le transcodage de vos
fichiers dès l’installation de Compressor.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Terminologie utilisée par Compressor (p 11)
• Flux de travaux Compressor rapide et facile : méthode Modèle de lot (p 12)
• Flux de travaux Compressor rapide et facile : méthode manuelle (p 17)
• Tâches optionnelles disponibles avant l’envoi d’un lot (p 24)
Terminologie utilisée par Compressor
Compressor utilise quelques termes avec lesquels vous devriez vous familiariser avant de
commencer à vous servir de l’application.
Un lot est l’élément central du processus de transcodage. Il contient un ou plusieurs
fichiers multimédias sources, qui sont les fichiers que vous souhaitez transcoder, c’est-à-dire
convertir, dans un autre format. Chaque fichier multimédia source crée sa propre tâche.
Cela signifie qu’un lot peut contenir plusieurs tâches et que chacune de ces tâches repose
sur le fichier multimédia source auquel elle est associée.
Chaque tâche possède également au moins une cible. Les cibles déterminent le type et
l’emplacement du fichier de sortie qui doit être créé par le processus de transcodage.
Vous avez la possibilité d’affecter plusieurs cibles à une tâche, ce qui signifie que vous
pouvez facilement créer plusieurs fichiers de sortie ayant chacun un format différent.
Chaque cible est formée de trois parties.
• Le réglage : la partie réglage d’une cible définit le processus de transcodage, comprenant
le format d’encodage ainsi que divers filtres et attributs de géométrie.
11
Premiers contacts rapides
1• La destination : la partie destination d’une cible détermine l’endroit où le fichier de
sortie est enregistré. Elle définit également les règles utilisées pour créer le nom du
fichier de sortie. Compressor comprend un réglage de préférence qui vous permet de
spécifier une destination par défaut.
• Le nom du fichier de sortie : vous pouvez modifier la partie de la cible relative au nom
du fichier de sortie si, pour une raison ou une autre, vous ne souhaitez pas utiliser le
nom créé automatiquement en fonction de la destination.
Remarque : vous ne pouvez transcoder une tâche que si au moins un réglage lui a été
affecté.
Si vous devez créer vos propres réglages ou modifier ceux qui sont fournis avec
Compressor, voir Flux de production de transcodage de base et Création, aperçu et
modification des réglages.
Flux de travaux Compressor rapide et facile : méthode Modèle
de lot
Les modèles de lot simplifient et accélèrent votre flux de travaux de transcodage. La
procédure suivante est un moyen rapide et aisé d’utiliser Compressor avec des modèles
de lot.
• Étape 1 : Choix d’un modèle de lot
• Étape 2 : Ajout d’un fichier multimédia source
• Étape 3 : Soumission du lot
• Étape 4 : Utilisation d’actions de post-transcodage
• Étape 5 : Enregistrement de modèles de lot personnalisés (facultatif)
Étape 1 : Choix d’un modèle de lot
Pour utiliser Compressor avec cette procédure, vous devez choisir un modèle de lot.
Pour ouvrir Compressor et choisir un modèle de lot
1 Double-cliquez sur l’icône Compressor dans le dossier Applications.
Compressor s’ouvre en affichant le sélecteur de modèle de lot et un lot vide sans titre
contenant une tâche de repère d’emplacement.
12 Chapitre 1 Premiers contacts rapidesRemarque : le sélecteur de modèle de lot ne s’affiche pas si vous avez précédemment
coché la case « Ne plus afficher ce message » ou que vous avez sélectionné « Utiliser un
modèle vide » dans les Préférences de Compressor. Sélectionnez Afficher le sélecteur de
modèles dans les préférences de Compressor pour que le sélecteur s’affiche lorsque vous
créez des lots. Vous pouvez aussi choisir Fichier > « Nouveau lot à partir du modèle » pour
créer un nouveau lot et ouvrir le sélecteur de modèle de lots.
Le sélecteur de modèle de lot propose des options pour les modèles de lot Apple standard
(décrits à l’étape 2).
Vous pouvez également ajouter des modèles de lot personnalisés. Pour plus d’informations,
voir Création d’un modèle de lot personnalisé.
Remarque : pour que l’interface de Compressor ressemble à l’illustration de ce document,
choisissez une présentation Standard dans le sous-menu Présentations du menu Fenêtre.
Chapitre 1 Premiers contacts rapides 132 Cliquez sur l’une des options du sélecteur de modèle de lot pour la sélectionner.
Les modèles de lot Apple standard sont répertoriés ci-dessous.
• Créer un podcast audio : ce modèle permet de créer un fichier audio AAC adapté à la
diffusion de podcast et de l’ajouter à la bibliothèque iTunes.
• Créer un disque Blu-ray : ce modèle permet de créer des fichiers vidéo BD H.264 et audio
Dolby Digital Professional (.ac3), puis de les créer automatiquement sur un disque
Blu-ray ou AVCHD (les disques AVCHD sont lisibles par les lecteurs Blu-ray compatibles
avec le format AVCHD).
• Créer un DVD : ce modèle permet de créer un DVD de définition standard à l’aide du
format vidéo MPEG-2 (.m2v) et du format audio Dolby Digital Professional (.ac3), et de
le graver automatiquement sur un disque.
• Diffusion HTTP en direct : utilisez ce modèle pour créer un groupe de fichiers que vous
pouvez utiliser pour diffuser une séquence sur iPhone, iPad, iPod touch et Mac à l’aide
d’un serveur ordinaire.
• Publier sur Apple TV : ce modèle permet de créer un fichier vidéo conçu pour Apple TV
et de l’ajouter à la bibliothèque iTunes.
• Publier dans YouTube : ce modèle permet de créer un fichier vidéo adapté à l’affichage
dans YouTube et de le télécharger vers un compte YouTube.
Remarque : le choix d’un modèle doit être basé sur l’utilisation souhaitée du fichier
multimédia de sortie que vous créez. S’il n’existe pas de modèle adapté à vos besoins,
vous pouvez opter pour la méthode manuelle. Pour en savoir plus, consultez Flux de
travaux Compressor rapide et facile : méthode manuelle. Pour en savoir plus sur la création
de modèles personnalisés, voir Création d’un modèle de lot personnalisé.
3 Cliquez sur Choisir.
14 Chapitre 1 Premiers contacts rapidesCompressor applique une cible à une tâche fictive. La cible contient le réglage de
transcodage approprié (basé sur le modèle que vous avez choisi), la destination par défaut
(source) et le nom de fichier de sortie suggéré, basé sur le nom de fichier source et le
nom du réglage appliqué.
Par défaut, les modèles de lots utilisent l’emplacement Source (même dossier d’origine
que les fichiers multimédias sources) comme destination des fichiers encodés. Pour en
savoir plus sur le choix d’autres destinations, consultez Création et changement de
destinations.
Étape 2 : Ajout d’un fichier multimédia source
Faites glisser un fichier source du Finder ou du bureau vers la tâche de repère
d’emplacement dans la fenêtre Lot.
Remarque : vous pouvez effectuer ce glissement dans un seul fichier source car les
modèles de lot contiennent une seule tâche. Si vous faites glisser plusieurs fichiers vers
la tâche, seul le dernier est ajouté à la tâche et tous les autres sont ignorés.
Étape 3 : Soumission du lot
La tâche est prête quand elle contient un fichier multimédia source, un réglage et un
nom de fichier de sortie.
Pour envoyer le lot en vue de son traitement
µ Cliquez sur le bouton Soumettre pour envoyer le lot contenant la tâche.
Chapitre 1 Premiers contacts rapides 15Une zone de dialogue est affichée pour vous permettre d’attribuer un nom à cette
soumission, de définir sa priorité et de spécifier si le traitement distribué doit être utilisé.
Dans la plupart des cas, vous pouvez laisser les réglages tels qu’ils sont et vous contenter
de cliquer sur Soumettre.
Pour en savoir plus sur cette zone de dialogue Soumettre, voir Soumission d’un lot.
Après avoir soumis un lot, vous pouvez ouvrir la fenêtre Historique de Compressor ou
l’application Share Monitor pour visualiser l’état d’avancement du transcodage de votre
lot. Vous pouvez également définir les préférences de Compressor pour ouvrir
automatiquement Share Monitor.
Étape 4 : Utilisation d’actions de post-transcodage
Presque tous les modèles de lot comportent une action de post-transcodage automatique.
Lorsqu’il a terminé le transcodage de l’une des tâches de modèles de lot, Compressor
exécute une action automatique correspondante, telle que le téléchargement du fichier
vers un compte YouTube, l’exécution d’un flux de travaux Automator ou la gravure d’un
DVD.
Pour en savoir plus sur ces actions, voir Onglet Action de tâche et Ajout d’actions.
La liste suivante indique l’action de tâche de transcodage par défaut pour chaque modèle
de lot Compressor.
• Créer un podcast audio : ajouter à la bibliothèque iTunes
• Créer un disque Blu-ray : créer un disque Blu-ray.
• Créer un DVD : créer un DVD.
• Diffusion HTTP en direct : préparer la diffusion HTTP en direct.
• Publier sur Apple TV : ajouter à la bibliothèque iTunes
• Publier dans YouTube : publier dans YouTube.
16 Chapitre 1 Premiers contacts rapidesÉtape 5 : Enregistrement de modèles de lot personnalisés (facultatif)
Pour en savoir plus sur la procédure facultative de création de modèles personnalisés,
voirCréation d’un modèle de lot personnalisé.
Flux de travaux Compressor rapide et facile : méthode manuelle
La procédure suivante propose un moyen aisé de concevoir et de traiter manuellement
un lot dans Compressor.
• Étape 1 : Ajout de fichiers multimédias sources
• Étape 2 : Affectation de réglages et de destinations
• Étape 3 : Soumission du lot
Étape 1 : Ajout de fichiers multimédias sources
Pour utiliser Compressor, vous devez d’abord ajouter des fichiers multimédias sources à
la fenêtre Lot.
Pour ouvrir Compressor et ajouter des fichiers multimédias sources à la fenêtre Lot
1 Double-cliquez sur l’icône Compressor dans le dossier Applications.
Compressor s’ouvre en affichant le sélecteur de modèle de lot et un lot vide sans titre
contenant une tâche de repère d’emplacement.
2 Comme cette procédure met l’accent sur la méthode manuelle plutôt que sur la méthode
de modèle de lot, cliquez sur Annuler dans le sélecteur de modèle de lot pour le refermer.
Pour que le sélecteur de modèle de lot reste fermé à l’avenir, cochez la case « Ne plus
afficher ce message » ou choisissez « Utiliser un modèle vide » dans les préférences de
Compressor.
Chapitre 1 Premiers contacts rapides 17Pour en savoir plus sur la méthode de modèle de lot, consultez Flux de travaux Compressor
rapide et facile : méthode Modèle de lot.
L’illustration ci-dessous représente les fenêtres restantes de l’interface de Compressor.
Remarque : pour que l’interface de Compressor ressemble à l’illustration ci-dessus,
choisissez un modèle standard dans le sous-menu Modèles du menu Fenêtre.
3 Faites glisser un ou plusieurs fichiers sources du Finder ou du bureau jusque dans une
zone vide de la fenêtre Lot (dans cet exemple, juste sous la tâche vide).
Remarque : si vous faites glisser plusieurs fichiers vers la tâche vide, seul le dernier est
ajouté à cette tâche, tous les autres sont ignorés.
18 Chapitre 1 Premiers contacts rapidesDe nouvelles tâches sont créées chaque fois que vous faites glisser un fichier source sur
le lot.
Chaque fichier source crée
une tâche dans le lot.
Zone cible (vide dans
ce cas) d’une tâche
Consultez la rubrique À propos de la fenêtre Lot pour plus d’informations sur les contrôles
de la fenêtre globale.
Étape 2 : Affectation de réglages et de destinations
Vous devez affecter au moins un réglage à chaque tâche de fichier multimédia source
avant de pouvoir envoyer le lot à traiter, mais vous pouvez également ajouter plusieurs
réglages à une même tâche afin de transcoder plusieurs versions du fichier multimédia.
Dans Compressor, chaque paire formée par un réglage et une destination est qualifiée
de cible.
Chapitre 1 Premiers contacts rapides 19Pour affecter un réglage et une destination à une tâche
1 Sélectionnez un réglage pour vos tâches de fichier multimédia source de l’une des façons
suivantes.
• Pour affecter différents réglages à différentes tâches : faites glisser les réglages de l’onglet
Réglages sur chaque tâche concernée dans la fenêtre Lot.
Sélectionnez un ou
plusieurs réglages (deux
dans ce cas) à appliquer
à la tâche.
Tâche avec fichier
multimédia source
dans la fenêtre Lot.
• Pour affecter un seul réglage à plusieurs tâches sélectionnées : sélectionnez les tâches
(fichiers multimédias sources) dans la fenêtre Lot, puis choisissez Cible > Nouvelle cible
avec réglage. Une zone de dialogue de sélection de réglages est affichée par-dessus
la fenêtre Lot.
20 Chapitre 1 Premiers contacts rapidesCliquez sur Ajouter
pour affecter les
réglages aux tâches
sélectionnées.
Sélectionnez les réglages
à appliquer aux tâches
sélectionnées.
Dans la fenêtre Lot, sélectionnez
les tâches concernées.
Choisissez un ou plusieurs réglages, en utilisant le triangle d’affichage pour faire
apparaître chacun d’entre eux, puis cliquez sur Ajouter. Les réglages choisis sont affectés
à toutes les tâches sélectionnées.
De nouvelles cibles sont
ajoutées pour chaque
réglage que vous faites
glisser sur la tâche.
Vous pouvez aussi choisir Édition > Tout sélectionner pour sélectionner toutes les
tâches avant d’appliquer les réglages. Voir Création, aperçu et modification des réglages
pour en savoir plus sur les réglages, et Finalisation de tâches et soumission de lots pour
en savoir plus sur l’utilisation de tâches et de cibles.
L’étape suivante consiste à définir la destination. Cette destination est réglée par défaut
sur Source, ce qui signifie que les fichiers de sortie sont stockés dans le dossier d’origine
des fichiers source. Vous pouvez, pour des raisons de classement ou pour tirer parti de
disques durs plus grands ou plus rapides, changer la destination.
Chapitre 1 Premiers contacts rapides 21Remarque : vous pouvez choisir une destination par défaut dans la fenêtre Préférences
de Compressor. Consultez la rubrique Configuration des préférences de Compressor
pour obtenir plus d’informations.
Vous pouvez définir la destination de chaque cible ou d’un groupe sélectionné de
cibles.
2 Choisissez une destination pour les cibles de votre tâche de l’une des façons suivantes.
• Ne faites rien : acceptez la destination par défaut nommée Source (le même dossier
que celui dans lequel ont été créés les fichiers multimédias sources), indiquée dans la
colonne Destination.
• Utilisez le menu contextuel de la cible pour modifier un réglage à la fois. : cliquez sur la
cible que vous souhaitez modifier tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée,
puis choisissez l’une des destinations préexistantes disponibles dans le sous-menu
Destination .
Utilisez le menu
contextuel de la cible
pour changer la
destination descibles
sélectionnées.
Vous pouvez aussi sélectionner Autre dans le menu contextuel, afin d’ouvrir une zone de
dialogue permettant de choisir comme destination tout emplacement accessible depuis
votre ordinateur.
Remarque : si vous sélectionnez l’option Autre, vous pouvez choisir n’importe quel
emplacement accessible depuis votre ordinateur, y compris un volume monté ouvert.
Toutefois, ce disque doit rester ouvert jusqu’à l’achèvement du transcodage du lot.
La même méthode permet également de sélectionner plusieurs cibles et de changer
toutes leurs destinations d’un seul coup. Vous pouvez également utiliser le sous-menu
Destination du menu contextuel de la cible pour choisir une destination, ou faire glisser
une destination de l’onglet Destinations jusque sur la cible.
Voir Création et changement de destinations pour en savoir plus sur les destinations.
3 Vous pouvez attribuer un nom au lot, puis l’enregistrer en choisissant Fichier > Enregistrer.
Étape 3 : Soumission du lot
Lorsqu’au moins un réglage et une destination sont associés à chaque fichier multimédia,
ce dernier devient une tâche et votre lot est prêt à être soumis.
22 Chapitre 1 Premiers contacts rapidesPour envoyer un lot en vue de son traitement :
µ Cliquez sur Soumettre.
Une zone de dialogue est affichée pour vous permettre d’attribuer un nom à cette
soumission, de définir sa priorité et de spécifier si le traitement distribué doit être utilisé.
Dans la plupart des cas, vous pouvez laisser les réglages tels qu’ils sont et vous contenter
de cliquer sur Soumettre.
Pour en savoir plus sur cette zone de dialogue Soumettre, voir Soumission d’un lot.
Après avoir envoyé un lot, vous pouvez ouvrir Share Monitor pour visualiser l’état
d’avancement du transcodage de votre lot. Vous pouvez également configurer l’ouverture
automatique de Share Monitor via la fenêtre Préférences de Compressor.
Remarque : il sera toujours possible ensuite d’ouvrir Share Monitor soit en double-cliquant
sur son icône dans le Dock, soit en cliquant sur son icône dans la fenêtre Lot.
Chapitre 1 Premiers contacts rapides 23Il est possible de surveiller la progression de l’encodage depuis la fenêtre Historique.
Voir Finalisation de tâches et soumission de lots pour en savoir plus sur les tâches et les
lots.
Tâches optionnelles disponibles avant l’envoi d’un lot
Les trois étapes décrites dans la section précédente montrent le moyen le plus rapide de
transcoder des fichiers multimédia. Bien que vous ayez la possibilité de modifier les
réglages existants, vous ne pouvez pas prévisualiser vos fichiers ou optimiser les différents
réglages.
Les chapitres suivants décrivent les modifications optionnelles que vous pouvez apporter
au réglage de n’importe quelle tâche avant son envoi :
• Création, aperçu et modification des réglages
• Finalisation de tâches et soumission de lots
• Ajout de filtres à un réglage
• Utilisation des contrôles d’images
• Ajout de réglages de géométrie
• Ajout d’actions
• Utilisation de la fenêtre Aperçu
• Création et changement de destinations
Les chapitres suivants décrivent plus en détail les paramètres des formats de sortie et les
différentes options de transcodage :
• Création de fichiers AIFF
• Création de fichiers de formats audio courants
• Création de fichiers de sortie pour flux DV
• Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional
• Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple
• Création de fichiers H.264 pour disque Blu-ray
• Création de fichiers de séquence d’images
24 Chapitre 1 Premiers contacts rapides• Création de fichiers de sortie MP3
• Création de fichiers de sortie MPEG-1
• Création de fichiers de sortie MPEG-2
• Création de fichiers de sortie MPEG-4
• Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime
• Création de fichiers de sortie QuickTime
Chapitre 1 Premiers contacts rapides 25Compressor est un outil puissant, souple et polyvalent qui vous permet d’obtenir les
résultats souhaités.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Scénarios standard de Compressor (p 28)
• Fonctions de Compressor (p 29)
27
Méthodes d’utilisation de
Compressor 2Scénarios standard de Compressor
Voici quelques scénarios pouvant généralement être mis en œuvre avec Compressor.
• Conversion d’un fichier multimédia source en un ou plusieurs formats de sortie
différents : vous pouvez utiliser Compressor pour convertir un ou plusieurs fichiers
multimédias sources en un ou plusieurs formats de sortie de fichiers multimédias
différents. Pour en savoir plus, consultez Flux de travaux Compressor rapide et facile :
méthode manuelle.
Apple TV DVD vidéo CD-ROM
iPhone
iPad
iPod
iTunes
H.264
MP3
AC-3
MP3
MPEG-1
MPEG-4
QuickTime
AC-3
AIFF
H.264
MPEG-1
MPEG-2
AIFF
MP3
QuickTime
Disque Blu-ray
H.264
AC-3
Données sources ou
projet Final Cut Pro
Sur le web
Séquence
QuickTime
(pour connexion haut
et faible débit)
• Exportation de séquences ou de plans vers un ou plusieurs formats directement à partir
d’autres applications : vous pouvez utiliser Compressor pour convertir des séquences
ou des plans vers un ou plusieurs formats de fichier à partir d’autres applications telles
que Final Cut Pro. Ce flux de production est identique à celui décrit en détail dans Envoi
d’un projet pour transcodage.
28 Chapitre 2 Méthodes d’utilisation de CompressorCette intégration dans Final Cut Pro et Motion accélère et simplifie le transcodage
(processus de conversion de fichiers de leur format d’origine en fichiers de sortie à
distribuer dans un autre format). L’intégration permet également de gagner de l’espace
disque en évitant de devoir exporter les fichiers multimédias intermédiaires avant de
les traiter. Compressor tire aussi parti de la technologie de traitement vidéo des autres
applications pour dépasser les limites des tâches qui lui sont confiées (et donc optimiser
la qualité des images encodées) et éviter les dégradations pouvant survenir après les
multiples étapes de compression et de décompression.
• Création de fichiers compatibles avec les DVD : avant de pouvoir convertir vos fichiers
multimédias existants en projets DVD, vous devez convertir la vidéo en fichiers MPEG-1
(projets SD uniquement), MPEG-2 (projets SD et HD) ou H.264 (projets HD uniquement).
Compressor peut encoder l’audio au format Dolby Digital Professional (également
appelé AC-3). Dolby Digital Professional est un format audio compressé très courant
pour les disques DVD-Vidéo. Compressor gère également deux situations spécialisées :
• Lorsque vous éditez des sources haute définition (HD) dans Final Cut Pro et souhaitez
créer un DVD en définition standard (DS) à partir de ces sources, Compressor offre
une fonctionnalité de conversion. Les sources HD qui utilisent des résolutions de
1080i ou 720p utilisent un processus de transcodage haute qualité pour créer des
fichiers de sortie vidéo DS MPEG-2.
• Si vous devez faire tenir un maximum de vidéo sur un DVD et que vous n’avez pas
besoin de la qualité de diffusion, Compressor permet d’exporter les fichiers au format
MPEG-1 compatible DVD-Vidéo.
Fonctions de Compressor
Compressor peut fonctionner en tant qu’application autonome et être intégré au flux de
production d’autres applications telles que Final Cut Pro. Pour cela, Compressor accepte
le même éventail de types de fichiers multimédias que Final Cut Pro. Compressor propose
les fonctions suivantes.
• Traitement par lot : ce processus simplifié permet de créer plusieurs fichiers de sortie
à partir d’un seul fichier multimédia source.
• Options VBR : à l’aide de l’encodeur MPEG-2, vous pouvez définir pour vos fichiers de
sortie un encodage VBR (Variable Bit Rate - débit variable) en une seule ou en deux
passes, ce qui a une incidence sur la qualité de l’image des fichiers vidéo.
• Encodage H.264 : le format H.264 génère de la vidéo de qualité supérieure à des débits
inférieurs, pour tout type de périphériques allant des téléphones portables à la haute
définition (HD). Le format H.264 est particulièrement bien adapté au lecteur Apple
QuickTime. Compressor inclut les formats H.264 conçus particulièrement pour les
disques Blu-ray, iTunes, iPhone, iPad, iPod et Apple TV.
Chapitre 2 Méthodes d’utilisation de Compressor 29• droplets : ces applications autonomes peuvent être utilisées pour des opérations de
transcodage par glisser-déposer, directement depuis le bureau. Après leur création, les
Droplets simplifient et automatisent le processus de transcodage et peuvent être
utilisées sans que Compressor ne soit lancé.
• Réglages : les réglages contiennent tous les outils nécessaires au transcodage (format
de fichier, filtre et réglages géométriques). Vous pouvez personnaliser et modifier les
réglages fournis par Apple ou en créer de nouveaux et développer une bibliothèque
de réglages spécialisés pouvant être réutilisés.
• Des filtres : la sélection de filtres Compressor disponibles vous confère un contrôle
artistique dynamique pendant la conversion de vos fichiers multimédias sources dans
d’autres formats et vous permet de créer un produit final conforme à vos spécifications.
Les filtres disponibles sont les suivants : fondu entrant/sortant, incrustations de timecode,
correction gamma, suppression du bruit, letterbox, filigranes, ajustement de couleur,
etc. Il existe en outre des filtres audio permettant de contrôler la plage dynamique, les
niveaux de pics, l’égalisation et le fondu entrant/sortant.
• Prévisualisation : vous pouvez prévisualiser vos réglages de filtres en temps réel dans
la fenêtre Aperçu tout en les modifiant dans la fenêtre Inspecteur. Cela vous permet
de modifier légèrement les paramètres à votre convenance avant le transcodage du
fichier multimédia source.
• Destinations : vous pouvez créer et enregistrer différentes destinations pour vos fichiers
de sortie, qui peuvent ensuite être associées à la cible de chaque fichier de sortie. Ces
destinations peuvent être des sites FTP ou des emplacements iDisk. Une destination
peut également spécifier la convention d’appellation de fichier à utiliser.
• Géométrie : vous pouvez régler les dimensions de l’image à l’aide des contrôles de
géométrie de la fenêtre Inspecteur et des contrôles graphiques de la fenêtre Aperçu.
Ces fonctionnalités permettent de rogner les zones des images que vous souhaitez
supprimer de votre fichier multimédia source, et de réduire ainsi la taille du fichier.
Compressor permet aussi de redimensionner l’image aux proportions suivantes : 4:3,
16:9 et 2,35:1 pour une utilisation sur d’autres plateformes, comme le DVD ou iPod.
• Publication : vous pouvez utiliser Compressor pour télécharger vos fichiers de sortie
sur un serveur de contenu multimédia, de type QuickTime Streaming Server, ou sur
d’autres supports pour la création de DVD.
• Utilisation d’AppleScript : vous pouvez ajouter des informations AppleScript spécialisées
à n’importe quel fichier de sortie, ce qui vous confère la souplesse nécessaire pour
automatiser et personnaliser les opérations de post-encodage.
• Interopérabilité : Compressor est un élément fondamental des applications vidéo
professionnelles Apple comme Final Cut Pro et Motion. Vous pouvez par exemple
exporter des séquences directement de Final Cut Pro vers Compressor en vue de leur
transcodage.
30 Chapitre 2 Méthodes d’utilisation de Compressor• Activité de transcodage en arrière-plan : grâce à Compressor, il est possible de commencer
le transcodage d’un lot, puis de laisser celui-ci se dérouler en arrière-plan, ce qui vous
permet d’exécuter d’autres tâches en même temps.
• Notification par message électronique : Compressor peut être configuré de manière à
vous envoyer des notifications par message électronique pour vous avertir de la fin du
transcodage d’un lot, quelle que soit l’adresse électronique spécifiée.
• Traitement distribué : Compressor fournit le traitement distribué qui répartit le travail
sur plusieurs ordinateurs choisis pour offrir une puissance de traitement supplémentaire.
La fonction de traitement distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels Compressor
est installé. Pour en savoir plus, consultez Apple Qmaster et le traitement distribué.
• Fonctionnalités de ligne de commande : Compressor comporte désormais un certain
nombre d’options de ligne de commande pour l’envoi de tâches, l’activation et la
désactivation des services de contrôle de nœuds et de clusters, ainsi que la surveillance
des lots. Pour en savoir plus, consultez Utilisation de la ligne de commande.
Chapitre 2 Méthodes d’utilisation de Compressor 31Avec Compressor, le transcodage de médias en de multiples formats est d’une grande
facilité. En outre, Compressor est intégré à Final Cut Pro et Motion.
Pour les flux de travaux simples ou répétitifs, vous pouvez également utiliser le traitement
distribué avec la fonction de partage de Final Cut Pro et de Motion. La fonction de partage
est un moyen aisé d’envoyer votre travail, en un clic de souris, aux clients, amis et autres
destinataires sans qu’il soit nécessaire d’avoir des connaissances approfondies du
transcodage, des formats de fichier de distribution ou des protocoles FTP. Depuis la
fenêtre Partager de Final Cut Pro et Motion, vous pouvez rapidement créer et diffuser des
fichiers multimédias de sortie sur iPhone, iPad, iPod, Apple TV, DVD, disque Blu-ray et
YouTube, sans devoir ouvrir d’autres applications. Pour en savoir plus sur la fonction de
partage, voir le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Pro et le Manuel de l’utilisateur de Motion.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Concepts et terminologie de Compressor (p 33)
• Préparation de Compressor au transcodage à l’aide de réglages personnalisés (p 36)
• Choix d’un format de sortie (p 38)
• Création d’un lot Compressor (p 39)
• Visualisation de l’état du transcodage (p 42)
• Raccourcis optionnels de Compressor (p 42)
Concepts et terminologie de Compressor
Cette section couvre certains termes courants que vous pouvez rencontrer lors de
l’utilisation de Compressor.
33
Flux de production de transcodage
de base 3Le diagramme suivant illustre le mode de fonctionnement du processus de transcodage
standard de Compressor. Le principal élément du transcodage est le lot. Un lot représente
tous les composants nécessaires au transcodage d’un média. Il doit contenir une ou
plusieurs tâches. Une tâche se compose d’au moins un fichier multimédia source avec
une ou plusieurs cibles, chacune étant associée à un réglage et une destination. Quand
le processus de transcodage est terminé, le fichier résultant est connu sous le nom de
fichier multimédia de sortie. Chaque réglage attribué à un fichier multimédia source donne
lieu à la création d’un fichier multimédia de sortie.
Dans l’illustration ci-dessous, le lot contient deux fichiers multimédia sources, chacun
d’eux constituant une tâche contenant deux cibles (comprenant un réglage et une
destination). Les fichiers de sortie créés par le transcodage de ce lot seront au nombre
total de quatre. Tâche 1 donnera lieu à la création de deux fichiers multimédia de sortie,
tout comme Tâche 2.
Tâche 2
Tâche 1
Un fichier multimédia
de sortie
(Tâche 1, Cible 1)
Un fichier multimédia
de sortie
(Tâche 1, Cible 2)
Un fichier multimédia
de sortie
(Tâche 2, Cible 1)
Un fichier multimédia
de sortie
(Tâche 2, Cible 2)
Source
fichier de
données
1
Source
fichier de
données
2
Cible 1
Réglage Destination
Cible2
Réglage Destination
Cible 1
Réglage Destination
Cible2
Réglage Destination
Un lot
Vous devez vous familiariser avec les termes courants suivants :
• Codec : contraction de COmpression/DECompression. modèle mathématique de réduction
des données d’un fichier multimédia source.
• Format de fichier : format de sortie utilisé pour transcoder le fichier multimédia source.
• Groupe : contient des réglages définis placés dans un dossier de l’onglet Réglages. Les
groupes vous permettent d’organiser vos réglages et de simplifier le processus de
création de tâches.
• Transcodage : processus de conversion de fichiers dans leur format d’origine en fichiers
de sortie prêts à être distribués dans un autre format. Parmi les termes étroitement liés,
la compression fait référence à la réduction des données ; l’encodage est un synonyme
de transcodage, sauf qu’il ne met pas l’accent sur l’aspect de conversion.
34 Chapitre 3 Flux de production de transcodage de base• Un fichier multimédia source : le processus de transcodage commence toujours par un
fichier multimédia source, qui est le fichier destiné à être transcodé dans sa forme
d’origine. Les fichiers multimédia sources sont toujours du type suivant.
• Un film : contenant des données audio, vidéo et autres (des marqueurs par exemple).
• Des images fixes : utilisées comme partie d’une séquence d’images fixes pour certaines
productions vidéo.
• QuickTime : QuickTime est une technologie multimédia multiplateforme, qui permet
aux applications Mac OS et Windows de capturer et de lire des fichiers vidéo et audio,
ainsi que des fichiers d’images fixes. Les fichiers QuickTime peuvent contenir un grand
nombre de données et de codecs différents. Les codecs fournissent des instructions
de lecture des données à QuickTime.
Dans Compressor, un processus de transcodage typique inclut les composants suivants.
• Réglage : une fois que vous avez importé votre fichier multimédia source, vous devez
lui affecter un ou plusieurs réglages. Un réglage est une combinaison d’attributs de
transcodage, comme le format de sortie, les filtres et les réglages de géométrie, qui
vont être appliqués au fichier multimédia source pendant le processus de transcodage.
• Format (du fichier) de sortie : dépend de l’encodeur que vous choisissez pour convertir
votre fichier source. Choisissez l’un des formats suivants selon l’environnement et la
méthode de lecture visés pour vos fichiers multimédia transcodés : AIFF, Dolby Digital
Professional, Flux DV, H.264 pour appareils Apple (contient des réglages pour iPhone,
iPad, iPod ou Apple TV), Séquence d’images (prend en charge les images TIFF et
TARGA), MPEG-1, MPEG-2, MPEG-4, Séquence QuickTime ou Composants d’exportation
au format QuickTime.
• Des filtres : ils vous permettent de paramétrer différentes caractéristiques de votre
vidéo, comme la couleur, la luminosité et la résolution dans le but d’optimiser à la
fois la qualité et la compression du fichier.
Chapitre 3 Flux de production de transcodage de base 35• Des paramètres géométriques : permet de rogner l’image et d’ajuster sa taille.
• Des paramètres d’action : permettent de créer des actions de post-transcodage
automatique et de les appliquer à des tâches et des réglages. Créez et distribuez
aisément des fichiers multimédias de sortie, envoyez des notifications par courrier
électronique et exécutez des tâches de post-transcodage à l’aide d’Automator.
• Destination : un fichier multimédia source doit aussi être associé à une destination. Il
s’agit de l’emplacement de stockage de votre fichier multimédia transcodé. Vous pouvez
soit utiliser la destination par défaut, nommée Source (dossier de stockage identique
à celui du fichier multimédia source), soit désigner un autre emplacement auquel vous
avec un accès total. Vous pouvez également modifier la destination par défaut dans
les Préférences Compressor. La destination détermine également la manière dont le
fichier multimédia transcodé est nommé.
• Cible : sorte de plan permettant de créer un fichier multimédia de sortie contenant un
réglage, une destination et un nom de fichier de sortie.
• Tâche : une fois que vous avez attribué une ou plusieurs cibles au fichier multimédia
source, il devient une tâche prête à être transcodée.
• Un lot : un lot se compose d’une ou de plusieurs tâches qui sont traitées simultanément.
Toutes les tâches du lot sont envoyées simultanément lorsque vous cliquez sur le
bouton Soumettre.
• Un fichier multimédia de sortie : les fichiers multimédia transcodés créés après l’envoi
et le traitement d’un lot sont appelés des fichiers multimédia de sortie. Un fichier
multimédia de sortie est le résultat du transcodage réussi d’un fichier multimédia source
(associé à un réglage et une destination). Il y a autant de fichiers multimédia de sortie
créés que de réglages appliqués aux différents fichiers multimédia sources du lot.
Préparation de Compressor au transcodage à l’aide de réglages
personnalisés
Compressor est fourni avec un certain nombre de réglages préconfigurés qui permettent
de commencer immédiatement le transcodage. Si vous souhaitez transcoder
immédiatement des fichiers multimédias sources et que vous n’avez pas besoin de créer
de réglages, suivez plutôt les étapes décrites dans Flux de travaux Compressor rapide et
facile : méthode Modèle de lot. Si vous souhaitez lancer immédiatement le transcodage,
mais que votre flux de travaux ne peut être traité par aucun modèle de lot, vous pouvez
consulter la procédure décrite dans Flux de travaux Compressor rapide et facile : méthode
manuelle.
36 Chapitre 3 Flux de production de transcodage de baseCependant, si vous souhaitez créer vos réglages et destinations, et personnaliser d’autres
attributs, comme les filtres, le rognage, le redimensionnement des images et les actions,
veuillez suivre les étapes décrites ci-après. Si les réglages personnalisés que vous créez
ici peuvent être utilisés pour tous vos besoins de transcodage, vous n’aurez plus à utiliser
cette procédure. En revanche, si vous devez créer des réglages et des destinations pour
chaque projet de transcodage, vous devez répéter chaque fois ces étapes.
Étape 1 : Création d’un réglage
Si vous n’utilisez pas un réglage préexistant ou un modèle de lot fourni avec Compressor,
vous devez créer vos réglages. Pour cela, utilisez l’onglet Réglages et commencez par
choisir un format de sortie dans le menu Format de fichier qui s’ouvre lorsque vous cliquez
sur le bouton Ajouter (+). Consultez la section Choix d’un format de sortie pour obtenir
plus d’informations. Vous avez aussi la possibilité d’ajouter des filtres, des réglages
géométriques et des actions de post-transcodage, puis de prévisualiser le réglage pour
être sûr du résultat. Consultez la section Création d’un réglage entièrement nouveau pour
obtenir plus d’informations.
Vous pouvez également rationaliser le flux de production en plaçant vos réglages dans
des groupes. Consultez la section Création de groupes de réglages pour obtenir plus
d’informations.
Après avoir créé un réglage, vous pouvez le personnaliser en lui apportant des
modifications supplémentaires telles que des filtres (pour régler la qualité de l’image ou
ajouter des effets comme le « letterboxing »), une taille de pixel donnée (valeurs
géométriques) et des actions de post-transcodage. Ces ajustements supplémentaires
sont tous gérés dans la fenêtre Inspecteur. Pour en savoir plus, voir Ajout de filtres à un
réglage, Utilisation des contrôles d’images, Ajout de réglages de géométrie et Ajout
d’actions.
Étape 2 : Aperçu du réglage
La prévisualisation de votre réglage avant l’envoi du lot est un bon moyen pour gagner
du temps. Pour cela, utilisez la fenêtre Aperçu et assurez-vous que la qualité du fichier
multimédia de sortie vous convient. La fenêtre Aperçu consiste en un écran divisé en
deux, qui affiche à gauche le fichier multimédia source sous sa forme originale, et à droite
le contenu du fichier multimédia de sortie.
La fenêtre Aperçu vous permet d’effectuer différentes opérations :
• Lire le fichier multimédia.
• Prévisualiser de manière dynamique les effets (en temps réel).
• Modifier les effets des filtres et des réglages de géométrie de votre réglage.
• Comparer les versions source ou les versions de sortie.
• Rogner la taille d’image du fichier de sortie.
• Changer les proportions.
Chapitre 3 Flux de production de transcodage de base 37• Ajouter divers marqueurs (de compression, de chapitre ou de podcast).
Remarque : il n’est pas possible de prévisualiser les réglages Contrôles d’images dans la
fenêtre Aperçu. Pour prévisualiser ces derniers, lancez un transcodage de test sur une
petite section de votre fichier multimédia source (Pour plus d’informations, reportez-vous
à la section Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Aperçu.)
Consultez la section Aperçu d’un réglage ou Utilisation de la fenêtre Aperçu pour plus
d’informations.
Étape 3 : Création d’une destination
Par défaut, le fichier transcodé est enregistré dans le même dossier que celui du fichier
multimédia source (dossier Source). Cependant, si vous souhaitez enregistrer les fichiers
transcodés dans un autre emplacement, vous pouvez créer une destination sous l’onglet
Destinations. À l’aide de cet onglet, vous pouvez définir comme destination un dossier,
un volume ou un serveur distant dont vous avez les autorisations et les accès, et ajouter
d’utiles identificateurs à votre fichier de sortie transcodé. Une fois que vous avez créé
suffisamment de destinations, il n’est plus nécessaire d’ouvrir l’onglet Destinations.
Consultez la section Création et changement de destinations pour obtenir plus
d’informations.
Choix d’un format de sortie
La sélection de la plate-forme de lecture appropriée (dispositifs Apple, web, CD, DVD et
borne interactive) est le premier choix à faire avant de compresser un fichier multimédia
source dans un format de sortie différent. Après avoir sélectionné une plate-forme, vous
pouvez choisir le format de sortie qui lui convient le mieux.
Les nombreux encodeurs fournis avec Compressor vous permettent de transcoder votre
fichier multimédia source quel qu’en soit le format, notamment les formats industriels
standards ci-dessous comportant tous leurs propres attributs particuliers :
• AIFF : destiné aux contenus audio (y compris création de DVD ou de CD) nécessitant
des réglages personnalisés. Pour plus de détails sur le format AIFF, consultez Création
de fichiers AIFF.
• Formats audio courants : destiné à fournir un accès aisé à la plupart des formats audio
courants, y compris les fichiers AIFF, Apple CAF et WAVE. Pour en savoir plus, consultez
Création de fichiers de formats audio courants.
• Flux DV : format courant utilisé pour les projets SD. Consultez Création de fichiers de
sortie pour flux DV pour obtenir plus d’informations.
• Dolby Digital Professional : également appelé AC-3. Format généralement destiné à la
création de DVD. Pour plus de détails sur le format AC-3, consultez Création de fichiers
de sortie Dolby Digital Professional.
38 Chapitre 3 Flux de production de transcodage de base• H.264 pour périphériques Apple : destiné à la création de fichiers vidéo adaptés à la
lecture via iTunes, un iPhone, un iPad, un iPod et Apple TV. Pour plus de détails sur le
format H.264 pour les dispositifs Apple, consultez Création de fichiers de sortie H.264
pour appareils Apple.
• H.264 pour Blu-ray : destiné à la création de réglages H.264 spécialement configurés
pour disque Blu-ray. Pour en savoir plus sur le format H.264 pour disque Blu-ray,
consultez Création de fichiers H.264 pour disque Blu-ray.
• Séquence d’images : compatible avec une grande variété d’applications de composition
et de traitement d’images. Pour plus de détails, consultez Création de fichiers de
séquence d’images.
• MP3 : destiné à la compression audio. Le format MP3 crée des fichiers audio compatibles
avec une grande variété de dispositifs de lecture. Pour plus de détails sur le format
MP3, consultez Création de fichiers de sortie MP3.
• MPEG-1 : destiné à une utilisation sur Internet, CD-ROM ou DVD. Pour plus de détails
sur le format MPEG-1, consultez Création de fichiers de sortie MPEG-1.
• MPEG-2 : destiné à une utilisation DVD standard et haute définition. Pour plus de détails
sur le format MPEG-2, consultez Création de fichiers de sortie MPEG-2.
• MPEG-4, Partie 2 : destiné à un large éventail d’utilisations, notamment le web ou les
périphériques sans fil. Pour plus de détails sur le format MPEG-4, consultez Création de
fichiers de sortie MPEG-4.
• Composants d’exportation au format QuickTime : exploitant l’architecture de modules
de QuickTime, Compressor peut désormais générer un large éventail d’options de
codec et de formats de tierce partie, tels que Windows Media, RealPlayer, 3G et AVI. La
fonctionnalité Composants d’exportation QuickTime vous permet de contrôler le moteur
d’encodage tiers sans avoir à ouvrir une autre application. Pour plus de détails sur les
composants d’exportation QuickTime, voir Création de fichiers de sortie d’exportation
QuickTime.
• Séquence QuickTime : destiné à être utilisé avec QuickTime dans une grande variété
d’environnements de lecture. Étant donné que QuickTime est une technologie
multimédia multiplateforme, elle permet aux applications Mac OS et Windows de
capturer et de lire des fichiers vidéo et audio, ainsi que des fichiers d’images fixes. Pour
plus de détails sur le format QuickTime, voir Création de fichiers de sortie QuickTime.
Création d’un lot Compressor
Cette section décrit la procédure complète de création manuelle et de soumission d’un
lot Compressor complet. Pour découvrir une méthode plus rapide, plus simple, mais
également plus restrictive, consultez Flux de travaux Compressor rapide et facile : méthode
Modèle de lot.
Chapitre 3 Flux de production de transcodage de base 39Une fois que les réglages et les destinations nécessaires sont disponibles, vous pouvez
commencer à créer un lot pour transcodage. Un lot contient une ou plusieurs tâches,
Une tâche se compose d’au moins un fichier multimédia de sortie associé à une ou
plusieurs cibles contenant les réglages et les destinations.
Vous ne pouvez soumettre un lot au transcodage qu’après avoir affecté au moins une
cible (réglage et destination) à chaque tâche (fichier multimédia source) du lot. Toutes
les tâches du lot sont soumises simultanément au transcodage. Les lots sont similaires à
des documents qu’il est possible d’enregistrer, de fermer et de rouvrir. À l’instar d’un
projet Final Cut Pro, un onglet séparé (qu’il est possible de désactiver) contient chaque
lot Compressor.
Étape 1 : Importation de fichiers multimédias sources dans Compressor
Pour importer des fichiers multimédias sources dans un lot, vous pouvez utiliser la zone
de dialogue de sélection de fichiers ou faire glisser les fichiers du Finder vers la fenêtre
Lot de Compressor. Vous pouvez importer des fichiers multimédias sources de n’importe
quel dossier dont vous avez les droits d’accès.
Consultez la section Importation de fichiers multimédias sources pour obtenir plus
d’informations.
Étape 2 : Affectation d’un réglage
Après l’importation de votre fichier multimédia source dans la fenêtre Lot, vous devez lui
attribuer un ou plusieurs réglages. Ce processus le convertit alors en tâche. Un fichier
multimédia source ne peut être transcodé que s’il est associé à au moins un réglage, ce
qui est uniquement possible si vous avez sélectionné un réglage préexistant ou en avez
créé un. Un format de fichier de sortie doit être associé à votre réglage.
• Si vous choisissez un réglage préexistant : le format de fichier de sortie a déjà été affecté.
• Si vous créez votre propre réglage : vous devez choisir un format de fichier de sortie dans
le menu Format de fichier qui apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Ajouter (+)
dans l’onglet Réglages.
Vous pouvez ajouter un réglage à plusieurs tâches en une seule étape, soit en sélectionnant
les tâches dans la fenêtre Lot et en choisissant un réglage dans la zone de dialogue qui
apparaît lorsque vous choisissez Cible > « Nouvelle cible avec réglage », soit en cliquant
sur l’une des tâches tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et en choisissant
un réglage dans le sous-menu « Nouvelle cible avec réglage » du menu contextuel qui
apparaît.
Si vous avez un réglage favori (existant ou personnalisé), vous pouvez simplifier votre
flux de production en créant une application autonome, appelée droplet, contenant
plusieurs réglages et servant à envoyer des lots sans ouvrir Compressor. Consultez Création
d’un droplet à partir de l’onglet Réglages pour obtenir plus d’informations.
40 Chapitre 3 Flux de production de transcodage de baseRemarque : vous pouvez également créer des groupes de réglages, une manière simple
et efficace d’associer plusieurs réglages à un fichier multimédia source. Consultez la
section Création de groupes de réglages pour obtenir plus d’informations.
Étape 3 : Prévisualisation du réglage à l’aide de la fenêtre Aperçu
Vous pouvez soit prévisualiser un fichier multimédia seul, soit le prévisualiser avec les
réglages qui lui ont été associés. La fenêtre Aperçu permet de prévisualiser
dynamiquement (en temps réel) votre réglage et de modifier les effets des filtres et des
ajustements géométriques, de lire le fichier multimédia, de visualiser les versions sources
ou de sortie, de rogner le cadre de l’image du fichier de sortie, de changer ses proportions
et d’ajouter divers marqueurs correspondant aux formats de fichier MPEG-1, MPEG-2 et
H.264 pour appareils Apple.
Consultez la section Aperçu d’un réglage ou Prévisualisation d’un plan pour plus
d’informations.
Étape 4 : Affectation d’une destination
Vous pouvez choisir l’emplacement de destination des fichiers multimédia de sortie en
affectant une destination à chaque cible. La destination définit également divers aspects
de nommage du fichier multimédia de sortie. L’onglet Destination propose plusieurs
destinations, mais vous pouvez également créer vos propres destinations personnalisées.
Pour affecter une destination existante à une tâche, vous pouvez soit faire glisser une
destination de l’onglet Destinations vers la cible d’une tâche, soit sélectionner Destination
dans le menu Cible ou dans le menu contextuel qui apparaît lorsque vous cliquez sur
une cible tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée. Vous avez également la
possibilité de choisir un emplacement qui n’a pas été défini comme destination, en
choisissant l’option Autre dans l’un des deux menus ci-dessus.
Consultez la section Affectation de destinations aux fichiers multimédias sources pour
obtenir plus d’informations.
Étape 5 : Soumission du lot pour transcodage
Dès que le lot contient toutes les tâches que vous souhaitiez créer et que vous êtes satisfait
des réglages et de la qualité des fichiers de sortie (grâce à leur prévisualisation), son envoi
est prêt à être effectué. Pour cela, cliquez sur le bouton Soumettre dans la fenêtre Lot.
Remarque : si vous souhaitez transcoder un lot volumineux, il est conseillé de désactiver
l’écran de veille de votre ordinateur. Ceci augmente la vitesse du transcodage, car aucune
ressource n’est réservée à l’écran de veille.
Consultez la section Soumission d’un lot pour obtenir plus d’informations.
Chapitre 3 Flux de production de transcodage de base 41Visualisation de l’état du transcodage
Utilisez Share Monitor et la fenêtre Historique pour afficher l’état actuel d’un lot envoyé
et de toutes les tâches qu’il comporte. Share Monitor est une application autonome qui
peut donc fonctionner avec Compressor et les droplets, que Compressor soit ouvert ou
fermé, indépendamment du fait que vous ayez ou non soumis un élément. Consultez
Création d’un droplet à partir de l’onglet Réglages pour plus d’informations sur les droplets.
Étape 1 : Visualisation de l’état de transcodage d’un lot
Après avoir soumis un lot, vous pouvez ouvrir Share Monitor pour visualiser l’état de
transcodage de votre lot. Cette possibilité s’avère utile pour savoir quand le transcodage
de votre lot est terminé et surveiller l’apparition d’éventuels problèmes pendant toute la
durée du processus. Vous pouvez régler l’ouverture automatique de Share Monitor via
les préférences de Compressor.
Consultez Configuration des préférences de Compressor et le Manuel de l’utilisateur de
Share Monitor pour plus de détails.
Sinon, vous pouvez consulter la fenêtre Historique de Compressor. Elle contient une barre
de progression et, à l’instar de Share Monitor, vous indique si une tâche soumise a été
correctement transcodée.
Étape 2 : Confirmation de la fin du transcodage
Une fois le transcodage terminé, il est conseillé d’ouvrir le dossier de destination du fichier
multimédia transcodé afin de vous assurer que celui-ci a été transcodé avec succès et
enregistré au bon endroit.
Raccourcis optionnels de Compressor
Compressor a été conçu en tenant compte du flux de production. Suivant vos besoins,
plusieurs méthodes vous permettent d’accélérer le flux de production de transcodage
de Compressor.
Utilisation des réglages existants
Compressor comprend un certain nombre de réglages préexistants qui vous permettent
de commencer à transcoder immédiatement. Si ceux-ci répondent à vos besoins, vous
pouvez immédiatement procéder au transcodage de vos fichiers multimédia sources.
Pour en savoir plus, consultez Flux de travaux Compressor rapide et facile : méthode
manuelle.
Même si vous devez créer des réglages personnalisés, vous pouvez les regrouper pour
les appliquer plus facilement aux cibles. Consultez la section Création, aperçu et
modification des réglages pour obtenir plus d’informations.
42 Chapitre 3 Flux de production de transcodage de baseUtilisation des réglages et des destinations par défaut
Si vous découvrez que vous appliquez toujours les mêmes réglages et destinations à
chaque fichier multimédia source, vous pouvez configurer les Préférences de Compressor
pour qu’il applique automatiquement ces réglages et destinations. Consultez la section
Configuration des préférences de Compressor pour obtenir plus d’informations.
Utilisation de droplets
Les droplets constituent un moyen de transcodage rapide et pratique qui ne nécessite
pas l’ouverture de Compressor. La création d’une droplet consiste à enregistrer un réglage
ou un groupe de réglages et des destinations sous forme d’une icône active. Lorsque
vous faites glisser un ou plusieurs fichiers multimédia sur cette icône, la droplet lance
automatiquement le processus de transcodage.
Consultez Création d’un droplet à partir de l’onglet Réglages pour obtenir plus
d’informations.
Chapitre 3 Flux de production de transcodage de base 43L’interface de Compressor consiste en une série de fenêtres de base qui vous permettent
d’effectuer la majeure partie du travail de préparation du transcodage.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Les fenêtres Compressor et le flux de transcodage (p 46)
• Création et gestion des modèles Compressor (p 47)
• Utilisation des fenêtres de Compressor (p 50)
• Fenêtre Lot (p 53)
• Onglet Réglages (p 57)
• Onglet Destinations (p 58)
• Fenêtre Inspecteur (p 58)
• Fenêtre Historique (p 68)
• Fenêtre Aperçu (p 69)
• Fenêtre Apple Qmaster Sharing (p 71)
• Share Monitor (p 72)
• Fenêtres Droplet (p 73)
• À propos du changement des valeurs et des entrées de timecode (p 74)
• Raccourcis clavier (p 76)
45
Interface de Compressor
4Les fenêtres Compressor et le flux de transcodage
Chaque fenêtre Compressor représente une étape du flux de transcodage.
Onglets Réglages
et Destinations
Fenêtre Lot
Fenêtre
Preview
Fenêtre
Historique
Fenêtre Inspecteur
• Fenêtre Lot : cette fenêtre vous permet d’importer des fichiers multimédias sources,
d’ajouter des réglages et des destinations et de donner un nom au lot.
• Onglets Réglages et Destinations : l’onglet Réglages vous permet de centraliser la gestion
des réglages personnalisés et Apple. L’onglet Destinations permet de créer, de modifier
ou de supprimer vos réglages de destination, de définir une destination par défaut et
d’ajouter des identificateurs aux noms de vos fichiers de média de sortie.
• Fenêtre Inspecteur : permet d’accéder facilement aux contrôles de transcodage courants,
et à une table de résumé complète contenant tous les détails de chaque réglage. Vous
pouvez également utiliser la fenêtre Inspecteur afin de collecter des informations sur
les plans source, ainsi que pour apporter des modifications dynamiques avec la fenêtre
Aperçu.
• Fenêtre Aperçu : vous permet de lire votre fichier multimédia source dans son format
original ou de le prévisualiser avec les réglages qui lui ont été attribués. Vous pouvez
voir les effets des réglages comme les filtres et le redimensionnement d’images, et faire
des ajustements à ces attributs pendant la prévisualisation en temps réel du fichier
média. Vous pouvez également utiliser la fenêtre Aperçu pour ajouter et visualiser
plusieurs sortes de marqueurs.
• Fenêtre Historique : la fenêtre Historique vous permet de voir l’historique complet de
tous les lots soumis depuis votre ordinateur, ainsi que les barres de progression de
ceux qui sont encore en cours de transcodage. Vous pouvez également faire une pause
et soumettre à nouveau n’importe quel lot répertorié dans l’historique.
46 Chapitre 4 Interface de Compressor• Fenêtre Droplet (non représentée) : permet d’enregistrer un ou plusieurs réglages ou
groupes de réglages dans une Droplet, un préréglage autonome intégré dans une
application glisser-déposer et enregistré en tant qu’icône.
• Share Monitor (non représentée) : permet d’afficher l’état de tous les lots traités. (Pour
en savoir plus, consultez le Manuel de l’utilisateur de Share Monitor.)
Création et gestion des modèles Compressor
À l’usage de Compressor, vous remarquerez qu’en fonction de la tâche d’encodage que
vous configurez, la façon dont sont disposées les différentes fenêtres de Compressor peut
jouer sur sa simplicité d’utilisation. Pour vous faciliter la tâche, Compressor permet de
configurer et de sauvegarder des modèles. Ils définissent les fenêtres visibles, leur taille,
leur position et les icônes présentes dans la barre d’outils de la fenêtre Lot.
Compressor propose deux modèles que vous pouvez utiliser comme point de départ à
la création de vos propres modèles.
Remarque : chaque modèle existe en plusieurs tailles, ce qui vous permet de choisir celle
qui convient le mieux à votre moniteur. Vous pouvez modifier n’importe lequel de ces
modèles et les sauvegarder comme modèles personnalisés.
Modèle standard
Dans le modèle standard, toutes les fenêtres de Compressor sont affichées et les onglets
Réglages et Destinations partagent la même fenêtre. Ce modèle est optimisé pour le
transcodage d’un seul fichier multimédia source.
Chapitre 4 Interface de Compressor 47Modèle Lot
Ce modèle met l’accent sur la fenêtre Lot. Il est optimisé pour le transcodage de plusieurs
fichiers multimédias source similaires.
Choix, enregistrement et gestion des modèles
Compressor vous permet de choisir aisément un modèle.
Pour choisir un modèle
µ Choisissez Fenêtre > Modèles, puis sélectionnez un modèle dans la liste affichée.
Une que vous avez choisi votre modèle, l’interface de Compressor change pour refléter
ce choix.
Vous pouvez également créer et enregistrer vos propres modèles.
Pour enregistrer un modèle
1 Configurez l’interface de Compressor comme vous souhaitez qu’elle soit enregistrée.
Reportez-vous à la rubrique Utilisation des fenêtres de Compressor pour de plus amples
informations sur la manière de travailler avec les différentes fenêtres.
2 Sélectionnez Fenêtre > Enregistrer comme modèle.
3 Dans la zone de dialogue qui apparaît, saisissez un nom pour le modèle et cliquez sur
Enregistrer.
La présentation est enregistrée et apparaît dans Fenêtre > Liste des présentations.
Vous pouvez organiser la liste des modèles en supprimant ou en renommant des modèles
existants.
Pour organiser vos modèles
1 Choisissez Fenêtre > Organiser les modèles.
48 Chapitre 4 Interface de CompressorLa zone de dialogue d’organisation des modèles est alors affichée.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Pour renommer un modèle : double-cliquez dessus et tapez un nouveau nom.
• Pour supprimer un modèle : sélectionnez-le et cliquez sur le bouton Supprimer (–).
• Pour enregistrer la configuration d’interface en cours en tant que nouveau modèle : cliquez
sur le bouton Ajouter (+), puis saisissez un nom pour le modèle.
• Pour choisir un modèle et l’appliquer à l’interface de Compressor actuelle : choisissez le
modèle, puis cliquez sur le bouton Appliquer.
3 Cliquez sur Terminé lorsque vous avez fini d’organiser vos modèles.
Le gestionnaire de présentations se ferme et l’interface de Compressor est modifiée pour
refléter le réglage de présentation sélectionné.
Remarque : la liste des modèles est divisée en deux parties : les modèles fournis par Apple
et ceux que vous avez créés. Vous ne pouvez pas renommer ou supprimer les présentations
Apple. Les modèles que vous avez créés sont rangés par ordre alphabétique. Pensez-y
lorsque vous donnez un nom à un modèle afin de pouvoir le retrouver facilement.
À propos des fichiers de modèle
Si vous disposez de plusieurs stations de travail utilisant Compressor, il est conseillé d’avoir
les mêmes modèles sur l’ensemble des ordinateurs.
Pour cela, vous pouvez copier les fichiers de modèle d’un système à l’autre, en prenant
garde de les placer dans l’emplacement adéquat. Les modèles sont stockés dans
l’emplacement suivant : Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application
Support/Compressor/Layouts. Toutes les présentations ont la même extension
« .moduleLayout ».
Important : n’ajoutez ou ne retirez jamais de fichiers de modèle manuellement tant que
Compressor est ouvert. Compressor vérifie les modèles disponibles dans cet emplacement
lors de son processus de démarrage. Vous devez donc redémarrer Compressor pour qu’il
reconnaisse les modifications effectuées sur ces fichiers.
Chapitre 4 Interface de Compressor 49Utilisation des fenêtres de Compressor
Bien que les modèles Standard et Lot présentent l’interface de Compressor comme un
seul grand élément, cette interface est en fait composée de plusieurs fenêtres que vous
pouvez repositionner ou redimensionner suivant vos besoins.
Pourquoi certaines fenêtres sont-elles cachées ?
L’interface de Compressor étant composée de plusieurs fenêtres indépendantes, lorsque
vous passez de Compressor à une autre application, puis que vous cliquez de nouveau
sur une fenêtre de Compressor, seule cette dernière s’affiche et les autres restent cachées
par les fenêtres ouvertes d’autres applications.
Pour afficher toutes les fenêtres de Compressor au premier plan
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Lorsque vous passez d’une application à l’autre, utilisez la fonctionnalité de basculement
intégrée à Mac OS X. Appuyez sur la touche de tabulation en maintenant la touche
Commande enfoncée pour faire apparaître une zone de dialogue de sélection
d’applications. Tant que vous maintenez la touche Commande enfoncée, vous pouvez
appuyer sur la touche de tabulation pour parcourir les différentes applications en cours
d’exécution, puis relâcher la touche Commande lorsque vous avez sélectionné l’icône de
Compressor. Ceci permet de s’assurer que toutes les fenêtres de Compressor sont visibles.
µ Choisissez Fenêtre > Tout ramener au premier plan.
µ Cliquez sur l’icône de l’application Compressor dans le Dock.
Remarque : la barre d’outils de Compressor, située dans la partie supérieure de la fenêtre
Lot, facilite la navigation dans les fenêtres principales de Compressor et dans Share
Monitor.
Redimensionnement des fenêtres de Compressor
Vous pouvez redimensionner toutes les fenêtres de Compressor à l’exception de celle de
l’Inspecteur qui a une taille fixe.
Chaque fenêtre possède une taille minimum, horizontalement ou verticalement, qui
influence le redimensionnement.
50 Chapitre 4 Interface de CompressorPour redimensionner une fenêtre
µ Faites glisser le coin inférieur droit de la fenêtre pour l’agrandir ou la réduire
horizontalement ou verticalement.
Faites glisser ce coin pour
redimensionner la fenêtre.
Remarque : lorsque vous repositionnez une fenêtre ou que vous la redimensionnez, elle
se colle à la fenêtre la plus proche. Cela permet d’avoir une présentation de fenêtres
nette, sans interstices ni chevauchements.
À propos des onglets
La fenêtre Lot et la fenêtre Réglages et destinations peuvent comporter plusieurs onglets.
• La fenêtre Lot : lorsque vous travaillez sur grand écran et que plusieurs lots sont ouverts,
il est parfois utile d’afficher chacun d’eux dans sa propre fenêtre.
• Les onglets Réglages et Destinations : par défaut, les onglets Réglages et Destinations
se trouvent dans la même fenêtre. Vous pouvez néanmoins choisir de leur attribuer
une fenêtre chacun ou de fermer l’un de ces onglets. Vous pouvez même y ajouter
n’importe quelle autre fenêtre (à l’exception de la fenêtre Lot) sous forme d’onglet
supplémentaire.
Dans tous les cas, vous avez la possibilité de contrôler l’ordre des onglets.
Pour placer un onglet dans sa propre fenêtre par glissement
1 Faites glisser l’onglet hors de son emplacement actuel.
Chapitre 4 Interface de Compressor 512 Relâchez l’onglet pour le faire apparaître dans sa propre fenêtre.
Pour placer un onglet dans sa propre fenêtre à l’aide du menu contextuel
µ Cliquez sur l’onglet tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et sélectionnez
Extraire l’onglet dans le menu contextuel.
Il s’ouvre alors dans sa propre fenêtre.
Pour ajouter un onglet d’une fenêtre à une autre par glissement
1 Faites glisser l’onglet dans la zone d’onglet de la fenêtre à laquelle vous voulez l’ajouter.
La zone d’onglet apparaît alors en surbrillance.
52 Chapitre 4 Interface de Compressor2 Relâchez l’onglet.
Il se place automatiquement dans la zone d’onglet et sa fenêtre d’origine se referme.
Pour ajouter un onglet d’une fenêtre à une autre à l’aide du menu contextuel
µ Cliquez sur la zone d’onglet tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée à l’endroit
où vous voulez voir apparaître la fenêtre et choisissez l’onglet dans la liste proposée par
le menu contextuel.
Remarque : c’est la seule méthode qui permette d’ajouter les onglets Historique, Aperçu
ou Inspecteur à la fenêtre.
Pou modifier l’ordre des onglets dans leur fenêtre actuelle
µ Faites glisser l’onglet vers la gauche ou la droite suivant l’emplacement souhaité.
Les autres onglets sont déplacés pour lui laisser une place.
Lorsque vous avez configuré l’interface de Compressor selon vos besoins, vous pouvez
l’enregistrer en tant que modèle. Cela vous permet de facilement restaurer un modèle
ou de passer de l’un à l’autre. Consultez la section Création et gestion des modèles
Compressor pour obtenir plus d’informations.
Fenêtre Lot
Quand vous ouvrez Compressor pour la première fois, la fenêtre Lot apparaît. Cette
dernière vous permet d’importer des fichiers média source à compresser, d’ajouter des
réglages et des destinations, de nommer le lot et de choisir le dossier dans lequel vous
souhaitez l’enregistrer. C’est là que vous devez placer vos fichiers multimédias sources
en préparation du transcodage.
Remarque : en général, la fenêtre Lot est toujours visible. Si vous la fermez, elle s’ouvre
de nouveau lorsque vous créez un nouveau lot (Fichier > Nouveau lot) ou que vous ouvrez
un lot existant (Fichier > Ouvrir).
Chapitre 4 Interface de Compressor 53Vous pouvez utiliser la barre de menus de Compressor ou la barre d’outils située en haut
de la fenêtre Lot pour ouvrir toutes les autres fenêtres. Si la barre d’outils n’est pas visible
lorsque vous ouvrez Compressor, cliquez sur le bouton dans l’angle supérieur droit de la
fenêtre Lot afin de l’ouvrir.
Zone Tâche
Barre d’outils
Onglets Lot
État du lot
Bouton Afficher/Masquer
la barre d’outils
Bouton d’envoi de lot
En plus de la barre d’outils Compressor et du bouton Soumettre, la fenêtre Lot comprend
des onglets représentant les lots ouverts et une zone permettant d’afficher et de configurer
les tâches d’un lot. Pour plus d’informations sur l’ajout de fichiers multimédias sources à
un lot, consultez la section Ajout de fichiers multimédias sources à un lot pour créer des
tâches. Pour savoir comment utiliser les tâches et les cibles, reportez-vous au Finalisation
de tâches et soumission de lots.
Personnalisation de la barre d’outils
La fenêtre Lot contient une barre d’outils que vous pouvez personnaliser pour répondre
au mieux à vos besoins.
Remarque : si la barre d’outils n’est pas visible lorsque vous ouvrez Compressor, cliquez
sur le bouton dans l’angle supérieur droit de la fenêtre Lot afin de l’ouvrir.
Pour personnaliser la barre d’outils de la fenêtre Lot
1 Utilisez l’une des étapes suivantes pour ouvrir la palette de personnalisation de la barre
d’outils :
• Choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils.
• Cliquez dans la barre d’outils tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et
choisissez « Personnaliser la barre d’outils » dans le menu contextuel.
• Cliquez sur l’icône « Personnaliser la barre d’outils » (si elle est présente).
54 Chapitre 4 Interface de CompressorLa palette de la barre d’outils s’ouvre.
2 Pour personnaliser la barre d’outils, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Pour supprimer les éléments qui se trouvent dans la barre d’outils : faites-les sortir de la
barre d’outils par glisser-déplacer.
• Pour ajouter des éléments dans la barre d’outils : faites-les glisser de la palette vers la
barre d’outils en les plaçant à l’endroit souhaité.
• Pour réorganiser des éléments dans la barre d’outils : faites-les glisser de l’emplacement
actuel vers un nouvel emplacement.
• Pour restaurer la configuration par défaut de la barre d’outils : faites glisser le jeu par
défaut (situé sur le bas de la palette) dans la barre d’outils.
• Pour configurer le nombre d’éléments de la barre d’outils : choisissez un réglage dans le
menu local Afficher.
Vous pouvez choisir d’afficher l’icône et le texte, uniquement l’icône ou uniquement
le texte.
3 Cliquez sur Terminé lorsque vous avez fini.
Remarque : la configuration de la barre d’outils est enregistrée comme élément d’un
modèle. Consultez la section Création et gestion des modèles Compressor pour de plus
amples informations sur les modèles.
Chapitre 4 Interface de Compressor 55Il est possible d’ajouter plus d’éléments à la barre d’outils qu’elle ne peut en contenir.
Lorsque cela arrive, une double flèche, sur laquelle vous pouvez cliquer pour accéder aux
icônes non affichées, apparaît sur le bord droit de la barre.
Cliquez sur cette flèche
pour afficher les éléments
qui ne tiennent pas dans
la barre d’outils visible.
À propos des éléments de la barre d’outils
La plupart des éléments ne peuvent être ajoutés qu’une seule fois à la barre d’outils.
Certains, comme le séparateur, l’espace ou l’espace flexible peuvent être ajoutés plusieurs
fois.
• Nouveau lot : crée un nouveau lot sans nom.
• Lot ouvert : ouvre une zone de dialogue permettant de localiser et de sélectionner un
lot enregistré pour l’ouvrir.
• Fermer : ferme le lot sélectionné.
Remarque : vous ne pouvez pas fermer un lot s’il est le seul ouvert.
• Ajouter un fichier : ouvre une zone de dialogue permettant de localiser et de sélectionner
un ou plusieurs fichiers multimédias sources à importer dans le lot actuel.
• Ajouter un son Surround : ouvre la zone de dialogue d’affectation de fichier audio
permettant d’affecter manuellement des fichiers à chaque canal audio d’une
configuration Surround.
• Ajouter une séquence d’images : ouvre une zone de dialogue permettant de sélectionner
le dossier contenant les fichiers de séquence d’images sources.
• Soumettre avec les réglages précédents : soumet le lot en utilisant les réglages utilisés
lors des dernières soumissions de lot, sans ouvrir la zone de dialogue de soumission.
• Historique : ouvre la fenêtre Historique.
• Inspecteur : ouvre la fenêtre Inspecteur.
• Réglages : ouvre l’onglet Réglages.
• Destinations : ouvre l’onglet Destinations.
• Aperçu : ouvre la fenêtre Aperçu.
• Share Monitor : ouvre l’application Share Monitor.
56 Chapitre 4 Interface de Compressor• Créer des droplets : ouvre une zone de dialogue permettant de sélectionner les réglages
de ce droplet.
• Séparateur : ajoute une ligne verticale à la barre d’outils permettant ainsi de regrouper
divers éléments.
• Espace : ajoute un espace à largeur fixe à la barre d’outils.
• Espace ajustable : ajoute un espace à largeur flexible à la barre d’outils. Cet espace
permet de forcer le placement d’éléments sur les bords gauche et droit de la barre
d’outils en agrandissant cette dernière de façon à remplir les zones inutilisées.
• Personnaliser : ouvre la palette de personnalisation de la barre d’outils.
Onglet Réglages
l’onglet Réglages vous permet de centraliser la gestion des réglages personnalisés et
Apple. Utilisez l’onglet Réglages avec la fenêtre Inspecteur pour créer et modifier des
réglages, décider exactement des réglages à utiliser pour transcoder votre fichier
multimédia source et choisir le format de sortie dans lequel vous voulez convertir le fichier
transcodé.
Pour ouvrir l’onglet Réglages
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Choisissez Fenêtre > Réglages (ou appuyez sur Commande + 3).
µ Cliquez sur l’icône Réglages dans la barre d’outils de la fenêtre Lot (si elle s’y trouve).
µ Cliquez sur l’onglet Réglages (s’il est présent).
L’onglet Réglages contient la liste des réglages existants et les boutons nécessaires à
l’ajout, à la suppression et à la duplication d’un réglage, ainsi qu’à la création de groupes
et de droplets.
Chapitre 4 Interface de Compressor 57Pour plus de détails sur l’utilisation de l’onglet Réglages pour créer, organiser et choisir
des réglages, voir Création, aperçu et modification des réglages.
Onglet Destinations
L’onglet Destinations permet de créer, de modifier ou de supprimer vos réglages de
destination, de définir une destination par défaut et d’ajouter des identificateurs aux
noms de vos fichiers de média de sortie.
Pour ouvrir l’onglet Destinations
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Choisissez Fenêtre > Destinations (ou appuyez sur Commande + 4).
µ Cliquez sur l’icône Destinations dans la barre d’outils de la fenêtre Lot (si elle s’y trouve).
µ Cliquez sur l’onglet Destinations (s’il s’y trouve).
Voir Création et changement de destinations pour en savoir plus sur la configuration de
destinations afin de simplifier votre flux de production Compressor.
Fenêtre Inspecteur
La fenêtre Inspecteur permet d’accéder facilement aux commandes de transcodage
courantes (pour créer et modifier des réglages et des destinations) et propose un tableau
de résumé complet contenant tous les détails de chaque réglage, ainsi que des
informations sur les fichiers multimédias sources, y compris les attributs A/N, les données
de sous-titres codés, les annotations et les actions de tâche.
58 Chapitre 4 Interface de CompressorPour ouvrir la fenêtre Inspecteur
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Sélectionnez Fenêtre > Afficher l’inspecteur.
µ Cliquez sur l’icône Inspecteur dans la barre d’outils de la fenêtre Lot.
Remarque : contrairement aux autres fenêtres Compressor, la fenêtre Inspecteur ne peut
pas être redimensionnée.
À propos des réglages automatiques
Plusieurs éléments des sous-fenêtres de réglages proposent un mode automatique
facultatif. Lorsque ce mode est activé, Compressor détermine la valeur optimale pour le
réglage.
Le bouton automatique est noir
lorsqu’il est activé et l’élément
correspondant est estompé.
Le bouton automatique est
estompé lorsqu’il est désactivé
et l’élément correspondant peut
alors être sélectionné.
De façon générale, lorsque le mode automatique est activé, l’élément correspondant est
estompé et ne peut pas être modifié.
• Si le réglage n’a pas été affecté à un fichier multimédia source : l’élément indique
« Automatique ». La sous-fenêtre Contrôles d’image de la fenêtre Inspecteur constitue
toutefois une exception, puisque son état reste indéterminé tant que vous n’avez pas
appliqué le réglage à un fichier multimédia source.
• Si le réglage a été affecté à un fichier multimédia source : l’élément reste grisé mais indique
la valeur qui va être utilisée.
Lorsque le mode automatique est désactivé, son bouton est estompé et vous pouvez
choisir des valeurs pour les éléments.
Vous pouvez activer le bouton Automatique (le bouton s’obscurcit) ou le désactiver (le
bouton s’éclaircit).
Chapitre 4 Interface de Compressor 59Astuce : il peut être intéressant de vérifier dans les Inspecteurs les valeurs des réglages
automatiques. Compressor peut généralement déterminer correctement les valeurs
appropriées, mais il se peut que dans certains cas le fichier multimédia source ne contienne
pas suffisamment d’informations pour cela. Par exemple, certaines séquences QuickTime
peuvent ne pas comporter les bonnes métadonnées ou peuvent être incorrectes. De plus,
si le fichier multimédia source utilise des réglages non standard (pour les dimensions
d’image ou la fréquence d’images), Compressor choisit la valeur standard la plus proche.
Fichiers multimédias sources et fenêtre Inspecteur
Lorsque vous sélectionnez la fenêtre Lot, la fenêtre Inspecteur comporte les informations
sur le fichier multimédia source de la tâche et permet d’ajouter des annotations, des
fichiers de sous-titres codés et des actions de tâche.
La fenêtre Inspecteur comprend trois onglets : Attributs A/N, Informations supplémentaires
et Action de tâche.
Onglet Attributs A/N
L’onglet Attributs A/N contient des informations générales sur le fichier multimédia source
et se divise en trois parties.
• Informations de fichier : cette section indique le nom du fichier, son emplacement et
son format.
• Informations vidéo : cette partie affiche, s’il y a lieu, toutes les informations vidéo du
fichier. Cela comprend les dimensions de l’image, la fréquence d’images et les
informations de timecode.
• Informations audio : cette partie affiche, s’il y a lieu, toutes les informations audio du
fichier. Cela comprend la taille d’échantillon et la fréquence d’échantillonnage.
60 Chapitre 4 Interface de CompressorOnglet Informations supplémentaires
L’onglet Informations supplémentaires vous permet de visualiser et de modifier divers
éléments de métadonnées ayant pu être ajoutés dans d’autres applications telles que
Final Cut Pro ou QuickTime. Vous pouvez également ajouter des éléments de métadonnées
au fichier multimédia de sortie. Cela inclut la possibilité d’associer un fichier de sous-titres
codés au fichier.
Consultez Onglet Informations supplémentaires pour en savoir plus sur la gestion des
annotations et des fichiers de sous-titres codés.
• Champ Fichier de soustitres codés : affiche le nom du fichier de sous-titres codés
actuellement associé au fichier média source.
• Bouton Choisir (sous-titres codés) : ce bouton permet d’ouvrir la zone de dialogue et
d’accéder au fichier de sous-titres codés à associer au fichier multimédia source.
• Bouton Effacer : ce bouton permet de supprimer le fichier de soustitre codé associé.
• Tableau d’annotations : affiche les types d’annotation actuels et le texte d’annotation
correspondant.
• Menu local Ajouter une annotation : ce menu permet de choisir le type d’annotation à
ajouter au fichier multimédia source.
• Bouton Supprimer (annotation) : ce bouton permet de supprimer l’annotation
sélectionnée.
Chapitre 4 Interface de Compressor 61Onglet Action de tâche
L’onglet Action de tâche permet d’appliquer des actions de post-transcodage à des tâches
entières et de les ajuster. Consultez la section Ajout d’actions pour obtenir plus
d’informations.
• Menu local Fin de la tâche : utilisez ce menu local pour sélectionner et appliquer une
action de post-transcodage pour une tâche sélectionnée dans la fenêtre Lot.
À propos des sous-fenêtres Réglages
Lorsque vous sélectionnez un réglage dans l’onglet Réglages ou une cible dans une tâche
par lot, l’Inspecteur affiche une des six sous-fenêtres.
62 Chapitre 4 Interface de CompressorSous-fenêtre Résumé
La sous-fenêtre Résumé contient le tableau Résumé, qui décrit tous les réglages (audio,
vidéo, géométrie et filtrage) associés au réglage sélectionné sous l’onglet Réglages. Les
informations du tableau Résumé sont automatiquement mises à jour à chaque modification
d’un réglage.
Le tableau Résumé inclut les renseignements suivants.
• Nom : nom du réglage sélectionné sous l’onglet Réglages.
• Description : description du réglage sélectionné sous l’onglet Réglages.
• Extension de fichier : l’extension attribuée au fichier multimédia transcodé. Cette
extension identifie le format dans lequel est converti votre fichier multimédia source.
• Taille estimée du fichier : lorsqu’on attribue cette option au fichier multimédia source,
elle affiche une estimation de la taille totale du fichier. Si vous ne l’attribuez pas à un
fichier multimédia source, elle affiche une estimation de taille par heure de données
sources.
Remarque : la taille totale estimée du fichier n’est pas disponible pour tous les formats
de sortie.
• Encodeur audio : indique le format du fichier de sortie audio et d’autres réglages de
transcodage, comme la fréquence d’échantillonnage, les canaux, le nombre de bits par
échantillon et le type de codec.
• Encodeur vidéo : fournit des détails sur le format de fichier de sortie vidéo et d’autres
réglages de transcodage tels que la largeur et la hauteur d’image, le rognage (en pixels),
la fréquence d’images, les proportions, le type de codec, la profondeur de pixel, la
qualité spatiale, la qualité spatiale minimale, l’intervalle entre les images clés, la qualité
temporelle, la qualité temporelle minimale et le débit des données (en bits par seconde).
Chapitre 4 Interface de Compressor 63• Filtre : détaille le ou les filtres (selon le nombre de filtres sélectionnés dans la sous-fenêtre
Filtres) sélectionnés parmi ceux disponibles dans Compressor.
Sous-fenêtre Encodeur
Utilisez la sous-fenêtre Encodeur pour sélectionner et configurer le format du fichier de
sortie et les autres réglages. Les options et attributs du format de fichier sont différents
pour chaque format.
• Format de fichier : utilisez ce menu local pour choisir un format de fichier de sortie. Pour
plus d’informations sur les formats de sortie disponibles, consultez la section Choix
d’un format de sortie.
• Champ Extension de fichier : les extensions de fichier suivantes apparaissent
automatiquement dans ce champ en fonction du format que vous choisissez dans le
menu local Format de fichier, et si les pistes vidéo et audio sont activées. Ne modifiez
pas ce champ sans bonne raison, car le fichier pourrait alors ne pas être reconnu.
• aiff : représente le format AIFF.
• ac3 : représente Dolby Digital Professional.
• caf : représente les fichiers Apple CAF.
• dv : représente la vidéo au format Digital Video (DV).
• mpg : représente le flux MPEG-1 multiplexé (vidéo et audio).
• m1v : représente le flux élémentaire vidéo MPEG-1.
• m1a : représente le flux élémentaire audio MPEG-1.
• m2v : représente le flux vidéo élémentaire MPEG-2.
• m2t : représente le flux de transport MPEG-2.
• mpeg : représente le flux de programme MPEG-2.
64 Chapitre 4 Interface de Compressor• m4v : représente le format H.264 pour appareils Apple.
• mp4 : représente le format MPEG-4.
• mov : représente les fichiers QuickTime.
• tga : représente le format TARGA.
• tiff : représente le format TIFF.
• Autoriser la segmentation des tâches : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Elle n’est pertinente que si vous utilisez Compressor avec le traitement
distribué et un encodage à deux ou plusieurs passes. Pour plus d’informations, consultez
Segmentation des tâches et encodage multipasse ou à 2 passes.
Sous-fenêtre Contrôles d’images
Cette sous-fenêtre de l’Inspecteur propose des réglages automatiques et personnalisés
pour l’analyse d’image avancée et la resynchronisation d’image.
Le redimensionnement d’image peut s’avérer nécessaire lorsque vous transcodez d’un
format haute définition tel que le 1080i vers un format de définition standard comme le
DV-NTSC. La resynchronisation d’image quant à elle est nécessaire lorsque vous transcodez
entre formats vidéo de fréquences d’images différentes comme le NTSC (29,97 images
par seconde) et PAL (25 images par seconde). Pour plus d’informations sur la sous-fenêtre
Contrôles d’images, consultez la section À propos de la sous-fenêtre Contrôles d’images.
Chapitre 4 Interface de Compressor 65Sous-fenêtre Filtres
Utilisez la sous-fenêtre Filtres pour ajouter des filtres à votre réglage. Parmi les tâches
disponibles, vous pouvez effectuer une correction gamma et supprimer le bruit.
Cochez la case située en regard du filtre que vous souhaitez associer à un réglage donné.
Utilisez les curseurs de défilement ou les flèches de contrôle pour ajuster les paramètres
de filtrage selon vos besoins.
Les filtres sont appliqués au fichier multimédia source en fonction de leur ordre
d’organisation dans la liste des filtres. Vous pouvez réorganiser les filtres en les déplaçant
vers le bas ou le haut dans la liste.
Pour de plus amples informations sur la sous-fenêtre Filtres, consultez la section À propos
de la sous-fenêtre Filtres.
66 Chapitre 4 Interface de CompressorSous-fenêtre Géométrie
Vous devez utiliser la sous-fenêtre Géométrie pour rogner et dimensionner le fichier
multimédia à compresser et définir ses proportions.
La sous-fenêtre Géométrie comporte trois parties :
• Cadre de source (rognage) : utilisez l’un des quatre champs pour saisir le nombre de
pixels par lequel vous souhaitez réduire la taille du fichier multimédia source ou
choisissez un réglage dans le menu local Rogner sur, afin que Compressor choisisse
des valeurs de rognage en fonction du contenu vidéo du fichier multimédia source.
• Dimensions (pixels encodés) : utilisez le menu local Dimension de l’image ou ces champs
pour créer une dimension d’image et des proportions de sortie correspondant à votre
fichier multimédia source. Utilisez le menu local Aspect des pixels pour définir les valeurs
de largeur et de hauteur, afin qu’elles soient conformes à des proportions déterminées.
• Cadre d’image de sortie (remplissage) : utilisez le menu local Remplissage pour calculer
les valeurs de hauteur et de largeur de sortie. Si vous sélectionnez Personnaliser, vous
pouvez saisir des valeurs dans les champs.
Pour de plus amples informations sur la sous-fenêtre Géométrie, consultez Ajout de
réglages de géométrie.
Chapitre 4 Interface de Compressor 67Sous-fenêtre Actions
Utilisez la sous-fenêtre Actions pour activer l’envoi de messages de notification de fin de
transcodage par courrier électronique et attribuer une destination par défaut à ce réglage.
• Case à cocher et champ « Notification par courrier électronique à » : utilisez ce champ
pour introduire l’adresse électronique à laquelle vous souhaitez que la notification soit
envoyée après le transcodage du fichier multimédia ou en cas d’erreur.
• Destination par défaut : choisissez dans ce menu local la destination que ce réglage
doit utiliser par défaut.
Pour de plus amples informations sur la sous-fenêtre Actions, consultez Ajout d’actions.
Fenêtre Historique
La fenêtre Historique vous donne rapidement accès aux lots soumis précédemment, ainsi
qu’aux informations qui les concernent. Vous pouvez utiliser cette fenêtre pour mettre
en pause une opération de transcodage, soumettre à nouveau des lots en les faisant
glisser dans la fenêtre Lot ou visualiser les détails de la soumission de lots particuliers.
Vous pouvez également l’utiliser pour localiser les fichiers multimédias de sortie des lots
préalablement envoyés.
La fenêtre Historique contient également une barre de progression que vous pouvez
utiliser pour contrôler l’état des lots soumis au préalable.
Pour ouvrir et fermer la fenêtre Historique
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Choisissez Fenêtre > Historique (ou appuyez sur Commande + 1).
68 Chapitre 4 Interface de Compressorµ Cliquez sur le bouton Historique dans la barre d’outils de la fenêtre Lot.
Remarque : la fenêtre Historique s’ouvre automatiquement si elle est fermée lorsque
vous envoyez un lot en vue de le transcoder.
La fenêtre Historique contient des entrées qui affichent des informations sur le nom du
lot et la date et l’heure auxquelles il a été transcodé au départ. Les entrées sont classées
par date, en commençant par la plus ancienne. Lorsque vous faites glisser un lot dans
une fenêtre Lot pour une nouvelle soumission, un nouveau lot sans nom est créé à cet
effet (les lots existants ne s’en trouvent pas affectés).
Pour plus d’informations sur les commandes et réglages dans la fenêtre Historique,
consultez la section À propos de la fenêtre Historique.
Fenêtre Aperçu
La fenêtre Aperçu consiste en un écran partagé en deux, qui affiche à gauche le fichier
multimédia source sous sa forme originale, et à droite ce à quoi ressemblerait votre fichier
de média de sortie. Cela vous permet de comparer l’original et la version transcodée et,
le cas échéant, d’ajuster vos réglages. En utilisant les options de cette fenêtre, vous pouvez
rogner l’image, ajouter des images clés et modifier les proportions.
Pour ouvrir la fenêtre Aperçu
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Choisissez Fenêtre > Aperçu (ou appuyez sur Commande + 2).
Chapitre 4 Interface de Compressor 69µ Cliquez sur le bouton Aperçu dans la barre d’outils de la fenêtre Lot.
Bouton de menu local Marqueur
La fenêtre Aperçu propose d’autres fonctionnalités, notamment un menu local Marqueur.
Ce menu local Marqueur permet d’importer des listes de chapitres ou d’ajouter
manuellement des marqueurs de chapitres (et de podcasts), ainsi que des marqueurs de
compression (pour améliorer la qualité de la compression de votre fichier multimédia).
Pour plus d’informations sur les contrôles et les paramètres de la fenêtre Aperçu, consultez
la section À propos de la fenêtre Aperçu.
70 Chapitre 4 Interface de CompressorFenêtre Apple Qmaster Sharing
Compressor inclut une fonctionnalité de traitement distribué que vous pouvez utiliser
pour accélérer vos tâches de transcodage. Elle vous permet d’exploiter la puissance de
plusieurs ordinateurs de votre réseau local pour répartir le travail. La fenêtre Apple Qmaster
Sharing, ouverte en choisissant Apple Qmaster > Partager cet ordinateur, fournit la plupart
des commandes nécessaires à la configuration d’un système de traitement distribué. Pour
en savoir plus sur sa configuration, consultez Apple Qmaster et le traitement distribué.
Chapitre 4 Interface de Compressor 71Share Monitor
Utilisez Share Monitor pour surveiller la progression des lots de transcodage et bénéficier
d’informations telles que des estimations du temps de transcodage restant pour l’ensemble
des tâches. Share Monitor est une application distincte que vous pouvez utiliser sans
ouvrir Compressor. Pour en savoir plus sur Share Monitor, consultez le Manuel de l’utilisateur
de Share Monitor.
Pour ouvrir Share Monitor
µ Cliquez sur le bouton Share Monitor dans la barre d’outils de la fenêtre Lot.
Vous pouvez également régler les préférences de Compressor de façon à ce que Share
Monitor s’ouvre automatiquement lorsque vous soumettez un lot. Consultez la section
Configuration des préférences de Compressor pour obtenir plus d’informations.
Share Monitor affiche l’état de tous les lots soumis, notamment leur nom et d’autres
informations. Vous pouvez consulter des rapports sur les tâches (réussies ou non) dans
Share Monitor ou dans la fenêtre Historique.
Pour plus d’informations sur les contrôles et les réglages de Share Monitor, consultez le
Manuel de l’utilisateur de Share Monitor.
72 Chapitre 4 Interface de CompressorFenêtres Droplet
Vous pouvez enregistrer un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages dans une
fenêtre Droplet, un préréglage autonome intégré dans une application glisser-déposer
et enregistré en tant qu’icône. Vous pouvez ensuite transcoder les fichiers multimédias
sources (sans même ouvrir Compressor) en les faisant tout simplement glisser sur une
icône Droplet. Voir Utilisation de droplets pour en savoir plus sur la création et l’utilisation
de droplets.
Faites glisser les fichiers
multimédia sources
sélectionnés dans une
Droplet pour les transcoder.
Vous pouvez ouvrir n’importe quelle Droplet et afficher sa fenêtre pour voir tous les détails
la concernant.
Pour ouvrir une fenêtre de Droplet
µ Double-cliquez sur une icône de Droplet.
Pour plus d’informations sur les contrôles et réglages de la fenêtre Droplet, consultez la
section À propos de la fenêtre Droplet.
Chapitre 4 Interface de Compressor 73À propos du changement des valeurs et des entrées de
timecode
Compressor propose plusieurs types de méthodes de saisie de valeurs. La plupart ont
des fonctions permettant de simplifier la modification des champs de valeur ou de
timecode.
Utilisation des curseurs de valeur
Deux méthodes sont utilisées pour saisir des valeurs numériques générales : les curseurs
traditionnels avec champs d’entrée numérique séparés, qui allient le curseur et le champ
d’entrée numérique.
Curseur de valeur avec
curseur et champ d’entrée
numérique combinés
Curseur et champ d’entrée
numérique séparés
Les curseurs de valeur permettent de saisir un nombre spécifique dans le champ de valeur
ou de faire glisser le pointeur dans le champ pour définir une valeur. Vous pouvez les
utiliser en même temps qu’une touche de modification pour procéder à des modifications
de valeurs importantes, réduites ou normales. Faire glisser le pointeur dans la partie
centrale (où se trouve le nombre) fonctionne de la même façon qu’un curseur ordinaire :
faire glisser vers la droite augmente la valeur et faire glisser vers la gauche réduit la valeur.
De plus, vous pouvez cliquer sur la flèche gauche ou droite pour modifier la valeur d’un
cran à la fois. Vous pouvez également double-cliquer sur le nombre lui-même et saisir
une nouvelle valeur dans le champ de valeur.
Pour changer les valeurs en incréments normaux
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites glisser le pointeur vers la gauche ou la droite dans le champ de valeur.
µ Cliquez sur la flèche de gauche pour réduire la valeur et sur la flèche de droite pour
l’augmenter.
µ Si vous disposez d’une souris à trois boutons avec molette de défilement, cliquez dans
le champ de valeur et utilisez la molette de la souris.
Pour changer les valeurs en incréments fins
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites glisser le champ de valeur en maintenant la touche Option enfoncée.
µ Maintenez la touche Option enfoncée et cliquez sur la flèche de gauche pour réduire la
valeur et sur la flèche de droite pour l’augmenter.
µ Si vous disposez d’une souris à molette de défilement, utilisez-la dans le champ de valeur
tout en maintenant la touche Option enfoncée.
74 Chapitre 4 Interface de CompressorPour changer les valeurs en incréments moins précis
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites glisser le champ de valeur en maintenant la touche Maj enfoncée.
µ Maintenez la touche Maj enfoncée et cliquez sur la flèche de gauche pour réduire la valeur
et sur la flèche de droite pour l’augmenter.
µ Si vous disposez d’une souris à molette de défilement, utilisez-la dans le champ valeur
tout en maintenant la touche Maj enfoncée.
Lorsqu’un curseur ou un champ de valeur est actif (mis en surbrillance), appuyez sur la
touche Tab pour passer au champ suivant.
Utilisation des curseurs de valeur de timecode
Compressor utilise des curseurs de valeur de timecode pour tous les champs de timecode.
Outre la possibilité de saisir directement des valeurs de timecode, vous pouvez « faire
défiler » le timecode par glissement.
Si vous positionnez le pointeur sur un segment de timecode, de petites flèches
apparaissent au-dessus et en dessous de ce segment.
Vous pouvez faire glisser le pointeur vers le haut ou vers la droite pour augmenter la
valeur de ce segment (les valeurs des segments de gauche augmentent également si
votre glissement dépasse la valeur maximale). En faisant glisser le curseur vers la gauche,
la valeur est réduite. Vous pouvez maintenir la touche Option enfoncée pour faire des
modifications de valeur plus lentes ou utiliser la touche Maj pour des modifications plus
rapides.
Vous pouvez également cliquer sur les flèches haut et bas de chaque côté de la valeur
de timecode ou appuyer sur les touches Flèche vers le haut et Flèche vers le bas du clavier
pour augmenter ou réduire la valeur de timecode.
Vous pouvez contrôler le segment affecté par les flèches haut et bas en sélectionnant un
segment, afin de faire apparaître un signe d’insertion en dessous du segment. Vous pouvez
également utiliser les flèches gauche et droite du clavier pour sélectionner d’autres
segments.
Chapitre 4 Interface de Compressor 75Raccourcis clavier
Pour consulter les listes complètes de raccourcis clavier de Compressor, voir
Raccourcis clavier généraux de Compressor et Raccourcis clavier de la fenêtre Aperçu.
76 Chapitre 4 Interface de CompressorVous pouvez utiliser la fenêtre Préférences de Compressor pour configurer de nombreux
aspects de Compressor.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• À propos des préférences de Compressor (p 77)
• Utilisation des préférences de Compressor (p 80)
À propos des préférences de Compressor
La fenêtre Préférences de Compressor permet de configurer un grand nombre de contrôles
de Compressor.
La fenêtre Préférences de Compressor contient les contrôles suivants.
77
Configuration des préférences de
Compressor 5Détails des préférences de Compressor
• Adresse électronique : ce champ permet de saisir l’adresse électronique par défaut à
utiliser pour la notification par courrier électronique.
• Serveur de courrier sortant : pour plus d’informations sur la notification par courrier
électronique, consultez Utilisation des actions de post-transcodage.
• Lancer automatiquement Share Monitor : cette case permet de déterminer si Share
Monitor s’ouvre automatiquement lorsque vous soumettez un lot.
• Afficher les vignettes des tâches : cette option permet de définir si des vignettes s’affichent
pour les tâches d’un lot.
• Options de clusters : choisissez l’une des options suivantes afin de contrôler les options
de cluster (pour les réglages du stockage de travail du traitement distribué)
• Copier la source vers le cluster si nécessaire : ordonne à Compressor de copier les
fichiers sources vers l’emplacement de stockage de travail d’un cluster, si nécessaire.
• Toujours copier la source vers le cluster : ordonne à Compressor de toujours copier les
fichiers sources vers l’emplacement de stockage de travail d’un cluster.
• Ne jamais copier la source vers le cluster : empêche Compressor de copier les fichiers
sources.
• Ne jamais copier de fichiers vers/depuis le cluster : empêche Compressor de copier les
fichiers. Le lot échoue si certains fichiers ne figurent pas aux emplacements appropriés.
• Copier lors de la soumission (haute priorité) : cette option définit si Compressor transfère
immédiatement les fichiers source vers le cluster de traitement.
• Réglage par défaut : utilisez le menu local Réglage par défaut pour choisir un réglage
dans la liste.
• Destination par défaut : utilisez le menu local Destination par défaut pour choisir une
destination dans la liste.
• Pour les nouveaux lots : choisissez l’une des options suivantes de définition de l’écran
de démarrage de Compressor.
• Afficher le sélecteur de modèle : le sélecteur de modèle s’affiche lors du démarrage de
Compressor.
• Utiliser un modèle vide : Compressor s’ouvre en affichant un lot vide sans titre
contenant une tâche fictive.
• Autoriser les connexions depuis d’autres ordinateurs : cochez cette case pour déterminer
si les ordinateurs à distance exécutant Share Monitor peuvent afficher l’état de la tâche
de cet ordinateur. L’application Share Monitor installée sur l’ordinateur à distance doit
uniquement connaître l’adresse IP ou le nom d’hôte. (Il n’y a aucun mot de passe à
saisir.)
• Saisir une adresse ou un rang IP pour les ordinateurs sélectionnés manuellement : ce tableau
affiche des informations sur les ordinateurs hôtes distants.
78 Chapitre 5 Configuration des préférences de Compressor• Bouton Ajouter/Supprimer : ce bouton permet d’ajouter ou de supprimer des informations
sur les ordinateurs hôtes distants.
Zone de dialogue Adresse de l’ordinateur distant
La zone de dialogue d’adresse de l’ordinateur à distance s’affiche lorsque vous cliquez
sur le bouton Ajouter/Supprimer dans la fenêtre principale des préférences de Compressor.
Utilisez cette fenêtre pour saisir des adresses ou des rangs IP pour les ordinateurs
sélectionnés manuellement.
La zone de dialogue contient les contrôles suivants :
• Boutons Hôte/Intervalle d’adresses IP hôte : ces boutons déterminent si cette zone de
dialogue se trouve en mode Adresse IP (dans lequel vous entrez une adresse spécifique)
ou Intervalle d’adresses IP (dans lequel vous entrez un intervalle d’adresses).
• Hôte : ce mode permet de saisir un nom d’hôte et une adresse IP pour un ordinateur
distant en particulier.
• Intervalle d’adresses IP hôte : ce mode permet de saisir un nom et un ensemble de
numéros (De, À) pour définir une plage d’adresses IP distantes.
Chapitre 5 Configuration des préférences de Compressor 79Utilisation des préférences de Compressor
Pour définir les préférences de Compressor, suivez les instructions ci-dessous.
Pour ouvrir les préférences de Compressor
µ Choisissez Compressor > Préférences ou appuyez sur Commande+virgule (,).
La fenêtre Préférences s’ouvre.
Pour configurer les préférences de notification par courrier électronique
1 Saisissez l’adresse électronique par défaut à utiliser lors de l’activation de la notification
par courrier électronique.
Vous pouvez modifier cette adresse dans la sous-fenêtre Actions de la fenêtre Inspecteur.
2 Saisissez le nom du serveur de messagerie utilisé par cet ordinateur pour les messages
sortants.
Pour plus d’informations sur la notification par courrier électronique, consultez Utilisation
des actions de post-transcodage.
Pour déterminer si Share Monitor s’ouvre automatiquement
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Cochez la case « Lancer automatiquement Share Monitor » pour que Share Monitor s’ouvre
automatiquement lorsque vous soumettez un lot.
µ Désactivez la case « Lancer automatiquement Share Monitor » pour empêcher l’ouverture
automatique de Share Monitor. Vous pouvez toujours ouvrir Share Monitor manuellement
à partir de la fenêtre Lot.
80 Chapitre 5 Configuration des préférences de CompressorPour définir si des vignettes s’affichent pour chacune des tâches d’un lot.
µ Sélectionnez « Afficher les vignettes des tâches » pour que Compressor affiche les images.
µ Désélectionnez « Afficher les vignettes des tâches » pour que Compressor n’affiche pas
les images.
Pour contrôler les options de cluster (pour les réglages du stockage de travail du
traitement distribué)
µ Choisissez une option dans le menu local Options de clusters.
• Copier la source vers le cluster si nécessaire : Ordonne à Compressor de copier les fichiers
sources vers l’emplacement de stockage de travail d’un cluster, si nécessaire.
• Toujours copier la source vers le cluster : ordonne à Compressor de toujours copier les
fichiers sources vers l’emplacement de stockage de travail d’un cluster.
• Ne jamais copier la source vers le cluster : empêche Compressor de copier les fichiers
sources.
• Ne jamais copier de fichiers vers/depuis le cluster : empêche Compressor de copier les
fichiers. Le lot échoue si certains fichiers ne figurent pas aux emplacements appropriés.
Pour définir si Compressor transfère immédiatement les fichiers sources vers le cluster
de traitement
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Sélectionnez « Copier lors de la soumission (haute priorité) » pour que Compressor transfère
immédiatement les fichiers source.
µ Désélectionnez « Copier lors de la soumission (haute priorité) » pour éviter que Compressor
ne transfère immédiatement les fichiers source.
Pour contrôler le réglage par défaut
µ Utilisez le menu local Réglage par défaut pour choisir un réglage dans la liste.
Le réglage que vous choisissez apparaît en tant que réglage par défaut lorsque vous
importez un nouveau fichier source dans la fenêtre Lot.
Pour changer de destination par défaut
µ Utilisez le menu local Destination par défaut pour choisir une destination dans la liste.
La destination que vous choisissez apparaît en tant que destination par défaut lorsque
vous importez un nouveau fichier source dans la fenêtre Lot.
Pour définir si Compressor affiche le sélecteur de modèle au démarrage
µ Sélectionnez « Afficher le sélecteur de modèles » pour que le sélecteur de modèles s’affiche
au démarrage.
µ Sélectionnez « Utiliser un modèle vide » pour que le sélecteur de modèles ne s’affiche
pas au démarrage.
Chapitre 5 Configuration des préférences de Compressor 81Pour déterminer si d’autres ordinateurs exécutant Share Monitor peuvent afficher
l’état de la tâche de cet ordinateur
µ Sélectionnez « Autoriser les connexions depuis d’autres ordinateurs » pour autoriser les
ordinateurs distants exécutant Share Monitor à surveiller l’état de la tâche de cet
ordinateur.
L’ordinateur distant doit connaître l’adresse IP ou le nom d’hôte de cet ordinateur. (Aucun
mot de passe n’est à saisir.)
Pour saisir des adresses ou des intervalles IP pour les ordinateurs hôtes distants
1 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans le bas de la fenêtre Préférences de Compressor.
La zone de dialogue de l’adresse de l’hôte apparaît.
2 Dans la zone de dialogue de l’adresse de l’hôte, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Sélectionnez Hôte, remplissez les champs Nom d’hôte et Adresse IP, puis cliquez sur
Ajouter hôte.
Remarque : vous pouvez aussi saisir uniquement le nom d’hôte ou l’adresse IP et
appuyer sur la touche de tabulation. Si le nom d’hôte ou l’adresse IP sont trouvés, les
informations s’affichent automatiquement dans le champ.
• Sélectionnez « Intervalle d’adresses IP hôte », complétez les champs Intervalle, puis
cliquez sur Ajouter intervalle.
Les hôtes ou les intervalles d’hôtes s’affichent dans le tableau Hôte de la zone de dialogue
principale Préférences.
Important : toute modification apportée aux réglages de Préférences de Compressor ne
prend effet que lorsque vous cliquez sur OK. Si vous apportez des modifications, mais
que vous décidez finalement de ne pas les utiliser, cliquez sur Annuler.
82 Chapitre 5 Configuration des préférences de CompressorLa première étape du processus de transcodage traditionnel dans Compressor consiste
à importer au moins un fichier multimédia source dans la fenêtre Lot.
Remarque : si vous utilisez un flux de travaux de modèle de lot, la première étape consiste
à choisir un modèle de lot. Pour en savoir plus sur le processus de modèle de lot simple,
consultez Flux de travaux Compressor rapide et facile : méthode Modèle de lot.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• À propos de la fenêtre Lot (p 84)
• Ajout de fichiers multimédias sources à un lot pour créer des tâches (p 87)
• Utilisation de l’Inspecteur avec des fichiers multimédias sources (p 97)
• Astuces pour l’importation de fichiers multimédias sources (p 100)
83
Importation de fichiers
multimédias sources 6À propos de la fenêtre Lot
La fenêtre Lot permet de centraliser l’organisation des tâches de transcodage et d’attribuer
rapidement des réglages. Lorsque vous ouvrez Compressor pour la première fois, une
fenêtre Lot sans nom apparaît. Les lots sont similaires à des documents qu’il est possible
d’enregistrer, de fermer et de rouvrir. Utilisez la barre de menus située en haut de la
fenêtre Lot pour ouvrir toutes les autres fenêtres de tâche.
Zone Tâche
Barre d’outils
Onglets Lot
État du lot
Bouton Afficher/Masquer
la barre d’outils
Bouton d’envoi de lot
Informations générales sur la fenêtre Lot
Les lots sont le cœur même de votre flux de production Compressor et c’est dans la
fenêtre Lot que vous traitez les lots. Cette fenêtre prend en charge l’ouverture de plusieurs
lots à la fois et les affiche dans des onglets séparés.
Pour créer un nouveau lot
µ Choisissez Fichier > Nouveau lot (ou appuyez sur Commande + N).
Un nouveau lot sans nom est ajouté à la fenêtre. En fonction de la manière dont l’option
Pour de nouveaux lots est configurée dans les Préférences de Compressor, le sélecteur
de modèle de lot s’affiche.
Remarque : pour créer un nouveau lot et s’assurer que le sélecteur de modèle de lot
s’affiche, choisissez Fichier > Nouveau lot du modèle (ou appuyez sur Commande + Maj
+ N).
Chaque onglet correspond
à un lot distinct.
L’onglet du nouveau lot
84 Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sourcesConsultez la section Enregistrement et ouverture d’un lot pour en savoir plus sur les
fichiers de lot. Pour en savoir plus sur le sélecteur de modèle de lot, consultez À propos
du sélecteur de modèle de lot.
Vous pouvez même ouvrir plusieurs fenêtres Lot, contenant chacune un lot différent en
faisant glisser un onglet de lot dans un nouvel emplacement. Consultez la section À
propos des onglets pour en savoir plus sur le déplacement d’onglets par glisser-déposer
pour ouvrir ou fermer des fenêtres de lot.
La fenêtre Lot comprend un bouton Soumettre, situé dans le coin inférieur droit, que
vous pouvez utiliser pour commencer le transcodage du lot actuellement sélectionné.
Le coin inférieur gauche affiche l’état du lot actuel (le nombre de tâches qu’il contient et
s’il a été soumis).
À propos du sélecteur de modèle de lot
Pour simplifier les processus courants, Compressor inclut un sélecteur de modèle de lot
qui peut s’afficher chaque fois que vous créez un nouveau lot. Le réglage Pour de nouveaux
lots, disponible dans les Préférences du Compressor, permet de contrôler l’affichage du
sélecteur de modèle de lot. Pour en savoir plus sur ce réglage, consultez À propos des
préférences de Compressor.
Le sélecteur de modèle de lot vous propose plusieurs options de configuration de nouveau
lot.
La sélection d’un modèle ajoute un ou plusieurs réglages au lot, ainsi qu’une action de
tâche à exécuter une fois la sortie de lot terminée.
Les modèles de lot Apple standard sont répertoriés ci-dessous.
• Créer un podcast audio : ce modèle permet de créer un fichier audio AAC adapté à la
diffusion de podcast et de l’ajouter à la bibliothèque iTunes.
Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sources 85• Créer un disque Blu-ray : ce modèle permet de créer des fichiers vidéo BD H.264 et audio
Dolby Digital Professional (.ac3), puis de les créer automatiquement sur un disque
Blu-ray ou AVCHD (les disques AVCHD sont lisibles par les lecteurs Blu-ray compatibles
avec le format AVCHD).
• Créer un DVD : ce modèle permet de créer un DVD de définition standard à l’aide du
format vidéo MPEG-2 (.m2v) et du format audio Dolby Digital Professional (.ac3), et de
le graver automatiquement sur un disque.
• Diffusion HTTP en direct : utilisez ce modèle pour créer un groupe de fichiers à utiliser
afin de diffuser un film sur un iPhone, un iPad, un iPod touch ou un Mac à l’aide d’un
serveur ordinaire.
• Publier sur Apple TV : ce modèle permet de créer un fichier vidéo conçu pour Apple TV
et de l’ajouter à la bibliothèque iTunes.
• Publier dans YouTube : ce modèle permet de créer un fichier vidéo adapté à l’affichage
dans YouTube et de le télécharger vers un compte YouTube.
Remarque : le choix d’un modèle doit être basé sur l’utilisation souhaitée du fichier
multimédia de sortie que vous créez. S’il n’existe pas de modèle adapté à vos besoins,
vous pouvez opter pour la méthode manuelle. Pour en savoir plus, consultez Flux de
travaux Compressor rapide et facile : méthode manuelle. Pour en savoir plus sur la création
de modèles personnalisés, voir Création d’un modèle de lot personnalisé.
Création d’un modèle de lot personnalisé
Vous pouvez enregistrer un lot en tant que modèle de lot personnalisé. Dans le sélecteur
de modèle de lot, les modèles de lot personnalisés s’affichent en tant qu’options avec
les modèles de lot Apple par défaut. Les modèles de lot personnalisés permettent de
gagner du temps, en particulier lors de procédures qui se répètent souvent.
Pour créer un modèle de lot personnalisé
1 Dans la fenêtre Lot, effectuez l’une des opérations suivantes pour ouvrir un lot avec les
caractéristiques (tâches, réglages, actions de tâche, etc.) souhaitées pour le modèle de
lot :
• Créez un lot et apportez-lui les ajustements nécessaires.
Pour en savoir plus, voir Flux de production de transcodage de base, Affectation de
réglages, Attribution de destinations et Ajout d’actions.
• Ouvrez un lot enregistré avec les caractéristiques souhaitées pour le modèle de lot.
Pour plus d’informations, consultez la section Enregistrement et ouverture d’un lot.
2 Choisissez Fichier > Enregistrer comme modèle.
3 Dans la zone de dialogue qui apparaît, saisissez un nom et une description, puis cliquez
sur OK.
Le modèle de lot personnalisé est enregistré.
86 Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sourcesLe cas échéant, choisissez Fichier > « Nouveau lot à partir du modèle » pour ouvrir le
sélecteur de modèle de lot et confirmer votre nouveau modèle de lot personnalisé ou
l’utiliser.
À propos de la barre d’outils de la fenêtre Lot
Dans la partie supérieure de la fenêtre Lot se trouve une barre d’outils personnalisable.
Vous pouvez choisir de l’afficher ou de la masquer en cliquant sur le bouton situé dans
le coin supérieur droit de la fenêtre.
Bouton Afficher/Masquer
la barre d’outils (la barre
d’outils est cachée dans
cet exemple)
Vous disposez d’un large choix d’éléments à intégrer à la barre d’outils, tels que des
éléments permettant d’ouvrir, d’enregistrer et de fermer un lot. Pour plus de détails sur
les éléments que vous pouvez ajouter et la façon de procéder, consultez la section
Personnalisation de la barre d’outils.
Ajout de fichiers multimédias sources à un lot pour créer des
tâches
Vous devez importer les fichiers multimédias sources dans le lot de la fenêtre Lot avant
de pouvoir leur ajouter tout réglage de transcodage. Lorsqu’ils sont importés dans un
lot, les fichiers multimédias sources créent une tâche (première étape pour le transcodage
des fichiers). Il existe quelques méthodes spéciales à utiliser lors de l’importation des
fichiers multimédias sources avec son Surround.
Ajout de fichiers multimédias sources standards aux lots
Vous trouverez ci-après les instructions d’ajout de fichiers multimédias sources standards
(n’utilisant pas le son Surround ou une séquence d’images) à un lot.
Pour ajouter des fichiers multimédias sources à un lot
1 Ouvrez Compressor.
Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sources 87La fenêtre Lot s’ouvre avec un onglet de lot vide intitulé Sans titre.
Onglet lot sans titre
Zone de lot vide
contenant une
tâche fictive
Remarque : si le sélecteur de modèle de lot s’ouvre automatiquement, cliquez sur Annuler
pour le refermer. Pour que le sélecteur de modèle de lot reste fermé lorsque vous ouvrez
Compressor, cochez la case « Ne plus afficher ce message » ou, dans les Préférences de
Compressor, choisissez « Pour les nouveaux lots : Utiliser un modèle vide.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Choisissez Tâche > « Nouvelle tâche avec fichier » (ou appuyez sur Commande + I),
naviguez jusqu’au dossier de fichiers multimédias souhaité, sélectionnez un ou plusieurs
fichiers multimédias sources, puis cliquez sur Ouvrir.
• Cliquez sur le bouton Ajouter fichier (dans la barre d’outils Lot, s’il est visible), naviguez
jusqu’au dossier de fichiers multimédias souhaité, sélectionnez un ou plusieurs fichiers
multimédias sources, puis cliquez sur Ouvrir.
• Cliquez sur une tâche tout en maintenant la touche ctrl enfoncée et choisissez Source
> Fichier dans le menu contextuel.
• Cliquez sur une zone vide du lot tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et
choisissez « Nouvelle tâche avec fichier » dans le menu contextuel. Vous pouvez alors
naviguer vers le dossier de fichiers multimédias souhaité, sélectionner un ou plusieurs
fichiers multimédias sources, puis cliquer sur Ouvrir.
88 Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sources• Ouvrez votre dossier de fichiers multimédias sources et faites glisser un ou plusieurs
fichiers dans le lot.
Remarque : vous pouvez combiner les étapes précédentes en sélectionnant tous les
fichiers multimédias sources que vous souhaitez transcoder avant d’ouvrir Compressor,
puis en les faisant glisser sur l’icône de l’application Compressor. Compressor s’ouvre
alors et ajoute en même temps les fichiers multimédias au lot sans titre par défaut.
3 Enregistrez le lot en choisissant Fichier > Enregistrer sous (ou en appuyant sur
Commande + Maj + S).
4 Saisissez un nom pour le lot et choisissez, dans la zone de dialogue qui apparaît,
l’emplacement dans lequel vous voulez l’enregistrer.
5 Cliquez sur Enregistrer une fois terminé.
L’onglet de la fenêtre Lot change pour correspondre au nom du fichier.
Remarque : si vos préférences de Finder sont définies pour afficher les extensions,
l’extension .Compressor apparaît dans l’onglet à côté du nom.
Vous n’avez aucune obligation de nommer et d’enregistrer vos lots ; il est parfois préférable
de ne pas le faire par souci de rapidité. Cependant, lorsque vous nommez et enregistrez
un lot, il est plus facile par la suite d’y revenir et de le soumettre à nouveau si les fichiers
de sortie ne correspondent pas à vos attentes ou si vos besoins ont changé. Cela permet
également de savoir plus facilement ce qui se trouve dans la fenêtre Historique et dans
Share Monitor si vous soumettez plusieurs lots en peu de temps.
Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sources 89Le lot contient maintenant vos fichiers multimédias sélectionnés, chacun dans sa propre
tâche. Les fichiers multimédias sources à contenu vidéo comprennent également une
vignette et un curseur que vous pouvez utiliser pour parcourir la vidéo.
Faites glisser le curseur pour
défiler dans les fichiers vidéo.
Cliquez à n’importe quel endroit de la
tâche pour voir les attributs du fichier
dans la fenêtre Inspecteur.
Chaque fichier
multimédia source
crée une tâche.
Les cibles de cette tâche
apparaissent à cet endroit.
Vous pouvez modifier le fichier multimédia source affecté à une tâche.
Pour modifier le fichier multimédia source affecté à une tâche
1 Sélectionnez la tâche dont vous souhaitez modifier le fichier multimédia source.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Choisissez Tâche > Source > Fichier, naviguez jusqu’au dossier de fichiers multimédias
souhaité, sélectionnez un ou plusieurs fichiers multimédias sources, puis cliquez sur
Ouvrir.
• Cliquez sur la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez
Source dans le menu contextuel. Vous pouvez alors naviguer vers le dossier de fichiers
multimédias souhaité, sélectionner un ou plusieurs fichiers multimédias sources, puis
cliquer sur Ouvrir.
• Faites glisser un nouveau fichier multimédia source dans la tâche.
Toutes les cibles déjà configurées sont conservées et appliquées au nouveau fichier
multimédia source. Vous pouvez également supprimer un fichier multimédia source d’une
tâche si nécessaire.
Pour supprimer fichier multimédia source d’une tâche
µ Cliquez sur la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez Effacer
la source dans le menu contextuel.
90 Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sourcesPour supprimer une tâche d’un lot
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Sélectionnez la tâche et appuyez sur la touche de suppression.
µ Cliquez sur une partie vide du lot tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et
choisissez « Supprimer toutes les tâches » dans le menu contextuel.
Ces tâches sont maintenant prêtes à recevoir une nouvelle cible.
Ajout de fichiers multimédias sources avec son Surround aux lots
Il existe deux méthodes permettant d’ajouter des fichiers audio à un lot pour créer une
tâche avec son Surround : la méthode automatique, qui s’appuie sur le nom de fichier
pour mapper les fichiers audio sur les canaux audio appropriés, et la méthode manuelle
qui vous permet d’affecter manuellement les fichiers audio aux canaux.
Chaque méthode produit une tâche à laquelle vous pouvez ajouter un réglage prenant
en charge les sorties audio Surround, comme Dolby Digital Professional, AIFF et d’autres
codecs audio au format de sortie de séquence QuickTime.
Important : certains formats de sortie ont plusieurs configurations pour les canaux audio
Surround. Veillez à connaître la configuration requise par le périphérique de lecture
souhaité. Par exemple, le format de sortie AIFF propose quatre configurations différentes
pour les sorties audio 5.1 (6 canaux), la différence tenant à l’ordre des canaux.
Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode automatique)
Compressor offre des techniques rationalisées d’affectation de canaux, qui vous permettent
de gagner du temps.
Pour afficher des fichiers à des canaux Surround avec des codes d’identificateur de
canal
1 Ajoutez le code d’identificateur du canal Surround cible au nom de chaque fichier audio
source. (La liste des codes d’identificateur de canal appropriés est disponible ci-dessous).
• -G : canal avant gauche
• -D : canal avant droit
• -C : canal avant central
• -Gs : canal Surround gauche
• -Ds : canal Surround droit
• -S : canal Surround central
• -LFE : canal basse fréquence (subwoofer, LFE)
Par exemple, pour affecter un fichier AIFF au canal Surround gauche, renommez le fichier
comme suit : nomdefichier-Gs.aiff (où nomdefichier est le nom de votre fichier). (Un code
d’identificateur de canal doit comporter un tiret, comme indiqué.)
Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sources 91Remarque : il se peut que Mac OS X ajoute une extension de fichier telle que .aiff. Cela
n’interfère pas avec la méthode d’affectation de ce canal.
Cette procédure ne fonctionne que lorsque vous glissez-déposez des fichiers dans la
fenêtre Lot. Si vous faites glisser les fichiers sur l’icône de l’application Compressor, il
apparaîtront en tant que fichiers sources distincts, chacun dans sa tâche.
Remarque : si vous créez des flux audio Surround Dolby Digital Professional (AC-3), vous
n’utiliserez pas immédiatement tous les canaux répertoriés dans le tableau. Consultez la
section Réglages de l’onglet Audio pour un schéma des modes de codage audio Dolby.
2 Faites glisser vers la fenêtre Lot les fichiers audio sources renommés.
Si les conditions suivantes sont réunies, Compressor réduit automatiquement le groupe
entier de fichiers en ce qui apparaît comme un fichier multimédia source Surround unique
dans la fenêtre Lot :
• Les fichiers du groupe doivent être nommés correctement (Consultez la liste à l’étape
précédente.)
• Le nombre total de fichiers du groupe doit être inférieur à sept.
Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode manuelle)
Suivez ces étapes pour utiliser la méthode manuelle d’affectation de fichiers audio
individuels aux canaux audio Surround. Par ailleurs, vous pouvez ajouter un fichier vidéo
affecté à une tâche Surround.
Pour affecter manuellement des fichiers audio sources aux canaux d’un flux audio
Surround
1 Pour importer les fichiers audio sources, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Choisissez Tâche > Nouvelle tâche avec groupe de sons Surround (ou appuyez sur
Commande + ctrl + I).
• Cliquez sur le bouton Ajouter son Surround dans la fenêtre Lot.
• Cliquez dans le lot tout en maintenant la touche ctrl enfoncée et choisissez « Nouvelle
tâche avec groupe de sons Surround » dans le menu contextuel.
L’interface d’affectation des canaux s’ouvre.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes pour affecter un fichier audio source à un canal
particulier :
• Faites glisser le fichier audio source du Finder vers l’icône d’un canal spécifique (par
exemple « G »).
• Cliquez sur l’icône d’un canal spécifique (par exemple « G ») et utilisez la zone de
dialogue Ouvrir afin de localiser le fichier audio source destiné à ce canal.
92 Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sourcesLe fichier est désormais affecté au canal « G » (avant gauche).
3 Répétez l’étape 2 pour chacun des fichiers audio sources que vous prévoyez d’inclure
dans le flux Surround.
Remarque : si vous créez des flux audio Surround Dolby Digital Professional (AC-3), vous
n’utiliserez pas immédiatement tous les canaux répertoriés dans le tableau. Consultez la
section Réglages de l’onglet Audio pour un schéma des modes de codage audio Dolby.
4 Le cas échéant, cliquez sur le bouton Ajouter une vidéo pour sélectionner un fichier vidéo
à inclure à la tâche de sons Surround.
5 Une fois que vous avez terminé l’ajout des fichiers audio et vidéo sources à l’interface
d’affectation des canaux, cliquez sur OK.
Le groupe de fichiers Surround apparaît comme une tâche unique de fichier multimédia
source Surround dans la fenêtre Lot.
Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sources 93À propos des tâches audio Surround
Lorsque vous avez créé une tâche audio Surround, la fenêtre Lot affiche l’icône de son
Surround dans la vignette du fichier multimédia source (à moins qu’un fichier vidéo ait
été ajouté à la tâche) et la fenêtre de l’inspecteur affiche les canaux et les fichiers
correspondants.
Cliquez sur l’icône d’un
canal pour changer le
fichier qui lui est affecté.
Vous pouvez modifier n’importe quelle affectation de fichier dans la fenêtre Inspecteur.
Pour modifier l’affectation d’un fichier audio Surround
1 Cliquez sur l’icône de haut-parleur du canal que vous voulez modifier.
Une zone de dialogue de sélection de fichiers s’ouvre.
2 Localisez le fichier à affecter à ce canal et cliquez sur Ouvrir.
3 Vous pouvez également cliquer sur Ajouter une vidéo pour ajouter un fichier vidéo à la
tâche ou supprimer le fichier vidéo déjà affecté, puis cliquer sur Ajouter une vidéo pour
choisir un autre fichier vidéo.
Voir Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional pour en savoir plus sur la
création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional.
94 Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sourcesAjout de séquences d’images à des lots
Vous pouvez importer une séquence d’images fixes dans Compressor en tant de tâche
de séquence d’images, puis appliquer une fréquence d’images de sortie et un fichier
audio à la tâche. Vous pouvez alors traiter la tâche comme n’importe quel autre fichier
multimédia source Compressor, ajouter des réglages, des destinations, des filtres et des
actions de post-transcodage en vue de créer un fichier multimédia de sortie ayant les
formats et les propriétés vidéo et audio souhaités.
Pour ajouter une tâche de séquence d’images fixes à un lot
1 Ouvrez Compressor.
La fenêtre Lot s’ouvre avec un onglet de lot vide intitulé Sans titre.
Onglet lot sans titre
Zone de lot vide
contenant une
tâche fictive
Remarque : si le sélecteur de modèle de lot s’ouvre automatiquement, cliquez sur Annuler
pour le refermer. Pour que le sélecteur de modèle de lot reste fermé lorsque vous ouvrez
Compressor, cochez la case « Ne plus afficher ce message » ou, dans les Préférences de
Compressor, choisissez « Pour les nouveaux lots : Utiliser un modèle vide.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Cliquez sur le bouton « Ajouter une séquence d’images » pour accéder au dossier
contenant les fichiers de séquence d’images à importer.
• Choisissez Tâche > « Nouvelle tâche avec séquence d’images » (ou appuyez sur
Commande + Option + I) et accédez au dossier contenant les fichiers de séquence
d’images à importer.
3 Sélectionnez le dossier contenant les fichiers de séquence d’images à importer.
4 Cliquez sur Ouvrir.
Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sources 95La nouvelle tâche apparaît dans la fenêtre Lot.
5 Sélectionnez la tâche dans la fenêtre Lot.
Dans la fenêtre Inspecteur, l’onglet Attributs A/V contient les informations et les
commandes de la nouvelle tâche de séquence d’images.
6 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Confirmez les fichiers de séquence d’images sélectionnés. (Cliquez sur le bouton Info
(i) pour accéder à la liste complète de fichiers.)
• Confirmez les informations de format vidéo dans la section Vidéo.
• Utilisez le menu local « Priorité de trame native » pour ajuster la priorité de trame des
fichiers source. (Les choix disponibles sont Progressive, Première supérieure et Première
inférieure.)
• Utilisez le menu Fréquence d’images pour ajuster la fréquence d’images des fichiers
source à partir de la liste de fréquences d’images standard.
• Cliquez sur Audio pour localiser, sélectionner et ajouter un fichier audio à la tâche de
séquence d’images.
96 Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sourcesRemarque : Compressor prend en charge les types de fichiers audio suivants pour les
séquences d’images : AIFF, MP3, MPEG-4 audio (.m4a) et séquence QuickTime (.mov).
Remarque : Compressor permet également de générer une séquence d’images. Pour plus
d’informations, consultez la section Création de fichiers de sortie de séquence d’images.
Utilisation de l’Inspecteur avec des fichiers multimédias sources
Lorsque vous sélectionnez une tâche de lot, la fenêtre Inspecteur affiche des informations
au sujet du fichier multimédia source de la tâche.
La fenêtre Inspecteur comprend trois onglets : Attributs A/N, Informations supplémentaires
et Action de tâche.
Onglet Attributs A/N
L’onglet Attributs A/N contient des informations générales sur le fichier multimédia source
et se divise en trois parties.
• Informations de fichier : cette section indique le nom du fichier, son emplacement et
son format.
• Informations vidéo : cette partie affiche, s’il y a lieu, toutes les informations vidéo du
fichier. Cela comprend les dimensions de l’image, la fréquence d’images et les
informations de timecode.
• Informations audio : cette partie affiche, s’il y a lieu, toutes les informations audio du
fichier. Cela comprend la taille d’échantillon et la fréquence d’échantillonnage.
Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sources 97Onglet Informations supplémentaires
L’onglet Informations supplémentaires vous permet de visualiser et de modifier divers
éléments de métadonnées ayant pu être ajoutés dans d’autres applications telles que
Final Cut Pro ou QuickTime. Cela inclut la possibilité d’associer un fichier de sous-titres
codés au fichier.
Pour associer un fichier de sous-titres codés à un fichier multimédia source
1 Cliquez sur la tâche pour afficher les attributs du fichier dans la fenêtre de l’Inspecteur.
2 Cliquez sur l’onglet Informations supplémentaires.
3 Cliquez sur Choisir, localisez le fichier de sous-titres codés (un fichier au format de
sous-titres codés Scenarist portant généralement l’extension .scc), puis cliquez sur Ouvrir.
Remarque : les données de sous-titres codés sont prises en charge par les formats de
sortie H.264 pour appareils Apple, MPEG-2 et séquence QuickTime.
Suivant le format de sortie de la cible de la tâche, Compressor applique le fichier de
sous-titres codés aux fichiers multimédias de sortie.
• Pour les sorties QuickTime : Compressor ajoute le fichier de sous-titres codés comme
piste de sous-titres codés au fichier de sortie QuickTime. Vous pouvez visualiser les
sous-titres codés à l’aide du lecteur QuickTime (version 7.2 ou ultérieure).
• Pour les sorties de flux élémentaire MPEG-2 : Compressor incorpore les données de
sous-titres codés à un flux vidéo élémentaire MPEG-2 pour qu’elles puissent être utilisées
pour la création de DVD.
• Pour les sorties de flux de transport et de programmation MPEG-2 : Compressor incorpore
les données de sous-titres codés aux flux de programmation et de transport MPEG-2
à l’aide du protocole EIA-708 ATSC.
98 Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sourcesImportant : les valeurs de timecode du fichier de sous-titres codés doivent être directement
liées au timecode du fichier multimédia source. Vous pouvez ouvrir le fichier de sous-titres
codés dans TextEdit pour voir les valeurs de timecode qu’il contient (le texte proprement
dit est codé et n’est pas lisible de cette façon).
Pour ajouter une annotation
1 Cliquez sur la tâche pour afficher les attributs du fichier dans la fenêtre de l’Inspecteur.
2 Cliquez sur l’onglet Informations supplémentaires.
3 Utilisez le menu local Ajouter annotation pour choisir le type d’annotation.
4 Double-cliquez sur le champ de valeur correspondant et saisissez le texte d’annotation.
5 Cliquez sur Enregistrer.
Remarque : cette fonction d’ajout d’annotation est prise en charge par les formats de
sortie H.264 pour appareils Apple, MP3 et séquence QuickTime.
Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sources 99Onglet Action de tâche
L’onglet Action de tâche permet d’appliquer et d’ajuster les actions de post-transcodage
à des tâches entières.
Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’onglet Action de tâche, consultez Ajout d’actions
de tâche.
Astuces pour l’importation de fichiers multimédias sources
Voici quelques astuces complémentaires pour l’importation de fichiers multimédias
sources.
Fichiers sources hautement compressés
Il est fortement recommandé de ne pas utiliser de fichiers sources hautement compressés,
comme les fichiers MPEG, en guise de fichiers sources, car ils peuvent engendrer des
artefacts indésirables dans la vidéo encodée.
Séquences de référence QuickTime
Si vous soumettez une séquence de référence en vue d’un traitement distribué, le système
de traitement distribué Apple Qmaster copie automatiquement les fichiers multimédias
appropriés sur le cluster de traitement. Pour des performances optimales, vous pouvez
éviter ce transfert de fichiers en vous assurant que les fichiers multimédias spécifiés dans
la séquence de référence sont disponibles pour chaque nœud du cluster Apple Qmaster.
Pour en savoir plus, consultez Distribution des lots par le système Apple Qmaster.
100 Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sourcesImportation de fichiers MPEG-2
Lorsque vous importez un fichier MPEG-2, Compressor doit analyser le fichier avant que
vous ne puissiez le lire dans la fenêtre Aperçu. L’analyse du fichier implique la
détermination de sa structure d’images et d’autres informations nécessaires le concernant.
Comme la structure d’images peut varier à travers le fichier, Compressor doit analyser
l’intégralité du fichier, ce qui peut prendre plusieurs minutes pour les fichiers les plus
longs.
Cela n’arrive pas avec les fichiers élémentaires MPEG-2 encodés à l’aide de Compressor
lorsque la case « Ajouter les métadonnées DVD Studio Pro » est cochée. Consultez la
section Onglet Compléments pour obtenir plus d’informations.
À propos des fichiers multimédias sources Dolby Digital Professional
Vous pouvez utiliser des fichiers audio AC-3 Dolby Digital Professional comme fichiers
multimédias sources pour vos tâches. Il peut y avoir deux raisons à cela.
• Pour tester un fichier que vous venez d’encoder : puisque vous ne pouvez pas prévisualiser
les réglages de sortie Dolby Digital Professional, l’importation d’un fichier encodé dans
une tâche vous permet de le lire et d’en vérifier les réglages.
• Pour convertir un fichier audio Dolby Digital dans un autre format : puisque tous les
lecteurs multimédia ne sont pas équipés de décodeurs Dolby Digital, vous pouvez avoir
besoin de transcoder le fichier dans un autre format.
Compressor comprend un décodeur Dolby Digital qu’il utilise chaque fois que vous lisez
ou transcodez des fichiers audio Dolby Digital. Cela vous permet de vérifier les réglages
de sortie Dolby Digital Professional d’un fichier préalablement encodé sur votre système
sans devoir recourir à un décodeur Dolby Digital externe. Pour entendre le son Surround,
il vous faut un périphérique audio Surround connecté à la sortie USB ou FireWire de votre
ordinateur. L’audio est sous-mixé dans deux canaux si vous le lisez à l’aide des
haut-parleurs stéréo de votre système.
Important : la sortie audio étant déjà décodée sans être au format Dolby Digital, il est
impossible d’utiliser la sortie optique pour lire les fichiers Dolby Digital à partir de
Compressor.
Astuce : ajoutez une extension .ac3 au nom de fichier si Compressor ne vous permet pas
de l’ajouter à une tâche.
Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sources 101Valeurs automatiques et fichiers QuickTime non standard
Compressor utilise plusieurs tactiques pour déterminer les valeurs appropriées des réglages
en mode Automatique. Dans la plupart des cas, les fichiers QuickTime contiennent des
métadonnées qui spécifient les nombreux attributs du fichier, comme la fréquence
d’images et la dimension de l’image. Dans certains cas, les métadonnées ne sont pas
présentes, ce qui oblige Compressor à essayer de déterminer ces informations. Il arrive
également que ces métadonnées soient incorrectes et entraînent Compressor à générer
des valeurs incorrectes pour les réglages en mode Automatique.
De plus, certains fichiers QuickTime utilisent des réglages non standard qui obligent
Compressor à choisir une valeur automatique qui n’est pas forcément appropriée.
C’est pour toutes ces raisons qu’il vaut mieux utiliser les Inspecteurs pour vérifier les
valeurs des réglages en mode Automatique. Consultez la section À propos des réglages
automatiques pour obtenir plus d’informations.
102 Chapitre 6 Importation de fichiers multimédias sourcesUn réglage est une combinaison d’attributs de transcodage, comme le format de sortie,
les filtres et les paramètres géométriques, que vous appliquez au fichier multimédia
source pendant le processus de transcodage.
Avant de pouvoir transcoder un fichier multimédia source, vous devez au moins lui associer
un réglage. Lorsqu’un fichier multimédia source se trouve dans la fenêtre Lot, vous pouvez
soit sélectionner un réglage préexistant, soit créer un réglage personnalisé à l’aide de
l’onglet Réglages.
Une fois que vous disposez de tous les réglages dont vous pensez avoir besoin, il n’est
pas nécessaire d’ouvrir à nouveau l’onglet Réglages. Vous pouvez en effet sélectionner
les réglages directement dans la fenêtre Lot.
Remarque : un réglage est simplement un type de préréglage Compressor. Vous pouvez
également créer, modifier, enregistrer ou supprimer des préréglages de destination. Pour
en savoir plus sur les destinations, reportez-vous à la section Création et changement de
destinations.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• À propos de l’onglet Réglages (p 104)
• Utilisation de l’Inspecteur avec les réglages (p 108)
• Duplication des réglages (p 109)
• Création d’un réglage entièrement nouveau (p 110)
• Recherche d’un réglage (p 112)
• Aperçu d’un réglage (p 112)
• Suppression de réglages (p 114)
• Création de groupes de réglages (p 115)
• Distribution et partage de réglages (p 116)
• Exemple : Création de réglages et de groupes personnalisés pour un DVD (p 117)
103
Création, aperçu et modification
des réglages 7À propos de l’onglet Réglages
L’onglet Réglages vous permet de gérer vos réglages. Conjointement avec la fenêtre
Inspecteur, l’onglet Réglages fournit également des détails concernant tous les réglages,
ainsi qu’un accès facile aux commandes de transcodage courantes.
L’onglet Réglages (utilisé conjointement avec la fenêtre Inspecteur) sert à créer, modifier
ou supprimer des réglages et à créer des dossiers de groupe destinés aux réglages
multiples. Il permet également de créer des droplets.
L’onglet Réglages contient la liste des réglages existants et les boutons nécessaires à
l’ajout, à la suppression et à la duplication d’un réglage, ainsi qu’à la création de groupes
et de droplets.
Bouton Dupliquer le
réglage sélectionné
Liste Réglages
Bouton « Créer un
groupe de réglage »
Exemple de réglage
Cliquez sur les triangles
d’affichage pour afficher
ou masquer le contenu
d’un groupe de réglages
Bouton « Enregistrer la
sélection comme droplet »
Bouton Supprimer les
réglages sélectionnés
Bouton Créer un réglage
Boutons de l’onglet Réglages
Les boutons suivants sont situés dans le haut de l’onglet Réglages.
• Créer un nouveau groupe de réglages : cette option crée un dossier pour grouper des
réglages existants. Utilisez ce bouton comme un moyen d’organiser vos réglages dans
un certain ordre logique, afin de conserver un onglet Réglages facile à parcourir. Une
fois les réglages créés, vous pouvez affecter un groupe entier de réglages à un fichier
multimédia source (en le faisant glisser sur le fichier source dans la fenêtre Lot), ou
vous pouvez créer une droplet contenant plusieurs réglages. Consultez la section
Création de groupes de réglages pour obtenir plus d’informations.
104 Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglages• Enregistrer la sélection comme droplet : cliquez pour créer une droplet à partir d’un
réglage ou d’un groupe de réglages existant. Les droplets permettent de transcoder
un fichier de données en faisant glisser un ou plusieurs fichiers de données source sur
l’icône de la droplet. Une fois que vous avez sélectionné votre réglage ou votre groupe
de réglages et cliqué sur le bouton « Enregistrer la sélection comme droplet », la zone
de dialogue Enregistrer vous invite à attribuer un nom à votre droplet, à choisir un
emplacement où l’enregistrer, ainsi qu’un dossier de destination pour les fichiers
multimédias de sortie pertinents. Lorsque toutes ces opérations ont été effectuées,
votre droplet est prête et vous pouvez faire glisser sur son icône autant de fichiers que
vous le souhaitez. Consultez le Utilisation de droplets pour plus d’informations sur les
droplets.
• Dupliquer le réglage sélectionné : cliquez sur cette option pour dupliquer un réglage
sélectionné dans l’onglet Réglages. Le bouton Dupliquer copie dans l’onglet Réglages
exactement les paramètres du réglage actuellement sélectionné. Au lieu de créer un
réglage à partir d’un brouillon, utilisez cette fonction pour en créer un à partir d’un
réglage préexistant, que vous pouvez ensuite paramétrer selon vos besoins.
• Champ Rechercher : saisissez du texte pour rechercher certains attributs dans les réglages.
Vous pouvez saisir « iPod », par exemple, pour afficher une liste de réglages
spécifiquement conçus pour un iPod.
• Créer un nouveau réglage (+) : cette option ajoute un nouveau réglage à l’onglet
Réglages. Lorsque vous cliquez sur ce bouton, une zone de dialogue apparaît pour
vous permettre de choisir le format du fichier de sortie (H.264 pour les appareils Apple,
MPEG-2, MPEG-4, etc.).
• Supprimer les réglages sélectionnés ( – ) : cette option supprime un réglage de l’onglet
Réglages. Aucune confirmation ne vous est demandée, soyez donc sûr de vouloir
supprimer le réglage avant de cliquer sur ce bouton.
Remarque : il n’est pas possible de supprimer les réglages Apple.
Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglages 105Liste Réglages
Lorsque vous ouvrez l’onglet Réglages pour la première fois, il contient un jeu de réglages
(Apple) préexistants fournis avec Compressor. L’onglet Réglages affiche le nom et la
description de tous les réglages et groupes existants stockés sur votre ordinateur.
Groupe de réglages
Apple et ses
sous-groupes
Nouveau réglage
« Sans titre »
De nouveaux réglages apparaissent dans le dossier de groupe Personnalisé avec le nom
par défaut « Sans titre [Format de fichier] » où « [Format de fichier] » correspond au format
de fichier que vous avez choisi dans le menu local (+). Il est judicieux de remplacer le
nom du réglage par une appellation plus significative, par exemple le nom du réglage
ou de la méthode de distribution associée au réglage. Cliquez sur le réglage dans l’onglet
Réglages pour l’ouvrir dans la fenêtre Inspecteur.
Cliquez sur un réglage pour l’afficher
dans la fenêtre Inspecteur.
Saisissez le nom du
réglage sélectionné et
sa description dans la
fenêtre Inspecteur.
106 Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglagesSaisissez un nom dans le champ Nom de la fenêtre Inspecteur. Utilisez le champ
Description pour saisir plus d’informations sur chaque réglage. Ces informations
apparaissent uniquement dans l’onglet Réglages et peuvent vous aider à identifier vos
fichiers lorsque vous disposez de nombreux réglages.
L’organisation des réglages dans des dossiers de groupe est une autre des possibilités
qui vous sont offertes. Pour cela, après avoir créé et nommé un dossier de groupe, faites-y
glisser n’importe quel réglage personnalisé existant. Lorsque vous faites glisser un réglage
sur un groupe, vous le supprimez de son emplacement courant. Vous pouvez également
sélectionner des réglages individuels d’un groupe, puis les faire glisser sur un fichier
multimédia source. Consultez la section Création de groupes de réglages pour obtenir
plus d’informations.
Sélection d’une cible
Lorsque vous sélectionnez la cible d’un lot, son réglage apparaît immédiatement dans la
fenêtre Inspecteur et le champ Nom indique « Cible sélectionnée ». Il s’agit d’une copie
temporaire du réglage, mais pas du réglage en soi, ce qui vous permet d’y apporter des
modifications temporaires, uniquement pour cet envoi du lot.
Sélectionnez une cible
dans la fenêtre Lot pour
afficher ses réglages dans
la fenêtre Inspecteur.
Le nom du réglage
s’affiche sous la forme
« Cible sélectionnée ».
Cliquez sur le bouton
Enregistrer sous pour
l’enregistrer comme
nouveau réglage avec
les modifications que
vous avez effectuées.
Lorsque vous modifiez le réglage de la cible, le bouton Enregistrer sous en bas de la
fenêtre Inspecteur devient actif. Cliquez sur Enregistrer sous afin d’attribuer un nouveau
nom au réglage modifié. La copie enregistrée s’affiche dans l’onglet Réglages sous le nom
Nom du réglage-Copie et devient immédiatement le réglage sélectionné dans l’onglet
Réglages.
Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglages 107Utilisation de l’Inspecteur avec les réglages
La fenêtre Inspecteur contient les sous-fenêtres suivantes, lesquelles permettent de créer
et de modifier tous les réglages liés à votre fichier de données multimédia de sortie,
comme les filtres, la géométrie ou le format de sortie. La fenêtre Inspecteur permet aussi
d’attribuer un nom à vos réglages et d’ajouter des descriptions qui vous permettront
ultérieurement de vous rappeler plus facilement des modifications personnalisées que
vous avez effectuées.
• Sous-fenêtre Résumé : offre un résumé détaillé d’un réglage sélectionné. Consultez la
section Sous-fenêtre Résumé pour de plus amples informations sur cette sous-fenêtre.
• Sous-fenêtre Encodeur : permet de sélectionner un format de sortie de sortie et d’autres
réglages audio et vidéo connexes. Voir les sections spécifiques ci-dessous pour de plus
amples informations sur les différentes sous-fenêtres Encodeur.
• À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder
• Création de fichiers de formats audio courants
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur DV
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital Professional
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils Apple
• Création de fichiers H.264 pour disque Blu-ray
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images
• Création de fichiers de sortie MP3
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 Partie 2
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur Composants d’exportation au format QuickTime
• À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime
• Sous-fenêtre Contrôles d’images : permet de personnaliser les modifications relatives à
la taille des images, à leur fréquence ou à la priorité de trame. (Pour plus d’informations,
reportez-vous à la section Utilisation des contrôles d’images.)
• Sous-fenêtre Filtres : permet d’ajouter des filtres aux réglages afin d’améliorer la qualité
des fichiers de sortie. (Pour plus d’informations, reportez-vous à la section À propos de
la sous-fenêtre Filtres.)
• Sous-fenêtre Géométrie : permet de rogner et de définir la taille du cadre du fichier de
données multimédias de sortie. (Pour plus d’informations, reportez-vous à la section
Ajout de réglages de géométrie.)
108 Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglages• Sous-fenêtre Actions : vous pouvez envoyer des notifications par courrier électronique
et attribuer une destination par défaut au réglage. (Pour plus d’informations,
reportez-vous à la section Ajout d’actions.)
Duplication des réglages
S’il existe un réglage qui contient des attributs que vous souhaitez utiliser dans un autre
réglage, au lieu de créer un nouveau réglage, vous pouvez dupliquer le réglage existant
et apporter les modifications nécessaires à la copie. La méthode la plus pratique pour
créer des réglages personnalisés consiste à dupliquer un réglage prédéfini Apple et à
adapter la copie de sorte qu’elle réponde à vos besoins.
Pour dupliquer un réglage
1 Sélectionnez sous l’onglet Réglages le réglage que vous souhaitez dupliquer.
2 Cliquez sur le bouton Dupliquer le réglage sélectionné.
Sélectionnez le
réglage à dupliquer.
Cliquez sur le bouton
Dupliquer le réglage
sélectionné pour dupliquer
le réglage sélectionné.
Un nouveau réglage apparaît dans le dossier Personnalisé et la mention Sans titre est
ajoutée au début du nom original.
3 Sélectionnez le nouveau réglage dans le dossier Personnalisé.
4 Ouvrez les sous-fenêtres Inspecteur suivantes afin de modifier les éléments suivants :
• Nom et description du réglage : permet de modifier le nom et la description du réglage
de sorte que vous puissiez vous rappeler plus facilement pourquoi vous avez créé ce
réglage personnalisé.
• Sous-fenêtre Encodeur : permet de modifier le format de sortie et les codecs vidéo et
audio, ainsi que les attributs qui y sont associés.
• Sous-fenêtre Contrôles d’images : permet de changer les attributs souhaités dans la
sous-fenêtre Contrôles d’images.
Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglages 109• Sous-fenêtre Filtres : permet la modification des attributs des filtres. Pour ajouter ou
supprimer un filtre d’un réglage, cochez ou décochez respectivement la case située en
regard du filtre concerné.
• sous-fenêtre Géométrie : permet de modifier n’importe quel attribut de la sous-fenêtre
Géométrie.
• Sous-fenêtre Actions : permet de modifier n’importe quel attribut de la sous-fenêtre
Actions.
5 Si vous avez modifié le réglage d’une façon ou d’une autre, vous pouvez effectuer l’une
des opérations suivantes pour enregistrer les modifications :
• Cliquez sur le bouton Enregistrer en bas de la fenêtre de l’Inspecteur afin d’enregistrer
les modifications.
• Essayez de sélectionner n’importe quel autre réglage.
Une zone de dialogue vous demande si vous souhaitez enregistrer les attributs modifiés.
6 Cliquez sur OK pour enregistrer les modifications, ou sur Revenir pour annuler les
modifications et retourner à l’Inspecteur.
Consultez la section Affectation de réglages à des fichiers multimédias sources pour plus
d’informations sur l’attribution de réglages.
Création d’un réglage entièrement nouveau
Si les réglages préexistants ne répondent pas à vos besoins en matière de transcodage
ou si vous souhaitez simplement en ajouter de nouveaux, vous pouvez créer vos propres
réglages.
Remarque : la procédure recommandée pour créer des réglages personnalisés consiste
à dupliquer un réglage prédéfini Apple, puis à adapter la copie de sorte qu’elle réponde
à vos besoins. Pour en savoir plus sur la duplication de réglages, reportez-vous à la section
Duplication des réglages.
110 Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglagesPour créer un réglage
1 Dans l’onglet Réglages, cliquez sur le bouton Ajouter (+), puis choisissez un format de
sortie dans le menu local.
Choisissez un format de
sortie pour le nouveau
réglage
Un nouveau réglage nommé Sans titre suivi du format de fichier de sortie (par exemple,
Sans titre MPEG-2) apparaît dans le dossier Personnalisé de l’onglet Réglages.
Nouveau réglage sans titre
La fenêtre Inspecteur change également pour afficher les paramètres de ce réglage.
Remarque : vous pouvez toujours changer le format du fichier de sortie de ce réglage
dans la sous-fenêtre Encodeur de l’Inspecteur, mais prenez soin de changer le nom du
réglage afin de refléter son format de fichier de sortie.
2 Ouvrez les sous-fenêtres Inspecteur suivantes afin de modifier les éléments suivants :
• Nom et description du réglage : permet de modifier le nom et la description du réglage
de sorte que vous puissiez vous rappeler plus facilement pourquoi vous avez créé ce
réglage personnalisé.
• Sous-fenêtre Encodeur : permet de modifier le format de sortie et les codecs vidéo et
audio, ainsi que les attributs qui y sont associés.
• Sous-fenêtre Contrôles d’images : permet de changer les attributs souhaités dans la
sous-fenêtre Contrôles d’images.
• Sous-fenêtre Filtres : permet la modification des attributs des filtres. Pour ajouter ou
supprimer un filtre d’un réglage, cochez ou décochez respectivement la case située en
regard du filtre concerné.
Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglages 111• sous-fenêtre Géométrie : permet de modifier n’importe quel attribut de la sous-fenêtre
Géométrie.
• Sous-fenêtre Actions : permet de modifier n’importe quel attribut de la sous-fenêtre
Actions.
3 Cliquez sur Enregistrer pour enregistrer le réglage.
Consultez la section Affectation de réglages à des fichiers multimédias sources pour plus
d’informations sur l’attribution de réglages.
Remarque : il est possible de créer des groupes de réglages, que vous pouvez ensuite
appliquer à un fichier de données multimédias en une seule étape. Consultez la section
Création de groupes de réglages pour obtenir plus d’informations.
Recherche d’un réglage
L’onglet Réglages comprend un champ de recherche permettant de trouver rapidement
le réglage dont vous avez besoin. Vous pouvez saisir « iPhone », par exemple, pour afficher
une liste de réglages comprenant le terme iPhone.
Pour rechercher un réglage
µ Cliquez dans le champ de recherche et saisissez le texte à rechercher.
La recherche est effectuée parmi les noms et les descriptions des réglages pour déterminer
s’ils contiennent le texte saisi. Cliquez sur le « X » à droite du champ de recherche pour
effacer le texte saisi et revenir à l’affichage normal des réglages.
Aperçu d’un réglage
La fenêtre d’aperçu de Compressor permet de voir les effets de votre réglage (par exemple,
les filtres et le redimensionnement du cadre) et d’ajuster ces attributs pendant la
prévisualisation du fichier de données multimédia en temps réel.
Remarque : il n’est pas possible de prévisualiser un réglage seul. Il faut tout d’abord qu’il
ait été affecté à une tâche avec un fichier multimédia source. En outre, il n’est pas possible
de prévisualiser les réglages des sous-fenêtres Contrôles d’images et Encodeur. Si vous
souhaitez voir les effets de vos réglages dans ces deux sous-fenêtres, vous pouvez utiliser
la fenêtre Aperçu pour sélectionner une petite partie du fichier multimédia source à
transcoder, puis afficher le fichier de sortie pour voir les résultats. Pour en savoir plus,
consultez Astuce relative au test du transcodage.
Pour visualiser votre réglage dans la fenêtre Aperçu
1 Appliquez le réglage à une tâche faisant partie d’un lot.
Consultez la section Affectation de réglages à des fichiers multimédias sources pour
obtenir plus d’informations.
112 Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglages2 Sélectionnez la cible avec le réglage que vous souhaitez prévisualiser dans la fenêtre Lot.
Remarque : vous devrez peut-être cliquer sur le bouton Aperçu de la fenêtre Lot (ou
appuyer sur Commande + 2) pour afficher la fenêtre d’aperçu.
La première image du fichier multimédia source sélectionné s’affiche dans la fenêtre
Aperçu, et le titre du réglage sélectionné apparaît dans le menu local Élément de lot. La
moitié gauche de l’écran affiche le fichier multimédia source sous sa forme originale (vue
Source), alors que la moitié droite affiche l’image de sortie telle qu’elle apparaîtrait en lui
appliquant les filtres et les paramètres de réglage sélectionnés (vue Sortie).
Vue Sortie
Boutons de sélection
d’éléments
Vue Source
Menu local Élément
Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglages 1133 Le cas échéant, ajustez tous les paramètres de votre réglage pendant la prévisualisation
du fichier de données multimédia dans la fenêtre Aperçu.
Cette moitié de la
fenêtre Preview
montre les effets
des modifications
apportées dans la
fenêtre Inspecteur.
Apportez les modifications
pendant la prévisualisation du
fichier de données multimédias
dans la fenêtre Preview.
Sélectionnez l’élément que
vous souhaitez modifier.
Remarque : pour prévisualiser les effets de vos filtres sur votre fichier multimédia, prenez
soin de sélectionner les filtres que vous souhaitez appliquer en cochant leur case respective
dans la liste Filtres. Dans le cas contraire, les filtres non sélectionnés ne sont pas reconnus
par la fenêtre Aperçu et ils n’entrent pas en compte dans les paramètres de transcodage
de cette tâche. Voir Utilisation de la fenêtre Aperçu pour en savoir plus sur la
prévisualisation de vos réglages, et À propos de la sous-fenêtre Filtrespour en savoir plus
sur les filtres.
Suppression de réglages
Pour supprimer des réglages personnalisés, cliquez sur le bouton Supprimer le réglage
sélectionné.
Remarque : il n’est pas possible de supprimer les réglages Apple.
Pour supprimer un réglage
1 Sélectionnez le réglage que vous souhaitez supprimer.
2 Cliquez sur le bouton « Supprimer le réglage sélectionné (–) » ou appuyez sur la touche
Suppr de votre clavier.
114 Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglagesAvertissement : Aucun avertissement n’est affiché si vous supprimez un réglage, et cette
opération est irréversible.
Création de groupes de réglages
La création d’un groupe de réglages permet d’associer rapidement plusieurs réglages à
un fichier multimédia source.
Pour créer un groupe de réglages
1 Cliquez sur le bouton Grouper de l’onglet Réglages.
Un dossier nommé Sans titre apparaît sous l’onglet Réglages et la colonne Description
indique 0 réglages. Vous ne pouvez pas modifier ce champ, qui affiche le nombre de
réglages que le groupe contient.
Un nouveau groupe intitulé « Sans titre »
et contenant 0 réglages est créé.
Tapez un nom pour
le nouveau groupe.
Cliquez sur le bouton Grouper.
2 Saisissez un nom de groupe pertinent dans le champ Nom de l’Inspecteur.
3 Sous l’onglet Réglages, faites glisser les réglages appropriés dans le dossier de groupe.
Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglages 115Remarque : vous pouvez aussi créer des hiérarchies de groupes (c’est-à-dire d’autres
groupes à l’intérieur des groupes). Pour ce faire, il suffit de faire glisser un dossier de
groupe dans un autre dossier de groupe.
Ce groupe personnalisé
contient trois autres
groupes personnalisés
disposant chacun de
leurs propres réglages.
Le champ Description indique le nombre de réglages contenus par le groupe. Après avoir
placé au moins un réglage dans le dossier de groupe, cliquez sur le triangle situé à gauche
du dossier pour afficher ou cacher les détails concernant le groupe de réglages. Enfin,
pour connaître en détail les réglages que contient chaque groupe, sélectionnez-en un,
puis consultez la sous-fenêtre Résumé de la fenêtre Inspecteur.
Remarque : vous pouvez également faire glisser les réglages d’un groupe vers un autre.
Pour ajouter le même réglage à plusieurs groupes
1 Sélectionnez le réglage.
2 Cliquez sur le bouton Dupliquer pour créer une copie.
3 Faites glisser le réglage dupliqué dans le dossier d’un autre groupe.
Vous pouvez choisir de renommer le réglage en y supprimant le terme « copie » , par
exemple.
Distribution et partage de réglages
Les réglages créés récemment sont stockés en tant que fichiers XML dans le dossier de
départ /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application
Support/Compressor/Réglages et portent l’extension de fichier .setting. Vous pouvez
distribuer et partager vos réglages personnalisés en les plaçant dans le même
emplacement, à l’intérieur du dossier de départ de l’ordinateur destinataire. Vous pouvez
aussi transférer ces fichiers au moyen de la méthode que vous utiliseriez pour distribuer
tout autre fichier, c’est-à-dire en les envoyant par message électronique comme pièce
jointe ou en les téléchargeant sur un serveur.
116 Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglagesRemarque : les réglages créés avec Compressor 4 ou une version ultérieure ne sont pas
compatibles avec les versions plus anciennes de Compressor.
Pour copier rapidement et aisément un fichier de réglages, il suffit de faire glisser le
réglage de l’onglet Réglages vers votre bureau ou une fenêtre du Finder. Vous pouvez
ensuite le joindre à un message électronique ou le copier à un autre dossier ou volume.
Pour copier un réglage directement depuis Compressor
µ Faites-le glisser de l’onglet Réglages vers le Finder (le Bureau, par exemple).
À l’inverse, vous pouvez ajouter un réglage à Compressor en faisant glisser son fichier
depuis le Finder.
Pour appliquer ou ajouter un réglage à Compressor à partir du Finder
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites-le glisser du Finder vers le groupe Personnalisé dans l’onglet Réglages.
Les réglages s’affichent dans le groupe Personnalisé de l’onglet Réglages.
µ Faites glisser un ou plusieurs réglages du Finder vers un emplacement vacant de la fenêtre
Lot.
Un nouveau travail s’affiche, ses réglages figurant dans une ou plusieurs lignes cibles.
µ Faites glisser un ou plusieurs réglages du Finder vers un emplacement vacant sur l’icône
de travail de la fenêtre Lot.
Une ou plusieurs lignes cibles s’affichent sur le travail qui comprend les réglages.
Vous pouvez également utiliser des droplets pour ajouter des réglages à Compressor.
Pour plus d’informations, consultez la section Utilisation de droplets pour créer des tâches
et des réglages dans Compressor.
Exemple : Création de réglages et de groupes personnalisés
pour un DVD
Dans cet exemple, vous travaillez sur un projet HD qui sera finalement enregistré sur un
DVD HD et sur un DVD SD. Vous devez pour cela fournir d’abord les DVD SD contenant
les rushes.
Une méthode simple pour ce faire consiste à créer deux groupes de réglages.
• Réglages pour les rushes : ces réglages devraient comprendre un encodeur audio AIFF
(étant donné que vous souhaitez une réalisation rapide et que l’espace disque ne posera
probablement aucun problème) et un encodeur MPEG-2 dont la taille d’image SD utilise
les réglages les plus rapides (puisque la qualité n’est pas votre préoccupation première).
Il pourrait aussi s’agir d’un encodeur HD si vous disposez d’un appareil vous permettant
de lire facilement les DVD HD.
Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglages 117• Réglages pour le disque final : ces réglages devraient comprendre un encodeur audio
AC-3, un encodeur vidéo HD H.264 pour DVD et un encodeur MPEG-2 utilisant les
contrôles d’images pour garantir une vidéo de sortie HD de qualité supérieure.
Vous devrez très probablement créer un troisième groupe de réglages portant le même
nom que ce projet et contenant les deux groupes ci-dessus.
Pour créer les groupes destinés aux rushes et aux sorties finales
1 Dans l’onglet Réglages, cliquez trois fois sur le bouton Grouper pour créer trois nouveaux
groupes sans titre.
2 Sélectionnez le premier des nouveaux groupes et, à l’aide de la fenêtre Inspecteur,
attribuez-lui le même nom que le projet.
3 Sélectionnez le deuxième des nouveaux groupes et nommez-le Rushes.
4 Sélectionnez le troisième des nouveaux groupes et nommez-le Disques finaux.
5 Dans l’onglet Réglages, faites glisser les groupes Rushes et Disques finaux vers le haut
jusqu’à ce qu’une zone de couleur noire entoure le groupe portant le même nom que le
projet, puis relâchez-les.
Remarque : il est possible de sélectionner plusieurs groupes ou réglages en appuyant
sur la touche Maj et en la maintenant enfoncée lorsque vous cliquez sur ces éléments.
6 Recherchez parmi les réglages Apple ceux dont la fonction correspond le mieux à la
fonction souhaitée de chaque réglage au sein des nouveaux groupes.
7 Faites une copie de chaque réglage en cliquant sur le bouton Dupliquer le réglage
sélectionné.
8 Sélectionnez chaque réglage copié, renommez-le, puis faites-le glisser jusque dans le
dossier approprié.
Ce groupe personnalisé
contient les réglages utilisés
pour créer les rushes.
Ce groupe personnalisé
contient les réglages
utilisés pour créer
ledisque final.
Ce groupe personnalisé contient
les autres groupes personnalisés
qui disposent chacun de leurs
propres réglages.
118 Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglagesVous pouvez ensuite sélectionner chaque réglage et lui apporter toute modification
nécessaire.
Une fois les fichiers multimédias sources importés et leurs tâches créées, il vous suffit
d’affecter le groupe approprié (Rushes ou Disques finaux) pour que tous les réglages
appropriés soient appliqués aux cibles.
Chapitre 7 Création, aperçu et modification des réglages 119Une tâche se compose d’un fichier multimédia source et d’au moins une cible (constituée
d’un réglage et d’une destination) qui lui est affectée. Vous avez créé les tâches en
important des fichiers multimédias sources.
Pour qu’une tâche soit terminée et prête à être soumise au transcodage, vous devez lui
ajouter une ou plusieurs cibles. Chaque cible contient un réglage qui détermine toutes
les informations concernant ce que doit devenir le fichier une fois transcodé, ainsi qu’une
destination déterminant l’emplacement d’enregistrement du fichier transcodé et le mode
de création de son nom. Chaque cible permet également de saisir manuellement le nom
du fichier de sortie.
Compressor vous propose toute une gamme d’options destinées à affecter des réglages
et des destinations à vos cibles et à soumettre des lots.
Remarque : consultez les sections À propos de l’onglet Réglages et À propos de l’onglet
Destinations pour plus d’informations sur la création de préréglages dans ces fenêtres.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Affectation de réglages (p 121)
• Attribution de destinations (p 126)
• Informations générales sur les cibles et les tâches (p 128)
• Généralités sur les lots (p 131)
• Utilisation de Final Cut Pro et Motion avec Compressor (p 138)
• Utilisation du traitement distribué avec Compressor (p 140)
Affectation de réglages
Cette section décrit la façon d’affecter des réglages à des fichiers multimédias sources et
de remplacer ou de modifier ces réglages.
121
Finalisation de tâches et
soumission de lots 8Affectation de réglages à des fichiers multimédias sources
Il existe de nombreuses méthodes permettant d’affecter des réglages à une tâche.
Certaines méthodes, telles que la technique de glisser-déplacer du réglage à partir de
l’onglet Réglages, sont mieux adaptées à l’utilisation d’une seule tâche. D’autres méthodes,
comme l’utilisation du menu local, conviennent mieux à l’affectation des mêmes réglages
à un groupe de tâches. Vous pouvez même affecter des réglages en faisant glisser des
réglages ou des droplets à partir du Finder.
Remarque : les étapes suivantes impliquent que vous avez déjà ajouté des fichiers
multimédias sources à un lot, créant ainsi les tâches auxquelles vous ajoutez les réglages.
Voir Importation de fichiers multimédias sources pour plus de détails sur l’importation
de fichiers multimédias sources.
Astuce : vous pouvez cliquer sur le triangle d’affichage d’un groupe de réglages tout en
maintenant la touche Option enfoncée pour développer ce groupe (et tous ses
sous-groupes) et afficher tous les réglages qu’il contient.
Pour affecter un réglage à une tâche par glissement
1 Sélectionnez un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages dans l’onglet Réglages.
2 Faites glisser les réglages sur la tâche dans la fenêtre Lot.
Sélectionnez un ou
plusieurs réglages (deux
dans ce cas) à appliquer
à la tâche.
Tâche avec fichier
multimédia source
dans la fenêtre Lot.
122 Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lotsUne nouvelle cible est créée pour chaque réglage ajouté à la tâche du lot.
De nouvelles cibles sont
ajoutées pour chaque
réglage que vous faites
glisser sur la tâche.
Remarque : vous ne pouvez appliquer les réglages qu’à une seule tâche si vous procédez
par glisser-déposer.
Pour affecter un réglage à une tâche à l’aide du menu Cible
1 Sélectionnez une ou plusieurs tâches dans le lot actuel de la fenêtre Lot.
2 Choisissez Cible > Ajouter une cible avec réglage.
La zone de dialogue de sélection de réglages apparaît par-dessus la fenêtre Lot.
Cliquez sur Ajouter
pour affecter les
réglages aux tâches
sélectionnées.
Sélectionnez les réglages
à appliquer aux tâches
sélectionnées.
Dans la fenêtre Lot, sélectionnez
les tâches concernées.
3 Choisissez un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages à affecter aux tâches et cliquez
sur Ajouter.
Les réglages sont affectés à chacune des tâches sélectionnées.
Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lots 123Pour affecter un réglage à une tâche à l’aide du menu contextuel
1 Sélectionnez une ou plusieurs tâches dans le lot actuel de la fenêtre Lot.
2 Cliquez sur l’une des tâches sélectionnées en maintenant la touche Contrôle enfoncée
et choisissez « Nouvelle cible avec réglage » dans le menu contextuel.
Le menu contextuel affiche la liste des réglages en fonction de leurs groupes. Vous ne
pouvez pas choisir directement un groupe à affecter, mais chacun dispose d’un élément
« Tous » qui sélectionne tous les réglages du groupe.
Remarque : cette méthode ne permet pas de sélectionner plusieurs réglages individuels.
3 Choisissez soit un réglage, soit Tous pour choisir tous les réglages d’un groupe.
Les réglages s’appliquent à toutes les tâches sélectionnées.
Pour affecter un réglage à partir du Finder
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites glisser un ou plusieurs réglages du Finder vers un emplacement vacant de la fenêtre
Lot.
Une nouvelle tâche s’affiche, ses réglages figurant dans une ou plusieurs lignes cibles.
µ Faites glisser un ou plusieurs réglages du Finder vers un emplacement vacant sur l’icône
de travail de la fenêtre Lot.
Une ou plusieurs lignes cibles s’affichent sur le travail qui comprend les réglages.
Pour en savoir plus, voir Distribution et partage de réglages
Vous pouvez également utiliser des droplets pour ajouter des réglages à Compressor.
Pour plus d’informations, consultez la section Utilisation de droplets pour créer des tâches
et des réglages dans Compressor.
Remplacement d’un réglage affecté par un autre réglage
Lorsque vous avez affecté un réglage à une tâche, vous pouvez trouver un réglage plus
adéquat et décider de remplacer le réglage de la cible par un autre. Plusieurs méthodes
permettent de modifier les réglages d’une cible. Elles conservent toutes les réglages de
destination et le nom de fichier de sortie tels quels.
Pour remplacer un réglage déjà affecté à une cible par un autre
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Choisissez Cible > Modifier le réglage. La zone de dialogue de sélection de réglages
s’ouvre pour vous permettre de choisir un nouveau réglage et de cliquer sur Ajouter pour
l’affecter à la cible sélectionnée.
124 Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lotsµ Cliquez sur la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez Modifier
le réglage dans le menu contextuel. La zone de dialogue de sélection de réglages s’ouvre
pour vous permettre de choisir un nouveau réglage et de cliquer sur Ajouter pour l’affecter
à la cible sélectionnée.
µ Sélectionnez le nouveau réglage dans l’onglet Réglages et faites-le glisser sur la cible.
Remarque : avec toutes les méthodes ci-dessus, si vous sélectionnez plusieurs réglages,
seul celui du haut est affecté à la cible.
Modification d’un réglage affecté
Vous pouvez modifier ou changer tout composant d’un réglage ayant déjà été affecté à
un fichier multimédia source dans la fenêtre Lot (identifié comme Cible sélectionnée dans
la fenêtre Inspecteur).
Pour modifier un réglage associé à un fichier multimédia source dans la fenêtre Lot
1 Sélectionnez la cible dans le lot avec le réglage que vous souhaitez changer.
Le réglage apparaît dans la fenêtre Inspecteur avec « Cible sélectionnée » dans le champ
Nom. Il s’agit d’une copie temporaire du réglage, mais pas du réglage en soi, ce qui vous
permet d’y apporter des modifications temporaires, uniquement pour cet envoi du lot.
Sélectionnez une cible
dans la fenêtre Lot pour
afficher ses réglages dans
la fenêtre Inspecteur.
Le nom du réglage
s’affiche sous la forme
« Cible sélectionnée ».
Cliquez sur le bouton
Enregistrer sous pour
l’enregistrer comme
nouveau réglage avec
les modifications que
vous avez effectuées.
2 Procédez aux modifications du réglage.
Lorsque vous modifiez le réglage, le bouton Enregistrer sous en bas de la fenêtre Inspecteur
devient actif.
Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lots 1253 Cliquez sur Enregistrer sous afin d’attribuer un nouveau nom au réglage modifié.
La copie enregistrée s’affiche dans l’onglet Réglages sous le nom Copie de Nom du réglage
et devient immédiatement le réglage sélectionné dans l’onglet Réglages.
Remarque : il n’est pas nécessaire de l’enregistrer, mais cela peut s’avérer utile au cas où
vous devriez le réutiliser plus tard.
Attribution de destinations
Cette section décrit la façon de définir des destinations de sortie et des noms de fichier
de sortie.
Affectation de destinations aux fichiers multimédias sources
Lorsque vous affectez des réglages à vos cibles, la destination par défaut est également
affectée automatiquement. Vous pouvez définir la destination par défaut dans les
préférences de Compressor. Sélectionnez Compressor > Préférences. Il peut s’agir d’une
destination fournie avec Compressor ou d’une destination personnalisée que vous avez
créée. Consultez la section Création d’une destination pour plus d’informations sur
l’utilisation des destinations.
Vous pouvez remplacer la destination par défaut par une autre ou même modifier
manuellement un emplacement dans lequel enregistrer le fichier de sortie. Il existe
différents moyens permettant d’affecter une destination à un fichier source. Comme pour
l’affectation de réglages, les différentes méthodes ont toutes leurs avantages.
Pour affecter une destination en procédant par glisser-déposer
1 Sélectionnez une destination dans l’onglet Destinations.
126 Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lots2 Faites glisser la destination sur la cible dans la fenêtre Lot.
Faites glisser la destination
sur une tâche avec cible
dans la fenêtre Lot.
Sélectionnez une destination
à appliquer à la cible.
La partie destination de la cible pointe vers la nouvelle destination.
Remarque : vous ne pouvez appliquer la destination qu’à une seule tâche si vous procédez
par glisser-déposer. De plus, vous ne pouvez pas créer de destination temporaire avec
cette méthode.
La méthode glisser-déposer permet également de créer une nouvelle cible (avec un
réglage vide) en faisant glisser la destination vers une partie vide de la tâche.
Pour affecter une destination à l’aide du menu contextuel ou du menu Cible
1 Sélectionnez toutes les cibles sur lesquelles vous voulez régler la destination.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Choisissez Cible > Destination > [Destination].
Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lots 127• Cliquez sur l’une des cibles tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez
Destination > [Destination] dans le menu contextuel.
Utilisez le menu
contextuel de la cible
pour changer la
destination descibles
sélectionnées.
La destination que vous avez sélectionnée s’affiche dans chaque section Destination de
la cible.
Remarque : vous pouvez également attribuer une destination temporaire en choisissant
Autre. Cela entraîne l’ouverture de la zone de dialogue Sélection de fichier, qui vous
permet de créer une nouvelle destination exclusivement destinée à l’envoi de ce lot. Elle
n’est pas enregistrée et ne s’applique qu’au lot soumis.
Réglage du nom de fichier de sortie
En plus de définir l’emplacement du fichier de sortie, les destinations déterminent la
manière de créer le nom du fichier de sortie. Lorsque vous avez affecté une destination,
le nom du fichier de sortie est complet. Vous pouvez choisir de l’utiliser tel quel, de le
modifier manuellement ou de saisir un nouveau nom.
Pour modifier ou saisir un nouveau nom de fichier de sortie
µ Cliquez dans la zone du nom de fichier de sortie et modifiez le nom existant ou
triple-cliquez sur le nom du fichier pour en saisir un nouveau.
Le nom du fichier de sortie
Informations générales sur les cibles et les tâches
Cette section propose des informations générales sur les tâches et les cibles.
128 Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lotsÀ propos des cibles
Les cibles contiennent trois éléments :
• Le réglage
• La destination
• Le nom du fichier de sortie
Le réglage La destination
Le nom du fichier de sortie
Faites glisser les séparateurs
pour agrandir la section
d’une cible et rendre
l’entrée plus visible.
Les boutons Ajouter et
Supprimer de la cible
Vous pouvez utiliser diverses méthodes pour ajouter des réglages à une tâche. La plus
courante consiste à ajouter un réglage ou une destination à la tâche. Vous pouvez
également utiliser une des méthodes suivantes.
Pour ajouter une cible vide à une tâche
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Sélectionnez une ou plusieurs tâches et choisissez Cible > Ajouter une cible. Cela ajoute
une cible vide aux tâches.
µ Sélectionnez une ou plusieurs tâches, cliquez sur une de ses zones vides en maintenant
la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Cible > Ajouter une cible. Cela ajoute une
cible vide aux tâches.
µ Cliquez sur le bouton Ajouter (+) d’une cible existante.
Vous pouvez également copier une ou plusieurs cibles d’une tâche à l’autre.
Pour copier des cibles dans une autre tâche par glisser-déposer
1 Sélectionnez les cibles à copier.
2 Appuyez sur la touche Option, puis faites glisser les cibles sur la nouvelle tâche.
Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lots 129Pour supprimer des cibles
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Sélectionnez une ou plusieurs cibles et appuyez sur Supprimer.
µ Cliquez sur le bouton Supprimer (–) dans une cible.
À propos de l’ajout et de la copie de tâches
Les tâches sont créées, la plupart du temps, en ajoutant des fichiers multimédias sources
à un lot. Il existe plusieurs méthodes pour ajouter des tâches à un lot. De plus, vous pouvez
enchaîner des tâches dans un lot pour définir l’ordre dans lequel les fichiers sont transcodés
lorsqu’ils ont été soumis.
Pour ajouter une tâche vide à un lot
µ Choisissez Tâches > Nouvelle tâche.
Pour supprimer une tâche d’un lot
µ Sélectionnez la tâche et appuyez sur la touche Supprimer.
Pour copier des tâches d’un lot vers un autre
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Ouvrez chaque lot dans sa propre fenêtre et faites glisser les tâches d’une fenêtre à l’autre.
µ Sélectionnez les tâches à copier, appuyez sur Commande + C, sélectionnez le lot dans
lequel copier et appuyez sur Commande + V.
À propos de l’enchaînement de tâches
L’enchaînement de tâches est utile lorsque vous devez appliquer plusieurs réglages à un
fichier multimédia source mais que vous ne pouvez appliquer chaque réglage qu’une
fois que le précédent est terminé. Cela vous permet de contrôler l’ordre dans lequel les
réglages peuvent modifier le fichier multimédia source.
Pour enchaîner des cibles sélectionnées à d’autres tâches
1 Sélectionnez les tâches dont vous voulez enchaîner les sorties à d’autres tâches.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Choisissez Tâches > Nouvelle tâche avec sortie cible.
• Cliquez sur l’une des cibles sélectionnées en maintenant la touche Contrôle enfoncée
et choisissez « Nouvelle tâche avec sortie cible » dans le menu contextuel.
130 Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lotsDe nouvelles tâches sont ajoutées au lot avec un symbole de chaîne et le nom du fichier
de sortie des cibles auxquelles est enchaîné.
Le nom source de la tâche
enchaînée est le fichier de
sortie de la cible à laquelle
il est enchaîné.
Ce logo de chaîne
constitue la vignette
de la tâche enchaînée.
Vous pouvez enchaîner des tâches multiples si vous le désirez. Consultez la section Autres
remarques sur la fonction de télécinéma inverse pour voir un exemple d’enchaînement
de deux tâches.
Généralités sur les lots
Cette section propose des informations d’ordre général sur la soumission, l’enregistrement
et l’ouverture de lots.
Soumission d’un lot
Lorsque vous avez configuré les tâches et leurs cibles dans un lot, vous êtes prêt à
soumettre le lot pour le traitement.
Pour envoyer un lot
1 Assurez-vous que le lot à envoyer est sélectionné dans la fenêtre Lot.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Choisissez Fichier > Soumettre.
• Cliquez sur le bouton Soumettre dans la fenêtre Lot.
La zone de dialogue correspondante est affichée.
Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lots 1313 Vérifiez le champ Nom pour confirmer le nom du lot.
Vous pouvez le modifier afin qu’il reflète mieux le contenu du lot. Ce nom sera utilisé
pour cette soumission dans Share Monitor et dans la fenêtre Historique.
4 Utilisez le menu local Cluster pour choisir l’une des options suivantes : Utilisez le menu
local Cluster pour choisir l’ordinateur ou le cluster qui doit traiter le lot.
• Choisissez Cet ordinateur : Compressor n’implique aucun autre ordinateur dans la
réalisation du lot, à moins que vous ne sélectionnez Cet ordinateur plus, ce qui crée
un cluster ad hoc comprenant Cet ordinateur et tous les nœuds de service disponibles.
Pour en savoir plus, consultez À propos de Cet ordinateur plus et des services non gérés
pour obtenir plus d’informations.
• Choisir un cluster : Compressor soumet le lot à un cluster en vue du traitement (Cet
ordinateur plus n’est pas disponible).
Authentifiezvous en fonction du choix effectué. Pour en savoir plus, consultez la section
Apple Qmaster et le traitement distribué.
5 Utilisez le menu local Priorité pour choisir le niveau de priorité du lot.
6 Cliquez sur Soumettre ou appuyez sur Entrée pour soumettre le lot au traitement.
La fenêtre Historique affiche la progression du lot. Consultez la section À propos de la
fenêtre Historique pour obtenir plus d’informations.
Remarque : la fenêtre Historique s’ouvre automatiquement si elle n’est pas encore ouverte.
Vous pouvez également surveiller la progression du transcodage à l’aide de Share Monitor
en cliquant sur son icône dans la fenêtre Lot. Pour en savoir plus sur Share Monitor,
consultez le Manuel de l’utilisateur de Share Monitor, disponible via le menu Aide Share
Monitor.
Vous pouvez régler l’ouverture automatique de Share Monitor via les préférences de
Compressor. Consultez la section Configuration des préférences de Compressor pour
obtenir plus d’informations.
Remarque : lors du traitement d’un lot volumineux (par exemple, neuf fichiers multimédias
sources associés chacun à trois réglages), l’envoi est suivi d’un délai d’environ dix secondes
pendant lequel rien ne se passe. Soyez patient ! Compressor profite de ce délai pour
préparer le lot en question afin de pouvoir l’envoyer dans les meilleures conditions pour
traitement. si vous souhaitez transcoder un lot volumineux, il est conseillé de désactiver
l’écran de veille de votre ordinateur. Ceci augmente la vitesse du transcodage, car aucune
ressource n’est réservée à l’écran de veille.
132 Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lotsLorsque le lot a été soumis, un triangle jaune avec un point d’exclamation apparaît dans
le lot.
Cliquez sur le symbole
d’avertissement pour
recevoir des explications
sur sa présence.
Compressor utilise ces symboles chaque fois qu’il y a un problème dans un lot. Vous
pouvez placer le pointeur au-dessus du symbole pour afficher une bulle d’aide expliquant
sa présence ou cliquer dessus pour ouvrir une zone de dialogue le concernant.
Dans la case du dessus, lorsque le lot a été soumis, cet avertissement vous permet de
savoir qu’un fichier portant ce nom existe désormais dans cet emplacement et qu’il sera
écrasé si vous soumettez à nouveau le lot.
Vous pouvez éviter la zone de dialogue de soumission de lots lorsque vous soumettez
un lot. Le lot soumis pour traitement utilise automatiquement les réglages du lot
précédent.
Pour envoyer un lot utilisant des réglages précédents
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Choisissez Fichier > « Soumettre avec les réglages précédents ».
µ Cliquez sur l’élément « Soumettre avec les réglages précédents » dans la barre d’outils
de la fenêtre Lot (s’il s’y trouve).
Consultez la section À propos de la fenêtre Lot pour plus d’informations sur l’utilisation
de la fenêtre Lot.
Astuce relative au test du transcodage
Avant de vous lancer dans une longue session de transcodage, faites un test rapide en
utilisant un petit passage du fichier de données source. S’il y a un problème (comme, par
exemple, un réglage incorrect ou un fichier de référence qui ne trouve pas les fichiers
auxquels il fait référence), vous pourrez procéder à la correction sans perdre trop de
temps. De tels tests vous permettent aussi de prévisualiser les résultats de la sous-fenêtre
Encodeur et Contrôles d’image qui ne sont pas visibles dans la fenêtre Aperçu. Pour
sélectionner rapidement une petite partie d’un fichier multimédia source, consultez la
section Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Aperçu.
Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lots 133Assurez-vous que la partie test est propre au type de réglages appliqués. Par exemple,
sélectionnez une scène d’action rapide si vous effectuez une conversion de la fréquence
d’images ou de l’ordre de trame avec Contrôles d’images.
À propos de la fenêtre Historique
La fenêtre Historique propose un accès rapide à tous les lots préalablement soumis, ce
qui vous permet de soumettre à nouveau des lots en les faisant glisser dans la fenêtre
Lot et de consulter des informations concernant la date de soumission de certains lots
depuis votre ordinateur.
Cliquez sur le triangle d’affichage
pour afficher le détail des
soumissions de la journée.
Le contenu de la fenêtre Historique est organisé par date de soumission. Vous pouvez
modifier l’ordre de tri du contenu en cliquant sur le bouton « Inverser l’ordre de tri » en
bas de la fenêtre. Vous pouvez également effacer le contenu de la fenêtre Historique en
cliquant sur le bouton Effacer ou en supprimant les éléments sélectionnés avec la touche
Suppr.
La fenêtre Historique peut également afficher la progression d’un lot en cours de
transcodage.
Cliquez sur le triangle
d’affichage pour voir les
détails concernant chaque
cible de cette soumission.
Cliquez sur le bouton Pause
pour mettre en pause le
transcodage. Cliquez une
nouvelle fois pour reprendre
le transcodage.
Nom de la soumission
Cliquez sur le bouton
Annuler pour mettre fin au
processus de transcodage.
134 Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lotsRemarque : si elle est fermée, la fenêtre Historique s’ouvre automatiquement lorsque
vous envoyez un lot.
Lorsque le transcodage est terminé, un nouveau bouton apparaît dans la fenêtre Historique
pour faciliter la recherche des fichiers encodés.
Cible appartenant au lot envoyé
Cliquez sur le bouton « Révéler
dans le Finder » pour afficher le
fichier encodé dans une fenêtre
du Finder.
En cliquant sur le triangle d’affichage,
vous pouvez afficher les détails de la
soumission.
Nouvelle soumission d’un lot
Toutes les informations concernant la soumission de lots sont stockées dans la fenêtre
Historique. Vous y trouverez des détails sur toutes les tâches et cibles du lot et notamment
les fichiers multimédias sources qui leur ont été affectés. Vous pouvez utiliser ces
informations pour envoyer à nouveau un lot en faisant tout simplement glisser une entrée
spécifique de la fenêtre Historique vers la fenêtre Lot.
Pour soumettre à nouveau un lot à partir de la fenêtre Historique
1 Utilisez les triangles d’affichage pour localiser le lot à soumettre de nouveau.
Remarque : c’est dans ce cas que l’on comprend l’utilité de donner à la soumission un
nom reconnaissable.
2 Faites glisser la soumission de la fenêtre Historique dans la fenêtre Lot.
Lorsque vous faites glisser un lot de la fenêtre Historique vers la fenêtre Lot, Compressor
crée un nouvel onglet sans titre dans la fenêtre Lot correspondante. Le lot apparaît dans
le nouvel onglet avec tous les détails originaux (fichiers multimédias sources, cibles,
réglages affectés, destinations, format de sortie et nom du lot). Vous pouvez modifier le
lot avant de le soumettre à nouveau.
Enregistrement et ouverture d’un lot
Il peut arriver que vous ne puissiez pas envoyer immédiatement un lot que vous venez
de configurer. Dans ce cas, il peut être utile d’enregistrer les paramètres du lot afin d’y
faire référence ultérieurement.
Pour enregistrer un lot
1 Choisissez Fichier > Enregistrer sous (ou appuyez sur Commande + Maj + S).
Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lots 135Une zone de dialogue s’ouvre pour vous permettre de nommer le fichier et de sélectionner
sa destination.
2 Saisissez un nom pour le fichier si vous ne souhaitez pas utiliser le nom par défaut.
3 Choisissez la destination du fichier.
4 Cliquez sur Enregistrer.
L’extension .Compressor est ajoutée au nom des fichiers de lot.
Remarque : l’extension .Compressor apparaît dans les onglets de la fenêtre Lot si vous
avez choisi d’afficher les extensions dans les préférences du Finder.
Pour ouvrir un fichier de lot dans Compressor
1 Choisissez Fichier > Ouvrir (ou appuyez sur Commande + O).
Une zone de dialogue s’ouvre pour vous permettre de sélectionner le fichier de lot à
ouvrir.
2 Localisez et sélectionnez le fichier de lot à ouvrir.
3 Cliquez sur Ouvrir.
Vous pouvez également ouvrir un fichier de lot en double-cliquant dessus dans le Finder
ou en le faisant glisser vers l’icône de l’application Compressor.
Remarque : un message d’erreur apparaît si Compressor ne parvient pas à localiser les
fichiers source répertoriés dans le fichier de lot ; seuls les fichiers source trouvés seront
affichés.
Transcodage de différents plans à partir d’un fichier multimédia source
Si vous avez un fichier multimédia source volumineux dont vous ne souhaitez transcoder
que quelques sections, vous pouvez le faire en un seul envoi de lot.
Pour transcoder différents plans à partir d’un seul fichier multimédia source
1 Ouvrez la fenêtre Lot.
2 Importez le fichier multimédia dans un lot autant de fois que c’est nécessaire pour créer
le nombre de plans voulu.
Une nouvelle tâche est créée à chaque importation.
3 Ajout de réglages à chaque tâche.
136 Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lotsUn identificateur unique est automatiquement appliqué au nom des fichiers de sortie,
de manière à pouvoir facilement identifier chaque plan après son transcodage.
Des identificateurs de
fichier uniques sont
automatiquement
appliqués à chaque tâche.
4 Pour ouvrir la fenêtre Aperçu, procédez comme suit :
• Choisissez Fenêtre > Aperçu (ou appuyez sur Commande + 2).
• Cliquez sur le bouton Aperçu dans la fenêtre Lot.
La fenêtre Aperçu s’ouvre.
5 Utilisez les boutons ou le menu local de sélection de lot pour accéder aux fichiers que
vous souhaitez transcoder.
6 Spécifiez le plan que vous voulez transcoder dans le premier fichier multimédia en plaçant
des points d’entrée et de sortie, puis répétez l’opération pour chaque fichier multimédia
suivant en définissant les plans à transcoder à l’aide de ces points.
Vous pouvez aussi utiliser les touches I (pour entrée) et O (pour sortie) du clavier pour
positionner les marqueurs là où se trouve la tête de lecture.
Point d’entrée Point de sortie
7 Retournez à la fenêtre Lot et cliquez sur le bouton Soumettre.
Consultez la section À propos de la fenêtre Aperçu pour obtenir plus d’informations.
Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lots 137Utilisation de Final Cut Pro et Motion avec Compressor
Final Cut Pro et Motion contiennent un menu Partager proposant plusieurs options de
transcodage courantes déjà configurées. Toutefois, si vous avez besoin d’une option de
transcodage non couverte par les éléments préconfigurés Partager ou que vous devez
personnaliser une de ces options, utilisez les options Envoyer à Compressor pour ouvrir
le projet dans Compressor en vue de le configurer en fonction de vos besoins.
Important : Compressor 4 doit être installé sur le même ordinateur que Final Cut Pro X
et Motion 5 pour que ces options fonctionnent.
Envoi d’un projet pour transcodage
Vous pouvez envoyer un projet Final Cut Pro ou Motion à Compressor avec ou sans
réglage déjà appliqué. Dans les deux cas, le projet s’affiche dans un lot que vous pouvez
configurer comme tout autre lot.
Pour transcoder un projet Final Cut Pro ou Motion
1 Ouvrez et sélectionnez le projet à transcoder dans Final Cut Pro ou Motion.
2 Dans le menu Partager de Final Cut Pro ou de Motion, choisissez et configurez une option
de sortie.
Consultez l’Aide Final Cut Pro ou Motion pour en savoir plus sur les options disponibles
et leurs configurations.
3 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Si vous avez choisi l’option Envoyer à Compressor dans le menu Partager, Compressor
s’ouvre et le projet s’affiche comme une tâche dans un nouveau lot sans réglages.
• Si vous choisissez l’une des autres options, cliquez sur Avancé, puis choisissez Envoyer
à Compressor. Compressor s’ouvre et le projet s’affiche comme une tâche dans un
nouveau lot configuré avec l’option du menu Partager que vous avez sélectionnée.
Le nom de la nouvelle
tâche reprend celui du
projet Final Cut Pro.
4 Affectez des réglages et des destinations à la tâche comme il convient.
Consultez les sections suivantes pour plus d’informations :
• Affectation de réglages à des fichiers multimédias sources
138 Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lots• Affectation de destinations aux fichiers multimédias sources
5 Cliquez sur le bouton Soumettre dans la fenêtre Lot.
Compressor lance alors le transcodage du projet Final Cut Pro.
Remarque : une fois le projet Final Cut Pro ou Motion ouvert dans Compressor, vous
pouvez continuer à travailler sur ce projet ou sur un autre dans Final Cut Pro ou Motion.
Renvoi d’un projet
Vous pouvez utiliser la fenêtre Historique pour soumettre à nouveau un projet Final Cut Pro
ou Motion, comme vous le feriez pour n’importe quel autre lot. Compressor soumet à
nouveau le projet tel qu’il était lors de sa soumission d’origine ; toutes les modifications
apportées au projet depuis la soumission d’origine sont ignorées.
Consultez la section Nouvelle soumission d’un lot pour plus de détails sur les étapes de
ce processus.
Optimisation du traitement distribué pour Final Cut Pro et Motion
Deux situations courantes peuvent influencer le traitement distribué de vos données
Final Cut Pro et Motion :
• Les données se trouvent sur le disque de démarrage de Final Cut Pro ou de Motion : c’est
la méthode par défaut de traitement des données. Dans ce cas, la seule option de
traitement distribué dont vous disposez est Cet ordinateur plus. Apple Qmaster doit
d’abord copier les données sources sur les ordinateurs de service de traitement distribué,
ce qui ralentit le processus.
• Les données se trouvent sur un disque montable non démarrable : le stockage de vos
données Final Cut Pro et Motion sur un disque autre que le disque de démarrage de
l’ordinateur signifie que tous les ordinateurs de service de traitement distribué peuvent
accéder directement aux données sources. Apple Qmaster ne doit plus copier les
données sur les ordinateurs de service et vous pouvez choisir de soumettre le projet
sur l’un des clusters disponibles. Ce disque peut être un deuxième disque interne installé
dans l’ordinateur, un disque externe ou un disque situé sur un ordinateur du réseau
local.
Pour optimiser le traitement distribué pour Final Cut Pro et Motion
1 Assurez-vous que tous les Événements utilisés dans votre projet Final Cut Pro soient
stockés sur un disque montable configuré pour le partage de fichiers. Pour en savoir plus
sur le stockage de vos données Final Cut Pro ou Motion sur des disques qui ne sont pas
des disques par défaut, consultez l’ Aide Final Cut Pro et l’Aide Motion.
2 Sur chacun des ordinateurs du cluster Apple Qmaster, montez le disque dur sur
l’emplacement où se trouvent les événements et les autres fichiers multimédias
Final Cut Pro.
Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lots 1393 Dans les préférences de Compressor, choisissez « Ne jamais copier la source vers le cluster
» dans le menu local Options de cluster.
Il ne sera plus nécessaire, pour les projets Final Cut Pro et Motion qui utilisent directement
un cluster Apple Qmaster ou l’option Envoyer à Compressor et choisissent un cluster, de
copier les fichiers sources sur les ordinateurs de cluster, ce qui permet un processus de
transcodage plus efficace.
Utilisation du traitement distribué avec Compressor
La distribution de traitement entre ordinateurs permet d’accroître la vitesse et la
productivité. Les fonctions Apple Qmaster de Compressor subdivise le travail pour accélérer
le traitement, dirige le travail vers les ordinateurs avec la puissance de calcul la plus
disponible et dirige le traitement vers les ordinateurs désignés.
Pour obtenir des instructions complètes sur la configuration et la gestion d’un réseau de
traitement distribué Apple Qmaster, consultez Apple Qmaster et le traitement distribué.
Cette section aborde deux sujets qu’il est essentiel de connaître lors de l’utilisation du
système de traitement distribué Apple Qmaster avec Compressor.
Segmentation des tâches et encodage multipasse ou à 2 passes
Si vous choisissez le mode deux passes ou multipasse et que le traitement distribué est
activé, vous devrez peut-être faire un choix entre rapidité de traitement et garantie de la
meilleure qualité possible.
Le système Apple Qmaster de traitement distribué accélère le traitement en distribuant
le travail sur plusieurs nœuds de traitement (ordinateurs). L’un des moyens pour y parvenir
consiste à diviser la quantité totale d’images d’un travail en segments plus petits. Chacun
des ordinateurs de traitement opère alors sur un segment différent. Étant donné que les
nœuds fonctionnent en parallèle, le travail est terminé plus vite qu’il ne le serait sur un
ordinateur unique. Mais avec l’encodage VBR 2 passes et multipasse, chaque segment
est traité de manière individuelle, ainsi l’allocation de débit généré dans la première passe
pour n’importe quel segment ne comprend pas d’informations sur les segments traités
sur d’autres ordinateurs.
Commencez par évaluer la difficulté d’encodage (complexité) de vos données source.
Ensuite décidez si vous souhaitez ou non autoriser la segmentation des tâches (à l’aide
de la case « Autoriser la segmentation de la tâche » en haut de la sous-fenêtre Encodeur).
Si la répartition des zones simples et complexes des données est similaire à travers tout
le fichier multimédia source, vous pouvez obtenir la même qualité, que la segmentation
soit activée ou non. Dans ce cas, il est utile d’autoriser la segmentation afin de réduire le
temps de traitement.
140 Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lotsCependant, il se peut qu’un fichier multimédia source présente une distribution inégale
des scènes complexes. Par exemple, un programme sportif dans lequel la première heure
correspond à l’entraînement, avec des présentateurs relativement statiques, et la deuxième
heure correspondant à l’action sportive. Si ces données sources sont fractionnées en deux
segments, le plan d’allocation de débit du premier segment ne pourra pas « donner »
certains de ses bits au deuxième segment, car les segments seront traités sur des
ordinateurs distincts. La qualité du métrage d’action plus complexe du second segment
en pâtira. Dans ce cas, si votre objectif est de garantir la meilleure qualité possible sur les
deux heures de programme, il serait judicieux de ne pas autoriser la segmentation des
travaux, en désactivant la case en haut de la sous-fenêtre de l’encodeur. Ceci a pour effet
de forcer le traitement du travail (et donc l’allocation de débit) sur un ordinateur unique.
Remarque : la case « Autoriser la segmentation de la tâche » n’affecte que la segmentation
des tâches individuelles (fichiers sources). Si vous envoyez des lots avec plusieurs tâches,
le système de traitement distribué continue d’accélérer le traitement en distribuant les
tâches (non segmentées), même lorsque la segmentation des tâches est désactivée.
Pour en savoir plus sur l’encodage à débit variable (VBR), voir Onglet Qualité. Pour en
savoir plus sur le système de traitement distribué Apple Qmaster, consultez Apple Qmaster
et le traitement distribué.
À propos de Cet ordinateur plus et des services non gérés
Compressor comporte une fonction nommée Cet ordinateur Plus qui permet de bénéficier
facilement des capacités de traitement distribué offertes par Apple Qmaster sans
nécessairement être spécialiste de la configuration des clusters, de la configuration du
partage de fichiers, etc.
L’utilisation de Cet ordinateur plus se fait en deux étapes :
• Installation de Compressor, configuré pour offrir des services de traitement distribué,
sur chaque ordinateur à inclure dans le cluster Cet ordinateur plus.
• Cochez la case Cet ordinateur plus lorsque vous soumettez un lot Compressor à traiter.
Remarque : il se peut que vous deviez vous authentifier. Pour en savoir plus, consultez
la section Apple Qmaster et le traitement distribué.
Ces deux étapes permettent de maîtriser la puissance de traitement d’un nombre
quelconque d’ordinateurs sur votre réseau sans effort ni connaissances supplémentaires
de votre part.
Pour en savoir plus, consultez Premiers contacts rapides avec Cet ordinateur plus.
Chapitre 8 Finalisation de tâches et soumission de lots 141Vous pouvez utiliser Compressor pour produire de l’audio au format AIFF.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Création de fichiers de sortie AIFF (p 143)
• À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder (p 144)
• À propos de la zone de dialogue Réglages audio (p 144)
• Tailles et fréquences d’échantillonnage audio QuickTime (p 145)
• Choix d’un codec audio pour la distribution (p 146)
• Configuration des réglages AIFF (p 146)
Création de fichiers de sortie AIFF
Le format de fichier AIFF (Audio Interchange File Format) a été développé par Apple pour
le stockage de données audio de haute qualité. Le format était destiné à la création de
DVD et de CD et est désormais l’un des formats de fichier audio les plus couramment
utilisés pour Mac OS.
Remarque : choisissez l’option AIFF dans le menu local Format de fichier uniquement si
vous devez créer un fichier AIFF spécialisé. Si vous créez un fichier AIFF standard, choisissez
l’option Formats audio courants.
143
Création de fichiers AIFF
9À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder
Les options suivantes apparaissent lorsque vous choisissez le format de sortie AIFF dans
le menu local Format de fichier de la sous-fenêtre Encodeur de la fenêtre Inspecteur.
Champ Extension de fichier
Tableau Résumé AIFF
QuickTime
Cliquez sur ce bouton
pour ouvrir lazone de
dialogue Réglages audio.
Choisissez AIFF.
• Extension de fichier : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier AIFF
(.aiff) une fois le format de sortie AIFF sélectionné dans le menu local Format du fichier
ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages. Ne modifiez pas ce champ.
• Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Comme la segmentation des tâches n’est pas utilisée pour les encodages
purement audio, cette case n’est pas activée avec le format de fichier AIFF. Pour plus
d’informations, consultez Segmentation des tâches et encodage multipasse ou à 2
passes.
• Réglages : ce bouton ouvre la zone de dialogue Réglages audio QuickTime. Utilisez
cette zone de dialogue pour sélectionner les codecs audio appropriés et modifier les
autres paramètres de compression audio. Consultez À propos de la zone de dialogue
Réglages audio pour obtenir plus d’informations.
• Résumé AIFF QuickTime : ce tableau affiche des détails complets pour ce réglage.
À propos de la zone de dialogue Réglages audio
Utilisez la zone de dialogue Réglages audio pour modifier les réglages de compression
audio des formats de sortie QuickTime et AIFF. Pour ouvrir cette zone de dialogue, cliquez
sur le bouton Réglages audio dans la sous-fenêtre Encodeur Séquence QuickTime ou
AIFF.
144 Chapitre 9 Création de fichiers AIFFLes éventuels réglages audio qui ne peuvent pas être modifiés restent inactifs. Certains
codecs audio vous permettent de configurer des réglages supplémentaires, qui
apparaissent dans la moitié inférieure de la zone de dialogue Réglages audio. Dans certains
cas, un bouton Option devient accessible. Cliquez dessus pour effectuer des ajustements
auxiliaires.
Choisissez le nombre de
canaux (la sélection varie
en fonction du codec).
Choisissez un débit
garantissant la qualité et la
taille de fichier requises.
Choisissez un codec audio.
Réglages propres au format
en fonction du codec
La zone de dialogue Réglages audio contient les éléments suivants, avec différents choix
pour chacun, en fonction du codec audio que vous choisissez dans le menu local Format.
• Format : choisissez le codec audio à ajouter à votre réglage.
• Canaux : choisissez le type de sortie de canal (mono ou stéréo) ou un type de sortie
multicanal, en fonction du codec.
• Débit : choisissez le taux d’échantillonnage à appliquer à votre fichier multimédia. Plus
le taux d’échantillonnage est important, meilleure est la qualité, mais plus le fichier est
volumineux. Or, le téléchargement de fichiers volumineux est plus long et requiert une
bande passante plus large.
• Afficher les réglages avancés : ce bouton demeure estompé, sauf si le codec sélectionné
dans le menu local Format de fichier offre des options. Contactez directement les
fabricants de ces codecs pour obtenir plus d’informations sur les options
supplémentaires offertes.
Tailles et fréquences d’échantillonnage audio QuickTime
Si vous disposez de l’espace disque et de la bande passante suffisants, il est préférable
de ne pas compresser les données audio. Les données audio non compressées utilisent
normalement des échantillons 8 bits (qualité téléphone) ou 16 bits (qualité CD).
Compressor prend en charge un maximum de 64 bits par échantillon en virgule flottante
et une fréquence d’échantillonnage maximale de 192 kHz.
Chapitre 9 Création de fichiers AIFF 145Choix d’un codec audio pour la distribution
MPEG-4 Audio (AAC) est un bon codec de diffusion audio polyvalent, compatible avec
un large éventail de périphériques de lecture. Concernant les ordinateurs plus lents, les
formats IMA (à moindre compression) ou AIFF (sans compression) sont de meilleures
options car ils sollicitent moins les ressources de l’ordinateur, ce qui permet à ce dernier
de se dédier au flux vidéo, plus exigeant.
Configuration des réglages AIFF
Lorsque vous choisissez le format de fichier de sortie AIFF, vous ne pouvez créer que des
réglages audio, car il s’agit d’un format exclusivement audio. Si vous souhaitez ajouter
un codec audio à votre préréglage AIFF, ouvrez la zone de dialogue Réglages audio, puis
choisissez les paramètres de votre codec audio.
Pour créer un réglage de codec audio AIFF
1 Dans l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Assurez-vous que le réglage correct est sélectionné.
• Créez un réglage en choisissant AIFF dans le menu local Créer un réglage (+).
2 Cliquez sur le bouton Réglages dans la sous-fenêtre Encodeur AIFF.
La zone de dialogue Réglages audio s’ouvre.
Choisissez un codec audio
dans le menu local Format.
3 Choisissez un codec audio dans le menu local Format, puis acceptez ses paramètres par
défaut ou personnalisez les autres réglages du codec audio (le format, les canaux, la
fréquence d’échantillonnage et, si possible, les options). Consultez À propos de la zone
de dialogue Réglages audio pour obtenir plus d’informations.
Remarque : vous pouvez consulter les détails complets des paramètres de votre préréglage
dans le tableau Résumé AIFF QuickTime de la sous-fenêtre Encodeur.
4 Cliquez sur OK pour enregistrer vos réglages et fermer la zone de dialogue.
146 Chapitre 9 Création de fichiers AIFFVous pouvez utiliser ce réglage pour produire facilement du contenu dans plusieurs
formats audio courants.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Création de fichiers de formats audio courants (p 147)
• À propos de la sousfenêtre Formats audio courants (p 148)
• Configuration des réglages Formats audio courants (p 148)
Création de fichiers de formats audio courants
Le réglage Formats audio courants simplifie la création de fichiers audio dans les formats
suivants :
• AIFF : le format de fichier AIFF (Audio Interchange File Format) a été développé par
Apple pour le stockage de données audio de haute qualité. Le format était destiné à
la création de DVD et de CD et est désormais l’un des formats de fichier audio les plus
couramment utilisés pour Mac OS.
Remarque : utilisez cette option pour créer des fichiers AIFF standard. Choisissez l’option
AIFF dans le menu local Format de fichier si vous devez créer des fichiers AIFF spécialisés.
• Fichier Apple CAF : Apple CAF (Core Audio Format), développé par Apple, offre des
performances et une flexibilité optimales. Ce format évolutif pourra s’adapter aux futurs
outils d’enregistrement, de montage et de lecture audio à très haute résolution. Sa
taille de fichier est illimitée et il prend en charge une grande variété de métadonnées.
• WAVE : le format WAVE (format de fichier audio WAVEform) est principalement utilisé
sur les ordinateurs Windows.
147
Création de fichiers de formats
audio courants 10À propos de la sousfenêtre Formats audio courants
Les options suivantes apparaissent lorsque vous choisissez le format de sortie Formats
audio courants dans le menu local Format de fichier, dans la sous-fenêtre Encodeur de
la fenêtre Inspecteur.
Bouton Automatique
• Extension : ce champ indique l’extension de fichier correspondant au format audio
sélectionné dans le menu local Type de fichier.
• Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Étant donné que la segmentation n’est pas utilisée pour l’encodage
purement audio, cette case est désactivée pour le format de fichier Formats audio
courants. Pour plus d’informations, consultez Segmentation des tâches et encodage
multipasse ou à 2 passes.
• Type de fichier : choisissez le type de fichier audio à créer.
• Automatique : si l’option Automatique est activée, Compressor détermine le nombre
de canaux, la fréquence d’échantillonnage et la taille d’échantillon en se basant sur le
fichier source et les menus locaux Disposition des canaux, Fréquence d’échantillonnage
et Taille d’échantillon sont désactivés. Si le bouton Automatique est désactivé, configurez
manuellement ces réglages.
• Disposition des canaux : choisissez le nombre de canaux (Mono, Stéréo ou 5.1).
• Taux d’échantillonnage : choisissez les fréquences d’échantillonnage disponibles (32
000, 44 100, 48 000 ou 96 000).
• Taille d’échantillon : choisissez les tailles d’échantillon disponibles (16, 24 ou 32).
Configuration des réglages Formats audio courants
Lorsque vous choisissez le format de fichier de sortie Formats audio courants, vous ne
pouvez créer que des réglages audio, car il s’agit d’un format exclusivement audio.
148 Chapitre 10 Création de fichiers de formats audio courantsPour créer un réglage Formats audio courants
1 Dans l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Assurez-vous que le réglage correct est sélectionné.
• Créez un réglage en choisissant Formats audio courants dans le menu local « Créer un
réglage » (+).
2 Choisissez un format audio dans le menu local Type de fichier de la sousfenêtre Encodeur
de formats audio courants.
3 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Cliquez pour activer le bouton Automatique et laissez Compressor configurer les réglages
des menus locaux Disposition des canaux, Fréquence d’échantillonnage et Taille
d’échantillonnage.
• Cliquez pour désactiver le bouton Automatique et configurez manuellement les réglages
des menus locaux Disposition des canaux, Fréquence d’échantillonnage et Taille
d’échantillonnage.
Chapitre 10 Création de fichiers de formats audio courants 149Compressor comprend les outils dont vous avez besoin pour créer des fichiers DV.
Parce qu’il est peu coûteux et très répandu, le format vidéo DV est très apprécié pour la
capture et la distribution de vidéo en définition standard (SD).
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur DV (p 151)
• Processus de transcodage DV (p 152)
À propos de la sous-fenêtre Encodeur DV
Cette section contient des informations détaillées sur les divers réglages qui se trouvent
à l’intérieur de la sous-fenêtre Encodeur DV de la fenêtre Inspecteur. Vous devez définir
vos réglages DV en modifiant un réglage existant ou en créant un nouveau réglage dans
l’onglet Réglages.
Les boutons Automatique pour
les valeurs Format, Proportions
et Ordre de trame
151
Création de fichiers de sortie pour
flux DV 11La sous-fenêtre Encodeur de flux DV contient les réglages suivants.
• Extension : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier DV (.dv) une fois
le format de sortie Flux DV sélectionné dans le menu local Format du fichier ou dans
le menu local (+) de l’onglet Réglages.
• Autoriser la segmentation des tâches : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Pour plus d’informations, consultez la section Segmentation des tâches et
encodage multipasse ou à 2 passes.
• Format : vous avez le choix entre NTSC et PAL pour le format vidéo de sortie.
• Proportions : vous avez le choix entre 16:9 et 4:3 pour les proportions de la vidéo de
sortie.
Remarque : le format 16:9 utilise la vidéo anamorphosée.
• Ordre de trame : sélectionnez le champ Première inférieure (obligatoire pour la vidéo
DV entrelacée) avec des sources entrelacées ou Progressive avec des sources
progressives.
Processus de transcodage DV
La méthode utilisée pour transcoder votre vidéo en fichiers au format Flux DV à l’aide de
Compressor dépend de l’utilisation que vous comptez faire de ces fichiers. Les étapes de
base sont répertoriées ci-dessous.
Étape 1 : Création d’un lot
Comme pour tout processus de transcodage, vous devez commencer par créer un lot.
Consultez Préparation de Compressor au transcodage à l’aide de réglages personnalisés
pour obtenir plus d’informations.
Étape 2 : Création de tâches avec les fichiers vidéo sources
Importez les fichiers vidéo sources soit en les faisant glisser depuis le Finder jusque dans
le lot, soit en choisissant Tâche > Nouvelle tâche avec fichier.
Étape 3 : Ajout de cibles avec réglage DV à chacune des tâches
Chacune des tâches requiert au moins une cible ; dans ce cas, les tâches nécessitent des
cibles avec réglage Flux DV. S’il existe plusieurs tâches, il est plus facile de toutes les
sélectionner, de choisir Édition > Tout sélectionner, puis Cible > « Nouvelle cible avec
réglage », afin d’appliquer le même réglage à toutes les tâches.
Étape 4 : Soumission du lot pour transcodage
Cliquez sur le bouton Soumettre pour lancer le processus de transcodage. Consultez la
section Soumission d’un lot pour obtenir plus d’informations.
152 Chapitre 11 Création de fichiers de sortie pour flux DVCompressor offre les outils dont vous avez besoin pour encoder (par lot ou pas) les fichiers
audio AC-3 (Dolby Digital Professional).
Le format Dolby Digital Professional (également appelé AC-3) est un format audio
comprimé très répandu pour les disques DVD-vidéo. Compressor accepte les fichiers
audio multicanaux dans différents formats et vous donne le contrôle complet sur le
processus d’encodage AC-3. Les programmes Dolby Digital peuvent diffuser du son
Surround 5.1 avec cinq canaux discrets (gauche, centre, droite, gauche Surround et droite
Surround), plus un sixième canal pour les effets basse fréquence (LFE), parfois appelé
« subwoofer ». Dolby Surround est une autre option Surround, avec quatre canaux (gauche,
centre, droite, Surround). Cependant, tous les fichiers audio AC-3 ne sont pas au format
audio Surround 5.1. Dolby Digital Professional est couramment utilisé pour encoder des
fichiers stéréo afin de réduire fortement leur taille.
Pour en savoir plus sur la création de fichiers audio Surround à l’aide d’autres formats de
sortie, consultez Ajout de fichiers multimédias sources avec son Surround aux lots.
Remarque : il est important de comprendre que Compressor ne peut pas utiliser des
fichiers stéréo pour générer du son Surround 5.1. Si vous souhaitez créer un fichier audio
AC-3 Surround 5.1, vous devez d’abord créer les six canaux audio dont il a besoin. Pour
ce faire, vous devez utiliser d’autres applications que Compressor.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital Professional (p 154)
• Informations générales sur la création de fichiers Dolby Digital Professional (p 160)
• Conversion de fichiers audio stéréo au format Dolby Digital Professional (p 161)
• Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode manuelle) (p 162)
• Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthodes automatiques) (p 165)
• Affectation de fichiers à des canaux audio Surround à l’aide de droplets (p 167)
• Options de mixage spatial (p 167)
153
Création de fichiers de sortie Dolby
Digital Professional 12À propos de la sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital Professional
Cette section contient des informations détaillées sur les différents onglets de la
sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital Professional (AC-3) de la fenêtre Inspecteur.
Vous devez définir vos réglages Dolby Digital Professional à l’aide des onglets décrits
ci-dessous, en modifiant un réglage existant ou en créant un nouveau réglage dans
l’onglet Réglages. La sous-fenêtre Dolby Digital Professional s’ouvre avec l’onglet Audio
par défaut situé en haut. La sous-fenêtre Dolby Digital Professional contient les éléments
suivants : réglages de base, réglages de l’onglet Audio, réglages de l’onglet Bitstream et
réglages de l’onglet Prétraitement.
Réglages de base
Utilisez les réglages de bases suivants pour définir une tâche ou un lot Dolby Digital
Professional (AC-3).
• Extension de fichier : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier Dolby
Digital Professional (.ac3) une fois que vous avez sélectionné le format de sortie Dolby
Digital Professional dans le menu local Format du fichier ou dans le menu local (+) de
l’onglet Réglages.
• Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Étant donné que la segmentation de la tâche n’est pas utilisée pour
l’encodage purement audio, cette case est désactivée pour le format de fichier Dolby
Digital Professional. Pour plus d’informations, consultez Segmentation des tâches et
encodage multipasse ou à 2 passes.
• Audio, Bitstream et prétraitement : ces boutons permettent d’ouvrir les onglets Audio,
Bitstream et Prétraitement décrits ci-après.
154 Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital ProfessionalRéglages de l’onglet Audio
L’onglet Audio permet d’accéder aux réglages Dolby Digital Professional les plus
importants.
• Système cible : Compressor limite les réglages disponibles à ceux qui sont appropriés
pour le système cible. Si vous procédez à l’encodage pour une utilisation avec
DVD Studio Pro, choisissez DVD Vidéo. Si vous procédez à un encodage destiné à une
application de création DVD Audio, choisissez DVD audio uniquement. Pour supprimer
les limites des réglages, choisissez AC-3 générique.
• Mode de codage audio : spécifie les canaux audio du flux encodé. Ce réglage dispose
également d’un bouton Automatique.
Bouton Automatique du
mode de codage audio
Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 155Par exemple, « 3/2 (G, C, D, Gs, Ds) » signifie trois canaux avant (gauche, centre, droite)
et deux canaux arrière (Surround). « 2/0 (G, D) » est essentiellement un fichier stéréo
standard. Le mode de codage audio a une incidence sur les réglages tels que la bande
passante disponible et le prétraitement des canaux Surround. Si vous cliquez sur le
bouton Automatique (en regard du menu local « Mode de codage audio »), Compressor
détermine au mieux le mode de codage audio souhaité en fonction des fichiers audio
sources disponibles.
Canaux 3/1 Canaux 3/0
Canaux 2/2 Canaux 2/1 Canaux 2/0 Canaux 1/0
(Option LFE non disponible) (Option LFE non disponible)
Canaux 3/2
G C
LFE
LFE LFE
LFE LFE
LFE LFE
D
Gs Ds
G D
Gs Ds
G D G D
S
G C D
S
G C
C
D
Remarque : dans le menu local Mode de codage audio, « S » désigne un canal
« Surround » arrière unique, et dans cette illustration, « LFE » signifie Low Frequency
Effects (effets basse fréquence, également appelé « subwoofer »). Pour plus
d’informations, consultez les sections Affectation de fichiers à des canaux audio Surround
(méthode manuelle) et Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthodes
automatiques).
• Activer les effets de basse fréquence : cochez cette case pour inclure le canal LFE dans le
flux encodé (indisponible pour la monophonie 1/0 ou la stéréophonie 2/0).
• Échantillonnage : cette option permet de spécifier la fréquence d’échantillonnage. Tous
les fichiers destinés à la création de DVD vidéo et audio doivent être réglés sur une
fréquence d’échantillonnage de 48 kHz conformément aux spécifications du DVD. Les
fréquences d’échantillonnage de 32 kHz et 44,1 kHz ne sont disponibles que lorsque
AC-3 générique est le système cible.
156 Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional• Débit de données : les choix dépendent du mode d’encodage et du système cible. Plus
le débit est élevé, meilleure est la qualité. Le débit des flux AC-3 est stable. À 448 kbps,
la valeur par défaut pour l’encodage 5.1, une minute d’audio AC-3 nécessite environ
3,3 Mo d’espace de stockage. Pour l’encodage stéréo, les fréquences de 192 kbps et
224 kbps sont standard et donnent de bons résultats.
• Mode BitStream : détermine la finalité des données audio encodées. Les informations
figurent dans le flux final et peuvent être lues par certains systèmes de décodage.
• Normalisation des dialogues : cette option permet de spécifier le volume moyen du
dialogue, mesuré en décibels pleine échelle (dBFS, de l’anglais « Decibels of Full Scale »),
de vos fichiers audio par rapport à la modulation maximale. Le périphérique de lecture
utilise cette information pour maintenir un volume similaire sur différents flux AC-3.
L’objectif recherché est que le niveau d’écoute soit le même pour tous les fichiers audio
encodés en AC-3, quel que soit le fichier source.
Cela est particulièrement important pour assurer une utilisation correcte de la fonction
Normalisation des dialogues lorsque vous enregistrez des fichiers audio différents (avec
des niveaux de volume différents) sur un DVD. Si vous connaissez le niveau moyen de
chaque fichier, tapez sa valeur dans le champ Normalisation des dialogues pour chaque
fichier. Par exemple, si le VU-mètre indique que le niveau moyen du dialogue de votre
séquence Final Cut Pro se situe autour de –12 dB, tapez –12 dans le champ Normalisation
des dialogues.
Remarque : cette normalisation s’effectue entre les flux audio du DVD. Elle n’a aucun
effet à l’intérieur de chaque flux audio. Pour ce type de normalisation, utilisez un outil
de montage audio. Vous pouvez saisir des valeurs comprises entre –1 dBFS et –31 dBFS.
La différence entre la valeur que vous tapez et 31 dBFS (qui représente le niveau d’écoute
normal des dialogues) constitue l’ampleur de l’atténuation du volume audio source.
• Si vous tapez –31 dBFS : l’atténuation sera de 0 dB (31 dBFS–31 dBFS), ce qui est sans
incidence sur les niveaux audio sources.
• Si vous tapez –27 dBFS : l’atténuation sera de 4 dB (31 dBFS–27 dBFS).
• Si vous tapez –12 dBFS : l’atténuation sera de 19 dB (31 dBFS–12 dBFS).
Plus le volume du fichier source est élevé, plus la valeur que vous saisissez est réduite
et plus le volume du fichier encodé est atténué au cours de la lecture.
Si vous ignorez le niveau sonore du fichier source ou si, pour une raison ou une autre,
vous souhaitez vous assurer que l’encodeur Dolby Digital Professional n’a aucune
incidence sur vos niveaux sonores, saisissez –31 dans le champ Normalisation des
dialogues, puis choisissez Aucun dans le menu local Préréglage de compression (situé
dans l’onglet Prétraitement).
Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 157Important : si vous avez l’intention d’utiliser l’un des préréglages de compression, il
est crucial de définir correctement le réglage Normalisation des dialogues. Les
préréglages de compression considèrent qu’une fois le dialogue normalisé, le volume
est réglé sur un niveau d’écoute normal de 31 dBFS. Les niveaux constamment situés
au dessus de cette valeur entraînent des distorsions du son et des niveaux inégaux.
Réglages de l’onglet Bitstream
Ces réglages sont stockés dans le flux terminé en vue d’une utilisation par le périphérique
de lecture. Conservez leur valeur par défaut, si vous avez une raison technique spécifique
pour les modifier.
• Downmix du canal central, Downmix de Surround : si l’audio encodé dispose de ces trois
canaux, mais pas le lecteur, les canaux sont mixés dans la sortie stéréo au niveau indiqué.
• Mode Dolby Surround : lors de l’encodage en mode 2/0 (stéréo), indique si le signal
utilise Dolby Surround (Pro Logic).
• Protégé par Copyright : cochez cette case pour spécifier que ces données audio sont
protégées par un copyright.
• Contenu original : cochez cette case pour spécifier que ces données audio proviennent
de la source originale et non d’une copie.
• Informations de production audio : cochez cette case et remplissez les champs en dessous
afin de spécifier la façon dont le contenu audio encodé a été mixé. Les périphériques
de lecture peuvent utiliser ces informations pour ajuster les réglages de sortie.
• Niveau de mixage des pics : spécifie le niveau du pic de pression sonore (SPL) (entre
80 dB et 111 dB) dans l’environnement de production où ce mixage a été masterisé.
• Type de pièce : permet d’indiquer des informations relatives au studio de mixage.
158 Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital ProfessionalRéglages de l’onglet Prétraitement
Les options de prétraitement sont appliquées aux données audio avant l’encodage. À
l’exception du réglage Préréglage de compression, conservez les valeurs par défaut de
ces réglages, sauf si vous avez une raison technique de les modifier.
Préréglage de compression
• Préréglage de compression : spécifie l’un des modes de traitement de plage dynamique
intégré au format AC-3. La valeur par défaut « Compression standard pour films » doit
uniquement être utilisée lorsque vous encodez un mixage original destiné au cinéma.
Dans la plupart des cas, vous devez choisir Aucun.
Important : si vous avez l’intention d’utiliser l’un de ces préréglages de compression,
il est crucial de définir correctement le réglage Normalisation des dialogues dans l’onglet
Audio. Les préréglages de compression considèrent qu’une fois le dialogue normalisé,
le volume est réglé sur un niveau d’écoute normal de 31 dBFS. Les niveaux constamment
situés au dessus de cette valeur entraînent des distorsions du son et des niveaux inégaux.
Remarque : si vous créez un DVD avec un son Dolby Digital Professional Surround 5.1
canaux, vous utiliserez « Compression standard pour films ».
Général
• Désaccentuation numérique : permet de préciser si les données audio d’entrée ont été
accentuées au préalable et s’il est nécessaire d’annuler cette accentuation avant
l’encodage.
Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 159Canal LFE
• Filtre passebas : cochez cette case pour appliquer un filtre passe-bas 120 Hz au canal
LFE (Low Frequency Effects). Désactivez ce filtre si le signal numérique sur l’entrée LFE
ne contient pas d’informations au-delà de 120 Hz.
Canal bande pass.compl.
• Filtre passebas : cochez cette case pour activer un filtre passe-bas avec une coupe près
de la bande passante audio disponible qui est appliquée aux principaux canaux d’entrée.
Si le signal numérique sur les principaux canaux d’entrée ne contient pas d’informations
au-delà de la bande passante audio, vous pouvez désactiver ce filtre. Compressor
détermine automatiquement la bande passante disponible.
• Filtre CN : cochez cette case afin d’activer un filtre passe-haut CN pour tous les canaux
d’entrée, comme un moyen simple de supprimer les décalages CN. La plupart des
éléments audio mixés est déjà libre de décalages CN.
Canaux Surround
• Augmentation de phase de 90º : cochez cette case pour générer des flux AC-3 multicanaux
pouvant être sous-mixés avec un décodeur externe à deux canaux afin de créer une
sortie compatible Dolby Surround.
• Atténuation du son de 3 dB : cochez cette case afin d’appliquer une atténuation de 3 dB
aux canaux Surround d’une piste audio cinéma multicanal transférée vers un format
home cinéma grand public. Les canaux Surround cinéma sont mixés à 3 dB de plus
que les canaux avant afin de tenir compte des gains des amplificateurs cinéma.
Informations générales sur la création de fichiers Dolby Digital
Professional
Vous trouverez ci-dessous certains éléments dont il convient de tenir compte lors de la
configuration et de l’encodage de fichiers Dolby Digital Professional AC-3.
À propos des fichiers multimédias sources
Il est important de tenir compte de quelques directives lors de l’encodage de fichiers de
sortie Dolby Digital Professional à partir de fichiers multimédias sources.
En fonction du format, un fichier peut contenir un canal unique (mono), des canaux
doubles (stéréo) ou plusieurs canaux. Compressor prend en charge Dolby Digital
Professional dans toutes ces configurations.
Les fichiers audio destinés à l’encodage Dolby Digital Professional doivent respecter les
règles suivantes :
• Tous les fichiers sources doivent être de longueur identique. Dans le cas contraire
Compressor définit la longueur du flux AC-3 pour qu’elle corresponde à celle du fichier
le plus long.
160 Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional• Tous les fichiers doivent présenter une fréquence d’échantillonnage de 48 kHz (requise
pour les DVD).
• Les flux AC-3 doivent comporter un multiple de 1536 échantillons. Si ce n’est pas le
cas des fichiers d’entrée sélectionnés, Compressor ajoute du silence numérique à la fin
des fichiers.
Remarque : Compressor peut prendre en charge tout type de fichier source pouvant
contenir du son Surround et de l’audio haute résolution jusqu’à 64 bits par échantillon
(virgule flottante), ainsi que des fréquences d’échantillonnage jusqu’à 192 kHz.
À propos de la prévisualisation des réglages de l’encodeur
Il n’est pas possible de prévisualiser les réglages définis dans la sous-fenêtre de l’encodeur
Dolby Digital Professional. Si un appareil capable de reproduire le son Surround est
connecté à un port USB ou FireWire de votre ordinateur ou à une autre sortie de ce
dernier, vous serez en mesure d’entendre le son affecté aux différent canaux, mais il ne
tiendra pas compte des réglages tels que ceux définis dans Normalisation des dialogues
ou Préréglage de compression.
Important : étant donné que la sortie audio n’est pas une sortie Dolby Digital, la sortie
optique ne peut pas être utilisée pour vérifier le son affecté à chaque canal.
La seule méthode permettant de vérifier les réglages consiste à soumettre le lot et à
écouter les résultats. Si vous n’êtes pas sûr des réglages, utilisez la fenêtre Aperçu pour
faire un essai en encodant une partie relativement courte de la source.
Vous pouvez importer un fichier AC-3 en tant que fichier multimédia source dans un lot
Compressor. Compressor dispose d’un décodeur Dolby Digital intégré qu’il utilise pour
décoder les fichiers AC-3. Ce décodeur applique correctement tout réglage défini dans
la sous-fenêtre de l’encodeur Dolby Digital Professional, ce qui vous permet d’entendre
les effets même si vous ne disposez pas d’un décodeur Dolby Digital externe. Vous pouvez
aussi transcoder les fichiers AC-3 dans un autre format.
Remarque : les fichiers AC-3 avec son Surround sont sous-mixés en stéréo si aucun système
externe reproduisant le son Surround n’est connecté à l’ordinateur.
Conversion de fichiers audio stéréo au format Dolby Digital
Professional
Suivez ces étapes pour encoder un flux Dolby Digital Professional (AC-3) stéréo (2/0 D,G)
à partir d’un fichier multimédia source stéréo.
Pour encoder un flux AC-3
1 Ajoutez des fichiers audio sources dans la fenêtre Lot (pour des informations détaillées,
voir Importation de fichiers multimédias sources).
Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 1612 Enregistrez le lot en choisissant Fichier > Enregistrer sous (ou en appuyant sur
Commande + Maj + S), en saisissant un nom pour le lot, en sélectionnant un emplacement
et en cliquant sur Enregistrer.
3 Effectuez l’une des opérations suivantes pour appliquer le réglage Apple approprié de la
catégorie Dolby Digital Professional au fichier audio source :
• Choisissez Cible > Nouvelle cible avec réglage, sélectionnez un réglage et cliquez sur
Ajouter.
• Dans la fenêtre Lot, cliquez sur un espace vide de la tâche tout en maintenant la touche
ctrl enfoncée, choisissez « Nouvelle cible avec réglage » dans le menu contextuel,
sélectionnez un réglage, puis cliquez sur Ajouter.
• Faites glisser un réglage de l’onglet Réglages jusque sur la tâche du fichier audio source
dans la fenêtre Lot.
4 Au besoin, effectuez les réglages nécessaires dans la sous-fenêtre Encodage de la fenêtre
Inspecteur (pour en savoir plus, voir À propos de la sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital
Professional).
Remarque : Compressor associe les canaux de manière intelligente. Voici quelques
exemples :
• Si vous importez un fichier source stéréo et lui appliquez un mode de codage audio mono
1/0 (C) : le fichier est sousmixé.
• Si vous appliquez un mode de codage audio Surround au fichier stéréo : le canal gauche
est associé au canal frontal gauche (L) et le canal droit est associé au canal frontal droit
(R), les autres canaux restant en mode de codage silencieux.
• Si vous affectez un fichier stéréo au canal frontal gauche ou au canal Surround gauche
(arrière) : Compressor choisit le canal gauche et ignore le canal droit.
5 Cliquez sur Soumettre.
Pour des informations sur l’encodage des fichiers audio Surround, voir Affectation de
fichiers à des canaux audio Surround (méthode manuelle) et Affectation de fichiers à des
canaux audio Surround (méthodes automatiques). Voir aussi également la rubrique À
propos de la prévisualisation des réglages de l’encodeur pour en savoir plus sur la lecture
des fichiers audio AC-3 avec Compressor.
Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode
manuelle)
Suivez ces étapes pour utiliser la méthode manuelle d’affectation de fichiers audio
individuels aux canaux audio Surround.
162 Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital ProfessionalPour affecter manuellement des fichiers audio sources aux canaux d’un flux audio
Surround
1 Pour importer les fichiers audio sources, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Choisissez Tâche > Nouvelle tâche avec groupe de sons Surround (ou appuyez sur
Commande + ctrl + I).
• Cliquez sur le bouton Ajouter son Surround dans la fenêtre Lot.
• Cliquez dans le lot tout en maintenant la touche ctrl enfoncée et choisissez « Nouvelle
tâche avec groupe Surround » dans le menu contextuel.
L’interface d’affectation des canaux s’ouvre.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes pour affecter un fichier audio source à un canal
particulier.
• Faites glisser le fichier audio source du Finder vers l’icône d’un canal spécifique (par
exemple « G »).
• Cliquez sur l’icône d’un canal spécifique (par exemple « G ») et utilisez la zone de
dialogue Ouvrir afin de localiser le fichier audio source destiné à ce canal.
Le fichier est désormais affecté au canal « G » (avant gauche).
3 Répétez l’étape 2 pour chacun des fichiers audio sources que vous prévoyez d’inclure
dans le flux Surround.
Remarque : si vous créez des flux audio Surround Dolby Digital Professional (AC-3), vous
n’utiliserez pas immédiatement tous les canaux répertoriés dans le tableau. Consultez
Réglages de l’onglet Audio pour un schéma des modes de codage audio Dolby.
4 Une fois que vous avez terminé l’ajout des fichiers audio sources à l’interface d’affectation
des canaux, cliquez sur OK.
Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 163Le groupe de fichiers Surround apparaît comme un seul fichier multimédia source Surround
dans la fenêtre Lot, et les icônes s’affichent également dans la fenêtre Inspecteur.
Cliquez sur l’icône d’un
canal pour changer le
fichier qui lui est affecté.
Remarque : vous pouvez cliquer sur l’icône d’un canal dans la fenêtre Inspecteur pour
changer le fichier qui lui est affecté.
5 Effectuez l’une des opérations suivantes pour appliquer le réglage Apple approprié de la
catégorie Dolby Digital Professional au fichier audio source :
• Choisissez Cible > Nouvelle cible avec réglage, sélectionnez un réglage et cliquez sur
Ajouter.
• Dans la fenêtre Lot, cliquez sur un espace vide de la tâche tout en maintenant la touche
ctrl enfoncée, choisissez « Nouvelle cible avec réglage » dans le menu local, sélectionnez
un réglage, puis cliquez sur Ajouter.
• Faites glisser un réglage de l’onglet Réglages jusque sur la tâche du fichier audio source
dans la fenêtre Lot.
6 Apportez les ajustements nécessaires dans la fenêtre Inspecteur, puis cliquez sur Soumettre.
Compressor crée un flux audio Surround AC-3. Voir À propos de la prévisualisation des
réglages de l’encodeur pour en savoir plus sur la lecture des fichiers audio AC-3 avec
Compressor.
164 Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital ProfessionalVous pouvez également combiner des fichiers sources audio Surround avec un fichier
vidéo pour créer une seule tâche Compressor. Cela s’avère utile dans les processus de
postproduction audio où les hampes de pistes audio (sousmix) sont créées séparément
du montage final. Compressor traitera les fichiers vidéo et jusqu’à six fichiers audio comme
une seule ressource virtuelle. Cela vous permet, par exemple, d’appliquer l’action de tâche
Créer un DVD pour créer un DVD avec un son Surround 5.1 canaux.
Pour combiner un fichier vidéo avec des fichiers audio Surround, afin de créer un seul
fichier multimédia source
1 Suivez les étapes 1 à 5 cidessus pour affecter manuellement des fichiers audio sources
aux canaux d’un flux audio Surround.
2 Cliquez sur le bouton Ajouter une vidéo et utilisez la fenêtre Ouvrir pour choisir le fichier
vidéo.
Remarque : cette fonctionnalité ne prend en charge que les fichiers multimédias sources
QuickTime. Les séquences d’images ne sont pas prises en charge.
3 Apportez les ajustements nécessaires dans la fenêtre Inspecteur, puis cliquez sur Soumettre.
Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthodes
automatiques)
Compressor offre des techniques rationalisées d’affectation de canaux, qui vous permettent
de gagner du temps.
Pour afficher des fichiers à des canaux Surround avec des codes d’identificateur de
canal
1 Ajoutez le code d’identificateur du canal Surround cible au nom de chaque fichier audio
source. (Voir ci-dessous la liste des codes d’identificateur de canal appropriés).
• -G : canal avant gauche
• -D : canal avant droit
• -C : canal avant central
• -Gs : canal Surround gauche
• -Ds : canal Surround droit
• -S : canal Surround central
• -LFE : canal basse fréquence (subwoofer, LFE)
Par exemple, pour affecter un fichier AIFF au canal Surround gauche, renommez le fichier
comme suit : nomdefichier-Gs.aiff (où nomdefichier est le nom de votre fichier).
Remarque : il se peut que Mac OS X ajoute une extension de fichier telle que .aiff. Cela
n’interfère pas avec la méthode d’affectation de ce canal.
Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 165Cette procédure ne fonctionne que lorsque vous glissez-déposez des fichiers dans la
fenêtre Lot. Si vous faites glisser les fichiers sur l’icône de l’application Compressor, il
apparaîtront en tant que fichiers sources distincts, chacun dans sa tâche.
Remarque : si vous créez des flux audio Surround Dolby Digital Professional (AC-3), vous
n’utiliserez pas immédiatement tous les canaux répertoriés dans le tableau. Consultez
Réglages de l’onglet Audio pour un schéma des modes de codage audio Dolby.
2 Faites glisser vers la fenêtre Lot les fichiers audio sources renommés.
Si les conditions suivantes sont réunies, Compressor réduit automatiquement le groupe
entier de fichiers en ce qui apparaît comme un fichier multimédia source Surround unique
dans la fenêtre Lot :
• Les fichiers du groupe doivent être nommés correctement (Voir la liste des codes
d’identificateur de canal ci-dessus).
• Le nombre total de fichiers du groupe doit être inférieur à sept.
Les fichiers audio affectés à chaque canal sont affichés dans la fenêtre Inspecteur.
Cliquez sur l’icône d’un
canal pour changer le
fichier qui lui est affecté.
Remarque : vous pouvez cliquer sur l’icône d’un canal dans la fenêtre Inspecteur pour
changer le fichier qui lui est affecté.
3 Effectuez l’une des opérations suivantes pour appliquer le réglage Apple approprié de la
catégorie Dolby Digital Professional à la tâche du fichier audio source :
• Choisissez Cible > Nouvelle cible avec réglage, sélectionnez un réglage et cliquez sur
Ajouter.
166 Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional• Dans la fenêtre Lot, cliquez sur un espace vide de la tâche tout en maintenant la touche
ctrl enfoncée, choisissez « Nouvelle cible avec réglage » dans le menu contextuel,
sélectionnez un réglage, puis cliquez sur Ajouter.
• Faites glisser un réglage de l’onglet Réglages jusque sur la tâche du fichier audio source
dans la fenêtre Lot.
4 Apportez les ajustements nécessaires dans la fenêtre Inspecteur, puis cliquez sur Soumettre.
Compressor crée un flux audio Surround AC-3. Voir À propos de la prévisualisation des
réglages de l’encodeur pour en savoir plus sur la lecture des fichiers audio AC-3 avec
Compressor.
Affectation de fichiers à des canaux audio Surround à l’aide de
droplets
Vous pouvez rationaliser davantage le processus d’affectation des canaux en encapsulant
dans un droplet la méthode « automatique » décrite ci-dessus.
Pour en savoir plus sur les droplets, reportez-vous à la section Utilisation de droplets.
Options de mixage spatial
Cette section contient des perspectives et suggestions supplémentaires pour l’utilisation
des canaux dans un programme Dolby Digital Professional.
Utilisation du canal central
Dans un système multicanal, il existe trois moyens de centrer une image audio.
• Créer un « centre fantôme » (mixer le son à gauche et à droite de façon équilibrée, comme
pour la stéréo). : cette méthode est couramment utilisée, mais elle suppose que l’auditeur
soit assis juste entre les haut-parleurs (ce qui est impossible dans une voiture et pas
toujours le cas dans une maison). Le timbre du son n’est pas le même qu’en provenance
d’un haut-parleur direct, en raison des effets d’annulation croisée.
• Utiliser le canal central seul : il en résulte une image centrale stable pour les auditeurs,
quelle que soit leur position. Pour éviter que l’audio ne soit trop nette ou trop étriquée,
sa réverbération peut être étalée sur les canaux de gauche et de droite.
Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 167• Utiliser les trois canaux frontaux de manière égale ou dans des proportions différentes : cette
méthode permet davantage de contrôle de la plage de largeur et de profondeur spatiale.
Le centre fantôme peut être renforcé par des signaux supplémentaires dans le canal
central, opération qui peut être améliorée par l’étalement des signaux dans la paire
gauche/droite. Cette méthode présente toutefois un inconvénient : le son issu des trois
haut-parleurs peut ne pas être fluide ou ne pas parvenir à l’auditeur en même temps,
ce qui entraîne un filtrage en peigne, des variations de tonalité ou autres irrégularités.
Pour pallier ces problèmes, des signaux supplémentaires peuvent d’abord être traités
pour en changer le caractère spatial, le timbre ou l’intensité par rapport au signal central
principal.
Utilisation de canaux Surround
De subtils effets Surround permettent d’améliorer de façon notoire la sensation de
profondeur pour l’auditeur, par rapport à la stéréo conventionnelle. La musique populaire
tire souvent parti de l’utilisation créative du son Surround. N’en abusez pas toutefois. Le
principe de l’industrie cinématographique (ne pas utiliser les effets Surround comme
distraction par rapport à l’histoire) s’applique également au monde de la musique.
Limitations du canal LFE
Le canal LFE (basse fréquence) est un signal distinct avec une plage de fréquences limitée ;
il est créé par l’ingénieur de mixage et diffusé en plus des canaux principaux dans le
mixage. Un filtre « anti-repliement » à 120 Hz dans l’encodeur Dolby Digital Professional
limite son utilisation aux deux octaves audibles inférieures. Dolby recommande de limiter
le signal à 80 Hz lors du mixage de votre son.
Dans la plupart des productions musicales (à quelques exceptions près, notamment les
fameux coups de canon dans l’ouverture 1812 de Tchaikovsky), le canal LFE n’est pas
nécessaire. Le signal LFE est également ignoré dans le processus de sous-mixage Dolby
Digital Professional, de sorte que les signaux de basse intense ne provoquent pas de
dégâts sur les petits systèmes stéréo. Prenez soin de ne pas inclure dans le canal LFE des
informations vitales qui seraient manquantes lors d’une lecture mono, stéréo ou Pro Logic.
Étant donné que le canal LFE est distinct des autres canaux, sa capacité à fusionner avec
les fréquences plus élevées peut être modifiée par les filtres utilisés pour générer le signal
LFE. Pour garantir un signal audio cohérent, conservez le signal entier dans les canaux
principaux.
Évitez de créer un canal LFE pour les documents créés à l’origine sans ce canal. Les cinq
canaux principaux du format Dolby Digital Professional sont tous complets et le canal
LFE n’accroît pas la réponse en fréquence. Les décodeurs Dolby Digital Professional
permettent une gestion des basses en dirigeant les fréquences faibles vers un caisson de
sous-basses ou d’autres haut-parleurs adaptés. Une piste LFE peut gêner la gestion des
basses.
168 Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital ProfessionalAdaptation de la lecture stéréo
Malgré la popularité des systèmes 5.1, il est conseillé de toujours effectuer une
reproduction stéréo. Vous pouvez procéder de trois façons différentes :
• Préparez un nouveau mixage stéréo à partir des éléments multipistes d’origine (à l’aide
des sessions de mixage stéréo standard).
• Préparez un sous-mixage ajusté en studio à partir du mixage multicanal. Cette méthode
tire parti du travail de mixage de la version 5.1. Elle reste flexible dans les proportions
exactes de chaque canal représenté dans le mixage stéréo final.
• Laissez le décodeur générer un sous-mixage stéréo, à partir des formules prédéfinies
du décodeur. Les options de sous-mixage et les effets de contrôle de plage dynamique
peuvent être prévisualisés et ajustés dans le studio de production, et une plage
d’ajustements est possible.
Vérifiez toujours le mixage sur un système audio bas de gamme afin d’évaluer sa qualité
sur les systèmes de lecture les plus modestes.
Remarque : pour en savoir plus sur Dolby Digital Professional, voir les questions fréquentes
sur le site web de Dolby Laboratories Inc. à l’adresse http://www.dolby.com.
Chapitre 12 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 169Compressor permet de créer des fichiers H.264 compatibles avec iTunes. Ces fichiers
peuvent être lus dans iTunes sur un iPhone, un iPad, un iPod ou Apple TV.
L’efficacité de l’encodeur H.264 le rend particulièrement approprié pour la création de
fichiers multimédias destinés à être utilisés avec iTunes et les appareils qui y sont associés.
Compressor comprend des réglages prédéfinis qui, grâce à la sous-fenêtre Encodeur
H.264 pour appareils Apple, facilitent la création de fichiers de média compatibles.
Pour en savoir plus sur la création de fichiers H.264 en vue d’une utilisation dans un autre
contexte que la création de DVD (la vidéo web par exemple), consultez Création de fichiers
de sortie QuickTime.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils Apple (p 172)
• Marqueurs de chapitre et de podcast pour les appareils Apple (p 175)
• Proportions pour les appareils Apple (p 176)
• Flux de production H.264 pour appareils Apple (p 177)
• Configuration des réglages pour fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple (p 177)
171
Création de fichiers de sortie H.264
pour appareils Apple 13À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils
Apple
Cette section comprend des informations détaillées sur les éléments de la sous-fenêtre
Encodeur H.264 pour appareils Apple de la fenêtre Inspecteur. Vous devez définir vos
réglages H.264 à l’aide de cette sous-fenêtre, soit en modifiant un réglage existant, soit
en créant un nouveau réglage dans l’onglet Réglages.
Définissez vos réglages H.264 pour appareils Apple à l’aide des contrôles décrits ci-après,
soit en dupliquant puis en modifiant un réglage existant, soit en créant un nouveau
réglage dans l’onglet Réglages de la fenêtre Réglages. La sous-fenêtre « Encodeur H.264
pour appareils Apple » contient les éléments suivants.
• Extension : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier H.264 pour
appareils Apple (.m4v) une fois le format de sortie H.264 pour appareils Apple
sélectionné dans le menu local Format du fichier ou dans le menu local (+) de l’onglet
Réglages qui se trouve dans la fenêtre Réglages.
• Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Elle n’est utile que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué
et l’encodage multipasse. Pour plus d’informations, consultez Segmentation des tâches
et encodage multipasse ou à 2 passes.
• Appareil : ce menu local vous permet de sélectionner l’une les options d’appareil
suivantes :
• iPod/iPhone (VGA) : cette option permet de créer des fichiers de sortie vidéo d’une
largeur d’image de 640 pixels.
• iPod/iPhone (anamorphosé) : cette option permet de créer des fichiers de sortie vidéo
d’une largeur d’image de 640 pixels (anamorphosés).
172 Chapitre 13 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple• iPod/iPhone (QVGA) : cette option permet de créer des fichiers de sortie vidéo d’une
largeur d’image de 320 pixels.
• Apple TV SD : cette option permet de créer des fichiers vidéo de sortie d’une largeur
d’image de 640 pixels avec une plage de débit supérieure à celle de l’option
iPod/iPhone 640 (VGA).
• Apple TV SD (anamorphosé) : cette option permet de créer des fichiers de sortie vidéo
d’une largeur d’image de 720 pixels (anamorphosés).
• Apple TV HD : cette option permet de créer des fichiers de sortie vidéo d’une largeur
d’image de 1 280 pixels, sauf lorsque les proportions sont définies sur 4/3. Dans ce
cas, les fichiers de sortie vidéo ont une résolution d’image de 960 x 720 pixels
(anamorphosés) pour des fréquences d’images supérieures à 24 ips et 1280 x 720
pixels (carrés) pour des fréquences d’images inférieures.
• Apple TV 3e génération : cette option, disponible pour l’Apple TV et l’iPad de 3e
génération, créé des fichiers de sortie vidéo avec une bordure de 1080 pixels de
large.
• iPhone (Local/WiFi) : cette option permet de créer des fichiers de sortie vidéo d’une
largeur d’image de 480 pixels.
• iPhone (téléphone) : cette option permet de créer des fichiers de sortie vidéo d’une
largeur d’image de 176 pixels.
• iPad/iPhone avec affichage Retina : cette option permet de créer des fichiers de sortie
vidéo d’une largeur d’image de 1280 pixels.
• Proportions : utilisez ce menu local pour choisir la taille de pixel exacte du fichier de
données de sortie. Les options disponibles dépendent de l’option d’appareil
sélectionnée. Consultez la section Proportions pour les appareils Apple pour obtenir
plus d’informations.
Le réglage Proportions dispose également d’un bouton Automatique. Si vous cliquez
sur ce bouton, l’encodeur choisit les proportions qui correspondent au fichier vidéo
source.
Important : le mode automatique du réglage Proportions est capable de choisir parmi
une grande variété de valeurs pour mieux correspondre à la vidéo source (avec les
valeurs déterminées et affichées lorsque ce format de sortie est appliqué à un fichier
multimédia source). Pour les meilleurs résultats, il est recommandé d’utiliser le mode
automatique pour le réglage Proportions.
Bouton Automatique
des proportions
Chapitre 13 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple 173Remarque : par défaut, la fonctionnalité Contrôles d’images est réglée sur
« Automatique ». Le contrôle de resynchronisation des contrôles d’images n’est activé
que si le fichier source est entrelacé.
• Fréquence d’images : utilisez ce menu local pour choisir une option parmi les options
répertoriées ci-dessous.
Le réglage Fréquence d’images dispose également d’un bouton Automatique. Si vous
cliquez sur ce bouton, l’encodeur choisit la fréquence d’images qui correspond au
fichier vidéo source.
Bouton Automatique de
la fréquence d’images
• 29.97 : utilisé pour la vidéo NTSC
• 25 : utilisé pour la vidéo PAL
• 24 : utilisé pour la vidéo PAL
• 23.98 : utilisé pour la vidéo NTSC
• 15 : utilisé pour la vidéo diffusée sur le web
• Débit : utilisez ce curseur pour choisir le débit à utiliser pour la vidéo de sortie ou
saisissez une valeur dans le champ de texte. Les plages disponibles dépendent du
réglage Appareil. Le réglage à choisir dépend de l’utilisation que vous souhaitez faire
du fichier de sortie. Les débits élevés donnent des images de meilleure qualité, mais
les fichiers de sortie sont plus volumineux.
• Audio : utilisez ce menu local pour choisir une option parmi les quatre options de débit
audio répertoriées ci-dessous.
• Aucun : cette option permet d’exclure l’audio du fichier multimédia de sortie.
• 24 Kbps : crée un bitstream audio à 24 Kbps pour l’option d’appareil iPhone
(téléphone).
• 128 Kbps : crée un bitstream audio à 128 Kbps.
174 Chapitre 13 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple• 256 Kbps : crée un bitstream audio à 256 Kbps.
• Synchronisation des images : Également appelée intervalle entre les images clés, la valeur
Synchronisation des images représente la fréquence d’insertion d’images clés dans le
flux H.264. Plus cette valeur est faible, plus la vidéo peut être manipulée (par défilement)
de manière fluide durant la lecture (les images clés sont plus fréquentes). Plus cette
valeur est élevée, plus la compression est efficace (les images clés sont moins
fréquentes). La plage disponible va de 2 à 10 secondes ; la valeur par défaut est de
5 secondes.
Le réglage Synchronisation des images dispose également d’une case Automatique.
Si vous sélectionnez cette case, l’encodeur choisit une fréquence de synchronisation
des images appropriée pour le fichier vidéo source.
• Multipasse : semblable à l’encodage MPEG-2 à deux passes, l’encodage multipasse offre
la meilleure qualité possible. Si vous souhaitez un encodage plus rapide (passe unique),
désélectionnez cette case.
Remarque : si vous utilisez aussi le traitement distribué, il peut être également utile de
désactiver la segmentation des tâches Pour plus d’informations, consultez Segmentation
des tâches et encodage multipasse ou à 2 passes.
• Inclure Dolby 5.1 : sélectionnez cette case pour ajouter une piste audio Surround Dolby
Digital Professional 5.1, en plus de la piste audio standard AAC, à la séquence de sortie.
Cette fonction a été imaginée pour la création de fichiers de sortie à partir de fichiers
sources comprenant un son Surround. La piste audio Dolby Digital Professional est
reproduite par l’Apple TV uniquement lorsque celui-ci est connecté à un système
possédant un décodeur Dolby Digital. Si ce n’est pas le cas, la piste audio AAC est
reproduite.
Remarque : si vous sélectionnez la case Inclure Dolby 5.1, une piste audio Surround
Dolby Digital Professional 5.1 est créée, mais uniquement si l’audio source comprend
un son Surround 5.1. Si l’audio source ne comprend que du son stéréo, la piste audio
Surround Dolby Digital Professional 5.1 ne comprend que deux canaux audio réels.
Marqueurs de chapitre et de podcast pour les appareils Apple
Les marqueurs de chapitre créés dans Final Cut Pro sont transférés dans d’autres fichiers
de sortie reconnaissables par QuickTime Player, iTunes (fichiers .m4v) et Final Cut Pro.
Chapitre 13 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple 175Vous pouvez aussi ajouter des marqueurs de podcast au fichier de sortie. Les marqueurs
de podcast sont similaires aux marqueurs de chapitre (il est possible de leur affecter une
URL et une illustration), mais il n’est pas possible d’y accéder directement avec le
visualiseur. Ils sont destinés à fournir une fonction de diaporama à des podcasts audio.
Pour en savoir plus sur l’ajout de marqueurs de chapitre et de podcast, consultez Utilisation
de marqueurs et d’affiches.
Proportions pour les appareils Apple
L’option que vous choisissez dans le menu local Appareil détermine la largeur du fichier
encodé. Celle que vous sélectionnez dans le menu local Proportions détermine sa hauteur.
Compressor redimensionne verticalement la vidéo source pour qu’elle soit adaptée à la
hauteur. Cela signifie que la vidéo source doit être anamorphosée (les objets semblent
étirés verticalement) en prévision d’un redimensionnement destiné à l’adapter aux
proportions souhaitées. Si une vidéo qui n’est pas anamorphosée est réglée sur des
proportions autres que ses proportions d’origine, l’image du fichier encodé apparaît
déformée à l’écran.
Important : si votre vidéo source est au format Letterbox, utilisez les proportions qui
correspondent à l’intégralité de l’image vidéo, bandes noires comprises, sinon vous
obtiendrez des fichiers de sortie déformés. Vous pouvez éliminer les bandes du format
Letterbox à l’aide de la fonction de rognage automatique. Consultez la section Ajout de
réglages de géométrie pour obtenir plus d’informations.
Pour chaque option d’appareil, le menu local Proportions vous propose les options
suivantes :
• 4/3
• 16/9
• 1,85:1
• 2,35:1
Chaque option donne une hauteur différente pour le fichier multimédia de sortie. Par
exemple, avec le réglage iPod/iPhone (VGA), l’option 4/3 donne un fichier de 640 x 480,
tandis que l’option 16/9 génère un fichier 640 x 360.
Si le fichier de média source est un fichier NTSC DV ou HDV et que vous n’êtes pas sûr
de ses proportions, cliquez sur le bouton Automatique. Cette option analyse les proportions
du fichier multimédia source pour déterminer les proportions idéales en pixels.
176 Chapitre 13 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils AppleFlux de production H.264 pour appareils Apple
L’efficacité et la qualité du format H.264 offrent un certain nombre d’options aux créateurs
de vidéo pour iPhone, iPad, iPod et Apple TV. Lorsque vous sélectionnez une option
Appareil, vous pouvez choisir soit de créer un fichier compatible avec une grande variété
d’appareils, soit de créer un fichier destiné à un appareil spécifique tel qu’un iPhone 4.
• Les options compatibles avec tous les appareils ne produisent pas de résultats optimaux
sur des appareils à résolution plus élevée comme l’Apple TV. Ces options produisent
toutefois des fichiers plus petits, ce qui peut constituer un avantage.
• Les options destinées à des appareils à résolution plus élevée produisent de bons
résultats sur ces appareils, mais génèrent des fichiers plus volumineux.
Vous devez choisir des options qui tiennent compte des appareils sur lesquels la vidéo
sera lue et du format de livraison du fichier.
Vous pouvez également affecter une affiche de plan à l’aide de la fenêtre Aperçu. Pour
en savoir plus, consultez Réglage de l’affiche. Vous pouvez, si nécessaire, changer d’affiche
dans iTunes. Pour en savoir plus, consultez l’aide iTunes.
Configuration des réglages pour fichiers de sortie H.264 pour
appareils Apple
Assurez-vous que vos fichiers de sortie sont compatibles avec l’iPhone, l’iPad, l’iPod ou
l’Apple TV. Nous vous recommandons d’utiliser les réglages standard fournis dans le
groupe Appareils Apple de l’onglet Réglages. Pour en savoir plus sur l’application des
réglages, voir Affectation de réglages à des fichiers multimédias sources.
Il est également possible de créer des fichiers multimédias compatibles avec l’iPhone,
l’iPad, l’iPod et l’Apple TV à l’aide de modèles de lot. Pour en savoir plus, consultez Flux
de travaux Compressor rapide et facile : méthode Modèle de lot.
Remarque : les fichiers créés à l’aide des réglages iPod ou iPhone peuvent être lus sur
Apple TV.
Chapitre 13 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple 177Compressor permet de créer facilement des réglages H.264 spécialement configurés pour
disque Blu-ray ou AVCHD.
Blu-ray, également appelé disque Blu-ray(BD), est un format qui a été développé pour
permettre l’enregistrement, la réécriture et la lecture de vidéos haute définition (HD). Le
format offre cinq fois plus de capacité de stockage qu’un DVD traditionnel : il peut atteindre
jusqu’à 25 Go sur un disque simple couche et 50 Go sur un double couche.
Un disque AVCHD peut être considéré comme un disque HD plus simple gravé à l’aide
du rayon laser rouge. Le disque obtenu peut être lu avec les lecteurs Blu-ray compatibles
avec le format AVCHD.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour disque Blu-ray (p 180)
• Flux de production H.264 pour disque optique (p 182)
179
Création de fichiers H.264 pour
disque Blu-ray 14À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour disque Blu-ray
Cette rubrique comprend des informations détaillées sur les éléments de la sous-fenêtre
Encodeur H.264 pour disque Blu-ray de la fenêtre Inspecteur. Vous devez définir vos
réglages H.264 pour disque Blu-ray à l’aide de cette sous-fenêtre, soit en modifiant un
réglage existant, soit en créant un nouveau réglage dans l’onglet Réglages.
La sous-fenêtre H.264 pour disque Blu-ray contient les éléments suivants.
• Champ Extension de fichier : affiche automatiquement l’extension de fichier H.264 pour
Blu-ray (.264) une fois le format de sortie H.264 pour Blu-ray sélectionné dans le menu
local Format du fichier ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages.
• Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Elle n’est utile que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué
et l’encodage multipasse. Pour plus d’informations, consultez Segmentation des tâches
et encodage multipasse ou à 2 passes.
• Utilisation de flux : ce menu local permet de choisir l’utilisation du flux H.264. Compressor
modifie les réglages de la plage de débits en fonction de l’utilisation que vous choisissez
dans ce menu local.
• Blu-ray : ce menu local permet de choisir l’utilisation du flux pour créer un disque
Blu-ray standard.
• AVCHD : choisissez cette option pour utiliser le flux et l’action « Créer un disque
Blu-ray » afin de graver un disque AVCHD à l’aide d’un graveur standard. Le disque
obtenu peut être lu avec les lecteurs Blu-ray compatibles avec le format AVCHD. Les
disques AVCHD peuvent contenir 50 marqueurs de chapitre maximum.
• Format vidéo : dans ce menu local, choisissez l’une des quatre options répertoriées
ci-dessous. Toutes sont des formats progressifs HD.
180 Chapitre 14 Création de fichiers H.264 pour disque Blu-rayLe réglage Format vidéo dispose également d’un bouton Automatique. Si vous cliquez
sur ce bouton, l’encodeur choisit le format vidéo qui correspond au fichier vidéo source.
Bouton Automatique
du format vidéo
• NTSC : ce format, également appelé 480p, utilise une taille d’image de 720 x 480 et
un format 16x9 anamorphosé à 59.94 ips.
• PAL : ce format, également appelé 576p, utilise une taille d’image de 720 x 576 et
un format 16x9 anamorphosé à 50 ips.
• 720p : ce format utilise une taille d’image de 1280 x 720 et un format 16x9 à 59.94 ips
pour le NTSC ou 50 ips pour le PAL.
• 1 920 x 1 080 : ce format, également appelé 1080p, utilise une taille d’image de
1920 x 1080 et un format 16x9 à 59.94 ips pour le NTSC ou 50 ips pour le PAL.
• Fréquence d’images : dans ce menu local, choisissez une fréquence d’images pour le
fichier multimédia de sortie.
Le réglage Fréquence d’images dispose également d’un bouton Automatique. Si vous
cliquez sur ce bouton, l’encodeur choisit la fréquence d’images qui correspond au
fichier vidéo source.
La fréquence dimages
Bouton Automatique
Remarque : si vous choisissez un format dans le menu Format vidéo, le menu Fréquence
d’images est rempli automatiquement.
choisissez l’une des options suivantes dans ce menu local :
• 23.98 : utilisé pour la vidéo NTSC
• 25 : utilisé pour la vidéo PAL
• 29.97 : utilisé pour la vidéo NTSC
• 50 : utilisé pour la vidéo PAL
• 59.94 : utilisé pour la vidéo NTSC
Chapitre 14 Création de fichiers H.264 pour disque Blu-ray 181• Curseur et champ Débit moyen : choisissez le débit moyen à utiliser pour la vidéo de
sortie à l’aide du curseur ou saisissez directement une valeur. Bien que la plage
disponible soit comprise entre 5 Mbps et 30 Mbps pour un disque Blu-ray, les débits
vidéo se situent habituellement entre 7 Mbps et 15 Mbps pour le format H.264 et
dépendent du nombre de bits de votre DVD et de la nature de vos fichiers multimédias
sources. La plage disponible est comprise entre 5 Mbps et 15 Mbps pour les disques
AVCHD.
• Curseur et champ Débit maximum : choisissez un débit maximal entre 6 Mbps et 35 Mbps
pour un disque Blu-ray, ou entre 6 Mbps et 17 Mbps pour un disque AVCHD. Vous
pouvez aussi saisir tout nombre situé entre ces deux valeurs dans le champ à proximité
du curseur. Le réglage Débit maximum ne peut pas être placé sur une valeur inférieure
au réglage Débit moyen. En règle générale, introduisez un débit maximum supérieur
d’au moins 1 Mbps au débit moyen, afin d’autoriser les variations de débit et d’être
ainsi conforme aux objectifs de qualité constante.
• Multipasse : cochez cette case pour activer l’encodage multipasse. semblable à
l’encodage MPEG-2 à deux passes, l’encodage multipasse offre la meilleure qualité
possible. Pour des encodages plus rapides (une seule passe), désactivez cette case.
Consultez Segmentation des tâches et encodage multipasse ou à 2 passes pour obtenir
plus d’informations.
Flux de production H.264 pour disque optique
L’efficacité et la qualité du format H.264 offrent un certain nombre d’options aux créateurs
de disques optiques :
• Les résolutions vidéo prises en charge par les DVD SD le sont également par les disques
Blu-ray. Cela signifie qu’un disque Blu-ray peut utiliser un fichier de résolution vidéo
HD pour son contenu principal, comme un long métrage, puis utiliser des fichiers de
résolution vidéo SD pour les fonctionnalités supplémentaires, telles que les génériques
et les documentaires sur les tournages.
• L’action de tâche « Créer un disque Blu-ray » permet de créer un disque AVCHD à l’aide
d’un support laser rouge. Un disque AVCHD permet de lire de la vidéo H.264 sur un
lecteur Blu-ray compatible avec le format AVCHD. Consultez la section Créer un disque
Blu-ray pour obtenir plus d’informations.
182 Chapitre 14 Création de fichiers H.264 pour disque Blu-ray• Étant donné que le format H.264 est capable de produire une vidéo haute définition
(HD) à un débit de définition standard (SD), vous pouvez enregistrer plus de contenu
HD sur un disque DVD-5 ordinaire que sur un disque AVCHD.
Chapitre 14 Création de fichiers H.264 pour disque Blu-ray 183Vous pouvez utiliser Compressor pour produire une séquence d’images destinée aux
applications de compositing. Ce chapitre décrit les séquences d’images que Compressor
peut produire à partir de vos fichiers multimédias sources.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Création de fichiers de sortie de séquence d’images (p 185)
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images (p 186)
• Définition de réglages de séquence d’images (p 187)
Création de fichiers de sortie de séquence d’images
Le format de sortie Séquence d’images produit un ensemble de fichiers d’images fixes
représentant les images vidéo sources. Utilisez cet encodeur pour convertir un plan vidéo
en une séquence d’images à utiliser avec des applications de composition incompatibles
avec QuickTime.
Remarque : Compressor permet également d’importer une séquence d’images. Pour plus
d’informations, consultez la section Ajout de séquences d’images à des lots.
Le format de sortie Séquence d’images prend en charge les formats d’images fixes suivants.
• TIFF (Tagged Image File Format) : le format d’image fixe TIFF est l’un des plus courants
et des plus flexibles et a été développé pour créer un format de fichier standard pour
le stockage et l’échange d’images numériques utilisés dans la publication assistée par
ordinateur. Il est compatible avec une grande variété d’applications de composition et
de traitement d’images.
• TARGA (Truevision Advanced Raster Graphics Adapter) : le format TARGA, souvent appelé
simplement TGA, est un format d’infographie par quadrillage principalement utilisé par
les applications d’animation et vidéo.
• DPX : norme ANSI/SMPTE (268M-2003), le format DPX est utilisé couramment pour les
échanges et les effets visuels numériques.
185
Création de fichiers de séquence
d’images 15• IFF (Interchange File Format) : le format IFF est un format de fichier générique développé
en 1985 par la société Electronic Arts (en collaboration avec Commodore-Amiga) pour
faciliter les transferts de données entre logiciels de sociétés différentes.
• JPEG (Joint Photographic Experts Group) : JPEG est un format d’image fixe courant.
• OpenEXR : le format OpenEXR est un format de fichier d’image HDR (pour « high
dynamic-range », large gamme dynamique) développé par Industrial Light & Magic
pour les applications d’imagerie informatique.
À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images
Cette section comporte des informations détaillées sur les éléments de la sous-fenêtre
« Encodeur de séquence d’images » de la fenêtre Inspecteur. Vous devez définir vos
réglages de séquence d’images à l’aide de cette sous-fenêtre, soit en modifiant un réglage
existant, soit en créant un nouveau réglage dans l’onglet Réglages.
Choisissez Séquence d’images.
Choisissez un type d’image.
Choisissez une fréquence
d’images dans le menu
local Fréquence d’images
ou cliquez sur le bouton
Automatique.
La sous-fenêtre « Encodeur de séquence d’images » contient les éléments suivants pour
vous aider à créer des fichiers de sortie de séquence d’images :
• Extension de fichier : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier TIFF (.tiff)
une fois le format de sortie Séquence d’images sélectionné dans le menu local Format
du fichier ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages. Ne modifiez pas ce champ.
Vous pouvez modifier le format de sortie à partir du menu local Type d’image. Ce champ
est mis à jour automatiquement en fonction de votre choix de format de sortie.
• Autoriser la segmentation des tâches : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Elle n’est utile que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué
et l’encodage multipasse. Pour plus d’informations, consultez Segmentation des tâches
et encodage multipasse ou à 2 passes.
186 Chapitre 15 Création de fichiers de séquence d’images• Type d’image : utilisez ce menu local pour choisir l’un des six types de séquence d’images
pour les données de sortie. Pour en savoir plus sur ces types de sortie, voir Création de
fichiers de sortie de séquence d’images.
• Fréquence d’images (images par seconde) : utilisez ce champ et le menu local pour saisir
la fréquence d’images à laquelle vous souhaitez que les images fixes soient créées. Plus
cette fréquence est élevée, plus le nombre d’images créées est important et plus le
fichier de sortie est gros. Par exemple, si vous choisissez 30 images par seconde,
Compressor crée 30 images pour chaque seconde de plan en cours de transcodage. Si
vous choisissez 8 images par seconde, Compressor ne crée que 8 images fixes par
seconde.
• Créer un répertoire de sortie unique : cochez cette case pour créer un dossier de stockage
des fichiers de sortie. Le nom attribué au dossier est celui du fichier multimédia et les
fichiers sont stockés dans ce dossier sous le nom image-nnn. Par exemple, si le nom
du fichier de sortie est test,, le chemin d’accès est destination/test/image-nnn.
Si vous ne cochez pas cette case, les fichiers sont stockés au niveau supérieur de votre
dossier de destination et nommés nom_fichier-nnn au lieu de image-nnn. N’oubliez pas
que même à un faible débit de 8 images par seconde, un grand nombre de fichiers est
créé lors du transcodage dans ce format de sortie ; la création d’un répertoire de sortie
s’avère donc être une bonne solution pour que vos fichiers restent organisés.
• Ajouter des zéros en tête des numéros d’image : cochez cette case pour ajouter des zéros
non significatifs aux numéros des images. Quand vous choisissez cette méthode, tous
les noms des fichiers TIFF comprennent plusieurs chiffres, comme image-000001 (ou
nom_de_fichier-000001 si ces fichiers ne sont pas stockés dans un répertoire de sortie
unique). Inversement, les fichiers TIFF adoptent des noms standard, tels que cadre-1
(ou nom_de_fichier-1 si ces fichiers ne sont pas stockés dans un répertoire de sortie
unique).
• Mettre l’image à l’échelle pour conserver les proportions : n’affecte que les supports vidéos
qui n’utilisent pas des pixels carrés comme les formats NTSC et PAL et uniquement
lorsque vous modifiez la dimension d’image vidéo par inadvertance. Cochez cette case
pour mettre l’image des fichiers de sortie à l’échelle avec des pixels carrés et ainsi
conserver les proportions (ce qui augmente ou diminue le nombre de pixels horizontaux
et verticaux). Si vous ne cochez pas la case (réglage par défaut), les fichiers de sortie
utilisent les mêmes proportions pixel et conservent le nombre de pixels verticaux et
horizontaux de l’image d’origine.
Définition de réglages de séquence d’images
Utilisez le format de sortie Séquence d’images pour transcoder un plan vidéo en une
série d’images fixes.
Chapitre 15 Création de fichiers de séquence d’images 187Pour créer un réglage de séquence d’images
1 Dans l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Assurez-vous que le réglage correct est sélectionné.
• Créez un réglage en choisissant Séquence d’images dans le menu local Créer un réglage
(+).
2 Appliquez le réglage à une tâche dans la fenêtre Lot.
3 Assurez-vous que la séquence d’images ciblée résultante est sélectionnée.
4 Dans l’inspecteur, cliquez sur l’onglet Encodeur, puis choisissez Séquence d’images dans
le menu local Format de fichier.
La sous-fenêtre « Encodeur de séquence d’images » apparaît.
5 Utilisez le menu local Type d’image pour choisir l’un des types de séquence d’images
suivant pour les données de sortie. Pour en savoir plus sur ces types de sortie, voir Création
de fichiers de sortie de séquence d’images.
• tiff
• TARGA
• DPX
• IFF
• JPEG
• OpenEXR
6 Saisissez une valeur dans le champ Fréquence d’images (ips) ou choisissez une fréquence
d’images dans le menu local ou cliquez sur le bouton Automatique.
7 Cochez la case « Créer un répertoire de sortie unique » pour que vos fichiers de séquence
d’images soient stockés dans leur propre dossier à l’intérieur du dossier de destination.
8 Cochez la case « Ajouter des zéros en tête des numéros d’image » pour que les noms de
fichiers de sortie de séquence d’images soient au format 0000nn.
Important : Use FTP software to upload the image sequence to remote servers.
Comme tous les types d’images fixes nécessitent des pixels carrés (proportions pixel de
1), il se peut que Compressor modifie les dimensions en pixels d’une tâche de séquence
d’images. Pour afficher ou ajuster ces paramètres, sélectionnez la cible dans la fenêtre
Lot et cliquez sur l’onglet Géométrie de l’inspecteur. Si vous utilisez la séquence d’images
dans une application qui peut être réglée sur une taille et des proportions pixel spécifiques
(comme Motion), effectuez les modifications appropriées dans la sous fenêtre Géométrie
avant l’encodage.
Pour ajuster les proportions pixel d’une tâche de séquence d’images avant le
transcodage
1 Dans la fenêtre de lot, sélectionnez la séquence d’images ciblée.
188 Chapitre 15 Création de fichiers de séquence d’images2 Dans la sousfenêtre Géométrie de la fenêtre de l’inspecteur, utilisez le menu local
Dimension image pour choisir des dimensions de sortie appropriées (telles que 720 x 480,
1920 x 1080, etc.) pour la séquence d’images.
Le menu local Aspect des pixels devient actif.
3 Dans le menu local Aspect des pixels de la sousfenêtre Géométrie, choisissez des
proportions pixel appropriées pour votre séquence d’images.
Consultez la section À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images pour
plus d’informations sur la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images. Pour en savoir
plus sur la sousfenêtre Géométrie, consultez À propos de la sous-fenêtre Géométrie.
Remarque : vous pouvez consulter le contenu actuel de votre réglage dans la sous-fenêtre
Résumé de la fenêtre Inspecteur.
Chapitre 15 Création de fichiers de séquence d’images 189Compressor fournit les outils nécessaires pour créer des fichiers MP3 exceptionnels.
MP3 est un type d’encodage MPEG spécifique officiellement nommé MPEG audio layer 3.
MP3 utilise le codage audio perceptif et la compression psychoacoustique pour éliminer
toutes les informations superflues (et notamment les parties de signal sonore redondantes
et inutiles que l’oreille humaine ne peut de toute façon pas entendre). Le codage MP3
permet donc de réduire les données audio originales d’un CD (dont le débit de données
s’élève à 1411,2 kilobits par seconde de musique stéréo) d’un facteur de 12 (jusqu’à 112
– 128 Kbps) sans trop sacrifier la qualité sonore. Les partisans du format MP3 prétendent
que la qualité sonore n’est pas sacrifiée, toutefois les professionnels audio peuvent
entendre la différence sur des équipements de qualité.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Utilisations courantes du format MP3 (p 191)
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur MP3 (p 192)
• Processus de transcodage MP3 (p 194)
Utilisations courantes du format MP3
MP3 est une norme de fichiers audio compressés largement adoptée et qui peut être
utilisée de différentes manières, notamment pour la musique et les podcasts.
Musique
Presque tous les lecteurs de musique portables prennent en charge le format audio MP3.
En utilisant des débits plus élevés (256 Kbps, par exemple), vous pouvez créer un fichier
audio d’excellente qualité et de taille largement inférieure au format audio non compressé.
Vous pouvez également ajouter des métadonnées au fichier, afin de pouvoir afficher, lors
de l’ouverture du fichier multimédia source sur de nombreux lecteurs (y compris iTunes),
les informations courantes telles que le nom de l’artiste, de l’album, etc.
191
Création de fichiers de sortie MP3
16Podcasts
Le large éventail de débits pris en charge par le MP3 en font le format idéal pour diffuser
des podcasts de niveaux de qualité variés, permettant ainsi aux utilisateurs de choisir la
taille du fichier et le niveau de qualité qui leur convient.
Remarque : pour profiter du plus grand nombre d’options lors de la création de podcasts
audio améliorés, utilisez le format de sortie MPEG-4. Vous pouvez ajouter des marqueurs
de chapitre et de podcast contenant des URL et des illustrations au fichier de sortie.
Consultez la section Création de fichiers de sortie MPEG-4 pour obtenir plus d’informations.
À propos de la sous-fenêtre Encodeur MP3
Cette section contient des informations détaillées sur les différents réglages de la
sous-fenêtre Encodeur MP3 de la fenêtre Inspecteur. La configuration des réglages MP3
s’effectue par l’intermédiaire de ces réglages, soit en modifiant un réglage, soit en créant
un sous l’onglet Réglages.
La sous-fenêtre Encodeur MP3 contient les réglages suivants.
• Extension : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier MP3 (.mp3) une
fois le format de sortie MP3 sélectionné dans le menu local Format du fichier ou dans
le menu local (+) de l’onglet Réglages.
• Autoriser la segmentation des tâches : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Elle n’est utile que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué
et l’encodage multipasse. Pour plus d’informations, consultez Segmentation des tâches
et encodage multipasse ou à 2 passes.
192 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MP3• Menu local Débit stéréo : plus le nombre de kilobits par seconde (Kbps) en mono ou en
stéréo est élevé, plus la qualité des données audio est élevée et plus le fichier est
volumineux. Les débits les plus courants pour les fichiers MP3 stéréo se situent entre
128 Kbps et 192 Kbps. Les débits plus faibles sont plus adaptés aux fichiers sonores
contenant des enregistrements vocaux (plutôt que de la musique).
Voici quelques exemples de réglages et de leur utilisation :
• 32 Kbps : qualité de radio AM, réglage adapté à un discours de qualité moyenne
• 96 Kbps : qualité de radio FM, réglage adapté à un discours de haute qualité ou à de
la musique de qualité moyenne
• 128 Kbps : adapté à de la musique de bonne qualité
• 256 Kbps et 320 Kbps : adapté à de la musique proche de la qualité d’un CD
• Utiliser le Variable Bit Rate Encoding (VBR) : ce réglage fait varier le nombre de bits utilisés
pour stocker la musique en fonction de la complexité de celle-ci. Il permet de maintenir
la taille du fichier à un minimum.
• Menu local Fréquence d’échantillonnage : nombre de fois par seconde où les formes
d’onde de la musique sont capturées numériquement. Plus le taux d’échantillonnage
est important, meilleure est la qualité, mais plus le fichier est volumineux. Ne
sélectionnez pas un taux d’échantillonnage supérieur à celui utilisé à l’origine pour
stocker la musique, pour ne pas risquer de perdre de l’espace. Par exemple, la qualité
CD s’élève à 44,100 kHz ; il est donc inutile de sélectionner un taux d’échantillonnage
supérieur lorsque vous effectuez un encodage à partir d’un CD.
• Menu local Canaux : si vous ne disposez pas de haut-parleurs stéréo ou si vos fichiers
audio sont monophoniques, choisissez Mono (les fichiers mono sont près de deux fois
plus petits que les fichiers stéréo). Si vous envisagez d’écouter vos fichiers MP3 sur un
système stéréo, choisissez Stéréo.
• Stéréo joint : lorsque cette case est désactivée, vos fichiers MP3 contiennent une piste
pour le canal stéréo de droite et une piste pour le canal de gauche. Dans de nombreux
cas, les deux canaux contiennent des informations connexes. Lorsque la case Stéréo
jointe est cochée, un canal porte les informations qui sont identiques sur les deux
canaux, tandis que l’autre canal véhicule les informations uniques. À des débits inférieurs
ou égaux à 160 Kbps, cela peut améliorer la qualité sonore de vos données audio
converties.
• Réglages d’encodage avancés : sélectionnez cette option pour que Compressor analyse
vos réglages d’encodage et la source musicale, afin d’ajuster les réglages pour maximiser
la qualité.
• Filtrer les fréquences inférieures à 10 Hz : le filtrage des fréquences inaudibles permet de
générer des fichiers moins volumineux, plus efficaces et sans perte de qualité
perceptible.
Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MP3 193Processus de transcodage MP3
La manière d’utiliser Compressor pour transcoder vos données audio en fichiers MP3
dépend de l’utilisation que vous souhaitez en faire. Les étapes de base sont décrites
ci-dessous.
Étape 1 : Création d’un lot
Comme pour tout processus de transcodage, vous devez commencer par créer un lot.
Consultez Préparation de Compressor au transcodage à l’aide de réglages personnalisés
pour obtenir plus d’informations.
Étape 2 : Création de tâches avec les fichiers audio sources
Importez les fichiers audio source en les faisant glisser depuis le Finder jusque sur le lot
ou en choisissant Tâche > Nouvelle tâche avec fichier.
Étape 3 : Ajout d’annotations (si nécessaire)
Si vous avez l’intention de lire les fichiers MP3 à l’aide d’un appareil ou d’une application
telle qu’iTunes, vous pouvez ajouter diverses annotations, comme le nom de l’artiste, le
nom de l’album, le titre et d’autres, qui peuvent être lues et affichées. Pour en savoir plus,
consultez Onglet Informations supplémentaires.
Étape 4 : Ajout de cibles avec un réglage MP3 pour chacune des tâches
Chacune des tâches nécessite au moins une cible ; dans ce cas, les tâches ont besoin de
cibles avec un réglage MP3. S’il existe plusieurs tâches, il est plus facile de sélectionner
toutes les tâches, de choisir Édition > Tout sélectionner, puis Cible > « Nouvelle cible avec
réglage », afin d’appliquer le même réglage à toutes les tâches.
Étape 5 : Soumission du lot pour transcodage
Cliquez sur le bouton Soumettre pour lancer le processus de transcodage. Consultez la
section Soumission d’un lot pour obtenir plus d’informations.
194 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MP3Compressor fournit les outils dont vous avez besoin pour créer des fichiers transcodés
MPEG-1 exceptionnels.
MPEG-1 est une norme de compression internationale, développée par le groupe MPEG
(Motion Picture Experts Group). Elle permet de créer des fichiers vidéo de qualité VHS et
a été conçue pour prendre en charge la vidéo non entrelacée (progressive) de résolution
SIF (Standard Interface Format) en utilisant des débits relativement faibles (Compressor
prend en charge des débits allant de 0,5 Mbps à 2 Mbps. Elle permet également de créer
des séquences audio compressées à un ou deux canaux.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Utilisations courantes de MPEG-1 (p 195)
• Spécifications de la norme MPEG-1 (p 196)
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 (p 197)
• À propos de l’onglet Vidéo MPEG-1 (p 198)
• À propos de l’onglet Audio MPEG-1 (p 200)
• À propos des flux système et élémentaires (p 200)
• Flux de production de transcodage MPEG-1 (p 201)
• Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation Web (p 202)
• Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation DVD (p 204)
• Création du réglage Vidéo MPEG-1 pour DVD (p 204)
• Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD (p 206)
• Facultatif : création d’un groupe et d’une destination MPEG-1 pour DVD (p 208)
Utilisations courantes de MPEG-1
MPEG-1 est une norme largement adoptée, ce qui permet de nombreuses méthodes de
distribution, telles que les disques optiques, le web et les fichiers audio uniquement.
195
Création de fichiers de sortie
MPEG-1 17DVD, VCD et CD-ROM
MPEG-1 est le format de compression vidéo utilisé pour les titres vidéo CD (VCD) et est
compatible avec les titres DVD, car tous les lecteurs de DVD contiennent le matériel requis
pour lire les séquences MPEG-1. MPEG-1 est couramment utilisé pour la vidéo distribuée
sur CD-ROM. Son faible débit et la taille réduite de ses fichiers sont utiles lorsque vous
devez faire tenir plusieurs heures de vidéo sur un DVD et que vous n’avez pas besoin de
la qualité de diffusion fournie par le codage MPEG-2. Un DVD peut contenir un mélange
de vidéo aux formats MPEG-2 et MPEG-1.
Sur le Web
Dans la mesure où MPEG-1 a été l’une des premières normes de compression standard
largement répandue, elle présente l’avantage d’être compatible avec la plupart des
lecteurs. Cela rend cette norme intéressante pour une utilisation sur le Web où il est
nécessaire d’associer une compatibilité maximale avec une qualité relativement élevée.
Audio seulement
Vous pouvez utiliser la compression audio MPEG-1 couche 2 comme alternative à la
compression Dolby Digital Professional ou DTS. Bien qu’il n’y ait pas de réglage Apple
pour les fichiers MPEG-1 audio seulement, dans cette version de Compressor, vous pouvez
toujours en créer un au besoin. Pour plus d’informations, consultez la section Configuration
du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation DVD.
Spécifications de la norme MPEG-1
Compressor prend en charge toutes les spécifications MPEG-1 pour la taille d’image, la
fréquence d’images, l’encodage vidéo et l’encodage audio.
Tailles d’images et fréquences d’images MPEG-1
Compressor peut générer de la vidéo au débit maximal (25 ips et 29,97 ips pour les DVD ;
23,976 ips, 25 ips et 29,97 ips pour le Web) avec des résolutions SIF qui dépendent de
l’utilisation.
• Web : 320 x 240
• NTSC : 352 x 240
• PAL : 352 x 288
Bien que les résolutions NTSC et PAL correspondent à environ la moitié de la résolution
maximale de la vidéo MPEG-2, l’image remplit automatiquement la totalité de l’écran
lorsqu’elle est lue sur un lecteur de DVD.
196 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie MPEG-1Spécifications du format de fichier MPEG-1
L’encodage vidéo MPEG-1 utilise un processus très similaire à celui de l’encodage MPEG2 ;
il applique des termes et réglages identiques. Dans Compressor, les paramètres de codage
sont définis de la façon suivante.
• Mode de codage : une passe
• Structure GOP : ouverte
• Motif GOP : bBIBBP
• Longueur GOP : 15 images pour NTSC ; 12 images pour PAL
Ces paramètres sont fixes et s’appliquent à tous les fichiers de sortie vidéo MPEG-1 de
Compressor. Consultez la section Onglet GOP pour plus d’informations sur les paramètres
GOP (Group of Pictures). Consultez la section Onglet Qualité pour plus d’informations sur
le mode de codage.
Les fichiers de sortie MPEG-1 peuvent contenir des images I qui ont été forcées sur des
images spécifiques en plaçant des marqueurs de compression dessus. Ces marqueurs
peuvent être soit ajoutés au fichier source à l’aide de Final Cut Pro, soit ajoutés
manuellement dans la fenêtre Aperçu. Pour en savoir plus, consultez Utilisation de
marqueurs et d’affiches.
Le format MPEG-1 ne gère pas les marqueurs de chapitre nommés.
À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1
Cette section contient des informations détaillées sur les différents onglets de la
sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 de la fenêtre Inspecteur. Vous pouvez faire vos réglages
MPEG-1 avec ces onglets, en modifiant un réglage existant ou en créant un nouveau
réglage dans l’onglet Réglages.
Chapitre 17 Création de fichiers de sortie MPEG-1 197La sous-fenêtre de l’encodeur MPEG-1 s’ouvre avec l’onglet Vidéo par défaut en haut ;
elle contient les éléments suivants.
• Extension : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier MPEG-1 (.mpg)
lorsque le format de sortie MPEG-1 a été sélectionné dans le menu local Format de
fichier ou le menu local (+) de l’onglet Réglages. L’extension est remplacée par .m1v
(vidéo seulement) si l’onglet Audio est désactivé, ou par .m1a (audio seulement) si
l’onglet Vidéo est désactivé.
• Autoriser la segmentation des tâches : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Elle n’est utile que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué
et l’encodage multipasse. Pour plus d’informations, consultez la section Segmentation
des tâches et encodage multipasse ou à 2 passes.
• Onglets Vidéo et Audio : ces boutons ouvrent les onglets Vidéo et Audio décrits ci-après.
À propos de l’onglet Vidéo MPEG-1
Vous pouvez utiliser l’onglet Vidéo pour définir des réglages liés au format vidéo.
Bouton Automatique
• Case Activé : assurez-vous que cette case est cochée si vous souhaitez que le format
de sortie MPEG-1 tienne compte des réglages de l’onglet Vidéo.
• Menu local Fréquence d’image : choisissez la vitesse de défilement de la vidéo que vous
êtes en train de coder.
• Avec l’option Web : vous avez le choix entre : 23,976 ou 25 ips (vitesse PAL), 29,97 ips
(vitesse NTSC) et Automatique.
• Avec l’option DVD : vous avez le choix entre : 25 ips (vitesse PAL), 29,97 ips (vitesse
NTSC) et Automatique.
198 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie MPEG-1• Bouton Automatique : cliquez sur le bouton Automatique pour forcer l’encodeur à
déterminer la fréquence appropriée en choisissant celle qui est la plus proche de la
source.
Remarque : l’utilisation de l’option Automatique avec des vitesses de défilement source
non standard peut entraîner des vitesses de sortie qui ne correspondent pas à la vitesse
de défilement vidéo prévue. Par exemple, une vitesse de défilement source de 15 ips
avec l’option DVD entraîne la sélection automatique de 25 ips (PAL). Si vous prévoyez
d’utiliser la sortie sur un DVD NTSC, vous devez choisir 29,97 ips comme vitesse de
défilement.
• Boutons But : choisissez le but prévu pour les fichiers de sortie.
• Web : force la résolution sur 320 x 240, indépendamment de l’option Fréquence
d’images sélectionnée.
• DVD : permet à la fréquence sélectionnée de déterminer la résolution. Avec une
vitesse de défilement de 29,97 ips, la résolution est de 352 x 240. Avec une vitesse
de 25 ips, la résolution est de 352 x 288.
• Débit : utilisez ce curseur pour choisir le débit à utiliser pour la vidéo de sortie ou
saisissez une valeur directement dans le champ. La plage disponible étant comprise
entre 0,5 Mbps et 2,0 Mbps, la valeur à utiliser dépend de la façon dont la sortie doit
être utilisée. Les débits élevés donnent des images de meilleure qualité, mais les fichiers
de sortie sont plus volumineux.
• Pour les projets web : choisissez le meilleur compromis entre qualité de l’image, taille
du fichier et temps de téléchargement.
• Pour les projets VCD : le débit vidéo recommandé est de 1,15 Mbps, avec un débit de
flux système (vidéo et audio multiplexées dans le même fichier) inférieur à
1,3944 Mbps.
• Pour les projets DVD : le débit vidéo standard est de 1,15 Mbps, le maximum autorisé
étant de 1,856 Mbps.
Chapitre 17 Création de fichiers de sortie MPEG-1 199À propos de l’onglet Audio MPEG-1
Vous pouvez utiliser l’onglet Audio pour associer des réglages au format audio.
• Case Activé : assurez-vous que cette case est cochée si vous souhaitez que le format
de sortie MPEG-1 tienne compte des réglages de l’onglet Audio.
• Menu local Fréquence d’échantillonnage : choisissez la fréquence d’échantillonnage de
l’audio de sortie.
• 48 kHz : requis pour une utilisation sur des DVD.
• 44,1 kHz. : utilisé sur les CD audio. Il s’agit de la fréquence d’échantillonnage la plus
répandue.
• Boutons Canaux : choisissez Stéréo ou Mono pour le fichier multimédia de sortie.
• stéréo. : sélectionnez ce bouton pour créer un fichier audio stéréo.
• Mono : sélectionnez ce bouton pour créer un fichier audio mono.
• Menu local Débit : sélectionnez le débit à utiliser pour l’audio de sortie. Les options
proposées sont les suivantes : 64 kbps, 128 kbps, 192 kbps, 224 kbps et 384 kbps. Les
débits supérieurs offrent une meilleure qualité audio mais ils génèrent également des
fichiers de sortie plus volumineux.
Remarque : les valeurs 224 Kbps et 384 Kbps ne sont pas disponibles lorsque l’option
Canaux est réglée sur Mono.
À propos des flux système et élémentaires
Vous pouvez utiliser Compressor pour créer des flux MPEG-1 système ou élémentaires.
200 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie MPEG-1Flux système
Les flux système, également appelés flux multiplexés, associent les composants vidéo et
audio dans un même fichier. Ce type de flux est le plus souvent utilisé dans les applications
Web.
Compressor crée automatiquement un flux système lorsque vous activez les onglets Vidéo
et Audio dans le même réglage.
Flux élémentaires
Dans les flux élémentaires, des fichiers distincts sont utilisés pour les composants vidéo
et audio. Certaines applications requièrent des flux élémentaires.
Compressor crée automatiquement un flux élémentaire si seul l’onglet Vidéo ou Audio
est activé. Pour créer des flux élémentaires à partir de la vidéo et de l’audio, vous devez
utiliser deux réglages, un avec l’onglet Vidéo activé utilisant l’extension de fichier .m1v,
l’autre avec l’onglet Audio activé utilisant l’extension de fichier .m1a.
Flux de production de transcodage MPEG-1
Cette section vous propose des instructions de configuration de vos attributs MPEG-1
étape par étape, avant la création de fichiers de sortie MPEG-1 avec Compressor. Configurez
vos réglages MPEG-1 à partir de la sous-fenêtre Encodeur MPEG1, soit en modifiant un
réglage existant, soit en en créant un autre. Suivez les étapes ci-après pour effectuer les
réglages élémentaires du format de fichier de sortie MPEG-1.
Codage pour le Web
Utilisez les paramètres suivants lors du codage de flux système MPEG-1 pour le Web.
Onglet Vidéo :
• Vitesse : automatique
• Utilisation : Web
• Débit : le plus faible possible, tout en conservant une qualité d’image acceptable.
Onglet Audio :
• Taux d’échantillonnage : 44,1 kHz.
• Canaux : stéréo avec les sources à deux canaux, mono avec les sources à un seul canal
• Débit : le plus faible possible, tout en conservant une qualité audio acceptable ; utilisez
des débits plus élevés lors de l’encodage audio stéréo.
Codage pour un DVD
Utilisez les réglages suivants pour configurer deux réglages lorsque vous encodez des
flux élémentaires MPEG-1 destinés à la création de DVD.
Chapitre 17 Création de fichiers de sortie MPEG-1 201Réglage de flux vidéo élémentaire (onglet Vidéo) :
• Vitesse : 29,97 pour NTSC ou 25 pour PAL
• Utilisation : dVD
• Débit : 1,15 Mbps
Réglage de flux vidéo élémentaire (onglet Audio) :
• Case Activé : non cochée
Réglage de flux audio élémentaire (onglet Vidéo) :
• Case Activé : non cochée
Réglage de flux audio élémentaire (onglet Audio) :
• Taux d’échantillonnage : 48 kHz
• Canaux : stéréo avec les sources à deux canaux, mono avec les sources à un seul canal
• Débit : 192 Kbps ou 224 Kbps
Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation
Web
La procédure qui suit vous guide à travers la configuration du format de fichier de sortie
MPEG-1 pour une utilisation web. Ce processus crée un flux système MPEG-1 unique.
• Étape 1 : Choix des réglages vidéo
• Étape 2 : Choix des réglages audio
Étape 1 : Choix des réglages vidéo
Cette rubrique décrit la création de réglages vidéo MPEG-1 pour une utilisation web.
Pour ouvrir la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 et choisir les réglages vidéo
1 Ouvrez l’onglet Réglages, puis choisissez MPEG-1 dans le menu local « Créer un réglage
(+) ».
La sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 s’ouvre dans l’Inspecteur, avec l’onglet Vidéo qui
s’affiche par défaut.
202 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie MPEG-12 Nommez le nouveau réglage « MPEG-1 pour le web ».
Cliquez sur le bouton
Automatique ou choisissez
une fréquence d’images.
Sélectionnez Web pour régler
la résolution sur 320 x 240.
Sélectionnez le débit.
Activez l’onglet Vidéo.
3 Cochez la case Activé.
4 Cliquez sur le bouton Automatique à côté du menu local Fréquence d’images.
Vous pouvez aussi choisir 23,976, 29,97 ou 25 dans le menu local Fréquence d’images de
la vidéo source.
5 Sélectionnez le bouton Web.
Cela permet de régler la résolution de sortie sur 320 x 240.
6 Utilisez le curseur Débit pour choisir le débit à utiliser ou saisissez directement une valeur.
Étape 2 : Choix des réglages audio
Cette rubrique décrit la création de réglages audio MPEG-1 pour une utilisation web.
Pour ouvrir l’onglet Audio et choisir les réglages audio
1 Cliquez sur le bouton Audio dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet
correspondant.
Activez l’onglet Audio.
Choisissez la fréquence
d'échantillonnage.
Sélectionnez le nombre
de canaux audio.
Sélectionnez le débit.
Chapitre 17 Création de fichiers de sortie MPEG-1 2032 Cochez la case Activé.
3 Choisissez 44,1 kHz dans le menu local Fréquence d’échantillonnage.
4 Sélectionnez Stéréo si vous utilisez des sources audio à deux canaux et Mono pour les
sources audio à un seul canal.
5 Choisissez le débit à utiliser dans le menu local correspondant.
6 Cliquez sur le bouton Enregistrer (dans le coin inférieur droit de l’Inspecteur) pour
enregistrer ce réglage.
Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation
DVD
La procédure qui suit vous guide à travers la configuration du format de fichier de sortie
MPEG-1 pour DVD. Ce processus crée deux réglages, un pour la vidéo et l’autre pour
l’audio, en créant des flux élémentaires.
Étape 1 : Création du réglage Vidéo MPEG-1 pour DVD
Créez le réglage pour un fichier de sortie vidéo MPEG-1 élémentaire adapté aux DVD.
Consultez la section Création du réglage Vidéo MPEG-1 pour DVD pour obtenir plus
d’informations.
Étape 2 : Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD
Créez le réglage pour un fichier de sortie audio MPEG-1 élémentaire adapté aux DVD.
Consultez la section Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD pour obtenir plus
d’informations.
Étape 3 : Création d’un groupe et d’une destination « MPEG-1 pour DVD » (facultatif)
Le cas échéant, vous pouvez « intégrer » vos nouveaux réglages à un groupe et une
destination « MPEG-1 pour DVD » personnalisés. Consultez la section Facultatif : création
d’un groupe et d’une destination MPEG-1 pour DVD pour obtenir plus d’informations.
Création du réglage Vidéo MPEG-1 pour DVD
Pour créer le réglage d’un fichier de sortie vidéo élémentaire MPEG-1 adapté aux DVD,
voir les rubriques suivantes.
• Étape 1 : Création du réglage Vidéo MPEG-1 pour DVD
• Étape 2 : Configuration des réglages vidéo
• Étape 3 : Création d’un flux vidéo élémentaire
Étape 1 : Création du réglage Vidéo MPEG-1 pour DVD
Cette rubrique décrit la création de réglages vidéo MPEG-1 pour DVD.
204 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie MPEG-1Pour ouvrir l’onglet Réglages et créer un réglage
1 Ouvrez l’onglet Réglages, puis choisissez MPEG-1 dans le menu local « Créer un réglage
(+) ».
Un nouveau réglage est ajouté à la liste.
2 Nommez le nouveau réglage « Vidéo MPEG-1 pour DVD ».
Consultez la section Création d’un réglage entièrement nouveau pour obtenir plus
d’informations.
Étape 2 : Configuration des réglages vidéo
Cette rubrique décrit la configuration de réglages vidéo MPEG-1 pour DVD.
Pour ouvrir la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 et configurer les réglages vidéo pour
DVD
1 Cliquez sur l’onglet Encodeur, puis choisissez MPEG-1 dans le menu local Format de
fichier.
2 Cliquez sur le bouton Vidéo dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet
Vidéo.
Activez l’onglet Vidéo.
Sélectionnez la vitesse de défilement.
L’extension de fichier devient
.m1v dès que l’onglet Audio
est désactivé.
Sélectionnez le débit.
Sélectionnez DVD pour que la résolution
corresponde à la vitesse de défilement.
3 Cochez la case Activé.
4 Choisissez la fréquence d’échantillonnage correspondant à votre vidéo source (29,97 ou
25) dans le menu local Fréquence d’échantillonnage.
5 Sélectionnez le bouton DVD.
La résolution de sortie correspond ainsi à la vitesse de défilement sélectionnée.
6 Utilisez le curseur Débit pour choisir le débit à utiliser ou saisissez directement une valeur.
Pour les projets DVD, la valeur standard est de 1,15 Mbps, le maximum autorisé étant de
1,856 Mbps.
Chapitre 17 Création de fichiers de sortie MPEG-1 205Étape 3 : Création d’un flux vidéo élémentaire
Pour transformer le fichier multimédia de sortie en flux vidéo élémentaire, vous devez
désactiver le réglage audio.
Pour désactiver l’audio pour le réglage vidéo
1 Cliquez sur le bouton Audio dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet
correspondant.
2 Désactivez la case à cocher Activé.
Ceci permet de définir l’extension de fichier à .m1v et de garantir que ce préréglage crée
uniquement un flux vidéo élémentaire.
Désactivez l’onglet Audio.
3 Cliquez sur le bouton Enregistrer (dans le coin inférieur droit de l’Inspecteur) pour
enregistrer ce réglage.
Le réglage « Vidéo MPEG-1 pour DVD » est enregistré.
Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD
Pour créer le réglage d’un fichier de sortie audio élémentaire MPEG-1 adapté aux DVD,
voir les rubriques suivantes.
• Étape 1 : Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD
• Étape 2 : Création d’un flux audio élémentaire
• Étape 3 : Configuration des réglages audio
Étape 1 : Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD
Cette rubrique décrit la création de réglages audio MPEG-1 pour DVD.
Pour ouvrir l’onglet Réglages et créer un réglage
1 Ouvrez l’onglet Réglages et cliquez sur le bouton Ajouter (+).
Un nouveau réglage est ajouté à la liste.
2 Nommez le nouveau réglage « Audio MPEG-1 pour DVD ».
206 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie MPEG-1Consultez la section Création d’un réglage entièrement nouveau pour obtenir plus
d’informations.
Étape 2 : Création d’un flux audio élémentaire
Pour transformer le fichier multimédia de sortie en flux audio élémentaire, vous devez
désactiver le réglage vidéo.
Pour désactiver le réglage vidéo
1 Cliquez sur l’onglet Encodeur, puis choisissez MPEG-1 dans le menu local Format de
fichier.
2 Cliquez sur le bouton Vidéo dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet
Vidéo.
Désactivez l’onglet Vidéo.
L’extension de fichier devient
.m1a lorsque l’onglet Vidéo
est désactivé.
3 Désactivez la case à cocher Activé.
Ceci permet de garantir que ce préréglage crée uniquement un flux audio élémentaire,
et l’extension du fichier devient .m1a.
Étape 3 : Configuration des réglages audio
Les réglages suivants vous permettent de créer un fichier audio MPEG-1 pour DVD.
Pour ouvrir l’onglet Audio et configurer les réglages audio pour DVD
1 Cliquez sur le bouton Audio dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet
correspondant.
Chapitre 17 Création de fichiers de sortie MPEG-1 2072 Cochez la case Activé.
Sélectionnez la fréquence
d’échantillonnage 48 kHz.
Sélectionnez le débit.
Activez l’onglet Audio.
Choisissez soit Stéréo,
soit Mono.
3 Choisissez 48 kHz dans le menu local Fréquence d’échantillonnage.
4 Sélectionnez Stéréo si vous utilisez des sources audio à deux canaux et Mono pour les
sources audio à un seul canal.
5 Choisissez le débit à utiliser dans le menu local correspondant.
Les valeurs habituelles utilisées pour les projets DVD sont 192 Kbps et 224 Kbps.
6 Cliquez sur le bouton Enregistrer (dans le coin inférieur droit de l’Inspecteur) pour
enregistrer ce réglage.
Le préréglage « Audio MPEG-1 pour DVD » est enregistré.
Facultatif : création d’un groupe et d’une destination MPEG-1
pour DVD
Pour faciliter l’utilisation de ces deux préréglages MPEG-1 avec une source, vous pouvez
les rassembler en créant un groupe de préréglages « MPEG-1 pour DVD ». Consultez la
section Création de groupes de réglages pour obtenir plus d’informations.
208 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie MPEG-1Compressor fournit les outils dont vous avez besoin pour créer des fichiers transcodés
MPEG-2 exceptionnels.
MPEG-2 est un standard international de compression, développé par le groupe MPEG
(Motion Picture Experts Group). Le format MPEG-2 vous permet de créer des fichiers vidéo
de qualité diffusion et a été conçu pour prendre en charge des vidéos à haut débit et à
haute résolution. Ce format de compression est celui utilisé pour les titres vidéo de haute
qualité sur DVD, la diffusion en haute définition et les systèmes de télévision par satellite.
Tous les lecteurs DVD disposent du matériel requis pour la lecture MPEG-2.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• À propos du format MPEG-2 en définition standard (p 209)
• À propos des sources haute définition et de MPEG-2 (p 210)
• À propos des flux élémentaires, des flux de transport et des flux de programme (p 211)
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 (p 212)
• Informations de référence MPEG-2 (p 223)
• Flux de production de transcodage MPEG-2 (p 228)
• Exemples de paramètres MPEG-2 (p 234)
À propos du format MPEG-2 en définition standard
La norme MPEG-2 est définie par une fréquence d’images maximale (23,98 à 29,97 images
par seconde) et une résolution plein écran (720 x 480 en NTSC et 720 x 576 en PAL).
MPEG-2 présente les caractéristiques suivantes.
• Prise en charge de la vidéo entrelacée : MPEG-2 prend en charge aussi bien la vidéo
entrelacée que la vidéo progressive. Comme les contenus MPEG-2 sont généralement
lus à partir d’un lecteur DVD local plutôt que sur un réseau (où la bande passante est
variable), la fréquence d’images est habituellement constante et la vidéo semble d’une
régularité parfaite.
209
Création de fichiers de sortie
MPEG-2 18• Non-prise en charge de la lecture en continu : le MPEG-2 n’est pas adapté à la lecture en
continu de fichiers vidéo sur le web, car il requiert un débit élevé (de 2 à 9 Mbps) pour
maintenir une qualité d’image acceptable.
L’encodeur de Compressor peut créer des flux vidéo MPEG-2 pour le format DVD vidéo.
Pour créer des disques vidéo DVD, vous pouvez soit utiliser une application de création
de DVD conjointement avec Compressor, soit utiliser l’action Créer une tâche DVD qui
fait partie du modèle Créer un DVD. Pour en savoir plus, consultez les sections À propos
des actions de tâche et À propos du sélecteur de modèle de lot.
À propos des sources haute définition et de MPEG-2
Compressor offre différentes options et différents flux de production pour le transcodage
de fichiers source vidéo haute définition (HD) en fichiers MPEG-2.
HD sur Blu-ray
Compressor peut générer des fichiers MPEG-2 pour la création de Bluray HD (haute
définition) à partir de données source HD ou SD (définition standard). Compressor peut
conserver les différentes tailles et fréquences d’images de la vidéo haute définition lors
du transcodage au format MPEG-2. Compressor prend également en charge les débits
plus élevés requis par le format Bluray. Pour en savoir plus sur la création de disques
Bluray, consultez Utilisation de flux. Pour en savoir plus sur l’ajout de l’action de tâche
Bluray à une tâche, consultez À propos des actions de tâche.
Remarque : l’autre option de format de fichier de sortie pour disques Bluray est H.264,
également appelé MPEG-4 Partie 10.
Conversion de HD en SD
Lorsque vous montez des sources haute définition (HD) dans Final Cut Pro et que vous
souhaitez créer un DVD en définition standard à partir de ces sources, utilisez les moyens
de conversion fournis par Compressor. Compressor conserve le maximum de détails
possible lors de la conversion et préserve les formats progressifs ou entrelacés lors du
codage en format MPEG-2 pour les DVD.
Pour afficher la résolution des données source et la vitesse de défilement
1 Importez le fichier multimédia source dans la fenêtre Lot.
2 Cliquez sur le nom de la source dans la fenêtre Lot.
La résolution et la vitesse de défilement du fichier source, ainsi que sa durée, apparaissent
dans l’angle inférieur gauche de la fenêtre Aperçu.
210 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2À propos des flux élémentaires, des flux de transport et des flux
de programme
Il existe trois types courants de flux MPEG-2 utilisés pour générer de la vidéo encodée en
MPEG-2.
• Flux élémentaires : ces flux contiennent un seul canal de contenu MPEG-2 et pas de
données audio.
• Flux de transport : ces flux contiennent un seul canal de contenu MPEG-2 et ses données
audio associées. Tous les canaux sont multiplexés, ce qui permet au destinataire de
choisir le canal qu’il souhaite lire. Compressor prend en charge la création de flux de
transport à canal unique pouvant éventuellement inclure des données audio.
Les flux de transport peuvent également reprendre après une interruption, ce qui les
rend particulièrement adaptés aux applications de diffusion et de lecture en continu
dans lesquelles le bruit ou l’encombrement du réseau peuvent provoquer des
interruptions.
• Flux de programme : ces flux contiennent un seul canal de contenu MPEG-2 et ses
données audio associées. Les flux de programme nécessitent une méthode de diffusion
sans erreur et sont principalement utilisés pour le stockage ou le traitement au sein
d’un ordinateur.
Par défaut, l’encodeur MPEG-2 de Compressor crée des flux MPEG-2 élémentaires. Vous
pouvez cependant configurer l’encodeur MPEG-2 pour qu’il crée des flux de transport ou
de programme et décider s’ils doivent contenir ou non des données audio dans l’onglet
Compléments. Consultez la section Onglet Compléments pour obtenir plus d’informations.
Remarque : les options DVD SD et Blu-ray du menu local Utilisation de flux génèrent
uniquement des flux élémentaires. Si vous sélectionnez l’une de ces options et que vous
configurez la sortie pour générer un flux de transport ou de programme, l’utilisation de
flux devient générique. Consultez la section Utilisation de flux pour obtenir plus
d’informations.
Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2 211À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2
Cette section contient des informations détaillées sur les différents onglets de la
sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 de la fenêtre Inspecteur. La configuration des réglages
MPEG-2 s’effectue par l’intermédiaire de ces onglets, soit en modifiant un réglage, soit
en créant un sous l’onglet Réglages.
Réglages de base de la sous-fenêtre de l’encodeur MPEG-2
La sous-fenêtre MPEG-2, qui contient les éléments décrits ci-après, s’ouvre par défaut sur
l’onglet Format vidéo.
• Champ Extension : affiche automatiquement l’extension de fichier MPEG-2 (.m2v) dès
que le format de sortie MPEG-2 est sélectionné dans le menu local Format de fichier.
• Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Elle n’est utile que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué
et l’encodage multipasse. Pour plus d’informations, consultez la section Segmentation
des tâches et encodage multipasse ou à 2 passes.
• Utilisation de flux : ce menu local permet de choisir l’utilisation du flux MPEG-2.
Compressor modifie les options disponibles et la plage de débits en fonction de
l’utilisation que vous choisissez dans ce menu local. Consultez la section Utilisation de
flux pour obtenir plus d’informations.
• Format vidéo, Qualité, GOP et Compléments : cliquez sur ces boutons pour ouvrir les
onglets Format vidéo, Qualité, GOP et Compléments. Les réglages de ces onglets sont
expliqués dans les sections suivantes.
Utilisation de flux
Le choix d’un réglage du menu local Utilisation de flux permet de s’assurer que le flux
encodé en MPEG-2 sera adapté à l’utilisation que vous souhaitez en faire.
212 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2Les options du menu local Utilisation de flux sont les suivantes :
• Générique : l’option générique vous donne un accès complet à tous les réglages MPEG-2.
C’est la seule option qui prend en charge le format vidéo MPEG-2 640 x 480 en plus
des formats vidéo SD et HD. C’est également la seule option qui prend en charge la
création de flux de transport et de programme. Elle prend en charge la plage de débits
complète comprise entre 2,0 Mbps et 40,0 Mbps.
• DVD SD : l’option DVD SD restreint les options d’encodage aux options admises par la
spécification DVD SD. Inclut les formats vidéo NTSC et PAL et une plage de débits
comprise entre 2,0 Mbps et 9,0 Mbps.
• Blu-ray : l’option Blu-ray restreint les options d’encodage aux options autorisées par
les disques vidéo Blu-ray. Inclut les formats vidéo SD et HD et une plage de débits
comprise entre 10,0 Mbps et 40,0 Mbps.
Onglet Format vidéo
Utilisez l’onglet Format vidéo pour configurer les réglages liés aux formats vidéo, aux
fréquences d’images, aux proportions, à la priorité de trame et au timecode. Tous ces
réglages, sauf le timecode, peuvent être définis pour une configuration automatique en
fonction des données vidéo encodées. L’onglet Format vidéo contient les contrôles
suivants.
• Menu local Format vidéo : choisissez votre format de fichier de sortie vidéo parmi NTSC,
PAL, 720p, HD 1440x1080, HD 1920x1080 ou diverses versions de formats de largeur
égale à 640. Les réglages Utilisation de flux déterminent lesquels de ces formats sont
réellement disponibles. Lorsque vous choisissez un réglage Format vidéo, les autres
réglages de cet onglet sont remplis avec des valeurs par défaut ou ils sont grisés,
indiquant qu’il existe des options pour ce réglage. Les éléments NTSC et PAL font
référence aux réglages de définition standard pour les normes TV NTSC et PAL.
Concernant les principales régions d’utilisation du DVD, sachez que le format NTSC est
utilisé en Amérique du Nord et au Japon, tandis que la norme PAL est utilisée partout
en Europe.
Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2 213Normalement, le format vidéo de sortie devrait correspondre au format vidéo source.
Pour la vidéo entrelacée créée à partir de caméscopes traditionnels NTSC ou PAL,
choisissez NTSC ou PAL dans ce menu local. Si vous ne connaissez pas le format vidéo
de votre fichier multimédia source, vous pouvez choisir Automatique. Ce paramètre
analyse la fréquence d’images d’un plan multimédia source pour déterminer le format
vidéo adéquat.
Si vous cliquez sur le bouton de format vidéo Automatique, la taille GOP est limitée à
12 ou 15 (en fonction du format de la vidéo, PAL ou NTSC) avec un modèle IBBP fermé.
Avec l’option Automatique sélectionnée, vous ne pouvez changer aucun des réglages
de fréquence d’images sous cet onglet, ou les réglages GOP sous l’onglet GOP. Consultez
la section Compréhension des types de GOP et d’images pour plus d’informations sur
les GOP.
Bouton Format vidéo
Automatique
Remarque : comme le format MPEG-2 pour DVD met en œuvre des tailles d’images
vidéo fixes (voir Tailles d’images et formats vidéo MPEG-2), Compressor introduit
automatiquement les dimensions de l’image de sortie dans les champs de la sous-fenêtre
Géométrie en fonction du format vidéo choisi.
Le format vidéo que vous choisissez détermine les options des caractéristiques associées,
telles que la taille d’image et la fréquence d’images, les proportions et la priorité de
trame.
Remarque : les dimensions normales de l’image d’une vidéo numérique NTSC en
résolution standard sont de 720 x 486. En conséquence, si vous souhaitez transcoder
un fichier source en utilisant le paramètre NTSC, celui-ci est rogné par Compressor afin
d’être conforme à la taille d’image MPEG-2 de 720 x 480, sauf si vous avez spécifié des
attributs de rognage pour votre préréglage. Dans le cas contraire, Compressor rogne
deux lignes de pixels à partir du haut et quatre lignes à partir du bas. Cet attribut de
rognage n’est que temporaire et n’est pas enregistré dans le réglage. Vous pouvez
visualiser les effets du rognage en double-cliquant sur le réglage dans la tâche pour
ouvrir la fenêtre Aperçu.
214 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2• Menu local Fréquence d’image : choisissez la fréquence d’image prévue pour le fichier
de sortie MPEG-2. Les films et certains caméscopes créent des contenus progressifs à
24 images par seconde (ou à 23,98 images par seconde avec la variante NTSC). Bien
que le terme « 24p » implique une vidéo avec une fréquence d’images de 24 ips, la
fréquence d’images est généralement de 23,976 ips (arrondie à 23,98) ips. Pour
transcoder ces sources pour la lecture de DVD sur des téléviseurs NTSC, choisissez le
réglage 23,98. Consultez la section Environ 24p (23,98p) pour obtenir plus d’informations.
Remarque : la fréquence de défilement généralement indiquée pour le format NTSC
est de 29,97 images par seconde. De la même manière, la « version NTSC » à 24 images
par seconde est mentionnée à la place de la version à 23,98 images par seconde. Ces
deux nombres (29,97 et 23,98) sont des approximations des valeurs réelles 30/1,001 et
24/1,001, c’est-à-dire respectivement 29,97003 et 23,97602 avec plus de décimales. Ces
valeurs montrent que 29,97 est une approximation relativement bonne de 30/1,001
(décalage de 3 images seulement pour 100 000 secondes), mais que 23,976 serait
nettement mieux que 23.98. En fait, même si la valeur 23,98 est utilisée par commodité
dans l’Aide Compressor et dans l’interface utilisateur de Compressor, une précision
supérieure ou égale à 23,976 est conservée en interne dans Compressor QuickTime et
généralement aussi dans QuickTime. Voir Environ 24p (23,98p) pour en savoir plus à
ce sujet.
• Menu local Proportions : choisissez les proportions de votre fichier vidéo. Le réglage
par défaut est 4/3. L’option 16/9 est utilisée pour les DVD anamorphosés. Ces proportions
déterminent la manière dont l’image remplit l’écran de la télévision. Un DVD en 16:9
(grand écran) vu sur une télévision classique 4:3 s’affiche au format boîte aux lettres
(bandes noires en haut et en bas de l’écran). Au contraire, un DVD grand écran vu sur
une télévision 16:9 (grand écran) résulte en un remplissage complet de l’écran.
Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2 215• Menu local Priorité de trame : choisissez si ce sera la première ou la dernière trame de
votre fichier multimédia source entrelacé qui sera prioritaire (la première) dans le fichier
vidéo de sortie MPEG-2. Si vous choisissez Automatique (par défaut), Compressor
analyse la vidéo source et essaie de déterminer automatiquement quelle est la trame
prioritaire. La trame prioritaire des vidéos sources DV est la trame inférieure. Ce réglage
ne concerne pas le format vidéo 720p, car ce format doit être progressif.
Remarque : pour la vidéo entrelacée, la première trame est également appelée trame
supérieure ou impaire, tandis que la dernière trame est également appelée trame
inférieure ou paire.
• Champ et case à cocher « Choisir le timecode de départ » : si vous ne sélectionnez pas
cette case (état par défaut), Compressor incorpore le timecode existant du fichier
multimédia source au fichier multimédia de sortie. Toutefois, en cochant cette case
vous pouvez écraser le timecode existant et en introduire un nouveau dans le champ.
Ce champ reste inactif tant que la case n’est pas cochée, et s’il n’est pas rempli, le fichier
multimédia de sortie utilise le timecode par défaut 00:00:00:00.
• Case à cocher Drop frame : si vous avez déjà coché la case « Choisir timecode de départ »
et que vous souhaitez un timecode Drop Frame (plutôt que Non-Drop Frame), vous
devez également cocher cette case.
Le timecode est un système de numérotation pour l’étiquetage des images dans une
séquence vidéo. Dans le cas de vidéos à 30 images par seconde, le timecode fonctionne
avec un compteur d’images, qui va de 0 à 29 puis incrémente le compteur de secondes
avant de revenir à 0. Ce type de timecode, également connu sous le nom de timecode
30 images, conserve dans ce cas une mesure précise du temps écoulé. Cependant, dans
le cas de vidéos NTSC, la fréquence d’images est égale à 29,97 images par seconde. Un
timecode en temps réel a donc été conçu pour fournir des mesures plus précises du
temps écoulé. Le timecode en temps réel saute les images 0 et 1 de chaque nouvelle
minute, sauf toutes les 10 minutes. Par exemple, le timecode en temps réel 01:08:59;29
est suivi de 01:09:00;02, car les timecodes 01:09:00;00 et 01:09:00;01 ont été sautés.
Remarque : le timecode en temps réel ne s’applique que si vous utilisez des vidéos
NTSC entrelacées.
Onglet Qualité
L’onglet Qualité permet de définir le débit de votre vidéo, afin de pouvoir la transcoder
à une taille et à une qualité convenables.
216 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2Outre les contrôles, l’angle inférieur droit affiche une estimation du nombre de minutes
de vidéo pouvant tenir sur un DVD de 4,7 Go en tenant compte des paramètres actuels.
Cette durée suppose l’utilisation d’un flux audio AIFF avec le flux MPEG-2.
L’onglet Qualité contient les contrôles suivants :
Menu local Mode
Estimation de la durée pour un
disque de 4,7 Go avec un flux
audio AIFF stéréo
Menu local Estimation
d’animation
• Menu local Mode : vous permet de choisir l’un des modes d’encodage MPEG-2 ci-après.
Les modes haute définition (HD) sont « VBR 1 passe optimal » et « VBR 2 passes optimal ».
• CBR 1 passe : si vous utilisez ce mode, le débit du flux vidéo MPEG-2 de sortie est
maintenu à un taux à peu près constant d’un GOP à l’autre. Ce mode d’encodage
MPEG-2 est le plus rapide de Compressor et permet d’obtenir une qualité finale
bonne, voire très bonne, notamment à des débits compris entre 5 et 9 Mbps.
• VBR 1 passe : ce mode d’encodage VBR (débit variable) a pour but d’assurer une
qualité constante (au détriment d’un débit constant) du fichier vidéo transcodé. Ainsi,
dans les scènes très détaillées ou en mouvement rapide, Compressor autorise un
débit supérieur à celui des séquences moins détaillées ou fixes du flux vidéo. Malgré
cette variation de débit, Compressor veille à ce que le débit moyen soit conforme à
la valeur que vous avez spécifiée et à ce que le débit maximum ne soit pas dépassé.
Contrairement au mode à deux passes, ce mode ne permet pas de parcourir la totalité
du média source avant son transcodage, ce qui entraîne une distribution de débit
moins optimisée que celle obtenue avec un débit variable à deux passes. Néanmoins,
pour la plupart des fichiers de données en définition standard (SD) à des débits de
3,5 Mbits et plus, la qualité finale est bonne ou excellente et le transcodage est rapide.
Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2 217• VBR 1 passe optimal : cette option est similaire au mode VBR à une passe, mais dans
ce mode, Compressor donne la priorité à ses processus décisionnels internes. Malgré
un transcodage plus lent dans ce mode qu’en VBR 1 passe, la qualité vidéo SD finale
à des débits de 3 à 3,5 Mbits/s et au-delà est excellente, voire exceptionnelle. Les
débits en MPEG-2 HD peuvent aller de 10 à 29 Mbps en moyenne, de 12 à 29 Mbps
au maximum. Comparé au mode VBR 1 passe, ce mode offre une meilleure qualité,
notamment avec des données difficiles à traiter à de faibles débits. Pour les flux
courts d’une ou deux minutes au plus, la précision du débit peut être réduite de 10
à 30 % quel que soit le mode précédent utilisé.
• VBR 2 passes : dans ce mode, Compressor lit deux fois l’ensemble du fichier vidéo
source. Durant la première passe, Compressor analyse entièrement le flux vidéo
source avant de le transcoder dans le but de déterminer le degré de difficulté de
l’encodage de chaque scène. Il crée ensuite un plan de distribution de débit qui
affecte le débit le plus rapide aux scènes les plus complexes et le débit le plus lent
aux scènes les plus simples, en veillant à obtenir un débit moyen conforme à la valeur
indiquée, sans dépasser le débit maximum spécifié. Lors de la seconde passe,
Compressor procède à la compression en créant le fichier vidéo de sortie MPEG-2
conformément à son plan de distribution de débit. Tout comme le mode VBR 1 passe,
le but du mode VBR 2 passes est d’obtenir une qualité constante plutôt qu’un débit
constant. En revanche, le mode VBR deux passes est capable de déterminer où
distribuer au mieux les bits dans le fichier multimédia source avant de commencer
son encodage. L’inconvénient de ce processus est que la durée du transcodage est
près de deux fois plus longue qu’en mode VBR une passe. Bien qu’il soit impossible
d’obtenir une qualité deux fois meilleure, la qualité finale est en général plus régulière
en mode VBR 2 passes qu’en mode VBR 1 passe, notamment avec des fichiers de
données sources dans lesquels les différences entre les scènes les plus complexes et
les scènes les plus simples sont notables.
• VBR 2 passes optimal : ce mode favorise plus ses processus décisionnels internes que
le mode VBR 2 passes. En conséquence, la durée de l’encodage est plus longue.
Cependant, la qualité offerte par l’encodeur MPEG-2 de Compressor est la meilleure
possible. Ce mode offre une qualité exceptionnelle à des débits de 3 à 5,5 Mbps et
au-delà pour la vidéo en définition standard (SD). Pour plus d’informations sur
l’utilisation des modes à deux passes avec la segmentation des tâches, consultez
Segmentation des tâches et encodage multipasse ou à 2 passes .
• Curseur et champ Débit moyen : choisissez le débit moyen en faisant glisser le curseur
ou en saisissant un nombre dans le champ prévu à cet effet. La plage dont vous disposez
dépend du réglage Utilisation de flux. Consultez la section Utilisation de flux pour
obtenir plus d’informations. Vous pouvez également utiliser le bouton Automatique
pour que Compressor détermine les débits moyen et maximum appropriés.
Remarque : le réglage de débit moyen contrôle directement la taille du fichier encodé.
Le réglage de débit maximum n’affecte pas du tout la taille du fichier encodé.
218 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2• Curseur et champ Débit maximum : choisissez le débit maximum en faisant glisser le
curseur ou en saisissant un nombre dans le champ prévu à cet effet. Consultez la section
À propos de la sélection des débits pour obtenir plus d’informations. La plage dont
vous disposez dépend du réglage Utilisation de flux. Consultez la section Utilisation de
flux pour obtenir plus d’informations.
Remarque : ce curseur de défilement n’est disponible qu’avec les modes VBR et ne
peut pas être placé sur une valeur inférieure au débit moyen. De même, il n’est pas
disponible si le bouton Automatique est activé.
• Menu local Estimation d’animation : ce menu est un autre compromis entre qualité
d’image et durée de traitement, en particulier si le fichier source comporte beaucoup
de mouvements. Les trois options de ce menu sont décrites ci-dessous.
• Bonne : réglage d’estimation des mouvements le plus rapide. Ce mode fonctionne
bien, y compris avec d’importantes quantités de mouvement entre les images, à
condition que les images comportent une quantité minimum de mouvements. Par
exemple, un métrage soumis à une conversion de sa fréquence d’images ou à d’autres
processus tend à ne comporter que peu de mouvements au sein des images. De
manière générale, utilisez ce paramètre avec le mode d’encodage à une passe.
• Meilleure : ce mode est un bon compromis général pour le paramètre d’estimation
des mouvements. Il offre de bons résultats même avec des mouvements entrelacés
complexes, et fonctionne bien avec la plupart des types de sources vidéo entrelacées,
y compris avec les métrages précaires réalisés avec des petits caméscopes grand
public. En général, choisissez cette option avec les modes VBR 1 passe et VBR 2 passes.
Si vous utilisez un format vidéo progressif, l’option Meilleure n’effectue qu’une
estimation des mouvements image par image plutôt qu’une recherche de vecteur
cinétique trame par trame, qui n’est pas pertinente avec les sources progressives.
Dans ce cas, le mode Meilleure est quelque peu plus rapide.
• Optimale : l’estimation des mouvements est dans ce cas de qualité optimale et ce
mode ne doit être utilisé qu’avec des sources entrelacées dont les mouvements sont
les plus complexes et les plus exigeants. En contrepartie, il est plus lent que le mode
Meilleure. En général, utilisez ce mode pour optimiser la qualité lorsque vous avez
choisi les modes « VBR 1 passe optimal » ou « VBR 2 passes optimal ».
Onglet GOP
Vous utilisez l’onglet GOP (groupe d’images) pour sélectionner un format, une structure
et une taille de GOP. Cette sous-fenêtre contient les contrôles suivants Consultez la section
Compréhension des types de GOP et d’images pour obtenir plus d’informations.
Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2 219Remarque : si vous choisissez l’un des formats vidéo HD proposés dans l’onglet Format
vidéo, vous ne pouvez pas modifier les réglages de l’onglet GOP et ces derniers adoptent
par défaut les valeurs d’une structure IBBP GOP fermée avec une taille de 12 (PAL) ou 15
(NTSC).
• Menu local GOP Structure : choisissez une option de ce menu local pour indiquer qu’il
y aura deux, une ou aucune image(s) B entre les images de référence au sein d’un GOP.
La structure et la taille d’un GOP permettent de définir le nombre d’images I, P et B
utilisées dans un GOP pendant l’encodage. Choisissez l’une des options suivantes :
Remarque : dans la plupart des situations d’encodage MPEG-2 destiné à la création de
DVD, choisissez une structure de GOP IBBP et une taille de GOP de 15 en NTSC ou de
12 en PAL. Ces paramètres donnent de bons résultats dans la majorité des cas. Consultez
la section Structure GOP pour obtenir plus d’informations.
• IP : aucune image B n’est utilisée avec ce paramètre. Ne choisissez ce paramètre que
si votre média contient des mouvements rapides qui ne sont pas encodés avec une
qualité suffisante avec une structure IBBP ou IBP.
• IBP : dans une structure IBP, une image B est insérée entre les images de référence
(images I et images P). Ne choisissez ce paramètre que si votre média contient des
mouvements rapides qui ne sont pas encodés avec une qualité suffisante avec une
structure IBBP ou IBP.
• IBBP : vous pouvez utiliser cette option dans la plupart des cas d’encodage MPEG-2,
avec une taille de GOP de 15 pour NTSC ou de 12 pour PAL. Si vous choisissez ce
paramètre, deux images B sont insérées entre les images de référence.
220 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2• Boutons Ouvert et fermé : les GOP fermés ne contiennent aucune image faisant référence
à une image du GOP précédent ou suivant, tandis que les GOP ouverts commencent
par une ou plusieurs images B faisant référence à la dernière image P du GOP précédent.
Les GOP fermés créés par l’encodeur MPEG-2 de Compressor commencent par une
image I. Sélectionnez un type de GOP (ouvert ou fermé) en fonction de votre intention
de créer ou non des marqueurs de chapitre pour la création de DVD et du mode de
création voulu et en fonction de votre intention d’utiliser plusieurs angles vidéo dans
votre titre. Consultez la section GOP ouverts et fermés pour obtenir plus d’informations.
• ouverte : cliquez sur ce bouton pour créer des GOP ouverts.
• Fermé : cliquez sur ce bouton pour créer des GOP fermés.
• Menu local Taille GOP : choisissez le nombre d’images contenues dans votre GOP, suivant
le format de la structure GOP sélectionnée. Dans Compressor, un GOP peut contenir
au maximum 15 images (NTSC) ou 12 images (PAL et 720p). Quant au nombre minimum
d’images d’un GOP, il est de 6 pour un GOP fermé et de 7 pour un GOP ouvert, quel
que soit le format vidéo. La relation entre la structure d’un GOP et sa taille vous donnent
les différents motifs d’un GOP. Consultez les sections Compréhension des types de GOP
et d’images et Taille GOP pour de plus amples informations.
• Champ Modèle : ce champ ne peut être édité, mais il affiche le modèle GOP réel en
fonction de la structure et de la taille que vous avez choisies
Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2 221Onglet Compléments
Utilisez l’onglet Compléments pour contrôler l’inclusion ou l’exclusion d’informations de
création MPEG-2 spécifiques. L’onglet Compléments contient les contrôles suivants.
• Ajouter des métadonnées DVD Studio Pro : en cochant cette case, vous permettez à
Compressor d’analyser des informations de création MPEG-2 spécifiques pendant le
processus de transcodage, afin d’accélérer l’importation dans DVD Studio Pro.
Néanmoins, ces fichiers MPEG-2 seront incompatibles avec les versions 1.5 ou
précédentes de DVD Studio Pro. Si vous laissez cette case décochée, les informations
seront analysées plus tard dans DVD Studio Pro.
Remarque : les flux MPEG-2 contenant des métadonnées DVD Studio Pro
supplémentaires ne sont compatibles qu’avec la version DVD Studio Pro 2 (ou ultérieure).
Les flux MPEG-2 pour lesquels cette case est cochée ne sont pas compatibles avec les
versions antérieures à DVD Studio Pro 2 ou avec d’autres outils de création de DVD.
Cette case est cochée par défaut dans tous les réglages Apple. Pour que vos fichiers
MPEG-2 soient compatibles avec d’autres outils de création de DVD, désactivez cette
case à cocher, puis enregistrez le réglage.
• Inclure les marqueurs de chapitre uniquement : en cochant cette case, vous excluez du
flux de données les marqueurs de compression sans nom, tout en conservant les
marqueurs de chapitre. Si vous laissez cette case décochée, tous les marqueurs sont
reconnus dans le fichier multimédia de sortie. Voir Ajout de marqueurs de compression
ou de podcast à un plan pour en savoir plus sur les marqueurs de chapitre.
• Encodage Couleur YUV 4:2:2 (ne convient pas aux DVD) : cochez cette case pour activer
l’encodage de couleur YUV 4:2:2. Cette option est prise en charge dans la création de
flux de programme et de transport élémentaires MPEG-2, mais elle est uniquement
disponible lorsque le menu local Utilisation de flux est défini sur Générique.
• Audio couche 2/MPEG-1 multiplexé : utilisez cette option pour créer un flux multiplexé
(au lieu d’un flux élémentaire). Vous pouvez ainsi transformer le fichier de sortie en flux
de transport ou de programme. Consultez la section À propos des flux élémentaires,
des flux de transport et des flux de programme pour en savoir plus sur les différences
entre les différents types de flux.
222 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2L’audio de ce flux est au format couche 2/MPEG-1, avec une fréquence d’échantillonnage
de 44,1 kHz ou 48 kHz (en fonction de la source) et un débit de 384 kbps. Pour créer
un flux élémentaire audio uniquement (audio couche 2/MPEG-1), consultez la section
Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD.
Important : générique est également la seule option qui prend en charge la création
de flux de transport et de programme. En cochant la case « Audio couche 2 MPEG-1
multiplexé », vous réglez l’utilisation de votre flux sur Générique si cette utilisation est
actuellement réglée sur une autre valeur.
Informations de référence MPEG-2
Les rubriques suivantes comportent des informations utiles pour la création de fichiers
multimédias de sortie MPEG-2.
À propos de la sélection des débits
Lorsque vous déterminez les débits moyen et maximum pour la lecture de DVD standard,
n’oubliez pas de prendre en compte le débit de la piste audio, ainsi que le débit MPEG2.
Vous devez faire en sorte que le total des débits audio et vidéo moyens et maximum soit
inférieur à 10,08 Mbps, vitesse maximum de transfert garantie par les lecteurs DVD standard
Étant donné que les formats audio compatibles avec les DVD utilisent un débit constant
(CBR, de l’anglais « Constant bit rate »), vous n’avez pas à vous préoccuper d’un éventuel
débit audio maximum.
Par exemple, si vous traitez la composante audio au format AIFF à 1,5 Mbps, vous devez
maintenir les débits vidéo maximum et moyen sous la barre des 8,5 Mbps. Généralement,
le débit moyen sera inférieur à cette valeur (par exemple, 3,5 Mbps pour deux heures de
métrage sur votre DVD). Le débit maximum doit toutefois être, lui aussi, inférieur à cette
valeur. Un débit maximum de 8,0 Mbps est recommandé pour prévoir une marge d’erreur
supplémentaire, afin de s’adapter par exemple aux flux de sous-titrage. Si vous utilisez
un format audio compressé compatible DVD comme, par exemple, Dolby Digital ou
MPEG-1/Layer-2, le débit audio peut descendre jusqu’à entre 0,2 et 0,4 Mbps, ce qui vous
permet alors de régler le débit maximum sur environ 1 Mbps plus haut.
En règle générale, réglez le débit maximum au moins 1 Mbps plus haut que le débit
moyen afin de permettre au débit de varier et d’obtenir une qualité constante.
Tailles d’images et formats vidéo MPEG-2
Comme le format MPEG-2 pour DVD prend des tailles d’images vidéo fixes, Compressor
introduit automatiquement les dimensions de l’image de sortie dans les champs de la
sous-fenêtre Géométrie en fonction du format vidéo choisi.
Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2 223Le format vidéo que vous choisissez dans le menu local Format vidéo détermine les
options des caractéristiques associées, telles que la taille d’image et la fréquence d’images,
les proportions et la priorité de trame. Pour plus d’informations, consultez la section
Onglet Format vidéo.
Méthode de
Proportions balayage
Fréquence
d’images (images
par seconde)
Taille d’image (en
Format vidéo pixels)
Entrelacée,
progressive
23,98 (progressive 4:3 ou 16:9
uniquement),
29,97
NTSC 720 x 480
Entrelacée,
progressive
PAL 720 x 576 25 4:3 ou 16:9
23,98, 25, 29,97, 16:9 Progressif
50, 59,94
720p 1280 x 720
Entrelacée,
progressive
23,98 (progressive 16:9
uniquement), 25,
29.97
1440 x 1080 HD 1440 x 1080
Entrelacée,
progressive
23,98 (progressive 16:9
uniquement), 25,
29.97
1920 x 1080 HD 1920 x 1080
Entrelacée,
progressive
640 x 480 (1,33) 640 x 480 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9
Entrelacée,
progressive
640 x 360 (1,78) 640 x 360 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9
Entrelacée,
progressive
640 x 352 (1,82) 640 x 352 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9
Entrelacée,
progressive
640 x 384 (1,67) 640 x 384 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9
Entrelacée,
progressive
640 x 320 (2,00) 640 x 320 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9
224 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2Compréhension des types de GOP et d’images
L’une des principales fonctions de l’encodage MPEG-2 est sa capacité à supprimer les
redondances, pas seulement dans une image, mais aussi dans un groupe d’images. Le
MPEG-2 utilise trois types d’image (I, P et B) pour représenter une vidéo. Les paramètres
des groupes d’images (GOP) permettent de définir le motif des trois types d’image utilisées.
Ces trois types d’image sont définis comme suit.
• Intra (I) : également connue sous le nom d’image clé. Chaque GOP contient une image
I. L’image I est le seul type d’image MPEG-2 qui peut être totalement décompressé sans
faire aucune référence aux images qui la précèdent ou la suivent. Comme c’est aussi
le type d’image le plus « lourd » en terme de données, c’est lui qui requiert le plus
d’espace disque. Si vous souhaitez placer une image I à un changement de scène ou
à tout autre emplacement précis, vous devez le paramétrer manuellement à l’aide de
la fenêtre Aperçu. Dans ce cas, une image I est qualifiée de forcée. Pour en savoir plus,
consultez la section Utilisation de marqueurs et d’affiches.
• Prédite (P) : image encodée à partir d’une image « prédite » selon l’image I ou P
précédente la plus proche. Les images P requièrent généralement moins d’espace
disque que les images I, car elles font référence à l’image I ou P qui la précède dans le
GOP.
Remarque : les images I et P sont aussi dénommées images de référence, car une image
B peut faire référence à l’un ou l’autre type d’image.
• Bidirectionnelle (B) : image encodée à partir d’une interpolation des images de référence
suivantes et précédentes, qu’il s’agisse d’images I ou P. Les images B sont le type d’image
MPEG-2 le plus efficace en termes de stockage, car c’est celui qui requiert le moins
d’espace disque.
C’est l’utilisation d’images B et P qui permet au MPEG-2 de supprimer les redondances
temporaires, contribuant ainsi à l’efficacité de la compression vidéo.
Points à considérer avant de choisir les paramètres d’un GOP
Vous devez considérer les aspects suivants.
Structure GOP
Ce paramètre indique qu’il y aura deux, une ou aucune image(s) B entre les images de
référence au sein d’un GOP. La structure et la taille d’un GOP permettent de définir le
nombre d’images I, P et B utilisées dans un GOP pendant l’encodage.
La structure que vous choisissez dépend de l’éloignement des images P. Comme une
image P est prédite à partir de l’image de référence antérieure (soit une image I, soit une
image P) et qu’il peut y avoir entre elles une ou deux images B, la prédiction doit couvrir
la distance que les objets peuvent parcourir pendant la durée de deux ou trois images.
Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2 225En principe, plus le mouvement moyen est faible d’une image à l’autre, plus les images
P peuvent être espacées, et plus la compression peut être importante. Pour la plupart
des contenus vidéo, la structure IBBP est un bon choix. Dans le cas de contenus qui ont
des séquences entières avec de rares mouvements rapides, il est possible de choisir une
structure IBP ou IP, mais un débit relativement élevé (6 à 8 Mbps pour la vidéo SD) peut
alors s’avérer nécessaire pour obtenir une bonne qualité.
Taille GOP
Ce paramètre spécifie le nombre d’images contenues dans un GOP. Or, comme un GOP
ne contient exactement qu’une seule image I, une taille plus grande permet généralement
d’obtenir une meilleure compression, car les images B et P occupent moins d’espace que
les images I.
Pour la plupart des médias, un espacement d’environ une demi-seconde entre chaque
image I donne de bons résultats. Cela revient à une taille de GOP contenant 15 images
en NTSC et 12 images en PAL. Les spécifications du format DVD vidéo interdisent des
GOP contenant plus d’images. Généralement, seuls les contenus dont les changements
de scènes à des intervalles inférieurs à une demi-seconde sont fréquents bénéficient de
GOP de taille plus petite.
GOP ouverts et fermés
Les GOP ouverts sont plus efficaces, car ils permettent l’insertion d’une autre image B
dans le modèle GOP. Les GOP ouverts commencent par une image B capable de consulter
la dernière image P du GOP précédent ainsi que la première image I de son propre GOP.
:06 :07 :08 :09
:09
:04 :05 :10 :11 :12 :13 :14 :15 :16 :17 :18 :19 :20 :21
GOP ouvert
(IBBP, 15 images)
P B B I B B P B B P B B P B B P B B I
:03
:04 :05 :06 :07 :08 :10 :11 :12 :13 :14 :15 :16 :17 :18
GOP fermé
(IBBP, 15 images)
I B B P B B P B B P B B P B P
Par définition, les GOP fermés ne peuvent contenir aucune image faisant référence à une
image du GOP précédent, ou suivant. Au contraire, les GOP ouverts commencent par une
ou plusieurs images B qui font référence à la dernière image P du GOP antérieur. Les GOP
fermés créés par Compressor commencent toujours par une image I.
226 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2À structure et taille identiques, la compression obtenue est généralement meilleure avec
les GOP ouverts qu’avec les GOP fermés. En effet, l’illustration ci-dessus montre qu’un
GOP fermé contient plus d’images P qu’un GOP ouvert de même longueur. Or, comme
les images P requièrent habituellement plus de bits que les images B, la compression des
GOP ouverts est d’une qualité légèrement supérieure.
Certaines restrictions s’appliquent à l’utilisation de GOP ouverts avec des DVD vidéo créés
à l’aide d’une application de création de DVD. La première limite exclusivement aux GOP
fermés les flux MPEG-2 utilisés pour des DVD à angles multiples ou mixtes.
La deuxième oblige à définir les marqueurs de chapitre des DVD au début d’un GOP
fermé. Le meilleur moment pour définir des marqueurs de chapitre est avant d’effectuer
le transcodage MPEG-2. Par exemple, si vous spécifiez des marqueurs de chapitre dans
Final Cut Pro, vous pouvez paramétrer Compressor de manière à procéder au transcodage
MPEG-2 avec des GOP ouverts. Compressor forcera alors un GOP fermé à commencer
uniquement au niveau des marqueurs de chapitre spécifiés et ouvrira les autres GOP.
Vous pouvez également procéder en spécifiant « images I forcées » dans la fenêtre Aperçu
de Compressor, puis en indiquant un nom de chapitre à utiliser par une application de
création de DVD.
Toutefois, si vous souhaitez définir des marqueurs de chapitre à chaque limite de GOP
après le transcodage de votre vidéo au format MPEG-2, vous ne devez utiliser que des
GOP fermés. Cette liberté d’action est limitée, car vous ne pouvez définir des marqueurs
de chapitre qu’aux limites des GOP et pas à n’importe quelle image de la vidéo.
Environ 24p (23,98p)
Pour la création et l’encodage de DVD, le format 24P se réfère à une séquence vidéo qui
contient 24 images progressives (non entrelacées) par seconde, avec une résolution
d’image standard de type NTSC (720 x 480 pour le MPEG-2). La fréquence d’images
naturelle des films est de 24 images par seconde, et comme le format MPEG-2 est capable
de représenter en interne des vidéos à cette fréquence, de nombreux films DVD
commerciaux sont encodés à l’aide de cette méthode. Cependant, chaque fois que vous
utilisez de la vidéo NTSC dans votre projet, la fréquence d’images des données transférées
à partir d’un film est ralentie de 24 ips à 23,976 ips (arrondi à 23,98) et un pulldown 2:3:2:3
est ajouté. Le terme plus précis est donc en fait 23,98p.
Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2 227Compressor peut également effectuer cette opération pour les fichiers vidéo sources 24p.
Pour ce type de fichiers, l’option de fréquence d’images 23,98 (sous l’onglet Format vidéo)
compresse une par une chaque image source, sans compresser les images ou les trames
qui se répètent, dans le but d’obtenir une fréquence d’images de 29,97 images par
seconde. Avec un taux de compression inférieur, le résultat obtenu est de meilleure qualité
que si le fichier avait été converti à 29,97 images par seconde avant le transcodage.
Compressor définit en outre convenablement les indicateurs d’images MPEG-2 internes,
ce qui permet aux lecteurs DVD d’appliquer de manière appropriée le processus pulldown
3:2 pour l’affichage de 29,97 images entrelacées par seconde sur des télévisions NTSC.
Remarque : si la fréquence d’images de votre vidéo source est de 24,00 images par
seconde au lieu de 23,98, Compressor saute une image toutes les 1000 images source.
Au contraire, lorsque la fréquence de la vidéo source 24P est de 23,98 images par seconde,
Compressor transcode toutes les images sources, sans en sauter ou en répéter aucune.
Flux de production de transcodage MPEG-2
Cette section vous propose des instructions de configuration pas à pas de vos attributs
MPEG-2, avant la création de fichiers de sortie MPEG-2 avec Compressor. La configuration
des réglages MPEG-2 s’effectue via la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2, soit en modifiant
un réglage, soit en en créant un dans l’onglet Réglages.
Suivez les étapes ci-après pour savoir comment utiliser le format de fichier de sortie
MPEG-2. Pour obtenir des exemples de chacun de ces réglages, voir Exemples de
paramètres MPEG-2.
• Étape 1 : Choix des réglages du format vidéo
• Étape 2 : Choix des réglages de qualité
• Étape 3 : Choix des réglages GOP
• Étape 4 : Choix de réglages complémentaires
Étape 1 : Choix des réglages du format vidéo
Il est important que le format vidéo, les proportions et le champ dominant concordent
avec les paramètres de votre fichier multimédia source. Consultez la section Onglet Format
vidéo pour une description plus détaillée de chacun de ces paramètres.
Remarque : le moyen le plus facile de vous assurer que les réglages sont adaptés au
fichier multimédia source consiste à activer les boutons Automatique. Consultez la section
À propos des réglages automatiques pour obtenir plus d’informations.
Pour ouvrir la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 et choisir les réglages du format vidéo
1 Ouvrez l’onglet Réglages, puis choisissez MPEG-2 à l’aide du bouton de menu local Ajouter
un préréglage (+).
228 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2La sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 s’ouvre dans l’Inspecteur, avec l’onglet Format vidéo
qui s’affiche par défaut.
Configurez ces réglages
manuellement si vous n’avez
pas l’intention de les adapter
au fichier multimédia source.
Sélectionnez les boutons
Automatique pour que
l’encodeur adapte les
réglages au fichier
multimédia source.
Choisissez le type de flux
MPEG-2 à créer.
2 Choisissez dans le menu local Utilisation de flux le réglage qui correspond à la façon dont
vous comptez utiliser la vidéo encodée. Cela garantit que les options d’encodage MPEG-2
sont limitées au options prises en charge par l’usage escompté. Les options sont les
suivantes :
• Générique
• DVD SD
• Blu-ray
3 Choisissez un format dans le menu local Format vidéo ou sélectionnez son bouton
Automatique :
• NTSC (par défaut)
• PAL
• 720p
• HD 1440x1080
• HD 1920x1080
• 640x480
• 640x360
• 640x352
• 640x384
Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2 229• 640x320
4 Choisissez des proportions dans le menu local Proportions ou sélectionnez son bouton
Automatique.
Avant cela, vous devez déterminer si la forme prévue de votre vidéo source est au format
4:3 (normal) ou 16:9 (grand écran).
5 En fonction du type de votre média source, choisissez un paramètre de champ dans le
menu local Priorité de trame. Par exemple, pour un format DV, choisissez Première
inférieure. Vous pouvez également choisir le bouton « Priorité de trame automatique »
pour laisser Compressor déterminer le réglage correct.
6 Si vous souhaitez utiliser le timecode de votre vidéo source, laissez la case « Choisir le
timecode de départ » décochée. Sinon, cochez-la et introduisez un nouveau timecode.
7 Si vous avez coché la case « Choisir le timecode de départ » et que votre format vidéo est
NTSC, cochez aussi la case « Drop Frame » si vous voulez utiliser le timecode en temps
réel (au lieu d’avoir un timecode 30 images).
Consultez la section Onglet Format vidéo pour obtenir plus d’informations.
Étape 2 : Choix des réglages de qualité
Dans l’onglet Qualité, ajustez les attributs d’encodage MPEG-2 qui ont le plus d’influence
sur la qualité finale de votre fichier de sortie vidéo MPEG-2 : mode d’encodage, débits
maximum et moyen et type d’estimation d’animation.
Pour ouvrir l’onglet Qualité et choisir les Réglages qualité
1 Cliquez sur le bouton Qualité dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 pour ouvrir l’onglet
correspondant.
Choisissez un réglage
Estimation d’animation.
Choisissez un mode
correspondant à vos exigences
en termes de durée et de qualité.
Choisissez les débits appropriés
à vos exigences en termes de
taille de fichier et de qualité.
2 Faites votre choix parmi les options proposées par le menu local Mode.
Pour une qualité d’image optimale, choisissez « VBR 1 passe optimal » ou « VBR 2 passes
optimal ». Si vous souhaitez obtenir l’encodage le plus rapide possible, choisissez VBR
une passe ou VBR 2 passes. Pour les sources HD, choisissez « VBR 1 passe optimal » ou
« VBR 2 passes optimal ».
230 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2Avec les modes à deux passes, le fichier multimédia source est examiné pendant la
première passe, puis transcodé pendant la deuxième avec les débits adaptés au contenu
vidéo. À l’inverse, les modes à une passe transcodent plus rapidement, mais distribuent
les débits de façon moins optimale que ne le font les modes à deux passes analogues.
Remarque : si vous utilisez l’encodage VBR à deux passes et que le traitement distribué
est activé, désélectionnez la case « Autoriser la segmentation des tâches » dans la
sous-fenêtre Encodeur. Pour en savoir plus, consultez la section Segmentation des tâches
et encodage multipasse ou à 2 passes.
3 Choisissez un débit moyen à l’aide du curseur ou du champ Débit moyen ou cliquez sur
le bouton Automatique.
Choisissez un débit approprié en fonction du contenu et de la longueur de votre vidéo
source, et de la taille (en octets) souhaitée pour votre fichier de sortie. En création de
DVD, l’intégralité de la vidéo doit tenir sur le disque DVD, or plus le débit est faible, plus
vous pouvez stocker de données. Cependant, plus le débit est important, plus l’image
sera de qualité.
Lorsque vous modifiez la valeur Débit moyen (avec le curseur ou le champ), le calculateur
de débit en bas de l’onglet Qualité affiche de manière dynamique le nombre maximum
de minutes de vidéo sur un DVD-5. Le calculateur suppose un débit de 1,5 Mbps pour
l’audio (AIFF deux canaux).
Le tableau ci-dessous fournit quelques débits et la durée des métrages correspondants
pour un DVD de 4,7 Go.
4 Si possible, spécifiez le débit maximum en introduisant une valeur dans le champ
correspondant ou en déplaçant le curseur de défilement.
Comme les lecteurs DVD prennent en charge des débits de pointe pouvant atteindre
jusqu’à 10,08 Mbps pour des composantes audio et vidéo, il est conseillé d’ajuster le débit
vidéo maximum entre 8,0 et 8,5 Mbps si vous utilisez une piste audio (AIFF deux canaux)
à 1,5 Mbps.
Remarque : pour un résultat optimal, assurez-vous que le débit maximum est supérieur
d’au moins 1 Mbps au réglage moyen. Des différences plus grandes peuvent donner de
meilleurs résultats encore.
5 Choisissez un réglage parmi ceux proposés par le menu local Estimation d’animation :
• Bonne : c’est le réglage d’estimation d’animation le plus rapide ; suffisant lorsque les
mouvements entre les images sont lents.
• Meilleure : il s’agit d’un bon compromis général pour le réglage d’estimation
d’animation ; il offre de très bons résultats y compris en présence de mouvements
entrelacés complexes.
• Optimale : réglage de qualité optimale pour manipuler la plupart des sources entrelacées
dont les mouvements sont les plus complexes et les plus exigeants ; un peu plus lent
que le mode Meilleure.
Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2 231Consultez la section Onglet Qualité pour obtenir plus d’informations.
Le tableau ci-dessous fournit quelques débits et la durée des métrages correspondants
pour un DVD de 4,7 Go :
Débit moyen Durée approximative pour un DVD de 4,7 Go
1
3,5 Mbps 121 minutes
5,0 Mbps 94 minutes
6,0 Mbps 82 minutes
7,5 Mbps 68 minutes
8,0 Mbps 65 minutes
1 Pour un plan DVD avec composantes audio et vidéo et sous-images : suppose un débit de 1,5 Mbps pour les données
audio (AIFF deux canaux).
Remarque : lorsque vous choisissez VBR une passe ou « VBR 1 passe optimal » pour des
plans très courts (inférieurs à une ou deux minutes), il est possible que la taille du fichier
de sortie MPEG-2 obtenu ne reflète pas exactement le débit moyen que vous avez spécifié.
Si la longueur du fichier multimédia de sortie MPEG-2 ne correspond pas à vos attentes,
vous pouvez essayer de le transcoder à nouveau à un débit moyen plus faible.
Étape 3 : Choix des réglages GOP
Sélectionnez la structure et la taille appropriées des GOP, puis décidez si vous souhaitez
que les GOP soient ouverts ou fermés.
Remarque : ces réglages ne sont pas modifiables si vous choisissez un format vidéo HD
dans l’onglet Format vidéo.
Pour ouvrir l’onglet GOP et choisir les réglages GOP
1 Cliquez sur le bouton GOP dans la sous-fenêtre MPEG-2 Encoder pour ouvrir l’onglet
correspondant.
Choisissez une structure GOP
pour contrôler le nombre
d’images B utilisées.
Choisissez des GOP
ouverts ou fermés.
Choisissez une taille de GOP.
2 Choisissez une structure de GOP dans le menu local Structure GOP.
232 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2Pour la plupart des tâches d’encodage MPEG-2 destinées à la création de DVD, choisissez
la structure IBBP.
3 Choisissez la taille des GOP dans le menu local Taille GOP.
Dans la plupart des tâches d’encodage MPEG-2 destinées à la création de DVD, choisissez
une taille de GOP de 15 en NTSC et une taille de 12 en PAL et 24P.
Les options disponibles dans ce menu dépendent de la structure choisie pour les GOP
et de leur état (ouvert ou fermé).
4 Décidez si vous souhaitez que le motif des GOP soit ouvert ou fermé, puis cliquez sur le
bouton approprié.
Utilisation d’images I MPEG-2
La fenêtre Aperçu de Compressor offre une flexibilité de transcodage supplémentaire
en vous permettant d’insérer manuellement des images I à n’importe quel endroit dans
le fichier MPEG-2 de sortie, indépendamment du motif et de la taille que vous avez
choisis pour les GOP. Ces images I, qualifiées de forcées, peuvent être utiles pour améliorer
la qualité du fichier MPEG-2 à proximité d’un changement de scène. Consultez la section
Compréhension des types de GOP et d’images pour plus d’informations sur les images I.
En outre, l’ajout d’images I à votre plan vous permet de créer des marqueurs de chapitre
pouvant être interprétés et utilisés par des applications de création de DVD. Pour en
savoir plus, consultez les sections Utilisation de marqueurs et d’affiches et Ajout de
marqueurs de compression ou de podcast à un plan.
Pour en savoir plus sur les GOP, consultez les sections Compréhension des types de GOP
et d’images, Points à considérer avant de choisir les paramètres d’un GOP et Onglet GOP.
Étape 4 : Choix de réglages complémentaires
Vous pouvez contrôler l’inclusion ou l’exclusion d’informations de création MPEG-2
spécifiques par l’intermédiaire de l’onglet Compléments.
Pour ouvrir l’onglet Compléments et choisir les réglages Complémentaires
1 Cliquez sur le bouton Compléments dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 pour ouvrir
l’onglet correspondant.
Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2 2332 Cochez la case « Ajouter des métadonnées DVD Studio Pro » si vous souhaitez que les
informations de création MPEG-2 spécifiques soient analysées par Compressor et non
pas ultérieurement par DVD Studio Pro.
Important : si vous cochez cette case, vos fichiers MPEG-2 sont incompatibles avec les
outils de création de DVD autres que DVD Studio Pro 2 (ou version ultérieure).
3 Cochez la case « Inclure les marqueurs de chapitre uniquement » si vous souhaitez exclure
les marqueurs de compression automatique du flux de données, mais conserver les
marqueurs de chapitre.
4 Activez la case « Audio couche 2 MPEG-1 multiplexé » uniquement si vous devez créer
des flux de transport ou de programme. Consultez la section À propos des flux
élémentaires, des flux de transport et des flux de programme pour obtenir plus
d’informations.
Pour en savoir plus les réglages de l’onglet Compléments, consultez Onglet Compléments.
Exemples de paramètres MPEG-2
Les réglages MPEG-2 suivants peuvent être utilisés dans la majorité des cas d’encodage
MPEG-2 généraux. Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2, puis cliquez sur le bouton
approprié pour accéder à ces onglets.
Remarque : n’oubliez pas que la plupart des paramètres donnés dans cet exemple ne
sont pas adaptés à tous les formats vidéo d’entrée, ni à toutes les situations d’encodage.
Le cas échéant, quelques paramètres alternatifs sont donnés entre parenthèses. Consultez
les sections au début du présent chapitre pour obtenir plus d’informations sur quand et
comment utiliser d’autres paramètres.
Onglet Format vidéo
• Format vidéo : NTSC (PAL, 720p, HD 1440x1080, HD 1920x1080 ou l’une des options
de largeur égale à 640)
• Proportions : 4:3 (16:9 pour un grand écran anamorphosé ou haute définition)
• Priorité de trame : automatique (non disponible avec le format 720p)
Onglet Qualité
• Mode : « VBR 1 passe optimal » (ou d’autres réglages à une passe et à deux passes)
• Débit moyen : 5 Mbps (entre 2 et 9 Mbps) pour le format DVD standard ou 18 Mbps
pour les formats vidéo HD (plage variable)
Remarque : votre choix de débit peut être influencé par de nombreux facteurs, comme
la complexité de la vidéo source, le format et le nombre des flots audio, ainsi que la
durée totale des plans vidéo à inclure sur le DVD.
• Débit maximum : 8,0 Mbps pour le format DVD standard ou 27 Mbps pour les formats
vidéo HD
234 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2• Estimation d’animation : optimale
Onglet GOP
• Structure GOP : iBBP
• Taille GOP : 15 (12 pour PAL et les formats HD 50i, 50p et 24p)
• Type de GOP : ouvert (Fermé)
Chapitre 18 Création de fichiers de sortie MPEG-2 235Compressor fournit les outils dont vous avez besoin pour créer des fichiers transcodés
MPEG-4 exceptionnels.
La norme MPEG-4 Partie 2 (également appelée vidéo MPEG-4 dans QuickTime 6) joue un
rôle important dans l’évolution des normes pour les secteurs de l’Internet et du multimédia
sans fil, qui l’ont largement adoptée.
Utilisez MPEG-4 Partie 2 si vous souhaitez garantir la compatibilité avec les périphériques
ou lecteurs MPEG-4 Partie 2, comme les millions de smartphones et d’appareils photo
numériques qui capturent et lisent la vidéo MPEG-4 Partie 2.
La norme H.264, également appelée MPEG-4 Partie 10, est une technologie plus récente
que MPEG-4 Partie 2, offrant jusqu’à quatre fois la taille d’image de la vidéo encodée avec
le codec MPEG-4 Partie 2 pour un débit donné. Cependant, tout comme les normes
MPEG-1 et MPEG-2 sont toujours utilisées aujourd’hui, la norme MPEG-4 Partie 2 continuera
d’être utilisée.
Remarque : MPEG-4 Partie 2 est à la fois un codec QuickTime (vidéo MPEG-4) et un format
de sortie. Dans ce chapitre, nous allons considérer MPEG-4 Partie 2 comme un format de
sortie.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• À propos de MPEG-4 Partie 2 (p 238)
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 Partie 2 (p 239)
• Utilisation des réglages par défaut du format MPEG-4 Partie 2 (p 243)
• Personnalisation des réglages du format MPEG-4 Partie 2 (p 244)
• Processus de podcasting audio (p 247)
• Ajout de réglages et préréglages supplémentaires (p 250)
237
Création de fichiers de sortie
MPEG-4 19À propos de MPEG-4 Partie 2
MPEG-4 Partie 2 offre les avantages suivants.
• Conformité aux normes : la sortie est compatible avec les périphériques MPEG-4 Partie
2 et les autres lecteurs normalisés (ISMA), tels que les téléphones portables.
• Vidéo haute qualité : transcodeur polyvalent qui peut être réglé à un débit cible et, avec
un débit variable une passe, peut optimiser la qualité ou la vitesse de sortie pour un
transcodage le plus rapide possible.
• Codage audio avancé (AAC) : le format audio MPEG-4 accepte une grande variété de
données audio source et apporte à QuickTime un transcodage audio VBR réel. En outre,
il utilise le codec AAC, lequel, à débit égal, s’avère plus précis que le MP3 et permet
d’obtenir des fichiers de taille inférieure ou des fichiers de taille identique, mais de
qualité supérieure. Vous pouvez également inclure des informations de podcasting,
comme des marqueurs de chapitre accompagnés d’illustrations ou d’URL, ainsi que
diverses annotations textuelles.
• Algorithmes d’optimisation pour la lecture en continu : les algorithmes d’optimisation
indiquent la façon dont un flux vidéo est divisé en paquets pouvant être lus en continu.
Pour créer un flux vidéo, le serveur de contenu multimédia requiert des algorithmes
d’optimisation pour savoir quelles données envoyer et quand. Le principe de ces
algorithmes est de définir la taille maximum d’un paquet et sa durée maximum. Les
informations nécessaires à la lecture en continu de votre fichier de sortie sont contenues
sur une piste dite piste d’algorithme. Cette piste d’algorithme est créée pour chaque
piste multimédia (vidéo et audio) pouvant être lue en continu dans le fichier de sortie,
et est utilisée par le serveur de contenu multimédia pour convertir le média en flux de
données en temps réel.
238 Chapitre 19 Création de fichiers de sortie MPEG-4À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 Partie 2
La sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 Partie 2 permet de sélectionner un large éventail de
types et d’options de flux.
Réglages généraux de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-4
La sous-fenêtre MPEG-4 Partie 2 contient les éléments suivants :
• Champ Extension de fichier : affiche automatiquement l’extension de fichier MPEG-4
Partie 2 (.mp4), une fois que le format de sortie MPEG-4 sélectionné dans le menu local
Format de fichier ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages.
• Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Elle n’est utile que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué
et l’encodage multipasse. Étant donné que le format MPEG-4 Partie 2 utilise le mode
VBR à une seule passe, vous pouvez laisser cette case cochée dans tous les cas afin
d’accélérer le traitement distribué. Pour plus d’informations, consultez Segmentation
des tâches et encodage multipasse ou à 2 passes.
• Boutons Vidéo, Audio et Diffusion : cliquez sur ces boutons pour ouvrir les sous-fenêtres
Vidéo, Audio et Diffusion décrites ci-après.
• Podcast amélioré (fichier m4a) : activez cette case pour vous assurer que les annotations
et les métadonnées de podcasting sont enregistrées dans le fichier multimédia de
sortie. Cette option s’applique uniquement aux fichiers audio. Pour que cette option
soit disponible, désélectionnez la case Vidéo activée en haut de la fenêtre Vidéo.
• Ajuster les images du marqueur à : utilisez cette option pour spécifier la largeur et la
hauteur des images de marqueur de podcast lors de la création d’un podcast audio.
Vous pouvez également cliquer sur le bouton Automatique pour que Compressor
saisisse les valeurs. Cette option est uniquement disponible lorsque la case Vidéo activée
est désélectionnée en haut de la sousfenêtre Vidéo. Pour en savoir plus, consultez Étape
5 : Création et configuration des marqueurs du fichier multimédia de sortie.
Chapitre 19 Création de fichiers de sortie MPEG-4 239Sous-fenêtre Vidéo
La sous-fenêtre Vidéo permet de paramétrer la qualité (profil ISMA), la fréquence d’images
(images par seconde), l’intervalle de création d’une image clé et le débit de votre fichier
de sortie MPEG-4 Partie 2.
Spécifiez le débit en
introduisant une valeur
dans le champ Débit ou
en déplaçant le curseur
de défilement.
La sous-fenêtre contient les contrôles suivants.
• Case Vidéo activée : assurez-vous que cette case est cochée si vous souhaitez que les
réglages vidéo du format de sortie MPEG-4 Partie 2 soient appliqués.
• Compression vidéo : choisissez le format de compression MPEG-4 à utiliser.
• MPEG-4 de base : garantit la lecture sur tous les appareils MPEG-4 Partie 2.
• MPEG-4 amélioré : offre une meilleure qualité de sortie, mais ce réglage n’est
compatible qu’avec les appareils MPEG-4 Partie 2 les plus récents.
• Profil H.264 principal : identique au profil de ligne de base H.264, mais avec prise en
charge des exigences de vidéo en définition standard.
• Profil de ligne de base H.264 : principalement pour la visioconférence et les applications
mobiles.
• Champ et menu local Vitesse (ips) : choisissez ou saisissez un nombre pour régler la
fréquence d’images totale de votre fichier multimédia de sortie ou cliquez sur le bouton
Automatique pour que Compressor choisisse une fréquence d’images.
• Champ Intervalle entre les images-clés : saisissez une valeur pour désigner la fréquence
(nombre d’images) de création d’images clés dans votre fichier multimédia source ou
cliquez sur le bouton Automatique pour que Compressor choisisse l’intervalle de
fréquence des images clés (la valeur affichée est 0 lorsque le bouton Automatique est
activé ; la valeur réelle est déterminée durant le processus d’encodage).
• Multipasse : sélectionnez cette option pour obtenir des résultats de meilleure qualité
au prix de durées d’encodage plus longues. Cette option n’est disponible que si vous
choisissez une option H.264 dans le menu local Compression vidéo.
• Champ et curseur de défilement Débit : déplacez le curseur pour définir le débit vidéo
total de votre fichier multimédia de sortie ou saisissez une valeur spécifique dans le
champ correspondant.
240 Chapitre 19 Création de fichiers de sortie MPEG-4Sous-fenêtre Audio
La sous-fenêtre Audio vous permet de définir la qualité des pistes audio, le taux
d’échantillonnage et le débit du fichier de sortie MPEG-4.
Menu local de sélection de la
fréquence d’échantillonnage
Curseur de réglage du débit
Utilisez les contrôles suivants pour effectuer vos réglages de manière précise.
• Case à cocher Audio activé : assurez-vous que cette case est cochée si vous souhaitez
que les réglages audio du format de sortie MPEG-4 Partie 2 soient appliqués.
• Boutons Canaux : indiquez si vous souhaitez que les canaux audio de votre fichier
multimédia de sortie soient en mono ou en stéréo.
• Mono : cliquez sur ce bouton pour une sortie mono.
• stéréo. : cliquez sur ce bouton pour une sortie stéréo.
• Menu local Fréquence d’échantillonnage : choisissez l’un des taux d’échantillonnage
suivants : 8, 11,025, 12, 16, 22,05, 24, 32, 44,1, ou 48 kHz. Vous pouvez également choisir
l’option Recommandé pour que Compressor choisisse un taux d’échantillonnage adapté
aux réglages Canaux et Débit.
Remarque : si vous choisissez l’option Recommandé, le taux d’échantillonnage n’est
pas déterminé avant le lancement du transcodage.
• Menu local Qualité : choisissez l’une des qualités audio suivantes pour votre fichier de
sortie :
• Bas : permet d’obtenir un transcodage rapide au détriment de la qualité du fichier
de sortie.
• Moyen : la qualité audio est meilleure, mais la durée du transcodage augmente.
• Haute. : il s’agit de la meilleure qualité audio disponible. Choisissez cette option
quand la qualité audio du fichier de sortie est importante, quelle que soit la durée
du transcodage.
• Champ et curseur de défilement Débit : déplacez le curseur pour déterminer le débit
audio général de votre fichier multimédia de sortie, dans une gamme allant de 16 Kbps
(2 Ko/s) à 320 Kbps (40 Ko/s), ou saisissez une valeur spécifique dans le champ
correspondant.
Chapitre 19 Création de fichiers de sortie MPEG-4 241Sous-fenêtre Diffusion
La sous-fenêtre Diffusion permet de paramétrer les algorithmes d’optimisation, ainsi que
la taille maximum et la durée limite des paquets du fichier de sortie MPEG-4 Partie 2. Vous
pouvez également configurer votre fichier multimédia de sortie pour qu’il soit compatible
avec le serveur de diffusion QuickTime, version 4.1 ou précédentes.
La sous-fenêtre Diffusion contient les contrôles suivants.
• Case à cocher Optimisation de diffusion activée : assurez-vous que cette case est cochée
si vous souhaitez que les réglages de diffusion au format de sortie MPEG-4 Partie 2
soient appliqués.
• Case à cocher « Compatibilité avec QuickTime Streaming Server (antérieur à la version 4.1)
» : cochez cette case pour que votre fichier de sortie soit compatible avec les anciennes
versions de QuickTime Streaming Server (4.1 et antérieures). Ne cochez pas cette case
si vous utilisez une version plus récente de QuickTime, tous les problèmes de
compatibilité étant automatiquement résolus.
• Champ « Taille maximale des paquets » : introduisez une valeur pour indiquer la taille
maximum autorisée (en octets) des paquets du flux vidéo du fichier multimédia de
sortie. La taille des paquets ne doit pas dépasser le paquet le plus gros utilisé sur un
réseau quelconque entre le serveur de contenu multimédia et l’utilisateur.
• Champ « Durée maximale des paquets » : introduisez une valeur pour indiquer la durée
maximum autorisée (en millisecondes) des paquets du flux vidéo du fichier multimédia
de sortie. La durée a une incidence sur les paramètres audio MPEG-4 Partie 2
uniquement. Elle permet de limiter la durée maximum de la composante audio (en
millisecondes) dans chaque paquet, ce qui limite la perte d’informations audio
engendrée par la perte d’un paquet.
242 Chapitre 19 Création de fichiers de sortie MPEG-4Utilisation des réglages par défaut du format MPEG-4 Partie 2
Si vous n’avez pas besoin de personnaliser les réglages audio et vidéo de votre fichier
MPEG-4 Partie 2, vous pouvez utiliser la méthode « rapide et facile » pour transcoder vos
fichiers de données source. Pour cela, acceptez les réglages par défaut du format de sortie
MPEG-4 Partie 2
Réglages par défaut de la sous-fenêtre Vidéo
Il s’agit des réglages vidéo par défaut pour les fichiers multimédias de sortie
MPEG-4 Partie 2.
• Vidéo activée : cochée
• Compression vidéo : profil de ligne de base H.264
• Fréquence d’images : 29.97 images par seconde.
• Intervalle entre les images clés : 30 images.
• Débit : 1000 Kbps
Spécifiez le débit en
introduisant une valeur
dans le champ Débit ou
en déplaçant le curseur
de défilement.
Consultez la section Sous-fenêtre Vidéo pour obtenir plus d’informations.
Réglages par défaut de la sous-fenêtre Audio
Il s’agit des réglages audio par défaut pour les fichiers multimédias de sortie
MPEG-4 Partie 2.
• Audio activée : cochée
• Canaux : stéréo.
• Échantillonnage : 44,100 kHz.
• Qualité : haute.
Chapitre 19 Création de fichiers de sortie MPEG-4 243• Débit : 128 Kbps
Menu local de sélection de la
fréquence d’échantillonnage
Curseur de réglage du débit
Consultez la section Sous-fenêtre Audio pour obtenir plus d’informations.
Réglages par défaut de la sous-fenêtre Diffusion
Il s’agit des réglages de diffusion par défaut pour les fichiers multimédias de sortie
MPEG-4 Partie 2.
• Optimisation de diffusion activée : cochée
• Taille maximale des paquets : 1450 octets.
• Durée maximale des paquets : 100 millisecondes.
Consultez la section Sous-fenêtre Diffusion pour obtenir plus d’informations.
Si ces paramètres vous conviennent, le paramétrage est terminé et vous pouvez dès à
présent commencer le transcodage de vos fichiers multimédias sources.
Personnalisation des réglages du format MPEG-4 Partie 2
Si vous voulez personnaliser les réglages de format de fichier MPEG-4 Partie 2, le processus
de transcodage décrit précédemment n’est pas suffisant et il est nécessaire d’en réaliser
un plus détaillé.
• Étape 1 : Personnalisation des réglages vidéo MPEG-4
• Étape 2 : Personnalisation des réglages audio MPEG-4
244 Chapitre 19 Création de fichiers de sortie MPEG-4• Étape 3 : Modification des réglages de diffusion MPEG-4
Étape 1 : Personnalisation des réglages vidéo MPEG-4
La sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 vous permet d’ajuster les réglages vidéo MPEG-4.
Pour ouvrir la sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 et ajuster les réglages vidéo MPEG-4
1 Dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur la sous-fenêtre Encodeur et choisissez MPEG-4
dans le menu local Format de fichier.
La sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 s’ouvre. Le champ Extension indique mp4 et la
sous-fenêtre Vidéo est au premier plan.
2 Ajustez les réglages vidéo MPEG-4 à l’aide des contrôles disponibles.
Remarque : assurez-vous que la case Vidéo activée est cochée.
Consultez la section Sous-fenêtre Vidéo pour plus de détails sur les réglages vidéo MPEG-4
Partie 2.
Si vous ne souhaitez pas modifier d’autres attributs, le réglage MPEG-4 peut être attribué
tel quel à un fichier multimédia source selon la méthode habituelle. Consultez Préparation
de Compressor au transcodage à l’aide de réglages personnalisés pour obtenir plus
d’informations. Sinon, passez à l’étape suivante pour modifier les réglages audio MPEG-4.
Étape 2 : Personnalisation des réglages audio MPEG-4
La sous-fenêtre Audio vous permet d’ajuster les réglages audio MPEG-4.
Chapitre 19 Création de fichiers de sortie MPEG-4 245Pour ouvrir la sous-fenêtre Audio et ajuster les réglages audio MPEG-4
1 Cliquez sur le bouton Audio pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante.
Menu local de sélection de la
fréquence d’échantillonnage
Curseur de réglage du débit
2 Ajustez les paramètres audio MPEG-4 à l’aide des contrôles disponibles.
Remarque : assurez-vous que la case Audio activé est cochée.
Consultez la section Sous-fenêtre Audio pour plus de détails sur les réglages audio MPEG-4
Partie 2.
Si vous ne souhaitez pas modifier d’autres attributs, le réglage MPEG-4 peut être attribué
tel quel à un fichier multimédia source selon la méthode habituelle. Consultez Préparation
de Compressor au transcodage à l’aide de réglages personnalisés pour obtenir plus
d’informations. Sinon, passez à l’étape suivante pour modifier les réglages de diffusion.
Étape 3 : Modification des réglages de diffusion MPEG-4
La sous-fenêtre Diffusion vous permet de modifier les réglages de diffusion MPEG-4.
Pour ouvrir la sous-fenêtre Diffusion et modifier les réglages de diffusion
1 Cliquez sur le bouton Diffusion pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante.
2 Cochez la case « Compatibilité avec QuickTime Streaming Server (pré-4.1) » si vous prévoyez
de distribuer vos fichiers via une version de QuickTime Streaming Server antérieure à la
version 4.1.
3 Saisissez de nouvelles valeurs dans les champs « Taille maximale des paquets » et « Durée
maximale des paquets », et assurez-vous que la case « Optimisation de la diffusion activée »
est cochée.
246 Chapitre 19 Création de fichiers de sortie MPEG-44 Consultez la section Sous-fenêtre Diffusion pour plus de détails sur les réglages vidéo
MPEG-4 Partie 2.
Processus de podcasting audio
Compressor facilite la création de podcasts audio évolués reposant sur le format de sortie
MPEG-4. Un podcast audio évolué comprend des informations de podcasting telles que
des marqueurs de chapitre ou de podcast accompagnés d’illustrations et d’URL, ainsi que
diverses annotations textuelles. Pour créer un podcast audio, procédez comme suit.
• Étape 1 : Configuration de la sortie MPEG-4 pour une sortie audio uniquement
• Étape 2 : Ajout d’informations de podcasting
• Étape 3 : Application du réglage à la cible d’un fichier multimédia source
• Étape 4 : Saisie des annotations destinées au fichier multimédia de sortie
• Étape 5 : Création et configuration des marqueurs du fichier multimédia de sortie
• Étape 6 : Soumission de la tâche et vérification du fichier multimédia de sortie
Étape 1 : Configuration de la sortie MPEG-4 pour une sortie audio
uniquement
Pour configurer les réglages MPEG-4 pour une sortie audio uniquement (telle que des
podcasts), procédez comme suit.
Pour ouvrir la sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 et la configurer pour des fichiers
multimédias de sortie audio uniquement
1 Dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur la sous-fenêtre Encodeur et choisissez MPEG-4
dans le menu local Format de fichier.
2 Cliquez sur le bouton Vidéo pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante.
3 Désélectionnez la case Vidéo activée.
4 Cliquez sur le bouton Audio pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante.
5 Sélectionnez la case Audio activé.
La sortie MPEG-4 est alors configurée pour être un fichier audio uniquement (.m4a). Vous
pouvez également configurer d’autres réglages dans la fenêtre Audio si nécessaire.
Étape 2 : Ajout d’informations de podcasting
Pour inclure des informations de podcasting, procédez comme suit.
Chapitre 19 Création de fichiers de sortie MPEG-4 247Pour configurer la sortie MPEG-4 afin qu’elle comprenne des informations de podcasting
1 Cochez la case « Podcast amélioré (fichier m4a) » au bas de la fenêtre de l’inspecteur.
Décochez cette case
pour activer la case
« Autoriser les
informations
sur le podcast ».
Activez cette case pour inclure les
informations de podcasting dans
le fichier multimédia de sortie.
Cette case est disponible uniquement si vous avez désélectionné l’option Vidéo activée
dans la fenêtre Vidéo. L’activation de cette case garantit que toutes les annotations et
tous les marqueurs de chapitre et de podcast, ainsi que les illustrations et les URL, sont
incorporés au fichier multimédia de sortie.
2 Enregistrez ce réglage pour pouvoir l’appliquer à la cible d’un fichier multimédia source.
Étape 3 : Application du réglage à la cible d’un fichier multimédia source
Vous devez appliquer le réglage à la cible d’un fichier multimédia source pour pouvoir
configurer les informations de podcasting que ce réglage vous permet d’ajouter au fichier
multimédia de sortie. Consultez la section Affectation de réglages à des fichiers
multimédias sources pour obtenir plus d’informations.
Étape 4 : Saisie des annotations destinées au fichier multimédia de sortie
Vous disposez de l’option d’ajout d’annotations (telles que les remerciements au
producteur, des mots-clés et des informations de copyright).
Pour ouvrir l’onglet Informations supplémentaires et saisir des annotations
1 Cliquez sur une zone non cible de la tâche créée par le fichier multimédia source.
La fenêtre Inspecteur affiche les onglets Attributs A/V, Informations supplémentaires et
Action de tâche.
2 Cliquez sur l’onglet Informations supplémentaires.
248 Chapitre 19 Création de fichiers de sortie MPEG-43 L’onglet Informations supplémentaires vous permet d’ajouter des annotations, telles que
le titre ou le nom de l’artiste, au fichier multimédia de sortie.
Choisissez des éléments dans
ce menu local pour les inclure
comme annotations dans le
fichier multimédia de sortie.
4 Choisissez dans le menu local d’ajout d’annotations un élément à ajouter au fichier
multimédia de sortie.
L’élément sélectionné apparaît dans la colonne Annotation.
5 Double-cliquez sur la colonne Valeur de l’élément pour saisir le texte de l’annotation.
6 Répétez cette procédure pour chaque élément d’annotation à ajouter au fichier multimédia
de sortie.
Consultez la section Utilisation de l’Inspecteur avec des fichiers multimédias sources pour
obtenir plus d’informations.
Lorsque la tâche est sélectionnée, vous pouvez éventuellement utiliser l’onglet Action
de tâche pour que le fichier multimédia de sortie soit automatiquement ajouté à une
liste de lecture de la bibliothèque iTunes. Pour plus d’informations, consultez les sections
Ajout d’actions et À propos des actions de tâche.
Étape 5 : Création et configuration des marqueurs du fichier multimédia
de sortie
Vous pouvez utiliser la fenêtre Aperçu pour ajouter et configurer des marqueurs de
chapitre et de podcast destinés au fichier multimédia de sortie. Vous pouvez ajouter
manuellement les marqueurs ou importer une liste de marqueurs de chapitre. Chaque
marqueur de chapitre et de podcast peut porter un nom, être associé à une URL ou
recevoir une image ajoutée comme illustration.
Chapitre 19 Création de fichiers de sortie MPEG-4 249Pour contrôler la taille des images de marqueur, vous pouvez également saisir des valeurs
dans le réglage « Ajuster les images du marqueur à » au bas de la fenêtre MPEG-4 de
l’inspecteur.
Lors de la lecture du fichier, l’illustration est affichée avec l’URL (sur laquelle l’utilisateur
peut cliquer pour l’ouvrir dans un navigateur web).
Pour en savoir plus sur l’ajout et la configuration des marqueurs dans la fenêtre Aperçu,
consultez Utilisation de marqueurs et d’affiches.
Étape 6 : Soumission de la tâche et vérification du fichier multimédia de
sortie
Une fois que vous avez ajouté les annotations et les marqueurs au fichier, vous pouvez
le soumettre pour créer le fichier multimédia de sortie.
Une fois le processus d’encodage terminé, vous pouvez ouvrir le fichier multimédia de
sortie dans le lecteur QuickTime pour vérifier que les marqueurs, les URL et les illustrations
s’affichent comme prévu.
Ajout de réglages et préréglages supplémentaires
Bien que le réglage du format de sortie constitue la partie la plus importante du processus
de Compressor, vous pouvez également ajouter d’autres réglages et préréglages, tels
que les filtres, le rognage, la taille des images, les actions et les destinations. Pour plus
d’instructions sur la manière d’ajouter ces paramètres, consultez les chapitres suivants :
• Ajout de filtres à un réglage
• Utilisation des contrôles d’images
• Ajout de réglages de géométrie
• Ajout d’actions
• Création et changement de destinations
250 Chapitre 19 Création de fichiers de sortie MPEG-4Vous pouvez utiliser Compressor pour produire une grande variété de formats
supplémentaires à l’aide de la fonction de module du composant QuickTime.
Le présent chapitre décrit comment profiter de la fonction de module du composant
QuickTime donnant accès à une grande variété d’autres formats de fichier, que Compressor
peut produire à partir de vos fichiers multimédias sources.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime (p 251)
• Installation des modules de composant d’exportation QuickTime (p 252)
• À propos du module iPod (p 252)
• À propos de la sous-fenêtre Encodeur Composants d’exportation au format QuickTime
(p 253)
• Configuration des réglages de composant d’exportation (p 253)
Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime
Compressor et QuickTime peuvent également être étendus afin de prendre en charge
des options de codec et formats tiers supplémentaires. Cette section se concentre sur la
fonctionnalité de module de composant QuickTime qui vous permet d’exporter des
formats de fichier exotiques pouvant être lus sur des périphériques et systèmes
d’exploitation de tierce partie, tels que les téléphones portables. Contrairement aux
séquences QuickTime, ces fichiers exportés ne peuvent pas être lus par QuickTime Player
ou d’autres applications QuickTime. Pour en savoir plus sur le format de fichier de séquence
QuickTime natif, voir Création de fichiers de sortie QuickTime.)
Par le passé, la création de ces types de fichier nécessitait plusieurs étapes et plusieurs
systèmes d’exploitation : l’exportation du fichier, son déplacement vers un ordinateur sur
une autre plate-forme, puis l’encodage à l’aide d’une autre application logicielle. La
fonctionnalité Composants d’exportation QuickTime vous permet de contrôler le moteur
d’encodage tiers sans avoir à ouvrir une autre application. Cela permet de rationaliser le
flux de production tout en vous permettant de gagner du temps et d’éviter de travailler
avec plusieurs systèmes d’exploitation et logiciels.
251
Création de fichiers de sortie
d’exportation QuickTime 20Installation des modules de composant d’exportation QuickTime
Sans aucun autre logiciel de tierce partie, Compressor prend actuellement en charge
l’encodage 3G, AVI et iPod. La fonctionnalité de composant d’exportation de Compressor
a été développée pour permettre l’ajout de modules d’exportation supplémentaires dans
le futur. Il suffira d’installer le logiciel tiers, puis de choisir le format de fichier de sortie
correspondant dans le menu local Type d’encodeur de la sous-fenêtre Encodeur
Composants d’exportation au format QuickTime de la fenêtre Inspecteur.
Pour en savoir plus sur les modules et mises à jour disponibles
µ Allez au site web d’assistance Compressor à l’adresse
http://www.apple.com/fr/support/Compressor.
À propos du module iPod
Le format Composants d’exportation au format QuickTime comporte un type d’encodeur
pour iPod. Cet encodeur crée un fichier de sortie qui peut être lu sur un iPod à l’aide d’un
Encodeur H.264 pour la vidéo et un encodeur AAC pour l’audio. Tous les réglages
(dimension de l’image, fréquence d’images, etc.) sont définis automatiquement.
Les inconvénients de l’utilisation de ce module (par rapport à l’utilisation du format de
sortie H.264 pour périphériques Apple) sont l’impossibilité de bénéficier du traitement
distribué, d’ajouter des marqueurs de chapitre et d’utiliser la sous-fenêtre Contrôles
d’image.
Voir Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple pour en savoir plus sur la
création de fichiers de données de sortie iPod.
252 Chapitre 20 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTimeÀ propos de la sous-fenêtre Encodeur Composants d’exportation
au format QuickTime
Les options suivantes apparaissent lorsque vous choisissez le format de sortie Composants
d’exportation au format QuickTime dans le menu local Format de fichier de la sous-fenêtre
Encodeur de la fenêtre Inspecteur :
Champ Extension de fichier
Choisissez « Composants d’exportation
au format QuickTime ».
Cliquez pour afficher
les options du module
d’encodage.
Choisissez un module
d’encodage.
• Extension de fichier : ce champ indique l’extension de fichier pour le format de sortie
sélectionné dans le menu Type d’encodeur.
• Autoriser la segmentation des tâches : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Elle n’est utile que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué
et l’encodage multipasse. Pour plus d’informations, consultez Segmentation des tâches
et encodage multipasse ou à 2 passes.
• Type d’encodeur : utilisez ce menu local pour choisir parmi les formats de sortie de
composant d’exportation disponibles (modules).
• Options : cliquez sur ce bouton (si actif) pour ouvrir la fenêtre Réglages correspondant
au format de fichier de sortie sélectionné dans le menu local Type d’encodeur.
Configuration des réglages de composant d’exportation
Lorsque vous choisissez Composants d’exportation au format QuickTime comme format
de sortie, vous pouvez uniquement créer des réglages pour les modules d’exportation
installés.
Pour créer des réglages Composants d’exportation au format QuickTime
1 Dans l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Assurez-vous que le réglage correct est sélectionné.
• Créez un réglage en choisissant « Composants d’exportation au format QuickTime »
dans le menu local « Créer un réglage » (+).
Chapitre 20 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime 2532 Choisissez un format de fichier de sortie dans le menu local Type d’encodeur.
3 Cliquez sur le bouton Options (si actif) dans la sous-fenêtre Encodeur.
La fenêtre Réglages de ce format de fichier de sortie particulier apparaît.
Configurez des réglages
pour le composant
d’exportation QuickTime.
Important : utilisez l’interface utilisateur du module d’exportation tiers pour saisir de
façon explicite la largeur, la hauteur et la fréquence d’images caractérisant le fichier de
sortie. Évitez de laisser les champs de largeur, de hauteur et de fréquence d’images dans
l’interface utilisateur de tierce partie avec les valeurs par défaut (actuelles).
4 Cliquez sur OK pour enregistrer vos réglages et fermer la zone de dialogue.
Remarque : la fonction Contrôles d’images de Compressor n’est pas disponible lors de
l’utilisation de la fonction Composants d’exportation au format QuickTime.
254 Chapitre 20 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTimeCompressor fournit les outils nécessaires pour créer des fichiers multimédias QuickTime.
QuickTime est une technologie multimédia multiplateforme qui permet aux applications
Mac OS de capturer et de lire des fichiers vidéo et audio, ainsi que des fichiers d’images
fixes. QuickTime prend en charge un large éventail de codecs et peut aussi être mis à
niveau pour accepter des options de codec supplémentaires, ainsi que des codecs tiers.
Voir Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime pour en savoir plus sur les
options d’exportation QuickTime supplémentaires.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Création de fichiers de sortie QuickTime (p 255)
• À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime (p 256)
• Flux de production de transcodage QuickTime (p 263)
• Compréhension des codecs (p 267)
• Codecs vidéo QuickTime (p 267)
• Codecs audio QuickTime (p 268)
Création de fichiers de sortie QuickTime
QuickTime est une norme ouverte intégrant de nombreux codecs ; elle constitue à la fois
une architecture multimédia et une architecture de diffusion de contenu largement
utilisée pour la création et la distribution. Par exemple, QuickTime est utilisé comme
format par défaut de la plupart des applications de montage et de composition vidéo.
QuickTime contient un grand nombre de codecs audio et vidéo appropriés à toutes les
situations, des flux vidéo aux DVD. L’architecture QuickTime peut aussi manipuler des
formats de fichier autres que les séquences QuickTime, par exemple les fichiers AVI et les
flux 3G. Pour plus d’informations sur la création de ces types de format, consultez Création
de fichiers de sortie d’exportation QuickTime.
255
Création de fichiers de sortie
QuickTime 21Fichiers multimédias QuickTime pour le web
Vous pouvez transmettre en continu vos fichiers multimédias de sortie sur Internet à
l’aide de QuickTime, après leur compression à un débit approprié à la bande passante
supposée des utilisateurs. Pour ce faire, convertissez vos fichiers multimédias de sortie
en séquences QuickTime Fast Start (téléchargement placé d’avance en mémoire tampon)
ou en séquences QuickTime Streaming.
Compressor vous permet de choisir différentes options de diffusion en continu via le
menu local Diffusion dans la sous-fenêtre Encodeur QuickTime. Consultez la section du
menu local Diffusion pour plus d’informations sur la diffusion en continu de fichiers
multimédias QuickTime sur Internet.
À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime
Les options suivantes apparaissent lorsque vous choisissez Séquence QuickTime dans le
menu local Format de fichier :
Tableau résumé
Champ d’extension de fichier
Bouton Options (désactivé
sauf si Diffusion optimisée
est sélectionnée)
Menu local de diffusion
Sélection des informations
de zone nette
Réglages de base de la sous-fenêtre Encodeur Séquence QuickTime
Ces options de base permettent de contrôler les réglages de séquence QuickTime plus
spécifiques ci-après.
• Champ Extension de fichier : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier
QuickTime (.mov) une fois le format de sortie QuickTime sélectionné dans le menu local
Format du fichier ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages.
256 Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTime• Autoriser la segmentation des tâches : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Elle n’est utile que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué
et l’encodage multipasse. Pour plus d’informations, consultez la section Segmentation
des tâches et encodage multipasse ou à 2 passes.
• Réglages vidéo et Réglages audio : ces boutons ouvrent respectivement les zones de
dialogue Réglages de compression et Réglages audio de QuickTime. Utilisez ces zones
de dialogue pour sélectionner les codecs appropriés et modifier les autres paramètres
de compression audio ou vidéo. Consultez les sections À propos de la zone de dialogue
Réglages audio et À propos de la zone de dialogue Réglages de compression pour plus
d’informations sur ces zones de dialogue.
• Passthrough activé/désactivé : utilisez ces menus locaux pour activer ou désactiver les
réglages Vidéo et Audio.Activé signifie que la piste vidéo ou audio sera incluse dans la
séquence de sortie. Désactivé signifie que la piste vidéo ou audio sera exclue de la
séquence de sortie. Passthrough (audio uniquement) signifie que Compressor va copier
les données audio dans la séquence de sortie sans les modifier. Un exemple pertinent
est celui où vous devez convertir des fichiers HD (haute définition) incluant plusieurs
pistes audio en fichiers SD (définition standard) sans pour autant gêner les pistes audio.
Remarque : si vous exportez une séquence filmée de Final Cut Pro à Compressor (par
les menus Fichier > Exporter > Via Compressor) et que vous appliquiez un réglage avec
l’option « Passthrough » activée, la partie audio du réglage se change bien alors en
réglage PCM en fonction de celui de la séquence et du nombre de canaux, mais une
seule piste est alors créée au moment de l’exportation de sortie. Si la fonction de
passthrough audio est nécessaire pour une séquence filmée Final Cut Pro, exportez
une séquence QuickTime (menus Fichier > Exporter > Séquence QuickTime), puis
importer la séquence dans Compressor.
Important : si « Passthrough » est sélectionné, les filtres de la sous-fenêtre Filtre ne sont
pas disponibles. De plus, les contrôles de resynchronisation de la sous-fenêtre Contrôles
d’image ne corrigerons pas l’audio, ce qui peut provoquer des erreurs de synchronisation
de la vidéo.
• Diffusion : choisissez une option de diffusion QuickTime dans ce menu local.
• Aucun : si vous choisissez cette option (sélectionnée par défaut), votre fichier
multimédia de sortie ne sera pas diffusé en continu sur Internet.
• Lancement rapide : grâce à cette option, votre fichier multimédia de sortie peut être
visualisé avant même qu’il ne soit complètement téléchargé depuis son serveur.
• Lancement rapide - En-tête comprimé : cette option produit le même résultat que
Lancement rapide (visualisation de votre fichier multimédia de sortie avant même
qu’il ne soit complètement téléchargé depuis le serveur), mais les fichiers multimédias
de sortie sont moins volumineux.
Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTime 257• Diffusion optimisée : cette option permet d’ajouter des pistes d’indices au fichier
multimédia de sortie, afin qu’il puisse être utilisé avec un serveur QuickTime Streaming
Server.
• Bouton Options : ce bouton reste inactif tant que l’option Diffusion optimisée n’est pas
sélectionnée dans le menu local Diffusion. Lorsque vous cliquez sur ce bouton, la zone
de dialogue Réglage d’exportation d’indications de QuickTime s’ouvre, vous permettant
de choisir des réglages supplémentaires pour les algorithmes d’optimisation de votre
flux de données.
• Case Ajouter des informations de zone nette : cette case (sélectionnée par défaut) vous
permet de choisir si vous souhaitez ajouter des informations définissant les bords de
la photo nette dans le fichier de sortie.
Remarque : cette option n’a pas d’incidence sur les pixels du fichier de sortie, elle
contrôle uniquement si des informations qu’lecteur peut utiliser pour masquer les bords
de la photo sont ajoutées ou non au fichier.
• Si la case est sélectionnée : des informations définissant le nombre de pixels à masquer
pour garantir qu’aucun artefact indésirable n’apparaisse le long des bords sont
ajoutées au fichier de sortie. Lorsque le fichier de sortie est reproduit avec
QuickTime Player, cette option peut provoquer une légère altération des proportion
de pixels.
• Si la case n’est pas sélectionnée : aucune information de zone nette n’est ajoutée au
fichier de sorite. Telle était la méthode standard dans Compressor 3.0.5 et antérieur.
• Tableau de résumé : affiche des détails complets pour ce réglage.
Réglages vidéo et audio QuickTime
Les boutons Réglages vidéo et Réglages audio de QuickTime apparaissent dans la
sous-fenêtre Encodeur si vous sélectionnez Séquence QuickTime comme format de fichier
de sortie. Le bouton Réglages audio apparaît également si vous choisissez AIFF dans le
menu local Format de fichier. Ces boutons vous permettent d’ouvrir les zones de dialogue
Réglages de compression et Réglages Audio, dans lesquelles vous pouvez modifier
l’ensemble des codecs vidéo ou audio que vous souhaitez ajouter au réglage sélectionné
sous l’onglet Réglages.
Par défaut, les boutons Réglages vidéo et Réglages audio sont actifs, mais vous pouvez
les désactiver en décochant leur case respective.
Paramètres des codecs vidéo
Le bouton Réglages vidéo QuickTime donne accès aux codecs vidéo QuickTime
actuellement installés.
Pour en savoir plus sur le mode de personnalisation des paramètres des codecs vidéo,
voir Étape 2 : Ajout d’un codec vidéo QuickTime.
258 Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTimeTous les codecs sont compatibles avec QuickTime, mais il est conseillé d’utiliser ceux
indiqués ci-dessous si vous avez l’intention de lire votre fichier de sortie avec le lecteur
QuickTime :
• H.264
• Photo-JPEG
Paramètres des codecs audio
Le bouton Réglages audio QuickTime donne accès aux codecs audio QuickTime
actuellement installés.
Pour en savoir plus sur le mode de personnalisation des paramètres des codecs audio,
voir Étape 3 : Ajout d’un codec audio QuickTime.
Tous les codecs sont compatibles avec QuickTime, mais il est conseillé d’utiliser ceux
indiqués ci-dessous si vous avez l’intention de lire votre fichier multimédia de sortie avec
le lecteur QuickTime :
• AAC
• IMA 4:1
Consultez la section Codecs audio QuickTime pour plus d’informations sur les codecs
audio.
Marqueurs de chapitre et de podcast pour la sortie au format QuickTime
Les marqueurs de chapitre de Final Cut Pro sont transférés dans d’autres fichiers de sortie
reconnaissables par QuickTime Player, iTunes (fichiers .m4v) et Final Cut Pro. Pour en
savoir plus sur l’ajout de marqueurs de chapitre et de podcast, consultez Utilisation de
marqueurs et d’affiches.
À propos de la zone de dialogue Réglages de compression
Utilisez la zone de dialogue Réglages de compression pour modifier les paramètres des
codecs vidéo du format de sortie QuickTime. Pour ouvrir la zone de dialogue Réglages
de compression, cliquez sur le bouton Réglages vidéo dans la sous-fenêtre Encodeur
QuickTime.
Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTime 259Les éventuels réglages qui ne peuvent pas être modifiés restent inactifs. Certains codecs
vidéo, comme Photo-JPEG, vous permettent d’effectuer des réglages supplémentaires.
Dans ce cas, le bouton Options deviendrait actif. Cliquez dessus pour procéder à des
ajustements auxiliaires.
Choisissez une fréquence
d’images dans ce menu local.
Cliquez sur le bouton Options pour accéder à
des réglages de configuration supplémentaires.
Sélectionnez un type de
compressiondans ce
menu local.
La zone de dialogue Réglages de compression contient les éléments suivants, en fonction
du codec que vous choisissez dans le menu local Type de compression.
Sélection de compression
la sélection de compression, située en haut de la fenêtre, détermine les réglages activés
dans le reste de la fenêtre.
• Type de compression : utilisez ce menu local pour choisir le codec vidéo à ajouter à votre
préréglage.
260 Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTimeZone de mouvement
les réglages Zone de mouvement sont uniquement activés pour certains codecs.
• Fréquence d’images : avec ce menu local, vous pouvez réduire la fréquence d’images
de votre fichier original afin de réduire la taille du fichier compressé. En effet, des
fréquences d’images élevées rendent les mouvements plus réguliers, mais requièrent
une bande passante plus large. Utilisez le menu local Fréquence d’images pour choisir
une autre fréquence d’images, mais sachez que pour obtenir des résultats optimaux,
la valeur de fréquence d’images du fichier original doit être divisible par la nouvelle
valeur. Par exemple, si votre fichier original avait une fréquence d’images égale à
30 images par seconde, vous devriez utiliser une fréquence d’images de 10 ou de
15 images par seconde. Le choix d’une fréquence égale ou à peu près égale à 24 images
par seconde entraînerait un mouvement irrégulier, voire une perte d’images, car 30
n’est pas divisible par 24. Choisissez parmi les options suivantes : 8, 10, 12, 15, 23.98,
24, 25, 29.97, 30, 59.94, 60 ips, ou choisissez Personnalisé afin de saisir une valeur
manuellement.
• Images clés : si le codec que vous avez sélectionné le permet, utilisez le champ « Image
clé toutes les » pour saisir le nombre d’images souhaité entre deux images clés. Les
codecs qui reposent sur une méthode de compression temporelle utilisent des images
clés. Celles-ci servent d’images de référence pour la séquence d’images suivante, ce
qui permet de supprimer n’importe quelle donnée redondante entre l’image clé et les
images suivantes. Les images clés sont séparées par des images delta moins détaillées.
L’insertion d’images clés dans votre fichier multimédia est nécessaire à cause des
variations de contenu. Certains codecs vidéo permettent d’insérer une image clé toutes
les X images, alors que d’autres utilisent des images clés naturelles en analysant la
totalité du fichier pour rechercher des similarités et différences importantes, puis en
insérant des images clés en fonction des résultats obtenus.
Si votre fichier multimédia comporte beaucoup de mouvements, vous devez insérer
des images clés plus souvent que vous ne le feriez avec un contenu plus statique,
comme une séquence montrant un présentateur.
Zone Débit de données
la zone Débit de données est uniquement activée pour certains codecs.
• Débit de données : utilisez ce champ pour définir le nombre de kilo-octets par seconde
(Ko/s) requis pour diffuser votre fichier multimédia. Ce réglage est utile si vous utilisez
un débit spécifique (tel qu’une connexion DSL) ou une quantité d’espace spécifique
(sur un DVD ou un CD-ROM). Vous devriez choisir un débit approprié pour une diffusion
moyenne et, dans la mesure du possible, le configurer au maximum dans les limites
de vos données. Ce paramètre est prioritaire sur tous les autres paramètres de qualité
du codec, car ce dernier compresse le fichier autant que possible, conformément au
débit limite introduit.
Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTime 261N’oubliez pas que le débit ne concerne que la piste vidéo de votre fichier multimédia.
Si votre fichier multimédia possède également des données audio, vous devez aussi
en tenir compte.
Zone Compressor
la zone Compressor change en fonction du codec sélectionné via le menu local Type de
compression.
• Bouton Options : ce bouton est estompé, sauf si le codec sélectionné dans le menu
local Type de compression propose des options. Il est conseillé de contacter directement
les fabricants de ces codecs pour obtenir plus d’informations sur les options
supplémentaires offertes.
Zone Aperçu
La zone Aperçu n’est pas utilisée.
À propos de la zone de dialogue Réglages audio
Utilisez la zone de dialogue Réglages audio pour modifier les réglages de compression
audio des formats de sortie QuickTime ou AIFF. Pour ouvrir cette zone de dialogue, cliquez
sur le bouton Réglages audio dans la sous-fenêtre Séquence QuickTime ou Encodeur
AIFF.
Les éventuels réglages audio qui ne peuvent pas être modifiés restent inactifs. La plupart
des codecs audio permettent d’effectuer des réglages supplémentaires. Dans ce cas, vous
avez accès à différents boutons et commandes. Cliquez dessus pour procéder à d’autres
ajustements.
Menu local Format
Champ et menu local Fréquence
Case à cocher « Afficher
les réglages avancés »
La zone de dialogue Réglages audio contient les éléments suivants, avec différents choix
pour chacun, en fonction du codec audio que vous choisissez dans le menu local Format.
• Format : choisissez le codec audio à ajouter à votre réglage.
262 Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTime• Canaux : choisissez le type de sortie de canal (mono ou stéréo) ou un type de sortie
multicanal, en fonction du codec.
• Débit : choisissez le taux d’échantillonnage à appliquer à votre fichier multimédia. Plus
le taux d’échantillonnage est important, meilleure est la qualité, mais plus le fichier est
volumineux. Or, le téléchargement de fichiers volumineux est plus long et requiert une
bande passante plus large.
• Afficher les réglages avancés : cette case à cocher demeure grisée, sauf si le codec
sélectionné dans le menu local Format de fichier offre des options. Il est conseillé de
contacter directement les fabricants de ces codecs pour obtenir plus d’informations
sur les options supplémentaires offertes.
Tailles et fréquences d’échantillonnage audio QuickTime
Si vous disposez de l’espace disque et de la bande passante suffisants, il est préférable
de ne pas compresser les données audio. Les données audio non compressées utilisent
normalement des échantillons 8 bits (qualité téléphone) ou 16 bits (qualité CD).
Compressor prend en charge un maximum de 64 bits par échantillon en virgule flottante
et une fréquence d’échantillonnage maximale de 192 kHz.
Choix d’un codec audio
AAC est un bon codec de diffusion audio polyvalent, compatible avec un large éventail
de périphériques de lecture. Le codec IMA 4:1 est une option plus adaptée aux séquences
QuickTime lues sur des ordinateurs plus lents, car il demande moins de puissance de
calcul et permet à l’ordinateur de se concentrer sur le flux vidéo plus exigeant. Consultez
la section Codecs audio QuickTime pour plus d’informations sur les codecs audio.
Flux de production de transcodage QuickTime
Les sections suivantes présentent le processus de transcodage nécessaire à la création
de fichiers multimédias de sortie QuickTime.
• Étape 1 : Ouverture de la sous-fenêtre Encodeur QuickTime
• Étape 2 : Ajout d’un codec vidéo QuickTime
• Étape 3 : Ajout d’un codec audio QuickTime
Étape 1 : Ouverture de la sous-fenêtre Encodeur QuickTime
Il existe une multitude de codecs vidéo et audio QuickTime à choisir dans Compressor.
Ceux-ci sont accessibles par l’intermédiaire des zones de dialogue Réglages de compression
et Réglages audio, que vous ouvrez à partir de la sous-fenêtre Encodeur QuickTime en
cliquant sur les boutons Réglages vidéo et Réglages audio.
Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTime 263Pour confirmer ou créer un réglage Séquence QuickTime
1 Dans l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Assurez-vous que le réglage correct est sélectionné.
• Créez un réglage en choisissant Séquence QuickTime dans le menu local « Créer un
réglage (+) ».
2 Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur dans la fenêtre Inspecteur.
La sous-fenêtre Encodeur QuickTime s’affiche par défaut, avec les boutons Réglages vidéo
et Réglages audio, les menus locaux Activer, le menu local Diffusion, le bouton Options
(inactif) et le tableau Résumé. Consultez la section À propos de la sous-fenêtre AIFF
Encoder QuickTime pour obtenir plus d’informations.
Remarque : assurez-vous que les menus locaux Activer en regard des boutons Réglages
sont réglés sur Activé si vous souhaitez inclure ces réglages dans le transcodage.
Étape 2 : Ajout d’un codec vidéo QuickTime
Pour ajouter un codec vidéo QuickTime à votre réglage, ouvrez la zone de dialogue
Réglages de compression, puis choisissez un codec vidéo dans le menu local Type de
compression.
Remarque : si vous ne comptez pas utiliser de réglages vidéo, choisissez Désactivé dans
le menu local.
Pour ouvrir la sous-fenêtre Encodeur QuickTime et appliquer un codec vidéo
1 Cliquez sur le bouton Réglages vidéo dans la sous-fenêtre Encodeur QuickTime.
264 Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTimeLa zone de dialogue Réglages de compression s’ouvre.
Choisissez un codec
vidéo dans le menu local
Type de compression.
2 Choisissez un codec vidéo dans le menu local Type de compression, puis acceptez ses
réglages par défaut ou personnalisez les autres réglages (dans les zones Mouvement,
Débit de données et Compressor). Consultez les sections ci-dessous pour de plus amples
informations sur les codecs vidéo :
• Paramètres des codecs vidéo
• À propos de la zone de dialogue Réglages de compression
• Codecs vidéo QuickTime
Remarque : vous pouvez voir le contenu actuel du réglage en affichant le tableau Résumé.
3 Cliquez sur OK pour enregistrer les modifications et fermer la zone de dialogue.
Étape 3 : Ajout d’un codec audio QuickTime
Si vous souhaitez ajouter un codec audio à votre réglage, ouvrez la zone de dialogue
Réglages audio, puis choisissez vos paramètres de codec audio.
Remarque : si vous ne comptez pas utiliser de réglages audio, choisissez Désactivé dans
le menu local.
Pour ouvrir la sous-fenêtre Encodeur QuickTime et appliquer un codec audio
1 Cliquez sur le bouton Réglages audio dans la sous-fenêtre Encodeur QuickTime.
Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTime 265La zone de dialogue Réglages audio s’ouvre.
Choisissez un codec audio
dans le menu local Format.
2 Choisissez un codec audio dans le menu local Format, puis acceptez ses paramètres par
défaut ou personnalisez les autres réglages du codec audio (le format, les canaux, la
fréquence d’échantillonnage et, si possible, les options).
Consultez les sections ci-dessous pour de plus amples informations sur les codecs audio :
• Paramètres des codecs audio
• À propos de la zone de dialogue Réglages audio
• Codecs audio QuickTime
Remarque : vous pouvez voir le détail du contenu actuel du réglage en affichant le tableau
Résumé.
3 Cliquez sur OK pour enregistrer vos réglages et fermer la zone de dialogue.
Ajout de réglages et préréglages supplémentaires
Bien que le réglage du format de sortie constitue la partie la plus importante du processus
de Compressor, vous pouvez également ajouter d’autres réglages et préréglages, tels
que les filtres, le rognage, la taille des images, les actions et les destinations. Pour plus
d’instructions sur la manière d’ajouter ces paramètres, consultez les chapitres suivants :
• Ajout de filtres à un réglage
• Utilisation des contrôles d’images
• Ajout de réglages de géométrie
• Ajout d’actions
• Création et changement de destinations
266 Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTimeCompréhension des codecs
Le terme codec vient de la contraction de compresseur (CO) et de décompresseur (DEC).
Différents codecs sont utilisés en fonction des différentes méthodes de lecture (comme
le web ou les DVD-ROM). Vous pouvez choisir le codec approprié dès que vous connaissez
la méthode de lecture de votre audience cible. Pour savoir quel codec répond le mieux
à vos besoins, vous devez choisir le niveau de compression nécessaire selon le débit limite
et le niveau de qualité souhaités.
Les sections suivantes vous expliquent comment faire votre choix entre un codec audio
et un codec vidéo.
Codecs vidéo QuickTime
Chaque codec présente des avantages et des inconvénients. Certains sont plus adaptés
au stockage de certains types de média, d’autres introduisent plus d’artefacts. Certains
compressent lentement et décompressent rapidement, tandis que d’autres compressent
et décompressent à la même vitesse. Certains codecs peuvent compresser un fichier à
1/100e de sa taille originale, alors que d’autres ne réduisent la taille d’un fichier que très
peu. Certains codecs ne fonctionnent qu’avec des systèmes d’exploitation donnés, d’autres
requièrent un processeur particulier ou une version minimum de QuickTime pour la
lecture.
Lors du choix d’un codec, vous devez prendre en compte les points suivants :
• La configuration minimum du système de votre audience cible,
• Le matériel source,
• La qualité du fichier multimédia compressé,
• La taille du fichier multimédia compressé,
• La durée de compression/décompression du fichier multimédia,
• La diffusion ou non du fichier multimédia en continu.
Compressor est livré avec les codecs vidéo standard offerts par QuickTime et les options
de codec supplémentaires fournies avec QuickTime Pro. À moins d’être sûr que les
ordinateurs de votre public cible sont équipés d’un codec particulier, utilisez l’un des
codecs QuickTime standard afin de garantir une compatibilité globale.
Remarque : consultez la documentation sur QuickTime pour plus d’informations sur le
choix des codec vidéo et la façon de tirer au mieux parti de leurs paramètres.
Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTime 267Les codecs vidéo peuvent être divisés en deux types : les codecs sans perte et les codecs
avec perte.
• Codecs sans perte : les codecs sans perte préservent intégralement les données qu’ils
compressent et sont généralement utilisés pour transférer un métrage d’une suite
d’édition à une autre. Ce type de codec peut nécessiter d’importants débits et des
ordinateurs de pointe équipés d’un matériel spécialisé. Les codecs Animation et 4:4:2
non compressés 8 bits et 10 bits sont des exemples de codecs sans perte.
• Codecs avec perte : contrairement aux codecs sans perte, les codecs avec perte ne
renvoient qu’une approximation des données et sont généralement utilisés pour
transmettre de la vidéo finalisée à un utilisateur final. Le niveau d’approximation dépend
de la qualité du codec. Généralement, il existe un compromis entre la qualité de sortie
du codec et le niveau de compression auquel il parvient. Avec certains codecs, il est
possible d’atteindre un taux de compression d’au moins 5:1 sans dégradation visible.
Le codec Photo-JPEG est un exemple de codec avec perte.
Une compression avec perte de faible qualité introduit des artefacts visuels non naturels
qui peuvent être visibles à l’œil nu. Si vous utilisez un codec avec perte, il est conseillé
de ne compresser votre fichier multimédia qu’une fois, car plusieurs compressions
multiplieraient les défauts.
Codecs audio QuickTime
Si vous disposez de l’espace disque et de la bande passante suffisants, la meilleure chose
à faire est de ne pas compresser les données audio. Les données audio non compressées
utilisent normalement des échantillons 8 bits (qualité téléphone) ou 16 bits (qualité CD).
Compressor prend en charge un maximum de 64 bits par échantillon en virgule flottante
et une fréquence d’échantillonnage maximale de 192 kHz. À l’inverse, si l’espace disque
et la bande passante dont vous disposez sont limités, la compression des données audio
est nécessaire. Toutefois, comme les données audio d’un fichier multimédia occupent
moins d’espace disque que les données vidéo, il n’est pas indispensable de les compresser
autant.
Les principaux composants des codecs audio sont leur taille et leur taux d’échantillonnage.
Le taux d’échantillonnage définit la qualité du son, tandis que la taille d’échantillon définit
sa dynamique. Les codecs audio QuickTime permettent de définir le taux d’échantillonnage
et la dynamique de votre fichier multimédia source.
268 Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTimeFréquences d’échantillonnage sonore
Le son numérique consiste en différents échantillons sonores capturés à différentes
fréquences. Plus il y a d’échantillons par seconde, plus la qualité du son est bonne. Par
exemple, les CD audio utilisent un taux d’échantillonnage de 44,1 kHz, les DVD en utilisent
un de 48 kHz et les réseaux téléphoniques échantillonnent la voix à 8 kHz. Le taux
d’échantillonnage que vous allez choisir dépend de la nature du son. En effet, la musique
requiert un taux d’échantillonnage supérieur à celui de la voix, car sa plage de fréquences
est beaucoup plus large. Étant donné que la plage de fréquences de la voix est beaucoup
plus limitée, vous pouvez choisir un taux d’échantillonnage moindre tout en conservant
une qualité audio acceptable. Dans la plupart des cas, il est recommandé de toujours
choisir le taux d’échantillonnage le plus élevé parmi ceux disponibles.
La réduction du taux d’échantillonnage peut entraîner celle d’un fichier multimédia dans
un rapport de 5:1. La qualité audio en sera affectée, mais pas autant qu’avec un échantillon
8 bits. Le tableau suivant indique des taux d’échantillonnage habituels et pour chacun,
la qualité audio équivalente attendue :
Taux d’échantillonnage Qualité audio équivalente
48 kHz DAT/DV/DVD
44 kHz CD
22 kHz Radio FM
8 kHz Téléphone
Taille d’échantillon sonore
La taille d’échantillon détermine la plage dynamique du son. Un son 8 bits fournit 256
valeurs possibles, tandis qu’un son 16 bits autorise plus de 65 000 valeurs.
Choisissez le son 16 bits si la musique comporte des sections hautes et modérées, comme
de la musique orchestrale. Pour la voix ou la musique avec un niveau sonore plus ou
moins constant, un son 8 bits devrait offrir de bons résultats.
Si vous avez besoin de réduire la taille de votre fichier multimédia, vous pouvez passer
la taille d’échantillonnage de 16 bits à 8 bits. Cela permet de diviser la taille du fichier par
deux, mais dégrade également la qualité audio.
Chapitre 21 Création de fichiers de sortie QuickTime 269Compressor comprend divers filtres (tels que les filtres d’étalonnage et de suppression
de bruit) dont vous pouvez vous servir pour modifier les détails de vos projets de
transcodage.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Utilisation des filtres (p 271)
• À propos de la sous-fenêtre Filtres (p 273)
• Onglet Filtres vidéo (p 274)
• Onglet Filtres audio (p 281)
• Onglet Couleur (p 284)
• Ajout de filtres à un réglage (p 285)
Utilisation des filtres
Vous pouvez traiter votre fichier multimédia source à l’aide de divers filtres avant de le
transcoder, afin de contribuer à l’amélioration de la qualité de sortie de la vidéo et du
son. La meilleure façon d’affecter ces réglages de filtre consiste à regarder, et écouter,
votre fichier multimédia source et à choisir ce qui est le plus approprié en fonction de
son contenu.
271
Ajout de filtres à un réglage
22Filtres de prévisualisation
Vous pouvez prévisualiser un extrait contenant vos réglages de filtre actuels en cliquant
sur la cible dans la fenêtre Lot afin de l’ouvrir dans la fenêtre Aperçu. L’écran Aperçu est
divisé en deux parties dans lesquelles sont affichées la version originale et la version
transcodée de votre fichier multimédia, pour que vous puissiez voir et entendre les effets
de vos réglages de filtre avant de traiter le lot (à condition que la case correspondant à
ce filtre particulier soit sélectionnée).
Les ajustements que vous
faites peuvent être visualisés
dans la fenêtre Preview.
Cela peut s’avérer utile si vous utilisez plusieurs filtres, car il est parfois difficile de prévoir
la manière dont les filtres interagissent.
Important : l’ordre des filtres dans la liste de filtres correspond à l’ordre dans lequel ils
sont appliqués à la vidéo ou au son. Essayez de changer l’ordre des filtres si vous voyez
des résultats inattendus dans la fenêtre Aperçu.
Lorsque vous êtes satisfait de vos paramètres, il est conseillé de parcourir la totalité du
film afin de vous assurer que les changements ne sont pas trop importants pour certaines
scènes.
Remarque : selon votre système, le type de fichier multimédia source et le nombre de
filtres appliqués, il se peut que la fenêtre Aperçu dans laquelle les réglages de filtres sont
affichés soit actualisée à une fréquence d’images inférieure à celle de la source.
Consultez la rubrique Utilisation de la fenêtre Aperçu pour obtenir plus d’informations.
272 Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglageEspaces de couleur
Compressor prend en charge les espaces colorimétriques suivants : YUV (R408), 2VUY,
RGBA, ARGB et YUV (v210). Certains filtres requièrent une conversion des espaces de
couleur, tandis que d’autres peuvent manipuler plusieurs espaces de couleur. Pour chaque
fichier multimédia, Compressor choisit l’espace colorimétrique le plus approprié pour
délivrer les meilleurs résultats de sortie et de performances en fonction de l’espace
colorimétrique de ces trois attributs : le format du média source, le format de l’encodeur
et les filtres choisis. Vous pouvez aussi, si vous le souhaitez, utiliser le menu local « Espace
colorimétrique de sortie » (dans l’onglet Couleur) pour régler manuellement l’espace
colorimétrique du fichier multimédia de sortie.
Pour en savoir plus sur l’ajustement d’espaces colorimétriques, voir Onglet Couleur.
À propos de la sous-fenêtre Filtres
La sous-fenêtre Filtres comprend trois onglets : un pour les filtres vidéo, un pour les filtres
audio et un pour l’ajustement de fichiers multimédias de sortie. La sous-fenêtre Filtres
contient tous les filtres disponibles dans Compressor.
Contrôles de filtre
Choisissez les filtres vidéo,
audio ou de couleurs
Liste des filtres
Utilisez les fonctions suivantes de la sous-fenêtre Filtres de l’Inspecteur pour sélectionner
et ajuster les filtres à appliquer à vos réglages.
Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglage 273Remarque : après avoir paramétré un filtre, sa case est automatiquement cochée. Si vous
décidez de ne plus vouloir utiliser ce filtre, assurez-vous de décocher sa case avant de
procéder au transcodage.
• Liste des filtres : cochez la case située à gauche du filtre que vous souhaitez ajouter aux
préréglages. Les paramètres de filtrage que vous sélectionnez apparaissent dans le
tableau de la sous-fenêtre Résumé. Vous pouvez réorganiser les filtres en les déplaçant
vers le bas ou le haut dans la liste Filtres. Comme ces filtres sont traités un par un
pendant le transcodage (en commençant par le premier de la liste), leur classement
dans la liste est très important. Par exemple, il est recommandé de placer le filtre de
superposition de texte en dernier, afin que la couleur que vous avez choisie pour le
texte ne soit pas modifiée par un autre filtre.
• Contrôles de filtre : les contrôles disponibles dépendent du filtre sélectionné dans la
liste. Le curseur de défilement vous permet de modifier rapidement les valeurs
numériques de votre paramètre, tandis que les boutons fléchés n’autorisent que des
modifications incrémentielles de la valeur numérique. Le numéro du paramètre apparaît
dans le champ situé entre le curseur de défilement et les boutons fléchés.
Onglet Filtres vidéo
Compressor comprend les filtres vidéo suivants.
Rétablir le noir et blanc
Transforme les couleurs s’approchant du noir en noir pur et les couleurs s’approchant du
blanc en blanc pur, sans modifier les autres couleurs du reste de l’image. Utilisez ce filtre
pour mieux compresser les zones unies noires et blanches (luminance) de l’image, par
exemple les arrière-plans. Les deux curseurs de défilement permettent de régler
indépendamment les valeurs du blanc et du noir entre 0 et 100. Consultez la rubrique
Espaces de couleur pour plus d’informations sur la façon dont les espaces de couleur
sont liés à ce filtre.
• Noir : définit des valeurs entre 0 et 100 pour le noir.
• Blanc : définit des valeurs entre 0 et 100 pour le blanc.
274 Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglageContraste et luminosité
Modifie la couleur générale et les valeurs de luminance de votre fichier multimédia de
sortie pour que l’image soit plus claire ou plus foncée. Certains codecs QuickTime
assombrissent votre fichier vidéo ; vous pouvez donc utiliser ce filtre pour compenser ce
phénomène. Choisissez une valeur comprise entre -100 et 100, mais il est déconseillé
d’utiliser des valeurs extrêmes pour ne pas obtenir des images délavées.
• Luminosité : ajuste la luminosité pour n’importe quel nombre entre –100 et 100.
• Contraste : ajuste le contraste pour n’importe quel nombre entre –100 et 100.
Étalonnage des hautes lumières, Tons intermédiaires ou Ombres
En fonction de ce que vous choisissez, cette option corrige les inexactitudes de balance
des blancs et crée des effets de couleur dans les zones de couleurs vives, de tons
intermédiaires ou de tons foncés des images de votre plan. Les valeurs de rouge, de vert
et de bleu peuvent être réglées indépendamment entre -100 et 100.
• Rouge : ajuste la valeur du rouge entre –100 et 100.
• Vert : ajuste la valeur du vert entre –100 et 100.
• Bleu : ajuste la valeur du bleu entre –100 et 100.
Désentrelacement
Supprime les effets de l’entrelacement.
Pour le désentrelacement, l’option Contrôles d’images est recommandée sur ce filtre de
désentrelacement (filtre propriétaire), car elle offre toujours une qualité très supérieure.
Consultez la rubrique Utilisation des contrôles d’images pour obtenir plus d’informations.
Pour obtenir des informations générales sur le désentrelacement, voir À propos du
désentrelacement.
Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglage 275Le menu local Algorithme propose les méthodes de désentrelacement (traditionnel)
suivantes.
• Algorithme : choisissez l’une des quatre méthodes de désentrelacement.
• Blur : mélange les trames paires et impaires. Ce paramètre rend les données
temporaires plus importantes et préserve mieux les mouvements, mais comme les
images individuelles sont composées de deux images, leur qualité n’est pas optimale
lorsque vous suspendez la lecture.
• Pair : garde les trames paires et ignore les trames impaires, évitant ainsi les
mouvements flous.
• Impair : garde les trames impaires et ignore les trames paires, évitant ainsi les
mouvements flous.
• Accentué : traite les deux trames pour rendre les bords plus nets. Ce paramètre met
en valeur les données spatiales.
Fondu entrant/sortant
Ajoute un fondu partant de ou aboutissant à une couleur de cache au début et à la fin
du plan.
• Durée du fondu entrant : définit la durée du fondu sortant.
• Durée du fondu sortant : définit la durée du fondu sortant.
• Opacité du fondu entrant : définit l’opacité de la vidéo du plan au niveau de la première
image. Une valeur de 0,0 signifie que l’image vidéo concernée est complètement
recouverte par la couleur de cache. Une valeur de 0,5 détermine un plan recouvert à
50 pour cent par la couleur de cache.
276 Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglage• Opacité du fondu sortant : définit l’opacité de la vidéo du plan au niveau de la dernière
image. Une valeur de 0,0 signifie que l’image vidéo concernée est complètement
recouverte par la couleur de cache. Une valeur de 0,5 détermine un plan recouvert à
50 pour cent par la couleur de cache.
• Couleur du fondu : définit la couleur de cache. Si vous cliquez sur cette option, le
sélecteur de couleurs apparaît pour vous permettre de choisir la couleur de départ et
d’arrivée du fondu. (La couleur du fondu entrant doit être la même que celle du fondu
sortant.)
Correction Gamma
Contrôle la luminosité générale d’une image telle qu’elle apparaît à l’écran en modifiant
la valeur du gamma du fichier multimédia. Ce filtre peut être utilisé pour supprimer les
détails d’un plan sous-exposé ou pour réduire la saturation d’un plan surexposé à un
niveau acceptable sans conduire à des images trop délavées. Les ordinateurs fonctionnant
avec différents systèmes d’exploitation présentent divers paramètres d’écran. En
visualisation multi-plateforme, la correction gamma améliore l’image quelle que soit la
plate-forme utilisée.
• Gamma : définit le réglage gamma entre 0,1 et 4,0.
Letterbox
Met à l’échelle et positionne l’image entre des barres horizontales de type « letterbox ».
• Type : ce menu local permet de choisir le type de format Letterbox à utiliser. Échelle
compresse verticalement la vidéo afin qu’elle tienne dans les barres Letterbox. Cache
rogne la vidéo dans laquelle les barres Letterbox sont placées.
Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglage 277• Position : ce menu local permet de choisir la position de la vidéo. L’option « Centre »
place des barres noires au-dessus et en dessous de la vidéo, cette dernière restant
centrée. L’option « Bas » positionne la vidéo au bas de l’écran, avec une barre noire
unique au-dessus. L’option Haut positionne la vidéo en haut de l’écran, avec une barre
Letterbox unique au-dessous.
• Sortie : ce menu local permet de choisir les proportions spécifiques à utiliser pour le
format Letterbox. Chaque paramètre est suivi d’une valeur qui indique le ratio
largeur/hauteur utilisé pour ce paramètre. Ainsi, le paramètre Academy indique un
ratio de 1,85:1, ce qui signifie que la largeur de l’image est égale à 1,85 fois sa hauteur.
Le paramètre Manuelle active le curseur Manuelle que vous pouvez utiliser pour définir
manuellement les proportions du format Letterbox.
• Curseur Manuelle : utilisé lorsque l’option Manuelle est sélectionnée dans le menu local
Sortie. Cette option permet de définir manuellement les proportions Letterbox. Le
curseur Manuelle n’a aucun effet lorsque l’option Manuelle n’est pas sélectionnée dans
le menu local Sortie.
• Sélecteur de couleur d’arrière-plan : détermine la couleur de la boîte aux lettres. Cochez
cette case pour choisir la couleur de l’arrière-plan à partir du sélecteur de couleur.
Suppression des bruits
Réduit les zones de bruit aléatoire de l’image. Certains codecs introduisent dans les fichiers
vidéo du bruit, qui peut être atténué à l’aide du filtre de suppression du bruit. Vous pouvez
améliorer la qualité de l’image et compresser l’espace de votre contenu de manière plus
efficace en réduisant les détails les plus fins.
Le filtre de réduction de bruit vous permet de rendre floues certaines zones à faible
contraste tout en gardant les bords à contraste élevé nets. Ce principe est connu comme
réduction de bruit adaptative. Les résultats ne sont pas perceptibles à l’œil nu, mais
améliorent la compression finale du média source. Il est particulièrement important
d’utiliser ce filtre avec des vidéos diffusées en direct.
• Appliquer à : ce menu local permet de choisir les canaux dont vous souhaitez filtrer le
bruit. L’option par défaut est Tous les canaux, qui permet de filtrer le bruit provenant
de tous les canaux, y compris le canal alpha. L’autre option est Canaux de colorimétrie,
qui filtre uniquement le bruit provenant des deux canaux de colorimétrie (U et V) dans
l’espace colorimétrique AYUV (ou R408 dans la terminologie Final Cut Pro).
278 Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglage• Itérations : ce menu local atténue le bruit de l’image. Choisissez la fréquence
d’application (entre 1 et 4) de l’algorithme sélectionné au fichier multimédia source. À
chaque nouvelle application de l’algorithme, ce dernier utilise l’image modifiée résultant
de l’application antérieure. Plus vous utilisez d’itérations, plus l’image devient floue.
• Algorithme : sélectionnez l’un des algorithmes suivants dans le menu local Algorithme :
Moyen (la couleur de chaque pixel est modifiée en fonction de la couleur moyenne
des pixels qui l’entourent, y compris sa propre couleur) ; Remplacer (la couleur de
chaque pixel est modifiée en fonction de la couleur moyenne des pixels qui l’entourent,
en excluant sa propre couleur) ; Fusionner (la couleur de chaque pixel est modifiée en
fonction de la moyenne pondérée des couleurs des pixels qui l’entourent, y compris
sa propre couleur).
Accentuer contour
Améliore le contraste de l’image au niveau des bords des objets. Certains codecs rendent
les images vidéo floues, ce filtre peut donc neutraliser l’effet d’adoucissement dû à la
suppression du bruit ou à un média source flou, et augmenter l’impression de netteté
de l’image. Lorsque vous utilisez des valeurs extrêmes, les images du fichier multimédia
de sortie peuvent sembler granuleuses. Choisissez n’importe quelle valeur comprise entre
0 et 100.
• Valeur : définit un réglage d’accentuation entre 0,0 et 100,0.
Superposer texte
Permet au texte d’apparaître en surimpression sur l’image. Cette option est utile pour
apposer des informations textuelles sur votre fichier multimédia de sortie.
Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglage 279Utilisez les contrôles suivants pour positionner du texte, sélectionner la couleur et la
police et spécifier sa transparence.
• Position : détermine la position du texte dans le plan. Choisissez l’une des 13 positions
(Au centre, Inférieure gauche, Inférieure gauche - Titre sécurisé, etc.).
• Alpha : ce curseur définit l’opacité du texte. Choisissez une valeur comprise entre 0 et
1. Une valeur égale à 0 équivaut à une transparence totale, tandis qu’une valeur égale
à 1 correspond à une opacité complète.
• Texte : tapez le texte souhaité dans ce champ.
• Couleur du texte : cochez cette case pour choisir la couleur du texte à partir du sélecteur
de couleur.
• Sélectionner la police : cliquez sur ce bouton pour ouvrir une palette de polices vous
permettant de sélectionner la police, son style et sa taille.
Générateur de timecode
Superpose le texte du timecode du plan à l’image. Vous pouvez aussi ajouter une étiquette
au texte du timecode.
• Position : détermine la position du texte du timecode dans le plan. Choisissez l’une
des 13 positions (Au centre, Inférieure gauche, Inférieure gauche - Titre sécurisé, etc.).
• Alpha : ce curseur définit l’opacité du texte du timecode. Choisissez une valeur comprise
entre 0 et 1. Une valeur égale à 0 équivaut à une transparence totale, tandis qu’une
valeur égale à 1 correspond à une opacité complète.
• Étiquette : saisissez dans ce champ tout texte que vous souhaitez voir apparaître à
gauche du numéro du timecode.
• Case « Démarrer timecode à 00:00:00:00 » : cochez cette case pour que le timecode
commence à 00:00:00:00. Sinon, le timecode du plan est utilisé.
• Couleur du texte : cochez cette case pour choisir la couleur du texte du timecode dans
le sélecteur de couleurs.
• Sélectionner la police : cliquez sur ce bouton pour ouvrir une palette de polices vous
permettant de sélectionner la police, son style et sa taille.
280 Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglageFiligrane
Permet de superposer un filigrane à l’image. Cette option est utile pour apposer un logo
approprié sur votre fichier multimédia de sortie. Le filtre Filigrane peut appliquer des
images fixes ou des séquences en filigrane sur votre fichier multimédia de sortie.
Utilisez les menus locaux, les curseurs de défilement et les champs ci-après pour
positionner et dimensionner le filigrane, ainsi que régler sa transparence.
• Menu local Position : ce menu local positionne l’image de filigrane dans le plan d’image.
Choisissez l’une des 13 positions (Au centre, Inférieure gauche, Inférieure gauche - Titre
sécurisé, etc.).
• Échelle : ce curseur définit la taille de l’image de filigrane.
• Alpha : ce curseur définit l’opacité de l’image de filigrane. Choisissez une valeur comprise
entre 0 et 1. Une valeur égale à 0 équivaut à une transparence totale de l’image de
filigrane, tandis qu’une valeur égale à 1 correspond à une opacité complète.
• Case Répétition : si vous avez choisi un plan comme filigrane, le fait de cocher cette
case permet de lire le filigrane en boucle. Si vous ne cochez pas cette case, le filigrane
est lu une fois jusqu’à la fin puis disparaît.
• Bouton Sélectionner : cliquez sur ce bouton pour ouvrir la zone de dialogue de sélection
de fichiers, puis sélectionnez la séquence ou l’image à utiliser comme filigrane.
Onglet Filtres audio
Compressor comprend les filtres audio suivants.
Important : les filtres audio ne sont pas disponibles lorsque l’audio est réglé
sur Passthrough dans les réglages QuickTime. Consultez la rubrique À propos de la
sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime pour obtenir plus d’informations.
Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglage 281Plage dynamique
Cette option permet de contrôler les niveaux audio d’un plan de façon dynamique en
augmentant le son des parties où le volume sonore est faible et en le baissant pour les
parties où le volume sonore est plus élevé. Cette option est également appelée compression
du niveau audio.
• Réduire au dessus de : les volumes sonores supérieurs à ce niveau audio sont réduits au
niveau défini par le gain principal.
• Seuil de bruit : définit le niveau de ce qui est considéré comme bruit. Le son dont le
niveau est égal ou supérieur à ce niveau est amplifié de façon dynamique jusqu’au
niveau défini par le gain principal. Le son au dessous de ce niveau demeure inchangé.
• Gain principal : définit le niveau moyen du son comprimé de façon dynamique.
Écrêteur
Définit le niveau maximum autorisé du son pour le plan.
• Gain (dB) : définit le niveau au dessus duquel les pics plus élevés sont réduits .
282 Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglageApple : AUGraphicEQ
Cette option vous permet d’utiliser l’égaliseur graphique AUGraphicEQ Apple pour créer
un grand nombre de formes de fréquences sur toute la plage des fréquences audibles.
Vous pouvez choisir entre une version à 31 bandes et une version à 10 bandes.
• Bouton Options : ouvre l’interface Apple : AUGraphicEQ.
• Apple : AUGraphicEQ : l’interface de l’égaliseur comprend un menu local permettant
de choisir la version d’égaliseur à utiliser (31 bandes ou 10 bandes). Le curseur permet
de régler le niveau de chaque bande sur une valeur comprise entre –20 dB et 20 dB.
Vous pouvez également sélectionner une bande et saisir un nombre dans le champ
dB. Faites glisser le pointeur pour sélectionner plusieurs bandes. Vous pouvez aussi
maintenir la touche ctrl enfoncée et faire glisser le pointeur sur les bandes pour «
dessiner » une courbe d’égalisation. Cliquez sur le bouton Aplanir l’égaliseur pour régler
toutes les bandes sur 0 dB.
Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglage 283Fondu entrant/sortant
Ajoute un mixage partant de ou aboutissant à un silence (ou un niveau de gain que vous
avez défini) au début et à la fin du plan.
Remarque : lorsque vous utilisez à la fois le filtre Fondu entrant/sortant et le filtre Plage
dynamique, veillez à ce que le filtre Plage dynamique se trouve avant le filtre Fondu
entrant/sortant dans la liste de filtres.
• Durée du fondu entrant : définit la durée du mixage utilisé pour la transition entre la
valeur de gain et le niveau audio normal du plan au début du plan.
• Durée du fondu sortant : définit la durée du mixage utilisé pour la transition entre le
niveau audio normal du plan et la valeur de gain à la fin du plan.
• Gain avec fondu entrant : définit le niveau du départ du mixage. La valeur –100,0
correspond au silence et la valeur 0,0 signifie que le son n’est pas modifié.
• Gain avec fondu sortant : définit le niveau de fin du mixage. La valeur –100,0 correspond
au silence et la valeur 0,0 signifie que le son n’est pas modifié.
Onglet Couleur
Vous pouvez utiliser le menu local « Espace colorimétrique de sortie » pour ajuster
manuellement l’espace colorimétrique pour le fichier multimédia sortant.
284 Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglageL’onglet Couleur contient les contrôles suivants.
• Menu local « Espace colorimétrique de sortie » : choisissez l’une des options suivantes
pour la répercuter dans l’espace colorimétrique dans le fichier multimédia de sortie.
• Réglages par défaut pour Encodeur : utilise l’espace colorimétrique standard pour le
format cible.
• Préserver la source : gère l’espace colorimétrique du fichier multimédia source.
• SD (601) : utilise l’espace colorimétrique standard pour les fichiers multimédias SD.
• HD (709) : utilise l’espace colorimétrique standard pour les fichiers multimédias HD.
Ajout de filtres à un réglage
Utilisez la sous-fenêtre Filtres dans la fenêtre Inspecteur pour ajouter des filtres à vos
réglages.
Pour ajouter des filtres à un réglage
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez
également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier multimédia source dans la
fenêtre Lot. De cette façon, vous pouvez ouvrir la fenêtre Aperçu et voir les effets de vos
réglages de filtre.
3 Cliquez sur la sous-fenêtre Filtres de l’Inspecteur.
4 Configurez selon vos souhaits les filtres que vous souhaitez ajouter à ce réglage.
Remarque : une coche apparaît automatiquement dès que vous commencez à paramétrer
un filtre.
Toute modification
apportée aux réglages
d’un filtre est appliquée
au filtre sélectionné.
Le filtre est
automatiquement
sélectionné si vous
modifiez ses réglages.
Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglage 2855 Dans la liste des filtres, déplacez les filtres vers le haut ou vers le bas pour déterminer
l’ordre dans lequel vous souhaitez qu’ils soient appliqués au fichier multimédia source
pendant son transcodage.
Faites glisser les filtres
vers le haut ou vers le
bas pour établir l’ordre
dans lequel vous
souhaitez qu’ils soient
appliqués au fichier
multimédia source.
Étant donné que ces filtres sont traités un par un pendant le transcodage (en commençant
par le premier de la liste), il est important que vous les classiez selon leur ordre
d’application. Par exemple, il est recommandé de placer le filtre de superposition de texte
en dernier, afin que la couleur que vous avez choisie pour le texte ne soit pas modifiée
par un autre filtre.
Si vous déplacez un filtre, assurez-vous de cocher la case pour que Compressor sache
qu’il faut l’appliquer au réglage concerné. Si vous essayez de sélectionner un autre réglage
après avoir sélectionné un filtre déplacé, la zone de dialogue Enregistrer vous demande
d’enregistrer ou d’annuler les changements apportés à ce réglage. Par défaut, tous les
filtres sélectionnés s’affichent en premier dans la liste.
Remarque : vous pouvez voir les détails des réglages dans la sous-fenêtre Résumé de la
fenêtre Inspecteur.
Consultez la rubrique À propos de la sous-fenêtre Filtres pour obtenir plus d’informations.
286 Chapitre 22 Ajout de filtres à un réglageLes contrôles d’images reposent sur une analyse approfondie de l’image et servent à
resynchroniser cette dernière, à la redimensionner ou à lui appliquer des effets vidéo
sophistiqués.
Grâce aux contrôles d’images, Compressor permet de transcoder en haute qualité de
nombreux formats sources différents dans de nombreux formats cibles en ayant recours
à une analyse approfondie de l’image.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• À propos de la sous-fenêtre Contrôles d’images (p 287)
• Ajout de contrôles d’images à un réglage (p 293)
• À propos du désentrelacement (p 294)
• À propos du télécinéma inverse (p 295)
• Utilisation des contrôles de resynchronisation (p 298)
À propos de la sous-fenêtre Contrôles d’images
Les contrôles d’images permettent d’effectuer les opérations suivantes à des niveaux de
qualité auparavant uniquement possibles avec des solutions matérielles coûteuses :
• Convertir des fichiers vidéo entre les normes de télévision internationales, par exemple
PAL vers NTSC ou NTSC vers PAL.
• Convertir des sources vidéo haute définition (HD) en sources définition standard (SD),
ou inversement.
• Convertir un flux progressif en flux entrelacé, ou inversement.
• Réaliser des ajustements de fréquence d’images de haute qualité, notamment pour
obtenir des effets de ralenti de grande qualité.
• Supprimer automatiquement le pulldown du télécinéma (télécinéma inverse).
Le groupe de réglages Conversions de format avancées de l’onglet Réglages revêt une
importance particulière pour l’utilisation des contrôles d’images.
287
Utilisation des contrôles d’images
23Important : il n’est pas possible de prévisualiser les réglages Contrôles d’images dans la
fenêtre Aperçu. Pour prévisualiser ces derniers, lancez un transcodage de test sur une
petite section de votre fichier multimédia source (Pour plus d’informations, reportez-vous
à la rubrique Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Aperçu.)
Utilisez les fonctionnalités suivantes sous l’onglet Contrôles d’images de l’Inspecteur afin
de sélectionner et d’ajuster les attributs de contrôle d’images que vous souhaitez affecter
à vos réglages.
Contrôles de
redimensionnement
Contrôles de
resynchronisation
Menu local Contrôles
d'images
Bouton Automatique
Zone Contrôles d’images
Utilisez ce menu local pour activer ou désactiver la fonction Contrôles d’images. Utilisez
le bouton Automatique correspondant pour activer ou désactiver le mode automatique.
Bouton Automatique
des contrôles d’images
• Menu local Contrôles d’images : Utilisez ce menu local pour activer ou désactiver le
sous-volet Contrôles d’images.
• Désactivé : réglage par défaut pour la plupart des préréglages Apple. Choisissez
Désactivé si votre projet Compressor n’implique pas de changements en termes de
taille d’image, de fréquence d’images ou de priorité de trame.
• Activé : cette option vous permet d’ajuster manuellement tous les attributs qui se
trouvent dans la sous-fenêtre Contrôles d’images.
• Bouton Automatique : lorsque ce bouton est sélectionné, Compressor analyse la tâche
de transcodage (le fichier multimédia source et le réglage appliqué), puis détermine
automatiquement les attributs Contrôles d’images appropriés. Pour plus d’informations,
consultez la rubrique À propos des réglages automatiques.
288 Chapitre 23 Utilisation des contrôles d’imagesEn mode Automatique, la technologie de Contrôles d’images intervient uniquement
dans les deux types suivants de transcodages :
• Le transcodage de sources haute définition (HD) en fichiers de sortie MPEG-2 en
définition standard (SD)
• Transcodage de sources entrelacées en fichiers de sortie (progressifs) H.264 pour
appareils Apple
Redimensionnement de la zone Contrôles
Utilisez les contrôles de cette zone pour choisir l’algorithme avec lequel les images sont
redimensionnées.
• Filtre de redimensionnement : utilisez ce menu local pour choisir parmi les options
suivantes de redimensionnement. Cette décision est un compromis entre une vitesse
de traitement plus rapide et une qualité de sortie supérieure dans les projets qui
impliquent un changement de résolution.
• Rapide (pixel le plus proche) : cette option permet de bénéficier du temps de traitement
le plus court.
• Avancée (filtre linéaire) : cette option offre un compromis entre la vitesse de traitement
et la qualité de sortie.
• Optimale (prédiction statistique) : cette option offre la meilleure qualité mais le
traitement est plus long.
• Champs de sortie : utilisez ce menu local pour choisir la méthode de balayage de sortie
(soit la priorité de trame, soit une conversion en balayage progressif).
• Identique à la source : aucun changement de méthode de balayage.
• Progressif : méthode de balayage où chaque image est complète (et non divisée en
trames). Utilisez ce réglage au lieu du filtre Désentrelacement de Compressor (un
filtre hérité de la sous-fenêtre Filtres) car il offrira toujours une qualité bien supérieure.
• Première supérieure : priorité de trame entrelacée (ordre des trames), également
appelée trame deux, trame supérieure ou trame impaire.
Chapitre 23 Utilisation des contrôles d’images 289• Première inférieure : priorité de trame entrelacée (ordre des trames), également
appelée trame un, trame inférieure ou trame paire.
• Désentrelacer : utilisez ce menu local pour choisir parmi différentes techniques de
désentrelacement (ou désentrelaçage). Cette décision est un compromis entre une
vitesse de traitement plus rapide et un désentrelaçage de qualité supérieure des zones
de mouvement au sein de l’image. Dans tous les cas, toute option de désentrelaçage
de qualité supérieure donne des résultats identiques ou meilleurs que l’option
immédiatement inférieure. Toutefois, si le redimensionnement vers le bas est également
appliqué à l’image, il se peut que les améliorations de qualité ne se remarquent pas.
Dans ces conditions, les options Rapide ou Meilleure fourniront probablement une
qualité suffisamment haute, selon l’ampleur du redimensionnement vers le bas.
Pour obtenir des informations générales sur le désentrelaçage, voir À propos du
désentrelacement.
Important : l’utilisation de tous les réglages optimaux peut donner lieu à des temps
de traitement beaucoup plus longs que prévu. Si vous réduisez la taille d’image en plus
de désentrelacer l’image, les options Rapide ou Meilleure fourniront probablement une
qualité suffisamment haute, selon l’ampleur du redimensionnement vers le bas.
Remarque : alors que le menu local Désentrelacer est toujours actif, Compressor ne
désentrelace que les tâches qui en ont besoin. (Par exemple, si la source est entrelacée
et que le menu local Champs de sortie est défini sur Progressive, Compressor effectuera
un désentrelaçage. Si le fichier multimédia source est progressif, Compressor n’effectuera
pas de désentrelaçage.)
• Rapide (moyenne des lignes) : cette option fait la moyenne des lignes adjacentes d’une
image.
• Avancé (filtre Motion adaptive) : cette option offre une bonne qualité de désentrelaçage
pour les zones de l’image qui sont en mouvement.
• Optimale (correction des mouvements) : cette option offre une très bonne qualité de
désentrelaçage pour les zones de l’image qui sont en mouvement.
• Télécinéma inverse : cette option supprime les trames supplémentaires ajoutées lors
du processus de télécinéma pour convertir les 24 ips du film en 29,97 ips pour le
format NTSC. La sélection de cet élément entraîne la désactivation de tous les autres
éléments de la sous-fenêtre Contrôles d’images. Pour en savoir plus sur le pulldown
3:2 et sur l’utilisation de la fonction Télécinéma inverse, reportez-vous à la section À
propos du télécinéma inverse.
290 Chapitre 23 Utilisation des contrôles d’images• Détails de technique Adaptive : cochez cette case pour utiliser une analyser d’image
avancée afin de distinguer les zones de bruit de celles de contour.
• Anticrénelage : utilisez ce curseur pour définir un niveau d’adoucissement de 0 à 100.
Ce paramètre améliore la qualité des conversions lorsque vous augmentez l’échelle du
média. Par exemple, lorsque vous transcodez de la vidéo de définition standard en
haute définition, l’option Anticrénelage lisse les contours irréguliers pouvant apparaître
dans l’image.
• Niveau de détails : utilisez ce curseur pour définir un niveau (entre 0 et 100) pour
conserver les contours accentués. Il s’agit d’un contrôle d’accentuation qui vous permet
de rajouter des détails à une image agrandie. Contrairement aux autres opérations
d’accentuation, le réglage Niveau de détails distingue les détails de bruit et ceux de
fonction, et n’augmente généralement pas les grains non voulus. Le fait d’accroître la
valeur de ce paramètre peut donner lieu à des contours irréguliers, qui peuvent
cependant être éliminés en augmentant la valeur d’anticrénelage.
Remarque : les options « Détails de technique Adaptative », Anticrénelage et Niveau
de détails se rapportent uniquement au redimensionnement d’image (mise à l’échelle),
et non au désentrelacement.
Resynchronisation de la zone Contrôles
Utilisez les commandes de cette zone pour choisir l’algorithme avec lequel les fréquences
d’images sont ajustées.
Remarque : lorsque vous modifiez la vitesse de la vidéo à l’aide des contrôles de
resynchronisation, Compressor ajuste également la partie audio du fichier multimédia
de sortie de sorte que le son reste synchronisé avec l’image. Les contrôles de
resynchronisation n’ont aucune incidence sur la hauteur tonale de l’audio. Pour en savoir
plus sur l’utilisation de ces options, consultez la section Utilisation des contrôles de
resynchronisation.
• Conversion de fréquence : utilisez ce menu local pour choisir parmi les techniques
suivantes de resynchronisation d’images (changement de la fréquence d’images). Cette
décision est un compromis entre une vitesse de traitement plus rapide et une qualité
de sortie supérieure. Dans de nombreux cas, le réglage Meilleure fournira une conversion
d’une qualité suffisamment haute en économisant fortement du temps de traitement
par rapport au réglage Optimale.
Chapitre 23 Utilisation des contrôles d’images 291Important : l’utilisation de tous les réglages optimaux peut donner lieu à des temps
de traitement beaucoup plus longs que prévu. Le réglage Meilleure pour la conversion
de fréquence fournira une conversion d’une qualité suffisamment haute, tout en
économisant fortement du temps de traitement par rapport au réglage Optimale.
• Rapide (image la plus proche) : aucune fusion d’images n’est appliquée ; Compressor
utilise simplement une copie de l’image disponible la plus proche pour remplir les
nouvelles images entre.
• Bonne (fusion d’images) : rassemble les images voisines afin de créer de nouvelles
images entre.
• Meilleure (correction des mouvements) : utilise un flux optique pour interpoler des
images, avec des résultats de bonne qualité.
• Maximum (correction des mouvements de haute qualité) : utilise un flux optique pour
interpoler des images, avec des résultats de qualité supérieure ; cette option est
particulièrement utile pour les transcodages qui impliquent des augmentations de
fréquences d’images (par exemple, de 23,98 ips à 59,94 ips).
• Régler la durée sur : utilisez cette option pour choisir l’une des trois méthodes proposées
pour convertir la durée du plan en une nouvelle durée.
Menu local de sélection
• Pourcentage de la source : utilisez cette option pour saisir une valeur exprimée en
pourcentage permettant de modifier la vitesse du plan ou choisissez un réglage
spécifique dans le menu local. Pour en savoir plus sur les options de ce bouton, voir
Saisir un pourcentage.
• Durée totale : servez-vous de cette option pour choisir la durée du plan. Pour en
savoir plus sur les options de ce bouton, voir Saisir une durée.
• Pour que les images source soient lues à une fréquence de [fréquence d’images]
ips : utilisez cette option lorsque la fréquence d’images du fichier multimédia source
ne correspond pas à celle qui est indiquée dans la sous-fenêtre Encodeur pour cet
élément. Pour en savoir plus sur les options de ce bouton, voir Forcer la lecture des
images à la fréquence d’images définie dans le réglage Fréquence d’images de la
sous-fenêtre Encodeur.
292 Chapitre 23 Utilisation des contrôles d’imagesAjout de contrôles d’images à un réglage
Utilisez la sous-fenêtre Contrôles d’images de la fenêtre de l’Inspecteur pour ajouter des
réglages de resynchronisation et de redimensionnement d’image à vos réglages.
Pour ajouter des réglages automatiques de contrôles d’images à un réglage
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez
également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier multimédia source dans la
fenêtre Lot.
3 Cliquez sur l’onglet Contrôles d’images dans la fenêtre de l’Inspecteur.
4 Cliquez sur le bouton Automatique qui se trouve à côté du menu local Contrôles d’images.
Compressor analyse la tâche de transcodage (le fichier multimédia source et le réglage
appliqué), puis détermine automatiquement les attributs Contrôles d’images appropriés.
En mode Automatique, la technologie de Contrôles d’images intervient uniquement dans
les deux types suivants de transcodages :
• Le transcodage de sources haute définition (HD) en fichiers de sortie MPEG-2 en
définition standard (SD)
• Transcodage de sources entrelacées en fichiers de sortie (progressifs) H.264 pour
appareils Apple
Pour ajouter des réglages personnalisés de contrôles d’images à un réglage
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez
également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier multimédia source dans la
fenêtre Lot.
3 Cliquez sur l’onglet Contrôles d’images dans la fenêtre de l’Inspecteur.
4 Dans le menu local Contrôles d’images, choisissez Activé.
Le choix de l’option Activé vous permet d’ajuster manuellement tous les attributs de la
sous-fenêtre Contrôles d’images.
Remarque : si le bouton Automatique est activé, vous devez d’abord cliquer dessus pour
le désactiver.
5 Modifiez l’un ou l’autre des contrôles dans la sous-fenêtre Contrôles d’images. (Voir À
propos de la sous-fenêtre Contrôles d’images pour des détails concernant chacun de ces
contrôles.)
6 Cliquez sur Enregistrer pour enregistrer les modifications.
Chapitre 23 Utilisation des contrôles d’images 293À propos du désentrelacement
La fonction Contrôles d’images de Compressor permet de désentrelacer vos données
vidéo.
La vidéo NTSC et la vidéo PAL sont entrelacées, c’est-à-dire que chaque image vidéo
compte deux champs (déphasés de 1/60e de seconde), l’un avec les lignes de diffusion
impaires et l’autre avec les lignes paires de l’image. La différence entre ces deux champs
crée l’impression de mouvement, car nos yeux combinent ces deux images en une seule,
ce qui permet d’obtenir à 30 images par seconde (en télévision définition standard) un
mouvement régulier et réaliste. De plus, comme le taux de rafraîchissement des champs
est élevé (1/60e de seconde), l’entrelacement est invisible.
Comme l’entrelacement crée deux trames pour chaque image, les zones d’une trame où
le mouvement est rapide sont séparées par des lignes alternatives en escalier. Vous pouvez
visualiser votre média source image par image et vérifier la présence de bandes
horizontales sur les bords avant et arrière des objets en mouvement. Si vous pouvez voir
ces dernières, vous devez désentrelacer votre fichier multimédia source afin de le convertir
à un format image par image.
L'entrelacement crée un effet de « peigne »
qui doit être supprimé.
294 Chapitre 23 Utilisation des contrôles d’imagesSi votre fichier multimédia source doit être converti en un format image par image, vous
devez le désentrelacer pour supprimer les effets de l’entrelacement. L’entrelacement sur
les écrans d’ordinateur peut conférer aux objets se déplaçant rapidement un aspect flou,
ce qui est particulièrement important si vous lisez une vidéo au format QuickTime sur
votre ordinateur ou sur Internet. Vous pouvez supprimer la trame supérieure (impaire)
ou inférieure (paire) d’un fichier vidéo entrelacé, mais cela aura un impact sur la fluidité
des mouvements du plan. Lors des arrêts sur image, ce filtre peut également être utilisé
pour éliminer le papillotement causé par l’entrelacement des images qui présentent de
fines lignes verticales, comme les pages de titre avec du texte de petite taille. Les trames
restantes sont interpolées pour créer une image complète, ce qui conduit à un
adoucissement général de l’image.
À propos du télécinéma inverse
Le menu local Désentrelacer comprend un réglage permettant d’inverser le télécinéma.
À propos du télécinéma inverse
L’approche la plus courante pour distribuer un film à 24 ips destiné à la vidéo NTSC à
29,97 ips consiste à effectuer un pulldown 3:2 (également appelé pulldown 2:3:2:3).
L’enregistrement en alternance de deux trames d’une image de film, puis de trois trames
de l’image suivante permet de transformer les 24 images d’une seconde de film en
30 images d’une seconde de vidéo.
A A B B B C C D D D
A B C D A B C D A B C D A B C D A B C D A B C D
A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D
A B C D
A A B B B C C D D D
Trame
1
Trame
2
Trame
1
Trame
2
Trame
1
Trame
2
Trame
1
Trame
2
Trame
1
Trame
2
Pulldown 3:2
Une seconde
Avant (23,98 ips)
Après (29,97 ips)
Chapitre 23 Utilisation des contrôles d’images 295Comme le montre la figure ci-dessus, le modèle 3:2 (qui est en fait un modèle 2:3:2:3
puisque l’image A est enregistrée sur deux trames et est suivie par l’image B enregistrée
sur trois trames) se répète toutes les quatre images du film. Pratiquement tous les spots
publicitaires, les films et les émissions de télévision en différé de qualité sont soumis à
ce processus avant leur diffusion.
Pour les besoins du montage et de l’ajout d’effets, il est souvent préférable de supprimer
ces trames supplémentaires et de rétablir la fréquence originale de 23,98 ips de la vidéo.
Le rétablissement de la fréquence originale de 23,98 ips a en outre l’avantage de permettre
une conversion plus aisée à la fréquence de 25 ips du format PAL.
La fréquence d’images moins élevée présente également l’avantage de requérir moins
d’images par seconde de vidéo, ce qui signifie que la taille du fichier est moins importante.
La fonction de télécinéma inverse facilite cette opération.
A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D
A B C D A B C D A B C D A B C D A B C D A B C D
A B C D
A A B B C C D D
Trame
1
Trame
2
Trame
1
Trame
2
Trame
1
Trame
2
Trame
1
Trame
2
D
Trame
2
B
Trame
1
Avant (29,97 ips)
Après (23,98 ips)
Une seconde
Suppression du pulldown 3:2
À propos de la cadence
Lorsqu’un film est transformé par télécinéma en vidéo NTSC, sa cadence est constante.
Cela signifie que le modèle 3:2 est systématique et ininterrompu. La suppression du
télécinéma sur un plan de cadence constante est une opération relativement aisée, car
il suffit de déterminer le modèle une seule fois.
Si vous montez ces plans transformés par télécinéma en tant que vidéo NTSC, vous
obtenez un fichier vidéo final avec une cadence irrégulière et un modèle 3:2 fluctuant.
La suppression du télécinéma sur ce type de plan s’avère bien plus compliquée puisque
vous devez sans cesse vérifier la cadence pour ne pas choisir par mégarde des trames
incorrectes lors de la création de vidéo à 23,98 ips.
296 Chapitre 23 Utilisation des contrôles d’imagesLa fonction de télécinéma inverse dont est muni Compressor détecte automatiquement
les cadences irrégulières et adapte le traitement de façon appropriée.
Autres remarques sur la fonction de télécinéma inverse
Il convient de tenir compte de quelques autres considérations lors de l’utilisation de la
fonction de télécinéma inverse.
Tous les autres réglages de Contrôles d’images sont désactivés
Étant donné que l’objectif de la fonction de télécinéma inverse est de produire de la vidéo
progressive à 23,98 ips, toutes les autres options de la sous-fenêtre Contrôles d’images
sont désactivées lorsque l’option Télécinéma inverse est sélectionnée.
À propos du télécinéma inverse et de l’encodage segmenté
En raison de la nature imprévisible du traitement appliqué lors du télécinéma inverse,
l’encodage segmenté ne fonctionne pas de façon aussi efficace que lorsque la fonction
télécinéma inverse n’est pas utilisée.
À propos de la suspension du processus de transcodage
Si vous suspendez (pause) le processus de transcodage, vous êtes ensuite obligé de le
reprendre depuis le début.
Création de vidéo PAL lors du processus de télécinéma inverse
Convertir une vidéo à 23,98 ips ou une vidéo à 24 ips en vidéo PAL dont la fréquence est
de 25 ips en accélérant la vitesse de lecture de 4 pour cent est une pratique courante. Si
votre vidéo source est une vidéo NTSC à 29,97 ips convertie par télécinéma, vous pouvez
la convertir au format PAL à l’aide de deux tâches.
• Première tâche : appliquez à la tâche un réglage qui permette d’inverser le télécinéma
et d’obtenir une vidéo NTSC à 23,98 ips.
Remarque : vous pouvez appliquer un réglage convertissant également la vidéo au
format PAL mais dans ce cas, la conversion du format n’est pas effectuée à l’aide des
contrôles d’images et sa qualité peut être insatisfaisante.
• Deuxième tâche : pour créer la deuxième tâche, sélectionnez la première, puis choisissez
Tâche > Nouvelle tâche avec sortie cible. Vous créez ainsi une tâche reposant sur la
sortie de la première tâche. Vous pouvez alors appliquer un réglage assurant un format
de sortie PAL et utiliser la fonction Contrôles d’images qui vous garantit un fichier de
sortie de haute qualité .
Pour en savoir plus sur l’enchaînement de tâches, reportez-vous à la section À propos
de l’ajout et de la copie de tâches.
Chapitre 23 Utilisation des contrôles d’images 297Utilisation des contrôles de resynchronisation
Les contrôles de resynchronisation sont couramment utilisés pour deux opérations.
• Conversion de la fréquence d’images d’une vidéo : il s’agit généralement de convertir la
fréquence d’images NTSC en fréquence d’images PAL ou inversement. Cette fonction
utilise uniquement le réglage du menu local Conversion de fréquence et est
automatiquement configurée lorsque cela est nécessaire.
• Conversion de la vitesse d’une vidéo : cette opération consiste à lire les images existantes
à une vitesse différente ou, dans le cas des effets de ralenti, à créer des images
intermédiaires si nécessaire.
Dans tous les cas, si le fichier multimédia source contient de l’audio, la vitesse de ce
dernier est également modifiée et sa hauteur tonale corrigée, afin que le résultat soit
identique à celui de l’audio original, mais avec une vitesse différente. Cela vous permet
de conserver la synchronisation entre l’image et le son.
Si vous prévisualisez un réglage qui utilise les contrôles de resynchronisation, la vidéo
sera lue à la nouvelle fréquence d’images ou vitesse, mais elle n’aura pas été traitée par
les contrôles d’images et, par conséquent, sa qualité sera inférieure à celle du fichier de
sortie transcodé. La hauteur tonale du son est corrigée lors de la prévisualisation du
réglage.
Important : si vous utilisez les contrôles de resynchronisation sur un réglage qui utilise
le format de sortie QuickTime Movie et choisissez Passthrough comme réglage audio, la
vitesse audio n’est pas modifiée et la synchronisation avec la vidéo n’est pas conservée.
Consultez la section À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime pour obtenir
plus d’informations.
Conversion de la vitesse d’une vidéo
Les contrôles de resynchronisation proposent trois options pour déterminer la vitesse de
lecture :
Pour déterminer la vitesse de lecture du fichier multimédia de sortie, vous pouvez :
• Saisir un pourcentage
• Saisir une durée
• forcer la lecture des images à la fréquence d’images définie dans le réglage Fréquence
d’images de la sous-fenêtre Encodeur.
298 Chapitre 23 Utilisation des contrôles d’imagesSaisir un pourcentage
Vous disposez de deux options lorsque vous choisissez de définir la durée du plan à l’aide
de cette méthode :
• saisir une valeur en pour cent ;
• choisir une valeur prédéfinie.
Chacun des préréglages disponibles est destiné à être utilisé pour un cas de figure
particulier.
• 24 @ 25 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 24 ips en vidéo à 25 ips distribuée
en format PAL.
• 23,98 @ 24 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 23,98 ips en vidéo à 24 ips.
• 23,98 @ 25 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 23,98 ips en vidéo à 25 ips
distribuée en format PAL.
• 30 @ 29,97 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 30 ips en vidéo à 29,97 ips.
• 29,97 @ 30 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 29,97 ips en vidéo à 30 ips.
• 24 @ 23,98 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 24 ips en vidéo à 23,98 ips
distribuée sous forme de DVD NTSC.
Aucune de ces options n’exige l’insertion d’images vidéo intermédiaires. La différence
entre les réglages correspond juste à une lecture plus ou moins rapide des images
existantes.
Saisir une durée
Le champ Durée indique la durée actuelle du plan. Si vous modifiez cette durée, la valeur
exprimée en pourcentage change pour refléter cette modification.
Cette option est très utile lorsque la durée du fichier multimédia source est un peu plus
longue ou un peu plus courte que nécessaire et que vous préférez changer la vitesse de
lecture plutôt qu’ajouter ou supprimer des images vidéo.
Cette méthode donne lieu à la création d’images vidéo intermédiaires en fonction des
besoins.
Chapitre 23 Utilisation des contrôles d’images 299Forcer la lecture des images à la fréquence d’images définie dans le réglage Fréquence
d’images de la sous-fenêtre Encodeur
On utilise cette option lorsque la fréquence d’images du fichier multimédia source est
différente de celle qui est indiquée dans le réglage Fréquence d’images la sous-fenêtre
Encodeur.
300 Chapitre 23 Utilisation des contrôles d’imagesVous pouvez ajuster vos réglages de façon plus précise à l’aide de la sous-fenêtre
Géométrie de la fenêtre Inspecteur.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Utilisation du rognage, de la mise à l’échelle et du remplissage (p 301)
• À propos de la sous-fenêtre Géométrie (p 303)
• Ajustements de géométrie pour un réglage (p 308)
Utilisation du rognage, de la mise à l’échelle et du remplissage
La sous-fenêtre Géométrie propose trois méthodes différentes pour modifier l’image de
sortie.
Rognage
Lorsque vous rognez une image, vous supprimez du contenu vidéo. Ce contenu représente
souvent une partie superflue de l’image (telle que la zone de surbalayage, nécessaire
pour la télévision, mais inutile pour les ordinateurs) et sa suppression permet d’agrandir
la portion restante dans une image de même taille.
La fonction Rognage comprend également un réglage « zone letterbox de la source »
qui détecte les bords de l’image et saisit automatiquement des valeurs de rognage
adaptées. Cette option s’avère particulièrement utile si vous souhaitez supprimer les
bandes noires d’un fichier multimédia source.
Lorsque vous ajustez les réglages de rognage, l’un des deux cas de figure suivants peut
se présenter en ce qui concerne la taille d’image du fichier vidéo de sortie :
• La taille d’image reste la même si vous avez choisi un réglage autre que 100 % de la
source, 50 % de la source ou 25 % de la source dans le menu local Taille d’image de la
section Dimensions (pixels encodés) de la sous-fenêtre Géométrie. Cela signifie que
l’image vidéo source est agrandie pour remplir l’image du fichier vidéo de sortie, ce
qui provoque une augmentation de la taille des pixels et une dégradation générale de
l’image.
301
Ajout de réglages de géométrie
24• La taille d’image est réduite en fonction des valeurs de rognage si vous avez choisi les
réglages 100 % de la source, 50 % de la source ou 25 % de la source dans le menu local
Taille d’image de la section Dimensions (pixels encodés) de la sous-fenêtre Géométrie.
Cette réduction peut aboutir à des tailles d’image non standard.
Les réglages de rognage se trouvent dans la section « Cadre de source (rognage) » de la
sous-fenêtre Géométrie.
Mise à l’échelle
La mise à l’échelle permet de modifier la taille d’image du fichier vidéo de sortie sans
supprimer aucune image source. Elle implique le plus souvent une réduction de la taille
d’image du fichier multimédia de sortie pour économiser l’espace de stockage ou réduire
le débit de données.
Compressor propose quatre méthodes de base pour la mise à l’échelle de la taille d’image
d’un fichier multimédia de sortie.
• Choisir un pourcentage de la taille source : trois réglages permettent de redimensionner
l’image source en fonction d’un pourcentage (100 % de la source, 50 % de la source et
25 % de la source). Les valeurs de rognage ont une incidence non seulement sur la
taille d’image de la vidéo source, mais aussi sur celle de la vidéo de sortie.
• Choisir une taille d’image maximale : six réglages permettent de régler l’échelle de
l’image source de façon à conserver les proportions originales et à l’agrandir le plus
possible dans les limites de la taille d’image sélectionnée.
• Choisir une taille d’image particulière : vous pouvez choisir entre plusieurs réglages de
taille d’image standard, tels que 720 x 486, 720 x 576, etc. Si vous choisissez l’une ces
options, la taille d’image du fichier vidéo de sortie correspondra à ce réglage.
• Saisir une valeur personnalisée : vous pouvez saisir une taille d’image personnalisée. En
outre, vous pouvez contraindre la taille d’image personnalisée aux proportions courantes,
comme 4:3 ou 16:9. Si vous saisissez une taille d’image personnalisée, la taille d’image
du fichier vidéo de sortie correspond à ce réglage.
Vous avez également la possibilité de définir les proportions des pixels de l’image de
sortie en sélectionnant une option dans un menu local proposant des réglages courants.
Remarque : les réglages de mise à l’échelle ne sont activés que si vous utilisez les formats
d’encodage de sortie MPEG-4, QuickTime Movie et Séquence d’images.
Les réglages de mise à l’échelle se trouvent dans la section « Dimensions (pixels encodés) »
de la sous-fenêtre Géométrie.
302 Chapitre 24 Ajout de réglages de géométrieRemplissage
Le remplissage est une méthode qui permet de réduire la taille de l’image tout en
conservant la taille de la vidéo de sortie en remplissant les zones restantes en noir. À la
différence du rognage, le remplissage ne supprime aucune image source. L’image est
réduite en fonction des valeurs de remplissage.
Le remplissage s’avère utile lorsque la taille de l’image source est inférieure à celle de
l’image de sortie et que vous souhaitez empêcher le redimensionnement de l’image
source en fonction de la taille de l’image de sortie. Si vous ajoutez un remplissage
approprié, l’image source conservera la même taille dans l’image de sortie et les parties
restantes seront remplies avec du noir.
Le remplissage est automatiquement appliqué lorsque l’image vidéo source est au format
NTSC 720 x 486 sans compression et la résolution de l’image de sortie est de 720 x 480.
Il existe également plusieurs réglages de remplissage courants, tels que 16 x 9 et
Panavision. Ils facilitent la configuration puisque c’est Compressor qui saisit
automatiquement les valeurs de remplissage, ce qui permet de garantir que l’image
source conserve ses proportions d’origine.
Les réglages de remplissage se trouvent dans la section « Cadre d’image de sortie
(remplissage) » de la sous-fenêtre Géométrie.
À propos de la sous-fenêtre Géométrie
Utilisez la sous-fenêtre Géométrie pour spécifier les paramètres de rognage et de
dimensionnement, la taille du fichier multimédia de sortie et les proportions de l’image
(le rapport entre sa hauteur et sa largeur).
Rognage
Mise à l’échelle
Remplissage
Chapitre 24 Ajout de réglages de géométrie 303Réglages Cadre de source (rognage)
Utilisez le menu local Rogner sur pour appliquer un rognage central, ou saisissez des
réglages de rognage dans les champs décrits ci-dessous.
• Menu local Rogner sur : faites votre choix parmi les options suivantes pour le rognage
manuel ou le rognage central automatique.
Les valeurs numériques réelles pour le rognage sont déterminées une fois que le réglage
cible est appliqué à une tâche.
Remarque : si vous souhaitez transcoder un fichier multimédia source de taille normale
(720 x 486) avec une résolution standard (DS) à l’aide d’un réglage MPEG-2 NTSC, votre
fichier multimédia de sortie est automatiquement rogné de deux pixels à partir du haut
et de quatre à partir du bas afin d’obtenir les dimensions MPEG-2 requises de 720 x 480,
sauf si vous avez déjà appliqué des attributs de rognage. Cet attribut de rognage n’est
que temporaire et n’est pas enregistré dans le réglage. Vous pouvez visualiser le rognage
automatique via la méthode habituelle en double-cliquant sur le réglage dans la tâche
afin d’ouvrir la fenêtre Aperçu. Pour plus d’informations sur le menu local Format vidéo,
consultez la section À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2.
• Personnalisé : choisissez cette option pour saisir manuellement des valeurs dans les
champs de rognage Gauche, Droite, En haut et En bas, ou pour régler ces valeurs en
faisant glisser les barres rouges de l’encadré de la fenêtre Aperçu. Pour plus
d’informations, consultez la section Ajustements de géométrie pour un réglage.
• 4:3 (1,33:1) : applique un rognage central automatique avec des proportions de 4:3.
• 16:9 (1,78:1) : applique un rognage central automatique avec des proportions de
16:9.
• Panavision (2,35:1) : applique un rognage central automatique avec des proportions
de 2,35:1.
• Norme Europe (1,66:1) : applique un rognage central automatique avec des proportions
de 1,66:1.
• Norme UK (1,75:1) : applique un rognage central automatique avec des proportions
de 1,75:1.
• Academy (1,85:1) : applique un rognage central automatique avec des proportions
de 1,85:1.
304 Chapitre 24 Ajout de réglages de géométrie• Zone letterbox de la source : cette option permet à Compressor de déterminer si le
fichier multimédia source a été mis au format Letterbox et, si tel ’est le cas, de saisir
des valeurs de rognage pour supprimer les bandes noires.
• Gauche, Droite, En haut et En bas : les quatre champs de rognage (Gauche, Haut, Droite
et Bas) vous permettent de rogner l’image de votre fichier multimédia source par
incréments exprimés en pixels. La plupart des fichiers vidéo de diffusion présentent
des zones de surbalayage. Si le fichier de sortie est destiné à n’être affiché que sur un
écran d’ordinateur plutôt que sur un écran de télévision, vous pouvez en toute
tranquillité supprimer une partie de sa bordure sans conséquence sur la zone d’image.
Les valeurs indiquent la distance (en pixels) entre le bord du cadre original et le bord
du cadre rogné final. Par défaut, tous les champs sont remplis avec la valeur 0.
Remarque : la zone de surbalayage (d’action sécurisée) est habituellement constituée
par les 5 pour cent de l’image les plus éloignés du centre le long des quatre côtés. Si
vous rognez 5 pour cent de plus, il vous reste une zone plus réduite dite de titre sécurisé.
Vous pouvez, par conséquent, rogner votre image en supprimant entre 5 à 10 pour
cent de sa bordure extérieure sans risque pour le contenu important.
Réglages Dimensions (Pixels encodés)
Les réglages de la section Dimensions ne sont actifs que lorsque vous utilisez les formats
d’encodage de sortie MPEG- 4, QuickTime Movie et Séquence d’images. Pour les autres
formats, les réglages apparaissent estompés, mais il est possible de voir ceux qui seront
utilisés une fois le lot envoyé.
• Champs Largeur et Hauteur de Taille d’image : ces champs de texte et les menus locaux
qui y sont associés vous permettent de personnaliser la taille d’image et les proportions
de votre fichier multimédia de sortie. Saisissez une valeur dans le champ Largeur ou
dans le champ Hauteur ou choisissez une option dans le menu local associé.
• Menu local Taille d’image : les dimensions pertinentes de la taille de sortie sont
automatiquement saisies dans les champs Largeur et Hauteur en fonction de ce que
vous choisissez dans les menus locaux.
• 100 % de la source : définit une dimension de sortie identique à la dimension du
média source. (Cette option ne modifie en rien la dimension.)
Chapitre 24 Ajout de réglages de géométrie 305• 50 % de la source : la taille de la dimension de sortie représente 50 % de la dimension
du média source.
• 25 % de la source : la taille de la dimension de sortie représente 25 % de la dimension
du média source.
• Jusqu’à 1920 x 1080 : les dimensions de sortie ne dépassent pas 1920 x 1080 mais les
proportions originales sont conservées.
• Jusqu’à 1280 x 720 : la dimension de sortie ne dépasse pas 1280 x 720 mais les
proportions originales sont conservées.
• Jusqu’à 960 x 540 : la dimension de sortie ne dépasse pas 960 x 540 mais les
proportions originales sont conservées.
• Jusqu’à 854 x 480 : la dimension de sortie ne dépasse pas 854 x 480 mais les
proportions originales sont conservées.
• Jusqu’à 428 x 240 : la dimension de sortie ne dépasse pas 428 x 240 mais les
proportions originales sont conservées.
• Jusqu’à 214 x 120 : la dimension de sortie ne dépasse pas 214 x 120 mais les
proportions originales sont conservées.
• 320 x 240 : définit une dimension de sortie de 320 x 240 pixels précisément.
• 640x480 : définit une dimension de sortie de 640 x 480 pixels précisément.
• 720x480 : définit une dimension de sortie de 720 x 480 pixels précisément.
• 720 x 486 : définit une dimension de sortie de 720 x 486 pixels précisément.
• 720 x 576 : définit une dimension de sortie de 720 x 576 pixels précisément.
• 1 280 x 720 : définit une dimension de sortie de 1 280 x 720 pixels précisément.
• 1 920 x 1 080 : définit une dimension de sortie de 1 920 x 1 080 pixels précisément.
• Personnalisé : ce réglage est créé manuellement. Saisissez dans les champs Largeur
et Hauteur les dimensions adaptées à vos besoins. Ce réglage n’a pas de contrainte
sur les proportions.
• Personnalisé (4:3) : ce réglage manuel impose les proportions 4:3. Saisissez une valeur
dans le champ Largeur ou dans le champ Hauteur, afin que l’autre valeur soit
automatiquement déterminée.
• Personnalisé (16:9) : ce réglage manuel impose les proportions 16:9. Saisissez une
valeur dans le champ Largeur ou dans le champ Hauteur, afin que l’autre valeur soit
automatiquement déterminée.
• Personnalisé (1,85:1) : ce réglage manuel impose les proportions 1,85:1. Saisissez une
valeur dans le champ Largeur ou dans le champ Hauteur, afin que l’autre valeur soit
automatiquement déterminée.
306 Chapitre 24 Ajout de réglages de géométrie• Personnalisé (2,35:1) : ce réglage manuel impose les proportions 2,35:1. Saisissez une
valeur dans le champ Largeur ou dans le champ Hauteur, afin que l’autre valeur soit
automatiquement déterminée.
• Champ Aspect des pixels : vous pouvez choisir Aspect des pixels dans le menu local et
saisir une valeur dans ce champ. Les proportions des pixels font référence à la forme des
pixels d’une image numérique. Cela est particulièrement important lors de l’utilisation
de certains filtres. Par exemple, si le graphique que vous utilisez pour le filtre Filigrane
utilise un cercle et souhaitez vous assurer qu’il ressemblera toujours à un cercle une
fois l’opération terminée (et non à un ovale), vous devez choisir le paramètre Aspect
des pixels correspondant à votre format de sortie.
• Menu local Aspect des pixels : utilisez ce menu local pour définir les proportions des
pixels du fichier multimédia de sortie. Il force les proportions des pixels à se conformer
à des formats particuliers. Les options sont les suivantes.
• Personnalisé : choisissez cette option pour saisir manuellement des valeurs dans le
champ Aspect des pixels.
• Réglages par défaut pour taille : les valeurs de proportions des pixels sont définies en
fonction de valeurs de largeur et de hauteur courantes. Ainsi, la valeur par défaut
pour 720 x 480 ou 720 x 486 est NTSC CCIR 601/DV NTSC.
• Carré : utilisez cette option lorsque la sortie doit être affichée sur des ordinateurs.
• NTSC CCIR 601/DV : impose une proportion de 4:3 avec une résolution de
720 x 480 pixels.
• NTSC CCIR 601/DV (16:9) : impose une proportion de 16:9 avec une résolution de
720 x 480 pixels.
• PAL CCIR 601 : impose une proportion de 4:3 avec une résolution de 720 x 576 pixels.
• PAL CCIR 601 (16:9) : impose une proportion de 16:9 en utilisant 720 x 576 pixels.
• HD (960 x 720) : impose une proportion de 16:9 en utilisant 1280 x 720 pixels.
• HD (1280 x 1080) : impose une proportion de 16:9 avec une résolution de
1920 x 1080 pixels.
• HD (1440 x 1080) : impose une proportion de 16:9 en utilisant 1440 x 1080 pixels.
Chapitre 24 Ajout de réglages de géométrie 307Réglages de « Cadre d’image de sortie (remplissage) »
Les réglages suivants permet d’utiliser la fonction de remplissage et d’ajuster ses valeurs.
• Menu local Remplissage : utilisez ce menu local pour choisir l’une des options suivantes.
• Personnalisé : permet de saisir manuellement des valeurs dans les champs Gauche,
Droite, En haut et En bas.
• Conserver les proportions de la source : remplit l’image tout en conservant les
proportions d’origine.
• 4:3 1,33:1 : utilise les proportions 4 x 3.
• 16:9 1,78:1 : utilise les proportions 16 x 9.
• 4:3 1,33:1 : utilise les proportions 4 x 3.
• Panavision 2,35:1 : utilise les proportions 2,35 x 1.
• Norme Europe 1,66:1 : utilise les proportions 1,66 x 1.
• Norme G.-B. 1,75:1 : utilise les proportions 1,75 x 1.
• Academy 1,85:1 : utilise les proportions 1,85 x 1.
• Champs Gauche, Droite, En haut et En bas : utilisez ces champs pour ajouter des pixels
« de remplissage » au pourtour d’une image. Il s’agit en fait du contraire du rognage.
Si la taille d’image du fichier multimédia de sortie est différente de celle du fichier
multimédia source, il est parfois préférable de remplir l’image plutôt que de la
redimensionner.
Ajustements de géométrie pour un réglage
Utilisez la sous-fenêtre Géométrie de la fenêtre Inspecteur pour rogner, mettre à l’échelle
et changer les proportions d’un réglage.
308 Chapitre 24 Ajout de réglages de géométriePour ajouter des réglages de rognage, de dimensionnement d’image et de proportions
à un réglage
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez
également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier multimédia source dans la
fenêtre Lot.
3 Cliquez sur l’onglet Géométrie de l’Inspecteur.
4 Saisissez vos réglages de cadre de source (rognage), choisissez les dimensions de la taille
de sortie dans le menu local Taille d’image, puis sélectionnez des réglages de remplissage
dans la section Cadre d’image de sortie.
Vous pouvez voir toutes les modifications apportées au réglage en consultant le tableau
de la sous-fenêtre Résumé.
Chapitre 24 Ajout de réglages de géométrie 309Remarque : vous pouvez ajuster la taille de l’image de deux façons différentes : soit vous
saisissez des valeurs dans les champs de rognage, soit vous déplacez les lignes rouges
du cadre dans la fenêtre Aperçu. Dans ce dernier cas, les valeurs résultantes apparaissent
dynamiquement dans les champs de rognage, ce qui vous permet d’avoir une
représentation numérique du rognage du cadre. Maintenez enfoncée la touche Maj afin
de forcer le rognage aux proportions, à la hauteur ou à la largeur de la source.
Déplacez les lignes
rouges du cadre (à l’aide
des poignées) pour
ajuster la taille du cadre
du fichier de sortie.
Si vous sélectionnez une cible de lot,
tout redimensionnement effectué dans
la fenêtre Preview est reflété dans la
sous-fenêtre Géométrie. Vous pouvez
aussi saisir des valeurs directement
dans ces champs de rognage.
Consultez la section À propos de la sous-fenêtre Géométrie ou Prévisualisation d’un plan
pour plus d’informations.
310 Chapitre 24 Ajout de réglages de géométrieIl est possible de créer des actions de post-transcodage automatique, puis de les appliquer
aux tâches et aux réglages (et donc également à des cibles individuelles). Les actions de
post-transcodage simplifient et accélèrent votre flux de production quotidien, tout en
permettant de partager plus facilement votre travail avec d’autres personnes. Vous pouvez
rapidement créer et diffuser des fichiers multimédias de sortie pour l’iPhone, l’iPad, l’iPod,
l’Apple TV, les DVD, un disque Blu-ray, le web et YouTube, sans devoir ouvrir d’autres
applications. Vous pouvez également envoyer automatiquement des messages
électroniques pour avertir que des fichiers multimédias de sortie individuels sont terminés.
Vous pouvez déclencher des processus Automator pour des tâches individuelles et des
documents AppleScript pour chaque cible.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Utilisation des actions de post-transcodage (p 311)
• Ajout d’actions de réglage (p 311)
• Ajout d’actions de tâche (p 313)
Utilisation des actions de post-transcodage
Compressor prend en charge les actions de tâche et les actions de réglage. Les actions de
tâche s’appliquent aux tâches complètes. Ces actions sont souvent associées aux modèles
de lot. (Pour en savoir plus sur les modèles de lot, consultez Flux de travaux Compressor
rapide et facile : méthode Modèle de lot.) Les actions de réglage s’appliquent aux réglages
individuels (et par là même à des cibles individuelles). Vous pouvez enregistrer des réglages
auxquels sont appliquées des actions de réglage en tant que réglages personnalisés pour
une utilisation ultérieure.
Ajout d’actions de réglage
Pour chaque réglage prédéfini appliqué, Compressor peut envoyer un message
électronique à un destinataire afin de l’informer que le transcodage est terminé. Vous
pouvez aussi choisir une destination par défaut pour ce réglage.
311
Ajout d’actions
25À propos de la sous-fenêtre Actions
Utilisez la sous-fenêtre Actions de l’inspecteur pour définir des options de destination
par défaut et de notification de fin de transcodage par courrier électronique.
La sous-fenêtre Actions contient les éléments suivants.
• Notification par courrier électronique à : si vous souhaitez être averti dès qu’une tâche
de transcodage particulière est terminée, cochez cette case et saisissez une adresse
électronique valide dans le champ de texte. (Vous ne pouvez spécifier qu’une seule
adresse). Cette option est utile si le transcodage d’un fichier multimédia source
particulièrement volumineux requiert plusieurs heures. Au lieu de vérifier de façon
répétée le déroulement du transcodage, attendez simplement de recevoir un message
électronique vous en indiquant la fin.
Remarque : pour activer cette fonctionnalité de courrier électronique, vous devez
d’abord saisir une adresse électronique et un serveur de courrier sortant dans les
Préférences de Compressor. Sélectionnez Compressor > Préférences.
• Menu local Destination par défaut : utilisez ce menu local pour attribuer une destination
à un réglage donné. (Cette opération est l’opposé de la définition d’une destination
par défaut pour tous les réglages qui figurent dans les préférences de Compressor).
Pour en savoir plus sur la définition d’une destination par défaut pour tous les réglages
contenus dans les préférences de Compressor, voir Configuration des préférences de
Compressor.
Comment ajouter des actions de réglage
Utilisez la sous-fenêtre Actions de l’inspecteur pour définir des options de posttranscodage
pour votre fichier multimédia de sortie, telles que l’envoi d’un message électronique.
312 Chapitre 25 Ajout d’actionsPour ajouter une notification par courrier électronique à votre réglage
1 Sélectionnez un réglage personnalisé dans l’onglet Réglages ou ouvrez un lot dont l’une
des tâches possède un réglage appliqué.
Il n’est pas possible de modifier les réglages Apple. Vous pouvez toutefois copier un
réglage Apple et modifier la copie.
2 Cliquez sur l’onglet Actions de l’Inspecteur.
3 Cochez la case « Notification par courrier électronique » et introduisez l’adresse
électronique appropriée dans le champ contigu.
Remarque : pour activer cette fonctionnalité de courrier électronique, vous devez d’abord
saisir une adresse électronique et un serveur de courrier sortant dans les Préférences de
Compressor. (Sélectionnez Compressor > Préférences. Vous risquez de devoir fermer et
rouvrir Compressor pour que les modifications des préférences de courrier électronique
fonctionnent.)
4 Au besoin, cliquez sur Enregistrer ou sur Enregistrer sous pour enregistrer cette
configuration de courrier électronique dans ce réglage.
Pour sélectionner une destination par défaut pour ce réglage
1 Sélectionnez un réglage personnalisé dans l’onglet Réglages ou ouvrez un lot dont l’une
des tâches possède un réglage appliqué.
Il n’est pas possible de modifier les réglages Apple. Vous pouvez toutefois copier un
réglage Apple et modifier la copie.
2 Cliquez sur l’onglet Actions de l’Inspecteur.
3 Choisissez une destination dans le menu local Destination par défaut.
Le menu local répertorie les destinations Apple et les destinations personnalisées que
vous avez créées.
4 Au besoin, cliquez sur Enregistrer ou sur Enregistrer sous pour enregistrer cette destination
par défaut dans ce réglage.
Consultez la section À propos de la sous-fenêtre Actions pour obtenir plus d’informations.
Ajout d’actions de tâche
Les actions de tâche vous permettent d’automatiser le processus de transcodage. Par
exemple, vous pouvez automatiquement télécharger des fichiers multimédias de sortie
sur des sites de diffusion web comme YouTube, graver des DVD et des disques Blu-ray,
déclencher des processus Automator, transférer des fichiers multimédias de sortie vers
iTunes, ouvrir des fichiers multimédias de sortie dans d’autres applications ou créer des
séquences de référence web. Les actions de tâche font partie intégrante du
fonctionnement des modèles de lot.
Chapitre 25 Ajout d’actions 313Pour en savoir plus sur les modèles de lot, consultez Flux de travaux Compressor rapide
et facile : méthode Modèle de lot.
À propos de l’onglet Action de tâche
L’onglet Action de tâche de la fenêtre Inspecteur vous permet d’appliquer et d’adapter
des actions de tâche. Pour utiliser l’onglet Action de tâche, vous devez tout d’abord
sélectionner une tâche dans la fenêtre Lot.
Pour ouvrir l’onglet Action de tâche
1 Ajoutez un fichier multimédia source dans la fenêtre Lot afin qu’une tâche figure dans
cette fenêtre.
2 Dans la fenêtre Lot, sélectionnez une tâche.
La fenêtre Inspecteur s’ouvre avec l’onglet Attributs A/V sélectionné. Si la fenêtre Inspecteur
ne s’ouvre pas, cliquez sur le bouton Inspecteur ou choisissez Fenêtre > Afficher
l’Inspecteur.
3 Cliquez sur l’onglet Action de tâche afin de l’ouvrir.
L’onglet Action de tâche compte un seul menu local « Fin de la tâche ». La liste ci-dessous
détaille l’utilisation de chaque option de ce menu local. Pour une description détaillée
de l’interface utilisateur de chaque option, voir À propos des actions de tâche.
• Menu local « Fin de la tâche » : utilisez ce menu local pour sélectionner et appliquer une
action de post-transcodage pour une tâche sélectionnée dans la fenêtre Lot.
• Ne faites rien : choisissez cette option pour désactiver l’onglet Action de tâche.
• Ajouter à la bibliothèque iTunes : Compressor ajoute le fichier multimédia de sortie à
une liste de lecture iTunes.
314 Chapitre 25 Ajout d’actions• Créer un DVD : Compressor crée un DVD en définition standard à l’aide du format
vidéo MPEG-2 (.m2v) et du format audio Dolby Digital Professional (.ac3), et le grave
automatiquement sur un disque.
• Créer un disque Blu-ray : Compressor crée un disque Blu-ray ou AVCHD à l’aide des
réglages vidéo et audio compatibles avec Blu-ray et le grave automatiquement.
• Créer un film de référence web : Compressor crée un film de référence pour permettre
à un navigateur web et à un serveur de sélectionner automatiquement le bon film,
quel que soit le périphérique ou la vitesse de connexion utilisée, sans que le spectateur
n’ait à choisir.
• Ouvrir avec Application : Compressor ouvre le fichier multimédia de sortie avec une
application particulière.
• Préparer à la diffusion HTTP en direct : Compressor crée un ensemble de fichiers vidéo
adaptés à une utilisation sur un serveur de diffusion HTTP en direct.
• Exécuter le processus Automator : cette option ouvre une zone de dialogue qui vous
permet de localiser et sélectionner un script Automator que Compressor va exécuter
automatiquement à la fin de la tâche de transcodage.
• Publier dans YouTube : Compressor crée un fichier vidéo adapté à l’affichage dans
YouTube et le télécharge dans un compte YouTube.
• Publier sur Facebook : Compressor crée un fichier vidéo adapté à l’affichage sur
Facebook et le télécharge vers un compte Facebook.
• Publier sur Vimeo : Compressor crée un fichier vidéo adapté à l’affichage dans Vimeo
et le télécharge vers un compte Vimeo.
• Publier sur CNN iReport : Compressor crée un fichier vidéo adapté à l’affichage sur
CNN iReport et le télécharge vers un compte CNN iReport.
• Envoyer un courrier électronique : Compressor envoie un message électronique à l’aide
des informations que vous avez saisies.
À propos des actions de tâche
Cette rubrique décrit l’interface utilisateur de chaque action de tâche.
Chapitre 25 Ajout d’actions 315Ajouter à la bibliothèque iTunes
Utilisez ce formulaire pour ajouter automatiquement des fichiers multimédias de sortie
à iTunes.
• Menu local Liste de lecture : utilisez ce menu pour ajouter le fichier de sortie multimédia
à une liste de lecture particulière dans votre bibliothèque iTunes.
Remarque : la première fois que vous utilisez cette fonction, ce menu local est vide.
Pour afficher les listes de lecture de votre bibliothèque iTunes dans ce menu, choisissez
Actualiser dans le menu local Liste de lecture.
• Titre : saisissez le texte que vous souhaitez voir apparaître comme titre du fichier de
votre bibliothèque iTunes.
Créer un DVD
Utilisez ce formulaire pour saisir les informations et les réglages concernant le DVD que
vous souhaitez graver.
• Menu local Périphérique de sortie : utilisez ce menu local pour choisir le périphérique à
formater. Le menu local affiche une liste des périphériques de sortie adaptés à votre
système, y compris les disques optiques et le disque dur de votre ordinateur. Choisissez
Disque dur pour créer un fichier image disque (.img) que vous pouvez graver
ultérieurement sur un DVD à l’aide de l’application Utilitaire de disque (disponible dans
le dossier Utilitaires). Il est possible de modifier d’autres réglages selon le périphérique
que vous choisissez.
316 Chapitre 25 Ajout d’actionsImportant : si un indicateur de progression s’affiche à côté du dispositif de sortie
sélectionné, attendez un instant que la liste des dispositifs disponibles soit mise à jour.
Voilà ce qui se passe lorsque vous éjectez ou insérez un disque ou lorsque vous activez
ou désactivez un média optique.
• Bouton d’éjection : selon le type de lecteur de média optique dont vous disposez, cliquez
sur ce bouton pour éjecter le média optique ou ouvrez le tiroir du lecteur.
• Menu local Couches : utilisez ce menu local pour spécifier le type de disque que vous
créez.
• Automatique : utilisez cette option pour détecter automatiquement le type de disque
inséré. Insérez le disque avant de cliquer sur Graver pour qu’Automatique fonctionne.
Par ailleurs, Automatique crée toujours une image disque simple couche lorsque
Disque dur est sélectionné comme périphérique de sortie.
• Simple couche : utilisez cette option pour identifier le disque comme un disque simple
couche. Vous pouvez utiliser cette option pour qu’un disque double couche soit
traité comme un disque simple couche.
• Double couche : utilisez cette option pour identifier le disque comme un disque
double couche. Vous pouvez utiliser cette option pour que l’image disque soit
formatée pour un disque double couche lorsque vous choisissez Disque dur comme
périphérique de sortie. Une erreur peut se produire si l’option Double couche est
sélectionnée alors qu’un disque simple couche est utilisé pendant la gravure du
disque (en fonction de la longueur du projet).
• Menu local Modèle de disque : utilisez ce menu local afin de choisir un modèle de menu
pour le DVD.
• Champ de titre : ce champ permet de saisir un nom pour le programme du DVD.
• Menu local « Lorsque le disque est en cours de chargement » : utilisez ce menu local pour
choisir l’action qui se produit lorsque le disque est en cours de chargement sur le
lecteur.
• Afficher le menu : choisissez cette option pour afficher le menu.
• Reproduire la séquence : choisissez cette option pour reproduire la séquence.
• Case à cocher « Utiliser le texte marqueur de chapitre comme soustitre » : cochez cette
case afin que le texte marqueur apparaisse comme sous-titre. Cette option est
particulièrement utile pour la création d’épreuves sur DVD. Cela vous permet d’aligner
une série de plans ou de scènes et d’identifier chaque élément avec un sous-titre de
texte marqueur.
• Menu local Arrièreplan : cette option ouvre une zone de dialogue permettant de
sélectionner une image fixe à utiliser comme arrièreplan du menu.
Chapitre 25 Ajout d’actions 317• Aperçu de Menu principal et de Menu du chapitre : utilisez les boutons Menu principal
et Menu du chapitre pour afficher les prévisualisations des menus inclus dans le modèle
sélectionné.
Créer un disque Blu-ray
Utilisez ce formulaire pour saisir les informations et les réglages concernant le disque
Blu-ray que vous souhaitez graver. De plus, vous pouvez graver un disque AVCHD à partir
des réglages de ce formulaire.
Un disque AVCHD peut être considéré comme un disque HD simple gravé à l’aide du
rayon laser rouge. Le disque obtenu peut être lu avec les lecteurs Blu-ray compatibles
avec le format AVCHD. Cela signifie que vous pouvez graver un disque contenant de la
vidéo HD et des fonctions de menu simples à l’aide d’un graveur standard, puis le lire sur
un lecteur Blu-ray compatible. Consultez À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264
pour disque Blu-ray pour en savoir plus sur la création de flux H.264 compatibles avec les
disques Blu-ray ou AVCHD.
Important : il n’est pas possible de visionner un disque Blu-ray sur Macintosh.
Pour graver un disque Blu-ray ou AVCHD, choisissez l’option appropriée dans le menu
local Périphérique de sortie. Les descriptions des réglages ci-dessous ne s’appliquent pas
aux disques AVCHD.
• Menu local Périphérique de sortie : utilisez ce menu local pour choisir le périphérique à
formater. Le menu local affiche une liste des périphériques de sortie adaptés à votre
système, y compris les disques optiques et le disque dur de votre ordinateur. Chaque
appareil possède le libellé Blu-ray ou AVCHD pour indiquer le type de disque qu’il peut
graver. Choisissez Disque dur pour créer un fichier image disque (.img) que vous pouvez
graver ultérieurement sur un disque Blu-ray à l’aide de l’application Utilitaire de disque
(disponible dans le dossier Utilitaires). Il est possible de modifier d’autres réglages selon
le périphérique que vous choisissez.
318 Chapitre 25 Ajout d’actionsImportant : si un indicateur de progression s’affiche à côté du dispositif de sortie
sélectionné, attendez un instant que la liste des dispositifs disponibles soit mise à jour.
Voilà ce qui se passe lorsque vous éjectez ou insérez un disque ou lorsque vous activez
ou désactivez un média optique.
Remarque : si vous choisissez un graveur standard, le disque est formaté en AVCHD.
Tous les autres appareils gravent le disque en Blu-ray.
• Bouton d’éjection : selon le type de lecteur de média optique dont vous disposez, cliquez
sur ce bouton pour éjecter le média optique ou ouvrez le tiroir du lecteur.
• Menu local Couches : utilisez ce menu local pour spécifier le type de disque que vous
créez.
• Automatique : utilisez cette option pour détecter automatiquement le type de disque
inséré. Insérez le disque avant de cliquer sur Graver pour qu’Automatique fonctionne.
Par ailleurs, Automatique crée toujours une image disque simple couche lorsque
Disque dur est sélectionné comme périphérique de sortie.
• Simple couche : utilisez cette option pour identifier le disque comme un disque simple
couche. Vous pouvez utiliser cette option pour qu’un disque double couche soit
traité comme un disque simple couche.
• Double couche : utilisez cette option pour identifier le disque comme un disque
double couche. Vous pouvez utiliser cette option pour que l’image disque soit
formatée pour un disque double couche lorsque vous choisissez Disque dur comme
périphérique de sortie. Une erreur peut se produire si l’option Double couche est
sélectionnée alors qu’un disque simple couche est utilisé pendant la gravure du
disque (en fonction de la longueur du projet).
• Menu local Modèle de disque : utilisez ce menu local afin de choisir un modèle de menu
pour le disque Blu-ray.
• Champ de titre : ce champ permet de saisir un nom pour le programme du disque
Blu-ray.
• Menu local « Lorsque le disque est en cours de chargement » : utilisez ce menu local pour
choisir l’action qui se produit lorsque le disque est en cours de chargement sur le
lecteur.
• Afficher le menu : choisissez cette option pour afficher le menu.
• Reproduire la séquence : choisissez cette option pour reproduire la séquence.
• Case à cocher « Utiliser le texte marqueur de chapitre comme soustitre » : cochez cette
case afin que le texte marqueur apparaisse comme sous-titre. Cette option est
particulièrement utile pour la création d’épreuves sur des disques Blu-ray. Cela vous
permet d’aligner une série de plans ou de scènes et d’identifier chaque élément avec
un sous-titre de texte marqueur.
Remarque : les disques AVCHD ne prennent pas en charge les sous-titres.
Chapitre 25 Ajout d’actions 319• Case à cocher « Inclure le bouton Séquence en boucle » : cochez cette case pour ajouter
un bouton Séquence en boucle au menu. Cette option n’est pas disponible sur tous
les modèles de disque.
• Bouton Arrière-plan : ouvre une zone de dialogue permettant de localiser et de
sélectionner un graphique d’arrière-plan.
• Bouton Graphique du logo : ouvre une zone de dialogue permettant de localiser et de
sélectionner un graphique de logo.
• Bouton Graphique du titre : ouvre une zone de dialogue permettant de localiser et de
sélectionner un graphique de titre.
• Aperçu de Menu principal et de Menu du chapitre : utilisez les boutons Menu principal
et Menu du chapitre pour afficher les prévisualisations des menus inclus dans le modèle
sélectionné.
Remarque : Les menus Blu-ray et AVCHD sont les mieux adaptés aux résolutions
d’affichage 1080i ou 1080p. Assurez-vous que le lecteur et l’écran correspondants sont
configurés de manière appropriée.
Créer un film de référence web
Utilisez ce formulaire pour créer un film de référence qui permet à un navigateur web et
à un serveur de sélectionner automatiquement le bon film, quels que soient le périphérique
ou la vitesse de connexion utilisés, sans que le spectateur doive faire un choix.
• Champ et bouton de destination du film de référence web : utilisez ce champ et le bouton
Choisir associé pour définir un dossier de destination pour le film de référence web de
sortie. Cliquez sur le bouton afin d’ouvrir une zone de dialogue pour localiser et
sélectionner le dossier.
320 Chapitre 25 Ajout d’actions• Case à cocher « Créer un fichier Ouvrezmoi avec code HTML » : cochez cette case pour
contrôler si Compressor crée un document texte contenant toutes les instructions et
un échantillon du code HTML permettant d’intégrer le film de référence web dans un
site web.
• Case à cocher Créer une affiche : cochez cette case pour contrôler si Compressor crée
une vignette pour incorporer le film de référence dans un site web.
Ouvrir avec Application
Utilisez ce formulaire pour indiquer l’application qui permet d’ouvrir le fichier multimédia
de sortie.
• Menu local Ouvrir avec : utilisez ce menu pour sélectionner ou confirmer le choix de
l’application qui va ouvrir le fichier multimédia de sortie.
Chapitre 25 Ajout d’actions 321Préparer à la diffusion HTTP en direct
Utilisez ce formulaire pour créer un groupe de fichiers que vous pouvez utiliser pour
diffuser des données audio et vidéo vers un iPad, un iPhone, un iPod touch ou un Mac à
l’aide d’un serveur web ordinaire. Conçue pour les appareils portables, la diffusion HTTP
en direct peut régler dynamiquement la qualité de lecture vidéo en fonction de la vitesse
disponible des réseaux câblés et sans fil. La diffusion HTTP en direct convient à la diffusion
multimédia vers les application iOS ou les sites web HTML5. Pour en savoir plus sur
l’implémentation de la diffusion HTTP en direct, consultez le site web Apple Developer
consacré à la diffusion HTTP en direct.
• Bouton Sélectionner : cliquez sur Sélectionner pour ouvrir une zone de dialogue
permettant de choisir une destination pour les ressources de diffusion HTTP en direct.
• Champ numérique Durée de segment : saisissez une valeur (en secondes) pour définir
les longueurs de segment du média. Cette valeur définit la manière dont les flux vidéo
sont divisés en blocs. Cette segmentation détermine le moment où le serveur web
peut permuter entre les différents formats vidéo durant une diffusion à vitesse de
connexion réseau variable vers un appareil. Une valeur plus petite permet au serveur
de répondre plus rapidement aux changements de vitesse de connexion.
• Case à cocher « Créer un fichier Ouvrezmoi avec code HTML » : sélectionnez cette option
pour inclure un fichier contenant des informations de base sur l’utilisation de la diffusion
HTTP en direct.
322 Chapitre 25 Ajout d’actionsExécuter le processus Automator
Utilisez ce formulaire pour sélectionner un script Automator à exécuter.
• Choisir le processus Automator : cliquez sur Choisir pour ouvrir une zone de dialogue
permettant de localiser et de sélectionner un script Automator que Compressor va
exécuter automatiquement à la fin de la tâche de transcodage.
Publier dans YouTube
Ce formulaire vous permet de saisir les informations relatives aux séquences que vous
souhaitez publier vers un compte YouTube sur le web.
Remarque : pour télécharger plusieurs fichiers multimédias YouTube en un seul lot, créez
une tâche distincte pour chaque fichier multimédia de sortie.
Important : tous les champs doivent être renseignés pour réussir le téléchargement.
• Nom d’utilisateur : saisissez un nom d’utilisateur YouTube dans ce champ.
Chapitre 25 Ajout d’actions 323• Mot de passe : saisissez un mot de passe YouTube dans ce champ.
• Titre : utilisez champ pour saisir le nom de la séquence que vous publiez.
• Description : utilisez ce champ pour saisir une description de la séquence que vous
publiez.
• Mots-clés : saisissez dans ce champ des mots-clés décrivant votre séquence. Il s’agit de
termes de recherche que votre public est susceptible d’utiliser pour trouver votre
séquence sur YouTube. Pour en savoir plus, voir l’aide de YouTube.
• Menu local Catégorie : ce menu vous permet de sélectionner une catégorie YouTube
pour votre séquence. Sur YouTube, une séquence peut appartenir à une ou plusieurs
catégories (zones de rubrique).
• Case à cocher « Convertir cette séquence en séquence privée » : cochez cette case pour
contrôler l’accès à la séquence que vous publiez. Lorsque vous convertissez une
séquence en séquence privée sur YouTube, vous avez la possibilité de la partager avec
un nombre de personnes issues d’une liste de contacts créée pour votre compte. Pour
en savoir plus, voir l’aide de YouTube.
Publier sur Facebook
Ce formulaire vous permet de saisir des informations sur les séquences que vous souhaitez
publier vers un compte Facebook sur le web.
Remarque : pour télécharger plusieurs fichiers multimédias Facebook en un seul lot, créez
une tâche distincte pour chaque fichier multimédia de sortie.
Important : tous les champs doivent être renseignés pour réussir le téléchargement.
• Courrier électronique : ce champ permet de saisir l’adresse électronique d’un compte
Facebook.
• Mot de passe : saisissez un mot de passe Facebook dans ce champ.
324 Chapitre 25 Ajout d’actions• Titre : utilisez champ pour saisir le nom de la séquence que vous publiez.
• Description : utilisez ce champ pour saisir une description de la séquence que vous
publiez.
• Menu local Confidentialité : Utilisez ce menu local pour choisir les personnes qui peuvent
regarder la séquence. Les choix sont : Moi seulement, Amis, Amis de mes amis et Public.
Publier sur Vimeo
Ce formulaire vous permet de saisir des informations sur les séquences que vous souhaitez
publier vers un compte Vimeo sur le web.
Remarque : pour télécharger plusieurs fichiers multimédias Vimeo en un seul lot, créez
une tâche distincte pour chaque fichier multimédia de sortie.
Important : tous les champs doivent être renseignés pour réussir le téléchargement.
• Courrier électronique : ce champ permet de saisir l’adresse électronique d’un compte
Vimeo.
• Mot de passe : saisissez un mot de passe Vimeo dans ce champ.
• Titre : utilisez champ pour saisir le nom de la séquence que vous publiez.
• Description : utilisez ce champ pour saisir une description de la séquence que vous
publiez.
• Mots-clés : saisissez dans ce champ des mots-clés décrivant votre séquence. Il s’agit de
termes de recherche que votre public est susceptible d’utiliser pour trouver votre
séquence sur Vimeo. Pour en savoir plus, voir l’aide de Vimeo.
• Menu local Visible par : utilisez ce menu local pour choisir les personnes qui peuvent
regarder la séquence. Vous avez le choix entre : Tout le monde, Mes contacts et Personne
d’autre.
Chapitre 25 Ajout d’actions 325Publier sur CNN iReport
Ce formulaire vous permet de saisir des informations sur les séquences que vous souhaitez
publier vers un compte CNN iReport sur le web.
Remarque : pour télécharger plusieurs fichiers multimédias CNN iReport en un seul lot,
créez une tâche distincte pour chaque fichier multimédia de sortie.
Important : tous les champs doivent être renseignés pour réussir le téléchargement.
• Courrier électronique : ce champ permet de saisir l’adresse électronique d’un compte
CNN iReport.
• Mot de passe : saisissez un mot de passe CNN iReport dans ce champ.
• Objet : utilisez champ pour saisir le nom de la séquence que vous publiez.
• Corps : utilisez ce champ pour saisir une description de la séquence que vous publiez.
326 Chapitre 25 Ajout d’actionsEnvoyer un courrier électronique
Ce formulaire vous permet de saisir des informations pour le message électronique rédigé
à la fin de la tâche. Ce message contient le fichier de sortie et s’ouvre dans Mail afin que
vous puissiez éventuellement en modifier le contenu et d’autres réglages. Une fois le
message modifié, vous pouvez cliquer sur Envoyer.
• Envoyer à : saisissez l’adresse électronique à laquelle vous souhaitez que le courrier
électronique soit envoyé. Vous pouvez saisir plusieurs adresses électroniques en les
séparant par une virgule.
• Envoyer depuis : saisissez l’adresse électronique depuis laquelle vous souhaitez que le
courrier électronique soit envoyé.
• Objet : saisissez l’objet du courrier électronique dans ce champ.
• Corps : saisissez le texte du courrier électronique dans ce champ.
Chapitre 25 Ajout d’actions 327La fenêtre Aperçu a deux rôles principaux : vous pouvez l’utiliser pour lire un fichier source
dans son format d’origine ou afficher un aperçu du fichier avec les réglages qui lui ont
été affectés.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• À propos de la fenêtre Aperçu (p 329)
• Prévisualisation d’un plan (p 336)
• Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Aperçu (p 342)
• Utilisation de marqueurs et d’affiches (p 343)
• À propos des raccourcis clavier de la fenêtre Aperçu (p 350)
À propos de la fenêtre Aperçu
Lorsque vous utilisez la fenêtre Aperçu pour comparer la version originale du plan à la
version de sortie, vous pouvez effectuer et afficher les modifications en temps réel. Cette
comparaison permet de vérifier les effets des réglages sur votre fichier avant d’engager
du temps et des ressources dans le processus de transcodage. Il est conseillé de la faire
pour vérifier la qualité d’un fichier multimédia de sortie.
Version du plan mise à
l’échelle, rognée et filtrée
Version originale du plan
329
Utilisation de la fenêtre Aperçu
26Vous pouvez également utiliser la fenêtre Aperçu pour agrandir la taille de l’écran de
prévisualisation, ajouter manuellement des images I (MPEG-1 et MPEG-2 uniquement),
et désigner une portion d’un fichier de média pour transcodage à l’aide des marqueurs
d’entrée et de sortie.
La fenêtre Aperçu permet de lire des éléments avant de les soumettre à l’étape de
transcodage, ainsi que de comparer les versions d’un plan pour vous assurer que la qualité
du fichier multimédia de sortie est acceptable.
Contrôles d’entrée et de sortie
Sélection d’échelle Preview
Sélection source/réglage
Zone d’écran Preview
Contrôles de sélection
d’élément
Contrôles de Timeline
Menu local Marqueur
Informations sur
la source/sortie
Contrôles de navigation
La fenêtre Aperçu contient les éléments suivants.
• Sélection d’échelle Aperçu : permet d’adapter la taille de l’écran de prévisualisation. Les
trois paramètres sont 100%, 75% et 50%, mais vous pouvez aussi déplacer la poignée
de la fenêtre Aperçu pour définir la taille à votre guise.
• Sélection source/réglage : utilisez ces boutons pour prévisualiser l’élément de lot
sélectionné en utilisant les proportions et la taille de la source ou du réglage. Le bouton
Vue source fournit également une limite de rognage que vous pouvez utiliser pour
définir un ou plusieurs bords à rogner. Le bouton Vue de réglage affiche la version
rognée du fichier en tenant compte des réglages de proportions et de taille.
• Informations sur la source/sortie : la taille d’image et la fréquence d’images du plan sont
illustrées dans l’angle inférieur gauche de la fenêtre Aperçu. La durée du plan (depuis
le point d’entrée jusqu’au point de sortie) est affichée dans le coin inférieur droit.
Lorsque le bouton Vue source est sélectionné, la taille d’image et la fréquence d’images
représentent le plan source. Lorsque le bouton Vue de sortie est sélectionné, la taille
d’image et la fréquence d’images représentent le réglage de cet élément du lot.
330 Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre AperçuRemarque : pour voir la durée totale d’un plan (sans les points d’entrée et de sortie),
sélectionnez le fichier source dans la fenêtre Lot et ouvrez la fenêtre Inspecteur
(choisissez Fenêtre > Afficher l’Inspecteur).
Zone de contrôle de sélection d’élément
Vous pouvez utiliser la zone de sélection d’élément pour choisir dans la fenêtre Lot des
éléments spécifiques à afficher dans la fenêtre Aperçu.
Boutons de sélection
d’éléments
Menu local Élément
• Boutons de sélection d’éléments de lot : utilisez ces boutons pour avancer ou reculer
dans la liste des fichiers multimédias sources et des plans associés à leurs réglages et
disponibles pour la prévisualisation. Dès que vous cliquez dans la liste, l’élément
sélectionné apparaît dans le menu local Élément.
• Menu local Élément : choisissez, à l’aide de ce menu local, le fichier multimédia source
que vous souhaitez prévisualiser avec ou sans les réglages qui lui sont associés.
Contrôles d’entrée et de sortie
Une fois que vous avez sélectionné l’élément, les contrôles d’entrée et de sortie peuvent
être utilisés pour afficher et ajuster les informations de timecode des points d’entrée et
de sortie.
Règle le point d’entrée sur la
position de lecture actuelle.
Règle le point de sortie
sur la position de lecture
actuelle.
Timecode du point d’entrée
Timecode du point de sortie
• Champs de timecode entrée et sortie : les emplacements exacts des points d’entrée et
de sortie sont affichés dans ces champs dans le format de timecode standard :
hh:mm:ss:ii. Vous pouvez les éditer manuellement en sélectionnant un champ, puis en
saisissant de nouvelles valeurs. Si une nouvelle valeur est saisie, le point d’entrée ou
de sortie approprié de la timeline se déplace vers le point spécifié dans l’élément en
cours.
Remarque : si votre fichier multimédia source dispose d’une piste de timecode
spécifique, le timecode de début et de fin du plan s’affiche dans ces deux champs.
Dans tous les autres cas, le timecode commence par 00:00:00:00.
Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu 331• Boutons de point d’entrée et de sortie : faites glisser les boutons Point d’entrée (flèche
pointant vers la droite) ou Point de sortie (flèche pointant vers la gauche) dans la
timeline afin de définir un nouveau point d’entrée ou de sortie. Vous pouvez également
utiliser les boutons Définir entrée et Définir sortie (en regard des champs de timecode)
afin de définir les points d’entrée et de sortie.
Zone d’écran Aperçu
La zone d’écran Aperçu affiche l’élément actuellement sélectionné.
Limite de rognage
Poignée de rognage pour
l’angle inférieur droit
Curseur de partage de l’écran
Dimensions de rognage
(également visibles dans les
champs Cadre de source de
la sous-fenêtre Géométrie)
L’écran Aperçu contient aussi les éléments suivants.
• Curseur de partage de l’écran : déplacez le curseur de partage d’écran situé en haut de
l’écran de prévisualisation selon la distance souhaitée pour comparer le fichier
multimédia source (à gauche) et le fichier multimédia de sortie (à droite). La division
de l’écran est indiquée par ce curseur, mais également par une ligne verticale blanche
qui coupe l’image en deux.
• Limite de rognage : la limite de rognage n’est disponible que dans la vue Source. Utilisez
les poignées pour déplacer les bordures et angles de rognage rouges dans la direction
dans laquelle vous souhaitez rogner votre fichier de média de sortie. Quant à la poignée
centrale, elle vous permet de déplacer l’image entière dans une direction quelconque
tout en conservant ses dimensions. Les nouvelles valeurs (gauche, haut, droite et bas)
s’affichent dynamiquement dans l’écran de prévisualisation à mesure que vous rognez
le cadre. En outre, si la fenêtre Inspecteur est ouverte et que la cible du lot est
sélectionnée, ces mêmes valeurs apparaissent aussi dans les champs de rognage de la
sous-fenêtre Géométrie. Sélectionnez la vue Sortie pour afficher les résultats des
paramètres de limite de rognage.
332 Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre AperçuContrôles de timeline
Les contrôles de timeline fournissent des informations sur le plan, notamment les
marqueurs qu’il possède et les réglages actuels de point d’entrée et de sortie. Vous pouvez
également utiliser la timeline pour positionner la tête de lecture sur une image spécifique
et pour définir les points d’entrée et de sortie.
Timecode de tête de lecture
Tête de lecture
Marqueur
Point d’entrée Point de sortie
• Timecode de tête de lecture : affiche le timecode de la position de la tête de lecture dans
la timeline à l’aide du format de timecode standard hh:mm:ss:ii. Vous pouvez saisir une
nouvelle valeur pour positionner avec précision la tête de lecture dans la timeline.
Remarque : si votre fichier multimédia source dispose d’une piste de timecode
spécifique, le timecode du plan s’affiche dans ce champ. Dans tous les autres cas, le
timecode commence par 00:00:00:00.
• Points d’entrée et de sortie : utilisez ces points si vous souhaitez transcoder uniquement
une section de votre fichier multimédia source au lieu de la totalité du fichier. Déplacez
les points pour indiquer les points de début et de fin dans le fichier multimédia source
que vous souhaitez transcoder. Les champs de timecode d’entrée et de sortie situés
en bas de la fenêtre Aperçu sont mis à jour à mesure que vous faites glisser ces points.
Vous pouvez également cliquer sur les boutons Définir le point d’entrée et Définir le
point de sortie afin de définir les points à l’endroit où la tête de lecture est positionnée.
Important : les points d’entrée et de sortie ne sont pas conservés à la fin du transcodage,
vous devrez donc les réappliquer à votre plan si vous souhaitez soumettre à nouveau
un lot depuis le tableau Historique. Les points d’entrée et de sortie sont assignés au
fichier multimédia source et non au réglage. Ainsi, quels que soient les points d’entrée
et de sortie que vous créez, le résultat est le même pour tous les autres réglages associés
à ce fichier multimédia source dans le lot en cours.
• Tête de lecture : elle vous donne une indication visuelle de l’emplacement de l’image
affichée dans le plan. Vous pouvez déplacer la tête de lecture pour naviguer et atteindre
rapidement un point donné du plan.
• Marqueur : fournit une indication visuelle de l’emplacement où un marqueur a été
placé dans le plan. La couleur du marqueur indique son type :
• Bleu : marqueurs de compression (il s’agit des marqueurs de compression que l’on
ajoute manuellement).
• Violet : marqueurs de chapitre (il s’agit de marqueurs dotés d’un nom, destinés à
servir de moyen de navigation à travers les chapitres ou d’illustrations dans le fichier
multimédia de sortie).
Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu 333• Rouge : marqueurs de podcast (il s’agit de marqueurs dotés d’un nom, destinés à
servir de moyen de navigation à travers les chapitres ou d’illustrations dans le fichier
multimédia de sortie).
• Vert : marqueurs de montage/de coupe (il s’agit de marqueurs de compression qui
sont ajoutés automatiquement aux points de montage de la séquence Final Cut Pro).
• Barre grise avec un point central : affiche (cette barre indique l’image sélectionnée
comme affiche du fichier.)
Pour en savoir plus, consultez Utilisation de marqueurs et d’affiches.
Contrôles de navigation
Ces contrôles positionnent la tête de lecture vers l’arrière ou l’avant là où se trouve
exactement soit le prochain marqueur, soit le prochain marqueur point d’entrée ou de
sortie, ce qui permet de naviguer facilement et rapidement entre les différents marqueurs.
Vous pouvez aussi utiliser ces boutons pour placer rapidement la tête de lecture au début
ou à la fin du plan.
Déplacement vers le
marqueur précédent.
Lecture/pause
Retour rapide
Déplacement vers le marqueur suivant.
Avance rapide
Bouton Lecture
en boucle
• Bouton Lecture/Pause : démarre ou arrête la lecture du plan. Si vous arrêtez la lecture,
la tête de lecture reste à sa position actuelle. Pour revenir au début du plan, déplacez
la tête de lecture vers l’arrière jusqu’au début du plan ou cliquez sur le contrôle de
déplacement vers le marqueur précédent.
• Boutons « Aller au marqueur précédent » ou « Aller au marqueur suivant » : déplace la tête
de lecture vers le marqueur précédent ou suivant, vers le point d’entrée ou de sortie
ou vers le début ou la fin du plan si aucun autre marqueur n’est présent.
• Boutons de retour et d’avance rapide : permet de lire votre plan dans les deux directions,
à deux fois la vitesse normale. Si vous cliquez sur cette option pendant la lecture, cliquer
une deuxième fois sur l’un de ces boutons rétablit la lecture en vitesse normale.
• Bouton Lecture en boucle : cliquez sur ce bouton pour lire le média en boucle continue.
334 Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre AperçuMenu local Marqueur
Utilisez le menu local Marqueur pour gérer les marqueurs du plan. Même si vous pouvez
utiliser les marqueurs avec tous les réglages, ils n’affectent vraiment le fichier de sortie
que si le réglage utilise les formats de sortie MPEG-1, MPEG-2, MPEG-4 (configuré pour
le podcasting), H.264 pour appareils Apple ou Séquence QuickTime. Pour en savoir plus,
consultez Utilisation de marqueurs et d’affiches.
Choisissez des options dans le menu local Marqueur pour ajouter, supprimer, afficher,
masquer et modifier des marqueurs et des affiches.
• Importer la liste des chapitres : cette option ouvre une zone de dialogue d’importation
de fichiers qui vous permet d’importer un fichier contenant la liste des marqueurs
temporels de chapitre du fichier multimédia source. Consultez la section Ajout de
marqueurs de compression ou de podcast à un plan pour en savoir plus.
• Ajouter/supprimer le marqueur : la fonction du bouton varie selon la position de la tête
de lecture (sur un marqueur ou non).
• Lorsque la tête de lecture n’est pas positionnée sur un marqueur : Si vous cliquez sur
« Ajouter un marqueur », un nouveau marqueur est placé sur la timeline, à la position
actuelle de la tête de lecture.
• Lorsque la tête de lecture est positionnée sur un marqueur : si vous cliquez sur
« Supprimer le marqueur », le marqueur actuel est supprimé.
• Modifier : disponible uniquement lorsque la tête de lecture est positionnée sur un
marqueur. Cliquer sur Modifier ouvre une zone de dialogue permettant de configurer
le marqueur. Cette zone de dialogue vous permet de définir le type de marqueur et
de lui assigner une URL et une image. Consultez la section Ajout de marqueurs de
compression ou de podcast à un plan pour en savoir plus.
• Afficher les marqueurs de chapitre/podcast : contrôle si les marqueurs de chapitre et de
podcast (ceux qui possèdent un nom) sont affichés dans la timeline. Une coche indique
qu’ils sont affichés.
• Afficher les marqueurs de compression : permet de contrôler si les marqueurs de
compression (ceux sans nom) sont affichés dans la timeline. Une coche indique qu’ils
sont affichés.
• Afficher les marqueurs modifiés/coupés : contrôle si les marqueurs placés
automatiquement à chaque point de montage par une autre application, telle que
Final Cut Pro, sont affichés dans la timeline. Une coche indique qu’ils sont affichés.
Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu 335• Définir l’affiche : choisissez cette option pour transformer le cadre actuel en affiche.
Une affiche est une image fixe qui représente un fichier multimédia vidéo ou audio, ou
encore un chapitre de podcast dans des applications telles que iTunes et le Finder. Par
défaut, l’affiche correspond à la première image d’un fichier vidéo.
• Effacer l’affiche : supprime le marqueur d’affiche.
• Accéder à l’affiche : place la tête de lecture sur l’affiche.
Prévisualisation d’un plan
Vous pouvez soit prévisualiser un fichier multimédia source d’origine seul, soit le
prévisualiser avec les réglages qui lui ont été associés. Les fichiers multimédias sources
apparaissent dans la liste sous leurs noms de fichiers. Tous les réglages appliqués au
fichier multimédia source apparaissent immédiatement sous le nom du fichier, ce qui
facilite leur identification. Le fait de visualiser le fichier multimédia source d’origine seul
ou le fichier multimédia source avec les réglages qui lui ont été associés détermine les
options affichées dans la fenêtre Aperçu.
Important : il est impossible de prévisualiser les réglages effectués dans les sous-fenêtres
Encodeur ou Contrôles d’images. Seuls les réglages effectués dans les sous-fenêtres Filtres
et Géométrie peuvent être prévisualisés. Voir Transcodage d’une section du plan à l’aide
de la fenêtre Aperçu pour en savoir plus sur une autre méthode de prévisualisation de
la sous-fenêtre Encodeur et des réglages de la sous-fenêtre Contrôles d’images.
Pour prévisualiser un fichier multimédia source
1 Ouvrez la fenêtre Aperçu.
Remarque : vous pouvez ouvrir votre fichier multimédia source dans la fenêtre Aperçu
en une seule étape, en double-cliquant sur ses tâches dans la fenêtre Lot.
336 Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu2 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Choisissez un fichier multimédia source dans le menu local Élément (identifié par son
nom de fichier).
Un réglage appliqué au
fichier multimédia source
« Nancy at table CU 5 ».
La marque indique qu'il
est actuellement affiché
dans la fenêtre Aperçu.
Le fichier multimédia source
d’origine intitulé « Nancy à la
table CU 5 ».
Sélectionnez l’image des barres
de couleurs par défaut.
• Cliquez sur les boutons de sélection d’éléments jusqu’à ce que le fichier multimédia
source apparaisse dans le menu local.
• Sélectionnez le fichier multimédia source dans ses tâches au sein de la fenêtre Lot.
Seul le bouton Vue source est valide (le bouton Vue de la sortie est inactif), car vous
avez sélectionné un fichier multimédia source normal, ce qui vous permet uniquement
de visualiser le plan original, sans les lignes de rognage ou les lignes de division d’écran.
3 Choisissez la taille de l’écran de prévisualisation dans le menu local de mise à l’échelle
ou déplacez la poignée de la fenêtre Aperçu jusqu’à obtenir la taille souhaitée.
Cela n’affecte pas la taille du cadre d’affichage du fichier de média de sortie proprement
dit. Celle-ci ne peut être définie qu’à partir de la sous-fenêtre Géométrie de la fenêtre
Inspecteur.
4 Cliquez sur le bouton Lecture pour prévisualiser le fichier multimédia source sélectionné.
Les fichiers source contenant des marqueurs, tels que les fichiers de Final Cut Pro, les
affichent dans la timeline. Vous pouvez gérer les marqueurs si nécessaire. Pour en savoir
plus, consultez Utilisation de marqueurs et d’affiches.
Pour prévisualiser un plan associé à un réglage
1 Ouvrez la fenêtre Aperçu.
Remarque : vous pouvez ouvrir le plan dans la fenêtre Aperçu en une seule étape, en
double-cliquant sur la cible (qui contient le réglage) d’une tâche dans la fenêtre Lot.
Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu 3372 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Choisissez un réglage dans le menu local Élément (les noms de réglages situés en
retrait, pas les noms de fichiers sources).
• Cliquez sur les boutons de sélection d’élément jusqu’à ce que le plan et son réglage
apparaisse dans le menu local.
• Sélectionnez le réglage du plan dans ses tâches au sein de la fenêtre Lot.
Les deux boutons Vue source et Vue réglage (sortie) sont actifs, ce qui vous permet de
passer d’une vue à l’autre. Comme vous avez sélectionné un réglage, vous pouvez utiliser
le curseur de division d’écran et les lignes de rognage de la fenêtre Aperçu.
3 Cliquez sur le bouton Vue de réglage dans l’angle supérieur droit de la fenêtre Aperçu.
4 Choisissez la taille de l’écran de prévisualisation dans le menu local de mise à l’échelle
ou déplacez la poignée de la fenêtre Aperçu jusqu’à obtenir la taille souhaitée.
Cela n’affecte pas la taille du cadre d’affichage du fichier de média de sortie proprement
dit. Celle-ci ne peut être définie qu’à partir de la sous-fenêtre Géométrie de la fenêtre
Inspecteur.
Remarque : si vous adaptez la taille de l’image d’un réglage (dans la sous-fenêtre
Géométrie) en cours de prévisualisation dans la fenêtre Aperçu, il se peut que la taille de
l’image ne soit pas actualisée en conséquence. Si cela se produit, sélectionnez Échantillon
de séquence ou une autre cible dans le menu local Élément, puis sélectionnez cette cible
à nouveau. Elle affiche alors la taille d’image adéquate.
5 Faites glisser le curseur de partage de l’écran situé en haut de l’écran vers la gauche ou
la droite pour déplacer plus ou moins la ligne de division de l’écran sur la portion
transcodée du plan.
6 Utilisez les limites de rognage pour ajuster la taille du cadre d’affichage de votre fichier
multimédia de sortie.
Limites de rognage et poignées
Curseur de partage de l’écran
Ligne de division de l’écran
Dimensions de rognage
(également visibles dans les
champs Cadre de source de
la sous-fenêtre Géométrie)
Boutons de visualisation de
la source et des réglages
Menu local Élément
338 Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu7 Vérifiez les résultats de votre rognage en cliquant sur les boutons Vue source et Vue de
réglage.
Remarque : paradoxalement, plus vous réduisez l’image d’un plan en la rognant, plus le
facteur d’échelle de l’image de sortie sera grand, car la géométrie de cadrage est fonction
des proportions de la taille de sortie, et pas des paramètres du fichier source. Tout se
passe comme si vous agrandissiez l’image, avec comme conséquence des pixels plus
grands et une dégradation générale de l’image. En conséquence, veillez à ne pas rogner
une image agrandie pour lui redonner sa taille originale par rapport à la taille originale
du cadre.
Boutons d'affichage
Source et Réglage
8 Sélectionnez le filtre que vous voulez ajuster et effectuez les modifications jugées
nécessaires.
Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu 339Remarque : dans la liste Filtres, la case située à gauche du filtre que vous sélectionnez
doit être cochée. Dans le cas contraire, le filtre ne sera pas appliqué au réglage.
Les réglages de filtre
sélectionnés sont affichés
dans la fenêtre Aperçu.
Sélection de
réglage
9 Si vous souhaitez que la dimension de l’image affichée pour votre fichier multimédia de
sortie soit différente de celle du fichier multimédia source, ouvrez la sous-fenêtre
Géométrie dans la fenêtre Inspecteur, puis choisissez une valeur dans le menu local Taille
d’image, ou tapez des valeurs de taille de sortie différentes dans les champs appropriés.
340 Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre AperçuRemarque : conformément aux spécifications MPEG-2, la taille des cadres d’affichage
dans ce format est préétablie. Par conséquent, lorsque vous utilisez ce format, tous les
éléments qui concernent la taille de sortie sont indisponibles.
Dimensions de rognage (également
affichées dans la fenêtre Inspecteur
lorsque vous faites glisser les lignes
de rognage).
10 Dans la fenêtre Aperçu, cliquez sur le bouton Lecture pour visualiser le plan.
Consultez la section À propos de la fenêtre Aperçu pour plus de détails sur ces paramètres.
Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu 341Lecture de fichiers Dolby Digital Professional (AC-3) dans la fenêtre
Aperçu
Vous pouvez utiliser la fenêtre Aperçu pour lire des fichiers Dolby Digital Professional
(AC-3). Compressor comprend un décodeur Dolby Digital qui vous permet, lorsque vous
ajoutez un fichier multimédia source AC-3 à un lot, de l’écouter à l’aide des haut-parleurs
de votre ordinateur. Il peut s’agir des haut-parleurs stéréo intégrés, qui lisent une version
sous-mixée du fichier AC-3 s’il contient plus de deux canaux, ou de haut-parleurs
Surround externes connectés à une sortie USB ou FireWire.
Important : pendant que Compressor décode le fichier audio Dolby Digital, vous ne
pouvez pas utiliser la sortie optique de votre ordinateur pour écouter un aperçu du son
Dolby Digital.
Cette caractéristique est importante si vous utilisez l’encodeur Dolby Digital Professional,
car vous ne pouvez pas prévisualiser les réglages de l’encodeur en temps réel dans la
fenêtre Aperçu. Vous pouvez cependant ajouter les fichiers AC-3 encodés à un lot et les
lire, afin de vérifier si les réglages de l’encodeur produisent de bons résultats. Consultez
la section Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Aperçu pour plus
d’informations sur la création d’un court plan test à cette fin.
Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Aperçu
Alors que les options définies par Géométrie (tels que le rognage et le changement
d’échelle) et Filtres s’affichent instantanément dans la fenêtre Aperçu, les réglages
Contrôles d’images et Encodeur ne le sont pas. Pour prévisualiser ces derniers, lancez un
transcodage de test sur une petite section de votre fichier multimédia source.
Utilisez la fenêtre Aperçu pour définir les points d’entrée et de sortie, afin de transcoder
uniquement une section de votre fichier multimédia au lieu du fichier entier.
Pour désigner une section de votre fichier multimédia pour transcodage
1 Ouvrez la fenêtre Aperçu.
2 Choisissez un plan dans le menu local ou cliquez sur les boutons de sélection de l’élément
jusqu’à ce que le plan apparaisse dans le menu local.
3 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Faites glisser le point d’entrée jusqu’à l’emplacement approprié.
342 Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu• Faites glisser la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez que le transcodage
commence, puis cliquez sur le bouton Définir le point d’entrée.
Tête de lecture
Point de sortie
Point d’entrée
Bouton Définir le
point d’entrée
Bouton Définir le point de sortie
4 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Faites glisser le point de sortie jusqu’à l’emplacement approprié.
• Faites glisser la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez que le transcodage se
termine, puis cliquez sur le bouton Définir le point de sortie.
Le transcodage ne concerne que le segment du fichier multimédia compris entre les deux
points que vous venez de définir. Le reste du plan n’est pas transcodé.
Important : lorsque vous utilisez les points d’entrée et de sortie pour spécifier un segment
du fichier multimédia source à transcoder, ils s’appliquent à toutes les cibles associées à
la tâche du fichier. Vous pouvez ajouter plusieurs fois un fichier multimédia de sortie à
un lot, afin de créer plusieurs tâches, et définir des points d’entrée et de sortie différents
pour chaque tâche.
Utilisation de marqueurs et d’affiches
Compressor peut importer et créer différents types de marqueurs. Compressor peut en
outre importer des listes complètes de marqueurs de chapitre. Compressor prend
également en charge la possibilité de régler l’affiche d’un plan.
Formats de fichiers de sortie compatibles avec les marqueurs
Tous les formats de fichiers de sortie ne sont pas compatibles avec les marqueurs. Voici
une liste des formats qui les reconnaissent.
• MPEG-2
Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu 343• MPEG-4 configuré pour le podcasting (audio uniquement et si la case Podcast amélioré
est activée)
• Séquences QuickTime
• H.264 pour les dispositifs Apple
Vous pouvez définir et configurer des marqueurs pour d’autres formats de fichiers de
sortie, mais ils ne seront pas intégrés au fichier de sortie encodé.
Types de marqueurs
Compressor peut importer et créer les types de marqueurs suivants.
• Marqueurs de chapitre : les marqueurs de chapitre permettent d’accéder facilement
aux points d’index d’un DVD, d’une séquence QuickTime ou d’un podcast vidéo.
QuickTime Player peut interpréter n’importe quel texte contenant des horodatages
comme piste de chapitre. Les marqueurs de chapitre peuvent également comporter
des illustrations ou une URL qui apparaissent lors de la lecture d’un podcast.
Ces marqueurs apparaissent en violet dans la timeline de la fenêtre Aperçu et sont du
type créé lorsque vous ajoutez des marqueurs manuellement à l’aide de Compressor.
• Marqueurs de podcast : comme pour les marqueurs de chapitre, il est possible d’assigner
des illustrations et une URL aux marqueurs de podcast. Les marqueurs de podcast ne
peuvent toutefois pas être utilisés pour accéder à des images au sein du plan et ils
n’apparaissent pas sous la forme de marqueurs de chapitre dans QuickTime.
Vous pouvez utiliser les marqueurs de podcast pour créer un diaporama (contenant
des URL) que les utilisateurs peuvent regarder en lisant un podcast audio.
Ces marqueurs apparaissent en rouge dans la timeline de la fenêtre Aperçu.
• Marqueurs de compression : les marqueurs de compression sont également connus
sous le nom de marqueurs de compression manuels. Il s’agit de marqueurs que vous
pouvez ajouter à la fenêtre Aperçu de Compressor pour indiquer à quel moment
Compressor doit générer une image I MPEG durant la compression. Consultez
Compréhension des types de GOP et d’images pour plus d’informations sur les images I.
Ces marqueurs apparaissent en bleu dans la timeline de la fenêtre Aperçu.
• Marqueurs de montage/de coupe : les marqueurs de montage/de coupe sont également
connus comme marqueurs de compression automatiques. Ces marqueurs sont destinés
à être placés à chaque point de coupe ou de transition d’une séquence. Au cours du
transcodage, Compressor utilise les marqueurs de montage/de coupe pour générer
des images I MPEG sur ces points, ce qui améliore la qualité de la compression.
Ces marqueurs apparaissent en vert dans la timeline de la fenêtre Aperçu.
344 Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre AperçuAjout et suppression manuelle de marqueurs
La fenêtre Aperçu comprend une prise en charge complète des marqueurs, y compris la
capacité de gérer les marqueurs déjà ajoutés au fichier multimédia source, l’ajout ou la
suppression manuelle de marqueur et l’importation de listes de marqueurs de chapitre.
Lorsque vous ajoutez un marqueur à un plan, il s’affiche comme marqueur de chapitre
par défaut. Vous pouvez modifier ultérieurement le marqueur en marqueur de compression
ou de podcast si vous le souhaitez (voir Ajout de marqueurs de compression ou de podcast
à un plan).
Pour ajouter un marqueur de chapitre à votre plan
1 Ouvrez la fenêtre Aperçu.
2 Choisissez l’option « Afficher les marqueurs de chapitre/podcast » dans le menu local
Marqueur, de façon à leur associer une marque de sélection.
3 Choisissez un plan dans le menu local Élément ou cliquez sur le bouton de sélection
d’élément jusqu’à ce que le plan apparaisse dans le menu local.
4 Effectuez l’une des opérations suivantes pour déterminer l’emplacement du marqueur :
• Faites glisser la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez ajouter un marqueur.
• Saisissez une valeur de timecode dans le champ de timecode de la tête de lecture.
5 Pour ajouter un marqueur, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Cliquez sur le bouton Marqueur et choisissez « Ajouter un marqueur » dans le menu
local.
• Appuyez sur M.
Un marqueur de chapitre violet apparaît dans la timeline.
Un marqueur violet apparaît
sous la tête de lecture après
l’ajout du marqueur.
6 Choisissez Modifier dans le menu local Marqueur (ou appuyez sur Commande + E).
Une zone de dialogue permettant de modifier le marqueur apparaît.
Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu 3457 Nommez le marqueur de chapitre en remplissant le champ correspondant.
Concernant les marqueurs de chapitre, ce nom apparaît dans le fichier multimédia de
sortie où il peut être visualisé à l’aide de QuickTime Player et dans divers lecteurs.
8 Vous pouvez également associer une image au marqueur de chapitre en choisissant l’une
des options suivantes dans le menu local Image :
• Aucun : aucune image n’est associée au marqueur.
• Image dans la source : par défaut, l’image affichée est celle sur laquelle est placé le
marqueur. Pour utiliser une image différente, saisissez une autre valeur de timecode.
• Depuis le fichier : faites glisser une image vers le cadre de l’image. Vous pouvez aussi
cliquer sur Choisir pour ouvrir une zone de dialoge de sélection de fichier et sélectionner
un fichier d’image fixe pour assigner un marqueur.
9 Clique sur OK pour fermer la zone de dialogue.
Il est possible de convertir les marqueurs de chapitre en marqueurs de compression ou
de podcast à l’aide de l’option Modifier dans le menu local Marqueurs.
Pour supprimer un marqueur du plan
1 Cliquez sur « Aller au marqueur précédent » ou sur « Aller au marqueur suivant » pour
déplacer la tête de lecture vers le marqueur que vous souhaitez supprimer.
2 Pour supprimer le marqueur, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Cliquez sur le bouton Marqueur et choisissez « Supprimer le marqueur » dans le menu
local.
• Appuyez sur M.
Le marqueur disparaît.
Pour importer une liste de marqueurs de chapitre
1 Ouvrez la fenêtre Aperçu.
346 Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu2 Choisissez un plan dans le menu local Élément ou cliquez sur le bouton de sélection
d’élément jusqu’à ce que le plan apparaisse dans le menu local.
3 Dans le menu local Marqueur, choisissez « Importer la liste des chapitres ».
Une zone de dialogue de sélection de fichiers s’ouvre et vous permet de trouver et de
sélectionner le fichier de marqueurs de chapitre correspondant au fichier multimédia de
sortie.
4 Sélectionnez le fichier de marqueurs de chapitre, puis cliquez sur Ouvrir.
Les marqueurs sont importés et ajoutés à la timeline de la fenêtre Aperçu.
Remarque : alors que tous les marqueurs importés à l’aide de la liste des marqueurs de
chapitre sont configurés comme marqueurs de chapitre, vous pouvez utiliser la zone de
dialogue de modification des marqueurs pour les transformer en marqueurs de podcast
ou de compression. De plus, vous pouvez y ajouter des URL et des illustrations si vous le
souhaitez.
Important : les valeurs de timecode de la liste doivent être basées sur le timecode du
fichier multimédia source.
Ajout de marqueurs de compression ou de podcast à un plan
Pour ajouter manuellement un marqueur de compression ou de podcast à un plan, vous
devez d’abord ajouter un marqueur de chapitre (voir description à la section précédente),
puis modifier le marqueur.
Remarque : un podcast peut contenir des marqueurs de chapitre et des marqueurs de
podcast. La seule différence est que la personne qui visualise le plan peut naviguer
directement jusqu’à un marqueur de chapitre, mais ne peut pas naviguer jusqu’à un
marqueur de podcast. Pour en savoir plus, voir Types de marqueurs.
Pour ajouter manuellement un marqueur de compression à un plan
1 Choisissez les options « Afficher les marqueurs de chapitre/podcast » et « Afficher les
marqueurs de compression » dans le menu local Marqueur, de façon à leur associer une
marque de sélection.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes pour déterminer l’emplacement du marqueur :
• Faites glisser la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez ajouter un marqueur.
• Saisissez une valeur de timecode dans le champ de timecode de la tête de lecture.
Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu 3473 Pour ajouter un marqueur, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Cliquez sur le bouton Marqueur et choisissez « Ajouter un marqueur » dans le menu
local.
• Appuyez sur M.
Un marqueur de chapitre violet apparaît dans la timeline.
4 Choisissez Modifier dans le menu local Marqueur (ou appuyez sur Commande + E).
Une zone de dialogue permettant de modifier le marqueur apparaît.
5 Choisissez Compression ou Podcast dans le menu local Type.
6 Nommez le chapitre en remplissant le champ correspondant.
Pour les marqueurs de podcast, ce nom n’est pas visible par la personne qui regarde le
plan.
7 Vous pouvez également saisir une URL dans le champ URL.
Cette URL s’applique uniquement aux podcasts. Le nom du marqueur apparaît au-dessus
de l’illustration et l’utilisateur peut cliquer dessus pour ouvrir le site correspondant dans
le navigateur web.
8 Vous pouvez également associer une image au marqueur de chapitre en choisissant l’une
des options suivantes dans le menu local Image :
• Aucun : aucune image n’est associée au marqueur.
• Image dans la source : par défaut, l’image affichée est celle sur laquelle est placé le
marqueur. Pour utiliser une image différente, saisissez une autre valeur de timecode.
• Depuis le fichier : faites glisser une image vers le cadre de l’image. Vous pouvez aussi
cliquer sur Choisir pour ouvrir une zone de dialoge de sélection de fichier et sélectionner
un fichier d’image fixe pour assigner un marqueur.
9 Clique sur OK pour fermer la zone de dialogue.
348 Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre AperçuLe marqueur de la timeline devient bleu s’il s’agit d’un marqueur de compression ou
rouge s’il s’agit d’un marqueur de podcast. Vous pouvez utiliser les boutons Marqueur
précédent et Marqueur suivant pour sélectionner d’autres marqueurs de la timeline à
modifier.
Vous pouvez également importer une liste de marqueurs de chapitre. Ces listes sont soit
au format QuickTime TeXML (format reposant sur XML pour l’élaboration de pistes
textuelles temporelles compatibles avec le format 3GPP dans un fichier de séquence
QuickTime), soit au format texte des fichiers de listes de chapitres. Voir Création de listes
de marqueurs de chapitre en texte brut pour en savoir plus.
Création de listes de marqueurs de chapitre en texte brut
Vous pouvez créer une liste de points de timecode que Compressor peut importer afin
de créer des marqueurs. Les valeurs de timecode doivent correspondre aux timecode du
plan vidéo de la piste. La liste des valeurs de timecode doit se présenter sous la forme
d’un fichier en format texte brut ; vous pouvez le créer à l’aide de TextEdit (à condition
d’enregistrer le fichier en texte brut). Si vous créez la liste avec une application de
traitement de texte plus évoluée, veillez à enregistrer le fichier comme fichier texte ASCII
sans aucun formatage.
Le fichier doit respecter les règles suivantes.
• Chaque marqueur doit se trouver sur une nouvelle ligne qui commence avec une valeur
de timecode au format 00:00:00:00. Ces valeurs identifient les positions du marqueur.
• À la suite de la valeur de timecode, vous pouvez insérer le nom du marqueur. Vous
pouvez utiliser une virgule, un espace ou une tabulation pour séparer la valeur du
timecode du nom du marqueur.
• Toutes les lignes qui ne commencent pas par une valeur de timecode sont ignorées.
Cela vous permet d’ajouter facilement des commentaires à la liste.
• Il est inutile d’établir la liste des valeurs de timecode selon l’ordre chronologique.
Réglage de l’affiche
Vous pouvez utiliser Compressor pour définir l’affiche d’une séquence. Il s’agit de l’image
qui apparaît dans iTunes pour représenter la séquence. Si vous ne définissez pas d’affiche,
iTunes utilise l’image située dix secondes après la première image de la séquence.
Pour définir l’affiche
1 Placez la timeline de la fenêtre Aperçu sur l’image à convertir en affiche.
Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre Aperçu 3492 Dans le menu local Marqueur, choisissez « Définir l’affiche ».
Une ligne verticale avec un point central s’affiche dans la timeline.
Pour déplacer la tête de lecture sur l’affiche
µ Dans le menu local Marqueur, choisissez « Accéder à l’affiche ».
Remarque : ce réglage n’est pas disponible si l’affiche n’est pas définie.
Pour supprimer le réglage d’affiche
µ Dans le menu local Marqueur, choisissez « Supprimer l’affiche ».
Remarque : ce réglage n’est pas disponible si l’affiche n’est pas définie.
À propos des raccourcis clavier de la fenêtre Aperçu
Pour obtenir la liste complète des raccourcis clavier de la fenêtre Aperçu, consultez
Raccourcis clavier de la fenêtre Aperçu dans Raccourcis clavier.
350 Chapitre 26 Utilisation de la fenêtre AperçuCompressor permet de choisir l’emplacement d’enregistrement des fichiers transcodés.
Si vous ne sélectionnez aucune destination, le fichier de sortie est enregistré dans le
dossier du fichier multimédia source. Cela correspond peut-être à vos besoins, mais s’il
existe plusieurs serveurs de téléchargement distants ou que vous souhaitez simplement
obtenir un type spécifique de fichier de sortie à un emplacement donné, vous devez
définir cette destination.
Si un volume est ouvert sur votre bureau, il est traité de la même façon que s’il s’agissait
d’une destination locale et vous pouvez y enregistrer directement les fichiers multimédias
de sortie, sans qu’il soit nécessaire pour vous de suivre la procédure supplémentaire
requise dans le cas des destinations distantes, telles que l’indication du nom d’hôte et la
saisie du nom d’utilisateur et du mot de passe. Lorsque vous utilisez l’option distante
pour votre destination, vous pouvez enregistrer vos fichiers dans n’importe quel dossier
du répertoire Utilisateur de cet ordinateur distant.
Une fois que vous avez créé toutes les destinations dont vous avez besoin, il n’est plus
nécessaire pour vous de rouvrir l’onglet Destinations puisque vous pouvez les sélectionner
directement à partir de la fenêtre Lot. Par ailleurs, lorsque vous créez des réglages
personnalisés, vous pouvez affecter une destination par défaut qui est automatiquement
utilisée. Pour en savoir plus, consultez Ajout d’actions de réglage.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• À propos de l’onglet Destinations (p 352)
• Utilisation de l’Inspecteur avec l’onglet Destinations (p 353)
• Création d’une destination (p 354)
• Triangles d’avertissement (p 355)
• Suppression et duplication d’une destination (p 356)
351
Création et changement de
destinations 27À propos de l’onglet Destinations
Utilisez l’onglet Destinations conjointement avec la fenêtre Inspecteur pour créer, modifier
ou supprimer vos réglages de destination et ajouter des identificateurs de fichier au nom
de vos fichiers multimédias de sortie.
Destinations personnalisées
Destinations
par défaut
Bouton
Dupliquer Boutons Ajouter et Supprimer
Identificateurs de nom
de fichier par défaut
Menu local Modèle
de nom de fichier de sortie
Exemple de ligne
de nom de fichier
L’onglet Destinations contient les éléments suivants.
• Liste Destinations : énumère les noms et les chemins d’accès des destinations.
Il existe quatre destinations par défaut dans le dossier Apple : Stockage de clusters est
l’emplacement de stockage de travail d’un cluster ; Bureau est le dossier Bureau de
l’utilisateur ; Source est le dossier dont provient le fichier multimédia source ; Dossier
des séquences de l’utilisateur est le dossier Séquences situé dans le dossier de départ
de l’utilisateur.
Remarque : le stockage de clusters ne s’applique qu’aux installations de Compressor
sur lesquelles le traitement distribué est activé.
• Ajouter (+) : pour créer une destination, cliquez sur ce bouton. Une zone de dialogue
de sélection de fichier s’affiche. Vous pouvez y sélectionner un dossier de destination.
• Bouton Dupliquer : crée une copie de la destination sélectionnée et la place dans le
dossier Personnalisé. Au lieu de créer une destination de zéro, utilisez cette fonction
pour en créer une autre à partir d’une destination existante, que vous pouvez ensuite
paramétrer selon vos besoins.
• Supprimer (–) : supprime immédiatement la destination personnalisée sélectionnée de
l’onglet Destinations. Aucune confirmation ne vous est demandée, soyez donc sûr de
vouloir supprimer la destination avant de cliquer sur ce bouton.
352 Chapitre 27 Création et changement de destinationsRemarque : vous ne pouvez pas supprimer les destinations du dossier Apple.
Utilisation de l’Inspecteur avec l’onglet Destinations
Lorsque vous double-cliquez ou sélectionnez une destination sous l’onglet Destinations,
la fenêtre Inspecteur s’ouvre. Elle contient les éléments suivants :
• Nom : utilisez ce champ pour modifier le nom du préréglage de destination.
• Modèle de nom de fichier de sortie : utilisez ce menu local pour ajouter des identificateurs
de fichier à votre fichier multimédia de sortie. Ce champ peut être édité manuellement.
Le fait de sélectionner l’un des identificateurs suivants ajoute cet identificateur après
le nom de votre fichier multimédia de sortie.
• Date : indique la date de transcodage au format AAAA-MM-JJ
• Nom du réglage : nom du réglage utilisé pour la tâche de transcodage.
• Nom du média source : nom du fichier source sans son extension.
• Extension du média source : extension du fichier source.
• Échantillon du modèle défini : affiche un échantillon de ce à quoi ressemblera le nom
du fichier de sortie ainsi que les identificateurs de fichier que vous avez ajoutés. Vous
ne pouvez pas éditer cette ligne, mais celle-ci est modifiée dynamiquement en
fonction des identificateurs que vous ajoutez ou supprimez.
• Chemin : affiche le chemin du dossier de destination.
Chapitre 27 Création et changement de destinations 353Création d’une destination
Vous utilisez l’onglet Destinations avec la fenêtre Inspecteur pour créer et affecter une
destination ainsi que pour ajouter des identificateurs de fichier à votre fichier de sortie.
Vous pouvez créer les destinations suivantes.
• Local : tout répertoire sur votre ordinateur.
• Volume ouvert : tout volume ouvert partagé sur votre ordinateur.
Remarque : par défaut, la destination du fichier multimédia de sortie est le même dossier
que celui dont proviennent les fichiers multimédias sources. Vous pouvez remplacer la
destination par défaut par n’importe quel autre préréglage de destination. Choisissez
Compressor > Préférences et utilisez le menu local Destination par défaut pour choisir
parmi la liste des préréglages de destination.
Pour créer une destination
1 Ouvrez l’onglet Destinations.
2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+).
La zone de dialogue Sélection de la destination apparaît.
3 Naviguez jusqu’au dossier de destination choisi ou jusqu’au volume monté ouvert, puis
cliquez sur Ouvrir.
Une nouvelle destination comprenant le nom de dossier apparaît dans le dossier
Personnalisé de l’onglet Destinations, avec le chemin d’accès au dossier que vous venez
d’affecter.
4 Dans l’onglet Destinations, double-cliquez sur la nouvelle destination.
La fenêtre Inspecteur s’ouvre, affichant les informations importantes sur la nouvelle
destination.
5 Effectuez l’une des opérations suivantes dans l’Inspecteur :
• Modifiez le nom de la nouvelle destination dans le champ Nom.
• Modifiez le chemin de la nouvelle destination en cliquant sur Choisir afin d’ouvrir la
zone de dialogue de sélection de destination et en accédant à un nouveau dossier.
6 Ajoutez des identifiants de fichier au nom de votre fichier de sortie à l’aide du menu local
situé dans le champ « Modèle de nom de fichier de sortie ».
Menu local Modèle
de nom de fichier
354 Chapitre 27 Création et changement de destinationsVous pouvez également modifier manuellement ce champ en effectuant l’une des
opérations suivantes :
• Faites glisser les identificateurs de fichier afin de les réorganiser.
• Cliquez de chaque côté des identificateurs de fichier afin de taper du texte
supplémentaire.
• Utilisez la touche Suppr. de votre clavier afin de supprimer n’importe lequel des
identificateurs de fichier.
Le champ Échantillon du modèle défini de la fenêtre Inspecteur affiche un échantillon
du nom du fichier de sortie ainsi que les identificateurs de fichier choisis. La combinaison
d’identificateur de fichier par défaut est « Nom du média source-Nom du réglage ».
Remarque : évitez de personnaliser vos modèles de nom de fichier en les commençant
par un point (.). Le fichier résultant ne serait visible que via la ligne de commande et serait
introuvable avec le Finder de Mac OS X.
Consultez la section À propos de l’onglet Destinations pour plus de détails sur ces
paramètres.
Pour changer de destination par défaut
1 Sélectionnez les préférences de Compressor >.
2 Utilisez le menu local Destination par défaut pour choisir dans la liste des préréglages de
destination existants.
La destination que vous choisissez apparaît en tant que destination par défaut lorsque
vous importez un nouveau fichier source dans la fenêtre Lot.
Triangles d’avertissement
Lorsque la destination choisie pose problème, un triangle jaune d’avertissement apparaît.
Vous devez d’abord résoudre ce problème si vous souhaitez effectuer un transcodage
avec succès. Des triangles d’avertissement apparaissent dans l’onglet Destinations s’il
n’est pas possible d’accéder à la destination ou si elle est protégée en écriture, et dans
la fenêtre Lot si :
• Un fichier identique se trouve déjà à cet emplacement.
• Deux destinations portent le même nom.
• Il est impossible d’atteindre la destination ou d’y écrire des données.
Les avertissements apparaissent quel que soit le niveau d’apparition du problème
(préréglage, tâche ou lot) et passent au niveau supérieur, de sorte que si le problème
survient au niveau des préréglages, les triangles d’avertissement apparaissent en regard
des préréglages et des tâches.
Chapitre 27 Création et changement de destinations 355Si vous placez le curseur sur le triangle d’avertissement, une bulle d’aide apparaît après
quelques secondes en vous indiquant la nature du problème. Dès que ce problème est
résolu, le triangle d’avertissement disparaît et vous pouvez poursuivre le transcodage.
Cliquez sur le symbole
d’avertissement pour
recevoir des explications
sur sa présence.
Suppression et duplication d’une destination
Vous pouvez gérer les destinations en supprimant celles dont vous n’avez plus besoin et
en en créant de nouvelles à partir des destinations existantes.
Pour supprimer une destination
1 Ouvrez l’onglet Destinations.
2 Dans l’onglet Destinations, sélectionnez la destination que vous souhaitez supprimer,
puis cliquez sur le bouton Supprimer (-) ou appuyez sur Suppr.
Important : aucune confirmation ne vous est demandée au cours de cette opération,
donc assurez-vous de vouloir supprimer cette destination avant de cliquer sur ce bouton.
Bouton Supprimer
Pour dupliquer une destination
1 Ouvrez l’onglet Destinations.
356 Chapitre 27 Création et changement de destinations2 Dans l’onglet Destinations, sélectionnez la destination que vous souhaitez copier, puis
cliquez sur le bouton Dupliquer.
Bouton Dupliquer
Une nouvelle entrée apparaît dans l’onglet Destinations avec la mention _copie ajoutée
à son nom. Cette destination est identique en tous points à l’originale. Le cas échéant,
renommez la destination dupliquée.
Destination
dupliquée
Chapitre 27 Création et changement de destinations 357Compressor vous permet d’enregistrer un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages
dans une droplet. Une droplet est un préréglage autonome créé par Compressor se
présentant sous la forme d’une application glisser-déposer et enregistré sous forme
d’icône.
Lorsque vous faites glisser des fichiers de données source sur l’icône d’une droplet, ils
sont automatiquement soumis en vue de leur transcodage en tenant compte des réglages
incorporés spécifiés. Le processus de transcodage est alors lancé, que Compressor soit
ouvert ou fermé.
Faites glisser les fichiers
multimédia sources
sélectionnés dans une
Droplet pour les transcoder.
Vous pouvez faire glisser un nombre quelconque de fichiers multimédias sur une droplet.
Ensuite, pour l’ouvrir et consulter les réglages qu’elle contient, il suffit de double-cliquer
dessus.
Remarque : l’utilisation des droplets requiert l’installation préalable de Compressor sur
tous les ordinateurs sur lesquels vous souhaitez les utiliser.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Création de droplets (p 360)
• À propos de la fenêtre Droplet (p 362)
• Contrôle des réglages de droplet (p 364)
• Utilisation d’un droplet pour transcoder des fichiers multimédias sources (p 366)
• Utilisation de droplets pour créer des tâches et des réglages dans Compressor (p 368)
• Conseils à propos des droplet (p 369)
359
Utilisation de droplets
28Création de droplets
La création d’une droplet est d’une grande simplicité, et une fois créée, il est possible
d’envoyer rapidement et facilement des fichiers multimédias sources en transcodage.
Compressor offre deux méthodes de création de droplets, chacune possédant des
avantages. Dans l’onglet Réglages, vous pouvez utiliser le bouton « Enregistrer la sélection
comme Droplet ». Dans le menu Fichier, vous pouvez choisir l’option Créer un droplet.
Création d’un droplet à partir de l’onglet Réglages
Si vous travaillez déjà dans l’onglet Réglages et avez identifié un réglage à partir duquel
vous souhaitez créer un droplet, le bouton « Enregistrer la sélection comme Droplet » est
un outil pratique de création du droplet.
Pour créer un droplet à l’aide du bouton « Enregistrer la sélection comme Droplet »
sous l’onglet Réglages
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Sélectionnez un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages que vous souhaitez
enregistrer en tant que droplet.
• Cliquez le bouton « Enregistrer la sélection comme Droplet ».
Bouton « Enregistrer la
sélection comme droplet »
• Cliquez sur les réglages sélectionnés tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée
et choisissez Enregistrer comme Droplet dans le menu contextuel.
La zone de dialogue Enregistrer apparaît.
Remarque : vous pouvez appuyer sur la touche Maj ou Contrôle et cliquer afin d’ajouter
plusieurs réglages et/ou groupes de réglages à un droplet. Dans ce cas, chaque fichier
multimédia source est transcodé par chaque réglage de la droplet. Par exemple, si vous
envoyez deux fichiers multimédias sources dans une droplet contenant trois réglages,
Compressor crée six fichiers multimédias de sortie différents.
3 Dans la zone de dialogue Enregistrer, nommez le droplet en remplissant le champ
« Enregistrer sous », puis utilisez le menu local Où pour naviguer jusqu’à l’emplacement
du droplet.
360 Chapitre 28 Utilisation de dropletsVous pouvez enregistrer votre droplet n’importe où sur votre ordinateur, mais il est
conseillé de l’enregistrer sur le bureau, afin de pouvoir facilement y faire glisser des fichiers
multimédias sources.
4 Utilisez le menu local « Sélectionner une destination pour les résultats Droplets » afin de
choisir un dossier de destination pour les fichiers multimédias de sortie que le droplet va
créer.
Seules les destinations créées à partir de l’onglet Destinations peuvent être sélectionnées.
Si aucune destination personnalisée n’a été créée, seules quatre destinations Apple par
défaut apparaissent dans le menu local Sélectionner une destination. Consultez la section
Création d’une destination pour plus d’informations sur les destinations.
5 Cliquez sur Enregistrer.
La droplet que vous venez de créer apparaît sous forme d’icône à l’emplacement
sélectionné. Elle est maintenant prête à être utilisée en transcodage.
Création d’un droplet à partir du menu Fichier
Quel que soit l’endroit où vous vous trouvez dans l’application Compressor, vous pouvez
utiliser l’option Créer un droplet dans le menu Fichier.
Pour créer un droplet à l’aide de la commande Créer un droplet du menu Fichier
1 Choisissez Fichier > Créer un droplet.
La zone de dialogue « Sélection et enregistrement des réglages du droplet » apparaît.
2 Sélectionnez un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages que vous souhaitez
enregistrer en tant que droplet.
Chapitre 28 Utilisation de droplets 361Vous pouvez appuyer sur la touche Maj ou Contrôle et cliquer afin d’ajouter plusieurs
réglages et/ou groupes de réglages à un droplet. Dans ce cas, chaque fichier multimédia
source est transcodé par chaque réglage de la droplet. Par exemple, si vous envoyez deux
fichiers multimédias sources dans une droplet contenant trois réglages, Compressor crée
six fichiers multimédias de sortie différents.
3 Nommez le droplet en remplissant le champ « Enregistrer sous », puis utilisez le menu
local Où pour naviguer jusqu’à l’emplacement du droplet.
Vous pouvez enregistrer votre droplet n’importe où sur votre ordinateur, mais il est
conseillé de l’enregistrer sur le bureau, afin de pouvoir facilement y faire glisser des fichiers
multimédias sources.
4 Utilisez le menu local « Destination des fichiers créés par le droplet » afin de choisir un
dossier de destination pour les fichiers multimédias de sortie que le droplet va créer.
Seules les destinations créées à partir de l’onglet Destinations peuvent être sélectionnées.
Si aucune destination personnalisée n’a été créée, seules quatre destinations Apple par
défaut apparaissent dans le menu local Sélectionner une destination. Consultez la section
Création d’une destination pour plus d’informations sur les destinations.
5 Cliquez sur Enregistrer.
La droplet que vous venez de créer apparaît sous forme d’icône à l’emplacement
sélectionné. Elle est maintenant prête à être utilisée en transcodage.
Faites glisser les fichiers
multimédia sources
sélectionnés dans une
Droplet pour les transcoder.
À propos de la fenêtre Droplet
Vous pouvez ouvrir n’importe quel droplet pour afficher ses informations complètes, et
ajouter, supprimer et modifier des réglages et des fichiers multimédias sources. Vous
pouvez également modifier les noms des fichiers multimédias de sortie à l’aide de « Modèle
de nom de fichier », ainsi que changer de dossier de destination pour les fichiers
multimédias de sortie que le droplet va créer.
362 Chapitre 28 Utilisation de dropletsConsultez la section À propos de l’onglet Destinations pour plus d’informations sur
l’utilisation d’identificateurs de fichier.
Champ local Destination
Case à cocher « Afficher la
fenêtre au démarrage »
Bouton Soumettre
Tableau Fichiers source
Tâches individuelles
Tableau Tâches
Type de tâche
Modèle de nom
de fichier
Case à cocher Action
(uniquement pour
certains types de tâches)
Identificateur du type de tâche
Bouton Afficher les infos
Boutons Ajouter la sortie
et Supprimer la sortie
La fenêtre Droplet contient les éléments suivants.
• Destination : ce champ affiche la destination du fichier multimédia de sortie. Vous
pouvez modifier cette option en cliquant dessus et en choisissant une destination
définie dans Compressor ou en cliquant sur le bouton Choisir pour ouvrir la zone de
dialogue Emplacement de destination et sélectionner un dossier.
• Fichiers sources : contient l’ensemble des tâches du lot sur le point d’être soumises.
Lorsque la case « Afficher la fenêtre au démarrage » est cochée, la fenêtre Droplet
s’ouvre automatiquement après avoir fait glisser vos fichiers multimédias sources sur
l’icône du droplet ; tous les fichiers multimédias sources apparaissent dans le tableau
Fichiers sources. Vous pouvez faire glisser un ou plusieurs fichiers multimédias sources
dans ce tableau, et ceux-ci seront tous transcodés en même temps lors de l’envoi du
lot, comme s’il s’agissait d’un envoi normal depuis la fenêtre Lot.
Chapitre 28 Utilisation de droplets 363• Menu local Type de tâche : ce menu local permet de sélectionner le type de fichier
multimédia de sortie. Les choix disponibles sont les suivants : Apple TV, Blu-ray, DVD,
iPhone, iPod, YouTube et Autre. L’option Autre ouvre une zone de dialogue dans laquelle
vous pouvez choisir des réglages de Compressor. Pour obtenir une description complète
de ces types de tâches, consultez Flux de travaux Compressor rapide et facile : méthode
Modèle de lot et À propos des actions de tâche.
• Tableau Tâches : chaque tâche de ce tableau représente un fichier multimédia distinct
qui sera généré à partir de chaque élément de la liste de fichiers Source.
• Modèle de nom de fichier : Compressor insère automatiquement un nom de fichier
multimédia de sortie dans ce champ. La première partie du nom est basée sur le nom
du fichier source. Compressor ajoute un identifiant de type de sortie (tel que « iPod »
ou « YouTube ») au nom du fichier. Pour modifier manuellement n’importe quelle partie
du nom de fichier, double-cliquez dessus.
• Identifiant du type de tâche : Compressor ajoute automatiquement un identifiant de
type de sortie (tel que « iPod » ou « YouTube ») à chaque nom de fichier. Pour modifier
manuellement n’importe quel identifiant de type de sortie, double-cliquez dessus.
• Boutons Ajouter/Supprimer la sortie : cliquez sur Ajouter la sortie pour créer des sorties
supplémentaires. Pour supprimer une sortie en particulier, cliquez sur le bouton
Supprimer la sortie.
• Bouton Afficher les infos : cliquez sur ce bouton pour afficher des détails complets sur
le réglage actuel et le fichier multimédia de sortie. Si vous transcodez plusieurs fichiers
sources, vous pouvez afficher des informations sur chacun d’eux.
• Case à cocher Action : cochez cette case pour activer n’importe quelle action de
post-transcodage (au lieu de créer simplement le fichier multimédia de sortie). Pour
plus d’informations, consultez la section Ajout d’actions de tâche.
• Case à cocher Afficher la fenêtre au démarrage : lorsque cette case est cochée, la fenêtre
Droplet s’ouvre dès que vous faites glisser le fichier multimédia source sur l’icône de
la droplet, avant la soumission du lot. Cela vous permet de vérifier les réglages contenus
dans la droplet. Si la case n’est pas cochée, le lot est envoyé dès que vous le faites
glisser sur l’icône du droplet (à condition qu’il n’y ait aucune erreur), sans que la fenêtre
ne s’ouvre.
• Soumettre : cliquez sur ce bouton pour ouvrir la zone de dialogue Soumettre et
soumettre le lot. Pour en savoir plus sur la soumission, voir Utilisation d’un droplet pour
transcoder des fichiers multimédias sources et Soumission d’un lot. Cette action n’est
nécessaire que si la case « Afficher la fenêtre au démarrage » n’est pas cochée, sinon le
lot est automatiquement envoyé.
Contrôle des réglages de droplet
Cette section décrit plusieurs moyens de contrôler et d’ajuster des réglages de droplet.
364 Chapitre 28 Utilisation de dropletsCase à cocher « Afficher la fenêtre au démarrage »
La case « Afficher la fenêtre au démarrage », située en bas de la fenêtre Droplet, détermine
si une fenêtre Droplet s’ouvre ou non lorsque vous faites glisser un lot vers une icône de
droplet. Si cette case est cochée, la fenêtre Droplet s’ouvre lorsque vous faites glisser un
lot sur l’icône de la droplet et vous pouvez consulter les réglages de la droplet.
Si cette case n’est pas cochée, double-cliquez sur l’icône de la droplet pour ouvrir sa
fenêtre et consulter ses réglages.
Bouton « Afficher la fenêtre
au démarrage »
Bouton Afficher les détails
Consultez la section À propos de la fenêtre Droplet pour plus d’informations concernant
les réglages de la droplet.
Bouton Afficher/Masquer les détails
Ce bouton permet d’ouvrir ou de fermer le tiroir d’actions d’une tâche. Vous pouvez
utiliser le tiroir d’actions pour appliquer des actions de tâche et les ajuster. Pour en savoir
plus sur les actions de post-transcodage, voir Ajout d’actions de tâche.
Bouton Afficher/Masquer les détails Volet Action DVD
Chapitre 28 Utilisation de droplets 365Bouton Infos
Cliquez sur le bouton Infos de n’importe quelle tâche afin d’accéder aux informations
détaillées sur le fichier multimédia de sortie généré.
Menu local « Afficher
les infos de »
Remarque : si vous transcodez plusieurs fichiers sources, utilisez le menu local « Afficher
les infos de » de la zone de dialogue Infos afin de choisir le fichier multimédia source dont
vous souhaitez afficher les informations détaillées.
Utilisation d’un droplet pour transcoder des fichiers multimédias
sources
Une fois que vous avez créé une droplet, vous pouvez transcoder des fichiers multimédias
sources en les faisant glisser sur l’icône de la droplet.
Pour transcoder des fichiers multimédias sources à l’aide d’une droplet
1 Faites glisser vos fichiers multimédias sources sur l’icône de la droplet.
La case « Afficher la fenêtre au démarrage » figurant dans le bas de la fenêtre Droplet
détermine ce qui se passe ensuite.
• Si la case « Afficher la fenêtre au démarrage » n’est pas cochée : : la droplet commence
immédiatement le transcodage des fichiers multimédias sources.
366 Chapitre 28 Utilisation de droplets• Si la case « Afficher la fenêtre au démarrage » est cochée : : la fenêtre Droplet s’ouvre et
les fichiers multimédias sources sont affichés dans le tableau Fichiers source de la
droplet. Passez à l’étape 2 pour envoyer votre lot.
Si la fenêtre Droplet s’ouvre, vous pouvez afficher ses informations complètes, ainsi
qu’ajouter, supprimer et modifier les réglages et les fichiers multimédias sources. Vous
pouvez également modifier les noms des fichiers multimédias de sortie dans le champ
Nom de fichier et changer de dossier de destination pour les fichiers multimédias de
sortie que le droplet va créer.
2 Lorsque les réglages vous conviennent, cliquez sur le bouton Soumettre.
La zone de dialogue correspondante est affichée. Pour plus de détails sur la zone de
dialogue Soumettre, voir Soumission d’un lot.
3 Nommez le lot en remplissant le champ correspondant.
Cela permet d’identifier le lot dans Share Monitor.
4 Utilisez le menu local Cluster pour choisir l’ordinateur ou le cluster qui doit traiter le lot.
Le réglage de cluster par défaut est Cet ordinateur, ce qui signifie que Compressor
n’implique aucun autre ordinateur pour traiter le lot. Vous pouvez choisir n’importe quel
cluster disponible présent dans la liste. Pour en savoir plus sur la configuration d’un réseau
de traitement distribué Apple Qmaster, consultez Apple Qmaster et le traitement distribué.
5 Cochez la case Cet ordinateur plus pour créer un cluster ad hoc comprenant cet ordinateur
et tout autre nœud de service disponible.
Pour en savoir plus, consultez À propos de Cet ordinateur plus et des services non gérés.
6 Utilisez le menu local Priorité pour choisir le niveau de priorité du lot.
7 Cliquez sur Soumettre ou appuyez sur Entrée pour soumettre le lot au traitement.
Chaque fichier multimédia source est traité en fonction du réglage ou du groupe de
réglages contenu dans cette droplet.
Chapitre 28 Utilisation de droplets 3678 Ouvrez Share Monitor si vous souhaitez suivre l’état du traitement de vos fichiers
multimédias sources.
Pour en savoir plus, consultez le Manuel de l’utilisateur de Share Monitor.
Si une fenêtre Droplet est ouverte, vous pouvez faire glisser vos fichiers multimédias
sources directement dans le tableau Fichiers source, puis les envoyer en transcodage.
Pour transcoder des fichiers multimédias sources à l’aide d’une droplet ouverte
1 Double-cliquez sur l’icône d’une droplet pour l’ouvrir.
2 À l’aide du Finder, localisez les fichiers multimédias sources, puis faites-les glisser dans le
tableau Fichiers sources de la droplet.
3 Le cas échéant, modifiez les réglages de votre droplet, puis cliquez sur le bouton
Soumettre.
Chaque fichier multimédia source est traité en fonction du réglage ou du groupe de
réglages contenu dans cette droplet. Par exemple, si vous envoyez deux fichiers
multimédias sources vers une droplet contenant trois réglages, Compressor crée six
fichiers multimédias de sortie différents.
4 Ouvrez Share Monitor si vous souhaitez suivre l’état du traitement de vos fichiers
multimédias sources.
Utilisation de droplets pour créer des tâches et des réglages
dans Compressor
En faisant glisser un droplet du Finder vers la fenêtre Lot de Compressor, vous pouvez
créer une tâche/cible complète basée sur le droplet ou appliquer des cibles (réglages et
destinations) à des tâches figurant dans la fenêtre Lot.
Pour créer des tâches à l’aide de droplets
µ Faites glisser un droplet vers un espace vide dans la fenêtre Lot.
368 Chapitre 28 Utilisation de dropletsLa nouvelle tâche qui s’affiche comprend une ou plusieurs lignes cibles contenant les
propriétés du droplet, telles que les réglages et les destinations.
Pour créer des cibles à l’aide de droplets
µ Faites glisser un droplet vers un espace vide d’une icône de tâche dans la fenêtre Lot.
La tâche comporte alors une ou plusieurs lignes cibles contenant les propriétés du droplet,
telles que les réglages et les destinations.
Conseils à propos des droplet
Voici quelques conseils supplémentaires sur l’utilisation des droplets pour le transcodage
des fichiers multimédias sources.
Droplets et services de traitement Compressor
Si vous faites glisser des fichiers sur l’icône d’une droplet sans avoir ouvert l’application
ou une droplet au préalable, il se peut que Compressor vous affiche un avertissement
(« Cet ordinateur n’est pas disponible »), indiquant que les services de traitement
Compressor ne se sont pas encore lancés à l’arrière-plan. Cliquez sur le bouton Soumettre
en bas de la fenêtre Droplet. Les services de traitement Compressor démarrent alors pour
transcoder les fichiers glissés.
Droplets et grand nombre de fichiers multimédias sources
Si vous soumettez un grand nombre de fichiers multimédias sources (par exemple 200
ou plus) à l’aide d’une droplet, un retard d’environ une minute peut se produire entre le
message d’alerte « Préparation au traitement » et l’apparition de la zone de dialogue
confirmant que la tâche est en cours de soumission. Vous pouvez éviter ce retard en
réduisant le nombre de fichiers source que vous transmettez à la fois à l’aide d’une droplet.
Chapitre 28 Utilisation de droplets 369Le transcodage ou le traitement sur un seul ordinateur de bureau d’un grand nombre de
fichiers volumineux sollicite considérablement le processeur et prend du temps. La
distribution de traitement entre ordinateurs permet d’accroître la vitesse et la productivité.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Notions élémentaires sur le traitement distribué (p 371)
• Composants élémentaires du système de traitement distribué Apple Qmaster (p 373)
• Premiers contacts rapides avec Cet ordinateur plus (p 381)
• Premiers contacts rapides avec QuickClusters (p 382)
• Interfaces du système de traitement distribué Apple Qmaster (p 385)
• Fenêtre Apple Qmaster Sharing de Compressor (p 392)
• Informations générales sur les clusters (p 397)
• Création de clusters avec Apple Qadministrator (p 409)
• Configuration d’un système de traitement distribué à temps partiel avec Shake (p 412)
Notions élémentaires sur le traitement distribué
Le traitement distribué permet d’accélérer le traitement en répartissant le travail sur
plusieurs ordinateurs choisis pour offrir la plus grande puissance de traitement possible.
Vous pouvez soumettre des lots de tâches de traitement au système de traitement
distribué Apple Qmaster, lequel alloue ces tâches à d’autres ordinateurs en garantissant
une efficacité maximale (pour plus de détails, consultez Distribution des lots par le système
Apple Qmaster).
371
Apple Qmaster et le traitement
distribué 29Les ordinateurs soumettant des lots au système de traitement distribué Apple Qmaster
sont appelés des clients. Une tâche est une opération de traitement, telle qu’une paire
préréglage-source dans Compressor, un fichier Shake, ou tout autre fichier ou commande
recourant à des commandes UNIX pour spécifier des réglages (comme des instructions
de rendu, des emplacements et des destinations de fichiers).
Lot de tâches
de traitement
Ordinateur client
Les tâches
sont soumises.
Dossier de destination
Les fichiers sont placés
sur la cible indiquée.
Fichiers
traités
Cluster Apple Qmaster
Le traitement
s’effectue par cluster.
Réseau
Un lot est constitué d’une ou plusieurs tâches soumises à un instant donné en vue d’être
traitées. Cette procédure est analogue à l’impression de documents de plusieurs pages
à partir d’un programme de traitement de texte ; les fichiers sont envoyés et traités à
l’arrière-plan. Bien qu’un lot puisse inclure une seule tâche, vous envoyez généralement
plusieurs tâches simultanément en vue de leur traitement. De même, plusieurs personnes
peuvent utiliser le même système Apple Qmaster simultanément. Dans ce cas, plusieurs
ordinateurs clients envoient des lots en même temps. Les lots sont gérés et distribués
par l’ordinateur désigné comme contrôleur de clusters Apple Qmaster, décrit dans la
section suivante.
Il existe trois approches pour configurer un système de traitement distribué :
• Utiliser l’option Cet ordinateur plus : l’utilisation de l’option Cet ordinateur plus est
l’approche la plus simple pour créer un système de traitement distribué. Il suffit d’installer
Compressor en veillant à ce qu’il soit configuré comme nœud de service sur les
ordinateurs sur lesquels vous souhaitez effectuer des tâches de traitement. Pour en
savoir plus, consultez Premiers contacts rapides avec Cet ordinateur plus.
• Créer un QuickCluster : la création d’un QuickCluster permet de configurer un seul
ordinateur en tant que cluster en choisissant le nombre d’occurrences qu’il peut prendre
en charge (en fonction du nombre de cœurs disponibles). Pour en savoir plus, consultez
Premiers contacts rapides avec QuickClusters.
• Créer manuellement un cluster : les installations importantes peuvent créer manuellement
des clusters gérés pour leurs clients. Pour en savoir plus, consultez Création de clusters
avec Apple Qadministrator.
372 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéImportant : lorsque vous utilisez le traitement distribué (Cet ordinateur plus, QuickClusters
et les clusters gérés), vous devez vous authentifier. En effet, Apple Qmaster doit partager
un dossier (via le partage NFS) avec des liens vers des fichiers multimédias pour que les
ordinateurs de traitement puissent accéder aux fichiers multimédias. Ainsi, tous les
ordinateurs qui connaissent son adresse IP peuvent accéder à ce dossier. Lorsque vous
utilisez le traitement distribué avec des supports confidentiels, assurez-vous que les
ordinateurs sont protégés par un parefeu.
Pour en savoir plus sur les différents composants d’un système de traitement distribué,
consultez Composants élémentaires du système de traitement distribué Apple Qmaster.
Composants élémentaires du système de traitement distribué
Apple Qmaster
Même si le logiciel Apple Qmaster intègre des applications différentes (voir Interfaces du
système de traitement distribué Apple Qmaster), il fait dans son ensemble partie d’un
système en réseau incluant les composants élémentaires ci-dessous.
Remarque : dans un système de traitement distribué, les versions de Compressor,
QuickTime et Mac OS doivent être identiques.
• Un ou plusieurs clients : un ou plusieurs ordinateurs utilisant Compressor ou
Apple Qmaster pour soumettre des tâches en vue du traitement distribué. Les
applications qui peuvent utiliser les services Apple Qmaster pour le traitement sont
Compressor, Shake, Autodesk Maya et de nombreux programmes de ligne de commande
UNIX. Les ordinateurs dotés de Final Cut Pro et Motion peuvent également être des
ordinateurs clients.
• Un cluster Apple Qmaster : un cluster Apple Qmaster contient les éléments suivants :
• Nœuds de service : ordinateurs qui effectuent le traitement des lots soumis par
Compressor ou Apple Qmaster. Un lot peut inclure une ou plusieurs tâches.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 373• Contrôleur de clusters : logiciel activé sur un ordinateur via la fenêtre Apple Qmaster
Sharing de Compressor. Il est chargé de diviser les lots, de déterminer les nœuds de
service auxquels envoyer le travail et, généralement, d’effectuer le suivi des processus
et d’assurer leur administration.
Le contrôleur de clusters gère la répartition
des tâches du client sur le cluster
Tâches des processus
de nœuds de service
Cluster
(peut inclure plusieurs nœuds de service mais qu’un seul contrôleur de cluster)
Ordinateur client à partir duquel les utilisateurs
envoient des tâches au cluster
Tâches des processus
de nœuds de service
Tâches des processus
de nœuds de service
Tâches des processus
de nœuds de service
L’ordinateur client, les nœuds de service et le contrôleur de clusters sont souvent hébergés
sur des ordinateurs séparés (mais reliés en réseau), afin d’accélérer le traitement.
Cependant, le contrôleur de clusters peut résider sur un ordinateur client ou un nœud
de service. Pour en savoir plus sur ce scénario, consultez Utilisation d’un ordinateur unique
pour jouer deux fonctions de traitement distribué.
Les paragraphes suivants s’attachent à décrire plus en détail le rôle de chaque composant
dans le système Apple Qmaster.
Clients
Les lots sont soumis en vue d’un traitement distribué à partir d’ordinateurs clients. Un
ordinateur client peut être n’importe quel ordinateur sur lequel Compressor est installé
et qui réside sur le même réseau (sous-réseau) que le contrôleur de clusters. Plusieurs
ordinateurs client peuvent être connectés au même sous-réseau et utilisent donc le même
cluster pour le traitement des différentes applications.
Utilisez Compressor ou l’application Apple Qmaster pour soumettre des lots en vue du
traitement pour un client. Consultez Flux de production de transcodage de base et le
Manuel de l’utilisateur Apple Qmaster .
374 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéClusters
Lorsqu’un client envoie des lots au système de traitement distribué Apple Qmaster,
l’intégralité du traitement et du déplacement des fichiers de sortie est effectuée par un
groupe d’ordinateurs configurés par Apple Qmaster, appelé un cluster. Vous pouvez créer
un ou plusieurs clusters de nœuds de service, avec un contrôleur de clusters inclus dans
chaque cluster. Chaque ordinateur du cluster est connecté aux autres ordinateurs du
cluster via une connexion réseau.
Contrôleur
de clusters
Nœud du
service
Nœud du
service
Nœud du
service
Exemple de cluster
Remarque : ce schéma illustre un exemple simple de cluster. D’autres possibilités sont
décrites dans la section Exemples de réseaux de traitement distribué.
Nœuds de service
Les nœuds de service correspondant à l’emplacement où le traitement est effectué.
Lorsque vous affectez un groupe de nœuds de service à un cluster, ils fonctionnent comme
un seul ordinateur très puissant, car toutes leurs ressources sont partagées. Si un même
nœud de service est surchargé ou inaccessible, un autre nœud de service est utilisé.
Pour faire d’un ordinateur un nœud de service, configurez-le dans la fenêtre Apple Qmaster
Sharing accessible dans Compressor en choisissant Partager cet ordinateur dans le menu
Apple Qmaster.
Connaissances minimales
Voici les règles élémentaires à respecter lors de la configuration d’un réseau de traitement
distribué :
• Un cluster doit contenir un (et un seul) ordinateur jouant le rôle de contrôleur de clusters
et au moins un ordinateur jouant le rôle de nœud de service. (Ces deux fonctions
peuvent être assumées par le même ordinateur, comme indiqué dans Utilisation d’un
ordinateur unique pour jouer deux fonctions de traitement distribué.)
• Les ordinateurs clients et les ordinateurs de tout cluster qui les prend en charge doivent
résider sur le même réseau.
• Le réseau doit prendre en charge la technologie de mise en réseau Apple intégrée à
Mac OS X.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 375• Tous les ordinateurs d’un cluster doivent avoir accès en lecture et en écriture à tous
les ordinateurs (ou à tous les périphériques de stockage) désignés comme destinations
de sortie pour les fichiers.
Exemples de réseaux de traitement distribué
Une configuration minimale de traitement distribué peut inclure seulement deux
ordinateurs :
• Un ordinateur connecté au client et configuré pour servir de nœud de service et de
contrôleur de clusters
• Un ordinateur client
Client Nœud de service avec
le contrôleur de cluster activé
Configuration minimale pour le traitement distribué
Bien que simple, cette configuration est utile dans un environnement limité, car elle
permet à l’ordinateur client de se décharger d’une grande partie du travail de traitement.
Utilisation d’un ordinateur unique pour jouer deux fonctions de
traitement distribué
Pour optimiser l’utilisation de vos ressources, vous pouvez utiliser certains ordinateurs
pour plusieurs fonctions de traitement distribué.
• Nœud de service et contrôleur de clusters : dans une petite configuration, l’un des nœuds
de service d’un cluster peut également jouer le rôle de contrôleur de clusters, de sorte
qu’il effectue les deux fonctions. Cependant, dans un cluster constitué de nombreux
nœuds de service, la charge de traitement requise pour le contrôleur de clusters peut
être si élevée qu’il ne serait pas efficace d’utiliser un seul ordinateur comme nœud
de service et contrôleur de clusters.
• Ordinateur client et contrôleur de clusters ou nœud de service : vous pouvez également
configurer un ordinateur client pour jouer le rôle de contrôleur de clusters ou de
nœud de service dans un cluster, mais là encore, gardez à l’esprit que plus la puissance
de traitement disponible d’un ordinateur est élevée, plus il peut traiter ou gérer les
tâches rapidement.
376 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéLa configuration suivante concerne un environnement utilisant des ordinateurs de bureau.
Elle est dite de « traitement à temps partiel », car chaque ordinateur sert de poste de
travail à un utilisateur, tout en faisant partie du cluster de traitement distribué. L’essentiel
des tâches de traitement peut être envoyé via Compressor ou Apple Qmaster à la fin de
la journée, de sorte que les ordinateurs soient occupés à traiter une file d’attente
importante de lots de traitement distribué lorsque chacun est rentré chez soi. (Consultez
À propos des réglages avancés de la fenêtre Apple Qmaster Sharing et Planification de
la disponibilité des services dans la zone de dialogue Programmation des tâches pour en
savoir plus sur la planification de la disponibilité des nœuds de service.)
Réseau
Lecteur
FireWire
Lecteur
FireWire
Lecteur
FireWire
Lecteur
FireWire
Lecteur
FireWire
Chaque ordinateur joue le rôle de client
pour transmettre les tâches à traiter d’une part et
le rôle de nœud de service chargé du traitement.
Tous les fichiers source et de sortie sont stockés sur les lecteurs FireWire. Dans l’exemple de configuration illustré ci-dessus, cinq ordinateurs agissent à la fois en
tant que clients (postes de travail à partir desquels des utilisateurs soumettent des tâches
en vue d’un traitement distribué) et en tant qu’ordinateurs de cluster (lesquels prennent
en charge le traitement). Chaque ordinateur comporte un volume supplémentaire, tel
qu’un lecteur FireWire, utilisé pour les données avant et après leur rendu, ainsi que pour
les fichiers associés.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 377Pour un rendu plus puissant, un réseau peut inclure plusieurs ordinateurs clients en réseau
local, connectés à un cluster via un commutateur haut débit. Un rack de serveurs associé
à un périphérique de stockage partagé, jouant le rôle de cluster, constitue dans ce cas
un moteur de rendu extrêmement puissant. Les nœuds de service comportent alors
chacun une copie locale des logiciels applicatifs clients appropriés, de façon à pouvoir
traiter les tâches de rendu.
Client Client Client Client
Exemple de configuration d’un réseau pour le rendu distribué
Commutateurs à haut débit (montés en chaîne)
Rack de serveurs incluant le
contrôleur de cluster et les nœuds de service,
et périphérique de stockage monté en rack
LAN
Distribution des lots par le système Apple Qmaster
Le contrôleur de clusters Apple Qmaster détermine l’utilisation la plus efficace des
ressources du cluster. Pour ce faire, il se base sur la disponibilité de chaque nœud de
service et sur le nombre de parties du lot pouvant être séparées (à ce sujet, consultez la
description ci-après).
Apple Qmaster répartissant les différents lots sur plusieurs nœuds de service, le travail
est partagé et est effectué plus rapidement. Dans la mesure du possible, cette méthode
utilise tous les nœuds de service, vous évitez donc également la sous-utilisation des
ressources.
378 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéLe contrôleur de clusters peut distribuer les lots sur un cluster en procédant de différentes
façons (pour des lots spécifiques, Apple Qmaster détermine le moyen le plus efficace, en
fonction des circonstances).
• Le lot est divisé en segments de données : par exemple, pour un lot de rendu, le contrôleur
de clusters peut diviser les images en groupes (segments). Chaque segment est alors
traité en parallèle sur les nœuds de service du cluster.
• Le lot est divisé en tâches : par exemple, pour un lot de rendu, le contrôleur de clusters
peut diviser le travail de rendu en différentes tâches de traitement. Ces tâches sont
alors exécutées sur différents nœuds de service.
Plutôt que de déplacer réellement les segments, Apple Qmaster indique aux nœuds de
service quels segments lire via le réseau, où les trouver et quoi faire avec. Un exemple de
traitement d’un lot dans un système Apple Qmaster est fourni ci-après.
Lot transmis par Compressor
ou par Apple Qmaster
(demande de tâche
pour les images 1 à 30)
Le contrôleur de cluster
scinde et répartit la tâche
entre les nœuds de
service disponibles
Nœud du service 1 Nœud du service 2 Nœud du service 3
Instructions précisant les
emplacements des fichiers
source et les images 11 à 20
Instructions précisant les
emplacements des fichiers
source et les images 21 à 30
Instructions précisant les
emplacements des fichiers
source et les images 01 à 10
Fichier traité
(images de 1 à 30)
et placé sur la cible indiquée
Lors de la distribution des lots, Apple Qmaster utilise la technologie intégrée à Mac OS X
pour localiser les services d’un cluster sur le même sous-réseau IP, ainsi que pour partager
et recevoir dynamiquement des informations. Comme les ordinateurs peuvent transmettre
en permanence leur état de disponibilité de traitement, Apple Qmaster peut distribuer
(équilibrer) la charge de travail de manière uniforme sur le cluster.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 379Autres composants possibles d’un réseau de traitement distribué
Un réseau de traitement distribué peut se limiter à un ou deux ordinateurs, mais un réseau
amené à traiter des volumes importants peut très bien comporter de nombreux
ordinateurs, un système Xserve et des nœuds de clusters Xserve installés en rack, ainsi
que des infrastructures de mise en réseau à haut débit. Vous pouvez augmenter la capacité
d’un système de traitement distribué en fonction de vos besoins, en ajoutant des
fonctionnalités et des périphériques sur le réseau qui les prend en charge.
Il existe de nombreux moyens d’accroître la capacité d’un réseau de traitement distribué.
À titre d’exemple, vous pouvez y intégrer les composants suivants.
• Commutateurs et câbles haut débit : commutateur 100Base-T ou Gigabit Ethernet et
câbles compatibles, afin de transférer les données à vitesse maximale sur le réseau
local.
• Clients multiples : plusieurs ordinateurs client peuvent utiliser les services du même
cluster. Vous pouvez également installer plusieurs applications client sur le même
ordinateur client, avec le même cluster.
• Clusters multiples : en fonction de l’étendue de votre réseau et du nombre de clients
qu’il doit desservir, vous pouvez diviser les ordinateurs disponibles et créer plusieurs
clusters pour desservir différents clients. Lors de l’envoi d’un lot, les utilisateurs
sélectionnent le cluster vers lequel ils souhaitent l’envoyer.
• Nœuds de service multiples : en général, plus le nombre de nœuds de service est
important, plus la puissance de traitement augmente. Au moment où vous déterminez
le nombre de nœuds de service d’un cluster, tenez compte du rapport entre le temps
de déplacement des données et le temps de traitement. Si la demande de traitement
est supérieure à la demande réseau requise pour déplacer les segments de tâches via
le cluster, comme c’est le cas avec le rendu, il est judicieux de disposer de davantage
de nœuds de service. Si la charge de traitement, par tâche, est plus proche de la charge
réseau, le fait de disposer d’un nombre plus limité de nœuds de service par cluster peut
s’avérer plus efficace. Si vous utilisez le système de traitement distribué Apple Qmaster
avec des applications autres que Shake ou Compressor, consultez le manuel de
l’utilisateur de l’application afin de savoir comment optimiser le nombre de nœuds de
service.
• Périphérique de stockage : un périphérique de stockage, tel qu’un disque distant ou un
groupe de baies de disques, peut servir de stockage de travail pour les clusters, c’est-à-dire
d’emplacement réservé au stockage à court terme des données temporaires générées
par le contrôleur de clusters, les clients et les nœuds de service. (Vous pouvez définir
l’emplacement du stockage de travail dans la fenêtre Apple Qmaster Sharing de
Compressor. Pour en savoir plus, consultez À propos des réglages avancés de la fenêtre
Apple Qmaster Sharing et Utilisation du stockage de clusters.) Un périphérique de
stockage peut également être utilisé comme destination finale pour les fichiers après
leur traitement.
380 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéPour en savoir plus, consultez Exemples de réseaux de traitement distribué.
Premiers contacts rapides avec Cet ordinateur plus
L’utilisation de l’option Cet ordinateur plus dans Compressor constitue un moyen simple
d’exploiter les fonctionnalités de traitement distribué proposées par Apple Qmaster,
même si vous ne disposez pas de connaissances approfondies en matière de configuration
de clusters, de partage de fichiers, etc.
L’utilisation de Cet ordinateur plus se fait en deux étapes :
• Création de nœuds de service Apple Qmaster dans Compressor sur vos ordinateurs en
réseau
• Sélection de Cet ordinateur plus lors de la soumission d’un lot Compressor à traiter
Ces deux étapes permettent de maîtriser la puissance de traitement d’un nombre
quelconque d’ordinateurs sur votre réseau sans effort ni connaissances supplémentaires
de votre part.
Remarque : dans un système de traitement distribué, les versions de Compressor,
QuickTime et Mac OS doivent être identiques.
• Étape 1 : Création de nœuds de service
• Étape 2 : Soumission de lots Compressor à traiter
Étape 1 : Création de nœuds de service
Une fois que vous avez installé Compressor sur l’ordinateur à utiliser comme nœud de
service, vous devez configurer sa fenêtre Apple Qmaster Sharing.
Pour configurer un ordinateur en tant que nœud de service
1 Dans Compressor, choisissez Apple Qmaster > Partager cet ordinateur.
La sousfenêtre Apple Qmaster Sharing s’affiche.
2 Sélectionnez « Partager cet ordinateur » et « en tant que services uniquement ».
3 Sélectionnez Compressor dans la zone Services. Assurez-vous que l’option « Exiger que
ces services ne soient utilisés que dans les clusters gérés » n’est pas sélectionnée.
4 Cliquez ensuite sur OK.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 381Cet ordinateur est désormais disponible pour que Compressor l’utilise en tant que nœud
de service non géré. Final Cut Pro et Motion peuvent en outre l’utiliser si vous sélectionnez
Cet ordinateur plus dans l’une de leurs options de menu Partager.
Étape 2 : Soumission de lots Compressor à traiter
Lorsque vous soumettez un lot Compressor pour qu’il soit traité, une zone de dialogue
vous permet d’attribuer un nom au lot et de sélectionner les ordinateurs pour traiter le
lot. À ce stade, vous pouvez contrôler la puissance de traitement de tous les ordinateurs
configurés lors de l’étape 1 comme des nœuds de service, afin de terminer le traitement
du lot.
Pour traiter le lot à l’aide de Cet ordinateur plus
1 Conservez la sélection par défaut du menu local Cluster (réglé sur Cet ordinateur).
2 Cochez la case Cet ordinateur plus.
Compressor et Apple Qmaster coordonnent la distribution des tâches de traitement parmi
les ordinateurs disponibles, puis placent les fichiers de sortie résultant à l’emplacement
(ou aux emplacements) désigné(s) dans Compressor.
Premiers contacts rapides avec QuickClusters
Les QuickClusters constituent une méthode simple et automatisée pour créer et configurer
des clusters. Ils offrent également une alternative à la création et la configuration manuelles
de clusters avec Apple Qadministrator. Les QuickClusters prenant en charge les services
non gérés se configurent automatiquement et utilisent les services non gérés disponibles
sur le même réseau (sous-réseau) local. Les QuickClusters écoutent les annonces de
services non gérés et peuvent les marquer ou les mémoriser en vue d’une utilisation
ultérieure.
Les réglages par défaut du système de traitement distribué Apple Qmaster vous permettent
d’utiliser immédiatement le traitement distribué.
• Étape 1 : Installation du logiciel
• Étape 2 : Configuration d’un QuickCluster
382 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué• Étape 3 : Ajout de nœuds de service à un cluster
• Étape 4 : Création et soumission d’un lot
Étape 1 : Installation du logiciel
Installez Compressor sur les ordinateurs que vous souhaitez inclure dans votre réseau de
traitement distribué.
Pour installer les logiciels
1 Installez Compressor en vue de l’utiliser comme client sur au moins un ordinateur de
votre réseau.
Pour soumettre des tâches et des lots au système de traitement distribué, vous devez
utiliser un logiciel client (de soumission), à savoir Compressor ou Apple Qmaster.
2 Installez Compressor sur chaque ordinateur à utiliser pour le traitement distribué. Tous
les ordinateurs doivent appartenir au même sous-réseau.
Remarque : dans un système de traitement distribué, les versions de Compressor,
QuickTime et Mac OS doivent être identiques.
Étape 2 : Configuration d’un QuickCluster
Utilisez la fenêtre Apple Qmaster Sharing pour configurer les ordinateurs à utiliser comme
contrôleur de clusters et nœuds de service.
Pour configurer les ordinateurs hébergeant le contrôleur de clusters et les nœuds de
service
1 Dans Compressor, choisissez Apple Qmaster > Partager cet ordinateur.
La sousfenêtre Apple Qmaster Sharing s’affiche.
2 Cochez la case « Partager cet ordinateur ».
Tous les autres réglages de cette fenêtre devraient être corrects par défaut :
• L’option « en tant que QuickCluster avec services » doit être sélectionnée.
• Le rendu ne doit pas être sélectionné.
• Compressor doit être sélectionné.
• « Exiger que ces services ne soient utilisés que dans les clusters gérés » ne doit pas être
sélectionné.
• Le nom par défaut de ce QuickCluster s’affiche dans la zone de texte « Identifier ce
QuickCluster sous le nom ».
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 383• « Inclure des services non gérés provenant d’autres ordinateurs » ne doit pas être
sélectionné.
• « Exiger le mot de passe » ne doit pas être sélectionné.
Pour en savoir plus sur ces réglages, consultez À propos des réglages élémentaires de la
fenêtre Apple Qmaster Sharing.
3 Cliquez ensuite sur OK.
Ces opérations créent un QuickCluster dont le contrôleur est cet ordinateur et une instance
des services de traitement. Pour en savoir plus sur les instances de services multiples,
consultez Utilisation de clusters virtuels pour tirer le meilleur parti des ordinateurs
multicœurs.
Étape 3 : Ajout de nœuds de service à un cluster
Effectuez les opérations suivantes sur chaque ordinateur dont vous souhaitez faire un
nœud de service non géré dans votre cluster.
Pour ajouter un nœud de service à un cluster
1 Dans Compressor, choisissez Apple Qmaster > Partager cet ordinateur.
La sousfenêtre Apple Qmaster Sharing s’affiche.
2 Sélectionnez « Partager cet ordinateur » et « en tant que services uniquement ».
Tous les autres réglages de cette fenêtre devraient être corrects par défaut :
• Le rendu et Compressor doivent être sélectionnés.
• « Exiger que ces services ne soient utilisés que dans les clusters gérés » ne doit pas être
sélectionné.
• Tous les autres réglages sont désactivés.
Pour en savoir plus sur ces réglages, consultez À propos des réglages élémentaires de la
fenêtre Apple Qmaster Sharing.
3 Cliquez ensuite sur OK.
Ces opérations créent un nœud de service qui traite automatiquement les tâches soumises
au QuickCluster configuré lors de l’étape Étape 2 : Configuration d’un QuickCluster.
Étape 4 : Création et soumission d’un lot
Créez un lot contenant une ou plusieurs tâches dans la fenêtre Lot de Compressor ou la
fenêtre Apple Qmaster. Consultez Finalisation de tâches et soumission de lots ou le
Manuel de l’utilisateur Apple Qmaster .
384 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéPour soumettre le lot
1 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Si vous utilisez Compressor : dans la fenêtre Lot de Compressor, cliquez sur Soumettre
et dans la zone de dialogue qui en résulte, utilisez le menu local Cluster pour choisir
le cluster créé à l’étape 2.
• Si vous utilisez Apple Qmaster : dans la fenêtre Apple Qmaster, choisissez le cluster que
vous avez créé à l’étape 2 dans le menu local Soumettre à.
2 Cliquez sur Soumettre.
Le système de traitement distribué traite le lot.
Interfaces du système de traitement distribué Apple Qmaster
Le système Apple Qmaster est une suite d’applications qui collaborent en vue d’offrir une
puissance et une flexibilité maximales pour le traitement distribué. Vous pouvez combiner
de différentes façons les divers éléments de ce système afin de mieux répondre à vos
besoins.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 385En général, vous devez utiliser la fenêtre Apple Qmaster Sharing dans Compressor pour
configurer des nœuds de service et des contrôleurs de cluster et pour créer des nœuds
de service pour les clusters de types Cet ordinateur plus et QuickClusters qui fournissent
la plupart des éléments nécessaires aux utilisateurs. Les administrateurs système doivent
quant à eux utiliser Apple Qadministrator pour assurer la création et le contrôle avancés
des clusters. Les utilisateurs travaillant sur des ordinateurs clients passent par Compressor
ou Apple Qmaster pour soumettre des lots en vue du traitement. Enfin, Share Monitor
peut être utilisé à la fois par les administrateurs et les utilisateurs clients pour surveiller
et gérer les lots.
Apple Qadministrator
Moniteur de partage
QuickCluster
Utilisateurs : Administrateurs et utilisateurs client
Permet de : Contrôlez les lots ayant
été envoyés aux clusters
Compressor
Utilisateurs : Administrateurs
Permet de : Créez des nœuds de service
et des contrôleurs de clusters
Utilisateurs : Administrateurs
Permet de : Assemblez des clusters de nœuds
de service et des contrôleurs de clusters
Compressor ou Apple Qmaster
Utilisateurs : Utilisateurs client
Permet de : Transférez des tâches à des
clusters en vue de leur traitement
386 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéRemarque : il est possible de créer un système de traitement distribué simple (personnel)
et d’ignorer totalement Apple Qadministrator. Pour en savoir plus, consultez
Premiers contacts rapides avec Cet ordinateur plus et Premiers contacts rapides avec
QuickClusters. Pour en savoir plus sur tous les réglages de la fenêtre Apple Qmaster
Sharing, consultez Fenêtre Apple Qmaster Sharing de Compressor.
Apple Qadministrator
L’application Apple Qadministrator vous sert à créer et modifier manuellement des clusters
Apple Qmaster. Cette application peut être utilisée sur n’importe quel ordinateur situé
sur le même réseau que le cluster que vous souhaitez administrer. Si vous disposez du
mot de passe administrateur (s’il a été créé), vous pouvez également utiliser
Apple Qadministrator pour afficher et modifier les clusters existants sur le réseau.
Remarque : la plupart des utilisateurs n’ont pas besoin d’utiliser Apple Qadministrator
pour créer ou gérer leurs clusters, ils utilisent Cet ordinateur plus et QuickClusters.
Utilisez Apple Qadministrator pour assembler les clusters :
Faites glisser les
nœuds de service
disponibles pour les
affecter à un cluster.
Pour en savoir plus sur l’utilisation d’Apple Qadministrator, consultez le
Manuel de l’utilisateur d’Apple Qadministrator.
Pour ouvrir Apple Qadministrator
µ Dans Compressor, choisissez Apple Qmaster > Administrer les clusters.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 387La fenêtre Apple Qadministrator apparaît. Si le cluster actuellement sélectionné est protégé
par un mot de passe, vous ne pouvez pas afficher ou modifier ce cluster avant d’avoir
cliqué sur le bouton Verrouiller, puis saisi le mot de passe dans la zone de dialogue qui
apparaît.
388 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéCompressor et Apple Qmaster utilisés comme interfaces clientes
Les utilisateurs travaillant sur des ordinateurs clients passent par Compressor ou
Apple Qmaster pour soumettre des lots en vue du traitement.
Lot Lot
Lot Lot
Utilisez Apple Qmaster pour transmettre
un lot à un cluster :
Cluster A
Cluster B
Réseau
Utilisez Compressor pour transmettre
un lot à un cluster :
Utilisation de Compressor
Utilisez le menu local Cluster de la fenêtre Lot de Compressor pour choisir un cluster pour
un lot donné. Pour en savoir plus sur la soumission de lots avec Compressor, consultez
Soumission d’un lot.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 389Utilisation d’Apple Qmaster
Apple Qmaster est l’application que vous utilisez pour soumettre des tâches de traitement
distribué à partir de logiciels d’effets visuels numériques, tels que Shake, Autodesk Maya
et tout autre programme de ligne de commande UNIX.
Dans Apple Qmaster, vous pouvez utiliser les flux suivants :
• Pour les lots de traitement Shake, vous pouvez faire glisser les fichiers Shake sur la
fenêtre Apple Qmaster. Un script par défaut est créé automatiquement pour la
soumission des tâches. Dans Apple Qmaster, vous pouvez spécifier certains détails, tels
que le cluster à utiliser, et apporter des ajustements à certains réglages.
• Pour les lots Maya, Apple Qmaster comporte également une interface spéciale
permettant la soumission et la personnalisation des tâches Maya.
• Vous pouvez utiliser la commande Rendu générique dans Apple Qmaster pour le
traitement distribué de projets provenant d’autres applications de rendu basées sur
les images (telles que After Effects et LightWave).
Pour en savoir plus sur l’application Apple Qmaster, consultez le Manuel de l’utilisateur
Apple Qmaster.
Pour ouvrir Apple Qmaster
µ Dans Compressor, choisissez Apple Qmaster > Créer des tâches de rendu.
La fenêtre Apple Qmaster apparaît.
390 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéShare Monitor
En tant qu’administrateur, vous pouvez utiliser Share Monitor afin de suivre la progression
de toute l’activité liée aux lots pour tous les clusters de votre réseau. Vous pouvez ainsi
afficher le degré d’avancement de chaque tâche, ainsi que d’autres détails, et annuler,
interrompre ou reprendre des lots. Si vous êtes un utilisateur client, vous pouvez utiliser
Share Monitor pour afficher et gérer vos propres lots.
Cluster
Utilisez Moniteur de partage pour afficher les informations relatives aux lots ayant été envoyés
aux clusters indiqués :
État
des lots
État
des lots
Cluster
Réseau
Pour en savoir plus Share Monitor, consultez le Manuel de l’utilisateur de Share Monitor.
Pour ouvrir Share Monitor
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Soumettez un lot avec Compressor ou Apple Qmaster. La fenêtre Share Monitor apparaît
automatiquement en fonction des réglages adoptés dans les préférences.
µ Configurez et soumettez une option du menu Partager de Final Cut Pro ou Motion. Share
Monitor s’ouvre dans le Dock où vous pouvez le sélectionner pour l’ouvrir.
µ Cliquez sur le bouton Share Monitor dans la fenêtre Apple Qmaster ou dans la fenêtre
Lot de Compressor.
µ Dans Apple Qadministrator, choisissez Cluster > Afficher Share Monitor.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 391Share Monitor s’ouvre.
Fenêtre Apple Qmaster Sharing de Compressor
Utilisez la fenêtre Apple Qmaster Sharing de Compressor pour activer, créer ou modifier
les services de contrôle de clusters et de traitement d’Apple Qmaster (y compris les mots
de passe et les emplacements de stockage de travail).
Utilisez la fenêtre Partage d’Apple Qmaster de Compressor pour configurer
les nœuds de service et les contrôleurs de clusters :
Nœud du
service
Contrôleur
de clusters
Pour en savoir plus sur l’utilisation de la fenêtre Apple Qmaster Sharing de Compressor,
consultez Options de la fenêtre Apple Qmaster Sharing de Compressor.
Vous pouvez également vous reporter au Manuel de l’utilisateur Apple Qmaster pour de
plus amples informations, notamment sur la création d’un cluster de nœuds étendu
utilisant des nœuds alors que Apple Qmaster n’est pas installé.
392 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéPour ouvrir la fenêtre Apple Qmaster Sharing de Compressor
1 Ouvrez Compressor.
2 Choisissez Apple Qmaster > Partager cet ordinateur.
La fenêtre Apple Qmaster Sharing s’affiche.
Après avoir effectué les modifications requises dans les sousfenêtres de configuration et
de réglages avancés, cliquez sur OK pour appliquer les réglages.
Important : si vous apportez des modifications aux réglages existants et que cet ordinateur
fournit déjà des services de traitement, le fait de cliquer sur OK réinitialise immédiatement
les services de cet ordinateur. Si cet ordinateur est également contrôleur de clusters,
toutes les tâches en cours sont annulées.
À propos des réglages élémentaires de la fenêtre Apple Qmaster Sharing
Vous pouvez utiliser la sous-fenêtre Configuration accessible via la fenêtre Apple Qmaster
Sharing pour configurer votre système de traitement distribué.
Réglages de partage
• Partager cet ordinateur : cochez cette case pour partager cet ordinateur via l’une des
trois options suivantes. Désélectionnez cette option pour ne pas partager cet ordinateur.
• en tant que QuickCluster avec services : sélectionnez cette option pour créer un cluster
« instantanément » avec des services non gérés. Pour en savoir plus, consultez
Premiers contacts rapides avec QuickClusters.
• en tant que contrôleur de services et de clusters : sélectionnez cette option pour définir
cet ordinateur comme contrôleur de clusters lors de la création d’un cluster dans
Apple Qadministrator. Pour en savoir plus, consultez Création de clusters avec
Apple Qadministrator.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 393• en tant que services uniquement : sélectionnez cette option pour faire de cet ordinateur
un nœud de service et rien de plus. Les nœuds de service assurent le traitement des
lots. Ils peuvent être inclus dans des clusters Cet ordinateur plus ou QuickClusters,
ou dans des clusters gérés. Pour en savoir plus, consultez Comparaison entre services
gérés et services non gérés.
Réglages des services
• Rendu : utilisez cette case pour activer ou désactiver le service de rendu. Cliquez sur
son bouton Options pour ouvrir une zone de dialogue vous permettant de régler le
nombre d’instances d’un service de traitement. Pour en savoir plus, consultez Utilisation
de clusters virtuels pour tirer le meilleur parti des ordinateurs multicœurs.
• Compressor : utilisez cette case pour activer ou désactiver le service Compressor. Cliquez
sur son bouton Options pour ouvrir une zone de dialogue vous permettant de régler
le nombre d’instances d’un service de traitement. Pour en savoir plus, consultez
Utilisation de clusters virtuels pour tirer le meilleur parti des ordinateurs multicœurs.
• Exiger que ces services ne soient utilisés que dans les clusters gérés : cochez cette case pour
que le service partagé soit non géré (réglage par défaut) ou géré. Pour en savoir plus,
consultez Comparaison entre services gérés et services non gérés.
Réglages du QuickCluster
• Identifier ce QuickCluster sous le nom : utilisez ce champ pour modifier le nom d’un
QuickCluster. Pour en savoir plus sur QuickClusters, consultez Premiers contacts rapides
avec QuickClusters.
• Inclure des services non gérés provenant d’autres ordinateurs : cochez cette case pour
que ce QuickCluster utilise automatiquement les ordinateurs non gérés disponibles
sur votre réseau pour le traitement distribué. Pour en savoir plus sur cette option,
consultez Comparaison entre services gérés et services non gérés.
Réglages de sécurité
• Exiger le mot de passe : pour contrôler l’identité des personnes autorisées à inclure un
nœud de service ou un contrôleur de clusters spécifique dans un cluster, cochez cette
case et saisissez un mot de passe dans la zone de dialogue qui s’ouvre. Pour en savoir
plus, consultez Configuration d’un mot de passe de service pour l’inclusion d’un
ordinateur dans un cluster.
394 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéÀ propos des réglages avancés de la fenêtre Apple Qmaster Sharing
Vous pouvez utiliser la sous-fenêtre des réglages avancés, accessible via la fenêtre
Apple Qmaster Sharing, pour configurer plus avant votre système de traitement distribué.
Réglages de services avancés
Utilisez ces fonctionnalités pour planifier des redémarrages de services et la disponibilité
des services.
• Redémarrer tous les services toutes les 24 heures : cochez cette case pour garantir la
fiabilité de votre système de traitement distribué. L’actualisation périodique des services
empêche l’augmentation des tailles de mémoire virtuelle et des fuites de mémoire
dans les logiciels tiers.
• Définir le programme des services non gérés : si vous avez activé les services non gérés,
vous pouvez ouvrir une interface de calendrier et planifier la disponibilité de ces services
pour le système de traitement distribué. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’interface
du calendrier, consultez Planification de la disponibilité des services.
Stockage de clusters partagés
Utilisez ces fonctionnalités pour configurer le stockage de travail pour le contrôleur de
clusters de cet ordinateur. Pour en savoir plus sur le stockage de clusters, consultez
Utilisation du stockage de clusters.
• Supprimer les fichiers de plus de N jours : saisissez le nombre de jours pendant lesquels
les fichiers temporaires peuvent rester dans l’emplacement de travail du cluster avant
d’être supprimés automatiquement. Ajustez cette valeur si vous pensez qu’une session
de transcodage risque de durer jusqu’à sept jours ou plus.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 395• Emplacement de stockage : affiche l’emplacement de stockage temporaire des clusters.
Cliquez sur Régler pour choisir un répertoire local et changer l’emplacement de travail
des fichiers temporaires du cluster. Pour en savoir plus, consultez Utilisation du stockage
de clusters.
Réseau
Utilisez ces fonctionnalités pour configurer les réglages réseau.
• Autoriser la découverte via Bonjour : cette case est cochée par défaut afin que le système
de traitement distribué Apple Qmaster utilise la technologie en réseau Bonjour. Vous
pouvez la désélectionner pour optimiser la sécurité. Ainsi, votre ordinateur ne peut
plus être détecté sur un réseau Bonjour. Cette fonctionnalité nécessite Mac OS X v10.4
ou ultérieur.
• Utiliser des interfaces réseau : limitez l’activité de traitement distribué à une interface
réseau particulière en la sélectionnant dans ce menu local. Si vous effectuez cette
opération sur un ordinateur servant de nœud de service, utilisez un ordinateur différent
pour soumettre des tâches et des lots Compressor.
• Activer la plage de ports : la case et les champs « Activer la plage de ports » permet de
définir les ports utilisés par Apple Qmaster pour les annonces de service. Pour en savoir
plus, consultez Définition de ports pour les annonces de services.
Compléments
Utilisez ces fonctionnalités pour configurer des réglages supplémentaires.
• Consigner l’activité du service dans un fichier : si cette case est cochée, un historique
d’activité est créé et mis à jour régulièrement à partir des informations relatives aux
actions menées par Apple Qmaster sur cet ordinateur. Les journaux sont conservés
dans /Bibliothèque/Application Support/Apple Qmaster/Logs. Désélectionnez cette
case pour désactiver cette fonction.
Remarque : vous pouvez également accéder à l’historique en cliquant sur le bouton
Historique dans Apple Qadministrator ou sur Afficher l’historique dans la fenêtre Afficher
les infos de Share Monitor.
• Maximum de cibles actives : par défault, un cluster peut traiter jusqu’à 40 cibles à la fois.
Pour modifier le nombre maximum de cibles traitées simultanément entre deux travaux
ou plus, saisissez un nombre compris entre 1 et 999.
• Identifier cet ordinateur auprès de Qadministrator sous le nom : par défaut, un ordinateur
est identifié par son nom sur le réseau (tel qu’il est saisi dans la sous-fenêtre Partage
des Préférences Système). Vous pouvez remplacer ce nom par un nom plus significatif,
car il s’agit du nom utilisé pour identifier cet ordinateur dans l’application
Apple Qadministrator. Si vous configurez un contrôleur de clusters géré, il s’agit du
nom qui apparaîtra dans le menu local Contrôleur d’Apple Qadministrator.
396 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéInformations générales sur les clusters
Une fois que votre réseau est configuré et que vous avez installé les composants
nécessaires, vous êtes prêt à créer des clusters de traitement distribué.
Il existe trois approches pour créer un cluster :
• Utiliser l’option Cet ordinateur plus : l’utilisation de l’option Cet ordinateur plus afin de
créer un cluster constitue l’approche la plus simple pour créer un système de traitement
distribué. Il suffit d’installer Compressor en veillant à ce qu’il soit configuré comme
nœud de service sur les ordinateurs sur lesquels vous souhaitez effectuer des tâches
de traitement. Pour en savoir plus, consultez Premiers contacts rapides avec Cet
ordinateur plus.
• Créer un QuickCluster : la création d’un QuickCluster permet de configurer rapidement
un système de traitement distribué dans lequel un ordinateur distinct joue le rôle de
contrôleur de clusters (les clusters Cet ordinateur plus utilisent le même ordinateur
pour contrôler les clusters et pour soumettre les lots). Cela s’avère particulièrement
utile si vous avez plusieurs clients soumettant des tâches au cluster. Pour en savoir
plus, consultez Premiers contacts rapides avec QuickClusters.
• Créer manuellement un cluster : les installations de taille importante peuvent créer
manuellement des clusters pour leurs clients. Pour en savoir plus, consultez Création
de clusters avec Apple Qadministrator.
Si vous avez des questions sur les concepts et les termes utilisés dans ces pages,
reportez-vous au chapitre Notions élémentaires sur le traitement distribué.
Remarque : si vous utilisez Apple Qmaster et que vous souhaitez créer un cluster
comprenant des ordinateurs sur lesquels Apple Qmaster n’est pas installé, consultez le
Manuel de l’utilisateur Apple Qmaster pour obtenir des instructions.
Options de la fenêtre Apple Qmaster Sharing de Compressor
La section suivante décrit certains réglages facultatifs que vous pourriez être amené à
utiliser.
Important : si vous apportez des modifications aux réglages existants et que cet ordinateur
fournit déjà des services de traitement, le fait de cliquer sur OK réinitialise immédiatement
les services de cet ordinateur. Si cet ordinateur est également contrôleur de clusters,
toutes les tâches en cours sont annulées.
Pour obtenir une liste complète des options et des réglages de la fenêtre Apple Qmaster
Sharing de Compressor, consultez À propos des réglages élémentaires de la fenêtre
Apple Qmaster Sharing et À propos des réglages avancés de la fenêtre Apple Qmaster
Sharing.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 397Définition du nom
Par défaut, un ordinateur est identifié par son nom sur le réseau (tel qu’il est saisi dans la
sous-fenêtre Partage des Préférences Système). Vous pouvez remplacer ce nom par un
nom plus significatif, car il s’agit du nom utilisé pour identifier cet ordinateur dans le
système de traitement distribué Apple Qmaster. Si vous configurez un QuickCluster, ce
nom apparaît dans le menu local Cluster de Compressor ou dans le menu local Soumettre
à d’Apple Qmaster. Si vous configurez un contrôleur de clusters géré, il s’agit du nom qui
apparaîtra dans le menu local Contrôleur d’Apple Qadministrator.
Pour attribuer un nom à un QuickCluster
µ Saisissez le nouveau nom du cluster dans le champ « Identifier ce QuickCluster sous le
nom ».
Pour attribuer un nom à un contrôleur de clusters à utiliser avec Apple Qadministrator
1 Cliquez sur Avancé pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante.
2 Saisissez le nouveau nom dans le champ « Identifier cet ordinateur par Qadministrator
sous le nom ».
Et services non gérés
Vous pouvez activer les services non gérés pour un QuickCluster. Pour en savoir plus,
consultez Comparaison entre services gérés et services non gérés.
Configuration du mot de passe
Pour forcer la saisie d’un mot de passe, cochez la case « Exiger le mot de passe ».
• Si vous configurez un QuickCluster : les autres utilisateurs devront saisir ce mot de passe
avant d’être autorisés à soumettre des demandes à cet ordinateur.
• Si vous configurez un cluster à utiliser avec Apple Qadministrator : tout administrateur
devra saisir ce mot de passe avant d’être autorisé à ajouter cet ordinateur à un cluster.
Pour en savoir plus, consultez Configuration d’un mot de passe de service pour l’inclusion
d’un ordinateur dans un cluster. (Si vous configurez l’ordinateur en tant que contrôleur
de clusters et nœud de service, ce mot de passe est utilisé pour les deux.)
Configuration du stockage de clusters
Vous pouvez changer l’emplacement par défaut du stockage de travail pour tout traitement
réalisé sur cet ordinateur dans la sous-fenêtre Avancé. Pour en savoir plus, consultez
Utilisation du stockage de clusters.
398 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéComparaison entre services gérés et services non gérés
Vous disposez d’une certaine latitude lors de la création de clusters pour le traitement
distribué avec Compressor ou Apple Qmaster. Lorsque vous configurez des services de
traitement, vous pouvez choisir d’en faire des services gérés ou des services non gérés
(par défaut).
Services gérés
Les services gérés peuvent être affectés pour servir de contrôleur de clusters particulier.
Une fois affectés, les services gérés restent exclusivement dédiés à ce cluster jusqu’à ce
qu’ils soient supprimés à l’aide de l’application Apple Qadministrator. Les QuickClusters
ne peuvent pas utiliser les services gérés d’autres nœuds, sauf en cas de clusters de nœuds
étendus. Pour en savoir plus, voir le Manuel de l’utilisateur d’Apple Qadministrator. Consultez
le Manuel de l’utilisateur Apple Qmaster pour de plus amples informations sur les clusters
de nœuds étendus.
Et services non gérés
Les services non gérés sont automatiquement affectés au premier cluster Cet ordinateur
plus ou QuickCluster disponible sur lequel ce type de services est activé. Les QuickClusters
écoutent les annonces de services non gérés et peuvent les marquer ou les mémoriser
en vue d’une utilisation ultérieure. Un service non géré reste lié à son cluster Cet ordinateur
plus ou QuickCluster le temps nécessaire pour terminer la tâche en cours. Une fois la
tâche terminée, le service non géré est « libéré » et annonce sa disponibilité à tous les
clusters Cet ordinateur plus et QuickCluster.
Remarque : les clusters gérés (créés avec Apple Qadministrator) peuvent également
utiliser des services non gérés. Lorsque la prise en charge des services non gérés est
activée sur un cluster géré, ce cluster ajoute automatiquement les services non gérés
disponibles, en plus de ses services gérés (ajoutés explicitement par le biais
d’Apple Qadministrator).
Activation de services non gérés sur des QuickClusters
Suivez les étapes décrites ci-après pour activer les services non gérés sur des QuickClusters.
Pour activer des services non gérés sur des QuickClusters
1 Dans Compressor, choisissez Apple Qmaster > Partager cet ordinateur.
2 Cochez la case « Partager cet ordinateur » et sélectionnez le bouton « en tant que
QuickCluster avec services » pour créer un QuickCluster.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 3993 Cochez la case « Inclure des services non gérés provenant d’autres ordinateurs ».
4 Cliquez ensuite sur OK.
Pour en savoir plus sur la création de QuickClusters, consultez Premiers contacts rapides
avec QuickClusters.
Activation de services non gérés sur des clusters gérés
Suivez les étapes décrites ci-après pour activer les services non gérés sur des clusters
gérés.
Pour activer des services non gérés sur des clusters gérés
1 Dans Apple Qadministrator, sélectionnez un cluster dans la liste Cluster ou cliquez sur le
bouton Ajouter (+) afin d’ajouter un nouveau cluster.
2 Cliquez sur « Autoriser l’utilisation de services non gérés ».
Pour en savoir plus sur la création de clusters gérés, consultez Création de clusters avec
Apple Qadministrator.
Gestion des services de traitement
Suivez les étapes décrites ci-après pour gérer les services de traitement sur un ordinateur
d’un cluster.
Important : si vous apportez des modifications aux réglages existants et que cet ordinateur
fournit déjà des services de traitement, le fait de cliquer sur OK réinitialise immédiatement
les services de cet ordinateur. Si cet ordinateur est également contrôleur de clusters,
toutes les tâches en cours sont annulées.
Pour configurer des services de traitement gérés
1 Dans Compressor, choisissez Apple Qmaster > Partager cet ordinateur.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Cochez la case « Exiger que ces services ne soient utilisés que dans les clusters gérés »
pour utiliser cet ordinateur uniquement dans les clusters gérés.
• Désélectionnez la case « Exiger que ces services ne soient utilisés que dans les clusters
gérés » pour utiliser cet ordinateur dans les clusters non gérés et les clusters gérés.
3 Cliquez ensuite sur OK.
Pour désactiver les services de traitement
1 Dans Compressor, choisissez Apple Qmaster > Partager cet ordinateur.
400 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué2 Dans la section Services, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Pour désactiver les services Compressor : désélectionnez la case Compressor.
• Pour désactiver les services Apple Qmaster : désélectionnez la case Rendu.
3 Cliquez ensuite sur OK.
Activation ou désactivation des services de contrôleur de clusters
Utilisez la zone Services dans la fenêtre Apple Qmaster Sharing de Compressor pour
activer ou désactiver le contrôleur de clusters sur un ordinateur spécifique.
Pour activer les services du contrôleur de clusters
1 Dans Compressor, choisissez Apple Qmaster > Partager cet ordinateur, afin d’ouvrir la
fenêtre Apple Qmaster Sharing.
2 Cochez la case « Partager cet ordinateur », puis sélectionnez l’un des boutons suivants :
• en tant que QuickCluster avec services : sélectionnez cette option pour créer un cluster
« instantanément » avec des services non gérés.
• en tant que contrôleur de services et de clusters : sélectionnez cette option pour constituer
un cluster dans Apple Qadministrator. (Pour en savoir plus, consultez Création de clusters
avec Apple Qadministrator.)
Pour en savoir plus, consultez Comparaison entre services gérés et services non gérés.
3 Dans la zone Services, cochez la case Rendu et/ou Compressor.
4 Cliquez ensuite sur OK.
Le cluster est activé, ce qui fait de cet ordinateur un contrôleur de cluster.
Pour désactiver les services du contrôleur de clusters
1 Dans Compressor, choisissez Apple Qmaster > Partager cet ordinateur, afin d’ouvrir la
fenêtre Apple Qmaster Sharing.
2 Désélectionnez la case « Partager cet ordinateur » et cliquez sur OK.
Important : si vous apportez des modifications aux réglages existants et que cet ordinateur
fournit déjà des services de traitement, le fait de cliquer sur OK réinitialise immédiatement
les services de cet ordinateur. Si cet ordinateur est également contrôleur de clusters,
toutes les tâches en cours sont annulées.
Vous avez également la possibilité de désactiver le contrôleur et faire ainsi de ce nœud
un simple nœud de service. Pour ce faire, sélectionnez « en tant que services uniquement
» dans la section « Partager cet ordinateur ».
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 401Utilisation de clusters virtuels pour tirer le meilleur parti des ordinateurs
multicœurs
Vous pouvez régler le nombre d’instances d’un service de traitement, ce qui revient
essentiellement à créer des clusters virtuelssur des ordinateurs individuels. Pour les tâches
sollicitant considérablement le processeur, l’existence de plusieurs instances peut
augmenter la vitesse et l’efficacité du traitement, en fonction de l’application utilisée.
Cependant, un nombre trop élevé d’instances peut entraîner une réduction de la vitesse
et de l’efficacité.
Un bonne règle générale utilisable pour choisir le nombre d’instances consiste à autoriser
deux Go de mémoire pour chaque instance. Si votre ordinateur dispose de huit Go de
mémoire et propose huit instances dans le menu local, le choix de quatre instances devrait
produire de bons résultats. Ce nombre peut cependant varier considérablement,
notamment si cet ordinateur est également utilisé pour d’autres tâches.
Remarque : par défaut, le système Apple Qmaster crée une instance de service de rendu
par processeur. Les services de rendu sont réservés à Shake (avec Apple Qmaster), Autodesk
Maya et d’autres programmes de ligne de commande UNIX, alors que les services de
Compressor sont uniquement destinés au traitement distribué de Compressor. Consultez
la documentation fournie avec l’application, afin de savoir si l’utilisation individuelle de
chaque processeur constitue la solution idéale.
Pour changer le nombre d’instances de services de traitement sur un ordinateur
1 Dans Compressor, choisissez Apple Qmaster > Partager cet ordinateur.
2 Sélectionnez Compressor ou Rendu dans la section Services, puis cliquez sur le bouton
Options.
3 Dans la zone de dialogue qui apparaît, sélectionnez le nombre d’instances dans le menu
local et cliquez sur OK.
Choisissez le nombre
d’instances dans le
menu local.
4 Cliquez sur OK dans la fenêtre Apple Qmaster Sharing.
Remarque : la zone de dialogue Options des services sert également à ajouter des nœuds
étendus à un cluster, comme expliqué dans le Manuel de l’utilisateur Apple Qmaster.
402 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéConfiguration d’un mot de passe de service pour l’inclusion d’un
ordinateur dans un cluster
Si vous souhaitez contrôler qui est autorisé à ajouter un contrôleur de clusters ou un
nœud de service spécifique à un cluster, vous pouvez créer pour un mot de passe appelé
mot de passe de service pour l’ordinateur concerné.
Remarque : un mot de passe de service peut être stocké dans le trousseau d’un utilisateur.
Pour définir ou modifier un mot de passe de service
1 Sur l’ordinateur désigné comme nœud de service ou contrôleur de clusters, ouvrez
Compressor et choisissez Apple Qmaster > Partager cet ordinateur.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Pour exiger un mot de passe : sélectionner Exiger un mot de passe
• Pour modifier un mot de passe existant : cliquez sur Modifier le mot de passe.
La zone de dialogue Mot de passe apparaît.
3 Saisissez un mot de passe, vérifiez-le, puis cliquez sur OK.
4 Cliquez sur OK dans la fenêtre Apple Qmaster Sharing pour appliquer cette modification.
Important : si vous apportez des modifications aux réglages existants et que cet ordinateur
fournit déjà des services de traitement, le fait de cliquer sur OK réinitialise immédiatement
les services de cet ordinateur. Si cet ordinateur est également contrôleur de clusters,
toutes les tâches en cours sont annulées.
Planification de la disponibilité des services
Si vous avez activé les services non gérés, vous pouvez ouvrir une interface de calendrier
et planifier la disponibilité de ces services pour le système de traitement distribué.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 403L’interface de calendrier affichée dans la zone de dialogue Programmation des tâches
contient plusieurs fonctions très pratiques.
Vous pouvez utiliser les contrôles suivants pour limiter la disponibilité des services non
gérés sur chaque jour de la semaine :
• Menu local Actif/Inactif : Utilisez ce menu local pour activer ou désactiver des services
sur certains jours de la semaine.
• Activé : ce réglage indique que ces services sont disponibles durant les 24 heures
d’un jour donné (il s’agit du réglage par défaut pour les sept jours de la semaine).
• Désactivé : ce réglage indique que ce service est disponible ce jour de la semaine.
• Activé entre : ce réglage vous permet de saisir le créneau horaire pendant lequel le
service est disponible.
• Désactivé entre : ce réglage vous permet de saisir le créneau horaire pendant lequel
le service est indisponible.
• Champ Heure de début : saisissez une heure de début.
• Champ Heure de fin : saisissez une heure de fin.
Planification de la disponibilité des services dans la zone de dialogue Programmation
des tâches
Suivez les étapes décrites ci-après pour programmer la disponibilité des services non
gérés.
Pour planifier la disponibilité des services
1 Dans la zone des réglages de service avancés de la sousfenêtre Avancé de la sous-fenêtre
Préférences Apple Qmaster, cliquez sur Définir.
La zone de dialogue Programmation des tâches apparaît.
404 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué2 Pour limiter la disponibilité des services, choisissez l’une des options proposées par le
menu local affiché en regard d’un jour particulier de la semaine. Pour en savoir plus,
consultez Planification de la disponibilité des services.
3 Saisissez des créneaux horaires de limitation dans les champs Heure de début et Heure
de fin prévus à cet effet.
Remarque : vous devez saisir des jours et heures valides. Une heure indiquée ne doit pas
correspondre au jour suivant l’entrée choisie. Lorsque la plage se termine après minuit,
vous devez configurer deux entrées. Pour en savoir plus, consultez Définition de la
disponibilité entre le dimanche soir et le lundi matin.
4 Cliquez sur OK pour enregistrer les réglages et fermer la zone de dialogue.
5 Cliquez sur OK pour appliquer les modifications à cet ordinateur.
Important : si vous apportez des modifications aux réglages existants et que cet ordinateur
fournit déjà des services de traitement, le fait de cliquer sur OK réinitialise immédiatement
les services de cet ordinateur. Si cet ordinateur est également contrôleur de clusters,
toutes les tâches en cours sont annulées.
Définition de la disponibilité entre le dimanche soir et le lundi matin
Vous devez saisir des jours et heures valides. Une heure indiquée ne doit pas correspondre
au jour suivant l’entrée choisie. Lorsque la plage se termine après minuit, vous devez
configurer deux entrées.
Par exemple, pour régler la disponibilité des services de 18 h 00 le dimanche à 8 h 00 le
lundi, suivez les étapes décrites ci-après.
Pour garantir la disponibilité des services du dimanche soir au lundi matin
µ Effectuez les deux entrées suivantes :
• Dimanche : actif entre 18 h 00 et 24 h 00
• Lundi : actif entre 0 h 00 et 8 h 00
Utilisation du stockage de clusters
Par défaut, le système de traitement distribué Apple Qmaster enregistre les fichiers
temporaires dans le répertoire /Bibliothèque/Application Support/Apple Qmaster/Storage
sur le contrôleur de clusters. Vous avez la possibilité de choisir un autre emplacement
sur un disque local pour ce stockage de travail. Les ordinateurs du cluster accèdent au
besoin à cet emplacement.
Ajustement des réglages de stockage de clusters
Suivez les étapes décrites ci-après pour modifier les réglages liés au stockage de travail
pour un cluster.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 405Pour modifier les réglages liés au stockage de clusters
1 Sur le contrôleur de clusters, ouvrez Compressor et choisissez Apple Qmaster > Partager
cet ordinateur.
2 Cliquez sur Avancé pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante.
3 Configurez les réglages facultatifs suivants :
• Pour modifier l’emplacement du stockage de clusters : cliquez sur le bouton Définir en
regard du champ « Emplacement de stockage », naviguez jusqu’au dossier de votre
choix dans la zone de dialogue, puis cliquez sur Choisir.
Remarque : si vous utilisez le réglage par défaut du menu local Cluster, à savoir Cet
ordinateur, dans la fenêtre Lot de Compressor et que vous choisissez Stockage de
clusters comme destination, le fichier de sortie est copié à l’emplacement Source.
• Pour modifier la fréquence à laquelle les fichiers de stockage de clusters sont
supprimés : saisissez une nouvelle valeur dans le champ « Supprimer les fichiers
antérieurs à N jours ».
Cliquez sur Définir pour ouvrir une
zone de dialogue afin de choisir un
nouveau dossier de stockage.
Saisissez un autre nombre pour
modifier la périodicité de suppression
des fichiers de stockage du cluster.
4 Clique sur OK pour appliquer les modifications.
Important : si vous apportez des modifications aux réglages existants et que cet ordinateur
fournit déjà des services de traitement, le fait de cliquer sur OK réinitialise immédiatement
les services de cet ordinateur. Si cet ordinateur est également contrôleur de clusters,
toutes les tâches en cours sont annulées.
406 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéCapacité de stockage de clusters
Si vous traitez des fichiers de données source volumineux dépassant l’espace de stockage
disponible sur le disque de démarrage, vous risquez de saturer ce disque même si les
fichiers sont destinés à un autre disque. Il existe un certain nombre d’astuces à mettre
en œuvre pour éviter ce cas de figure.
• Changez l’emplacement de stockage de clusters pour un disque disposant de plus
d’espace libre. Pour en savoir plus, consultez Ajustement des réglages de stockage de
clusters.
• Configurez les réglages de stockage de clusters afin de supprimer les fichiers plus
souvent. Pour en savoir plus, consultez Ajustement des réglages de stockage de clusters.
• Les utilisateurs de Compressor peuvent régler les préférences Options de cluster (en
choisissant Compressor > Préférences) sur « Ne jamais copier la source vers le cluster ».
Pour en savoir plus, consultez Configuration des préférences de Compressor.
Nettoyage de l’espace de stockage de cluster
Si une erreur se produit alors que vous utilisez un espace de stockage de cluster, des
fichiers partiels peuvent être conservés à cet emplacement de stockage. Vérifiez qu’aucun
fichier multimédia ne réside à l’emplacement de stockage de cluster désigné. Si vous y
trouvez des fichiers multimédias partiels, supprimez-les et soumettez à nouveau le travail.
Séquences de référence QuickTime
Si vous soumettez une séquence de référence en vue d’un traitement distribué, le système
de traitement distribué Apple Qmaster copie automatiquement les fichiers multimédias
appropriés sur le cluster de traitement. Pour des performances optimales, vous pouvez
éviter ce transfert de fichiers en vous assurant que les fichiers multimédias spécifiés dans
la séquence de référence sont disponibles pour chaque nœud du cluster Apple Qmaster.
Définition de ports pour les annonces de services
La case et les champs « Activer la plage de ports », dans la section Réseau de la sous-fenêtre
Avancé de la fenêtre Apple Qmaster Sharing de Compressor, vous permettent de définir
les ports utilisés par Apple Qmaster pour les annonces de services.
Pour définir des ports pour les annonces de services dans Apple Qmaster
1 Dans Compressor, choisissez Apple Qmaster > Partager cet ordinateur.
2 Cliquez sur Avancé pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante.
3 Sélectionnez « Activer la plage de ports ».
4 Dans le champ De, saisissez un nombre entier compris entre 50 000 et 65 535 pour définir
le début de la plage.
5 Dans le champ « Nombre de ports », entrez la taille de la plage (par exemple, 1 000).
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 407Fonctionnalités de récupération et de notification en cas d’échec
Le système de traitement distribué Apple Qmaster comporte un certain nombre de
fonctionnalités intégrées conçues pour tenter une récupération en cas de problème, ainsi
que pour vous informer si le système tente une récupération.
Fonctionnalités de récupération
Les actions de récupération décrites ci-après sont automatiquement initiées en cas d’échec
dans le système de traitement distribué Apple Qmaster. En tant qu’administrateur, vous
n’avez pas besoin d’activer ou de configurer ces fonctionnalités.
Si un service s’arrête de manière inattendue
Si le service de contrôleur de clusters ou le traitement activé sur un nœud de service
s’arrête de manière inattendue, le système de traitement distribué Apple Qmaster
redémarre ce service. Pour éviter tout risque d’arrêt et de redémarrage incessants, le
système redémarre le service en échec quatre fois, au maximum. Les deux premières fois,
il redémarre le service immédiatement. Si le service s’interrompt brusquement une
troisième ou une quatrième fois, le système ne redémarre ce service que si il a fonctionné
au moins 10 secondes avant de s’arrêter.
Si un lot est interrompu
Lorsqu’un service s’arrête soudainement pendant le traitement d’un lot Apple Qmaster,
le contrôleur de clusters renvoie le lot interrompu de façon à empêcher le retraitement
des éventuels segments du lot terminés avant l’arrêt du service. Le contrôleur de clusters
retarde le renvoi du lot pendant environ une minute à partir de l’instant où il perd le
contact avec le service.
Si un lot échoue
Lorsque le service est en cours d’exécution, mais que le traitement d’un lot échoue, une
exception de service se produit. Dans ce cas, le contrôleur de clusters soumet à nouveau
le lot sans délai. Le contrôleur procède à une nouvelle soumission du lot deux fois, au
maximum. Si la tâche échoue lors du troisième envoi, le système de traitement distribué
arrête le renvoi de la tâche. Dans Share Monitor, l’état de la tâche est réglé sur Échec.
Notification d’échec
Le système de traitement distribué Apple Qmaster dispose de deux moyens différents
pour fournir des informations sur un problème.
Notification par message électronique
Lorsqu’un service de traitement s’arrête de manière inattendue, Apple Qmaster envoie
un message de notification à l’adresse saisie dans la zone de dialogue Préférences de
cluster Apple Qadministrator pour ce cluster. Si aucune adresse n’y a été indiquée, le
courrier électronique est envoyé à l’adresse mentionnée dans les réglages Internet de
l’ordinateur sur lequel le contrôleur de cluster est activé.
408 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéRemarque : Apple Qmaster ne prend pas en charge les serveurs SMTP nécessitant une
authentification.
Fichier journal des tâches ou lots individuels
Si une tâche ou un lot échoue, un fichier journal décrivant cet échec est généré
automatiquement. Pour rechercher le nom et l’emplacement de ce fichier journal via
Share Monitor, sélectionnez le lot ou la tâche, cliquez sur l’icône Afficher les infos, puis
sur le bouton Afficher l’historique.
Étiquettes de notification et de journal
Le tableau ci-dessous dresse la liste des étiquettes de service utilisées dans les notifications
par courrier électronique et les journaux.
Type de service de traitement Étiquette de notification
Service Compressor local servicecontroller:com.apple.stomp.transcoder
Service Compressor distribué servicecontroller:com.apple.stomp.transcoderx
Service Apple Qmaster distribué servicecontroller:com.apple.qmaster.executor
Création de clusters avec Apple Qadministrator
Une fois que vous avez configuré des nœuds de service ou des contrôleurs de clusters,
ils apparaissent dans l’application Apple Qadministrator, que vous utilisez pour créer et
modifier des clusters Apple Qmaster.
La création d’un cluster géré avec Apple Qadministrator se décompose en deux étapes
élémentaires. Tout d’abord, créez un cluster et choisissez le contrôleur de clusters. Ensuite,
ajoutez des nœuds de service au cluster.
• Étape 1 : Création d’un nouveau cluster
• Étape 2 : Affectation de nœuds de service
Étape 1 : Création d’un nouveau cluster
Suivez les étapes décrites ci-après pour créer un cluster avec Apple Qadministrator. Pour
en savoir plus, voir le Manuel de l’utilisateur d’Apple Qadministrator.
Pour créer un nouveau cluster
1 Dans Compressor, choisissez Apple Qmaster > Administrer les clusters, afin d’ouvrir
Apple Qadministrator, puis effectuez les opérations suivantes :
a Cliquez sur le bouton Ajouter (+).
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 409b Sélectionnez « Cluster sans titre » et renommez-le.
… puis renommez le
Cluster sans titre.
Cliquez sur le bouton Ajouter… 2 Dans le menu local Contrôleur, choisissez un contrôleur de clusters dans la liste des
contrôleurs disponibles sur le réseau.
Utilisez ce menu local
pour choisir un
contrôleur de cluster.
Remarque : si vous avez créé un mot de passe pour le contrôleur de clusters dans la
fenêtre Apple Qmaster Sharing, une zone de dialogue d’authentification par mot de passe
apparaît.
3 Vous pouvez également créer des mots de passe de cluster en cliquant sur l’onglet
Sécurité, puis en sélectionnant et en saisissant les mots de passe souhaités.
• Mot de passe administrateur : si vous créez ce mot de passe, les administrateurs doivent
le saisir pour être autorisés à modifier ce cluster et en afficher les lots dans Share Monitor.
• Mot de passe utilisateur : si vous créez ce mot de passe, les utilisateurs doivent le saisir
pour être autorisés à soumettre des lots à ce cluster et afficher ces lots dans Share
Monitor.
Étape 2 : Affectation de nœuds de service
Suivez les étapes décrites ci-après pour affecter des nœuds de service à un cluster.
410 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéPour ajouter un nœud de service à un cluster
1 Si le Navigateur de services Qmaster n’est pas affiché, cliquez sur le triangle d’affichage.
Cliquez sur le triangle
d’affichage pour connaître
les nœuds disponibles.
2 Ajoutez des nœuds de service au nouveau cluster en les faisant glisser depuis la liste
Navigateur de services Qmaster (en bas de la fenêtre) vers la liste des nœuds de service
du cluster.
Si une icône de cadenas verrouillé apparaît en regard du nom d’un ordinateur, cliquez
dessus, puis saisissez le mot de passe qui lui a été affecté dans la fenêtre Apple Qmaster
Sharing de Compressor. Dans le cas contraire, vous ne pouvez pas faire glisser ce nœud
de services dans le cluster.
Les nœuds de service qui sont déjà affectés à un autre cluster ne sont pas affichés.
Faites glisser sur cette
liste les nœuds de
la liste Navigateur
de services.
Cliquer sur ce triangle d’affichage permet
de retrouver chaque instance des services
définis dans la fenêtre Partage d’Apple
Qmaster pour le nœud en question.
Remarque : les noms des ordinateurs apparaissant en haut des colonnes Nom peuvent
s’afficher selon trois formats, en fonction de votre configuration : le nom d’ordinateur
(par exemple, nœud Lemur), le nom de mise en réseau Apple (par exemple,
nœud-Lemur.local) ou l’adresse réseau de l’ordinateur (par exemple
02030b-dhcp45.entreprise.com).
3 Lorsque vous avez terminé d’ajouter des nœuds de service, cliquez sur Appliquer.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 411Le cluster est désormais prêt à traiter des lots.
Remarque : même si Apple Qadministrator vous permet de créer un cluster avec des
services non gérés, les clusters valides requièrent au moins un service géré pour pouvoir
être affichés dans Apple Qmaster, Compressor ou Share Monitor.
Configuration d’un système de traitement distribué à temps
partiel avec Shake
Si vous ne pouvez pas consolider tous les fichiers source nécessaires (scripts Shake, fichiers
de données, etc.) sur un volume de stockage à un seul cluster, suivez les instructions
ci-dessous.
• Étape 1 : Désactivation du réglage UNC de Shake
• Étape 2 : Activation du partage de fichiers personnels
• Étape 3 : Montage des volumes de stockage de données
• Étape 4 : Soumission de tâches de traitement dans l’exemple de configuration de
traitement distribué à temps partiel
• Étape 5 : Spécification de l’emplacement des fichiers de données et des scripts
Étape 1 : Désactivation du réglage UNC de Shake
Pour que le partage et le montage des volumes fonctionnent plus facilement dans cette
configuration, vous devez désactiver le réglage UNC de Shake sur chaque ordinateur. Le
réglage UNC force la mention de l’adresse réseau dans le chemin d’accès complet des
fichiers, en respectant une convention qui commence par //nom de l’ordinateur/nom du
lecteur/chemin. Vous ne souhaitez pas que Shake utilise cette convention, car elle entre
en conflit avec le partage de fichiers et le montage des volumes utilisés dans cette
configuration.
Remarque : tous les volumes de données doivent avoir le même nom.
Dans les trois étapes ci-après, vous apportez cette modification dans un fichier .h de
démarrage de Shake. Comme la documentation de Shake vous l’explique, les fichiers .h
de démarrage situés dans le répertoire startup servent à personnaliser les réglages Shake
(de la même façon que les préférences).
Pour désactiver le réglage UNC, effectuez les opérations suivantes sur chaque ordinateur
1 Connectez-vous sous le nom de l’utilisateur qui emploiera Shake sur l’ordinateur.
2 Double-cliquez sur l’icône Terminal située dans le dossier /Applications/Utilitaires/ pour
ouvrir une fenêtre Terminal.
3 Saisissez ces deux lignes de commande dans la fenêtre Terminal, en appuyant sur Retour
après chacune :
412 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuémkdir -p ~/nreal/include/startup/
echo ’script.uncFileNames = 0;’ > ~/nreal/include/startup/UNC_off.h
Étape 2 : Activation du partage de fichiers personnels
Sur chaque ordinateur, activez l’option « Partage de fichiers personnels », ce qui permet
à tous les ordinateurs de partager des volumes de données.
Pour activer le partage de fichiers personnels
1 Ouvrez les Préférences Système.
2 Cliquez sur Partage.
3 Cochez la case Partage de fichiers.
Étape 3 : Montage des volumes de stockage de données
Suivez les instructions ci-dessous pour que tous les ordinateurs du cluster montent tous
les volumes de données compris dans ce cluster.
Pour monter les volumes de stockage de données
1 Sur chaque ordinateur, connectez-vous en tant qu’administrateur (le premier compte
utilisateur que vous créez lorsque vous configurez Mac OS X est un compte administrateur).
2 Sur chaque ordinateur du groupe, utilisez la commande « Se connecter au serveur » du
menu Aller dans le Finder, afin de monter chaque volume de données.
3 Saisissez le nom d’un autre ordinateur dans la zone de dialogue Connexion au serveur.
4 Sélectionnez le volume de données associé pour le monter.
5 Répétez les étapes 1 à 4 jusqu’à ce que tous les ordinateurs aient monté tous les volumes
de données du cluster.
Étape 4 : Soumission de tâches de traitement dans l’exemple de
configuration de traitement distribué à temps partiel
Après avoir terminé le Étape 3 : Montage des volumes de stockage de données, chacun
de ces ordinateurs peut être utilisé pour soumettre des tâches pour le traitement distribué.
Grâce à la méthode utilisée pour configurer les accès dans la procédure Configuration
d’un système de traitement distribué à temps partiel avec Shake, tous les chemins d’accès
des fichiers sont cohérents et simples lorsqu’il s’agit de les spécifier dans Compressor,
dans les scripts Shake et dans Apple Qmaster, sous réserve que :
• Les utilisateurs placent les données source sur un volume monté (l’un des lecteurs
FireWire).
• Les utilisateurs placent les scripts Shake sur un volume de données monté.
Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribué 413• Tous les dossiers et les fichiers situés sur les volumes de données partagés sont
accessibles à tous (Propriétaire, Groupe et Autres) en lecture et en écriture. Vous pouvez
configurer ce réglage d’accès en sélectionnant le dossier ou le fichier et en choisissant
Fichier > Lire les informations.
Ces trois critères sont importants, car ils garantissent que tous les ordinateurs disposent
d’un accès en lecture et en écriture sur tous les fichiers source et toutes les destinations
de sortie.
Étape 5 : Spécification de l’emplacement des fichiers de données et des
scripts
Les règles de configuration supplémentaires suivantes s’appliquent à toute personne qui
utilise Shake (ou toute autre application de rendu basée sur UNIX) :
• Spécification des emplacements des fichiers de données dans les scripts Shake : lorsque
vous suivez les étapes décrites dans la procédure Configuration d’un système de
traitement distribué à temps partiel avec Shake, tous les scripts de rendu Shake doivent
préciser les emplacements de leurs données source (Entrée des fichiers) et leurs
destinations de sortie (Sortie des fichiers) selon le format suivant : /Volumes/nom du
disque de données/ (par exemple, /Volumes/Données3/).
• Spécification des emplacements des scripts Shake dans Apple Qmaster : lorsque vous
suivez les étapes décrites dans la procédure Configuration d’un système de traitement
distribué à temps partiel avec Shake, tous les emplacements de script Shake doivent
être indiqués dans Apple Qmaster sous la forme suivante :
/Volumes/NomDisqueDonnées/NomFichierScript (par exemple,
/Volumes/Données3/Script.shk).
414 Chapitre 29 Apple Qmaster et le traitement distribuéLes raccourcis clavier de Compressor vous permettent d’optimiser votre efficacité au
cours de son utilisation.
Cet appendice traite des sujets suivants :
• Raccourcis clavier généraux de Compressor (p 415)
• Raccourcis clavier de la fenêtre Aperçu (p 416)
Raccourcis clavier généraux de Compressor
Raccourci Clavier Fonction
passe la fenêtre Historique au premier plan.
1
passe la fenêtre Aperçu au premier plan.
2
passe l’onglet Réglages au premier plan.
3
passe l’onglet Destinations au premier plan.
4
ferme la fenêtre actuelle.
shift W
affiche/masque la barre d’outils de la fenêtre Lot.
option T
retourne à la présentation d’origine de la fenêtre.
shift control U
ouvre la fenêtre Préférences.
,
crée un nouveau lot. Le sélecteur de modèles de lot s’affiche sauf
s’il a été désactivé.
N
crée un nouveau lot et affiche le sélecteur de modèles de lot même
s’il a été désactivé.
shift N
enregistre le lot actuel.
S
enregistre le lot actuel comme nouveau lot.
shift S
415
Raccourcis clavier
A AnnexeRaccourci Clavier Fonction
ouvre un lot enregistré.
O
ferme l’onglet du lot actuel.
W
enregistre le lot actuel comme un nouveau modèle.
option S
importe une ressource source pour créer une nouvelle tâche dans
le lot.
I
ouvre une zone de dialogue pour remplacer la source de la tâche
actuelle.
shift I
crée une nouvelle tâche de groupe de son Surround dans le lot.
control I
crée une nouvelle tâche de séquence d’images dans le lot.
option I
envoie un lot à partir d’une Droplet ouverte.
return
supprime un élément sélectionné de la fenêtre Lot, Aperçu ou
Destinations.
delete
permet de se déplacer vers le haut dans les listes Lot, Destinations,
Réglages et Filtres.
permet de se déplacer vers le bas dans les listes Lot, Destinations,
Réglages et Filtres.
permet de passer d’un champ de texte à un autre dans toutes les
sous-fenêtres.
tab
ouvre la zone de dialogue « Monter le stockage du cluster ».
shift M
ouvre l’Aide Compressor.
shift
?
Raccourcis clavier de la fenêtre Aperçu
Raccourci Clavier Fonction
démarre une animation arrière rapide.
J
démarre une animation avant rapide.
G
lecture arrière du plan image par image.
lecture avant du plan image par image.
démarre ou arrête la lecture d’un plan.
space
416 Annexe A Raccourcis clavierRaccourci Clavier Fonction
ajoute ou supprime un marqueur.
M
lorsque la tête de lecture est positionnée sur un marqueur, ouvre
la zone de dialogue Modifier marqueur.
E
définit un point d’entrée pour le plan.
I
définit un point de sortie pour le plan.
O
Annexe A Raccourcis clavier 417Si vous rencontrez des problèmes lors de l’utilisation de Compressor, recherchez ici la
réponse à vos questions.
Cet appendice traite des sujets suivants :
• Ressources pour la résolution des problèmes (p 419)
• Solutions aux problèmes courants (p 419)
• Contacter l’assistance AppleCare (p 421)
Ressources pour la résolution des problèmes
Si vous rencontrez des problèmes lors de l’utilisation de Compressor, vous disposez de
plusieurs ressources pour y remédier.
• Cette annexe : la présente annexe comporte des informations sur quelques-uns des
problèmes les plus fréquents rencontrés par les utilisateurs.
• Notes commerciales : ce document, disponible dans le menu Aide, fournit des
informations de dernière minute qu’il n’a pas été possible de faire figurer dans le manuel.
Consultez ce document dès l’installation ou la mise à jour de Compressor.
• Base de données « AppleCare Knowledge Base » : AppleCare offre une base de données
sur la résolution de problèmes courants, régulièrement mise à jour et enrichie pour
tenir compte des nouveaux problèmes dès leur apparition. Cette base de données
gratuite constitue une excellente ressource pour les utilisateurs de Compressor. Pour
accéder à cette base d’informations techniques AppleCare, visitez la page d’assistance
AppleCare à l’adresse suivante : http://www.apple.com/fr/support.
• Assistance AppleCare : les utilisateurs de Compressor disposent de plusieurs options
d’assistance. Pour en savoir plus, consultez le guide d’assistance et de service Apple
fourni avec la documentation de Compressor.
Solutions aux problèmes courants
Les conseils suivants permettent de résoudre quelques-uns des problèmes courants.
419
Résolution des problèmes
B AnnexeSéquences de référence QuickTime
Si vous soumettez une séquence de référence en vue d’un traitement distribué, le système
de traitement distribué Apple Qmaster va copier automatiquement les fichiers multimédias
appropriés sur le cluster de traitement. Pour des performances optimales, vous pouvez
éviter ce transfert de fichiers en vous assurant que les fichiers multimédias spécifiés dans
la séquence de référence sont disponibles pour chaque nœud du cluster Apple Qmaster.
For more information, see Distribution des lots par le système Apple Qmaster.
Réglages de cluster pour les sessions de transcodage étendu
Si vous prévoyez une session de transcodage d’au moins sept jours, vous devez effectuer
un réglage dans la section Avancé de la sous-fenêtre des préférences Apple Qmaster. Par
défaut, les fichiers de traitement temporaires peuvent être conservés pendant sept jours
dans l’emplacement de stockage temporaire avant d’être supprimés automatiquement.
Vous pouvez augmenter cette valeur (nombre de jours) dans la fenêtre Apple Qmaster
Sharing de Compressor.
Nettoyage de l’espace de stockage de cluster
Si une erreur se produit alors que vous utilisez un espace de stockage de cluster, des
fichiers partiels peuvent être conservés à cet emplacement de stockage. Vérifiez qu’aucun
fichier multimédia ne réside à l’emplacement de stockage de cluster désigné. Si vous y
trouvez des fichiers multimédias partiels, supprimez-les et soumettez à nouveau le travail.
Utilisation d’Apple Qmaster avec un serveur NFS
Par défaut, Apple Qmaster utilise /etc/exports pour définir son exportation de stockage
de clusters. Ceci peut provoquer un conflit si vous avez défini une exportation NFS dans
votre base de données NetInfo locale. Lorsque vous activez un contrôleur à l’aide
d’Apple Qmaster 2 ou ultérieur, ce logiciel utilise /etc/exports et non pas les
enregistrements de votre base de données NetInfo. Pour éviter ce problème, déplacez
les exportations vers /etc/exports ou le contrôleur vers un ordinateur qui n’effectue pas
d’exportations.
Traitement distribué Apple Qmaster et Xsan
Voici quelques conseils sur l’utilisation du système de traitement distribué Apple Qmaster
avec Xsan.
Redémarrage d’Apple Qmaster et de Xsan
L’utilisation de versions précédentes du traitement distribué Apple Qmaster sur un système
Xsan peut entraîner des problèmes de montage au redémarrage d’un contrôleur de
clusters de traitement distribué Apple Qmaster.
Redémarrez les ordinateurs Apple Qmaster et Xsan dans l’ordre suivant :
1 Désactivez le contrôleur de clusters en désélectionnant « Partager cet ordinateur » et en
cliquant sur OK dans la fenêtre Apple Qmaster Sharing que vous avez ouverte en
choisissant Partager cet ordinateur dans le menu Apple Qmaster de Compressor.
420 Annexe B Résolution des problèmes2 Redémarrez l’ordinateur contrôleur de cluster Apple Qmaster.
3 Attendez que le volume Xsan soit monté.
4 Sélectionnez Partager cet ordinateur, choisissez « en tant que QuickCluster avec services
» ou « en tant que contrôleur de services et de cluster », puis cliquez sur OK dans la fenêtre
Apple Qmaster Sharing pour redémarrer le contrôleur.
Compatibilité Xsan
Xsan 1.3 n’est pas compatible avec Compressor et le système de traitement distribué
Apple Qmaster lorsque des disques de données Xsan sont utilisés pour le stockage de
cluster (de travail). Pour pouvoir utiliser Xsan avec Apple Qmaster 2.3, optez pour Xsan
1.4.
Pour télécharger Xsan 1.4 et l’installer
µ Allez à http://www.apple.com/fr/support/xsan.
L’utilisation de la ligne de commande de Compressor requiert l’ouverture
d’une session
Bien que la ligne de commande permette d’exécuter un réseau de traitement distribué
Apple Qmaster, chaque nœud du service Compressor (c’est-à-dire chaque ordinateur
fournissant des services Compressor de traitement distribué) doit avoir ouvert une session
avec un nom d’utilisateur et un mot de passe Mac OS X pour bénéficier de toutes les
fonctionnalités qu’offre ce système.
Contacter l’assistance AppleCare
Des informations concernant les options d’assistance Apple proposées sont disponibles
sur le site d’assistance AppleCare, à l’adresse suivante :
http://www.apple.com/fr/support/Compressor.
Quel que soit votre problème, il est toujours utile de disposer immédiatement des
informations correspondantes disponibles lorsque vous contactez l’assistance Apple. Plus
vous avez d’informations à communiquer aux techniciens, plus vite ils seront en mesure
de résoudre votre problème.
• Détail des étapes exactes précédant le moment où le problème s’est produit. Il est
important de fournir des instructions détaillées pour aider les conseillers à comprendre
et reproduire les difficultés que vous rencontrez. Veillez à inclure le texte exact de tous
les messages d’alerte qui se sont affichés.
• La version de Mac OS X installée. Pour accéder à ces informations, choisissez « À propos
de ce Mac » dans le menu Pomme.
• La version de Compressor installée, en tenant compte, le cas échéant, des mises à jour.
Consultez le numéro de version en choisissant l’option Compressor > À propos de
Compressor.
Annexe B Résolution des problèmes 421• Le modèle d’ordinateur utilisé.
• La quantité de mémoire RAM installée sur votre ordinateur et celle disponible pour
Compressor. Vous pouvez connaître la quantité de mémoire RAM installée en choisissant
« À propos de ce Mac ».
• Le format et les spécifications des fichiers multimédias (vidéo, audio ou photo) avec
lesquels vous travaillez (s’ils sont disponibles).
• Le matériel tiers connecté à l’ordinateur ou installé, ainsi que son fabricant. Il peut s’agir
de disques durs, cartes graphiques, etc.
• Modules de tierce partie ou autres logiciels installés avec Compressor.
• Lorsque vous vous adressez à l’assistance, ayez à portée de main le numéro de série
de votre ordinateur ; le conseiller assistance en a besoin pour visualiser le profil de votre
système. Pour accéder à ces informations, choisissez « À propos de ce Mac » dans le
menu Pomme, puis cliquez sur Plus d’infos. Choisissez Envoyer à Apple dans le menu
Fichier d’Informations système pour que ces informations parviennent à Apple.
L’assistance AppleCare est accessible en ligne à l’adresse
http://www.apple.com/fr/support/Compressor.
Le menu Aide contient également une option qui vous permet d’accéder directement
au site web d’AppleCare.
Pour accéder au site web d’AppleCare à partir de Compressor
µ Choisissez Aide > Assistance et service.
422 Annexe B Résolution des problèmesSi vous êtes habitué à effectuer votre travail à partir de shells Terminal et avez besoin (ou
préférez) exécuter Compressor à partir de la ligne de commande avec une utilisation
minimale des interfaces d’application, cette annexe vous est destinée.
Cet appendice traite des sujets suivants :
• Commandes de shell pour l’envoi de tâches Compressor (p 423)
Commandes de shell pour l’envoi de tâches Compressor
Vous pouvez exécuter l’application Compressor à partir de la ligne de commande en
tapant Compressor, avec un certain nombre d’options de ligne de commande pour
soumettre les tâches.
Dans les descriptions de ligne de commande ci-dessous, les crochets < > indiquent un
argument obligatoire dans une commande et les crochets [ ] indiquent un argument
facultatif.
Vue d’ensemble
Voici une vue d’ensemble de la commande permettant d’envoyer une tâche à un cluster.
La commande Compressor se trouve dans
/Applications/Compressor.app/Contents/MacOS/.
Compressor [-clustername ][-clusterid
] [-batchfilepath ] [-batchname
] [-priority ] [-jobpath ] [-settingpath ]
[-destinationpath ] [-info ] [-timeout ] [-help] [-show]
Dans cet exemple, il est possible de répéter -jobpath, -settingpath et -destinationpath
autant de fois que nécessaire dans cet ordre, selon le nombre de tâches à soumettre.
Remarque : les options ne sont pas toutes nécessaires. Vous pouvez, par exemple, indiquer
le cluster par son nom (-clustername) ou par son identifiant (-clusterid). Vous n’avez
pas besoin d’indiquer les deux. Dans le cas où les deux valeurs sont indiquées, seul
-clusterid est utilisé.
423
Utilisation de la ligne de
commande C AnnexeDe plus, si vous indiquez une valeur -batchfilepath, les valeurs -jobpath, -settingpath
et -destinationpath ne sont alors pas nécessaires car le fichier de lot précédemment
enregistré contient déjà les informations concernant la tâche, les réglages et la destination.
Exemple de valeur -batchfilepath :
Compressor -clustername "This Computer" -batchfilepath
"/Volumes/Hermione/SavedCompressorBatches/FreeChampagne.Compressor"
Une fois que la tâche a été envoyée, cette commande affiche l’identifiant (ID) du lot et
celui de la tâche dans le shell. Vous pouvez surveiller la progression des lots dans Share
Monitor.
Options de commande
Ce tableau contient des informations sur chacune des options de commande pour l’envoi
de tâches.
Option de commande d’envoi Description
Utilisez-la pour spécifier le nom du cluster auquel vous souhaitez
envoyer le travail. Avec le nom du cluster, Compressor recherche
le cluster sur le réseau afin de l’utiliser.
-clustername
Mot de passe utilisateur pour le cluster spécifié par son identifiant
-clusterid ou son nom -clustername.
-password
Utilisez-le pour donner un nom au lot, afin de pouvoir le reconnaître
facilement dans Share Monitor.
-batchname
Vous pouvez aussi utiliser -clusterid pour saisir l’identifiant
(adresse IP) et le numéro de port du cluster plutôt que son nom
-clustername. (La saisie de l’identifiant et du numéro de port du
cluster permet de le retrouver plus rapidement sur le réseau.)
Indiquez l’adresse IP et le port comme suit :
"tcp://:"
Si votre cluster requiert également un mot de passe, vous devez
fournir un mot de passe configuré pour QuickClusters dans la fenêtre
Apple Qmaster Sharing de Compressor ou, pour les clusters créés
manuellement, dans Apple Qadministrator. Le format à utiliser est
le suivant : -clusterid
[nom_utilisateur:mot_de_passe]@:.
Le nom d’utilisateur n’étant pas vérifié, il peut s’agir d’un nom
quelconque, tandis que le mot de passe doit être valide. Vous
pouvez également utiliser -password avec -clusterid comme
suit :
-clusterid @: -password
Utilisez Compressor -show pour afficher l’adresse
IP et le numéro de port d’un cluster (clusterid).
-clusterid
-priority Spécifie le niveau de priorité d’un travail.
-jobpath Spécifie l’emplacement du fichier source.
424 Annexe C Utilisation de la ligne de commandeOption de commande d’envoi Description
-settingpath Spécifie l’emplacement des réglages pour le travail.
-destinationpath Spécifie l’URL du fichier de destination pour le travail.
-info Fournit des informations détaillées pour un lot ou un travail.
Utilisez cette commande pour spécifier le nombre de secondes
avant que Compressor n’interrompe la recherche d’un cluster. La
valeur par défaut est 30. Une valeur de 0 signifie qu’il n’y a pas de
limite d’expiration. Compressor peut alors explorer le réseau aussi
longtemps que nécessaire pour trouver le cluster.
-timeout
Affiche les informations relatives à l’identification du cluster spécifié
avec -clustername ou -clusterid ou celles qui concernent
tous les clusters si aucun d’entre eux n’est spécifié.
-show
Affiche les informations relatives aux paramètres obligatoires de la
commande Compressor.
-help
Exemple de commandes Compressor
Voici quelques exemples de codes pour la soumission de commandes Compressor
courantes.
Noms et identifiants des cluster d’un réseau local
La commande suivante répertorie tous les noms et identifiants des clusters présents sur
le réseau local.
/Applications/Compressor.app/Contents/MacOS/Compressor -show -timeout 10
Cette commande comporte les éléments suivants :
• Identifie l’emplacement de Compressor (les guillemets sont utilisés en raison de l’espace
dans « Final Cut Pro »).
• Affiche tous les noms et identifiants de cluster recherchés.
• Règle la commande pour une expiration après dix secondes.
Soumettre une tâche sans mot de passe
La commande suivante soumet une tâche à un cluster identifié par un nom sans mot de
passe.
/Applications/Compressor.app/Contents/MacOS/Compressor -clustername MyCluster
-batchname "My First Batch" -jobpath ~/Movies/MySource.mov -settingpath
~/Library/Application\ Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting
-destinationpath ~/Movies/MyOutput.mp4 -timeout 5
Cette commande comporte les éléments suivants :
• Indique l’emplacement de Compressor.
• Envoie cette tâche au cluster dénommé MonCluster.
Annexe C Utilisation de la ligne de commande 425• Attribue le nom de lot « Mon premier lot » (les guillemets sont utilisés en raison de la
présence d’espaces).
• Recherche le fichier MaSource.mov pour la tâche dans ~/Movies/MaSource.mov.
• Utilise le réglage MPEG-4 dans ~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting (le caractère « \ » est utilisé dans ce cas
pour maintenir l’espace dans « Application Support »).
• Écrit le fichier de sortie, dénommé MonRésultat.mp4 dans le dossier ~/Movies.
• Règle la commande pour une expiration après cinq secondes de recherche du cluster.
Soumettre une tâche avec un mot de passe
La commande suivante soumet une tâche à un cluster identifié par un nom et un mot
de passe.
/Applications/Compressor.app/Contents/MacOS/Compressor -clustername MyCluster
-password testpassword -batchname "My First Batch" -jobpath
~/Movies/MySource.mov -settingpath ~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting -destinationpath
~/Movies/MyOutput.mp4 -timeout 5
Cette commande comporte les éléments suivants :
• Indique l’emplacement de Compressor.
• Envoie cette tâche au cluster dénommé MonCluster.
• Soumet le mot de passe « motdepassetest ».
• Attribue le nom de lot Mon premier lot.
• Recherche le fichier MaSource.mov pour la tâche dans ~/Movies/MaSource.mov.
• Utilise le réglage MPEG-4 dans ~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting.
• Écrit le fichier de sortie, dénommé MonRésultat.mp4 dans le dossier ~/Movies.
• Règle la commande pour une expiration après cinq secondes de recherche du cluster.
Soumettre une tâche à l’aide d’un identifiant de cluster sans mot de passe
La commande suivante soumet une tâche à un cluster identifié par une adresse IP sans
mot de passe.
/Applications/Compressor.app/Contents/MacOS/Compressor -clusterid
"tcp://192.168.1.148:62995" -batchname "My First Batch" -jobpath
~/Movies/MySource.mov -settingpath ~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting -destinationpath
~/Movies/MyOutput.mp4 -timeout 5
Cette commande comporte les éléments suivants :
• Indique l’emplacement de Compressor.
426 Annexe C Utilisation de la ligne de commande• Envoie cette tâche au cluster correspondant à l’adresse IP : tcp://192.168.1.148, port
62995.
• Attribue le nom de lot Mon premier lot.
• Recherche le fichier MaSource.mov pour la tâche dans ~/Movies/MaSource.mov.
• Utilise le réglage MPEG-4 dans ~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting.
• Écrit le fichier de sortie, dénommé MonRésultat.mp4 dans le dossier ~/Movies.
• Règle la commande pour une expiration après cinq secondes de recherche du cluster.
Soumettre une tâche à l’aide d’un identifiant de cluster et un mot de passe en ligne
La commande suivante soumet une tâche à un cluster identifié par une adresse IP, avec
un nom d’utilisateur et un mot de passe en ligne.
/Applications/Compressor.app/Contents/MacOS/Compressor -clusterid
"tcp://username:testpassword@192.168.1.148:62995" -batchname "My First Batch"
-jobpath ~/Movies/MySource.mov -settingpath ~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting -destinationpath
~/Movies/MyOutput.mp4 -timeout 5
Cette commande comporte les éléments suivants :
• Indique l’emplacement de Compressor.
• Envoie cette tâche en tant que « nom_utilisateur » avec le mot de passe «
motdepassetest» au cluster situé à l’adresse IP : tcp://192.168.1.148, port 62995.
• Attribue le nom de lot Mon premier lot.
• Recherche le fichier MaSource.mov pour la tâche dans ~/Movies/MaSource.mov.
• Utilise le réglage MPEG-4 dans ~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting.
• Écrit le fichier de sortie, dénommé MonRésultat.mp4 dans le dossier ~/Movies.
• Règle la commande pour une expiration après cinq secondes de recherche du cluster.
Soumettre une tâche à l’aide d’un identifiant et d’un mot de passe de cluster
La commande suivante soumet une tâche à un cluster identifié par une adresse IP avec
un mot de passe, mais ne spécifie pas de nom d’utilisateur.
/Applications/Compressor.app/Contents/MacOS/Compressor -clusterid
"tcp://192.168.1.148:62995" -password testpassword -batchname "My First
Batch" -jobpath ~/Movies/MySource.mov -settingpath ~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting -destinationpath
~/Movies/MyOutput.mp4 -timeout 5
Cette commande comporte les éléments suivants :
• Indique l’emplacement de Compressor.
Annexe C Utilisation de la ligne de commande 427• Envoie cette tâche au cluster dont l’adresse IP est : tcp://192.168.1.148, port 62995 avec
le mot de passe « motdepassetest ».
• Attribue le nom de lot Mon premier lot.
• Recherche le fichier MaSource.mov pour la tâche dans ~/Movies/MaSource.mov.
• Utilise le réglage MPEG-4 dans ~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting.
• Écrit le fichier de sortie, dénommé MonRésultat.mp4 dans le dossier ~/Movies.
• Règle la commande pour une expiration après cinq secondes de recherche du cluster.
428 Annexe C Utilisation de la ligne de commande
MainStage 2
Manuel de l’utilisateurCopyright © 2011 Apple Inc. Tous droits réservés.
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reproduire cette publication à desfins d’apprentissage de
l’utilisation du logiciel. Aucune partie de cette publication
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commerciales, comme la vente d’exemplaires de cette
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Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux
États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple
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que lesinformations contenues dans ce manuelsoient les
plus exactes possibles. Apple n’est pas responsable des
erreurs d’écriture et d’impression.
Remarque : Apple proposant régulièrement de nouvelles
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Apple, le logo Apple, Finder, FireWire, GarageBand, Logic,
Mac, MainStage, Time Machine et Ultrabeat sont des
marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans
d’autres pays.
Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp.
déposées aux États-Unis et dans d’autres pays.
Les autres noms de sociétés ou de produits mentionnés
ici sont des marques de leurs détenteurs respectifs. La
mention de produits tiers n’est effectuée qu’à des fins
informatives et ne constitue en aucun cas une approbation
ni une recommandation. Apple n’assume aucune
responsabilité vis-à-vis des performances ou de l’utilisation
de ces produits.Préface 7 Bienvenue dans MainStage
7 À propos de MainStage
8 À propos de la documentation de MainStage
8 Ressources supplémentaires
Chapitre 1 11 Présentation de MainStage
11 Qu’est-ce que MainStage ?
13 Utilisation de MainStage avec des contrôleurs de clavier
13 Utilisation de MainStage avec des guitares électriques
13 Utilisation de MainStage avec des voix, des percussions et d’autres instruments
14 Utilisation de MainStage dans votre configuration musicale
16 Utilisation de MainStage lors de représentation en direct
Chapitre 2 17 Configuration de votre système
18 Utilisation de matériels MIDI avec MainStage
19 Utilisation de matériels audio avec MainStage
19 Utilisation de modules d’effets avec MainStage
20 Utilisation de MainStage avec Time Machine
Chapitre 3 21 Interface MainStage
22 Fenêtre MainStage
23 Mode Layout
25 Mode Édition
26 Mode Exécution
27 Personnalisation de la fenêtre MainStage
Chapitre 4 31 Premiers contacts avec MainStage
31 Avant de commencer
32 Ouverture de MainStage
32 Choix d’un modèle de concert
34 Sélection des réglages de patch dans la bibliothèque de patchs
34 Ajout de patchs
35 Attribution d’un nom à un patch
36 Sélection et lecture de patchs
3
Sommaire37 Ajout d’une tranche de console
39 Modification d’un réglage de tranche de console
40 Présentation de l’assignation de contrôleur
42 Mappage d’un contrôle d’écran
42 Familiarisation avec le mode Exécution
Chapitre 5 45 Utilisation du mode Édition
45 Utilisation de patchs en mode Édition
53 Utilisation de tranches de console en mode Édition
78 Utilisation de modules en mode Édition
82 Mappage de contrôles d’écran
91 Modification des paramètres de contrôle d’écran en mode Édition
97 Utilisation de l’onglet Assignations et mappages
99 Utilisation de sets en mode Édition
102 Manipulations par set
103 Partage de patchs et de sets entre concerts
104 Enregistrement de la sortie audio d’un concert
Chapitre 6 105 Utilisation de concerts
106 Ouverture et fermeture de concerts
107 Enregistrement de concert
108 Conséquences de l’enregistrement sur les valeurs des paramètres
109 Définition de la signature temporelle pour un concert
109 Utilisation du Tempo dans un concert MainStage
111 Définition de la source des messages de changement de programme pour un concert
111 Définition du Pan Law pour un concert
112 Changement de l’accord pour un concert
112 Notes MIDI en muet
113 Désactivation du son de la sortie audio
114 Manipulations par concert
121 Contrôle du métronome
Chapitre 7 123 Utilisation du mode Layout
124 Modification de la layout d’un concert
124 Utilisation des contrôles d’écran
136 Assignation de contrôles matériels à des contrôles d’écran
138 Modification des paramètres des contrôles d’écran
144 Transition de messages dans le canal MIDI Thru avec MainStage
145 Exportation d’une layout
145 Importation d’une layout
146 Modification des proportions d’une layout
4 SommaireChapitre 8 147 Lecture audio dans MainStage
147 Ajout d’un module Playback
152 Utilisation du module Playback
Chapitre 9 155 Représentation en direct avec MainStage
155 Avant de commencer à jouer
156 Utilisation du mode Exécution
157 Sélection de patchs pendant la représentation
158 Utilisation des contrôles d’écran pendant l’interprétation
159 Gestion des changements de tempo pendant l’interprétation
159 Conseils pour l’utilisation de contrôleurs de clavier
159 Conseils pour l’utilisation de guitares et autres instruments
160 Utilisation du syntoniseur
162 Utilisation du module Playback en représentation
163 Enregistrement de vos représentations
163 Après la représentation
164 Conseils pour la configuration complexe de matériel
Chapitre 10 165 Raccourcis clavier
165 Utilisation de l’éditeur de raccourcis clavier
166 Raccourcis clavier par défaut de MainStage
Annexe A 171 Module Playback
172 Présentation de l’interface Playback
173 Utilisation de l’affichage de l’onde de forme dans Playback
174 Utilisation des commandes de transport et de fonction de Playback
176 Utilisation de l’affichage des informations dans Playback
177 Utilisation des paramètres Synchro, Caler à et Lire à partir de dans Playback
178 Utilisation des fonctions Grouper dans Playback
179 Utilisation du menu Action et du champ Fichier de Playback
180 Utilisation du menu contextuel dans Playback
Annexe B 181 Module Loopback
182 Présentation de l’interface Loopback
183 Utilisation de l’affichage de l’onde de forme dans Loopback
183 Utilisation des commandes de transport et de fonction de Loopback
185 Utilisation de l’affichage des informations dans Loopback
186 Utilisation des paramètres Synchro, Caler à et Lire depuis dans Loopback
186 Utilisation des fonctions de groupe dans Loopback
188 Utilisation du menu Action dans Loopback
189 Ajout du module Loopback à une tranche de console
Sommaire 5Annexe C 191 Définition des préférences MainStage
191 Préférences générales
193 Préférences Audio
194 Préférences MIDI
195 Préférences d’affichage
Annexe D 197 Utilisation des actions MainStage
197 Tableau des actions
6 SommaireMainStage transforme votre ordinateur en un instrument de musique puissant et
personnalisable et en un outil de traitement d’effets que vous pouvez utiliser avec votre
matériel musical (vos instruments, vos microphones, contrôleurs et autres équipements)
pour vous produire en concert.
Cette préface traite des sujets suivants :
• À propos de MainStage (p 7)
• À propos de la documentation de MainStage (p 8)
• Ressources supplémentaires (p 8)
À propos de MainStage
MainStage donne aux musiciens spécialistes des représentations la puissance et la
souplesse de Logic Pro dans une application optimisée pour les représentations live. Que
voussoyez pianiste, guitariste, chanteur, batteur ou que vousjouiez d’un autre instrument,
vous pouvez utiliser MainStage au sein de l’installation de vos représentations live.
Avec MainStage, vous pouvez notamment :
• Créer dessons personnalisés à l’aide des nombreux instrumentslogiciels et effetsinclus.
Vous pouvez également utiliser des modules tiers, des applications ReWire et des
modules son externes.
• Organiser vos sons pour un accès rapide lorsque vous vous représentez.
• Créer une configuration adaptée à vos appareils matériels afin de placer les commandes
à portée de main.
• Connecter les appareils MIDI à votre concert MainStage pour que vous puissiez contrôler
les paramètres de vos sons en temps réel.
• Déclencher des pistes d’arrière-plan et d’autresfichiers audio en même temps que vous
jouez.
• Mettre en boucle vos réalisations pour créer des environnements sonores dynamiques
à plusieurs textures.
• Enregistrer vos représentations en temps réel.
7
Bienvenue dans MainStage
PréfaceIl ne s’agit là que d’une liste brève de ce qui est possible de réaliser avec MainStage. Pour
des informations plus détaillées, reportez-vous à la section Présentation de MainStage.
À propos de la documentation de MainStage
MainStage inclut plusieurs documents qui présentent l’application, vous aident à la
prendre en main et vous fournissent des informations détaillées sur ses fonctionnalités
et ses commandes.
• Manuel de l’utilisateur de MainStage : ce manuel numérique (le Manuel de l’utilisateur
de MainStage) décrit l’interface, les commandes et les menus de MainStage et vous
donne desinstructions étape par étape pour créer des concerts MainStage et accomplir
des tâches spécifiques. Vous y trouverez également des informations pour la
configuration de votre système. Il a été conçu pour vous fournir les informations dont
vous avez besoin pour utiliser rapidement l’interface intuitive et les puissantes
fonctionnalités de MainStage.
Si vous voulez commencer à apprendre comment configurer le matériel audio et MIDI
afin de l’utiliser avec MainStage, consultez la section Configuration de votre système.
Si vous voulez en savoir plus sur les fonctionnalités et les commandes de l’interface
MainStage, consultez la section Interface MainStage. Si vous voulez vous lancer et
utiliser l’application immédiatement, passez à la section Premiers contacts avec
MainStage, puis lisez les chapitres sur le mode Édition, l’utilisation des concerts et le
mode Layout. Si vous voulez en savoir plus sur l’utilisation de MainStage en
représentationslive, reportez-vous à la section Représentation en direct avec MainStage.
• Découverte de MainStage : ce livret présente les bases de MainStage dans une approche
facile et accessible. Il permet aux nouveaux utilisateurs d’être opérationnels avec
MainStage rapidement pour comprendre les bases et continuer à apprendre à leur
rythme. Chaque chapitre présente les fonctionnalités majeures et vous guide pour
essayer de nouvelles opérations.
• Instruments de Logic Pro : ce manuel numérique fournit des instructions exhaustives
sur l’utilisation de la puissante collection d’instruments inclus avec Logic Pro et
MainStage.
• Effets de Logic Pro : ce manuel numérique fournit des instructions exhaustives sur
l’utilisation de la puissante collection d’effets fournis avec Logic Pro et MainStage.
• Utilisation du matériel Apogee : ce manuel numérique décrit l’utilisation de matériel
Apogee avec Logic Pro et MainStage.
Ressources supplémentaires
Outre la documentation fournie avec MainStage, il existe de nombreuses autresressources
qui vous permettront d’en savoir plus.
8 Préface Bienvenue dans MainStageNotes commerciales et Nouvelles fonctionnalités
Chaque application est fournie avec une documentation détaillée couvrant les nouvelles
fonctions et les modifications apportées à celles-ci. Cette documentation est accessible
à l’adresse :
• Cliquez sur les liens Notes commerciales et Nouvelles fonctionnalités dans le menu
Aide de l’application.
Site web de MainStage
Pour desinformations d’ordre général et les dernières mises à jour de MainStage, consultez
• http://www.apple.com/fr/logicpro/mainstage
Sites web de service et d’assistance Apple
Pour les mises à jour du logiciel ou des réponses aux questions les plus fréquemment
posées pour tous les produits Apple, visitez la page Assistance d’Apple. Vous aurez
également accès aux spécifications des produits, à la documentation de référence et aux
articles techniques sur les produits Apple et tiers.
• http://www.apple.com/fr/support
Pour les mises à jour logicielles, la documentation, des forums de discussion et trouver
des réponses aux questions les plus fréquentes sur MainStage, consultez
• http://www.apple.com/fr/support/mainstage
Pour accéder à desforums de discussion sur tousles produits Apple dansle monde entier,
dans lesquels vous pouvez effectuer des recherches, trouver des réponses, poser vos
questions ou répondre aux questions d’autres utilisateurs, visitez le site :
• http://discussions.apple.com
Préface Bienvenue dans MainStage 9Ce chapitre vous fournit une présentation de MainStage et de sa conception et décrit
comment vous pouvez l’utiliser avec vosinstruments et d’autres équipements de musique
lorsque vous vous représentez en concert.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Qu’est-ce que MainStage ? (p 11)
• Utilisation de MainStage avec des contrôleurs de clavier (p 13)
• Utilisation de MainStage avec des guitares électriques (p 13)
• Utilisation de MainStage avec des voix, des percussions et d’autres instruments (p 13)
• Utilisation de MainStage dans votre configuration musicale (p 14)
• Utilisation de MainStage lors de représentation en direct (p 16)
Qu’est-ce que MainStage ?
MainStage est une nouvelle application musicale conçue pour que vous l’utilisiez pour
vos représentations en live. MainStage transforme votre ordinateur en un puissant
instrument multiple et processeur d’effets exploitable surscène en cours de représentation.
Que vous jouiez du clavier, de la guitare, d’un autre instrument ou que vous chantiez,
vous pouvez utiliser MainStage avec vos instruments, vos microphones et votre matériel
MIDI lorsque vous vous représentez en live.
MainStage vous permet d’utiliser des instruments et des effets Logic Pro de qualité
professionnelle pendant vos représentations. Vous pouvez accéder aux instruments et
effets et les modifier dans MainStage à l’aide de l’interface déjà familière en tranches de
console de Logic. Si vous jouez du clavier MIDI ou USB, vous pouvez jouer et contrôler
toute une gamme d’instruments logiciels et notamment du piano, du clavier, du
synthétiseur, des cordes, des cuivres, des percussions, etc. Si vous jouez de la guitare
électrique, vous pouvez jouer en utilisant les réglages d’effets intégrés tels que la
simulation d’ampli, l’overdrive, la réverbération et la compression. Vous pouvez créer vos
propres réglages d’effets et passer de l’un à l’autre facilement. Les chanteurs et musiciens
acoustiques peuvent également utiliser des réglages d’effets avec leur entrée de son via
un microphone.
11
Présentation de MainStage
1MainStage est une interface simple et adaptable permettant d’organiser et d’accéder aux
sonsinclus dans des concerts. Ces concertssont des documents MainStage : ils permettent
de stocker tous les sons que vous comptez utiliser lors d’une représentation ou série de
représentations. Dans un concert MainStage, chaque son est stocké sous forme de patch
contenant chacun une ou plusieurs tranches de console et ses propres instruments et
effets. Vous pouvez ajouter des tranches de console, choisir leurs réglages, ajouter des
instruments et des effets et modifier leurs paramètres pour personnaliser vos sons. Vous
pouvez même mixer des tranches de console de différents types dans un même patch.
Vous pouvez organiser les patchs en un concert en les triant dans la liste de patchs et en
les regroupant également en sets. Les sets fonctionnent comme des « dossiers » dans
lesquels vous pouvez stocker les patchs pour les regrouper.
Chaque concert comprend une interface visuelle appelée layout avec des contrôles
permettant de modifier vos patchs en pleine représentation. Les layouts contiennent des
contrôles d’écran, qui représentent sur l’écran les claviers, curseurs, potentiomètres,
boutons, pédales, pads de batterie et autres contrôles matériels et affichages. Vous pouvez
établir des connexions entre les matériels MIDI et votre concert MainStage en assignant
des commandes matérielles aux contrôles d’écran dans le concert. Après avoir procédé
aux assignations de contrôleur, vous devez mapper les contrôles d’écran à une tranche
de console et aux paramètres de module, terminant ainsi la connexion de façon à pouvoir
facilement accéder et manipuler les paramètres voulus pour chacun des patchs du concert.
Vous pouvez également mapper des contrôles d’écran aux actions, qui permettent de
sélectionner des patchs, de contrôler le Syntoniseur et le métronome, de fournir un retour
visuel et d’exécuter d’autres fonctions.
Mappage de
paramètres
Contrôle d’écran MainStage Paramètres de tranche de
console ou de module
Contrôle de matériel
Assignation de
contrôleur
MainStage vous permet de créer rapidement et facilement des assignations de contrôleur
et des mappages de paramètres pour accélérer votre travail. Vous pouvez personnaliser
votre layout pour l’adapter à votre matériel MIDI et optimiser l’utilisation de l’espace
disponible à l’écran ou l’adapter à vos besoins particuliers.
12 Chapitre 1 Présentation de MainStageUtilisation de MainStage avec des contrôleurs de clavier
Si vous vousjouez à l’aide d’un clavier contrôleur USB ou MIDI, vous pouvez lire et contrôler
des patchs MainStage avec des instruments logiciels à l’aide de votre contrôleur. Vous
pouvez assigner des curseurs, des ports, des boutons et autres commandes du clavier à
des contrôles d’écran dans votre concert puisles mapper à des paramètres de vos patchs.
Vous pouvez choisir exactement les paramètres que vous voulez pour avoir sous la main
chacun des patchs et y accéder à partir du contrôleur pendant la représentation.
MainStage prend en charge d’autres contrôleurs MIDI et d’autres matériels capables
d’envoyer des messages MIDI standard, notamment les pédales Sustain et expression,
les interrupteurs à pied MIDI, les guitares MIDI, etc. Vous pouvez également contrôler des
synthétiseurs matériels externes, des applications ReWire et d’autres instruments virtuels
à l’aide de tranches de console d’instruments externes.
Utilisation de MainStage avec des guitares électriques
Si vousjouez de la guitare électrique, vous pouvez utiliser MainStage comme un puissant
processeur d’effets personnalisable. Après avoir branché votre instrumentsur l’ordinateur
à travers une interface audio, vous envoyez le signal audio de votre guitare vers les
tranches de console audio de vos patchs où vous pouvez ajouter des effets, notamment
les modules Amp Designer et Pedalboard, spécialement conçus pour être utilisés avec
une guitare électrique. Vous pouvez également utiliser des effets d’égaliseur, de
compression, de réverbération, d’overdrive et d’autres effets Logic Pro dans vos patchs
de guitare. Vous pouvez alors contrôler le volume, le mélange d’effets ou l’expression
avec une pédale d’expression et utiliser un interrupteur à pied poursélectionner les patchs
en cours de représentation (en gardant vos mains sur votre instrument).
Utilisation de MainStage avec des voix, des percussions et
d’autres instruments
Les chanteurs et les musiciens jouant d’un instrument acoustique peuvent utiliser
MainStage de la même façon, en envoyant un signal de sortie audio du micro connecté
à leur ordinateur vers les tranches de console de leurs patchs. Vous pouvez utiliser
MainStage avec des périphériques audio compatibles Core Audio, comme des interfaces
audio et des tables de mixage numériques, pour l’entrée d’instruments et de micros, et
la sortie sur des haut-parleurs, des moniteurs, une table de mixage ou un système de
sonorisation. Dans MainStage, vous pouvez accéder à une large gamme d’effets dans vos
patchs.
Les percussionnistes peuvent aussi utiliser MainStage en envoyant le signal de sortie
audio des microphones vers les tranches de console audio de leurs patchs ou en utilisant
des pads de batterie ou un kit de batterie virtuel pour contrôler l’échantillonneur
EXS24 mkII ou les modules de type Ultrabeat, destinés aux effets de batterie.
Chapitre 1 Présentation de MainStage 13Utilisation de MainStage dans votre configuration musicale
Pour ajouter MainStage à votre configuration d’équipement musical, suivez les étapes
suivantes :
Étape 1 : Création d’un concert à partir d’un modèle
Commencez par ouvrir MainStage et par créer un nouveau concert à partir d’un modèle.
MainStage inclut des modèles de concert pour les claviers, guitares et d’autresinstruments,
pour faciliter le choix d’un modèle selon vos besoins. MainStage reconnaît les contrôleurs
MIDI parmi les plus populaires et assigne automatiquement des contrôles matériels sur
le contrôleur aux contrôles d’écran correspondants dansl’espace de travail, poursimplifier
la configuration matérielle.
Pour des informations sur le choix d’un modèle pour créer un concert, reportez-vous à
la section Choix d’un modèle de concert.
Étape 2 : Ajout et modification de patchs pour personnaliser vos sons
Après avoir créé un concert, vous pouvez ajouter des patchs aux sons que vous voulez
jouer et modifier les patchs en ajoutant des tranches de console, des instruments et des
effets et en réglant leurs paramètres pour qu’ilss’intègrent à vossons personnalisés. Vous
pouvez modifier et organiser les patchs en mode Édition. Ils sont alors « en direct » ce qui
vous permet d’écouter instantanément le résultat de vos modifications. Vous pouvez
sélectionner et lire des patchs, choisir desréglages et modifier des paramètres de tranche
de console et de module. Vous avez la possibilité de définir rapidement des plages de
notes pour les tranches de console afin de créer des couches et des scissions de clavier,
des expressions de gamme et autres paramètres à l’aide de transformations, et en filtrant
les messages MIDI entrants.
Pour en savoir plus sur la modification de patchs, reportez-vous à la section Utilisation
de patchs en mode Édition.
Étape 3 : Organisation de vos patchs pour un accès rapide
Lorsque vous ouvrez un concert en mode Édition, ses patchs apparaissent dans la Liste
des sons où vous pouvez les sélectionner et lancer la lecture. Vous pouvez modifier des
paramètres de patch, ajouter des tranches de console aux patchs existants ou en créer
de nouveaux et réorganiser des patchs pour construire une collection de sons
personnalisés à utiliser en représentation.
Vous pouvez aussi organiser les patchs en sets pour une plus grande flexibilité. Les sets
sont des dossiers pouvant accueillir des groupes de patchs que vous voulez associer, ce
qui peut s’avérer utile. Par exemple, vous pouvez stocker tous vos patchs de synthé
préférés dans un set ou plusieurs patchs que vous avez l’intention d’utiliser dans un seul
et même morceau pour pouvoir facilement les sélectionner lors de la représentation.
Vous avez aussi la possibilité d’ajouter des tranches de console au set entier et les mettre
à disposition à n’importe quel patch qu’il contient.
14 Chapitre 1 Présentation de MainStagePour en savoir plus sur l’organisation de patchs, reportez-vous à la section Utilisation de
patchs en mode Édition. Pour en savoir plus sur la création et la modification de sets,
reportez-vous à la section Utilisation de sets en mode Édition.
Étape 4 : Personnalisation de la représentation visuelle de votre concert en fonction
de vos appareils matériels
En mode Layout, vous disposez vos contrôles d’écran dans l’espace de travail pour créer
la disposition visuelle correspondant à vos commandes matérielles. MainStage propose
une large gamme de contrôles d’écran, dont des claviers, des potentiomètres, des curseurs,
des molettes de modulation et de hauteur (pitch bend), des pédaliers et des pads de
batterie. Des contrôles d’écran sont également fournis pour afficher des informations sur
les paramètres et sur le système, du texte et des images et un sélecteur de patch que
vous pouvez utiliser pour visualiser etsélectionner des patchs ou des marqueurs pendant
l’exécution sur scène.
Vous pouvez rapidement ajouter des contrôles d’écran à l’espace de travail, les déplacer,
les redimensionner et les copier pour créer votre layout. Des guides d’alignement et
d’autres outils vous aident à disposer visuellement vos contrôles d’écran ; vous pouvez
aussi personnaliser la couleur d’affichage, les étiquettes de texte et d’autres paramètres
dans l’inspecteur de contrôle d’écran. Vous pouvez également regrouper des contrôles
et les arranger en une seule unité.
Pour en savoir plus sur l’utilisation des contrôles d’écran, reportez-vous à la section
Utilisation des contrôles d’écran.
Étape 5 : Réalisation de connexions entre MainStage et votre matériel musical
En mode Layout, vous pouvez connecter des contrôles physiques de votre matériel MIDI
aux contrôles d’écran de votre concert en assignant des commandes physiques aux
contrôles d’écran correspondants dans l’espace de travail. Vous pouvez déplacer ou
redimensionner les contrôles d’écran et personnaliser la représentation visuelle des
paramètres et autres informations. Vous n’avez à effectuer les assignations matérielles
qu’une fois pour tout le concert, ce qui réduit considérablement le travail de connexion
du matériel à l’ordinateur.
Pour en savoir plus sur les assignations matérielles, consultez la section Assignation de
contrôles matériels à des contrôles d’écran.
Étape 6 : Mappage de contrôles d’écran aux paramètres que vous voulez contrôler
en cours de représentation
Le mode Édition vous permet de mapper des contrôles d’écran à des paramètres de
tranche de console. Vous pouvez mapper n’importe quel paramètre à modifier pour
chaque patch à un contrôle d’écran afin de le manipuler facilement à partir de votre
matériel lorsque vous êtes en représentation. Vous pouvez également mapper des
contrôles d’écran à des actions de MainStage, comme la sélection du patch suivant que
vous voulez lire.
Chapitre 1 Présentation de MainStage 15Pour en savoir plus sur le mappage de commandes d’écran, reportez-vous à la section
Mappage de contrôles d’écran.
Vous devez suivre ces étapes dans un ordre strict ; néanmoins, dans la plupart des cas,
vous verrez qu’il est plus simple de créer votre layout avant d’effectuer vos assignations
matérielles et d’effectuer ces assignations avant de mapper les contrôles d’écran. Si vous
envisagez d’utiliser un des modèles de concert existantssans modifierson layout de façon
significative, vous pouvez vous concentrer sur les étapes 1 à 3 et sur l’étape 6.
Pour faciliter la configuration, MainStage divise ses tâches en deux groupes avec des
modes distincts pour chaque groupe de tâches. Vous pouvez personnaliser et organiser
vos patchs en mode Édition, personnaliser votre layout et établir des connexions avec
votre matériel en mode Layout. Cette répartition a l’avantage de séparer des tâches que
vous n’exécutez normalement qu’une seule fois, comme la configuration de la layout
(tâches du mode Layout), de celles que vous risquez de répéter plus souvent, comme la
modification de sons (tâches du mode Édition).
Utilisation de MainStage lors de représentation en direct
Après avoir créé un concert à l’aide de vos patchs personnalisés en suivant les étapes
décrites ci-dessus, vous voilà prêts à jouer. Lors de la représentation en direct, vous pouvez
utiliser un ordinateur comme module de son et boîte d’effetsfinals. Vous avez la possibilité
de sélectionner un patch et de le lire instantanément. MainStage passe d’un patch à
l’autre sans coupure et peut tenir des notes du patch précédent tout en commençant à
jouer celui qui vient d’être sélectionné. La représentation de vos patchs se fait en temps
réel, incluant notamment le nom, la valeur des paramètres et les niveaux de sortie audio.
Vous avez également la possibilité de régler des effets portant sur tout le concert à l’aide
de tranches de console auxiliaires et de contrôler d’autres réglages de même portée.
En mode Exécution, l’espace de travail occupe par défaut tout l’écran, optimisant ainsi
l’espace disponible pour le layout de l’écran. Vous pouvez également choisir le mode
« Exécution dansla fenêtre » pour que l’espace de travail occupe toute la fenêtre MainStage
tout en ayant accès au Finder et aux autres applications.
Vous pouvez utiliser MainStage avec plusieurs contrôleurs MIDI, micros, instruments et
autres équipements de musique. Pour les effets temporels, comme la réverbération ou
le retard, vous avez la possibilité d’utiliser un tempo prédéfini, d’utiliser l’entrée MIDI pour
les changements de tempo ou de taper le tempo lors de la représentation.
Pour des conseils et d’autres informations sur l’utilisation de MainStage lors de
représentation en live, reportez-vous à la section Représentation en direct avec MainStage.
16 Chapitre 1 Présentation de MainStageVous pouvez utiliser MainStage avec un large éventail de contrôleurs MIDI et d’appareils
audio compatibles Core Audio. La section suivante fournit des informations de base sur
l’utilisation des appareils MIDI et audio avec MainStage.
La génération et le traitement en temps réel de l’audio numérique requièrent une
puissance de traitement importante de la part de votre ordinateur. Si vous envisagez de
travailler sur des projets volumineux ou complexes, vous pouvez améliorer votre
productivité en dotant votre ordinateur d’un processeur plus rapide et de mémoire RAM
supplémentaire. De la RAM supplémentaire est particulièrement utile lorsque l’on a recours
à un grand nombre de modules d’effets et à des instruments logiciels s’appuyant sur des
échantillons. Nous vousrecommandons de ne pas exécuter d’autres applications mettant
à rude épreuve le processeur ou la mémoire en même temps que MainStage,
particulièrement si vous jouez en direct.
Vous avez également la possibilité d’ouvrir MainStage en mode 64 bits, ce qui vous permet
d’accéder à une plus grande quantité de mémoire, par exemple, lorsque vous utilisez des
instruments logiciels nécessitant le chargement de bibliothèques de sons très
volumineuses.Pour ouvrir MainStage en mode 64 bits, cliquez sur l’icône de MainStage
dans le dossier Applications tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, choisissez
Lire les informations, puis décochez la case « Ouvrir en mode 32 bits ».
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Utilisation de matériels MIDI avec MainStage (p 18)
• Utilisation de matériels audio avec MainStage (p 19)
• Utilisation de modules d’effets avec MainStage (p 19)
• Utilisation de MainStage avec Time Machine (p 20)
17
Configuration de votre système
2Utilisation de matériels MIDI avec MainStage
MainStage fonctionne avec de nombreux claviers contrôleurs USB et MIDI et autres
périphériques MIDI tels que des pédales et des interrupteurs au pied. Pour que les
périphériques MIDI fonctionnent avec MainStage, ils doivent pouvoir envoyer des messages
de contrôle MIDI standard. MainStage reçoit les messages MIDI standard et peut être
utilisé pour piloter des appareils MIDI externes à l’aide des tranches de console
d’instruments MID ou externes.
Utilisation de périphériques MIDI envoyant des types de message MIDI
particuliers
Certains types de contrôles matériels, tels que des potentiomètres (contrôles rotatifs) et
des boutons, peuvent envoyer des messages MIDI de plusieurs types. Lorsque vous
assignez ces contrôles aux contrôles d’écran MainStage à l’aide du processus Apprendre,
MainStage analyse les données MIDI entrantes afin de déterminer le type de message
envoyé par le contrôle matériel. Pour que MainStage puisse assimiler ces contrôles
correctement, veillez à tourner les potentiomètres sur toute leur course et à appuyer
exactement trois fois sur les boutons pendant le processus d’apprentissage.
Certains contrôleurs MIDI peuvent envoyer des messages MIDI non standard ou des
messages en format propriétaire. MainStage ne peut ni traiter ni répondre aux messages
MIDI non standard, aux messages de paramètres « enregistrés » ou « non enregistrés » et
aux messages System Exclusive (SysEx). Pour que MainStage puisse traiter certains
messagessystème en tempsréel et certains messages MMC (MIDI Machine Control), vous
devez assigner à un contrôle d’écran un contrôle matériel qui envoie ces messages.
Certains matériels présentent des boutons qui envoient des messages de changement
de programme. Vous pouvez utiliser ces boutons pour envoyer des messages de
changement de programme à MainStage mais vous ne pouvez pas les assigner pour
contrôler d’autres paramètres à l’aide des contrôles d’écran de MainStage.
Sélection d’un préréglage de contrôleur
Certains contrôleurs de clavier permettent de choisir divers préréglages ou « scènes » qui
reconfigurent les messages envoyés par les contrôles de l’appareil. Dans la plupart des
cas, choisissez un préréglage générique qui envoie des messages MIDI standard plutôt
que des messages System Exclusive ou des messages destinés à une application en
particulier. Après avoir assigné des commandes matérielles à des contrôles d’écran dans
MainStage, ne modifiez pas le préréglage de l’appareil MIDI sous peine de perdre vos
assignations.
Dans certains cas, il est possible de modifier le type de message que le contrôleur envoie
en choisissant un autre préréglage ou en reprogrammant le matériel. Certains appareils
intègrent des logiciels utilisables pour reprogrammer potentiomètres, boutons et autres
contrôles. Pour en savoir plus sur la reprogrammation d’un matériel MIDI, reportez-vous
à la documentation l’accompagnant.
18 Chapitre 2 Configuration de votre systèmeUtilisation d’appareils MIDI prenant en charge la configuration
automatique
MainStage peut configurer automatiquement les contrôles d’écran dans un concert pour
qu’ils prennent en charge plusieurs des contrôleurs MIDI les plus populaires. Si vous
utilisez un appareil qui prend en charge la configuration automatique, MainStage vous
invite à sélectionner le préréglage adéquat sur votre appareil lorsque vous ouvrez un
nouveau concert. Après avoir sélectionné le préréglage sur votre appareil MIDI, les
contrôles d’écran dans le concert sont assignés aux contrôles correspondants sur votre
matériel pour que vous puissiez les utiliser dans MainStage, sans autre configuration.
Utilisation de matériels audio avec MainStage
MainStage fonctionne avec les matériels audio compatibles Core Audio, dont lesinterfaces
audio FireWire, USB, ExpressCard et PCI. Vous pouvez connecter des micros, des
instruments de musique électroniques et d’autres types d’équipements de musique à
votre ordinateur ou à une interface audio (ou tout autre type d’appareil audio) et les
utiliser avec MainStage.
MainStage peut nécessiter une grande quantité de mémoire RAM, particulièrement avec
les instruments logiciels s’appuyant sur des échantillons. Avant toute représentation en
direct avec MainStage, il est recommandé de tester votre système et les concerts que
vous envisagez d’utiliser afin de vous assurer que la mémoire dont vous disposez est
suffisante pour sélectionner et jouer les patchs que vous voulez utiliser sans provoquer
de pertes du signal audio ou de distorsion. Pour en savoir plus sur la sélection de
gestionnaires audio, reportez-vous à la section Définition des préférences MainStage.
Utilisation de modules d’effets avec MainStage
Vous pouvez utiliser tousles modules d’effets Logic Pro inclus danslestranches de console
MainStage. Pour en savoir plussur les modules d’effetsinclus, reportez-vous aux manuels
Instruments de Logic Pro et Effets de Logic Pro. Vous pouvez aussi utiliser des effets Audio
Units Apple et de tierce partie dans les tranches de console MainStage de la même façon
que dans les tranches de console Logic Pro.
Certains effets Logic Pro, notamment Space Designer, nécessitent un traitement en temps
réel intensif du signal audio. L’utilisation de Space Designer dans des patchs individuels
peut affecter les performances de votre concert, et dans certains cas provoquer des pertes
du signal audio ou d’autres problèmes, en particulier si vous définissez une petite taille
pour la mémoire tampon audio. C’est pourquoi nous vous recommandons de limiter
l’utilisation de Space Designer dans vos concerts et d’utiliser quelquesinstances de Space
Designer sur des tranches de console auxiliaires vers lesquelles sont redirigés plusieurs
patchs, plutôt que dans les différents patchs.
Chapitre 2 Configuration de votre système 19Certains modules Audio Units peuvent entraîner un effet de latence. L’utilisation d’effets
générant de la latence, tels que les compresseurs et les limiteurs, peut produire des
résultats indésirables ou imprévisibles sur scène. D’autres modules Audio Units, en
particulier les modules de modélisation d’instrument et d’ampli, nécessitent un traitement
en temps réel important et peuvent affecter les performances de votre concert.
Pour en savoir plus sur l’ajout et la configuration de modules dans MainStage,
reportez-vous à la section Utilisation de modules en mode Édition.
Utilisation de MainStage avec Time Machine
En mode Exécution (« Exécution en plein écran » et « Exécution dans la fenêtre »), les
sauvegardes Time Machine sont automatiquement désactivées. Cela évite tout risque de
dégradation des performances lors de votre représentation.
20 Chapitre 2 Configuration de votre systèmeDans MainStage, vous ne travaillez que dans une seule fenêtre : celle de MainStage.
La fenêtre MainStage est organisée de façon à faciliter l’utilisation de vos patchs et du
layout de votre concert. Lorsque vous ouvrez MainStage, l’espace de travail occupe le
centre de la fenêtre, les inspecteurs et autres zones de modification se trouvant sur les
côtés gauche et droite et dans la partie inférieure. Au moment de la représentation, vous
pouvez optimiser les performances de votre ordinateur, ainsi que votre espace d’affichage
pour une meilleure visualisation sur scène.
Lorsque vous ouvrez MainStage pour la première fois, vous pouvez choisir un modèle de
concert dans la zone de dialogue Sélectionner le modèle pour créer un concert. Pour
savoir comment ouvrir MainStage, reportez-vous à la section Ouverture de MainStage.
Pour en savoir plussur le choix d’un modèle, reportez-vous à la section Choix d’un modèle
de concert.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Fenêtre MainStage (p 22)
• Mode Layout (p 23)
• Mode Édition (p 25)
• Mode Exécution (p 26)
• Personnalisation de la fenêtre MainStage (p 27)
21
Interface MainStage
3Fenêtre MainStage
Certaines fonctionnalités de l’interface MainStage sont communes à tous les modes alors
que d’autres ne sont disponibles que dans certains.
Inspecteur
Espace de travail avec
La barre d’outils Le moniteur d’activité contrôles d’écran
Parmi les fonctionnalités principales de MainStage, on trouve :
• La barre d’outils: inclut des boutons pour un accèsrapide aux commandes et aux outils
les plus courants. Vous pouvez la personnaliser pour rendre plus accessibles les
commandes que vous utilisez le plus souvent.
• Le moniteur d’activité : indique l’utilisation du processeur et de la mémoire de votre
ordinateur ainsi que les données entrantes des matériels MIDI pendant l’édition et la
représentation.
• L’espace de travail : c’est le « canevas » à partir duquel vous pouvez personnaliser la
layout de l’écran, assigner des commandes matérielles et visualiser vos concerts.
• Les contrôles d’écran : objets à l’écran qui correspondent aux commandes de vos
matériels. Vous pouvez ajouter ou modifier des contrôles d’écran dans l’espace de
travail, assigner des commandes matérielles aux contrôles d’écran puis les mapper à
des paramètres à contrôler pour chacun des patchs de votre concert. Il existe troistypes
de contrôles d’écran : les contrôles de panneaux, les contrôles d’étagères et les contrôles
groupés.
22 Chapitre 3 Interface MainStage• Les tranches de console : c’est dans ces tranches de console que vous construisez et
personnalisez vos sons. Les tranches de console de MainStage sont similaires à celles
de Logic Pro, prévoyant des Insertions, des Envois, des menus E/S ainsi que des
VU-mètres, des curseurs, des potentiomètres de balance et autres commandes.
• Lesinspecteurs: lesinspecteurs apparaissent dansla partie inférieure (en mode Édition)
ou sur le côté gauche de la fenêtre MainStage (en mode Layout) lorsque vous
sélectionnez plusieurs éléments à l’écran. Ils vous permettent de modifier des paramètres
et des attributs pour les patchs, les sets, les contrôles d’écran, les tranches de console
et le concert. La plupart des inspecteurs se composent d’onglets pour vous faciliter
l’accès aux paramètres que vous voulez modifier.
Pour faciliter son utilisation, MainStage propose trois modes, chacun étant adapté à une
tâche distincte. Vous pouvez écouter, modifier et organiser des sons ainsi que mapper
des contrôles d’écran en mode Édition. La personnalisation de l’agencement de vos
contrôles d’écran et les assignations des contrôleurs se font en mode Présentation. Le
mode Exécution s’utilise lors de la représentation.
Mode Layout
En mode Layout, vous pouvez personnaliser la disposition de l’écran et établir des liens
entre le matériel MIDI et les contrôles d’écran dans votre concert. Vous pouvez faire glisser
des contrôles d’écran dans l’espace de travail et les réorganiser à l’écran pour créer des
connexions(appelées assignations de contrôleur) entre lematérielMIDI etles contrôles d’écran.
Chapitre 3 Interface MainStage 23Dansl’inspecteur de contrôles d’écran, vous pouvez modifier les paramètres de disposition
pour personnaliser les assignations de matériel et modifier l’apparence des contrôles
d’écran dans votre concert.
Inspecteur de contrôle d’écran Palette de contrôles d’écran
• Inspecteur de contrôles d’écran : visualisez et modifiez les paramètres des contrôles
d’écran dans l’espace de travail, et notamment les paramètres d’entrée de matériel,
d’apparence et de certains types de sortie MIDI.
• Palette des contrôles d’écran : faites glisser les contrôles d’écran de la palette dans
l’espace de travail pour les ajouter à la layout de l’écran. La palette compte quatre
onglets pour que vous puissiez rapidement afficher tous les contrôles d’écran ou
uniquement un type de contrôle d’écran. Les contrôles de panneau sont des objets en
deux dimensions dans l’espace de travail alors que les contrôles de tablette s’affichent
sur une tablette ajustable en 3D.
• Boutons de layout : sur le côté gauche de l’espace de travail se trouve une série de
boutons que vous pouvez utiliser pour positionner rapidement les contrôles d’écran
sélectionnés dans l’espace de travail. Vous pouvez aligner, distribuer et grouper les
contrôles d’écran sélectionnés.
En mode Layout, contrairement aux autres modes de MainStage, vous pouvez sélectionner
ou modifier des patchs individuellement. Pour savoir ce que vous pouvez faire en mode
layout, reportez-vous à la section Utilisation du mode Layout.
24 Chapitre 3 Interface MainStageMode Édition
C’est dans le mode Édition que vous créez, personnalisez et organisez vos sons. Vous
pouvez ajouter des patchs, ajouter et modifier destranches de console, créer des couches
et des scissions de clavier et modifier des paramètres de tranches de console et de
modules. C’est aussi dans ce mode que vous pouvez mapper des contrôles d’écran à des
paramètres de tranches de console et des actions, et que vous pouvez modifier des patchs,
des sets et des paramètres portant sur l’intégralité du concert.
Liste de patchs Inspecteur (changements
dépendant de la sélection)
Zone Tranches
de console
• Liste dessons : affiche les patchs et les sets du concert. Vous pouvez ajouter des patchs
et des sets à la Liste des patchs, puis les nommer et les organiser. Cette liste comprend
un menu Action avec des commandes pour créer des patchs et des sets, réinitialiser
les numéros de changement de programme, passer des éléments et importer et exporter
des patchs et des sets pour les utiliser dans d’autres concerts.
• Inspecteur (varie selon le type d’élémentsélectionné) : affichez et modifiez les paramètres
du patch, de la tranche de console, du contrôle d’écran, du set ou du concertsélectionné
actuellement. Le nom de l’inspecteur se change pour identifier le type d’élément que
vous examinez actuellement.
• Zone Tranches de console : visualisez et modifiez lestranches de console dans vos patchs
ou portant sur l’intégralité du concert ou du set. Les tranches de console s’affichent
dans un format verticalsimilaire aux tranches de console de Logic Pro, avec sensiblement
les mêmes commandes. Vous pouvez aussi ajouter destranches de console et enregistrer
des réglages de tranches de console.
Chapitre 3 Interface MainStage 25• Onglet Assignations et mappages : affiche les assignations et les mappages du patch,
du set ou du concert sélectionné. Vous pouvez créer et modifier des assignations et
des mappages, et modifier les réglages d’entrée matérielle d’une assignation.
Poursavoir ce que vous pouvez faire en mode Édition, reportez-vous à la section Utilisation
du mode ÉditionUtilisation de concerts.
Le dernier mode, Exécution, est optimisé pour les représentations.
Mode Exécution
Par défaut, le mode Exécution s’ouvre en plein écran. L’espace de travail occupe l’intégralité
de l’écran de l’ordinateur afin de maximiser la taille des contrôles d’écran pour une lisibilité
optimale. Le réglage « Exécution en plein écran » optimise l’affichage en représentation
lorsque vous ne voulez utiliser que MainStage pendant que vous jouez. Il désactive
également l’enregistrement automatique au niveau du système d’exploitation, Spotlight
et Time Machine.
26 Chapitre 3 Interface MainStageVous pouvez choisir d’ouvrir le mode Exécution dans une fenêtre. La barre d’outils reste
visible pour vous permettre de passer d’un mode à l’autre à l’aide des boutons Mode,
d’utiliser les boutons Panique et Silence Master, et de visualiser les niveaux d’utilisation
du processeur et de la mémoire, ainsi que l’entrée MIDI dans le moniteur d’activité. Les
navigateurs et lesinspecteurssont cachés pour optimiser l’espace de travail, ce qui permet
des contrôles d’écran plus grands et plus faciles à lire lorsque vous êtes sur scène. Vous
pouvez toujours accéder au Finder et passer à d’autres applications, mais vous ne pouvez
pas ouvrir de fenêtres de module.
Pour en savoir plus sur l’utilisation du mode Exécution lors d’une représentation,
reportez-vous à la section Représentation en direct avec MainStage.
Personnalisation de la fenêtre MainStage
Vous pouvez personnaliser la fenêtre MainStage pour l’adapter à votre façon de travailler.
En mode Édition, vous pouvez ajuster la largeur de la Liste des patchs, afficher ou masquer
les inspecteurs et la zone Tranches de console, et personnaliser les boutons de la barre
d’outils.
Redimensionnement de l’espace de travail
Vous pouvez ajuster la hauteur et la largeur de l’espace de travail pour laisser plus de
place à la Liste des patchs, à l’inspecteur ou à la zone Tranches de console.
Pour élargir l’espace de travail
1 Déplacez le pointeur sur l’espace entre l’espace de travail et l’inspecteur.
Il se transforme alors en pointeur de redimensionnement.
Chapitre 3 Interface MainStage 272 Faites-le glisser verticalement pour redimensionner l’espace de travail.
Pour augmenter la hauteur de l’espace de travail
1 Placez le pointeur sur l’espace entre l’espace de travail et la zone Tranches de console.
Il se transforme alors en pointeur de redimensionnement.
2 Faites-le glisser horizontalement pour redimensionner l’espace de travail.
Affichage et masquage de l’inspecteur
Vous pouvez masquer l’inspecteur ou l’afficher s’il a été masqué.
Pour masquer ou afficher l’inspecteur
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Choisissez Présentation > Inspecteurs (ou appuyez sur Commande + 5).
µ Dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteurs.
Masquage et affichage de la zone Tranches de console
Vous pouvez masquer la zone Tranches de console ou l’afficher si elle a été masquée. En
la masquant, vous laissez plus de place à l’espace de travail.
Pour masquer ou afficher la zone Tranches de console
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Choisissez Présentation > Tranches de console (ou appuyez sur Commande + 6).
µ Dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Tranches de console.
Personnalisation de la barre d’outils
La barre d’outils en haut de la fenêtre MainStage contient des boutons pour les
commandes souvent utilisées. Vous pouvez la personnaliser en ajoutant des boutons
pour les fonctions les plus souvent utilisées puis revenir à la configuration par défaut par
la suite.
La configuration par défaut de la barre d’outils comprend des boutons pour sélectionner
les différents modes des fenêtres, masquer l’inspecteur et la zone Tranches de console,
activer ou désactiver le son principal et d’autres commandes courantes. Vous pouvez
personnaliser la barre d’outils en lui ajoutant le bouton d’autres commandes et ajuster
la position et l’espacement des éléments. Il est également possible de la masquer pour
optimiser l’espace disponible à l’écran. Vous pouvez personnaliser la barre d’outils en y
faisant glisser les éléments de la zone de dialogue « Personnaliser la barre d’outils ».
28 Chapitre 3 Interface MainStagePour afficher la zone de dialogue Personnaliser
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils.
µ Cliquez sur la barre d’outilstout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez
« Personnaliser la barre d’outils » dans le menu contextuel.
La zone de dialogue correspondante apparaît alors et les boutons de la barre d’outils
sont entourés en gris.
Pour ajouter un bouton à la barre d’outils
µ Faites glisser un bouton de la zone de dialogue Personnaliser sur la barre d’outils.
Si vousfaites glisser un bouton entre deux boutons existants, ces dernierss’écartent pour
lui céder de la place.
Pour déplacer un bouton sur la barre d’outils
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Si la zone de dialogue « Personnaliser la barre d’outils » est visible, faites déplacer le
bouton.
µ Si elle n’est pas visible, faites glisser le bouton tout en maintenant la touche Commande
enfoncée pour le déplacer.
Vous pouvez également réorganiser la barre d’outils en utilisant des espaces à largeur
fixe, des espaces flexibles et des séparateurs.
Pour ajouter un espace ou un séparateur dans la barre d’outils
µ Faites glisser un espace, un espace flexible ou un séparateur depuis la zone de dialogue
« Personnaliser la barre d’outils » sur la barre d’outils.
Pour rétablir la configuration par défaut de la barre d’outils
µ Faites glisser l’ensemble reprenant les boutons par défaut situé en bas de la zone de
dialogue « Personnaliser la barre d’outils » sur la barre d’outils.
Vous pouvez aussi modifier la barre d’outils pour qu’elle n’affiche que les icônes ou le
texte en cliquant sur la barre d’outils tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée,
puis en choisissant Icône seulement ou Texte seulement dans le menu contextuel.
Pour afficher uniquement les icônes dans la barre d’outils
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Cliquez sur la barre d’outilstout en maintenant la touche Contrôle enfoncée puis choisissez
Icône seulement dans le menu contextuel.
µ Dans la zone de dialogue « Personnaliser la barre d’outils », choisissez Icône seulement
dans le menu contextuel Afficher.
Chapitre 3 Interface MainStage 29Pour afficher uniquement le texte dans la barre d’outils
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Cliquez sur la barre d’outilstout en maintenant la touche Contrôle enfoncée puis choisissez
Texte seulement dans le menu contextuel.
µ Dans la zone de dialogue « Personnaliser la barre d’outils », choisissez Texte seulement
dans le menu contextuel Afficher.
Pour afficher à la fois les icônes et le texte dans la barre d’outils
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Cliquez sur la barre d’outilstout en maintenant la touche Contrôle enfoncée puis choisissez
Icône & Texte dans le menu contextuel.
µ Dans la zone de dialogue « Personnaliser la barre d’outils », choisissez Icône et texte dans
le menu contextuel Afficher.
Pour fermer la zone de dialogue Personnaliser
µ Lorsque vous avez terminé de personnaliser la barre d’outils, cliquez sur Terminé.
Pour masquer la barre d’outils
µ Choisissez Présentation > Masquer la barre d’outils.
Lorsqu’elle est masquée, l’élément de menu correspondant devient « Afficher la barre
d’outils ».
30 Chapitre 3 Interface MainStageVous pouvez rapidement commencer à travailler dans MainStage en choisissant un modèle
de concert et en testant les réglages des patchs qui y sont inclus. Ce chapitre se veut un
rapide « tour d’horizon » guidé que vous pouvez suivre lorsque vous lancez MainStage
pour la première fois. Si voussouhaitez poursuivre l’apprentissage pratique des principales
fonctions de l’application, consultez le guide Découverte de MainStage.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Avant de commencer (p 31)
• Ouverture de MainStage (p 32)
• Choix d’un modèle de concert (p 32)
• Sélection des réglages de patch dans la bibliothèque de patchs (p 34)
• Ajout de patchs (p 34)
• Attribution d’un nom à un patch (p 35)
• Sélection et lecture de patchs (p 36)
• Ajout d’une tranche de console (p 37)
• Modification d’un réglage de tranche de console (p 39)
• Présentation de l’assignation de contrôleur (p 40)
• Mappage d’un contrôle d’écran (p 42)
• Familiarisation avec le mode Exécution (p 42)
Avant de commencer
Avant de commencer à travailler dans MainStage, nous vousrecommandons de brancher
le matériel, par exemple un clavier contrôleur, une interface audio, des instruments ou
des micros, que vous avez l’intention d’utiliser sur votre ordinateur. Pour utiliser des
claviers contrôleurs et autres appareils MIDI avec MainStage, ils doivent être en mesure
d’envoyer des messages MIDI standard. Si vous ne savez pas exactement si c’est le cas,
consultez le manuel ou le site Internet du produit. Pour en savoir plus, reportez-vous à
la section Configuration de votre système.
31
Premiers contacts avec MainStage
4Ouverture de MainStage
Commencez par ouvrir MainStage et par créer un nouveau concert à partir d’un modèle.
Pour ouvrir MainStage
µ Double-cliquez sur l’icône MainStage dans votre dossier Applications ou dans le Dock.
Choix d’un modèle de concert
MainStage inclut des modèles pour différentsinstruments de musique, comme les claviers,
les guitares, les percussions, les voix, etc. Vous pouvez choisir un modèle de concert dans
la zone de dialogue Sélectionner le modèle qui apparaît lorsque vous ouvrez MainStage
pour la première fois ou à chaque création ou fermeture d’un concert.
Pour choisir un modèle de concert
1 Choisissez Fichier > Nouveau (ou appuyez sur Commande + N).
32 Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage2 Dans la zone de dialogue Sélectionner le modèle, choisissez les appareils que vous
souhaitez utiliser pour l’entrée et la sortie audio dans les menus locaux Entrée audio et
Sortie audio.
3 À gauche, cliquez sur la catégorie d’instruments dont voussouhaitez afficher les modèles.
Vous pouvez également cliquer sur Démarrage rapide et choisir un simple modèle de
clavier ou de guitare pour commencer à jouer immédiatement.
Une brève description sous chaque modèle décrit ses fonctionnalités et son objectif
d’utilisation.
4 Faites défiler les modèles disponibles pour trouver celui que vous voulez utiliser.
5 Cliquez sur Choisir ou double-cliquez sur le modèle.
Lorsque vous choisissez l’un des modèles Démarrage rapide, un nouveau concert s’ouvre
en mode Exécution pour vous permettre de commencer à jouer immédiatement. Lorsque
vous choisissez un autre modèle, le nouveau concert s’ouvre en mode Édition. L’espace
de travail apparaît au centre de la fenêtre MainStage et affiche les contrôles d’écran dans
le concert. À gauche de l’espace de travail se trouve la Liste des sons qui indique les
patchs et les sets du concert. Les tranches de console du patch sélectionné s’affichent
dans la zone Tranches de console, sur la droite de l’espace de travail. Le nouveau concert
peut contenir un seul patch ou plusieurs patchs. Sous l’espace de travail, la bibliothèque
de patchs est ouverte, pour que vous puissiez tester les différents réglages de patch et
trouver celui que vous voulez utiliser.
Dans la zone de dialogue Sélectionner le modèle, vous pouvez visualiser les modèles
avec une présentation de type grille, liste ou Cover Flow. Vous pouvez choisir une vue
différente à l’aide des boutons de présentation, situés dans la partie inférieure gauche
de la zone de dialogue.
Pour choisir une autre vue dans la zone de dialogue Sélectionner le modèle
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Pour afficher les modèles dans une grille, cliquez sur le bouton Grille.
µ Pour afficher les modèles dans Cover Flow, cliquez sur le bouton Cover Flow.
µ Pour afficher les modèles dans une liste, cliquez sur le bouton Liste.
Pour en savoir plus sur l’ouverture, la modification et l’enregistrement de concerts,
reportez-vous à la section Utilisation de concerts.
Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage 33Sélection desréglages de patch dansla bibliothèque de patchs
Lorsque vous ouvrez un concert ou sélectionnez un patch, la bibliothèque de patchs
s’ouvre dans l’inspecteur de patchs sous l’espace de travail. La bibliothèque de patchs
contient une variété de patchs optimisés pour l’instrument pour lequel le concert a été
conçu. Vous pouvez rapidement tester les réglages de patch dans la bibliothèque de
patchs et choisir un réglage pour le patch sélectionné.
Pour sélectionner un réglage de patch
1 Parcourez les réglages dans la bibliothèque de patchs pour trouver celui que vous voulez
utiliser.
2 Cliquez sur le réglage de patch.
Vous pouvez démarrer la lecture du patch immédiatement en utilisant le réglage de patch
sélectionné. Vous pouvez aussi rechercher des réglages de patch par leur nom.
Pour rechercher des réglages de patch par nom
1 Choisissez Rechercher dans la bibliothèque dans le menu Action du coin supérieur droit
de l’inspecteur de patchs.
2 Saisissez le nom du réglage de patch que vous recherchez.
3 Cliquez sur Rechercher.
Le premier réglage de patch avec le texte que vous avez saisi apparaît sélectionné dans
la bibliothèque de patchs.
4 Pour rechercher les réglages de patch suivants avec le même nom, choisissez Rechercher
le suivant dans la bibliothèque dans le menu Action.
Remarque : si vous avez enregistré plusieurs patchs à l’aide de la commande Enregistrer
comme set (ou la commande Exporter comme set dans MainStage 1.0) du menu Action,
le fichier enregistré apparaît en tant que patch dans la bibliothèque de patchs, sauf si
vous avez sélectionné un autre emplacement pour enregistrer le fichier. Cliquer sur le
fichier enregistré dansla bibliothèque de patchs peut provoquer l’apparition d’une alerte
lorsque les patchs individuels sont ouverts à partir du fichier .patch.
Ajout de patchs
Vous pouvez ajouter des patchs au concert et les organiser dans la Liste des sons. Le
nombre de patchs n’est limité que par la mémoire disponible de votre système. Lorsque
vous ajoutez un patch à un concert, le patch est sélectionné pour que vous puissiez
facilement tester et choisir un réglage de patch dans la bibliothèque de patchs.
Pour ajouter un nouveau patch
1 Cliquez sur le bouton d’ajout d’un patch (+), situé dans le coin supérieur droit de la Liste
des sons.
34 Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStageLe nouveau patch apparaît dansla liste des patchs et la bibliothèque de patch est ouverte
dans l’inspecteur de patchs.
2 Sélectionnez le réglage de patch que vous voulez utiliser dans la bibliothèque de patchs.
Si vous utilisez un clavier contrôleur, sélectionnez un patch Clavier. Si vous jouez de la
guitare électrique, sélectionnez un patch Guitare. Pour d’autres instruments ou des voix,
vous pouvez choisir un modèle de la catégorie adéquate ou modifier un modèle de clavier
ou de guitare qui s’adapte à vos besoins.
3 Si le patch utilise une tranche de console audio, assurez-vous que la tranche de console
est définie pour utiliser l’entrée audio adéquate, puis augmentez progressivement le
curseur de volume sur la tranche de console jusqu’à ce que vous entendiez un son sur
le canal.
Attribution d’un nom à un patch
Lorsque vous ajoutez un patch, par défaut, il prend le nom de la tranche de console que
vous lui ajoutez. Vous pouvez donner à chaque patch un nom personnalisé afin de mieux
les différencier.
Pour attribuer un nom à un patch
1 Double-cliquez sur le patch dans la Liste des sons.
Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage 35Un champ apparaît autour du nom du patch sélectionné.
Double-cliquez sur le
nom du patch puis
saisissez un autre nom.
2 Saisissez un autre nom dans le champ du nom du patch.
Pour en savoir plus sur la modification et l’organisation des patchs, reportez-vous à la
section Utilisation de patchs en mode Édition.
Sélection et lecture de patchs
Les patchs d’un concert apparaissent dans la Liste des sons du côté gauche de la fenêtre
MainStage. Vous pouvez facilement accéder aux patchs dans votre concert en les
sélectionnant dans la liste de patchs. Vous pouvez rapidement sélectionner les patchs
en cliquant dessus dans la liste des patchs.
Avec un contrôleur MIDI, vous pouvez lire des patchs comportant une tranche de console
d’instrument logiciel. Si vous jouez de la guitare électrique ou tout autre instrument
branché sur une interface audio, ou si vous utilisez un micro, vous pouvez jouer ou chanter
en utilisant des patchs comportant une tranche de console audio. Avant de lire une
tranche de console audio, vérifiez qu’elle est bien configurée pour recevoir une entrée à
travers le canal (ou à travers la paire stéréo de canaux) auquel est branché l’instrument
ou le micro.
Lorsque le patch estsélectionné, changez certaines commandes du contrôleur MIDI pour
vérifiez que les contrôles d’écran répondent aux commandes dans l’espace de travail.
Certains contrôles, et notamment la pédale Sustain, la molette de modulation/pitch bend
et le clavier, répondent aux messages MIDI correspondants sans avoir à les assigner ou
les mapper.
Sélectionnez et lisez d’autres patchs dans le concert pour trouver des sons que vous
voulez interpréter ou utiliser comme point de départ pour la création de patchs
personnalisés. Vous pouvez aussi ajouter de nouveaux patchs et modifier le réglage de
leurs tranches de console pour créer des sons uniques et personnels.
36 Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStagePour en savoir plus sur l’organisation et la sélection des patchs dans la liste des patchs,
reportez-vous à la section Utilisation de patchs en mode Édition.
Ajout d’une tranche de console
Vous pouvez ajouter des tranches de console à un patch pour créer des sons en couches
et des scissions de clavier. Lorsque vous ajoutez une tranche de console à un patch, vous
choisissez le type de tranche de console, la sortie et d’autres réglages. Vous pouvez
mélanger les deux types dans un seul patch.
Pour ajouter une tranche de console à un patch
1 Vérifiez que le patch est sélectionné dans la Liste des sons.
2 Cliquez sur le bouton « Ajouter une tranche de console » (+) dans le coin supérieur droit
de la zone Tranches de console.
La zone de dialogue «Nouvelle tranche de console » apparaît alors. Choisissez lesréglages
comme vous le feriez lors de l’ajout d’un patch.
3 Dans la zone de dialogue « Nouvelle tranche de console », sélectionnez le type de bande
à créer.
4 Choisissez la sortie audio de la tranche de console dans le menu local Sortie.
5 Pour les tranches de console, choisissez Mono ou Stéréo dans le menu local Format, et
l’entrée audio dans le menu local Entrée. Pour des tranches de console d’instruments
externes, choisissez aussi l’entrée MIDI, la sortie MIDI et le canal MIDI dans les menus
locaux respectifs.
Important : les tranches de console audio peuvent générer un retour sonore, plus
particulièrement si vous utilisez un micro en entrée audio. Lorsque vous ajoutez une
tranche de console audio, le volume de la tranche de console est défini sur le son coupé
et la fonction Protection contre l’effet retour est activée pour vous alerter lorsqu’un effet
retour se produit sur la tranche de console. Lorsque vous ajoutez une tranche de console
d’instrument externe, le volume de la tranche de console est définisur le son coupé, mais
la fonction Protection contre l’effet retour est désactivée.
6 Vous pouvez également ajouter plusieurs tranches de console à un patch en saisissant
un nombre dans le champ Numéro. Vous pouvez ajouter un nombre maximal de type
de tranche de console.
7 Cliquez sur Créer.
Une nouvelle tranche de console apparaît dansla zone Tranches de console ; elle est mise
en surbrillance pour indiquer qu’elle est sélectionnée. L’inspecteur Tranche de console
apparaît en dessous de l’espace de travail et indique les différents paramètres disponibles
pour la nouvelle tranche de console.
Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage 378 Pour les tranches de console audio et d’instrument externe, augmentez progressivement
le curseur de volume jusqu’à entendre le son sur le canal.
Vous pouvez ajuster la sortie de la tranche de console à l’aide de son curseur, Volume
ajuster la balance à travers le potentiomètre correspondant et influer sur le son général
d’une tranche de console à l’aide de ses boutons Muet et Solo. Pour les tranches de
console audio, vous pouvez passer de Mono à Stéréo à l’aide du bouton Format. Pour les
tranches de console d’instrumentslogiciels, vous avez le choix entre plusieursinstruments
dans le menu local Entrée. Vous pouvez choisir de nouveaux réglages de tranche de
console, ajouter et modifier des effets, ajouter des envois aux bus et changer la sortie à
l’aide des commandes de la tranche de console.
38 Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStageVous pouvez également définir une plage de touches pour une tranche de console, créer
des graphiques de transformation et de vélocité et filtrer les messages MIDI envoyés à
une tranche de console dans l’inspecteur Tranche de console. Pour des informations
générales sur l’utilisation des tranches de console, consultez le chapitre « Utilisation
d’instruments et d’effets » du Manuel de l’utilisateur de Logic Pro. Pour en savoir plus sur
l’utilisation de tranches de console dans MainStage, reportez-vous à la section Utilisation
de tranches de console en mode Édition.
Modification d’un réglage de tranche de console
Vous pouvez rapidement changer l’instrument, les effets et d’autres paramètres d’une
tranche de console en sélectionnant un autre réglage dans la bibliothèque des tranches
de console. Vous y retrouvez les réglages disponibles pour la tranche de console
sélectionnée.
Pour sélectionner un autre réglage de tranche de piste
1 Assurez-vous que la tranche de console que vous voulez modifier est sélectionnée.
La tranche de console sélectionnée est mise en surbrillance.
2 Dans l’inspecteur des tranches de console, cliquez sur l’onglet Bibliothèque de tranches
de console.
Les réglages de tranches de console disponibles apparaissent dans la bibliothèque de
tranches de console. Lesréglages destranches de console Logic Studio apparaissentsous
la forme d’une série de dossiers avec différentes catégories d’instruments et d’utilisations.
Si GarageBand ou des collectionsJam Pack sont installéssur votre ordinateur, cesréglages
apparaissent en dessous des réglages intégrés.
3 Cliquez sur une catégorie de la colonne de gauche puis sur des sous-catégories des
colonnes de droite pour atteindre les réglages souhaités.
Cliquez sur une catégorie
de la colonne pour voir
les choix disponibles.
Cliquez sur le réglage de
tranche de console à utiliser
parmi les colonnes de droite.
Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage 39Vous pouvez également rechercher des réglages de tranches de console par nom et
exécuter d’autres fonctions en utilisant la bibliothèque de tranches de console. Pour en
savoir plus sur l’inspecteur des tranches de console, reportez-vous à la section Sélection
de réglages de tranche de console.
Présentation de l’assignation de contrôleur
Lorsque vous sélectionnez un patch ou un réglage de tranche de console, certains
paramètres répondent instantanément aux contrôles de votre appareil MIDI. MainStage
répond aux notesjouéessur un clavier contrôleur, au volume, aux messages d’expression,
aux messages de molette de modulation/pitch bend et aux messages de pédale Sustain
sans que vous configuriez de contrôles d’écran pour recevoir ces messages. Pour les
autres commandes comme les curseurs, les potentiomètres et les boutons, vous devez
les assigner à des contrôles d’écran MainStage avant de pouvoir les utiliser dans votre
concert.
Dans MainStage, vous devez attribuer des commandes matérielles à des contrôles d’écran
dans l’inspecteur de layout à l’aide du processus d’apprentissage, tout comme vous le
feriez pour une surface de contrôle dans Logic Pro. L’apprentissage d’assignations de
contrôleur est une méthode simple et rapide pour attribuer des commandes matérielles
aux contrôles d’écran.
Remarque : pour pouvoir assigner une commande matérielle à un contrôle d’écran, elle
doit envoyer des messages MIDI. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section Utilisation
de matériels MIDI avec MainStage.
Pour savoir comment effectuer une assignation de contrôleur
1 Cliquez sur le bouton de layout de la barre d’outils.
MainStage passe en mode Layout.
2 Dans l’espace de travail, sélectionnez le contrôle d’écran que vous voulez apprendre.
Le contrôle sélectionné apparaît en surbrillance bleue.
3 Cliquez sur le bouton Assignement dans l’inspecteur de contrôle d’écran (ou appuyez
sur Commande + L).
40 Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStageLe bouton Assignement devient rouge pour indiquer que le processus d’assignation est
en cours et le contrôle d’écran sélectionné est mis en surbrillance rouge.
4 Sur votre appareil MIDI, utilisez la commande que vous voulez assigner. Pour les curseurs
et les potentiomètres, utilisez toute leur amplitude de mouvement et appuyez trois fois
(mais pas trop vite) sur les boutons pour permettre à MainStage de bien assimiler les
types de messages MIDI envoyés par ces commandes.
Les valeurs des menuslocaux Assignation de matériel changent pour refléter la commande
matérielle apprise par le contrôle d’écran. Pendant l’apprentissage, les messages MIDI
entrants apparaissent dans le Moniteur d’activité au-dessus de l’espace de travail.
Lorsque l’assignation est terminée, le contrôle d’écran répond à la commande matérielle
correspondante. Cela indique que le contrôle d’écran reçoit l’entrée MIDI et est bien
assigné.
5 Tant que le bouton Assignement est rouge, vous pouvez faire assimiler d’autres
assignations de contrôleur en sélectionnant un autre contrôle d’écran et en utilisant la
commande matérielle que vous voulez lui attribuer.
6 Lorsque vous avez terminé l’assignation de contrôles, cliquez de nouveau sur le bouton
Assignement (ou appuyez sur Commande + L) pour mettre fin au processus d’assignation.
Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage 41Pour en savoir plus sur l’assignation de contrôleur, consultez la section Assignation de
contrôles matériels à des contrôles d’écran.
Mappage d’un contrôle d’écran
Lorsque vous avez terminé l’apprentissage des assignations de contrôleur pour les
contrôles d’écran que vous utilisez, vous pouvez passer à l’étape suivante qui consiste à
mapper les contrôles d’écran aux paramètres des patchs que vous voudrez contrôler lors
de vos représentations. Vous pourriez être amené à mapper des contrôles d’écran à des
paramètres dans chaque patch d’un concert afin de pouvoir accéder facilement à ces
paramètres et les modifier pendant l’exécution en live. Vous pouvez aussi mapper les
paramètres pour tout le concert afin de contrôler le volume du master, voir les niveaux
du master et modifier des effets portant sur tout le concert.
Il existe deux moyens pour mapper les contrôles d’écran aux paramètres: en sélectionnant
visuellement les paramètres sur les tranches de console ou dans les fenêtres de module,
ou en choisissant les paramètres dans le navigateur des correspondances de paramètres.
Pour savoir comment mapper un contrôle d’écran à une tranche de console ou à un
paramètre de module, reportez-vous à la section Mappage de contrôles d’écran à des
paramètres de tranches de console et de modules. Pour savoir comment mapper un
contrôle d’écran à une action, reportez-vous à la section Mappage de contrôles d’écran
à des actions.
Familiarisation avec le mode Exécution
Vous pouvez maintenant lire les patchs comme vous le feriez lors d’une représentation.
Vous pouvez afficher l’espace de travail en plein écran, ce qui maximise la taille des
contrôles d’écran pour une meilleure visualisation dans un environnement live, ou l’afficher
dans une fenêtre pour pouvoir utiliser les boutons de barre d’outils et accéder à d’autres
applications.
Pour passer en mode Exécution
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Cliquez sur le bouton Exécution de la barre d’outils.
µ Choisissez Présentation > Exécution en plein écran (ou appuyez sur Commande + 4).
Remarque : par défaut, le bouton Exécution ouvre l’espace de travail en plein écran. Pour
en savoir plus sur la modification de cette préférence, reportez-vous à la section
Préférences d’affichage.
Pour afficher l’espace de travail dans une fenêtre
µ Choisissez Présentation > Exécution dans la fenêtre (ou appuyez sur Commande + 3).
42 Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStageVous pouvez utiliser l’une ou l’autre des présentations de l’espace de travail pour lire les
patchs que vous avez ajoutés ou modifiés, et utiliser les commandes de votre contrôleur
MIDI pour modifier les paramètres que vous avez associés à des contrôles d’écran.
Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage 43En mode Édition, vous ajoutez et modifiez les patchs pour créer vos sons personnalisés,
choisissez desréglages de patchs dansla bibliothèque de patchs, organisez etsélectionnez
des patchs dans la liste des patchs, modifiez les paramètres de patch dans l’inspecteur
et associez des contrôles d’écran à des paramètres et à des actions. Vous pouvez créer
des patchs personnalisés en mode Édition et les organiser dans la liste des patchs pour
pouvoir facilement y accéder quand vous êtes sur scène.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Utilisation de patchs en mode Édition (p 45)
• Utilisation de tranches de console en mode Édition (p 53)
• Utilisation de modules en mode Édition (p 78)
• Mappage de contrôles d’écran (p 82)
• Modification des paramètres de contrôle d’écran en mode Édition (p 91)
• Utilisation de l’onglet Assignations et mappages (p 97)
• Utilisation de sets en mode Édition (p 99)
• Manipulations par set (p 102)
• Partage de patchs et de sets entre concerts (p 103)
• Enregistrement de la sortie audio d’un concert (p 104)
Utilisation de patchs en mode Édition
Les patchs sont chacun des sons que vous jouez à l’aide de votre clavier contrôleur (pour
les utilisateurs de claviers MIDI) ainsi que les configurations d’effets que vous utilisez avec
votre guitare ou un autre instrument (pour les guitaristes, les chanteurs et autres
instrumentistes). Les patchs MainStage peuvent contenir plusieurs tranches de console,
chacune incluant un instrument différent ou une configuration d’effets différente.
Certaines opérations de base des patchs, y compris l’ajout de patchs, l’attribution de
noms, la sélection de patchs et l’ajout de tranches de console aux patchs, sont décrites
dans la section Premiers contacts avec MainStage.
45
Utilisation du mode Édition
5Si MainStage est en mode Layout ou Exécution, cliquez sur le bouton Édition dans le coin
supérieur gauche de la fenêtre MainStage pour commencer à travailler en mode Édition.
Sélection d’éléments dans la liste des patchs
L’ensemble des patchs et des sets d’un concert apparaissent dans la liste des patchs, sur
la gauche de l’espace de travail. Pour sélectionner un élément dans la liste des patchs en
mode Édition, vous pouvez cliquer dessus ou utiliser les raccourcis clavier.
Pour sélectionner un patch dans la liste des patchs
1 Dans la liste des patchs située à gauche de l’espace de travail, cliquez sur le patch.
Cliquez sur un patch de
la liste de patchs pour
le sélectionne, puis
commencez la lecture.
2 Lorsque le patch est sélectionné, vous pouvez lancer la lecture immédiatement.
Vous pouvez aussi sélectionner des patchs dans la liste des patchs à l’aide du clavier.
Pour cela
µ Appuyez sur la Flèche vers le bas pour sélectionner le patch suivant (celui en dessous)
dans la liste.
µ Appuyez sur la Flèche vers le haut pour sélectionner le précédent (celui au-dessus).
D’autresraccourcis clavier existent que vous pouvez utiliser poursélectionner des éléments
dans la liste des patchs.
Raccourci clavier par défaut Sélectionne
Flèche vers le haut L’élément (patch ou set) précédent dans la liste des patchs
Flèche vers le bas L’élément (patch ou set) suivant dans la liste des patchs
Commande + Flèche versle haut Le patch précédent dans la liste des patchs.
Commande + Flèche vers le bas Le patch suivant dans la liste des patchs.
Commande + Flèche gauche Premier patch du set précédent
Commande + Flèche droite Premier patch du set suivant
46 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionRemarque : lorsque vous utilisez les combinaisons de touches Commande + Flèche
énumérées ci-dessus pour sélectionner différents patchs, le contrôle d’écran sélectionné
reste sélectionné dansl’espace de travail. Ainsi, vous pouvez facilement identifier comment
un contrôle d’écran est configuré dans plusieurs patchs.
Vous pouvez également sélectionner un patch (ou un set) dans la liste des patchs en
saisissant les premières lettres de son nom.
Pour sélectionner un patch ou un set en saisissant son nom
1 Cliquez sur la bordure de la liste des patchs pour la sélectionner.
2 Après avoir sélectionné la liste des patchs, commencez à saisir le nom du patch. Une fois
que vous avez saisi suffisamment de lettres pour identifier un nom unique, le patch ou
set correspondant est sélectionné.
Vous pouvez égalementsélectionner un patch en saisissantson nom en mode Exécution.
Pour en savoir plus, reportez-vous à la section Sélection de patchs par saisie.
Vous pouvez également sélectionner un patch à l’aide du clavier de votre ordinateur en
saisissant son numéro de patch. Les numéros de patch apparaissent à gauche des noms
de patch dans la liste des patchs.
Pour sélectionner un patch en saisissant son numéro de patch
1 Cliquez sur la bordure de la liste des patchs pour la sélectionner.
2 Lorsque la liste des patchs estsélectionnée,saisissez le numéro de patch à l’aide du clavier
de votre ordinateur.
Éléments ignorés dans la liste des patchs
Vous pouvez ignorer des patchs ou des sets de la liste des patchs. Lorsqu’un patch ou
un set est ignoré et que vous utilisez la touche Commande conjointement avec lestouches
fléchées pour sélectionner des éléments, le patch ou le set en question n’est pas pris en
compte et l’élémentsuivant (non ignoré) estsélectionné. Toutefois, vous pouvez toujours
sélectionner l’élément en cliquant dessus ou en utilisant les touches fléchées seules.
Les éléments ignorés le sont également lorsque vous utilisez le sélecteur de patchs en
mode Exécution.
Pour ignorer un patch ou un set
1 Sélectionnez le patch ou le set dans la liste des patchs.
2 Choisissez Ignorer dans le menu Action de la liste des patchs.
L’élément apparaît sous la forme d’une fine ligne dans la liste des patchs.
Pour qu’un patch ou un set ignoré ne le soit plus
1 Sélectionnez l’élément (patch ou set) dans la liste des patchs.
2 Choisissez Ne pas passer dans le menu Action de la liste des patchs.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 47L’élément reprend sa taille normale dans la liste des patchs.
Condensation de sets dans la liste des patchs
Vous pouvez condenser des sets dans la liste des patchs. Une fois condensé un set, vous
pouvez l’utiliser ainsi que toute tranche de console ou bus placé sur son niveau, mais
vous ne pouvez en revanche pas y sélectionner ou y lire de patchs en mode Édition.
Pour condenser un set
µ Dans la liste des patchs, cliquez sur le triangle d’affichage du set.
Vous pouvez développer le set en cliquant à nouveau sur son triangle d’affichage.
Condenser un set ne vous empêche pas d’y sélectionner des patchs en mode Exécution.
Pour en savoir plus sur la création et l’utilisation de sets, reportez-vous à la section
Utilisation de sets en mode Édition.
Copie et collage de patchs
Vous pouvez copier, coller et dupliquer des patchs dans la liste des patchs en utilisant
les raccourcis clavier et les menus Mac OS X standard ou en les faisant glisser tout en
maintenant la touche Option enfoncée. Lorsque vous collez ou dupliquez un patch, il
inclut tous les mappages des paramètres du patch d’origine.
Modification de l’ordre des patchs dans la liste des patchs
Lorsque vous ajoutez un patch à un concert, il apparaît sous le patch sélectionné dans
la liste des patchs. Vous pouvez faire glisser les patchs dans la liste des patchs pour les
réorganiser.
Pour réordonner des patchs dans la liste des patchs
µ Faites glisser dans l’ordre voulu les patchs verticalement dans la liste des patchs.
Déplacements répétés des patchs dans la liste des patchs
Le jeu de commandes de MainStage inclut une commande Déplacer à nouveau qui vous
permet de déplacer facilement et à plusieursreprisesles patchssélectionnés. Vous pouvez
utiliser la commande Déplacer à nouveau lorsque vous faites glisser, collez, créez ou
supprimez des patchs de la liste des patchs. Par défaut, la commande Déplacer à nouveau
n’est pas affectée à un raccourci clavier. Pour l’utiliser, vous devriez d’abord l’assigner à
un raccourci clavier dans l’Éditeur de commandes. Pour en savoir plus sur l’utilisation de
l’Éditeur de commandes, reportez-vous à la section Utilisation de l’éditeur de raccourcis
clavier.
Création d’un patch à partir de plusieurs patchs
Vous pouvez créer un patch en associant plusieurs patchs existants. Le nouveau patch
contient toutes les tranches de console des patchs sélectionnés.
48 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionPour créer un patch à partir de plusieurs patchs existants
1 Dans la liste des patchs, sélectionnez les patchs que vous voulez utilisez pour créer le
nouveau patch.
2 Choisissez l’option « Créer un patch à partir de la sélection » dans le menu Action, dans
le coin supérieur droit de la liste des patchs.
Le nouveau patch « combiné » apparaît dans la liste des patchs sous le nom Patch sans
titre.
3 Double-cliquez sur le nom et saisissez un nom pour le patch combiné.
Remarque : la création d’un patch avec plus de trois tranches de console peut affecter
les performances, en particulier si elles utilisent un grand nombre de modules ou des
modules exigeants en termes d’utilisation du processeur.
Définition de la signature temporelle pour un patch
Vous pouvez définir la signature temporelle pour un patch. Les signatures temporelles
peuvent être utilisées avec le module Playback et affectent également le contrôle des
battements du métronome. Lorsque vous définissez la signature temporelle pour un
patch, elle prévaut sur la signature temporelle du concert ou du set.
Pour définir la signature temporelle pour un patch
1 Dans l’inspecteur de patchs, sélectionnez l’onglet Attributs.
2 Dans l’onglet Attributs, cochez la case Possède une signature temporelle.
3 Double-cliquez sur le nombre dansle champ à droite etsaisissez le nombre de battements
pour une mesure de signature temporelle.
4 Choisissez la valeur de battement dans le menu local à droite.
Modification du tempo lorsque vous sélectionnez un patch
Vous pouvez attribuer à un patch un réglage de tempo propre. Ainsi, quand vous
sélectionnez ce patch,son tempo passe alors au tempo qui lui est défini. MainStage utilise
le nouveau tempo jusqu’à ce que vous sélectionniez un autre patch ou set et son réglage
de tempo, et que vous saisissiez un nouveau tempo, ou jusqu’à ce que MainStage reçoive
des informations de tempo à travers les messages MIDI entrants. Pour en savoir plus sur
l’utilisation et la modification du tempo dans MainStage, reportez-vous à la section
Utilisation du Tempo dans un concert MainStage.
Pour changer de tempo en utilisant un patch
1 Dans l’onglet Attributs de l’inspecteur de patchs, définissez le tempo du patch à l’aide
du curseur de valeur « Changer le tempo : ».
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 492 Cochez la case « Changer le tempo : » pour activer le tempo du patch lorsque ce dernier
est sélectionné.
Sélectionnez la case et
définissez le tempo en
utilisant le curseur.
Définition des numéros de changement de programme d’un patch
Lorsque vous ajoutez un patch à un concert, un numéro de changement de programme
MIDI lui est attribué (le plus petit numéro disponible entre 0 et 127). Il en va de même
des patchs suivants jusqu’à ce que tous les numéros de changement de programme
disponibles aient été épuisés. Vous pouvez utiliser ces numéros pour sélectionner des
patchs lors d’une représentation en assignant des boutons d’un matériel MIDI pour
envoyer des messages de changement de programme. Pour les modifier, vous pouvez
utiliser l’inspecteur de sons.
Pour modifier le numéro de changement de programme d’un patch
1 Sélectionnez le patch dans la liste des patchs.
En sélectionnant un patch, l’inspecteur de sons apparaît sous l’espace de travail.
2 Dans l’onglet Attributs de l’inspecteur de patchs, cochez la case Changement de
programme.
3 À l’aide du curseur de valeur, définissez le numéro de changement de programme.
La norme MIDI autorise les numéros de changement de programme de 0 à 127. Si tous
les numéros de changement de programme disponibles dans un conc ert sont déjà
utilisés, tousles patchs ajoutés au concertse verront attribués un zéro (0) comme numéro
de changement de programme, mais celui-ci est inactif (la case n’est pas cochée). Le
changement de plage de numéros n’est pas pris en charge.
Si vous définissez un numéro de changement de programme de façon à dupliquer un
numéro de changement de programme existant, le mot Dupliquer apparaît en rouge en
regard du curseur de valeur de changement de programme. Si au moins deux patchs
partagent un même numéro actif, le patch qui apparaît en premier dansla liste des patchs
ou dans le sélecteur de patchs est celui sélectionné lorsque vous envoyez le message de
changement de programme par le biais de la valeur correspondante.
50 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionVous pouvez réinitialiser les numéros de changement de programme de tous les patchs
actifs (non ignorés) d’un concert. Lorsque vous réinitialisez ces numéros, ils sont assignés
aux patchs en fonction de l’ordre de ces derniers dans la Liste des patchs, de haut en bas.
Les numéros de changement de programme pour les patchs ignorés (inactifs) ne sont
pas réinitialisés.
Pour réinitialiser les numéros de changement de programme des patchs actifs d’un
concert
µ Choisissez « Réinitialiser le numéro de modification de programme » dansle menu Action
de la Liste des patchs (ou appuyez sur Commande + Maj + Option + R).
Vous pouvez assigner des boutons et autres contrôles pour l’envoi de messages de
changement de programme et les utiliser pour sélectionner des patchs dans le concert.
Pour en savoir plus sur l’assignation de boutons, reportez-vous à la section Assignation
de boutons.
Changements de patch différés
Par défaut, lorsque vous basculez entre les patchs, le nouveau patch est prêt pour une
lecture immédiate. Vous pouvez « différer » un changement de patch afin que le
changement de patch se produise une fois que la dernière note du patch précédent a
été relâchée ou tenue.
Pour différer un changement de patch
µ Dans l’onglet Attributs de l’inspecteur de patchs, cochez la case Différer le changement
de patch.
Remarque : différer un changement de patch fonctionne en mode Exécution, mais pas
lorsque vous modifiez les patchs en mode Édition. Vous pouvez différer les changements
de programme MIDI entrants, ainsi que les boutons associés aux actions, mais pas les
changements de patch effectués en cliquant dans le sélecteur ou en utilisant les touches
fléchées.
Désactivation instantanée du son du patch précédent
Il arrive que vous vouliez que le son du patch précédent continue même après avoir
sélectionné un nouveau patch, comme lorsque vous voulez appliquer un effet Sustain
sur un pad d’accord tout en effectuant un solo dessus. À d’autres moments, vous voulez
désactiver instantanément le son du patch précédent lorsque vous sélectionnez un
nouveau patch.
Pour désactiver instantanément le son du patch précédent lorsque vous sélectionnez
un nouveau patch
µ Dans l’onglet Attributs de l’inspecteur de patchs, cochez la case Couper instantanément
le son du patch précédent.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 51Changement de l’icône de patch
Chaque patch possède une icône qui apparaît près de son nom dans la liste des patchs.
Par défaut, l’icône d’un patch indique le type de tranche de console créé lorsque le patch
a été ajouté. Vous pouvez choisir une nouvelle icône pour vos patchs et vous servir des
icônes pour les distinguer dans la liste des patchs.
Pour changer l’icône d’un patch
µ Dans l’onglet Attributs de l’inspecteur de patchs, choisissez une icône dans le menu local
Icône.
Changement de l’accord pour un patch
Par défaut, les patchs utilisent la même méthode d’accord que le concert (ou le set, s’ils
sont dans un set avec sa propre méthode d’accord). Vous pouvez changer l’accord pour
un patch pour qu’il utilise un accord différent. Lorsque vous changez l’accord pour un
patch, il prévaut sur la méthode d’accord du concert ou du set.
Pour changer l’accord d’un patch
1 Dans l’inspecteur de patchs, sélectionnez l’onglet Accord.
2 Choisissez l’accord que vous voulez utiliser pour le patch dans le menu local Méthode.
Suppression de patchs
Vous pouvez supprimer un patch si vous pensez ne plus en avoir besoin dans le concert.
Pour supprimer un patch
1 Sélectionnez le patch dans la liste des patchs.
2 Choisissez Édition > Supprimer (ou appuyez sur la touche Supprimer).
52 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionUtilisation de tranches de console en mode Édition
Les tranches de console correspondent aux bases de vos patchs. Elles contiennent les
instruments et les effets sonores destinés à être utilisés en représentation. Les tranches
de console MainStage reprennent l’interface à laquelle vous êtes habitué dans Logic Pro,
avec la même structure que les tranches de console Logic Pro et la plupart des fonctions
de ces dernières. Les principalesfonctions destranches de console MainStage sont décrites
ci-dessous :
Menu Réglages
Potentiomètre Panoramique
Icône
Bouton Muet et bouton Solo
Slots d’insertion
Slots de départ et Potentiomètre
de niveau de départ
VU-mètre et Affichage du niveau de crête
Commande Expression
Channel EQ
Slot d’entrée et slot de sortie
Curseur Volume
• Icône : indique le type de tranche de console pour faciliter l’identification.
• Commande Expression : permet d’ajuster rapidement la valeur d’expression de la tranche
de console.
• Menu Réglages : permet de charger et d’enregistrer toute la configuration
d’acheminement d’une tranche de console, y comprisl’ensemble des modules chargés
et des réglages.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 53• Channel EQ : permet d’ajouter un effet d’égalisation pour modeler le son du signal de
la tranche de console avant d’appliquer d’autres effets.
• Slots d’insertion : permettent d’insérer jusqu’à 15 modules d’effet dans chaque tranche
de console audio, d’instrument, auxiliaire et de sortie.
• Slots de départ : permettent d’acheminer le signal d’une tranche de console vers une
tranche de console auxiliaire. Les départs sont généralement utilisés pour appliquer le
ou les mêmes effets à plusieurs signaux.
• Potentiomètre de niveau de départ : contrôle l’intensité du signal transmis à une tranche
de console auxiliaire. Ce potentiomètre apparaît lorsqu’un slot de départ est activé.
• Slot d’entrée : définit la source d’entrée de la tranche de console. Selon le type de
tranche de console, il peut s’agir d’une entrée physique, d’un bus ou d’un module
d’instrument logiciel, auquel cas on l’appelle slot Instrument.
• Slot de sortie : définit le chemin de sortie de la tranche de console. Il peut s’agir d’une
sortie physique ou d’un bus.
• Potentiomètre Panoramique : sur une tranche de console mono, le potentiomètre
Panoramique/Balance contrôle la position du signal dansl’image stéréo. Sur une tranche
de console stéréo, il contrôle le niveau relatif des signaux gauche et droit au niveau de
leur sortie.
• Curseur Volume : permet de régler le volume de lecture d’une tranche de console.
• Bouton Muet : permet de désactiver et d’activer le son de la tranche de console.
• Bouton Solo : permet d’activer et de désactiver la lecture solo de la tranche de console.
• VU-mètre : affiche le niveau de lecture d’une tranche de console.
• Affichage du niveau de crête : s’actualise pendant la lecture pour afficher le niveau de
crête atteint.
Dans MainStage, vous pouvez utiliser des tranches de console auxiliaires (aux) ou des
instruments logiciels dans vos patchs, vos sets ou s’appliquant à un concert entier. Vous
pouvez également utiliser des patchs d’instruments externes pour « faire jouer » des
appareils externes et des applications ReWire. Les tranches de console s’utilisent dans
MainStage comme c’est le cas dans Logic Pro. Vous pouvez ajuster le volume à l’aide de
son curseur, ajuster la balance à travers le potentiomètre correspondant et influer sur le
son général d’une tranche de console à l’aide de ses boutons Muet et Solo.
Un concert MainStage peut compter un maximum de 1023 tranches de console
d’instruments logiciels, 512 tranches de console audio, 256 tranches de console
d’instruments externes et 256 tranches de console auxiliaires (aux).
54 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionVous pouvez ajouter des effets à l’aide des slots d’insertion, envoyer le signal à un canal
auxiliaire (aux) à l’aide des slots de départ et choisir une autre sortie dans le slot de sortie.
Pour les tranches de console audio, vous pouvez permuter entre les formats mono et
stéréo à l’aide du bouton Format. Pour lestranches de console d’instrument logiciel, vous
pouvez changer d’instrument à l’aide du slot Instrument. Vous pouvez également choisir,
copier et enregistrer des réglages de tranche de console, choisir un autre type de tranche
de console ou réinitialiser la tranche de console depuis le menu Réglages.
Si vous avez déjà travaillé avec les tranches de console Logic Pro, notez qu’il existe
quelques différences entre celles-ci et les tranches de console MainStage :
• Les tranches de console MainStage incluent un cadran Expression qui permet de voir
facilement l’expression MIDI active qu’elles reçoivent.
• Lestranches de console MainStage ne disposent pas de boutons Enregistrement activé
ou Bounce.
• Les tranches de console audio MainStage peuvent utiliser la fonction Protection contre
l’effet retour automatique pour vous prévenir lorsqu’un effet retour se produit sur le
canal. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la fonction Protection contre l’effet retour,
reportez-vous à la section Utilisation de la fonction Protection contre l’effet retour avec
les tranches de console.
• Les tranches de console audio MainStage ne disposent pas d’un bouton de monitoring
d’entrée (i). Vous pouvez utiliser le bouton Muet pour désactiver le son des tranches
de console.
• Dans MainStage, vous pouvez utiliser le bouton Format pour sélectionner le format
mono ou stéréo. MainStage ne prend pas en charge l’entrée de son Surround, pas plus
que le traitement Surround.
• Les tranches de console MainStage n’ont pas de menus locaux Grouper ou Mode
d’Automation.
• Les tranches de console MainStage incluent une option Tout modifier dans les menus
Entrée et Sortie que vous pouvez utiliser pour modifier l’entrée ou la sortie de toutes
les tranches de console dans un patch, un set ou pour le concert tout entier.
• Dans MainStage, la tranche de console sélectionnée est mise en surbrillance en blanc.
• Seule une tranche de console dans chaque patch, la première tranche de console audio,
envoie de l’audio au Syntoniseur. La tranche de console qui envoie de l’audio vers le
Syntoniseur est signalée par une icône représentant un diapason dans la partie
supérieure de la tranche de console.
• Dans MainStage, le nom de la tranche de console change quand vous sélectionnez un
autre réglage de tranche de console, à moins que vous ne l’ayez renommée.
• Dans MainStage, le numéro de la tranche de console (en bas de cette dernière) reflète
sa position dans le patch et non celle qu’elle occupe dans le concert.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 55• Les modules Surround ne sont pas disponibles dans MainStage.
• Vous pouvez choisir les informations affichées dans la tranche de console, y compris
lesinformations de latence, en cliquant tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée
sur la tranche de console et en choisissant les informations que vous voulez afficher
dans le menu contextuel.
• Le module Playback est disponible uniquement dans MainStage, pas dans Logic Pro.
• Le module Loopback est disponible uniquement dans MainStage, pas dans Logic Pro.
Pour obtenir desinformations complètessur lesinstruments et les effets disponibles dans
Logic Pro, reportez-vous aux manuels Instruments de Logic Pro et Effets de Logic Pro. Pour
en savoir plus sur la façon d’ajouter une tranche de console, reportez-vous à la section
Ajout d’une tranche de console. Pour en savoir plus sur la façon de modifier un réglage
de tranche de console, reportez-vous à la section Modification d’un réglage de tranche
de console.
Sélection de tranches de console
Lorsque vous ajoutez une tranche de console à un patch (ou que vous ajoutez une tranche
de console s’appliquant à un set ou à un concert entier), elle est sélectionnée dans la
zone Tranches de console et les réglages disponibles apparaissent dans le navigateur
Réglages de tranche de piste. Vous pouvez sélectionner une tranche de console
directement en cliquant dessus dans la zone Tranches de console, et pouvez également
en sélectionner une adjacente à l’aide des raccourcis clavier
Raccourci clavier Sélection
Flèche gauche Tranche de console de gauche
Flèche droite Tranche de console de droite
Affichage des tranches de console du cheminement du signal
En plus des tranches de console d’un patch, vous pouvez afficher et modifier les tranches
de console du cheminement du signal dans la zone Tranches de console. Les tranches
de console de cheminement du signal incluent lestranches de console Sortie et principale
pour le concert, les tranches de console auxiliaires qui reçoivent un signal depuis une
tranche de console dans le patch et toutes les tranches de console de set ou de concert
qui sont disponibles lorsque le patch est sélectionné. Vous pouvez aussi afficher des
tranches de cheminement du signal portant sur un set entier.
Lorsque vous affichez les tranches de console de cheminement du signal, les tranches
de console du concert, incluant les tranches de console Sortie et Auxiliaire, présentent
une petite icône de concert dansla partie supérieure de la tranche de console pour mieux
les distinguer des tranches de console au niveau des patchs. Les tranches de console de
set présentent une petite icône de dossier pour les distinguer facilement également.
56 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionVous pouvez modifier les tranches de console de cheminement du signal dans la zone
Tranches de console. Par exemple, vous pouvez ajuster le curseur du volume ou de
panoramique d’une tranche de console de cheminement du signal ou ajouter des effets
à une tranche de console auxiliaire.
Pour afficher des tranches de console du cheminement du signal
µ Choisissez « afficher les tranches de console pour le cheminement du signal » dans le
menu Action situé dans le coin supérieur droit de la zone Tranches de console.
Création d’un alias pour une tranche de console
Vous pouvez créer un alias pour une tranche de console et utiliser l’alias dans différents
patchs ou sets. Les alias vous permettent de répartir des modules qui occupent beaucoup
de mémoire, tels que des instruments et des échantillonneurs multicanaux tiers, entre
différents patchs, plutôt que de créer plusieurs instances de ces modules. Dans certains
cas, créer un alias peut s’avérer plus efficace (utiliser moins de ressources) que d’ajouter
une tranche de console de concert ou de set.
Pour créer un alias pour une tranche de console
1 Dans la zone Tranches de console, sélectionnez la tranche.
2 Choisissez Édition > copier ou appuyez sur les touches Commande + C (par défaut).
3 Dans la liste des patchs, sélectionnez le patch dans lequel vous voulez utiliser l’alias.
4 Choisissez Édition > coller comme alias ou appuyez sur Commande + Option + V (par
défaut).
L’alias est collé aprèsla dernière tranche de console dansle patch (mais avant lestranches
de console de cheminement du signal, si elles sont visibles). Une icône d’alias apparaît
dans la partie supérieure de l’alias pour les distinguer des tranches de console dans le
patch.
Vous pouvez utiliser un alias dans plusieurs patchs ou sets. Si vous modifiez des réglages
de la tranche de console d’origine (à l’exception du volume, du panoramique et de
l’expression), les modifications sont appliquées aux alias de la tranche de console. Vous
pouvez tester chaque patch utilisant un alias après avoir modifié lesréglages de la tranche
de console originale, pour vous assurer que le son est conforme à vos attentes.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 57Remarque : vous ne pouvez pas importer un patch ou un set contenant un alias, car il se
peut que la tranche de console à laquelle est associé l’alias ne soit pas disponible.
Vous pouvez créer un alias d’un instrument multisortie, comme le EXS24 mkII, à utiliser
dans un autre patch ou set dansle concert. Lorsque vous copiez un instrument multisortie
pour créer un alias, assurez-vous de sélectionner touteslestranches de console auxiliaires
pour l’instrument afin que l’instrument multisortie complet soit collé en tant qu’alias.
Pour en savoir plussur l’utilisation d’instruments multisortie dans MainStage, reportez-vous
à la section Utilisation de plusieurs sorties d’instruments dans MainStage.
Modification de tranches de console dans MainStage
Vous pouvez ajouter des instruments à des tranches de console d’instruments logiciels
et ajouter des effets à n’importe quelle tranche de console dans la zone Tranches de
console. L’ajout d’instruments et d’effets se fait de la même manière dans MainStage que
dans Logic Pro.
Pour modifier les paramètres d’une tranche de console, sélectionnez-la dans la zone
Tranches de console, puissousl’espace de travail, modifiez les paramètres dansl’inspecteur
de tranche de console. Vous pouvez définir la tonalité et le décalage de vélocité, créer
une transformation du contrôleur et filtrer les messages de contrôle MIDI envoyés à la
tranche de console. Vous pouvez également renommer la tranche de console et modifier
la couleur et l’icône de la tranche de console. L’inspecteur de tranche de console compte
quatre onglets, permettant d’accéder aux fonctions suivantes :
• Bibliothèque de tranches de console et Bibliothèque de modules : avec une tranche de
console sélectionnée, vous pouvez choisir les réglages de tranche de console dans la
Bibliothèque de tranches de console. Lorsque l’option Insérer slot est sélectionnée,
vous pouvez choisir des réglages pour le module dans la Bibliothèque de modules.
• Attributs : vous pouvez renommer la tranche de console et choisir une couleur et une
icône différentes pour la tranche de console.
• Entrée MIDI : vous pouvez créer des transformations de contrôleur dans l’onglet Entrée
MIDI. Pour les tranches de console d’instruments logiciels et d’instruments externes,
vous pouvez également choisir l’appareil d’entrée MIDI, filtrer l’entrée MIDI, transposer
l’instrument et créer des graphiques de changement d’échelle de vélocité.
• Éditeur de couche : pour lestranches de console d’instrumentslogiciels et d’instruments
externes, vous pouvez définir la tonalité, définir les points de scission flottants ainsi
que la vélocité minimale et maximale de la tranche de console.
La bibliothèque de tranches de console permet d’accéder à touteslestranches de console
disponibles. Toutefois, certaines d’entre elles incluent des modules (en particulier Space
Designer) non adaptés aux représentations en raison de leur usage intensif du processeur.
L’utilisation de ces tranches de console peut affecter les performances de votre concert
en entraînant des pertes du signal audio et d’autres problèmes.
58 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionLes modules d’effet Surround de Logic Pro ne peuvent pas être utilisés avec MainStage.
Si vous choisissez un réglage de tranche de console contenant l’un de ces effets, les effets
inutilisés apparaissent désactivés (gris et barrés d’un trait diagonal).
Sélection de réglages de tranche de console
Il est possible de rapidement changer les paramètres d’un instrument, d’un effet et autres
pour une tranche de console en choisissant un autre réglage de tranche de console. Vous
pouvez choisir un nouveau réglage de tranche de console de deux façons distinctes : en
utilisant la Bibliothèque de tranche de console ou en utilisant le bouton Réglages dans
la partie supérieure de la tranche de console.
Pour choisir un réglage de tranche de console dans la Bibliothèque de tranche de
console
1 Dans la zone Tranches de console, sélectionnez celle à modifier.
La tranche de console sélectionnée est mise en surbrillance dans un cadre bleu.
2 Dans l’inspecteur des tranches de console, cliquez sur l’onglet Bibliothèque de tranches
de console.
Les réglages de tranches de console disponibles apparaissent dans la bibliothèque de
tranches de console. Les réglages des tranches de console internes à MainStage
apparaissent sous la forme d’une série de dossiers avec différentes catégories
d’instruments. Si GarageBand ou des Jam Packs sont installés sur votre ordinateur, ces
réglages apparaissent en dessous des réglages internes.
3 Cliquez sur une catégorie de la colonne de gauche puis sur des sous-catégories des
colonnes de droite pour atteindre les réglages souhaités.
Pour sélectionner un réglage de tranche de console récent, cliquez sur Récent dans la
colonne de gauche, puis sélectionnez-en un dans la seconde colonne. Vous pouvez aussi
choisir un autre réglage de tranche de console dans le menu Réglages en haut de la
tranche de console.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 59Pour choisir un réglage de tranche de console dans le menu Réglages
µ Cliquez sur le bouton Réglages en haut de la tranche de console, puis choisissez un autre
réglage dans le menu qui apparaît.
En choisissant un dans le menu Réglages, vous constaterez qu’il n’apparaît cependant
pas sélectionné dans la Bibliothèque de tranche de console.
Vous pouvez aussi rechercher des réglages de tranche de console par leur nom.
Pour rechercher des réglages de tranche de console dans la Bibliothèque de tranche
de console
1 Dansl’inspecteur destranches de console,sélectionnez l’onglet Bibliothèque de tranches
de console.
2 Choisissez Rechercher dans la bibliothèque dans le menu Action du coin supérieur droit
de l’inspecteur de tranche de console.
3 Dans la zone de dialogue qui apparaît, tapez le texte à rechercher.
La tranche de console dont le nom contient le texte saisi apparaît sélectionnée dans la
bibliothèque.
4 Si plusieurstranches de console incluent dansleur nom le texte saisi, choisissez Rechercher
le suivant dans la bibliothèque dans le menu Action pour les parcourir.
5 Pour modifier le réglage de tranche de console, cliquez sur le nom du nouveau réglage
dans l’inspecteur de tranche de console.
La bibliothèque de tranches de console affiche tous les réglages de tranche de console
disponibles, y compris ceux dont l’utilité est moindre dans MainStage. Si vous choisissez
un réglage de tranche de console contenant des modules non utilisables dans MainStage,
ces derniers apparaissent barrés d’un trait épais diagonal dansla zone Tranches de console.
Attribution d’un nouveau nom à une tranche de console
Lorsque vous ajoutez une tranche de console à un patch, cette dernière est pourvue d’un
nom par défaut. Vous pouvez alors renommer les tranches pour distinguer vos réglages
personnalisés des réglages par défaut.
60 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionPour renommer une tranche de console
µ Dans l’onglet Attributs de l’inspecteur de tranche de console, sélectionnez le nom dans
le champ Nom, puis tapez un nouveau nom.
Saisissez un autre nom
dans le champ.
Changement de couleur d’une tranche de console
Chaque tranche de console a une couleur, qui apparaît dans la partie inférieure de la
tranche de console et sous la forme d’une couche au-dessus du contrôle d’écran clavier
dansl’espace de travail et dansl’Éditeur de couche. Vous pouvez changer la couleur d’une
tranche de console pour mieux distinguer les différentes tranches de console.
Pour changer la couleur d’une tranche de console d’instrument logiciel
µ Dansl’onglet Attributs de l’inspecteur de tranche de console, choisissez une couleur dans
le menu local Couleur.
Choisissez une couleur
dans le menu local.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 61Changement de l’icône d’une tranche de console
Lorsque vous ajoutez une tranche de console, elle apparaît avec une icône par défaut
située au-dessus du menu Réglages. Vous pouvez changer cette icône pour vous aider
à distinguer les tranches de console de différents types d’instrument ou faisant l’objet
de différents usages.
Pour changer l’icône d’une tranche de console
µ Dans l’onglet Attributs de l’inspecteur de tranche de console, choisissez une icône dans
le cadre Icône.
Choisissez une icône
dans le menu. Utilisation de la fonction Protection contre l’effet retour avec les tranches
de console
Vous pouvez utiliser la fonction « Protection contre l’effet retour » sur les tranches de
console d’instrument externes dans MainStage. Par défaut, la fonction « Protection contre
l’effet retour » est activée pour les tranches de console audio et désactivée pour les
tranches de console d’instrument externes. Vous pouvez activer ou désactiver la fonction
« Protection contre l’effet retour » pour les différentestranches de console dansl’inspecteur
de tranche de console.
Pour activer ou désactiver la fonction Protection contre l’effet retour
µ Dans l’onglet Attributs de l’inspecteur de tranche de console, cochez la case Protection
contre l’effet retour pour activer cette fonction. Décochez la case pour la désactiver.
Lorsque la fonction Protection contre l’effet retour est activée pour une tranche de console,
MainStage vous alerte lorsqu’il détecte un effet retour sur le canal. Lorsque l’alerte de
effet retour apparaît, le son du canal est momentanément coupé. Vous pouvez ensuite
choisir de désactiver le son du canal pour rechercher et éliminer la source de l’effet retour,
désactiver la fonction « Protection contre l’effet retour » pour toutes les tranches de
console audio et externes dans tous les concerts, ou continuer d’utiliser le canal et de
recevoir des alertes lorsque l’effet retour se produit.
62 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionPour en savoir plus sur la désactivation globale de la fonction « Protection contre l’effet
retour », reportez-vous à la section Préférences Audio.
Définition de l’entrée clavier pour une tranche de console d’instrument
logiciel
Dans l’inspecteur de tranche de console, vous pouvez choisir le contrôleur clavier à partir
duquel la tranche de console reçoit l’entrée MIDI. Si vous utilisez un instrument
multitimbral, vous pouvez également choisir l’entrée pour chaque canal MIDI. Par exemple,
vous pouvez utiliser l’instrument EVB3 comme instrument multitimbral et envoyer un
signal d’entrée versla tessiture supérieure et inférieure et versla pédale de pied en utilisant
trois canaux MIDI séparés.
Pour définir l’entrée clavier pour une tranche de console d’instrument logiciel
1 Dans l’inspecteur des tranches de console, cliquez sur l’onglet Entrée MIDI.
2 Choisissez l’appareil d’entrée MIDI dans le menu local Clavier dans la section Entrée.
Les noms dans le menu Clavier correspondent aux contrôles d’écran clavier dans l’espace
de travail.
Pour définir l’entrée multitimbrale pour différents canaux MIDI
1 Dans l’inspecteur des tranches de console, cliquez sur l’onglet Entrée MIDI.
2 Choisissez Multitimbral dans le menu local Clavier dans la section Entrée.
3 Dans la zone de dialogue Réglages multitimbraux, choisissez l’appareil d’entrée pour
chaque canal MIDI sur lequel vous voulez recevoir le signal d’entrée MIDI.
Transposition des tranches de console d’instrument logiciel
Vous pouvez transposer (modifier la hauteur tonale) d’une tranche de console d’instrument
logiciel. Lorsque vous transposez une tranche de console, chaque note MIDI reçue par la
tranche de console est transposée par le nombre de demi-tons défini dans le curseur de
valeur Transposer.
Pour transposer l’entrée MIDI d’une tranche de console d’instrument logiciel
1 Sélectionnez la tranche de console dans la zone Tranches de console.
2 Dans l’onglet Entrée MIDI de l’inspecteur de tranche de console, définissez la valeur à
l’aide du curseur de valeur Transposer. Vous pouvez cliquer sur la valeur et faire glisser
le curseur verticalement pour définir la valeur, cliquez sur la flèche vers le haut ou vers
le bas ou double-cliquez sur la valeur et saisissez une nouvelle valeur.
Filtrage de messages MIDI
Vous pouvez filtrer certains messages MIDI pour une tranche de console dansl’inspecteur
de tranche de console. Lorsque vous sélectionnez des types de messages MIDI dans la
section Filtre de l’inspecteur de tranche de console, toutes les données MIDI entrantes
sont filtrées pour ne pas envoyer les messages de ces types à la tranche de console.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 63Vous pouvez filtrer les types de messages MIDI suivants :
• Pitch Bend
• Sustain (message de contrôle 64)
• modulation (message de contrôle 1)
• expression (message de contrôle 11)
• Aftertouch
Pour filtrer des messages MIDI entrants
1 Dans l’inspecteur des tranches de console, cliquez sur l’onglet Entrée MIDI.
2 Dans la section Filtre de l’onglet Entrée MIDI, cochez la case correspondant aux messages
MIDI que vous désirez filtrer.
Si vous avez créé une transformation de contrôleur, vous pouvez filtrer le type de message
d’entrée. La transformation de contrôleur envoie alors toujours des messages de sortie
de son propre type. Il est également possible de filtrer le type de message de sortie,
auquel cas la sortie de la transformation de contrôleur est alors filtrée.
Définition d’une tranche de console pour ignorer Hermode Tuning
Si un patch (ou le concert ou le set contenant le patch) est défini pour utiliser Hermode
tuning, mais le patch contient une tranche de console (par exemple, une tranche de
console avec des percussions) pour laquelle vous ne voulez pas utiliser Hermode tuning,
vous pouvez définir la tranche de console individuelle pour qu’elle ignore Hermode
tuning.
Pour définir une tranche de console pour ignorer Hermode Tuning
µ Dans l’onglet Entrée MIDI de l’inspecteur de tranche de console, cochez la case Ignorer
Hermode Tuning.
Pour en savoir plussur l’utilisation de Hermode tuning, consultez le Manuel de l’utilisateur
de Logic Pro.
Utilisation de graphiques
À l’aide de graphiques, vous pouvez graphiquement remapper les valeurs de certains
messages de contrôle MIDI de sorte que les valeurs d’entrée issues de votre contrôleur
produisent des valeurs de sortie différentes pour la tranche de console ou le paramètre
de module. Les graphiques permettent de visualiser et de modifier facilement une plage
de valeurs d’un paramètre, telle que la vélocité ou la fréquence de coupure d’un filtre.
Vous pouvez utiliser des graphiques pour les types de paramètres suivants :
• Transformations du contrôleur
• Changement d’échelle de vélocité (à la fois pour la vélocité d’entrée et l’entrée de
notes)
64 Chapitre 5 Utilisation du mode Édition• Paramètres auxquels un contrôle d’écran est mappé
Vous pouvez ouvrir une fenêtre de graphique en cliquant sur le bouton de ce type de
graphique dans l’inspecteur adéquat. Les graphiques Transformation et Changement
d’échelle de vélocité pour la tranche de console sélectionnée sont disponibles dans
l’onglet Entrée MIDI de l’inspecteur de tranche de console. Le graphique Paramètre du
contrôle d’écran sélectionné est disponible dans l’onglet du mappage individuel ainsi
que dans l’onglet Mappages de l’inspecteur de contrôle d’écran (mode Édition).
Le graphique affiche la plage des valeurs d’entrée sur l’axe horizontal (x), de gauche à
droite, et la plage de valeurs de sortie sur l’axe vertical (y), de bas en haut.
Dans la fenêtre de graphique, il existe plusieurs moyens pour travailler. Vous pouvez
directement modifier la courbe du graphique, modifier les valeurs numériques à l’aide
de l’éditeur de précision ou utiliser les boutons Courbe pour définir le graphique sur l’une
des courbes prédéfinies.
Les façons de modifier un graphique se ressemblent toutes, quel que soit le type de
graphique, mais certaines fonctionnalités sont spécifiques à l’un ou l’autre type de
graphique. Pour les graphiques Paramètre, vous pouvez modifier les valeurs de plage
minimales ou maximales du graphique à l’aide des curseurs de valeurs Min. plage et Max.
plage. Pour en savoir plussur lestransformations du contrôleur, reportez-vous à la section
Création de transformations du contrôleur. Pour en savoir plussur le changement d’échelle
de vélocité, reportez-vous à la section Changement de l’échelle de vélocité de la tranche
de console. Pour en savoir plus sur les graphiques de mappage de paramètres,
reportez-vous à la section Utilisation de graphiques de mappage de paramètres.
Pour modifier un graphique
1 Sélectionnez la tranche de console ou le contrôle d’écran auquel (ou à laquelle) vous
voulez appliquer le graphique.
2 Sélectionnez l’onglet Entrée MIDI (pour les graphiques de transformation ou de
changement d’échelle de vélocité) ou l’onglet Mappage (pour les graphiques de mappage
de paramètres).
3 Cliquez sur le bouton graphique du type de graphique que vous voulez modifier.
La fenêtre du graphique s’ouvre.
4 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Cliquez sur l’un des boutons Courbe pour définir le graphique sur l’une des courbes
prédéfinies.
• Cliquez sur la courbe à l’endroit où vous voulez ajouter un nœud, puis faites-le glisser
versla valeursouhaitée. Faites-le glisser horizontalement pour modifier la valeur d’entrée
ou verticalement pour modifier la valeur de sortie.
Lorsque vousfaites glisser le nœud, les valeurs de celui-cis’affichent à côté du pointeur.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 65• Double-cliquez sur la courbe à l’endroit où vous voulez ajouter un nœud, puis modifiez
les valeurs de celui-ci dans l’éditeur de précision.
• Cliquez tout en maintenant la touche Option enfoncée sur une partie de la courbe (à
l’exception du nœud), puis faites glisser la partie en pointillé de la courbe pour rendre
la courbe non linéaire.
5 Continuez d’ajouter et d’ajuster les points de la courbe jusqu’au résultat souhaité.
6 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur le bouton de fermeture dans le coin supérieur
gauche de la fenêtre de graphique pour la fermer.
Pour inverser les valeurs du graphique
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Dans la fenêtre du graphique, cliquez sur le bouton Inverser.
µ Dans l’onglet du mappage, cochez la case Inverser la plage de paramètres.
Pour réinitialiser le graphique sur ses valeurs par défaut
µ Cliquez sur le bouton Revenir aux valeurs par défaut dansla partie supérieure de la fenêtre
du graphique.
Après avoir modifié un graphique, le bouton du graphique dans l’Inspecteur affiche la
forme modifiée du graphique dans une couleur bleue foncée pour mieux identifier les
graphiques que vous avez modifiés et comment ils ont été modifiés.
Pour fermer la fenêtre du graphique
µ Appuyez sur Échap (Esc).
Création de transformations du contrôleur
À l’aide du graphique de transformation, vous pouvez remapper les valeurs de certains
messages de contrôle MIDI de sorte que les valeurs d’entrée issues de votre contrôleur
produisent des valeurs de sortie différentes pour la tranche de console. On utilise
fréquemment lestransformations pour l’échelonnement des expressions, pour les besoins
duquel des valeurs d’expression MIDI d’entrée sont mappées à différentes valeurs de
sortie sur une courbe graphique.
De plus, vous pouvez transformer des valeurs d’entrée pour un type de message en valeurs
de sortie pour un autre type de message. Par exemple, vous pouvez transformer les
valeurs de volume MIDI à partir de votre contrôleur pour envoyer des valeurs d’expression
à la tranche de console, ou transformer des valeurs Breath en entrée pour envoyer des
valeurs de modulation. Le graphique de transformation est un moyen polyvalent de
remapper les valeurs et la destination de sortie pour ces messages de contrôle MIDI. Dans
MainStage, vous pouvez transformer les valeurs pour les messages d’expression, de
modulation, de volume MIDI et de Breath Control.
66 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionL’onglet Entrée MIDI, de l’inspecteur de tranche de console, vous permet de choisir les
types de message d’entrée et de sortie et de créer graphiquement des courbes de
transformation. Dans un graphique de transformation, l’axe horizontal représente les
valeurs d’entrée de votre contrôleur tandis que l’axe vertical représente les valeurs de
sortie envoyées à la tranche de console.
Pour définir les types de message d’entrée et de sortie d’une transformation de
contrôleur
1 Dans la zone Tranches de console, sélectionnez la tranche de console pour laquelle vous
voulez créer une transformation de contrôleur.
2 Dans l’inspecteur des tranches de console, sélectionnez l’onglet Entrée MIDI.
3 Dans la section Contrôleurs, choisissez le type de message d’entrée dans le menu local
Entrée.
4 Choisissez le type de message de sortie dans le menu local Sortie.
Cliquez sur le bouton Transformer
pour modifier le graphique.
Choisissez les types de
message d’entrée et de
sortie dans ces menus.
Pour ouvrir le graphique Transformation
µ Dans l’onglet Entrée MIDI de l’inspecteur de tranche de console, cliquez sur le bouton
Transformation.
Le graphique Transformation s’ouvre.
Si un patch contient plusieurs tranches de console avec un graphique de transformation,
les courbes de transformation des autres tranches du patch apparaissent dans la fenêtre
du graphique de transformation de contrôleur derrière la courbe active. Chacune des
tranches de console d’un patch peut posséder une transformation de contrôleur propre.
Pour en savoir plussur la modification du graphique, reportez-vous à la section Utilisation
de graphiques.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 67Changement de l’échelle de vélocité de la tranche de console
Vous pouvez changer l’échelle de vélocité d’une tranche de console à l’aide des graphiques
Changement d’échelle de vélocité. Vous pouvez changer l’échelle de vélocité de la sortie
selon l’entrée de notes ou la vélocité d’entrée.
Lorsque vous effectuez un changement d’échelle de vélocité, chaque vélocité d’entrée
(quelle que soit la note jouée) est mise à l’échelle de la vélocité de sortie.
Lorsque vous effectuez un changement d’échelle de note, la vélocité de sortie est mise à
l’échelle selon la note de la gamme de notes. Cette opération est utile lorsque vous voulez
qu’un paramètre change dans différents endroits de la gamme de notes ; par exemple,
lorsqu’un filtre ou un paramètre d’attaque s’ouvre pour des valeurs de note plus élevées
afin de donner un son plus clair et plus aigu.
Pour ouvrir un graphique de changement d’échelle de vélocité
1 Dans la zone Tranches de console, sélectionnez la tranche de console sur laquelle vous
voulez effectuer le changement d’échelle de vélocité.
2 Dans l’inspecteur des tranches de console, sélectionnez l’onglet Entrée MIDI.
3 Dans l’onglet Entrée MIDI, procédez de l’une des façons suivantes :
• Pour ouvrir le graphique d’entrée de vélocité,sélectionnez le bouton Entrée de vélocité.
• Pour ouvrir le graphique d’entrée de note, sélectionnez le bouton Entrée de note.
Le graphique de changement d’échelle de vélocité sélectionné s’ouvre.
Pour en savoir plussur la modification du graphique, reportez-vous à la section Utilisation
de graphiques.
Création de couches et de scissions de clavier
Si vous jouez sur un clavier contrôleur, vous pouvez facilement créer des couches et des
scissions de clavier dans vos patchs MainStage. Vous pouvez créer des couches et des
scissions en ajoutant deux ou plusieurs tranches de console à un patch et en définissant
les valeurs Note basse et Note élevée de chaque tranche de console afin de déterminer
sa plage de notes. Sur un clavier contrôleur, la plage de notes déclenche les sons de
l’instrument logiciel ou de l’instrument externe de la tranche de console. Vous pouvez
définir des plages de notes de sorte que les tranches de console se chevauchent (pour
les sons en couches) ou soient contiguës (pour les scissions).
L’onglet Éditeur de couche de l’inspecteur de tranche de console affiche la plage de notes
de chaque tranche de console dans un patch et dans le concert ou le set contenant le
patch (si l’un ou l’autre inclut une tranche de console avec une plage de notes). Vous
pouvez définir la plage de notes d’une tranche de console de plusieurs façons : vous
pouvez faire glisser les bords de la couche, utiliser les boutons d’apprentissage pour
définir les valeurs Note basse et Note élevée ou utiliser les curseurs de valeurs Note basse
et Note élevée.
68 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionPour ouvrir l’éditeur de couche
µ Dans l’inspecteur des tranches de console, cliquez sur l’onglet Éditeur de couche.
Pour définir une plage de notes à l’aide de couches
1 Dans l’éditeur de couche, déplacez le pointeur sur le bord gauche de la couche que vous
voulez changer/définir.
Il se change alors en pointeur de redimensionnement.
2 Faites-glisser le bord gauche de la couche vers la note que vous voulez utiliser comme
note basse (la plus basse des notes de la plage de notes).
3 Déplacez le pointeur sur le bord droit de la couche.
4 Faites-glisser le bord droit de la couche vers la note que vous voulez utiliser comme note
élevée (la plus élevée des notes de la plage de notes).
Pour définir une plage de notes à l’aide des boutons d’apprentissage
1 Dans la zone Tranches de console, sélectionnez la tranche.
2 Dans l’inspecteur des tranches de console, cliquez sur l’onglet Éditeur de couche.
3 Cliquez sur le bouton Apprendre à côté du curseur de valeurs Note basse.
Cliquez sur Apprendre et jouez
la note correspondante sur votre
clavier musical.
4 Sur votre clavier contrôleur, appuyez sur la touche correspondant à la note que vous
souhaitez définir comme la note la plus grave de votre plage de notes.
5 Cliquez sur le bouton Apprendre pour désactiver le mode d’apprentissage pour de la
note grave.
6 Cliquez sur le bouton Apprendre à côté du curseur de valeurs Tons clairs.
7 Sur votre clavier contrôleur, appuyez sur la touche correspondant à la note que vous
souhaitez définir comme la note la plus aiguë de votre plage de notes.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 698 Cliquez sur le bouton Apprendre pour désactiver le mode d’apprentissage pour de la
note aiguë.
Lorsque vous lancez la lecture du patch, vous pouvez entendre le son de la tranche de
console quand vous jouez les notes faisant partie de la plage de notes. Les notes en
dehors de la plage ne génèrent aucun son à travers la tranche de console.
Pour définir une plage de notes à l’aide des curseurs de valeur
1 Dans la zone Tranches de console, sélectionnez la tranche.
2 Dans l’inspecteur des tranches de console, cliquez sur l’onglet Éditeur de couche.
3 Modifiez la valeur dans le curseur de valeur Note basse.
Vous pouvez cliquer sur la valeur et faire glisser le curseur verticalement, cliquez sur la
flèche vers le haut ou vers le bas ou double-cliquez sur la valeur et saisissez une nouvelle
valeur.
Définissez la touche aiguë et
la touche grave à l’aide de ces
curseurs de valeurs.
4 Modifiez la valeur dans le curseur de valeur Note élevée.
Vous pouvez cliquer sur la valeur et faire glisser le curseur verticalement, cliquez sur la
flèche vers le haut ou vers le bas ou double-cliquez sur la valeur et saisissez une nouvelle
valeur.
Définition de points de scission flottants
Lorsqu’une plage de notes présente un point de scission flottant, les notes situées aux
extrémités de cette dernière varient en fonction des touches que vous jouez près de ces
extrémités. Vous pouvez définir les points de scission flottants dans l’onglet Éditeur de
couche de l’inspecteur de tranche de console.
70 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionVoici une explication de ce que sont les points de scission flottants, exemple à l’appui :
si vous définissez la note grave (Tons sombres) d’une plage de notes sur Do1, définissez
une valeur de point de scission flottant de 3, puis jouez les notes directement au-dessus
de Do1 (par exemple les notes Fa1, Mib1, Ré1), et jouez progressivement vers les graves
en dessous de Do1 (par exemple les notes Do1, Sib0, La0) : le point de scission se déplace
vers le bas pour inclure ces notes, jusqu’à la valeur du point de scission flottant
(3 demi-tons). En revanche, si vous commencez à jouer les notes immédiatement en
dessous de la note grave (les notes Sol0, La0, Si0 par exemple) et que vous jouez en
remontant vers les aiguës au-dessus de Do1 (les notes Do1, Ré1, Mi1 par exemple), le
point de scission se déplace vers le haut pour inclure ces notes, jusqu’à la valeur du point
de scission flottant (dans cet exemple, Do1 et Ré1 seraient incluses, mais pas Mi1, qui se
trouve quatre demi-tons plus haut que la note grave).
Pour définir des points de scission flottants pour une couche/plage de notes
1 Dansl’onglet Éditeur de couche, cliquez sur le curseur de la valeur flottante de note basse
et faites-le glisser verticalement pour modifier la valeur, ou double-cliquez sur la valeur
actuelle et saisissez une nouvelle valeur (la valeur est le nombre de demi-tons utilisés
pour la scission).
2 Cliquez sur le curseur de la valeur flottante de note élevée et faites-le glisser verticalement
pour changer la valeur ou double-cliquez sur la valeur actuelle et saisissez une nouvelle
valeur.
Vous pouvez aussi créer une scission de clavier en ajoutant une tranche de console portant
sur un set et en ajustant la plage de notes des tranches de console dans les patchs du
set. La tranche de console du set entier prend la priorité sur touteslestranches de console
des patchs du set pour les notes incluses dans sa plage de notes. Pour en savoir plus sur
l’ajout d’une tranche de console au niveau du set, reportez-vous à la section Manipulations
par set.
Définition de la plage de vélocité
Par défaut, la vélocité d’une tranche de console s’étend de 1 à 127. Vous pouvez réduire
la plage de vélocité de sorte que la tranche de console ne réponde que si les notes que
vousjouez à partir de votre contrôleursontsituées entre les valeurs minimale et maximale
que vous avez définies.
Pour définir la plage de vélocité d’une tranche de console
1 Dans la zone Tranches de console, sélectionnez la tranche.
2 Dans l’inspecteur des tranches de console, cliquez sur l’onglet Éditeur de couche.
3 Dans l’Éditeur de couche, définissez la vélocité minimale à partir de laquelle la tranche
de console doitse déclencher. (Cliquez sur la valeur et faites glisser le curseur verticalement
pour changer la valeur ou double-cliquez sur la valeur et saisissez une nouvelle valeur.)
4 À l’aide du curseur, définissez la vélocité maximale en dessous de laquelle la tranche de
console doit se déclencher.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 71Substitution de plages de notes portant sur un concert ou un set entier
Si une tranche de console d’instrument logiciel s’applique au concert entier, la tranche
de console du concert prend la priorité sur toute tranche de console d’instrument logiciel
portant sur un patch et dont les notes se trouvent dans sa plage de notes. Cela signifie
que lorsque vous jouez des notes faisant partie de la plage de la tranche de console du
concert sur un clavier contrôleur, vous n’entendez que la tranche du concert, même si
un patch est sélectionné.
De même, si une tranche de console d’instrument logiciel existe pour le set entier, les
mêmes conditions s’appliquent à tous les patchs du set. Autrement dit, la tranche de
console du set prend la priorité sur celles du patch et dont les notes se situent dans sa
plage de notes.
Vous pouvez substituer lestranches de console applicables à un concert ou à un set entier
par une tranche de console d’un patch particulier de manière à ce que la tranche du
patch prenne la priorité sur celles du concert ou du set entier.
Pour substituer des plages de notes applicables à un concert ou à un set entier
1 Dansla liste des patchs,sélectionnez le patch correspondant à la tranche de console dont
vous souhaitez substituer la tranche de console de concert ou de set.
2 Dansla zone Tranches de console,sélectionnez la tranche de console dont voussouhaitez
écraser la plage de notes de concert ou de set.
3 Dans l’inspecteur des tranches de console, sélectionnez l’Éditeur de couche.
4 Cochez la case Ignorer les plages parentes.
La case Ignorer les plages parentes est disponible uniquement si une tranche de console
au niveau concert ou set existe.
Utilisation de l’Éditeur d’instrument EXS24 mkII dans MainStage
Pour les tranches de console utilisant l’instrument d’échantillonneur EXS24 mkII, vous
pouvez modifier les zones et les groupes de l’instrument d’échantillonneur dans l’Éditeur
d’instruments EXS. L’Éditeur d’instruments EXS24mkII fonctionne exactement de la même
façon dans MainStage que dans Logic Pro, à une exception près : dans MainStage, vous
ne pouvez pas ouvrir l’éditeur d’échantillons pour modifier des échantillons audio
individuels.
Dans un instrument EXS24 mkII, une zone est un emplacement dans lequel un seul
échantillon (fichier audio) est chargé depuis un disque dur. Vous pouvez modifier les
paramètres de zone en mode d’affichage Zone. Des zones peuvent être assignées à des
groupes, qui fournissent des paramètres vous permettant de modifier simultanément
toutes les zones d’un même groupe. Vous pouvez définir autant de groupes que vous le
souhaitez. L’Éditeur d’instruments compte deux modes d’affichage : Zones et Groupes.
Vous pouvez modifier des zones en mode d’affichage Zones et modifier des paramètres
de groupe en mode d’affichage Groupes.
72 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionPour ouvrir l’Éditeur d’instruments EXS24 mkII
1 Dans une tranche de console utilisant l’instrument EXS24 mkII, double-cliquez sur le
logement EXS24 dans la section E/S.
2 Dans la zone supérieure droite de la fenêtre du module EXS24 mkII, cliquez sur le bouton
Modifier.
Cliquez sur le bouton
Modifier pour ouvrir
l’éditeur d’instruments.
L’Éditeur d’instruments s’ouvre. Lorsque vous jouez des notes sur le clavier de l’Éditeur
d’instruments EXS24 mkII, elles sont reproduites sur la tranche de console sélectionnée.
Vous pouvez basculer entre les modes d’affichage Zones et Groupes, cliquersur des zones
individuelles pour afficher leurs paramètres, cliquersur des notes du clavier pour entendre
les échantillons pour leur sont assignés, créer des zones et des groupes et modifier les
paramètres de zone et de groupe comme vous le faites dans Logic Pro.
Pour des informations détaillées sur l’utilisation de l’Éditeur d’instruments EXS24 mkII,
reportez-vous au manuel Instruments de Logic Pro.
Utilisation de plusieurs sorties d’instruments dans MainStage
MainStage prend en charge plusieurs versions de sortie des instruments EXS24 mkII,
Ultrabeat et de certains instruments Audio Units. Vous pouvez insérer des instruments à
plusieurs sorties et les utiliser pour acheminer différentes sorties vers différentes sorties
physiques, appliquer des modules différents ou un traitement différent à plusieurssorties,
ou pour d’autres utilisations.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 73Si un instrument prend en charge plusieurssorties, une ou plusieurs versions multisorties
sont disponibles dans le menu Module de l’instrument.
Le menu Module affiche des informations spécifiques sur les configurations de sortie, par
exemple : EXS24: Multi-sortie (5xStéréo, 6xMono).
Remarque : touslesinstruments ne prennent pas en charge lessorties multiples. Si aucune
version multisortie n’est disponible dans le menu Module, cela signifie que l’instrument
ne prend pas en charge plusieurs sorties.
Pour insérer un instrument multisortie
1 Sur la tranche de console danslaquelle vous voulez utiliser l’instrument multisortie, cliquez
sur le logement Instrument.
2 Choisissez l’instrument dans le menu Module et choisissez la version multisortie dans le
sous-menu.
Le nom de l’instrument apparaît dans le logement Instrument et un petit bouton Ajouter
(+) apparaît sous le bouton Solo de la tranche de console. La sortie de l’instrument est
définie sur Sortie 1-2.
3 Double-cliquez sur le logement Instrument pour ouvrir la fenêtre de l’instrument (du
module).
74 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionVous devez configurer le cheminement de sortie des sons ou des échantillons individuels
dans l’instrument (dans la fenêtre du module). Configurez le cheminement de sortie de
l’instrument EXS24 mkII dans l’éditeur d’instrument et configurez le cheminement de
sortie de Ultrabeat dans le menu Sortie de la section Assignation de la fenêtre Ultrabeat.
4 Sur la tranche de console, cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter des sorties
supplémentaires.
À chaque fois que vous ajoutez une sortie, une nouvelle section de la tranche de console
est ajoutée, avec la paire de sorties suivante disponible.
Chaque sortie utilise le même instrument, mais chacun peut compterses propresréglages
d’insertions, de volume, de panoramique et d’expressions et ses propres envois d’effets,
ainsi que ses propres sorties.
Pour en savoir plus sur l’utilisation de plusieurs sorties d’instrument, consultez le
Manuel de l’utilisateur de Logic Pro et le manuel Instruments de Logic Pro. Des informations
sur desinstrumentsspécifiques(par exemple, Ultrabeat)sont disponibles dansles chapitres
relatifs à ces instruments.
Utilisation d’instruments MIDI externes dans MainStage
Vous pouvez ajouter une tranche de console d’instrument MIDI externe à un patch et
l’utiliser pour jouer d’un instrument externe, comme un synthétiseur. Vous pouvez
également utiliser un instrument externe pour « jouer » d’une application ReWire.
Lorsque vous utilisez une tranche de console d’un instrument MIDI externe, vous choisissez
le canal MIDI pour envoyer le signal de sortie MIDI de MainStage versl’instrument et vous
choisissez les entrées audio pour recevoir l’audio de l’instrument. Le signal de sortie audio
de l’instrument est acheminé vers l’entrée de la tranche de console, où vous pouvez le
traiter en utilisant les effets MainStage.
Pour ajouter une tranche de console d’un instrument externe
1 Cliquez sur le bouton « Ajouter une tranche de console » (+) dans le coin supérieur droit
de la zone Tranches de console.
2 Dans la zone de dialogue Nouvelle tranche de console, sélectionnez Instrument externe.
Vous pouvez également choisir l’entrée et la sortie MIDI, le format, ainsi que l’entrée et
la sortie audio de la tranche de console. Vous pouvez choisir un canal audio ou une
application ReWire pour l’entrée, mais vous ne pouvez pas choisir un bus. Le menu local
Entrée MIDI affiche les contrôles d’écran Clavier ou Activité MIDI (qui reçoivent le signal
d’entrée de note MIDI) actuellement dans l’espace de travail.
Remarque : lorsque vous utilisez un instrument externe pour envoyer le signal MIDI vers
une application ReWire esclave (telle que Reason ou Live), vous devriez désactiver tout
signal d’entrée MIDI que l’application esclave pourrait recevoir directement du contrôleur
matériel. Pour en savoir plus sur la désactivation de l’entrée MIDI depuis un matériel,
consultez la documentation de l’application concernée.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 75Pour les applications ReWire, lorsque vous ajoutez une tranche de console externe,
définissez le port MIDI sur l’esclave ReWire. La liste Canal se met également à jour selon
le port utilisé. Certaines applications ReWire esclaves utilisent plusieurs ports. Pour utiliser
une application ReWire avec MainStage, ouvrez l’application ReWire après avoir ouvert
MainStage.
Lorsque vous jouez de votre contrôleur de clavier avec le patch contenant l’instrument
MIDI externe sélectionné, MainStage envoie des notes et d’autres messages MIDI vers la
Sortie MIDI et le Canal MIDI choisis, reçoit l’audio de l’Entrée choisie et envoie la sortie
audio versla Sortie choisie. Vous pouvez également envoyer un message de changement
de programme à l’instrument externe lorsque vous sélectionnez le patch pour contrôler
le programme utilisé par l’instrument externe.
Pour envoyer un changement de programme à un instrument externe lorsque vous
sélectionnez un patch
1 Dans l’inspecteur des tranches de console, cliquez sur l’onglet Sortie MIDI.
2 Dans l’onglet Sortie MIDI, cochez la case Envoyer changement de programme.
La valeur Changement de programme est définie par défaut sur –1. Aucun changement
de programme n’est donc envoyé lorsque vous cochez la case « Envoyer changement de
programme » tant que vous ne modifiez pas la valeur.
3 Définissez le numéro de changement de programme que vous voulez envoyer à l’aide
du curseur de valeur Envoyer changement de programme.
4 Si vous voulez envoyer un message de changement de banque, cochez la case Envoyer
changement de banque, puis définissez l’octet le plussignificatif (MSB) et l’octet le moins
significatif (LSB) du numéro de changement de banque à l’aide des curseurs de valeurs
MSB de banque et LSB de banque.
Lorsque vous sélectionnez le patch, les messages de changement de programme et de
changement de banque sont envoyés vers l’instrument externe. Notez également que
les changements de programme et de banque sont envoyés lorsque vous ajustez les
curseurs de valeur de changement de programme et de changement de banque dans
l’inspecteur de tranche de console (vous êtes donc assuré que les valeurs que voussaisissez
envoient les bons messages de changement de programme et de banque).
Si vous souhaitez que l’instrument externe réponde au changement de programme mais
que vous ne voulez pas qu’il reçoive les informations de notes MIDI ou autres de votre
contrôleur, cliquez sur l’onglet Entrée MIDI et choisissez Rien dans le menu local Clavier.
Vous pouvez également utiliser un potentiomètre ou un curseur associé à l’action
Changement de programme pour envoyer des changements de programme à un
instrument externe.
76 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionPour envoyer des changements de programme à un instrument externe à l’aide d’un
contrôle d’écran
1 Dans l’espace de travail, cliquez sur le contrôle d’écran que vous souhaitez utiliser pour
envoyer des messages de changement de programme.
2 Dans l’inspecteur de contrôles d’écran, cliquez sur l’onglet Non mappé.
3 Dansle navigateur Mappage,sélectionnez l’instrument externe, puisle dossier Contrôleur
MIDI dans le sous-menu.
4 Dans la troisième colonne en partant de la gauche, sélectionnez Changement de
programme.
Le contrôle d’écran est désormais associé au paramètre Changement de programme.
Vous pouvez envoyer des changements de programme à l’instrument externe à l’aide de
la commande matérielle assignée au contrôle d’écran.
Remarque : si le paramètre Sortie MIDI de la tranche de console d’instrument externe est
défini sur l’instrument externe lorsque vous associez le contrôle d’écran au paramètre
Changement de programme, un changement de programme (Programme 0) est envoyé
lorsque vous créez le mappage. Si vous êtes en train de modifier le programme sur
l’instrument externe, il se peut que vos modifications soient perdues. Pour associer le
contrôle d’écran sans envoyer immédiatement de changement de programme à
l’instrument externe, choisissez Rien dansle slot Sortie MIDI de l’instrument externe avant
de créer le mappage, puis choisissez l’instrument externe dans le slot Sortie MIDI lorsque
vous avez terminé le mappage. Aucun changement de programme n’est envoyé tant
que vous ne déplacez pas le potentiomètre ou le curseur.
Vous pouvez également envoyer des messages MIDI, notamment des messages SysEx et
de contrôle continu, aux appareils MIDI connectés à l’aide d’une tranche de console
d’instrument externe. L’inspecteur de tranche de console comporte une commande
« Envoyer fichier MIDI » permettant de sélectionner un fichier MIDI standard contenant
les informations à envoyer.
Pour envoyer un fichier MIDI à l’aide d’un instrument externe
1 Dans l’inspecteur de tranche de console d’instrument externe, cliquez sur l’onglet Sortie
MIDI.
2 Cochez la case « Envoyer fichier MIDI », puis cliquez sur le bouton Sélectionner.
3 Naviguez jusqu’à l’emplacement du fichier MIDI à ajouter, sélectionnez le fichier, puis
cliquez sur Envoyer.
Le fichier MIDI est envoyé immédiatement au portsélectionné dansla tranche de console
d’instrument externe. Il est renvoyé à chaque changement de patch tout comme les
autres options de l’inspecteur de tranche de console (telles que les messages Changement
de programme ou Horloge MIDI).
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 77Seuls les types SMF (fichier MIDI standard) 0 et 1 sont pris en charge. Les fichiers MIDI
sont envoyés un à la fois concert par concert. Si vous parcourez rapidement plusieurs
patchs qui envoient de longs fichiers MIDI, ceux-ci sont mis en attente et envoyés l’un
après l’autre. Les messages MIDI sont envoyés au tempo stocké dans le fichier MIDI.
Utilisation du Moniteur d’activité
Lorsque vous travaillez sur votre concert en mode Édition, le Moniteur d’activité dans la
barre d’outils affiche des informations sur l’utilisation actuelle du processeur et de la
mémoire ainsi que les messages MIDI reçus. La section Processeur du Moniteur d’activité
apparaît en rouge pour indiquer un état de surcharge du processeur.
La section Mémoire du Moniteur d’activité apparaît en jaune pour indiquer un état de
faible mémoire. Les états de mémoire faible peuventse produire lorsqu’un grand nombre
de tranches de console ou de modules exigeants en termes de mémoire sont utilisés
dans un concert ou lorsque vous utilisez d’autres applications gourmandes en mémoire
(notamment des applications ReWire) en même temps que le concert. Si un état de faible
mémoire se produit, tentez d’ouvrir le concert à nouveau et de consolider certains modules
ou tranches de console occupant beaucoup de mémoire.
Suppression de tranches de console
Vous pouvez supprimer une tranche de console que vous ne voulez plus dans un patch.
Pour supprimer une tranche de console
1 Sélectionnez la tranche de console dans la zone Tranches de console.
2 Choisissez Édition > Supprimer (ou appuyez sur la touche Supprimer).
Utilisation de modules en mode Édition
MainStage inclut un ensemble complet de modules d’instrument et d’effet Logic Pro de
qualité professionnelle, ainsi que des modules utilitaires tels que le Syntoniseur.
Danslestranches de console MainStage, vous pouvez utiliser les modules dans des patchs,
ainsi qu’au niveau des concerts et des sets. Vous pouvez utiliser les modules d’instrument
danslestranches de console d’instrument logiciel, et les modules d’effet danslestranches
de console audio, d’instrument logiciel, d’instrument externe et auxiliaires. En plus des
modules standard intégrés, MainStage permet d’utiliser des modules d’instrument et
d’effet Audio Units.
Ajout, suppression, déplacement et copie de modules
Vous pouvez ajouter des modules à une tranche de console, remplacer un module par
un autre et supprimer des modules d’une tranche de console. Vous pouvez également
déplacer, réorganiser et copier des modules au sein d’une tranche de console ou d’une
tranche de console à une autre.
78 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionPour ajouter un module d’instrument
µ Cliquez sur le slot Instrument et maintenez le bouton de la souris enfoncé, puis parcourez
le menu de modules pour rechercher et sélectionner celui que vous souhaitez utiliser.
Pour ajouter un module d’effet
µ Cliquez sur le slot d’insertion, puis parcourez le menu de modules pour rechercher et
sélectionner celui que vous souhaitez utiliser.
Pour remplacer un module
µ Cliquez sur le slot d’insertion ou Instrument et maintenez le bouton de la souris enfoncé,
puis parcourez le menu de modules pour en rechercher et en sélectionner un autre.
Pour supprimer un module
µ Cliquez sur le slot d’insertion ou Instrument et maintenez le bouton de la souris enfoncé,
puis choisissez Aucun module dans le menu.
Pour déplacer un module
µ Tout en maintenant la touche Commande enfoncée, faites glisser le module vers un slot
vide de la même tranche de console ou d’une autre.
Pour réorganiser les modules
µ Tout en maintenant la touche Commande enfoncée, faites glisser le module vers un slot
occupé de la même tranche de console ou d’une autre.
Pour copier un module
µ Tout en maintenant les touches Commande + Option enfoncées, faites glisser le module
vers un autre slot de la même tranche de console ou d’une autre.
Utilisation du module Channel EQ
Le module Channel EQ permet de modeler le son de la tranche de console avant
d’appliquer d’autres effets.
Pour utiliser le module Channel EQ
1 Double-cliquez sur l’icône EQ en haut de la tranche de console.
Le module Channel EQ est ajouté au premier slot d’insertion disponible et sa fenêtre
s’ouvre.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Choisissez un réglage Channel EQ dans le menu Réglages en haut de la fenêtre du
module.
• Modifiez graphiquement une bande EQ en faisant glisser la souris verticalement pour
modifier le niveau ou horizontalement pour modifier la fréquence centrale.
• Modifiez numériquement une bande EQ en cliquant sur la valeur et en faisant glisser
la souris pour l’augmenter ou la diminuer, ou en double-cliquant sur la valeur puis en
en saisissant une nouvelle.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 79Pour des informations détaillées sur l’utilisation de l’effet Channel EQ, reportez-vous au
manuel Effets de Logic Pro.
Utilisation des réglages des modules
Les modules MainStage incluent des réglages combinant des valeurs de paramètres
optimisées pour obtenir un résultat précis. Pour un module d’instrument, un réglage peut
recréer le son caractéristique d’un instrument donné, tandis que pour un module d’effet,
il peut être conçu pour être utilisé avec un instrument spécifique ou pour créer un son
précis. Le menu Réglages de chaque module permet de choisir, de copier, de coller et
d’enregistrer des réglages, et d’effectuer d’autres actions.
Pour choisir un réglage de module
1 Double-cliquez sur le slot du module pour ouvrir la fenêtre de celui-ci.
2 Cliquez sur le menu Réglages (en haut de la fenêtre du module), recherchez le réglage
voulu, puis sélectionnez-le.
Astuce : vous pouvez également sélectionner le slot du module, puis choisir un réglage
dans l’inspecteur de tranche de console.
Pour choisir le réglage de module précédent
µ Cliquez sur la flèche gauche en regard du menu Réglages(ou choisissez Réglage précédent
dans le menu Réglages).
Pour choisir le réglage de module suivant
µ Cliquez sur la flèche droite en regard du menu Réglages (ou choisissez Réglage suivant
dans le menu Réglages).
Pour copier et coller des réglages de module
1 Cliquez sur le bouton Copier dans l’en-tête de la fenêtre du module (ou choisissez Copier
les réglages dans le menu Réglages).
Lesréglages de tousles paramètressont alors copiés dans un presse-papiers pour réglages
de module, qui est indépendant du presse-papiers global.
2 Cliquez sur le bouton Coller dans l’en-tête de la fenêtre du module (ou choisissez Coller
le réglage dans le menu Réglages).
Pour enregistrer les modifications apportées à un réglage de module
µ Choisissez Enregistrer les réglages pour enregistrer les valeurs actives des paramètres du
module dans le réglage. Le réglage existant est alors écrasé.
µ Choisissez « Enregistrer le réglage sous » pour enregistrer le réglage sous un nouveau
nom dansle dossier de votre choix. Vous pouvez créer un dossier dansla zone de dialogue
Enregistrer sous, si vous le souhaitez.
80 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionRemarque : lessous-dossiers doiventse trouver dansle dossier du module correspondant.
Par exemple, vous pouvez enregistrer un réglage appelé Euro Lead dans le sous-dossier
Lead Synths du dossier ES2.
Pour rétablir les réglages par défaut d’un module
µ Choisissez Réinitialiser le réglage dans le menu Réglages.
Pour créer un réglage par défaut
µ Enregistrez un réglage appelé #default dans le dossier Settings du module.
Pour supprimer un réglage de module
µ Choisissez Supprimer le réglage dans le menu Réglages.
Modification des paramètres des modules
La fenêtre de chaque module comporte des commandes permettant de modifier les
valeurs des paramètres du module. Certaines commandes, telles que les boutons, les
potentiomètres et les curseurs, sont communes à plusieurs modules, tandis que d’autres
sont spécifiques à un module donné. La plupart des commandes sont libellées pour
indiquer le paramètre auquel elless’appliquent. Voustrouverez desinformations complètes
sur les paramètres de chaque module dans les manuels Instruments de Logic Pro et Effets
de Logic Pro.
Pour modifier les paramètres des modules
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Cliquez sur les boutons pour les activer ou les désactiver.
µ Faites glisser verticalement les potentiomètres pour modifier leur valeur.
µ Faites glisser horizontalement ou verticalement les curseurs, selon leur orientation.
µ Saisissez une valeur dans un champ numérique.
µ Sélectionnez une commande, puis faites tourner la molette de la souris ou balayez le
trackpad pour modifier la valeur.
Pour rétablir la valeur par défaut d’un paramètre
µ Cliquez sur le paramètre tout en appuyant sur la touche Option.
Pour modifier plus précisément un paramètre
µ Maintenez la touche Maj enfoncée avant de manipuler une commande.
Utilisation des autres commandes des fenêtres des modules
L’en-tête de la fenêtre est commun à tous les modules Logic.En plus du menu Réglages,
l’en-tête comporte des commandes permettant de changer de présentation, de désactiver
le module et de comparer les réglages du module avant et après modification. Des
paramètres avancéssont également disponibles au bas de la fenêtre de certains modules.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 81Vous pouvez visualiser les paramètres des modules dans une présentation Éditeur, qui
tient lieu d’interface graphique du module, ou dans une présentation Contrôles, qui
affiche les paramètres sous la forme d’une rangée de curseurs de valeur lorsque cela est
possible.
Pour basculer entre les présentations Éditeur et Contrôles
µ Choisissez l’option Contrôles ou Éditeur dans le menu Présentation de l’en-tête de la
fenêtre du module.
Pour désactiver un module
µ Cliquez sur Inactif dans l’en-tête de la fenêtre du module.
Pour comparer le module avant et après modification
1 Cliquez sur Comparer dans l’en-tête de la fenêtre du module pour écouter le module
avec ses réglages enregistrés.
2 Cliquez à nouveau sur Comparer pour écouter le module avec vos dernières modifications
(apportées depuis l’enregistrement).
Pour afficher les paramètres avancés du module
µ Cliquez sur le triangle d’affichage au bas de la fenêtre du module.
Mappage de contrôles d’écran
Après avoir créé vos patchs et assimilé les assignations de contrôleur pour les contrôles
d’écran que vous voulez utiliser, vous pouvez mapper les contrôles d’écran MainStage
aux paramètres de tranche de console et de module pour modifier le son de vos patchs
en cours de représentation ou les associer à des actions MainStage pour contrôler d’autres
fonctions.
Vous devez mapper des contrôles d’écran à des paramètres en mode Édition. Une fois
que vous avez assimilé les assignations de contrôleur (en mode Layout), sachez que les
contrôles d’écran dansl’espace de travail ne répondent pas aux activations de commandes
physiques du matériel MIDI tant qu’ils ne sont pas mappés à des paramètres destranches
de console (en mode Édition). Il existe deux moyens pour mapper les contrôles d’écran
aux paramètres: en sélectionnant visuellement les paramètressur lestranches de console
ou dans les fenêtres de module, ou en choisissant les paramètres dans le navigateur des
correspondances de paramètres. Vous pouvez également créer des mappages dans le
tableau Assignations et mappages. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section Utilisation
de l’onglet Assignations et mappages.
82 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionMappage de contrôles d’écran à des paramètres de tranches de console
et de modules
Lorsque vous avez effectué vos assignations de contrôleur, vous pouvez commencer à
mapper les contrôles d’écran aux paramètres dans les patchs que vous voulez contrôler
lors de la représentation. Vous pourriez être amené à mapper des contrôles d’écran à des
paramètres dans chaque patch d’un concert afin de pouvoir accéder facilement à ces
paramètres et les modifier pendant l’exécution en live. Vous pouvez aussi mapper les
paramètres pour tout le concert afin de contrôler le volume du master, voir les niveaux
du master et modifier des effets portant sur tout le concert.
Vous pouvez mapper des contrôles d’écran à des paramètres de tranches de console et
de modules de deux façons : en mappant visuellement les contrôles d’écran aux
paramètressur la tranche de console, dans une fenêtre de module ou à l’aide du navigateur
de correspondance des paramètres.
Vous devez mapper des contrôles d’écran à des paramètres en mode Édition. Les contrôles
d’écran dansl’espace de travail ne répondent pas aux activations de commandes physiques
du matériel MIDI tant qu’ils ne sont pas mappés à des paramètres destranches de console.
Pour mapper un contrôle d’écran à une tranche de console ou à un paramètre de
module
1 Dans l’espace de travail, cliquez sur le contrôle d’écran à mapper.
Le contrôle d’écran apparaît en surbrillance bleue. L’inspecteur de contrôle d’écran apparaît
en dessous de l’espace de travail et indique les paramètres correspondant au contrôle
d’écran sélectionné. L’inspecteur de contrôle d’écran inclut les onglets Général et
Correspondance ainsi qu’un onglet intitulé Non mappé.
2 Appuyez sur Commande + L.
L’inspecteur de contrôle d’écran s’ouvre sur l’onglet Non mappé et affiche le navigateur
de correspondance de paramètres. Il s’allume en rouge pour indiquer que le mappage
est actif.
3 Pour mapper le contrôle d’écran d’un paramètre de tranche de console, cliquez sur la
commande du paramètre sur la tranche de console dans la zone Tranches de console.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 834 Pour mapper le contrôle d’écran d’un paramètre de module, double-cliquez sur le module
dans la section Insertions de la tranche de console pour ouvrir la fenêtre du module, puis
cliquez sur le paramètre.
Cliquez sur le paramètre dans une fenêtre
de tranche de console ou de module.
Cliquez sur le contrôle
d’écran à mapper.
Le contrôle d’écran est mappé au paramètre sélectionné et l’onglet Non mappé prend
le nom du paramètre. Vous pouvez ensuite mapper d’autres contrôles d’écran en cliquant
dessus dans l’espace de travail, puis sur les paramètres correspondants dans la fenêtre
d’une tranche de console ou d’un module.
5 Lorsque vous avez terminé, appuyez à nouveau sur Commande + L (ou cliquez sur le
bouton Paramètre de mappage) pour mettre fin au mappage.
Pour mapper un contrôle d’écran à l’aide du navigateur de correspondance de
paramètres
1 Dans l’espace de travail, cliquez sur le contrôle d’écran à mapper.
Le contrôle d’écran apparaît en surbrillance bleue. L’inspecteur de contrôle d’écran apparaît
en dessous de l’espace de travail et indique les paramètres correspondant au contrôle
d’écran sélectionné. L’inspecteur de contrôle d’écran inclut les onglets Général et
Correspondance ainsi qu’un onglet intitulé Non mappé.
84 Chapitre 5 Utilisation du mode Édition2 Dans l’inspecteur de contrôles d’écran, cliquez sur l’onglet Non mappé.
Le navigateur de correspondance de paramètres apparaît, pour afficher les tranches de
console et les modules disponibles pour le mappage ainsi que le dossier Actions.
3 Dans la colonne de gauche, sélectionnez la tranche de console avec le paramètre auquel
vous voulez mapper le contrôle d’écran.
Les paramètres de la tranche de console sélectionnée apparaissent dans les colonnes de
droite. Des dossierssupplémentaires pour lesinstruments et pour les effets dansla tranche
peuvent apparaître dans ces colonnes. Cliquez sur un dossier pour voir les paramètres
de cet instrument ou effet.
4 Sélectionnez le paramètre à mapper.
Cliquez sur le paramètre auquel vous
voulez mapper le contrôle d’écran.
Cliquez sur la tranche de console ou sur le paramètre que vous voulez mapper.
Le contrôle d’écran est mappé au paramètre sélectionné et l’onglet Non mappé prend
le nom du paramètre. Vous pouvez mapper d’autres contrôles d’écran en cliquant dessus
dans l’espace de travail et en choisissant les paramètres dans le navigateur Mappage de
paramètres. À travers ce navigateur, vous pouvez mapper des paramètres qui ne sont
pas visibles dans la fenêtre des modules.
Vous pouvez aussi mapper des contrôles d’écran à des actions de MainStage et à des
scripts AppleScript. Pour en savoir plus sur l’association de commandes d’écran,
reportez-vous à la section Mappage de contrôles d’écran.
Remarque : si vous modifiez le réglage d’une tranche de console sur laquelle vous avez
mappé des contrôles d’écran, vous perdez alors tous les mappages des paramètres.
Vous pouvez également modifier la sensibilité de la vélocité d’une tranche de console,
créer des transformations de contrôleur et filtrer différents messages MIDI. Pour en savoir
plus sur la modification de tranches de console, reportez-vous à la section Modification
de tranches de console dans MainStage.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 85Mappage de contrôles d’écran à des actions
Outre le mappage à des paramètres de tranche de console et de module, vous pouvez
associer des commandes d’écran à des actions de MainStage. Les actions vous permettent
de sélectionner des patchs et des sets, de couper le son de notes MIDI, de contrôler le
Syntoniseur et le métronome, de taper un nouveau tempo, d’afficher des informations à
propos des patchs, des messages MIDI et d’autres informations et d’exécuter d’autres
fonctions à l’aide des commandes d’écran.
Pour un tableau complet des actions, incluant des descriptions et des remarques sur leur
utilisation, reportez-vous à la section Utilisation des actions MainStage.
Le dossier Actions, qui apparaît dans le navigateur Mappage de paramètres aux côtés
des paramètres disponibles, contient des actions destinées à la sélection de patchs et de
sets, à l’affichage du syntoniseur, à l’activation du marquage de tempo (tap tempo), du
muet du master ou de la fonction Panique, etc. Le dossier Actions contient également
un sous-dossier AppleScript comportant des scripts utiles.
Vous pouvez mapper des contrôles d’écran de bouton à des actions pour sélectionner
différents patchs et utiliser des boutons physiques de votre matériel MIDI poursélectionner
des patchs quand vous êtes sur scène. Vous pouvez aussi mapper des boutons à des
actions pour sélectionner différents sets ou sélectionner le concert. Pour en savoir plus
sur l’assignation de boutons, reportez-vous à la section Assignation de boutons.
Pour mapper un contrôle d’écran à une action
1 Dans l’espace de travail, cliquez sur le contrôle d’écran à mapper.
L’inspecteur de contrôle d’écran apparaît en dessous de l’espace de travail et indique les
réglages correspondant au contrôle d’écran sélectionné. Si le contrôle d’écran est mappé
actuellement, un onglet portant le nom du mappage apparaît en plus des onglets Général
et Correspondance. Si le contrôle n’est pas mappé, l’onglet porte le nom « Non mappé ».
2 Cliquez sur l’onglet Non mappé (ou sur l’onglet portant le nom du mappage).
Le navigateur Mappage de paramètres s’affiche en dessous de l’espace de travail. Le
dossier Actions est disponible dans le navigateur Mappage de paramètres.
3 Dans la colonne de gauche du navigateur Mappage de paramètres, cliquez sur le dossier
Actions.
86 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionLes actions disponibles apparaissent dans la deuxième colonne du navigateur.
Cliquez sur le dossier Actions pour
visualiser les actions disponibles.
Cliquez sur l’action que
vous désirez mapper
dans le sous-menu.
4 Sélectionnez l’action à mapper.
Remarque : si vous mappez un contrôle d’écran de potentiomètre et une action de
sélection de patch (comme −10 patchs, patch précédent, patch suivant ou +10 patchs),
le contrôle d’écran passe directement à la valeur de la commande matérielle, quel que
soit le réglage du paramètre « Répondre au déplacement matériel » dans l’inspecteur de
contrôle d’écran.
Mappage d’un contrôle d’écran à plusieurs paramètres
Vous pouvez mapper un contrôle d’écran à plusieurs paramètres et contrôler la façon
dont le contrôle d’écran modifie chaque paramètre mappé. Le mappage d’un contrôle
d’écran à plusieurs paramètres est aussi appelé multimappage. Vous pouvez mapper un
contrôle d’écran à un maximum de huit paramètres en ajoutant des mappages dans
l’inspecteur de contrôle d’écran.
Pour ajouter un mappage
1 Mappez le contrôle d’écran à un paramètre ou à une action, comme décrit dans les
sections Mappage de contrôles d’écran à des paramètres de tranches de console et de
modules et Mappage de contrôles d’écran à des actions.
2 Lorsque le contrôle d’écran est sélectionné, cliquez sur le bouton Ajouter une
correspondance (+) dans le coin supérieur droit de l’inspecteur de contrôle d’écran.
Un nouvel onglet Non mappé apparaît dans l’inspecteur pour afficher le navigateur de
correspondance de paramètres.
3 Dans le navigateur Mappage de paramètre, choisissez le paramètre auquel vous voulez
mapper un contrôle d’écran.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 87Si vous ajoutez une correspondance lorsque le processus d’apprentissage est actif (le
bouton Paramètre de mappage est rouge), vous pouvez immédiatement apprendre la
nouvelle correspondance. L’Éditeur de commande inclut également desraccourcis clavier
pour sélectionner l’onglet suivant et l’onglet précédent pour faciliter le mappage d’un
contrôle d’écran à plusieurs paramètres. Pour en savoir plussur l’utilisation desraccourcis
clavier, reportez-vous à la section Utilisation de l’éditeur de raccourcis clavier.
Si vous associez fréquemment des contrôles d’écran à plusieurs paramètres, vous pouvez
accélérer votre flux de travaux en assignant des raccourcis clavier pour sélectionner
l’onglet précédent et l’onglet suivant ou pour sélectionner un onglet spécifique dans
l’inspecteur de contrôle d’écran. Pour en savoir plussur l’assignation de raccourcis clavier,
reportez-vous à la section Utilisation de l’éditeur de raccourcis clavier.
Pour afficher tous les mappages d’un contrôle d’écran
µ Dans l’inspecteur de contrôles d’écran, sélectionnez l’onglet Mappages.
Les mappages apparaissent dans une vue de liste qui affiche les valeurs de plage minimales
et maximales et le comportement de changement de patch de chaque mappage. Elle
inclut également des boutons pour ouvrir le graphique Paramètre et afficher les valeurs
de graphique Inverser de chaque mappage.
Si vous créez plusieurs mappages à un contrôle d’écran, vous pouvez définir les relations
entre le premier mappage et les mappagessuivants. Ceci peutse révéler particulièrement
utile lorsque, par exemple, vous mappez le même contrôle à une fréquence de coupure
et à une résonance de filtre, et lorsque vous voulez vous assurer que cette résonance ne
dépasse pas une valeur maximale définie à mesure que la fréquence de coupure augmente.
La relation par défaut affecte tous les mappages futurs (des mêmes contrôles d’écran et
d’autres), mais n’affecte pas les mappages existants. Par défaut, la relation est définie sur
Échelle à la première ouverture de MainStage.
Pour définir la relation par défaut entre le premier mappage et les mappages suivants
1 Sélectionnez un contrôle d’écran à mapper à plusieurs paramètres.
2 Choisissez l’option Relation par défaut à la première correspondance dansle menu Action,
situé dans le coin supérieur droit de l’inspecteur de contrôle d’écran.
3 Procédez de l’une des façons suivantes :
• Pour définir les mappages suivants avec un décalage d’une valeur fixe par rapport au
premier mappage, choisissez Décalage.
• Pour définir les mappagessuivants avec une mise à l’échelle suivant un rapport constant,
en partant de la même valeur minimale, choisissez Échelle.
• Pour définir les mappagessuivants avec une mise à l’échelle suivant un rapport constant
au point défini pour le mappage, en partant à la fois de la même valeur minimale et
de la même valeur maximale, choisissez Pivot.
88 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionModification de la valeur enregistrée d’un paramètre
Si vous avez défini le comportement par défaut d’enregistrement des valeurs des
paramètres sur « Revenir à la valeur enregistrée » dans les préférences Générales de
MainStage, ou dans l’onglet Attributs de l’inspecteur de contrôle d’écran, les dernières
valeurs enregistrées des paramètres d’un patch sont rétablies lorsque vous changez de
patch. Vous pouvez consulter et modifier la valeur enregistrée dans l’onglet de mappage
du paramètre de l’inspecteur de contrôle d’écran.
Pour consulter et modifier la valeur enregistrée d’un paramètre
1 Dans l’inspecteur de contrôle d’écran, cliquez sur l’onglet de mappage.
La dernière valeur enregistrée du paramètre est affichée dans le curseur de valeur Valeur
enregistrée.
2 Pour modifier la valeur, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Modifiez la valeur dans le curseur de valeur Valeur enregistrée.
• Faites glisser le curseur présent à droite du curseur de valeur versla gauche ou la droite.
Remarque : la valeur définie dans l’inspecteur de contrôle d’écran est automatiquement
associée au contrôle d’écran. Toutefois, une modification apportée au contrôle d’écran
n’est prise en compte dans l’inspecteur de contrôle d’écran qu’une fois le concert
enregistré avec le patch sélectionné dans la liste des patchs.
Utilisation de graphiques de mappage de paramètres
Chaque mappage de paramètre inclut un graphique Paramètre. Vous pouvez modifier
le graphique pour mapper des valeurs d’entrée à des valeurs de sortie différentes pour
le paramètre.
Pour ouvrir le graphique Paramètre d’un mappage
µ Dans l’onglet du mappage ou dans l’onglet Mappages, double-cliquez sur le bouton
Graphique du mappage que vous voulez modifier.
La fenêtre du graphique Paramètre s’ouvre. Le titre de la fenêtre de graphique affiche le
nom du paramètre.
Pour en savoir plussur la modification de graphiques, reportez-vous à la section Utilisation
de graphiques.
Mappage de contrôles d’écran à toutes les tranches de console d’un
patch
Lorsque vous mappez un contrôle d’écran à un paramètre de tranche de console, tel que
le volume ou la balance, vous pouvez lui imposer de contrôler ce même paramètre dans
toutes les tranches de console du patch. Cela vous sera particulièrement utile si vous
souhaitez contrôler le volume global d’un son en couches, même si les différentes couches
sont jouées sur plusieurs claviers.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 89Pour mapper un contrôle d’écran à toutes les tranches de console d’un patch :
1 Mappez le contrôle d’écran en suivant les instructions données dans les sections
précédentes.
2 Dansla colonne de gauche du navigateur Mappage de paramètres,sélectionnez le dossier
Envoyer à tous.
3 Sélectionnez la destination dans la deuxième colonne.
4 Sélectionnez le paramètre auquel associer le contrôle d’écran dans la troisième colonne.
Vous pouvez associer le contrôle d’écran à des actions pour transposer des tranches de
console d’instruments logiciels, des paramètres de tranches de console et des types de
message de contrôle MIDI à partir du dossier Destinations. Lorsque vous associez un
contrôle d’écran à toutes les tranches de console d’un patch, le paramètre auquel le
contrôle d’écran est associé est modifié pour se définir sur la même valeur que celle de
toutes les tranches de console du patch lorsque vous déplacez le contrôle d’écran.
Remarque : lorsque vous mappez un map de percussions à l’aide de l’option Envoyer à
tous, le dossier Envoyer à tous contient des notes MIDI, pas des contrôleurs.
Annulation du mappage de paramètre
Vous pouvez annuler le mappage de paramètre si vous décidez que vous ne voulez pas
conserver le mappage. Lorsque vous annulez le mappage de paramètre, tousles mappages
créés dansla session du mode d’apprentissage en cours(soit en appuyantsur Commande
+ L soit en cliquant sur le bouton Paramètre de mappage) sont annulés.
Pour annuler les mappages de paramètre
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Choisissez Édition > Annuler (ou appuyez sur les touches Commande + Z).
µ Appuyez sur la touche Échap.
Suppression de mappages de contrôles d’écran
Si vous souhaitez libérer un contrôle d’écran de tout mappage, vous pouvez supprimer
son mappage. Cela peut être utile avec les contrôles qui font transiter des messages au
canal MIDI Thru (molettes de pitch bend et de modulation, ou pédales d’expression, par
exemple), quand vous ne souhaitez pas qu’ils envoient des messages MIDI pour leur type
de contrôle de transmission Thru. Quand vousremappez un contrôle d’écran, il est inutile
d’en supprimer le mappage existant.
Pour réinitialiser le mappage d’un contrôle d’écran
1 Dans l’espace de travail, cliquez sur le contrôle d’écran à mapper.
2 Dans la colonne de gauche du navigateur Mappage de paramètres, cliquez sur Aucun.
90 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionModification des paramètres de contrôle d’écran en mode
Édition
En mode Layout, vous modifiez les paramètres de contrôle d’écran basiques qui sont
constants dans l’ensemble du concert. En mode Édition, vous pouvez modifier les
paramètres de contrôle d’écran pour un patch ou un set spécifique. Vous pouvez
également ignorer les mappages de concert et de set pour un patch ou un setspécifique.
Substitution de mappages portant sur un concert ou un set entier
Par défaut, les mappages que vous réalisez et portant sur un concert entier (mappages
à des paramètres et des actions) ont la priorité sur ceux à chaque patch ou chaque set
du concert. Si vous mappez un contrôle d’écran à un paramètre portantsur tout le concert
(au volume du master, par exemple), ce contrôle d’écran ne peut pas être mappé à un
paramètre ou à une action dans un patch ou un set, à moins que vous ne substituiez le
mappage du concert.
De même, les mappages que vous effectuez et s’appliquant à un set ont priorité sur les
mappages de tout patch du set. Si vous mappez un contrôle d’écran à un paramètre
portant sur tout le set (à un effet sur une tranche de console de niveau set par exemple),
ce contrôle d’écran ne peut pas être mappé à un paramètre ou à une action dans un
patch du set, à moins que vous ne substituiez le mappage du set.
Si vous tentez de mapper un contrôle d’écran mappé pour le concert ou le set entier, un
texte apparaît dans l’inspecteur de contrôle d’écran pour vous informer que le contrôle
mappé s’applique à un autre élément d’autre nature et ses paramètres sont estompés
dans l’inspecteur de contrôle d’écran. Vous pouvez substituer les mappages d’un patch
particulier, portant sur un concert et un set entier, pour mapper le contrôle d’écran en le
faisant porter sur un patch.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 91Pour substituer des mappages de concert
µ Dans l’inspecteur de contrôle d’écran, cochez la case « Ignorer le mappage de concert ».
Cochez cette case pour ignorer
les mappages portant sur
l’intégralité du concert.
Les paramètres de l’inspecteur de contrôle d’écran deviennent actifs.
Pour ignorer les mappages portant sur le set et autres paramètres d’un patch
µ Dans l’inspecteur de contrôle d’écran, cochez la case « Ignorer le mappage de set ».
La section Mappage de paramètre devient active. Vous pouvez alors mapper le paramètre.
Des onglets pour les mappages de concert sont disponibles uniquement au niveau du
concert, tandis que les onglets de mappages de set sont disponibles uniquement au
niveau du set. Lorsque vous ignorez un mappage de concert ou de set, les onglets de
mappages deviennent disponibles au niveau auquel vous avez ignoré le mappage.
Remplacement de l’étiquette de paramètre
Vous pouvez remplacer l’étiquette de paramètre pour un contrôle d’écran (d’un patch
ou d’un set) pour faciliter l’identification de l’étiquette.
Pour remplacer l’étiquette de paramètre d’un contrôle d’écran
1 Sélectionnez le contrôle d’écran dans l’espace de travail.
2 Dans l’inspecteur de contrôles d’écran, sélectionnez l’onglet Attributs.
3 Cochez la case Remplacer l’étiquette de paramètre.
4 Saisissez le nouveau texte de l’étiquette dans le champ.
Sélection d’une couleur personnalisée pour un contrôle d’écran
Vous pouvez modifier la couleur d’une zone active d’un contrôle d’écran (d’un patch ou
d’un set spécifique).
Pour choisir une couleur personnalisée pour un contrôle d’écran
1 Sélectionnez le contrôle d’écran dans l’espace de travail.
92 Chapitre 5 Utilisation du mode Édition2 Dans l’inspecteur de contrôles d’écran, sélectionnez l’onglet Attributs.
3 Cochez la case Couleur personnalisée.
4 Choisissez une nouvelle couleur dans le menu local Couleur personnalisée.
Modification de l’apparence d’un contrôle d’écran d’arrière-plan ou d’un
groupe de contrôles d’écran
Vous pouvez modifier l’apparence d’un contrôle d’écran d’arrière-plan ou d’un groupe
de contrôles d’écran en choisissant un autre panneau ou en ajoutant une image
personnalisée.
Pour changer le panneau d’un contrôle d’écran d’arrière-plan ou d’un groupe de
contrôles d’écran
1 En mode Édition, cliquez sur le contrôle d’écran dans l’espace de travail tout en appuyant
sur la touche Option.
Les commandes Panneau et Image apparaissent dans l’inspecteur de contrôle d’écran.
2 Dansl’inspecteur de contrôle d’écran, assurez-vous que la case Personnaliser l’arrière-plan
est cochée.
3 Sélectionnez le bouton Panneau.
4 Cliquez sur le cadre Panneau et choisissez un autre panneau dans le menu local.
Pour ajouter une image personnalisée à un contrôle d’écran d’arrière-plan ou un groupe
de contrôles d’écran
1 En mode Édition, cliquez sur le contrôle d’écran dans l’espace de travail tout en appuyant
sur la touche Option.
Les commandes Panneau et Image apparaissent dans l’inspecteur de contrôle d’écran.
2 Dansl’inspecteur de contrôle d’écran, assurez-vous que la case Personnaliser l’arrière-plan
est cochée.
3 Sélectionnez le bouton Image, puis cliquez sur Sélectionner.
Une zone de dialogue Ouvrir apparaît.
4 Recherchez l’image que vous souhaitez utiliser, sélectionnez-la, puis cliquez sur Choisir
une image.
Sélection d’une couleur de texte personnalisée pour un contrôle d’écran
Vous pouvez modifier la couleur du texte d’un contrôle d’écran (d’un patch ou d’un set
spécifique).
Pour choisir une couleur de texte personnalisée pour un contrôle d’écran
1 Sélectionnez le contrôle d’écran dans l’espace de travail.
2 Dans l’inspecteur de contrôles d’écran, sélectionnez l’onglet Attributs.
3 Cochez la case Couleur d’étiquette personnalisée.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 934 Choisissez une nouvelle couleur dans le menu local Couleur d’étiquette personnalisée.
Définition d’un contrôle d’écran pour afficher la valeur du matériel
Par défaut, les contrôles d’écran affichent la valeur du paramètre auquel le contrôle est
associé. Dans certains cas, par exemple, lorsque le contrôle d’écran est assigné à une
pédale de pied, ou lorsque le contrôle d’écran est associé à plusieurs paramètres, il est
préférable d’afficher la valeur du contrôle de matériel assigné au contrôle d’écran.
Pour définir un contrôle d’écran pour afficher la valeur du matériel
1 Sélectionnez le contrôle d’écran dans l’espace de travail.
2 Dans l’inspecteur de contrôles d’écran, sélectionnez l’onglet Attributs.
3 Cochez la case Afficher la valeur d’entrée.
Définition du comportement de changement de paramètre pour les
contrôles d’écran
Vous pouvez définir le comportement pour enregistrer les valeurs de paramètres pour
les commandes d’écran en patchs individuels. Cette opération peut s’avérer utile, par
exemple, lorsque le comportement par défaut pour enregistrer des valeurs de paramètres
est défini sur Réinitialiser, mais vous voulez que certains contrôles d’écran (par exemple,
les contrôles d’écran de concert ou de set) conservent leur valeur actuelle lorsque vous
passez d’un patch à un autre.
Pour définir le comportement pour l’enregistrement de valeurs de paramètres dans
un patch
1 Sélectionnez le patch.
2 Sélectionnez le contrôle d’écran pour lequel vous voulez définir le comportement de
changement de paramètre.
3 Dans l’onglet Attributs de l’inspecteur de contrôle d’écran, choisissez le comportement
de changement de paramètre pour le contrôle d’écran dans le menu local portant un
nom de type « Lorsqu’un patch est modifié et que la valeur à l’écran diffère du patch
enregistré » :
• Pour que le contrôle d’écran utilise le comportement par défaut défini dans les
préférences MainStage, choisissez Préférence.
• Pour conserver les modifications apportées aux valeurs de paramètres lorsque vous
changez de patchs, choisissez Conserver.
• Pour revenir aux valeurs de la dernière valeur enregistrée, choisissez Réinitialiser. Lorsque
cette valeur est sélectionnée, vous devriez enregistrer le concert après avoir apporté
les modifications désirées au patch avant de sélectionner un autre patch.
• Pour que le contrôle d’écran utilise la dernière valeur reçue du contrôle physique qui
lui a été assigné, choisissez Concordance.
94 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionLorsque vous choisissez un élément dans le menu local, une brève description de cette
fonction apparaît sous le menu.
Important : si vous définissez le comportement pour l’enregistrement des valeurs de
paramètre dans un patch sur Réinitialiser, les valeurs de paramètre sont également
réinitialisées lorsque vous passez en mode Layout.
Définition du comportement de concordance du matériel pour les
contrôles d’écran
Certains synthétiseurs matériels et certaines stations de travail musicales permettent aux
utilisateurs de contrôler ce qui se produit lorsque vous déplacez un contrôle physique
qui est défini sur une autre valeur que le paramètre qu’il modifie. La valeur du paramètre
peut instantanément passer à la position du contrôle physique (on parle parfois de
« sauter ») et elle peut être modifiée avec la même proportion (on parle de modification
« relative »). Elle peut aussi ne pas être modifiée du tout jusqu’à ce que la commande
physique corresponde à sa valeur actuelle (aussi appelé « s’aligner »).
Vous pouvez définir le comportement des contrôles d’écran dans MainStage sur l’un de
ces comportements lorsque vous déplacez la commande physique assignée au contrôle
d’écran.
Pour définir le comportement des contrôles d’écran lorsque vous bougez une
commande matérielle
1 Sélectionnez le patch.
2 Sélectionnez le contrôle d’écran pour lequel vous voulez définir le comportement de
concordance de matériel.
3 Dans l’onglet Attributs de l’inspecteur de contrôle d’écran, choisissez le comportement
de changement de paramètre pour le contrôle d’écran dans le menu local portant un
nom de type « Lorsqu’une valeur matérielle diffère de la valeur à l’écran » :
• Pour que le contrôle d’écran utilise le comportement par défaut défini dans les
préférences MainStage, choisissez Préférence.
• Pour que le contrôle d’écran soit modifié instantanément pour correspondre à la valeur
matérielle, choisissez Ignorer.
• Pour que le contrôle d’écran soit modifié lorsque le contrôle matériel correspond à sa
valeur actuelle, choisissez Relever.
• Pour que le contrôle d’écran soit modifié proportionnellement à la commande matérielle,
choisissez Relative.
Remarque : lorsque vous choisissez un élément dans le menu, une brève description de
cette fonction apparaît sous le menu.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 95Réinitialisation et comparaison des changements apportés à un patch
Vous pouvez réinitialiser les changements apportés à tous les paramètres d’un patch qui
sont mappés aux contrôles d’écran sur leur dernière valeur enregistrée, pour vous
permettre d’entendre le patch dans l’état dans lequel il était lors de son dernier
enregistrement (état original) et basculer entre l’état original et l’état modifié du patch.
Il existe deux moyens pour réinitialiser et comparer les modifications apportées à un
patch : en utilisant le bouton Réinitialiser/Comparer le patch dans la barre d’outils ou en
utilisant l’action Réinitialiser/Comparer le patch associée au contrôle d’écran au niveau
du concert.
Pour réinitialiser les changements apportés aux paramètres de patch mappés à l’aide
du bouton Réinitialiser/Comparer le patch
1 Lorsque le patch est sélectionné, cliquez sur le bouton Réinitialiser/Comparer le patch.
Le patch est réinitialisé à son état enregistré précédemment.
2 Pour entendre le patch dansson état modifié, cliquez sur le bouton Réinitialiser/Comparer
le patch.
Pourréinitialiser et comparerles changements à l’aide de l’action Réinitialiser/Comparer
le patch
1 En mode Layout, ajoutez un contrôle d’écran de bouton à votre layout.
2 Assignez un bouton sur votre contrôleur matériel au nouveau contrôle d’écran bouton.
3 En mode Édition, cliquez sur l’icône du concert dans la liste des patchs.
4 Sélectionnez le nouveau contrôle d’écran bouton dans l’espace de travail.
5 Dans le navigateur de correspondance de paramètres, sélectionnez le dossier Actions,
puis sélectionnez l’action Réinitialiser/Comparer le patch dans la deuxième colonne.
Pour en savoir plus sur le mappage d’un contrôle d’écran au niveau du concert,
reportez-vous à la section Contrôle du volume général d’un concert.
96 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionUtilisation de l’onglet Assignations et mappages
Vous pouvez consulter et modifier les assignations et les mappages du patch, set ou
concert sélectionné dans le tableau Assignations et mappages. La colonne de gauche du
tableau Assignations et mappages répertorie les assignations du patch par appareil et
canal MIDI. La colonne centrale indique le contrôle d’écran auquel la commande matérielle
est assignée (le cas échéant). La colonne de droite indique le mappage de chaque
commande en suivant le même ordre que dansl’inspecteur de contrôle d’écran. Le tableau
Assignations et mappages permet de créer et de modifier des assignations et des
mappages sans quitter le mode Édition.
Vous pouvez rapidement déterminer si une commande matérielle est assignée et savoir
à quel paramètre ou à quelle action elle est associée. Lorsque vous manipulez une
commande matérielle, la rangée sur laquelle figurent son assignation et son mappage
est mise en surbrillance. Si elle n’est pas assignée, une rangée est créée.
L’onglet Assignations et mappages comporte également un menu Action proposant des
options permettant de créer des assignations et de sélectionner une rangée de mappage
lors de la réception d’une entrée MIDI.
Pour afficher le tableau Assignations et mappages
µ Cliquez sur l’onglet Assignations et mappages en haut de l’espace de travail (ou appuyez
sur Commande + Maj + M).
Pour revenir à l’espace de travail
µ Cliquez sur l’onglet Espace de travail en haut de la fenêtre (ou appuyez sur
Commande + Maj + W).
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 97Création et suppression d’assignations et de mappages
L’onglet Assignations et mappages comporte un bouton Assigner et mapper permettant
de créer rapidement des assignations et des mappages. Vous pouvez également créer
des assignations et des mappagesindépendants des contrôles d’écran, ce qui vous permet
d’utiliser une commande matérielle pour modifier la valeur d’un paramètre ou d’une
action ne disposant d’aucun contrôle d’écran dans l’espace de travail.
Pour créer une assignation et un mappage
1 Dans le menu Action, choisissez Nouvelle assignation.
Une nouvelle rangée vierge apparaît dans le tableau.
2 Cliquez sur le bouton Assigner et mapper.
3 Manipulez la commande matérielle à assigner.
La rangée est actualisée et présente la nouvelle assignation.
4 Pour créer un mappage, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Sélectionnez un paramètre ou une action de mappage dans l’inspecteur de contrôle
d’écran.
• Cliquez sur un paramètre dans une tranche de console ou la fenêtre d’un module.
Le tableau est actualisé et présente le nouveau mappage.
Vous pouvez supprimer des assignations et des mappages dans le tableau Assignations
et mappages. Si vous sélectionnez une rangée du tableau contenant à la fois une
assignation et un mappage, seul le mappage est supprimé. Si vous sélectionnez une
rangée ne contenant qu’une assignation, une alerte apparaît. Si l’assignation contient un
contrôle d’écran, elle est supprimée mais le contrôle d’écran reste dans le tableau. Si
l’assignation ne contient aucun contrôle d’écran, toute la rangée est supprimée.
Pour supprimer une assignation
1 Dansle tableau,sélectionnez la rangée contenant l’assignation, puis appuyez sur la touche
suppr.
2 Dans l’alerte qui apparaît, cliquez sur Supprimer.
Pour supprimer un mappage
µ Dansle tableau,sélectionnez la rangée contenant le mappage, puis appuyez sur la touche
suppr.
Modification des assignations et des mappages
Le bouton Assigner et mapper permet également de modifier des assignations et des
mappages existants dans le tableau Assignations et mappages.
Pour modifier une assignation ou un mappage existant
1 Dans le tableau Assignations et mappages, sélectionnez l’assignation à modifier.
98 Chapitre 5 Utilisation du mode Édition2 Cliquez sur le bouton Assigner et mapper.
3 Pour modifier l’assignation, manipulez la commande matérielle à assigner.
Le tableau est actualisé et présente la nouvelle assignation.
4 Pour modifier le mappage, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Sélectionnez un autre paramètre ou une autre action de mappage dans l’inspecteur
de contrôle d’écran.
• Cliquez sur un paramètre dans une tranche de console ou la fenêtre d’un module.
Le tableau est actualisé et présente le nouveau mappage.
Modification des paramètres Entrée matérielle
Vous pouvez consulter et modifier les paramètres Entrée Matérielle d’une assignation
dans le tableau Assignations et mappages, ce qui vous permet de modifier rapidement
l’assignation sans quitter le mode Édition. Pour obtenir des informations détaillées sur
des paramètres Entrée matérielle précis, reportez-vous à la section Utilisation des contrôles
d’écran.
Pour modifier les paramètres Entrée matérielle d’une assignation
1 Cliquez sur l’assignation à modifier.
Une zone de dialogue présentant les paramètres d’entrée matérielle actifs de l’assignation
apparaît.
2 Choisissez de nouveaux paramètres Entrée matérielle pour l’assignation à l’aide des menus
locaux de la zone de dialogue.
3 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur Terminé ou à l’extérieur de la zone de dialogue.
Utilisation de sets en mode Édition
Les sets fonctionnent comme des « dossiers » qui vous permettent de regrouper des
patchs ensemble. À l’aide dessets, vous pouvez organiser les patchs de toutesles manières
possibles. Vous pouvez par exemple placer ensemble tous les patchs que vous désirez
utiliser dans la première partie d’une représentation sur scène ou garder tous vos patchs
de synthé ensemble. Caractérisés par leur flexibilité, vous pouvez adapter les sets à votre
méthode de travail.
Vous pouvez notamment utiliser des sets :
• pour grouper en « banques » des sons similaires ou en relation ;
• pour regrouper plusieurs patchs que vous utilisez dans un morceau ;
• pour partager un instrument ou une tranche de console de set entre les morceaux d’un
même groupe.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 99Création de sets
Vous pouvez créer un set vierge ou en créer un à partir d’un groupe de patchssélectionnés.
Pour créer un set vierge
µ Choisissez Nouveau Set dans le menu Action situé dans le coin supérieur droit de la liste
des patchs.
Un nouveau set apparaît dans la liste des patchs.
Pour créer un set à partir d’un groupe de patchs
1 Dans la liste des patchs, sélectionnez les patchs à inclure dans le nouveau set.
2 Choisissez « Nouveau Set à partir de la sélection » dans le menu Action situé dans le coin
supérieur droit de la liste des patchs.
Le nouveau set apparaît dans la liste des patchs contenant les patchs sélectionnés. Vous
pouvez ajouter de nouveaux patchs au set ou faire glisser des patchs dans le set.
Attribution d’un autre nom à des sets
Lorsque vous créez un set, un nom par défaut lui est attribué. Vous pouvez renommer
un set de la même manière que vous renommeriez un patch dans la liste des patchs.
Pour renommer un set
1 Double-cliquez sur le set dans la liste des patchs.
Un champ de texte apparaît autour du nom du set sélectionné.
2 Saisissez un autre nom dans le champ du nom du set.
Définition de la signature temporelle pour un set
Vous pouvez définir la signature temporelle pour un set. Les signatures temporelles
peuvent être utilisées avec le module Playback et affectent également les battements du
métronome. Lorsque vous définissez la signature temporelle pour un set, elle prévaut
sur la signature temporelle du concert (le cas échéant).
Pour définir la signature temporelle pour un set
1 Dans l’inspecteur Set, cochez la case Possède une signature temporelle.
2 Double-cliquez sur le nombre dansle champ à droite etsaisissez le nombre de battements
pour une mesure de signature temporelle.
3 Choisissez la valeur de battement dans le menu local à droite.
100 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionModification du tempo lorsque vous sélectionnez un set
Vous pouvez attribuer à un set un réglage de tempo propre. Ainsi, quand voussélectionnez
ce set, son tempo passe alors au tempo qui lui est défini. MainStage utilise le nouveau
tempo jusqu’à ce que vous sélectionniez un autre patch ou set et son réglage de tempo,
et que vous saisissiez un nouveau tempo, ou jusqu’à ce que MainStage reçoive des
informations de tempo à travers les messages MIDI entrants. Pour en savoir plus sur
l’utilisation et la modification du tempo dans MainStage, reportez-vous à la section
Utilisation du Tempo dans un concert MainStage.
Pour changer le tempo à l’aide d’un set
1 Sélectionnez le set dans la liste des patchs.
2 Dansl’inspecteur de jeu, définissez le tempo du set à l’aide du curseur de valeur « Changer
le tempo : ».
3 Cochez la case « Changer le tempo : » pour activer le tempo du set lorsque ce dernier est
sélectionné.
Changement de l’accord pour un set
Par défaut, les nouveaux sets (et ceux qui existent depuis longtemps) utilisent la même
méthode d’accord que le concert. Vous pouvez changer l’accord pour un set pour qu’il
utilise un accord différent. Lorsque vous modifiez la méthode d’accord pour un set, les
patchs dans le set utilisent l’accord du set à moins que vous ne changiez l’accord au
niveau du patch.
Pour changer l’accord d’un set
1 Dans l’inspecteur de sets, sélectionnez l’onglet Accord.
2 Choisissez l’accord que vous voulez utiliser pour le set dans le menu local Méthode.
Substitution de plages de notes portant sur un concert pour un set
Si une tranche de console d’instrument logiciel s’applique au concert entier, la tranche
de console du concert prend la priorité sur toute tranche de console d’instrument logiciel
portant sur un set et dont les notes se trouvent dans sa plage de notes. Cela signifie que
lorsque vousjouez des notesfaisant partie de la plage de la tranche de console du concert
sur un clavier contrôleur, vous n’entendez que la tranche du concert, même si un patch
est sélectionné dans un set présentant une tranche de console de set.
Vous pouvez substituer la tranche de console portantsur le concert entier par une tranche
sur un set de manière à ce qu’elle prenne la priorité sur la tranche de console portant sur
le concert.
Pour substituer des plages de notes applicables à un concert ou à un set entier
1 Dans la liste des patchs, sélectionnez le set correspondant à la tranche de console dont
vous souhaitez substituer la tranche de console de concert.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 1012 Dansla zone Tranches de console,sélectionnez la tranche de console dont voussouhaitez
écraser la plage de notes de concert.
3 Cochez la case Ignorer les plages parentes.
Suppression de sets
Vous pouvez supprimer un set si vous pensez ne plus en avoir besoin dans le concert.
Pour supprimer un set
1 Sélectionnez le set dans la liste des patchs.
2 Choisissez Édition > Supprimer (ou appuyez sur la touche Supprimer).
En supprimant un set, les patchs qu’il contientsont égalementsupprimés. Poursupprimer
le set sans supprimer les patchs, déplacez les patchs hors du dossier des sets avant de le
supprimer.
Manipulations par set
Vous avez aussi la possibilité d’ajouter des tranches de console au set entier et jouer les
tranches de console de set en même temps que chaque patch du set. Cela peut vous
être utile par exemple si vous souhaitez utiliser la même basse dans un morceau ou dans
un groupe de morceaux. Vous pouvez placer les patchs de tous les morceaux dans un
set, ajouter une tranche de console portant sur un set entier, puis ajouter une basse à la
tranche en question. Vous pouvez définir la plage de notes de la basse de sorte que seules
les notes des octaves inférieures soient jouées, et que vous puissiez jouer la basse en
même temps que vos patchs.
Important : si vous ajoutez une tranche de console appliquée à un set entier, elle prend
la priorité sur toutes les tranches de console des patchs inclus dans le set. Par exemple,
si vous ajoutez une tranche de console applicable au set et contenant un instrument
logiciel, ce dernier a la priorité sur les instruments logiciels de tous les patchs du set, pour
les notes se trouvant dans la plage de notes définie pour l’instrument logiciel du set.
Pour ajouter une tranche de console applicable à tout un set
1 Sélectionnez le set dans la liste des patchs.
2 Cliquez sur le bouton « Ajouter une tranche de console » (+) en haut de la zone Tranches
de console.
3 Dans la zone de dialogue « Nouvelle tranche de console », sélectionnez le type de bande
à créer.
4 Choisissez la sortie audio de la tranche de console dans le menu local Sortie.
5 Pour les tranches de console, choisissez Mono ou Stéréo dans le menu local Format, et
l’entrée audio dans le menu local Entrée.
6 Cliquez sur Créer.
102 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionPartage de patchs et de sets entre concerts
Vous pouvez exporter des patchs et des sets à partir d’un concert et les importer dans
un autre concert. En important un set, tous les patchs qu’il contient sont également
importés.
Pour exporter un patch
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites glisser le patch de la liste des patchs vers le Finder.
Le patch apparaît en tant que fichier .patch dans le Finder.
µ Sélectionnez le patch, choisissez Enregistrer comme patch dans le menu Action de la
Liste des patchs, puis cliquez sur Enregistrer.
Le patch est exporté dansle dossier ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/MainStage
Patches.
Pour exporter un set
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Faites glisser le set de la liste des patchs vers le Finder.
Le set apparaît en tant que fichier .patch dans le Finder.
µ Sélectionnez le set, choisissez Enregistrer comme set dans le menu Action de la Liste des
patchs, puis cliquez sur Enregistrer.
Le set est alors exporté dans le dossier des patchs de MainStage.
Remarque : vous pouvez aussi exporter l’intégralité d’un concert en tant que set en le
sélectionnant et en choisissant Exporter le set dans le menu Action.
Vous pouvez exporter plusieurs patchs ou sets. Quand vous exportez plusieurs patchs en
lesfaisant glisser dansle Finder, chacun d’entre eux est exporté en tant que fichier .patch.
Quand vous sélectionnez plusieurs patchs et que vous les exportez à l’aide de la
commande Exporter le patch, ils sont regroupés dans un seul set exporté. Vous pouvez
importer des patchs ou des sets à partir du Finder dans un autre concert ouvert.
Pour importer un patch ou un set
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ En mode Édition, faites glisser le patch ou le set du Finder dans la liste des patchs.
µ Choisissez Charger un patch/set dans le menu Action de la Liste des patchs, sélectionnez
le patch ou le set à importer, puis cliquez sur Importer.
Chapitre 5 Utilisation du mode Édition 103Enregistrement de la sortie audio d’un concert
Vous pouvez enregistrer la sortie audio d’un concert MainStage. Lorsque vous enregistrez
la sortie audio, tout l’audio sur la sortie que vous choisissez est enregistré (y compris le
métronome, etc.).
Avant d’enregistrer la sortie audio, assurez-vous que la sortie, l’emplacement de
l’enregistrement et le format de fichier corrects sont définis dans l’onglet Audio des
préférences MainStage. Pour en savoir plus sur la définition des préférences
d’enregistrement, reportez-vous à la section Définition des préférences MainStage.
Pour enregistrer de l’audio en mode Édition
µ Cliquez sur le bouton Enregistrement dans la barre d’outils.
Pour désactiver l’enregistrement
µ Cliquez à nouveau sur le bouton Enregistrement.
Vous pouvez également associer un contrôle d’écran à l’action Enregistrement pour
enregistrer l’audio en mode Exécution et assigner un raccourci clavier à l’action pour
activer ou désactiver l’enregistrement à l’aide d’une commande matérielle.
104 Chapitre 5 Utilisation du mode ÉditionLes concerts sont les documents dans lesquels vous créez et organisez les sons que vous
utilisez dans vosreprésentations, personnalisez la présentation de votre écran et établissez
des connexions entre votre matériel MIDI et MainStage.
Un concert contient tous les sons à utiliser lors d’une représentation complète ou une
série de représentations. Dans un concert, vous pouvez ajouter, modifier ou organiser
des patchs et les sélectionner pendant que vous jouez. Vous pouvez réorganiser des
patchs dans la Liste des sons ou les organiser en sets.
Les concerts contiennent également des présentations dans lesquelles vous pouvez
arranger visuellement les contrôles d’écran dans l’espace de travail et établir des
connexions entre vos matériels et MainStage. Vous pouvez ajouter ou arranger des
contrôles d’écran et leur attribuer des commandes physiques sur vos appareils MIDI en
mode Layout. Pour en savoir plus sur la personnalisation de votre présentation,
reportez-vous à la section Utilisation du mode Layout.
Vous pouvez aussi contrôler le volume d’un concert entier, ajouter des effets portant sur
tout le concert ou réaliser d’autres modifications.
Le présent chapitre couvre les aspects suivants :
• Ouverture et fermeture de concerts (p 106)
• Enregistrement de concert (p 107)
• Conséquences de l’enregistrement sur les valeurs des paramètres (p 108)
• Définition de la signature temporelle pour un concert (p 109)
• Utilisation du Tempo dans un concert MainStage (p 109)
• Définition de la source des messages de changement de programme pour un concert
(p 111)
• Définition du Pan Law pour un concert (p 111)
• Changement de l’accord pour un concert (p 112)
• Notes MIDI en muet (p 112)
• Désactivation du son de la sortie audio (p 113)
105
Utilisation de concerts
6• Manipulations par concert (p 114)
• Contrôle du métronome (p 121)
Ouverture et fermeture de concerts
Vous pouvez créer un concert, poursuivre votre travail dans un existant et bien sûr en
enregistrer et fermer. Vous pouvez ajouter des patchs à un concert et les organiser dans
la Liste des sons. Le nombre de patchs n’est limité que par la mémoire disponible. Vous
pouvez ajouter des tranches de console à un patch existant ou aux nouveaux que vous
créez, et pouvez les organiser en sets. Pour en savoir plus sur les patchs et les sets,
reportez-vous à la section Utilisation du mode Édition.
Le processus de création d’un nouveau concert à partir d’un modèle de concert est décrit
dans la section Choix d’un modèle de concert. Vous pouvez ouvrir un concert pour y
jouer les patchs ou les y modifier.
Pour ouvrir un concert existant
Procédez de l’une des manières suivantes :
µ Choisissez Fichier > Ouvrir un concert, sélectionnez le concert à ouvrir, puis cliquez sur
Ouvrir.
µ Choisissez Fichier > Nouveau pour ouvrir la zone de dialogue Sélectionner le modèle,
cliquez sur « Ouvrir un concert existant » puis choisissez le concert dansla zone de dialogue
Ouvrir.
µ Dans le Finder, double cliquez sur le concert.
µ Dans le Finder, faites glisser le concert sur l’icône MainStage dans le Dock.
Vous pouvez également rouvrir un concert ouvert récemment en choisissant Fichier >
Ouvrir récent concert, puis en choisissant un concert dans le sous-menu ou en ouvrant
la zone de dialogue Sélectionner le modèle, en cliquant sur Concerts récents, puis en
choisissant le concert que vous voulez ouvrir.
Par défaut, un concert s’ouvre en mode Édition. Vous pouvez modifier le comportement
par défaut dans les préférences de MainStage. Pour en savoir plus, reportez-vous à la
section Définition des préférences MainStage.
La première fois que vous ouvrez un concert, le premier patch est sélectionné et la
bibliothèque des patchs est ouverte pour que vous puissiez facilement choisir un réglage
de patch. Lorsque vousrouvrez un concert, c’est le patch choisi au dernier enregistrement
qui est sélectionné.
Si des fichiers audio ou d’autres ressources sont introuvables lorsque vous ouvrez un
concert, une zone de dialogue apparaît vous indiquant les ressources manquantes et
vous demandant si vous souhaitez rechercher ces ressources, les localiser manuellement
ou les ignorer.
106 Chapitre 6 Utilisation de concertsRemarque : lorsque vous ouvrez un concert créé avec une version antérieure de MainStage,
il s’ouvre sous la forme d’un concert sans titre et MainStage vous invite à enregistrer le
concert en tant que concert MainStage 2.
Pour fermer un concert
µ Choisissez Fichier > Fermer le concert.
Si vous avez modifié le concert depuis le dernier enregistrement, le système vous invite
à enregistrer vos modifications.
Enregistrement de concert
Lorsque vous enregistrez un concert, les modifications apportées aux valeurs des
paramètres associés ne sont enregistrées que pour le patch ou le set sélectionné, pas
pour les autres.
Pour enregistrer un concert
1 Choisissez Fichier> Enregistrer.
2 Lorsque vous enregistrez un concert pour la première fois, la zone de dialogue Enregistrer
s’affiche. Attribuez un nom au concert, choisissez l’emplacement de l’enregistrement puis
cliquez sur Enregistrer.
Vous pouvez aussi enregistrer une copie d’un concert avec un autre nom en choisissant
Fichier > Enregistrer le concert sous.
Vous pouvez enregistrer un concert avec les ressources (fichiers audio, instruments,
échantillons Ultrabeat et fichiers de réponse d’impulsion Space Designer) que le concert
utilise, comme lorsque vous enregistrez un morceau Logic sous la forme d’un projet.
Pour enregistrer un concert en incluant ses ressources
1 Choisissez Fichier > Enregistrer sous.
2 Dans la zone de dialogue Enregistrer sous, cochez la case Inclure les ressources.
3 De la même façon, avec la case Inclure les ressources cochée, cliquez sur le triangle
Options avancées, puis sélectionnez les types de ressources que vous voulez inclure avec
le concert.
4 Cliquez sur Enregistrer.
Pour savoir comment définir le comportement d’enregistrement des valeurs des
paramètres auxquels sont associés les contrôles d’écran dans les différents patchs,
reportez-vous aux sections Conséquences de l’enregistrement sur les valeurs des
paramètres et Modification de la valeur enregistrée d’un paramètre.
Chapitre 6 Utilisation de concerts 107Conséquences de l’enregistrement sur les valeurs des
paramètres
Lorsqu’un concert est ouvert, toutesles modifications apportées aux paramètres associés
(tranches de console ou modules) sont conservées tant qu’il reste ouvert. Si vous fermez
le concert sans l’enregistrer puis le rouvrez, les paramètres associés reprennent les
dernières valeurs enregistrées. Si vous enregistrez le concert avant de le fermer, les
modifications apportées aux valeurs des paramètres associés ne sont enregistrées que
pour le patch sélectionné.
Si vous ne souhaitez pas conserver les dernières modifications, vous pouvez revenir à
l’état qu’elles avaient lors du dernier enregistrement.
Pour revenir au dernier enregistrement d’un concert
µ Choisissez Fichier > Revenir à la version enregistrée.
Toutesles modifications apportées depuisle dernier enregistrementsont perdueslorsque
vous rétablissez un concert à son dernier état enregistré.
Si vous modifiez les paramètres d’un patch, que vous sélectionnez un autre patch puis
revenez au premier, les paramètres conservent ainsi les valeurs du premier patch. Vous
pouvez également choisir le comportement par défaut pour enregistrer les modifications
des valeurs de paramètres auxquels les commandes d’écran sont associés. Vous pouvez
définir le comportement par défaut soit pour que les paramètres conservent leur valeur
actuelle lors des changements de patchs (le comportement par défaut dans MainStage
version 1.0) soit pour réinitialiser leurs valeurs sur la dernière valeur enregistrée (similaire
à de nombreux synthétiseurs matériels).
Pour définir le comportement par défaut pour l’enregistrement de valeurs de
paramètres
1 Choisissez MainStage > Préférences.
2 Dans la section Valeurs des paramètres de la sous-fenêtre des préférences générales,
choisissez le comportement par défaut dans le menu local Au changement de patch.
a Pour conserver les modifications apportées aux valeurs de paramètres lorsque vous
changez de patchs, choisissez Conserver les valeurs actives.
b Pour faire revenir les paramètres sur leur dernière valeur enregistrée lorsque vous
changez de patchs, choisissez Revenir à la version enregistrée.
Vous pouvez également définir le comportement pour enregistrer les valeurs de
paramètres pour les commandes d’écran en patchs individuels. Pour en savoir plus,
reportez-vous à la section Définition du comportement de changement de paramètre
pour les contrôles d’écran.
108 Chapitre 6 Utilisation de concertsDéfinition de la signature temporelle pour un concert
Vous pouvez définir la signature temporelle pour un concert. Les signatures temporelles
peuvent être utilisées avec le module Playback et affectent également le fonctionnement
du métronome. Lorsque vous définissez la signature temporelle d’un patch ou d’un set,
celle-ci ignore la signature temporelle du concert lorsque le patch ou le set estsélectionné.
Lorsque vous sélectionnez un patch ou un set sans signature de temps, celui-ci utilise la